Les ennemis du Nom de Dieu
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Les ennemis du Nom de Dieu
Rappel du premier message :
Le grand sacrilège de Benoît XVI
Qu'aura apporté pour les générations futures le 265ème pape de l’Église catholique ? Pour nombre de catholiques bien des choses. Pour les plus réalistes, outre ses propres turpitudes et contradictions, il commit une invraisemblable profanation qui sera bientôt corrigée. Après 3 ans de pontificat seulement, il s'en prit au nom propre de Dieu pour tenter de le rayer des usages au sein de la chrétienté. Certains y verront un mal pour un bien considérant que ce grand nom prestigieux et sacré ne doit pas être prononcé par n'importe qui*. Reste qu'à ce sacrilège s'ajoute bien des remous qui auront marqué son pontificat. Voyez les faits.
Cette lettre, signée par le cardinal Francis Arinze préfet et de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, est explicitement présentée comme une directive du pape Benoît XVI. "La Congrégation rappelle son document "Liturgiam Authenticam", de 2001, sur les traductions liturgiques, où il était stipulé que le nom du Dieu tout-puissant exprimé par le tétragramme hébreu et rendu en latin par le mot Dominus doit être rendu dans les langues vernaculaires par un mot de sens équivalent. Et elle déplore le fait que malgré une norme aussi claire, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques repris dans les lectionnaires ainsi que dans les hymnes et les prières, sous diverses formes comme Yahweh, Jahweh ou Yehovah." L’Église reconnaît donc implicitement que Dieu a un nom mais souhaite qu'il ne soit désormais plus utilisé; pourquoi ? [Voir l'Encyclopedie catholique qui reconnaît ce nom]
Comme le souligne un article de Zenit,"les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu'à Yom Kippour”.
Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n'est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Par conséquent c’est cette tradition du judaïsme que reprend et impose l’église conciliaire.
C'est ce qu'a révélé depuis le Vatican, le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, bibliste, et président de la commission du Message du synode des évêques, en présentant ce message à la presse et en répondant aux questions des journalistes.
Le document affirme : « En plus d'un motif d'ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n'a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ». Dans cette affirmation il n'y a rien de vrai. Plusieurs traductions anciennes de la Bible ont traduit le tétragramme en latin et d'autres langues (anglais, français, italien, portugais etc...) comme la version synodale, la Bible de Jérusalem, la Bible de Crampon (1905) par exemple. De plus les premiers chrétiens connaissaient et prononçaient le nom de Dieu. C'est ce qui ressort de l'étude des copies fragmentaires connues aujourd'hui. A ce propos le professeur George Howard de l'université de Géorgie, aux États-Unis, a écrit : “ Comme la Septante utilisée et citée par l'Église du Nouveau Testament contenait le nom divin sous sa forme hébraïque, les rédacteurs du Nouveau Testament ont sans doute conservé le Tétragramme dans leurs citations."-Biblical Archaeology Review, mars 1978, page 14. Si les traditions humaines occultent ces faits à quoi sert alors la Bible que des ecclésiastiques arborent comme sacrée ?
Est-il important de connaître la prononciation exacte en Hébreu du Tétragramme divin ? Non car la transcription de son verbe (qui signifie "il fait devenir" ) dans d'autres langues est suffisante. Prenons l'exemple du nom de Jésus; qui est une traduction de son nom hébreu Yehôshoua; il ne viendrait à l'idée d'aucuns européens de l'appeler Yehôshoua sous prétexte que c'est ainsi qu'on le nommer en hébreu ! Il doit en être de même pour le nom de Dieu. Si nous ne savons pas exactement comment il se prononce il doit y avoir une bonne raison. Le catholicisme a utilisé la transcription « Yahweh » durant tout le XXe siècle. Aussi des écoles Juives qui recopièrent en grec le canon des Écritures n'ont pas traduits le Tétragramme mais l'ont laissés tel quel en Hébreu, ce qui montre qu'ils étaient influencés par la tradition mais aussi qu'ils en connaissaient la prononciation sinon comment pouvaient-ils lire les versets? Il semble donc que sa prononciation s'est perdue avec le temps. Au sujet de l'usage du nom personnel de Dieu chez les juifs aujourd’hui, il est intéressant de noter cette remarque de l'écrivain A. J. Kolatch : "La référence biblique à Dieu comme Ye. Ho. Va., écrite avec les lettres hébraïques Yod, Hé, Vav, Hé est généralement considérée être le nom authentique de Dieu." - "Le livre juif du pourquoi", préfacé par le Grand Rabbin Joseph Sitruk, page 347, Genève 1990, Editions MJR.
Si l'on considère la prière que Jésus Christ a donnée comme modèle, elle commence de cette façon : “ Notre Père dans les cieux, que ton nom soit sanctifié. ” (Matthieu 6:9).
Au-dessus d'une porte de l'église de Fermarn, en Allemagne
Le 27 février dernier, lors de son discours d'adieu devant 150 000 personnes, Benoît XVI a déclaré, en faisant allusion aux scandales et controverses (pédophilie, Vatileaks notamment) : "Il y a eu aussi des moments pas faciles, dans lesquels les eaux étaient agitées et le vent contraire, comme dans toute l'histoire de l’Église, et le Seigneur semblait dormir. Mais j’ai toujours su que dans cette barque, il y a le Seigneur et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, n’est pas la nôtre, mais est la sienne et qu'Il ne la laisse pas couler", a-t-il souligné. Évoquant du même coup l'hypocrisie religieuse et les divisions au sein du corps ecclésiastique. Jésus dormirait-il au milieu des loups ?
Le sociologue et historien des religions, Frédéric Lenoir, lève le voile sur les raisons de ce départ: le Vatican est "'un gouvernement très particulier, dans lequel de nombreux cardinaux très influents n'en réfèrent pas forcément très correctement au pape. A quoi s'ajoute la Banque du Vatican, très opaque également. Elle a été au cœur de plusieurs scandales ces dernières années, accusée de traiter en grande partie l'argent de la mafia…Benoît XVI voulait réformer profondément ces institutions mais il n'y est pas parvenu."
Joseph Ratzinger avait déclaré en 1977 : " L’Église est en train de devenir l’obstacle principal de la foi. On n’y voit plus que l’ambition humaine du pouvoir, le petit théâtre des hommes qui, avec leur prétention d’administrer le christianisme officiel, semblent barrer la route au véritable esprit du christianisme.»
Après sa renonciation, Benoît XVI, devenu "pape émérite"» conserve sa soutane blanche (mais sans mantelette, petite capeline qu'il porte sur les épaules) mais remplace ses chaussures rouges (rappelant le sang des martyrs) par des souliers mexicains marron. Le dernier pape à avoir renoncé à la papauté avant lui fut Grégoire XII, il y a 6 siècles en 1406. En attendant le "Pontife" reste au Vatican ce qui le met à l'abri d'éventuelles poursuites judiciaires(affaires de pédophilie, manipulations mentales, blanchiment d'argents etc...). La citée serait elle devenue un nouveau refuge pour criminels ? Remarquons que le simple fait qu'il y ait aujourd'hui deux pontifes pour ce même empire nous rappelle l'époque du déclin de l'empire Babylonien qui survint subitement contre toute attente alors que régnaient deux régents; Belshatsar et Nabonide son père en 537 avant notre ère...
http://ccdesinformation.hautetfort.com/archive/2013/03/10/benoit-xvi-et-son-grand-sacrilege.html
Les ennemis du Nom de Dieu
Le grand sacrilège de Benoît XVI
Qu'aura apporté pour les générations futures le 265ème pape de l’Église catholique ? Pour nombre de catholiques bien des choses. Pour les plus réalistes, outre ses propres turpitudes et contradictions, il commit une invraisemblable profanation qui sera bientôt corrigée. Après 3 ans de pontificat seulement, il s'en prit au nom propre de Dieu pour tenter de le rayer des usages au sein de la chrétienté. Certains y verront un mal pour un bien considérant que ce grand nom prestigieux et sacré ne doit pas être prononcé par n'importe qui*. Reste qu'à ce sacrilège s'ajoute bien des remous qui auront marqué son pontificat. Voyez les faits.
Entre ombres et lumières
La nouvelle qui est passée presque totalement inaperçue au début de l’été 2008. Suite au Synode des évêques catholiques tenu durant le courant de l’été 2008, la Congrégation vaticane pour le Culte divin a envoyé, le 29 juin 2008, une lettre aux Conférences épiscopales du monde entier, leur demandant de ne plus prononcer le nom de Dieu " Yahvé" et que ce nom doit être effacée dans la liturgie.Cette lettre, signée par le cardinal Francis Arinze préfet et de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, est explicitement présentée comme une directive du pape Benoît XVI. "La Congrégation rappelle son document "Liturgiam Authenticam", de 2001, sur les traductions liturgiques, où il était stipulé que le nom du Dieu tout-puissant exprimé par le tétragramme hébreu et rendu en latin par le mot Dominus doit être rendu dans les langues vernaculaires par un mot de sens équivalent. Et elle déplore le fait que malgré une norme aussi claire, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques repris dans les lectionnaires ainsi que dans les hymnes et les prières, sous diverses formes comme Yahweh, Jahweh ou Yehovah." L’Église reconnaît donc implicitement que Dieu a un nom mais souhaite qu'il ne soit désormais plus utilisé; pourquoi ? [Voir l'Encyclopedie catholique qui reconnaît ce nom]
Une décision dictée par les traditions juives et ecclésiales
La pratique de prononcer le nom « Yavhé » est particulièrement courante au Etats-Unis et de nombreux chants liturgiques telles que ”You Are Near," ”I Will Bless Yahweh" et ”Rise, O Yahweh", seront bientôt bannies des messes aux Etats-Unis selon l'evêque de Paterson (New Jersey) Arthur Joseph Serratelli. Il a explicitement demandé que le nom de ”Yaweh" soit supprimé des hymnes et des diverses prières d’intercession au cours de la messe ou des autres sacrements.Comme le souligne un article de Zenit,"les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu'à Yom Kippour”.
Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n'est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Par conséquent c’est cette tradition du judaïsme que reprend et impose l’église conciliaire.
C'est ce qu'a révélé depuis le Vatican, le cardinal Gianfranco Ravasi, président du Conseil pontifical de la culture, bibliste, et président de la commission du Message du synode des évêques, en présentant ce message à la presse et en répondant aux questions des journalistes.
Le document affirme : « En plus d'un motif d'ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n'a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ». Dans cette affirmation il n'y a rien de vrai. Plusieurs traductions anciennes de la Bible ont traduit le tétragramme en latin et d'autres langues (anglais, français, italien, portugais etc...) comme la version synodale, la Bible de Jérusalem, la Bible de Crampon (1905) par exemple. De plus les premiers chrétiens connaissaient et prononçaient le nom de Dieu. C'est ce qui ressort de l'étude des copies fragmentaires connues aujourd'hui. A ce propos le professeur George Howard de l'université de Géorgie, aux États-Unis, a écrit : “ Comme la Septante utilisée et citée par l'Église du Nouveau Testament contenait le nom divin sous sa forme hébraïque, les rédacteurs du Nouveau Testament ont sans doute conservé le Tétragramme dans leurs citations."-Biblical Archaeology Review, mars 1978, page 14. Si les traditions humaines occultent ces faits à quoi sert alors la Bible que des ecclésiastiques arborent comme sacrée ?
L'importance du nom de Dieu
Est-il important de connaître la prononciation exacte en Hébreu du Tétragramme divin ? Non car la transcription de son verbe (qui signifie "il fait devenir" ) dans d'autres langues est suffisante. Prenons l'exemple du nom de Jésus; qui est une traduction de son nom hébreu Yehôshoua; il ne viendrait à l'idée d'aucuns européens de l'appeler Yehôshoua sous prétexte que c'est ainsi qu'on le nommer en hébreu ! Il doit en être de même pour le nom de Dieu. Si nous ne savons pas exactement comment il se prononce il doit y avoir une bonne raison. Le catholicisme a utilisé la transcription « Yahweh » durant tout le XXe siècle. Aussi des écoles Juives qui recopièrent en grec le canon des Écritures n'ont pas traduits le Tétragramme mais l'ont laissés tel quel en Hébreu, ce qui montre qu'ils étaient influencés par la tradition mais aussi qu'ils en connaissaient la prononciation sinon comment pouvaient-ils lire les versets? Il semble donc que sa prononciation s'est perdue avec le temps. Au sujet de l'usage du nom personnel de Dieu chez les juifs aujourd’hui, il est intéressant de noter cette remarque de l'écrivain A. J. Kolatch : "La référence biblique à Dieu comme Ye. Ho. Va., écrite avec les lettres hébraïques Yod, Hé, Vav, Hé est généralement considérée être le nom authentique de Dieu." - "Le livre juif du pourquoi", préfacé par le Grand Rabbin Joseph Sitruk, page 347, Genève 1990, Editions MJR.
Si l'on considère la prière que Jésus Christ a donnée comme modèle, elle commence de cette façon : “ Notre Père dans les cieux, que ton nom soit sanctifié. ” (Matthieu 6:9).
Au-dessus d'une porte de l'église de Fermarn, en Allemagne
Une Église "sur des eaux agitées"
Le 27 février dernier, lors de son discours d'adieu devant 150 000 personnes, Benoît XVI a déclaré, en faisant allusion aux scandales et controverses (pédophilie, Vatileaks notamment) : "Il y a eu aussi des moments pas faciles, dans lesquels les eaux étaient agitées et le vent contraire, comme dans toute l'histoire de l’Église, et le Seigneur semblait dormir. Mais j’ai toujours su que dans cette barque, il y a le Seigneur et j’ai toujours su que la barque de l’Église n’est pas la mienne, n’est pas la nôtre, mais est la sienne et qu'Il ne la laisse pas couler", a-t-il souligné. Évoquant du même coup l'hypocrisie religieuse et les divisions au sein du corps ecclésiastique. Jésus dormirait-il au milieu des loups ?
Le sociologue et historien des religions, Frédéric Lenoir, lève le voile sur les raisons de ce départ: le Vatican est "'un gouvernement très particulier, dans lequel de nombreux cardinaux très influents n'en réfèrent pas forcément très correctement au pape. A quoi s'ajoute la Banque du Vatican, très opaque également. Elle a été au cœur de plusieurs scandales ces dernières années, accusée de traiter en grande partie l'argent de la mafia…Benoît XVI voulait réformer profondément ces institutions mais il n'y est pas parvenu."
Joseph Ratzinger avait déclaré en 1977 : " L’Église est en train de devenir l’obstacle principal de la foi. On n’y voit plus que l’ambition humaine du pouvoir, le petit théâtre des hommes qui, avec leur prétention d’administrer le christianisme officiel, semblent barrer la route au véritable esprit du christianisme.»
Après sa renonciation, Benoît XVI, devenu "pape émérite"» conserve sa soutane blanche (mais sans mantelette, petite capeline qu'il porte sur les épaules) mais remplace ses chaussures rouges (rappelant le sang des martyrs) par des souliers mexicains marron. Le dernier pape à avoir renoncé à la papauté avant lui fut Grégoire XII, il y a 6 siècles en 1406. En attendant le "Pontife" reste au Vatican ce qui le met à l'abri d'éventuelles poursuites judiciaires(affaires de pédophilie, manipulations mentales, blanchiment d'argents etc...). La citée serait elle devenue un nouveau refuge pour criminels ? Remarquons que le simple fait qu'il y ait aujourd'hui deux pontifes pour ce même empire nous rappelle l'époque du déclin de l'empire Babylonien qui survint subitement contre toute attente alors que régnaient deux régents; Belshatsar et Nabonide son père en 537 avant notre ère...
http://ccdesinformation.hautetfort.com/archive/2013/03/10/benoit-xvi-et-son-grand-sacrilege.html
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Les ennemis du Nom de Dieu
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Malachie 3:16
Bible Segond 21
Alors ceux qui craignent
= FAUX !
Bible des Peuples
Voilà comment parlaient entre eux ceux qui craignent Yahvé. Mais Yahvé a entendu et il en a tenu compte. Devant lui, on a écrit un livre, un aide-mémoire en faveur de ceux qui craignent Yahvé et qui respectent son nom. (Malachie 3:16)
Traduction du Monde Nouveau
À cette époque-là ceux qui craignent Jéhovah parlèrent l’un avec l’autre, chacun avec son compagnon, et Jéhovah faisait attention et écoutait. Et un livre de souvenir commença à être écrit devant lui pour ceux qui craignent Jéhovah et pour ceux qui pensent à son nom. (Malaki 3:16)
Bible de Jérusalem
Alors ceux qui craignent Yahvé se parlèrent l'un à l'autre. Yahvé prêta attention et entendit: un livre aide-mémoire fut écrit devant lui en faveur de ceux qui craignent Yahvé et qui pensent à son Nom. (Malachie 3:16)
Traduction Pirot-Clamer / Liénart
Mais ceux qui craignent Dieu se disent l'un à l'autre: “Yahweh fait attention, il écoute. Devant lui on tient un registre où sont inscrits ceux qui craignent Yahweh qui estiment son nom.” (Malachie 3:16)
Traduction Abbé Crampon
Alors ceux qui craignent Yahweh se sont entretenus les uns avec les autres. Et Yahweh a été attentif, il a entendu, et un livre de souvenir a été écrit devant lui, pour ceux qui craignent Yahweh et qui respectent son nom. (Malachie 3:16)
Traduction Samuel Cahen
Alors ceux qui craignent Iehovah parlent chacun à son prochain; Iehovah est attentif et écoute; le livre du souvenir est enregistré devant lui pour ceux qui craignent Iehovah et qui estiment son nom. (Malachie 3:16)
= VRAI !
http://djep.hd.free.fr/LaReferenceBiblique/?Livre=39&Chap=3&Vers=16
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Les ennemis du Nom de Dieu
YHVH Yahvéh est le nom sacré de Dieu
En « Hébreu » moderne :
יהוה
Rome (devenu plus tard, le Vatican), a fait traduire les parchemins Hébreux et Araméens (Aleppo Codex) en Latin (Vulgate) par « un panel d’experts » Juifs versés dans la lecture, et l’interprétation des écritures, principalement Pharisiens et Saducéens.
Le nom de Yahvéh étant considéré par les Juifs comme étant « trop sacré » pour être prononcé même par les Juifs, et ce y compris les rabins, il était bien évidement hors de question que de quelconques Goyim Chrétiens aient la possibilité de le prononcer à la lecture des écritures.
Le nom sacré de Yahvéh fut soigneusement remplacé dans l’Ancient Testament par des titres, attributs, ou qualificatifs tels que ; L’Eternel, le Tout Puissant, le Seigneur, etc… et ceci à 5.162 reprises.
Au commencement, Dieu… Genèse 1:1
La première occurence du nom Yahvéh se trouve au verset 4 du chapitre 2 de la Genèse :
Aleppo Codex Hébreu Restored Names King James Louis Segond
Si l’auteur avait voulut écrire l’ Eternel l’original « Hébreu » serait :
צח
Des traducteurs expérimentés ayant l’ Hébreu pour langue maternelle ont ils pû en toute bonne foi confondre les 4 lettres de יהוה , avec les 2 lettres de צח à 5.162 occurences ?
Occurences du Nom יהוה dans l’Aleppo Hébreu :
Plutôt que d’une simple erreur, nous sommes en présence d’une volonté féroce et délibérée de censure, le nom sacré de Yahvéh a été mis à l’index. (Pratique courante à Rome, voir Inquisition).
Les enfants de Yahvéh sont ils illégitimes, et nés de père inconnu ?
Evidement, même la traduction en ligne est inopérante :
Les Juifs, face au nom sacré de Dieu Yahvéh ont un comportement qui n’est pas sans analogie avec celui de démoniaques possédés, et des vampires confrontés à une croix, ou au nom de Jésus.
Voici ce que donne la traduction en ligne Hébreu – Français :
Apparement, la traduction varie au gré de l’humeur du « docteur » Juif en charge.
Les 4 consomnes du nom Yahvéh יהוה sont (de droite à gauche) :
Yod = Y
Hei = H
Vav = V
Hei = H
Impossible à « confondre » avec les deux lettres du mot Eternel צח
Tzadei = Tz
Cheit = Ch
A vouloir trop bien faire…
Cet article de Wikipedia nous apprend que c’est par souci d’intégrité translittérale que Jérôme s’en est remis au savoir des docteurs (Rabins) Juifs pour obtenir une traduction plus fidèle des textes sacrés.
Les traductions latines de l’Ancien et du Nouveau Testament.
Au IVe siècle, les traductions latines des textes de la Bible, réalisées à partir de la version grecque et caractérisées, à l’origine, par leur littéralisme (elles seront désignées par la suite sous le terme générique de Vetus latina, vieille latine ; il en existe deux types de variantes : africaine, la plus ancienne, et européenne) finissent par devenir fort diverses en qualité et en précision à cause de la multiplication des manuscrits ; c’est pourquoi le pape Damase commande à Jérôme une version plus uniforme et plus fidèle. Dans une lettre adressée à Damase, Jérôme exprime ses doutes à propos de l’accueil que recevra cette révision : « vous voulez qu’avec les matériaux d’un ancien ouvrage j’en refasse un nouveau (…) quel est l’homme de nos jours, savant ou non savant, qui, se décidant à prendre en main notre ouvrage, et voyant discréditer le texte dont il se sert habituellement et dans lequel il a appris à lire, ne se récrie aussitôt, et ne me traite de faussaire, de sacrilège ? »
Jérôme commence la traduction du Nouveau Testament en 382 et celle de l’Ancien Testament en 385. Faisant face à des difficultés d’interprétation, il se rend en Palestine pour consulter les docteurs juifs, spécialistes du texte hébreu. Son désir est de retrouver la veritas hebraica par-delà l’héritage grec. Il lui faudra plus de quinze ans pour mener son travail à bien. Il achève son œuvre vers 405.
Toutes les versions en langues modernes de la Bible ont le Vulgate Codex pour source, de ce fait toutes les Bibles certifiées Kasher 100% (autorisées par le Vatican) y compris les versions Protestantes sont vierges de toute inscription du nom divin de notre Dieu Yahvéh.
"Faire confiance aux Juifs, dont la religion est le Judaïsme basé sur les traditions des Anciens décrites dans le Talmud de Babylone pour contrôler la source des écrits concernant Yahvéh est pour le moins naïf."
Je crains que les Juifs auraient difficile à embrasser un Talmud Babylonien traduit par des « docteurs » licenciés Es-Lettres Iraniens Musulmans auquels l’exégèse (définition): exégèse n f exégèse [ɛgzeʒɛz] 1 science de l’interprétation des textes obscurs l’exégèse de la Bible aurait été confiée.
Conclusion :
L’expression Judéo-Christianisme prend tout son sens sous l’éclairage nouveau de la traduction altérée des écritures sacrées par les Rabbins descendants des Pharisiens et Saducéens qui contrôlaient le service du Temple de Jérusalem depuis bien avant Jésus Christ.
Les « docteurs » Juifs ont excisé 5.162 fois le nom de Dieu, YHVH rien que dans l’Ancient Testament, et 1.858 fois de plus dans le Nouveau Testament, pour un total de la Bible de 7.020 fois.
Occurences du Nom יהוה dans la version du Nom Restauré King James :
Amputation Biblique ? Frappe chirugicale ? Charcutage Kasher ? Boucherie opératoire ? Manipulation médiatique des masse dès l’apparition du premier livre imprimé par Gutenberg ?
Faut il s’étoner que le nom Yahvéh soit pratiquement inconnu de nos jours ???
Liens :
Aleppo Codex en ligne : http://www.aleppocodex.org/newsite/index.html
Bible time Free software : http://www.bibletime.info/
Traducteur Français – Hébreu en ligne : http://translation.babylon.com/french/to-hebrew/
Article Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vulgate
http://childrenofyhwh.com/WordPress3/?page_id=270
En « Hébreu » moderne :
יהוה
Rome (devenu plus tard, le Vatican), a fait traduire les parchemins Hébreux et Araméens (Aleppo Codex) en Latin (Vulgate) par « un panel d’experts » Juifs versés dans la lecture, et l’interprétation des écritures, principalement Pharisiens et Saducéens.
Le nom de Yahvéh étant considéré par les Juifs comme étant « trop sacré » pour être prononcé même par les Juifs, et ce y compris les rabins, il était bien évidement hors de question que de quelconques Goyim Chrétiens aient la possibilité de le prononcer à la lecture des écritures.
Le nom sacré de Yahvéh fut soigneusement remplacé dans l’Ancient Testament par des titres, attributs, ou qualificatifs tels que ; L’Eternel, le Tout Puissant, le Seigneur, etc… et ceci à 5.162 reprises.
Au commencement, Dieu… Genèse 1:1
La première occurence du nom Yahvéh se trouve au verset 4 du chapitre 2 de la Genèse :
Aleppo Codex Hébreu Restored Names King James Louis Segond
Si l’auteur avait voulut écrire l’ Eternel l’original « Hébreu » serait :
צח
Des traducteurs expérimentés ayant l’ Hébreu pour langue maternelle ont ils pû en toute bonne foi confondre les 4 lettres de יהוה , avec les 2 lettres de צח à 5.162 occurences ?
Occurences du Nom יהוה dans l’Aleppo Hébreu :
Plutôt que d’une simple erreur, nous sommes en présence d’une volonté féroce et délibérée de censure, le nom sacré de Yahvéh a été mis à l’index. (Pratique courante à Rome, voir Inquisition).
Les enfants de Yahvéh sont ils illégitimes, et nés de père inconnu ?
Evidement, même la traduction en ligne est inopérante :
Les Juifs, face au nom sacré de Dieu Yahvéh ont un comportement qui n’est pas sans analogie avec celui de démoniaques possédés, et des vampires confrontés à une croix, ou au nom de Jésus.
Voici ce que donne la traduction en ligne Hébreu – Français :
Apparement, la traduction varie au gré de l’humeur du « docteur » Juif en charge.
Les 4 consomnes du nom Yahvéh יהוה sont (de droite à gauche) :
Yod = Y
Hei = H
Vav = V
Hei = H
Impossible à « confondre » avec les deux lettres du mot Eternel צח
Tzadei = Tz
Cheit = Ch
A vouloir trop bien faire…
Cet article de Wikipedia nous apprend que c’est par souci d’intégrité translittérale que Jérôme s’en est remis au savoir des docteurs (Rabins) Juifs pour obtenir une traduction plus fidèle des textes sacrés.
Les traductions latines de l’Ancien et du Nouveau Testament.
Au IVe siècle, les traductions latines des textes de la Bible, réalisées à partir de la version grecque et caractérisées, à l’origine, par leur littéralisme (elles seront désignées par la suite sous le terme générique de Vetus latina, vieille latine ; il en existe deux types de variantes : africaine, la plus ancienne, et européenne) finissent par devenir fort diverses en qualité et en précision à cause de la multiplication des manuscrits ; c’est pourquoi le pape Damase commande à Jérôme une version plus uniforme et plus fidèle. Dans une lettre adressée à Damase, Jérôme exprime ses doutes à propos de l’accueil que recevra cette révision : « vous voulez qu’avec les matériaux d’un ancien ouvrage j’en refasse un nouveau (…) quel est l’homme de nos jours, savant ou non savant, qui, se décidant à prendre en main notre ouvrage, et voyant discréditer le texte dont il se sert habituellement et dans lequel il a appris à lire, ne se récrie aussitôt, et ne me traite de faussaire, de sacrilège ? »
Jérôme commence la traduction du Nouveau Testament en 382 et celle de l’Ancien Testament en 385. Faisant face à des difficultés d’interprétation, il se rend en Palestine pour consulter les docteurs juifs, spécialistes du texte hébreu. Son désir est de retrouver la veritas hebraica par-delà l’héritage grec. Il lui faudra plus de quinze ans pour mener son travail à bien. Il achève son œuvre vers 405.
Toutes les versions en langues modernes de la Bible ont le Vulgate Codex pour source, de ce fait toutes les Bibles certifiées Kasher 100% (autorisées par le Vatican) y compris les versions Protestantes sont vierges de toute inscription du nom divin de notre Dieu Yahvéh.
"Faire confiance aux Juifs, dont la religion est le Judaïsme basé sur les traditions des Anciens décrites dans le Talmud de Babylone pour contrôler la source des écrits concernant Yahvéh est pour le moins naïf."
Je crains que les Juifs auraient difficile à embrasser un Talmud Babylonien traduit par des « docteurs » licenciés Es-Lettres Iraniens Musulmans auquels l’exégèse (définition): exégèse n f exégèse [ɛgzeʒɛz] 1 science de l’interprétation des textes obscurs l’exégèse de la Bible aurait été confiée.
Conclusion :
L’expression Judéo-Christianisme prend tout son sens sous l’éclairage nouveau de la traduction altérée des écritures sacrées par les Rabbins descendants des Pharisiens et Saducéens qui contrôlaient le service du Temple de Jérusalem depuis bien avant Jésus Christ.
Les « docteurs » Juifs ont excisé 5.162 fois le nom de Dieu, YHVH rien que dans l’Ancient Testament, et 1.858 fois de plus dans le Nouveau Testament, pour un total de la Bible de 7.020 fois.
Occurences du Nom יהוה dans la version du Nom Restauré King James :
Amputation Biblique ? Frappe chirugicale ? Charcutage Kasher ? Boucherie opératoire ? Manipulation médiatique des masse dès l’apparition du premier livre imprimé par Gutenberg ?
Faut il s’étoner que le nom Yahvéh soit pratiquement inconnu de nos jours ???
Liens :
Aleppo Codex en ligne : http://www.aleppocodex.org/newsite/index.html
Bible time Free software : http://www.bibletime.info/
Traducteur Français – Hébreu en ligne : http://translation.babylon.com/french/to-hebrew/
Article Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vulgate
http://childrenofyhwh.com/WordPress3/?page_id=270
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Les ennemis du Nom de Dieu
[Question du jour] : Pourquoi l’Église catholique a-t-elle supprimé l’usage de « Yahweh » dans les traductions, la liturgie, les chants et les prières ?
La Bible. (Crédit: Cyril BADET/CIRIC)
Chaque jour, un prêtre répond à une question d’internaute sur la foi catholique.
Aujourd’hui, le père Roger Gomis, prêtre du diocèse de Dakar au Sénégal, se prête à l’exercice.
Depuis 2008, le synode des évêques sur la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église proscrit l’usage de « Yahweh » dans les traductions, la liturgie, les chants et les prières.
En effet, la Congrégation romaine pour le culte divin demandait, le 29 juin 2008 – « par directive du Saint-Père » – qu’on n’emploie plus la transcription des quatre consonnes hébraïques – « le Tétragramme sacré » – vocalisées en « Yavhé » ou « Yahweh », dans les traductions, « les célébrations liturgiques, dans les chants, et dans les prières » de l’Église catholique.
La congrégation rappelle son document « Liturgiam Authenticam », de 2001, sur les traductions liturgiques, où il est demandé que « le nom du Dieu tout-puissant », exprimé par « le tétragramme hébreu » et rendu en latin par le mot « Dominus », soit rendu « dans les langues vernaculaires » par un mot de sens « équivalent ».
Par respect pour le Nom de Dieu, pour la Tradition de l’Église, pour le peuple Juif, et pour des raisons philologiques, il ne faut plus prononcer le nom de Dieu en disant « Yavhé ».
Le tétragramme IHWH
En réalité, les quatre lettres hébraïques désignant le nom de Dieu, révélé à Moïse (cf. Exode 3), sont quatre consonnes, le « Tétragramme » (Yod-Heh-Waw-Heh, souvent transcrites dans notre alphabet : IHWH). Ces quatre consonnes sont imprononçables parce qu’on ignore comment ce nom était vocalisé. Ou plutôt, dans la tradition de l’Ancien Testament, le nom de Dieu est imprononçable.
Seul le grand prêtre pouvait le prononcer, une fois l’an, lorsqu’il pénétrait dans la Saint des Saints du Temple de Jérusalem. La vocalisation a ainsi été gardée secrète et perdue. Certains suggèrent même qu’il n’y a jamais eu de vocalisation, personne ne pouvant prétendre mettre la main sur Dieu en prononçant son Nom.
Le livre de l’Ecclésiastique par exemple, dit du grand prêtre Simon : « Alors il descendait et élevait les mains, vers toute l’assemblée des enfants d’Israël, pour donner à haute voix la bénédiction du Seigneur et avoir l’honneur de prononcer son nom » (Ecclésiastique, ch. 50, v. 20).
La traduction de la Bible de l’hébreu en grec par les « Septante » sages juifs (72 traducteurs, vers 270 av. J.-C.), a remplacé le Tétragramme par le mot grec « Kurios », signifiant « le Seigneur ». La traduction de la « Vetus latina » et la « Vulgate » de saint Jérôme a traduit « Dominus » « le Seigneur », comme le rappelle le document de la Congrégation romaine qui demande donc de revenir à cet usage de dire « le Seigneur », à chaque fois que le texte emploie le tétragramme.
Une « omission » qui « a sa raison d’être »
Or, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques des lectionnaires liturgiques, mais aussi dans les hymnes et les prières : « Yahweh », « Jahweh » ou « Yehovah ».
Après une argumentation scripturaire, le document de la Congrégation romaine pour le culte divin ajoute que : « L’omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l’Église a donc sa raison d’être. En plus d’un motif d’ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n’a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ».
Les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour (le jour du Grand Pardon, des « Expiations »).
Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par « Adonaï » (« le Seigneur »), et dans la conversation courante par HaShem (« le Nom »).
Père Roger Gomis (avec Zénith du 24 octobre 2008)
https://africa.la-croix.com/question-du-jour%E2%80%89-pourquoi-leglise-catholique-a-t-elle-supprime-lusage-de-yahweh-dans-les-traductions-la-liturgie-les-chants-et-les-prieres%E2%80%89/
La Bible. (Crédit: Cyril BADET/CIRIC)
Chaque jour, un prêtre répond à une question d’internaute sur la foi catholique.
Aujourd’hui, le père Roger Gomis, prêtre du diocèse de Dakar au Sénégal, se prête à l’exercice.
Depuis 2008, le synode des évêques sur la Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église proscrit l’usage de « Yahweh » dans les traductions, la liturgie, les chants et les prières.
En effet, la Congrégation romaine pour le culte divin demandait, le 29 juin 2008 – « par directive du Saint-Père » – qu’on n’emploie plus la transcription des quatre consonnes hébraïques – « le Tétragramme sacré » – vocalisées en « Yavhé » ou « Yahweh », dans les traductions, « les célébrations liturgiques, dans les chants, et dans les prières » de l’Église catholique.
La congrégation rappelle son document « Liturgiam Authenticam », de 2001, sur les traductions liturgiques, où il est demandé que « le nom du Dieu tout-puissant », exprimé par « le tétragramme hébreu » et rendu en latin par le mot « Dominus », soit rendu « dans les langues vernaculaires » par un mot de sens « équivalent ».
Par respect pour le Nom de Dieu, pour la Tradition de l’Église, pour le peuple Juif, et pour des raisons philologiques, il ne faut plus prononcer le nom de Dieu en disant « Yavhé ».
Le tétragramme IHWH
En réalité, les quatre lettres hébraïques désignant le nom de Dieu, révélé à Moïse (cf. Exode 3), sont quatre consonnes, le « Tétragramme » (Yod-Heh-Waw-Heh, souvent transcrites dans notre alphabet : IHWH). Ces quatre consonnes sont imprononçables parce qu’on ignore comment ce nom était vocalisé. Ou plutôt, dans la tradition de l’Ancien Testament, le nom de Dieu est imprononçable.
Seul le grand prêtre pouvait le prononcer, une fois l’an, lorsqu’il pénétrait dans la Saint des Saints du Temple de Jérusalem. La vocalisation a ainsi été gardée secrète et perdue. Certains suggèrent même qu’il n’y a jamais eu de vocalisation, personne ne pouvant prétendre mettre la main sur Dieu en prononçant son Nom.
Le livre de l’Ecclésiastique par exemple, dit du grand prêtre Simon : « Alors il descendait et élevait les mains, vers toute l’assemblée des enfants d’Israël, pour donner à haute voix la bénédiction du Seigneur et avoir l’honneur de prononcer son nom » (Ecclésiastique, ch. 50, v. 20).
La traduction de la Bible de l’hébreu en grec par les « Septante » sages juifs (72 traducteurs, vers 270 av. J.-C.), a remplacé le Tétragramme par le mot grec « Kurios », signifiant « le Seigneur ». La traduction de la « Vetus latina » et la « Vulgate » de saint Jérôme a traduit « Dominus » « le Seigneur », comme le rappelle le document de la Congrégation romaine qui demande donc de revenir à cet usage de dire « le Seigneur », à chaque fois que le texte emploie le tétragramme.
Une « omission » qui « a sa raison d’être »
Or, la pratique s’est répandue de « prononcer le nom propre au Dieu d’Israël », de le vocaliser dans la lecture des textes bibliques des lectionnaires liturgiques, mais aussi dans les hymnes et les prières : « Yahweh », « Jahweh » ou « Yehovah ».
Après une argumentation scripturaire, le document de la Congrégation romaine pour le culte divin ajoute que : « L’omission de la prononciation du tétragramme du nom de Dieu de la part de l’Église a donc sa raison d’être. En plus d’un motif d’ordre purement philologique, il y a aussi celui de demeurer fidèle à la tradition ecclésiale, puisque le tétragramme sacré n’a jamais été prononcé dans le contexte chrétien, ni traduit dans aucune des langues dans lesquelles on a traduit la Bible ».
Les différents courants du judaïsme moderne maintiennent cette tradition que le Tétragramme ne peut être prononcé que par le Grand Prêtre dans le Temple, et même que celui-ci ne le prononçait généralement qu’à Yom Kippour (le jour du Grand Pardon, des « Expiations »).
Le Temple de Jérusalem ayant été détruit, ce Nom n’est jamais prononcé par les Juifs lors de rituels religieux, ni lors de conversations privées. Dans la prière, le Tétragramme est remplacé par « Adonaï » (« le Seigneur »), et dans la conversation courante par HaShem (« le Nom »).
Père Roger Gomis (avec Zénith du 24 octobre 2008)
https://africa.la-croix.com/question-du-jour%E2%80%89-pourquoi-leglise-catholique-a-t-elle-supprime-lusage-de-yahweh-dans-les-traductions-la-liturgie-les-chants-et-les-prieres%E2%80%89/
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