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Les Puissances Terrestres et Cosmiques

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Message  Arlitto Sam 13 Aoû 2016 - 16:30

 Les Puissances Terrestres et Cosmiques



La Chasse aux Prédateurs est Ouverte



 Article intéressant de John Lash où il prône un concept -la Contre-Violence- que pratiquent depuis déjà pas mal de temps, les Guerriers de Lumière investis de la Puissance Elohim afin de mettre un terme à la NUISANCE DES PREDATEURS. Ceci est le Droit Absolu des Protecteurs de l'Humanité. Car que voyons-nous aujourd'hui ? Une horde de barbares à l'assaut de la Planète qui s'est fixée comme But de décimer l'espèce humaine. Le combat contre ces nuisibles se fait SANS ARMES LETALES HUMAINES, sans bombe atomique, sans recours au terrorisme, sans se salir les mains et sans connaître de visu ou personnellement la ou les "cibles" à abattre. Ceci est d'ailleurs la condition sine qua none.



Tout se passe avec la Force de l'Esprit en communication directe avec les Puissances Terrestres et Cosmiques. Il suffit de se concentrer sur l'Entité et les Forces Supérieures exécutent le Travail. Selon la Loi Sacrée :



"Les demi-initiés, reconnaissant la non-réalité relative de l'Univers, s'imaginent qu'ils peuvent défier ses Lois ; ce sont des sots insensés et présomptueux qui vont se briser contre les écueils et que les éléments déchirent à cause de leur folie.



Le véritable initié, connaissant la nature de l'Univers, se sert de la Loi contre les lois, du supérieur contre l'inférieur, et par l'Art de l'Alchimie, il transmute les choses viles en des choses précieuses ; c'est ainsi qu'il triomphe.



La Maîtrise ne se manifeste pas par des rêves anormaux, des visions et des idées fantastiques, mais par l'utilisation des forces supérieures contre les forces inférieures, en évitant les souffrances des plans inférieurs en vibrant sur les plans supérieurs. La Transmutation n'est pas une négation présomptueuse mais l'Epée du Maître."


 


Tout ce qui nuit à l'Humanité ici-bas doit être détruit comme on éradique les virus de la peste ou de la lèpre. Car si nous ne les détruisons pas, c'est eux qui nous détruirons. Et c'est d'ailleurs, ce qu'ils sont en train de faire. Qui peut-être dupe ? Et qui peut croire que l'on peut les amadouer avec l'Amour ou la Compassion ? Ces entités inhumaines sont incapables du moindre sentiment. Ils sont froids comme la Mort. Les Forces Supérieures sont donc à l'oeuvre pour stopper leur nuisance avec tous les moyens dont elles disposent... la Chasse aux Prédateurs est ouverte !
 


La Chasse aux Prédateurs est Ouverte


La Contre-Violence au service de la Paix dans le Monde
 

1ère partie


par John Lash
 


En mai 2008, je lançai la rubrique “Contre-Violence et Ethique du Guerrier” sur mon site de Métahistoire avec un essai d’orientation pour en préciser les fondements. Cet essai était abrégé et incomplet. A cette époque, les conditions présidant à l’existence de mon site internet ne me permettaient pas de présenter une vision plus conséquente de la contre-violence et de ses applications, incluant la magie rituelle d’intention protectrice et létale. C’est maintenant le moment d’expliciter cette vision en termes très clairs.
 
Ma recension du film Avatar suggère certains points qui peuvent servir à réintroduire la contre-violence et qui en souligne la nécessité comme une voie vers la paix dans le monde à notre époque. Dans cette recension, j'ai déclaré “la chasse ouverte aux prédateurs”.
 

De prime abord, permettez-moi de clarifier très précisément que la contre-violence doit être dirigée vers les prédateurs humains qui s’attaquent à ceux de leur propre espèce au travers d’orchestrations globalistes et qu’elle ne peut jamais être utilisée pour une cause privée. La cible individuelle de la rage transpersonnelle ne peut pas être quelqu'un que vous connaissiez personnellement mais quelqu’un qui vous est connu en dehors de tout contact personnel: c’est un principe-clé de l’éthique des guerriers dans la vision Gaïenne.
 

L'Action Juste


Dans mon ouvrage “The Hero - Manhood and Power”, j’ai suggéré que l’on puisse définir un héros par ce contre quoi il s’oppose. C’est une manière de déterminer, sur le plan individuel, une motivation héroïque. Si l’humanité, quant à elle, possède aussi un aspect héroïque, incluant la capacité de se battre pour se défendre et pour vaincre tout ce qui menace sa survie, cette définition ciblée peut sans doute être appliquée, alors, sur le plan générique ou universel. Ainsi donc, contre quoi s’oppose l’espèce humaine qui requerrait une réaction héroïque? La réponse est la suivante: la prédation à l’encontre de ses propres congénères, à l’intérieur de l’espèce. La contre-violence constitue la réponse correcte et authentique, d’un point de vue éthique, à une telle prédation.


Dans le Bouddhisme, le Noble Chemin Octuple, est constitué de huit membres, huit genres de choses correctes à réaliser: l’action juste, la parole juste, les moyens d’existence justes, etc. Mais qui définit ce qu’il est correct de réaliser? Et sur quels fondements? John Lash définit-il personnellement ce qu’il est juste de faire sous l’égide de ce qu’il appelle “l’action rituelle juste”, en faisant une allusion délibérée au Noble Chemin Octuple? Non, John Lash n’est pas en train de définir ce qu’il est juste de faire au niveau de la surro-prédation: il démontre que, dans cet exemple spécifique, la situation qui menace globalement l’espèce humaine doit définir ce qu’il est juste de faire. C’est la menace elle-même qui en définit la réponse correcte. D’où le besoin impératif de discerner et de diagnostiquer la menace du mal socialement orchestré à notre époque. (se reporter à la rubrique Télestique).
 

L’auteur n’est pas une figure d’autorité et certainement pas un moraliste dictant aux autres ce qu’ils doivent faire ou proposant des principes très élevés tels que les huit membres du Noble Chemin Octuple du Bouddhisme qui sont pacifiques par nature. Soulignons au passage que ces huit directives n’ont absolument rien à voir avec la quête de l’illumination qui est supposée être la finalité principale des pratiques et de la méditation Bouddhistes; de telles pratiques ne sont pas mêmes d'ailleurs préparatoires à cette quête. Le Noble Chemin Octuple est la voie de garage de l’enseignement Bouddhiste. Ce commentaire nécessite une petite digression.

Il faut se souvenir qu’au 6 ème siècle avant EC, les enseignements du Prince Siddharta constituèrent une hérésie à l’encontre des doctrines Védiques et Brahmaniques et elles étaient considérées comme telles à cette époque. Dans le Noble Chemin Octuple, Siddharta - ou plus probablement ceux, plus tard, qui furent chargés de ses relations publiques - adopta une position antagoniste vis à vis de l’éthique guerrière proclamée par Lord Krishna dans la Bhagavad Gita, le coeur vibrant des écritures Védiques-Brahmaniques. Dans ce discours poétique, Krishna (supposément une incarnation de l’amour divin) conseilla à son conducteur de char, Ajurna, d’accepter la mission du guerrier et de combattre sur le champ de bataille. Ce faisant, Krishna ne prôna pas la guerre ni n’approuva la violence en soi mais considéra que c’était la chose juste et adéquate à réaliser dans la situation confrontée par Ajurna.
 

A cette époque, le Noble Chemin Octuple constituait une déviation de l’antique standard guerrier de Lord Krishna, un tournant libéral en direction du pacifisme et de la passivité éthique. Les pratiques du chemin octuple semblent être altruistes mais, en réalité, elles ne servent que l’intérêt personnel. Elles permettent aux adeptes de rester dans leur cocon éthique, tranquillement à l’abri des challenges posés par les orchestrations en 3 D du mal social (division, domination, dissimulation). Ce sont des platitudes égoïstes et auto-gratifiantes, relativement moins dangereuses que les Béatitudes du Sermon sur la Montagne mais conçues, néanmoins, dans la même veine d’apaisement psychosocial. Elles sont, en fin de compte, anodines et constituent une distraction eu égard à la libération spirituelle. Le chemin de l’illumination, à notre époque, est tracé ailleurs et Siddharta le savait for bien: c’est pour cela qu’il conféra des enseignements oraux secrets à son cousin et proche disciple (qui coïncidence ou pas, s’appelait également Ajurna) au sujet de l’approche exceptionnelle de la libération adaptée au Kali Yuga. (J’ai souligné dans les essais sur 2012 que le Kali Yuga débuta avec la mort de Krishna en 3102 avant EC et qu’il se terminera en 2216 EC et que la vie du Bouddha historique tomba exactement au point-médian de cette période de temps).
 

L’intention de cet exposé, sur l’éthique guerrière, n’est ni de prêcher ni de proposer ce que autrui devrait faire. Loin s’en faut. C’est plutôt de rendre explicite ce qu’il va falloir sans doute réaliser, et qui peut être réalisé, à l'encontre de la prédation vis à vis de l’espèce humaine par des membres-même de cette espèce. La chose correcte à réaliser, dans cet exemple, est l’action qui sera opérationnelle sur le plan de l’auto-défense de l’espèce. La finalité déclarée de l’action juste est la même que la finalité réelle: vaincre les machinations en 3D: la division, la dissimulation et la domination utilisées par ceux-là même qui orchestrent délibérément le mal social, tout en comptant sur d’autres pour l’exécuter à leur place. La chose correcte à faire dans ce cas serait la contre-violence dirigée à l’encontre des principales factions en contrôle de l’orchestration ainsi que de ceux qui exécutent leurs objectifs, que cela soit en complicité naïve ou autrement. Il n’existe pas de participants innocents dans le psychodrame du mal social et il peut se produire des “dommages collatéraux” dans une attaque de contre-violence sur les prédateurs globalistes.
 

La contre-violence est l’usage de la rage violente au service de la défense de l’espèce et de la défaite de la prédation, au travers d’une application ritualisée d’une telle rage - par exemple, des charmes pour tuer à distance. Dans les cultures de tous les âges, et jusqu’à ce jour, les shamans ont été reconnus tout autant pour leur capacité à guérir que pour leur capacité à tuer. A ma connaissance, le renouveau actuel du shamanisme en a totalement écarté ce dernier aspect. Cela risque, évidemment, de donner une mauvaise image du shamanisme que de déclarer qu’un shaman qui peut communier avec la nature, et guérir le cancer, peut également tuer, en ayant recours à la technologie magique des plantes ou aux “dards magiques”, telle que la recherche dans ce domaine en témoigne. Il sera sûrement objecté qu’en orientant l’attention vers cet aspect du shamanisme - développé dans l’écosorcellerie Gaïenne, telle que je l’appelle - je cautionne et je promeus de nuire à autrui et même de tuer autrui. Certains diront que c’est une proposition ountrancière émanant d’un esprit malsain; que, de plus, cet allumé, que nous prenions autrefois pour un érudit posé, est maintenant en train de proposer l’usage de la magie rituelle, une sorte de vaudou d’inspiration Gaïenne, pour nuire et pour tuer; que c’est un appel à la démence et à la superstition; qu’un tel appel va reconduire illico la société dans les voies sombres du passé, avec des shamans se bataillant méchamment, maléfiques et immoraux, une magie noire échappant à tout contrôle.


Serais-je dans l’illusion totale de proposer une approche magique pour vaincre les orchestrations du mal social? Et encore pire, se pourrait-il que je propose une forme de mal pour en soigner une autre. Comment répondre à une telle objection?
 

Tout d’abord je voudrais suggérer que nous, en tant qu’espèce, nous sommes sans doute déjà profondément plongés dans une sorte de guerre shamanique sur cette planète, et qui est beaucoup plus grave et plus destructrice, et de loin, qu’une escarmouche tribale. Selon ce que certaines personnes affirment, il existe une guerre dont notre mental est la cible. Et que faire, s’il est vrai que la guerre psychologique a été utilisée à l’encontre des populations depuis les années 1950, l’époque du “Candidat Mandchou”? Que faire, si nous sommes déjà dans un monde où la “magie noire” a échappé à tout contrôle. Et s’il en est ainsi, nous serions bien avisés de découvrir qui sont les magiciens (informations à venir dans la voie rapide de l’instruction Kalika), ce que sont leurs méthodes et intentions sous tous aspects (clarification éminente à venir) et comment définir les règles de la confrontation (cramponnez-vous).


Secondement, gardez à l’esprit que les chamailleries shamaniques, dans les sociétés tribales, impliquaient toujours des finalités privées ou personnelles. Il n’est que de prendre en considération les nombreux récits de la tradition Aborigène en Australie. Dans cette culture, les individus sont persuadés que la mort ne vient pas naturellement mais au travers d’une intention meurtrière émanant d’une personne qui possède les moyens de la provoquer, généralement à l’aide de dards magiques. L’homme de médecine Aborigène, qui attaque mortellement une autre personne, a une relation directe avec elle et une affaire à régler; ou bien il est en relation de parenté avec cette personne, via des intermédiaires. Par contre, dans la contre-violence, il n’existe aucun lien intermédiaire, même lointain, avec l’individu qui en est la cible. Dans l’écosorcellerie Gaïenne, l’intention mortelle ou blessante ne peut pas être dirigée à l’encontre d’un individu connu personnellement du praticien. L’éthique du guerrier requiert que l’intention d’un tel rituel reste purement transpersonnelle. Ce principe étant observé, il est impossible que l’action juste rituelle dégénère dans des empoignades classiques de vendettas et de jeux de pouvoirs shamaniques. L’orientation de la magie planétaire est totalement différente de celle de la magie tribale shamanique du passé et sa réalisation est, de même, immensément différente.
 
En ce qui me concerne, je ne prendrais même pas la peine de parler du shamanisme de nos jours, en pagayant assez rapidement pour garder le rythme de la vulgarisation chic de ce thème, sans attirer l’attention sur la capacité d’un shaman authentique de guérir tout autant que de tuer.

Avec l'écosorcellerie Gaïenne, les arts létaux du shamanisme ne peuvent plus être ignorés car l’espèce humaine, aujourd’hui, en a besoin pour son auto-défense. Je déclare donc que la chasse est ouverte aux prédateurs mais, ce faisant, que la contre-violence n’est pas un appel à une insurrection sociale violente, à des bains de sang dans les rues, à des assassinats, à des batailles diaboliques, et à tout ce qui s’en rapproche. La contre-violence est un appel héroïque à protéger l’espèce humaine et, dans la même cause, à protéger l’habitat offert par la planète mère, là où les tribus de cette espèce, et leurs cousins non-humains, peuvent survivre et prospérer dans un pacte symbiotique d’existence paisible.
 

Kali = Délivrance
 

Il pourrait être objecté que Kali est une déesse Hindoue dégénérée, et tout autant un produit de la pathologie collective que les cerveaux du mal social contre lesquels je déclare la chasse ouverte. C’est certainement vrai de la forme de Kali qui vénérée, en une dévotion servile et insensée, par des millions d’Hindous de nos jours. Je rejette totalement la Kali populaire dont j’ai visité les sanctuaires à Calcutta, et ailleurs, dans le sous-continent. Les ghats en feu sont des crématoires puants où les natifs sacrifient des poulets à Kali Ma dans une frénésie de supplications. Ces dévots sont des esclaves misérables du malheur qui croient que la déesse guerrière Durga va intervenir en leur faveur. Ces stupidités sont ridicules. Je n’ai rien à voir avec ces gens.
 

Mon expérience de Kali a été intime depuis l’âge de quatre ans. Je peux vous dire comment je la perçois et comment je crois qu’elle est perçue par les guerriers Gaïens, les praticiens de la contre-violence au service de la Terre. Kali est la patronne de tels guerriers et non pas la salvatrice des masses grouillantes qui larmoient à ses pieds. Ces gens ne sont que des décombres pour Kali. Elle n’aime que les braves qui, en sa compagnie, vont défendre les voies sacrées de Bhudevi, la déesse de la Terre - pour ne citer qu’un de ses nombreux noms prononcés dans le Voeu Gaïen. Kali déteste les êtres humains faibles, crédules et obséquieux.


Il pourrait être également objecté que Kali, ou Bhudevi, ou Gaïa-Sophia, ou toute autre déesse que je nomme, ne sont simplement que des produits de l’imagination et peut-être même d’une imagination malsaine, fébrile et pathologique. Est-ce que je crois que de telles déesses sont réelles? Je le crois certainement, tout autant que je croie que le jet-stream est physiquement réel. Ou que la photosynthèse est physiquement réelle. Ou que l’anneau hexagonal du benzène est physiquement réel. Cependant, ces déesses ne sont pas physiquement et continuellement réelles dans une incarnation littérale: c'est comme si elles pouvaient se manifester dans des hologrammes permanents. Elles ne se manifestent pas de cette manière à l’exception de cas extrêmement rares avec certains individus, mais jamais pour un show collectif ou un spectacle de masse. On peut les concevoir, imaginativement, comme des projections des émotions humaines et des formes d’ondes des émotions de la mère animale planétaire, mais elles ne possèdent pas non plus seulement une existence imaginative. Elles sont des forces surnaturelles oeuvrant à la frontière entre la nature et la psyché, là où les profondeurs invisibles du monde naturel pénètrent dans le psychisme. Elles sont de magnifiques expressions vivantes et palpitantes du Nagual, l’autre monde dénié par le rationalisme étroit et exclu de la vision par les limites rationnellement définies de la perception. Cependant, par la pratique de l’écosorcellerie Gaïenne, ces limites se dissolvent et les paramètres de la perception sont transformés à jamais.

Les guerriers mystiques appellent cette transformation de la perception “la métamorphose bleue” en allusion à un phénomène connu: la lumière qui s’approche du témoin tend à passer vers l’extrémité bleue du spectre visible alors que la lumière qui repart passe vers l’extrémité rouge. Au fil des âges, les shamans et les visionnaires ont détecté l’équivalence surnaturelle de cette métamorphose, dont a émergé la tradition de dépeindre des divinités, tel que Krishna, en bleu. Dans son ouvrage “When the Impossible Happens”, le psychiatre Stanislav Grov décrit le phénomène mystique de la Perle Bleue, un signal ou une augure de cette métamorphose. Il évoque, en connaissance de cause, l’Etre Bleu rencontré par certains praticiens du Siddha Yoga. Dans le cycle d’essais sur 2012, je décris ma rencontre avec les Visages Mayas Bleus, les shamans itinérants intergalactiques qui vivent de façon permanente dans cette métamorphose. Quelque chose inspira James Cameron - selon son témoignage, lors d’un rêve - à dépeindre les chasseurs-cueilleurs Na’vi de Pandora avec des peaux bleues. A l’image des dévots de Kali, les Na’vi d’Avatar sont des guerriers shamaniques qui combattent pour protéger leur mode de vie en immersion profonde avec Eywa, la Gaïa-Sophia de leur planète.


Lorsque je parle de Kali, je ne me complais nullement dans des faux-semblants et je ne demande à personne de se joindre à moi dans un jeu de fantaisie grandiose. Vous pouvez soit expérimenter par vous-mêmes la réalité de ces déesses, soit, sous le joug de votre incrédulité, vous en distancer, à vos risques et périls. L’incrédulité de l’agnosticisme, ou de l’athéisme matérialiste, constitue également une pathologie, et tout aussi pernicieuse, à sa façon, que la foi fanatique en un dieu créateur ou en un messie.

Lorsque j’invoque des déesses, particulièrement cette paire, Kali et Gaïa, je n’attends ou je ne requiers aucune réponse de croyance consentante: je vous invite à une expérimentation, à un challenge d’intention visionnaire. Je vous convie, vous l’individu, à contempler le destin de votre espèce.
 

Kali = Délivrance. Cette déesse est la plus grande protectrice des êtres humains mais elle ne protège pas l’humanité, en général. Elle protège ceux qui protègent l’humanité. Et à ceux de son camp, les guerriers mystiques pour Gaïa, Kali confère sa délivrance de la condition humaine. Le paradoxe incroyable de cette déesse est qu’elle protège l’humanité au travers de ceux qu’elle délivre des limitations propres à l’espèce. Comment Kali délivre-t-elle? Par la destruction de l’illusion, plus particulièrement l’illusion de la compassion. A sa manière, c’est une mère nourricière: elle nourrit avant tout le courage. Mais la seule chose que Kali ne nourrisse pas, ce sont les illusions humaines. Elle les détruit, et, dans le même élan, elle détruit ces gens qui ne peuvent pas se dépouiller de leurs précieuses illusions, de leurs illusions auto-gratifiantes. A cet égard, elle ne fait aucune distinction entre les victimes et les perpétrateurs unis en une collusion pernicieuse et partageant l’illusion évaluatrice des justes versus les méchants. Les guerriers consacrés à sa cause ne témoignent pas plus de respect pour cette distinction.

Il n’est demandé à personne de croire que les déesses Kali et Gaïa existent dans quelque jeu de faux-semblants exacerbés de divinités. Tenez compte de ce que j’ai écrit à l’encontre des religions, prenez en considération mon oeuvre de mythologie comparée, et de déconstruction des croyances qu’ils encodent, et vous verrez que je suis la dernière personne au monde pour exiger de telles croyances.


Ce en quoi vous avez besoin de croire, c’est en votre faculté de rencontrer, en contact direct et rapproché, ces puissances surnaturelles divines qui imprègnent le monde ordinaire. Le challenge de l’intention visionnaire, de vivre et d’agir dans le rêve lucide de Gaïa-Sophia, est de vous connaître vous mêmes engagé dans cette dimension divine et surnaturelle, en interaction avec elle. C’est de là que Kali émerge. Elle vient pour protéger et pour délivrer. Elle vous invite en sa présence.
 

Ce long discours sur les déesses pourrait sembler déplacé dans le présent exposé. Il est vrai que je peux me laisser emporter par ce sujet mais, dans ce cas précis, mon intention est claire et précise: c’est de vous informer que la contre-violence ne peut pas être pratiquée par des humains seuls, à savoir pratiquée sans connexion surnaturelle. Et plus particulièrement la connexion avec Gaïa et Kali, qui porte le courroux de Gaïa. Ainsi qu’il a été dépeint brillamment dans le film Avatar, la mère animale planétaire n’intervient pas dans les affaires humaines. Neytiri dit à Jake: “elle oeuvre uniquement pour protéger l’équilibre de la vie”. Kali intervient dans la condition humaine alors que Gaïa elle-même s’approche de l’humanité, dans ses moments les plus sombres, au travers de la matrice des animaux de pouvoir.


Il est impossible de pratiquer la contre-violence sans l’assistance intime de Kali la Libératrice et de ces animaux de pouvoir qui sont les expressions incarnées de la furie protectrice de la mère planétaire. J’invoque donc la déesse Kali afin de s’harmoniser avec les desseins de Gaïa parce que la mère animale planétaire a sélectionné ces membres de l’espèce féline, avec des marques particulières, pour se connecter intimement avec l’humanité dans le dessein de réaliser un monde plus moralement équilibré et plus paisible. Elle a sélectionné les félins avec des taches en forme de goutte.


Nuisance Intentionnelle
 

La contre-violence est une voie destinée à ceux qui sont opposés à la violence afin qu’ils puissent utiliser la capacité pour la violence dans une attaque rituellement exercée à l’encontre des malfaisants. Vous pouvez rejeter la violence exercée physiquement comme un moyen de contrôle et de domination, une manière de blesser ou de maîtriser autrui mais si vous acceptez la violence en tant qu’accessoire de la self-défense, vous pourriez être qualifiés pour cette pratique. Si, cependant, vous êtes quelqu’un qui ne va pas se défendre lorsqu’attaqué dans la rue, la contre-violence n’est pas pour vous. Elle requiert la reconnaissance de la potentialité pour la violence en soi-même.
 

La contre-violence est le recours à la potentialité violente, selon des voies altruistes et bienveillantes, à l’encontre de ceux qui exercent la violence dans des buts égoïstes ou maléfiques. C’est un chemin d’action intentionnellement pris à l’encontre de la violence en contraste avec la non-action de laisser la violence s’exercer en toute impunité ou d’y résister passivement. Ce chemin se dirige radicalement au-delà des stratégies moralement acceptables de la résistance passive et de la dissension non-violente. Gandhi élabora son éthique de résistance non-violente à partir du concept Jain d’ahimsa, le non-nuire. L’éthique guerrière embrasse la nécessité de faire face à la violence, et aux orchestrations du mal qui nécessitent la violence pour être réalisées, par une force contre-active. Toute personne croyant que l’orchestration sociale, et le mal délibéré, peuvent être vaincus par l’amour et la résistance passive est invitée à conserver ses croyances bien au chaud. Elle pourrait tout aussi bien se convaincre qu’un garçon brutal, dans une cour d’école, peut être maîtrisé, et empêché de nuire, en sollicitant de lui une raclée et en l’aimant pour ce service.
 

La contre-violence n’est pas inoffensive: elle peut intentionner la nuisance, même la nuisance létale. Le terme opérationnel est ici “l'intention”. La contre-violence canalise et focalise l’intention de nuire pour la cause de la protection de l’espèce humaine et dans le but d’éliminer les surro-prédateurs, à savoir les humains dont la proie est constituée d’autres humains. La première règle de l’action juste rituelle, la libération ritualisée de la rage transpersonnelle, stipule qu’elle ne peut jamais être utilisée sur quiconque qui vous soit connu en relation directe.
 

La contre-violence est un mal dirigé vers ceux qui font le mal avec des visées égoïstes d’une telle manière que le mal prolifère globalement. En ayant recours à l’action juste rituelle, l’individu qui pratique la contre-violence intentionne la violence sans entreprendre les moyens physiques de l’exécuter, sans utiliser une quelconque arme physique ou instrument tel que le poison, sans assaut en contact direct et sans agir au travers d’un intermédiaire (tels que les tueurs à gages) ou d’un réseau d’intermédiaires. La contre-violence a recours à “l’action à distance” sans lien physique qui puisse être retracé du praticien à la cible identifiée. Lorsque l’intention est létale, elle résulte en une mort magique. Les shamans ont exécuté des actions à distance depuis des lustres dans les sociétés tribales. La contre-violence est la pratique de l’agression shamanique à l’échelle planétaire.


S’il semble objectionnable, du point de vue des principes, d’intentionner le mal vis à vis d’autrui, méditez sur le point suivant: le mal intentionnel est une situation inéluctable qui procède de la condition humaine, une inclination innée hautement exploitée par certains et déniée ou réprimée par d’autres qui se considèrent comme de meilleures personnes que les premiers (en assumant “une base morale supérieure”). Mais si le mal intentionnel, vis à vis d’autrui, est tenu d’arriver, telle que la situation prévaut chez certains membres de la race humaine, on pourrait alors estimer que c’est une responsabilité d’intentionner le mal sans aucun autre propos que celui de contrecarrer et de vaincre ceux qui le font à propos, avec des visées égoïstes telles que l’acquisition, le contrôle et la domination. Pratiquer la contre-violence, c’est rendre la pareille pour le mal exécuté avec des visées égoïstes. Cet acte spécifique et crucial de réciprocation ramène l’équilibre moral dans l’ordre social. L’équilibre est restauré par des actions contre-violentes: se restreindre à intentionner le mal envers autrui juste par principe, en insistant catégoriquement que faire le mal à autrui n’est pas acceptable, résulte en ce que la balance penche lourdement en faveur des perpétrateurs qui ne s'embarrassent pas de tels scrupules.
 

Le mal à autrui est fait en permanence sur cette planète. Ce qui fait une différence, c’est qui fait du mal à qui et pour quelle raison. L’objection selon laquelle retourner le mal pour le mal ne va faire que générer un cycle d’escalade de violence ne tient pas debout dans le cas de la contre-violence: parce que le cours qui est promu n’est pas la violence pour répondre à la violence mais l’intention violente dirigée vers son équivalent de violence physique et réelle. Il est possible de pratiquer l’intention violente et d’être une personne aimante. Cependant, l’amour ressenti n’est jamais dirigé vers l'acteur de l’intention violente. L’amour n’est pas la solution ultime pour la paix dans le monde. Cela le serait si tout le monde optait pour l’amour. Mais il n’est que trop évident que tout le monde ne veut pas opter pour l’amour.  L’amour ne possède aucune force de persuasion sur les êtres humains pervers et déments qui ne cherchent qu’à nuire, qu’à orchestrer le mal social et qu’à s’attaquer aux membres de leur propre espèce. Pris dans une démence létale et terminale, ils se retournent contre l’espèce et y projette leur monstrueuse infatuation de supériorité et même de divinité. Ils cherchent à détruire l’humanité physiquement afin qu’il n’en reste rien qui puisse leur démontrer l’absence d’humanité en eux-mêmes.  L’amour ne peut rien faire pour de telles personnes. Il ne peut pas les atteindre ou les inspirer ou les convertir magiquement en personnes plus nobles. La contre-violence est la manière de les éliminer. Toute société qui ne peut pas détecter et éliminer de tels perpétrateurs, et de tels prédateurs, est condamnée à disparaître de par sa propre faiblesse morale.
 

L’action juste rituelle, l’expression ritualisée de la contre-violence, n’implique pas de nuire à ceux qui ne nuisent pas ou qui ne veulent pas nuire à autrui. Cette voie n’implique aucune complaisance avec les jeux de pouvoir pseudo-Sataniques. Les praticiens n’exécutent pas de sacrifices humains ou animaux dans la réalisation de ces rituels. Ils ne maltraitent pas les enfants. Ils n’utilisent pas de femmes dans des rites dégradants de pouvoir sexuel. En tant que précepteur de la contre-violence, je condamne strictement de telles pratiques. Un guerrier Gaïen n’utilise pas de puissance létale sur quiconque à l’exception des surro-prédateurs, des humains qui considèrent d’autres humains comme leur proie. Le principe fondamental de l’éthique des guerriers est de ne pas nuire à ceux qui ne nuisent pas. Aimer ses ennemis, tendre l’autre joue pour se la faire claquer, et faire le bien à ceux qui vous font le mal et qui vous persécutent, ne sont définitivement pas des principes prévalant sur ce chemin. Les guerriers Gaïens considèrent de telles platitudes comme les stratagèmes schizoïdes des perpétrateurs qui comptent sur la collusion victime-perpétrateur pour garder la main haute et gagner dans leurs jeux de division, de dissimulation et de  domination.
 

Les perpétrateurs du mal social oeuvrent à l’encontre de l’espèce humaine et de l’unité symbiotique de la vie planétaire. Avec leur scénario de fin de partie, qui est en train d’émerger dans le monde entier, ils conspirent en toute démence pour décimer la race humaine. L’eugénisme est leur signature, la bureaucratie est leur couverture. Dans leur démence, ils se considèrent comme une race spéciale jouissant du privilège d’asservir l’humanité ou de l’annihiler, en fonction de leur programme du jour.
 

Ceux qui croient pouvoir contrôler le monde ne sont pas même capables de se contrôler eux-mêmes. Ceux qui répandent la terreur au travers de la mystification du terrorisme vivent dans un état de peur perpétuelle. Ils requièrent des mesures élaborées de protection et de secrets afin de perdurer dans leurs fantaisies psychotiques de domination. Ce sont des mauviettes qui ne tiennent pas debout, dans le sens moral du terme. Ils ne possèdent aucune puissance autonome mais ils doivent s’en remettre à des réseaux de soutien et de complicité. Ils acquièrent leur pouvoir du consentement passif des gens qui ne sont pas assez avisés pour percer au grand jour leur petit jeu. Ils ont toute liberté de s’attaquer à leurs congénères tant qu’il n’existe pas assez d’êtres humains avec les tripes de les pourchasser. Non pas seulement de dévoiler leurs machinations, non pas seulement de caqueter à l’infini au sujet de la grande intelligence impliquée dans leurs tromperies, non pas seulement de les accuser de leur malfaisance évidente, non pas seulement de caresser le rêve futile qu’un jour ils auront à répondre de tout cela: non, juste de les pourchasser à mort. Faites les choir. C’est la fin du Kali Yuga, mes amis. La chasse est ouverte aux prédateurs.
 

Quelle est la proie, sélectionnée par la nature, de l’espèce humaine. Réponse: nous sommes l’unique animal qui puisse pourchasser n’importe quelle autre espèce mais nous n’avons pas de proie naturellement sélectionnée. C’est ce qui nous rend différent de toute autre espèce: pas supérieur, mais différent, exceptionnel d’une certaine manière. Cela rend compte également de la perversion bizarre par laquelle des êtres humains considèrent d’autres êtres humains comme leur proie. La surro-prédation implique une proie de substitution. Les masses deviennent la proie de quelques individus qui se retournent contre leur propre espèce plutôt que de se détruire eux-mêmes: cependant, ces surro-prédateurs sont sous l'emprise de la phase terminale de leur démence auto-destructrice. Ils substituent d’autres êtres humains pour la proie de leurs propres impulsions meurtrières, plutôt que de laisser ces impulsions les consumer eux-mêmes. Dans un certain sens, ils se servent de l’humanité comme d’une offrande sacrificielle à leur propre démence.
 

Il peut s’avérer difficile, au prime abord, de comprendre ce processus de surro-prédation. C’est quelque chose qui n’a pas encore été mis en exergue, à ma connaissance. Pour le comprendre correctement, il faut examiner attentivement la collusion victime-perpétrateur, qui est de facture purement humaine, en contraste avec la relation proie-prédateur, qui est une des lois les plus sublimes de la symbiose Gaïenne.
 

C’est le long de ce chemin d’investigation que l’on trouve le royaume des grands félins prédateurs, les chats tueurs aux marques en goutte d’eau...
 

John Lash. Andalousie. 10 février 2010.
 



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Message  Arlitto Sam 13 Aoû 2016 - 16:31

Quand Don Juan parle de "lourdes ombres boueuses" concernant les flyers, ces entités prédatrices qui se sustentent grassement sur notre dos, à la fois en nous squattant par le biais de l'implantation de leur esprit, la pensée, cette implantation étrangère, et par le ponctionnement régulier d'énergie suscitée par les perturbations émotionnelles, cela me renvoie à ce que j'avais ressenti une fois, où, ayant eu l'esprit très très clair pendant environ une trentaine de minutes, suite à une vision fugace du Sans Nom, je dûs assister impuissant au retour accablant de la PENSEE, du réemboîtement inexorable de mon "ancien "moi"", que je perçus et ressentis très clairement, comme une lourde boue plombante qui revenait m'encercler, des ténèbres qui revenaient m'étouffer. Le connu, les habitudes, les routines, étaient revenus s'emboîter sans que je ne puisse rien y faire, je les avais semés pour une courte durée; j'assistais en direct live à mon étouffement méthodique par un boa constrictor invisible, lourd et implacable. Le retour affligeant de la PENSEE ne m'inspira d'autres termes pour la décrire que lourde boue plombante, car c'est précisément de quoi il s'agit, d'entités extrêmement lourdes (quand bien même on ne les voit pas on en ressent la pesante lourdeur) qui étouffent progressivement toute flamme de Vie, dénaturent l'authenticité des émotions, pervertissent, étouffent toute expression pleine, libre et authentique de soi, étouffent toute révolte et toute volonté d'indépendance et de liberté, nous rendant faibles et dociles.


Une autre fois, à la faveur d'un rêve extraordinaire en lequel des émotions extrêmement fortes rejaillirent pleinement, comme après une très très longue incarcération implacable, je me réveillai en pleine nuit vibrant comme jamais et délesté comme jamais de l'emprise ahrimanienne, lourde et plombante. Des heures durant j'ai pu goûter à une Vie Centrale vibrante pleine d'innocence de joie et de légèreté, SANS OMBRE, sans observateur; je savais cependant, que cela n'allait pas durer, et ahriman reprit effectivement ses droits et j'assistai à nouveau au retour triomphant des ténèbres, qui étouffèrent, ralentirent, refroidirent et empêchèrent à nouveau, la Vie, tendre, intacte, fluide, légère, riante, de s'envoler, de s'échapper de leur emprise.



Ainsi le titre du précédent article prend tout son sens quand on songe à la puissance de l'impact qu'il faut pouvoir imposer aux ténèbres pour les faire déguerpir enfin et à jamais; cessant de se laisser grignoter sans rien faire, il s'agit de déclarer la guerre à un état de fait épouvantable et intolérable qu'est la misère humaine imposée par ce "voile de la nuit" dont il est fait largement mention dans les 15 tablettes de Thoth:


"Sache que la misère provient du voile de la nuit".


Au lieu de laisser remplir son esprit de manière passive de l'extérieur, de se laisser ronger passivement il s'agit de reconquérir son propre esprit, la TOTALITE DE SON ETRE. Et pour recouvrir son Etre TOTAL, il faut mener une guerre TOTALE. C'est à dire MOBILISER toutes les ressources de son être, toute son énergie, qui a été fragmentée, et étouffée, ralentie, refroidie, neutralisée, méthodiquement par les forces obscures.


Il s'agit de réinsuffler la Vie, le mouvement, aux parties de soi-même qui sont mortes, annihilées, ligotées, réduites à une lourde inertie; déclarer la guerre à ce qui nous étouffe n'est pas le début d'un long combat dont on serait libéré dans une lointaine fin; car l'observateur EST l'observé; c'est plutôt une perception directe instantanée, d'instant en instant, perception qui est à l'origine de la libération des énergies; quand on ne s'identifie plus, quand on a enfin perçu nos liens, on est libéré. Il n'y a plus d'observateur qui se dissocie de l'observé, la fusion a enfin lieu. L'énergie UNE qui a été fragmentée, dans le jeu de cette dualité illusoire, peut retrouver sa liberté et son incommensurabilité initiales...  

La Vie est perpétuel mouvement; pour pouvoir percevoir, suivre ce mouvement, rester fluide il faut être libre de tout attachement et toute identification. Ainsi seulement peut-on être à jamais libre des assauts de l'obscurité.
Mais encore faut-il penser à le faire, car l'ombre du passé, les vieilles ornières cherchent toujours à s'imposer. il faut d'abord lutter pour que cette attitude intérieure d'attention complète sans identification ni jugement ni évaluation, devienne une attention SANS EFFORT, devienne son être profond. Ainsi il n'y a plus de conflit et peut-on reposer au sein de l'Eternité, hors d'atteinte.


"Regarde les étoiles et les soleils du Cosmos et tu comprendras qu'ils voyagent depuis toujours à travers les grandes ténèbres de l'espace infini. Et pourtant ils demeurent intacts et brillants. Voilà l'effort demandé, rester brillant et lumineux tout en traversant les ténèbres les plus obscures. Et ce n'est pas une mince tâche. Voilà pourquoi les Soleils de lumière durent de toute éternité; parce qu'ils sont constants dans leurs efforts".


"Sache qu'à la fin, la clarté vaincra toujours et que les ténèbres de la nuit seront bannies par la LUMIERE."
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Message  Arlitto Sam 13 Aoû 2016 - 16:31

Le Démiurge



Démiurge. - Nom que porte, dans le système gnostique de Valentin, le créateur du monde opposé au Dieu suprême. Le terme provient sans doute du Timée de Platon, dans lequel l'organisateur suprême du monde à son origine est aussi nommé démiurge. Demiourgos signifie proprement « ouvrier, fabricant ». La notion d'un ou de plusieurs êtres, intermédiaires nécessaires entre la divinité abstraite et le monde matériel, est présente dans de nombreuses cosmogonies, et l'une des plus caractéristiques du gnosticisme; elle provient du dualisme établi entre l'esprit et la matière.
On en voit les premiers germes dans l'orthodoxie juive qui fait intervenir les anges dans la création du monde et même dans la législation du Sinaï.  Le gnostique Carpocrate nomme ainsi sept anges créateurs; Saturnin met à la tête des sept anges sous la puissance desquels le monde existe, le Dieu des Juifs. C'est l'idée du démiurge sans le nom. De plus, on touche de la sorte à une seconde antithèse qui caractérise un grand nombre de systèmes gnostiques, l'opposition entre le judaïsme, religion qualifiée par ces sectes d'inférieure, parfois taxée de matérielle ou mauvaise, et le christianisme purement spirituel. Cela éclate particulièrement dans la spéculation des marcionites; là, entre le Dieu bon et le principe de la matière, intervient le Dieu juste, créateur du monde et législateur, identique avec le Dieu de l'Ancien Testament.  

Parmi tous les gnostiques, c'est Valentin qui a développé de la manière la plus originale la notion du démiurge; mais on ne saurait sans perte détacher cette idée ou cette figure de l'ensemble de son curieux système. Basilide donnait un rôle du même genre à son Archôn. Dans ce que l'on sait du système des Ophites, le démiurge porte le nom de Valda-bahout, fils du Chaos. Toujours, du reste, le démiurge incarne l'égoïsme, recherche ses propres intérêts et agit pourtant inconsciemment sous le contrôle du Dieu suprême. Outre son rôle cosmogonique, il a donc un caractère moral, comme il arrive constamment dans les spéculations gnostiques; il est sur le rang du groupe humain intermédiaire, des psychiques, entre les spirituels et les matériels.  (F.-H. Krüger).


http://www.cosmovisions.com/





________________________







Perspectives Gnostiques sur la Guerre au Terrorisme,
les Désastres Environnementaux et la Manipulation Globale

John Lamb Lash




1. Planète Prison

Le film sur internet “Zeitgeistmovie.com” vise à exposer les mécaniques du terrorisme global, de la tromperie politique et de la manipulation de masse. Il présente une image du globe terrestre derrière des barreaux, ce qui suggère que la planète en laquelle nous demeurons est une prison. Les écrits Gnostiques du 4 ème siècle, fondés sur une tradition ancienne, présentent une image identique. Les érudits de la religion interprètent cette image de manière métaphorique et affirment que les Gnostiques embrassaient un négativisme cosmique: “l'étincelle divine emprisonnée dans la matière”. Mais une étude attentive suggère que l'image Gnostique d'une “prison-planète” convie un message très différent. Ce que les Gnostiques voulaient dire par ce terme est vraisemblablement plus sophistiqué et plus exotique que le paradigme éculé du dualisme esprit/matière.

2. Eradication de l'Hérésie

Sous l'assaut de leurs adversaires Chrétiens, les Gnostiques furent soit éliminés soit poussés dans la clandestinité. Historiquement, le Gnosticisme est considéré comme une religion morte mais l'image Gnostique de la “terre derrière des barreaux” peut s'avérer étonnamment d'actualité dans le monde d'aujourd'hui. Cela dépend beaucoup de notre capacité de recouvrer le message Gnostique quant à la situation désespérée de l'humanité et d'appréhender l'envergure et la subtilité des anciens visionnaires qui présentèrent ce message.




3. Transmission de Jésus

Les écrits Gnostiques essentiels en Copte, découverts à Nag Hammadi en Egypte en 1945, constituent les sources les plus proches que nous ayons des écrits originels des diverses écoles hérétiques. En sus de la bibliothèque de Nag Hammadi, il existe trois textes Coptes découverts antérieurement, incluant la Pistis Sophia (Codex Askew), un discours transmis par la transe et attribué à Jésus onze années après la résurrection supposée. D'autres écrits Gnostiques rejettent la résurrection comme une ruse et une tromperie mais l'école qui produisit la Pistis Sophia accepta que Jésus, considéré comme un maître Gnostique, pût apparaître sous une forme spectrale et discourir avec les vivants. Son interlocutrice principale est Marie-Madeleine qui se révèle être l'égale du Seigneur quant à sa connaissance et à son exposition des mystères cosmiques.



4. Espace Extérieur

Dans le livre 4 de la Pistis Sophia, Madeleine s'enquiert des “ténèbres extérieures”, à savoir l'espace céleste au-delà de la planète Terre. La réponse est longue et élaborée, Jésus décrivant des prisons ou zones obscures autour de la Terre, chacune étant gardée par un démon extraterrestre. D'autres écrits Gnostiques décrivent un système de sept enveloppes démoniques d'emprisonnement, corrélée aux sept planètes. Cet enveloppement à sept niveaux est le royaume de l'Hebdomade, le Sept, dit être contrôlé par les Gouverneurs ou Autorités - en Grec, les Archontes (terme avec une Majuscule suivant la convention des érudits du Gnosticisme). Ces entités sont légion mais ils font preuve d'une mentalité de ruche qui les unifie sous le commandement central du Seigneur des Archontes, Yaldabaoth, appelé aussi le Démiurge.

5. Le Dieu Dément

Le Démiurge est un personnage extrêmement problématique qui est fondamental dans la théologie et la cosmologie Gnostique. Cette entité n'est pas un dieu réel mais une pseudo-divinité, “l'esprit de la contrefaçon”. Le Démiurge se fait passer pour un dieu et même pour Dieu. La notion d'un dieu bidon ou d'une divinité impostrice est unique au Gnosticisme bien qu'on en trouve le reflet dans certains dieux trompeurs de la mythologie mondiale - tel que Loki dans le mythe nordique. Les instructeurs Gnostiques des Ecoles de Mystères provoquaient la colère et l'outrage des premiers Chrétiens, pour ne pas mentionner les Juifs pieux, lorsqu'ils identifiaient explicitement le Démiurge avec Yahvé, le dieu paternel de l'Ancien Testament et le géniteur présumé de l'homme/Dieu, Jésus/Christ, du Nouveau Testament. Ils affirmaient que l'être suprême de la foi Judéo-Chrétienne était un monstre dément, à ne pas confondre avec une divinité authentique du Plérome (“la Plénitude”, la divinité Gnostique). Les Gnostiques utilisaient le terme Eon pour les dieux authentiques et le terme Archonte pour l'imposteur ou la pseudo-divinité. La théologie Gnostique situe, de façon unique, l'humanité entre ces deux classes d'êtres cosmiques.

6. L'Oeuvre du Mal

Suivant l'opinion des Pères de l'Eglise qui condamnaient les Gnostiques comme hérétiques, la plupart des érudits affirment que les Gnostiques attribuaient la création de notre monde, la Terre, au Démiurge et considéraient donc la matière comme étant l'oeuvre du mal. Mais une lecture attentive des Codex de Nag Hammadi présente une perception différente, plus complexe et plus intrigante du statut de la Terre dans le Cosmos. Analysé de façon correcte, le message Gnostique au sujet des Archontes apparaît de suite comme très pertinent par rapport à certaines problématiques dans la situation globale présente, plus particulièrement par rapport à la crise environnementale et par rapport au terrorisme mondial.




7. La Déesse Déchue

Considérons tout d'abord l'aspect environnemental: aucun passage des Codex de Nag Hammadi n'affirme explicitement que le Démiurge créa la Terre mais plusieurs passages décrivent comment le Souverain des Archontes construisit le système planétaire à l'exclusion de la Terre, un royaume qu'il habite avec ses légions de drones. Les enseignements Gnostiques fondamentaux relatifs à l'origine de la Terre furent détruits mais la partie la plus importante de la narration a survécu, par une ironie de l'histoire: les Pères de l'Eglise durent paraphraser les enseignements Gnostiques afin de les réfuter! Dans le quatrième livre de Contre les Hérésies, Irénée résume un mythe de la création Gnostique décrivant comment la Terre fut formée à partir de la masse vivante d'un Eon, la “déesse déchue”, Sophia. La déesse ne crée pas littéralement la Terre mais elle se transforme en la Terre! Selon ce scénario, la Terre se tient à part du reste du système solaire. Le mythe relate également comment le soleil coopéra avec la Terre pour en faire une planète habitable pour l'humanité, en contraste avec les autres planètes qui ne soutiennent pas la vie telle que nous la connaissons. Irénée fait référence à des propriétés autopoétiques, à savoir d'auto-régulation, qui font que la vie sur Terre est unique dans le système solaire. A certains égards, le mythe de création Gnostique met en valeur des notions étonnamment similaires à celles proposées, de nos jours, par la théorie Gaïenne de l'autopoésie.

8. Une Planète Derrière les Barreaux

Si le mythe Gnostique possède quelque véracité, la Terre est capturée dans le système solaire: c'est une planète organique piégée dans un système inorganique de mécaniques célestes. L'art médiéval a dépeint les bandes enveloppantes des orbites planétaires comme une sphère armillaire, ou astrolabe sphérique, identique à l'image de Zeitgeistmovie de la Terre derrière les barreaux. Néanmoins, pour les Gnostiques, cette image ne suggérait pas la dichotomie crue de l'esprit emprisonné dans la matière. Elle représentait plutôt la manière dont l'humanité sur Terre peut être enfermée et emprisonnée dans des concepts erronés et dans des conditionnements mentaux et “empêchée” efficacement d'avoir accès à ses vraies origines ou à ses capacités divines innées. Selon cette vision, la conception d'un cosmos géométriquement et hiérarchiquement propret peut être considérée comme un faux archétype reflétant la construction Archontique et non pas les dynamiques authentiques de l'univers. Si les Gnostiques avaient raison, nous devrions être capables de concevoir la vie sur Terre en termes uniques, incluant le Soleil et la Lune afin de constituer une triade environnementale qui soit cependant indépendante du reste du système solaire. En fait, cela s'avère être la tendance prévalente de la nouvelle, et chaudement débattue, hypothèse Gaïa (introduite par James Lovelock et Lynn Margullis au début des années 1970).



9. Auto-Blocage

L'image Gnostique d'une planète-prison indique définitivement quelque chose de plus subtil que la notion “d'esprit piégé dans la matière”. L'auto-blocage mental est un risque encouru par notre espèce en raison de la complexité de notre évolution cérébrale, qui excède celle d'autres animaux. Nous pouvons méprendre les cartes ou les modèles pour la réalité, en devenant aveugles au monde naturel et à la place que nous y avons. Les Gnostiques disaient que les Archontes excellent sur le plan de la simulation (en Copte, HAL). Ils confèrent une tournure insidieuse à nos processus d'auto-blocage mais ce ne sont pas eux qui en sont la cause. C'est, en effet, grâce à notre complicité qu'ils nous poussent à nous détourner de notre potentiel authentique qui nous fut donné par les Eons, les dieux véritables. Plus nous succombons à l'influence psychique des Archontes, plus nous dévions.



10. Désacralisation

Les Gnostiques plaçaient l'humanité entre les Archontes et Sophia, l'Eon dont le corps est la Terre vivante. Au pire, l'illusion Archontique nous conduirait à oublier la Terre, à ignorer la divinité du monde naturel, à déprécier notre propre environnement et à abdiquer notre connexion cosmique avec Sophia et les autres Eons. L'avertissement Gnostique au sujet de l'intrusion extraterrestre des Archontes sonne vrai lorsqu'on le resitue dans le contexte de la présente crise environnementale. Il est plus qu'évident que la désacralisation et la spoliation de la Terre, qui vont de pair, peuvent être identifiées comme des symptômes patents de l'influence Archontique.



11. L'Imposteur Cosmique

Les Gnostiques étaient des mystiques Païens dédiés à la déesse Sophia; ils n'auraient donc pas pu condamner le monde physique et sensoriel comme le produit d'une invention maléfique ou démonique. Cependant, les érudits continuent d'affirmer que la “négation du monde” constituait la vision Gnostique. En fait, les textes qui ont survécu avertissent clairement que nous déprécions le monde lorsque nous le considérons comme le bricolage d'un créateur mâle extraterrestre. A plusieurs endroits, les écrits des Codex de Nag Hammadi spécifient que le Démiurge ne créa pas réellement la Terre mais qu'il affirma faussement l'avoir créée. “Le chef des Archontes est aveugle, en raison de son pouvoir illusoire et de son arrogance et c'est avec arrogance qu'il affirma 'Je suis le dieu unique et il n'en existe pas d'autre que moi'” (L'Hypostase des Archontes). Yaldabaoth est dans l'illusion totale, c'est un imposteur cosmique qui imagine fallacieusement que la Terre est sa création et son “tabouret” (Sur l'Origine du Monde, 101). Mais les dieux authentiques (Eons) brisent l'illusion du créateur dément. “Sa terre (illusoire) fut détruite” et “depuis lors, la Terre fut consolidée au travers de Sophia” (ibidem, 102).

12. L'Hérésie

L'image du dieu dément est peut-être l'élément le plus saisissant de l'hérésie Gnostique, ce qui est tout aussi choquant de nos jours que cela l'était il y a 1800 ans.



13. Arrogance Humaine

Dans le cadre de ce mythe Gnostique, l'épreuve de notre planète et de son espèce dominante, l'humanité, apparaît sous un autre éclairage étonnant. Les Archontes peuvent être comparés aux ET modernes mais plutôt que de percevoir ces entités comme des sauveurs, les enseignements Gnostiques montrent explicitement qu'ils sont impliqués dans notre inclination démente à ruiner notre propre habitat. Si les Gnostiques avaient raison, l'humanité peut plonger dans une psychose de masse, en copiant l'arrogance du Démiurge: nous croyons à tort que nous sommes les souverains suprêmes de la planète. Cela est patent dans l'hystérie et l'extravagance courantes qui prévalent quant aux technologies, plus particulièrement la génétique. Certains passages des Codex de Nag Hammadi dépeignent les Archontes tentant d'interférer avec la sexualité humaine et de s'hybrider mais sans y parvenir.



14. Intrusion Extraterrestre

L'inflation de l'ego humain (c'est à dire l'arrogance du Démiurge) peut avoir quelques ramifications extra-humaines. Les Gnostiques mirent en garde contre le fait que nous ne sommes pas seuls dans notre mental. La présence du facteur Archontique ajoute la “génération de l'erreur”, à savoir la tendance à laisser nos erreurs se développer au-delà de toute possibilité de correction. Selon les Gnostiques, les Archontes sont une espèce de type cyborg qui demeure dans le système planétaire mais qui ne peut accéder à la Terre qu'avec difficulté et lors de brèves intrusions. Leur intervention est déconcertante et finalement absurde car ils sont réputés attirer notre attention par “non-sens” (CNH VII, 2) et opérer par “tromperie” et “anomalie” (CNH, II, 1). En bref, les Gnostiques mirent en garde contre le fait qu'il ne fallait pas attendre quoi que ce soit de sensé de la part des Archontes, et certainement pas un message cosmique profond ou la clé de notre salut. Cette assertion négative rappelle la vision du chercheur très célèbre Jacques Vallée qui déclara que le phénomène ET/OVNI est un “système de contrôle spirituel” imprimé psychologiquement et qui conditionne le mental humain comme s'il était une influence extérieure. Vallée appela les ET “des messagers de la tromperie”, un parallèle proche de la caractérisation Gnostique, “les messagers de l'erreur” (CNH, VII, 2).




15. Types d'Extraterrestres

De plus, en termes physiques, les textes Gnostiques font allusion à un type embryonnaire d'Archontes, vraisemblablement les Gris qui ressemblent à des foetus nés prématurément et à un type draconique ou reptilien. La Première Apocalypse de Jacques (CNH, V, 3) décrit des rencontres rapprochées avec des démons Archontiques, incluant des abductions et ce texte explique comment repousser les intrus. La théorie de l'influence Archontique est, néanmoins, subtile. Elle ne se limite pas à des rencontres rapprochées et à des soucoupes volantes (ces dernières ne sont décrites dans aucun des textes Gnostiques mais elles apparaissent clairement dans la littérature des Manuscrits de la Mer Morte, des traités cultiques qui sont considérés par certains érudits de la religion comme la source des croyances Chrétiennes sur le messie, la race choisie, l'expiation divine, l'après-vie, le châtiment cosmique, etc).



16. Destruction de notre Habitat

Ce que l'on peut remarquablement inférer des écrits Gnostiques, c'est que la crise environnementale présente est un résultat de l'aliénation de notre habitat due à un facteur de distorsion extra-humaine mais les Archontes/ET ne nous poussent pas à être auto-destructeurs. Ils insinuent le facteur d'aliénation que nous n'arrivons pas à détecter et à corriger. Ils subvertissent nos esprits parce que nous n'utilisons pas notre mental à son optimum, appelé noos par les Gnostiques. Noos est un don divin qui nous est conféré par les Eons, les divinités authentiques du centre cosmique (le Plérome, la Plénitude). Noos inclut les trois facultés suivantes: le raisonnement critique (dianoia), le changement de paradigme (metanoia) et l'imagination créative (epinoia). L'influence des Archontes sur notre monde peut être considérée comme un test pour déterminer si et comment nous possédons et développons ces facultés. Si nous échouons à ce test, c'est que nous avons abandonné notre connexion innée à la planète mère, l'Eon métamorphosé, Sophia.



17. Le Terrorisme Global

Voilà pour la crise environnementale, étrangement connectée au syndrome ET/OVNI. La mise en garde Gnostique relative aux Archontes peut-elle élucider un autre problème effrayant auquel l'humanité doive faire face: le terrorisme global fondé sur des conflits religieux et associé aux manipulations du Big Business International et des médias?



18. La Déesse Planète

Tout d'abord, la prise de conscience Gnostique du facteur Archontique dans le cosmos, et également dans la psyché, est une question de maturité personnelle spirituelle. La source de la sagesse Gnostique est la déesse nommé Sagesse, Sophia, dont le corps est le Terre. Si la planète est un être divin, vivant et animé, ainsi que la théorie Gaïa l'affirme, alors les humains d'aujourd'hui peuvent suivre les enseignements Gnostiques en révérant la déesse-planète et en adoptant la préservation du super-organisme terrestre en tant que mission spirituelle.



19. Pouvoirs Simulés

Les textes qui ont survécu mettent constamment l'accent sur le fait que le pouvoir principal des Archontes est la simulation, ainsi que nous l'avons souligné ci-dessus. Ils peuvent imiter, simuler et prétendre mais ils sont dépourvus de l'imagination et de l'intention requises pour la créativité authentique. Les humains, quant à eux, dont dotés du noos, l'étincelle d'intelligence divine, et de l'epinoia, la faculté d'imagination créative. Le noos n'est pas emprisonné dans la matière mais il peut être supprimé de par l'influence Archontique. La prison est celle que nous construisons pour nous-mêmes lorsque nous faillons à développer notre potentiel divin et, ce faillant, lorsque nous transformons le monde naturel en “enfer sur terre”.



20. Imposteurs Cosmiques

La métaphore de la prison Gnostique ne met pas en garde au sujet d'une étincelle immatérielle divine piégée dans la matière mais au sujet du génie de l'intelligence humaine (noos) obscurci et oppressé par une puissance supérieure contrefaite. Les imposteurs Archontiques peuvent être imaginés demeurer et voyager dans l'espace extérieur mais, ce qui est plus important, ils font partie de notre champ mental parce que la terre est capturée dans leur domaine, le champ planétaire. Les douze ou sept zones d'emprisonnement décrites par les Gnostiques se reflètent dans les couches de conditionnement du mental humain. L'humanité va continuer à vivre ses réactions conditionnées de façon aveugle et auto-destructrice à moins qu'elle n'affirme sa connexion fondamentale avec la planète vivante (Gaïa-Sophia).



21. Gardiens du Seuil Démoniques

Les images de la planète prison et de la sphère armillaire médiévale rappellent toutes deux à l'esprit un labyrinthe avec des chemins concentriques. Le labyrinthe des imposteurs extraterrestres ressemble à un jeu informatique dans lequel les joueurs doivent combattre des adversaires démoniques et se frayer un chemin au travers de niveaux. En passant d'un niveau à l'autre, les joueurs utilisent des mots de passe, exactement comme on peut le voir dans le test Archontique des sphères planétaires. L'instructeur Gnostique pourvoit l'étudiant avec des mots de passe et des gestes magiques pour passer devant les gardiens du seuil Archontiques à chaque niveau. Dans de nombreux aspects de la vie, plus particulièrement dans les sphères de la technologie et des médias, les humains sont confrontés avec un déploiement labyrinthique de ruses et de leurres programmés pour faire plonger l'espèce dans l'artificiel, la dépendance à l'information, les prothèses high-tech et les excès aveugles. Même si l'on ne considère tout cela que comme une métaphore, sans accepter que les Archontes soient des entités extra-dimensionnelles de type prédateur, le scénario de prison Gnostique révèle beaucoup de choses quant à la manière dont les êtres humains peuvent être piégés dans des constructions mentales illusoires.



22. Les Messagers de la Tromperie

Selon la Pistis Sophia, la bataille cosmique qui se déroule sur Terre n'est pas entre le bien et le mal mais entre “l'esprit de contrefaçon” (Yaldabaoth et les Archontes) et la Vierge de Lumière (Sophia, conçue comme une divinité lumineuse ou Eon). La bataille est pleine de traquenards car les Archontes peuvent obscurcir l'esprit humain à un point tel que les gens ne puissent plus distinguer la différence entre d'une part la vie organique sur Terre et d'autre part les simulations et les arnaques. Les Gnostiques insistèrent, cependant, sur le fait que les Archontes ne sont pas maléfiques, ce sont simplement des agents de l'erreur ou des “messagers de la tromperie” pour citer de nouveau l'expression de Jacques Vallée. Ils affirmèrent également que les erreurs utilisées par les Archontes pour détourner l'humanité sont innées à l'esprit humain et qu'elles peuvent être corrigées afin que les Archontes puissent perdre tout pouvoir. C'est en détectant et en maîtrisant le facteur des Archontes en notre mental que nous pourrons revendiquer nos facultés divines innées. Les Archontes présentent le test qui libère notre potentiel inné, le triple noos.

23. Auto-Correction

Les textes Gnostiques mettent fréquemment en valeur la faculté humaine d'auto-correction. “Vous êtes le penser même et la sérénité de l'Esprit Un” dit le Dialogue du Sauveur évoquant le Plérome, le royaume des Eons, ou divinités cosmiques authentiques (la Divinité Suprême en termes théologiques). “Vous êtes du Plérome, la plénitude cosmique, et vous demeurez dans le monde de l'incomplétude”, affirme le Dialogue du Sauveur. Dans le même texte, un disciple déclare: “Regardes, les Autorités demeurent au-dessus de nous dans le royaume planétaire, et ce sont elles qui vont nous gouverner?” mais le maître Gnostique réplique: “C'est toi qui va les gouverner. Mais, tout d'abord, tu dois te départir de toute jalousie envers autrui et grâce à la lumière qui enveloppe, entrer dans la chambre nuptiale”. Le terme Grec nymphion, “chambre nuptiale” est un terme occulte utilisé dans les écrits Gnostiques pour décrire l'immunité vis à vis de l'influence Archontique ou de la prédation Extraterrestre. L'immunité est considérée comme étant acquise selon un mode spécifique en ayant accès à la luminosité de la Vierge de Lumière - à savoir en accédant à la force de lumière divine cachée dans le monde naturel en raison de la transformation de Sophia en la planète physique.



24. Sexualité Sacrée

Sous certains égards, l'application des enseignements Gnostiques dépend de la maîtrise de techniques paranormales et de pratiques corrélées telle que la “pénétration dans le nymphion”. L'Evangile de Philippe présente clairement la relation sexuelle comme un acte sacré ou sacramental et suggère que la répression sexuelle puisse être une maladie sociale et une illusion connectée à la déviation Archontique. Les Gnostiques étaient condamnés comme des libertins sexuels, par les puritains Chrétiens, mais il n'existe aucune preuve que leurs orgies cultiques étaient perverties ou pathologiques. Les Païens en règle générale - les Gnostiques étaient originellement Païens bien que certaines de leurs notions furent ultérieurement Christianisées - considéraient que l'expression sexuelle non inhibée constituait le fondement d'une société saine. L'ethos Païen fut réaffirmé par Wilhelm Reich, un champion de la liberté sexuelle dont les vues scientifiques et psychologiques présentent de nombreux éléments Gnostiques. Il est intéressant de souligner que Reich passa la fin de sa vie à explorer les phénomènes ET/OVNI et élabora même des instruments pour repousser des influences extraterrestres malveillantes dans l'atmosphère.



25. Jérusalem

L'hypothèse des Archontes fait écho à la notion communément envisagée selon laquelle l'humanité est contrôlée et leurrée par un petit groupe d'hommes, incluant des leaders politiques, des scientifiques, des autorités religieuses. En termes Gnostiques, de tels hommes sont alliés aux puissances extraterrestres. Dans la Première Apocalypse de Jacques, le maître déclare que “Jérusalem est l'endroit où demeurent de nombreux Archontes” et met en garde contre “des types Archontiques”, signifiant par là ceux qui sont sous l'envoûtement de l'erreur ou de la déviation mentale. Les érudits refusent d'émettre des commentaires de peur d'être catalogués anti-Sémites alors que les Gnostiques ne condamnaient pas le peuple Juif en tant que tel, pas plus qu'ils ne s'y opposaient. Ils affirmaient que certaines croyances extrémistes parmi les Hébreux portaient la marque du Démiurge, le faux créateur, qu'ils identifiaient spécifiquement à Jéhovah, le dieu paternel vengeur de l'Ancien Testament.



26. Rédemption Extraplanétaire

De nos jours, les érudits affirment que les trois religions qui dominent les affaires mondiales, le Judaïsme, le Christianisme et l'Islam trouvent leur origine dans la même racine. Les fois Abrahamiques sont profondément impliquées dans le terrorisme mondial, non seulement de façon circonstancielle mais intrinsèquement. Dans les quelques six années depuis septembre 2001, un nombre croissant d'individus ont pris conscience que ces croyances inspirent et soutiennent le syndrome du terrorisme. Les Gnostiques de l'ère classique n'auraient pas été le moins du monde surpris par une telle prise de conscience. Qui plus est, ils furent les premiers à observer que la foi Judéo-Chrétienne est à la fois l'instrument et la preuve d'une déviance spirituelle extrémiste. Ils considérèrent la rédemption extraplanétaire et le châtiment divin comme les symptômes fondamentaux de l'influence Archontique. Très peu de leur argumentation à l'encontre de la religion rédemptionniste a survécu intacte mais il en reste assez pour la reconstruire et l'appliquer aux problématiques contemporaines tel que le terrorisme fondé sur la foi.




27. La Confrontation de la Terreur

Dans la Fonction de l'Orgasme, Wilhelm Reich écrivit: “seule la connaissance de ce qui est vivant peut bannir la terreur”. S'il était vivant aujourd'hui, Reich pourrait faire remarquer que le terrorisme qui menace la vie sur toute la planète trouve son origine dans la vision et le comportement de personnes qui sont menacées par la vie, par la puissance et la beauté de la force vitale. En termes Gnostiques, “la connaissance de ce qui est vivant” est enraciné dans la connexion de l'humanité avec le corps planétaire de Sophia et focalisé sur la sexualité. La mise en garde des Gnostiques, vis à vis des Archontes, contribue amplement à dévoiler la tendance destructrice dans le psychisme humain et qui génère la répulsion et le mépris de la sexualité.



28. Domination Globale

En relation avec l'affirmation selon laquelle un petit groupe occulte d'hommes manipule la race humaine, la perspective Gnostique est également assez révélatrice. Comment les contrôleurs putatifs du monde seraient-ils considérés selon cette perspective? Tout d'abord, il faudrait les considérer comme des êtres humains qui se sont enfoncés profondément dans la déviance en raison d'erreurs mentales. Soit ils croiraient dans le faux dieu créateur, le Démiurge, soit ils exploiteraient cyniquement une telle croyance en tant qu'instrument de modification comportementale de masse (“un système de contrôle spirituel” selon Jacques Vallée). En tant que cerveaux d'un programme global (Nouvel Ordre), ils auraient perdu leur esprit , Gnostiquement parlant: à savoir, ils auraient perdu leur contact avec le noos (l'intelligence divine innée) et Sophia, l'intelligence planétaire.




29. Libre Penser

En cohérence avec l'analyse Gnostique, les cerveaux globaux utiliseraient des techniques Archontiques afin d'imposer leur programme de contrôle et de tromperie: opérations de diversion, attaques simulées qui coïncident avec de réelles attaques, des substitutions médiatiques promouvant de fausses valeurs à la place des valeurs authentiques, double langage Orwellien, etc; ils feraient éventuellement du libre-penser un crime. De telles techniques sont archi-évidentes pour les personnes qui possèdent encore, de par le monde, leur faculté de discrimination. La détection de l'influence Archontique serait la façon la plus directe d'oeuvrer à l'encontre des jeux de pouvoirs des contrôleurs globaux. Si l'humanité pouvait développer une immunité à cette influence, tel que les Gnostiques le suggérèrent, la manipulation et la tromperie ne pourraient plus prévaloir dans le monde comme elles le font aujourd'hui.


30. Esclavage de l'Humanité

De façon générale, les visions Gnostiques présentent des intuitions très claires relativement aux problèmes les plus sérieux auxquels l'humanité soit confrontée de nos jours et indiquent même des solutions ou des manières de combattre et de vaincre la poignée de maléfiques qui sont la source de ces problèmes. La religion basée sur la foi est sans doute la menace la plus répandue pour la sécurité planétaire. Les Gnostiques furent éliminés avant l'émergence de l'Islam mais leur critique de la foi Judéo-Chrétienne, en tant que piège tendu par le faux créateur, s'applique tout aussi valablement à la troisième, et la plus récente historiquement parlant, des croyances Abrahamiques. Le message hérétique du Gnosticisme est un antidote à la tragédie de la prison-planète. L'avertissement concernant la mise en esclavage de l'humanité par un programme falsifié est un message libérateur, quelle qu'en soit la source. Le fait qu'il émane de l'esprit radical de sages religieux qui furent réprimés et éradiqués il y a 1600 ans, le rend d'autant plus poignant.

John Lash.

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Message  Arlitto Sam 13 Aoû 2016 - 16:32

La chute des anges



Dieu créa tous les Anges, il les créa bons, et libres. Cependant, à un moment donné, pour une raison que nous ignorons - le péché d'orgueil semble être un bon candidat... Saint Paul, lui, parlait du "Mystère d'iniquité" (2 Th2, 3-12) - un ange parmi les plus beaux et les plus puissants que Dieu avait créé se rebella. Il voulut lui-même devenir comme Dieu. Cet ange: Lucifer, allait entraîner dans sa révolte une partie des anges.


Il s'en suivit dans le ciel une grande bataille opposant les anges rebelles à ceux restés fidèles à Dieu. Ces derniers, menés par l'Archange Michel dont le nom signifie "Qui est semblable à Dieu?" remportèrent la victoire et jetèrent les mauvais anges hors du ciel.


"Alors, il y eut une bataille dans le ciel: Michel et ses Anges combattirent le Dragon. Et le Dragon riposta, avec ses Anges, mais ils eurent le dessous et furent chassés du ciel. On le jeta donc, l'énorme Dragon, l'antique Serpent, le Diable ou le Satan, comme on l'appelle, le séducteur du monde entier, on le jeta sur la terre et ses Anges furent jetés avec lui. Et j'entendis une voix clamer dans le ciel: "Désormais, la victoire, la puissance et la royauté sont acquises à notre Dieu, et la domination à son Christ, puisqu'on a jeté bas l'accusateur de nos frères, celui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu. (Apocalypse 12, 7-10)"


Ces mauvais anges sont ceux que l'on appelle les démons. Leur chef de file, Lucifer, est aussi appelé Satan. Il n'a de cesse que de tenter d'amener les hommes à le rejoindre dans sa rébellion contre Dieu en nous poussant au péché.


C'est suite à cette déchéance que nous parlons de "chute des anges".




391 Derrière le choix désobéissant de nos premiers parents, il y a une voix séductrice, opposée à Dieu (Gn 3,, 4-5) qui, par envie, les fait tomber dans la mort (Sg 2, 24). L'Écriture et la Tradition de l'Église voient en cet être un ange déchu, appelé Satan ou diable (Jn 8, 44; Ap 12, 9). L'Église enseigne qu'il a été d'abord un ange bon, créé par Dieu. "Diabolus enim et alü daemones a Deo quidem natura crati sunt boni, sed ipsi per se facti sunt mali", "Car le Diable et les autres démons ont été créés bons par nature, mais eux-même se sont rendus mauvais". (Cc. Latran IV en 1215: DS 800).


392 L'Écriture parle d'un péché des anges (2P 2, 4). Cette "chute" consiste dans le choix libre de ces esprits créés, qui ont radicalement et irrévocablement refusé Dieu et son Règne. Nous trouvons un reflet de cette rébellion dans les paroles du tentateur à nos premiers parents: "Vous deviendrez comme Dieu" (Gn 3, 5). Le diable est "pécheur dès l'origine" (1, Jn 3, 8), "père du mensonge" (Jn 8, 44).


393 C'est le caractère irrévocable de leur choix, et non un défaut de l'infinie miséricorde divine, qui fait que le péché des anges ne peut être pardonné. "Il n'y a pas de repentir pour eux après leur chute, comme il n'y a pas de repentir pour les hommes après la mort" (Saint Jean Damascène, f. o. 3, 4: PG 94, 887 C).


414 Satan ou le diable et les autres démons sont des anges déchus pour avoir librement refusé de servir Dieu et son dessein. Leur choix contre Dieu est définitif. Ils tentent d'associer l'homme à leur révolte contre Dieu.

Et encore dans le nouveau Compendium de 2005 :


74 Qu'est-ce que la chute des anges?

Par cette expression on indique que Satan et les autres démons dont parle la Sainte Écriture et la Tradition de l'Église ont été des anges créés bons par Dieu, puis devinrent mauvais, car par choix libre et irrévocable ils ont refusé Dieu et son Règne, donnant ainsi origine à l'enfer. Ils tentent d'associer l'homme à leur rébellion contre Dieu; mais Dieu affirme dans le Christ sa victoire sûre contre le Malin.


Il apparaît donc clairement que Satan est une créature de Dieu et seulement une de ses créatures aussi puissante soit-elle. Il n'est donc ni une sorte de demi-dieu, ni une sorte de principe du mal équilibrant un principe du bien comme on peut l'entendre dire ici ou la dans les sites d'inspiration new age ou gnostiques.


Jesus l'a définitivement vaincu en mourant sur la Croix et en Ressuscitant. Par son sacrifice, au prix de son précieux sang, il nous a rachetés nous les hommes. Par lui nous obtenons la Rédemption.


Dans "Avis et Maximes" Saint Jean de la Croix nous en dis ceci (chapitre VII):


"Rappelez-vous combien il est vain, périlleux et funeste de se réjouir d'autre chose que du service de Dieu, et considérez quel malheur ce fut pour les anges de se réjouir et de se complaire dans leur beauté et leurs dons naturels, puisque c'est pour cela qu'ils tombèrent, privés de toute beauté, au fond des abîmes."


Satan ayant la possibilité de se faire passer pour un ange de lumière, nous devons rester prudents et ne pas nous fier aux apparences... :


"Bien-aimés, ne vous fiez pas à tout esprit, mais éprouvez les esprits pour voir s'ils viennent de Dieu, car beaucoup de faux prophètes sont venus dans le monde (1 Jn 4, 1)"


"Eh bien! Si nous-même, si un ange venu du ciel vous annonçait un évangile différent de celui que nous avons prêché, qu'il soit anathème! (Epître aux Galates, 1 v.8)"


Nous devons donc rester prudents, comme souvent, les apparences sont trompeuses... c'est à ses fruits qu'on reconnaît l'arbre...


Voir aussi ce qui en est dit à la rubrique "Espace Adultes". En effet, internet est devenu un lieu de propagande pour les démons. En navigant sans votre surveillance, vos enfants peuvent sans que vous ne le sachiez être mis en contact avec leur mauvaise influence et leur inclination au Mal.


Pour ceux d'entre vous qui douteraient de l'existence réelle du démon, voici ce discours du Pape Paul VI. Il explique très bien un certain nombre de points que nous Chrétiens avons parfois tendance à oublier ou négliger...


Documentation catholique, n°1621, du 3 décembre 1972



Discours du 15 novembre 1972 de Paul VI

      « Quels sont aujourd'hui les besoins les plus importants de l'Église? Ne soyez pas étonnés par notre réponse que vous pourriez trouver simpliste voir même superficielle ou irréelle: l'un de ses plus grands besoins est de se défendre contre ce mal que nous appelons le démon.

      Avant de préciser notre pensée, nous vous invitons à considérer dans une perspective de foi la vie humaine dont nous pouvons d'ici découvrir et scruter très profondément l'immense panorama. En vérité, ce tableau, dont nous sommes invités à contempler toute la réalité, est très beau. C'est le tableau de la création, de l'oeuvre de Dieu, dont lui-même a admiré la substantielle beauté, reflet extérieur de sa sagesse et de sa puissance.

      Et puis, c'est avec beaucoup d'intérêt que nous regardons le tableau de l'histoire dramatique de l'humanité, dont émerge l'histoire de la Rédemption du Christ, de notre salut, avec ses merveilleux trésors de révélation, de prophétie, de sainteté, de vie élevée au plan surnaturel, de promesses éternelles (cf. Ep 1, 10). Si nous savons bien regarder ce tableau, nous ne pouvons pas ne pas en être émerveillés (saint Augustin, Soliloques): tout a un sens, tout a une fin, un ordre: tout laisse entrevoir une présence transcendante, une pensée, une vie et finalement un amour, de sorte que l'univers, par ce qu'il est et par ce qu'il n'est pas, se présente à nous comme une préparation enthousiasmante et enivrante à quelque chose d'encore plus beau et d'encore plus parfait (cf. 1Co 2, 9; 13, 12; Rm 8, 19-23). La vision chrétienne du cosmos et de la vie est donc triomphalement optimiste. Cette vision justifie notre joie et notre reconnaissance de vivre; en célébrant la gloire de Dieu nous chantons notre bonheur.

      Mais cette vision est-elle complète? Est-elle exacte? Sommes-nous insensibles aux déficiences qui existent dans le monde, aux choses qui ne vont pas dans notre existence, à la souffrance, à la mort, à la méchanceté, à la cruauté, au péché, bref, au mal? Ne voyons-nous pas tout le mal qui existe dans le monde, spécialement le mal moral, c'est-à-dire celui qui est commis simultanément, bien qu'à des degrés divers, contre l'homme et contre Dieu? N'est-ce pas là un triste spectacle, un mystère inexplicable?

      Et nous, les disciples du Verbe, nous qui exaltons le bien, nous les croyants, ne sommes-nous pas les plus sensibles, les plus troublés par la vue et l'expérience du mal? Nous le trouvons dans le royaume de la nature, où tant de ses manifestations nous semblent dénoncer un désordre. Nous le trouvons parmi les hommes, où nous voyons faiblesse, fragilité, souffrance, mort, et pire encore. Nous sommes en présence de deux lois qui s'opposent: l'une qui voudrait le bien, l'autre qui tend au mal. Saint Paul a mis en relief l'humiliante évidence de ce tourment pour montrer la nécessité, la chance de la grâce qui nous sauve, c'est-à-dire du salut apporté par le Christ (cf. Rm 7). Le poète païen Ovide avait déjà dénoncé ce conflit dans le coeur de l'homme: Video meliora proboque, deteriora sequor, « je veux ce qui est bien et je l'approuve, mais je fais ce qui est mal ».

      Nous trouvons le péché, perversion de la liberté humaine et cause profonde de la mort, parce que, détaché de Dieu, source de la vie (cf. Rm 5, 12); le péché, occasion et effet de l'intervention en nous et dans notre monde d'un agent obscur et ennemi, le démon. Le mal n'est plus seulement une déficience, il est le fait d'un être vivant, spirituel, perverti et pervertisseur. Terrible, mystérieuse et redoutable réalité!

      Ils s'écartent de l'enseignement de la Bible et de l'Église ceux qui refusent de reconnaître son existence ou qui en font un principe autonome, n'ayant pas lui aussi, comme toute créature, son origine en Dieu; ou encore, qui l'expliquent comme une pseudo-réalité, une invention de l'esprit pour personnifier les causes inconnues de nos maux. Le problème du mal, complexe et absurde pour notre esprit unilatéralement rationnel, devient obsédant. Il constitue la difficulté la plus grande pour notre conception religieuse du cosmos. Saint Augustin le savait bien, lui qui en a souffert pendant des années: « Je cherchais d'où venait le mal et je ne trouvais pas d'explication »

      D'où l'importance de la conscience du mal pour bien voir le monde, la vie, le salut dans une perspective chrétienne. Qui ne se rappelle, dans l'Évangile, le chapitre, si lourd de sens, de la triple tentation du Christ au début de sa vie publique, ou bien les si nombreux récits où le Seigneur rencontre le démon, lequel figure dans ses enseignements (par exemple Mt 12, 43) ? Et comment oublier que par trois fois le Christ appelle « prince de ce monde » le démon, son adversaire (Jn 12, 31; 14, 30; 16, 11)? La réalité de cette présence néfaste est soulignée dans de très nombreux passages du Nouveau Testament. Saint Paul l'appelle « le dieu de ce monde » (2 Co 4, 4), et il nous avertit que nous, chrétiens, nous avons à lutter contre les ténèbres en ayant devant nous non pas un seul démon, mais une redoutable pluralité de démons: « Revêtez l'armure de Dieu pour être en état de tenir face aux manoeuvres du diable. Ce n'est pas à l'homme que nous sommes affrontés, mais aux autorités, aux pouvoirs, aux dominateurs de ce monde de ténèbres, aux esprits du mal qui sont dans les cieux. » (Ép 6, 11-12).

      Divers passages de l'Évangile nous montrent qu'il ne s'agit pas d'un seul, mais de nombreux démons (Lc 11, 21; Mc 5, 9). L'un d'eux, cependant, est le principal, c'est Satan, qui veut devenir l'adversaire, l'ennemi; et avec lui il y en a beaucoup d'autres qui sont tous des créatures de Dieu, mais des créatures déchues parce que rebelles et damnées. De tout ce monde mystérieux, bouleversé par un drame très pénible, nous connaissons bien peu de chose.

      Nous connaissons cependant sur ce monde diabolique beaucoup de choses qui concernent notre vie et toute l'histoire de l'humanité. Il fut le tentateur insidieux et fatal du premier péché, le péché originel. Depuis la chute d'Adam, le démon a acquis un certain empire sur l'homme, dont seule la rédemption du Christ peut nous délivrer. Et cette histoire se poursuit toujours. Rappellons-nous les exorcismes du baptême et les fréquentes références de la Sainte Écriture et de la liturgie à l'agressive et opprimante « puissance des ténèbres » (cf. Lc 22, 53, Col 1, 13). Il est l'ennemi numéro un, le tentateur par excellence. Nous savons ainsi que cet être obscur et troublant existe vraiment et qu'il est toujours à l'oeuvre avec une ruse traîtresse. Il est l'ennemi occulte qui sème l'erreur et le malheur dans l'histoire humaine.

      N'oublions pas la parabole si éclairante du bon grain et de l'ivraie; elle résume et explique l'illogisme qui semble présider à nos contradictions: « C'est un ennemi qui a fait cela ». (Mt 13, 28). Le Christ le définit comme celui qui « dès le commencement, s'est attache à faire mourir l'homme... le père du mensonge » (cf. Jn 8, 44-45). Il menace insidieusement l'équilibre moral de l'homme. Il est le séducteur perfide et rusé qui sait s'insinuer en nous par les sens, l'imagination, la concupiscence, la logique utopique, les contacts sociaux désordonnés, pour introduire dans nos actes des déviations aussi nocives qu'apparemment conformes à nos structures physiques ou psychiques, ou à nos aspirations instinctives et profondes.

      A propos du démon et de l'influence qu'il peut exercer sur les individus, sur les communautés, sur des sociétés entières ou sur les événements, il faudrait réétudier un chapitre très important de la doctrine catholique auquel on s'intéresse peu aujourd'hui. Certains pensent pouvoir trouver une compensation suffisante dans l'étude de la psychanalyse et de la psychiatrie, dans des expériences de spiritisme qui aujourd'hui, malheureusement, se répandent tant dans certains pays. On a peur de retomber dans de vieilles théories manichéennes ou dans de funestes divagations, fantaisistes et superstitieuses. Aujourd'hui, on préfère afficher un esprit fort, sans préjugés, positiviste, quitte ensuite à attacher foi gratuitement à tant de lubies magiques ou populaires, ou, pire encore, à livrer son âme - son âme de baptisé, qui tant de fois a reçu la visite de la présence eucharistique et qui est habitée par l'Esprit Saint - à des expériences sensuelles licencieuses, aux expériences délétères des stupéfiants ou aux séductions idéologiques des erreurs à la mode. Ce sont là autant de fissures par lesquelles le Malin peut facilement s'insinuer pour altérer l'esprit de l'homme. Certes, tout péché n'est pas directement dû à l'action du diable. Mais il n'en est pas moins vrai que celui qui ne veille pas avec une certaine rigueur sur lui-même s'expose à l'influence du « mystère d'impiété » dont parle saint Paul (2 Th 2, 3-12) et promet son salut.

      Notre doctrine se fait incertaine, obscurcie comme elle l'est par les ténèbres qui entourent le démon. Mais deux questions sollicitent légitimement notre curiosité, excitée par la certitude de son existence multiple. Y a-t-il des signes, et lesquels, de la présence de l'action du diable? Quels sont les moyens de se défendre contre un danger si insidieux?

      La réponse à la première question requiert beaucoup de prudence, même si les signes du Malin semblent quelquefois évidents. Nous pourrions supposer sa sinistre intervention là où l'on nie Dieu d'une façon radicale, subtile et absurde; là où le mensonge hypocrite s'affirme avec force contre la vérité évidente; là où l'amour est étouffé par un égoïsme froid et cruel; là où le nom du Christ est l'objet d'une haine consciente et farouche; là où l'esprit de l'Évangile est dénaturé et démenti par les actes; là où l'on affirme que le désespoir est la seule perspective, etc. Mais il s'agit d'un diagnostic trop vaste et trop difficile, que pour le moment nous n'osons pas approfondir et authentifier. Il n'est cependant pas dépourvu de dramatique intérêt pour tous. La littérature moderne lui a en effet, elle aussi, consacré des pages célèbres.

      Le problème du mal demeure pour l'esprit humain l'un des plus importants et des plus permanents, même après la victorieuse réponse que lui a donnée Jésus-Christ: « Nous savons, écrit saint Jean l'évangéliste, que nous sommes [nés] de Dieu, mais le monde tout entier gît sous l'empire du Mauvais. » (1 Jn 5, 19).

      L'autre question est: quelle défense, quel remède opposer à l'action du démon? La réponse est plus facile à formuler, même si elle demeure difficile à mettre en pratique. Nous pourrions dire: tout ce qui nous défend du péché nous protège par le fait même de l'ennemi invisible. La grâce est la défense décisive. L'innocence apparaît comme une force. Et chacun se rappelle que l'enseignement apostolique a pris les armes du soldat comme symbole des vertus qui peuvent rendre le chrétien invincible. Le chrétien doit être militant, vigilant et fort. Il doit parfois pratiquer une ascèse spéciale pour éloigner certaines attaques du diable. Jésus nous l'enseigne et il indique comme remède la prière et le jeûne (Mc 9, 29). Et saint Paul suggère la ligne maîtresse que nous devons suivre: « Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais sois vainqueur du mal par le bien. » (Rm 12, 21).

      En ayant donc conscience de l'adversité dans laquelle se trouvent aujourd'hui les âmes, l'Église, le monde, nous nous efforcerons de donner sens et efficacité aux paroles de notre principale prière: « Notre Père... délivre-nous du mal ». Que vous y aide aussi notre Bénédiction apostolique. »


Voyez également ce qu'il dit lors de l'Audience générale:





Paul VI, Audience générale, 15 novembre 1972

      « Le démon et l'influence qu'il peut exercer sur chaque individu, sur la communauté, sur les sociétés entières ou sur les événements pourraient faire l'objet d'un chapitre important de la doctrine catholique qu'il faudrait étudier à nouveau. D'aucuns croient trouver une réponse dans les études psychanalytiques et psychiatriques ou encore dans le spiritisme, aujourd'hui, hélas, si répandu dans certains pays. On craint de retomber dans de vieilles théories manichéennes ou dans d'effrayantes divagations fantastiques et superstitieuses. On préfère aujourd'hui se montrer forts et sans préjugés, se donner des airs de positivisme, quitte, après, à croire à des lubies magiques ou populaires gratuites, ou, pire encore, à ouvrir son âme aux expériences licencieuses des sens, aux expériences néfastes de la drogue, aux séductions idéologiques des erreurs à la mode. C'est par ces brèches que le Mauvais pénètre pour altérer la mentalité de l'homme. »



Paul VI, Audience générale, 15 novembre 1972.




Voyez aussi ce qu'il a dit lors de cette Homélie:





La fumée de Satan dans l'Église

(Paul VI, Homélie 29 juin 1972, éditions St Augustin p. 439 année 1972)

      Devant la situation de l'Église d'aujourd'hui, nous avons le sentiment que par quelque fissure la fumée de Satan est entrée dans le peuple de Dieu. Nous voyons le doute, l'incertitude, la problématique, l'inquiétude, l'insatisfaction, l'affrontement. On n'a plus confiance dans l'Église. On met sa confiance dans le premier prophète profane venu qui vient à nous parler de la tribune d'un journal ou d'un mouvement social, et on court après lui pour lui demander s'il possède la formule de la vraie vie, sans penser que nous en sommes déjà en possession, que nous en sommes les maîtres. Le doute est entré dans nos consciences, et il est entré par des fenêtres qui devraient êtres ouvertes à la lumière. La critique et le doute sont venus de la science, laquelle pourtant est faite pour nous donner des vérités qui non seulement ne nous éloignent pas de Dieu, mais nous le font chercher encore davantage et le célébrer plus intensément. Les savants sont ceux qui courbent la tête, qui s'interrogent le plus douloureusement. Ils finissent par dire: « Je ne sais pas, nous ne savons pas, nous ne pouvons pas savoir. » L'enseignement devient source de confusion et de contradictions parfois absurdes. On célèbre le progrès pour pouvoir ensuite le démolir par les révolutions les plus étranges et les plus radicales, pour renier toutes les conquêtes, pour redevenir primitifs après avoir tant exalté les progrès du monde moderne.



      Dans l'Église également règne cet état d'incertitude. On croyait qu'après le Concile le soleil aurait brillé sur l'histoire de l'Église. Mais au lieu de soleil, nous avons eu les nuages, la tempête, les ténèbres, la recherche, l'incertitude. Nous prêchons l'oecuménisme, et nous nous séparons toujours davantage les uns des autres. Nous cherchons à creuser des abîmes au lieu de les colmater.



      Comment cela a-t-il pu se produire? Une puissance adverse est intervenue dont le nom est le diable, cet être mystérieux auquel saint Pierre fait allusion dans sa lettre. Combien de fois, dans l'Évangile, le Christ ne nous parle-t-il pas de cet ennemi des hommes! Nous croyons à l'action de Satan qui s'exerce aujourd'hui dans le monde précisément pour troubler, pour étouffer les fruits du Concile oecuménique, et pour empêcher l'Église de chanter sa joie d'avoir repris pleinement conscience d'elle-même.



      Et c'est pourquoi nous voudrions, aujourd'hui plus que jamais, être capables d'exercer la fonction, confiée par Dieu à Pierre, de confirmer nos frères dans la foi. Nous voudrions vous communiquer ce charisme de la certitude que le Seigneur donne à celui qui le représente sur cette terre, quelle que soit son indignité. La foi nous donne la certitude, l'assurance, lorsqu'elle se fonde sur la Parole de Dieu, acceptée et reconnue comme conforme à notre raison et à notre âme humaine. Celui qui croit avec simplicité, avec humilité, sent qu'il est sur la bonne voie, qu'il a un témoignage intérieur qui le réconforte dans la difficile conquête de la vérité.



      Le Seigneur est lui-même lumière et vérité pour celui qui accepte sa Parole. Et alors sa Parole n'est plus un obstacle sur le chemin de la vérité et de l'être, mais une échelle par laquelle nous pouvons monter à la conquête du Seigneur qui se montre à nous par la foi, laquelle est anticipation et garantie de la vision définitive.



      Nous savons que, dans l'humanité d'aujourd'hui, il existe un très grand nombre d'âmes humbles, simples, pures, droites, fortes, qui suivent l'invitation de saint Pierre à être « forts dans la foi ». Nous voudrions que cette force de la foi, cette assurance, cette paix, triomphent de tous les obstacles. Nous invitons tous les fidèles à un acte de foi simple et sincère, à un effort psychologique pour arriver à prononcer au plus intime d'eux-mêmes cet acte conscient d'adhésion: « Seigneur, je crois dans ta parole, je crois dans ta révélation, je crois en celui que tu m'as donné comme témoin et garant de la révélation, pour éprouver avec la force de la foi l'anticipation de la béatitude de la vie qui nous est promise avec la foi. »



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