Le jugement des dieux de l'Égypte : les 10 plaies
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Le jugement des dieux de l'Égypte : les 10 plaies
Rappel du premier message :
1ère plaie : (Exode 7.14-24) Le sang contre le Nil et son dieu Osiris : Le pharaon allait faire ses dévotions au dieu Nil, le dieu hoppi (père des dieux).
Toucher au Nil, c’était toucher au cœur de l’Égypte qui, sans lui, n’était plus qu’un désert. Hérodote dit : « l’Égypte est un don du Nil ».
Les Égyptiens l’avaient déifié et lui adressaient des hymnes d’adoration. Pharaon et sa famille ainsi que sa cours allait chaque jour pour une adoration aux eaux du Nil (Exode 2.3-5). Ce fléau démontre la supériorité de l’Éternel (YHWH) sur ce prétendu dieu.
Osiris était le principal dieu du Nil et le mois de Juin lui était consacré.
Osiris pour les Égyptiens, à cause de son immersion dans les eaux du Nil était à l’origine de la végétation, de la productivité ou fécondité, incarnant la source de vie de la nature dont il exprime les phases. Osiris était aussi considéré comme le dieu des morts puisque selon les croyances de l’Egypte ancienne, Osiris état mort avant d’être ressuscité. Tout mort était supposé être confié au soin du dieu Osiris qui maîtrisait l’au-delà puisque ayant été mort et ressuscité. Il était le garant du renouveau de la végétation et de la vie dans l’au-delà.
Jugement divin sur le dieu du Nil : L’Éternel (YHWH) Dieu envoie le sang dans les eaux du Nil. Le sang est le symbole de la vie puisque la vie est dans le sang selon l’expression des Saintes Écritures (Lév. 17.11). Si la vie divine qui est dans le sang produit la mort des dieux du Nil, c’est une preuve de la supériorité de l’Éternel (YHWH), et constitue une affirmation irréfutable de son autorité absolue sur la végétation, la fécondité et la vie de l’être autant animal qu’humain. Par la présence du sang dans le Nil, les poissons qui sont la nourriture principale des Égyptiens pourrirent et ainsi, au lieu que le Nil donne la vie, il donne plutôt la mort.
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LE JUGEMENT DES DIEUX DE L’EGYPTE
1ère plaie : Le sang contre le Nil
Yahvé dit à Moïse : « Le cœur de Pharaon s’est appesanti et il a refusé de laisser partir le peuple. Va, demain matin, trouver Pharaon, à l’heure où il se rend au bord de l’eau et tiens-toi à l’attendre sur la rive du Fleuve. Tu prendras en main le bâton qui s’est changé en serpent. Tu lui diras : Yahvé, le Dieu des Hébreux, m’a envoyé vers toi pour te dire : « Laisse partir mon peuple, qu’il me serve dans le désert.» Jusqu’à présent tu n’as pas écouté. Ainsi parle Yahvé : En ceci tu sauras que je suis Yahvé. Du bâton que j’ai en main, je vais frapper les eaux du Fleuve et elles se changeront en sang. Les poissons du Fleuve crèveront, le Fleuve s’empuantira, et les Égyptiens ne pourront plus boire l’eau du Fleuve. »Yahvé dit à Moïse : « Dis à Aaron : Prends ton bâton et étends la main sur les eaux d’Égypte – sur ses fleuves et sur ses canaux, sur ses marais et sur tous ses réservoirs d’eau – et elles se changeront en sang, et tout le pays d’Égypte sera plein de sang, même les arbres et les pierres. » Moïse et Aaron firent comme l’avait ordonné Yahvé. Il leva son bâton et il frappa les eaux qui sont dans le Fleuve aux yeux de Pharaon et de ses serviteurs, et toutes les eaux qui sont dans le Fleuve se changèrent en sang. Les poissons du Fleuve crevèrent et le Fleuve s’empuantit ; et les Égyptiens ne purent boire l’eau du Fleuve ; il y eut du sang dans tout le pays d’Égypte. Mais les magiciens d’Égypte avec leurs sortilèges en firent autant ; le cœur de Pharaon s’endurcit et il ne les écouta pas, comme l’avait prédit Yahvé. Pharaon s’en retourna et rentra dans sa maison sans même prêter attention à cela. Tous les Égyptiens firent des sondages aux abords du Fleuve en quête d’eau potable, car ils ne pouvaient boire l’eau du Fleuve. Sept jours s’écoulèrent après que Yahvé eut frappé le Fleuve.
1ère plaie : (Exode 7.14-24) Le sang contre le Nil et son dieu Osiris : Le pharaon allait faire ses dévotions au dieu Nil, le dieu hoppi (père des dieux).
Toucher au Nil, c’était toucher au cœur de l’Égypte qui, sans lui, n’était plus qu’un désert. Hérodote dit : « l’Égypte est un don du Nil ».
Les Égyptiens l’avaient déifié et lui adressaient des hymnes d’adoration. Pharaon et sa famille ainsi que sa cours allait chaque jour pour une adoration aux eaux du Nil (Exode 2.3-5). Ce fléau démontre la supériorité de l’Éternel (YHWH) sur ce prétendu dieu.
Osiris était le principal dieu du Nil et le mois de Juin lui était consacré.
Osiris pour les Égyptiens, à cause de son immersion dans les eaux du Nil était à l’origine de la végétation, de la productivité ou fécondité, incarnant la source de vie de la nature dont il exprime les phases. Osiris était aussi considéré comme le dieu des morts puisque selon les croyances de l’Egypte ancienne, Osiris état mort avant d’être ressuscité. Tout mort était supposé être confié au soin du dieu Osiris qui maîtrisait l’au-delà puisque ayant été mort et ressuscité. Il était le garant du renouveau de la végétation et de la vie dans l’au-delà.
Jugement divin sur le dieu du Nil : L’Éternel (YHWH) Dieu envoie le sang dans les eaux du Nil. Le sang est le symbole de la vie puisque la vie est dans le sang selon l’expression des Saintes Écritures (Lév. 17.11). Si la vie divine qui est dans le sang produit la mort des dieux du Nil, c’est une preuve de la supériorité de l’Éternel (YHWH), et constitue une affirmation irréfutable de son autorité absolue sur la végétation, la fécondité et la vie de l’être autant animal qu’humain. Par la présence du sang dans le Nil, les poissons qui sont la nourriture principale des Égyptiens pourrirent et ainsi, au lieu que le Nil donne la vie, il donne plutôt la mort.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le jugement des dieux de l'Égypte : les 10 plaies
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"Dieux" & Plaies d'Égypte
D’après Hérodote, les Égyptiens sont les plus religieux des hommes. En Égypte, la religion était à la base de tout, et dominait tout. Les dix plaies exprimèrent le jugement de Dieu contre « tous les dieux d’Egypte » (Exode 12:12). Et après la déroute du pharaon, Moïse chantera : « Qui est comme toi parmi les dieux, Yhwh ? »- Exode 15 :11 (Bayard).
Hâpy, Isis, Thoueris, Sobek, Thot, Héka, Khnoum, Geb, Bouto, Hatmehyt, Horus, Sothis, Hathor, Apis, Nout, Héquet, Amôn-Rê, Bès, Chou, Reshpou, Tefnet, Kouk, Khonsou, Raet, Aton, Khepri, Atoum, Min, Rénenoutet, Nepri,
(1) Eau transformée en sang, (2) Grenouilles,
(3) Moustiques,
(4) Mouches piquantes,
(5) Peste du bétail,
(6) Furoncles,
(7) Tonnerres et grêle,
(8) Sauterelles,
(9) Ténèbres opaques,
(10) Mort des premiers-nés
La première plaie, le changement en sang du Nil et de toutes les eaux d’Egypte (Exode 7:19-21), déshonore Hâpy, le dieu de l’inondation. Les eaux sont soumises à la tutelle de dieux ayant l’apparence de crocodiles, en particulier Sobek qui est le seigneur des poissons, tandis que le dieu Bélier Khnoum est le patron de la première cataracte. La mort des poissons du Nil porte aussi un coup à la religion des Egyptiens, car ils vénéraient, et même momifiaient certaines espèces de poissons.
Les dix plaies, le jugement de Dieu contre les dieux d' Égypte
« Puis le Seigneur dit encore à Moïse : « Ordonne à Aaron de prendre son bâton et d'étendre le bras en direction de tous les cours d'eau d'Égypte, les rivières, les canaux, et même les étangs, afin que leur eau devienne du sang. Il y aura ainsi du sang dans tout le pays, jusque dans les récipients de bois ou de pierre. ». Moïse et Aaron firent ce que le Seigneur leur avait ordonné : en présence du Pharaon et de son entourage, Aaron leva son bâton et frappa l'eau du Nil, et toute cette eau fut transformée en sang. Les poissons crevèrent et le fleuve devint si infect que les Égyptiens ne purent plus en boire l'eau. Partout dans le pays, il y avait du sang. » - Exode 7: 19-21
Les versets cités sont ceux de la Bible en français courant, édition 1997
Hâpy E 4874
Rez-de-chaussée Salle 3 vitrine 4. Représenté avec une poitrine généreuse et un abdomen volumineux, ce génie de la crue du Nil est coiffé de trois papyrus émergeant de l’eau. C’est le hiéroglyphe qui désigne le Delta, la Basse-Egypte (N 4613, salle 7 vitrine 6).
Ce génie de l’inondation est parfois représenté tenant dans chacune de ses mains deux vases d’où s’échappe de l’eau. C’est l’évocation des sources mythiques du Nil, tapi dans une grotte entourée de serpent de la terre.
Cette image est à l’origine du signe zodiacal du verseau.
Poisson Schilbe mystus bois : E 43
Basse Epoque, 664 - 332 avant J.-C. Rdch Salle 3 vit 2
Le Schilbe mystus (uranoscopus) représente une déesse-poisson de la ville de Mendès, Hatméhyt. C'est le poisson de l'étendard du nome (région administrative) de Mendès.
Eau en sang, Grenouilles,
On note une absence frappante de personnification des voies ou étendues d’eaux dans le panthéon égyptien. Les ‘dieux du Nil’, plus récemment qualifiés de ‘figures de fécondités’ personnifient les concepts généraux de l’abondance et de ses causes. Il n’existe ni un dieu du Nil, ni un dieu des grands lacs. La seule figure de fécondité qui acquit une existence indépendante en tant que divinité fut celle de l’inondation, Hâpy. Seule Sothis, l’étoile brillante de Sirius, bénéficia aussi d’un culte en tant qu’annonciatrice de l’inondation.
« Le Seigneur dit encore à Moïse : « Ordonne à Aaron de tendre le bras et de diriger son bâton vers les rivières, les canaux et les étangs, afin que les grenouilles envahissent l'Égypte. » Aaron tendit son bras en direction des cours d'eau d'Égypte. Des grenouilles en sortirent et recouvrirent le pays. »
La 2ème plaie (Exode 8:1-6) discrédite Héquet, la déesse à tête de grenouille et symbole de fécondité. Cette plaie humilie aussi les dieux créateurs, souvent anonymes. Le dieu-grenouille et la déesse-grenouille passaient pour avoir joué un rôle primordial dans la création du monde. Aussi la plaie des grenouilles humilia-t-elle, non seulement les dieux de la fertilité - tels qu’Osiris, Ptah et Sebek - mais aussi les dieux créateurs, certes souvent anonymes.
Plaie des moustiques
« Le Seigneur dit à Moïse : « Ordonne à Aaron d'étendre son bâton et de frapper la poussière du sol, afin qu'elle se transforme en moustiques dans toute l'Égypte. » Moïse et Aaron obéirent : Aaron étendit le bras et, de son bâton, frappa la poussière du sol ; celle-ci se changea en moustiques qui couvrirent hommes et bêtes. Partout dans le pays, la poussière fut transformée en moustiques. Les magiciens égyptiens recoururent à leur pouvoir pour chasser les moustiques, mais ils ne réussirent pas ; les moustiques continuèrent de s'attaquer aux hommes et aux bêtes. Alors les magiciens dirent au Pharaon : « C'est la puissance de Dieu qui est à l'œuvre ! » - Exode 8 :12-15
Moïse changeant en serpent la verge d’Aaron Inv 7274
Nicolas POUSSIN Vers 1645 Richelieu 2ème salle 14
Moïse, voulant convaincre Pharaon de laisser sortir son peuple d’Égypte, changea en sa présence la verge d’Aaron en serpent. Les mages du Pharaon imitèrent ce miracle par magie mais leurs serpents furent dévorés par celui de Moïse.
Moïse et les magiciens devant Pharaon OA 5707 Seconde tenture de l’Histoirede Moïse 1685 - 1689 Paris Laine, soie, or
Manufacture des Gobelins Atelier de LEFEBVRE
D’après Nicolas POUSSIN Les Andelys,
1594 - Rome, 1665
Cette 3ème plaie porte un coup au dieu Thot, le maître des sciences occultes, car il fut incapable d’aider les prêtres-magiciens à reproduire le miracle d’Aaron : transformer la poussière en moustiques qui vont tourmenter hommes et bêtes (Ex 8:16-18). Impuissance qui concerne aussi le dieu Geb, dieu de la terre, Héka, ‘magie’, Isis, déesse multiforme, mère d’Horus, qu’elle protège des dangers grâce à son rôle de magicienne ou encore Thouéris, ’La grande’ déesse protectrice populaire attestée par des amulettes innombrables.
La déesse Isis E 25949 bronze Sully 1er salle 30 vit 10
Héka, dieu de la magie E 4875 Basse Époque (664-332 av. J.-C.)
faïence siliceuse
Le dieu Thot en babouin AF 2390 cornaline Rdc Salle 9 vit 6
Amulette : l'ibis du dieu Thot E 9325 argent RdC Salle 7 vit 2
La 4ème plaie, celle des taons (Ex 8:20-24), voit l’établissement d’une ligne de démarcation entre le pays de Goshen, territoire de Basse-Égypte où demeurait la communauté israélite, et le reste du pays ; et la supériorité de Yhwh sur les magiciens disciples de Thot. Bouto, une déesse tutélaire, et le dieu Horus sont incapables de maîtriser l’évolution de la situation dans cette région, dont ils étaient pourtant les protecteurs. Le mot hébreu a été aussi rendu par ‘mouche’ ou ‘scarabée’ (Beaumont, Crampon 1905) ; insecte que les Egyptiens considéraient comme sacré.
Plaie des taons ou mouches piquantes
La 5ème plaie, qui inflige une peste mortelle à toutes sortes de bestiaux (Ex 9:6), humilie des divinités comme Hathor, déesse à tête de vache, Apis, taureau adoré à Memphis dès l’époque archaïque, héraut du dieu Ptah, Khnoum, dieu à tête de bélier et Nout, déesse du ciel que les Egyptiens considèrent comme une vache au ventre de laquelle sont attachées les étoiles.«Je provoquerai une invasion de mouches piquantes sur toi, sur ton entourage, sur ton peuple et dans tes palais. Elles rempliront les maisons d'Égypte et couvriront le sol du pays. Cependant, ce jour-là, je ferai une exception pour la région de Gochen où habite mon peuple: on n'y trouvera aucune de ces mouches piquantes. Ainsi tu reconnaîtras que moi, le Seigneur, je suis présent même dans ton pays […] Des mouches piquantes envahirent en masse le palais du Pharaon, les maisons des gens de son entourage et toute l'Égypte. Le pays en fut ravagé.» - Exode 8:17-20
«Le Seigneur, le Dieu des Hébreux, t'ordonne de laisser partir son peuple pour qu'il puisse lui rendre un culte. Si tu refuses, si tu persistes à le retenir, le Seigneur interviendra contre tes troupeaux qui paissent dans la campagne: une violente épidémie de peste s'abattra sur tes chevaux, tes ânes, tes chameaux, tes bœufs, tes moutons et tes chèvres […] Le lendemain donc, le Seigneur accomplit ce qu'il avait annoncé: tous les troupeaux des Égyptiens furent anéantis, mais aucune bête des Israélites ne mourut. » - Exode 9:1-6
Plaie sur les troupeaux
HATHOR sous sa forme de vache E 2451 Statuette
Basse Époque, 664 - 332 avant J.-C. bronze et bois Rdc salle 18 vit 1 KHNOUM E 10579 Statuette Basse Époque, 664 - 332 avant J.-C. Pierre
Salle 18 vitrine 1
Le taureau Apis
N 390 Sully salle 19 Règne de Nectanébo Ier ? (379 - 361 avant J.-C.), 30e dynastie Sérapéum de Saqqara
Cette statue de calcaire autrefois peinte a été découverte dans une chapelle située sur la longue voie processionnelle menant aux catacombes des Apis.Zodiaque de Dendéra D 38 salle 12 bis
Dans la mythologie égyptienne, Nout est la déesse personnifiant la voûte céleste. Elle est couramment représentée sous l’apparence d’une femme au corps très allongé courbée au-dessus de la terre.
Elle prend parfois l’apparence d’une vache gigantesque.
Comme le fera remarquer un bibliste, « Ces dix plaies ont un côté naturel. Ce qui leur donne un caractère miraculeux, évident et incontestable, c’est qu’elles arrivent à point nommé, comme sanction de la parole de Dieu, dans des circonstances annoncées à l’avance. Elles se produisent dans l’ordre annoncé par Moïse, au moment qu’il a prédit, de la manière qu’il a déclarée ; elles cessent quand il l’ordonne. Les Egyptiens n’en contesteront jamais le caractère extraordinaire ; ils acceptent ces signes comme preuve de la mission divine de Moïse. »
Plaies d'Egypte et papyrus d’Ipuwer
Ces plaies envoyées par Dieu furent sans aucun doute un coup humiliant pour la religion égyptienne. Et même si les scribes n’hésitaient pas à éliminer de leurs chroniques tout ce qui pouvait déplaire à leurs pharaons et à leurs dieux, on a retrouvé un récit qui ressemble étrangement à celui de la Torah des hébreux. Le papyrus d'Ipuwer contient un ancien poème égyptien appelé Les Admonestations d'Ipuwer.
Le papyrus d’Ipuwer, un récit égyptien des dix plaies d'Égypte ?
C’est possible, et d’autant plus intéressant que la copie initiale
serait presque contemporaine des événements.
Sa dénomination officielle est Papyrus Leiden I 344 recto. Il est conservé au musée des antiquités nationales néerlandaises à Leyde aux Pays-Bas. Le seul manuscrit survivant date de la fin du XIIIe siècle, c'est-à-dire au plus tôt de la fin de la XIXè dynastie donc pendant le Nouvel Empire égyptien. La datation de la composition du poème initial fait débat, mais plusieurs spécialistes ont suggéré une date comprise entre la fin de la VI dynastie et la Seconde Période intermédiaire (-1850 à -1600).
Le papyrus Ipuwer et le Livre de l'Exode peuvent se comparer à des articles de deux journalistes antiques, l'un égyptien et l'autre hébreu, assistant horrifiés et impuissants à la même catastrophe inexplicable.
Petit dictionnaire des dieux
Sully Rez-de-chaussée Salle 18 vitrine 1
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