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Drôle de conception

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016, 13:27

Drôle de conception  Rolling Eyes


Le DIEU Pharisien יהוה YHWH Le MALIN Les PREUVES ! Jean 15:1



DIEU des Juifs ORIGINE EGYPTIEN LIEN cliquez : http://www.ladepeche.fr/article/2000/11/26/87133-on-a-decouvert-le-message-cache-de-la-bible.html

ALLEZ A JESUS CHRIST et Notre Père " ABBA "
Yahwé יהוה YHWH ÉTERNEL = FRANC-MAÇONNERIE = Dieu de BA'AL = EL MÊME DIEU que ALLAH = SATAN-LUCIFER

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016, 13:28

On a découvert le message caché de la Bible

Loisirs - HISTOIRE

Les Hébreux étaient des Égyptiens adorateurs du dieu Aton. C'est ce qu'ont découvert deux chercheurs français. Une hypothèse pressentie, au siècle dernier, par Champollion. 

CETTE découverte fera du bruit. Elle agace, déjà, le milieu scientifique - historiens et archéologues -, et trouble le monde religieux. Le bruit court que les agents de Steven Spielberg en ont eu vent outre- Atlantique et que le grand cinéaste pourrait porter à l'écran « Les secrets de l'Exode », l'ouvrage de deux chercheurs hébraïsants.

Les intuitions de Sigmund Freud

Que nous disent Messod et Roger Sabbah? Ce que le Lotois Jean-François Champollion avait, bien avant eux, probablement pressenti - il est mort trop tôt pour aller au bout de ses convictions. Ce que le psychanalyste Sigmund Freud avait, il y a soixante ans, géniale intuition, soupçonné en évoquant, dans ses écrits, l'hypothèse d'une transmission aux Hébreux, par Moïse l'Égyptien, de sa propre religion, celle du dieu Aton. Messod et Roger Sabbah vont plus loin encore en soutenant que tous les Hébreux sont des descendants des anciens Égyptiens.

Ils s'appuient d'abord sur un constat: il n'y a aucune preuve archéologique de l'existence de ces Hébreux tels qu'ils sont décrits dans la Bible. Pour la plupart des savants, ils seraient vaguement assimilés, faute de mieux, aux « Apirous », peuple semi-nomade aux contours flous. Aussi s'interroge-t-on depuis des lustres: comment une population ayant vécu près d'un demi-millénaire en Égypte, forte de près de deux millions d'âmes, a-t-elle pu fuir le pays, l'armée du pharaon à ses trousses, puis s'installer en « Terre Promise », alors administrée par l'Égypte, sans qu'aucune trace ne subsiste ni de leur long séjour, ni de leur exode? Pas de trace non plus d'Abraham. Inconnu au bataillon pour les scientifiques. Pas d'inscription, pas de récit, rien dans les temples, rien sous le sable du désert.

L'obscur pharaon Aï

Nos deux chercheurs fondent ensuite leur hypothèse sur une troublante étude comparative des écritures, l'hébraïque et les hiéroglyphes. Dans le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient des inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites, certaines lettres ressemblant à s'y méprendre - forme, prononciation, valeur symbolique - à l'alphabet hébreu. La coïncidence, à l'époque, n'émut personne. Pas plus que celle-ci: sur un mur du tombeau, le double « cartouche (la signature gravée) d'un obscur pharaon, Aï, dont le nom, en hiéroglyphes, ressemble à celui, dans la Bible araméenne, de Dieu, prononcé Adonaï (Aton-Aï). Et, à l'entrée de la salle du trésor, gardant la tombe, couché sur un coffre, le chien Anubis (ou Anapi): en hébreu, « Nabi » signifie « gardien de la loi ». Chien et coffre étaient recouverts d'un tissu sacré rappelant le châle de prière des Hébreux. Le coffre à brancards, lui, pourrait s'apparenter à l' « Arche d'Alliance » telle qu'elle est décrite dans la Bible.

Arguant de ces similitudes - il y en a bien d'autres -, les frères Sabbah ont relu de fond en comble les textes. Ils en ont déduit que la langue hébraïque était issue des hiéroglyphes, stylisés. Et, dès lors, tout s'est éclairé: les énigmes de la Bible, les noms aux consonances étranges parce qu'étrangères, les personnages, l'Histoire.

Remontons 3350 ans en arrière. Akhet-Aton, capitale de l'empire d'Égypte - connue aujourd'hui sous le nom de Tell El Amarna -, est la ville du pharaon Akhénaton (« Je suis le soleil vivant ») et de la reine Néfertiti. C'est une cité d'or et de lumière, située au nord de l'actuelle Assiout, sur le Nil, c'est la cité sainte du dieu Aton, le « dieu unique », créateur du ciel et de la terre. Akhénaton a rompu, en effet, avec les divinités du panthéon égyptien, il y règne en maître absolu. Quand il meurt, Aï, qui n'est encore que grand prêtre - plus tard, il sera pharaon sous le nom du « Divin Père Aï » -, prend les rênes du pouvoir, assurant la régence en attendant que Toutankhamon (il n'a que huit ans) grandisse.

Alors, tout s'effondre: le culte ancestral d'Amon, dieu multiple, est rétabli, c'est le retour à l'orthodoxie. Aï et Toutankhamon vont faire en sorte que soit effacé tout vestige de cet Akhénaton de malheur qui laissait le reste du pays sombrer dans la misère, et de ce dieu Aton qui proclamait que les hommes étaient égaux et que seule la méchanceté les différenciait!

La ville, cet éden (s'agit-il là du biblique « paradis perdu »?) va être rapidement désertée, avant d'être, ultérieurement, totalement détruite. Tout le monde est chassé: les prêtres d'Aton, les « Yadoudaé », qui vont former le royaume de Juda, les scribes, les notables, l'élite et, avec eux, le petit peuple, « la tourbe nombreuse » dont parle la Bible, le futur Israël (en égyptien, « fils de Râ et de Dieu ») qui entrera en conflit avec Juda.

Dans leurs bagages, ils emportent leur foi monothéiste - la première de l'histoire humaine -, leurs traditions. Après des années d'errance et de querelles, ces « Égyptiens » vont adopter leur écriture « hébraïco- hiéroglyphique » et conserver le souvenir de l'âge d'or. Aï a fait d'une pierre deux coups: il s'est débarrassé de ces encombrants monothéistes et les bannis lui servent de « zone tampon » contre les Hittites, l'ennemi du nord!

Chassés du « paradis »

Épisode annexe de ce grand départ, la fuite, vers le sud, de la police pharaonique composée de Nubiens, les « Medzaï » (« Fils d'Aï »). Au Kenya, note- t-on, les Masaï se réclament aujourd'hui d'un dieu unique, évoquent leur âge d'or, au nord, et portent des ornements qui ne sont pas sans rappeler les symboles sacrés de l'Egypte ancienne...

Bien des siècles après cette épopée, nous disent Messod et Roger Sabbah, les scribes, lors de l'exil à Babylone, ennemi juré de l'Égypte, vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, où ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, où les noms sont maquillés. Inventé donc, Abraham, inventée sa naissance en Mésopotamie!

Sarah, c'est Néfertiti

Et tout concorde, pour nos deux chercheurs: la chronologie des pharaons, leurs vies, leurs actions, la Bible et l'histoire égyptienne. Abraham (« Ab-Rah-Am », père du dieu Râ et Amon)? C'est Akhénaton lui-même: d'un côté l'Abraham biblique à qui Dieu parle, qui rejette le polythéisme et égorge le bélier en lieu et place de son fils Isaak (le pharaon Semenkharé, en égyptien Saak- Ka-Râ?); de l'autre Akhénaton, qui converse avec Aton, rompt avec les divinités, sacrifie le bélier (Amon). Sarah, c'est la belle Nefertiti, Agar, c'est Kiya, la seconde épouse. Moïse (« Mésés »)? C'est Ramsès Ier, homme de guerre, impulsif. Aaron? C'est Horemheb, général puis pharaon. Joseph? C'est Aï: l'un et l'autre ont été enterrés en « pharaons d'Egypte » et leurs momies ont disparu...

Pas de peuple réduit en esclavage, pas de « peuple élu », pas de terre promise par Dieu: si elle les a étourdis - on le serait à moins -, cette découverte n'a pas fait chanceler la foi de Messod et Roger Sabbah, issus d'une lignée de rabbins: ils assurent être toujours croyants.

* « Les secrets de l'Exode », Messod et Roger Sabbah, éditions Jean-Cyrille Godefroy, 556 pages, 185 F/28,20 euros.

Philippe BRASSART


« Abraham = Akhénaton »

LES auteurs des « Secrets de l'Exode » ne sont ni des farfelus ni des iconoclastes. Messod et Roger Sabbah sont issus d'une lignée de rabbins et de grands rabbins, ils ont effectué des études bibliques et talmudiques poussées. Leur livre est le fruit de vingt ans de recherches. « Si tout ceci était un canular, dit Roger Sabbah, nous nous cacherions... »

LA DEPECHE DU DIMANCHE.- Pensez-vous que Champollion, s'il n'était pas mort prématurément, aurait abouti aux mêmes conclusions que vous?

ROGER SABBAH.- Certainement. D'ailleurs, dans son dernier ouvrage, il exhorte les chercheurs à la critique de la Bible. C'est son grand message: il a voulu dire que l'Égypte devait servir à appréhender la Bible d'une façon différente. La Bible elle-même nomme 700 fois le mot Égypte, ce sont des clins d'œil pour dire: fouillez là-bas pour approcher la vérité! Notre recherche à nous va se poursuivre car il y a bien d'autres analogies entre la Bible et l'histoire de l'Égypte ancienne. Par exemple, à propos de la sagesse, 2000 ans avant notre ère, un pharaon écrivait: « Si tu respectes ton père et ta mère, tu vivras longtemps ». Or on retrouve le même rapport dans le troisième commandement. Toutes ces concordances existent, nous ne les avons pas inventées. Maintenant, c'est au lecteur de décider de ce qu'il doit croire ou de ne pas croire. Notre livre ne fait qu'évoquer une hypothèse.

DDD.- Pour vous, le monothéisme est vraiment né en Égypte?

R. S.- C'est une certitude. Les empires assyrien et babylonien étaient tous polythéistes. Le culte d'Aton est vraiment le premier monothéisme de l'Histoire, un pur monothéisme affirmant: il n'y a pas d'autres dieux. Ce qui rejoint le commandement biblique: tu n'auras pas d'autres dieux que moi. Nous nous sommes donc demandé qui pouvait bien être ce personnage fabuleux nommé Abraham. Et, petit à petit, en étudiant isolément le cas Abraham et le cas Akhénaton, nous avons abouti à cette conclusion: l'un est probablement le mythe de l'autre. Abraham n'est pas né en Mésopotamie.

DDD.- Vous parlez du pharaon Moïse, du pharaon Aaron. Mais 


DDD.- Vous parlez du pharaon Moïse, du pharaon Aaron. Mais où et quand auraient-ils régné?

R. S.- Après Akhénaton, Semenkharé, Toutankhamon et Aï, sous les noms d'Horemheb et de Ramsès Ier. Le tout sur une durée de quarante ans, ce qui - hasard? - correspond aux quarante années des Hébreux dans le désert. Tout cela s'est passé en Égypte, où certains Hébreux étaient revenus. Quand Moïse est parti - « dans la montagne » d'après la Bible - en déléguant son autorité à Aaron, ce dernier en a profité pour prendre le pouvoir. D'où l'histoire du veau d'or, symbole, pour les Égyptiens, de la mise sur le trône d'un nouveau pharaon. Il faut bien comprendre que l'histoire biblique est un transfert.

DDD.- Si on prolonge l'analyse, on en déduit que Jésus est d'origine égyptienne...

R. S.- Certains soutiennent même qu'il n'a pas existé, qu'il est un symbole de l'Égypte ancienne. D'autres disent que c'est en Égypte qu'il a découvert la véritable histoire des Hébreux et qu'à partir de là, révolté, il a justement voulu tout chambouler...

DDD.- Comment est perçue votre découverte? Elle est tout de même dérangeante pour les égyptologues, et surtout pour les juifs qui verraient, si vous dites vrai, toutes leurs valeurs s'effondrer...

R. S.-Les égyptologues font front commun contre nous. mais ils ne remettent pas en cause les découvertes principales: il y a trop d'analogies pour qu'il n'y ait pas un fondement. Nous pensons que l'égyptologie a fait une faute de parcours, négligé l'étude des religions. Quant à la symbolique juive, elle garde sa valeur. La mystique juive fait partie d'une certaine forme de fondement de l'être humain. J'espère en tout cas que ce livre rapprochera les trois religions monothéistes qui ont un tronc commun.

DDD.- En quel dieu croyez-vous? Pas le Yahweh de la Bible mais alors lequel: l'Aton égyptien?

R. S.- Je reviendrais peut-être davantage à la religion amonienne! Dans la mesure où Dieu y a une dimension universelle et inconnue. L'Egypte ancienne avait compris l'immense problème que l'humanité d'aujourd'hui n'a toujours pas résolu: celui de la tolérance, mais à la base, aller vers le Bien, considérer le divin comme une universalité et les dieux comme des projections de cette universalité, des morceaux du divin. Le drame, c'est la cassure qu'il y a eu quand un homme a déclaré - c'était Akhénaton - qu'il était lui-même Dieu et qu'il fallait donc l'adorer...



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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016, 13:29

Lucifer est-il le Dieu du Judaïsme ? 

(Ceci a été écrit pour Henrymakow.com par Will Newman qui a fréquenté la synagogue juive, et a des parents impliqués dans le Talmudisme, la Kabbale, le B’nai B’rith et la Franc-maçonnerie.) 

En 1976, Walter White Jr., «un patriote inquiet» a mené une entrevue avec un jeune Juif nommé Harold Rosenthal, qui fut l’assistant du sénateur Javits de New York.

Dans l’interview, publiée plus tard sous le titre «La Tyrannie Cachée» l’arrogant Rosenthal se vante (sur bande) que le peuple juif a fabriqué certains «mensonges qui servent à dissimuler leur nature et à protéger leur statut et leur pouvoir.»

Drôle de conception  Lucifer2 

Rosenthal démystifie le mensonge communément admis que «les Juifs sont des Israélites, et donc le peuple élu de Dieu.»

Rosenthal a dit en partie : «La plupart des juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer – alors je ne mentais pas – et nous sommes son peuple élu.Lucifer est bien vivant.

L’objectif de Lucifer est «d’être comme le Très-Haut» (Isa. 14:14) et d’usurper le rôle de Dieu (Mat. 4:9).

Le but de Lucifer est de tromper le monde entier (Ap. 12:9) en se transformant en ange de lumière (2Co. 11:4). Ceci est bien illustré par les Francs-maçons. Leur mot d’ordre de «rendre les hommes bons meilleurs» produit une image beaucoup plus favorable aux yeux du public que l’alternative la plus précise : «comment devenir démoniaque en 33 étapes faciles.» Les religions juive et franc-maçonne adorent toute deux le même dieu.

LA LUMIÈRE BRILLANTE 

Dans la plupart des synagogues juives, une flamme brûlante et lumineuse représente leur dieu. Le mot hébreu pour Lucifer est «Hillel» (forte concordance # H1966) ce qui signifie «lumière brillante». Curieusement, c’est le nom choisi pour l’organisation étudiante juive. Un texte central dans la Kabbale est intitulé «le Zohar» qui se traduit par le livre de la lumière ou de la splendeur.

L’étoile juive à six branches est le plus haut symbole de l’occulte et possède des noms différents – l’étoile de Moloch/Saturne/Chiun/Remphan. Il est un symbole de l’union du mâle et de la femelle et est identique dans un sens à l’équerre et au compas maçonnique, qui est aussi un symbole à six branches autour de la lettre «G» signifiant l’acte sexuel générateur. En lieu et place de la lettre «G», nous trouvons au milieu הוהי sur de nombreuses étoiles juives.

Le symbole hébreu יח porté autour du cou de nombreux Juifs, symbolise soi-disant la «vie» (lachaim). Le mot signifie littéralement une «chose vivante» ou «bête» (H2416), ce symbole est une idole pour La Bête.

Le nom juif pour dieu est représenté par le tétragramme הוהי (YHVH) pouvant être prononcé Yahvé ou Jéhovah. La signification du nom de Dieu est soulignée à plusieurs reprises tout au long des Écritures.

Traduite en hébreu, la vraie définition de l’Éternel (Yah-Hovah) se révèle. « Yah » (# H3050) signifie « dieu ». « Hovah » (# H1942) se traduit par «l’impatience de la convoitise, la chute, le désir, la ruine, la calamité, l’iniquité, la malice, la méchanceté, le malin, le pervers, le méchant.»

Jéhovah est synonyme de Baal :

«Baali (# H1180) De ba’al ; mon maître ; Baali, un nom symbolique pour Jeovah – Baali.»

L’Encyclopédie juive («Adonaï et Ba’al») révèle : «Le nom Ba’al, a apparemment comme équivalent Yhwh.»

Depuis les jours de Jérémie, les Juifs ont oublié le nom de leur dieu et l’ont remplacé par le titre « Baal » ou « YHVH »: Les faux prophètes «qui pensent faire oublier mon nom [de Dieu] à mon peuple… comme leurs pères l’ont oublié pour Baal.» (Jer. 23:27).

YHVH et Ba’al représentent tout deux le dieu de la perversion sexuelle et de la méchanceté, Satan.

Cependant, les Juifs prétendent que ce nom (YHVH) ne doit pas être lu à voix haute, en dépit de l’ordre de Dieu de déclarer son nom par toute la terre (Ex 9:16). Pourquoi ignorer ce commandement?

PRONONCER LE NOM DE DIEU

Drôle de conception  Lucifer3

Le judaïsme se réclame de l’autorité de l’Ancien Testament, mais ils ne pratiquent pas ce qu’ils prêchent. Ils s’habillent en noir, la couleur de la mort, en dépit de la recommandation des écritures de porter du blanc (Ecc. 9:8), rejettent le Christ comme Messie (qui est prophétisé dans l’Ancien Testament) et refusent de prononcer «le nom de Dieu» en violant les Écritures.

En vénérant leur nom de Dieu (YHVH) sans le prononcer, les Juifs créent un air de mystère et de sainteté autour du nom, tout en améliorant la curiosité entourant sa prononciation et sa puissance. Lorsque les Juifs et les non-juifs curieux voient le tétragramme «sacré» utilisé dans la pratique occulte, ils sont intrigués par la probabilité que ces sorciers aient exploité les pouvoirs mystiques de ce nom.

La sorcellerie Wicca, le Satanisme, le Tarot, le Catholicisme occulte, la Franc-maçonnerie et la Kabbale utilisent leur connaissance du « nom sacré de Dieu » comme un appât pour recruter des membres dans leur secte. Si le nom n’était pas caché, il manquerait à ces cultes un outil essentiel dans leurs processus de recrutement. Ils ne pourraient pas offrir cette connaissance si les Juifs, l’autorité auto-proclamée au sujet de Dieu, prononçaient ouvertement ce nom.

Les religions à mystères et les convents de sorcellerie ont une dette importante envers le judaïsme pour le conditionnement du grand public à accepter l’importance et le secret de ce nom. La louange vocale du nom YHVH est réservé pour les «élus» qui apprennent la Kabbale (et payent pour le faire) et est interdite pour le «profane». La doctrine judaïque est fondamentale afin de vendre l’occultisme comme une juste pratique.

Satan est l’auteur de la confusion et porte plusieurs noms. Bon nombre des anciennes divinités païennes étaient Satan et ses anges sous d’autres formes («Les Deux Babylones», par A. Hislop). Les Juifs emploient un certain nombre de faux noms pour Dieu dans leurs rituels, qui sont aussi d’autres titres pour Satan et d’autres puissants démons.

De la même manière, le Sataniste et Magicien Noir invoque des démons par leur nom. Dans la Bible satanique, Anton LaVey (juif) fournit une longue liste de «noms infernaux» qui, lors d’une évocation, fournissent à l’impétrant des super capacités humaines à savoir l’intelligence, la puissance, les compétences dans la manipulation, une créativité accrue, la richesse matérielle, et la satisfaction de diverses convoitises.

LA PRIÈRE 

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Dans les synagogues Hassidiques, de nombreuses prières juives sont conduites en yiddish, une langue composite loin de la prononciation prévue de l’Hébreu originel. Ces prières ne sont rien de moins que des invocations démoniaques déguisées. Elles sont des sorts hypnotiques, semblables à la langue Enochienne de l’église de Satan.

Des jeunes Juifs passent d’innombrables heures à se préparer pour leur Bar Mitzvah en mémorisant les longs chants, la cadence et le ton appropriés. La plupart de ceux qui passeront leur Bar Mitzvah ne seront pas en mesure de traduire plus d’une poignée de mots. Ces jeunes hommes et femmes n’ont aucune idée de ce qu’ils disent ou à qui ils prient. Les Juifs invoquent dans leurs rituels les démons appelés Adonaï, Élohim, El Shaddai, Zeba’ot, Diyenu (Diana) et bien d’autres.

Les vaines répétitions et les mouvements de têtes, au cours des prières juives aident à pénétrer dans un état de transe. Un grand nombre de Juifs athées s’engagent dans le culte pseudo-religieux du statut et de la connaissance. Comme Bill Cooper l’a écrit, «le CULTE (très différent de l’ÉTUDE) de la connaissance, de la science ou de la technologie est le Satanisme dans sa forme la plus pure, et son dieu est Lucifer» («Behold a Pale Horse», 70). Le judaïsme fournit à ses membres les mêmes puissances sataniques que l’Église de Satan et de la Franc-maçonnerie.

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016, 13:30

La suite...

LE KABBALISME 

Les fondations du Kabbalisme sont identique au Satanisme : l’inversion des rôles de Dieu et Satan. C’est la poursuite cachée (occulte) de connaissances qui permettent d’atteindre des capacités d’un dieu en faisant appel à des prétendus noms de Dieu. Ce sont les noms des anges déchus ou démons/guides spirituels qui sont les gardiens de la connaissance occulte (Gen. 6:4, Jubilés, Enoch). Alors que tous les Juifs ne pratiquent pas ouvertement la Kabbale, ils acceptent tous le nom kabbalistique le plus élevé comme leur dieu-YHVH.

L’infâme Kabbaliste et Sataniste Aleister Crowley a écrit : «Il y a donc 72 anges… ces [noms] sont dérivés du «Grand Nom de Dieu»… Le «Nom» est le Tétragrammaton : IHVH, communément appelé Jéhovah. Il est le Seigneur suprême de l’Univers tout entier… («Le Livre de Thoth», 43). Un certain nombre d’autres prononciations secrètes de YHVH sont utilisées dans l’occultisme, en plus de Yahvé et Jéhovah.

«Des 54 noms sacrés de la Kabbale juive, le principal est YHWH» («Sacred Name of God ? Or Blasphemy» de R. Hathaway 

http://www.remnantradio.org/Archives/articles/sacred_name.htm

Le credo juif, le Chema, déclare : «Notre Seigneur est Un», alors pourquoi invoquer ces autres noms?

LA DÉMONOLOGIE

Le secret des anciens Égyptiens, et de leurs disciples modernes, les Francs-maçons, c’est l’art de la démonologie pour accéder au pouvoir – principalement par le diable, Jéhovah. Dans le degré de l’Arche Royale, le Franc-maçon «reconnaît que le diable, sous le nom de Jahbulon, est son Seigneur sacré», le nom de Jahbulon est un «composite de Yahvé, Baal, et Osiris.» 

[size=120]Il chante «Jahbulon, Jahbulon, Jahbulon, Jéhovah» (Texe Marrs, «Codex Magica» Ch. 4). Albert Pike parle longuement de la signification kabbalistique/maçonnique de IAHOVAH dans son «Moral & Dogma» (pages 66, 213, 401, 467, 519).[/size]

Le nom de YHVH a été injecté dans le texte de l’Ancien Testament par les pharisiens et les autres qui pratiquaient le Satanisme Babylonien (le précurseur de la Kabbale et du Talmudisme). Pour ceux qui ne croient pas que le Talmud est satanique, il proclame que le Christ est en enfer en train de bouillir dans les excréments et le sperme (Gittin, 56b, 57a).

Un accord a été conclu entre les Massorètes juifs et l’Église Catholique vers 1000 après J.C. pour remplacer le nom de Dieu dans l’Ancien Testament hébreu par le nom païen de Yahvé/Jéhovah par l’intermédiaire du tétragramme.

LE VÉRITABLE NOM DE DIEU 

Le dédain démoniaque pour l’humanité présenté par le Juif luciférien Harold Rosenthal, caractérise le résultat final d’une fusion mortelle : un rituel religieux juif combiné avec le culte de la connaissance et l’égo. Les Juifs en tant que peuple, par le rejet de Dieu et/ou en acceptant Jéhovah, ont été livrés «à un esprit réprouvé… rempli d’iniquité…» (Rom 1:28-31).

Drôle de conception  Yhvh03-300x300

Bien sûr, M. Rosenthal était membre d’une élite, une minorité ouvertement Satanique parmi le peuple juif. Les juifs du quotidien ne savent pas que le dieu de leur foi est en fait Satan se cachant derrière un nom mystique. Il est sans conséquence aux yeux de Satan s’il est adoré délibérément ou par des mensonges et des tromperies subtiles (Gen. 3).

Salomon le sage lui demande : «quel est le nom [de Dieu], et quel est le nom de son fils, si tu peux le dire?» (Pro 30:4). Le nom de Dieu est היהא AHAYAH (parfois traduit par Ehyeh) signifiant JE SUIS. C’est le nom donné à Moïse avec la Loi. «Et Dieu dit à Moïse, JE SUIS CELUI QUI EST : et il dit : Ainsi tu diras aux enfants d’Israël, CELUI QUI EST m’a envoyé vers vous… ceci est mon souvenir pour toutes les générations.» (Ex 3: 14-15). «JE SUIS le Seigneur ton Dieu… Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi» (Exo 32:4-5).

https://henrymakow.wordpress.com/2012/10/29/lucifer-est-il-le-dieu-du-judaisme/

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Message  Arlitto Sam 28 Mai 2016, 13:30

ITW de Rosenthal : « Notre Dieu est Lucifer » Il meurt 1 mois plus tard


En 1976, Walter White, Jr., «un patriote concernés», a mené une entrevue avec un jeune Juif nommé Harold Rosenthal, qui était l’adjoint au sénateur Jacob K. Javits de New York. Lors d’un voyage, Rosenthal fut tué le 12 août 1976 à l’âge de 29 ans lors d’une tentative de détournement d’un avion d’une compagnie aérienne israélienne à Istanbul. La mort de Rosenthal  intervient 1 mois après l’interview donné à Walter White. 

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