Islamophobie
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Islamophobie
Marmhonie a écrit:Absolument ! Et je le revendique en tant que catholique romain pratiquant !
Homosexuels & lesbiennes doivent dignement en tant qu'être humain, être intégrés au sein de l'Église catholique. Bien sûr !
Pax vobiscum
Quant au dément homophobe qui a massacré une cinquantaine d'homosexuels à Orlando (USA), c'était un grand malade assurément. Homophobie, islamophobie, christianophobie, racisme, ça suffit !
"Soyons des êtres humains dignes de conscience. N'ayez pas peur." (St Jean-Paul II)
L'islamophobie n'est pas un racisme. C'est une crainte légitime envers un totalitarisme effrayant.
C'est l'islam qui est un sectarisme puisqu'il déclare que:
-le Musulman est supérieur au non-musulman
-l'homme est supérieur à la femme
-l'être libre supérieur à l'être esclave
Ali Sinna, Wafa Sultan, Karim Labidi, Pascal Hilout n'ont pas la haine du musulman, ils ont la haine du mahométisme qui lui a 300 phobies d'après un auteur algérien, entre autres la phobie du non-musulman qui n'est qu'impureté, najas.
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Re: Islamophobie
Zapatero : « Nous devons sans cesse exprimer que l’Islam ne soutient pas le terrorisme »
L’ex-Premier ministre espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a fait savoir que ce n’était pas la religion mais le fanatisme qui tuait les gens
Zapatero : « Nous devons sans cesse exprimer que l’Islam ne soutient pas le terrorisme »
L’ex-Premier ministre espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a fait savoir que ce n’était pas la religion mais le fanatisme qui tuait les gens.
Zapatero a participé au « Sommet européens sur l’islamophobie » organisé à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine.
Dans son discours, il a mis l’accent sur les actes terroristes.
« Ce n’est pas la religion qui tue les gens, c’est le fanatisme. Et ceci est plus ancien que toutes les religions. Nous devons sans cesse exprimer que l’Islam ne soutient pas le terrorisme. Si nous voulons empêcher l’islamophobie nous devons lutter coude-à-coude avec les musulmans » a-t-il affirmé.
M. Zapatero a noté qu’un fonds avait été consacré en Espagne pour rassembler des personnes de toute croyance dans des activités communes.
« Nous devons lutter par l’éducation et la connaissance qui sont les armes les plus fortes et vivre ensemble pour édifier la paix. La Bosnie-Herzégovine et l’Espagne peuvent lutter ensemble étant donné que ce sont deux pays multiculturels. Si l’Europe souhaite devenir la grande Europe, elle doit travailler pour lutter contre toute discrimination dont l’islamophobie » a continué M. Zapatero.
Yeni Safak
http://www.trt.net.tr/francais/europe/2016/06/27/zapatero-nous-devons-sans-cesse-exprimer-que-l-islam-ne-soutient-pas-le-terrorisme-519016
L’ex-Premier ministre espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a fait savoir que ce n’était pas la religion mais le fanatisme qui tuait les gens
Zapatero : « Nous devons sans cesse exprimer que l’Islam ne soutient pas le terrorisme »
L’ex-Premier ministre espagnol Jose Luis Rodriguez Zapatero a fait savoir que ce n’était pas la religion mais le fanatisme qui tuait les gens.
Zapatero a participé au « Sommet européens sur l’islamophobie » organisé à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine.
Dans son discours, il a mis l’accent sur les actes terroristes.
« Ce n’est pas la religion qui tue les gens, c’est le fanatisme. Et ceci est plus ancien que toutes les religions. Nous devons sans cesse exprimer que l’Islam ne soutient pas le terrorisme. Si nous voulons empêcher l’islamophobie nous devons lutter coude-à-coude avec les musulmans » a-t-il affirmé.
M. Zapatero a noté qu’un fonds avait été consacré en Espagne pour rassembler des personnes de toute croyance dans des activités communes.
« Nous devons lutter par l’éducation et la connaissance qui sont les armes les plus fortes et vivre ensemble pour édifier la paix. La Bosnie-Herzégovine et l’Espagne peuvent lutter ensemble étant donné que ce sont deux pays multiculturels. Si l’Europe souhaite devenir la grande Europe, elle doit travailler pour lutter contre toute discrimination dont l’islamophobie » a continué M. Zapatero.
Yeni Safak
http://www.trt.net.tr/francais/europe/2016/06/27/zapatero-nous-devons-sans-cesse-exprimer-que-l-islam-ne-soutient-pas-le-terrorisme-519016
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Re: Islamophobie
Sarajevo accueille le premier sommet européen sur l’islamophobie
Rédigé par Samba Doucouré et H. Ben Rhouma | Vendredi 24 Juin 2016
Universitaires, hommes politiques et militants des droits de l'homme se réunissent du 24 au 26 juin pour parler de la montée de l’islamophobie en Europe. Une réunion au sommet qui fait suite au rapport européen sur l’islamophobie rendu en mai dernier par des universitaires turcs.
Sarajevo accueille le premier sommet européen sur l’islamophobie
Alors que Sarajevo commémorait en mars dernier les 20 ans de la fin du terrible siège des Serbes (plus de 11 000 morts au compteur entre 1992 et 1996), la capitale de la Bosnie-Herzegovine accueille aujourd’hui le premier sommet européen sur l’islamophobie. Du vendredi 24 au dimanche 26 juin, une cinquantaine de personnalités politiques, d'universitaires et de militants associatifs de 22 nationalités différentes sont invités à participer à cet événement, soutenu activement par la Turquie.
Parmi eux, on retrouve le président du Collège présidentiel de Bosnie-Herzégovine Bakir Izetbegovic, les anciens ministres des Affaires étrangères français et britannique Bernard Kouchner et Jack Straw, l’ex-Premier ministre espagnol José Luis Zapatero et l’ancien ministre algérien de l'Enseignement supérieur Mustapha Chérif. Le Koweitien Naïf Al Mutawa, auteur de la BD « Les 99 », sera aussi de la partie.
Islamophobie, au rapport !
Ce rendez-vous international découle de l’initiative du think-thank turc SETA (Fondation pour la recherche politique, économique et sociale) qui a présenté début mai au Parlement européen à Bruxelles, un rapport sur l’islamophobie en Europe (EIR). Celui-ci rend compte de l’état de cette forme de haine dans 25 pays européens durant l’année 2015.
D’un volume de 600 pages, ce premier rapport est une mine d'information sur l'état des discriminations à l'encontre des musulmans ainsi que celui des politiques locales mises en place. Les travaux ont été dirigés par Farid Hafez, un chercheur attaché de l'université de Salzbourg (Autriche), et Enes Bayrakli, un responsable de département à l'université germano-turque d'Istanbul (Turquie). Ils ont nécessité le concours de 38 auteurs dont le professeur Olivier Esteves, auteur de De l’invisibilité à l’islamophobie : Les musulmans britanniques (1945-2010) (Presses de Sciences-Po, 2011), qui s'est penché sur la partie consacrée à la France.
Rappelant le contexte si particulier de l'année 2015 en France avec les attentats, les « faits tragiques ont puissamment alimenté une islamophobie déjà forte dans un pays qui compte le groupe musulman le plus important en Europe ». Outre la sempiternelle querelle sémantique autour de l’usage du terme « islamophobie », le rapport met en exergue l'islamophobie sévissant sur le marché du travail français, la « laïcité qui semble de plus en plus appréhendée comme un rempart contre l’islam » ou encore la montée du Front national, « un parti islamophobe » qui se banalise dans le paysage politique français. Les conséquences des attentats du 13 novembre 2015 sur les musulmans ont « corroboré l’idée selon laquelle les musulmans eux-mêmes constituent un problème de sécurité publique ». A l'issue du rapport, SETA appelle l'ensemble des pays européens à mettre en oeuvre une législation efficace sur les crimes de haine qui prend en compte l'islamophobie, qui passe par la mise en place de registres officiels recensant les victimes.
Sarajevo accueille le premier sommet européen sur l’islamophobie
Un éclairage américain lors du sommet
Yasser Louati, militant des libertés publiques qui fut, jusqu'à très récemment, porte-parole du Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), fera écho de son analyse sur la question lors de son intervention au sommet de Sarajevo. Des représentants d'organisations antiracistes prendront aussi la parole comme l'association britannique Hope not Hate ou le Forum européen des femmes musulmanes. Un état des lieux de l'islamophobie dans la partie nord, sud puis orientale du continent européen ainsi que dans les Balkans est au programme du sommet.
Des universitaires et militants venus d'outre-Atlantique sont également attendus comme Hatem Bazian, fondateur d'un centre de recherches dédié à l’islamophobie à l’Université de Berkeley, en Californie, et l'avocat et journaliste Wajahat Ali. Les meilleures pratiques dans la lutte contre l’islamophobie au sein des pays européens seront évoquées dimanche 26 juin puis recensées ultérieurement dans un rapport qui aboutira dans un autre temps, selon les organisateurs du sommet, à la signature d'une déclaration commune Istanbul-Sarajevo contre l’islamophobie à l'adresse des dirigeants politiques européens.
Rédigé par Samba Doucouré et H. Ben Rhouma | Vendredi 24 Juin 2016
Universitaires, hommes politiques et militants des droits de l'homme se réunissent du 24 au 26 juin pour parler de la montée de l’islamophobie en Europe. Une réunion au sommet qui fait suite au rapport européen sur l’islamophobie rendu en mai dernier par des universitaires turcs.
Sarajevo accueille le premier sommet européen sur l’islamophobie
Alors que Sarajevo commémorait en mars dernier les 20 ans de la fin du terrible siège des Serbes (plus de 11 000 morts au compteur entre 1992 et 1996), la capitale de la Bosnie-Herzegovine accueille aujourd’hui le premier sommet européen sur l’islamophobie. Du vendredi 24 au dimanche 26 juin, une cinquantaine de personnalités politiques, d'universitaires et de militants associatifs de 22 nationalités différentes sont invités à participer à cet événement, soutenu activement par la Turquie.
Parmi eux, on retrouve le président du Collège présidentiel de Bosnie-Herzégovine Bakir Izetbegovic, les anciens ministres des Affaires étrangères français et britannique Bernard Kouchner et Jack Straw, l’ex-Premier ministre espagnol José Luis Zapatero et l’ancien ministre algérien de l'Enseignement supérieur Mustapha Chérif. Le Koweitien Naïf Al Mutawa, auteur de la BD « Les 99 », sera aussi de la partie.
Islamophobie, au rapport !
Ce rendez-vous international découle de l’initiative du think-thank turc SETA (Fondation pour la recherche politique, économique et sociale) qui a présenté début mai au Parlement européen à Bruxelles, un rapport sur l’islamophobie en Europe (EIR). Celui-ci rend compte de l’état de cette forme de haine dans 25 pays européens durant l’année 2015.
D’un volume de 600 pages, ce premier rapport est une mine d'information sur l'état des discriminations à l'encontre des musulmans ainsi que celui des politiques locales mises en place. Les travaux ont été dirigés par Farid Hafez, un chercheur attaché de l'université de Salzbourg (Autriche), et Enes Bayrakli, un responsable de département à l'université germano-turque d'Istanbul (Turquie). Ils ont nécessité le concours de 38 auteurs dont le professeur Olivier Esteves, auteur de De l’invisibilité à l’islamophobie : Les musulmans britanniques (1945-2010) (Presses de Sciences-Po, 2011), qui s'est penché sur la partie consacrée à la France.
Rappelant le contexte si particulier de l'année 2015 en France avec les attentats, les « faits tragiques ont puissamment alimenté une islamophobie déjà forte dans un pays qui compte le groupe musulman le plus important en Europe ». Outre la sempiternelle querelle sémantique autour de l’usage du terme « islamophobie », le rapport met en exergue l'islamophobie sévissant sur le marché du travail français, la « laïcité qui semble de plus en plus appréhendée comme un rempart contre l’islam » ou encore la montée du Front national, « un parti islamophobe » qui se banalise dans le paysage politique français. Les conséquences des attentats du 13 novembre 2015 sur les musulmans ont « corroboré l’idée selon laquelle les musulmans eux-mêmes constituent un problème de sécurité publique ». A l'issue du rapport, SETA appelle l'ensemble des pays européens à mettre en oeuvre une législation efficace sur les crimes de haine qui prend en compte l'islamophobie, qui passe par la mise en place de registres officiels recensant les victimes.
Sarajevo accueille le premier sommet européen sur l’islamophobie
Un éclairage américain lors du sommet
Yasser Louati, militant des libertés publiques qui fut, jusqu'à très récemment, porte-parole du Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), fera écho de son analyse sur la question lors de son intervention au sommet de Sarajevo. Des représentants d'organisations antiracistes prendront aussi la parole comme l'association britannique Hope not Hate ou le Forum européen des femmes musulmanes. Un état des lieux de l'islamophobie dans la partie nord, sud puis orientale du continent européen ainsi que dans les Balkans est au programme du sommet.
Des universitaires et militants venus d'outre-Atlantique sont également attendus comme Hatem Bazian, fondateur d'un centre de recherches dédié à l’islamophobie à l’Université de Berkeley, en Californie, et l'avocat et journaliste Wajahat Ali. Les meilleures pratiques dans la lutte contre l’islamophobie au sein des pays européens seront évoquées dimanche 26 juin puis recensées ultérieurement dans un rapport qui aboutira dans un autre temps, selon les organisateurs du sommet, à la signature d'une déclaration commune Istanbul-Sarajevo contre l’islamophobie à l'adresse des dirigeants politiques européens.
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Re: Islamophobie
Sina Ali (Fondateur du site Faith Freedom International) ex musulman, temps modernes.
Tout musulman « modéré » est un terroriste potentiel. La foi en l’islam est comme un bidon d’essence. Il semble inoffensif, jusqu’à ce qu’il rencontre une étincelle. Pour qu’un musulman « modéré » devienne un jihadiste meurtrier, il suffit d’une étincelle de foi.
« Il est temps de mettre un terme à la mascarade de « l’islam modéré ». Il n’existe pas de musulman modéré. Les Musulmans sont soit des jihadistes, soit des jihadistes dormants mais ils ne sont pas modérés. »
Des gens biens sont traités d’islamophobes, de bigots, de racistes et de fascistes parce que le monde préfère les contre-vérités politiquement correctes à la vérité qui dérange. C’est grâce à ce mythe de « l’Islam modéré » que dire la vérité est devenu « tenir un discours de haine ».
« Musulman modéré » n’a pas plus de sens que « nazi modéré ». Un musulman qui ne pratique pas l’Islam ou croit qu’Islam signifie paix n’est pas un musulman modéré mais un musulman à la carte ou un musulman ignorant. »
Quant à ce qu’il pense de « l’islamophobie » :
« Le racisme est la plus basse forme de stupidité humaine, mais l’islamophobie est le summum du bon sens. Phobie signifie peur infondée et irrationnelle. Il n’y a rien d’infondé ni d’irrationnel dans le fait d’avoir peur de l’islam. Seul un demeuré peut se permettre de ne pas avoir peur de la plus grande menace pour le monde et la civilisation. »
Ces réponses devraient la satisfaire et la rassurer quant à la pertinence de son analyse.
Quant à moi je précise ma pensée :
L’Islam est la plus grande arme de destruction massive, des esprits des corps et des nations, que l’homme n’ait jamais inventé !
Alexandra a raison, Riposte laïque a raison, résistance républicaine a raison et tous les patriotes ont raison.
Mais le reste de la population ne se rendra compte de ces évidences que lorsqu’il sera déjà trop tard pour éviter des « rivers of blood »
En effet, le niveau de désinformation, l’apathie pour ne pas dire le fainéantise d’acquisition de l’information sont tels que je désespère que cela n’arrive que dans 10 voire 20 ans.
Tout musulman « modéré » est un terroriste potentiel. La foi en l’islam est comme un bidon d’essence. Il semble inoffensif, jusqu’à ce qu’il rencontre une étincelle. Pour qu’un musulman « modéré » devienne un jihadiste meurtrier, il suffit d’une étincelle de foi.
« Il est temps de mettre un terme à la mascarade de « l’islam modéré ». Il n’existe pas de musulman modéré. Les Musulmans sont soit des jihadistes, soit des jihadistes dormants mais ils ne sont pas modérés. »
Des gens biens sont traités d’islamophobes, de bigots, de racistes et de fascistes parce que le monde préfère les contre-vérités politiquement correctes à la vérité qui dérange. C’est grâce à ce mythe de « l’Islam modéré » que dire la vérité est devenu « tenir un discours de haine ».
« Musulman modéré » n’a pas plus de sens que « nazi modéré ». Un musulman qui ne pratique pas l’Islam ou croit qu’Islam signifie paix n’est pas un musulman modéré mais un musulman à la carte ou un musulman ignorant. »
Quant à ce qu’il pense de « l’islamophobie » :
« Le racisme est la plus basse forme de stupidité humaine, mais l’islamophobie est le summum du bon sens. Phobie signifie peur infondée et irrationnelle. Il n’y a rien d’infondé ni d’irrationnel dans le fait d’avoir peur de l’islam. Seul un demeuré peut se permettre de ne pas avoir peur de la plus grande menace pour le monde et la civilisation. »
Ces réponses devraient la satisfaire et la rassurer quant à la pertinence de son analyse.
Quant à moi je précise ma pensée :
L’Islam est la plus grande arme de destruction massive, des esprits des corps et des nations, que l’homme n’ait jamais inventé !
Alexandra a raison, Riposte laïque a raison, résistance républicaine a raison et tous les patriotes ont raison.
Mais le reste de la population ne se rendra compte de ces évidences que lorsqu’il sera déjà trop tard pour éviter des « rivers of blood »
En effet, le niveau de désinformation, l’apathie pour ne pas dire le fainéantise d’acquisition de l’information sont tels que je désespère que cela n’arrive que dans 10 voire 20 ans.
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Re: Islamophobie
C'est à la suite de la soi-disant révolution islamique de l'ayatollah Khomeyni.
Une américaine, Kate Millet, a écrit des articles sur la barbarie du régime iranien et les intellectuels iraniens l'ont qualifié d'islamophobe. Ils ont envoyé des tueurs pour lui faire passer le goût du pain mais ces tueurs ont échoué comme ils ont échoué avec Salman Ruschdie. Allah Puissant et Sage protège les islamophobes, il n y a pas de doute.
:bounce:
Sans faire de recherche , je peux te dire qu'un Noble Musulman peut sacrifier à Allah de lui même et sans attendre une fatwa:
*l'apostat de l'islam
*dans le cadre de la loi du talion qui est inscrite dans le Saint Coran
*la personne adultère mariée
*de plus, un Noble Hadith ordonne de tuer tout juif qui tombe entre les mains des Nobles Musulmans
*pour l'homosexuel, la Noble Charia ordonne de le précipiter du haut d'une montagne, s'il meurt c'est le jugement d'Allah, s'il survit c'est qu'Allah Puissant et Sage lui a pardonné.
De plus, tu peux constater qu'Israël a aboli la peine capitale alors qu'aucun pays d'islam ne l'a fait à l'exception de la Turquie
Une américaine, Kate Millet, a écrit des articles sur la barbarie du régime iranien et les intellectuels iraniens l'ont qualifié d'islamophobe. Ils ont envoyé des tueurs pour lui faire passer le goût du pain mais ces tueurs ont échoué comme ils ont échoué avec Salman Ruschdie. Allah Puissant et Sage protège les islamophobes, il n y a pas de doute.
dans le livre de Moise il y a plus 16 peines de Mort ... dans le livre de Mohamed il y a une seule peine de mort !! c'est pourquoi la dernière révélation est miséricorde pour l'humanité !!
tu peux - nous citer un exemple de mixage du judaïsme et du christianisme dans le coran ??
:bounce:
Sans faire de recherche , je peux te dire qu'un Noble Musulman peut sacrifier à Allah de lui même et sans attendre une fatwa:
*l'apostat de l'islam
*dans le cadre de la loi du talion qui est inscrite dans le Saint Coran
*la personne adultère mariée
*de plus, un Noble Hadith ordonne de tuer tout juif qui tombe entre les mains des Nobles Musulmans
*pour l'homosexuel, la Noble Charia ordonne de le précipiter du haut d'une montagne, s'il meurt c'est le jugement d'Allah, s'il survit c'est qu'Allah Puissant et Sage lui a pardonné.
De plus, tu peux constater qu'Israël a aboli la peine capitale alors qu'aucun pays d'islam ne l'a fait à l'exception de la Turquie
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Re: Islamophobie
Georges Bensoussan convoqué devant le Tribunal correctionnel de Paris
Le CCIF sera le 25 janvier 2017 au Tribunal Correctionnel de Paris en qualité de partie civile, face à Georges Bensoussan, convoqué en tant que prévenu. Cette convocation fait suite à ses propos mettant gravement à l’index les citoyens de confession musulmane sur les ondes de France Culture, en novembre 2015. Compte tenu de la gravité des propos, le Parquet de Paris, à la suite du signalement du CCIF, a déclenché des poursuites pour « incitation publique à la discrimination, la haine, la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse ».
Pour rappel, le prévenu avait déclaré dans l’émission « Les Répliques », animée par Alain Finkielkraut que:
« Aujourd’hui nous sommes en présence d’un autre peuple au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés. (…). Il n’y aura pas d’intégration tant qu’on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu, comme un secret.».
Et que :
« cet antisémitisme viscéral que l’enquête Fondapol de Dominique Reynié a bien mis en évidence l’année dernière, on ne peut pas le laisser sous silence. Or ça, c’est antinomique de la nation française, il n’y aura pas d’intégration tant qu’on ne se sera pas débarrassées de cet antisémitisme atavique qui est tu comme un secret. Attendez je termine. Il se trouve qu’un sociologue algérien, Smain Laacher d’un très grand courage vient de dire dans le film qui passera sur France 3 « c’est une honte que de maintenir ce tabou, à savoir que dans les familles arabes en France et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tête avec le lait de la mère ». »
Ce sont ces deux affirmations que George Bensoussan devra expliquer aux juges de la 17ème chambre du Tribunal Correctionnel de Paris.
Vous aviez été très nombreux à alerter le CSA dans les jours qui ont suivi ces déclarations. Cette mobilisation avait porté ces fruits puisqu’une mise en garde avait été envoyée par l’organisme à Radio France. Parallèlement, le service juridique du CCIF avait signalé la gravité de ces propos à la Préfecture de Paris.
Le CCIF se félicite que le Parquet de Paris ait décidé diligenter des poursuites. Il envoie ainsi un signal fort en rappelant que les propos de haine sont injustifiables, au moment où la parole islamophobe se libère dans l’espace public.
Les propos de M. Bensoussan doivent être compris exactement pour ce qu’ils sont : des propos dangereux et dignes des discours propagés par l’extrême droite en ce qu’ils sous-tendent que la composante musulmane de la nation française dévalue la France et fait reculer les valeurs démocratiques.
C'est pourtant l’essence même de ces propos qui est anti-démocratique, en ce qu’ils nient la part de citoyenneté d’une partie de la population et la diabolisent.
Nous vous tiendrons informés des suites de cette affaire.
Le CCIF sera le 25 janvier 2017 au Tribunal Correctionnel de Paris en qualité de partie civile, face à Georges Bensoussan, convoqué en tant que prévenu. Cette convocation fait suite à ses propos mettant gravement à l’index les citoyens de confession musulmane sur les ondes de France Culture, en novembre 2015. Compte tenu de la gravité des propos, le Parquet de Paris, à la suite du signalement du CCIF, a déclenché des poursuites pour « incitation publique à la discrimination, la haine, la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance religieuse ».
Pour rappel, le prévenu avait déclaré dans l’émission « Les Répliques », animée par Alain Finkielkraut que:
« Aujourd’hui nous sommes en présence d’un autre peuple au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés. (…). Il n’y aura pas d’intégration tant qu’on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu, comme un secret.».
Et que :
« cet antisémitisme viscéral que l’enquête Fondapol de Dominique Reynié a bien mis en évidence l’année dernière, on ne peut pas le laisser sous silence. Or ça, c’est antinomique de la nation française, il n’y aura pas d’intégration tant qu’on ne se sera pas débarrassées de cet antisémitisme atavique qui est tu comme un secret. Attendez je termine. Il se trouve qu’un sociologue algérien, Smain Laacher d’un très grand courage vient de dire dans le film qui passera sur France 3 « c’est une honte que de maintenir ce tabou, à savoir que dans les familles arabes en France et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tête avec le lait de la mère ». »
Ce sont ces deux affirmations que George Bensoussan devra expliquer aux juges de la 17ème chambre du Tribunal Correctionnel de Paris.
Vous aviez été très nombreux à alerter le CSA dans les jours qui ont suivi ces déclarations. Cette mobilisation avait porté ces fruits puisqu’une mise en garde avait été envoyée par l’organisme à Radio France. Parallèlement, le service juridique du CCIF avait signalé la gravité de ces propos à la Préfecture de Paris.
Le CCIF se félicite que le Parquet de Paris ait décidé diligenter des poursuites. Il envoie ainsi un signal fort en rappelant que les propos de haine sont injustifiables, au moment où la parole islamophobe se libère dans l’espace public.
Les propos de M. Bensoussan doivent être compris exactement pour ce qu’ils sont : des propos dangereux et dignes des discours propagés par l’extrême droite en ce qu’ils sous-tendent que la composante musulmane de la nation française dévalue la France et fait reculer les valeurs démocratiques.
C'est pourtant l’essence même de ces propos qui est anti-démocratique, en ce qu’ils nient la part de citoyenneté d’une partie de la population et la diabolisent.
Nous vous tiendrons informés des suites de cette affaire.
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Re: Islamophobie
C'est le lot de tous ceux qui luttent contre l'islam, contre son expansion et ses idées rétrogrades, avilissantes et attentatoires aux libertés fondamentales de l'être humain. Les apostats ont en plus à gérer outre la réprobation des musulmans mais surtout la haine qu'ils ont contre nous. Je suis allé sur un forum islamo chrétien affiché clairement mon apostasie. Sous le discourt soit disant tolérant, j'ai bien vu leurs haines.
La tactique de l'Islam : Un point fondamental. Ne soyez jamais étonné qu’un propagandiste de l'islam mente par omission ou par action, dissimule ou falsifie car c’est une presciption coranique. Quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La taqya, qui s’écrit aussi takia (dissimulation), est un devoir pour les musulmans en situation d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse, alors les musulmans peuvent envisager l’agression : Coran 47:35 "Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais du mérite de vos œuvres." Quand on s’oppose à un propagandiste de l'islam qui affirme que l’islam est une religion de tolérance, de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes ou antijuives et qu’il est à court d’arguments, il finit toujours par dire au bout du compte "Oui, mais le Coran, pour le comprendre, il faut le lire en arabe." Si tel est le cas, alors tous les convertis et tous les musulmans qui ne lisent pas l'arabe, sont des personnes qui ont adopté une religion sans comprendre le Coran ! Il existe des traductions du Coran acceptables, ne serait-ce que celles utilisées dans les pays non arabophones par les propagandistes de l'islam, traductions qu’on ne peut pas soupçonner d’être islamophobes. Il faut aussi réfuter l’argument récurrent utilisé par des musulmans qui souvent n’ont jamais lu le Coran, ainsi que par des non-musulmans ignorants en islamologie qui jouent les idiots utiles à l’islam et qui affirment que l’islam est une religion comme les autres. Il faut objecter cette affirmation. De nombreux versets incitant au meurtre figurent dans le Coran ( lire les hadiths où Mahomet lui-même commandite de nombreux assassinats). Donc l’islam n'est pas une religion comme les autres.
A la longue liste de versets du Coran appelant clairement au meurtre des mécréants, les propagandistes de l'islam rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer, que se défendre face aux attaques des "méchants" polythéistes. On reconnaît déjà à cette époque la posture victimaire des musulmans. Il faudrait donc croire que les musulmans ont conquis d’immenses territoires au nom d’Allah, uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient. Pour se convaincre au contraire de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre Mahomet, il suffit de lire certaines lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents chefs ou rois, pour les "inviter" à embrasser l’islam : aux chefs des tribus d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie... Voici la "lettre d’invitation" au peuple d’Oman : "Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l'islam. Acceptez mon appel, et vous serez indemne. Je suis le messager de Dieu envoyé l'humanité, et l'annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l'islam, j'accorderai la puissance sur vous. Mais si vous refusez d'accepter l'islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l'étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume. Signé : Mahomet, messager de Dieu."
L’islamophobie n’est ni du racisme, encore moins de la xénophobie, mais l’expression d’un rejet d’ une idéologie impérialiste, qui voue un culte obsessionnel à un dieu sanguinaire prônant la soumission ou la mort des non musulmans. La majorité des atrocités perpétrés de nos jours est le fait de musulmans, qualifiés de fondamentalistes, d’extrémistes, d’islamistes, bref, de pieux musulmans, respectant les prescriptions coraniques à la lettre, n’en déplaise aux islamophiles, grands défenseurs d’un islam mythique de tolérance, d’amour et de paix.
Kamel
La tactique de l'Islam : Un point fondamental. Ne soyez jamais étonné qu’un propagandiste de l'islam mente par omission ou par action, dissimule ou falsifie car c’est une presciption coranique. Quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La taqya, qui s’écrit aussi takia (dissimulation), est un devoir pour les musulmans en situation d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse, alors les musulmans peuvent envisager l’agression : Coran 47:35 "Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais du mérite de vos œuvres." Quand on s’oppose à un propagandiste de l'islam qui affirme que l’islam est une religion de tolérance, de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes ou antijuives et qu’il est à court d’arguments, il finit toujours par dire au bout du compte "Oui, mais le Coran, pour le comprendre, il faut le lire en arabe." Si tel est le cas, alors tous les convertis et tous les musulmans qui ne lisent pas l'arabe, sont des personnes qui ont adopté une religion sans comprendre le Coran ! Il existe des traductions du Coran acceptables, ne serait-ce que celles utilisées dans les pays non arabophones par les propagandistes de l'islam, traductions qu’on ne peut pas soupçonner d’être islamophobes. Il faut aussi réfuter l’argument récurrent utilisé par des musulmans qui souvent n’ont jamais lu le Coran, ainsi que par des non-musulmans ignorants en islamologie qui jouent les idiots utiles à l’islam et qui affirment que l’islam est une religion comme les autres. Il faut objecter cette affirmation. De nombreux versets incitant au meurtre figurent dans le Coran ( lire les hadiths où Mahomet lui-même commandite de nombreux assassinats). Donc l’islam n'est pas une religion comme les autres.
A la longue liste de versets du Coran appelant clairement au meurtre des mécréants, les propagandistes de l'islam rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer, que se défendre face aux attaques des "méchants" polythéistes. On reconnaît déjà à cette époque la posture victimaire des musulmans. Il faudrait donc croire que les musulmans ont conquis d’immenses territoires au nom d’Allah, uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient. Pour se convaincre au contraire de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre Mahomet, il suffit de lire certaines lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents chefs ou rois, pour les "inviter" à embrasser l’islam : aux chefs des tribus d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie... Voici la "lettre d’invitation" au peuple d’Oman : "Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l'islam. Acceptez mon appel, et vous serez indemne. Je suis le messager de Dieu envoyé l'humanité, et l'annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l'islam, j'accorderai la puissance sur vous. Mais si vous refusez d'accepter l'islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l'étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume. Signé : Mahomet, messager de Dieu."
L’islamophobie n’est ni du racisme, encore moins de la xénophobie, mais l’expression d’un rejet d’ une idéologie impérialiste, qui voue un culte obsessionnel à un dieu sanguinaire prônant la soumission ou la mort des non musulmans. La majorité des atrocités perpétrés de nos jours est le fait de musulmans, qualifiés de fondamentalistes, d’extrémistes, d’islamistes, bref, de pieux musulmans, respectant les prescriptions coraniques à la lettre, n’en déplaise aux islamophiles, grands défenseurs d’un islam mythique de tolérance, d’amour et de paix.
Kamel
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Re: Islamophobie
Le terme islamophobie est-il vraiment le cheval de Troie du salafisme en France ?
L’essayiste Isabelle Kersimon, qui a contribué au prochain ouvrage de Georges Bensoussan, ‘Une France Soumise, les voix du refus’ (Albin Michel) revient sur l’apparition du salafisme dans le débat public
Arthur Lancry 17 janvier 2017, 17:30 1
L'essayiste Isabelle Kersimon lors d'un passage sur LCI (Crédit: capture d'écran)
Newsroom
A l’occasion de la sortie du livre « Une France soumise, les voix du refus » dirigé par Georges Bensoussan et préfacé par Elisabeth Badinter, l’essayiste Isabelle Kersimon explique comment l’apparition du terme « islamophobie », concept en forme de cheval de Troie du salafisme selon elle, a aussi occulté le véritable racisme anti-musulman.
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Times of Israel : Quel est l’objectif du prochain livre de Georges Bensoussan auquel vous avez contribué ?
Isabelle Kersimon : Il s’agit d’une poursuite de ses travaux parus en 2002 : « Les territoires perdus de la République ». Dans ce nouvel opus, il a décidé de donner la parole à toutes les personnes confrontées à l’islamisme intégriste. Plusieurs témoignages de policiers, professeurs ont ainsi été recueillis et complétés par d’autres contributions. Le livre présente aussi le témoignage de citoyens qui se battent contre ce phénomène, pour défendre la laïcité.
Vous décrivez de manière édifiante le passage dans l’imagination collective, de « la beurette en proie à la discrimination raciale » dans les années 90, à la « jeune fille voilée victime d’islamophobie » contemporaine.
Rappelez-vous l’état d’esprit inclusif qui régnait dans le milieu des années 80 et durant la « Marche des beurs ». Les slogans clamaient « Nous sommes des Français issus de l’immigration maghrébine » (le slogan du groupe « Convergence 1984 » était « La France, c’est comme une mobylette, pour avancer, il lui faut du mélange »- Ndlr). Et c’est vrai : il y avait un racisme effectif en France, contre ces immigrés algériens ayant grandi dans des cites, on disait des « quartiers » à l’époque, et provenant de familles modestes constituées d’une mère au foyer et d’un père ouvrier. Mais ils se battaient pour faire valoir qu’ils étaient Français. Pas contre la France.
Ces jeunes filles qu’on appelait « beurettes » étaient victimes de racisme. Et ce racisme existe encore, mais je l’appelle racisme anti-musulman. Le concept « d’islamophobie » c’est autre chose, c’est une tentative de manipulation.
Un concept auquel vous dévouez une partie importante de votre temps, puisque, en plus de votre activité d’essayiste, vous êtes rédactrice en chef du site Islamophobie.org. Pourquoi tant d’attention ?
Le concept d’islamophobie avait disparu du débat public pendant plusieurs décennies. Il est réapparu en France après la révolution islamique iranienne. C’est le prédicateur Tariq Ramadan qui, le premier, « popularise » le terme en citant un rapport universitaire dans le Monde diplomatique, dirigé par un Alain Gresh largement acquis sinon à ses thèses, du moins à sa personnalité charismatique. « On peut même parler d’une sorte d’islamophobie, selon le titre de la précieuse étude commandée en Grande-Bretagne par le Runnymede Trust », écrit Ramadan.
Tariq Ramadan (Crédit : capture d’écran YouTube)
Depuis le concept a gagné en popularité. Mais c’est un terme à tiroir renfermant plusieurs objectifs: celui de faire passer toute « la » communauté musulmane (alors qu’elle est éminemment plurielle) pour une victime de l’Occident, et aussi celui de faire plier la République sur l’émancipation des femmes, la laïcité et la liberté d’expression.
Vous décrivez les anti-racistes des années 90 et 2000 comme des acteurs parfois passifs parfois actifs ayant l’air un peu dépassés face à l’apparition du mouvement frero-salafiste dans leurs rangs.
Le combat du racisme anti-musulman a été repris en main par les Frères musulmans. S’il existe un débat légitime sur la discrimination sociale et ethnique, il s’avérera par la suite que ce combat-là a été le lieu où est apparue l’idéologie islamique intégriste. C’est par là que le salafisme est entré dans le débat public français. Je précise que j’appelle intégriste le fait d’utiliser une idéologie à des faits politiques, un des objectifs actuels de ces mouvances étant de faire abroger la loi de 2004 afin d’autoriser le port du voile aux mineures.
Et les acteurs anti-racistes ont laissé faire ?
Pas tous, non. Il y a eu des clashs. En 2005, Antoine Spire a quitté la Ligue des droits de l’Homme lorsqu’elle a commencé à lutter « contre l’islamophobie aux côtés de Tariq Ramadan, de Mouloud Aounit et d’autres. Mais cela s’est fait progressivement et habilement.
Même Malek Boutih, qu’on aurait du mal à qualifier de conciliant avec ces idéologies s’est fait avoir avant de revenir sur ses déclarations. Ramadan n’a pas réussi à convaincre toute la gauche anti-raciste. Il y a eu aussi des clashs au Mrap. Il existe un grand désaccord, aujourd’hui encore, entre les militants.
Que pensez-vous des propos tenus par Georges Benssoussan lors d’une émission présentée par Alain Finkielkraut (« Dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère ») qui lui vaut un procès sur une initiative du CCIF ?
Je n’aurais pas dit les choses comme lui, mais on lui fait un mauvais procès. Cet homme n’est pas raciste. Mohamemd Sifaoui a écrit quelque chose de semblable en 2014 sur le Huffington Post sans qu’un tel débat n’ait lieu. C’est injuste et même dégueulasse, excusez-moi du mot, d’attaquer Bensoussan, car on salit un homme et son intégrité, en tentant de le faire passer pour ce qu’il n’est pas.
Je dois ajouter que j’ai interviewé Abdelgani Merah, le frère de Mohammed Merah à ce sujet : il raconte bien avoir baigné, durant toute son enfance, dans un antisémitisme virulent. C’est une réalité qu’on doit prendre à bras le corps
L’essayiste Isabelle Kersimon, qui a contribué au prochain ouvrage de Georges Bensoussan, ‘Une France Soumise, les voix du refus’ (Albin Michel) revient sur l’apparition du salafisme dans le débat public
Arthur Lancry 17 janvier 2017, 17:30 1
L'essayiste Isabelle Kersimon lors d'un passage sur LCI (Crédit: capture d'écran)
Newsroom
A l’occasion de la sortie du livre « Une France soumise, les voix du refus » dirigé par Georges Bensoussan et préfacé par Elisabeth Badinter, l’essayiste Isabelle Kersimon explique comment l’apparition du terme « islamophobie », concept en forme de cheval de Troie du salafisme selon elle, a aussi occulté le véritable racisme anti-musulman.
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Times of Israel : Quel est l’objectif du prochain livre de Georges Bensoussan auquel vous avez contribué ?
Isabelle Kersimon : Il s’agit d’une poursuite de ses travaux parus en 2002 : « Les territoires perdus de la République ». Dans ce nouvel opus, il a décidé de donner la parole à toutes les personnes confrontées à l’islamisme intégriste. Plusieurs témoignages de policiers, professeurs ont ainsi été recueillis et complétés par d’autres contributions. Le livre présente aussi le témoignage de citoyens qui se battent contre ce phénomène, pour défendre la laïcité.
Vous décrivez de manière édifiante le passage dans l’imagination collective, de « la beurette en proie à la discrimination raciale » dans les années 90, à la « jeune fille voilée victime d’islamophobie » contemporaine.
Rappelez-vous l’état d’esprit inclusif qui régnait dans le milieu des années 80 et durant la « Marche des beurs ». Les slogans clamaient « Nous sommes des Français issus de l’immigration maghrébine » (le slogan du groupe « Convergence 1984 » était « La France, c’est comme une mobylette, pour avancer, il lui faut du mélange »- Ndlr). Et c’est vrai : il y avait un racisme effectif en France, contre ces immigrés algériens ayant grandi dans des cites, on disait des « quartiers » à l’époque, et provenant de familles modestes constituées d’une mère au foyer et d’un père ouvrier. Mais ils se battaient pour faire valoir qu’ils étaient Français. Pas contre la France.
Ces jeunes filles qu’on appelait « beurettes » étaient victimes de racisme. Et ce racisme existe encore, mais je l’appelle racisme anti-musulman. Le concept « d’islamophobie » c’est autre chose, c’est une tentative de manipulation.
Un concept auquel vous dévouez une partie importante de votre temps, puisque, en plus de votre activité d’essayiste, vous êtes rédactrice en chef du site Islamophobie.org. Pourquoi tant d’attention ?
Le concept d’islamophobie avait disparu du débat public pendant plusieurs décennies. Il est réapparu en France après la révolution islamique iranienne. C’est le prédicateur Tariq Ramadan qui, le premier, « popularise » le terme en citant un rapport universitaire dans le Monde diplomatique, dirigé par un Alain Gresh largement acquis sinon à ses thèses, du moins à sa personnalité charismatique. « On peut même parler d’une sorte d’islamophobie, selon le titre de la précieuse étude commandée en Grande-Bretagne par le Runnymede Trust », écrit Ramadan.
Tariq Ramadan (Crédit : capture d’écran YouTube)
Depuis le concept a gagné en popularité. Mais c’est un terme à tiroir renfermant plusieurs objectifs: celui de faire passer toute « la » communauté musulmane (alors qu’elle est éminemment plurielle) pour une victime de l’Occident, et aussi celui de faire plier la République sur l’émancipation des femmes, la laïcité et la liberté d’expression.
Vous décrivez les anti-racistes des années 90 et 2000 comme des acteurs parfois passifs parfois actifs ayant l’air un peu dépassés face à l’apparition du mouvement frero-salafiste dans leurs rangs.
Le combat du racisme anti-musulman a été repris en main par les Frères musulmans. S’il existe un débat légitime sur la discrimination sociale et ethnique, il s’avérera par la suite que ce combat-là a été le lieu où est apparue l’idéologie islamique intégriste. C’est par là que le salafisme est entré dans le débat public français. Je précise que j’appelle intégriste le fait d’utiliser une idéologie à des faits politiques, un des objectifs actuels de ces mouvances étant de faire abroger la loi de 2004 afin d’autoriser le port du voile aux mineures.
Et les acteurs anti-racistes ont laissé faire ?
Pas tous, non. Il y a eu des clashs. En 2005, Antoine Spire a quitté la Ligue des droits de l’Homme lorsqu’elle a commencé à lutter « contre l’islamophobie aux côtés de Tariq Ramadan, de Mouloud Aounit et d’autres. Mais cela s’est fait progressivement et habilement.
Même Malek Boutih, qu’on aurait du mal à qualifier de conciliant avec ces idéologies s’est fait avoir avant de revenir sur ses déclarations. Ramadan n’a pas réussi à convaincre toute la gauche anti-raciste. Il y a eu aussi des clashs au Mrap. Il existe un grand désaccord, aujourd’hui encore, entre les militants.
Que pensez-vous des propos tenus par Georges Benssoussan lors d’une émission présentée par Alain Finkielkraut (« Dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère ») qui lui vaut un procès sur une initiative du CCIF ?
Je n’aurais pas dit les choses comme lui, mais on lui fait un mauvais procès. Cet homme n’est pas raciste. Mohamemd Sifaoui a écrit quelque chose de semblable en 2014 sur le Huffington Post sans qu’un tel débat n’ait lieu. C’est injuste et même dégueulasse, excusez-moi du mot, d’attaquer Bensoussan, car on salit un homme et son intégrité, en tentant de le faire passer pour ce qu’il n’est pas.
Je dois ajouter que j’ai interviewé Abdelgani Merah, le frère de Mohammed Merah à ce sujet : il raconte bien avoir baigné, durant toute son enfance, dans un antisémitisme virulent. C’est une réalité qu’on doit prendre à bras le corps
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Re: Islamophobie
Procès Bruckner : une défaite pour les «collabos» de l'islamisme
Par Alexandre Devecchio Publié le 19/01/2017 à 13:01
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Deux associations qui avaient attaqué Pascal Bruckner pour diffamation suite à des propos sur l'islamisme ont été déboutées par la justice. Pour Laurent Bouvet, c'est une victoire importante pour la liberté d'expression.
Laurent Bouvet est professeur de Science politique à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Il a publié L'Insécurité culturelle chez Fayard en 2015.
FIGAROVOX. - Pascal Bruckner comparaissait mercredi devant la 17e chambre pour des propos visant deux associations, selon lui, «complices idéologiques» des terroristes: «Les Indivisibles» de la militante antiraciste Rokhaya Diallo (qui n'en est plus membre) et «Les Indigènes de la République» d'Houria Bouteldja. Le philosophe avait déclaré sur le plateau de «28 Minutes», une émission d'Arte, qu'il fallait «faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie» et accusé ces associations de «justifier idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo». Que pensez-vous de cette décision? Est-ce une victoire de la liberté d'expression?
Laurent BOUVET. - Cette décision est importante. D'abord, en effet, parce qu'elle est une victoire de la liberté d'expression. Une liberté d'expression de tous ceux qui refusent de se laisser intimider par les entrepreneurs identitaires, comme les Indivisibles ou le PIR, qui utilisent tous les moyens possibles (des réseaux sociaux à la justice) pour faire progresser leur vision communautariste et séparatiste sur une base ethno-raciale dans la société française.
Cette décision met en évidence la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste.
C'est aussi une décision importante parce qu'elle met en évidence un phénomène souligné notamment par Pascal Bruckner dans son propos incriminé: la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste ou de l'islam politique. Il s'agit en effet d'une différence de degré mais pas de nature entre les unes et les autres. On peut rappeler ici les propos tenus par certains des entrepreneurs identitaires en novembre 2011, après la première attaque contre les locaux de Charlie Hebdo au cocktail molotov: «Il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance, que le buzz médiatique et l'islamophobie ambiante assureront certainement à l'hebdomadaire, au moins ponctuellement, des ventes décuplées, comme cela s'était produit à l'occasion de la première «affaire des caricatures» -bref: que ce fameux cocktail molotov risque plutôt de relancer pour un tour un hebdomadaire qui, ces derniers mois, s'enlisait en silence dans la mévente et les difficultés financières».
Ce qui est réconfortant, c'est que la justice n'est pas dupe de la stratégie de ces gens.
Sur le fond, le mot «collabo» employé par Bruckner n'est-il pas excessif?
Le mot paraît fort parce qu'il renvoie à la Seconde Guerre mondiale et à l'Occupation, aux «collabos» français avec le nazisme. Mais au-delà de cette évocation historique, il dit bien ce qu'est cette continuité idéologique. Quand on justifie ainsi un premier acte de violence contre un journal comme Charlie Hebdo parce qu'on n'en apprécie pas le contenu, on joue un jeu dangereux dont la tuerie du 7 janvier 2015 sera l'aboutissement tragique. Si les frères Kouachi sont passés à l'acte, ce n'est bien évidemment pas en raison de telles déclarations mais elles font partie d'un contexte général, d'un contexte défavorable à la liberté d'expression dont Charlie Hebdo était déjà un symbole depuis l'affaire des caricatures de Mahomet.
Avec le recul, le débat déclenché par ce procès n'a-t-il pas été salutaire ?
Tout débat de ce genre est salutaire.
Tout débat de ce genre est salutaire. Il permet d'éclairer, publiquement, les positions des uns et des autres, de mettre à jour les stratégies de ces entrepreneurs identitaires comme les islamistes. Il permet de le faire de manière impartiale, devant la justice. Chacun peut alors comprendre, on peut l'espérer, où est non pas la vérité mais la défense de la liberté, d'un certain nombre de principes qui nous permettent de continuer, malgré nos différences et nos différends, de partager l'essentiel, notre commun. En France, en l'espèce, il s'agit de la laïcité, de la liberté d'expression et du droit à la caricature y compris à propos de la religion - du refus de toute idée de blasphème.
Lors du procès, Sihem Habchi, ancienne présidente de «Ni putes ni soumises» a évoqué un «fascisme vert», mais aussi un «fascisme blanc» - qui propage «l'idéologie de l'opprimé et installe l'idée que ces jeunes ne sortiront jamais de leur condition et que les coupables sont la République et la France». Certains intellectuels ont-ils aussi une responsabilité dans cette dérive?
Oui, cette forme d'explication de tous les phénomènes dans la société par le social, et plus précisément par les effets de domination sociale, caractéristique aujourd'hui de tout un pan des sciences sociales françaises fournit son carburant en quelque sorte aux entreprises identitaires. Elle permet en effet à tous ceux qui agissent politiquement sous le couvert de la religion - de l'islam politique tout spécialement - de justifier leur idéologie par une forme d'empirisme qui serait incontestable et imparable. Les jeunes qui versent dans le djihad, par exemple, seraient des dominés, des exclus et des discriminés à la fois, «victimes» (avant donc d'être coupables de quoi que ce soit) des inégalités et de «l'islamophobie» d'une société française décrite comme fermée et figée dans une identité spécifique (laïque, «blanche», occidentale, chrétienne, etc.).
Cette rencontre de la sociologie dite critique et des dérives idéologiques contemporaines conduisent à de bien étranges positionnements.
Cette rencontre de la sociologie dite critique et des dérives idéologiques contemporaines conduisent, au sein de la gauche radicale ou encore du féminisme notamment, à de bien étranges positionnements. Celui, par exemple, qui consiste à expliquer que l'émancipation des femmes musulmanes passe par la liberté de porter le voile. Une liberté non seulement totalement individualisée mais qui ne s'embarrasse même plus de la question de la domination masculine.
Bref, nous assistons là à un naufrage idéologique de toute une partie de la gauche, politique et intellectuelle qui, sous couvert de poursuite de la lutte pour l'émancipation et contre la domination, se retrouve à justifier les pires atteintes aux libertés. D'autant que cette fois, contrairement à ce qui a pu se passer au XXème siècle notamment, ces atteintes aux libertés se font au nom de la religion.
Cette affaire interroge aussi deux concepts qui ont été banalisés par les médias: celui d'«islamophobie» et de «racisme d'État»…?
Exactement. Le déploiement dans le débat public ces dernières années, sous l'impulsion de ces entrepreneurs identitaires (on pense aussi pour «l'islamophobie» au CCIF notamment) et de certains intellectuels et chercheurs, de tels «concepts» est le signe le plus frappant du naufrage dont je parlais à l'instant. Qu'ils soient repris tels quels par certains médias qui les propagent sans les interroger en dit long aussi sur la capitulation d'une partie de la presse.
Ces «concepts» d'islamophobie et de racisme d'État ne sont pourtant que des instruments au service d'un combat idéologique.
Ces «concepts» ne sont pourtant que des instruments au service d'un combat idéologique. Ils servent en particulier, c'était tout l'enjeu de ce procès, à tenter de décrédibiliser et de disqualifier - c'est le cas aussi à l'Université - tous ceux qui refusent cette nouvelle doxa identitaire qui divise et catégorise les uns et les autres en fonction de leur religion, de la couleur de leur peau ou d'ailleurs aussi de leur genre. Le processus est simple: toute critique de l'islamisme, de l'islam politique, des délires «décoloniaux»… est une critique «islamophobe» ou raciste. Il s'agit d'une pensée par amalgame: toute critique de l'islamisme est une critique de l'islam, donc des musulmans ; toute critique du séparatisme racialiste «décolonial» est une critique de la lutte contre le racisme, une pratique de «blanc» héritier du colonialisme et de l'esclavage, donc nécessairement favorable à ceux-ci. Fausse transitivité et syllogismes permanents sont à la base de ces procès permanents intentés à quiconque se risque à la critique - une belle démonstration au passage que l'idée même de critique serait réservée à certains chercheurs et interdite à d'autres en fonction de l'orientation politique de ce qu'ils disent!
Ultime étape, l'attribution de ces caractères discriminatoires généralisants à l'État lui-même.
Ultime étape, l'attribution de ces caractères discriminatoires généralisants à l'État lui-même. On retrouve là, au niveau institutionnel, exactement le même processus que celui appliqué aux individus ; un processus qui se situe toujours à la croisée de l'entreprise idéologique identitaire et de sciences sociales au service, plus ou moins conscient, de celle-ci. L'État est lui-même «islamophobe» et raciste, comme il est «colonial» dans la double mesure où il a pu l'être par le passé (transitivité dans le temps) et où il ne peut concrètement guérir par ses politiques publiques toutes les meurtrissures identitaires contemporaines (transitivité dans l'action ou l'inaction plus exactement). L'État est donc non seulement responsable mais coupable, et il doit être à ce titre dénoncé, attaqué et, dans la version la plus violente, abîmé ou détruit. On retrouve ici à la fois un discours assez classique de l'ultra-gauche, en partie issu de l'anarchisme bien évidemment, mais encore toute une rhétorique - souvent élaborée des agents publics d'ailleurs! - anti-républicaine et très hostile au modèle laïque français. Une rhétorique qui va le plus souvent puiser dans le libéralisme culturel à l'anglo-saxonne un modèle alternatif.
La contradiction, au sein de cette gauche radicale ou critique, entre d'un côté cette quête incessante d'un idéal libéral, individualiste, séparatiste et différentialiste en matière identitaire, et de l'autre un antilibéralisme militant en matière économique, est une source perpétuelle d'interrogation ; en même temps qu'elle est un obstacle, ce dont on ne peut que se féliciter, à la diffusion de telles idées au sein d'une population plus large, au-delà des meetings et rassemblement de ces associations identitaires, des séances de séminaire et les colloques de ces chercheurs ou des pages des médias qui en livrent complaisamment le feuilleton.
Par Alexandre Devecchio Publié le 19/01/2017 à 13:01
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Deux associations qui avaient attaqué Pascal Bruckner pour diffamation suite à des propos sur l'islamisme ont été déboutées par la justice. Pour Laurent Bouvet, c'est une victoire importante pour la liberté d'expression.
Laurent Bouvet est professeur de Science politique à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Il a publié L'Insécurité culturelle chez Fayard en 2015.
FIGAROVOX. - Pascal Bruckner comparaissait mercredi devant la 17e chambre pour des propos visant deux associations, selon lui, «complices idéologiques» des terroristes: «Les Indivisibles» de la militante antiraciste Rokhaya Diallo (qui n'en est plus membre) et «Les Indigènes de la République» d'Houria Bouteldja. Le philosophe avait déclaré sur le plateau de «28 Minutes», une émission d'Arte, qu'il fallait «faire le dossier des collabos, des assassins de Charlie» et accusé ces associations de «justifier idéologiquement la mort des journalistes de Charlie Hebdo». Que pensez-vous de cette décision? Est-ce une victoire de la liberté d'expression?
Laurent BOUVET. - Cette décision est importante. D'abord, en effet, parce qu'elle est une victoire de la liberté d'expression. Une liberté d'expression de tous ceux qui refusent de se laisser intimider par les entrepreneurs identitaires, comme les Indivisibles ou le PIR, qui utilisent tous les moyens possibles (des réseaux sociaux à la justice) pour faire progresser leur vision communautariste et séparatiste sur une base ethno-raciale dans la société française.
Cette décision met en évidence la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste.
C'est aussi une décision importante parce qu'elle met en évidence un phénomène souligné notamment par Pascal Bruckner dans son propos incriminé: la continuité idéologique entre les formes les plus violentes, terroristes et djihadistes, et les formes les plus anodines de la dérive islamiste ou de l'islam politique. Il s'agit en effet d'une différence de degré mais pas de nature entre les unes et les autres. On peut rappeler ici les propos tenus par certains des entrepreneurs identitaires en novembre 2011, après la première attaque contre les locaux de Charlie Hebdo au cocktail molotov: «Il n'y a pas lieu de s'apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance, que le buzz médiatique et l'islamophobie ambiante assureront certainement à l'hebdomadaire, au moins ponctuellement, des ventes décuplées, comme cela s'était produit à l'occasion de la première «affaire des caricatures» -bref: que ce fameux cocktail molotov risque plutôt de relancer pour un tour un hebdomadaire qui, ces derniers mois, s'enlisait en silence dans la mévente et les difficultés financières».
Ce qui est réconfortant, c'est que la justice n'est pas dupe de la stratégie de ces gens.
Sur le fond, le mot «collabo» employé par Bruckner n'est-il pas excessif?
Le mot paraît fort parce qu'il renvoie à la Seconde Guerre mondiale et à l'Occupation, aux «collabos» français avec le nazisme. Mais au-delà de cette évocation historique, il dit bien ce qu'est cette continuité idéologique. Quand on justifie ainsi un premier acte de violence contre un journal comme Charlie Hebdo parce qu'on n'en apprécie pas le contenu, on joue un jeu dangereux dont la tuerie du 7 janvier 2015 sera l'aboutissement tragique. Si les frères Kouachi sont passés à l'acte, ce n'est bien évidemment pas en raison de telles déclarations mais elles font partie d'un contexte général, d'un contexte défavorable à la liberté d'expression dont Charlie Hebdo était déjà un symbole depuis l'affaire des caricatures de Mahomet.
Avec le recul, le débat déclenché par ce procès n'a-t-il pas été salutaire ?
Tout débat de ce genre est salutaire.
Tout débat de ce genre est salutaire. Il permet d'éclairer, publiquement, les positions des uns et des autres, de mettre à jour les stratégies de ces entrepreneurs identitaires comme les islamistes. Il permet de le faire de manière impartiale, devant la justice. Chacun peut alors comprendre, on peut l'espérer, où est non pas la vérité mais la défense de la liberté, d'un certain nombre de principes qui nous permettent de continuer, malgré nos différences et nos différends, de partager l'essentiel, notre commun. En France, en l'espèce, il s'agit de la laïcité, de la liberté d'expression et du droit à la caricature y compris à propos de la religion - du refus de toute idée de blasphème.
Lors du procès, Sihem Habchi, ancienne présidente de «Ni putes ni soumises» a évoqué un «fascisme vert», mais aussi un «fascisme blanc» - qui propage «l'idéologie de l'opprimé et installe l'idée que ces jeunes ne sortiront jamais de leur condition et que les coupables sont la République et la France». Certains intellectuels ont-ils aussi une responsabilité dans cette dérive?
Oui, cette forme d'explication de tous les phénomènes dans la société par le social, et plus précisément par les effets de domination sociale, caractéristique aujourd'hui de tout un pan des sciences sociales françaises fournit son carburant en quelque sorte aux entreprises identitaires. Elle permet en effet à tous ceux qui agissent politiquement sous le couvert de la religion - de l'islam politique tout spécialement - de justifier leur idéologie par une forme d'empirisme qui serait incontestable et imparable. Les jeunes qui versent dans le djihad, par exemple, seraient des dominés, des exclus et des discriminés à la fois, «victimes» (avant donc d'être coupables de quoi que ce soit) des inégalités et de «l'islamophobie» d'une société française décrite comme fermée et figée dans une identité spécifique (laïque, «blanche», occidentale, chrétienne, etc.).
Cette rencontre de la sociologie dite critique et des dérives idéologiques contemporaines conduisent à de bien étranges positionnements.
Cette rencontre de la sociologie dite critique et des dérives idéologiques contemporaines conduisent, au sein de la gauche radicale ou encore du féminisme notamment, à de bien étranges positionnements. Celui, par exemple, qui consiste à expliquer que l'émancipation des femmes musulmanes passe par la liberté de porter le voile. Une liberté non seulement totalement individualisée mais qui ne s'embarrasse même plus de la question de la domination masculine.
Bref, nous assistons là à un naufrage idéologique de toute une partie de la gauche, politique et intellectuelle qui, sous couvert de poursuite de la lutte pour l'émancipation et contre la domination, se retrouve à justifier les pires atteintes aux libertés. D'autant que cette fois, contrairement à ce qui a pu se passer au XXème siècle notamment, ces atteintes aux libertés se font au nom de la religion.
Cette affaire interroge aussi deux concepts qui ont été banalisés par les médias: celui d'«islamophobie» et de «racisme d'État»…?
Exactement. Le déploiement dans le débat public ces dernières années, sous l'impulsion de ces entrepreneurs identitaires (on pense aussi pour «l'islamophobie» au CCIF notamment) et de certains intellectuels et chercheurs, de tels «concepts» est le signe le plus frappant du naufrage dont je parlais à l'instant. Qu'ils soient repris tels quels par certains médias qui les propagent sans les interroger en dit long aussi sur la capitulation d'une partie de la presse.
Ces «concepts» d'islamophobie et de racisme d'État ne sont pourtant que des instruments au service d'un combat idéologique.
Ces «concepts» ne sont pourtant que des instruments au service d'un combat idéologique. Ils servent en particulier, c'était tout l'enjeu de ce procès, à tenter de décrédibiliser et de disqualifier - c'est le cas aussi à l'Université - tous ceux qui refusent cette nouvelle doxa identitaire qui divise et catégorise les uns et les autres en fonction de leur religion, de la couleur de leur peau ou d'ailleurs aussi de leur genre. Le processus est simple: toute critique de l'islamisme, de l'islam politique, des délires «décoloniaux»… est une critique «islamophobe» ou raciste. Il s'agit d'une pensée par amalgame: toute critique de l'islamisme est une critique de l'islam, donc des musulmans ; toute critique du séparatisme racialiste «décolonial» est une critique de la lutte contre le racisme, une pratique de «blanc» héritier du colonialisme et de l'esclavage, donc nécessairement favorable à ceux-ci. Fausse transitivité et syllogismes permanents sont à la base de ces procès permanents intentés à quiconque se risque à la critique - une belle démonstration au passage que l'idée même de critique serait réservée à certains chercheurs et interdite à d'autres en fonction de l'orientation politique de ce qu'ils disent!
Ultime étape, l'attribution de ces caractères discriminatoires généralisants à l'État lui-même.
Ultime étape, l'attribution de ces caractères discriminatoires généralisants à l'État lui-même. On retrouve là, au niveau institutionnel, exactement le même processus que celui appliqué aux individus ; un processus qui se situe toujours à la croisée de l'entreprise idéologique identitaire et de sciences sociales au service, plus ou moins conscient, de celle-ci. L'État est lui-même «islamophobe» et raciste, comme il est «colonial» dans la double mesure où il a pu l'être par le passé (transitivité dans le temps) et où il ne peut concrètement guérir par ses politiques publiques toutes les meurtrissures identitaires contemporaines (transitivité dans l'action ou l'inaction plus exactement). L'État est donc non seulement responsable mais coupable, et il doit être à ce titre dénoncé, attaqué et, dans la version la plus violente, abîmé ou détruit. On retrouve ici à la fois un discours assez classique de l'ultra-gauche, en partie issu de l'anarchisme bien évidemment, mais encore toute une rhétorique - souvent élaborée des agents publics d'ailleurs! - anti-républicaine et très hostile au modèle laïque français. Une rhétorique qui va le plus souvent puiser dans le libéralisme culturel à l'anglo-saxonne un modèle alternatif.
La contradiction, au sein de cette gauche radicale ou critique, entre d'un côté cette quête incessante d'un idéal libéral, individualiste, séparatiste et différentialiste en matière identitaire, et de l'autre un antilibéralisme militant en matière économique, est une source perpétuelle d'interrogation ; en même temps qu'elle est un obstacle, ce dont on ne peut que se féliciter, à la diffusion de telles idées au sein d'une population plus large, au-delà des meetings et rassemblement de ces associations identitaires, des séances de séminaire et les colloques de ces chercheurs ou des pages des médias qui en livrent complaisamment le feuilleton.
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Re: Islamophobie
La question allemande et l’islam – par Guillaume Faye
21/01/2017 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
Pour la première fois, l’Allemagne a été frappée par un attentat musulman d’envergure revendiqué par Dae’ch, le 19 décembre 2016, dans le symbolique marché de Noël de Berlin, après une série de moindres attaques annonciatrices. Le terme ”musulman” est préférable à ”islamiste”, car ce dernier vocable suggère qu’il ne s’agit pas de l’islam mais de sa déformation extrémiste. Ce qui est faux : l’islamisme et toutes ses exactions, dont le terrorisme, sont le produit du véritable islam, parfaitement conforme au Coran, livre de chevet de tous les djihadistes. Cet attentat est la conséquence de la politique d’encouragement de l’invasion migratoire de son pays – et des voisins européens– de la très perverse chancelière Angela Merkel, folle vêtue de la robe des sages. Le nouveau Président Trump a parfaitement compris la nocivité de la Chancelière.
Face à l’agression, la réponse bisounours
Et comme toujours, à cet attentat de Berlin, on a réagi avec des larmes, des bougies, des bouquets de fleurs, des pleurs, des pardons. Les Allemands sont aussi affaiblis que les Français, voire plus. On exprime la ”tristesse”, pas la colère. On donne de soi une image de défaite, de déréliction et donc de soumission, catastrophique.
Les viols et agressions sexuelles de masse commis à Cologne par des Maghrébins (faux réfugies et vrais envahisseurs) pour le nouvel an 2015 contre des Allemandes de souche n’ont pas tellement fait réagir l’opinion allemande (sauf une minorité diabolisée comme politiquement incorrecte), totalement abrutie par la propagande du système. Ces faits participent du début de la guerre civile ethnique qui menace l’Europe.
Après l’attentat de Berlin ; Angela Merkel s’est dite « très fière du calme avec lequel un grand nombre de personnes ont réagi à la situation ». Ce ”calme” n’est que de l’apathie et de la soumission. Et Angela Merkel est objectivement complice – organisatrice plutôt – du processus d’invasion migratoire et donc de tous les maux que cela provoque, dont la criminalité et le terrorisme. Le cynisme froid de cette femme de tête obéit à une logique, non pas en fait la plus nuisible des dirigeants politiques européens depuis 1945. Et, malheureusement, la plus influente, du fait du rabaissement tragi-comique du partenaire français – entièrement de sa faute, l’Allemagne n’étant pour rien ans les clowneries de François Hollande.
En Allemagne, 168.000 clandestins déboutés du droit d’asile restent en attente d’expulsion. Ils ne risquent pas grand–chose, tout comme en France et ailleurs en Europe. Les agressions sexuelles massives du nouvel ans 2015 à Cologne par de faux réfugiés maghrébins (voir plus haut) ont été réfutées dans leur réalité par l’idéologie antiraciste du déni, dont Mme Merkel est la gardienne, elle qui a invité et fait entrer plus d’un million d’envahisseurs, appelés ”migrants”, et qui continuera à le faire si elle est réélue. Une partie de l’opinion publique allemande, abrutie et infantilisée, appelle la chancelière Mutti (”maman”), comme si elle était une protectrice du peuple allemand ; alors qu’elle en est une destructrice.
L’Allemagne, malade et masochiste
En pleine forme économique (provisoire), l’Allemagne meurt néanmoins à petit feu, pour d’implacables raisons démographiques. Elle vit son chant du cygne, sa dernière illusion. De moins en moins de jeunes Allemand(e)s de souche naissent et se reproduisent. Le pays doit aller chercher sa main d’œuvre ailleurs. Un peuple qui vieillit est comme un capital qui s’épuise. Si rien ne change, dans deux générations, le peuple allemand aura disparu sous le double choc de la dénatalité et de l’invasion migratoire. C’est plié. Même la langue allemande deviendra doucement une langue morte. La dégermanisation de l’Allemagne est entamée.
Notons que l’Allemagne (l’oligarchie et non l’opinion populaire, le peuple allemand) qui se croyait à l’abri des frappes terroristes musulmanes parce qu’elle n’a pas de passé colonial, qui a toujours manifesté une islamophilie et une turcophilie, a été frappée par les tueurs musulmans. Ironie de l’histoire : le Troisième Reich soutenait l’islam, et le Deuxième était allié du Sultan ottoman pendant la Première guerre mondiale. Les rapports de l’Allemagne et de l’islam sont troubles ; et ce dernier montre une singulière ingratitude. C’est sa marque de fabrique. La naïveté allemande, marquée par la culpabilité, n’en est que plus tragique.
Selon Ivan Rioufol, « la société allemande est dévastée par la culpabilisation. Ainsi meurent les civilisations émasculées et décadentes ». Comme en France, voire pis encore, « les citoyens sont anesthésiés par l’idéologie du grand mélangisme. […] L’Occident évitera la débâcle s’il renoue avec l’autorité, la force, la guerre. L’islamophilie d’Obama a accentué la vulnérabilité du monde libre, que Merkel a trahi en ouvrant les portes à plus d’un million de musulmans au nom de la ”diversité” » (Le Figaro, 0/01/2017).
L’irresponsabilité allemande menace l’Europe et le peuple allemand
La naïveté et l’angélisme règnent en Allemagne plus qu’ailleurs et cela frise la perversité. Ce pays a accueilli en un an un million de réfugiés et le flux continue. Mme Merkel est une destructrice de la civilisation européenne. Appels irresponsables à l’accueil de ”migrants” et de ”réfugiés” (à 90 % faux persécutés et envahisseurs) frontières ouvertes, contrôles déficients, laxisme judiciaire, police molle, la liste est longue des dérapages de l’ État allemand, pires que ceux de ses voisins européens.
Le racisme délirant de Hitler doit être mis en parallèle avec l’antiracisme délirant de Mme Merkel. Le résultat est le même : une catastrophe pour l’Europe. De nature criminelle, dans les deux cas, directe dans le premier, indirecte dans le second. Avec la bêtise en prime. Autant il y a, dans la civilisation européenne, une grandeur allemande par ses apports culturels et scientifiques, par ses réussites économiques, autant, sur le plan politique, l’Allemagne, dès qu’elle s’impose, est une catastrophe pour l’Europe. Tout faux, tout le temps, et ce, depuis…1870 ! Exactement comme la politique étrangère américaine depuis les années 60.
Militariste ou pacifiste, raciste ou antiraciste, militariste orgueilleuse ou masochiste culpabilisée, atlantiste américanolâtre (l’ex RFA), ou stalinienne et néo-hitlérienne (l’ex RDA), la politique allemande a toujours été catastrophique. Mme Merkel, en ouvrant les frontières de l’Europe aux ”migrants” envahisseurs est dans la continuité de cette irresponsabilité allemande. Cette dernière n’est pas seulement nuisible à l’Europe mais aussi au peuple allemand lui–même
Haine raciste anti-européenne et christianophobie
Pour Gilles Kepel, « le marché de Noël qui a été visé revêt naturellement une dimension chrétienne mais présente aussi un caractère festif […], une fête de la consommation ». (Le Figaro, 21/12/2016). Noël, symbole de tout ce qu’ils haïssent. Et la fête est le symbole de tout ce qu’ils désirent mais que, frustrés, ils sont incapables de réaliser et de vivre.
L’attentat de Berlin contre le marché de Noël, avec camion qui fonce dans la foule, réplique de celui de Nice pendant le 14 juillet, prouve que les agressions terroristes musulmanes, accomplies ou déjouées, visent les lieux festifs – symboles de notre civilisation ”corrompue”– et le christianisme. Le marché de Noël est une synthèse des deux, un symbole ethnique et de civilisation. En Autriche, un demandeur d’asile, faux réfugié, a été arrête juste avant de commettre un attentat à Salzbourg pendant les fêtes de Noël. C’est une obsession.
Complicité objective avec les tueurs djihadistes au nom de l’”antiracisme”
Depuis le début de 2015, plus d’un million de ”migrants” ou ”réfugiés”, en provenance de pays musulmans à 90%, sont arrivés en Allemagne et en Europe occidentale. Parmi eux, des centaines de guerriers et tueurs djihadistes sont infiltrés, comme Amri, l’assassin du marché de Noël de Berlin ; ce Tunisien était entré en Europe comme faux réfugié, par l’Italie, où il a fait 4 ans de prison pour des délits de droit commun. Jamais expulsé, parfaitement repéré comme candidat au djihad terroriste, connu comme voyou violent et repris de justice en situation irrégulière, demandeur d’asile débouté, il n’a été ni inquiété, ni arrêté, ni expulsé par les autorités allemandes. Des centaines d’autres terroristes musulmans potentiels sont dans son cas et actuellement en liberté dans chaque pays d’Europe.
Un sénateur Vert allemand, Till Steffen, chargé de la Justice dans le Land de Hambourg a refusé la publication de l’avis de recherche de l’assassin tunisien du marché de Noël, afin d’éviter (langue de bois) les « amalgames » avec les musulmans et la « stigmatisation » de ces derniers. Cet ”antiracisme”, qui tient de la pathologie ethnomasochiste et xénophile est la clé de voûte de la démission des élites européennes.
Le tueur tunisien était passé au travers des contrôles des services de police allemands, non pas, comme on l’a dit par négligence, ou par laxisme répressif motivé idéologiquement, mais par complicité. Celle-ci s’exerce au nom de l’”antiracisme”. Anis Amri, porteur de fausses identités, délinquant multirécidiviste, reconnu comme candidat au djihad meurtrier, a été libéré d’un centre de rétention en 2016 par un juge allemand. Cette mansuétude, très répandue en Europe, délivre un message – comme en matière de délinquance – d’impunité aux jeunes musulmans attirés par le djihad. La faiblesse et la lâcheté des autorités européennes excitent leur agressivité.
Les collabos de l’invasion migratoire et du terrorisme
Figure de l’ethnomasochisme et de la stupidité, le pasteur de Berlin, Markus Dröge a déclaré après l’attentat musulman du marché de Noël : « Le repli sur soi ne sert à rien. Nous devons apprendre à vivre ensemble avec des gens de religion et de culture différentes ». Il ajoute que « c’est le message de Noël ». Autrement dit : continuons d’accueillir l’ennemi en répétant que c’est un ami. Mme Merkel partage exactement la même idéologie. Le ”message de Noël” consiste donc à accueillir et à tolérer ceux qui massacrent les chrétiens sur les marchés de Noël…En plus de la bêtise et de la naïveté, il y a de la perversité.
La secrétaire d’État à l’Intégration (vocable de langue de bois synonyme d’Invasion) Mme Aydan Özoguz, a expliqué: « la diversité nous rend plus riche et pas plus pauvres, cela doit être notre devise ». Ironie tragi-comique, cette déclaration, qui rabâche en langue de bois une des contre–vérités de la vulgate idéologique officielle, a été faite quelques minutes avant l’attentat musulman de Berlin…Ce genre de propos et de comportements mensongers et pervers est constant chez les élites et les gouvernements d’Europe de l’Ouest (surtout en Allemagne, en France et en Belgique) mais aussi dans les hiérarchies des Églises chrétiennes, jusqu’au Pape. (1)
Ces Allemands lucides qui s’insurgent
Frauke Petry, la dirigeante de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) a proposé d’identifier les suspects de terrorisme, dans toutes les procédures de contrôle, par leur ”ethnie”, à partir de la pigmentation, de la couleur des cheveux et des yeux, etc.. Procédure de bon sens, pratiquée sans complexe aux USA et en Israël, étant donné que 100% des terroristes depuis quelques années en Europe, en Amérique et en Israël, sont d’origine arabe, d’Asie centrale ou africaine. Il ne sert à rien de perdre son temps à contrôler tout le monde. Mieux vaut se concentrer sur une population à risques précise et bien connue. Horreur ! La proposition a fait scandale en Allemagne car Frauke Petry a été accusée d’être « raciste ». Ce genre de préjugé idéologique revient à une complicité objective avec les tueurs.
Le parti ”populiste” allemand AfD, scandaleusement présenté comme néo–nazi, a fait une remontée dans les sondages et, surtout, a osé dire que Mme Merkel avait « du sang sur les mains » après l’attentat de Berlin. « Ce sont les morts de Merkel » a accusé un responsable d’AfD, Marcus Pretzell. Cette image est malheureusement vraie. Angela Merkel, plus encore que les autres dirigeants européens, en favorisant l’invasion migratoire, facilite les attentats terroristes et prépare l’éclatement d’une guerre civile ethnique. Homicide par imprudence,
« Nous sommes en état de guerre, même si certaines personnes qui ne veulent toujours voir que le bien refusent de le reconnaître » a déclaré Klaus Bouillon , ministre de l’Intérieur (CDU) de la Sarre. Sa voix est bien isolée. Cependant, Sigmar Gabriel, le vice–chancelier (SPD), candidat à la succession d’Angela Merkel, s’est tout de même prononcé pour l’interdiction des mosquées salafistes, la dissolution de leurs associations et l’expulsion de leurs prédicateurs. Ces mesures – qui ont peu de chance d’être efficaces, voire même réalisées – sont totalement secondaires face au fait menaçant majeur : le déversement migratoire invasif à 90% musulman.
Le mouvement Pegida, très courageux, de résistance contre « l’islamisation de l’Occident » a été, bien entendu, assimilé par les médias et la classe politique à un mouvement de type fascisant ! Pour l’idéologie dominante islamophile, qui se légitime systématiquement par l’ ”antiracisme”, résister à l’invasion musulmane organisée est ”fasciste”. Incroyable inversion de la réalité : résister à l’islamo–fascisme serait… fasciste ! Les ennemis de Pegida – dont par ailleurs beaucoup sont d’origine turque, donc musulmans – qui sont Allemands de souche se comportent comme des collabos face à l’envahisseur et ne sont pas exempts d’une certaine fascination pour l’islam, ce qui était aussi curieusement le cas d’un régime passé qu’a connu l’Allemagne. Il est très important de soutenir toutes les forces de la résistance allemande contre l’islamisation et l’invasion migratoire, dont la Chancellerie, la Bundeskanzleramt du 1, Willy–Brandt Strasse à Berlin est la planificatrice – osons le mot– criminelle.
(1) Il faut lire à ce propos, le récent essai de Laurent Dandrieu, Église et immigration, le grand malaise, avec ce sous–titre pertinent : « Le Pape et le suicide de la civilisation européenne ».
21/01/2017 – FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
Pour la première fois, l’Allemagne a été frappée par un attentat musulman d’envergure revendiqué par Dae’ch, le 19 décembre 2016, dans le symbolique marché de Noël de Berlin, après une série de moindres attaques annonciatrices. Le terme ”musulman” est préférable à ”islamiste”, car ce dernier vocable suggère qu’il ne s’agit pas de l’islam mais de sa déformation extrémiste. Ce qui est faux : l’islamisme et toutes ses exactions, dont le terrorisme, sont le produit du véritable islam, parfaitement conforme au Coran, livre de chevet de tous les djihadistes. Cet attentat est la conséquence de la politique d’encouragement de l’invasion migratoire de son pays – et des voisins européens– de la très perverse chancelière Angela Merkel, folle vêtue de la robe des sages. Le nouveau Président Trump a parfaitement compris la nocivité de la Chancelière.
Face à l’agression, la réponse bisounours
Et comme toujours, à cet attentat de Berlin, on a réagi avec des larmes, des bougies, des bouquets de fleurs, des pleurs, des pardons. Les Allemands sont aussi affaiblis que les Français, voire plus. On exprime la ”tristesse”, pas la colère. On donne de soi une image de défaite, de déréliction et donc de soumission, catastrophique.
Les viols et agressions sexuelles de masse commis à Cologne par des Maghrébins (faux réfugies et vrais envahisseurs) pour le nouvel an 2015 contre des Allemandes de souche n’ont pas tellement fait réagir l’opinion allemande (sauf une minorité diabolisée comme politiquement incorrecte), totalement abrutie par la propagande du système. Ces faits participent du début de la guerre civile ethnique qui menace l’Europe.
Après l’attentat de Berlin ; Angela Merkel s’est dite « très fière du calme avec lequel un grand nombre de personnes ont réagi à la situation ». Ce ”calme” n’est que de l’apathie et de la soumission. Et Angela Merkel est objectivement complice – organisatrice plutôt – du processus d’invasion migratoire et donc de tous les maux que cela provoque, dont la criminalité et le terrorisme. Le cynisme froid de cette femme de tête obéit à une logique, non pas en fait la plus nuisible des dirigeants politiques européens depuis 1945. Et, malheureusement, la plus influente, du fait du rabaissement tragi-comique du partenaire français – entièrement de sa faute, l’Allemagne n’étant pour rien ans les clowneries de François Hollande.
En Allemagne, 168.000 clandestins déboutés du droit d’asile restent en attente d’expulsion. Ils ne risquent pas grand–chose, tout comme en France et ailleurs en Europe. Les agressions sexuelles massives du nouvel ans 2015 à Cologne par de faux réfugiés maghrébins (voir plus haut) ont été réfutées dans leur réalité par l’idéologie antiraciste du déni, dont Mme Merkel est la gardienne, elle qui a invité et fait entrer plus d’un million d’envahisseurs, appelés ”migrants”, et qui continuera à le faire si elle est réélue. Une partie de l’opinion publique allemande, abrutie et infantilisée, appelle la chancelière Mutti (”maman”), comme si elle était une protectrice du peuple allemand ; alors qu’elle en est une destructrice.
L’Allemagne, malade et masochiste
En pleine forme économique (provisoire), l’Allemagne meurt néanmoins à petit feu, pour d’implacables raisons démographiques. Elle vit son chant du cygne, sa dernière illusion. De moins en moins de jeunes Allemand(e)s de souche naissent et se reproduisent. Le pays doit aller chercher sa main d’œuvre ailleurs. Un peuple qui vieillit est comme un capital qui s’épuise. Si rien ne change, dans deux générations, le peuple allemand aura disparu sous le double choc de la dénatalité et de l’invasion migratoire. C’est plié. Même la langue allemande deviendra doucement une langue morte. La dégermanisation de l’Allemagne est entamée.
Notons que l’Allemagne (l’oligarchie et non l’opinion populaire, le peuple allemand) qui se croyait à l’abri des frappes terroristes musulmanes parce qu’elle n’a pas de passé colonial, qui a toujours manifesté une islamophilie et une turcophilie, a été frappée par les tueurs musulmans. Ironie de l’histoire : le Troisième Reich soutenait l’islam, et le Deuxième était allié du Sultan ottoman pendant la Première guerre mondiale. Les rapports de l’Allemagne et de l’islam sont troubles ; et ce dernier montre une singulière ingratitude. C’est sa marque de fabrique. La naïveté allemande, marquée par la culpabilité, n’en est que plus tragique.
Selon Ivan Rioufol, « la société allemande est dévastée par la culpabilisation. Ainsi meurent les civilisations émasculées et décadentes ». Comme en France, voire pis encore, « les citoyens sont anesthésiés par l’idéologie du grand mélangisme. […] L’Occident évitera la débâcle s’il renoue avec l’autorité, la force, la guerre. L’islamophilie d’Obama a accentué la vulnérabilité du monde libre, que Merkel a trahi en ouvrant les portes à plus d’un million de musulmans au nom de la ”diversité” » (Le Figaro, 0/01/2017).
L’irresponsabilité allemande menace l’Europe et le peuple allemand
La naïveté et l’angélisme règnent en Allemagne plus qu’ailleurs et cela frise la perversité. Ce pays a accueilli en un an un million de réfugiés et le flux continue. Mme Merkel est une destructrice de la civilisation européenne. Appels irresponsables à l’accueil de ”migrants” et de ”réfugiés” (à 90 % faux persécutés et envahisseurs) frontières ouvertes, contrôles déficients, laxisme judiciaire, police molle, la liste est longue des dérapages de l’ État allemand, pires que ceux de ses voisins européens.
Le racisme délirant de Hitler doit être mis en parallèle avec l’antiracisme délirant de Mme Merkel. Le résultat est le même : une catastrophe pour l’Europe. De nature criminelle, dans les deux cas, directe dans le premier, indirecte dans le second. Avec la bêtise en prime. Autant il y a, dans la civilisation européenne, une grandeur allemande par ses apports culturels et scientifiques, par ses réussites économiques, autant, sur le plan politique, l’Allemagne, dès qu’elle s’impose, est une catastrophe pour l’Europe. Tout faux, tout le temps, et ce, depuis…1870 ! Exactement comme la politique étrangère américaine depuis les années 60.
Militariste ou pacifiste, raciste ou antiraciste, militariste orgueilleuse ou masochiste culpabilisée, atlantiste américanolâtre (l’ex RFA), ou stalinienne et néo-hitlérienne (l’ex RDA), la politique allemande a toujours été catastrophique. Mme Merkel, en ouvrant les frontières de l’Europe aux ”migrants” envahisseurs est dans la continuité de cette irresponsabilité allemande. Cette dernière n’est pas seulement nuisible à l’Europe mais aussi au peuple allemand lui–même
Haine raciste anti-européenne et christianophobie
Pour Gilles Kepel, « le marché de Noël qui a été visé revêt naturellement une dimension chrétienne mais présente aussi un caractère festif […], une fête de la consommation ». (Le Figaro, 21/12/2016). Noël, symbole de tout ce qu’ils haïssent. Et la fête est le symbole de tout ce qu’ils désirent mais que, frustrés, ils sont incapables de réaliser et de vivre.
L’attentat de Berlin contre le marché de Noël, avec camion qui fonce dans la foule, réplique de celui de Nice pendant le 14 juillet, prouve que les agressions terroristes musulmanes, accomplies ou déjouées, visent les lieux festifs – symboles de notre civilisation ”corrompue”– et le christianisme. Le marché de Noël est une synthèse des deux, un symbole ethnique et de civilisation. En Autriche, un demandeur d’asile, faux réfugié, a été arrête juste avant de commettre un attentat à Salzbourg pendant les fêtes de Noël. C’est une obsession.
Complicité objective avec les tueurs djihadistes au nom de l’”antiracisme”
Depuis le début de 2015, plus d’un million de ”migrants” ou ”réfugiés”, en provenance de pays musulmans à 90%, sont arrivés en Allemagne et en Europe occidentale. Parmi eux, des centaines de guerriers et tueurs djihadistes sont infiltrés, comme Amri, l’assassin du marché de Noël de Berlin ; ce Tunisien était entré en Europe comme faux réfugié, par l’Italie, où il a fait 4 ans de prison pour des délits de droit commun. Jamais expulsé, parfaitement repéré comme candidat au djihad terroriste, connu comme voyou violent et repris de justice en situation irrégulière, demandeur d’asile débouté, il n’a été ni inquiété, ni arrêté, ni expulsé par les autorités allemandes. Des centaines d’autres terroristes musulmans potentiels sont dans son cas et actuellement en liberté dans chaque pays d’Europe.
Un sénateur Vert allemand, Till Steffen, chargé de la Justice dans le Land de Hambourg a refusé la publication de l’avis de recherche de l’assassin tunisien du marché de Noël, afin d’éviter (langue de bois) les « amalgames » avec les musulmans et la « stigmatisation » de ces derniers. Cet ”antiracisme”, qui tient de la pathologie ethnomasochiste et xénophile est la clé de voûte de la démission des élites européennes.
Le tueur tunisien était passé au travers des contrôles des services de police allemands, non pas, comme on l’a dit par négligence, ou par laxisme répressif motivé idéologiquement, mais par complicité. Celle-ci s’exerce au nom de l’”antiracisme”. Anis Amri, porteur de fausses identités, délinquant multirécidiviste, reconnu comme candidat au djihad meurtrier, a été libéré d’un centre de rétention en 2016 par un juge allemand. Cette mansuétude, très répandue en Europe, délivre un message – comme en matière de délinquance – d’impunité aux jeunes musulmans attirés par le djihad. La faiblesse et la lâcheté des autorités européennes excitent leur agressivité.
Les collabos de l’invasion migratoire et du terrorisme
Figure de l’ethnomasochisme et de la stupidité, le pasteur de Berlin, Markus Dröge a déclaré après l’attentat musulman du marché de Noël : « Le repli sur soi ne sert à rien. Nous devons apprendre à vivre ensemble avec des gens de religion et de culture différentes ». Il ajoute que « c’est le message de Noël ». Autrement dit : continuons d’accueillir l’ennemi en répétant que c’est un ami. Mme Merkel partage exactement la même idéologie. Le ”message de Noël” consiste donc à accueillir et à tolérer ceux qui massacrent les chrétiens sur les marchés de Noël…En plus de la bêtise et de la naïveté, il y a de la perversité.
La secrétaire d’État à l’Intégration (vocable de langue de bois synonyme d’Invasion) Mme Aydan Özoguz, a expliqué: « la diversité nous rend plus riche et pas plus pauvres, cela doit être notre devise ». Ironie tragi-comique, cette déclaration, qui rabâche en langue de bois une des contre–vérités de la vulgate idéologique officielle, a été faite quelques minutes avant l’attentat musulman de Berlin…Ce genre de propos et de comportements mensongers et pervers est constant chez les élites et les gouvernements d’Europe de l’Ouest (surtout en Allemagne, en France et en Belgique) mais aussi dans les hiérarchies des Églises chrétiennes, jusqu’au Pape. (1)
Ces Allemands lucides qui s’insurgent
Frauke Petry, la dirigeante de l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) a proposé d’identifier les suspects de terrorisme, dans toutes les procédures de contrôle, par leur ”ethnie”, à partir de la pigmentation, de la couleur des cheveux et des yeux, etc.. Procédure de bon sens, pratiquée sans complexe aux USA et en Israël, étant donné que 100% des terroristes depuis quelques années en Europe, en Amérique et en Israël, sont d’origine arabe, d’Asie centrale ou africaine. Il ne sert à rien de perdre son temps à contrôler tout le monde. Mieux vaut se concentrer sur une population à risques précise et bien connue. Horreur ! La proposition a fait scandale en Allemagne car Frauke Petry a été accusée d’être « raciste ». Ce genre de préjugé idéologique revient à une complicité objective avec les tueurs.
Le parti ”populiste” allemand AfD, scandaleusement présenté comme néo–nazi, a fait une remontée dans les sondages et, surtout, a osé dire que Mme Merkel avait « du sang sur les mains » après l’attentat de Berlin. « Ce sont les morts de Merkel » a accusé un responsable d’AfD, Marcus Pretzell. Cette image est malheureusement vraie. Angela Merkel, plus encore que les autres dirigeants européens, en favorisant l’invasion migratoire, facilite les attentats terroristes et prépare l’éclatement d’une guerre civile ethnique. Homicide par imprudence,
« Nous sommes en état de guerre, même si certaines personnes qui ne veulent toujours voir que le bien refusent de le reconnaître » a déclaré Klaus Bouillon , ministre de l’Intérieur (CDU) de la Sarre. Sa voix est bien isolée. Cependant, Sigmar Gabriel, le vice–chancelier (SPD), candidat à la succession d’Angela Merkel, s’est tout de même prononcé pour l’interdiction des mosquées salafistes, la dissolution de leurs associations et l’expulsion de leurs prédicateurs. Ces mesures – qui ont peu de chance d’être efficaces, voire même réalisées – sont totalement secondaires face au fait menaçant majeur : le déversement migratoire invasif à 90% musulman.
Le mouvement Pegida, très courageux, de résistance contre « l’islamisation de l’Occident » a été, bien entendu, assimilé par les médias et la classe politique à un mouvement de type fascisant ! Pour l’idéologie dominante islamophile, qui se légitime systématiquement par l’ ”antiracisme”, résister à l’invasion musulmane organisée est ”fasciste”. Incroyable inversion de la réalité : résister à l’islamo–fascisme serait… fasciste ! Les ennemis de Pegida – dont par ailleurs beaucoup sont d’origine turque, donc musulmans – qui sont Allemands de souche se comportent comme des collabos face à l’envahisseur et ne sont pas exempts d’une certaine fascination pour l’islam, ce qui était aussi curieusement le cas d’un régime passé qu’a connu l’Allemagne. Il est très important de soutenir toutes les forces de la résistance allemande contre l’islamisation et l’invasion migratoire, dont la Chancellerie, la Bundeskanzleramt du 1, Willy–Brandt Strasse à Berlin est la planificatrice – osons le mot– criminelle.
(1) Il faut lire à ce propos, le récent essai de Laurent Dandrieu, Église et immigration, le grand malaise, avec ce sous–titre pertinent : « Le Pape et le suicide de la civilisation européenne ».
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