Noël - quelles sont ses origines ???
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Noël - quelles sont ses origines ???
Noël - quelles sont ses origines ???
Que ce soit dans l’hémisphère Nord ou dans l’hémisphère Sud, Noël figure parmi les fêtes les plus populaires, aussi bien parmi les croyants que parmi les non-croyants.
Au Japon, où la population est en majorité shintoïste, Noël a sa place aux côtés d’autres fêtes, et sa célébration donne maintenant lieu à une intense activité commerciale et à des festivités sans retenue. Cependant, ces aspects si peu religieux des festivités de Noël ont-ils toujours existé ??? Quelle est l’origine de Noël ???
Un examen de la manière dont Noël était célébré durant le premier millénaire de notre ère nous aidera à remonter à ses origines pré-chrétiennes. Dans la revue History Today, Alexander Murray, de l’université d’Oxford, affirme que l’homme du Moyen Âge "fusionna certains rites païens du solstice d’hiver avec la théologie naissante de Noël".
Comment et pourquoi cela eut-il lieu ???
Des origines pré-chrétiennes
Les peuples de l’Europe antique observaient qu’au moment du solstice d’hiver le soleil semblait se tenir immobile près de l’horizon austral avant de reprendre lentement sa course ascendante dans le ciel.
Dans le calendrier julien, ce solstice d’hiver (terme dérivé de mots latins signifiant "soleil" et "s’arrêter") correspondait à l’origine au 25 décembre. Il ne fallut pas longtemps pour que ces mêmes peuples identifient le soleil à Dieu, Source et Sustentateur de la vie.
En 274 de notre ère, l’empereur romain fit du Sol invictus (le soleil invaincu) le principal protecteur de l’empire, cela le 25 décembre, honorant ainsi Mithra, dieu de la lumière.
À propos de l’émergence de la chrétienté comme nouvelle religion impériale, Alexander Murray écrit : "Après de nombreuses incertitudes, la victoire revint au christianisme, principal rival [du mithriacisme].
Toutefois, vers l’an 300, ce rival devait toujours faire preuve de diplomatie. C’est à ce moment-là que l’Église décida de créer une fête en l’honneur de la naissance du Christ (nativitas en latin). (Nulle fête de ce type ne figure sur les listes du IIIe siècle; on trouve la première référence à cette nouvelle fête dans un document datant de 336.)"
Quelle date fut choisie pour cette célébration ??? Le 25 décembre; fruit d’"une décision astucieuse et commode de la part des premiers pères de l’Église", lit-on dans le livre Découverte du folklore et des coutumes de Noël (angl.).
Pourquoi "astucieuse et commode" ???
La période du solstice d’hiver était déjà une époque de réjouissances à cause des Saturnales, fête agricole romaine de sept jours dédiée au feu et à la lumière. Suivaient les Calendes, fête de trois jours célébrant la prise de fonction des magistrats romains, lesquels servaient pendant une année à compter du premier jour, ou calendes, de janvier. Ainsi, étant donné que les Saturnales, les Calendes et l’anniversaire mithriaque du soleil invaincu se célébraient chaque année à peu près au même moment, le 25 décembre fut choisi comme date de célébration de la "Messe du Christ", afin d’inciter les peuples païens à se convertir à la nouvelle religion d’État de l’Empire romain.
Avec le temps, la fête païenne germanique du solstice d’hiver, Yule, vint renforcer la coutume des banquets, des réjouissances et des échanges de cadeaux. Les cierges (ou les bougies), les bûches, les arbres et les décorations faites de plantes à feuilles persistantes devinrent des éléments de premier plan lors des célébrations de Noël.
Mais, se diront peut-être certains, les chrétiens devaient sûrement accorder une place importante à la célébration de la naissance du Christ, et ce bien avant l’introduction des traditions païennes.
En était-il bien ainsi ???
Inconnu des premiers chrétiens
La Bible ne révèle pas la date exacte de la naissance de Jésus. Par ailleurs, "les premiers chrétiens ne célébraient pas sa naissance", déclare la World Book Encyclopedia.
Pour quelle raison ??? "Parce que la célébration de tout anniversaire de naissance passait à leurs yeux pour une coutume païenne." Dans son Histoire de la religion chrétienne et de l’Église aux trois premiers siècles (angl.), Augustus Neander le confirme en ces termes : "La célébration des anniversaires de naissance était une notion tout à fait étrangère aux conceptions des chrétiens de cette période."
Au vu de ce qui précède, vous pouvez constater que les célébrations de Noël ont leurs racines dans le paganisme. Comme l’explique la revue The Economist, c’est plus tard seulement que "des publicitaires [de la religion] s’approprièrent ‘cette fête de la lumière [l’anniversaire du soleil invaincu], Christ étant la lumière du monde, et prétendirent (avec un manque de preuves qui eût été jugé inacceptable par un organisme de vérification de la publicité) que l’enfant Jésus était né en décembre.
C’est la raison pour laquelle l’Écosse presbytérienne a longtemps méprisé Noël, tout comme l’Amérique puritaine, jusqu’à ce que les intérêts commerciaux ne redonnent vie à cette fête".
Le retour des traditions de Noël
Selon Gavin Weightman et Steve Humphries, auteurs de Noëls d’autrefois (angl.), au début du règne de la reine Victoria (1837-1901) "aucun petit Britannique ne pendait ses bas au-dessus de la cheminée la veille de Noël; personne n’avait entendu parler de saint Nicolas; on ne connaissait pas les diablotins; très peu de gens mangeaient de la dinde le jour de Noël; il n’était pas courant d’échanger des cadeaux; et il n’y avait guère qu’à la cour qu’on décorait et illuminait l’arbre de Noël. En fait, le jour de Noël n’était pas une date très importante et ne donnait lieu à aucune sorte de rituel social".
Qu’est-ce qui a donc insufflé une nouvelle popularité aux festivités de Noël ???
D’après Noëls d’autrefois, "c’est aux environs des années 1830 que ces festivités antiques ont commencé à prendre la forme d’une courte et respectable réunion de famille (...), la mutation s’étant plus ou moins achevée dans les années 1870 avec l’apparition en Grande-Bretagne du personnage de saint Nicolas".
C’est à cette époque que Charles Dickens écrivit Un chant de Noël, l’histoire de la conversion de l’avare Scrooge à l’esprit de Noël. Ce livre déclencha un mouvement de générosité en faveur des pauvres. Devant la misère et les difficultés économiques que la révolution industrielle avait fait s’abattre sur les villes, l’Angleterre victorienne se lança dans une sorte de croisade morale, qui évolua à la fin du règne d’Edouard VII, seuls les pauvres dits "respectables" étant désormais jugés dignes de charité.
Voici les observations qu’a faites un rédacteur du quotidien britannique Catholic Herald : "Peu à peu, au fur et à mesure que s’est élevé le niveau de vie général, de nombreux aspects déplaisants du Noël des classes moyennes ont commencé à se répandre. La simplicité et la générosité ont fait place à l’esprit de compétition. Les repas sans prétention desquels se dégageait un bonheur authentique sont devenus des orgies où l’on se gave d’une nourriture copieuse.
Au nom de cette nouvelle tradition, et que cela leur plaise ou non, les gens s’obligent à se retrouver en famille pendant plusieurs jours, s’occupant à des jeux que certains trouvent idiots, regardant la télévision, chose que d’autres détestent, se coupant de leurs voisins et de ceux du dehors à une époque de l’année où sont pourtant censées régner la bonne volonté et la bienveillance.
"Et si quelqu’un ose dénoncer cette situation, s’il s’aventure à critiquer le mercantilisme ou simplement les conventions sociales, il se fait traiter de radin.
Noël — Une époque dangereuse
Avez-vous constaté que certains profitent de cette occasion pour boire et manger plus que de raison ???. Même si de nombreuses personnes font preuve de bonté et de considération au moment de Noël, leurs efforts louables n’empêchent pas la dégradation des relations familiales, si courantes en cette période de l’année.
Peut-être vous demandez-vous pourquoi Noël est si propice aux écarts de conduite. C’est essentiellement parce qu’il s’agit d’une fête païenne. Pensez-vous que le Christ prendrait plaisir à de telles choses ???
Que ce soit dans l’hémisphère Nord ou dans l’hémisphère Sud, Noël figure parmi les fêtes les plus populaires, aussi bien parmi les croyants que parmi les non-croyants.
Au Japon, où la population est en majorité shintoïste, Noël a sa place aux côtés d’autres fêtes, et sa célébration donne maintenant lieu à une intense activité commerciale et à des festivités sans retenue. Cependant, ces aspects si peu religieux des festivités de Noël ont-ils toujours existé ??? Quelle est l’origine de Noël ???
Un examen de la manière dont Noël était célébré durant le premier millénaire de notre ère nous aidera à remonter à ses origines pré-chrétiennes. Dans la revue History Today, Alexander Murray, de l’université d’Oxford, affirme que l’homme du Moyen Âge "fusionna certains rites païens du solstice d’hiver avec la théologie naissante de Noël".
Comment et pourquoi cela eut-il lieu ???
Des origines pré-chrétiennes
Les peuples de l’Europe antique observaient qu’au moment du solstice d’hiver le soleil semblait se tenir immobile près de l’horizon austral avant de reprendre lentement sa course ascendante dans le ciel.
Dans le calendrier julien, ce solstice d’hiver (terme dérivé de mots latins signifiant "soleil" et "s’arrêter") correspondait à l’origine au 25 décembre. Il ne fallut pas longtemps pour que ces mêmes peuples identifient le soleil à Dieu, Source et Sustentateur de la vie.
En 274 de notre ère, l’empereur romain fit du Sol invictus (le soleil invaincu) le principal protecteur de l’empire, cela le 25 décembre, honorant ainsi Mithra, dieu de la lumière.
À propos de l’émergence de la chrétienté comme nouvelle religion impériale, Alexander Murray écrit : "Après de nombreuses incertitudes, la victoire revint au christianisme, principal rival [du mithriacisme].
Toutefois, vers l’an 300, ce rival devait toujours faire preuve de diplomatie. C’est à ce moment-là que l’Église décida de créer une fête en l’honneur de la naissance du Christ (nativitas en latin). (Nulle fête de ce type ne figure sur les listes du IIIe siècle; on trouve la première référence à cette nouvelle fête dans un document datant de 336.)"
Quelle date fut choisie pour cette célébration ??? Le 25 décembre; fruit d’"une décision astucieuse et commode de la part des premiers pères de l’Église", lit-on dans le livre Découverte du folklore et des coutumes de Noël (angl.).
Pourquoi "astucieuse et commode" ???
La période du solstice d’hiver était déjà une époque de réjouissances à cause des Saturnales, fête agricole romaine de sept jours dédiée au feu et à la lumière. Suivaient les Calendes, fête de trois jours célébrant la prise de fonction des magistrats romains, lesquels servaient pendant une année à compter du premier jour, ou calendes, de janvier. Ainsi, étant donné que les Saturnales, les Calendes et l’anniversaire mithriaque du soleil invaincu se célébraient chaque année à peu près au même moment, le 25 décembre fut choisi comme date de célébration de la "Messe du Christ", afin d’inciter les peuples païens à se convertir à la nouvelle religion d’État de l’Empire romain.
Avec le temps, la fête païenne germanique du solstice d’hiver, Yule, vint renforcer la coutume des banquets, des réjouissances et des échanges de cadeaux. Les cierges (ou les bougies), les bûches, les arbres et les décorations faites de plantes à feuilles persistantes devinrent des éléments de premier plan lors des célébrations de Noël.
Mais, se diront peut-être certains, les chrétiens devaient sûrement accorder une place importante à la célébration de la naissance du Christ, et ce bien avant l’introduction des traditions païennes.
En était-il bien ainsi ???
Inconnu des premiers chrétiens
La Bible ne révèle pas la date exacte de la naissance de Jésus. Par ailleurs, "les premiers chrétiens ne célébraient pas sa naissance", déclare la World Book Encyclopedia.
Pour quelle raison ??? "Parce que la célébration de tout anniversaire de naissance passait à leurs yeux pour une coutume païenne." Dans son Histoire de la religion chrétienne et de l’Église aux trois premiers siècles (angl.), Augustus Neander le confirme en ces termes : "La célébration des anniversaires de naissance était une notion tout à fait étrangère aux conceptions des chrétiens de cette période."
Au vu de ce qui précède, vous pouvez constater que les célébrations de Noël ont leurs racines dans le paganisme. Comme l’explique la revue The Economist, c’est plus tard seulement que "des publicitaires [de la religion] s’approprièrent ‘cette fête de la lumière [l’anniversaire du soleil invaincu], Christ étant la lumière du monde, et prétendirent (avec un manque de preuves qui eût été jugé inacceptable par un organisme de vérification de la publicité) que l’enfant Jésus était né en décembre.
C’est la raison pour laquelle l’Écosse presbytérienne a longtemps méprisé Noël, tout comme l’Amérique puritaine, jusqu’à ce que les intérêts commerciaux ne redonnent vie à cette fête".
Le retour des traditions de Noël
Selon Gavin Weightman et Steve Humphries, auteurs de Noëls d’autrefois (angl.), au début du règne de la reine Victoria (1837-1901) "aucun petit Britannique ne pendait ses bas au-dessus de la cheminée la veille de Noël; personne n’avait entendu parler de saint Nicolas; on ne connaissait pas les diablotins; très peu de gens mangeaient de la dinde le jour de Noël; il n’était pas courant d’échanger des cadeaux; et il n’y avait guère qu’à la cour qu’on décorait et illuminait l’arbre de Noël. En fait, le jour de Noël n’était pas une date très importante et ne donnait lieu à aucune sorte de rituel social".
Qu’est-ce qui a donc insufflé une nouvelle popularité aux festivités de Noël ???
D’après Noëls d’autrefois, "c’est aux environs des années 1830 que ces festivités antiques ont commencé à prendre la forme d’une courte et respectable réunion de famille (...), la mutation s’étant plus ou moins achevée dans les années 1870 avec l’apparition en Grande-Bretagne du personnage de saint Nicolas".
C’est à cette époque que Charles Dickens écrivit Un chant de Noël, l’histoire de la conversion de l’avare Scrooge à l’esprit de Noël. Ce livre déclencha un mouvement de générosité en faveur des pauvres. Devant la misère et les difficultés économiques que la révolution industrielle avait fait s’abattre sur les villes, l’Angleterre victorienne se lança dans une sorte de croisade morale, qui évolua à la fin du règne d’Edouard VII, seuls les pauvres dits "respectables" étant désormais jugés dignes de charité.
Voici les observations qu’a faites un rédacteur du quotidien britannique Catholic Herald : "Peu à peu, au fur et à mesure que s’est élevé le niveau de vie général, de nombreux aspects déplaisants du Noël des classes moyennes ont commencé à se répandre. La simplicité et la générosité ont fait place à l’esprit de compétition. Les repas sans prétention desquels se dégageait un bonheur authentique sont devenus des orgies où l’on se gave d’une nourriture copieuse.
Au nom de cette nouvelle tradition, et que cela leur plaise ou non, les gens s’obligent à se retrouver en famille pendant plusieurs jours, s’occupant à des jeux que certains trouvent idiots, regardant la télévision, chose que d’autres détestent, se coupant de leurs voisins et de ceux du dehors à une époque de l’année où sont pourtant censées régner la bonne volonté et la bienveillance.
"Et si quelqu’un ose dénoncer cette situation, s’il s’aventure à critiquer le mercantilisme ou simplement les conventions sociales, il se fait traiter de radin.
Noël — Une époque dangereuse
Avez-vous constaté que certains profitent de cette occasion pour boire et manger plus que de raison ???. Même si de nombreuses personnes font preuve de bonté et de considération au moment de Noël, leurs efforts louables n’empêchent pas la dégradation des relations familiales, si courantes en cette période de l’année.
Peut-être vous demandez-vous pourquoi Noël est si propice aux écarts de conduite. C’est essentiellement parce qu’il s’agit d’une fête païenne. Pensez-vous que le Christ prendrait plaisir à de telles choses ???
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
Chez les grecs TAMMUZ (Dumuzi / Adonis) est appelé BACCHUS. Certains l'identifient à ADONIS. A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. C'est l'origine " SAPIN DE NOËL ", il représente NIMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
A Rome, le poète Ovide confirme que la déesse médiatrice mère d' ADONIS avait été changée en ARBRE pour enfanter son fils (Ovide, les métamorphoses, X,V). Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était la fête de « NATALIS INVICTI SOLIS ».
Cette coutume reçut un autre sens : celui du NATALE, origine du mot NOËL en français, c'est à dire la fête de l’ARBRE DE NOË du rituel de " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts pour renaître comme le SOLEIL pendant le solstice de décembre ... Cela n'a strictement aucun lien avec la naissance de JESUS.
UNE FÊTE EGYPTIENNE MANIPULEE PAR LE TEMPLE
Le grand cycle des fêtes du solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour durer jusqu'au 6 janvier englobant le cycle des 12 Jours qui s'étend entre Noël et l'Epiphanie. C'est une unité de temps sacré qui revient chaque année, comme une transition entre l'ancienne et la nouvelle année.
Nombre de religions païennes célébraient le 25 DECEMBRE, bien avant l'apparition du christianisme. Certains dieux connus sont supposés être nés pour le solstice d'hiver. Il y a également les rites du FEU des chamans CELTES, les hommes sauvages célébrant les forces primitives dans l'étrange monde de la forêt à l'époque où elle recouvrait une majeure partie de nos terres.
Aucun passage biblique ne justifie le choix du 25 DECEMBRE. Au contraire, la naissance de JESUS a eu lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce n'était donc pas entre décembre et février car les nuits sont trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, la naissance de JESUS coïncide avec l'époque du recensement romain : les autorités choisissaient toujours une époque de l'année au climat chaud car les populations devaient voyager pour se rendre aux postes de recensement.
On ne trouve pas de fête du 25 DECEMBRE dans l'église chrétienne avant le IIIe siècle. Mais cette fête existait déjà dans les religions païennes. Elle avait lieu pour honorer la naissance du fils de la Reine babylonienne. Cette fête païenne est rentrée dans l'Eglise en l'an 230, le chrétien Tertullien écrit qu'à son époque, les chrétiens ont tendance à se prostituer aux cultes idolâtres.
Que ce soit dans le culte babylonien de BAAL (le soleil est adoré sous le nom du dieu Shamash), ou dans le culte hindou de SURYA, ces deux divinités étaient liées au soleil, qui s'incarnait par une naissance terrestre pour soumettre tous les autres dieux ennemis.
A Babylone, la fête avait lieu au mois de THEBETH qui est notre mois de DECEMBRE. Pendant tout ce mois, on gardait allumées les bougies sur les autels.
Les Romains, eux, célébraient deux fêtes importantes aux environs du 25 DECEMBRE. Les SATURNALES, tout d'abord, dédiées au dieu SATURNE et commémorant un ÂGE D'OR, et qui se déroulaient du 17 au 23 décembre. Puis, plus tard (vraisemblablement en 274 de notre ère), fut introduite la fête de " NATALIS INVICTI SOLIS " le jour de naissance du SOLEIL INVAINCU (Dies Solis Invictis). Sous Caligula, ces fêtes duraient pendant 5 jours de débauche et d'ivrognerie.
L’ARBRE DE NOËL de la tradition occidentale se retrouve en Egypte ancienne sous la forme du palmier, image du messie et seigneur BAAL-TAMAR, et à Rome sous la forme du sapin image du messie et seigneur de l'alliance " BAAL-BERITH ".
Ainsi, Le 25 DECEMBRE à Rome, le sapin est dressé sur la Place Saint-Pierre pour la fête de Noël, face à la grande OBELISQUE égyptienne que NERON avait fait installée au centre de ses arènes.
L'installation de cet arbre sera d'ailleurs considérée comme une pratique païenne jusqu'au milieu du XXe siècle par l'Église catholique. Au contraire les Protestants l'adopteront dès la Réforme de 1560 comme symbole de l'arbre du paradis. Les CELTES décoraient déjà un ARBRE, symbole de vie au moment du solstice d'hiver. Les Scandinaves faisait de même pour la fête de YULE (ou JUL), qui avait lieu à peu près à la même date en décembre.
A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. Cet anniversaire était le 25 DECEMBRE.
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ARBRE DE NOË est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux Etats-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PERE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
A Rome, le poète Ovide confirme que la déesse médiatrice mère d' ADONIS avait été changée en ARBRE pour enfanter son fils (Ovide, les métamorphoses, X,V). Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était la fête de « NATALIS INVICTI SOLIS ».
Cette coutume reçut un autre sens : celui du NATALE, origine du mot NOËL en français, c'est à dire la fête de l’ARBRE DE NOË du rituel de " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts pour renaître comme le SOLEIL pendant le solstice de décembre ... Cela n'a strictement aucun lien avec la naissance de JESUS.
UNE FÊTE EGYPTIENNE MANIPULEE PAR LE TEMPLE
Le grand cycle des fêtes du solstice d'hiver s'ouvre le 1er novembre (Toussaint) pour durer jusqu'au 6 janvier englobant le cycle des 12 Jours qui s'étend entre Noël et l'Epiphanie. C'est une unité de temps sacré qui revient chaque année, comme une transition entre l'ancienne et la nouvelle année.
Nombre de religions païennes célébraient le 25 DECEMBRE, bien avant l'apparition du christianisme. Certains dieux connus sont supposés être nés pour le solstice d'hiver. Il y a également les rites du FEU des chamans CELTES, les hommes sauvages célébrant les forces primitives dans l'étrange monde de la forêt à l'époque où elle recouvrait une majeure partie de nos terres.
Aucun passage biblique ne justifie le choix du 25 DECEMBRE. Au contraire, la naissance de JESUS a eu lieu pendant que les bergers passaient la nuit dans les champs avec les moutons. Ce n'était donc pas entre décembre et février car les nuits sont trop froides en Judée à cette époque de l'année. De plus, la naissance de JESUS coïncide avec l'époque du recensement romain : les autorités choisissaient toujours une époque de l'année au climat chaud car les populations devaient voyager pour se rendre aux postes de recensement.
On ne trouve pas de fête du 25 DECEMBRE dans l'église chrétienne avant le IIIe siècle. Mais cette fête existait déjà dans les religions païennes. Elle avait lieu pour honorer la naissance du fils de la Reine babylonienne. Cette fête païenne est rentrée dans l'Eglise en l'an 230, le chrétien Tertullien écrit qu'à son époque, les chrétiens ont tendance à se prostituer aux cultes idolâtres.
Que ce soit dans le culte babylonien de BAAL (le soleil est adoré sous le nom du dieu Shamash), ou dans le culte hindou de SURYA, ces deux divinités étaient liées au soleil, qui s'incarnait par une naissance terrestre pour soumettre tous les autres dieux ennemis.
A Babylone, la fête avait lieu au mois de THEBETH qui est notre mois de DECEMBRE. Pendant tout ce mois, on gardait allumées les bougies sur les autels.
Les Romains, eux, célébraient deux fêtes importantes aux environs du 25 DECEMBRE. Les SATURNALES, tout d'abord, dédiées au dieu SATURNE et commémorant un ÂGE D'OR, et qui se déroulaient du 17 au 23 décembre. Puis, plus tard (vraisemblablement en 274 de notre ère), fut introduite la fête de " NATALIS INVICTI SOLIS " le jour de naissance du SOLEIL INVAINCU (Dies Solis Invictis). Sous Caligula, ces fêtes duraient pendant 5 jours de débauche et d'ivrognerie.
L’ARBRE DE NOËL de la tradition occidentale se retrouve en Egypte ancienne sous la forme du palmier, image du messie et seigneur BAAL-TAMAR, et à Rome sous la forme du sapin image du messie et seigneur de l'alliance " BAAL-BERITH ".
Ainsi, Le 25 DECEMBRE à Rome, le sapin est dressé sur la Place Saint-Pierre pour la fête de Noël, face à la grande OBELISQUE égyptienne que NERON avait fait installée au centre de ses arènes.
L'installation de cet arbre sera d'ailleurs considérée comme une pratique païenne jusqu'au milieu du XXe siècle par l'Église catholique. Au contraire les Protestants l'adopteront dès la Réforme de 1560 comme symbole de l'arbre du paradis. Les CELTES décoraient déjà un ARBRE, symbole de vie au moment du solstice d'hiver. Les Scandinaves faisait de même pour la fête de YULE (ou JUL), qui avait lieu à peu près à la même date en décembre.
A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. Cet anniversaire était le 25 DECEMBRE.
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DECEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ARBRE DE NOË est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux Etats-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PERE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
Ce fils, HOMME-BRANCHE, était symbolisé par une BÛCHE. En étant mis dans le feu, l'Homme-branche renaissait le lendemain comme ARBRE DE VIE.
On retrouve cette BÛCHE / TRONC sans branche, entouré par le dieu-serpent ESCULAPE qui rend la vie. Ce SERPENT qui est aussi le symbole de la médecine est représenté autour de la BÛCHE. Il fait naître un ARBRE / PALMIER, symbole de victoire du SOLEIL invaincu
Chez les chrétiens, il devient JEAN LE BAPTISTE, un jeune berger au boucles d’or, sans doute une référence aux CHERUBINS (les Anges) signifiant que TAMMUZ est un " KERUBI " (Kirubi). Voilà pourquoi la fête de la NATIVITE de la SAINT-JEAN associée au FEU, et adoptée par le catholicisme romain tombe à la date du SOLSTICE d'été le 24 juin.
La fête païenne de la mi été (opposé de Yule / Noël), est la fête de LITHA (ou Midsummer) c'est aussi le jour le plus important de l'année pour les anciens cultes solaires. Cette période serait propice à la magie. Dans le calendrier des fêtes de la WICCA il y a vingt et une célébrations, dont LITHA.
La fête de LITHA correspond à la fête de la SAINT-JEAN pour les chrétiens. C'est la fête de la RENAISSANCE et de la FERTILITE. Les déités à célébrer sont toutes les déesses qui symbolisent l'amour et le plaisir (VENUS, APHRODITE, ASTARTE, FREYA, ...). Il y a donc de nombreuses similitudes avec les fêtes CELTES et SCANDINAVES et leurs dieux.
Les feux de la SAINT-JEAN est une tradition introduite en Occident par les druides et sont le reflet exact du culte de BAAL / MOLOCH. Les CUPIDONS / EROS était les jeunes ailés qui lançait des flèches comme NIMROD le chasseur.
Ainsi, les cultes du monde sur l'autel de l'Amour sont les portes des convoitises dont ils sont esclaves. CUPIDON (romain), est souvent représenté sous les traits d'un jeune enfant espiègle, joufflu, avec deux petites ailes dans le dos et portant un arc, qui lui sert à décocher des flèches d'amour. La figure CUPIDONS / EROS est en relation avec la constellation ANTINOÜS et l'AIGLE Jupitérien, il y a encore un mélange des figures et une manipulation du ciel antique par les gardiens du culte.
Les LUPERCALES (du latin "lupus », le loup et moins directement le LUPERCUS), dieu de la fécondité, des bergers et des troupeaux) était une fête païenne célébrée le 15 février, lendemain de la fête de SAINT-VALENTIN. Liées aux origines de Rome, leur nom vient du " LUPERCAL ", grotte au flanc du Mont Palatin, dans laquelle la Louve a allaité ROMULUS et REMUS, qui fonderont la ville de Rome. Les LUPERCALES devinrent la grande fête de la reconnaissance et de la fertilité.
VENUS et son fils CUPIDON, (Sémiramis et Tammuz) était nul autre que la MADONE ET L'ENFANT gardant le sacré cœur. NIMROD est alors le LUPERCUS / FAUNUS le chasseur chez les grecs ou encore PAN chez les arcadiens et VALENTIN chez les Romains païens.
Chez les Sémites il était BAAL si souvent mentionnée dans la Bible, un autre nom pour NIMROD le " vaillant chasseur " (Genèse 10:9). C'est ainsi que SAINT-VALENTIN a été un jour mis de côté par les païens en son honneur.
Un autre symbole représentant TAMMUZ est la FLEUR DE LYS. Il est aussi assimilé à LUCIFER porteur de lumière sur l'ARC-EN-CIEL des deux mondes, l'un des premiers symboles de la TRINITE. Le personnage est aussi lié à JANUS le « Dieu des Dieux », le tout premier être divin issu du CHAOS. L'arrivée des Indo-Européens, ainsi que de leurs croyances, en Italie aurait donc ainsi modifié le panthéon.
JANUS n'est qu'une autre forme du Dieu JUPITER / ZEUS le premier dieu, assimilé à ZEUS des Grecs il s’approprie toutes les aventures de son homologue.
On retrouve cette BÛCHE / TRONC sans branche, entouré par le dieu-serpent ESCULAPE qui rend la vie. Ce SERPENT qui est aussi le symbole de la médecine est représenté autour de la BÛCHE. Il fait naître un ARBRE / PALMIER, symbole de victoire du SOLEIL invaincu
Chez les chrétiens, il devient JEAN LE BAPTISTE, un jeune berger au boucles d’or, sans doute une référence aux CHERUBINS (les Anges) signifiant que TAMMUZ est un " KERUBI " (Kirubi). Voilà pourquoi la fête de la NATIVITE de la SAINT-JEAN associée au FEU, et adoptée par le catholicisme romain tombe à la date du SOLSTICE d'été le 24 juin.
La fête païenne de la mi été (opposé de Yule / Noël), est la fête de LITHA (ou Midsummer) c'est aussi le jour le plus important de l'année pour les anciens cultes solaires. Cette période serait propice à la magie. Dans le calendrier des fêtes de la WICCA il y a vingt et une célébrations, dont LITHA.
La fête de LITHA correspond à la fête de la SAINT-JEAN pour les chrétiens. C'est la fête de la RENAISSANCE et de la FERTILITE. Les déités à célébrer sont toutes les déesses qui symbolisent l'amour et le plaisir (VENUS, APHRODITE, ASTARTE, FREYA, ...). Il y a donc de nombreuses similitudes avec les fêtes CELTES et SCANDINAVES et leurs dieux.
Les feux de la SAINT-JEAN est une tradition introduite en Occident par les druides et sont le reflet exact du culte de BAAL / MOLOCH. Les CUPIDONS / EROS était les jeunes ailés qui lançait des flèches comme NIMROD le chasseur.
Ainsi, les cultes du monde sur l'autel de l'Amour sont les portes des convoitises dont ils sont esclaves. CUPIDON (romain), est souvent représenté sous les traits d'un jeune enfant espiègle, joufflu, avec deux petites ailes dans le dos et portant un arc, qui lui sert à décocher des flèches d'amour. La figure CUPIDONS / EROS est en relation avec la constellation ANTINOÜS et l'AIGLE Jupitérien, il y a encore un mélange des figures et une manipulation du ciel antique par les gardiens du culte.
Les LUPERCALES (du latin "lupus », le loup et moins directement le LUPERCUS), dieu de la fécondité, des bergers et des troupeaux) était une fête païenne célébrée le 15 février, lendemain de la fête de SAINT-VALENTIN. Liées aux origines de Rome, leur nom vient du " LUPERCAL ", grotte au flanc du Mont Palatin, dans laquelle la Louve a allaité ROMULUS et REMUS, qui fonderont la ville de Rome. Les LUPERCALES devinrent la grande fête de la reconnaissance et de la fertilité.
VENUS et son fils CUPIDON, (Sémiramis et Tammuz) était nul autre que la MADONE ET L'ENFANT gardant le sacré cœur. NIMROD est alors le LUPERCUS / FAUNUS le chasseur chez les grecs ou encore PAN chez les arcadiens et VALENTIN chez les Romains païens.
Chez les Sémites il était BAAL si souvent mentionnée dans la Bible, un autre nom pour NIMROD le " vaillant chasseur " (Genèse 10:9). C'est ainsi que SAINT-VALENTIN a été un jour mis de côté par les païens en son honneur.
Un autre symbole représentant TAMMUZ est la FLEUR DE LYS. Il est aussi assimilé à LUCIFER porteur de lumière sur l'ARC-EN-CIEL des deux mondes, l'un des premiers symboles de la TRINITE. Le personnage est aussi lié à JANUS le « Dieu des Dieux », le tout premier être divin issu du CHAOS. L'arrivée des Indo-Européens, ainsi que de leurs croyances, en Italie aurait donc ainsi modifié le panthéon.
JANUS n'est qu'une autre forme du Dieu JUPITER / ZEUS le premier dieu, assimilé à ZEUS des Grecs il s’approprie toutes les aventures de son homologue.
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
Noël : les apocryphes ou l'art de raconter des histoires
On leur doit la crèche de la nativité, le bœuf, l'âne et la couronne des rois mages. Les textes apocryphes ne sont pas sacrés, mais ils ont des idées…
PAR CATHERINE GOLLIAU
Publié le 22/12/2015 à 06:13 - Modifié le 22/12/2015 à 07:16 | Le Point.fr
Sans eux, Jésus ne serait pas né dans une crèche, et Marie n'aurait pas eu un papa qui s'appelait Joachim. Sans eux, pas de Joseph père aimant et cocu magnifique. Sans eux, pas de récit de l'enfance du Christ, pas d'anecdotes, pas de chair, pas de jus, et un christianisme franchement trop sérieux pour plaire aux foules. Bref, sans eux, c'est sûr, Jésus, le fils de Dieu, ne serait pas devenu le héros de la première religion au monde. Pourtant, qui rend grâce à l'Évangile du Pseudo Thomas ou à L 'Histoire de Joseph le charpentier, ces évangiles dits « apocryphes » ? Apocryphe : un nom d'origine grecque (« caché ») pour désigner ces nombreux textes nourris aux évangiles officiels autant qu'aux récits populaires qui, aux premiers temps de l'Église, entendaient donner leur propre version de la vie et du message du Christ. Considérés comme des sornettes par l'Église officielle qui, en 367, les exclut de sa liste de textes « canons », c'est-à-dire reconnus comme inspirés et authentiques, ces ouvrages qui se présentent aussi bien comme des éproprement dits que des épîtres ou des actes continueront néanmoins de nourrir la foi populaire... Et de véhiculer les opinions et les visions dissidentes.
Si l'on se réfère à la liste qu'en dresse le Décret de Gélase (IVe siècle), les apocryphes entrent dans trois catégories : les plus anciens, issus du judéo-christianisme, portent le nom des communautés qui les ont élaborés (É vangile selon les Hébreux, Évangile des Ébionites, traditions de Mathieu, Évangile des Égyptiens…). Ils imitent souvent les Évangiles de Marc, Mathieu et Luc auxquels ils agrègent des idées déviantes. D'eux, il ne reste quasiment plus rien, si ce n'est des bribes ou des citations dans les écrits des pères de l'Église.
« Gnostiques »
Plus romanesques, les apocryphes qui racontent la vie de Jésus et de ses proches. Nous leur devons la crèche de la nativité, le bœuf et l'âne, la couronne des rois mages ainsi que certains miracles. Très riches en anecdotes plus ou moins miraculeuses, certains d'entre eux ont profondément influencé le christianisme populaire. Le Protévangile de Jacques a ainsi joué un rôle déterminant dans l'élaboration du culte marial. Comme le rappelle France Quéré (É vangiles apocryphes, Seuil, 1983), cet ouvrage présenté comme l'œuvre de Jacques le Mineur (qui serait le demi-frère de Jésus) a été rédigé « dans un but apologétique, pour régler, auprès des Grecs et des Juifs, la question délicate de l'incarnation de Dieu. Or, pas d'incarnation sans pureté absolue, pureté de Marie, non seulement verge avant, pendant et après, mais maintenue dès sa conception dans une sorte d'état angélique. » Marie naîtra donc sans péché. Le texte est à l'origine de plusieurs fêtes liturgiques : la célébration d'Anne et de Joachim, les parents de Marie, la fête de La Conception et de la Nativité de Marie, la Présentation de la Vierge, etc.
Troisième catégorie d'apocryphes, plus intellectuels, mais aussi plus dangereux aux yeux des gardiens du dogme : les « gnostiques », comme le célèbre Évangile de Thomas, dont un papyrus a été découvert en 1946 à Nag-Hammadi en Égypte. Écrit en copte au IIe siècle et probablement d'origine syrienne, ce texte contient 114 paroles inédites de Jésus et il est suffisamment riche pour que les chercheurs l'aient considéré un temps comme un cinquième évangile « authentique ».
Textes « cachés »
L'élaboration du Canon au IVe siècle ne débarrassa l'Église ni des hérésies ni des apocryphes. La Réforme apporta au mot lui-même un éclairage nouveau… en en changeant le sens. Les protestants l'utilisèrent en effet pour qualifier les textes les plus récents de l'Ancien Testament, ceux que les juifs avaient écartés comme non-inspirés au Ier siècle après Jésus Christ, et que les réformateurs placèrent à la fin de leurs bibles en langue vulgaire. À partir du XIXe siècle, les textes « cachés » revinrent encore sur le devant de la scène : l'exégèse commençait alors à se vouloir critique et à utiliser la science pour mieux mettre les croyances en perspective. Cette approche montra que les fameux textes « cachés » pouvaient être porteurs parfois d'une part de vérité, et que les textes canoniques n'étaient pas toujours exempts de passages inauthentiques…
De quoi alimenter chez certains le goût pour la théorie du complot, dont les flammes ont rejailli en 2006 avec la publication de l'Évangile de Judas, attribué à l'homme qui a trahi Jésus. Mais les apôtres n'auraient-ils pas dénaturé le message du Christ en faisant un mauvais procès à leur camarade ? Celui-ci, en trahissant ne répondait-il pas au vœu du Christ lui-même ? N'a-t-il pas accepté le sceau de l'infamie pour mieux servir son Dieu ? Vingt-cinq feuilles de papyrus pour changer le sens de l'histoire ? L'éditeur en rêvait, mais la réalité joue comme souvent petit bras. Trouvé dans les années soixante-dix dans une grotte du désert de haute Égypte, passé ensuite de main en main, ce texte en langue copte daté du IIIe ou du début du IVe siècle serait la traduction d'un ouvrage grec aujourd'hui perdu, composé entre 130 et 180 après J.-C. Irénée, premier évêque de Lyon, le dénonce déjà comme une « malfaisance de la secte hérétique des Caïnites » (les héritiers de Caïn) : « Ils déclarent que Judas le traître était bien avisé de ces choses et que lui seul, connaissant la vérité comme aucun autre, a accompli le mystère de la trahison. Ils ont produit une histoire fictive de ce genre, qu'ils ont appelée l'Évangile de Judas. » Les apocryphes, ou l'arme de guerrhttp://www.lepoint.fr/culture/noel-les-apocryphes-ou-l-art-de-raconter-des-histoires-22-12-2015-2004478_3.php#r_e des hérétiques…
On leur doit la crèche de la nativité, le bœuf, l'âne et la couronne des rois mages. Les textes apocryphes ne sont pas sacrés, mais ils ont des idées…
PAR CATHERINE GOLLIAU
Publié le 22/12/2015 à 06:13 - Modifié le 22/12/2015 à 07:16 | Le Point.fr
Sans eux, Jésus ne serait pas né dans une crèche, et Marie n'aurait pas eu un papa qui s'appelait Joachim. Sans eux, pas de Joseph père aimant et cocu magnifique. Sans eux, pas de récit de l'enfance du Christ, pas d'anecdotes, pas de chair, pas de jus, et un christianisme franchement trop sérieux pour plaire aux foules. Bref, sans eux, c'est sûr, Jésus, le fils de Dieu, ne serait pas devenu le héros de la première religion au monde. Pourtant, qui rend grâce à l'Évangile du Pseudo Thomas ou à L 'Histoire de Joseph le charpentier, ces évangiles dits « apocryphes » ? Apocryphe : un nom d'origine grecque (« caché ») pour désigner ces nombreux textes nourris aux évangiles officiels autant qu'aux récits populaires qui, aux premiers temps de l'Église, entendaient donner leur propre version de la vie et du message du Christ. Considérés comme des sornettes par l'Église officielle qui, en 367, les exclut de sa liste de textes « canons », c'est-à-dire reconnus comme inspirés et authentiques, ces ouvrages qui se présentent aussi bien comme des éproprement dits que des épîtres ou des actes continueront néanmoins de nourrir la foi populaire... Et de véhiculer les opinions et les visions dissidentes.
Si l'on se réfère à la liste qu'en dresse le Décret de Gélase (IVe siècle), les apocryphes entrent dans trois catégories : les plus anciens, issus du judéo-christianisme, portent le nom des communautés qui les ont élaborés (É vangile selon les Hébreux, Évangile des Ébionites, traditions de Mathieu, Évangile des Égyptiens…). Ils imitent souvent les Évangiles de Marc, Mathieu et Luc auxquels ils agrègent des idées déviantes. D'eux, il ne reste quasiment plus rien, si ce n'est des bribes ou des citations dans les écrits des pères de l'Église.
« Gnostiques »
Plus romanesques, les apocryphes qui racontent la vie de Jésus et de ses proches. Nous leur devons la crèche de la nativité, le bœuf et l'âne, la couronne des rois mages ainsi que certains miracles. Très riches en anecdotes plus ou moins miraculeuses, certains d'entre eux ont profondément influencé le christianisme populaire. Le Protévangile de Jacques a ainsi joué un rôle déterminant dans l'élaboration du culte marial. Comme le rappelle France Quéré (É vangiles apocryphes, Seuil, 1983), cet ouvrage présenté comme l'œuvre de Jacques le Mineur (qui serait le demi-frère de Jésus) a été rédigé « dans un but apologétique, pour régler, auprès des Grecs et des Juifs, la question délicate de l'incarnation de Dieu. Or, pas d'incarnation sans pureté absolue, pureté de Marie, non seulement verge avant, pendant et après, mais maintenue dès sa conception dans une sorte d'état angélique. » Marie naîtra donc sans péché. Le texte est à l'origine de plusieurs fêtes liturgiques : la célébration d'Anne et de Joachim, les parents de Marie, la fête de La Conception et de la Nativité de Marie, la Présentation de la Vierge, etc.
Troisième catégorie d'apocryphes, plus intellectuels, mais aussi plus dangereux aux yeux des gardiens du dogme : les « gnostiques », comme le célèbre Évangile de Thomas, dont un papyrus a été découvert en 1946 à Nag-Hammadi en Égypte. Écrit en copte au IIe siècle et probablement d'origine syrienne, ce texte contient 114 paroles inédites de Jésus et il est suffisamment riche pour que les chercheurs l'aient considéré un temps comme un cinquième évangile « authentique ».
Textes « cachés »
L'élaboration du Canon au IVe siècle ne débarrassa l'Église ni des hérésies ni des apocryphes. La Réforme apporta au mot lui-même un éclairage nouveau… en en changeant le sens. Les protestants l'utilisèrent en effet pour qualifier les textes les plus récents de l'Ancien Testament, ceux que les juifs avaient écartés comme non-inspirés au Ier siècle après Jésus Christ, et que les réformateurs placèrent à la fin de leurs bibles en langue vulgaire. À partir du XIXe siècle, les textes « cachés » revinrent encore sur le devant de la scène : l'exégèse commençait alors à se vouloir critique et à utiliser la science pour mieux mettre les croyances en perspective. Cette approche montra que les fameux textes « cachés » pouvaient être porteurs parfois d'une part de vérité, et que les textes canoniques n'étaient pas toujours exempts de passages inauthentiques…
De quoi alimenter chez certains le goût pour la théorie du complot, dont les flammes ont rejailli en 2006 avec la publication de l'Évangile de Judas, attribué à l'homme qui a trahi Jésus. Mais les apôtres n'auraient-ils pas dénaturé le message du Christ en faisant un mauvais procès à leur camarade ? Celui-ci, en trahissant ne répondait-il pas au vœu du Christ lui-même ? N'a-t-il pas accepté le sceau de l'infamie pour mieux servir son Dieu ? Vingt-cinq feuilles de papyrus pour changer le sens de l'histoire ? L'éditeur en rêvait, mais la réalité joue comme souvent petit bras. Trouvé dans les années soixante-dix dans une grotte du désert de haute Égypte, passé ensuite de main en main, ce texte en langue copte daté du IIIe ou du début du IVe siècle serait la traduction d'un ouvrage grec aujourd'hui perdu, composé entre 130 et 180 après J.-C. Irénée, premier évêque de Lyon, le dénonce déjà comme une « malfaisance de la secte hérétique des Caïnites » (les héritiers de Caïn) : « Ils déclarent que Judas le traître était bien avisé de ces choses et que lui seul, connaissant la vérité comme aucun autre, a accompli le mystère de la trahison. Ils ont produit une histoire fictive de ce genre, qu'ils ont appelée l'Évangile de Judas. » Les apocryphes, ou l'arme de guerrhttp://www.lepoint.fr/culture/noel-les-apocryphes-ou-l-art-de-raconter-des-histoires-22-12-2015-2004478_3.php#r_e des hérétiques…
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
Noël = Nativité = Naissance de Jésus ???
Il est accepté par tout le monde que le 25 décembre ne soit pas la date de la naissance de Jésus de Nazareth. C'était une fête païenne au départ, qui commémorait le passage au solstice d'hiver. Pourtant, ceux qui se disent "chrétiens" continue de fêter Noël comme s'il s'agissait réellement de la date de naissance de Jésus.
C'est à partir du IVe siècle, que "l'évêque Libère", sous son pontificat a décidé de réunir les chrétiens à cette même période afin concurrencer les fêtes païennes.
Les disciples de Nimrod.
Nimrod a été l'incarnation de la désobéissance. (Genèse 11).
Il fut le premier réel dictateur de l'histoire. Il fonda : babylone. Babylone, tire son nom de la Tour de Babel.
Nimrod est le premier leader à se qualifier de divin.
Légende : Une partie de l'histoire de Nimrod et sa suite, est relatée dans la Bible, toutefois les détails n'y figurent pas et les autres parties se trouvent dans des encyclopédies historiques
Il se disait être le dieu Soleil, encourageant les orgies et tout ce qui ne plaisait pas à Dieu. Nimrod est allé jusqu'à épouser sa propre mère Sémiramis.
Sémiramis se dit alors que si son mari et fils était un dieu, elle serait aussi une déesse. Puisqu'elle était mère et épouse du soleil (Nimrod) elle aurait pour référence la lune.
Nimrod fut tué par le frère de son père Sem. Sa chair fut découpée et dispersée.
Sémiramis trouva une excuse à raconter par rapport à cette mort, car bien évidemment le peuple ne croirait pas qu'un dieu puisse mourir, ce qui voudrait dire qu'il n'était pas le dieu soleil et qu'elle n'avait rien d'une déesse. Elle expliqua donc que Nimrod n'était pas mort, mais qu'il était simplement allé reprendre sa place au soleil désignant ainsi l'astre.
Plus tard, Sémiramis apparue enceinte. Et pour que l'on ne découvre pas ses activités sexuelles il fallait trouver une explication.
Une déesse enceinte ??? Comment serait-ce possible si son mari, le dieu soleil était monté au ciel ???
Elle raconta avoir conçu cet enfant du propre dieu soleil. La réalité était simplement que Sémiramis était infidèle à son mari et fils Nimrod. C'était la mère qui avec son fils/mari avait fondé la Babylone.
La Bible désigne la Babylone comme étant la «mère des prostitués».
Cette femme annonça que son fils était Nimrod réincarné. Il fut appelé Thammuz.
Thammuz apparaît dans la Bible dans Ézéchiel.
Ézéchiel 8:14-16
14Et il me conduisit à l'entrée de la porte de la maison de l'Éternel, du côté du septentrion. Et voici, il y avait là des femmes assises, qui pleuraient Thammuz.
15Et il me dit: Vois-tu, fils de l'homme? Tu verras encore d'autres abominations plus grandes que celles-là.
16Et il me conduisit dans le parvis intérieur de la maison de l'Éternel. Et voici, à l'entrée du temple de l'Éternel, entre le portique et l'autel, il y avait environ vingt-cinq hommes, tournant le dos au temple de l'Éternel et le visage vers l'orient; et ils se prosternaient à l'orient devant le soleil.
Les personnes adoraient donc Tammuz l'enfant-dieu, tournant ainsi le dos à Dieu et dans son propre Temple.
Tammuz est né : un 25 décembre (le 25e jour du 12e mois). Nimrod, Tammuz et Sémiramis portent des appellations différentes selon les régions du monde.
Les autres noms de Nimrod :
Sa mère informant sont entourage de ce que son nouveau-né Thammuz était Nimrod, elle donna naissance à la théorie de la réincarnation.
Un jour, alors que le jeune Thammuz était en pleine chasse. D'une façon ou d'une autre, un animal ou quelqu'un tua cet enfant dans la forêt. Son corps resta sur un tronc d'arbre, en putréfaction.
Sémiramis pour ne pas avouer au peuple que son fils était décédé, tel un simple mortel, raconta que son fils était tout simplement retourné au ciel à sa place de dieu soleil encore une fois.
Dans le tronc où avait séjourné le corps de Tammuz, elle raconta qu'un arbre y avait poussé et qu'il venait y déposer des présents chaque 25 décembre.
Cet arbre est devenu le symbole de la renaissance de cet enfant. Plus tard, cette pratique a été remise au goût du jour par coca-cola ainsi que son père noël, remettant sur scène, cette croyance païenne sur la base de Saint-Nicolas.
Bien qu'il soit dit que ce soit Vatican qui « au hasard » aurait choisi la date du 25 décembre, à l'époque de Sémiramis, on fêtait déjà le 25 décembre l'anniversaire de son fils Thammuz, en se remémorant sa mort avec un arbre orné, dans les maisons païennes. Des milliers d'années avant que Jésus ne naisse.
Dans la Bible on parle de cette pratique qui consiste à couper le bois pour le décorer, chose qui ne plaisait pas à Dieu qui considère que c'est de l'idolâtrie.
Jérémie 10:3-4
3 Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache;
4 On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas.
5 Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; On les porte, parce qu'ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, Et ils sont incapables de faire du bien.
Plus tard Sémiramis inventa le principe de la confession.
Les personnes devaient se confesser à elle et à ses prêtresses pour que les péchés leurs soient pardonnés. La balance de la justice surgit.
Ce que les gens faisaient en bien étaient mis d'un côté de la balance, de l'autre côté de la balance, ce que les gens faisaient de mauvais. Ainsi on voyait de quel côté la balance penchait. Depuis ce jour, le symbole de la justice est Sémiramis.
Des croyances et organisations de Sémiramis, découlent toutes les pratiques religieuses encore aujourd'hui dans leurs formes et représentations.
Souvenez-vous de Nimrod et de la Tour de Babel, les descendants de Nimrod essayent de refaire ce que leur patriarche avait commencé et échoué. Nimrod a été interrompu par Dieu, car il travaillait déjà dans ce projet de gouvernement mondial : une seule voix, une seule langue, un seul gouvernement, ... "Les descendants de Nimrod et ses suiveurs", sont partis à la conquête du monde, et pour conquérir tous les territoires afin de reconstruire la Tour virtuelle de Babel.
Lorsque l'empire perse a émergé, il a adopté les mêmes dieux : Nimrod, Tammuz, Sémiramis, ces mêmes « divinités" ont commencé à faire partie de la culture perse en portant toutefois d'autres noms, et lorsque cet empire chuta et qu'un autre le domina, ces mêmes divinités demeuraient intactes, seuls leurs noms changeaient.
Lorsque Jésus est né suivant la prophétie biblique, quelle a été l'attitude des "responsables religieux" ???
...adopter le culte de Sémiramis en adorant la mère de Jésus, appelée "mère de dieu" !!!. Le même nom donné à Sémiramis des milliers d'années avant? c'est une imitation pure et simple du culte rendu à Isis et à Horus (anciennement Nimrod et Sémiramis).
Le Vrai et Unique Dieu, n'a pas de mère, c'est un grand blasphème que de dire ou penser une telle chose, c'est une abomination babylonienne, Dieu a un fils, mais ce Fils Unique n'est pas Dieu.
Notez à quel point la grande Babylone a gagné et influencé le monde. Pratiquer Noël comme étant la naissance de Jésus est une abomination aux yeux du Vrai Dieu et même aux yeux du Christ-Jésus qui est à la droite de son Dieu et Père !.
Il ne faut pas croire que c'est l'intention qui compte, car une fois qu'on le sait, Dieu ne veut pas que celui qui le cherche se mêle à des pratiques qui l'insulte, lui et son fils..
La Bible avertie : sortez d'elle "de Babylone"
Apocalypse 17
1 Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m'adressa la parole, en disant: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux.
2 C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés.
3 Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes.
4 Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate*, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution.
5 Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.
6 Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement.
7 Et l'ange me dit: Pourquoi t'étonnes-tu? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes.
8 La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. -
9 C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. -Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise.
10 Ce sont aussi sept rois: cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps.
11 Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition.
12 Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête.
13 Ils ont un même dessein**, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête.
14 Ils combattront contre l'agneau, et l'agneau les vaincra, parce qu'il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi.
15 Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues.
16 Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu.
17 Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter son dessein et d'exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies.
18 Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.
Il est accepté par tout le monde que le 25 décembre ne soit pas la date de la naissance de Jésus de Nazareth. C'était une fête païenne au départ, qui commémorait le passage au solstice d'hiver. Pourtant, ceux qui se disent "chrétiens" continue de fêter Noël comme s'il s'agissait réellement de la date de naissance de Jésus.
C'est à partir du IVe siècle, que "l'évêque Libère", sous son pontificat a décidé de réunir les chrétiens à cette même période afin concurrencer les fêtes païennes.
Les disciples de Nimrod.
Nimrod a été l'incarnation de la désobéissance. (Genèse 11).
Il fut le premier réel dictateur de l'histoire. Il fonda : babylone. Babylone, tire son nom de la Tour de Babel.
Nimrod est le premier leader à se qualifier de divin.
Légende : Une partie de l'histoire de Nimrod et sa suite, est relatée dans la Bible, toutefois les détails n'y figurent pas et les autres parties se trouvent dans des encyclopédies historiques
Il se disait être le dieu Soleil, encourageant les orgies et tout ce qui ne plaisait pas à Dieu. Nimrod est allé jusqu'à épouser sa propre mère Sémiramis.
Sémiramis se dit alors que si son mari et fils était un dieu, elle serait aussi une déesse. Puisqu'elle était mère et épouse du soleil (Nimrod) elle aurait pour référence la lune.
Nimrod fut tué par le frère de son père Sem. Sa chair fut découpée et dispersée.
Sémiramis trouva une excuse à raconter par rapport à cette mort, car bien évidemment le peuple ne croirait pas qu'un dieu puisse mourir, ce qui voudrait dire qu'il n'était pas le dieu soleil et qu'elle n'avait rien d'une déesse. Elle expliqua donc que Nimrod n'était pas mort, mais qu'il était simplement allé reprendre sa place au soleil désignant ainsi l'astre.
Plus tard, Sémiramis apparue enceinte. Et pour que l'on ne découvre pas ses activités sexuelles il fallait trouver une explication.
Une déesse enceinte ??? Comment serait-ce possible si son mari, le dieu soleil était monté au ciel ???
Elle raconta avoir conçu cet enfant du propre dieu soleil. La réalité était simplement que Sémiramis était infidèle à son mari et fils Nimrod. C'était la mère qui avec son fils/mari avait fondé la Babylone.
La Bible désigne la Babylone comme étant la «mère des prostitués».
Cette femme annonça que son fils était Nimrod réincarné. Il fut appelé Thammuz.
Thammuz apparaît dans la Bible dans Ézéchiel.
Ézéchiel 8:14-16
14Et il me conduisit à l'entrée de la porte de la maison de l'Éternel, du côté du septentrion. Et voici, il y avait là des femmes assises, qui pleuraient Thammuz.
15Et il me dit: Vois-tu, fils de l'homme? Tu verras encore d'autres abominations plus grandes que celles-là.
16Et il me conduisit dans le parvis intérieur de la maison de l'Éternel. Et voici, à l'entrée du temple de l'Éternel, entre le portique et l'autel, il y avait environ vingt-cinq hommes, tournant le dos au temple de l'Éternel et le visage vers l'orient; et ils se prosternaient à l'orient devant le soleil.
Les personnes adoraient donc Tammuz l'enfant-dieu, tournant ainsi le dos à Dieu et dans son propre Temple.
Tammuz est né : un 25 décembre (le 25e jour du 12e mois). Nimrod, Tammuz et Sémiramis portent des appellations différentes selon les régions du monde.
Les autres noms de Nimrod :
Sa mère informant sont entourage de ce que son nouveau-né Thammuz était Nimrod, elle donna naissance à la théorie de la réincarnation.
Un jour, alors que le jeune Thammuz était en pleine chasse. D'une façon ou d'une autre, un animal ou quelqu'un tua cet enfant dans la forêt. Son corps resta sur un tronc d'arbre, en putréfaction.
Sémiramis pour ne pas avouer au peuple que son fils était décédé, tel un simple mortel, raconta que son fils était tout simplement retourné au ciel à sa place de dieu soleil encore une fois.
Dans le tronc où avait séjourné le corps de Tammuz, elle raconta qu'un arbre y avait poussé et qu'il venait y déposer des présents chaque 25 décembre.
Cet arbre est devenu le symbole de la renaissance de cet enfant. Plus tard, cette pratique a été remise au goût du jour par coca-cola ainsi que son père noël, remettant sur scène, cette croyance païenne sur la base de Saint-Nicolas.
Bien qu'il soit dit que ce soit Vatican qui « au hasard » aurait choisi la date du 25 décembre, à l'époque de Sémiramis, on fêtait déjà le 25 décembre l'anniversaire de son fils Thammuz, en se remémorant sa mort avec un arbre orné, dans les maisons païennes. Des milliers d'années avant que Jésus ne naisse.
Dans la Bible on parle de cette pratique qui consiste à couper le bois pour le décorer, chose qui ne plaisait pas à Dieu qui considère que c'est de l'idolâtrie.
Jérémie 10:3-4
3 Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l'ouvrier le travaille avec la hache;
4 On l'embellit avec de l'argent et de l'or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu'il ne branle pas.
5 Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; On les porte, parce qu'ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, Et ils sont incapables de faire du bien.
Plus tard Sémiramis inventa le principe de la confession.
Les personnes devaient se confesser à elle et à ses prêtresses pour que les péchés leurs soient pardonnés. La balance de la justice surgit.
Ce que les gens faisaient en bien étaient mis d'un côté de la balance, de l'autre côté de la balance, ce que les gens faisaient de mauvais. Ainsi on voyait de quel côté la balance penchait. Depuis ce jour, le symbole de la justice est Sémiramis.
Des croyances et organisations de Sémiramis, découlent toutes les pratiques religieuses encore aujourd'hui dans leurs formes et représentations.
Souvenez-vous de Nimrod et de la Tour de Babel, les descendants de Nimrod essayent de refaire ce que leur patriarche avait commencé et échoué. Nimrod a été interrompu par Dieu, car il travaillait déjà dans ce projet de gouvernement mondial : une seule voix, une seule langue, un seul gouvernement, ... "Les descendants de Nimrod et ses suiveurs", sont partis à la conquête du monde, et pour conquérir tous les territoires afin de reconstruire la Tour virtuelle de Babel.
Lorsque l'empire perse a émergé, il a adopté les mêmes dieux : Nimrod, Tammuz, Sémiramis, ces mêmes « divinités" ont commencé à faire partie de la culture perse en portant toutefois d'autres noms, et lorsque cet empire chuta et qu'un autre le domina, ces mêmes divinités demeuraient intactes, seuls leurs noms changeaient.
Lorsque Jésus est né suivant la prophétie biblique, quelle a été l'attitude des "responsables religieux" ???
...adopter le culte de Sémiramis en adorant la mère de Jésus, appelée "mère de dieu" !!!. Le même nom donné à Sémiramis des milliers d'années avant? c'est une imitation pure et simple du culte rendu à Isis et à Horus (anciennement Nimrod et Sémiramis).
Le Vrai et Unique Dieu, n'a pas de mère, c'est un grand blasphème que de dire ou penser une telle chose, c'est une abomination babylonienne, Dieu a un fils, mais ce Fils Unique n'est pas Dieu.
Notez à quel point la grande Babylone a gagné et influencé le monde. Pratiquer Noël comme étant la naissance de Jésus est une abomination aux yeux du Vrai Dieu et même aux yeux du Christ-Jésus qui est à la droite de son Dieu et Père !.
Il ne faut pas croire que c'est l'intention qui compte, car une fois qu'on le sait, Dieu ne veut pas que celui qui le cherche se mêle à des pratiques qui l'insulte, lui et son fils..
La Bible avertie : sortez d'elle "de Babylone"
Apocalypse 17
1 Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m'adressa la parole, en disant: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux.
2 C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à l'impudicité, et c'est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés.
3 Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes.
4 Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate*, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution.
5 Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.
6 Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d'un grand étonnement.
7 Et l'ange me dit: Pourquoi t'étonnes-tu? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes.
8 La bête que tu as vue était, et elle n'est plus. Elle doit monter de l'abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s'étonneront en voyant la bête, parce qu'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'elle reparaîtra. -
9 C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. -Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise.
10 Ce sont aussi sept rois: cinq sont tombés, un existe, l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps.
11 Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition.
12 Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n'ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois pendant une heure avec la bête.
13 Ils ont un même dessein**, et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête.
14 Ils combattront contre l'agneau, et l'agneau les vaincra, parce qu'il est le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincront aussi.
15 Et il me dit : Les eaux que tu as vues, sur lesquelles la prostituée est assise, ce sont des peuples, des foules, des nations, et des langues.
16 Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu.
17 Car Dieu a mis dans leurs cœurs d'exécuter son dessein et d'exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu'à ce que les paroles de Dieu soient accomplies.
18 Et la femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre.
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
"Noël, fête chrétienne "
Noël est une fête chrétienne dont les symboles expriment le grand mystère de l'Incarnation et de la naissance de Jésus = PAS BIBLIQUE
C'est ce qu'a dit le pape, en recevant la délégation ukrainienne qui a offert l'arbre de Noël installé place St Pierre, à côté de la crèche.
Nous devons retrouver la signification chrétienne de Noël, le sens de la prière et la religiosité intime que l'Incarnation apporte dans la vie de chacun = PAS BIBLIQUE
Le sapin avec ses branches toujours vertes rappelle la vie qui continue = PAS BIBLIQUE
Le sapin est aussi un signe de la religiosité populaire de l'Ukraine et des racines chrétiennes de votre culture, a noté le pape.
Honteux !.
Le sapin avec ses branches toujours vertes rappelle la vie qui continue ??? Oui, mais celle de Nimrod
Origine du sapin de Noël
Chez les grecs TAMMUZ (Dumuzi / Adonis) est appelé BACCHUS. Certains l'identifient à ADONIS. A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. C'est l'origine " SAPIN DE NOËL ", il représente NIMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DÉCEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ ARBRE DE NOËL est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux États-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PÈRE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
Lien :
Noël - Une fête païenne par excellence
.
Noël est une fête chrétienne dont les symboles expriment le grand mystère de l'Incarnation et de la naissance de Jésus = PAS BIBLIQUE
C'est ce qu'a dit le pape, en recevant la délégation ukrainienne qui a offert l'arbre de Noël installé place St Pierre, à côté de la crèche.
Nous devons retrouver la signification chrétienne de Noël, le sens de la prière et la religiosité intime que l'Incarnation apporte dans la vie de chacun = PAS BIBLIQUE
Le sapin avec ses branches toujours vertes rappelle la vie qui continue = PAS BIBLIQUE
Le sapin est aussi un signe de la religiosité populaire de l'Ukraine et des racines chrétiennes de votre culture, a noté le pape.
Honteux !.
Le sapin avec ses branches toujours vertes rappelle la vie qui continue ??? Oui, mais celle de Nimrod
Origine du sapin de Noël
Chez les grecs TAMMUZ (Dumuzi / Adonis) est appelé BACCHUS. Certains l'identifient à ADONIS. A chaque anniversaire de sa naissance, SEMIRAMIS prétendait que NEMROD venait rendre visite au conifère et y déposait des cadeaux. C'est l'origine " SAPIN DE NOËL ", il représente NIMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Voici donc la véritable origine du " SAPIN DE NOËL ", il représente NEMROD revenu à la vie après sa mort (réincarnation avancée par Sémiramis).
Aussi, le 25 DÉCEMBRE, jour qu’on observait à Rome comme le jour où le dieu victorieux était réapparu sur la terre était-il considéré comme « NATALIS INVICTI SOLIS ». Or la BÛCHE est le tronc mort de NEMROD, déifié comme DIEU SOLEIL, mais renversé par ses ennemis ; l’ ARBRE DE NOËL est donc " NEMROD REDEVIVUS ", le dieu mis à mort rendu de nouveau à la vie, celui qui revient du royaume des morts.
On plaçait donc dans les maisons à proximité du puits ou du feu, une BÛCHE de bois, et NEMROD, par le pouvoir de la magie, y faisait surgir un arbre vert, chargé de cadeaux pour le peuple. La BÛCHE morte symbolisait la disparition de la bonté et de la piété sur la terre ; la poussée de l’ ARBRE VERT, la naissance d’un sauveur, qui allait infuser une nouvelle vie à l’humanité.
Les cadeaux sur l’arbre indiquaient que NEMROD était un don du Dieu SOLEIL pour sauver les pécheurs. C’est ainsi que naquit l’origine des cadeaux et du sapin de Noël. L' ARBRE moderne du solstice fait son apparition dans sa version contemporaine vers le XVème siècle, en Alsace. Il se diffusera ensuite à une bonne partie de l’Europe et aux États-Unis.
Cette place prépondérante au plus fort même des fêtes solsticiales, tant païennes que chrétiennes, remonte sans doute ici encore à l’Yggdrasil des Germains, l’arbre du monde, de la vie, auprès duquel les Nornes (équivalentes des Parques) tissent la trame des existences humaines. La désacralisation pourtant sera sensible dès le XVIII è S., la fête de la nativité tend alors à se transformer en une fête de l’enfance ; bientôt le sapin supplantera la crèche et la cheminée de la veillée laissera passer le PÈRE NOËL, distributeur de cadeaux.
Quant aux bougies qu’on y allumait, elles étaient sensées encourager le DIEU SOLEIL déclinant lorsqu’il atteint le point le plus bas à l’horizon du ciel méridional à reprendre sa couse ascendante. On y accrochait parfois des pommes, symbole de l'immortalité, de nos jours ce sont des boules. Au cours du Moyen Âge, la longue veillée précédant la messe de minuit autour de la BÛCHE bénéfique amènera la multiplicité des cantiques, des noëls.
Lien :
Noël - Une fête païenne par excellence
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Noël - quelles sont ses origines ???
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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