Générations volées.
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Générations volées.
Générations volées
désigne les enfants d'Aborigènes australiens et d'Indigènes du détroit de Torrès enlevés de force à leurs parents par le gouvernement australien de 1910 jusqu'à 1970
L'expression « Générations volées » (en anglais : Stolen Generations) désigne les enfants d'Aborigènes australiens et d'Indigènes du détroit de Torrès enlevés de force à leurs parents par le gouvernement australien de 1910 jusqu'à 1970 . Ces enfants étaient le plus souvent des métis de mère aborigène et de père blanc ou inversement. Ils furent placés dans des orphelinats, des internats, ou bien confiés à des missions chrétiennes ou à des familles d'accueil blanches.
L'enlèvement des enfants installé en 2003 sur la grande horloge du Queen Victoria Building à Sydney, œuvre de Chris Cook.
Ces actes sont reconnus par la majorité de la classe politique australienne comme l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire du pays, mais suscitent néanmoins débats et controverses encore aujourd'hui[1]. Le fait de savoir s'il faut ou non des excuses officielles du gouvernement, et s'il y a eu ou non tentative de génocide à l'encontre des Aborigènes[2], sont particulièrement sujets à controverse. En 1997, un rapport intitulé Bringing them home (« Ramenez-les à la maison »)[3] détaille l'histoire de ces pratiques, publie des témoignages, et suggère qu'environ 100 000 enfants appartiennent aux « générations volées ». Le 11 décembre 2007, le gouvernement fédéral dirigé par Kevin Rudd promet des excuses officielles au nom de l'État australien. Ces excuses sont présentées le 13 février 2008. Le 5 août 2021, le Premier ministre, Scott Morrison annonce que certains membres de la « génération volée » seront indemnisés.
désigne les enfants d'Aborigènes australiens et d'Indigènes du détroit de Torrès enlevés de force à leurs parents par le gouvernement australien de 1910 jusqu'à 1970
L'expression « Générations volées » (en anglais : Stolen Generations) désigne les enfants d'Aborigènes australiens et d'Indigènes du détroit de Torrès enlevés de force à leurs parents par le gouvernement australien de 1910 jusqu'à 1970 . Ces enfants étaient le plus souvent des métis de mère aborigène et de père blanc ou inversement. Ils furent placés dans des orphelinats, des internats, ou bien confiés à des missions chrétiennes ou à des familles d'accueil blanches.
L'enlèvement des enfants installé en 2003 sur la grande horloge du Queen Victoria Building à Sydney, œuvre de Chris Cook.
Ces actes sont reconnus par la majorité de la classe politique australienne comme l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire du pays, mais suscitent néanmoins débats et controverses encore aujourd'hui[1]. Le fait de savoir s'il faut ou non des excuses officielles du gouvernement, et s'il y a eu ou non tentative de génocide à l'encontre des Aborigènes[2], sont particulièrement sujets à controverse. En 1997, un rapport intitulé Bringing them home (« Ramenez-les à la maison »)[3] détaille l'histoire de ces pratiques, publie des témoignages, et suggère qu'environ 100 000 enfants appartiennent aux « générations volées ». Le 11 décembre 2007, le gouvernement fédéral dirigé par Kevin Rudd promet des excuses officielles au nom de l'État australien. Ces excuses sont présentées le 13 février 2008. Le 5 août 2021, le Premier ministre, Scott Morrison annonce que certains membres de la « génération volée » seront indemnisés.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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