Astronomie
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Astronomie
Le télescope Hubble vient de prendre l’une des plus belles photos de sa carrière
Au cours de sa carrière, le télescope spatial Hubble a pris des milliers, voire des millions de clichés. Mais tous ne sont pas aussi réussis que la magnifique photo de NGC 2275 que vient de mettre en avant la NASA.
Crédits : NASA/ESA
Mis en orbite en 1990, le télescope spatial Hubble est capable de prendre des photos avec une résolution angulaire inférieure à 0,1 seconde d’arc grâce à son miroir de 2,4 mètres de diamètre. Cela lui permet donc de prendre des photos détaillées d’astres pourtant très éloignés.
En 2021, le futur télescope spatial encore en phase de développement James-Webb remplacera Hubble pour les observations dans l’infrarouge. Le satellite trentenaire garde toutefois de belles années devant lui, puisque son désorbitage n’est pas prévu avant une bonne décennie. Toutefois, son histoire aurait pu être bien différente puisque très peu de temps après son lancement a été découvert un défaut majeur de conception de son miroir ne lui permet de prendre que des photos floues.
Heureusement 3 ans plus tard était lancée la mission de sauvetage STS-61 qui avait alors permis aux astronautes de réparer Hubble à bord de la navette spatiale Endeavour. C’est le succès de cette mission et des 4 qui l’ont suivie qui permet aujourd’hui l’impressionnante photographie de la galaxie NGC 2775 malgré une distance de 67 millions d’années-lumière.
Des millions d’étoiles sont brillantes et bleues, indiquant une naissance récente. NGC 2775 n’ayant pas de bras spiraux inégaux comme notre Voie Lactée est donc un parfait spécimen de galaxie spirale cotonneuse ou floculente. L’Espace offre un spectacle incroyable pour qui aime regarder les étoiles. C’est pour eux que nous en publions régulièrement les plus belles photos.
Source : BGR
Thèmes : Espace
Au cours de sa carrière, le télescope spatial Hubble a pris des milliers, voire des millions de clichés. Mais tous ne sont pas aussi réussis que la magnifique photo de NGC 2275 que vient de mettre en avant la NASA.
Crédits : NASA/ESA
Mis en orbite en 1990, le télescope spatial Hubble est capable de prendre des photos avec une résolution angulaire inférieure à 0,1 seconde d’arc grâce à son miroir de 2,4 mètres de diamètre. Cela lui permet donc de prendre des photos détaillées d’astres pourtant très éloignés.
Un parfait exemple de galaxie spirale cotonneuse
En 2021, le futur télescope spatial encore en phase de développement James-Webb remplacera Hubble pour les observations dans l’infrarouge. Le satellite trentenaire garde toutefois de belles années devant lui, puisque son désorbitage n’est pas prévu avant une bonne décennie. Toutefois, son histoire aurait pu être bien différente puisque très peu de temps après son lancement a été découvert un défaut majeur de conception de son miroir ne lui permet de prendre que des photos floues.
Heureusement 3 ans plus tard était lancée la mission de sauvetage STS-61 qui avait alors permis aux astronautes de réparer Hubble à bord de la navette spatiale Endeavour. C’est le succès de cette mission et des 4 qui l’ont suivie qui permet aujourd’hui l’impressionnante photographie de la galaxie NGC 2775 malgré une distance de 67 millions d’années-lumière.
Des millions d’étoiles sont brillantes et bleues, indiquant une naissance récente. NGC 2775 n’ayant pas de bras spiraux inégaux comme notre Voie Lactée est donc un parfait spécimen de galaxie spirale cotonneuse ou floculente. L’Espace offre un spectacle incroyable pour qui aime regarder les étoiles. C’est pour eux que nous en publions régulièrement les plus belles photos.
Source : BGR
Thèmes : Espace
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Astronomie
Les astronomes découvrent le « Mur du Pôle Sud », une structure gigantesque s’étendant sur 1,4 milliard d’années-lumière
Les astronomes ont découvert l’une des plus grandes structures de l’univers connu, un « mur » de galaxies d’au moins 1,4 milliard d’années-lumière.
Une équipe internationale de scientifiques dirigée par Daniel Pomarède de l’Université Paris-Saclay en France et R. Brent Tully de l’Université américaine d’Hawaii a rapporté les résultats dans The Astrophysics Journal le 10 juillet. La structure cosmique récemment découverte est semblable à un rideau qui s’étend le long de la frontière sud de l’univers.
Crédit : Jeremy Thomas / Unsplash
L’univers contient un grand nombre de ces énormes ceintures qui relient les objets dans l’espace à une matrice fondamentale connue sous le nom de toile cosmique. Les galaxies ont tendance à se regrouper au carrefour de ces longs filaments, qui sont constitués d’hydrogène gazeux et d’une mystérieuse substance non lumineuse appelée matière noire.
Une technologie au plasma pourrait changer les voyages dans l’espace
Bien que de multiples structures cosmiques aient été découvertes auparavant, notamment la Grande Muraille, la Grande Muraille de Sloan, la Grande Muraille d’Hercule-Corona Borealis et le Bootes Void, le Mur du Pôle Sud est spécial parce qu’il n’est pas loin de nous : à seulement un demi-milliard d’années-lumière.
En fait, il est situé juste derrière la Voie lactée dans la Zone d’Obscurcissement Galactique, une zone dans la partie sud du ciel où la lumière brillante de la Voie lactée bloque la vue des autres masses.
NASA : un astronaute perd son miroir dans l’Espace
Le Mur du Pôle Sud n’est pas si grand, mais c’est la plus grande structure jamais vue dans un rayon d’environ 650 millions d’années-lumière autour de la Terre, selon M. Pomarède. La forme tordue de la structure a permis à l’équipe de détecter l’étendue du mur.
Comment a-t-il été découvert ?
Les études cosmologiques sont souvent effectuées en mesurant le redshift des objets. C’est la vitesse à laquelle ces objets semblent s’éloigner de la Terre grâce à l’expansion de l’univers.
Des astronomes découvrent une « galaxie monstre »
L’équipe à l’origine de la découverte a également ajouté des mesures de la vitesse de certaines galaxies, ce qui illustre la manière dont elles interagissent gravitationnellement les unes avec les autres. Cette technique peut alerter les astronomes sur des masses invisibles. Alors qu’elle est normalement utilisée pour étudier la matière noire, elle peut aussi simplement mettre en évidence des masses obscurcies par une lumière vive. Grâce à ces données, les chercheurs ont pu cartographier pour la première fois le Mur du Pôle Sud.
Source : iopscience
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Re: Astronomie
Une supernova thermonucléaire éjecte une étoile naine blanche dans la Voie lactée
Une étoile a été envoyée à travers la galaxie après avoir subi une supernova partielle, avancent les astronomes. Une supernova est une puissante implosion qui se produit lorsque certaines étoiles atteignent la fin de leur vie. Dans son cas, l’implosion n’a pas été suffisante pour la détruire.
L’étoile à moitié explosée traverse la Voie lactée à 900 000 kilomètres à l’heure, selon une nouvelle étude de chercheurs internationaux.
Crédit : Mark Garlick / University of Warwick
L’étoile en question est une naine blanche appelée SDSS J1240+6710, qui a été découverte en 2015. À l’époque, les astronomes ont constaté que l’objet avait une composition inhabituelle. Alors que les naines blanches ont généralement des atmosphères composées principalement d’hydrogène et d’hélium, celle-ci n’avait ni l’un ni l’autre. Elle était plutôt composée d’une étrange combinaison d’oxygène, de néon, de magnésium et de silicium.
Une étoile massive disparait sans laisser de trace, les astronomes s’interrogent
En utilisant le spectrographe d’origine cosmique à bord du télescope spatial Hubble de la NASA/ESA, le professeur Gaensicke et ses collègues ont identifié des traces de carbone, de sodium et d’aluminium dans l’atmosphère de SDSS J1240+6710. Tous sont produits dans les premières réactions thermonucléaires d’une supernova. Elle a également une masse particulièrement faible pour une naine blanche, seulement 40% de la masse de notre Soleil. Ce ne serait cohérent avec la perte de masse d’une supernova partielle.
Les astronomes de l’université de Warwick ont révélé que l’étoile faisait probablement partie d’une étoile binaire. L’explosion les aurait envoyées elle et sa partenaire dans différentes directions à travers la galaxie.
NASA : un astronaute perd son miroir dans l’Espace
Qu’est ce qu’une supernova ?
Les supernovas sont les implosions d’étoiles les plus puissantes de l’univers, assez brillantes pour éclipser momentanément des galaxies entières. Elles peuvent se produire lorsqu’une naine blanche meurt après avoir siphonné une trop grande masse d’une étoile voisine. Tout le poids supplémentaire de la masse volée comprime le noyau de la naine blanche, ce qui fait que la température et la densité du noyau sont suffisamment élevées pour déclencher une réaction thermonucléaire en chaîne qui fait disparaître la naine blanche de manière implosive.
Une technologie au plasma pourrait changer les voyages dans l’espace
Cette supernova partielle n’aurait duré que quelques heures, par rapport à une supernova normale qui brille pendant des jours ou des semaines. Par conséquent, il serait « extrêmement difficile » d’essayer de détecter ces courtes implosions, déclare l’équipe dans son étude,
Source : Oxford Academic
Une étoile a été envoyée à travers la galaxie après avoir subi une supernova partielle, avancent les astronomes. Une supernova est une puissante implosion qui se produit lorsque certaines étoiles atteignent la fin de leur vie. Dans son cas, l’implosion n’a pas été suffisante pour la détruire.
L’étoile à moitié explosée traverse la Voie lactée à 900 000 kilomètres à l’heure, selon une nouvelle étude de chercheurs internationaux.
Crédit : Mark Garlick / University of Warwick
L’étoile en question est une naine blanche appelée SDSS J1240+6710, qui a été découverte en 2015. À l’époque, les astronomes ont constaté que l’objet avait une composition inhabituelle. Alors que les naines blanches ont généralement des atmosphères composées principalement d’hydrogène et d’hélium, celle-ci n’avait ni l’un ni l’autre. Elle était plutôt composée d’une étrange combinaison d’oxygène, de néon, de magnésium et de silicium.
Une étoile massive disparait sans laisser de trace, les astronomes s’interrogent
En utilisant le spectrographe d’origine cosmique à bord du télescope spatial Hubble de la NASA/ESA, le professeur Gaensicke et ses collègues ont identifié des traces de carbone, de sodium et d’aluminium dans l’atmosphère de SDSS J1240+6710. Tous sont produits dans les premières réactions thermonucléaires d’une supernova. Elle a également une masse particulièrement faible pour une naine blanche, seulement 40% de la masse de notre Soleil. Ce ne serait cohérent avec la perte de masse d’une supernova partielle.
Les astronomes de l’université de Warwick ont révélé que l’étoile faisait probablement partie d’une étoile binaire. L’explosion les aurait envoyées elle et sa partenaire dans différentes directions à travers la galaxie.
NASA : un astronaute perd son miroir dans l’Espace
Qu’est ce qu’une supernova ?
Les supernovas sont les implosions d’étoiles les plus puissantes de l’univers, assez brillantes pour éclipser momentanément des galaxies entières. Elles peuvent se produire lorsqu’une naine blanche meurt après avoir siphonné une trop grande masse d’une étoile voisine. Tout le poids supplémentaire de la masse volée comprime le noyau de la naine blanche, ce qui fait que la température et la densité du noyau sont suffisamment élevées pour déclencher une réaction thermonucléaire en chaîne qui fait disparaître la naine blanche de manière implosive.
Une technologie au plasma pourrait changer les voyages dans l’espace
Cette supernova partielle n’aurait duré que quelques heures, par rapport à une supernova normale qui brille pendant des jours ou des semaines. Par conséquent, il serait « extrêmement difficile » d’essayer de détecter ces courtes implosions, déclare l’équipe dans son étude,
Source : Oxford Academic
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Re: Astronomie
Le Soleil se dévoile au travers d’images les plus proches jamais prises
Les nouvelles images du Soleil prises pour la première fois par la sonde Solar Orbiter sont magnifiques. Elle bat un nouveau record puisque ce sont les premiers clichés les plus proches jamais capturés de l’étoile qui nous font découvrir un nouveau phénomène.
La première image du Soleil capturée par Solar Orbiter – Crédit : Solar Orbiter/EUI Team (ESA & NASA); CSL, IAS, MPS, PMOD/WRC, ROB, UCL/MSSL
Le Soleil est l’étoile la plus importante de notre Système solaire, et pourtant, elle nous réserve encore bien des surprises. Le 10 février dernier, la NASA (agence spatiale américaine) et l’ESA (agence spatiale européenne) ont lancé la sonde Solar Orbiter en direction du Soleil. Sa mission est d’observer l’étoile et ses tempêtes solaires tout en travaillant de pair avec la sonde Parker Solar Probe. En orbite depuis 2018, celle-ci a déjà établi deux records. Néanmoins, Solar Orbiter n’est toujours pas arrivée à destination. Elle n’atteindra l’orbite du Soleil que dans deux ans selon les estimations. Cela ne l’a pas empêché de s’être déjà mise au travail, comme le prouvent ces images.
Les premières images de Solar Orbiter dévoilent un nouveau phénomène auparavant inconnu
En juin, la sonde Solar Orbiter était à environ 77 millions de kilomètres de l’orbite du Soleil. Elle se situait donc approximativement à mi-chemin entre l’étoile et la Terre. En effet, un peu plus de 149 millions de kilomètres nous séparent de la gigantesque boule de feu. La sonde a un potentiel énorme grâce aux 10 instruments scientifiques présents à son bord.
D’après Daniel Müller, un scientifique du projet Solar Orbiter de l’ESA, « ce ne sont que les premières images, mais nous pouvons déjà voir de nouveaux phénomènes intéressants. Nous ne nous attendions pas à de si bons résultats dès le départ ». En effet, non seulement ce sont les premières images prises par Solar Orbiter, mais ce sont également les plus proches que nous ayons capturées jusqu’à présent. Elles ne peuvent cependant pas être comparées avec la photo inédite de la surface du Soleil photographiée par le plus grand télescope au monde il y a quelques mois. Cette dernière est certes de meilleure résolution, mais elle est limitée aux longueurs d’ondes qui traversent l’atmosphère terrestre tandis que Solar Orbiter perçoit des longueurs d’onde qui ne sont pas visibles pour nous.
Les « feux de camps » du Soleil – Crédits : Solar Orbiter/EUI Team (ESA & NASA); CSL, IAS, MPS, PMOD/WRC, ROB, UCL/MSSL
Le nouveau phénomène observé par Solar Orbiter est décrit par les scientifiques comme des « feux de camp ». Ce sont en fait des éruptions solaires qui s’étendent sur environ 400 kilomètres. David Berghmans de l’observatoire royal de Belgique explique que « les feux de camp sont des versions miniatures des éruptions solaires que nous pouvons observer depuis la Terre, des millions ou milliards de fois plus petits ». Étant donné à quel point Solar Orbiter se rend déjà utile à mi-chemin de son voyage seulement, il ne fait aucun doute qu’elle sera d’une grande aide pour les scientifiques une fois en orbite autour du Soleil.
Regardez 10 ans de vie du Soleil en 60 minutes époustouflantes
Source : Mashable
Thèmes : ESA, Espace, NASA
Les nouvelles images du Soleil prises pour la première fois par la sonde Solar Orbiter sont magnifiques. Elle bat un nouveau record puisque ce sont les premiers clichés les plus proches jamais capturés de l’étoile qui nous font découvrir un nouveau phénomène.
La première image du Soleil capturée par Solar Orbiter – Crédit : Solar Orbiter/EUI Team (ESA & NASA); CSL, IAS, MPS, PMOD/WRC, ROB, UCL/MSSL
Le Soleil est l’étoile la plus importante de notre Système solaire, et pourtant, elle nous réserve encore bien des surprises. Le 10 février dernier, la NASA (agence spatiale américaine) et l’ESA (agence spatiale européenne) ont lancé la sonde Solar Orbiter en direction du Soleil. Sa mission est d’observer l’étoile et ses tempêtes solaires tout en travaillant de pair avec la sonde Parker Solar Probe. En orbite depuis 2018, celle-ci a déjà établi deux records. Néanmoins, Solar Orbiter n’est toujours pas arrivée à destination. Elle n’atteindra l’orbite du Soleil que dans deux ans selon les estimations. Cela ne l’a pas empêché de s’être déjà mise au travail, comme le prouvent ces images.
Les premières images de Solar Orbiter dévoilent un nouveau phénomène auparavant inconnu
En juin, la sonde Solar Orbiter était à environ 77 millions de kilomètres de l’orbite du Soleil. Elle se situait donc approximativement à mi-chemin entre l’étoile et la Terre. En effet, un peu plus de 149 millions de kilomètres nous séparent de la gigantesque boule de feu. La sonde a un potentiel énorme grâce aux 10 instruments scientifiques présents à son bord.
D’après Daniel Müller, un scientifique du projet Solar Orbiter de l’ESA, « ce ne sont que les premières images, mais nous pouvons déjà voir de nouveaux phénomènes intéressants. Nous ne nous attendions pas à de si bons résultats dès le départ ». En effet, non seulement ce sont les premières images prises par Solar Orbiter, mais ce sont également les plus proches que nous ayons capturées jusqu’à présent. Elles ne peuvent cependant pas être comparées avec la photo inédite de la surface du Soleil photographiée par le plus grand télescope au monde il y a quelques mois. Cette dernière est certes de meilleure résolution, mais elle est limitée aux longueurs d’ondes qui traversent l’atmosphère terrestre tandis que Solar Orbiter perçoit des longueurs d’onde qui ne sont pas visibles pour nous.
Les « feux de camps » du Soleil – Crédits : Solar Orbiter/EUI Team (ESA & NASA); CSL, IAS, MPS, PMOD/WRC, ROB, UCL/MSSL
Le nouveau phénomène observé par Solar Orbiter est décrit par les scientifiques comme des « feux de camp ». Ce sont en fait des éruptions solaires qui s’étendent sur environ 400 kilomètres. David Berghmans de l’observatoire royal de Belgique explique que « les feux de camp sont des versions miniatures des éruptions solaires que nous pouvons observer depuis la Terre, des millions ou milliards de fois plus petits ». Étant donné à quel point Solar Orbiter se rend déjà utile à mi-chemin de son voyage seulement, il ne fait aucun doute qu’elle sera d’une grande aide pour les scientifiques une fois en orbite autour du Soleil.
Regardez 10 ans de vie du Soleil en 60 minutes époustouflantes
Source : Mashable
Thèmes : ESA, Espace, NASA
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CRÉATION DE L'UNIVERS - DE L'ATOME À LA GALAXIE ( documentaire 2020 )
Création De L'univers De L'atome À La Galaxie DOCUMENTAIRE ESPACE HD 2020
DocumentairePrime
Ce nouveau documentaire Arte traite du sujet de la création de l'Univers du big-bang et des premiers instant qui l'ont suivi jusqu’à aujourd’hui...
L'histoire de l'Univers décrit l'évolution de l'Univers en s'appuyant sur la théorie scientifique du Big Bang et les recherches en cosmologie et astronomie. En date de 2019, les meilleures mesures suggèrent que les événements initiaux remontent à entre 13,7 et 13,8 milliards d'années.
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DocumentairePrime
Ce nouveau documentaire Arte traite du sujet de la création de l'Univers du big-bang et des premiers instant qui l'ont suivi jusqu’à aujourd’hui...
L'histoire de l'Univers décrit l'évolution de l'Univers en s'appuyant sur la théorie scientifique du Big Bang et les recherches en cosmologie et astronomie. En date de 2019, les meilleures mesures suggèrent que les événements initiaux remontent à entre 13,7 et 13,8 milliards d'années.
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Re: Astronomie
Espace : une explosion a illuminé un trou noir intermédiaire, les scientifiques se réjouissent
Une explosion de rayons gamma qui s’est produite il y a 3 milliards d’années a permis de détecter un trou noir à proximité grâce au phénomène de lentille gravitationnelle.
Parmi les mystères de notre Univers, l’un des plus passionnant reste probablement les trous noirs. Situés au centre des galaxies et exerçant une attraction gravitationnelle incroyable, on ne sait pas encore réellement comment ils se forment. En 2019, la NASA avait dévoilé la première photo de ces objets cosmiques mystérieux. Aujourd’hui, l’analyse d’un phénomène vieux de 3 milliards d’années mais observé
récemment donne une chance aux scientifiques d’en apprendre plus sur leur origine et leur fonctionnement.
L’effet de lentille gravitationnelle autour des trous noirs. Crédit : Wikipédia
Les rayons gamma ont révélé le trou noir grâce à l’effet de lentille gravitationnelle
Cette explosion, qui s’est produite il y a environ 3 milliards d’années, a révélé l’existence d’un trou noir intermédiaire. Ce dernier a été détecté grâce à un phénomène appelé lentille gravitationnelle. Ce phénomène se produit lorsque la lumière entre en interaction avec un corps très massif, comme un trou noir. En bref, un trou noir créé un champ gravitationnel si puissant qu’il dévie les rayons lumineux qui passent à proximité, ce qui a pour effet de déformer les images perçues par l’observateur.
Ainsi, la lumière propulsée par l’explosion de rayons gamma, phénomène observable le plus puissant de l’Univers, a croisé la route de ce trou noir, le rendant détectable non pas directement, mais grâce à cet effet de lentille. Mais l’observation ne s’arrête pas là. Une fois détecté, il a fallu déterminer la masse du trou noir pour pouvoir le catégoriser. C’est ainsi que l’équipe a découvert que ce trou noir est bien trop peu massif pour être classé comme supermassif.
Un trou noir intermédiaire, preuve de leur large présence dans l’Univers
Dans ce cas précis, le trou noir détecté serait un IMBH, autrement dit un trou noir intermédiaire. Concrètement, cela signifie que la masse du trou noir se situerait entre un trou noir stellaire et un trou noir supermassif. Leur découverte est particulièrement ardue à cause de leur masse plus faible et de leur activité plus difficile à détecter. « Si un trou noir n’est pas une matière d’accrétion, il est assez difficile à détecter, car de par leur nom et leur nature, ils sont noirs. Seuls les effets de leur gravité peuvent trahir l’existence d’un trou noir au repos. » Précise James Paynter, co-auteur de l’étude et astrophysicien à l’université de Melbourne.
Cette découverte pourrait permettre de faire un bond en avant dans la connaissance du processus de formation des trous noirs. D’autre part, la scientifique Rachel Webster, co-auteure de cette étude, pense que cela donne un indice sur la présence de ce genre de trous noirs dans l’Univers. « Cela nous donne une idée à quel point ils sont répandus. S’ils étaient très, très rares, il serait très peu probable que nous voyions ne serait-ce qu’un seul cas de lentille gravitationnelle. Tout est question de statistiques et de probabilités. » a-t-elle déclaré.
Outre l’existence et la non-rareté de ces trous noirs intermédiaires, James Paynter pense que cette découverte pourrait aider à comprendre comment se forment les trous noirs supermassifs qui constituent le centre de toutes les galaxies, y compris la nôtre. « Il est important de découvrir ces objets pour combler le fossé d’observation entre les trous noirs stellaires et supermassifs. Actuellement, nous ne savons pas comment ces derniers développent des masses aussi énormes à l’âge de l’univers. Il n’y a tout simplement pas assez de matière, ni assez de temps pour le leur permettre. »
Source : space.com
Une explosion de rayons gamma qui s’est produite il y a 3 milliards d’années a permis de détecter un trou noir à proximité grâce au phénomène de lentille gravitationnelle.
Parmi les mystères de notre Univers, l’un des plus passionnant reste probablement les trous noirs. Situés au centre des galaxies et exerçant une attraction gravitationnelle incroyable, on ne sait pas encore réellement comment ils se forment. En 2019, la NASA avait dévoilé la première photo de ces objets cosmiques mystérieux. Aujourd’hui, l’analyse d’un phénomène vieux de 3 milliards d’années mais observé
récemment donne une chance aux scientifiques d’en apprendre plus sur leur origine et leur fonctionnement.
L’effet de lentille gravitationnelle autour des trous noirs. Crédit : Wikipédia
Les rayons gamma ont révélé le trou noir grâce à l’effet de lentille gravitationnelle
Cette explosion, qui s’est produite il y a environ 3 milliards d’années, a révélé l’existence d’un trou noir intermédiaire. Ce dernier a été détecté grâce à un phénomène appelé lentille gravitationnelle. Ce phénomène se produit lorsque la lumière entre en interaction avec un corps très massif, comme un trou noir. En bref, un trou noir créé un champ gravitationnel si puissant qu’il dévie les rayons lumineux qui passent à proximité, ce qui a pour effet de déformer les images perçues par l’observateur.
Ainsi, la lumière propulsée par l’explosion de rayons gamma, phénomène observable le plus puissant de l’Univers, a croisé la route de ce trou noir, le rendant détectable non pas directement, mais grâce à cet effet de lentille. Mais l’observation ne s’arrête pas là. Une fois détecté, il a fallu déterminer la masse du trou noir pour pouvoir le catégoriser. C’est ainsi que l’équipe a découvert que ce trou noir est bien trop peu massif pour être classé comme supermassif.
Un trou noir intermédiaire, preuve de leur large présence dans l’Univers
Dans ce cas précis, le trou noir détecté serait un IMBH, autrement dit un trou noir intermédiaire. Concrètement, cela signifie que la masse du trou noir se situerait entre un trou noir stellaire et un trou noir supermassif. Leur découverte est particulièrement ardue à cause de leur masse plus faible et de leur activité plus difficile à détecter. « Si un trou noir n’est pas une matière d’accrétion, il est assez difficile à détecter, car de par leur nom et leur nature, ils sont noirs. Seuls les effets de leur gravité peuvent trahir l’existence d’un trou noir au repos. » Précise James Paynter, co-auteur de l’étude et astrophysicien à l’université de Melbourne.
Cette découverte pourrait permettre de faire un bond en avant dans la connaissance du processus de formation des trous noirs. D’autre part, la scientifique Rachel Webster, co-auteure de cette étude, pense que cela donne un indice sur la présence de ce genre de trous noirs dans l’Univers. « Cela nous donne une idée à quel point ils sont répandus. S’ils étaient très, très rares, il serait très peu probable que nous voyions ne serait-ce qu’un seul cas de lentille gravitationnelle. Tout est question de statistiques et de probabilités. » a-t-elle déclaré.
Outre l’existence et la non-rareté de ces trous noirs intermédiaires, James Paynter pense que cette découverte pourrait aider à comprendre comment se forment les trous noirs supermassifs qui constituent le centre de toutes les galaxies, y compris la nôtre. « Il est important de découvrir ces objets pour combler le fossé d’observation entre les trous noirs stellaires et supermassifs. Actuellement, nous ne savons pas comment ces derniers développent des masses aussi énormes à l’âge de l’univers. Il n’y a tout simplement pas assez de matière, ni assez de temps pour le leur permettre. »
Source : space.com
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Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Astronomie
Première image du télescope James Webb : des galaxies formées peu après le Big Bang
Elle est enfin là : après des années d'attente, la première image du télescope spatial le plus puissant jamais conçu a été dévoilée lundi aux yeux du monde, un somptueux cliché montrant des galaxies formées il y a plus de 13 milliards d'années.
La première image de l'Univers dévoilée par le télescope James Webb, le lundi 11 juillet 2022. /Photo Nasa
https://www.ladepeche.fr/2022/07/12/voici-la-somptueuse-premiere-image-de-lunivers-prise-par-le-telescope-james-webb-10430741.php
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Astronomie
Les images de James Webb décryptées par une astrophysicienne
“C’est assez révolutionnaire parce que c’est la première fois qu’on a des images aussi détaillées”, s’extasie Lucie Leboulleux, chercheuse à l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG). Elle décrypte quelques-unes des images du télescope spatial James Webb dévoilées ce mardi 12 juillet.
Sur le premier cliché, révélé lundi, on voit une zone bien particulière de notre ciel, l’amas de galaxies “SMACS 0723” éloignées de 13 milliards d’années-lumière. D’une extrême netteté, cette première image était déjà époustouflante, mais les deux autres le sont tout autant et dévoilent bien des mystères.
Découvrez ainsi le Quintette de Stephan, la plus grande image du télescope Webb à ce jour. Elle montre un groupement compact de cinq galaxies très proches et en interaction les unes avec les autres.“On estime que l’univers jeune était plutôt composé de groupes compacts comme celui-ci”, explique Lucie Leboulleux. Cette découverte permet ainsi de mieux comprendre la formation des premières galaxies.
Mais la nébuleuse de la carène reste sans doute la photographie la plus impressionnante, tant elle est éloignée de nous, à plus de 7600 années-lumières de la Terre. Celle-ci représente une étoile en formation.
Elle n’est visible qu’en infrarouge, lumière que l’oeil humain ne peut percevoir, contrairement à James Webb. Cette photographie est “l’image infrarouge la plus profonde et la plus claire jamais prise de l’Univers jusqu’ici”, a commenté la NASA.
“C’est assez révolutionnaire parce que c’est la première fois qu’on a des images aussi détaillées”, s’extasie Lucie Leboulleux, chercheuse à l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble (IPAG). Elle décrypte quelques-unes des images du télescope spatial James Webb dévoilées ce mardi 12 juillet.
Sur le premier cliché, révélé lundi, on voit une zone bien particulière de notre ciel, l’amas de galaxies “SMACS 0723” éloignées de 13 milliards d’années-lumière. D’une extrême netteté, cette première image était déjà époustouflante, mais les deux autres le sont tout autant et dévoilent bien des mystères.
Découvrez ainsi le Quintette de Stephan, la plus grande image du télescope Webb à ce jour. Elle montre un groupement compact de cinq galaxies très proches et en interaction les unes avec les autres.“On estime que l’univers jeune était plutôt composé de groupes compacts comme celui-ci”, explique Lucie Leboulleux. Cette découverte permet ainsi de mieux comprendre la formation des premières galaxies.
Mais la nébuleuse de la carène reste sans doute la photographie la plus impressionnante, tant elle est éloignée de nous, à plus de 7600 années-lumières de la Terre. Celle-ci représente une étoile en formation.
Elle n’est visible qu’en infrarouge, lumière que l’oeil humain ne peut percevoir, contrairement à James Webb. Cette photographie est “l’image infrarouge la plus profonde et la plus claire jamais prise de l’Univers jusqu’ici”, a commenté la NASA.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
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