La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
Ce n'est pas un reste du Temple, mais un vestige Romain !
Paroles de Jésus sur le Temple :
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Prophétie de Daniel :
Daniel 9:26 Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n'aura pas de successeur. Le peuple d'un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre.
Paroles de Jésus :
Matthieu 24:15 C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, -que celui qui lit fasse attention!
Prophétie de Daniel :
Daniel 9:27 Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l'offrande; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur.
Daniel 11:31 Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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Ælia Capitolina
Ælia Capitolina - Destruction du Temple en 70
Double porte située sur le sud du Temple
Dans AD 398, commentaire de Saint Jérôme sur Matthieu a mentionné qu'une statue équestre de l'empereur Hadrian était encore debout directement sur le site du Saint des Saints, puis consacré à Jupiter Capitolin.
« Alors quand vous voyez debout dans le lieu Saint l'abomination qui provoque la désolation : ou pour la statue de la porte d'Hadrien monté, qui tient à ce jour sur le site du Saint des Saints. »
– Jérôme, Commentaires sur Isaïe 2.8 : Matthieu 24.15 .
Il est donc raisonnable de supposer qu'il y avait une statue équestre sur le Mont du Temple. Ces statues ont été probablement détruits par les Chrétiens byzantins après AD 333, les Juifs en AD 614 ou les musulmans en 638 AD. Ce bloc réutilisé (spolia) est la seule partie des deux statues trouvés jusqu'ici.
Si un temple de Jupiter Capitolin existé sur le Mont du Temple, il est probable que la nouvelle enceinte sacrée avait enclos semblables à celle du Temple de Jupiter que Hadrien construit à Héliopolis (Baalbek). C'est une théorie avancée par le Tel Aviv l'architecte Tuvia Sagiv, qui a noté la similitude frappante dans la conception et la balance entre le complexe du temple de Jupiter à Baalbek et la situation actuelle des bâtiments islamiques sur le Mont du Temple.
Le modèle standard pour ces temples, comme le montre l'image ci-dessus, a été une entrée à travers un propylon et un portique octogonal, une esplanade avec un autel et le temple approprié. Sagiv soutient que lorsque l'architecture du complexe du temple de Jupiter à Baalbek est recouvert sur le Mont du Temple, il correspond à la mosquée d'Al Aqsa et le dôme du rocher exactement.
Si Tuvia Sagiv est correcte, puis le dôme du rocher n'est pas le site du temple juif. Il suggère que le dôme du rocher a été construit sur les vestiges du temple construit par Hadrien.
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Ælia Capitolina
Ælia Capitolina - Destruction du Temple en 70
Ælia Capitolina est le nom donné à Jérusalem par l'empereur Hadrien (Ælius Adrianus)
Le plan de Jérusalem selon la carte de Madaba (fin du VIe siècle). Le cardo maximus à double portique traverse presque toute la ville, depuis la porte de Damas (à gauche) et vient buter au sud (à droite sur la carte) sur les églises chrétiennes qui ont été construites à partir du IVe siècle.
En 134, l'Empereur Hadrien réprime la dernière révolte juive de Bar Kokhba, suite à cet défaite et pour punir les Juifs de leur rébellion, Jérusalem est rebaptisée du nom de Ælia Capitolina
Ruines du cardo d'Ælia Capitolina dans la vieille ville de Jérusalem
Dans AD 398, commentaire de Saint Jérôme sur Matthieu a mentionné qu'une statue équestre de l'empereur Hadrian était encore debout directement sur le site du Saint des Saints, puis consacré à Jupiter Capitolin.
« Alors quand vous voyez debout dans le lieu Saint l'abomination qui provoque la désolation : ou pour la statue de la porte d'Hadrien monté, qui tient à ce jour sur le site du Saint des Saints. »
– Jérôme, Commentaires sur Isaïe 2.8 : Matthieu 24.15 .
Il est donc raisonnable de supposer qu'il y avait une statue équestre sur le Mont du Temple. Ces statues ont été probablement détruits par les Chrétiens byzantins après AD 333, les Juifs en AD 614 ou les musulmans en 638 AD. Ce bloc réutilisé (spolia) est la seule partie des deux statues trouvés jusqu'ici.
Si un temple de Jupiter Capitolin existé sur le Mont du Temple, il est probable que la nouvelle enceinte sacrée avait enclos semblables à celle du Temple de Jupiter que Hadrien construit à Héliopolis (Baalbek). C'est une théorie avancée par le Tel Aviv l'architecte Tuvia Sagiv, qui a noté la similitude frappante dans la conception et la balance entre le complexe du temple de Jupiter à Baalbek et la situation actuelle des bâtiments islamiques sur le Mont du Temple.
Jupiter Capitolin
Temple dédié à Jupiter et porte le nom de Jupiter Capitolin en cette raison.
Temple de Jupiter, Baalbek
Le modèle standard pour ces temples, comme le montre l'image ci-dessus, a été une entrée à travers un propylon et un portique octogonal, une esplanade avec un autel et le temple approprié. Sagiv soutient que lorsque l'architecture du complexe du temple de Jupiter à Baalbek est recouvert sur le Mont du Temple, il correspond à la mosquée d'Al Aqsa et le dôme du rocher exactement.
Si Tuvia Sagiv est correcte, puis le dôme du rocher n'est pas le site du temple juif. Il suggère que le dôme du rocher a été construit sur les vestiges du temple construit par Hadrien.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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http://www.lefigaro.fr/culture/2011/11/23/03004-20111123ARTFIG00667-le-mur-des-lamentations-n-a-pas-ete-construit-par-herode.php
Grande prière devant le Mur des Lamentations
http://www.leparisien.fr/international/jerusalem-decouverte-d-une-nouvelle-partie-du-mur-des-
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Le Mur des Lamentations n'a pas été construit par Hérode
Des découvertes archéologiques révèlent que la construction du mur occidental du Second Temple à Jérusalem a été achevée bien après la mort du célèbre roi de Judée.
Il va falloir revoir le chapitre «Mur des Lamentations » des guides touristiques d'Israël, car les origines de sa construction ne seraient pas celles que l'on croyait. Jusqu'à présent, il était admis que le site -le Mont du Temple pour les Juifs, l'Esplanade des mosquées pour les musulmans- avait été entièrement construit par Hérode, roi des Juifs.
Placé sur le trône par les Romains, Hérode règne sur la Judée de 37 avant Jésus-Christ jusqu'à sa mort, en 4 avant Jésus-Christ. Dans la tradition chrétienne, Hérode est avant tout connu pour avoir tenté de tuer l'enfant Jésus en ordonnant la mise à mort de tous les enfants de Bethlehem âgés de moins de deux ans. Grand bâtisseur, il se lance dans de grands travaux en recourant aux techniques romaines. C'est ainsi qu'on lui attribue la construction du théâtre et de l'amphithéâtre de Jérusalem, mais surtout, l'extension du Second Temple, complexe religieux juif construit au VI ème siècle avant JC sur l'emplacement du Premier Temple, détruit par Nabuchodonosor II. Ce que l'on appelle communément le Mur des Lamentations, principal lieu saint du judaïsme, est considéré comme étant le mur occidental restant du Second Temple, qui sert également de soubassement à l'Esplanade des mosquées, le «Noble Sanctuaire» des musulmans.
Mais des archéologues travaillant pour l'Autorité des antiquités d'Israël ont annoncé mercredi que des fouilles sous les fondations en pierre du Mur avaient permis de mettre au jour des pièces frappées par un procurateur romain de Judée vingt ans après la mort d'Hérode. Ce qui indique qu'Hérode n'a pas construit le Mur des Lamentations.
Flavius Josèphe avait raison
Les pièces de bronze ont été frappées aux alentours de 17 après Jésus-Christ par Valerius Gratus, qui précéda Ponce Pilate en tant que représentant de Rome à Jérusalem, souligne Ronny Reich, de l'Université de Haïfa, l'un des deux archéologues en charge des fouilles. Ces pièces ont été découvertes dans un bain rituel qui était antérieur à la construction du complexe du Temple d'Hérode, et avait été comblé à l'époque pour soutenir les nouveaux murs, précise Ronny Reich. Si Hérode a bien mis en route l'extension du Second Temple, les pièces montrent que la construction du Mur des Lamentations n'avait même pas commencé avant sa mort et a été probablement achevée seulement des générations plus tard.
La découverte vient confirmer un récit de Flavius Josèphe, historien romain du Ier siècle, qui après la destruction du Second Temple par Rome en 70 après Jésus-Christ, raconta que les travaux au Mont du Temple n'avaient été terminés que par le roi Agrippa II, arrière-petit-fils d'Hérode.
Flavius Josèphe explique également que la fin du chantier avait laissé 18.000 travailleurs sans emploi, ce qui, selon certains historiens, est à mettre en relation avec l'éclatement de la Grande Révolte des Juifs de la province de Judée contre l'Empire romain en 66 après Jésus-Christ. Après quatre années d'affrontements, les légionnaires romains de Titus viennent à bout de l'insurrection en 70 et détruisent le Temple, marquant la fin de l'État hébreu à l'époque ancienne.
Contrôlée depuis 1967 par Israël, l'enceinte abrite la mosquée Al-Aqsa et le Dôme du Rocher, sanctuaire musulman à la coupole dorée. Ce «Noble sanctuaire», un des lieux les plus saints de l'islam, cohabite dans la douleur avec, en contrebas, le Mur des Lamentations.
http://www.lefigaro.fr/culture/2011/11/23/03004-20111123ARTFIG00667-le-mur-des-lamentations-n-a-pas-ete-construit-par-herode.php
Grande prière devant le Mur des Lamentations
http://www.leparisien.fr/international/jerusalem-decouverte-d-une-nouvelle-partie-du-mur-des-
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Re: La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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Coup de tonnerre en Israël
Coup de tonnerre en Israël
Le mur des lamentations vestige le plus sacré des israélites serait en réalité … un théâtre construit par les Romains .
Énorme déception pour le peuple hébreu venant du monde entier pour prier devant le monument construit selon la tradition par Hérode le Grand l’un des personnages les plus importants de l’histoire de l’époque du Second Temple.
Joe Uziel, à gauche, et Avi Solomon, archéologues de l'Autorité israélienne des Antiquités, dans un théâtre romain antique adjacent au mur Occidental, dans la Vieille Ville de Jérusalem, le 16 octobre 2017.
Aujourd’hui ce sont les vestiges d’un bâtiment public romain qui ont été dégrafés dans la vieille ville de Jérusalem. Joe Uziel, qui a mené ces fouilles pour l’Autorité des antiquités d’Israël, a déclaré qu’il s’attendait à trouver une rue à la place de ce bâtiment qui s’apparente à un théâtre romain.
«Mais, au fur et à mesure que nous creusions, nous nous sommes rendu compte que nous n’arrivions pas à trouver la rue. À la place, nous avons découvert un bâtiment circulaire (…) Nous avons compris en fait que nous mettions au jour une structure de type théâtre», a-t-il raconté.
Vue général du mur Occidentale et des tunnels du mur Occidental dans la Vieille Ville de Jérusalem. Illustration.
On ignore en revanche si le bâtiment était utilisé pour des réunions de l’administration romaine ou comme un lieu de spectacles. Les archéologues estiment cependant qu’avec sa taille relativement petite et en raison de son emplacement, il s’agirait d’une structure connue de l’époque romaine sous le nom d’odéon.
Fin de la mythologie hébraïque « Mur des lamentations ».
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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Le mur des lamentations est un vestige romain !
Prier devant un mur ou un objet est une idolâtrie !
Paroles de Jésus sur le Temple :
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Le mur des lamentations n'est définitivement pas un reste du second Temple.
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Le mur des lamentations est un vestige romain !
Prier devant un mur ou un objet est une idolâtrie !
Paroles de Jésus sur le Temple :
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Le mur des lamentations n'est définitivement pas un reste du second Temple.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: La fin d'un mythe - Le "Mur des lamentations"
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Pourquoi le Mur occidental est-il un lieu saint ?
1) Un vestige du Saint Temple
Le Mur occidental est un vestige du Temple de Jérusalem qui fut détruit par les Romains en l’an 70 de l’ère commune. Le Temple fut l’épicentre du monde spirituel, le vecteur principal du flux de divinité sur terre. C’est la raison pour laquelle à l’époque du Temple, l’univers entier était empli de crainte et d’appréciation pour le génie de la Torah.
La tradition juive nous enseigne que toute la création débuta à Jérusalem. L’épicentre est le mont Moriah, qualifié par les mystiques de « rocher larmoyant. » Le terme de Moriah est en réalité un jeu de mots : « Moriah est le lieu à partir duquel l’instruction en Torah (horaa) part ; le lieu d’où part la crainte du Ciel (yira) ; le lieu d’où part la lumière (ora). »
C’est ici, au mont Moriah, qu’Isaac fut ligoté pour y être offert en sacrifice. Et c’est ici que son fils Jacob rêva de l’échelle s’élevant jusqu’au ciel.
Bien que d’autres parties du mur de soutènement du mont du Temple soient encore en place, le Mur occidental nous est particulièrement cher, parce qu’il s’agit du lieu le plus proche du Saint des Saints, le lieu central du Temple.
2) Un symbole de l’éternité du peuple juif
Nos Sages prophétisèrent que même après la destruction du Temple, la Présence Divine ne quittera jamais le Mur occidental et que ce dernier ne sera jamais détruit. Le Mur est empreint d’une sainteté éternelle, comme l’exprime le Talmud : « Et Je ferai de vos sanctuaires un endroit de désolation » (Lévitique 26:31) – ce qui laisse entendre que les sanctuaires conservent leur sainteté même lorsqu’ils sont abandonnés.
Jérusalem fut détruite et reconstruite neuf fois. Et pendant tout ce temps, un symbole particulier resta intact : le Mur occidental.
En scellant son alliance éternelle avec Abraham, Dieu promit que le peuple juif ne serait jamais détruit (Genèse 17:7). Le Mur est donc un symbole du peuple juif : tout comme ce dernier résista à d’innombrables tentatives de destruction, le peuple juif survécut à ses ennemis et resta éternel.
De fait, le Mur est à la fois un symbole de dévastation que d’espoir.
Ou pour reprendre cette citation célèbre de Mark Twain : « D’autres peuples ont vu le jour et ont tenu haut le flambeau pendant une certaine période, mais ont fini par se consumer, ils vivent à présent dans le crépuscule, ou ont disparu. Le Juif les a tous vus, les a tous dépassés…Toutes choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais il demeure. Quel est le secret de son immortalité ? »
3) Un lieu de pèlerinage et de recueillement
Il y a trois mille ans, le Roi David acquit le Mont Moriah et fit de Jérusalem sa capitale. Son fils Salomon fit ériger le Saint Temple et le peuple juif dans son ensemble s’y rassemblait trois fois par an, à l’occasion des fêtes de pèlerinage.
Jérusalem devint également le centre névralgique du monde non-juif. Des cartes anciennes indiquent Jérusalem comme l’épicentre de l’Asie, de l’Europe et de l’Afrique. Les non-juifs, attirés par une puissance spirituelle magnétique, apportaient des offrandes au Temple. D’ailleurs, lorsque le Roi Salomon bâtit le Temple, il demanda spécifiquement à Dieu de tenir compte des prières des non-juifs qui se rendraientau Temple (Rois I, 8:41-43). Ou pour reprendre les termes du prophète Isaïe, c’était une « maison de prière pour toutes les nations. »
Le service dans le Saint Temple pendant la semaine de Souccot comprenait au total 70 offrandes de taureaux, correspondant à chacune des 70 nations dans le monde. En réalité, le Talmud affirme que si les Romains (qui détruisirent le Temple) avaient pris conscience du bénéfice qu’ils retiraient du Temple, ils ne l’auraient jamais mis à sac.
Au cours de l’exil qui dura 1900 ans, des Juifs s’aventurèrent jusqu’à Jérusalem au prix de grands frais et de grands périls, uniquement pour avoir l’occasion de prier au Mur. En dépit des maladies, des pénuries d’eau, et des bandes de maraudeurs, les Juifs refusèrent d’abandonner Jérusalem. Bannis par la loi ou anéantis par les Croisés, les Juifs y revenaient toujours.
Le Talmud nous enseigne que lorsque le Temple fut détruit, toutes les Portes du Ciel furent fermées, à l’exception d’une seule : la Porte des Larmes. Au Mur, les Juifs ont de tout temps épanché leur cœur devant Dieu. On en vint ainsi à le nommer : « Mur des Lamentations » en raison de ces siècles de larmes interminables, versées par des Juifs aspirant à reconstruire Jérusalem.
4) Le point de convergence de toutes les prières
Trois fois par jour, depuis des milliers d’années, les prières juives du monde entier ont toujours été dirigées vers le Mont du Temple.
La tradition cabalistique affirme que toutes les prières du monde affluent vers ce lieu, et c’est à partir de là qu’elles s’élèvent vers le Ciel. Le Talmud déclare d’ailleurs : « Si quelqu’un prie en dehors de la Terre d’Israël, il doit diriger son cœur en direction d’Israël. Lorsqu’il prie en Israël, il doit diriger son cœur vers Jérusalem. Quant aux résidents de Jérusalem, ils doivent diriger leur cœur vers le Temple. »
Au cours des millénaires, des Juifs des quatre coins du globe ont adressé leurs prières vers Jérusalem. Lors de chaque mariage juif, le marié brise un verre en souvenir de la destruction du Saint Temple. Et nous achevons chaque Séder de Pessah avec ces termes évocateurs : « L’an prochain à Jérusalem. »
Comme l’exprime le Rabbin Yéhouda Halévy de manière si poignante : « Je me trouve en Occident, mais mon cœur, lui, se trouve en Orient (Jérusalem). »
5) Un édifice construit avec amour et dévouement
Voici ce que raconte une légende populaire juive :
Lorsque le Temple était en construction, le travail était divisé entre les différents secteurs de la population. La construction du Mur occidental incomba aux pauvres, et ils travaillèrent durement pour l’édifier, étant donné qu’ils n’avaient pas les moyens d’embaucher des ouvriers pour travailler à leur place.
Lorsque l’ennemi détruisit le Temple, les anges descendirent du Ciel et tout en déployant leurs ailes sur le Mur, affirmèrent : « Ce Mur, œuvre des pauvres, ne sera jamais détruit. » (Extrait des « Légendes de la Terre d’Israël »)
6) Un bastion de l’héroïsme juif
Lorsque le Premier puis le Second Temple furent détruits, et lors de la révolte de Bar Kochba, les héros d’Israël se défendirent becs et ongles pour conserver chaque pierre du Temple. Plus tard, quand les Maccabées vainquirent les Gréco-Syriens, la première chose qu’ils firent fut de purifier le Temple et d’allumer la sainte Ménora. Ils incarnent à ce jour la bravoure juive.
Lors de la guerre israélo-arabe de 1948, lorsque les lignes de cessez-le-feu furent tracées, Jérusalem fut divisée et les Juifs à nouveau bannis du Mur occidental. Ils durent se contenter de l’observer par-dessus les fils barbelés, de loin… de l’autre côté de cette étendue infinie de temps.
Lors de la Guerre des Six Jours, des parachutistes israéliens pénétrèrent dans la Vieille ville par la Porte des Lions. « Har Habayit béyadénou ! annoncèrent-ils triomphalement, le Mont du Temple est entre nos mains ! » Entre les sonneries de chofar, des hommes adultes pleuraient et dansaient au Mur occidental. Après 2000 ans, Jérusalem était enfin unifiée et sous contrôle juif, et librement accessible à tous ceux qui souhaitaient s’y rendre.
Le Mur occidental n’est pas simplement un monument historique. C’est la racine juive, la racine la plus profonde qu’un peuple puisse posséder. Ailleurs, nous ne sommes sûrs de rien. Au Mur occidental, alors que nous versons nos larmes sur le mur et couvrons ses pierres de nos baisers, nos incertitudes s’effondrent et nous redécouvrons notre véritable identité, celle de peuple éternel de Dieu.
Écrit par le rabbin Shraga Simmons. Inspiré en partie de l’article « Le Mur occidental » du Ministère israélien de la Défense.
https://www.aish.fr/h/yom-yeroushalaim/Pourquoi-le-Mur-occidental-est-il-un-lieu-saint.html
Chaque Juif pieux croit sincèrement que ce mur est un reste du Temple de Jérusalem et pas un vestige romain.
Pourquoi le Mur occidental est-il un lieu saint ?
1) Un vestige du Saint Temple
Le Mur occidental est un vestige du Temple de Jérusalem qui fut détruit par les Romains en l’an 70 de l’ère commune. Le Temple fut l’épicentre du monde spirituel, le vecteur principal du flux de divinité sur terre. C’est la raison pour laquelle à l’époque du Temple, l’univers entier était empli de crainte et d’appréciation pour le génie de la Torah.
La tradition juive nous enseigne que toute la création débuta à Jérusalem. L’épicentre est le mont Moriah, qualifié par les mystiques de « rocher larmoyant. » Le terme de Moriah est en réalité un jeu de mots : « Moriah est le lieu à partir duquel l’instruction en Torah (horaa) part ; le lieu d’où part la crainte du Ciel (yira) ; le lieu d’où part la lumière (ora). »
C’est ici, au mont Moriah, qu’Isaac fut ligoté pour y être offert en sacrifice. Et c’est ici que son fils Jacob rêva de l’échelle s’élevant jusqu’au ciel.
Bien que d’autres parties du mur de soutènement du mont du Temple soient encore en place, le Mur occidental nous est particulièrement cher, parce qu’il s’agit du lieu le plus proche du Saint des Saints, le lieu central du Temple.
2) Un symbole de l’éternité du peuple juif
Nos Sages prophétisèrent que même après la destruction du Temple, la Présence Divine ne quittera jamais le Mur occidental et que ce dernier ne sera jamais détruit. Le Mur est empreint d’une sainteté éternelle, comme l’exprime le Talmud : « Et Je ferai de vos sanctuaires un endroit de désolation » (Lévitique 26:31) – ce qui laisse entendre que les sanctuaires conservent leur sainteté même lorsqu’ils sont abandonnés.
Jérusalem fut détruite et reconstruite neuf fois. Et pendant tout ce temps, un symbole particulier resta intact : le Mur occidental.
En scellant son alliance éternelle avec Abraham, Dieu promit que le peuple juif ne serait jamais détruit (Genèse 17:7). Le Mur est donc un symbole du peuple juif : tout comme ce dernier résista à d’innombrables tentatives de destruction, le peuple juif survécut à ses ennemis et resta éternel.
De fait, le Mur est à la fois un symbole de dévastation que d’espoir.
Ou pour reprendre cette citation célèbre de Mark Twain : « D’autres peuples ont vu le jour et ont tenu haut le flambeau pendant une certaine période, mais ont fini par se consumer, ils vivent à présent dans le crépuscule, ou ont disparu. Le Juif les a tous vus, les a tous dépassés…Toutes choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais il demeure. Quel est le secret de son immortalité ? »
3) Un lieu de pèlerinage et de recueillement
Il y a trois mille ans, le Roi David acquit le Mont Moriah et fit de Jérusalem sa capitale. Son fils Salomon fit ériger le Saint Temple et le peuple juif dans son ensemble s’y rassemblait trois fois par an, à l’occasion des fêtes de pèlerinage.
Jérusalem devint également le centre névralgique du monde non-juif. Des cartes anciennes indiquent Jérusalem comme l’épicentre de l’Asie, de l’Europe et de l’Afrique. Les non-juifs, attirés par une puissance spirituelle magnétique, apportaient des offrandes au Temple. D’ailleurs, lorsque le Roi Salomon bâtit le Temple, il demanda spécifiquement à Dieu de tenir compte des prières des non-juifs qui se rendraientau Temple (Rois I, 8:41-43). Ou pour reprendre les termes du prophète Isaïe, c’était une « maison de prière pour toutes les nations. »
Le service dans le Saint Temple pendant la semaine de Souccot comprenait au total 70 offrandes de taureaux, correspondant à chacune des 70 nations dans le monde. En réalité, le Talmud affirme que si les Romains (qui détruisirent le Temple) avaient pris conscience du bénéfice qu’ils retiraient du Temple, ils ne l’auraient jamais mis à sac.
Au cours de l’exil qui dura 1900 ans, des Juifs s’aventurèrent jusqu’à Jérusalem au prix de grands frais et de grands périls, uniquement pour avoir l’occasion de prier au Mur. En dépit des maladies, des pénuries d’eau, et des bandes de maraudeurs, les Juifs refusèrent d’abandonner Jérusalem. Bannis par la loi ou anéantis par les Croisés, les Juifs y revenaient toujours.
Le Talmud nous enseigne que lorsque le Temple fut détruit, toutes les Portes du Ciel furent fermées, à l’exception d’une seule : la Porte des Larmes. Au Mur, les Juifs ont de tout temps épanché leur cœur devant Dieu. On en vint ainsi à le nommer : « Mur des Lamentations » en raison de ces siècles de larmes interminables, versées par des Juifs aspirant à reconstruire Jérusalem.
4) Le point de convergence de toutes les prières
Trois fois par jour, depuis des milliers d’années, les prières juives du monde entier ont toujours été dirigées vers le Mont du Temple.
La tradition cabalistique affirme que toutes les prières du monde affluent vers ce lieu, et c’est à partir de là qu’elles s’élèvent vers le Ciel. Le Talmud déclare d’ailleurs : « Si quelqu’un prie en dehors de la Terre d’Israël, il doit diriger son cœur en direction d’Israël. Lorsqu’il prie en Israël, il doit diriger son cœur vers Jérusalem. Quant aux résidents de Jérusalem, ils doivent diriger leur cœur vers le Temple. »
Au cours des millénaires, des Juifs des quatre coins du globe ont adressé leurs prières vers Jérusalem. Lors de chaque mariage juif, le marié brise un verre en souvenir de la destruction du Saint Temple. Et nous achevons chaque Séder de Pessah avec ces termes évocateurs : « L’an prochain à Jérusalem. »
Comme l’exprime le Rabbin Yéhouda Halévy de manière si poignante : « Je me trouve en Occident, mais mon cœur, lui, se trouve en Orient (Jérusalem). »
5) Un édifice construit avec amour et dévouement
Voici ce que raconte une légende populaire juive :
Lorsque le Temple était en construction, le travail était divisé entre les différents secteurs de la population. La construction du Mur occidental incomba aux pauvres, et ils travaillèrent durement pour l’édifier, étant donné qu’ils n’avaient pas les moyens d’embaucher des ouvriers pour travailler à leur place.
Lorsque l’ennemi détruisit le Temple, les anges descendirent du Ciel et tout en déployant leurs ailes sur le Mur, affirmèrent : « Ce Mur, œuvre des pauvres, ne sera jamais détruit. » (Extrait des « Légendes de la Terre d’Israël »)
6) Un bastion de l’héroïsme juif
Lorsque le Premier puis le Second Temple furent détruits, et lors de la révolte de Bar Kochba, les héros d’Israël se défendirent becs et ongles pour conserver chaque pierre du Temple. Plus tard, quand les Maccabées vainquirent les Gréco-Syriens, la première chose qu’ils firent fut de purifier le Temple et d’allumer la sainte Ménora. Ils incarnent à ce jour la bravoure juive.
Lors de la guerre israélo-arabe de 1948, lorsque les lignes de cessez-le-feu furent tracées, Jérusalem fut divisée et les Juifs à nouveau bannis du Mur occidental. Ils durent se contenter de l’observer par-dessus les fils barbelés, de loin… de l’autre côté de cette étendue infinie de temps.
Lors de la Guerre des Six Jours, des parachutistes israéliens pénétrèrent dans la Vieille ville par la Porte des Lions. « Har Habayit béyadénou ! annoncèrent-ils triomphalement, le Mont du Temple est entre nos mains ! » Entre les sonneries de chofar, des hommes adultes pleuraient et dansaient au Mur occidental. Après 2000 ans, Jérusalem était enfin unifiée et sous contrôle juif, et librement accessible à tous ceux qui souhaitaient s’y rendre.
Le Mur occidental n’est pas simplement un monument historique. C’est la racine juive, la racine la plus profonde qu’un peuple puisse posséder. Ailleurs, nous ne sommes sûrs de rien. Au Mur occidental, alors que nous versons nos larmes sur le mur et couvrons ses pierres de nos baisers, nos incertitudes s’effondrent et nous redécouvrons notre véritable identité, celle de peuple éternel de Dieu.
Écrit par le rabbin Shraga Simmons. Inspiré en partie de l’article « Le Mur occidental » du Ministère israélien de la Défense.
https://www.aish.fr/h/yom-yeroushalaim/Pourquoi-le-Mur-occidental-est-il-un-lieu-saint.html
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
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