L’inquisition
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Religions & Cie :: Critiques/Religions :: Vatican
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
L’inquisition
Rappel du premier message :
L’inquisition et les femmes
«La poire vaginale», «les griffes à poitrine», «Les araignées espagnoles», la ceinture de chasteté, le masque de la honte
Dans l’église dont la structure est patriarcale et profondément masculine, les femmes devaient inévitablement être punies, souvent de manière bien pire encore que les hérétiques de sexe masculin.
A l’encontre de celles-ci l’agressivité et la perversion sexuelle des inquisiteurs se déchaînèrent véritablement.
Il y avait des instruments de torture spécifiques, conçus tout spécialement pour les femmes, par exemple «la poire vaginale» qui, par l’action rotative d’une vis, élargissait et déchirait l’utérus et les viscères.
Il y avait des «griffes à poitrine» qui déchiquetaient les seins; «d’autres griffes» qui, chauffées au rouge, causaient «seulement» une «morsure» à la poitrine des mères célibataires, dont les enfants se tenaient à leurs pieds, arrosés de leur sang.
Il y avait ce qu’on appelait les «araignées espagnoles», c.-à-d. des griffes à cinq doigts en ciseaux qui soulevaient la victime par le postérieur, la poitrine, le ventre ou la tête, mais aussi par les yeux et les oreilles à l’aide de deux griffes.
«La ceinture de chasteté» contrairement à la mystification qu’il en a été faite, était en réalité également un outil de torture. Naturellement, il y avait aussi «les masques de la honte» pour les femmes, ainsi que les «poires buccales» confectionnées spécialement contre leur prétendu verbiage. Il s’agissait en fait de bâillons en fer, dont l’extrémité aiguisée en pointe avait pour effet de leur trancher la gorge. Mais au besoin des pierres suffisaient aussi pour mener à bien cette œuvre de destruction. Les femmes ayant commis l’adultère, étaient lapidées ou jetées dans une fosse aux serpents …
Jamais il n’y eut une religion qui prêcha autant l’altruisme et l’amour pour le prochain et qui, en même temps, pratiqua autant «la haine du prochain» et la haine des femmes en particulier !
C’est en cela que le christianisme catholique et protestant se distingue de toutes les autres religions, à savoir de manière négative. Il ne s’est jamais distingué de manière positive en ce qui concerne l’humanité et la protection des droits de l’homme. Au contraire, il a fallu lutter pour chacun des droits de l’homme à cause de la résistance acharnée de l’église, aussi bien catholique que protestante.
La Poire, un des instruments de torture les plus atroces contenus dans les donjons du Vatican était cette poire utilisée par voie orale, anale et vaginale.. La poire d’angoisse était introduite dans la bouche, le vagin ou l’anus (suivant l'endroit où l'on avait péché) et augmentait de volume. Elle s’élargissait sans aucun moyen de la refermer sauf à l’aide d’une clé.
L’arracheur de sein et le « cats paw« : ces deux artéfacts sont utilisés pou arracher les seins des femmes et lacérer les corps des suppliciés. Utilisés à chaud ou à froid, il sont constitués pour l’arracheur de sein de quatre pointes métalliques reliées deux à deux en forme de pinces et pour la « cats paw » (« patte de chat » en français, aussi appelé « spanish tickler » « chatouilleur espagnol« ) de trois ou quatre griffes de métal assemblées pour former une patte ou une forme de râteaux avec laquelle est déchirée la chair du supplicié.
L'araignée espagnole
Cet objet est composé de longues griffes métalliques, qui étaient chauffées avant d'être fixé sur le sein d'une femme accusée d'adultère. Si percer la chair molle avec un métal brûlant chaude n'était pas suffisant pour le bourreau, la poitrine était arrachée violemment. D'autres utilisations de l'araignée espagnole étaient tout aussi inhumaine. Les victimes étaient agrippées par ces griffes par les seins, le ventre ou les fesses (n'importe quel partie charnue du corps), puis elles étaient suspendus au plafond. Sous leur propre poids, la peau s'étirait et les blessures s’aggravaient rendant le saignement impossible à arrêter. Les victimes mourraient après s’être vider de leur sang, quelques heures après avoir été suspendue au plafond.
LA CEINTURE DE CHASTETÉ
La ceinture de chasteté est généralement attachée à l’époque médiévale, ce qui en soit est incertain et relève plus de la tradition populaire. Au XIIème siècle, il est fait allusion à une ceinture posée sur le corps nu d’une femme, dans un poème de Marie de France, poétesse.
les masques de la honte. Le masque pour femme bavarde
Le pape dans un «souci brulant» lance la chasse aux sorcièreses
Le fait de reconnaître la femme en tant que personne humaine ayant les mêmes droits que l’homme fût de tout temps une chose impossible pour l’église. En fait, les femmes n’avaient nié que rarement les dogmes de la foi en comparaison aux hommes.
Celles-ci auraient donc dû être bien moins persécutées que les hommes. Mais en les accusant de sorcellerie, on pouvait ainsi les accuser d’hérésie.
La sorcellerie était une hérésie, telle était l’équation.
Et ainsi, l’inquisition s’ouvrit elle-même un nouveau champs d’action justifiant son existence, se confirmant elle-même. Les envoyés du pape Grégoire IX (1167-1241, pape à partir de 1227), désignés inquisiteurs par ce dernier, ont annoncé au Pontifex Maximus une explosion du nombre de sorcières ainsi que de pactes terribles avec le diable faits par des femmes de toutes les couches de la société.
Grégoire fut le premier pape qui, dans «un souci brûlant», ordonna la chasse aux sorcières.
Celle-ci se perpétra jusqu’au 18ème siècle, faisant rage sous toutes ses formes et excès les plus variés.
La chasse aux sorcières
L’Inquisition est organisée au début du XIIIe siècle par Grégoire IX pour lutter contre les hérétiques.
Ses premières victimes sont les Cathares et les Vaudois qui proposent des visions différentes de la foi chrétienne.
La constatation relève d’une volonté de liberté.
De nombreux rassemblements se créent dans un courant d’un Esprit Libre comme les Bégards et les Lollards. Ces derniers réclament une plus grande liberté de « corps et de conscience ».
Dans ces rassemblements considérés comme des sectes. On y retrouve de nombreuses femmes.
Elles expriment leur désaccord avec l’Église en réclament une libéralisation du statut de la femme.
Les Béguines (surtout en Europe du nord) soutiennent ce courant. Elles vivent au sein de communauté autonomes mais ne sont pas ordonnées.
Marguerite Porete une béguine pousse la provocation jusqu’à publier à la fin du XIIIe siècle un traité de théologie « Le miroir des âmes simples anéanties ».
Elle fut poursuivie par l’Inquisition et fut condamné pour hérésie et fut brulée en1310.
Vers 1326 le pape Jean XXII rédige un texte nommé « Super Illius Spécula ».
Ce texte range la sorcellerie parmi les hérésies. En 1484, le pape Innocent VIII lance un appel pour lancer « La chasse aux sorcières » en rédigeant un texte organisant la lutte contre la sorcellerie.
La mission de l’Inquisition est élargie aux « praticiens infernaux ».
La persécution est véritablement lancée à grande échelle après la publication en 1486 du 3malleus Maléficarum » par Heinrich Kramer et Jacques Spencer, deux dominicains. Ce texte traite d’une description des sorcières et de leurs pratiques ainsi que les méthodes à appliquer pour les reconnaitre.
« Le Malleus Maleficarum » ou « Le marteau des sorcières » est un véritable succès : en 30 ans ce texte fut réédité plus de vingt fois.
Ce texte fut rejeté dans un premier temps par l’Inquisition mais le manuel rédigé par les deux dominicains à néanmoins servit de référence à la justice séculière qui jugeait les sorcières.
A cause de cet ouvrage, les persécutions commencèrent. Un mouvement d’arrestation commença dans toute l’Europe.
D’après des historiens et chercheurs, le nombre de victimes fût estimé entre 50.000 et 100.000.
L’usage de la torture fut systématiquement utilisé et permet l’obtention d’aveux.
Les victimes des procès contre la sorcellerie sont à 80% des femmes appartenant pour la majorité aux classes populaires.
Les condamnations pouvaient aussi concernées les enfants de ces femmes ou hommes surtout si il s’agissait de filles.
En France cette « chasse aux sorcières » s’arrêta vers 1680.
Les persécutions se terminèrent vers la fin du XVIIe siècle.
Les dernières victimes sont situées vers 1782 et 1793. Elles furent brulées et décapitées.
.
.
L’inquisition
L’inquisition et les femmes
«La poire vaginale», «les griffes à poitrine», «Les araignées espagnoles», la ceinture de chasteté, le masque de la honte
Dans l’église dont la structure est patriarcale et profondément masculine, les femmes devaient inévitablement être punies, souvent de manière bien pire encore que les hérétiques de sexe masculin.
A l’encontre de celles-ci l’agressivité et la perversion sexuelle des inquisiteurs se déchaînèrent véritablement.
Il y avait des instruments de torture spécifiques, conçus tout spécialement pour les femmes, par exemple «la poire vaginale» qui, par l’action rotative d’une vis, élargissait et déchirait l’utérus et les viscères.
Il y avait des «griffes à poitrine» qui déchiquetaient les seins; «d’autres griffes» qui, chauffées au rouge, causaient «seulement» une «morsure» à la poitrine des mères célibataires, dont les enfants se tenaient à leurs pieds, arrosés de leur sang.
Il y avait ce qu’on appelait les «araignées espagnoles», c.-à-d. des griffes à cinq doigts en ciseaux qui soulevaient la victime par le postérieur, la poitrine, le ventre ou la tête, mais aussi par les yeux et les oreilles à l’aide de deux griffes.
«La ceinture de chasteté» contrairement à la mystification qu’il en a été faite, était en réalité également un outil de torture. Naturellement, il y avait aussi «les masques de la honte» pour les femmes, ainsi que les «poires buccales» confectionnées spécialement contre leur prétendu verbiage. Il s’agissait en fait de bâillons en fer, dont l’extrémité aiguisée en pointe avait pour effet de leur trancher la gorge. Mais au besoin des pierres suffisaient aussi pour mener à bien cette œuvre de destruction. Les femmes ayant commis l’adultère, étaient lapidées ou jetées dans une fosse aux serpents …
Jamais il n’y eut une religion qui prêcha autant l’altruisme et l’amour pour le prochain et qui, en même temps, pratiqua autant «la haine du prochain» et la haine des femmes en particulier !
C’est en cela que le christianisme catholique et protestant se distingue de toutes les autres religions, à savoir de manière négative. Il ne s’est jamais distingué de manière positive en ce qui concerne l’humanité et la protection des droits de l’homme. Au contraire, il a fallu lutter pour chacun des droits de l’homme à cause de la résistance acharnée de l’église, aussi bien catholique que protestante.
La Poire, un des instruments de torture les plus atroces contenus dans les donjons du Vatican était cette poire utilisée par voie orale, anale et vaginale.. La poire d’angoisse était introduite dans la bouche, le vagin ou l’anus (suivant l'endroit où l'on avait péché) et augmentait de volume. Elle s’élargissait sans aucun moyen de la refermer sauf à l’aide d’une clé.
L’arracheur de sein et le « cats paw« : ces deux artéfacts sont utilisés pou arracher les seins des femmes et lacérer les corps des suppliciés. Utilisés à chaud ou à froid, il sont constitués pour l’arracheur de sein de quatre pointes métalliques reliées deux à deux en forme de pinces et pour la « cats paw » (« patte de chat » en français, aussi appelé « spanish tickler » « chatouilleur espagnol« ) de trois ou quatre griffes de métal assemblées pour former une patte ou une forme de râteaux avec laquelle est déchirée la chair du supplicié.
L'araignée espagnole
Cet objet est composé de longues griffes métalliques, qui étaient chauffées avant d'être fixé sur le sein d'une femme accusée d'adultère. Si percer la chair molle avec un métal brûlant chaude n'était pas suffisant pour le bourreau, la poitrine était arrachée violemment. D'autres utilisations de l'araignée espagnole étaient tout aussi inhumaine. Les victimes étaient agrippées par ces griffes par les seins, le ventre ou les fesses (n'importe quel partie charnue du corps), puis elles étaient suspendus au plafond. Sous leur propre poids, la peau s'étirait et les blessures s’aggravaient rendant le saignement impossible à arrêter. Les victimes mourraient après s’être vider de leur sang, quelques heures après avoir été suspendue au plafond.
LA CEINTURE DE CHASTETÉ
La ceinture de chasteté est généralement attachée à l’époque médiévale, ce qui en soit est incertain et relève plus de la tradition populaire. Au XIIème siècle, il est fait allusion à une ceinture posée sur le corps nu d’une femme, dans un poème de Marie de France, poétesse.
les masques de la honte. Le masque pour femme bavarde
Le pape dans un «souci brulant» lance la chasse aux sorcièreses
Le fait de reconnaître la femme en tant que personne humaine ayant les mêmes droits que l’homme fût de tout temps une chose impossible pour l’église. En fait, les femmes n’avaient nié que rarement les dogmes de la foi en comparaison aux hommes.
Celles-ci auraient donc dû être bien moins persécutées que les hommes. Mais en les accusant de sorcellerie, on pouvait ainsi les accuser d’hérésie.
La sorcellerie était une hérésie, telle était l’équation.
Et ainsi, l’inquisition s’ouvrit elle-même un nouveau champs d’action justifiant son existence, se confirmant elle-même. Les envoyés du pape Grégoire IX (1167-1241, pape à partir de 1227), désignés inquisiteurs par ce dernier, ont annoncé au Pontifex Maximus une explosion du nombre de sorcières ainsi que de pactes terribles avec le diable faits par des femmes de toutes les couches de la société.
Grégoire fut le premier pape qui, dans «un souci brûlant», ordonna la chasse aux sorcières.
Celle-ci se perpétra jusqu’au 18ème siècle, faisant rage sous toutes ses formes et excès les plus variés.
La chasse aux sorcières
L’Inquisition est organisée au début du XIIIe siècle par Grégoire IX pour lutter contre les hérétiques.
Ses premières victimes sont les Cathares et les Vaudois qui proposent des visions différentes de la foi chrétienne.
La constatation relève d’une volonté de liberté.
De nombreux rassemblements se créent dans un courant d’un Esprit Libre comme les Bégards et les Lollards. Ces derniers réclament une plus grande liberté de « corps et de conscience ».
Dans ces rassemblements considérés comme des sectes. On y retrouve de nombreuses femmes.
Elles expriment leur désaccord avec l’Église en réclament une libéralisation du statut de la femme.
Les Béguines (surtout en Europe du nord) soutiennent ce courant. Elles vivent au sein de communauté autonomes mais ne sont pas ordonnées.
Marguerite Porete une béguine pousse la provocation jusqu’à publier à la fin du XIIIe siècle un traité de théologie « Le miroir des âmes simples anéanties ».
Elle fut poursuivie par l’Inquisition et fut condamné pour hérésie et fut brulée en1310.
Vers 1326 le pape Jean XXII rédige un texte nommé « Super Illius Spécula ».
Ce texte range la sorcellerie parmi les hérésies. En 1484, le pape Innocent VIII lance un appel pour lancer « La chasse aux sorcières » en rédigeant un texte organisant la lutte contre la sorcellerie.
La mission de l’Inquisition est élargie aux « praticiens infernaux ».
La persécution est véritablement lancée à grande échelle après la publication en 1486 du 3malleus Maléficarum » par Heinrich Kramer et Jacques Spencer, deux dominicains. Ce texte traite d’une description des sorcières et de leurs pratiques ainsi que les méthodes à appliquer pour les reconnaitre.
« Le Malleus Maleficarum » ou « Le marteau des sorcières » est un véritable succès : en 30 ans ce texte fut réédité plus de vingt fois.
Ce texte fut rejeté dans un premier temps par l’Inquisition mais le manuel rédigé par les deux dominicains à néanmoins servit de référence à la justice séculière qui jugeait les sorcières.
A cause de cet ouvrage, les persécutions commencèrent. Un mouvement d’arrestation commença dans toute l’Europe.
D’après des historiens et chercheurs, le nombre de victimes fût estimé entre 50.000 et 100.000.
L’usage de la torture fut systématiquement utilisé et permet l’obtention d’aveux.
Les victimes des procès contre la sorcellerie sont à 80% des femmes appartenant pour la majorité aux classes populaires.
Les condamnations pouvaient aussi concernées les enfants de ces femmes ou hommes surtout si il s’agissait de filles.
En France cette « chasse aux sorcières » s’arrêta vers 1680.
Les persécutions se terminèrent vers la fin du XVIIe siècle.
Les dernières victimes sont situées vers 1782 et 1793. Elles furent brulées et décapitées.
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
La Torture au Moyen Age
Il était affreux qu'on admît toutefois le recours à la torture pour extorquer des confessions aux sorcières.
Plus affreux encore qu'on les y soumit à plusieurs reprises quand elles rétractaient leurs aveux et qu'on leur promît des remises de peine qu'on savait ne pas devoir tenir. Parmi les méthodes les plus usitées, citons : la chaise à clous, l'élongation, l'estrapade, les garrots, l'immersion, les fers brûlants, les rouleaux à épines, les tourniquets, les brodequins, le plomb fondu et l'eau bouillante.
La question préparatoire
On effrayait l'accusé en lui expliquant le maniement des différents instruments de torture, puis on fouettait et on le torturait avec des cordes serrées.
Question définitive ou Torture finale
Ici le sadisme et la variété se donnaient libre cours.
On subdivisait parfois en ordinaire (estrapade) et extraordinaire (dislocation des membres). Tout cela sans exclure des tortures traditionnelles ( arrachage des chairs avec des pinces rougies).
Wilhelm Pressel, dans son livre "Hexen und Hexenmeister", imprimé à Stuttgart en 1860 nous livre le rapport du premier jour de torture, d'une femme accusée de sorcellerie à Prossneck (Allemagne), en 1629 :
Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place sur l'échelle.
Il lui jette de l'alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.
Il lui place des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflamme.
Il lui lie les mains derrière le dos et l'élève jusqu'au plafond.
Là, il la laisse suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner.
A son retour, il lui asperge le dos d'alcool et y met le feu.
Il lui attache de très lourds poids au corps et l'élève à nouveau. Après cela, il lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et la remonte une fois de plus jusqu'au plafond.
Il lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Il la laisse ainsi suspendue pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.
Puis il lui presse les mollets et les jambes à la vis.
Il la fouette ensuite avec un fouet conditionné pour la faire saigner.
A nouveau, il lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu'il va manger un peu avec les officiels de la cour. Le lendemain, ils reprirent mais sans pousser les choses aussi loin que le jour précédent ...
Mémoires de William Lithgow
Je fus mis tout nu et porté sur le chevalet (il s'agissait d'un chevalet vertical posé contre le mur) où l'on me suspendit avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, mon bourreau tira mes jambes de chaque côté du chevalet, attacha une corde sur chacune de mes chevilles et tira les cordes ensuite vers le haut, obligeant mes genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent mes jarrets. Je fus ainsi pendu pendant plus d'une heure. Ensuite mon bourreau plaçant mon bras droit au dessus du gauche enroula sept fois de suite une corde autour des deux bras et se tenant sur le dos raidissant ses pieds contre mon ventre, tira de telle sorte les cordes qu'il me coupa les tendons des bras et mis mes os à nu si bien que je fus estropié pour le reste de mes jours.
Alors mes yeux commencèrent à sortir, ma bouche se mit à mousser et à écumer, et mes dents à remuer comme des baguettes de tambours. Mais en dépit de mes lèvres tremblantes, de mes soupirs, du sang jaillissant de mes bras, de mes tendons brisés, de mes jarrets et de mes genoux, ils continuèrent à frapper ma figure avec des gourdins pour arrêter mes cris de terreur. Ils me disaient sans cesse : Avoue, avoue, avoue à temps pour éviter d'horribles tourments Mais je ne pouvais que répondre: Je suis innocent, O Jésus ayez pitié de moi !
Alors mon corps tremblant fut porté sur un chevalet plat, ma tête pendante placée dans un trou circulaire, mon ventre en l'air, mes bras et pieds ligotés, car je devais endurer mes pires supplices. Ensuite des cordes furent passées sur le gras de mes jambes, le milieu de mes cuisses et de mes bras, et ces cordes furent attachées à mes chevilles. Je souffris sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors le bourreau prit un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement fut placé près de ma bouche.
Au début, je l'acceptai avec joie, car je souffrais d'une soif écorchante et n'avais rien bu depuis trois jours. Mais lorsque je vis qu'il essayait de me forcer à boire, je fermai les lèvres. Ensuite on m'écarta les dents avec une paire de pinces en fer. Bientôt mon ventre commença à grogner terriblement à la manière d'un tambour, je ressentis une peine suffocante avec ma tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans ma gorge, étranglant et arrêtant ma respiration.
Je demeurai six heures sur ce chevalet et entre chaque application de la torture, on me questionnait pendant une demi heure, chaque demi heure me paraissant un enfer. Vers dix ce soir là, ils m'avaient infligé soixante tortures diverses et continuèrent encore une demi heure bien que mon corps fut couvert de sang, que je fusse percé de part en part, que mes os fussent broyés ou meurtris et en dépit de mes hurlements, de mes lèvres et du grincement de mes dents. Aucun homme, je le jure, ne pourrait concevoir les peines que j'ai endurées ni l'anxiété de mon esprit.
Quand ils m'arrachèrent du chevalet l'eau jaillit de ma bouche. Ils mirent des fers sur mes jambes brisées et je fus reconduit dans mon donjon. Chaque jour on me menaçait de tortures nouvelles si je refusais d'avouer. Le gouverneur ordonna que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur mon corps nu ce que me fit souffrir mille morts. Mais le guichetier venait me voir en secret, enlevait la vermine et la brûlait en tas avec de l'huile, sans cela elle m'aurait entièrement mangé et dévoré.
La peste et erreur des sorciers, devins et invocateurs des démons revêt, en diverses provinces et régions, des formes nombreuses et variées en rapport avec les multiples inventions et les fausses et vaines imaginations de ces gens superstitieux qui prennent en considération les esprits d'erreur et les doctrines démoniaques.
Interrogatoire des sorciers, devins et invocateurs des démons.
Au sorcier, devin et invocateur des démons inculpé, on demandera la nature et le nombre des sortilèges, divinations ou invocations qu'il connaît, et qui les lui a enseignés. Item, on descendra dans les détails, prenant garde à la qualité et condition des personnes, car les interrogatoires ne doivent pas être les mêmes pour tous. Autre sera celui d'un homme, autre celui sera d'une femme.
On pourra poser à l'inculpé les questions suivantes :
◾Que sait-il, qu'a-t-il appris, à quelles pratiques s'est-il livré à propos d'enfants victimes d'un sort et à désensorceler ?
◾Item, à propos des âmes perdues ou damnées ;
◾Item, à propos des voleurs à incarcérer ;
◾Item, à propos d'accord ou le désaccord entre époux ;
◾Item, à propos de la fécondation des stériles ;
◾Item, à propos de substances que les sorciers font absorber : poils, ongles et autres ;
◾Item, à propos de la condition des âmes des défunts ;
◾Item, à propos de prédictions d'événements à venir ;
◾Item, à propos des fées qui portent bonheur ou, dit on, courent la nuit ;
◾Item, à propos des enchantements et conjurations au moyen d'incantations, de fruits, de plantes, de cordes etc ... ;
◾Item, à qui les a-t-il enseignées ? de qui les tient-il ? qui les lui a apprises ?
◾Item, que sait il de la guérison des maladies au moyen de conjurations ou d'incantations ?
◾Item, que sait il de cette façon de récolter les plantes, à genoux, face à l'orient, et en récitant l'oraison dominicale ?
◾Item, qu'en est il de ces pèlerinages, messes, offrandes de cierges et distributions d'aumônes qu'imposent les sorciers ?
◾Item, comment fait on pour découvrir les vols et connaître les choses occultes ?
◾Item, on fera notamment porter l'enquête sur ces pratiques qui sentent une superstition
◾quelconque, l'irrespect, l'injure vis-à-vis des sacrements de l'Eglise, en particulier du sacrement du corps du Christ, vis-à-vis du culte divin et des lieux consacrés.
◾Item, on s'enquerra de cette pratique qui consiste à conserver l'eucharistie, à dérober aux églises le chrême ou l'huile sainte ;
◾Item, de celle qui consiste à baptiser des images de cire ou autres : on demandera la manière de les baptiser, quel usage on en fait et quels avantages on en retire.
◾Item, on interrogera le prévenu sur les images de plomb que fabriquent les sorciers : mode de fabrication et emploi;
◾Item, on lui demandera de ce qui il tient tous ces renseignements ;
◾Item, depuis combien de temps il a commencé à user de telles pratiques ;
◾Item, quelles personnes et combien sont venues lui demander des consultations, en particulier pendant l'année en cours ;
◾Item, lui a-t-on antérieurement défendu de se livrer à de telles pratiques ? qui lui a fait cette défense ? a-t-il promis de ne plus se livrer à ces pratiques et de n'en plus user désormais ?
◾Item, a-t-il récidivé malgré cette promesse et abjuration ?
◾Item, croyait-il à la réalité de ce que les autres lui enseignaient ?
◾Item, quels bienfaits, présents ou récompenses a-t-il reçus pour ses services ?
Un tribunal au XVe, l'interrogatoire - Dessin de H.Meyer salon de 1875.
Epreuve de l'estrapade de Milles de Souvigny. Paris, 1541.
L'estrapade.
Supplice d'Urbain Grandier. 1590, Bouère (Mayenne) - 18 avril 1634, Loudun).
.
Il était affreux qu'on admît toutefois le recours à la torture pour extorquer des confessions aux sorcières.
Plus affreux encore qu'on les y soumit à plusieurs reprises quand elles rétractaient leurs aveux et qu'on leur promît des remises de peine qu'on savait ne pas devoir tenir. Parmi les méthodes les plus usitées, citons : la chaise à clous, l'élongation, l'estrapade, les garrots, l'immersion, les fers brûlants, les rouleaux à épines, les tourniquets, les brodequins, le plomb fondu et l'eau bouillante.
La question préparatoire
On effrayait l'accusé en lui expliquant le maniement des différents instruments de torture, puis on fouettait et on le torturait avec des cordes serrées.
Question définitive ou Torture finale
Ici le sadisme et la variété se donnaient libre cours.
On subdivisait parfois en ordinaire (estrapade) et extraordinaire (dislocation des membres). Tout cela sans exclure des tortures traditionnelles ( arrachage des chairs avec des pinces rougies).
Wilhelm Pressel, dans son livre "Hexen und Hexenmeister", imprimé à Stuttgart en 1860 nous livre le rapport du premier jour de torture, d'une femme accusée de sorcellerie à Prossneck (Allemagne), en 1629 :
Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place sur l'échelle.
Il lui jette de l'alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines.
Il lui place des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflamme.
Il lui lie les mains derrière le dos et l'élève jusqu'au plafond.
Là, il la laisse suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner.
A son retour, il lui asperge le dos d'alcool et y met le feu.
Il lui attache de très lourds poids au corps et l'élève à nouveau. Après cela, il lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et la remonte une fois de plus jusqu'au plafond.
Il lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Il la laisse ainsi suspendue pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse.
Puis il lui presse les mollets et les jambes à la vis.
Il la fouette ensuite avec un fouet conditionné pour la faire saigner.
A nouveau, il lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu'il va manger un peu avec les officiels de la cour. Le lendemain, ils reprirent mais sans pousser les choses aussi loin que le jour précédent ...
Mémoires de William Lithgow
Je fus mis tout nu et porté sur le chevalet (il s'agissait d'un chevalet vertical posé contre le mur) où l'on me suspendit avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, mon bourreau tira mes jambes de chaque côté du chevalet, attacha une corde sur chacune de mes chevilles et tira les cordes ensuite vers le haut, obligeant mes genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent mes jarrets. Je fus ainsi pendu pendant plus d'une heure. Ensuite mon bourreau plaçant mon bras droit au dessus du gauche enroula sept fois de suite une corde autour des deux bras et se tenant sur le dos raidissant ses pieds contre mon ventre, tira de telle sorte les cordes qu'il me coupa les tendons des bras et mis mes os à nu si bien que je fus estropié pour le reste de mes jours.
Alors mes yeux commencèrent à sortir, ma bouche se mit à mousser et à écumer, et mes dents à remuer comme des baguettes de tambours. Mais en dépit de mes lèvres tremblantes, de mes soupirs, du sang jaillissant de mes bras, de mes tendons brisés, de mes jarrets et de mes genoux, ils continuèrent à frapper ma figure avec des gourdins pour arrêter mes cris de terreur. Ils me disaient sans cesse : Avoue, avoue, avoue à temps pour éviter d'horribles tourments Mais je ne pouvais que répondre: Je suis innocent, O Jésus ayez pitié de moi !
Alors mon corps tremblant fut porté sur un chevalet plat, ma tête pendante placée dans un trou circulaire, mon ventre en l'air, mes bras et pieds ligotés, car je devais endurer mes pires supplices. Ensuite des cordes furent passées sur le gras de mes jambes, le milieu de mes cuisses et de mes bras, et ces cordes furent attachées à mes chevilles. Je souffris sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors le bourreau prit un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement fut placé près de ma bouche.
Au début, je l'acceptai avec joie, car je souffrais d'une soif écorchante et n'avais rien bu depuis trois jours. Mais lorsque je vis qu'il essayait de me forcer à boire, je fermai les lèvres. Ensuite on m'écarta les dents avec une paire de pinces en fer. Bientôt mon ventre commença à grogner terriblement à la manière d'un tambour, je ressentis une peine suffocante avec ma tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans ma gorge, étranglant et arrêtant ma respiration.
Je demeurai six heures sur ce chevalet et entre chaque application de la torture, on me questionnait pendant une demi heure, chaque demi heure me paraissant un enfer. Vers dix ce soir là, ils m'avaient infligé soixante tortures diverses et continuèrent encore une demi heure bien que mon corps fut couvert de sang, que je fusse percé de part en part, que mes os fussent broyés ou meurtris et en dépit de mes hurlements, de mes lèvres et du grincement de mes dents. Aucun homme, je le jure, ne pourrait concevoir les peines que j'ai endurées ni l'anxiété de mon esprit.
Quand ils m'arrachèrent du chevalet l'eau jaillit de ma bouche. Ils mirent des fers sur mes jambes brisées et je fus reconduit dans mon donjon. Chaque jour on me menaçait de tortures nouvelles si je refusais d'avouer. Le gouverneur ordonna que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur mon corps nu ce que me fit souffrir mille morts. Mais le guichetier venait me voir en secret, enlevait la vermine et la brûlait en tas avec de l'huile, sans cela elle m'aurait entièrement mangé et dévoré.
La peste et erreur des sorciers, devins et invocateurs des démons revêt, en diverses provinces et régions, des formes nombreuses et variées en rapport avec les multiples inventions et les fausses et vaines imaginations de ces gens superstitieux qui prennent en considération les esprits d'erreur et les doctrines démoniaques.
Interrogatoire des sorciers, devins et invocateurs des démons.
Au sorcier, devin et invocateur des démons inculpé, on demandera la nature et le nombre des sortilèges, divinations ou invocations qu'il connaît, et qui les lui a enseignés. Item, on descendra dans les détails, prenant garde à la qualité et condition des personnes, car les interrogatoires ne doivent pas être les mêmes pour tous. Autre sera celui d'un homme, autre celui sera d'une femme.
On pourra poser à l'inculpé les questions suivantes :
◾Que sait-il, qu'a-t-il appris, à quelles pratiques s'est-il livré à propos d'enfants victimes d'un sort et à désensorceler ?
◾Item, à propos des âmes perdues ou damnées ;
◾Item, à propos des voleurs à incarcérer ;
◾Item, à propos d'accord ou le désaccord entre époux ;
◾Item, à propos de la fécondation des stériles ;
◾Item, à propos de substances que les sorciers font absorber : poils, ongles et autres ;
◾Item, à propos de la condition des âmes des défunts ;
◾Item, à propos de prédictions d'événements à venir ;
◾Item, à propos des fées qui portent bonheur ou, dit on, courent la nuit ;
◾Item, à propos des enchantements et conjurations au moyen d'incantations, de fruits, de plantes, de cordes etc ... ;
◾Item, à qui les a-t-il enseignées ? de qui les tient-il ? qui les lui a apprises ?
◾Item, que sait il de la guérison des maladies au moyen de conjurations ou d'incantations ?
◾Item, que sait il de cette façon de récolter les plantes, à genoux, face à l'orient, et en récitant l'oraison dominicale ?
◾Item, qu'en est il de ces pèlerinages, messes, offrandes de cierges et distributions d'aumônes qu'imposent les sorciers ?
◾Item, comment fait on pour découvrir les vols et connaître les choses occultes ?
◾Item, on fera notamment porter l'enquête sur ces pratiques qui sentent une superstition
◾quelconque, l'irrespect, l'injure vis-à-vis des sacrements de l'Eglise, en particulier du sacrement du corps du Christ, vis-à-vis du culte divin et des lieux consacrés.
◾Item, on s'enquerra de cette pratique qui consiste à conserver l'eucharistie, à dérober aux églises le chrême ou l'huile sainte ;
◾Item, de celle qui consiste à baptiser des images de cire ou autres : on demandera la manière de les baptiser, quel usage on en fait et quels avantages on en retire.
◾Item, on interrogera le prévenu sur les images de plomb que fabriquent les sorciers : mode de fabrication et emploi;
◾Item, on lui demandera de ce qui il tient tous ces renseignements ;
◾Item, depuis combien de temps il a commencé à user de telles pratiques ;
◾Item, quelles personnes et combien sont venues lui demander des consultations, en particulier pendant l'année en cours ;
◾Item, lui a-t-on antérieurement défendu de se livrer à de telles pratiques ? qui lui a fait cette défense ? a-t-il promis de ne plus se livrer à ces pratiques et de n'en plus user désormais ?
◾Item, a-t-il récidivé malgré cette promesse et abjuration ?
◾Item, croyait-il à la réalité de ce que les autres lui enseignaient ?
◾Item, quels bienfaits, présents ou récompenses a-t-il reçus pour ses services ?
Un tribunal au XVe, l'interrogatoire - Dessin de H.Meyer salon de 1875.
Epreuve de l'estrapade de Milles de Souvigny. Paris, 1541.
L'estrapade.
Supplice d'Urbain Grandier. 1590, Bouère (Mayenne) - 18 avril 1634, Loudun).
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
La vierge de fer
C'était une statue de fer de grandeur naturelle, d'une taille un peu au dessus de la moyenne, mais posée sur un bas piédestal qui s'enfonçait ou se haussait, de manière à mettre la tête de la statue bien au niveau de la tête de l'être humain qui devait être sa victime.
Cette statue représentait une femme sobrement drapée, les bras nus. Ces bras étaient articulés, assez ingénieusement aux épaules, aux coudes et aux poignets, les mains aux doigts écartés, crochus et acérés, demeurant à demi fermés, dans le mouvement de saisir violemment quelque chose ou quelqu'un ...
La victime hurlant de peur se cambrait, espérant échapper à l'étreinte : quel spectacle ! ... Les gros cierges éclairaient la jeune femme.
Son visage convulsé, sa bouche hurlante, ses yeux horrifiés ... Son sein gauche jaillit, splendide et lourd, jeune et gonflé, d'une blancheur délicate ... Et les contorsions de son corps flagellaient les longues mèches de sa chevelure Et le sang paru, tomba par gouttes puis ruissela ... C'est que des yeux de la statue, tout aussi lentement, sortait une autre pointe d'acier ... lentement encore, les bras de fer resserraient leur étreinte, l'un étant resté un peu au dessous de l'épaule gauche de la victime, l'autre étant remonté et lui enfonçant ses ongles dans le crâne, à travers les cheveux. ( La Vierge de Fer par Edmond Cazal , Extrait littéraire ) .
.
C'était une statue de fer de grandeur naturelle, d'une taille un peu au dessus de la moyenne, mais posée sur un bas piédestal qui s'enfonçait ou se haussait, de manière à mettre la tête de la statue bien au niveau de la tête de l'être humain qui devait être sa victime.
Cette statue représentait une femme sobrement drapée, les bras nus. Ces bras étaient articulés, assez ingénieusement aux épaules, aux coudes et aux poignets, les mains aux doigts écartés, crochus et acérés, demeurant à demi fermés, dans le mouvement de saisir violemment quelque chose ou quelqu'un ...
La victime hurlant de peur se cambrait, espérant échapper à l'étreinte : quel spectacle ! ... Les gros cierges éclairaient la jeune femme.
Son visage convulsé, sa bouche hurlante, ses yeux horrifiés ... Son sein gauche jaillit, splendide et lourd, jeune et gonflé, d'une blancheur délicate ... Et les contorsions de son corps flagellaient les longues mèches de sa chevelure Et le sang paru, tomba par gouttes puis ruissela ... C'est que des yeux de la statue, tout aussi lentement, sortait une autre pointe d'acier ... lentement encore, les bras de fer resserraient leur étreinte, l'un étant resté un peu au dessous de l'épaule gauche de la victime, l'autre étant remonté et lui enfonçant ses ongles dans le crâne, à travers les cheveux. ( La Vierge de Fer par Edmond Cazal , Extrait littéraire ) .
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
Inquisition : Tortures des Femmes.
chambre des tortures
1123 Premier concile du Latran
1231 Grégoie 9 publie la constitution excommunicamus, acte fondateur de l'inqusition
1049/59 Ladite papauté s'émanciperait de L'Empire avec le pape Léon 9 qui instaure le Pontifex Maximus qui sera le premier à pouchasser de dites sorcières dans toutes les classes sociales
1179 Concile du Latran qui dénonça les Hérétiques de Gascogne
1096 Date des premières Croisades pour sécuriser les lieux saints et leurs routes
1199 Début de l’Inquisition.
1209/1255 Massacre des Cathares
1307 Arrestation des Templiers
1314 Celui des Templiers, en Suisse et en Allemagne à partir du XIVe celui des Anabaptistes (Mennonites) qui étrangement est resté totalement ignoré, puis celui des Bogomiles
1337/1453 Guerre de Cent ans
1452 Début de l‘Imprimerie qui permettra de créer une Histoire et plus tard aux protestants de faire éditer des milliers puis des millions d‘exemplaires de la Bible dans un monde qui était encore totalement païen, hénotéiste, mais aussi inculte et rural.
1478 Inquisition espagnole
1484 Innocent VIII menace de mort ou de terribles sentences ceux qui s'opposent à son décret d'extermination des dites sorcières
1492 Début du colonialisme religieux et du massacre des autochtones, destruction des Codices, des Cultes et des Cultures et évangélisation forcée
1505 Construction du Vatican ( bien après les Cathédrales)
1542 Inquisition romaine
1545/1564 Concile de Trente : Riposte catholique à la Réforme Protestante qui déclare comme anathèmes, soit maudits, tous ceux qui choisisent cette voie.
XIV et XV Art de la Renaissance et de ses œuvres saintes ou religieuses
1520 La Grande Réforme radicale chrétienne, qui sera dite protestante, et la naissance de très nombreux schismes en son sein. Mais les protestants participèrent eux aussi à l'inquisition
1572 Saint Barthélemy ( ?)
1231 Grégoie 9 publie la constitution excommunicamus, acte fondateur de l'inqusition
1049/59 Ladite papauté s'émanciperait de L'Empire avec le pape Léon 9 qui instaure le Pontifex Maximus qui sera le premier à pouchasser de dites sorcières dans toutes les classes sociales
1179 Concile du Latran qui dénonça les Hérétiques de Gascogne
1096 Date des premières Croisades pour sécuriser les lieux saints et leurs routes
1199 Début de l’Inquisition.
1209/1255 Massacre des Cathares
1307 Arrestation des Templiers
1314 Celui des Templiers, en Suisse et en Allemagne à partir du XIVe celui des Anabaptistes (Mennonites) qui étrangement est resté totalement ignoré, puis celui des Bogomiles
1337/1453 Guerre de Cent ans
1452 Début de l‘Imprimerie qui permettra de créer une Histoire et plus tard aux protestants de faire éditer des milliers puis des millions d‘exemplaires de la Bible dans un monde qui était encore totalement païen, hénotéiste, mais aussi inculte et rural.
1478 Inquisition espagnole
1484 Innocent VIII menace de mort ou de terribles sentences ceux qui s'opposent à son décret d'extermination des dites sorcières
1492 Début du colonialisme religieux et du massacre des autochtones, destruction des Codices, des Cultes et des Cultures et évangélisation forcée
1505 Construction du Vatican ( bien après les Cathédrales)
1542 Inquisition romaine
1545/1564 Concile de Trente : Riposte catholique à la Réforme Protestante qui déclare comme anathèmes, soit maudits, tous ceux qui choisisent cette voie.
XIV et XV Art de la Renaissance et de ses œuvres saintes ou religieuses
1520 La Grande Réforme radicale chrétienne, qui sera dite protestante, et la naissance de très nombreux schismes en son sein. Mais les protestants participèrent eux aussi à l'inquisition
1572 Saint Barthélemy ( ?)
Empalement de femme - Dona Marianna sur le bûcher
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
Le mot grec gnôsis signifie "Connaissance"
Suisse Barbara Rentsch : Cathare ou Anabaptiste
Illustration 1555 Derneburg Allemagne : Femmes brûlées vives.
Allemagne : Pendant la deuxième moitié du 17ème siècle, au cours duquel un million de personnes, bien souvent des femmes, furent victimes de ce processus d’extermination, l'évêque de Bamberg fit encore brûler 600 femmes, l'évêque de Salzburg 97, l'évêque Philippe Adolf von Ehrenberg de Würzburg fit brûler 219 sorcières et sorciers, dont 18 jeunes garçons en âge d'aller à l'école, une fille aveugle, une enfant de neuf ans et sa petite sœur. Dans la deuxième moitié du 16ème siècle, l'archevêque Jean de Trèves fit brûlé tant de sorcières que dans deux villages il ne resta plus que deux femmes. Un décan de Mayence fit brûler plus de 300 personnes dans deux villages, dans le seul but de s'accaparer leurs biens. L'esprit orgiaque de l’extermination «des sorcières» fut encore plus excité dans la mesure où les inquisiteurs, mais également les juges et les confesseurs qui, faisant fi sans vergogne du secret de confession, recevaient des primes pour chaque «sorcière exécutée».
Parfois les condamnés à mort étaient lentement rôtis dans un énorme four de métal ayant la forme d'un boeuf. Dans d'autres cas ils étaient attachés à des broches de métal et grillés au-dessus des brasiers et on arrosait leurs corps avec la graisse qui coulait de leur chair.
http://www.theologe.de/inquisition.htmhttp://www.theologe.de/inquisition.htm
Illustrations anciennes : Pendaison crucifixion défenestration
La Pucelle de 17 ans Jeanne d'Arc
La papauté redoublera d'ingéniosité pour s'offrir des spectacles toujours plus horribles et sadiques. La délation sera également encouragée partout et c'est ainsi que même dans les églises des troncs servaient à déposer le nom de celles qui faisaient usage de Charmes (Magie).
C'est pour cela qu'une doctrine de démonologie sera écrite par les inquisiteurs et que bulle après bulle l'inquisition se renforcera et que des procès en sorcellerie seront instaurés par des hommes pour que les Femmes incarnent le Mal absolu.
Les juges seront le plus souvent des Dominicains. Ordre crée par Dominique Guzman. Les hommes qui les protégeaient et qui étaient gnostiques ou païens seront également accusés par le SS ou le saint-siège de sorcellerie, mais aussi de licantrophie, soit d'être un loup-garou. Ils seront parfois empalés ou découpés vivants à la scie.
Les protestants seront aussi acharnés contre les gnostiques et les païens que les catholiques. Leurs textes ont d'ailleurs épurés toutes les traces des différents cultes paiens et anticultes et ceux de la Vierge contrairement aux catholiques qui s'en sont servis . C'est de fait un de ses bras armés. La Suisse sera prise également de cette folie meurtrière. Illustration de 1575 Lausanne : 5 des nombreuses femmes qui refusaient de se convertir seront brûlées vives après de nombreuses autres et avant de nombreuses suivantes. Le chiffre serait d'une moyenne de deux par jour sauf le dimanche. En Allemagne la chasse aux femmes, dites sorcières, et de leurs filles aura son apogée entre la fin du XVI et le début du XVII. La moitié de la population féminine aurait été exécutée dans certaines villes et villages. Mais partout ailleurs l'inquisition procédera de la même façon
le Must : Chaise Président à clous, spéciale sorcière avec serrage ou écraseur.
La Bonté et la "Charité catholiques seront malgré tout glorifiées par de très nombreux auteurs.
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
Illustration 1655 : Elle s'appelait Anna et sera empalée vivante. Anna Gnostique vaudois
Une autre variante de l'empalement est - la chaise de Judas - la pointe pouvait être enfoncée dans l'anus ou le vagin, le scrotum ou dans le coccyx en ayant des poids attachés aux chevilles, et parfois la tête était attachée à un collier qui lui-même était relié à une poulie et pour faire durer la souffrance elle était levée et baissée régulièrement. Les femmes croisent les jambes en étant assisses sans doute par instinct ou réminiscence de ces tortures.
Illustration 1545, un siècle plus tôt : Massacre de femmes du Mouvement vaudois né vers 1170 à Lyon. Les Vaudois seront considérés comme protestants mais ils étaient gnostiques et cathares ou païens. Ils ne se convertiront que beaucoup plus tard par obligation.
Illustration ancienne du livre de Jean Léger sur l'histoire des Vaudois : Massacre d'enfants vaudois. Il est dit aussi que souvent les Femmes étaient torturées devant leurs enfants
Mais de très nombreuses formes de supplices et de tortures inquisitoriales seront mises en place comme l'écartèlement, la noyade, la défenestration, la torture de l'eau, le chevalet, l'écrasement du corps, la lapidation, l'écraseur de tête, le séparateur de genoux, la chaise à pointes, la poire d'étouffement, la cisaille, la fourche, l'élongation, le garrot, les rouleaux de clous, l'asphyxie, la flagellation, les fers brûlants à épines, le plomb et l'eau bouillants, la pendaison, les pinces rougies, les carcans, les manivelles pour arracher les entrailles, des outils pour couper la langue et les doigts, des écraseurs de doigts et de membres, des colerettes d'épines, des tranches gorge, des masques de pointes et de nombreux autres procédés. Nous comprenons d'où est issu le sadomasochisme.
Ecraseur de tête
Mais aussi l'arrachage des seins avec ces instruments et d'autres qui permettront l'arrachage des chairs et de multiples lacérations et qui pour certains étaient chauffés comme l'araignée espagnole ci-dessous. Des objets que nous retrouvons exposés dans différents musées des pays où l'inquistion s'exercera arracheur de seins chauffé.
La fourchette à hérétique qui était placée sous le menton et dans le sternum.
Poire de torture buccale, mais surtout anale ou vaginale avec écartement qui déchirait les chairs. Les vierges étaient les premières cibles et étaient violées aussi bien par les inquisteurs, les bourreaux et les écclésiastes pour ceux qui aimaient les femmes.
Le violon de la musaraigne pour femmes
Torture de l'eau toujours utilisée par le gouvernement américain.
Fléaux
Le bûcher d'Anne Hendick à Amsterdam - gravure, 1571
Gravure ancienne -Estrapade ; Arrachage ou dislocation des membres.
Gravures anciennes - supplice de l'eau ou d'huile chaude
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
Illustration ancienne : supplice anal
Illustration ancienne du supplice d'Anna de Castro
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’inquisition
La papauté a-t-elle été instituée par le Christ ???
“Entre Pierre, premier évêque de Rome, et Jean-Paul II, notre pape actuel, existe une longue lignée de souverains pontifes — plus de 260, pour tout dire.” Ainsi s’exprimait le religieux Anthony Foy dans The Southern Cross, un hebdomadaire catholique d’Afrique du Sud.
Il poursuit : “C’est à cette lignée ininterrompue de papes que nous pouvons, en toute confiance, nous référer lorsqu’on nous demande de prouver que l’Église catholique a été instituée par Jésus Christ.”
Pouvons-nous dire, sans nous tromper, que l’apôtre Pierre a été le premier de cette longue lignée de papes ???
Selon la théologie catholique, quatre papes, Lin, Anaclet, Clément et Évariste, auraient succédé à Pierre jusqu’à l’an 100 de notre ère. Il est vrai que la Bible parle d’un chrétien nommé Linus (ou Lin), qui habitait à Rome (2 Timothée 4:21). Toutefois, rien ne laisse supposer que ce chrétien, ou un autre, ait succédé à Pierre comme pape.
L’apôtre Jean, qui a rédigé cinq livres de la Bible au cours de la dernière décennie du Ier siècle, n’a mentionné aucun de ces soi-disant successeurs de Pierre.
En ce qui concerne l’affirmation selon laquelle Pierre a été le premier évêque de Rome, il n’y a aucune preuve qu’il soit allé dans cette ville.
En réalité, lui-même a précisé qu’il a écrit sa première lettre de Babylone (1 Pierre 5:13).
L’Église catholique prétend que Pierre a utilisé le nom de “Babylone” comme symbole pour faire allusion à Rome, mais cet argument ne tient pas. La ville de Babylone existait bel et bien aux jours de Pierre.
De plus, il y avait dans cette ville une communauté juive assez importante. Comme Jésus avait chargé Pierre de prêcher en priorité aux Juifs circoncis, il est tout à fait raisonnable de penser que l’apôtre s’est rendu à Babylone dans ce but. — Galates 2:9.
Il est également intéressant de remarquer que Pierre a toujours parlé de lui comme étant l’un des apôtres du Christ, rien de plus (2 Pierre 1:1).
Nulle part dans la Bible on ne voit quelqu’un s’adresser à lui en l’appelant “Saint-Père”, “Souverain Pontife” ou “pape” (en latin papa, terme affectueux signifiant “père”).
Au contraire, il adhérait humblement aux paroles de Jésus consignées en Matthieu 23:9, 10 : “D’autre part, n’appelez personne votre père sur la terre, car un seul est votre Père, le Céleste. Ne vous faites pas non plus appeler ‘conducteurs’, car un seul est votre Conducteur, le Christ.”
Pierre n’a pas accepté qu’on le vénère. Lorsque le centurion romain Corneille “tomba à ses pieds et lui rendit hommage (...) Pierre le releva en disant : ‘Lève-toi; moi aussi, je ne suis qu’un homme.’” — Actes 10:25, 26.
Quant aux 260 prétendus papes, le prêtre Anthony Foy a reconnu : “Un certain nombre se sont montrés indignes de leur haute fonction.”
Pour essayer de justifier cet état de fait, la Nouvelle Encyclopédie catholique (angl.) fait remarquer : “Ce qui importait pour les besoins de gestion était la fonction assumée par le pape, et non sa personnalité. Ce dernier pouvait être un saint, une personne médiocre ou même un vaurien.”
Dans tous les cas, l’assertion selon laquelle la papauté a été instituée par Jésus n’est absolument pas appuyée par la Bible.
D ’après une encyclopédie (Encyclopedia of Religion), même des théologiens catholiques modernes reconnaissent qu’il n’existe aucune preuve biblique formelle que Jésus ait établi une institution pontificale permanente au sein de l’Église”.
Constantin et le christianisme - "Pontifex maximus"
Le Concile De Nicée C'est La Sainte Trinité !
Quid Novi Caesa
Constantin est le premier empereur romain à s'être réclamé du christianisme.
En adoptant cette religion auparavant persécutée, il a profondément influencé l'histoire du monde.
En effet, il a favorisé la formation de la chrétienté, qui est devenue « l'instrument social et politique le plus puissant » ayant jamais influencé le cours de l'Histoire, observe l'Encyclopædia Britannica.
Constantin Ier, pape
Dans la Rome antique, pontifex maximus (grand pontife) est le titre donné au grand prêtre à la tête du collège des pontifes. Ce titre est le plus élevé de la religion romaine.
LE 1ER EMPEREUR ROMAIN CHRÉTIEN
FIRST - Premières historiques
.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Page 2 sur 2 • 1, 2
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Religions & Cie :: Critiques/Religions :: Vatican
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum