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Quelle est l'origine de ce nom " Îsâ "

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:08

Quelle est l'origine de ce nom " Îsâ "

Îsâ Ibn Maryam = "Jésus" fils de Marie.


Îsâ "issa" serait le nom de Yeshoua "Jésus" en arabe, mais qu'elle est son origine et son étymologie ???

À quoi correspond ce "nom" ???

Quelle est sa racine ???

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:08

L'histoire de la naissance d'Îsâ dans le Coran est un ersatz biblique qui ressemble plus à une histoire bricolée et inventée qu'à la réalité. Îsâ parle au berceau "copie d'un apocryphe", Marie accouche sous un dattier et dit d'elle-même qu'elle n'est pas une prostituée... Elle est aussi la sœur d'Aaron, le frère de Moïse..


Ce sont "les anges" et pas Gabriel qui lui annoncent un enfant pur... Etc. Qui sont ces anges ???


17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d'un homme parfait. Qui est ce "nous" qui ne donne jamais son nom ???


Coran :

Sourate 19
MARYAM (MARIE) 
98 versets
Pré-Hégire

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.


16. Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu vers l'Orient. 

17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d'un homme parfait. 

18. Elle dit : "Je me réfugie contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m'approche point]. 

19. Il dit : "Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d'un fils pur". 

20. Elle dit : "Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m'a touchée, et je ne suis pas prostituée? " 

21. Il dit : "Ainsi sera-t-il! Cela M'est facile, a dit ton Seigneur! Et Nous ferons de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C'est une affaire déjà décidée". 

22. Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné. 

23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : "Malheur à moi! Que je fusse morte avant cet instant! Et que je fusse totalement oubliée! 

24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle , [lui disant : ] "Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. 

25. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. 

26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui : ] "Assurément, j'ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain". 

27. Puis elle vint auprès des siens en le portant [le bébé]. Ils dirent : "Ô Marie, tu as fait une chose monstrueuse! 

28. Sœur de Haroun , ton père n'était pas un homme de mal et ta mère n'était pas une prostituée". 

29. Elle fit alors un signe vers lui [le bébé]. Ils dirent : "Comment parlerions-nous à un bébé au berceau? " 

30. Mais [le bébé] dit : "Je suis vraiment le serviteur d'Allah. Il m'a donné le Livre et m'a désigné Prophète. 

31. Où que je sois, Il m'a rendu béni; et Il m'a recommandé, tant que je vivrai, la prière et la Zakat ; 

32. et la bonté envers ma mère. Il ne m'a fait ni violent ni malheureux. 

33. Et que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai, et le jour où je serai ressuscité vivant". 

34. Tel est Issa (Jésus), fils de Marie : parole de vérité, dont ils doutent. 

35. Il ne convient pas à Allah de S'attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui! Quand Il décide d'une chose, Il dit seulement : "Sois! " et elle est. 

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:08

La fin d'un mensonge

Ce qu'il faut savoir :

Le " nom Îsâ " ne correspond à rien, et ne veut rien dire en langue arabe.

Ce "nom" n'a aucune signification, ainsi Yeshoua est privé de sa réelle identité.

Dans le Coran, Îsâ est musulman soumis à "Allâh", qui est je le rappelle, le seigneur de la Kaaba qu'Abraham et Ismaël auraient construit, chose dont Jésus n'a jamais parlé, ni même mentionné lors de son ministère, et pourtant, il a évoqué plusieurs fois le père Abraham !.


Nous savons que Yeshoua, nom de Jésus en hébreu ou Yeshua "Yehoshua" an Araméen veut dire = YHWH sauve !.

En Islam

1) Jésus n'est pas le Fils Unique de Dieu, comme il s'est lui-même présenté.

2) Il n'est pas le sauveur...

3) Il n'est pas mort et Dieu ne l'a pas ressuscité d'entre les morts ( La foi chrétienne repose sur ce fait )... En clair, il n'a rien fait, sa venue sur la terre pour le musulman "Îsâ" ne correspond à rien, Jésus ne serait venu en gros que pour annoncer "Mahomet".


Coran :

30.  Les Juifs disent : «Uzayr est fils de Dieu» et les Chrétiens disent : «Le Christ est fils de Dieu». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. qu'Allah les anéantisse ! Comment s'écartent-ils (de la vérité) ? 

Bible :

Paroles de Jésus 

Jean 3:16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.…

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:08

Coran :

Le Coran insulte de manière dissimulée et à peine voilée, Marie la mère de Jésus, de prostituée, qu'est-ce que fait ce mot dans un soi-disant "livre saint" ???
La "marie musulmane" reçoit des dates fraîches lors de son accouchement sous un palmier, tout le mode sait, qu'une femme lorsqu'elle accouche dans les douleurs a besoin de dates fraiches pour l'apaiser.

Îsâ, le "jésus musulman" parlait au berceau.


D'où est tirée cette histoire ???


LES ÉVANGILES APOCRYPHES

ÉVANGILE DE L'ENFANCE. 

Quelle est l'origine de ce nom " Îsâ " Marie.3

ÉVANGILE DE L’ENFANCE

Au nom du Père, et du Fils, et de l’Esprit-Saint, Dieu unique. (Rien qu'ici, nous pouvons déjà dire que cela n'est pas une révélation inspirée, c'est moi qui souligne)

Avec le secours et l'assistance du Dieu tout-puissant, nous commençons à écrire le livre des miracles de notre Sauveur, maître et Seigneur Jésus-Christ, lequel s'appelle l'Évangile de l'enfance, dans la paix du Sauveur. Ainsi soit-il. 

CHAPITRE Ier. 

Nous trouvons dans le livre du grand-prêtre Joseph qui vécut du temps de Jésus-Christ (et quelques-uns disent que son nom était Caïphe) que Jésus parla lorsqu'il était au berceau et qu'il dit à sa mère Marie : moi que tu as enfanté, je suis Jésus, le fils de Dieu, le Verbe, ainsi que te l'a annoncé l'ange Gabriel et mon père m'a envoyé pour le salut du monde. 

CHAPITRE II. 

L'an trois cent soixante-neuf de l'ère d'Alexandre, Auguste ordonna que chacun se fit enregistrer dans sa ville natale. Joseph se leva donc et conduisant Marie son épouse, il vint à Jérusalem, et il se rendit à Bethléem pour se faire inscrire avec sa famille dans l'endroit où il était né; lorsqu'ils furent arrivés tout proche d'une caverne, Marie dit à Joseph que le moment de sa délivrance était venu et qu'elle ne pouvait aller jusqu'à la ville, « mais, » dit-elle,« entrons dans cette caverne. » Le soleil était au moment de se coucher. Joseph se hâta d'aller chercher une femme qui assistât Marie dans l'enfantement, et il rencontra une vieille Israélite qui venait de Jérusalem et la saluant, il lui dit : « entre dans cette caverne où tu trouveras une femme au moment d'accoucher. » (4) 

Lien : [ltr]http://remacle.org/bloodwolf/apocryphes/enfance.htm[/ltr]


Légende :

Henry Sike donna à Utrecht, en 1697, la première édition du texte arabe de cette légende.

Un auteur arabe, Ahmed-Ibn-Idris, cité par Maracci dans son travail sur le Coran, atteste que l'on croyait que l'Évangile de l'Enfance, regardé comme le cinquième des Évangiles, avait été rédigé par saint Pierre qui en avait recueilli les matériaux de la bouche de Marie. 

Transcrivons aussi un passage des voyages de Thévenot (liv. II, ch. 75), où il est question des récits conservés parmi les chrétiens qui habitent sur les bords du Nil. 

« Les Coptes ont plusieurs histoires fabuleuses tirées des livres apocryphes qu'ils ont encore parmi eux. Nous n'avons rien d'écrit de la vie de Notre-Seigneur, durant son bas-âge, mais eux, ils ont bien des particularités, car ils disent que tous les jours il descendait un ange du ciel, qui lui apportait à manger, et qu'il passait le temps à faire avec de la terre de petits oiseaux, puis il soufflait dessus, et les jetait après en l'air, et ils s'envolaient. 

Nous montrerons dans les notes dont nous accompagnerons l'Évangile de l'Enfance, combien les Musulmans y ont ajouté de traditions empreintes de l'imagination orientale ; les écrits des docteurs juifs ont également reproduit quelques-uns des récits de notre légende; c'est ainsi que le Toldos Jeschu, l'un des ouvrages que les rabbins ont essayé de diriger contre le christianisme (2), mentionne les oiseaux que Jésus formait avec de la boue et qu'il animait de son souffle; le même ouvrage donne le nom d'Elchanon comme celui du maître qui instruisit le fils de Marie ; d'après un passage un peu obscur, il est vrai, de la Gemare de Babylone (3), il se serait appelé Josué fils de Pérachia...

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:10

La fin du mensonge

La racine et l'origine du nom " Îsâ"

" Ishou , le Msih kdaba " (messie le menteur) des mandéens


‘Ishou , le Msih kdaba (messie le menteur)  des mandéens, peuple proche des araméens de Harran en Syrie actuelle .

Selon les Écritures mandéennes, le Guinza Rba  encore appelé le livre d’Enoch, l’homme, enjeu de la lutte entre le monde Supérieur de la Lumière et le monde inférieur des ténèbres est tenté par les religions infernales mais trois Sauveurs sont envoyés par le Royaume de la Lumière  pour affermir sa croyance. 

«Ensuite la place de Jérusalem sera dévastée : les juifs s'en iront en exil et ils seront dispersés dans toutes les villes. Ensuite viendra Ahmatle fils du magicien Bisbat  (Ahmat Bar Bisbat)... (Guinza Rba.)

Parmi ces trois « sauveurs »   -- il y-a d’abord le premier messager céleste :

-Yokhanan (Jean le baptiste ) qui dès sa vingt deuxième année va au bord du Jourdain et pendant quarante deux ans prêche la repentance et baptise les hommes.  

Il y voit venir à lui - ‘Ishou  , le second et principal messager céleste, l’illuminateur des fidèles, celui qui apporte la Vérité, c’est-a-dire le Salut. 

Enfin :  Anosh Outhra, le troisième messager céleste, descendu du ciel parmi les juif. Ce dernier opère de miracles, prêche la bonne doctrine et convainc ‘Ishou, le second et principal messager céleste, de mensonges  puis remonte au Ciel d’où il reviendra sous la forme d’un aigle blanc pour châtier Israël…  


 Ishou  le second et principal messager céleste aurait, d’après les Écritures mandéennes, annoncé la venue parmi les mandéens d’un prophète du nom d’Ahmat


Alfred Loisy  assimile « Ahmat » à Mohamed alors que le Coran confond Ahmed et Mohamed, Ahmat étant le nom du prophète qu’attendaient les mandéens. 

Le texte coranique aurait visiblement considéré les textes mandéens comme des Évangiles chrétiens annonçant Ahmat

Quant à Jésus fils de Marie annonciateur selon le Coran de la venue d'Ahmat, il s'agit de ‘Ishou forme mandéenne de Ieshou’a, nom que les mandéens attribuant Jésus dans leurs manuscrits et qu’ils désignent par le nom de  «Messie le menteur» (M’sih kdaba) après qu’ils l’eurent confondu de mensonge ou ‘Issa, sa forme arabisée. 


Ni la Torah ni les Évangiles n'avaient annoncé la venue d'un prophète du nom d'Ahmed. 

En revanche, le Ginza Rba (gawaïta harran) livre mandéen, parle de la venue d'un prophète du nom d'Ahmat .


L’ambigüité et l’ambivalence qu’entretient Mahomet quant à ces deux personnages c’est qu’il distingue l’un de l’autre. 

Le premier (Ishou*-‘Issa) est un « menteur » mais il annonce «sa» venue, le second, (Jésus fils de Marie), selon l’islam, reviendra porté par les anges à la grande mosquée de Damas (mosquée Zacharia, sur le tombeau de Jean Baptiste), mettra à mort Ishou le «Messie le menteur», mais  confortera la véracité du Coran et justifiera  Mahomet comme envoyé de Dieu.  (Et c’est là tout l’intérêt posthume que Mahomet rencontre auprès du véritable sauveur Jésus fils de Marie) 


’Ishou , prononciation mandéenne contractée ou déformée de Ieshou’a, devient  ‘Îsâ dans le Coran. Le son  « ch » mandéen, araméen , nabatéen ou hébreux est prononcé « SE » par les arabes             

                           Exemples :  MoSHé  (Moïse) devient MouSSa

                                                Shlomo (Salomon) devient Souleîman

                                                SHalom (Paix) devient Salam

                                                SHabat devient Sebt                                  


Les Évangiles disaient Jésus-Iasu’ « Massih », c’est-à-dire qu’il était oint d’une mission et de pouvoirs exceptionnels. A ne pas confondre avec ‘ichou  le « second  messager » envoyé par le Royaume de la Lumière des Écrits mandéens, le Guinza Rba, convaincu d’imposture et qui n’était plus à leurs yeux que le « Msih Kdaba », - « Messie le menteur », le « Massih  adadjal » des musulmans – ‘Ishou  en mandéen ou «  ‘Issa » sa forme arabisée coranique.


Coran:

Voilà ‘Îsâ  fils  de Maryam
Le  verbe de  vérité dont  ils*  doutent.
Sourate 19 Maryam, 

Il s’agit indéniablement de ces mandéens dont le troisième messager Anosh Outhra d’après leur livre sacré le Guinza Rba aurait convaincu « ‘Ishou » qu’ils appellent Msih Kdaba (Messie le menteur) de mensonge et d’imposture.


Mahomet ne pouvait ignorer pour les avoir côtoyés en Arabie que les Arabes chrétiens tout comme les moines rencontrés çà et là, désignaient Jésus par « Iasu’ al Massih ».  


Le réflexe ou le choix mandéen de Mahomet de l’appeler ‘Issa (Ishou’-M’sih  kdaba) est soit une tentative évidente de déprécier son statut de «Sauveur», soit un parfait amalgame des personnes, conscient ou non, délibéré ou non».

Toutefois Mahomet retient à toutes fins utiles que ce M’sih  kdaba, ‘Ishou, annonce la venue dans leur peuple d’un prophète nommé Ahmat ( le fils du magicien Bisbat : Ahmat Bar Bisbat)...» qu’il assimile sans plus de façon à « Ahmed » nom qu’il se donne dans deux sourates du Coran. 

Toutefois  son père abd al Lah ibn abd al Mouttalib, n’est pas magicien, mais qu’à cela ne tienne il suffit d’escamoter le « ben  Bisbat » ( le fils du magicien) et ne conserver qu’Ahmat, transformé pour la bonne cause en Ahmed. C’est là tout l’intérêt que Mahomet  porte à ce Ahmat  .


Ainsi confondu avec « Ishou » mandéen c’est à dire « Messie le menteur » Jésus ne sera plus désormais que ’Îsâ de son nom arabisé, qui devra lui céder la place tout en le désignant Paraclet, « l’Esprit de Vérité qui ne parlera pas de lui-même mais dira tout ce qu’il entendra au Ciel. » 


Mahomet Infaillible par préservation al-Lahienne, ne fait quant à lui que recevoir et transmettre sans rien y altérer, ou apporter de lui-même, le Verbe incréé d’al Lah, sa parole parfaite, sa Vérité sublime et immuable qu’aucun mortel ne peut imiter, qu’aucun prophète avant lui n’a pu dire ou recevoir, le Coran. La couverture est vite tirée à lui par Mahomet qui lui ne fait donc que transmettre « ce qu’al Lah lui dictera par Gabriel » … comme le Paraclet !

Il veut alors convaincre les Arabes chrétiens qu’il est « envoyé » en tant que continuateur mais néanmoins restaurateur de leurs Écritures altérées et dévoyées ; en tant que le prophète naturel et véridique que leur espérance attendait. Il est « Ahmed* » le prophète annoncé par les Écritures, mais qu’ils  refusent de reconnaître comme tel.  


Mais s’il veut faire accroire aux chrétiens qu’il a de la considération pour «‘Issa» (et pour «Maryam» sa mère) en réalité Mahomet instrumentalise cette «considération» pour mieux séduire  les disciples  de «Ieshou’a», se faire accepter comme « prophète » dans le lignage et la filiation spirituels de ce dernier par les tribus chrétiennes de son époque 

Il va jusqu’à faire usage dans sa « révélation coranique » de quelques emprunts aux religions judaïque et chrétienne, mais c’est pour les utiliser à nier certaines de leurs vérités dogmatiques, les faire mentir et accréditer par la même occasion sa propre version des faits notamment en ce qui concerne Jésus.

(Tiré du livre de  Jacques Hureiki, « Essais sur l’ origine  des  Touaregs .  Ed Karthala, 2003. Pages 633 à 636.)

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016 - 18:10

Coran 157: 4 : "Ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié. Mais il leur a semblé… Allah l’a élevé à lui…". 

Le Coran qualifie ‘Issâ de "Rassoul" c’est-à-dire de "Messager", "d’Envoyé" au sens étymologique de ces termes, l’appellation "Nabi" étant le terme le plus approprié dans la langue arabe pour désigner un "Prophète". Mahomet n’en bénéficia quant à lui que deux seules fois dans le Coran.

Quelques sectes juives : les Esséniens, les Ébionites, et les sabéens-mandéens-nazaréens, adepte d'une secte plus connue par les auteurs occidentaux sous le nom de "judéo-nazaréens ou Nassara, qui avait sa propre doctrine religieuse sans lien avec le judaïsme des rabbins de l’époque.


C’est cette secte juive des sabéens-mandéens-nazaréens qui nous intéresse.

Le sabéisme-mandéisme est une religion dualiste qui oppose un monde d’en haut ou "Royaume de la Lumière" à un monde d'en bas ou "Royaume des Ténèbres". Le monde d’en haut a une divinité suprême pour Dieu, le "Dieu de la Lumière", appelé "Vie", Heï Rbi (le Grand Vivant), la "Grande Vie / Première Vie"", ou "Seigneur de la Grandeur".

La foi des sabéens-mandéens-nazaréens dans sa forme primitive est difficile à définir à cause d'additions diverses dans leurs écrits au cours des siècles.

- Leur religion a connu différentes étapes, dans le cadre d'un parcours du polythéisme jusqu'au monothéisme.

C’est une religion gnostique évolutive, une doctrine philosophico-ésotérique qui propose à ses adeptes la pénétration des mystères de Dieu et de la Création, et des fondements de leur connaissance. Elle a subi au cours des ans, et des dispersions géographiques de ses fractions, des modifications, chaque fraction développant sa propre doctrine dans les différents pays où elle s'est répandue, comme en Mésopotamie (Syrie, Irak) puis au Hidjaz (Arabie). Les écrits de ces fractions, en contradiction entre eux le plus souvent, ont été compilés dans le Livre Sacré de cette secte, appelé le Ginza Rba (le Grand Trésor), sans cohérence ni lien entre eux, ni identifiés, ni reconnus d’une manière identique, et communément par chacune des fractions sabéennes -mandéennes- nazaréennes,

A part leur référence à Youhanna (Jean Baptiste) qu’ils considèrent tous comme leur dernier prophète, les sabéens-mandéens-nazaréens n’avaient pas non plus réellement de prophète qui soit leur Messager venant de Dieu. Et même Dieu lui-même n’avait pas encore été clairement identifié ni signifié.

Le rite centrale de cette religion est le baptême, que ses membres pratiquent, et qui consiste en une immersion totale dans l'eau vive du Jourdain, ou toute autre eau courante. Cette eau vive est considérée comme une manifestation du "Royaume de la Lumière" sur Terre. Les auteurs arabes de l’époque médiévale appellent cette secte "al Moghtassila", i.e. ceux qui se lavent/se baignent.


Dans le Ginza Rba des sabéens-mandéens-nazaréens, l’homme, enjeu de la lutte entre le Monde Supérieur de la Lumière et le Monde Inférieur des Ténèbres, est tenté par les religions infernales. Selon ce livre le monde a été induit en erreur, et le "Royaume de la Lumière" a envoyé aux hommes trois "Messagers Célestes" pour les sauver, et affermir leur croyance :

* Ishou, le premier "Messager Céleste"

* Manda d’Hayyé le deuxième "Messager Céleste"

* Anosh Outhra le troisième "Messager Céleste".

En ces temps là il y a d’abord Yokhanan / Youhanna / Jean le Baptiste (Yahia selon le Coran) qui, dès sa vingt deuxième année, va prêcher la repentance et baptiser au bord du Jourdain ceux qui ont foi en lui.

Youhanna voit venir à lui dans l’eau du Jourdain, Ishou le premier "Messager Céleste" qui se présente à lui comme son disciple, et lui demande de le baptiser. Une fois baptisé par Youhanna /Jean Baptiste qui lui a enseigné le "Livre de la Vie", Ishou s’est mis à divulguer aux croyants les secrets de ce livre qui leur permettent d’accéder à Dieu,à prêcher une autre doctrine, à réaliser des miracles par magie et sortilèges, et à fourvoyer les disciples de Youhanna.

Manda d’Hayyé, le deuxième et principal "Messager Céleste", est l’illuminateur des fidèles, celui qui apporte la vérité, c’est à dire le Salut.

Le troisième "Messager Céleste", Anosh Outhra, descendu du ciel parmi les juifs, opère des miracles, prêche la bonne doctrine, et convainc Ishou, le premier "Messager Céleste" de mensonge et d’imposture, qui de ce fait est considéré comme un imposteur, ou "Messie Menteur/Imposteur" (Msih Kdaba).,


Selon Huréiki (Essai sur les origines des Touaregs Ed Karthalla 2003 ) d’après un manuscrit ("La Période de Jésus") écrit par, ou en possession de, Youhanna/Jean Baptiste, celui-ci découvrant l’imposture de Ishou qui l’a trompé, l’aurait banni de sa communauté, et livré pour être crucifié. Mais celui-ci aurait été élevé au Ciel, et quelqu’un d’autre, qui lui ressemblait, lui aurait été substitué.

Après quoi Manda d’Hayyé le deuxième "Messager Céleste" remonte au ciel d’où il reviendra pour châtier Israël, mettre à mort Ishou le premier "Messager Céleste", Msih Kdaba, remettre le pouvoir sur le monde à Dieu et à ses disciples et déclarer la fin des temps.


Manda d’Hayyé, le deuxième "Messager Céleste", est le "Messager de Vérité", le véritable "Messie" attendu par les mandéens-nazaréens.


Selon Huréiki (Essai sur les origines des Touaregs Ed Karthalla 2003 ), ce manuscrit ("La Période de Jésus") attribué au prophète Youhanna/Jean Baptiste, a très probablement été considéré par l’islam comme un "évangile chrétien" parce que Ishou’ y a annoncé la venue, parmi le peuple juif, d’un prophète dont le nom est "Ahmat bar Bisbat" (Ahmat le fils du Magicien), Ahmat un nom typiquement sabéen-mandéen qui a été remplacé dans le Coran par son paronyme Ahmad ou Ahmed (qui signifie "le très glorieux", ou "le très loué"), nom que Mahomet se donne dans le verset 6 de la sourate 61 du Coran


Dans la religion des sabéens-mandéens-nazaréens c’est Ishou, le Messie –Menteur -Imposteur (Msih Kdaba), le premier "Messager Céleste" de celle -ci, qui a été livré pour être crucifié, mais il fut élevé au ciel, et c’est quelqu’un d’autre qui lui a été substitué, d’où leur affirmation "ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié.etc…"


Quel rapport, quelle relation y aurait- il entre ‘Issä du Coran et Ishou le Msih Kdaba (Messie –Menteur -Imposteur) des sabéens-mandéens-nazaréens ???

Comment l’affirmation "ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié mais il a été élevé au ciel, et quelqu’un d’autre qui lui ressemblait lui a été substitué ", du Livre Saint le Ginza Rba des sabéens-mandéens-nazaréens, a-t-elle atterri dans le Coran, et y a été appliquée à Jésus le Messie fils de Mariam des évangiles chrétiens parle verset 157 de la sourate 4 (an Nissa) du Coran 

"Ils ont dit : « Voici, nous avons tué le Messie, 'Îsâ, le fils de Mariam, l’envoyé d’al Lah ». Mais ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié, C’était seulement quelqu’un d’autre qui, pour eux, lui ressemblait". Alors, comment Ishou est devenu ‘Issâ ???


En Palestine la religion pratiquée par les juifs était le judaïsme. L’une des figures les plus marquantes de ce peuple est Abraham, fils de Terrah avec lequel YHWH avait établi une alliance. En signe de cette alliance, Abraham et toutes les familles regroupées en son sein, devaient être circoncis. 

Or les sabéens-mandéens-nazaréens considéraient que la circoncision était une mutilation de l’intégrité physique du corps humain blasphématoire pour Dieu, et de ce fait récusait Abraham. 


Depuis, les sabéens-mandéens-nazaréens vouent une haine implacable aux juifs rabbiniques. 

Pour eux Adonaï (YHWH), que les juifs adorent, est un faux Dieu, et Jésus un imposteur. 

Ils ont alors été pourchassés et persécutés dans toute la Palestine par les juifs rabbiniques, à cause de leur doctrine ésotérique, puis récusés par les chrétiens, car ils considéraient Jésus comme un imposteur (Msih Kdaba). Entre 66 et 68 de l’ère chrétienne ils furent contraints à l’exil et durent se réfugier en Mésopotamie, la Syrie actuelle, plus précisément à Harran région située entre les fleuves Tigre et l’Euphrate.


Différentes fractions parmi eux s’éparpillèrent ensuite, par vagues successives, vers le sud, l’Arabie (le territoire Mecquois, au Hidjaz, Yathrib où ils construisirent des sanctuaires dédiés à leurs dieux tutélaires. 


D’après al Biruni cité par J. Hjârpe in "Analyse critique des traditions arabes sur le sabéens harraniens" (thèse, Upsalla Suède 1972) le plus important de ces sanctuaires est le temple cubique de la Kaaba dédié au Dieu astral Saturne (Ezzouhel). 

Sa statue a été lourdement endommagée par un incendie du temple, puis a été volée par les Qarmates en 930 de l’ère chrétienne, et brisée en trois morceaux. Vingt ans après un morceau de cette statue a été restitué. Ses adorateurs l’ont incrusté à l’angle externe sud-est de la Kaaba : c’est la fameuse "Pierre Noire" (voir illustration) que les pèlerins musulmans embrassent à chacun des sept tours qu’ils font autour du Temple cubique lors du grand pèlerinage annuel (le Hajj).

Quelle est l'origine de ce nom " Îsâ " Hajar


A la Mecque et sur tout le territoire mecquois les plus importantes de ces fractions sabéennes-mandéennes juives se sont regroupées en une puissante confédération de tribus, parmi lesquelles celle des Banou Hachem à laquelle appartient Mahomet, sous le nom de Koraych (terme qui signifie "regroupements d’hommes") d’après certains auteurs arabes, ou musulmans dont le persan Mohammed Tabari (Mohammed sceau des prophètes, Ed. Actes-Sud /Sindbad 2001), y amenant dans leurs bagages bien entendu leurs croyances et leur Livre Sacré le Ginza Rba. 


C’est ainsi que leur affirmation concernant Ishou le Msih Kdaba, le premier "Messager Céleste" du "Royaume de la Lumière" des sabéens-mandéens (livré pour être crucifié, en réchappa car fut élevé au ciel) est arrivée à la Mecque, puis au Coran dans la sourate an Nissa, sous Mahomet (Ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié mais il leur sembla seulement etc.)


Mais rappelons-le il s’agissait de Ishou le premier "Messager Céleste" du "Royaume de la Lumière" sabéen-mandéen-nazaréens.

Les Koraych seraient alors les descendants de ces fractions juives sabéennes-mandéennes -nazaréennes chassées de Palestine entre 66 et 68 de l’ère chrétienne. La tribu de Mahomet, et Mahomet lui-même, seraient alors d’ascendance ethnique juive, c’est-à-dire des sabéens-mandéens. Ses adversaires ne le nommaient-ils pas "sabiyyi" ???


Comment Ishou est-il devenu ‘Issâ ???

‘Issâ est la déformation en arabe nordarabique (la langue du Coran) de Ishou. Le son Ch (ou Sh), hébraïque et juif, est prononcé Se en langue nordarabique. Donnons quelques exemples : Ishmaêl, le nom du fils qu’Abraham eut de Haggar l’esclave égyptienne de Sara sa femme et qui est un nom hébreux est prononcé ISmaêl en nordarabique ; SHlomo (Salomon) est prononcé Souleiman, MoSHé (Moïse) est prononcé MouSSa etc…


Pourquoi Mahomet dans son Coran privilégie-t-il l’appellation ‘Issa’ au lieu de Ishou ??? 

"Selon Huréiki le manuscrit ("La Période de Jésus"), attribué au prophète Youhanna/Jean Baptiste, a très probablement été considéré par l’islam comme un "évangile chrétien" parce-que Ishou’ y a annoncé la venue parmi le peuple juif d’un prophète dont le nom est "Ahmat bar Bisbat" (Ahmat le fils du Magicien),Ahmat étant assimilé à Ahmad ou Ahmed (qui signifie "le très glorieux", ou "le très loué"), nom que Mahomet se donne dans le verset 6 de la sourate 61 du Coran.


D’après ce "livre de Jésus", Ishou prédit la venue parmi le peuple JUIF (il faut le souligner) d’un prophète dont le nom est Ahmat bar Bisbat (bar Bisbat signifie en sabéen-mandéen le fils du Magicien). En le transformant en AHMED (le loué) et en se l’attribuant dans le Coran, Mahomet se garde bien de revendiquer aussi l’appellation Bar Bisbat (fils du magicien) son père Abdallah n’étant pas qualifié de magicien. L’intérêt pour lui étant plutôt de revendiquer avoir été annoncé par ’Issâ fils de Mariam qui devient de facto, et par un tour de passe-passe Jésus Messie des évangiles chrétiens.


Nous pouvons maintenant affirmer  que :

1) ‘Issâ du Coran, et Ishou de la secte juive des sabéens-mandéens-nazaréens, sont très probablement une seule et même personne.

2) ’Issâ du Coran et Iashou’a / iasu’/ Jésus-Christ des évangiles chrétiens sont étrangers l’un à l’autre, et n’ont aucun point commun, ni aucune historicité commune.

3) L’assertion "Voici, nous avons tué ‘Issâ fils de Mariam.. ils ne l’ont pas tué, ils ne l’ont pas crucifié mais il leur sembla Allah l’a élevé à lui" [relative à la croyance des sabéens-mandéens-nazaréens, et des musulmans, au sujet de ‘Issâ/Ishou] est vérifiable, mais elle ne peut récuser la vérité de la mort de Jésus, le Christ des évangiles, pour le salut des hommes.

4) Ishou /Msih Kdaba ; de la secte juive des sabéens- mandéens- nazaréens a annoncé la venue parmi les JUIFS d’un prophète qui s’appellera AHMAT BAR BISBAT (Ahmat fils du Magicien

5) Jésus Christ fils de Marie n’a jamais annoncé dans les évangiles la venue après lui de Mahomet

6) Donc le Coran, "Parole" d’Allah sensée être infaillible et irrécusable est prise en flagrant délit d’amalgame des personnes et d’adultération de la vérité des évangiles à des fins promotionnelles en faveur de Mahomet.  


Nous n’irons pas plus loin dans notre écrit concernant cette secte, espérant avoir rendu à ‘Issâ du Coran ce qui appartient à  ‘Issâ du Coran, et à  Ishou’a/Jésus des évangiles chrétiens ce qui appartient à Iashou’a/Jésus des évangiles chrétiens.


Il reste une question fondamentale, sur laquelle ce même Coran entretient une confusion à toute épreuve, ceci avec une habilité indéniable dans la conscience de ses croyants, et même chez les auteurs occidentalo-chrétiens. 

Elle concerne bien entendu Mariam, la Vierge Marie des évangiles chrétiens enfant unique de Johachim et d’Anne, et Mariamdu Coran fille de Imran sœur de Moïse et d’Aaron, "prophétesse" née quelques 1500 ans avant elle. A moins que celle-ci ait eu la possibilité de traverser à pied allègre le gué spatio-temporel qui sépare son siècle de celui de la Vierge Mariam (Inna Lah ‘azizun hakim).


De ce que nous venons d’écrire, il découle que :

1) Moïse et Aaron, et leur sœur Mariam fille de Imran ont vécu 15 siècles avant la naissance de Marie des évangiles et donc de Jésus le Christ. 

2) 'Issâ du Coran (i.e. Ishou des sabéens-mandéens) a donc vécu 15 siècles avant Jésus le Christ des chrétiens. De ce fait son historicité commence 15 siècles avant. Le calendrier de 'Issâ du Coran se trouve donc en l’an 3514 = (1500+2014). On ne peut donc en toute neutralité et objectivité conclure avec l’islam que 'Issâ et Jésus sont une seule et même personne. 15 siècles les séparent….

3) Si Mariam sœur d’Aaron, fille de Imran, est la Mère de 'Issâ le Messih, prophète d’Allah et du Coran, celui-ci ne nous dit pas qui en serait le père puisque l’islam rejette le crédo de "Fils de Dieu" des chrétiens, pas plus qu’il ne fait allusion à l’existence de Joseph époux de Mariam des évangiles…

4) Si les évangiles nous citent les noms des apôtres choisis par Jésus le Christ, y compris celui de Judas l’Iscariot qui l’a livré aux juifs, le Coran lui n’en connait aucun à 'Issâ, ces deux dernières lacunes étant très gravement significatives pour une parole absolue, incréée d’un Allah omniscient (Inna Lah ‘alla koulou chaïin ‘alim)

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