Syrie pays d'islam
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Syrie pays d'islam
Bassam Tahhan : À Alep, le "bon boulot" des terroristes amis à Hollande et Fabius ça suffit !
Intervention de Bassam Tahhan, spécialiste du Moyen-Orient et de la Syrie, à propos du martyre d'Alep
Retrouvez Bassam Tahhan, natif d'Alep et spécialiste reconnu mais persona non grata dans tous les médias français officiels qui lui préfèrent systématiquement les pseudo-spécialistes défenseurs du "bon boulot" des djihadistes dits "modérés" :
Le géopolitologue et islamologue Bassam Tahhan, vient ici d'inaugurer une toute nouvelle rubrique en collaboration avec Éveil Français TV. Désormais, l’émission de Bassam Tahhan s'appelle "Éveil Critique"
Cette première émission se veut être un hommage à un penseur libre d'origine jordanienne exilé au Liban et malheureusement assassiné par un islamiste devant le palais de justice de la capitale jordanienne ce dimanche 25 septembre 2016.
Il s'appelait Nahed HATTAR et c'est en hommage à ce journaliste hors norme que Bassam Tahhan a décidé d’intégrer son nom dans le sien pour s'appeler Bassam - HATTAR - TAHHAN.
Sur cette caricature Nahed Hattar imagine Allah face aux prétentions d'un djihadiste qui serait arrivé au paradis.
Allah : "Que votre soirée soit joyeuse, Abu Saleh, avez-vous besoin de quelque chose ?"
Djihadiste : "Oui, Seigneur, apportez-moi le verre de vin là-bas et dites à Djibril de m'apporter des noix de cajou. Après cela, envoyez-moi un serviteur éternel pour nettoyer le sol et prenez les assiettes vides avec vous".
Djihadiste poursuit : "N'oubliez pas de placer une porte sur la tente afin que vous frappiez avant d'entrer la prochaine fois".
Bassam Tahhan : "Deir ez-Zor : erreur ou provocation américaine ?"
https://youtu.be/7dME3rxC12w
Bassam Tahhan, Alépin et Français, dénonce les "errements" du "président" Hollande…
https://youtu.be/NorH3kfyl8A
Bataille d'Alep
https://youtu.be/Awe2ASdZExs
Intervention de Bassam Tahhan, spécialiste du Moyen-Orient et de la Syrie, à propos du martyre d'Alep
Retrouvez Bassam Tahhan, natif d'Alep et spécialiste reconnu mais persona non grata dans tous les médias français officiels qui lui préfèrent systématiquement les pseudo-spécialistes défenseurs du "bon boulot" des djihadistes dits "modérés" :
Le géopolitologue et islamologue Bassam Tahhan, vient ici d'inaugurer une toute nouvelle rubrique en collaboration avec Éveil Français TV. Désormais, l’émission de Bassam Tahhan s'appelle "Éveil Critique"
Cette première émission se veut être un hommage à un penseur libre d'origine jordanienne exilé au Liban et malheureusement assassiné par un islamiste devant le palais de justice de la capitale jordanienne ce dimanche 25 septembre 2016.
Il s'appelait Nahed HATTAR et c'est en hommage à ce journaliste hors norme que Bassam Tahhan a décidé d’intégrer son nom dans le sien pour s'appeler Bassam - HATTAR - TAHHAN.
Sur cette caricature Nahed Hattar imagine Allah face aux prétentions d'un djihadiste qui serait arrivé au paradis.
Allah : "Que votre soirée soit joyeuse, Abu Saleh, avez-vous besoin de quelque chose ?"
Djihadiste : "Oui, Seigneur, apportez-moi le verre de vin là-bas et dites à Djibril de m'apporter des noix de cajou. Après cela, envoyez-moi un serviteur éternel pour nettoyer le sol et prenez les assiettes vides avec vous".
Djihadiste poursuit : "N'oubliez pas de placer une porte sur la tente afin que vous frappiez avant d'entrer la prochaine fois".
Bassam Tahhan : "Deir ez-Zor : erreur ou provocation américaine ?"
https://youtu.be/7dME3rxC12w
Bassam Tahhan, Alépin et Français, dénonce les "errements" du "président" Hollande…
https://youtu.be/NorH3kfyl8A
Bataille d'Alep
https://youtu.be/Awe2ASdZExs
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Re: Syrie pays d'islam
Syrie : l'adolescent qui a déclenché la guerre a été retrouvé
Son tag anti-Bachar el-Assad puis son arrestation et sa torture avaient déclenché les premières manifestations en 2011. The "Globe and Mail" l'a retrouvé.
Par 6Medias
Modifié le 17/12/2016 à 09:32 - Publié le 16/12/2016 à 21:15 | Le Point.fr
La guerre en Syrie a fait au moins 300 000 morts. (Illustration) © GEORGE OURFALIAN / AFP/ GEORGE OURFALIAN
C'est la première fois qu'il s'exprime. L'histoire incroyable de cet adolescent, repéré par Courrier international , est rapportée par le quotidien canadien The Globe and Mail. Durant six mois, leur journaliste Mark MacKinnon a enquêté sur celui par qui tout est arrivé, le créateur du « moment Sarajevo », en référence à l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914. En 2011, Naief Abazid a 14 ans. En plein printemps arabe, le 16 février, cet adolescent tague « C'est votre tour, Dr Bashar el-Assad » sur le mur d'une école de sa ville de Deraa dans le sud-ouest de la Syrie. Un tag « pour rire », « j'étais un enfant, je ne savais pas ce que je faisais », explique-t-il au Globe and Mail. « J'ai réalisé que c'était sérieux seulement au moment où je suis arrivé en prison. »
En effet, dès le lendemain de son graffiti, Naief Abazid est arrêté par un membre des redoutés services de sécurité syriens et torturé dès son arrestation. Au total, 22 autres garçons de la même ville seront aussi emprisonnés et torturés. Après plusieurs semaines sans nouvelles de leurs enfants, les habitants de Deraa organisent une marche de protestation pour demander leur libération. La police ouvre le feu sur les manifestants et deux d'entre eux sont tués : « Les premiers martyrs du printemps syrien », écrit le Globe and Mail. Le 20 mars, les 23 adolescents sont libérés, « pardonnés » par Bachar el-Assad. De retour dans leur ville et dans leurs familles, ils sont célébrés en héros. Mais la colère des habitants de Deraa a essaimé et les manifestations se multiplient dans tout le pays. Le 1er avril 2011, les manifestants de Deraa répliquent : c'est le début de la guerre civile.
Périple jusqu'en Europe
Durant la première année de la guerre, Naief Abazid reste à Deraa avec sa famille sans jamais prendre d'autres armes que sa bombe de peinture. Après une blessure par balle au bras, il est transféré dans un hôpital en Jordanie. Il passe deux ans dans des camps de réfugiés jordaniens avec sa famille avant de retourner en Syrie en 2014. La vision de sa ville « entièrement démolie » reste un souvenir « horrible ». Durant sept mois, ils vivent dans la terreur, sous les bombes du régime de Bachar el-Assad. Mi-septembre 2015, ils assistent à la déclaration d'Angela Merkel qui annonce que l'Allemagne accueillera les réfugiés syriens qui arriveront à ses frontières. Naief, en compagnie de son frère et de l'un de ses cousins, entame un long et coûteux périple. « Nous n'avions plus de futur à Deraa », explique Naief, « il n'y avait que deux options : être tué ou devenir sans-abri ». Ils rejoignent d'abord la Turquie, après un passage dans les territoires de l'organisation État islamique, puis empruntent une embarcation de fortune, payée au prix fort aux passeurs, jusqu'à la Grèce d'où ils rejoignent la Macédoine. Ils traversent ensuite la Serbie et la Hongrie avant d'arriver à Vienne en Autriche, où Naief se trouve aujourd'hui depuis plus d'un an, essayant de se faire une place loin de son pays d'origine
Son tag anti-Bachar el-Assad puis son arrestation et sa torture avaient déclenché les premières manifestations en 2011. The "Globe and Mail" l'a retrouvé.
Par 6Medias
Modifié le 17/12/2016 à 09:32 - Publié le 16/12/2016 à 21:15 | Le Point.fr
La guerre en Syrie a fait au moins 300 000 morts. (Illustration) © GEORGE OURFALIAN / AFP/ GEORGE OURFALIAN
C'est la première fois qu'il s'exprime. L'histoire incroyable de cet adolescent, repéré par Courrier international , est rapportée par le quotidien canadien The Globe and Mail. Durant six mois, leur journaliste Mark MacKinnon a enquêté sur celui par qui tout est arrivé, le créateur du « moment Sarajevo », en référence à l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914. En 2011, Naief Abazid a 14 ans. En plein printemps arabe, le 16 février, cet adolescent tague « C'est votre tour, Dr Bashar el-Assad » sur le mur d'une école de sa ville de Deraa dans le sud-ouest de la Syrie. Un tag « pour rire », « j'étais un enfant, je ne savais pas ce que je faisais », explique-t-il au Globe and Mail. « J'ai réalisé que c'était sérieux seulement au moment où je suis arrivé en prison. »
En effet, dès le lendemain de son graffiti, Naief Abazid est arrêté par un membre des redoutés services de sécurité syriens et torturé dès son arrestation. Au total, 22 autres garçons de la même ville seront aussi emprisonnés et torturés. Après plusieurs semaines sans nouvelles de leurs enfants, les habitants de Deraa organisent une marche de protestation pour demander leur libération. La police ouvre le feu sur les manifestants et deux d'entre eux sont tués : « Les premiers martyrs du printemps syrien », écrit le Globe and Mail. Le 20 mars, les 23 adolescents sont libérés, « pardonnés » par Bachar el-Assad. De retour dans leur ville et dans leurs familles, ils sont célébrés en héros. Mais la colère des habitants de Deraa a essaimé et les manifestations se multiplient dans tout le pays. Le 1er avril 2011, les manifestants de Deraa répliquent : c'est le début de la guerre civile.
Périple jusqu'en Europe
Durant la première année de la guerre, Naief Abazid reste à Deraa avec sa famille sans jamais prendre d'autres armes que sa bombe de peinture. Après une blessure par balle au bras, il est transféré dans un hôpital en Jordanie. Il passe deux ans dans des camps de réfugiés jordaniens avec sa famille avant de retourner en Syrie en 2014. La vision de sa ville « entièrement démolie » reste un souvenir « horrible ». Durant sept mois, ils vivent dans la terreur, sous les bombes du régime de Bachar el-Assad. Mi-septembre 2015, ils assistent à la déclaration d'Angela Merkel qui annonce que l'Allemagne accueillera les réfugiés syriens qui arriveront à ses frontières. Naief, en compagnie de son frère et de l'un de ses cousins, entame un long et coûteux périple. « Nous n'avions plus de futur à Deraa », explique Naief, « il n'y avait que deux options : être tué ou devenir sans-abri ». Ils rejoignent d'abord la Turquie, après un passage dans les territoires de l'organisation État islamique, puis empruntent une embarcation de fortune, payée au prix fort aux passeurs, jusqu'à la Grèce d'où ils rejoignent la Macédoine. Ils traversent ensuite la Serbie et la Hongrie avant d'arriver à Vienne en Autriche, où Naief se trouve aujourd'hui depuis plus d'un an, essayant de se faire une place loin de son pays d'origine
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