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William Branham = faux prophète

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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 18:51

Rappel du premier message :

.
William Branham



Paroles de Jésus :

Matthieu 7
15. Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
16 Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?
17 Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
20 C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.William Branham, Le Prophète du temps de la fin 



Le prophétisme de William Branham

Branham assure avec force qu’il ne s’est jamais considéré comme étant un prophète :
« Les gens m’ont dit : ‘Frère Branham, le Seigneur vous a appelé pour être son prophète’. Je ne me suis jamais considéré moi-même comme un prophète … »
(W.M. Branham, la Parole Parlée, Debout dans la brèche, 1963, page 12)

Fernand Fait, branhamiste du Québec, déclare que si Branham avait dit lui-même qu’il était prophète, il n’aurait pas été ce prophète que Fait attendait :

« Frère Branham ne pouvait dire : ‘Je suis un prophète, suivez-moi’. S’il l’avait fait, il n’aurait pas été le prophète que j’attendais et que la Bible a promis. Un prophète ne s’authentifie pas lui-même. »
(F. Fait, cassette n° 8014, Ma réponse à Etienne Fauvel)

Qu’en est-il de vous madame ? Croyez-vous que JE SUIS SON PROPHETE, son serviteur ? … vous êtes de l’Ohio … votre nom est Mme Alice Thompson ».
(W.M. Branham, Biographie de William Branham, page 211)

« Si vous croyez que JE SUIS UN PROPHETE du Seigneur, un serviteur de Dieu, alors écoutez-moi
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°6, Age de Thyatire, 1960, page 21)

« Maintenant comme vous êtes croyants, croyez-vous que je suis son serviteur et SON PROPHETE ? Il doit en être ainsi pour le savoir »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, Tourner les regards vers JESUS, 1963, page 39)

« Me croyez-vous SON PROPHETE, son serviteur ? Croyez-vous que Dieu est près et son esprit et que ce qui se fait maintenant est dû au Seigneur JESUS ? … si Dieu veut me faire connaître ce qui ne va pas chez vous comme confirmation de ce que JE SUIS SON PROPHETE, me tenant ici et révélant la vérité »
(W.M. Branham, La profondeur appelle la profondeur, 1954, page 23)

« … j’espère que je me suis fait bien comprendre. Je ne désire pas être mal compris. Je veux être honnête à l’appel. Je veux être cela. Dieu a toujours employé un PROPHETE, un homme »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, série n°1, n°4, le messager du temps de la fin, 1963, page 9)

« Cela vous quitte maintenant, votre foi vous a sauvée … CROYEZ-VOUS QUE JE SUIS LE PROPHETE du Seigneur ? … vous ne recevrez pas d’autre signe »
(W.M. Branham in : William Branham, un prophète méconnu, page 390)


Les prophéties de William Branham

Faisant écho aux injonctions de la Bible, William Branham enseigne qu’on ne doit pas craindre ni écouter un prophète qui déclare des choses qui ne se réalisent pas !

« La Bible dit : ‘Si parmi vous, quelqu’un prétend être spirituel ou être un prophète, si ce qu’il dit ne se réalise pas, alors ne l’écoutez pas. Ne le craignez pas du tout. Ne craignez point cet homme-là »
(W.M. Branham, Révélation des 7 sceaux, n°5, 3ème sceau, 1963, page 47)

Les textes bibliques sont cristallins :
« Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite, n’aie pas peur de lui »
(Deutéronome 18 :22)

« C’est par l’accomplissement de ce qu’il prophétise qu’il sera comme véritablement envoyé par l’Eternel »
(Jérémie 28 :9)

« Leurs visions sont vaines et leurs oracles menteurs, ils disent : ‘L’Eternel a dit ! Et L’Eternel ne les a point envoyés et ils font espérer que leur parole s’accomplira »
(Ezéchiel 13 :6)

Branham avalise totalement ces textes :
« Comment peut-on dire de quelqu’un qu’il est un prophète et dire ensuite qu’il a eu une fausse révélation ? »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 16)


Ewald Frank, le branhamiste allemand bien connu, écrira ce qui suit :
« De fausses prophéties ont le même effet que la divination et la sorcellerie. Sans en être conscients, les gens tombent sous un ensorcellement … »
(Lettre circulaire n°33, janvier 1987, page 22)


La prophétie de 1977
« En juin 1933, le frère Branham VIT EN VISION les événements de la fin des temps. En dernier lieu, il vit un calendrier qui, de lui-même se feuilletait pour s’arrêter à l’année 1977. Alors que frère Branham fixait ce dernier millésime intensément, il entendit subitement une explosion extraordinaire. Ensuite il vit que tout était rasé à même le sol. Il voyait du feu et de la fumée jusqu’à ce que tout fut en cendres. Frère Branham disait depuis ce jour que TOUT CE QUI NE S’EST PAS ENCORE REALISE LE SERA ENTRE LES ANNEES 1933 A 1977 »
(Ewald Frank, La Parole demeure éternellement, pages 19 et 20)

« Je dis : ‘ Je prédis, d’après la façon dont va le temps, que tout cela se passera entre les années 1933 et 1977. Et les événements devront se précipiter pour se produire dans ce laps de temps »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 39)

Dans le contexte de cette citation (page 39), voici ce qui devait se produire :

L’Église catholique romaine devait prendre le pouvoir aux Etats-Unis.

Ces derniers devaient voler en éclats et plus rien ne devait subsister de leur territoire et à cette même page 39, Branham ajoute emphatiquement : « CECI, C’EST AINSI DIT LE SEIGNEUR »

« … mais je prédis simplement d’après une vision qu’Il (Dieu) m’a donnée et en considérant les temps et la manière dont les choses évoluent, que cela se passera à un certain moment entre 1933 et 1977. En tous cas, cette grande nation se lancera dans une guerre qui la réduira en cendres. Tout cela est très proche, terriblement proche. Mais je puis me tromper, parce que je ne fais que prédire » (W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°10, Age de Laodicée, 1960, pages 9 et 10)

« Je confirme la parole de mon serviteur et j’accomplis ce que PREDISENT mes envoyés »
(Ésaïe 44 :26)

« Afin que vous vous souveniez des PREDICTIONS des saints prophètes … »
(2 Pierre 3 :2)

« Qui a, comme moi, fait des PREDICTIONS- Qu’il le déclare et me le prouve … »
(Ésaïe 44 :7)

« Et l’Eternel me dit : C’est le mensonge que prophétisent en mon nom les prophètes ; Je ne leur ai point donné d’ordre, Je ne leur ai point parlé. Ce sont des visions mensongères, de vaines PREDICTIONS, des tromperies de leur cœur, qu’ils vous prophétisent »
(Jérémie 14 :14)


« L’âge de Laodicée a commencé vers le début du 20ème siècle, aux environs de 1906. Combien de temps durera-t-il ? En tant que serviteur de Dieu QUI A EU UNE QUANTITE DE VISIONS DONT AUCUNE NE M’A JAMAIS TROMPE (je ne prophétise pas) mais je prédis que cet âge se terminera aux alentours de 1977. 

Si vous voulez bien ici me permettre une note personnelle, je vous dirai que je fonde cette PREDICTION sur 7 visions de première importance qui se sont succédées devant moi un dimanche matin en juin 1933. Le Seigneur JESUS me parla disant que la venue du Seigneur était proche, mais qu’avant son retour, 7 événements de première importance devraient avoir lieu. Je les écrivis tous et ce matin-là, je racontai la révélation du Seigneur … me basant sur les 7 visions, ainsi que sur les changements rapides qui ont balayé le monde depuis 50 ans, je prédis (je ne prophétise pas) que toutes ces visions devront se réaliser d’ici 1977. 

Et bien que beaucoup auront l’impression que cette affirmation est faite à la légère, vu que le Christ a dit que nul ne connaît ni le jour ni l’heure, je continue à maintenir cette PREDICTION 30 ans après, parce que JESUS n’a pas dit que personne ne pouvait connaître l’année, le mois ou la semaine qui verrait sa venue. Ainsi, je le répète, je le crois sincèrement et je le maintiens selon ce que j’ai étudié dans la Parole, ainsi que par DIVINE INSPIRATION, que l’année 1977 pourrait bien marquer le point final des systèmes du monde et nous introduire dans le millénium »
(W.M. Branham, Exposé des 7 Ages de l’Église, pages 382 et 383)

« Seigneur, je suis conscient de ce qui m’arrivera au jour du jugement si j’induis ces gens en erreur »
(W.M. Branham, J’accuse cette génération, n°9, 1963, page 48)

« Si une personne seulement dans le monde entier peut prouver qu’une révélation ne soit pas juste, même partiellement, je suis d’accord qu’on me prenne pour toujours comme faux prophète »
(W.M. Branham, cité dans : La Parole de Dieu demeure éternellement, page 19)


.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:35

Le second miracle

1.         C’est avec un grand plaisir que j’entends quelque chose comme cela de la part de vous tous, avec la lettre que notre frère a lue, et l’attitude de nos frères prédicateurs qui sont ici avec nous, avec cet auditoire-ci, vos applaudissements, avec ça, nous nous sentons deux fois le bienvenu pour revenir encore. Et si le Bon Seigneur le veut, aussitôt que nous en aurons l’occasion, nous reviendrons dans cette ville pour y rester plus longtemps, jusqu’à ce que la chose soit terminée, jusqu’à ce que Dieu nous dise que c’est assez, que c’est le temps de rentrer chez nous. A ce… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Tous mes remerciements.
            J’espère que cette série de réunions a été autant une bénédiction pour vous que pour–pour nous. Je dis ceci, je ne suis pas obligé de le dire, mais je le dis parce que c’est la vérité. J’ai évidemment eu des foules plus grandes et des endroits plus spacieux, et nous aurions eu des foules plus grandes par ici si nous avions eu un lieu où les recevoir, mais jamais je n’ai rencontré, ou jamais je n’ai été dans une réunion plus belle et rencontre... n’ai rencontré des gens plus gentils, nulle part dans le monde, que ceux que j’ai rencontrés en ce lieu-ci. C’est vrai. Et avec le… [L’assistance applaudit. – N.D.E.] Merci.
2.        … de mon cœur. Et j’espère que – que cette série de réunions ne connaîtra jamais de fin, qu’elle continuera directement dans chaque église et parmi les gens jusqu’à la Venue de Jésus. C’est le but de notre présence ici, en tenant ces réunions. Et tout le monde a été très gentil, et vous avez été si braves en vous asseyant dans cette salle où il fait chaud, et il fait vraiment chaud comme ceci, et – et vous tenir simplement debout tout au long des côtés, et on ouvre les portes, vous entrez tôt; et, oh! c’est très gentil de votre part. Et nous apprécions cela.
            Nous remercions ce frère, je ne me rappelle pas du tout son nom,  ce frère ici, frère Banner, et tous les ministres qui ont collaboré. Nous sommes vraiment reconnaissants à Dieu pour vous, frères. Vous avez été très gentils à notre égard. Et nous avons une ferme assurance que Dieu déversera vraiment Ses bénédictions partout, sur vous tous…?…
3.         Et à vous tous là, on vient de me dire qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi, il y a quelques instants. J’en suis reconnaissant. Je ne le mérite pas; c’est vrai. Je – je ne le mérite pas. Mais frère Baxter a dit que toutes les dettes ont été payées et tout le reste. Et puis, après ça, on prélève ensuite l’offrande d’amour. Et nous en sommes reconnaissants. Et je – et au mieux de ma connaissance, et à ce que je sache, je dépenserai chaque sou de cela pour la gloire de Dieu, selon que je sais le faire.    
            Il n’y aura pas une seule chose insensée qui sera faite avec cet argent. En effet, en ce jour-là, nous aimerions être trouvés un bon, véritable et fidèle économe de Ses biens.
            Et certains parmi vous ont payé, peut-être ont donné une partie de leur subsistance; je – j’aurais souhaité que vous n’ayez pas à le faire. Juste quelqu’un, lorsqu’on prélève une offrande d’amour, met un cent ou quelque chose comme cela, que je – je pourrais, vous savez, juste quelque chose comme cela… J’ai – j’ai des enfants, vous savez comment les choses se passent. Mais j’aurais  souhaité ne pas devoir recevoir cela, mais en recevoir une, mais j’en reçois de temps en temps, parce que je... on n’arrive pas à nouer les deux bouts. Mais nous vous remercions pour cela. Et que Dieu vous bénisse vous tous.
4.         Eh bien, j’espère que… Je me souviens que dans une réunion, j’ai l’habitude de raconter une petite histoire… étant donné que mon vieux frère est assis ici, j’aimerais lui serrer la main avant de commencer la prédication, ou de prêcher à… la Parole.   
            Une fois, j’allais prélever une offrande dans mon église. J’avais dit à ma femme, je lui avais dit : «Il nous faut vraiment avoir…» Jamais de ma vie je n’ai moi-même prélevé une offrande. Alors j’ai dit : «Il nous faut vraiment avoir un peu d’argent.» J’ai dit : «Je vais te dire quoi, je vais prélever…» Nous avions une dette et il nous fallait la payer. Et alors, c’était ma première femme, c’était… J’étais… Elle est morte ça fait des années et des années, il y a environ quatorze ans. Et je suis resté célibataire pendant environ cinq ou six ans. Mon petit garçon commençait à fréquenter l’école, alors je me suis remarié. Dieu m’a redonné une image parfaite de la fillette qu’Il m’avait arrachée. Ainsi donc, j’en suis si heureux.
5.         Et alors, je me rappelle un soir, il y a de cela huit ans, je pense, nous en étions arrivés à ne pas nous tirer d’affaires. Et j’ai dit : «Je vais prélever une offrande là.»
            Elle a dit : «Je vais m’asseoir pour t’observer.»
            Et alors, je suis allé là, j’ai dit au vieux frère Wiseheart : «Va prendre mon chapeau, je vais prélever une offrande.» Il m’a regardé d’une façon vraiment étrange et s’est mis… J’ai baissé le regard et… Je ne sais pas, Frère Ryan, si jamais vous avez connu sœur Weber, si vous vous souvenez d’elle ou pas, la mère de Frankie. Elle a fouillé dans un vieux et petit tablier à carreaux, et en a fait sortir un portefeuille, vous savez, qui avait de petits boutons-pression dessus, et elle s’est mise à en faire sortir ces pièces de cinq cents. Oh! je ne pouvais pas faire cela.
            J’ai dit : «Je vous taquinais  tout simplement, ce n’était pas mon intention là-dessus.»
            Et alors, frère Wiseheart m’a regardé d’une façon vraiment étrange, il est allé et a suspendu mon chapeau. Et savez-vous quoi? Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque chez moi et il m’a offert cette bicyclette. Beaucoup parmi vous qui ont été dans mes réunions m’ont entendu parler de cela. Frère Ryan a roulé à bicyclette jusque-là, il l’a tout simplement abandonnée là et me l’a offerte. Alors, je l’ai peinte, je l’ai vendue, et j’ai eu de l’argent pour payer la dette…?… Je n’en ai pas eu besoin après tout…?…
6.         Oh! la la! pauvre frère, il m’avait donné cette bicyclette-là, et en réalité, je ne pouvais pas monter sur cette bicyclette, ainsi ah! ah! ah! J’avais une dette. Il avait accompli une bonne œuvre. Eh bien, béni soit le Seigneur. C’est très gentil. Ainsi, tous mes remerciements à vous tous. Et vraiment, en toute sincérité, j’espère pouvoir revenir à Toledo aussitôt que possible.   
            Eh bien, lorsque je quitterai l’Afrique, que je serai rentré chez moi, le Seigneur voulant, j’irai chercher Sa face pour savoir quel sera le prochain voyage. Je pense que vous tous, vous appréciez davantage cela, le fait de savoir le lieu exact où aller. S’Il m’envoie à Toledo, nous allons rester à Toledo jusqu’à ce qu’Il dise : «Va ailleurs.» Et rester simplement là jusqu’à ce que ça soit fini.
            Maintenant même, les réunions sont vraiment dans un état tel que nous pouvons réellement avoir un vrai réveil en ce moment même. Voyez-vous? Tous les – les sentiments étranges que les gens éprouvaient, en disant : «Eh bien, il se peut que ce soit telle chose, il se peut que ce soit telle autre.» Mais tout cela a disparu maintenant, et il y a partout une atmosphère de très bon accueil. Voyez-vous? Eh bien, c’est ce qu’il faut pour avoir un réveil, pour vraiment en commencer un. Eh bien, que pensez-vous que ferait un réveil de ce genre, un réveil d’environ quatre à six semaines? Oh! la la! nous passerions un glorieux moment. Je vous assure, je – je crois que tout dans le – tout pourrait être guéri par ici, si seulement nous pouvions l’un après l’autre…
7.         Bon, le Seigneur nous a bénis cette semaine. Les estropiés ont marché; les boiteux ont été guéris; les sourds ont entendu, et des maladies, vous savez, ont été guéries. Le Seigneur… Et maintenant, j’aimerais que vous vous souveniez de ceci, surtout vous les pasteurs, que des semaines après ceci, vous entendrez des gens dans vos églises dire : «Eh bien, je... cette – cette gastrite que j’avais m’a quitté; je ne sais pas.» Vous, les femmes et les autres qui avez différentes maladies, il y a – il y a au moins, je dirais ceci, non pas pour essayer de – de dire quelque chose de faux ; en effet, je – je ne voudrais pas faire cela, Dieu m’en tiendra responsable. Mais il y a au moins cinq cents personnes, je dirais, pour avancer un nombre plus bas, qui sont assises dans cet auditoire, qui n’ont point dit un mot à ce sujet, qui sont guéries maintenant même. Eh bien, c’est vrai.
 

8.         L’autre soir, quand… Il y a deux soirées, je n’avais jamais, de toute ma vie, senti une telle attraction être exercée sur moi. Eh bien, le sentiment que… Venez ici juste une minute, frère.
            Quand les gens sont guéris… Eh bien, j’aimerais juste prendre ce moment pour expliquer ceci. Si – si… quand je parle à une personne, je me retourne et je capte son attention. C’est comme là dans cet auditoire, je peux regarder quelqu’un et voir, peut-être qu’apparemment ça marche, eh bien, je pourrais me mettre à lui  parler. Et lorsque je me mets à lui parler, j’entre alors en contact avec son esprit. Et alors, on dirait qu’il y a quelque chose qui commence à attirer, juste comme ceci. Et alors, lorsque cette attraction s’arrête, je deviens très faible. Cette personne-là est guérie. Eh bien, c’est tout. Merci, frère. Et cette – cette personne-là est guérie.
            La personne peut ne pas se rendre compte de cela sur-le-champ, mais elle s’en rendra compte plus tard, elle s’en rendra compte. Elle reconnaîtra que cela a été accompli. Eh bien, puisse le Bon Seigneur bénir chacun de vous. Et qu’Il vous remplisse de Sa bonté et de Sa miséricorde. Et vous tous qui êtes assis ici tout du long, je vois ici trois ou quatre fauteuils avec des estropiés assis ici, et des gens qui ont diverses maladies, qui souffrent et tout. Eh bien, ayez tout simplement bon courage et croyez de tout votre cœur, et Dieu va vous guérir tous.
9.         Je ne sais pas s’il y a quelqu’un qui est couché là derrière, plus loin, c’est bien par ici. Parfois, il m’arrive de ne pas voir ces gens, je regarde par-dessus la tête de ceux-ci, je regarde là. Eh bien, eh bien, je ne sais quoi d’autre dire, si ce n’est que vous dire que je suis – je suis très heureux d’être avec vous, et j’espère que peut-être si vous avez une occasion, une fois, lorsque votre propre église n’aura pas de réunion, la semaine prochaine, faites juste un saut à Erie avec nous, et nous serons heureux de vous avoir. Et écrivez-moi des fois. Ecrivez-moi à la maison. Je serai content d’entendre de vos nouvelles. 
            Et parfois, en envoyant ces tissus oints et tout le reste… Combien croient dans le fait d’envoyer ces choses-là, ces…? Oh! c’est merveilleux. Eh bien, tenez, si vous entrez dans mon bureau et que vous voyez des milliers de guérisons qui s’opèrent rien que par les tissus qu’on envoie, vraiment des milliers…
10.       Tout récemment, j’en ai envoyé en Allemagne à une femme qui avait souffert de l’arthrite pendant des années. Et cela avait été traduit au verso pour elle en allemand par écr – par écrit. Elle a pris ce tissu-là, elle l’a épinglé sur elle, elle a suivi les instructions, et a dit : «Maintenant, démon, sors.» Elle s’est levée et a marché dans la pièce; elle était… Voyez-vous? «Maintenant, démon, sors.» Eh bien, elle a tout simplement cru cela. 
            Une petite chose, je – j’espère que si j’ai raconté ce témoignage devant cet auditoire il n’y a pas longtemps, vous me pardonnerez pour cela; en effet, parfois je dis cela à différents endroits, je ne connais pas les gens qui ont été dans les réunions.
11.       Le miracle extraordinaire, c’est ce qui s’est produit un soir lorsque j’étais dans une réunion; on venait de commencer dans une petite église à Corning, en Arkansas. Et j’avais l’habitude de prendre et d’envoyer, de donner des mouchoirs aux gens dans des réunions, comme ici ; voici une boîte de ces mouchoirs. Je n’ai pas l’occasion de m’occuper de ça, juste comme ça; en effet, je suis toujours, quand des réunions se déroulent, profondément en prière.
            Alors, quand je suis rentré chez moi, frère Baxter était avec moi l’autre jour, j’ai une caverne là, au fin fond des collines, où je vais. Je lui ai montré l’endroit où j’avais rencontré l’Ange sur le chemin. J’allais là tout déchiré, et je L’ai rencontré en chemin. Et Il m’a parlé, disant : «Retourne à ton véhicule, car Je t’ai appelé pour être avec Ern Baxter.» Et je suis allé auprès de lui et nous voici ensemble.
12.       Alors, juste à cet endroit-là, j’y retourne et je prie des heures et des heures sur chaque morceau de tissu que j’envoie aux gens. Eh bien, je n’envoie pas des mouchoirs, parce qu’ils coûtent environ dix cents la pièce, et nous en envoyons partout, oh! partout, à partir de cinq, six, sept mille par semaine. Je n’ai pas d’argent pour faire cela. Mais j’achète des centaines et des centaines de mètres de ruban, je découpe ça en petits morceaux comme ceci, afin que les gens puissent épingler cela sur leurs habits. Je serai content de vous en envoyer un. Si vous n’en avez pas besoin maintenant même, placez-le dans la Bible, dans Actes 19, et gardez-le simplement là. Et si une urgence se présente, prenez-le et placez-le sur votre enfant qui souffre du croup… ou n’importe quoi qui se produit, et croyez en Dieu. C’est juste un petit signe de Son amour dans cette réunion-ci. Et beaucoup de choses ont été accomplies. Et c’est gratuit, j’envoie simplement cela ; et nous serons heureux de vous l’envoyer.
13.       Eh bien, je… cette dame-là, je lui avais donné un mouchoir, elle voulait que je lui en donne un, elle a dit : «Bénis ce mouchoir.» Eh bien, beaucoup de gens oignent ces mouchoirs. C’est tout à fait en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je le soutiens. Mais si vous observez les Ecritures, Paul n’oignait pas les mouchoirs, on retirait les mouchoirs qui avaient touché son corps (Voyez-vous?), on les retirait directement de son corps. Je pense que c’est vrai, n’est-ce pas, vous les frères? Et Paul savait que…
            Vous savez où, à mon avis, il a tiré cela, frère? Je pense que c’est là où Elisée a pris les… a parlé, disant : «Prends mon bâton et va le déposer sur cet enfant.» Voyez-vous? Elisée savait que tout ce qu’il touchait était béni. Mais que la femme croie cela ou pas… Et on retirait du corps de Paul des mouchoirs et des linges, et on les posait sur les malades, et les esprits impurs quittaient les malades, et des maladies étaient guéries.
            Eh bien, ce n’était pas Paul, c’était Dieu. C’est Dieu honorant la foi des gens en Son serviteur. Eh bien, alors, le même Dieu qui était là, moi, je ne suis pas saint Paul, personne parmi nous ne l’est, mais Il est toujours le même Jésus. Voyez-vous? Ce n’était pas – ce n’était pas saint Paul après tout, mais c’était Jésus.
14.       Eh bien, cette femme-là a pris ce mouchoir et l’a placé dans sa Bible. Et quelques semaines après, elle nettoyait le verre d’une lampe, là loin, dans ces régions cotonnières de l’Arkansas, et le vieux verre de la lampe s’est brisé et lui a tranché une artère au bras. Eh bien, voici le récit de la femme elle-même. Elle a pris une taie d’oreiller et l’a placée dessus, et cela s’est  bien mouillé de sang. Elle a pris un drap. Son voisin le plus proche restait à deux miles [3,218 km – N.D.T.], son mari était en ville. Et elle saignait, elle s’affaiblissait davantage, elle savait qu’elle allait aussitôt mourir si rien n’était fait.
            Alors, elle a pensé au mouchoir; elle est allée prendre le mouchoir et l’a posé dessus. Eh bien, voici le témoignage de la femme. Lorsque son mari est rentré le soir…Elle avait pataugé sur une distance d’environ deux miles ou plus dans la boue avec ses bottes, et elle avait suspendu une lanterne à un arbre, elle a attrapé un bus Greyhound, elle est allée à Little Rock où je tenais une série de réunions, elle est entrée avec ses bottes, tenant ce mouchoir, louant Dieu. Le mouchoir n’était même pas taché, vraiment un miracle. Cela avait directement arrêté la saignée simplement comme ça. La femme se mourait, c’était tout ce qui était à sa portée, comme ça, tout ce qu’elle savait, et Dieu a honoré sa foi, en faisant cela.
15.       Eh bien, nous, nous tous, nous croyons cela. J’envoie cela avec un petit texte qui vous donne des instructions, comment aller auprès de votre pasteur et le faire venir ; et – et confesser vos fautes et vous débarrasser de tout, et puis poser cela là ; qu’il n’y ait aucun obstacle, Dieu accomplira cela. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, que Dieu soit avec vous. Et merci une fois de plus, depuis les pasteurs jusqu’aux collaborateurs, les étrangers qui sont dans nos murs, les concierges ici dans l’auditorium, tous les huissiers, vous avez tous été merveilleux, et que les plus riches bénédictions de Dieu reposent sur vous tous. Priez pour moi, pendant que je vais là prier pour quelqu’un d’autre.
            J’aimerais lire juste une petite portion des Ecritures avant de commencer la réunion. En effet, nous aimerions consacrer beaucoup de temps à la ligne de prière ce soir, rester aussi longtemps que possible. Puis, immédiatement après cela, je dois attraper un bus Greyhound et… Je me suis cogné la tête toute la matinée, je n’ai pas pu faire une réservation. Je dois rentrer chez moi; ma femme a cherché à venir ici, elle n’a pas pu,  il n’y avait personne pour l’amener. Ainsi, je dois rentrer ce soir la prendre, revenir demain, et – et être à Erie. Priez donc pour moi maintenant, pendant que je lis cette Ecriture qui se trouve dans Saint Jean 4.46; on commence :
     Il retourna donc à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade.
     Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui, et le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir.
     Jésus lui dit : (Maintenant, écoutez attentivement)…  Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point.
     (Suivez la réponse de ce brave homme à notre Maître) L’officier du roi lui dit : Seigneur, descends avant que mon enfant ne meure.
     Va, lui dit Jésus, ton fils vit.( Eh bien, cet homme voulait que Jésus aille prier pour son fils, mais Jésus lui a dit… Il n’est pas allé prier pour lui, Il a dit : Va, ton fils vit.) Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla.
     Comme il descendait déjà, ses serviteurs, venant à sa rencontre, lui apportèrent cette nouvelle : Ton enfant vit.
     Il leur demanda à quelle heure (il demanda) disant… (Excusez-moi) il s’était trouvé mieux; et ils lui dirent : hier, à la septième heure, la fièvre l’a quitté. (Voyez-vous, il était en voie de guérison, il allait un peu mieux.)
     Le père reconnut que c’était à cette heure-là que Jésus lui avait dit : Ton fils vit. Et il crut, lui et toute sa maison.
     Jésus fit encore ce second miracle lorsqu’il fut venu de Judée en Galilée.
16.       Inclinons la tête. Seigneur, on est pratiquement maintenant sur le point de commencer le service une fois de plus; c’est la soirée de clôture, ici parmi ces gens aimables. Ô Dieu! comme Tu m’as donc beaucoup béni en m’amenant ici et en me permettant de me tenir debout ici et parler à une telle assistance, des chrétiens aimables et nés de nouveau. Ô Dieu! je T’aime vraiment pour ça. Il n’y a pas de mots que je puisse trouver pour exprimer ma reconnaissance, pour m’avoir laissé rencontrer ces prédicateurs et ces gens ici, des gens aimables, Ton peuple, la crème même de la moisson, la moisson de la terre.    
            Et non seulement cela, les rencontrer et faire leur connaissance, mais d’avoir communion avec eux autour de Ton Fils, Jésus-Christ ; et de savoir que je suis leur compatriote, un héritier du même Royaume de Dieu, que nous sommes des pèlerins sur la terre, allant au Ciel, où nous nous associerons ensemble dans les âges sans fin. Pendant des aeons de temps, nous serons à jamais ensemble là où nous ne tomberons plus malades; là-bas, nous n’habiterons plus dans des bâtiments et nous n’aurons plus à traverser péniblement le pays pour prier les uns pour les autres, mais là, il n’y aura plus de maladies, il n’y aura plus de vieillesse, et il n’y aura plus de boiteux, plus d’aveugles, mais nous serons des jeunes pour toujours. Et nous serons comme Lui. Et quel moment glorieux ça sera !
17.       Ô Père! je sens vraiment que je dois lever les mains, crier simplement à tue-tête, et donner libre cours aux sentiments qui sont en moi, ma gratitude  pour tout ce que Tu as fait.
            Bénis cette ville, Seigneur, bénis les gens, bénis les – les législateurs de cette ville. Et, ô Dieu, accorde qu’il y ait un réveil à l’ancienne mode qui balayera cette ville, Seigneur. Et que ces gens oints qui sont assis ici ce soir, que ces prédicateurs de Dieu ont représentés ici sur cette estrade, et là dans cet auditoire, ô Dieu, charge  leur vie d’une nouvelle vision, et avec une nouvelle puissance. Et qu’il y ait vraiment une pluie abondante venant de partout, Seigneur, entrant dans les églises. Exauce maintenant la prière de Ton serviteur. Et maintenant, garde-nous toujours dans Ta volonté; accorde-nous un grand service ce soir, car nous le demandons au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
18.       Je crois que Billy est sorti, Frère Baxter, juste un moment, jusqu’à ce qu’il rentre. Eh bien, ayez foi, ne doutez pas. Croyez de tout votre cœur. Et attendons ce soir l’apogée de toute la série de réunions, n’est-ce pas? Je crois que si Dieu nous visite cette troisième fois, comme Il l’a fait les deux dernières soirées, je crois que cela tranchera la question, n’est-ce pas? Oh! les lettres affluent tellement que je… Des endroits, comment les gens ont été guéris, les gens rentrent chez eux,  quittent des réunions et rentrent chez eux, et puis être là peut-être quelques heures, et la chose suivante, vous savez, ils se réveillent le lendemain matin, peut-être que l’aveugle voit, et le… Oh! tout arrive. Comme je suis reconnaissant ! La chose, les gens ici, vous ne – vous n’en entendez pas le tiers. C’est après un ou deux jours.
19.       Avez-vous remarqué Jésus ici, quand Il a dit : «Ton fils vit» ? Eh bien, c’était arrivé un jour, puis le lendemain cet homme partait et son fils était en voie de guérison. Il est dit : «C’est le second miracle que Jésus a fait.» Apparemment, nous n’appellerons pas cela un miracle. Mais c’était un miracle, parce que tout ce qui est extraordinaire est un miracle. Jésus a dit à cet homme que son fils allait vivre, et cet homme a cru ce que Jésus avait dit. Est-ce vrai?
            Peut-être qu’il y a une centaine de cartes de prière ici ce soir. Dans quelques instants, je vais appeler à partir d’un certain niveau ces cartes de prière. Eh bien, alors vous direz : «Frère Branham, qu’arrivera-t-il alors si ma carte de prière n’est pas appelée? »
20.       Ça ne signifie pas que vous êtes... que vous ne pouvez pas être guéri. Vous pouvez être guéri où que vous soyez, du moment que vous croyez que Jésus-Christ vous guérit (Voyez-vous?), où que vous soyez. Allez-vous toujours vous souvenir de cela? Souvenez-vous-en toujours, que la guérison… Tout ce que Christ peut faire pour vous est déjà fait. Amen. Voyez-vous? Tout ce que Christ et Dieu peuvent faire pour vous, c’est déjà fait. Eh bien, la chose suivante dépend de vous. Si vous êtes un pécheur, Jésus vous a déjà sauvé, mais vous… quand Il mourut pour ôter le péché du monde, mais vous devez accepter cela. Si vous disiez : «J’ai payé pour vous le trajet  de retour à la maison, Frère Branham»...
            Eh bien, ça ne me ferait aucun bien si je n’acceptais pas cela. Et la mort de Christ ne vous servira pas si vous n’acceptez pas cela. Or, c’est par Ses meurtrissures que vous aviez été guéri. Il vous avait guéri lorsqu’Il avait fait l’expiation pour vous. Et maintenant, cela ne vous fera aucun bien jusqu’à ce que vous acceptiez cela. Et lorsque vous acceptez cela, que vous croyez cela, alors ça vous appartient. Maintenant, voyez-vous, ça dépend de vous. Maintenant, les œuvres qu’Il fait… Il envoie des signes et des prodiges pour – pour confirmer ces choses, que cela – que cela peut être accompli.
            Tenez… J’aimerais que vous écriviez à cette personne-là, ou pour n’importe lesquels de ces témoignages que je vous – vous donne, écrivez-lui, si vous le désirez. Y a-t-il quelqu’un ici qui vient de Jeffersonville? Faites voir la main, quelqu’un des alentours de Jeffersonville?…
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:36

LA SEULE VRAIE EGLISE VIVANTE  

1.         Merci…
            … est possible
            Seigneur, je crois.
            Inclinons la tête. Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir de ce que nous pouvons chanter cela du fond de nos cœurs : « Seigneur, je crois. » Et comme le père qui avait un fils épileptique a dit, il y a des années : « Viens au secours de mon incrédulité. »… Nous entendons cette question qui a été posée un jour : « Quand Il reviendra, trouvera-t-Il la foi ? » Il n’a jamais demandé s’Il trouvera la justice ou s’Il trouvera des chrétiens, mais plutôt s’Il trouvera la foi quand Il reviendra, sachant que ce sera une chose que les gens auront abandonnée. D’entendre aussi le Saint-Esprit déclarer que ces temps viendraient dans les derniers jours : « Les hommes auront l’apparence de la piété, mais renieront la force » ; le manque de foi ; et nous Te remercions ce soir, Seigneur, car nous sentons dans nos cœurs que nous avons juste une petite foi. Et aide-nous, Seigneur, afin que cette foi soit augmentée ce soir, jusqu’à être si élevée, si perdue dans l’abandon total à Christ, que de grandes et puissantes œuvres  seront manifestées ce soir.
            Pardonne-nous donc nos insuffisances maintenant, et aide-nous. Puisse le Saint-Esprit maintenant même, le grand Agent de Dieu ici sur terre, qui est à la recherche d’une Epouse pour le Seigneur Jésus, puisse-t-Il visiter d’une manière spéciale chaque cœur qui est ici ce soir, car nous le demandons au Nom du bien-aimé Fils de Dieu, Jésus-Christ. Amen.
            Vous pouvez vous asseoir.
2.         Justement, je ne suis pas aussi grand que frère Baxter, et cela me rend… ?... [Frère Branham s’entretient avec quelqu’un pendant qu’on ajuste le microphone. – N.D.E.] Aussi longtemps que ce n’est pas pendant la ligne de prière, c’est en ordre. Voyez-vous ? Ce n’est pas dans… ?... Nous sommes certainement heureux pour le privilège d’être ici ce soir, afin de représenter notre – notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ dans le… Nous espérons que la réunion aura du succès, c’est-à-dire que les gens pourront avoir une grande foi en Dieu. Autrement, nous – notre réunion n’aura pas de succès. Il nous reste encore deux soirées de service, et nous – nous espérons que cela va s’avérer un grand succès pour vous tous.
            Et maintenant, chacun de vous est conscient du fait que sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu, car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent. Et puisse-t-Il ce soir, pendant que nous nous attendons à Lui pour Ses bénédictions, puisse-t-Il ajouter grâce sur grâce pour nous.
3.         M. Baxter, alors que j’arrivais, je l’ai entendu prêcher, et il a apporté un – un sermon très puissant pour lequel je suis fort reconnaissant. C’est toujours la prédication de la Parole qui produit les résultats d’une grande réunion. « Car la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. »
            Dans les préludes de la réunion de ce soir, j’aimerais lire un passage de – de la Parole de Dieu, car il se pourrait que la simple lecture de la Parole produise la foi. En effet, mes paroles, comme la parole de tout autre homme, peuvent faillir, mais la Parole de Dieu ne peut faillir, car Elle a été écrite par Dieu.
4.         Et vous qui avez vos Bibles et qui souhaiteriez ouvrir ce passage de l’Ecriture, c’est dans le Livre, dans les écrits de saint Jean, au chapitre 5. J’aimerais lire un passage de ce chapitre pour le… juste avant le service de ce soir. Et ensuite, nous appellerons la ligne de prière après quelques commentaires, peut-être le témoignage sur quelque chose que notre Seigneur a fait pour nous. En effet, si je comprends bien. M. Baxter, dans la première partie des réunions, donne des témoignages sur ce qui se produit pendant ces services. Et parfois, je raconte à certains quelque chose que Dieu a accompli dans le passé.
5.         Maintenant la lecture de la Parole, s’il vous plaît :
            Après ces choses, il y avait une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
            Or il y a à Jérusalem, près de la porte des brebis, un réservoir d’eau, appelé en hébreu Béthesda, ayant cinq portiques,
            dans lesquels étaient couchés… multitude d’infirmes, d’aveugles, de boiteux et de gens qui avaient les membres secs, attendant le mouvement de l’eau.
            Car à de certaines saisons un ange descendait dans le réservoir et agitait l’eau; le premier donc qui entrait après que l’eau avait été agitée, était guéri, de quelque maladie qu’il fût pris.
            Or il y avait là un homme infirme depuis trente-huit ans.
            Jésus, le voyant couché là, et sachant qu’il était dans cet état déjà depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri?
            Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne qui, lorsque l’eau a été agitée, me jette dans – dans le réservoir… (excusez-moi)… car, pendant que moi je viens, un autre descend avant moi.
            Jésus lui dit, Lève-toi, prends ton petit lit, et marche.
            Et aussitôt l’homme fut guéri, et il prit son petit lit, et marcha.
            Or c’était sabbat ce…-là.
            Quand vous rentrerez chez vous ce soir, lisez la suite de ce chapitre. J’aimerais lire les versets 19 et 20, juste pour épargner le temps, car mon temps pour parler ce soir est presque terminé.
            Jésus donc répondit et leur dit,…
            C’est quand les Juifs Lui ont posé des questions.
6.         Imaginez-vous dans les jours de la Bible, le Fils de Dieu passant dans les rues de la ville, combien Son cœur était ému en voyant les malades et ceux qui souffraient ? Et quand Il est arrivé à cet endroit remarquable, appelé en hébreu Béthesda, parce qu’il y avait cinq portiques, c’était à la porte des brebis, par laquelle les gens amenaient les brebis. Et il y avait en quelque sorte un phénomène propre à cette époque-là ; en effet, les gens croyaient qu’un ange descendait du Ciel de temps en temps et agitait l’eau.
            Eh bien, étant donné que vous vivez ici à proximité de ce beau lac Erie, la plupart d’entre vous savent ce que c’est qu’une eau agitée. C’est une eau qui est… Le courant va dans un sens et les vagues dans le sens contraire, ce qui rend l’eau tumultueuse,  donc une eau très dangereuse pour les bateliers.
7.         Et cette piscine où on lavait les brebis était juste une piscine circulaire, ayant peut-être la dimension de ce bâtiment. Et là-dedans, à certaines saisons, l’eau devenait tumultueuse. Et quelqu’un avait déclaré que c’était un ange qui agitait cette eau, ou la troublait. Naturellement, pour certaines personnes, ce n’était qu’une superstition. Il n’était pas écrit dans les Ecritures que Dieu allait faire une telle chose, par conséquent beaucoup de gens ne croyaient pas cela. Mais beaucoup croyaient que c’était la vérité parce que cela produisait des résultats. En effet, la première personne qui souffrait d’une quelconque maladie et qui entrait avec foi dans l’eau, l’ange… La vertu de l’eau, le phénomène de la chose, l’eau agitée, que beaucoup de gens pensaient être simplement le vent qui soufflait vers le mur… En effet, un mur entourait la piscine. Et dans un certain sens, il se pourrait que le vent envoyait en sens inverse le courant de l’eau qui arrivait,  ce qui agitait l’eau. Mais ce qu’il y avait d’étrange là-dedans, quand une personne qui avait la foi entrait dans la piscine, l’agitation cessait et cette personne était guérie quelle que fût sa maladie.
8.         Eh bien, c’était une chose bien étrange, les gens voyaient les résultats produits par la piscine. Et ils voyaient les résultats sur la personne. Par conséquent les gens croyaient que Dieu envoyait un ange.
            Et aujourd’hui, comme cela est écrit dans les Ecritures, nous croyons que c’était un ange, nous les chrétiens, parce que la Bible déclare que c’était un ange. La Bible, en ce temps-là… Ce Nouveau Testament n’était pas encore écrit. Les gens avançaient simplement au pas de la foi, comme nous le faisons aujourd’hui, en marchant dans un autre âge : les pas de la foi.
            Mais quand notre Maître est venu, Il était la voie à laquelle Dieu a pourvu pour la guérison des corps malades. Dieu a des saisons et Il avait pris des dispositions pour cette génération déterminée.
9.         Quand Charles G. Finney qui, à mon avis (et je ne suis qu’un individu), fut l’un des plus grands ministres depuis saint Paul... Il a affirmé avoir gagné un million d’âmes à Christ. Dwight Moody, en son temps… Charles Finney était un – un juriste, un homme instruit, et il était le message de Dieu au monde de son époque, un homme instruit qui avait réuni plusieurs centaines de juristes. Et vous avez lu sa biographie, je suis sûr, la plupart de tous ceux qui lisent ces choses, les livres religieux. Et c’est un – c’est un chef-d’œuvre.
            Ensuite vint Dwight Moody, qui était un véritable illettré, un homme sans instruction. Sa grammaire était très pauvre, mais il était le message de Dieu pour cet âge-là. Dieu a un message dans chaque âge.
10.       Et dans les jours du voyage des enfants d’Israël dans le désert, Dieu avait un message qui était un serpent d’airain sur une perche, préparé pour une double raison : pour le pardon de péché et pour la guérison de leur corps mordu par le serpent, pour lequel leur assistance médicale ne pouvait rien. Et Moïse était instruit dans toute la sagesse des Egyptiens, lesquels étaient des médecins très intelligents, très habiles. Mais ses – ses remèdes n’étaient d’aucune aide pour ce genre de morsure de serpent. Et nous croyons que c’est la vérité parce que la Bible le déclare. Et il a élevé un serpent d’airain et le peuple n’avait rien à faire sinon regarder à ce serpent d’airain et croire que c’était le double remède de Dieu pour leurs péchés (pour leur rejet du serviteur de Dieu,  pour leurs plaintes contre lui) et pour la guérison contre la morsure du serpent.
11.       Jésus a dit : « Comme Moïse fut… éleva le serpent d’airain, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé, » la même raison.
            Et maintenant, ce serpent était la voie à laquelle Dieu avait pourvu pour la guérison pendant plusieurs, plusieurs années. Et après le serpent, les gens se mirent à adorer la statue, le serpent, plutôt que ce qu’elle représentait. Et cela amena le peuple dans l’idolâtrie. Par conséquent, le prophète alla prendre le serpent et le détruisit.
            Plus tard, quand le peuple a eu besoin de la guérison divine, Dieu envoyait un ange à la piscine. Eh bien, les Ecritures déclarent que c’était un ange et que c’était à la piscine. Et la première personne qui y entrait et qui avait la foi était guérie.
12.       Or, ce passage de l’Ecriture déclare qu’un grand nombre de boiteux, d’estropiés, d’aveugles et de paralytiques, était couché là, attendant le mouvement de l’eau. Et alors, quand la première personne était guérie, toute la vertu de l’ange qui était dans l’eau, sa puissance, entrait dans la personne malade. L’eau redevenait calme et l’ange ne revenait plus pendant plusieurs jours, jusqu’à une autre saison, peut-être après quatre, cinq ou six semaines. Mais les gens attendaient patiemment la venue de l’ange.
            Et beaucoup d’entre vous, membres du clergé qui êtes assis ici, sans doute que vous en avez lu l’histoire : combien les gens se battaient même avec des couteaux, essayant de marcher les uns sur les autres pour atteindre la piscine et y entrer le premier. Quelle multitude en souffrance cela devait être !
13.       Et quand est venu le Divin Fils de Dieu né d’une vierge, et Il était l’Agneau auquel Dieu avait pourvu, le Sacrifice auquel Dieu avait pourvu, Jéhovah-Jiré, Celui auquel Il avait été pourvu… Et quand Il est né, les gens de cette époque-là, de Son époque, particulièrement les religieux, n’ont pas cru en Lui, parce qu’Il n’était pas venu d’une manière classique, tel que eux  L’attendaient. Il est plutôt venu humblement, né dans une mangeoire, emmailloté. Il n’y avait aucun chant à Sa naissance, comme il y en a à la naissance d’un roi. Pour les mortels, quand un roi naît, le peuple chante et jubile. Mais il n’y avait aucun roi, personne pour chanter à la naissance de ce Roi. Mais les anges sont descendus et ont chanté aux bergers : « Dans la ville de David est né Christ, le Sauveur. »
14.       Et des mages ont vu un – un phénomène, une étoile, et il y avait – il y avait même beaucoup plus d’observatoires en ce temps-là que nous en avons aujourd’hui, car chaque ville avait son propre observatoire. Et ils observaient le temps au moyen des étoiles. La sentinelle se tenait sur la tour de l’observatoire, et il observait les étoiles. Vous vous souvenez, « Quelle heure est-il ? », a-t-on demandé à la sentinelle. Elle a dit : « Le jour vient, et la nuit aussi. » Elle observait les étoiles, et elle savait l’heure qu’il était. Mais cette (remarquez maintenant) – cette lumière magique, comme nous pourrions l’appeler pour que même les enfants puissent comprendre, cette lumière mystérieuse est passée au-dessus de chacun de ces observatoires, venant de l’Orient. Il est dit : « Nous avons vu Son Etoile en Orient. » Mais Son Etoile n’était pas en Orient par rapport à eux. Eux, ils étaient à l’est, regardant à l’ouest, vers la Palestine, et ils ont vu Son Etoile. Mais aucun observatoire, aucun  historien ni personne d’autre n’a écrit quelque chose là-dessus, ou aucun homme en ce temps-là n’a vu l’étoile, à l’exception des mages, et elle les a conduits à Christ. C’était la boussole à laquelle Dieu avait pourvu.
15.       Et il se faisait que ces hommes étaient des descendants de Cham, Sem et Japhet, les trois fils de Noé. Et ils sont venus et ont offert des dons au Fils de Dieu. Et Il a dit dans Matthieu 24 : « Quand cette Bonne Nouvelle aura été prêchée à toutes les tribus, toutes les langues et toutes les nations, alors viendra la fin. » Quand les pères étaient venus pour célébrer Sa naissance, ils ont offert l’or, l’encens et la myrrhe pour L’adorer, alors quand leurs enfants auront tous entendu le message de l’Evangile…
16.       Eh bien, l’Evangile, comme on le croit généralement, est la Parole de Dieu, et c’est vrai dans un sens. Mais la Parole de Dieu, ce n’est pas seulement l’Evangile. La Parole de Dieu, c’est la Semence qui produit l’Evangile. Jésus a dit qu’un semeur sortit pour semer la semence. Et une partie de la semence tomba dans les endroits pierreux ; une autre partie tomba le long du chemin, et les oiseaux du ciel la mangèrent ; une autre partie tomba sur un terrain couvert de chardons ; une autre partie tomba et donna du fruit au centuple.
            Eh bien, la semence, vous ici qui êtes des fermiers, chaque semence  portera du fruit si elle est dans une bonne terre. Et chaque promesse divine donnée par Dieu dans la Bible portera du fruit si elle est reçue dans un bon cœur. Cela produira la promesse. Si vous avez besoin du salut, croyez qu’Il vous sauve et acceptez Sa mort sacrificatoire, et vous recevrez ce que vous avez demandé. Si vous êtes fatigué et triste et que vous sentiez comme si tout le monde est contre vous, « venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos ». Voilà une semence. Recevez-la. Et si vous êtes malade, « Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris ». Recevez cela. C’est une semence qui produira.
17.       Quand vous semez une semence, vous ne la déterrez pas chaque matin pour voir si elle a germé. Si vous le faites, votre semence ne germera jamais. Vous devez la planter, la confier à la terre et la laisser tranquille. C’est à la nature, à Dieu, de l’arroser et de veiller à ce qu’elle porte des fruits. Est-ce vrai ?
            C’est donc ainsi que vous y allez avec la Parole de Dieu. Recevez-La dans un bon cœur, déjà fertilisé et dont ont déjà été ôtés toutes les plantes rampantes, les endroits rocailleux et pierreux, les doutes, et dans un bon et riche sol de la foi, et croyez-La, confiez-La à Dieu, et allez votre chemin, témoignant que vous avez reçu ce que Dieu vous a promis. Et Il est le Souverain Sacrificateur de votre confession pour confirmer tout ce que vous avez confessé qu’Il a accompli. Voilà l’Evangile. Eh bien, l’Evangile ne consiste pas en paroles seulement.
18.       Pourriez-vous imaginer les gens en train de geler à mort, et moi, je leur peins l’image d’un feu, et je dis : « Regardez le feu qui brûle. Ne fait-il pas chaud ? Regardez ces gens qui se tiennent tout autour, se réchauffant » ? Mais  ça, ce n’est qu’une peinture de quelque chose qui a été. Vous gèleriez malgré tout en regardant cette peinture. Ce qu’il faut, c’est que ce feu-là soit  reproduit de nouveau pour que vous vous réchauffiez. 
            Et l’Evangile de cette époque-là est écrit dans la Parole comme une histoire, un feu peint de ce qui était. Recevez la même semence qu’ils ont reçue, et elle sera une réalité vivante en vous, et elle vous fera passer par la même expérience qu’ils ont eue.
            Vous dites : « Révérend Branham, est-ce la vérité ? » Selon ce que disent les Ecritures, le grand saint Paul a dit : « L’Evangile n’est pas venu à nous en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit. »
            Et quand Jésus a donné à l’Eglise la commission d’aller par tout le monde prêcher la Bonne Nouvelle, Marc 16 : « Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas… Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru… »
19.       Or, beaucoup de gens professent qu’ils croient, et aujourd’hui dans mon église, comme dans la plupart de nos églises, nous considérons comme croyant celui qui est fidèle à l’église, qui vient régulièrement à l’église et occupe une – une place, une position dans l’église et soutient celle-ci dans ses besoins financiers. Mais c’est vraiment contraire à ce que Jésus a dit. Jésus n’a pas dit : « Voici les miracles qui les accompagneront : ils occuperont leur place dans l’église, et ils seront des membres fidèles » et ainsi de suite. Il n’a jamais dit cela.
            Mais voici Sa dernière déclaration à l’Eglise. Ecoutez. « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ou ils saisiront des serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
20.       Et ensuite, Il est monté au Ciel. Et les disciples L’ont adoré et sont retournés à Jérusalem ; le Seigneur travaillait avec eux, confirmait la Parole par des miracles qui L’accompagnaient. Est-ce l’Ecriture ? Je la cite exactement comme Il l’a dit. Alors je ne suis pas respon… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… un homme couché là. Cela semble-t-il juste ? Non, ça ne semble pas juste. Il savait où se trouvait cet homme. Il savait que l’homme souffrait d’une infirmité depuis trente-huit ans. Eh bien, peut-être qu’il souffrait des troubles cardiaques. Peut-être qu’il souffrait de l’arthrite, ou peut-être qu’il souffrait de la tuberculose. Peut-être qu’il souffrait de l’anémie. Peut-être qu’il souffrait de l’estomac. C’était une infirmité. Il n’était pas estropié, ni affligé, ni incapable de marcher, car il a dit : « Pendant que je descends, un autre descend avant moi. » Mais il souffrait d’une infirmité depuis trente-huit ans, et Jésus passa là et guérit ce seul homme, puis s’en alla, laissant cette grande multitude d’estropiés, de boiteux, d’aveugles et de paralytiques. Est-ce vrai ? Eh bien, je cite Jean 5.
21.       A présent, considérez cela. Pourriez-vous imaginer l’Aimable et Tout-Puissant Jésus passer par là où était une telle masse humaine constituée d’aveugles, d’infirmes, de boiteux, de paralytiques, et passer juste au milieu de ces gens, et guérir un seul homme qui n’était pas paralytique, ni aveugle, ni boiteux, ni estropié ? Mais il souffrait d’une infirmité depuis trente huit ans. Et Jésus sachant qu’il était dans cet état depuis longtemps, Il lui a dit : « Veux-tu être guéri ? »
            Il a dit : « Je n’ai personne pour m’amener dans l’eau ; pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. »
            Jésus a dit : « Prends ton lit, et marche. » Et l’homme s’en alla. Et Jésus, avec le cœur de Dieu en Lui, s’en alla carrément, laissant tout le reste de cette multitude couchée là, des infirmes, des aveugles, des boiteux et des paralytiques. C’est ça l’Ecriture ici (l’Evangile selon la Bible) de saint Jean. Et ceci n’est pas du fanatisme, mais que tous ceux qui savent que cela est la vérité, et que je l’ai lu ici dans cette Ecriture-ci, veuillent bien dire « amen ». [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
22.       Je me demande pourquoi ce Fils de Dieu immaculé, dont l’amour et la grâce sont infinis, est passé à côté d’une multitude de gens et les a laissés couchés là, dans cette condition-là. Eh bien, je pense, s’Il avait dit à cet infirme-là, ou à ce paralytique ou à cet autre paralytique, ou à cet aveugle… Je crois que Son cœur était ému de compassion pour eux. Croyez-vous cela ? Son cœur était ému de compassion. Et je crois que s’Il avait dit à l’un d’eux : « Lève-toi et marche », ou « Tu as recouvré ta vue », je crois que la chose serait arrivée, pas vous ?
            Mais écoutez maintenant, alors que je lis les versets qui suivent, lorsqu’Il était interrogé, au verset 19 :
            Jésus reprit donc la parole, et leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement.
            Car le Père aime le Fils, et lui montre tout ce qu’il fait; et il lui montrera des oeuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement.
            Voyez-vous ce que je veux dire ?
23.       Eh bien, Jésus, le Fils de Dieu, a dit : « Moi, le Fils de Dieu, Je ne peux rien faire à ce sujet, car Je ne peux faire que ce que Mon Père me montre à faire. En effet, ce que le Fils voit (amen), voit faire au Père, le Fils aussi le fait. Car le Fils… Le Père montre au Fils ce qu’Il fait et Il vous montrera des choses plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans l’étonnement. » Saint Jean 14.12, je cite Jésus : « Ces choses que Je fais, vous les ferez aussi. Et vous en ferez de plus grandes, parce que Je m’en vais au Père. » Je cite encore l’Ecriture : « Il est avantageux que Je m’en aille, car si Je ne m’en vais pas, le Saint-Esprit ne viendra pas. » En plus : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin de l’âge. » Je cite encore Hébreux 8.13, plutôt 13.8 : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » « Quand le Consolateur sera venu, le Saint-Esprit, Il vous conduira dans toute la vérité et dans toute la lumière, et Il vous annoncera les choses à venir. » Est-ce vrai ? Ce sont là des citations des Ecritures qui sont des Paroles mêmes de Jésus.
24.       Eh bien, est-ce alors étrange aujourd’hui que les Paroles de Jésus se soient accomplies sous nos propres yeux ? Serait-ce étrange aujourd’hui que les incroyants disent que c’est le diable ? Non, Jésus, je Le cite encore, a dit : « S’ils ont appelé le Maître de la maison (c’est-à-dire Lui, la maison de Dieu) Béelzébul (ce qui veut dire un spirite)… S’ils ont appelé le Maître de la maison Béelzébul, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi les gens de Sa maison ! » S’ils ont appelé le Grand Sacrificateur, le Souverain Sacrificateur, le Prophète de tous les prophètes, le Roi de tous les rois, s’ils L’ont appelé, Lui la Puissance de toutes les puissances, alors qu’Il accomplissait Ses œuvres, parce qu’Il était un Voyant et le Maître de tous les voyants qui existaient, qui ont existé avant et qui viendront, le Chef de tout cela, l’Auteur de tout cela, s’ils L’ont appelé Béelzébul, un spirite, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi ces voyants mineurs de la maison ! S’ils ont appelé le Père un démon, à combien plus forte raison appelleront-ils Ses enfants des démons ! » Voyez-vous ce que je veux dire ?
25.       Ainsi, prenez votre position ce soir, mon cher ami, du côté où se trouve Christ, du côté où Il prouve absolument qu’Il se trouve.
            « Et maintenant, ceci n’est pas accompli (cela vient de mon cœur), ces choses ne sont pas accomplies en secret. Elles sont accomplies publiquement, afin que tout le monde puisse voir. Elles ne le sont pas dans une seule partie du monde. Cela est confirmé à travers le monde, et Il confirmera encore cela. Ces choses sont faites afin que s’accomplisse ce qui a été déjà prophétisé dans la Bible et qui devait arriver en ces derniers jours.
26.       Je sens maintenant l’Esprit de Dieu. Ecoutez attentivement. Le voici qui vient. C’est une chose glorieuse. Ceci est le jour du Seigneur. Voici le jour où nous devons être heureux. Car, sous nos yeux aujourd’hui ainsi qu’à nos oreilles s’accomplit la Parole de Dieu pour ce jour, la Parole que l’Eternel a prononcée. Loué soit le Nom du Seigneur ! C’est cela, le Saint-Esprit est ici en confirmation de Sa Parole. La prophétie qui a déjà été annoncée et prédite est en train de s’accomplir maintenant sous nos yeux ce soir à Erie, en Pennsylvanie. Et le Saint-Esprit qui a écrit ces Paroles est ici ce soir dans ce dépôt d’armes, pour confirmer la Vérité de Dieu, selon la Parole, la semence, et l’accomplissement de la Parole. Il est ici. Alors réjouissons-nous dans nos cœurs, et soyons encouragés. Préparons-nous et prenons garde à ce que nous avons entendu, sinon nous allons laisser cela nous échapper à tout moment. Croyons en Lui d’un seul cœur et d’un commun accord. Nous sommes limités, et je suis limité à ce que le Père me montre, et que je peux faire ; sans cela, je ne puis rien faire, car je ne fais qu’accomplir les Paroles que le Seigneur Jésus avait prononcées.
27.       Jésus, quand Il est venu, Il a dit qu’Il était venu pour accomplir la Parole de Dieu, ce que les prophètes avaient déclaré. Amen. Il était venu pour accomplir la prophétie de l’Ancien Testament. Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Eh bien, le Saint-Esprit est ici pour accomplir la prophétie du Nouveau Testament. Croyez-vous cela ? Alors réjouissons-nous, car aujourd’hui, c’est le grand jour de notre Seigneur.
            Ne soyez pas abattus, vous qui êtes malades et affligés. Ne soyez pas abattus, vous qui êtes déprimés. Et vous les bien-aimés qui êtes ici dans des fauteuils roulants, sur des civières et des lits de camp, selon la médecine, vous ne vous rétablirez probablement jamais. Et les précieux médecins ont peut-être fait tout leur possible pour vous aider, mais ce sont des hommes comme moi. Et Dieu sait que si j’avais un peu d’autorité ou de puissance, je descendrais carrément de cette estrade, et dans quelques minutes, il n’y aurait pas une seule personne malade ici. Je le ferais. Et c’est ce qu’aurait fait mon Maître, quand Il est passé par Béthesda et qu’Il a regardé cette grande multitude de dix mille personnes couchées là, estropiées, affligées et aveugles. Mais Il a dit : « Je ne peux faire que ce que Mon Père me montre. »
28.       Et ainsi, tout mortel est limité devant la puissance de Dieu. En effet, aucune chair, même le Fils de Dieu ne se glorifie devant le Père, car Il a dit : « Ce n’est pas Moi qui fais les œuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres. Il montre au Fils ce que Lui-même fait, et le Fils le fait pareillement. » Le même Evangile, par le même Dieu, est ici ce soir.
            Bientôt, dans quelques jours, nous devons nous rendre en Afrique. D’un côté, je déteste en quelque sorte partir. Je déteste dire au revoir à mon épouse, à mes enfants et tout. L’autre matin dans un restaurant, une dame m’a dit : « Allez-vous laisser votre petite épouse et ces enfants pour aller en Afrique ? »
            J’ai dit : « Oui, madame. »
            Elle a dit : « Pourquoi allez-vous en Afrique ? »
            J’ai dit : « C’est pour apporter l’Evangile de Jésus-Christ. » Et j’ai dit : « Il a dit : ‘Quiconque n’abandonnera pas sa femme, ses enfants et tout, pour s’attacher à Moi, n’est pas digne d’être appelé Mon disciple. » Et j’ai dit : « C’est une si petite chose pour moi, d’abandonner ma charmante petite épouse, mes enfants et tout pour me rendre dans les champs missionnaires à l’étranger, alors que Lui est descendu de la gloire et est mort pour moi.’ » Elle est allée chercher mon petit déjeuner, puis elle est revenue quelques instants après. Elle a dit : « Monsieur, très peu de gens pensent comme cela aujourd’hui. » Ce monde est affamé, mes amis. Donnez aux gens l’Evangile dans son authenticité, dans sa puissance. Pour qu’un feu vert clignote vers l’Afrique…
29.       J’étais à Houston, le soir où la photo de l’Ange du Seigneur là derrière a été prise. Deux jours avant que la photo soit prise, le docteur Bosworth est venu, il a dit : « Regardez ça, Frère Branham. » Il avait la photo de la feue… la petite fille de la feue Florence Nightingale, la célèbre infirmière anglaise. Je crois que c’était son arrière-arrière-petite-fille. Elle était en Afrique du Sud et elle avait une tumeur maligne au niveau de… ?... de l’estomac. On la soutenait là-bas  alors qu’elle n’était rien que des os, vraiment rongée. On la soutenait comme ceci, elle mesure presque six pieds [1,83 m – N.D.T.], une femme grande, maigre, aux cheveux blonds. Elle se tenait comme cela, et ses bras ayant à peu près cette dimension ; je pense qu’elle pesait quarante livres [environ 18 kg – N.D.T.], ou trente-cinq livres [environ 16 kg], ou quelque chose comme cela. Et sur son corps, ici, elle portait un petit vêtement. Et quand il m’a montré cela… Et elle était en train de supplier. Elle avait envoyé un billet d’avion pour que de là, je m’envole pour l’Afrique sans tarder.
30.       Des fois, quand je rentre chez moi, il y a là huit ou dix billets venant de différents endroits. Et je m’agenouille simplement et prie, et je demande au Seigneur à quel endroit aller. Les autres, je les retourne. Je m’efforce d’aller là où le Seigneur me conduit. Et c’est – c’est dur, dans un sens, mais c’est si doux. La nuit, quand vous posez la tête sur l’oreiller, de savoir que vous avez fait de votre mieux pour faire quelque chose pour quelqu’un, peu importe qu’il y ait beaucoup de mépris à supporter et qu’il y ait beaucoup de croix, je pense :
            Jésus doit-il seul porter la croix,
            Et tout le monde être libre ?
            Il y a une croix pour chacun,
            Et il y a une croix pour moi.
            Tout cela n’est pas un lit fleuri d’aisance, mon ami. La nuit, ce sont des combats. Et quelquefois, quand les démons ont été sommés de quitter les gens, qu’ils combattent et que la personne croit, alors ils vous poursuivent directement la nuit comme cela. Vous feriez mieux de savoir ce que vous faites. Très bien.
31.       On m’a remis la photo, et frère Bosworth a dit : « Frère Branham, je… La voici, tout ce que je peux faire, c’est vous la remettre. » Et je – j’ai dû pleurer comme un bébé. Je me suis juste agenouillé sur le plancher et j’ai déposé là le télégramme, plutôt les papiers et la photo. Et ma femme et ma fillette se sont agenouillées autour de la photo, et nous avons prié. J’ai dit : « Père céleste, Tu sais que je ne peux pas partir d’ici maintenant, humainement parlant, pendant que des milliers de gens attendent. » J’ai dit : « Si seulement Tu peux toucher cette pauvre et précieuse femme qui se meurt là en Afrique et la guérir, ce sera un feu vert pour que j’y aille, si seulement Tu la touches et la guéris. » J’ai dit : « Je ne peux pas faire davantage à ce sujet. Eh bien, je suis disposé à quitter les réunions, à faire tout ce que Tu veux que je fasse, ô Père. »
            Dieu fait cela des fois. Vous souvenez-vous de Philippe ? Et je Lui ai confié le cas, et j’ai remis la photo au docteur Bosworth. Et puis, j’ai tout simplement continué.
32.       Et puis, le roi George d’Angleterre, vous le savez tous qu’il m’a envoyé un télégramme à deux reprises pour que j’aille prier pour lui. C’était quand un homme ici à Fort Wayne était guéri de la sclérose en plaques, un ami de son secrétaire particulier, qui avait été cloué au lit pendant dix ans. Je ne pouvais pas m’y rendre à ce moment-là, mais je savais que je serais en Angleterre dans peu de temps, ainsi j’ai tout simplement prié pour le roi.
            Et le jour où nous avons atterri, frère Baxter, moi et les autres de la – pour la campagne qui avait financé notre voyage là-bas avec l’argent provenant de l’Amérique,  nous avons atterri en A… – Angleterre, je ne l’oublierai jamais, j’ai dit à frère Baxter : « Frère Baxter, maintenant j’aurai peut-être un petit peu de repos avant d’entrer dans ce moment de grande tension. » En effet, nous savions qu’il y avait des milliers et des milliers qui attendaient en Finlande.
33.       Alors demain soir, le Seigneur voulant, je vous dirai ce qui est arrivé en Finlande. Mais présentement, notre temps s’envole.
            Et quand je me suis mis en marche, j’ai entendu quelqu’un m’appeler par haut parleur à l’aéroport international, lequel est situé hors de Londres, à environ trente miles [environ 48 km – N.D.T.] Frère Baxter a dit : « Laissez-moi y répondre, Frère Branham. » Et il est allé.
            Il y avait là des ministres, ils m’appelaient par haut parleur. Ils disaient : « Venez par ici. Cette demoiselle Florence Nightingale de l’Afrique vient  d’arriver par avion avant vous. Elle est mourante et veut que vous veniez vers elle. » Oh ! comment pouvais-je l’atteindre là dans toute cette foule ?
            Je lui ai parlé, j’ai dit : « Emmenez-la chez vous. Je dois aller là au palais de Buckingham. Ensuite, appelez-moi, et je serai à l’Hôtel Piccadilly. » Frère Baxter et moi avons fait des arrangements avec lui. Nous avons continué jusqu’à l’hôtel.
34.       Et le jour suivant, après nous être rendus au palais, et jusque chez John Wesley et à d’autres endroits, nous sommes revenus à l’abbaye de Westminster. Et puis, nous sommes entrés dans l’hôtel. Et ce ministre, un ministre anglais, a appelé ; il avait son petit taxi. Et nous nous sommes rendus chez lui, et c’était une matinée plutôt brumeuse. Nous sommes montés à l’éta… avait une belle maison, et sa grande église. Nous sommes montés à l’étage. Et il y avait beaucoup de gens pour nous accueillir.
35.       Et, oh ! frère, sœur, vous qui avez lu mon petit livre, vous y avez lu l’histoire de la petite Georgie Carter ; elle ne pesait que trente livres et quelques [environ 15 kg – N.D.T.]. Pendant neuf ans et demi, elle ne s’était jamais déplacée. Je pensais que c’était la personne la plus misérable que j’eusse jamais vue, car elle ne s’était jamais levée de son dos pendant neuf ans et huit mois. Ce soir, elle est ma pianiste à l’Eglise baptiste de Milltown, où je suis pasteur. Mais… Et les gens dans le voisinage avaient dit : « Qu’elle soit guérie, et nous allons tous croire. » Mais pas un seul n’est devenu croyant. Ils ont donc pensé qu’elle avait été ensorcelée ou hypnotisée. Il y a de cela des années et elle est donc toujours ensorcelée et hypnotisée. Depuis lors, elle a gagné près de cent livres [45 kg – N.D.T.]
36.       Alors, cette femme, quand nous sommes entrés là… Quand frère Baxter l’a regardée, il – il a tout simplement détourné le visage. C’est à peine s’il pouvait supporter de regarder la pauvre femme. Et moi-même, quand je l’ai vue, je – j’ai cru que mon cœur allait gonfler. Elle ne pouvait pas parler assez fort pour que je l’entende. Je me suis donc penché très bas, et une des infirmières interprétait ce qu’elle disait ou plutôt me disait. Elle a dit : « Frère Branham, je veux toucher votre main. » Et, oh ! mes amis, nous – nous allons tous partir un jour, à moins que Jésus vienne prendre Son Eglise. Et nous devons retourner à la poussière de la terre, car Dieu a arrêté que nous devons y retourner.
            Quand j’ai tenu cette main, je ne crois pas (je parle sincèrement) que ce soit différent de la main d’un squelette : tout aussi froide, et ce n’était rien que des os. Et j’ai tenu sa main. Et son bras n’était que des os.
37.       Et elle voulait que je voie son corps. Eh bien, j’aimerais déclarer ceci : je suis… j’ai ici un auditoire mixte. Mais je voudrais que vous me compreniez en tant que votre frère. Et sur son – son corps, lorsqu’on a retiré d’elle le – le drap, elle n’était pas – n’avait pas l’apparence d’un humain, cela ressemblait à un squelette. Comme une dame, tel qu’elles sont constituées au niveau de la poitrine, tout s’était affaissé et il ne restait à ce niveau que les côtes. Et son corps était si maigre qu’au niveau de ses hanches, là où se trouvait l’anneau, l’anneau au niveau de la hanche, la peau était devenue un à travers l’anneau comme cela. Et ses membres n’avaient environ que cette dimension à peu près à cette hauteur où ils s’emboîtent dans la cavité. Comment cette femme vivait encore, notre Père céleste seul sait. Et elle pleurait, les larmes coulaient sur le côté de son visage. Et je ne sais pas où il y avait assez d’humidité aux… pour produire les larmes. Ses jambes étaient tout bleues, les os, comme sur son corps, par où elle était nourrie avec du glucose et des histoires, car depuis plusieurs mois, elle n’était plus en mesure d’avaler quelque chose.
38.       Et l’infirmière s’est penchée pour entendre ce qu’elle disait. Elle a dit : « Dites à frère Branham de demander à Dieu de me laisser mourir. Je n’arrive pas à mourir. » Elle ne pouvait pas manger. On n’arrivait plus à trouver les veines. Et elle était juste couchée là, en train de dépérir. Nous étions frère Baxter, frère Lindsay, frère Moore, moi-même et deux ou trois ministres, ainsi que les infirmières et les bien-aimés de la maison ; j’ai dit : « Inclinons la tête pour la prière. » Et quand j’ai commencé à prier…
            Ma Bible est ouverte devant moi. Et notre Père céleste est près pour écouter ce que je dois dire, et ce que vous…
            Juste quand j’ai commencé à prier, j’ai dit : « Notre Père qui es aux cieux ! », une petite colombe est venue à la fenêtre. Et elle s’est mise à faire « cou, cou », allant et revenant, « cou, cou. » Et pendant toute ma prière, elle roucoulait. Et quand je me suis levé, les ministres ont commencé à dire : « Avez-vous entendu la colombe ? » Et comme je me levais, la colombe s’est envolée. Et juste quand j’allais dire que j’ai entendu la colombe… Comme vous le voyez ici, le soir ici, je n’avais pas le contrôle de ce que j’allais dire, et j’ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous vivrez, vous ne mourrez point. »
39.       Nous avons présentement une lettre de sa part. Elle pèse cent trente-cinq livres [61 kg – N.D.T.], elle est parfaitement en bonne santé. L’épouse de mon secrétaire est assise ici ; elle envoie la photo d’une personne qui a une apparence différente ; vous ne pourrez même pas la reconnaître, par rapport à ces os [qu’elle était], de tous les médecins qu’on peut réunir.
            Qu’était-ce ? Etait-ce ma prière ? Non, c’était sa foi dans ce que Jésus a fait pour elle il y a mille neuf cents ans. De même que vous avez été sauvée du péché et de la honte il y a mille neuf cents ans, et vous avez été amené à la communion avec Dieu, non pas parce que Jésus vous a sauvé hier soir ou l’année passée, mais parce qu’à ce moment-là, vous avez accepté ce qu’Il avait déjà fait pour vous. « Et Il était blessé pour nos péchés ; c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris. »
40.       Eh bien, si vous voulez accepter maintenant ce qu’Il a fait pour vous alors… Eh bien, Il est le… Hébreux 3.1. Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Eh bien, quiconque connaît les Ecritures sait que ce mot qui est écrit, c’est profession, mais le même mot est traduit par confession. En d’autres termes, Il ne peut pas vous sauver sur base des mérites de votre prière. Il ne peut pas vous sauver sur base des mérites de votre enthousiasme ou de vos bonnes œuvres. Il vous sauve sur base des mérites de votre foi et de votre confession. « Car celui qui me confessera devant les hommes, Je le confesserai aussi devant Mon Père et les saints anges. » Et n’importe laquelle de toutes… ré… Suivez attentivement. Toute bénédiction rédemptrice écrite dans la Parole…
            Maintenant, vous n’avez pas besoin de discuter là-dessus, pour savoir si cela est inclus dans l’expiation. Si cela se trouve dans la Parole, Dieu est souverain et doit accomplir Sa Parole. « Car le ciel et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront point. » Si Dieu a dit cela…
41.       Dieu ne vaut pas plus que Sa Parole. Et si Sa Parole ne vaut rien, alors Il ne vaut rien. Si votre parole… Si je ne peux pas avoir confiance dans ce que vous dites, c’est que vous ne valez rien. Mais vous valez exactement ce que vaut votre parole. Et Dieu vaut exactement ce que vaut Sa Parole. Et moi, en tant que croyant chrétien, je crois que cette Bible est inspirée, qu’Elle a été écrite par le Saint-Esprit et qu’Elle est la Parole infaillible de Dieu. Et Dieu est lié par obligation vis-à-vis de Sa Parole, vis-à-vis du croyant qui accepte Sa Parole. Et chaque Parole est une semence. Si vous l’acceptez dans votre cœur par la foi, la croyez et la confessez, Dieu l’accomplira.
42.       Maintenant, puis-je dire encore ceci, car plusieurs fois les journaux, les magazines, à travers le monde, ont déclaré, m’ont taxé de guérisseur divin. Souvenez-vous, c’est une erreur. Je suis très reconnaissant pour les reportages faits sur moi dans les magazines et les journaux. Sur l’ensemble de tous les commentaires, il y en a eu environ deux ou trois qui m’étaient hostiles. Presque tous étaient très favorables. Le Post Dispatch, le Chicago Tribune et tous ces autres-là, vous avez lu cela là dans le livre. Et le temps pour vous de pouvoir envoyer directement une réponse à ces journaux et les atteindre, pendant ce temps les gens viennent et sont même guéris eux-mêmes, les journalistes et les autres. C’est quand ils sont allés examiner les cas pour voir, prenant leur temps plutôt que de fermer simplement – simplement les yeux, et dire : « Eh bien, il ne fait pas partie de notre église. »…
43.       Chers frère et sœur, il n’y a qu’une seule Eglise, et c’est le Corps des croyants qui sont sortis de toutes les églises, qui sont de véritables croyants en notre Seigneur Jésus-Christ. Voilà la seule Eglise qui existe. On n’entre pas dans l’Eglise – dans l’Eglise de Dieu. On entre dans cette communion fraternelle ; la communion fraternelle baptiste, la communion fraternelle méthodiste, la communion fraternelle catholique, la communion fraternelle presbytérienne. Nous y entrons par un contrat, comme ce que les associations ont dans les églises. Mais dans l’Eglise du Dieu vivant, on n’y entre pas par une lettre, par – par une poignée de main, par le baptême d’eau. Mais l’Ecriture dit : « Nous avons tous été baptisés par un seul Esprit pour former un seul corps. » Un chrétien, peu importe la communion fraternelle à laquelle nous sommes associés, nous sommes nés des chrétiens par l’Esprit de Dieu, et nous devenons des croyants en Son Nom.
            Oh ! combien je L’aime ! Et combien je sais que vous L’aimez ! Et combien je désire ce soir qu’Il guérisse chacun de vous !
44.       Et maintenant, comprenez clairement, avant que nous appelions cette ligne, qu’il n’y a pas de puissance dans aucun homme sur la terre pour vous guérir par la guérison divine. Un médecin peut faire une ablation ; il peut remettre en place un bras. Il peut ôter l’appendice, mais qui va guérir cet endroit où il a retranché l’appendice ? Il peut arracher une dent, mais qui va guérir cette alvéole ? Il peut remettre en place un bras, mais qui va ressouder cet os ? Il faut le surnaturel. Et toutes les guérisons qui s’opèrent dans les hôpitaux, sur les lits de malades, dans les cabinets de médecins, toutes les guérisons sont opérées par Dieu. Peu importe l’assistance que vous utilisez, ce ne sont que des remèdes ; c’est Lui qui opère la guérison. Les remèdes sont une assistance ; c’est Dieu qui opère la guérison. Comprenez-vous ? Eh bien, le médecin fera tout son possible pour vous aider, pour assister la nature, mais c’est Dieu qui opère la guérison.
45.       Psaumes 103.3 dit : « Je suis l’Eternel qui pardonne toutes tes iniquités (Croyez-vous cela ?), qui guérit toutes tes maladies. » Maintenant, vous pourriez venir me confesser vos péchés, et me demander de prier pour vous, mais je ne peux pas vous pardonner. Si vous avez péché contre moi, je peux vous pardonner. Mais si vous avez péché contre Dieu, Il est le seul qui puisse pardonner. Et Il a pardonné chaque personne au monde, et chaque personne qui  viendra au monde. On est déjà pardonné, mais cela n’est d’aucune utilité jusqu’à ce qu’on accepte cela par la foi et le confesse ensuite.
            Et Il a guéri tous les malades, mais cela ne leur sera d’aucune utilité jusqu’à ce qu’ils confessent cela par la foi, qu’ils croient cela et agissent sur base de leur confession. « Comme le corps sans âme est mort, dit Jacques, de même la foi sans les œuvres est morte. » Vous devez croire cela et agir en conséquence. Lorsque vous L’acceptez comme votre Sauveur, vous devez croire cela et agir comme Lui.
46.       Maintenant, cela… Je suis venu au monde, non pas par la volonté d’un homme ni par un homme, mais par la volonté de Dieu, par la divine prédestination de Dieu ; ce n’est pas par ma sainteté, je n’en ai aucune. Ce n’est pas par la sainteté de ma famille ; ma famille, là dans la génération précédente, c’étaient des immigrants venus de l’Irlande. Ils étaient des catholiques. Tout le monde était catholique jusqu’à la dernière génération. Ils ne fréquentaient aucune église du tout, ils étaient séparés, mon père et ma mère sont tous des Irlandais : Branham et Harvey ; ils n’avaient pas du tout de religion. Je suis venu jusqu’à ce… Oh ! la la ! je ne fréquentais pas l’église jusqu’à l’âge de 24 ans. Loin de l’église, mais le…
47.       Lors de ma naissance dans cette petite cabane des montagnes du Kentucky, cette Lumière que vous voyez sur la photo, que la recherche scientifique du monde a déclarée être un Etre surnaturel, est entrée dans la pièce. Elle m’accompagne depuis que j’étais petit garçon. Et Elle me parlait, et c’est Elle qui m’a envoyé ceci, et Elle a dit qu’Elle était envoyée de la Présence de Dieu, qu’Elle me donnerait ces choses à accomplir devant les gens, et non pas pour leur dire d’adhérer à l’Eglise méthodiste, baptiste ou presbytérienne, mais pour croire au Seigneur Jésus-Christ et ils seront guéris ou sauvés de leurs péchés.
            Ainsi, je dis la Vérité. Et si je parlais et déclarais que c’était moi, moi-même, je serais un menteur, car ce n’est pas moi. Mais c’est… je parle de Lui et Il est la Vérité. Et Il va confirmer cela comme étant la vérité. Si vous priez en étant sincère ce soir, pendant que le service est en cours, si Dieu me montre ce qui vous est arrivé, je vais le dire. S’Il ne me le montre pas, je ne saurai le dire.
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:36

48.       Et, en tant que Son serviteur, je demande à chacun de vous qui êtes malade ce soir… Il y a un grand nombre de cartes ici. Nous ne pouvons en appeler qu’un petit nombre à l’estrade, parce que je ne peux pas rester très longtemps sous cette onction. Les organisateurs et mon fils m’emmènent, car j’ai une autre réunion demain soir.
            Et quiconque connaît de manière scripturaire la Bible sait de quoi il s’agit. Considérez la vertu de l’ange, elle restait sur une seule personne. Considérez Daniel, quand il a eu une vision, il a dit : « J’eus l’esprit troublé pendant plusieurs jours. » Est-ce juste ?
            Et soirée après soirée… Pourquoi ? Parce que Jésus a dit : « Les choses que Je fais, vous les ferez aussi, et vous en ferez davantage. » Cela n’est mentionné que quelques fois. Là où Il a dit à la femme…
            Quand un homme du nom de Nathanaël est venu vers Lui, Il a dit : « Voici un Israélite », en d’autres termes, un chrétien. Celui-ci a dit : « Quand m’as-Tu connu ? »
            Il a dit : « Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu. » Est-ce vrai ?
            Il a dit à la femme avec laquelle Il avait une conversation, pour saisir son esprit, Il a dit : « Va chercher ton mari. »
            Elle a répondu : « Je n’ai point de mari. »
            Il a dit : « Tu as eu raison de le dire ; tu en as cinq. »
            Quelques fois seulement dans les Ecritures… Mais Il a promis : « De plus grandes », ce qui signifiait : « Vous en ferez davantage, parce que Je m’en vais au Père. » Maintenant, c’est l’accomplissement de la Parole.
49.       Puisse le Seigneur Jésus bénir chacun de vous, pendant que nous inclinons la tête pour la prière.
            Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants ce soir pour la puissance de l’Evangile, du fait que des âmes affamées acceptent de s’asseoir dans des bâtiments surchauffés, et bien des fois jusqu’à quarante mille personnes à la fois se tiennent sous un soleil accablant de Jamaïque, et dans les océans, plutôt dans les îles de l’océan, pour écouter l’Evangile de Christ apporté dans Sa simplicité, mais aussi dans Sa puissance. Et de voir le Saint-Esprit descendre sous forme de miracles pour guérir les nécessiteux, nous T’en remercions, Père.
50.       Nous Te remercions pour ce grand Etat de Pennsylvanie, pour son gouverneur, pour toutes les autorités et pour la ville d’Erie. Les gens, les églises, tous, Seigneur, se tiennent là, leurs longues flèches pointant vers le ciel, et le matin, quand la cloche sonne, les gens s’empressent à l’église pour trouver une consolation qui apaise leurs âmes ; de savoir que ceci n’est que l’ombre, le négatif. Un jour, la mort va développer l’image ; et alors nous verrons face à face, et nous connaîtrons tel que nous avons été connus.
            Beaucoup sont malades et privés du privilège de se déplacer ; pour plusieurs, leurs jours sont écourtés à moins de soixante-dix ans. C’est Satan qui a fait cette mauvaise chose.
51.       Et, ô Père, comme Ton humble serviteur ce soir, je ne prie pas pour que ces gens m’entendent, mais je m’adresse à Toi, ô Dieu. Puisse l’Ange qui m’a guidé, étant envoyé par Toi, et qui m’a nourri durant ma vie, puisse-t-Il se tenir à côté de moi ce soir pour confirmer les paroles que j’ai prononcées, afin que les gens croient en Toi, et soient sauvés et guéris.
            Et puisse-t-il, après le déroulement de cette série de réunions, quand les gens prendront conscience de ce qui vient de se passer, puisse-t-il y avoir un réveil dans chaque église de cette ville. Que cette ville (oh !) soit toute entière en effervescence pour le Seigneur Jésus. Que chaque membre du clergé de cette ville soit inspiré, Seigneur, en voyant son église se remplir et les gens venir faire leur confession, et désirer se joindre à l’église et vivre pour Christ. Quand il verra les malades qui étaient autrefois malades guéris ensuite, et témoignant sur des milliers d’autres guérisons, Seigneur, croyant… Accorde-le ce soir, Seigneur, afin que quelque chose arrive, qui va les secouer.
52.       Maintenant, j’ai déclaré devant cette audience et devant Toi, ô Seigneur, qu’il n’y a aucun homme qui soit guérisseur divin ou sauveur. Seul Ton Fils bien-aimé a fait cela pour nous. Et nous nous inclinons humblement pour Lui donner toute la louange et toute la gloire pour ce qu’Il a fait. Et nous Te demandons humblement ce soir, Seigneur, d’augmenter notre foi dans Son œuvre achevée au Calvaire, lorsque la grande souffrance subie à notre place y a payé le prix du double remède ; en effet, « Il a été blessé pour nos péchés et par Ses meurtrissures nous sommes guéris. » Puisse ce double remède venir vers chacun ici ce soir. Et comme l’aveugle Fanny Crosby, le poète, a écrit autrefois :
Ne m’oublie pas, ô doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri ;
Pendant que Tu visiteras les autres,
Ne m’oublie pas.
 

Toi, la fontaine de mon réconfort
Plus que la vie pour moi ;
Qui, à part Toi, ai-je sur terre
Ou là au ciel, à part Toi ?
53.       Et ce soir, de voir ces gens assis ici, souffrant du cancer, des troubles cardiaques, n’ayant plus que quelques jours à vivre, après quoi ils devront répondre là au jugement, ô Dieu, ne les oublie pas, ô doux Sauveur. Mais que quelque chose soit fait, qui éveillera leur foi, pour qu’ils lèvent leurs yeux au-delà des soins du médecin, au-delà du brouillard et du voile, pour regarder là-bas et voir le sacrifice sanglant suspendu ce soir devant Jéhovah Dieu qui a dit : « Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. »
            Et nous entendons Sa voix gronder ce soir depuis la Palestine, disant : « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir. » Accorde-le, Seigneur, qu’il en soit ainsi ce soir.
            Et, à présent, je Te demande humblement, en tant que Ton serviteur, de me cacher derrière le voile maintenant même. Prends, ô Seigneur, non pas parce que je suis digne, je suis indigne, mais à cause de Ton peuple qui est ici, et Ton digne Fils est mort pour cette cause louable… Si Tu cherchais des mains saintes ce soir, où les trouverais-Tu ? Nous avons tous péché et sommes privés de la gloire de Dieu. Mais, ô Père, Ta Parole est déterminée, et Elle doit s’accomplir. Accorde qu’aujourd’hui et ce soir, les déclarations que j’ai faites concernant l’Ange du Seigneur au cours des soirées précédentes, que cela soit confirmé ce soir. Que plusieurs parmi Ton peuple croient et soient sauvés.
54.       Et maintenant, Seigneur, je ne connais rien au sujet de ces gens-ci. Toi, Tu connais tout à leur sujet. Et que leurs cœurs soient tournés ce soir vers le Calvaire pour croire. Et alors qu’ils croient, veux-Tu bien montrer à Ton humble prophète, Seigneur, ce soir, et que je sois en mesure, par la puissance du Saint-Esprit, de voir ces gens, et qu’ils soient guéris. Car je le demande humblement en tant que Ton serviteur, au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, qui a étendu Ses bras pour guérir. Amen.
            Chaque enfant de Dieu qui croit est-il dans la dimension de la prière ? Tous les croyants, tenez-vous ensemble maintenant. Et comme nous le savons bien… Je ne veux pas dire « se lever ». Je veux dire être d’un seul cœur. Merci. Merci. Tenez-vous avec moi dans la prière comme un seul homme.
            Savez-vous que là où il y a désunion, l’Esprit de Dieu n’est pas le bienvenu ?
55.       Savez-vous que quand Jésus entra pour relever, ressusciter la fille de Jaïrus, et que les gens ont dit, eh bien, elle… Il a dit : « Elle n’est pas morte ; elle dort. » Ils se sont moqués de Lui. Est-ce juste ? Et Il les a tous fait sortir du lieu. Est-ce juste ? Il a pris les croyants.
            Et quand Pierre entra pour ressusciter Dorcas, l’aimable et charitable veuve, et que les gens pleuraient et se lamentaient, eh bien, il fit sortir tout le monde de la maison.
            Jésus a pris un homme par la main et l’a conduit hors de la ville (où se trouvaient les sacrificateurs incrédules et les autres) ; Il l’a conduit hors de la ville, et l’a guéri de la surdité. Est-ce juste ?
            Et je suis sûr que vous, les croyants chrétiens, vous reconnaissez ma position ce soir. Et maintenant, sachez ceci, partout dans la salle : je ne suis pas responsable de tout ce qui peut arriver aux incrédules ou aux sceptiques. Car soyez rassurés que les maladies sont absolument des démons.
56.       Par exemple, la surdité ou la mutité… Eh bien, le médecin a dit que les nerfs de l’oreille sont morts. Eh bien, qu’est-ce qui les a tués ? Pourquoi tout en lui n’est-il pas mort ?
            En effet, il y a une puissance surnaturelle qui les coupe, et ils ne peuvent plus fonctionner. C’est comme une bande transparente autour de ma main, si vous ne pouvez pas la voir ou la sentir, c’est le seul sens qui va déclarer cela. Et si les sens naturels ne déclarent pas cela ; ce qu’il s’agit d’un être surnaturel.
            Maintenant, est-ce vrai ?
57.       Ecoutez ce que Jésus a dit, quand l’esprit de surdité est sorti de l’homme, ce dernier a entendu. Est-ce juste ? Quand l’esprit de surdité, quand l’esprit de mutité est sorti de l’enfant, ce dernier a parlé ; l’esprit. Et quand ils sortent d’un… Les démons sont impuissants, à moins qu’ils soient incarnés dans un corps. Considérez le démoniaque de Gadara qui vint à la rencontre de Jésus. Ils ont dit : « Envoie-nous dans ces pourceaux », ils n’avaient pas un corps.
            Et Jésus a dit : « Allez. » Et les pourceaux ont fait des crises que connaissait le maniaque, et ils se sont précipités dans la mer et se sont noyés, en faisant des crises juste comme l’homme.
58.       Considérez les deux garçons dans la Bible, ou des vagabonds, un ministre, les fils du sacrificateur qui sont allés chasser d’un homme un démon, un sort d’épilepsie : Actes 19. Ces gens avaient vu Paul chasser les démons ; et ils avaient vu Jésus, alors ils ont dit à ce démon qui était dans l’homme : « Nous te conjurons par Jésus que Paul prêche, sors ! » Le démon a répondu : « Je connais Jésus, et je sais qui est Paul ; mais vous, qui êtes-vous ? » Et le démon se rendit maître de ces hommes et les dépouilla de leurs vêtements ; et ils s’enfuirent dans la rue, nus. Est-ce vrai ? Eh bien, ces démons sont toujours des démons ce soir, mais on les nomme épilepsie, surdité, mutité, cancer, cataracte. Ce sont des démons. Et quand ils sortent, ils vont chez d’autres personnes. En effet, beaucoup, beaucoup, beaucoup à travers la nation ce soir se trouvent dans l’affliction à cause de cela.
            Qu’on le sache donc, que je ne suis pas responsable pour les critiqueurs, je le suis seulement pour les croyants. Ça ne s’approchera pas de quiconque croit que ce que j’ai dit est la vérité. Très bien.
59.       Eh bien, si nous pouvons… Voyons, où est mon fils ? Bien, quel est… Combien de cartes as-tu distribuées ? La série G, de 50 à 100. Hier soir, nous avons commencé au début de la série, alors… la soirée qui a précédé, nous avons alors commencé au milieu. Commençons avec les dernières, les 15 dernières : 85, 90, 95 à 100. Commençons par la série G.
            Maintenant, c’est juste… Qui que vous soyez, jetez un coup d’œil autour de vous, vérifiez les cartes. Jetez un coup d’œil autour de vous. Voici un homme qui… Est-ce là la vôtre, monsieur ? 70, G-70. Jetez un coup d’œil là autour de vous, il se pourrait que ça soit quelqu’un qui est sourd ou quelque chose comme ça, qui n’entend pas. Regardez, vérifiez leurs cartes. G-85, 90, 85, ou 85, 90, 95, 100. Commencez par là et prenez-les, les quinze dernières de la série. Et maintenant, alignez-vous ici selon votre numéro, s’il vous plaît. 85 et – et 90 – 90… 85, 86, 87, 88, 89, 90, et ainsi de suite jusqu’à 100. Très bien.
60.       Combien ici… Merci, monsieur. Merci, monsieur. Merci, monsieur. Combien ici n’ont pas de cartes de prière ? Faites voir la main maintenant. Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous rétablir ? Très bien. 
            Eh bien, souvenez-vous, mon ami chrétien, je somme chaque croyant ici présent de prier le Dieu Tout-Puissant, le Père de notre Seigneur Jésus, de vous guérir.
            Eh bien, ces gens ont une carte, et cette carte porte un numéro. Et sur la… La raison pour laquelle nous faisons cela, si je disais ici : « Que tout celui qui veut qu’on prie pour lui, monte ici », imaginez quelle foule nous aurions. Et si je disais : « Tous les tels et tels », comme cela, vous n’aurez personne pour commencer. Nous distribuons simplement ces cartes, et ensuite nous commençons quelque part et les laissons être appelées. Personne ne sait où on va commencer, nous en décidons quand nous sommes déjà ici.
61.       Et maintenant des gens sont étendus ici sur des lits de camp et des civières, et ainsi de suite. Quelqu’un, pouvez-vous jeter un coup d’œil là sur votre carte, madame, vous dont les mains semblent tordues. Pouvez-vous tenir votre carte ? Voyez quel numéro elle porte. Oh ! la la ! Très bien, madame, regardez par ici et demandez à notre Père céleste de vous guérir ce soir. Qu’en est-il de la vôtre ? Est-ce votre carte ? Votre carte n’était pas du nombre ?
            Maintenant, vous les dames qui êtes sur des civières, suivez et croyez de tout votre cœur. Vous m’êtes inconnues. Je ne vous connais pas. Mais suivez et croyez de tout votre cœur que Jésus-Christ sera ici pour vous rétablir. Croyez-vous cela ? Vous croyez qu’Il le fera ?
            Combien parmi vous là-bas sont malades (Voyons encore maintenant) ceux qui n’ont pas de cartes de prière, et qui veulent être guéris ? C’est… Eh bien, c’est presque tout le monde, c’est absolument partout.
62.       Eh bien, soyez en prière, et notre Père céleste va me révéler la chose. Croyez-vous qu’Il le fera ? Très bien, alors priez et demandez-Lui de vous guérir. Ayez la foi maintenant. Et que l’Eternel Dieu bénisse chacun de vous.
            Maintenant, vous tous qui êtes dans la ligne, croyez-vous de tout votre cœur ? Chacun de vous croit-il ? Très bien, ayez alors foi en Dieu. Je sais que je ne connais personne parmi vous, je ne pense pas. Non, personne parmi vous. Très bien, ayez la foi maintenant et amenez votre premier malade.
63.       Bonsoir, madame ! Eh bien, je suppose que nous sommes des inconnus. Je ne pense pas vous avoir déjà vue de ma vie. Mais nous sommes – nous sommes des inconnus dans la vie, et vous êtes venue vers moi pour une assistance. Et je perçois immédiatement que vous êtes une chrétienne, une croyante ; en effet, le Saint-Esprit n’embrassera pas le péché. Vous avez remarqué cela dans les réunions, si vous avez été ici auparavant. Quand il y a un péché sur l’estrade, ou là dans l’auditoire, Il dénonce carrément la chose, parce qu’Il ne peut pas tolérer le péché ; Dieu ne le peut pas. Il est saint, et Il ne peut tolérer le péché. Et je vous demande de me croire en tant que Son serviteur, et faites-le.
64.       Maintenant, vous avez simplement reçu une carte de prière, et elle porte un numéro et une lettre. Et cela a été appelé, et vous êtes venue vers moi comme une inconnue. Maintenant, la raison pour laquelle je vous parle est que vous êtes ma première malade. Et je – et je dois entretenir la conversation, afin de…
            C’est comme Jésus a dit à la femme au puits : « Apporte-moi à boire ! »
            Elle a dit : « Il n’est pas de coutume que les Juifs demandent quelque chose aux Samaritains. »
            Il a dit : « Mais si tu savais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. » Et la conversation s’est poursuivie ; alors Il est allé droit [au but] et lui a dit ce qui clochait en elle. N’est-ce pas juste ? Vous voyez, les… Il a promis que les choses qu’Il a faites, Il les accorderait aussi, et qu’il y aurait la pluie de la première et de l’arrière-saison, et que ces choses se produiraient en ces derniers jours.
65.       Maintenant, vous êtes consciente qu’il se passe quelque chose, n’est-ce pas ? Vous – vous en êtes consciente maintenant même, alors que je commence à vous parler. Eh bien, quelque chose vient donc d’arriver, n’est-ce pas ? Eh bien, cela n’était pas… Ce n’est donc pas pour vous faire mal. C’est pour vous guérir. Avez-vous vu la photo de Cela là au fond hier soir ? Vous n’étiez pas ici. Je veux que vous passiez par la réception et voyiez la photo, vous verrez ce que c’est, l’aspect de cela, lorsque les meilleures recherches de l’Amérique… Et aujourd’hui, elle est suspendue dans le hall des arts religieux : un Etre surnaturel.
            Maintenant, afin que cet auditoire le sache, depuis que nous sommes en conversation, une sorte de sensation réelle, je dirais douce et agréable vous envahit. Est-ce vrai ? Si c’est vrai, levez la main. Eh bien, il s’agit en fait de l’Ange du Seigneur, qui entre en contact. Quelque chose ne marche pas en vous. Et si… et je suis Son serviteur.
            Juste comme ce fil qui se trouve dans cette lampe est au service de la lumière, ce n’est pas le fil ; c’est l’électricité qui le parcourt, qui donne la lumière, le fil ne peut pas donner la lumière.
            Moi non plus, je ne peux pas connaître ce que vous avez comme problème, ni vous donner de La lumière. C’est le… cet Esprit que vous sentez maintenant qui apporte la Lumière.
66.       Oui, madame, vous êtes souffrante, n’est-ce pas, sœur ? Vous êtes une personne extrêmement nerveuse. Vous avez beaucoup d’ennuis. Et vous – vous êtes tourmentée par… N’est-ce pas que vous connaissez beaucoup de nuits… vous vous réveillez la nuit, ou quelque chose comme cela ? Pas vrai ? Oui, madame. Je vous vois passer la nuit, toujours avec… Est-ce vrai ? [La sœur dit : « C’est vrai, tout à fait vrai. » – N.D.E.] Ensuite, vous – vous avez eu… Je vois un médecin debout près de vous. Non, vous avez subi plusieurs opérations, n’est-ce pas ? C’est juste. Et vous êtes vraiment… Votre principal ennui se situe dans le dos. N’est-ce pas juste ? C’est dans votre dos, et c’est ce qui fait que vous ayez un… de l’estomac et ainsi de suite. N’est-ce pas vrai ? Ces choses sont-elles vraies, madame ? [La sœur dit : « Ces choses sont tout à fait vraies, tout à fait vraies. » – N.D.E.] Eh bien, personne du tout… seul Dieu doit révéler cela.
            Eh bien, ce n’était pas moi qui parlais alors. C’était ma voix, mais j’étais à plusieurs différents endroits et j’ai vu ce qui est arrivé. Est-ce vrai ? [La sœur dit : « C’est tout à fait vrai, deux opérations à la fois, et cinq une autre fois. » – N.D.E.]
            Eh bien, qui… J’ai dit cela, n’est-ce pas, pendant que je parlais ? Très bien, qui aurait donc su cela, excepté Dieu, ou quelqu’un qui était sur les lieux pour voir ces choses se passer ? Est-ce juste ? Parfois cela… Je ne me rends simplement pas compte de ce qui s’est passé. Mais à présent, vous… Cette sensation n’est pas comme elle était, n’est-ce pas ? Vous voyez, c’est parti. C’est parti quand la bénédiction de Dieu était sur vous.
67.       Est-ce le même Esprit qui a parlé à notre Seigneur Jésus-Christ, quand Il a dit à Nathanaël qu’Il l’avait vu en prière sous un arbre, avant qu’il vienne auprès de Lui et que Jésus lui dise qu’il était un chrétien ou, en d’autres termes, un croyant ? Est-ce le même Esprit ? Le même Esprit. Il est revenu de nouveau sur vous, n’est-ce pas ? Vous êtes bénie, ma sœur. Vos prières sont exaucées. Votre souffrance est terminée. Christ vous a guérie. Vous êtes bien portante. Vous pouvez partir et être bien portante au Nom du Seigneur Jésus.
            Grâces soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ, qui a ramené l’Esprit de Dieu et le Christ ressuscité, qui est présent ce soir pour guérir tous ceux qui sont dans le besoin. Il est ici, mes amis. Je n’ai aucun moyen pour vous L’apporter. Seule votre foi le rend présent. Et observez le changement de l’expression des malades quand ils arrivent à l’estrade.
68.       Maintenant, quelques instants, si l’onction continue à venir sur moi, je ne saurai plus où j’en suis. Maintenant, soyez sûrs pour la réunion de demain soir. Et que Dieu vous bénisse donc. Soyez en prière, là-bas. Et amenez le malade suivant que vous avez.
            Bonsoir, madame ! Notre – notre merveilleux Sauveur est formidable, n’est-ce pas ? Oui, madame. Oui, madame. Bien, Il est tout aussi doux et bienveillant envers nous ce soir qu’Il l’a toujours été. Oui, madame. Bien, croire cela fait de vous une chrétienne, quand l’amour de Dieu est dans votre cœur. Bien, voilà, c’est ce que nous ressentons. C’est tout simplement humain, et heureux ceux qui ont faim et soif de la justice. C’est même une bénédiction que de ressentir cela.
            Eh bien, naturellement, en vous voyant debout là portant des verres, on sait… N’importe qui dans l’assistance saurait que c’est cela, que quelque chose cloche dans vos yeux. Et maintenant, ils paraissent tout à fait clairs ; mais je crois que le problème se situe surtout dans votre œil gauche. N’est-ce pas juste ? [C’est vrai.] Oui, madame. Et tous les deux sont tout aussi clairs, mais vous êtes en train de perdre votre oeil gauche. [C’est juste, frère.] Pas seulement cela, mais votre oreille gauche est en très mauvais état. [Oh, gloire à Dieu ! C’est juste.] N’est-ce pas ? Oui, madame. Oh ! je vois que c’est tout votre côté gauche…  [Gloire au Seigneur ! C’est juste.]
69.       [Espace non enregistré sur la bande – N.D.E.]… et à cette pauvre femme qui est souffrante, j’impose les mains et demande, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit rétablie, Seigneur. Je la bénis, en tant que Ton serviteur pour sa guérison. Amen.
            Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, sœur. Partez en rendant grâces… Partez maintenant en témoignant que vous serez rétablie. Tenez-vous-en à votre témoignage. Amen.
            Disons : « Merci, cher Jésus. Merci, cher Jésus. » Très bien, amenez le malade suivant. Maintenant, que chacun soit respectueux et ait la foi maintenant. Et si vous croyez, Dieu vous rétablira. Il vous rétablira.
70.       Eh bien, venez juste un moment, chère sœur. Je voudrais juste… Il y a beaucoup de gens là-bas qui croient, et ça rend la chose très pénible. Il y a beaucoup de gens assis là-bas maintenant qui sont déjà guéris. Et ça – ça me rend vraiment nerveux ou plutôt faible. Et maintenant, vous m’êtes inconnue, je ne vous connais pas, et pour épargner mon énergie, je voudrais juste vous parler un moment, si possible pour entrer en vision. C’est la vision qui me casse. Eh bien, nous sommes des inconnus vous et moi ; nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Vous ne m’avez jamais vu de votre vie comme… n’est-ce pas ? Nous sommes justes des inconnus.
            Maintenant, je veux que vous me donniez votre main droite. Et, maintenant, je veux que vous me croyiez de tout votre cœur. Oui, madame. Vous avez un cancer. Est-ce vrai ? Vous avez un cancer, et c’est au sein, n’est-ce pas ? C’est sur le sein droit. Est-ce juste ? Comment ai-je, dites-vous, comment ai-je su cela ?
71.       Je veux que vous remarquiez quelque chose juste un moment. Pendant que vous avez vos mains posées sur la mienne, je veux que vous observiez ma main que voici. Voyez-vous ces petites choses blanches qui parcourent ma main ? C’est ce que je détermine… Je ne sais pas ce que c’est. J’appelle simplement cela des vibrations. C’est une grosseur qui vit en vous, qui a une vie. C’était un germe juste comme vous-même l’avez été. Et vous commencez à développer des cellules et à devenir un être humain dans le sein de votre mère. Mais ce germe n’était pas en vous alors ; c’est un germe de la mort. Et il est entré en vous et a commencé à construire une petite habitation, à développer des cellules, et c’est devenu une grosseur. Et cela développe des cellules, et un corps juste comme le vôtre ; seulement ça n’a pas de forme, et ça n’a pas de libre arbitre comme vous. Il a un maître, c’est le diable ; une détermination, prendre votre vie.
72.       Maintenant, suivez ici. Je veux que vous déplaciez… La Bible dit : « Toute l’affaire se réglera sur la déclaration de deux témoins ou plus. » Est-ce juste ? C’est vrai. Maintenant, retirez votre main de la mienne ; regardez maintenant ma main : elle est tout aussi normale que la main de tout autre homme, n’est-ce pas ?
            Maintenant, posez votre mouchoir juste ici. Prenez cette main-ci, celle-ci, et posez cette main là-dessus. Il n’y a aucun changement du tout, dans ma main, n’est-ce pas ? Juste comme la main de tout autre homme. Eh bien, je me demande pourquoi cela vient de cette main-ci et pas de celle-là.
            Maintenant, je veux que vous voyiez, ce n’est pas dû à la position. Vous voyez, ma main est tout à fait normale. Maintenant, je vais retirer ma main, et la placer là-dessus. Maintenant, il n’y a rien.
73.       Venez ici, Révérend Baxter. Je sais… J’ai examiné le révérend Baxter plusieurs fois, et je sais qu’il n’y a rien qui cloche, à moins que cela ait commencé ces quelques deniers jours. Eh bien, je vais poser sa main, sa main droite sur la mienne. Toujours rien, n’est-ce pas ?  Elle est tout aussi normale que possible. Maintenant, enlevez votre main, Révérend Baxter. Je vais poser ma main dessus ; elle est toujours normale, n’est-ce pas ? Maintenant, posez cette main là-dessus, de nouveau cette main-ci. Observez donc ce qui arrive. Voyez-vous ? Voyez-vous ce que je veux dire ?
            Maintenant, pourquoi c’est cette main-ci plutôt que celle-là ? Quand Il m’a parlé et m’a donné deux signes à accomplir devant les gens, comme Dieu l’avait dit à Moïse, Il a dit : « Tu prendras la personne par la main, la main droite. » Et cela va jusqu’à mon cœur, par la main gauche. Et vous voyez qu’il se produit quelque chose là. Et maintenant, la Bible dit : « Toute l’affaire se réglera sur la déclaration de deux témoins ou plus. » Est-ce juste ?
74.       Eh bien, vous êtes venue vers moi, comme une inconnue. Je ne vous connais pas. Et le Saint-Esprit ici, quand j’ai touché votre main, vous a dit ce qu’était votre ennui et où il se localisait. Est-ce juste ? C’est vrai. Et je n’ai aucun moyen du tout par lequel savoir cela, excepté par Dieu. Est-ce juste ? C’est un témoin. Est-ce juste ?
            Un second témoin ; le fait que vous voyez la chose sur ma main, une réaction physique. Est-ce juste ?
            Je voudrais que mon fils, qui n’a jamais vu ceci, s’avance. Mon fils n’a jamais vu ceci arriver. Je veux que tu observes, fiston. Je vais poser ma main ici. Vois-tu ma main ici maintenant ? Laisse-moi avoir ta main, Paul. Je vais placer la main du révérend Baxter là-dessus. Tu vois ?
75.       Maintenant, observe quand je pose la main de la dame là-dessus, observe ce qui se passe. Vois-tu ce que je veux dire ?
            Eh bien, te souviens-tu de cette nuit-là, à Vandalia, dans l’Illinois, quand tu étais couché, endormi sur le lit, et que l’Ange du Seigneur se tenait là au-dessus de moi. Et j’ai jeté l’oreiller sur toi et je t’ai réveillé et j’ai dit : « Regarde ! » Et tu es venu, en criant et en courant vers moi. C’est le même Ange de Dieu qui rend témoignage ici. C’est le même Ange de Dieu. C’est pour la première fois que Billy voit cela.
            Très bien, maintenant retirez votre main. Je voudrais garder votre main là juste un moment. Et je veux que vous voyiez, sœur, que ce n’est pas dû à la position. Voyez-vous ? Eh bien, voyez-vous cela ? Je veux que vous observiez cela juste un moment. Maintenant, les voilà venir par vague. Vous voyez, voyez-vous ici ? De petites… blanches, comme de petites verrues blanches. Vous pouvez les voir depuis l’auditoire. Observez-les. Eh bien, les voici qui apparaissent ici, les voilà qui apparaissent là. Les voyez-vous en mouvement là ? Maintenant, observez, les voilà disparaître. Les voici qui réapparaissent. Les voilà. Eh bien, c’est quoi ça ? C’est la vie de ce cancer qui s’agite, son esprit.
76.       Si seulement je peux vous amener à croire, cela va vous quitter. Si je ne le peux pas, ça peut vous retenir captive. Maintenant, cela dépend de votre foi dans l’œuvre achevée du Calvaire. Croyez-vous que Dieu a envoyé Jésus et que Celui-ci est mort pour votre guérison ? Très bien, sœur, votre foi vous a sauvée maintenant. Cela s’est arrêté, auditoire. Viens ici, Billy. Très bien, vous pouvez quitter l’estrade ; et soyez rétablie, sœur, au Nom du Seigneur Jésus. Votre foi vous a rétablie.
            Disons : « Grâces soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ ! » Eh bien, ce n’est pas ma prière qui l’a sauvée, c’est sa foi. Bon, elle était debout là ; il y a trois témoins : le premier, voyons, c’était… Il lui a été dit ce qui s’était passé, ce qu’elle avait fait, ou quelque chose comme cela, il lui a été dit quelque chose de surnaturel. Ensuite, la chose suivante qui est arrivée, est qu’Il lui a dit ce qui ne marchait pas et ce qui s’était passé. La chose suivante, elle a vu les résultats physiques. Ensuite, pendant que sa foi était là, au même endroit, la même main, pendant qu’elle regardait droit cela, la grosseur s’est dégonflée, la – la perturbation sur la main a disparu. La vie de cette tumeur maligne dans son sein gauche l’a quittée.
            Si elle continue à croire… Elle en est certaine maintenant. Demandez-lui, que certains d’entre vous lui posent la question, si une très fraîche sensation n’a pas parcouru son sein, et elle a été guérie.
77.       Je pense que nous devrions simplement incliner la tête avec révérence pour rendre grâces à notre Seigneur.
            Notre Père qui es aux cieux ! Que ton Nom soit sanctifié;    
            Que Ton règne vienne; que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
            Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien ;
            Pardonne-nous nos offenses ; comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c’est à Toi qu’appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !
            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout don spirituel, envoie Tes bénédictions sur ce peuple, augmente leur foi afin qu’ils sachent à cette heure que Tu les a visités, et que Tu as renvoyé sur cette terre, sous la forme du Saint-Esprit, le Christ ressuscité. Et puissions-nous dire ce soir, comme les apôtres d’autrefois sur le chemin d’Emmaüs ont dit : « Nos cœurs ne                       brûlaient-ils pas au-dedans de nous ? », quand ils ont reconnu que le Christ de Dieu était ressuscité des morts et était vivant parmi les hommes. Et, ce soir, nous sommes très conscients qu’Il est ressuscité des morts il y a mille neuf cents ans, et qu’Il vit pour toujours, demeure dans Son Eglise, intercédant pour les croyants qui confessent sur base de Ses oeuvres et de Sa souffrance subie pour nous au Calvaire. Dieu Tout-Puissant, reçois nos actions de grâces pour Lui. Nous  supplions au Nom de Jésus-Christ. Amen.
78.       Très bien, amenez cet homme. Bonsoir, monsieur. Je crois que la bénédiction de Dieu reposera sur vous, mon ami, que Dieu fera quelque chose ce soir pour votre cas, afin de vous amener à croire davantage au Seigneur. Evidemment, vous portez des lunettes, n’importe qui sait que – que vos yeux sont malades. Et… Mais il y a peut-être quelque chose de plus grave. Et maintenant, croyez-vous que ce que j’ai dit est la vérité ? Croyez-vous que ce que j’ai dit au sujet de Dieu est vrai ? Que ce que j’ai dit au sujet de Christ ainsi qu’au sujet du Saint-Esprit est vrai ? Alors l’Ange qui est descendu, que Dieu a envoyé dans ces derniers jours pour bénir Son peuple, après la prédication de Sa Parole… Et ces choses sur lesquelles les ministres ont bâti la foi tout au long de l’âge, et puis, de penser que Sa bonté est descendue dans les derniers jours pour faire quelque chose d’autre pour nous, envoyer un don prophétique qui Le magnifie devant les gens, et amène les gens à voir qu’Il est exactement le même aujourd’hui. Il vit encore pour toujours, étant assis, faisant l’intercession.
79.       Et les anges sont envoyés de Sa Présence, des esprits au service de Dieu, envoyés de la Présence de Dieu. Comprenez-vous, frère, que Dieu ne retire jamais Son Esprit de la terre ? Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit.
            Dieu a retiré Elie, mais l’Esprit d’Elie est venu sur Elisée. Et ensuite, plusieurs centaines d’années plus tard, Cela vint sur Jean-Baptiste, le même Esprit, l’a amené à agir de la même manière. Et puis, il est prédit qu’Il sera de nouveau ici dans les derniers jours. Voyez-vous ? Dieu retire Son homme, mais Son Esprit demeure. Il a retiré Son Fils, mais Son Esprit est resté sur la terre, le Saint-Esprit. Il L’a renvoyé sur la terre pour vivre parmi les hommes. Le savez-vous ? Vous le savez. [Un homme dit : « Oui, je le sais. Je crois cela. » – N.D.E.] Croyez-vous cela ? [« Je crois cela. »]
80.       Et puis, les Ecritures déclarent que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et Il a dit, et voyons donc si c’est vrai, puis Il a dit : « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. » C’est l’ordre du monde ; le jour tel qu’il se présente aujourd’hui. « Ils ne Me verront plus », parce que Son Etre physique a été offert en sacrifice comme un Agneau ensanglanté, un innocent pour nous coupables. « Et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. » Maintenant, qui est le « vous » ? Le croyant. « Car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. »
            Maintenant, cela s’adressait-il à Pierre, Jacques, Jean, et ceux qui se tenaient là ? Ils ne sont pas en vie ce soir. Ils sont en vie mais dans la gloire. Mais le croyant Le connaîtrait jusqu’à la fin du monde. Est-ce juste ?
81.       Monsieur, vous êtes quelqu’un qui réfléchit beaucoup, n’est-ce pas ? Certainement. Certainement. Vous – vous étudiez constamment des choses. Tout… Si j’ai dit ceci, c’est pour que vous sachez que bien des fois vous anticipez les choses. Eh bien, c’est – c’est héréditaire. Vous… Vous êtes constitué de cette manière-là. C’est vrai, n’est-ce pas ? Et vous – vous souffrez ce soir de l’estomac. N’est-ce pas ça ? Et en effet, vous ne pouvez pas manger certaines choses. C’est un estomac ulcéré. Cela a été causé par une situation qui est survenue il y a longtemps. Et vous êtes nerveux, vos yeux portent des stigmates et vous êtes pratiquement nerveux depuis longtemps, une nervosité  interne. Est-ce juste ? Je vous vois des fois au travail. Et vous vous asseyez, vous devenez si faible par moment que vous devez vous asseoir et vous reposer. Est-ce vrai ? Je ne suis pas en train de lire votre pensée, mon frère. Je vous assure, puisque le même Esprit qui parlait par notre Seigneur Jésus vous a révélé ce qui était dans votre vie… Est-ce juste ? Très bien, voulez-vous être… m’accepter comme Son prophète ? Je vous ai dit la vérité. Est-ce carrément par un Etre surnaturel ? Acceptez-vous cela comme tel ? Alors croyez-moi en tant que prophète de Dieu. Retournez chez vous et mangez ce que vous voulez, l’ulcère est guéri. Vous pouvez partir. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que le Seigneur Jésus vous rétablisse.
            Très bien, que tout le monde soit révérencieux. Venez, madame. Maintenant, soyez révérencieux. Dieu va vous bénir tous ce soir. Ayez foi en Dieu.
82.       Et, bonsoir, sœur. Je vois que vous êtes – vous êtes une croyante. Vous êtes dérangée depuis un certain temps, n’est-ce pas ? Vous avez quelque chose dans votre pensée qui vous inquiète. Bien sûr, la période de la vie par laquelle vous passez est une chose, si vous comprenez ce dont je parle, cela vous a totalement bouleversé, vous a beaucoup bouleversée. Vous comprenez de quoi je parle : la ménopause. Cela vous a amenée à cette condition extrême. Satan vous ment. Il essaie de vous amener à penser que vous êtes… tout va mal en vous, que vous n’allez pas vous rétablir, et de vous amener à croire que votre heure est proche, vous amener à penser quelquefois que vous avez franchi la ligne. Mais c’est faux. Et vous souffrez aussi d’une tumeur, n’est-ce pas ? Oui, oui. Etait-ce vrai ? C’était totalement vrai ? Eh bien, tout ce que j’ai dit, c’était la vérité. Je – je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame ? Je ne vous connais pas du tout. Nous ne nous connaissons pas. Et c’est la vérité. Et ce qui a été dit, ne pouvait être révélé que par un Etre surnaturel. Est-ce juste ? Croyez-vous que je suis Son prophète ? Alors venez ici, que je vous impose la main.
83.       Père, il est écrit dans la Parole, les dernières paroles qui sont sorties de la bouche de notre Maître, Il a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Ô Dieu, bénis cette femme dont je tiens la main ce soir.
            Et toi, démon, tu as essayé de la retenir, mais tu es dévoilé ce soir devant cet auditoire. Tu t’es caché en elle sous forme d’une tumeur. Tu pensais que tu pouvais te cacher d’un médecin. Mais tu ne peux pas te cacher de Dieu. Tu ne peux pas te mesurer à Lui. Je viens pour représenter Jésus-Christ du Calvaire, qui a remporté la victoire sur toi et ton espèce. Et je prends l’autorité ce soir, par une commission qui m’a été donnée par l’Ange de Dieu, qui est présent maintenant pour témoigner de cela. Tu ne peux plus la retenir plus longtemps. Sors d’elle, au Nom de Jésus-Christ.
            Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Ce n’est pas à vous que je parlais rudement. Vous êtes guérie maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Souvenez-vous maintenant, vous allez vous sentir heureuse comme c’est le cas maintenant, et vraiment bien pendant environ soixante-dix heures, peut-être soixante-douze, soixante-quinze heures. Et vous allez connaître une petite crise de maladie, avec une violente migraine. Ne vous inquiétez alors pas. Continuez à remercier Dieu pour votre guérison. Cela peut durer quelque temps. Vous serez étourdie et indisposée avec une tête qui tourne. Vous serez même obligée d’aller au lit. Mais ne vous lassez pas. Eh bien, si je vous ai dit ce qui était, et vous ai dit ce qui sera, si vous savez que le passé c’était la vérité, (est-ce juste ?), ce qui arrivera est aussi vrai. Partez, et que le Seigneur vous bénisse, ma sœur.
            Disons : « Dieu soit loué. » [L’assemblée dit : « Dieu soit loué. » – N.D.E.]
84.       Etes-vous des croyants ? Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, juste un moment, ne quittez pas là-bas juste une minute. Comme je deviens extrêmement faible... Que tout le monde soit aussi respectueux que possible. Prions juste un moment.
            Maître, j’ai l’impression que ma vie est en train de me quitter. Je ne sais pas combien de temps Tu me laisseras encore ici sur cette terre. Mais je prie que ça soit beaucoup d’années, si Tu peux m’utiliser. Mais quand Tu n’auras plus besoin de moi, puissé-je aller auprès de Toi. Je sais cependant que je serai en mesure de tenir jusqu’à ce que j’aurai achevé l’œuvre que Tu avais ordonné d’avance pour qu’elle soit accomplie.
            Et ce soir, il y a ceux qui n’étaient pas ici cet après-midi pour recevoir les cartes de prière. Ils sont étendus ici, les uns sur des civières, les autres sur des lits de camp, les autres dans des chaises roulantes, les autres ont des béquilles ; les autres se meurent de crises cardiaques, de cancers, et de toutes sortes de maladies. Je ne les connais pas, Père bien-aimé. Mais comme Ton Fils bien-aimé dans Sa grâce, nous devenons Tes fils à travers l’adoption par l’Esprit…
85.       Je Te prie, Dieu Tout-Puissant, que cette Ecriture soit accomplie, laquelle déclare : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement », afin que Ton humble serviteur soit en mesure maintenant de voir ce que Tu as fait ce soir, selon que Tu le permettras à Ton serviteur, l’Ange de Dieu, qui a été envoyé vers cette petite housse de pailles, posée là-bas dans les montagnes… Puisses-Tu être tout près ce soir pour bénir Ton peuple, et pour nous aider, Dieu bien-aimé, pour que chacun de nous voie Tes bénédictions. Et étant donné que Tu as confirmé Ta Parole ce soir, à travers Ton serviteur, que les gens ici croient de tout leur cœur. Il y en a qui sont assis ici n’ayant pas de cartes, ils ne peuvent pas venir dans la ligne de prière. Il y en a encore beaucoup dans la ligne qui doivent venir. Et je Te demande, Seigneur, de guérir ce soir. Et puisse leur foi s’élever maintenant et dire : « Si Dieu est sur l’estrade, oeuvrant à travers notre humble frère, ce Dieu-là est ici avec moi. Et Dieu ne fait acception de personne, et Il peut me guérir ici où je me trouve comme Il est là-bas, guérissant ceux qui reviennent de l’estrade. » Accorde-le, Seigneur.
86.       Et puisse Ton Saint Ange, qui est venu et qui a dit qu’Il était envoyé de Ta Présence, puisse-t-Il parler maintenant à travers Ton serviteur, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Amen.
            L’Ecriture dit : « Ayant fixé Son regard sur eux et connaissant leurs pensées… », je voudrais que vous soyez tous respectueux et croyiez au Seigneur maintenant de tout votre cœur.
            Eh bien, vous êtes là coupés de tout autre contact, sauf avec Dieu, et je ne suis en contact qu’avec Lui, selon que le Saint-Esprit me le permettra. Je ne peux dire que ce que je vois et ce que j’entends, c’est ce que je peux dire, mais pas plus. Et je voudrais que vous tous… Croyez-vous de tout votre cœur que ce que j’ai dit est la vérité ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
87.       Qu’est-ce que vous croyez, vous qui êtes par ici ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Si le Dieu Tout-Puissant me montre vos maladies depuis cette estrade, et vous adresse des paroles réconfortantes, vous croirez certainement en Lui. Le ferez-vous ? Très bien, ayez foi en Dieu.
            Je vois simplement la Lumière tout près de la femme. Oh ! je – je m’excuse, la femme vient d’être guérie, je pense. Etiez-vous dans la ligne de prière, il y a juste quelques instants, madame, vous qui êtes assise juste là ? Etiez-vous dans la ligne de prière ? Avez-vous été guérie ici dans la ligne de prière ? Bien, c’est pourquoi Elle se tient toujours au-dessus de vous. Je voyais la Lumière. Le tout… C’est comme si… Je prie Dieu de vous ouvrir les yeux pour que vous voyiez ce que je vois maintenant.
88.       Une dame est assise juste ici. Non, il ne s’agit pas d’elle ; il s’agit de ce garçon qui est assis ici. Dis donc, jeune homme, n’es-tu pas un… ? Mets-toi debout juste un moment. Il y a quelqu’un derrière toi, qui tire. Oh ! tu es un – tu es un prédicateur, ou plutôt tu vas devenir un prédicateur. Non, ton père est un prédicateur. Est-ce juste ? Je vois l’église, et il y a un… Oh ! tu es très malade, n’est-ce pas, jeune homme ? Tu as été examiné récemment par des médecins, ou quelque chose comme ça, est-ce juste ? C’est dans une – dans une grande salle où plusieurs médecins regardent à… Oh ! il s’agit de ton cœur. Je vois un cardiogramme. Est-ce juste ? Est-ce vrai ? Puisse le Seigneur te bénir, mon cher frère, et te rétablir. Sois… Que Dieu te bénisse. Aie la foi.
89.       La dame assise juste là derrière, vous êtes en train de perdre la vue, n’est-ce pas, sœur ? Il y a quelque chose qui cloche dans vos yeux, n’est-ce pas juste ? Je vous vois perdre cela. Voulez-vous croire que Jésus-Christ vous a guérie, il y a mille neuf cents ans ? Levez-vous et recouvrez la vue. Oui, madame, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
            Très bien, l’homme qui est assis là juste à côté de vous. Vous souffrez de l’asthme, n’est-ce pas, frère ? N’est-ce pas juste ? L’asthme ? Croyez-vous que Jésus vous a guéri, il y a mille neuf cents ans ? M’acceptez-vous comme Son prophète ? Levez-vous alors et acceptez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus.
            La dame assise à côté de vous, vous n’avez pas de carte de prière, n’est-ce pas, madame ? Oui. Vous souffrez d’une maladie de femmes, n’est-ce pas juste ? Que le Seigneur Jésus vous rétablisse, ma sœur, et vous guérisse. Ayez foi en Dieu.
90.       De ce côté-ci, combien parmi vous croient en Dieu ? Juste un moment. Respectueusement, là au fond, vous qui avez les mains levées, qui n’avez pas de carte de prière, là au fond, ayez la foi. Croyez maintenant. Il y en a tant. Vous qui êtes assis là, qui me regardez de manière si étrange, en cravate, vous étiez en prière, n’est-ce pas, monsieur ? Oui, je vous vois à genoux dans une chambre. Et vous avez prié en disant que si jamais vous pouviez arriver près de moi, vous seriez guéri. Est-ce juste ? Vous souffrez des reins, n’est-ce pas vrai ? Jésus-Christ vous rétablit, mon frère. Levez-vous.
            Eh bien, voilà parti cet esprit, une obscurité, des ténèbres quittent cet homme, apparemment vous pouvez voir cela, observer cela. Il y a un partenaire qui sympathise avec lui. Juste un instant. Le voilà qui tombe, juste un instant. Oui, le voilà qui tombe sur un homme, l’homme qui est assis là en t-shirt, aux cheveux noirs, ayant ses mains sur le visage. Lève-toi, jeune homme. Tu souffres des calculs rénaux, n’est-ce pas juste ? Accepte maintenant Jésus comme ton Guérisseur, qui t’a guéri il y a mille neuf cents ans. Aie foi en Dieu. Ne doute pas.
91.       Qu’en est-il de vous, madame qui êtes assise là, la femme de couleur ? Vous souffrez de l’arthrite, n’est-ce pas ? Eh bien, pourquoi ne vous levez-vous pas pour accepter Jésus-Christ comme votre Guérisseur ? Jetez votre béquille, et rentrez chez vous, soyez rétablie. Ayez foi en Dieu.
            Regardez par ici, vous les boiteux et vous qui êtes dans vos fauteuils [roulants] et sur vos civières, croyez-vous ? La rate gonflée, vous venez du Canada, un secret vous a été caché, madame : vous avez aussi un cancer. Croyez-vous en moi en tant que prophète de Dieu ? Voulez-vous être guérie ? Croyez-vous que je dis la vérité de la part de Dieu ? Alors au Nom du Seigneur Jésus-Christ, levez-vous de votre lit de camp, soyez rétablie.
            Croyez-vous, madame ? Vous qui êtes couchée sur la civière, vous êtes mourante. Vous en rendez-vous compte ? Vous êtes mourante. Et vous avez aussi un cancer, n’est-ce pas ? Alors au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, levez-vous de ce lit de camp, et recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
            Croyez-vous, chacun de vous ? 
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:37

Le Prophète connaît le cœur

1    Merci, Frère Baxter, merci beaucoup. Bonsoir mes amis. Je suis heureux d'être par ici de nouveau ce soir pour représenter notre Seigneur JÉSUS-CHRIST et Son grand pouvoir de sauver et de guérir jusqu'aux extrémités de la terre. Les Frères me disaient à l'instant que le micro n'était pas très bon ce soir. Et pouvez-vous m'entendre tout là-bas au fond? Tout en haut? Pouvez, si vous pouvez lever la main, afin que je puisse entendre cela, savoir que tout au fond... ça va; ça va.
    Je suis un peu fatigué ce soir, j'étais debout jusqu'à environ deux heures du matin, et le Seigneur... J'avais quelque chose dans mon esprit, et Il... Je suis resté debout et j'ai prié jusqu'à ce qu'Il envoie Sa puissance et qu'Il me révèle ce que c'était. Et cela est arrivé aujourd'hui de la manière qu'Il l'avait dit. Et combien nous sommes reconnaissants pour cela.

2    Bien, je pense que nous avons dit que demain après-midi je parlerai à l'auditorium, donc je--j'espère que vous prierez pour moi. Et je prie constamment pour vous tous. Il nous reste juste une journée, et nous devons repartir à des milliers de kilomètres. Mais j'ai confiance que par la Grâce de Dieu, que nous rentrerons bien, et que nous pourrons avoir un jour, ce genre de réunion ici à New York, que j'aimerais voir: une qui durerait toujours, jusque...
    Les gens de bien souvent, lorsqu'ils sont dans la réunion, je ne suis jamais présent et--et Satan en profite. Voyant que cela fait trois ou quatre jours, et il faut parfois plus que cela pour que réellement, les bénédictions commencent à s'installer dans un individu. Alors quand--quand Satan revient après ce temps là, l'esprit impur qui est sorti de cet homme, et alors il essaie de tenter la personne à nouveau, et bien souvent ils cèdent à la tentation. Et quand ils le font, alors c'est fini. Voyez, si les réunions continuaient, ils pourraient revenir. Et ils pourraient voir ce qui se passait, et simplement rester jusqu'à ce que la réunion ait de l'effet, vous verriez des dizaines de milliers être guéris, je--je crois, si nous pouvions simplement rester assez longtemps.

3    Bien, ayez foi. Et je dirai ceci: après que je sois parti, eh bien! vous--vous découvriez, qu'il y a beaucoup de gens qui sont déjà guéris dans cette auditoire, qui, peut-être qu'ils ne le réalisent pas maintenant, mais je--je sais que c'est vrai.
    Bien, j'aimerais lire un peu l'Écriture, car ma parole est comme celle d'un autre homme; elle faillira. Mais celle de Dieu ne faillira pas.
    Je viens de remarquer mon frère et bon ami, le Frère Raymond T. Richey. Je suppose qu'il a déjà été présenté et--et... mais ici j'ai vraiment un chaleureux amour chrétien pour Frère Richey. Il était à l'auditorium le soir où la photo de l'Ange du Seigneur fut prise. Il a répondu présent au moment du conflit quand ce serviteur est apparu, essayant de me traiter de guérisseur Divin. Je lui ai dit que je n'étais pas un guérisseur Divin; aucun homme n'est un guérisseur Divin. Personne ne peut guérir sinon Dieu. Et les docteurs, ils ne guérissent pas; ils assistent simplement la nature. Ils ne prétendent pas guérir, ils peuvent recoudre un endroit, mais ils ne peuvent pas le guérir. Ils peuvent replacer un os, mais ils ne peuvent pas le guérir. Et il faut Dieu; Il est le Guérisseur. Il a dit: «Je suis l'Éternel qui guérit toutes tes maladies.» Car toutes les maladies doivent être déterminées par Dieu.

4    Bien, nous sommes reconnaissants pour les docteurs, et ainsi de suite, nous pouvons nous procurer de l'aide médicale, et remettre les os en place, arracher une dent, et--et--et ainsi de suite, mais tout ça--ça c'est bien. C'est... les docteurs sont des serviteurs de Dieu pour les gens, et ils aident les gens. Dans les hôpitaux et les institutions, nous sommes très heureux de les avoir. Et je n'ai rien contre eux; la seule chose que je fais c'est de prier que Dieu continue à les aider. Car tout ce qui peut aider la bénédiction, ou tout ce qui peut aider les gens, je suis pour. Et je sais que Dieu est avec chaque agissements qui essayent d'aider les gens.
    C'est ce pourquoi nous sommes--nous devrions toujours faire cela, essayer de faire quelque chose pour aider quelqu'un d'autre. Après tout, c'est l'attitude Chrétienne à appliquer.

5    C'est un grand et redoutable privilège que personne ne connaît. C'est entre Dieu et moi. Mais quel privilège lorsque je vais me coucher, de m'agenouiller devant Dieu et de dire: «Père, j'ai fait au mieux de ma connaissance aujourd'hui... J'ai fait tout ce que je savais pour rendre la vie plus agréable aux gens.» Et je suis sûr que Ses bénédictions reviennent et reviennent et me rendent la vie un peu plus agréable. Si vous voulez faire quelque chose pour Dieu, faites quelque chose pour Son peuple. Vous voulez qu'on dise du bien de vous, dites du bien de quelqu'un. Bénissez quelqu'un, et alors que vous bénissez quelqu'un, vous bénissez Dieu. Parce que Jésus a dit: «Tout ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, c'est à Moi que vous l'avez fait.» Donc, nous savons que c'est la vérité. Donc, puisse le Seigneur Jésus nous bénir ce soir, alors que nous lisons Sa Parole.

6    Et regardez, nous tous, nous sommes ici représentant différentes dénominations, Méthodiste, Baptiste, Luthérienne, Catholique, toutes... [Passage blanc sur la bande. Ndt.] sortes d'églises, mais cela ne signifie pas grand-chose pour Dieu, l'église à laquelle vous appartenez. C'est l'état de votre coeur. C'est ce à quoi Dieu regarde. Ce n'est pas la dénomination de l'église; elles sont toutes en ordre...?...c'est comme un contrat de travail entre les hommes et ainsi de suite, et je ne viens pas ici pour représenter une quelconque église. Oh! je représente l'Église, l'Église que chacun d'entre vous représente. Ceux qui sont nés de Lui sont dans le Royaume de Dieu, le Corps de Christ.
    J'ai été dans la famille Branham pendant quarante ans; ils ne m'ont jamais demandé de me joindre à leur famille. Je suis né dans la famille Branham. Et c'est ainsi que vous rentreriez dans la famille de Dieu. Ce n'est pas en vous joignant à l'église; je n'ai rien contre cela; c'est en ordre; et vous devriez faire cela. Mais vous êtes né dans l'Église de Dieu. C'est votre naissance. Et vous devenez un enfant de Dieu en étant né de nouveau, régénéré, et devenu une nouvelle créature en Jésus-Christ, alors vous êtes un fils ou une fille de Dieu. En dehors de la dénomination de l'église à laquelle vous appartenez.

7    Bien, dans le deuxième Livre des Rois, le sixième chapitre... j'aime simplement lire cette Parole, et je suis... Frère Baxter prenait ma défense pour accaparer tout ce temps. Je dis: «Ne faites pas cela, Frère Baxter.» Parce que j'étais derrière le rideau en train de lire son merveilleux message. Frère Baxter est vraiment un orateur. Et je suis très heureux de l'avoir de notre côté, qu'il soit l'un des nôtres. Et Frère Bosworth ici est l'un des plus grands enseignants sur la guérison divine que je n’ai jamais entendu de ma vie, c'est Frère Bosworth. Il est vieux, et il est--il--il ne fait--il ne fera pas--il serait contrarié.
    J'étais là-bas à l'Hôtel Biltmore à Miami un soir, il était toujours aussi galant et se tenait posément. Et je l'ai regardé; je l'admirais. Je savais les batailles par lesquelles il était passé au cours de sa vie, et je suis simplement en train de suivre le chemin qu'il a tracé dans le désert. Et j'ai dit: «Frère Bosworth, vous avez soixante-treize ans maintenant, quand avez-vous été au mieux de votre forme?»
    Il a rejeté ses épaules en arrière comme le vieux Caleb, et il a dit: «Juste maintenant, dit-il, je me sens bien maintenant.» Il a dit: «Frère Branham, tu me comprends mal, dit-il, je suis simplement un enfant dans une vieille maison.»
    Donc c'est comme cela qu'il se sent à ce sujet, et Dieu l'a gardé de cette façon, merveilleux.

8    Oh! si je... si Jésus tarde, et que je reste si longtemps, que je sois comme cela. C'est juste. Frère Richey ici, combien je pourrais parler de lui, comment, lorsque j'avais encore l'âge d'aller à l'école, il était par ici prêchant l'Evangile et priant pour les malades, alors que j'étais encore un garçon. Vos pères et vos mères l'ont écouté prêcher l'Evangile sur la guérison Divine, là-bas à Sion en Illinois. Les candidats descendent tous du--du grand enseignant feu Docteur Dowie. Comment Docteur Dowie dans son agonie a prophétisé que je viendrais dans cette ville quarante ans après sa mort. Ne sachant rien de cela, il est mort un certain jour, et je suis né le lendemain. Et quarante ans après je suis entré dans cette ville, ne sachant rien de cela. Oh! combien les grandes manoeuvres de Dieu se rejoignent, j'entends le bruit d'une abondance de pluie.

9    Bien, dans le sixième chapitre et le verset huit, écoutez attentivement... Dieu n'a jamais promis de bénir ma parole, mais Il a promis de bénir Sa Parole. Et maintenant, écoutez attentivement maintenant, alors que nous reproduisons ce jour. Au jour de ce grand homme, Élisée, qui avait une double portion de l'Esprit d'Élie.
    Il n'y a jamais eu dans les âges, jamais eu deux prophètes majeurs au même moment. Il y a eu beaucoup de prophètes mineurs, mais il y avait un prophète majeur. Et Élie était le prophète jusqu'à ce que Élisée vienne. Alors quand Élie fut repris, une portion, une double portion, de l'Esprit d'Élie, l'Esprit d'Élie vint sur Élisée.
    Voyez, rappelez-vous toujours cela, Dieu enlève Son homme de la terre, mais Il n'enlève jamais Son Esprit. Son Esprit revient directement par ce chemin. Il vint sur Élie, partit d'Élie vers Élisée, d'Élisée Il partit sur Jean le Baptiste, et il a été prédit qu'Il reviendrait dans les derniers jours. Voyez? C'est l'Esprit de Dieu.

10    Le Saint-Esprit était sur l'Église à la Pentecôte, Il est descendu au travers des âges, et jusqu'à l'âge des Luthériens, des Baptistes, des Méthodistes, et toujours, jusqu'à cet âge-ci. C'est toujours le même Saint-Esprit. Lorsque la foi des gens atteint un endroit où ils reçoivent les bénédictions, lorsqu'ils réalisent que cela leur appartient, alors la même opération du Saint-Esprit opérera dans l'Église comme Il l'a fait tout là-bas, de la même manière. Maintenant, écoutez attentivement.
    Le roi de Syrie était en guerre avec Israël, et, dans un conseil qu'il tint avec ses serviteurs, il dit: Mon camp sera dans un tel lieu.
    Mais l'homme de Dieu fit dire au roi d'Israël: Garde-toi de passer dans ce lieu, car les Syriens y descendent.
    Et le roi d'Israël envoya des gens, pour s'y tenir en observation, vers le lieu que lui avait mentionné et signalé l'homme de Dieu. Cela arriva non pas une fois ni deux fois.
    Le roi de Syrie en eut le coeur agité; il appela ses serviteurs, et leur dit: Ne voulez-vous pas me déclarer lequel de nous est pour le roi d'Israël?
    L'un de ses serviteurs répondit: Personne! ô roi mon seigneur; mais Élisée, le prophète, qui est en Israël, rapporte au roi d'Israël les paroles que tu prononces dans ta chambre à coucher.

11    Inclinons la tête. Père Céleste, nous Te remercions ce soir, de savoir que ce grand Saint-Esprit de Dieu qui était sur Élisée, est sur Terre aujourd'hui, toujours à l'oeuvre au travers des fils de Dieu. Le grand Saint-Esprit qui a été donné à la Pentecôte est ici ce soir. Et Tes enfants, beaucoup sont fatigués et épuisés, repoussés, à cause de leurs bonnes oeuvres, de leur enseignement, leur façon d'élever leurs enfants, pour les amener à la contemplation du Seigneur. Les épreuves sont plus précieuses que l'or et l'argent, mais comme il est écrit: «Il est vrai que tout châtiment semble d'abord un sujet de tristesse...»
    Mais finalement quand Ton Église arrive à être entraînée, lorsqu'ils deviendront des fils adoptés, ou des fils placés, dans l'héritage de Dieu qu'ils hériteront et qu'ils seront égaux en puissance et en bénédictions en tant que fils de Dieu, Ses propres frères.

12    Nous pensons à la manière dont Il est né dans ce monde, le Fils de Dieu. Mais à l'âge de trente ans, Dieu L'a placé. Sur les rivages du Jourdain ce jour-là, quand Il se trouvait dans l'eau, avec Ses longs cheveux qui gouttaient, Dieu a confirmé que c'était Son Fils et a dit: «Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.» Adoptant, plaçant, plaçant dans Son Royaume pour l'oeuvre qu'Il avait à achever. Et combien nous sommes reconnaissants ce soir, qu'Il ait achevé Sa course. Ensuite Il a méprisé la honte, mais l'a portée, et Il fut cloué au Calvaire comme notre substitut, mourant de la peine capitale: né dans une étable, finissant par la peine capitale.
    Le Roi de Gloire descendit et tabernacla parmi les hommes, descendu des Palais d'Ivoire pour être, prenant sur Lui, non la forme des Anges, mais celle d'un serviteur humain. Habillé avec humilité, tourmenté, n'ayant rien pour poser Sa tête, dormant où Il pouvait, méprisé par ceux qu'Il aimait, et qui finalement, fut transformé en Sacrifice sanglant. Mais Il a plut au Père à tel point qu'Il a dit: «Celui-ci est mon Fils bien-aimé: écoutez-le!»

13    Puis Il souffrit sous Ponce Pilate, fut crucifié, mourut, fut enterré, et ressuscita le troisième jour et s'assit à la droite de Dieu le Père, faisant intercession maintenant pour nous qui avons accepté le Saint-Esprit, la troisième Personne de la trinité. Et dans nos coeurs ce soir Il gouverne et règne. Et Il a dit: «Quoi que ce soit que vous désiriez en priant, croyez que vous le recevez, et et vous l'aurez.» Nous le croyons.
    Et maintenant, Seigneur, les terribles heures sombres sont venues au temps de la fin. Aide-nous maintenant ce soir dans cette réunion, que ce grand Esprit de Dieu puisse devenir visible parmi les hommes, que chaque personne ici puisse savoir qu'Il se tient à côté d'eux. Ô Dieu, prends l'argile, la voix des êtres humains et parle, Seigneur, des oracles de Dieu, afin que les gens voient, et Te servent.
    Et puissent tous les malades et les affligés ici ce soir, soient tous guéris, qu'il ne reste personne de faible parmi nous. Accorde, Seigneur, que ce soir soit une soirée mémorable. Ceux qui se souviendront de cette 'Arena Saint Nicholas' se souviendront toujours de cette soirée. Bénis nous tous ensemble maintenant, car nous le demandons dans le Nom de Ton Enfant bien-aimé, Jésus. Amen.

14    Combien c'est merveilleux de regarder dans l'Écriture un instant, parce que le temps est écoulé, environ douze ou quinze minutes. Je voulais terminer de vous raconter la vision d'hier soir, le petit garçon ressuscité en Finlande. Combien ici ont écrit cela dans leur Bible avant que cela n'arrive, vous m'avez entendu en parler dans l'auditorium, levez votre main? J'ai demandé hier soir? Sur le petit garçon ressuscité des morts en Finlande. Voyons vos mains levées, ceux... dans tout le bâtiment, partout, regardez.
    Voyez, c'était bien avant que ça n'arrive. Cela est toujours dit de cette manière, et il--écrivez-le simplement, c'est parfait. Parce que ce n'est pas l'homme qui parle, c'est Dieu. C'est la voix de Dieu pour les gens, chaque Parole de Dieu est une Semence et si elle est reçue dans un bon terrain, elle fera exactement comme cela est dit dans la Bible. Bien, c'est la voix de Dieu pour Son Église.

15    Pour un homme, Il utilise de temps en temps la voix humaine, qui n'est pas importante, car cela doit de toute façon s'accorder avec la Parole Écrite. Quand le roi de Syrie déclara la guerre à Israël, Élisée, le prophète, s'assit chez lui, et vit ce que l'ennemi allait faire. Alors il envoya quelqu'un au roi d'Israël, pour lui dire où le roi de Syrie allait lui tendre un piège. Le roi d'Israël envoya quelqu'un là-bas et c'était exactement comme Élisée, le prophète, lui avait dit.
    Dieu aide-nous, en tant qu'américains, à vouloir retourner à Dieu encore une fois. Le Dieu qui, au travers du royaume divin, était capable d'aider la nation d'Israël, peut sortir l'Amérique de tous ses problèmes. Et c'est le seul espoir que nous avons. Notre espoir ce soir n'est pas dans la bombe atomique; notre espoir ce soir est en Jésus-Christ. Christ est la réponse.

16    Pendant la deuxième Guerre mondiale, un ami qui était aumônier était assis dans un camp de concentration, au Japon. Il leva ses mains en l'air et dit: «Dieu je vais sans doute retourner à la Maison directement d'ici. J'aimerais bien revoir ma femme et mes bébés encore une fois, mais malgré tout, Seigneur, si Tu veux que je parte d'ici à la Maison, je suis prêt!»
    L'aumônier regardait le petit soldat qui marchait dans sa guérite. Il se rapprocha de lui comme s'il voyait qu'il voulait lui dire quelque chose. Le soldat regarda à droite, puis à gauche, avant de lui dire: «Toi Chrétien?»
    L'aumônier lui dit: «Oui.»
    «Moi Chrétien aussi», dit le soldat.
    C'est là qu'est la réponse. Ce n'est pas 'les Quatre Grands', pas ‘l'ONU’ mais le chemin donné par Christ. J'étais là et j'ai vu ces Russes et ces Finlandais jeter leurs bras les uns autour des autres, s'étreignant et s'embrassant avec les joues pleines de larmes. Ils étaient Frères dans le Seigneur. Ils n'avaient rien l'un contre l'autre. Le dieu de cet âge est arrivé dans les coeurs des dirigeants. Tous les royaumes de ce monde sont à Satan à l'heure qu'il est. Vous ne voulez peut-être pas le croire mais c'est l'Écriture.

17    Satan enleva Jésus et Lui montra tous les royaumes de ce monde et dit: «Toutes ces choses je Te les donnerai, si Tu tombes à mes pieds et m'adores.»
    Jésus savait qu'elles appartenaient à Satan mais Il savait aussi qu'Il en deviendrait héritier. Jésus dit:
    ... Il est écrit, tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu ne serviras que Lui. [Matthieu 4:9-10]
    Et le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut des voix fortes dans les cieux disant: Les royaumes de ce monde sont devenus les royaumes de notre Seigneur et de son Christ; et Il régnera pour toujours et à jamais. Et les vingt-quatre anciens, qui siégeaient devant Dieu sur leurs sièges, tombèrent sur leur face, et adorèrent Dieu. [Apocalypse 11:15-16]
    Alors il n'y aura plus de guerre. Maintenant il y a de l'égoïsme partout mais au milieu de tout cela, l'Église de Dieu est en train d'être tirée hors de, par le Saint-Esprit.

18    Élisée avait vu ce que le roi de Syrie allait faire, alors il envoya un mot au roi d'Israël. Il lui dit de ne pas descendre par ce chemin parce qu'ils s'étaient couchés par terre en l'entendant.
    Mais regardez ce même prophète, quand il descendit à Dothan. L'Ange de l'Éternel ne lui avait jamais montré les Syriens, sortant et entourant la ville. Dieu avait une autre manière pour ça! Dieu ne montre pas toutes ces choses à Ses serviteurs. Il leur montre juste la Parole de connaissance, selon ce qu'ils ont besoin de savoir. Donc vous voyez, ça dépend du pouvoir de Dieu, pas du pouvoir des hommes. Autant qu'un homme soit béni, Dieu est toujours le Père et le Maître sur toutes choses.
    Balaam, un prophète il y a longtemps, disait: «Je ne peux pas aller au-delà du commandement du Seigneur, pour faire quoi que ce soit de bien ou de mal de mon propre choix; ce que le Seigneur dit, n'est-ce pas ce que je dirai?» [Nombres 24:13]. Et c'était vrai.

19    Nous lisons les prophètes d'il y a longtemps. Nous lisons les pouvoirs de Dieu et comment ce pouvoir opérait dans l'Église. Ces puissances de Dieu extraordinaires, glorieuses, sont en train de gouverner et de régner dans Son Église à nouveau. Ami, toi qui es peut-être tiède ou pas au niveau où tu devrais être en Christ, ne sois pas celui qui est derrière... N'essayez pas d'être populaire avec le monde et droit avec Dieu parce que ceci vous ne pouvez l'être. Vous devez être droit avec Dieu et alors vous n'êtes pas populaire vis-à-vis du monde.
    Dans ce jour dans lequel nous vivons, efforcez-vous de trouver Dieu de tout votre coeur. Appelez-Le, alors qu'il y a du temps pour appeler, alors que vous avez une chance de vous repentir, alors que la Miséricorde de Dieu se décroche pour vous. Car l'heure vient où cela ne fera aucun bien d'appeler. Ce sera trop tard alors. Aujourd'hui vous pouvez dire, «Si j'avais vécu aux jours où ils crucifièrent Jésus, je L'aurais défendu! J'aurais donné ma vie pour Lui.»
    Vous avez plus qu'une occasion de faire ceci maintenant, que vous l'auriez eue en ce jour-là. Tenez-vous pour Lui maintenant. L'opposition est plus grande aujourd'hui qu'elle ne l'était alors.

20    Vous avez peut-être entendu comment le Seigneur ressuscita un petit garçon en Finlande. Cela a été démontré dans une vision deux ans avant que cela n'arrive. Maintenant qu'est-ce qui a fait cela? Ce n'était pas moi, votre Frère, mais l'Esprit de Dieu. Le même Esprit qui était sur Élisée, sur les hommes du passé, est le même Esprit à l'oeuvre aujourd'hui sur le monde. Il voit, prophétise. Vous qui avez été dans des réunions, savez que ceci est vrai.
    Cet Esprit était sur notre Maître, Jésus-Christ. Quand Nathanaël vint à Lui en doutant, Jésus le vit et dit: «Voici vraiment un Israélite, en qui il n'y a pas de ruse!» En d'autres termes, Il l'appela un Chrétien, un croyant.
    Nathanaël dit: «D'où me connais-Tu?»
    Jésus répondit et dit: «Avant que Philippe t'appelle, quand tu étais sous le figuier, Je t'ai vu.»

21    Maintenant Philippe ne se référa pas à cela comme étant de la lecture de pensée ou bien de la télépathie mentale. Nathanaël dit seulement: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d'Israël!» Aujourd'hui il demeure immortel à cause de sa décision. Votre nom deviendra immortel quand vous prendrez votre décision pour Jésus-Christ, en tant que Fils de Dieu, le Roi d'Israël.
    De la même façon Jésus dit à la femme au puits ses péchés. Il parla un petit peu avec elle et dit: «Va, appelle ton mari...» [Jean 4:16] C'était cela. C'était ce qui était en train de lui faire obstacle.
    Il a été interrogé un jour à propos d'une guérison. Il avait guéri un homme qui avait une sorte de maladie, et laissé une grande multitude non guérie. Ils Le questionnèrent.
    Il dit: «En vérité en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais seulement ce qu'Il voit faire au Père. Car tout ce qu'Il fait, le Fils le fait également. Car le Père aime le Fils, et Lui montre tout ce qu'Il fait Lui-même; et Il Lui montrera de plus grandes oeuvres que celles-ci, afin que vous soyez étonnés.» Le verset 20.

22    Maintenant, l'Écriture dit que Jésus-Christ est le Même hier, aujourd'hui et pour toujours. Il n'a pas proclamé qu'Il était un guérisseur. Il disait que ce n'était pas Lui qui accomplissait les oeuvres. «... Mais le Père qui demeure en Moi, Lui fait les oeuvres.» Il ne proclamait pas qu'Il était un grand personnage. Par contre, ce qu'Il proclamait être, Il l'était, et Dieu confirmait Ses oeuvres et elles rendaient témoignage. Dieu confirmera chaque homme qui parlera selon la Vérité. Dieu prouvera que c'est bien cela. L'homme peut dire quoi que ce soit, cela ne s'accomplit pas pour autant. Mais quand Dieu parle, cela s'accomplit à la lettre. Et Il dit qu'Il faisait seulement comme le Père le Lui montrait.
    L'Écriture dit: «Jésus-Christ, le Même hier, aujourd'hui, et pour toujours.» Alors Jésus-Christ, s'Il est le Même aujourd'hui comme hier, continue les mêmes oeuvres aujourd'hui comme Il les faisait hier. S'Il ne le fait pas, Il n'est pas Jésus-Christ et Ses affirmations ne sont pas vraies.

23    Et comment fait-Il ces oeuvres? Dans un corps visible? Non. Car, il est écrit: «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous et cela jusqu'à la fin du monde. Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi; de plus grandes oeuvres (ou davantage) seront accomplies par lui également, parce que Je vais à mon Père.»
    Et dans une nuit, dans une seule réunion, Il fait plus en disant aux gens ce qu'il faut faire et ainsi de suite, que ce qui est écrit de Lui discernant les gens dans le Nouveau Testament. Pensez aux choses qui sont écrites à propos des trois années de Son ministère. Bien sûr, selon Luc [Jean, Ndt.], il y a beaucoup de choses qu'Il a faites qui ne sont pas racontées.
    Une fois, Il dit à un homme où il y avait un poisson qui avait une pièce dans la bouche (Matthieu 17:27). Il dit à deux de Ses disciples où étaient attachés des mulets, dans un lieu où deux chemins se croisaient (Marc 11:4). Il savait où un homme serait en train de remplir une cruche, et Ses disciples durent le suivre et ils préparèrent la chambre haute [Marc 14:13-16]. À peu près six ou sept choses sont tout ce que qui est enregistré de Lui parlant ainsi. Mais Il percevait leurs pensées (Matthieu 16:8; 22:18). Il lit leurs esprits.

24    Il savait alors ce à quoi ils pensaient et Il sait ce soir, ce à quoi vous pensez. Vous pouvez être sûr qu'Il sait ce que vous êtes en train de penser et Il peut révéler ces pensées au travers de Son serviteur.
    Bien sûr nous savons que le diable a des échantillons et des types de chaque chose que Dieu possède. Chaque chose que Satan possède est secondaire, prise sur le modèle de Dieu. Chaque chose factice est faite à partir de quelque chose d'originel. S'il n'y avait pas de vrai dollar, le faux dollar serait l'originel et le premier. Et aussi longtemps qu'il y a un faux, c'est la preuve qu'il y en a un de vrai quelque part. Alors quand vous voyez quelque chose que le diable fait, sachez que Dieu a quelque chose bien au-delà de ce que le diable essaie de copier. Mais Jésus disait: «Vous les reconnaîtrez à leurs fruits.»

25    Son Esprit est ici. Il est le Même hier, aujourd'hui et pour toujours. Il se meut dans Son Église. Église, sais-tu ce qui se passe avec Toi? Tu ne cèdes pas au Saint-Esprit. Tu reçois le Saint-Esprit et penses: «Eh bien! je ne puis aller plus loin.»
    En fait, Tu es seulement prête à partir pour travailler pour Dieu à ce moment-là. Tu es seulement une candidate pour partir travailler pour Dieu. Alors allez, abandonnez-Lui vos membres et observez ce qu'Il aura à vous faire accomplir. Il se peut qu'Il veuille vous voir prêcher, chanter, témoigner, donner des tracts, parler aux gens, amener quelqu'un à l'Église. Ils sont tous des dons en quelque sorte et des aides dans le CORPS DE CHRIST. Peu importe ce que vous avez ou combien cela est petit.
    Peut-être direz-vous: «Eh bien! Frère Branham, la seule chose que je puisse faire c'est peut-être de parler aux gens.»
    Bon, il se peut que ce ne soit pas vraiment à vous, mais mettez-le dans les mains de Jésus et observez ce qu'Il fera avec. Rappelez-vous le petit poisson qui était dans les mains du petit garçon. C'était juste assez pour le nourrir, mais lorsqu'il le mit entre les mains de Jésus cela nourrit 5.000 personnes [Jean 6:5-14]. Ainsi en sera-t-il pour vous. Mettez ce que vous avez dans SES mains.

26    En Finlande cette nuit alors que le petit garçon avait été ressuscité de la mort, l'autre garçon était en train de mourir. Ils nous appelèrent de l'hôpital. Lors de l'accident il avait été frappé et éjecté de l'autre côté de la route et avait reçu un choc. Nous avions alors des réunions à Kuopio, Finlande, près de Laplands.
    Ils étaient des milliers et des milliers à attendre. Sur près de deux ou trois bâtiments c'était complètement bouché partout. Vous n'auriez pas pu vous approcher de l'auditorium. Et oh! quel merveilleux, quel glorieux temps nous avions là en Christ.
    Quand je rentrai dans le service une nuit, Mademoiselle Isaacson, l'interprète dit: «Frère Branham, ces pauvres petits parents sont assis ici dehors. C'est touchant de les voir. Ils sont en train de pleurer et ils veulent que vous alliez voir leur fils.»
    Je dis: «Soeur Isaacson, je ne pourrais rien faire. Dieu devrait d'abord me le montrer. Je continue de prier pour l'enfant.»
    L'interprète dit: «Voudriez-vous seulement sortir et leur parler?»
    Donc ils amenèrent les parents dans le hall. Je me sentis si désolé pour cette pauvre petite mère Finnoise. Elle courut jusqu'à moi et par l'interprète dit: «Oh! allez guérir mon bébé!» Elle ne parlait pas anglais.
    Je dis: «Soeur, je ne pourrais pas guérir votre bébé.»
    Elle dit: «Mais vous avez ressuscité l'autre petit garçon après qu'il soit mort. Vous pouvez guérir mon petit garçon. Il est mourant.»
    Je dis: «Non, Madame. C'était une vision. Il y a deux ans quand j'étais dans mon pays, en Amérique, Dieu me montra une vision, montrant exactement où le petit garçon serait étendu, à quoi les choses ressembleraient, comment le petit bonhomme serait.» (Beaucoup d'entre vous ont lu cette vision dans «La Voix De La Guérison». Et je disais qu'un jour le récit de cet événement à venir serait dans «La Voix De La Guérison» et cela arriva ainsi.)

27    Et alors la pauvre petite Maman--je me suis senti si désolé pour elle. Et elle dit... je dis: «C'était une vision.»
    Et elle dit: «Bien, allez, ayez une vision pour mon petit garçon.»
    Oh! c'était très doux, mais vous ne pouvez pas voir des visions toutes les fois que vous le voulez. Ce n'est pas selon votre bon plaisir. C'est l'ordre divin de Dieu. Ce n'est pas ce que je veux mais ce qu'Il veut. Je demandais à la mère: «Êtes-vous Chrétienne?»
    - Non.
    Je dis: «Voyez-vous, votre petit garçon peut être en train de mourir comme les docteurs le disent. Il montera au Ciel parce qu'il est un bébé. N'ayant pas plus de six ou sept ans, il ne sait pas encore ce qu'est le péché. Il montera au Ciel et si vous mourrez dans vos péchés, vous ne pourrez jamais plus être avec lui. Mais si vous êtes sauvée et que le petit garçon meurt et monte au Ciel, quand vous mourrez vous monterez au Ciel et serez avec lui tout le temps, là où il n'y a plus de malheurs.» Je continuais en disant: «Peut-être que si vous vouliez une faveur de ma part, vous feriez quelque chose pour moi, quelque chose de gentil. Si vous désirez une faveur de Dieu alors faites quelque chose de gentil.»
    Et donc elle... ils ont vu qu'ils n'avaient rien à perdre en cela aussi ils s'agenouillèrent et commencèrent à pleurer et à prier et donnèrent leurs coeurs à Christ. Ils se relevèrent et alors la pauvre petite chose dit: «Maintenant, allez et ayez une vision pour mon petit garçon.»
    Je dis: «J'irai prier.»
    Elle dit: «Venez, allez à l'hôpital.»
    Je dis: «Non, Il peut me le montrer dans ma chambre exactement comme Il peut me le montrer là-bas.» Je dis: «Il se peut qu'Il ne me le montre pas du tout.»
    Donc mademoiselle Isaacson ['le fils d'Isaac'. Ndt.], obtint finalement d'eux qu'ils s'en aillent. En peu de temps ils commencèrent à rappeler toutes les deux minutes pour demander: «Frère Branham n'a-t-il pas encore eu sa vision?» Les docteurs étaient très peinés parce que le petit garçon n'avait pas repris conscience et c'était déjà le troisième jour.

28    Cette nuit-là, alors que nous revenions de l'auditorium, Frère Baxter et mon frère Howard se rendirent dans leur chambre. Frère Gordon Lindsay et Frère Jack Moore aussi. Soeur Isaacson alla dans sa chambre. J'étais dans ma chambre. Je me penchais à la fenêtre, tenant ma Bible sur mon coeur. Il ne fait pas noir là-bas à cette époque de l'année et je me tins là regardant par la fenêtre. Des soldats Finnois et des civils arrivaient en marchant, se parlant l'un à l'autre, probablement à propos de la réunion car ils venaient tous de la réunion. La place entière était grouillante de gens.
    Alors que j'avais posé ma Bible sur une table, mon frère Howard est venu dans la pièce. Beaucoup d'entre vous se rappellent de lui. Maintenant je ne veux pas dire ceci comme une claque au peuple Canadien ou à leur pays. Mais quand nous étions au Canada, nous avions du sucre candi qui avait un goût plutôt fade. Il n'avait tout simplement pas le même goût que le candi américain. Howard me dit: «Tu parles du candi Canadien plutôt fade, goûte ceci!» Et il me donna deux petits morceaux de candi et ensuite quitta la pièce.
    Je les ai laissés simplement sur la table, me suis éloigné et j'ai élevé mes mains tout en disant: «Oh! GRAND Jéhovah, combien Tu es merveilleux, combien Tu es étonnant! Tu as tout simplement guéri cette jolie petite orpheline de guerre.» Elle était boiteuse avec une jambe plus courte que l'autre de quinze centimètres. Sa photo était dans «La Voix De La Guérison». Et je me tenais debout là, remerciant Dieu pour sa guérison.

29    Et je me tenant debout là, je sentis quelque chose d'étrange. Je regardais et là se tenait l'Ange près de moi. Dans Sa main Il tenait ce que j'appellerais un vase. C'était une sorte de chose longue et grande et à l'intérieur étaient deux jonquilles, quelque chose ressemblant à des fleurs. Nous les appelons 'fleurs de Pâques' dans l'Indiana et le Kentucky. Vous pouvez avoir un nom différent ici mais ce sont des fleurs jaunes qui sortent vers Pâques. Et deux de cette sorte de fleurs étaient dans le récipient que l'Ange avait. Il le posa sur la table.
    Une de ces petites fleurs de Pâques penchait vers le nord, et continuait de pencher. L'autre se fanait, descendant vers le bas.

30    Et l'Ange me regarda. Il est grand, un homme énorme, de près de cent kilos, avec des cheveux noirs et le teint couleur olive. Il avait toujours les bras croisés et vint vers moi par la droite. Il est venu depuis que je suis un tout petit bébé. Je n'étais pas vieux de quelques minutes qu'Il apparut dans la petite cabane du Kentucky où je suis né. Se tenant là, Il déposa ce petit vase, et me regarda. Et je Le regardais. Il dit: «Que t'a donné ton frère?»
    Je dis: «Monsieur, deux morceaux de candi.»
    Et Il dit: «Mange-les!»
    J'ai attrapé un des morceaux de candi et commencé à le manger. Il avait un bon goût et je l'ai avalé. Quand je l'ai fait, la fleur de Pâques qui penchait vers le nord remonta, fiou! se tenant toute droite. Elle était restée penchée très exactement et géographiquement, positionnellement de la même façon que le premier garçon tombé vers le nord quand la voiture le frappa. La voiture avait foncé droit sur lui. Et il avait été écrasé sous elle et était mort. Mais maintenant il était vivant et était retourné à l'école. L'autre garçon allait en direction du sud. Il avait été attrapé sous le menton, et éjecté contre un arbre. Ce petit garçon était encore à l'hôpital.

31    Alors l'Ange dit: «Mange le second morceau!»
    J'ai pris le morceau de candi et je l'ai mis dans ma bouche pour le manger. Mais oh! quel goût horrible! Je l'ai craché et cette fleur commença à pouffer en descendant.
    Il dit: «Échoue, et le garçon mourra!»
    Je l'ai remis dans ma bouche et je l'ai mâché vraiment vite et je l'ai avalé. Quand je l'ai fait, la fleur s'est redressée, fiou! et elle s'est tenue droite devant l'autre. Il me regarda. Puis ce Cercle de Lumière qui est visible sur la photo prise à Houston, descendit là où Il était, et Il monta dans la Lumière et disparut.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:37

32    Frère Baxter et mon frère Howard étaient partis dans leur chambre. Frère Lindsay et Frère Moore étaient partis dans leur chambre, et Soeur Isaacson dans la sienne, et j'étais rentré dans la mienne. Et je suis sorti en courant et j'ai appelé les autres, et j'ai dit: «Souvenez-vous, c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR! Ce garçon vivra, ce garçon qui se meurt à l'hôpital. Appelez la mère et dites-le lui!»
    Les téléphones qu'ils ont là-bas étaient de petits engins que vous mettiez sur votre oreille en tournant une petite manivelle. Mademoiselle Isaacson alla au téléphone et appela la maison. Elle parla avec une baby-sitter qui était là avec leur autre enfant. Les parents avaient été appelés à l'hôpital. Le bébé était en train de disparaître et de mourir et ils étaient partis voir les derniers instants de leur bébé.
    Et alors qu'ils--alors qu'ils appelaient l'hôpital, et le docteur amena la mère au téléphone où on lui dit: «L'Ange du Seigneur vient juste d'apparaître dans la chambre en disant: - ton garçon va vivre.»
    Et elle dit: «Je le savais. Il s'assied tout seul, en bonne condition, prêt à retourner à la maison.»
    Aujourd'hui le garçon vit en Finlande, parfaitement bien, parce que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, a eu de l'égard pour la prière d'une maman. Voyez-vous? Ce n'était pas moi. C'était la prière de la mère, sa promesse à Dieu qu'elle et le père Le serviraient.

33    Juste un instant, je vais commencer la ligne de prière. Hier soir quand nous sommes rentrés à la maison, nous avons eut une mauvaise nouvelle. Ma femme est assise ici devant moi avec notre bébé. Nous avons laissé notre plus jeune petite fille à la maison; elle a près de six mois. Vous ne savez pas combien la chose est dure pour moi de laisser ce petit bébé, ce «doux petit hochet de tête». Elle se mit contre moi si doucement, l'autre jour, que je me sentis comme si l'on m'enlevait la partie la plus profonde de mon coeur.
    La nuit dernière, alors que nous retournions à notre motel, nous avons reçu une très mauvaise nouvelle. Nous avons reçu une lettre de la maison, du secrétaire. Elle disait que le bébé était malade. Vous savez bien sûr comment la mère se sent. Elle était presque hors d'elle. Le bébé reste avec sa grand-mère qui habite à une distance considérable du téléphone le plus proche. Je dis: «Il est si tard. Nous n'appellerons pas ce soir; nous appellerons dans la matinée.»

34    Donc nous avons laissé cela comme ça. Je n'aurais pas pu aller dormir. Finalement ma femme s'est assoupie, sa respiration devenant lente et normale. Alors je me suis glissé en haut à l'intérieur de l'autre pièce et me suis agenouillé pour prier. Aux alentours de trois heures ce matin-là, j'ai regardé dans la pièce et j'ai vu quelqu'un venant à moi, et portant mon bébé. Le bébé s'étouffait et ne pouvait retrouver sa respiration. Son petit visage était rouge, ses petits yeux exorbitants. Chacun était nerveux et ils me la tendirent. Je la pris dans mes bras et disais: «Ô Dieu, ne laisse pas mon bébé mourir. Épargne sa vie, veux-Tu Seigneur?»
    À partir de ce moment-là je l'entendis reprendre sa respiration. Elle tourna les yeux vers moi et se trouvait bien. Je la rendis et l'Ange du Seigneur parla dans la pièce. Il dit: «Dans la matinée tu recevras des nouvelles de l'enfant disant qu'elle a été terriblement malade mais elle va bien ce matin.»
    J'ai attendu juste un petit peu, je suis descendu me coucher et je me suis levé ce matin-là, à neuf heures. Ma femme est venue dans la pièce et a dit: «Je vais appeler maintenant et avoir des nouvelles de l'enfant.»
    Je dis: «Chérie, tu n'auras pas à appeler mais voici le message si tu veux le recevoir. Quand la dame ira se renseigner pour l'enfant, elle reviendra et dira: - Le bébé a été terriblement malade mais elle va bien ce matin! Dieu l'a guérie la nuit dernière.»

35    Ainsi ma femme appela et trouva la dame, et lui demanda de traverser le champ pour demander à la grand-mère des nouvelles de l'enfant. Mon fils, Billy Paul, et chacun d'entre nous étions rassemblés autour du téléphone. Je dis: «Surveillez ses paroles, mot à mot.»
    La dame est revenue et a dit: «Le bébé a été terriblement malade mais elle va bien ce matin.»
C'était vraiment du mot à mot. Oh! amis, cela prendrait des heures à révéler les choses qu'Il fait! Je ne pourrais pas le faire. C'est illimité! Qu'est-ce que c'est? Cela montre que Jésus-Christ est le Même hier, aujourd'hui et pour toujours. Il est Celui qui était là-bas avec Élie. Il est Celui qui était sur le Fils de Dieu, Jésus-Christ, Celui qui est dans l'Église ce soir, le Saint-Esprit sait le secret de chaque coeur et connaît exactement ce que nous pensons, ce que nous ferons, et ce que nous serons. Croyez-vous cela? Inclinons la tête.

36    Père Céleste, puisses-Tu bénir cette soirée d'une manière merveilleuse. Tu connais toute chose, Seigneur, Tu sais que je ne parle pas de moi-même, mais que je parle de Ton Esprit qui est ici maintenant. Oh! Puisse l'Ange du Seigneur venir avec une telle onction ce soir et que de nombreuses personnes, des centaines qui sont ici afin que l'on prie pour elles, Seigneur, puissent voir d'un commun accord la gloire de Dieu. Et si cela est possible, si c'est Ta Divine volonté ce soir, Père, qu'Il puisse apparaître juste ici sur l'estrade, visible, afin que chaque oeil ici puisse témoigner avoir vu Sa grande silhouette. Oh! je sais qu'Il se tient tout près à présent.
    Dieu, aide les incrédules ce soir à reconnaître que Tu es proche et que Ton serviteur a dit la vérité. Seigneur, si je parle de la vérité, alors c'est Toi-même qui parleras de cette vérité car Tu es la Vérité. Tu es la Vérité, le Chemin, la Lumière. Et j'ai parlé de Toi, Père, et donc je sais que c'est la vérité. Et je n'ai aucune crainte sachant que Tu confirmeras que c'est la vérité ce soir, devant eux, Ton peuple. Et puisse cela être une grande et glorieuse réunion et que demain après-midi, Seigneur, vraiment des centaines d'âmes Te trouvent. Demain soir donne-nous le point culminant pour terminer Seigneur, ce pourquoi nous avons prié pendant toutes les réunions. Bénis-nous maintenant ensemble car nous le demandons dans le Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.

37    Il est terriblement tard, ce samedi; vous pourrez vous reposer sans doute un petit peu demain. Que chacun soit aussi respectueux que possible maintenant. Ne vous agitez pas. Je suis si heureux de voir ces Frères ici, voilà une ligne entière de magnétophones et quel travail ils font pour le Seigneur. Ces enregistrements sont envoyés dans tout le pays, vont dans les maisons, dans les salles, partout. Ils en ont même mis un dans un film de cinéma l'autre jour afin de présenter ces choses. Et des centaines de personnes sont sauvées et guéries au travers de ces enregistrements mêmes. N'êtes vous pas heureux que l'homme ait le message sur son coeur? Ils ne sont peut-être pas prédicateurs, mais ils essayent d'apporter le message aux gens. Ils me disent que des docteurs et des hommes im--importants dans le monde sont au dehors, essayant de gagner des âmes à Christ.
    Dieu peut utiliser ces choses d'une manière indirecte comme cela, que le Seigneur Jésus bénisse tous ceux qui écoutent le message. Qu'ils puissent être sauvés et guéris.

38    À présent, s'il vous plaît chers amis, dans le Nom du Seigneur, si vous le désirez, soyez simplement aussi respectueux et tranquilles que vous le pourrez pendant les quelques instants qui vont suivre. J'essayerai d'être le plus rapide possible. Et alors, je désire vous demander quelque chose avant que nous formions la ligne de prière; je désire vous demander quelque chose.
    Maintenant regardez, autant que je sache, je ne connais personne ici dans ce bâtiment excepté ma femme, Monsieur et Madame Roberson, Monsieur et Madame Upshaw et Mademoiselle Brown, ce sont les seuls que j'aurais pu voir ou connaître en un lieu quelconque, à moins que ce ne soit Frère Bosworth ici au fond et Frère Richey et notre Frère ici, Frère Baxter, mon fils.
    À présent, vous êtes malades et inquiets. Pouvez-vous imaginer un instant? Comment voudriez-vous prendre ma place, vous tenir là maintenant, sachant qu'ici, quelques cinq à six mille personnes peut-être, installées là, ont le regard sur vous et que là-dedans vous pouvez sentir les ondes froides de scepticisme et tout ce qui se déplace maintenant. Satan, sans repos, les puissances démoniaques se déplaçant. Vous devriez réaliser ce que vous ressentez. Onde froide après onde froide. Puis vient la foi et de nouveau une onde froide. Les ondes, les canaux, comme cette radio ou autre chose comme la télévision. La télévision se compose d'ondes, elle se matérialise alors que les ondes sont amenées sur une certaine sorte de cristal ou un autre système.

39    Et ainsi se matérialise la puissance du Dieu Très-Haut. La vision se matérialise devant vous comme la radio et comme la télévision. Si Dieu vous a appelé à faire ainsi... Vous croyez cela? Il le fait. C'est prouvé. Je vais vous demander d'être aussi calme que possible et de ne pas vous agiter parce que vous provoquez alors une interférence. Et tous les Chrétiens, en silence dans votre coeur, priez pour moi, voulez-vous? Et alors je suis ici représentant le Dieu que vous aimez. Et un de ces jours glorieux, vous et moi, chaque personne ici, nous nous tiendrons devant Dieu pour rendre compte de nos vies et de ce que nous aurons fait de Jésus-Christ. Je veux me tenir ce jour et dire: «De tout mon coeur, cher Dieu, lorsque j'étais à New York, j'ai essayé de Te représenter de toutes les façons possibles. Et je Te suis reconnaissant d'être descendu pour confirmer que ce que je disais était la vérité.» Alors ce sera à Toi de décider ce que Tu en feras. Je serai libre alors, comme le vieux Paul a dit: «Je suis innocent du sang de tous les hommes.» Et je serai libre quand ce temps arrivera, si je témoigne de la vérité, et que Dieu confirme que cela est la vérité.

40    Maintenant, lorsque quelqu'un ici sur l'estrade sera en voie de guérison, que chaque personne souffrante ici croie au même moment. Croyez pour vous-même et Dieu vous guérira. Acceptez-le et croyez-le.
    Très bien. Où est Billy? ...?... où est...?...Très bien, commençons alors simplement à 50, à J-50. [Passage blanc sur la bande. Ndt.] L'aimez-vous? De tout votre coeur? À présent, nous allons être aussi tranquilles que possible devant Lui afin qu'Il puisse être là où nous nous tenons. As-tu la totalité des quinze, Billy? Il y en a environ vingt ici. Très bien, que chacun soit aussi respectueux que possible maintenant. Très bien, amenez votre malade. Que chacun soit aussi respectueux que possible maintenant.

41    Combien de ce côté en haut croient? Combien ici en haut croient? Et en bas de ce côté? De chaque côté? Oh! N'est-ce pas merveilleux Frère Baxter? Frère Lindsay, regardez ici ou Frère Bosworth, Frère Richey. Quelque chose doit se passer, mes amis, quelque chose doit juste... [Passage blanc sur la bande. Ndt.]
    Dieu sait cela, que l'Ange du Seigneur Qui m'a rencontré a déclaré: «Si tu amènes les gens à te croire et que tu sois sincère quand tu pries, rien ne pourra résister devant ta prière.» Rien ne résistera. Pensez simplement à cela. Peu importe la maladie que vous avez; cela ne résistera pas devant la prière si vous croyez vraiment. À présent, en qui devez-vous croire? Croyez en Dieu tout d'abord. Croyez dans le Fils de Dieu, Jésus-Christ. Croyez dans le Saint-Esprit. Croyez dans les Anges. Et alors vous devez croire en moi, croire que je vous dis la vérité. Croyez-vous cela? Maintenant c'est merveilleux.
    Je fais cela pour un but, mes amis. Voyez, l'ennemi se tient là pour me combattre (vous voyez?), déclarant: «Oh! Ce groupe de gens de New York, ils ne croient pas.»
    Mais le Saint-Esprit est ici, disant: «Ils ont tort; c'est faux, ils croient réellement.» Et cela me donne de l'initiative pour y aller. Vous voyez? Très bien.

42    Il y a une femme se tenant ici, vous êtes malade, n'est-ce pas madame? Très bien. À présent, cette femme désire recouvrer la santé. Je ne connais rien au sujet de cette femme, je n'ai jam... Dieu le sait, je ne l'ai jamais vue de ma vie, que je sache. Elle m'est totalement étrangère; Je ne connais rien d'elle. S'il y a quoi que ce soit au monde que je doive savoir, Dieu devra me le révéler. À présent, je ne sais pas; je ne pourrais rien faire du tout pour sa guérison parce qu'elle a déjà été guérie. Dix-neuf siècles auparavant, Jésus-Christ a placé au Calvaire ce dont elle avait besoin pour être guérie. Maintenant la seule chose qu'elle a à faire c'est de l'accepter. Et selon sa foi, cela lui sera accordé. Si elle croit spontanément dès maintenant, avec une grande foi, elle s‘en ira et sera guérie ici. Si elle croit gros comme cela, cela lui demandera deux ou plusieurs semaines pour aller bien. Si votre foi est aussi petite qu'un grain de sénevé, si vous pouviez avoir simplement cette sorte de foi, accrochez-vous y, cela vous amènera vers la Lumière; restez simplement avec cela. Croyez-le, témoignez-en, confessez-le et Dieu l'accomplira.

43    À présent, que chacun soit respectueux. Et que tous ceux qui sont ici maintenant, sans cartes de prière, lèvent leurs mains ainsi que ceux qui désirent que l'on prie pour eux. Toutes les personnes sans cartes de prière, qui n'ont pas de cartes de prière, levez vos mains. Très bien, de cette manière. Maintenant, soyez respectueux.
    Maintenant, regardez par ici, partout dans le bâtiment, et croyez que cela est la vérité; si vous êtes malade, acceptez Jésus comme votre guérisseur et dites: «Seigneur Dieu, pour confirmer ma foi, pour confirmer ma foi, que Frère Branham m'appelle. Que Frère Branham m'appelle à sortir d'ici et me dise que j'ai été guéri.»
    Ferez-vous cela? Et si vous ne vouliez pas juste--pas juste, juste un peu penser à cela 'au petit bonheur la chance', mais réellement le croire de tout votre coeur, Dieu attirera mon attention de cette estrade et me montrera ce qui se passe là-bas, vous appellera et révélera ce que vous êtes, qui vous êtes, votre nom et tout le reste. Vous croyez cela? Très bien, maintenant, maintenant priez, que chacun soit respectueux.

44    Père, aide-nous maintenant. Voici une femme, se tenant là ici à mon côté. Je ne la connais pas. Tu la connais, Seigneur. Tu sais qui elle est, Tu l'as nourrie depuis qu'elle est sur terre, chaque souffle qu'elle a pu tirer l'a été par Ta Divine grâce. Chaque miette qu'elle ait jamais mangée l'a été par Ta Divine grâce. Et je Te prie, Seigneur, alors qu'elle se tient là ici malade et affligée, afin que Tu laisses l'Esprit qui était sur Ton Fils, Jésus-Christ, descendre sur ce pauvre vase indigne [que je suis].
    Indigne est juste, Seigneur, mais si Tu cherchais des mains saintes ce soir, où les trouverais-Tu? Nous avons tous péché et sommes privés de la gloire. Mais oh! combien nous sommes encouragés de lire dans l'Écriture qu'Élisée était un homme sujet aux même passions que nous.
    Ce n'était pas sa--sa morale (qui l'avait aidé), c'était ce que Tu l'avais appelé à être, et ce qu'il a fait avec le don que Tu lui as donné. Maintenant, aide-moi, cher Seigneur, que Ta puissance qui a révélé à la femme au puits ses péchés, qui a dit à Philippe d'où il était, leurs besoins et les causes. Puisse-t-Il venir ce soir. Comme j'ai témoigné de Toi, maintenant Père, déclare que j'ai dit la vérité. Et ces gens Te croiront et seront guéris. Car nous le demandons dans le Nom de Jésus. Amen.

45    Frère Baxter, je ne veux pas que vous soyez trop loin maintenant pendant un moment. Maintenant, pouvez-vous entendre correctement tout au fond? Quand quelquefois l'onction devient vraiment forte, je--ils disent que je ne parle pas assez fort. Vous surveillerez cela, Frère, quelque part?
    Maintenant, madame, vous et moi sommes étrangers; je ne vous connais pas. Je dépends totalement, complètement de Jésus-Christ. Et vous voilà et il y a plusieurs milliers de personnes se tenant ici ce soir qui regardent. Beaucoup d'entre elles ont levé leurs mains en tant que Chrétiens. Et ils croient, ils croient que j'ai dit la vérité. Maintenant, voyez dans quelle position cela me met. Et là vous sortez de l'auditoire, en parfait étranger, ayant reçu une carte de prière portant un numéro et vous venez ici. Il s'est avéré que votre numéro a été appelé. Et vous êtes la première ce soir. Oh! la la! combien c'est merveilleux!

46    Maintenant, si je peux connaître n'importe quelle chose… Je vois que vous respirez terriblement vite. Je désire que vous soyez, non pas troublée mais simplement respectueuse. Vous voyez? Ayez foi en Dieu. Êtes-vous consciente de quelque chose d‘étrange? Maintenant, c'est l'Ange du Seigneur. Auditoire, j'aimerais que vous puissiez être tous assez attentifs maintenant pour sentir que cela descend; Cela s'installe; Cela vient juste de l'intérieur du côté de ma main droite maintenant, l'Ange de Dieu devant Qui j'aurai à me tenir ce jour du jugement se déplace au-dessus de moi. La dame en devient très consciente à présent.
    Je vois une vision qui sort; elle s'éloigne de moi maintenant. Oh! Quelle Lumière. Regardez-moi Soeur. Vous essayez de croire, n'est-ce pas? Vous souffrez d'asthme tout d'abord. Vous avez cela depuis quelques temps aussi. Eh bien! je vous vois subir une opération ou quelque chose comme cela; cela s'est passé il y a quelque temps. Je vois un docteur dans un complet noir, il semble dire qu'il y a quelqu'un vous attendant dans une salle portant un costume gris.
    Je vois un homme s'approchant de vous, oui, vous avez, vous souffrez à présent également d'un examen rec… d'une tumeur. N'est-ce pas vrai? Cette tumeur est située sur votre poitrine, n'est-ce pas, le sein gauche, sur le côté gauche? Je vois le côté de la table où vous êtes étendue d'où ils vous observent. Ne craignez pas, cela me quitte à présent, juste un instant. Vous désirez servir Dieu dans un domaine différent dans lequel vous Le servez aussi. Vous avez promis à Dieu que si vous pouviez aller mieux, vous iriez plus loin chercher plus profondément les choses de Dieu, n'est-ce pas? Vous étiez en train de prier au côté d'un lit où se trouvait une chaise, installée. N'est-ce pas vrai? Et des petits objets verts pendaient là sur le côté du mur. N'est-ce pas vrai? Dans la chambre.
    Croyez-vous que je sois Son prophète? Accepterez-vous ce que je vous dirai? Accepterez-vous Jésus comme votre Guérisseur maintenant? Levez votre main, dites: «J'accepte maintenant Jésus-Christ comme mon Guérisseur.» Allez en paix, Jésus-Christ vous guérira. Continuez votre route en vous réjouissant maintenant et surmontez votre maladie. Allez ainsi, simplement vous réjouissant.

47    Donnons gloire à Dieu. Maintenant, que chacun soit respectueux. Je veux que chacun soit conscient que les choses dont je parle ne sont pas de moi; ce n'est pas ma voix; c'est ma voix mais ce n'est pas moi qui l'utilise. Je vais dans un autre endroit et je vois ce qui se matérialise devant moi. Les gens se déplacent. Je ne peux pas, à ce moment, vous dire ce qui n'allait avec la personne pour qui j'ai juste prié. J'ai juste vu une vision et je dois juste en parler alors que cela me vient. Et alors la personne témoigne après que cela me quitte si cela est juste ou faux. Très bien, amenez le malade. Et que tout le monde soit respectueux.
    Comment allez-vous Monsieur? Je perçois, évidemment, par votre habit, que vous êtes un prédicateur. Voulez-vous juste vous rapprocher un petit peu, Monsieur? Notre Christ est merveilleux, n'est-ce pas, Frère? Je vois que vous êtes un vrai croyant. Oui, Monsieur, je le vois. Dites donc, vous avez un ministère de prière pour les malades vous-même? Vous priez pour les malades, n'est-ce pas? Vous écrivez beaucoup de brochures et de choses sur ce sujet, n'est-ce pas? Vous venez du Canada, n'est-ce pas? C'est juste. Vous souffrez de quelque chose qui va mal dans vos intestins. Je pense que c'est… C'est le cancer des intestins, voilà ce dont il s'agit. Il est ulcéré et commence à provoquer beaucoup de problèmes. N'est-ce pas vrai? Mon Frère, laissez-moi prendre votre main.

48    Dieu miséricordieux, je tiens à présent dans ma main la main qui écrit les mots qui apportent le soulagement et dans cette souffrance, Satan essaie de détruire ce guerrier. Mais Tu es là pour le guérir. Dieu Tout-puissant, Auteur de la Vie et Donateur de chaque don bénéfique, envoie Tes bénédictions sur mon Frère, alors que je parle en Ton Nom. Et Dieu si Ton serviteur a trouvé grâce à Tes yeux, épargne la vie de mon Frère. Et qu'à partir de ce soir, cela soit effacé de lui et qu'il puisse être un guerrier sur les champs de bataille là-haut, une grande aide pour des milliers. Accorde-le, Seigneur.
    Et à présent je maudis ce démon appelé cancer dans le Nom de Jésus-Christ, qu'il puisse sortir de lui et que l'homme puisse vivre. Que Dieu vous bénisse, mon Frère. Votre foi vaillante vous a sauvé; vous rentrez à la maison. Et votre ministère va aller grandissant et vous allez faire plus pour le Seigneur que vous n'avez jamais fait. Que Dieu vous bénisse, mon Frère.
    Donnons gloire à Dieu.

49    Connaissez-vous cet homme, Frère Baxter? Eh bien! donnons gloire à Dieu. [Frère Baxter parle: «J'aimerais simplement dire une chose au sujet de cet homme, il a écrit pour venir à New York. Je lui ai dit de venir. J'ai dit qu'il n'y avait rien que je pouvais promettre. Lorsque Frère Branham a dit que l'homme avait écrit des brochures, j'étais sur le point de sauter parce que dans sa dernière lettre, il m'a envoyé une partie de ses écrits sur la guérison Divine. Tout ce que Frère Branham a dit au sujet de cet homme est vrai et Frère Branham ne le savait pas.» Ndt.]
    Je ne peux dire que ce que Dieu m'a montré et me dit de dire. Mais c'est seulement ce que je peux voir se matérialisant devant moi, afin que je puisse le faire. Je ne peux rien faire d'autre. Mais cet homme ne va pas mourir de ce cancer; il va vivre. Très bien, amenez le malade suivant.

50    Comment allez-vous Soeur? Voudriez-vous vous rapprocher juste un petit peu? Je désire que vous soyez proche afin que je sache quand Il commencera à parler, qu'elle--que votre voix sera captée dans le microphone. Vous voyez? Je vois que vous êtes une Chrétienne. Oui. Vous avez été très inquiète dernièrement. Vous êtes... Quelque chose vous dérange. Je vous vois lorsque vous vous tenez dans la chambre, vous êtes inquiète. Dites donc, c'est dans votre... c'est une tumeur, n'est-ce pas? C'est une tumeur qui vous dérange. Et cette tumeur, je vous vois la montrer; elle est--elle est dans votre bouche, n'est-ce pas? C'est une tumeur dans votre bouche; c'est juste. Il y a quelque chose qui s'est produit alors, n'est-ce pas? La vie de la tumeur s'en est allée, Soeur. Rentrez à la maison guérie. Dans le Nom du Seigneur Jésus, faites...
    Donnons gloire à Dieu qui nous donne la victoire au travers de Jésus-Christ notre Seigneur. Très bien, la dame peut-elle venir s'il vous plaît?

51    Oh! quel temps merveilleux! Vous devriez simplement le ressentir à présent. La foi est simplement en train de se déplacer partout maintenant, en train de rentrer. Combien c'est merveilleux! Oh! Si je pouvais seulement amener cette chose là aux gens maintenant. Que se passerait-il? La gloire qui suivrait serait au-delà de toute mesure.
    Maintenant, voyons, vous êtes... Excusez-moi Soeur, cela nécessite que vous soyez de mon côté. Rapprochez-vous juste un petit peu. Je--je--je ne crois pas, humainement parlant, vous avoir déjà vue. Nous sommes étrangers? Oui madame. Maintenant, j'essaie simplement de vous aider. Vous êtes une Chrétienne avec le Saint-Esprit maintenant. Quelle joie lorsque vous L'avez reçu! Je vous vois pleurer et agiter votre main.
    Maintenant votre problème c'est la souffrance; vous êtes terriblement nerveuse; cela est dans votre vie depuis quelques temps. C'est provoqué par votre âge, cette période de la vie, la ménopause. Puis je vois que vous avez un trouble féminin qui vous dérange, n'est-ce pas? Oui madame. Vous êtes très dérangée à l'estomac. N'est-ce pas vrai? Est-ce vrai ce qui a été dit? Vous me croyez comme Son prophète? Levez votre main, dites: «Jésus-Christ, je crois maintenant que Tu es mort pour ma guérison. J'accepte ma guérison maintenant.»
    Que Dieu vous bénisse, Soeur, allez manger tout ce que vous désirez, cette perte s'arrêtera. C'était un abcès sur l'ovaire mais vous allez être très bien maintenant, allez. Que Dieu vous bénisse!

52    Donnons gloire à Dieu. Si vous le voulez, que chacun soit respectueux, s'il vous plaît, simplement respectueux, juste quelques instants. Ne vous déplacez pas, cela m'interrompt vraiment ici. Si vous connaissiez combien sont grandes la pression du déplacement et la friction entre les personnes. Vous voyez, vous êtes dans une ligne du--du surnaturel. Et vous pouvez sentir le moindre mouvement interférer, et cela me trouble ici. S'il vous plaît, soyez respectueux. Pas étonnant que Jésus ait pris un homme...
    Vous dites: «Frère Branham, qu'est-ce que cela?»
    Eh bien! Jésus pris un homme par la main et le mena hors de la ville pour s'éloigner de la foule. N'est-ce pas vrai? Il est écrit: «Regarde-nous» dirent Pierre et Jean.
    Très bien, venez, monsieur. Soyez vraiment respectueux s'il vous plaît, juste un instant. Je sais qu'il est tard, mais pensez à la souffrance. Vous aviez attendu à la clinique Mayo jour après jour. J'étais à la clinique Mayo il y a deux ans. Et la chose merveilleuse, ce qui fait bondir mon coeur, à la clinique Mayo il y a deux semaines, j'ai écrit pour mon petit livre que vous avez là-bas dans le stand, sur la guérison Divine pour aller dans leur--dans leur bib--dans la bibliothèque pour leurs étudiants. La clinique Mayo a écrit pour mon livre sur la guérison Divine et ils voulaient savoir comment ces miracles arrivaient. Ils ne peuvent pas nier ce qui se passe mais ils veulent étudier comment cela se fait. Dieu soit loué. Voici un livre qui révèle tout cela. C'est le secret de Dieu.

53    Très bien, Frère, vous croyez de tout votre coeur? Votre diabète vous a quitté ainsi vous pouvez descendre de l'estrade et être heureux. Très bien donnons gloire à Dieu. Très bien, amenez la dame. Soeur, ayez foi. Vous souffriez de la même chose n'est-ce pas? Descendez de l'estrade, soyez guérie aussi dans le Nom du Seigneur. Amen. Vous croyez de tout votre coeur? Que chacun soit respectueux. Là-bas au fond, croyez; je crois que le Seigneur va se frayer un chemin au travers de cet auditoire dans quelques instants. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas; croyez.

54    Que pensez-vous de cela, vous ici? Eh bien! Madame dans la chaise roulante, que pensez-vous de cela? Suivez les instructions de l'infirmière. Elle connaît Dieu. Très bien. Que pensez-vous Monsieur dans la chaise roulante? Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez foi maintenant. Dieu peut faire... Il l'a déjà fait, si votre foi peut juste grandir. Ayez foi; ne doutez pas. Vous tous dans la ligne, vous allez croire maintenant? Très bien, amenez la dame sur l'estrade. Je baisse le regard et vois le député Upshaw, se tenant au milieu de nous juste maintenant, qui était invalide pendant soixante-six ans. Il s'est présenté à la présidence des États-Unis, est connu à travers tout le pays, partout, en Angleterre. Cet homme a été à un endroit... Et la même chose arrive ici même, c'est la même chose lorsqu'il a été amené en chaise roulante dans l'une des réunions en Californie. J'ai vu cet homme blessé et tout ce qu'il avait traversé. Et là, se tenant ici, invalide pendant soixante-six ans; j'ai dit: «Je vois un jeune homme; il est blessé par un châssis à foin près d'un râtelier d'écurie.» J'ai parlé d'une sorte de docteur, d'autre chose et de tout ce qu'il avait fait.
    Et ainsi lorsque Frère Baxter est venu me dire: «Ce...»

55    J'ai vu où il se trouvait et l'homme là a déclaré: «Eh bien! cet homme est un député. Il est ainsi depuis des années.» Et j'ai commencé à partir. Lorsque j'ai commencé à partir, j'ai vu Monsieur Upshaw sans béquilles ou chaise roulante ou quoi que ce soit, allant, marchant simplement aussi agile qu'il pouvait l'être. Et là cet homme, après avoir été handicapé pendant soixante-six ans a reçu le «AINSI DIT LE SEIGNEUR». Le voici ce soir, à 85 ans, aussi agile que n'importe quel autre homme dans sa trentaine dans le bâtiment. C'est comme s'il avait été guéri, avait été ramené dans le temps où ses os étaient sains, avaient du bon calcium et tout le reste. Mais Dieu dans Sa puissance a montré qu'Il pouvait faire toutes choses. Il est un Dieu qui était... Le voici maintenant agitant Ses mains sur vous. Grâce étonnante, combien le son en est doux.

56    Très bien, madame, votre problème de coeur vous a quitté alors que vous vous teniez là. Allez sur la route vous réjouissant et soyez heureuse. Venez madame, vous croyez de tout votre coeur? Ne voudriez-vous pas perdre cette vieille tumeur? Descendez de l'estrade dans la joie. Cela vous a quitté.
    Disons: «Louange à Dieu.» Quelqu'un prie là-bas, accepte Jésus. Acceptez Le comme votre guérisseur maintenant. Dans votre coeur dites: «Je crois.» Là-bas dans le fond, ici, s'il vous plaît que chacun soit respectueux; soyez respectueux si vous le voulez. Ne doutez pas; croyez. Venez madame, ayez la foi. Comment allez-vous Soeur? Je veux juste vous parler un instant. Oui madame. Vous--vous pensez que tout va mal avec vous, des problèmes de coeur. Ce problème de coeur est provoqué par une indigestion; cela empire quand vous vous allongez après le repas, n'est-ce pas? Votre problème général est la nervosité, n'est-ce pas vrai? Vous--c'est une nervosité mentale aussi; je vous vois--vous vois tenant votre tête comme cela et marchant; vous pensez quelquefois que vous avez perdu la tête. N'est-ce pas vrai? Mais Jésus-Christ vous guérit maintenant. Allez sur votre chemin vous réjouissant. Que Dieu vous bénisse, vous...
    Donnons gloire à Dieu. 

57    Très bien, venez monsieur. Croyez-vous de tout votre coeur? Alors vous n'aurez plus de problème de coeur du tout; vous pouvez descendre de l'estrade et être guéri. Que Dieu vous bénisse, mon Frère.
    Donnons gloire à Dieu. Je vois un homme assis ici tirant sur ses genoux et priant et pleurant; il y a quelque chose coincé dans son oreille. Vous croyez Monsieur? Evidemment je vois que vous avez un problème avec votre oreille. Dieu est capable de guérir cette oreille, ne l'est-Il pas? Vous le croyez? Levez-vous juste une minute? Oh! ce n'est pas tant un problème d'oreille; c'est un problème d'estomac qui vous dérange. N'est-ce pas vrai? Si c'est juste, levez votre main. C'est juste. Rentrez chez vous et mangez ce que vous voulez. Jésus-Christ vous guérit. Amen.
    Maintenant vous pouvez tous vous réjouir. Très bien, venez soeur. Je vois entre vous et moi des gouttes de sang, cela paraît vraiment clair. Cela semble contenir du sucre ou de l'eau. Vous avez de l'anémie, n'est-ce pas? Descendez de l'estrade et recevez une transfusion du Calvaire par Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Que Dieu vous bénisse.
    Donnons gloire à Dieu. Très bien, amenez votre malade.

58    Croirez-vous Soeur de tout votre coeur alors que vous viendrez? Je vois que vous êtes vraiment malade, ressentant la pression de l'ennemi. Vous souffrez de cancer, n'est-ce pas? Venez ici une minute. Posez votre mouchoir juste ici. Vous me croyez comme Son prophète? Venez ici, je veux que vous regardiez ma main. C'est juste la main d'un homme ordinaire, n'est-ce pas? J'aimerais que vous posiez votre main ici sur la mienne afin de me toucher. Maintenant regardez ce qui s'est passé. Regardez-la enfler, ces parties blanches se déplaçant dessus. Maintenant je vais enlever votre main, je vais mettre ma main sur la vôtre. Ce n'est plus là maintenant, n'est-ce pas?
    Je désire que vous mettiez votre autre main là-dessus. Ce n'est plus là maintenant, n'est-ce pas? Eh bien! vous êtes tout aussi humaine dans cette main que vous l'êtes dans celle-ci. Venez ici Frère Baxter; mettez votre main là dessus, ce n'est plus ici maintenant, n'est-ce pas? Viens ici Billy Paul; ce n'est plus là n'est-ce pas? Ce n'est plus là maintenant. Maintenant mettez votre main là dessus cela se reproduit. Est-ce juste? Si c'est vrai tenez cette main en l'air afin que l'auditoire la voit? Maintenant ma main a tourné au rouge sombre et des parties blanches se déplacent dessus, n'est-ce pas? Ces petites choses sont comme des petits boutons, des bosses se déplaçant sur ma main. Maintenant regardez comment ils vont et viennent; les voici venir; là ils se déplacent; ici ils reviennent. Vous savez quoi? C'est une vie, un cancer, une grosseur maligne qui est en vous multipliant ses cellules, essayant d'ôter votre vie.

59    Je vois que vous avez prié pour cela aussi, n'est-ce pas? Cela semble n'avoir porté aucun fruit. Vous avez essayé de croire; vous avez essayer de l'accepter. Vous avez prié pour cela, il y a peu de temps et vous pensiez que vous alliez vraiment aller mieux alors mais cela ne s'est pas passé ainsi. N'est-ce pas vrai? Je ne lis pas dans vos pensées; mais je vois l'endroit où vous vous teniez. C'est vrai. Mais lorsque vous avez entendu que je ou vu... Je crois que vous avez vu quelque chose, lu quelque chose que vous… Je vous vois regarder par terre et alors je vous entends dire: «Lorsque je... Frère Branham lorsque j'irai à la réunion qu'il tiendra, il priera pour moi, j'irai mieux.»
    Avez-vous dit cela? Levez votre main si c'est vrai. Alors votre foi vous a sauvé, Soeur, où sont les vibrations à présent? Elles sont parties. Maintenant vous pouvez vous en aller et vivre. Que Dieu vous bénisse, oh! la la!... Donnons gloire à Dieu.

60    Pas besoin de prière, votre foi vous guérit. N'est-ce pas vrai? Vous êtes heureux, n'est-ce pas? C'est juste. Et Il vous a guéri de problèmes cardiaques à l'instant même. Maintenant vous pouvez descendre de l'estrade heureux car vous n'avez plus de problème de coeur. Que tout le monde donne gloire à Dieu.
    Qu'en est-il pour vous Soeur, me croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez que je suis le prophète de Dieu? Vous souffrez des nerfs, n'est-ce pas? Levez-vous et soyez guérie. Dans le Nom du Seigneur Jésus et sortez de l'... Que Dieu vous bénisse Soeur, vous n'aurez plus ces sentiments du tout maintenant, allez et réjouissez-vous. Donnons gloire à Dieu.
    Je sens quelque chose... C'est différent maintenant, n'est-ce pas, Frère? Amen. Amen. C'est juste. Amen. Votre foi vous a sauvé, mon Frère.
    Très bien, venez Soeur. Vous voulez sortir de cet asthme? Levez votre main et dites: «J'accepte Jésus comme mon Guérisseur.» Que Dieu vous bénisse. Je vous impose les mains selon la Parole qui a dit: «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru; ils imposeront les mains aux malades et ils seront guéris.» Dans le Nom du Seigneur Jésus, allez et soyez guérie.

61    Vous voulez être guérie là-bas? Vous croyez de tout votre coeur? Je vois la petite dame; Vous vous sentez différente concernant cette nervosité, maintenant, n'est-ce pas Soeur? Vous venez juste d'être guérie, vous vous sentez différente: plus calme, certainement vous l'êtes. Maintenant que chacun soit respectueux. Vous pourriez savoir, mon ami chrétien, ce qui se passe maintenant. Je regarde là-bas, pensant maintenant à appeler une autre ligne de prière, un autre numéro juste dans une minute.
    Pourquoi avez-vous levé votre main madame? Vous me croyez? La dame au chapeau rouge, vous croyez que je suis le prophète de Dieu? Vous croyez que Dieu peut me révéler ce qui ne va pas avec vous ici? Regardez-moi juste un instant. Oui, vous souffrez d'une tumeur, n'est-ce pas? N'est-ce pas exact? Je le vois examiner... Cette tumeur est située sur la jambe gauche, n'est-ce pas? N'est-ce pas juste? Si c'est le cas, agitez votre main en avant et en arrière comme cela. Rentrez chez vous et recevez votre guérison, Soeur. Dans le Nom du Seigneur Jésus, Il vous guérit.

62    Qui désire être guéri? Qui désire croire? Maintenant, puisse notre Père céleste me parler dès maintenant. Je vois un homme se tenant juste ici, du côté droit; c'est un homme assez lourd; il porte un... Oh! oui, il souffre de--d'hernie. Je vois où je peux voir cet homme; il est sorti de ma vision juste alors, se tenant juste… Voici un homme se tenant juste ici, avec une sorte de cheveux fins, un homme grand. Oh! n'avez-vous pas eu d'éclatement, d'hernie? C'est juste. Que Dieu vous bénisse, mon Frère, que le Seigneur Jésus guérisse chaque cellule de votre corps.
    Juste un instant, je vois un homme se tenant devant moi maintenant, venant de ce côté, plutôt mince, portant un costume gris et une cravate violette. Là il se tient en bas ici. Levez-vous juste une minute, Monsieur ...?... L'homme ici avec la cravate violette, un homme plutôt mince... Oh! oui, vous souffrez de--de problème d'estomac, n'est-ce pas vrai? N'est-ce pas un problème de vessie, un ulcère de la vessie, est-ce juste? Levez votre main. Recevez votre guérison, mon Frère. Dans le Nom du Seigneur Jésus.

63    Juste un instant. Maintenant, soyez respectueux mes amis, je deviens terriblement faible. Juste un instant, croyez-moi maintenant de tout votre coeur. Maintenant, je vois un homme venant de cette manière, se frayant un chemin jusqu'ici. Juste un instant. Cet homme a quelque chose qui ne va pas avec son... Je vois, non, c'est... Il l'examine, un docteur le regarde. Il s'arrête et revient par ici; il se déplace, oui, c'est--c'est son foie. Il a un problème de foie. Je vois l'homme à présent, ici il... Cet homme se tient là, juste ici. N'avez-vous pas un problème de foie, Monsieur? Un foie enflé, n'est-ce pas vrai? Levez-vous et recevez votre guérison, mon Frère. Dans le Nom du Seigneur Jésus-Christ.
    Y a-t-il quelqu'un d'autre ici qui désire être guéri, qui accepterait Jésus comme son Guérisseur? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez. Maintenant, me croirez-vous? Vous ai-je dit la vérité? Le Dieu Tout-puissant a-t-Il été là pour confirmer que j'ai dit la vérité? Vous croyez qu'il en est ainsi? Ayez foi en moi en tant que Son prophète: Jésus Christ le Fils de Dieu a guéri chacun d'entre vous. Il n'a pas besoin de vous saisir. Toute la Chose se déplace ainsi maintenant, je ne sais pas si je peux en voir un ou pas. Mais ferez-vous et agirez-vous comme je vous demanderai de le faire? Posez vos mains les uns sur les autres comme ceci. Mettez vos mains les uns sur les autres s'il vous plaît. Venez ici, Frère Richey, Frère Bosworth, quelqu'un vite, venez ici. Donnez-moi un verre d'eau, vite...?... Je suis désolé, ceci est mon...?... Je deviens si faible que je peux à peine me tenir debout.
    Ô Dieu, Auteur de la vie, Donateur de miséricorde, envoie Tes bénédictions sur ton peuple et bénis le, Seigneur. Guéris les tous, dans le Nom de Ton Fils Jésus. Je maudis chaque maladie dans ce lieu dans le Nom du Seigneur ...?...
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:39

Je suis la résurrection et la vie


Je suis la résurrection et la vie

1 Saint Jean chapitre 11… Et la lecture de la Parole, Dieu manifestera les résultats par la lecture de la Parole. Ne le croyez-vous pas? J'ai déjà prêché là-dessus quelque part; peut-être non loin d'ici, quelque part ici, quelque part dans cette contrée. Si c'est le cas, je vais essayer d'approcher cela différemment, pour ceux…
Et maintenant, c'est frère Baxter qui prêche. Moi, je ne suis arrivé que ce soir; ça fera plutôt que je me détende un peu cet après-midi en vue de la soirée donc.

2 Saint Jean chapitre 11, commençons au verset 18 ou 19, disons au verset 18, et lisons un petit passage ici dans les Ecritures. 
Et, comme Béthanie était près de Jérusalem, à quinze stades environ, 

Beaucoup de Juifs étaient venus vers Marthe et Marie, pour les consoler de la mort de leur frère. 

Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison. 

Marthe dit à Jésus : Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. 

Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l'accordera. 

Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera. 

Je sais, lui répondit Marthe, qu'il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. 

Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; 

…quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? 

Elle lui dit : Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui est venu dans le monde. 
Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour parler à l'Auteur de ce Livre.

3 Seigneur Jésus, Maître de la Vie, Donateur de tout don parfait, nous savons que nous sommes sauvés par Ta grâce, non pas à cause de notre mérite, mais parce que la grâce de Dieu a été répandue dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Et nous étions autrefois des étrangers, éloignés de Dieu, des Gentils adorant des idoles muettes. Mais au temps convenable, Christ est mort, Lui l'Innocent pour les coupables, pour nous amener au Père. Et maintenant, nous sommes des fils et des filles de Dieu. Ce que nous serons n'a pas encore été manifesté, mais nous savons que nous aurons un corps comme le Sien, car nous Le verrons tel qu'Il est.
Ô Seigneur, combien nous soupirons dans ces corps-ci, d'être revêtu d'immortalité, d'être revêtu de Son Esprit, afin qu'un jour…

4 Nous savons ceci, que dans l'Ancien Testament le sang des taureaux et des boucs ne pouvait pas ôter le péché. Il le couvrait tout simplement. Et ils vivaient et attendaient simplement au paradis le jour où le péché devrait être ôté. Et lorsque Jésus est venu, le Fils de Dieu, le Messie, Il a ôté le péché. Il a créé une séparation d'avec le péché, Il ne l'a point couvert, Il l'a ôté. Ainsi donc, dès lors, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une qui nous attend dans la gloire; nous allons droit dans la Présence du Père pour y être revêtus d'immortalité. Oh! si cette tente où nous habitons sur la terre devrait être anéantie cet après-midi… Nous sommes nés dans le péché, conçus dans l'iniquité, nous sommes venus dans le monde en proférant des mensonges, nous sommes des pécheurs par nature, puis Dieu qui nous a rachetés, et qui a racheté nos âmes, Il a pour nous un corps béni en attente, un corps qui ne tombera jamais malade, qui sera même au-dessus de la tentation, un corps semblable à Son propre Corps glorieux, alors nous Le verrons tel qu'Il est...

5 Maintenant, ô Père, nous approchons Ta Parole. Aucun homme n'était capable d'ouvrir le Livre ou d'En rompre les Sceaux. Mais l'Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, Lui était digne. Et Il est venu et Il a pris le Livre de la main droite du Père et Il a ouvert le Livre et a rompu les Sceaux. Et à présent, que le Saint-Esprit vienne, qu'Il prenne toutes ces Paroles que nous venons de lire, et qu'Il parle aujourd'hui, qu'Il aille droit dans cet auditoire-ci, et que le Saint-Esprit donne à l'Eglise juste ce dont nous avons besoin : la foi.
Prépare un service pour ce soir, Seigneur. Que le service de ce soir soit le plus merveilleux, non pas parce que nous sommes ici, mais parce que Toi, Tu es ici. Que ceci soit le plus grand service que cette église de Philadelphie ait connu depuis son établissement. Qu'une secousse se produise ce soir, qui fera que le Saint Dieu du ciel nous place là dans un grand stade, dans un auditoire quelque part, ce qui secouera Chicago pendant trois ou quatre mois. Accorde-le, Père. Accomplis aujourd'hui des choses infiniment grandes. Prépare les coeurs maintenant même. Ameublis le terrain, déracine toutes les ronces vertes, les piquants, les épines et les racines d'amertume, et fais descendre le Saint-Esprit afin que ce soir cet Ange de Dieu puisse envahir ce bâtiment par une grande réunion, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Merci, Frère.

6 Maintenant pour l'approche de la Parole, pendant juste quelques instants… Je vais ôter ma montre. Je ne sais pas où se trouve l'horloge. C'est un… Et j'essayerai de ne pas rester plus de…?… afin que vous ayez largement le temps de vous préparer.
Il y a juste quelques instants, mon fils m'a demandé d'annoncer aux gens qui veulent des cartes de prière pour ce soir, qu'il faudra être ici ce soir à 18 heures, si possible, pour recevoir les cartes de prière, ceux qui sont affligés et qui sont dans le besoin, qu'ils soient ici ce soir à 18 heures pour recevoir les cartes de prière.
Maintenant, notre Ecriture nous a ramenés jusqu'à avant le… Ou plutôt c'était au temps du ministère de notre Seigneur. Il était devenu très populaire, parce que Dieu était avec Lui. C'était un Homme dont l'aspect n'avait rien pour nous plaire. Il avait - Il n'avait rien pour attirer nos regards, il était probablement un petit Homme frêle. Et la Bible dit qu'Il n'était pas beau, comme un grand homme de 1,80 m ou 2 m, comme Saul. Il était plutôt un petit Homme.

7 La Bible dit : "Semblable à celui dont on détourne le visage, […] et nous L'avons considéré comme frappé, puni - puni, humilié de Dieu. " Mais comme les oeuvres que Dieu accomplissait en Lui étaient remarquables, les gens savaient qu'Il venait de Dieu.
En effet, même Nicodème le grand docteur qui est venu Le voir la nuit, a dit…?… "Nous savons que Tu es un Docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ces choses que Tu fais, si Dieu n'est avec lui. " Ils le savaient sans l'ombre d'un doute.
Or, les prédicateurs de ce temps-là disaient donc : "C'est un psychiatre. C'est un - c'est un liseur de pensées. Il lit votre pensée. C'est de cette manière-là qu'Il sait ce que les gens ont comme problème; Il lit votre pensée. " C'est ce qu'Il faisait. Jésus était un liseur de pensées. Cela vous a choqués, n'est-ce pas? Pourtant, Il l'était. Il connaissait leurs pensées. Est-ce juste? Eh bien, c'est la lecture des pensées. Voyez-vous?
Il ne s'agit pas de l'une de ces personnes assises là dehors, l'une de ces petites femmes assises au coin, qui prennent la paume de votre main. Ça, c'est un substitut du diable, quelque chose pour imiter cela. C'est un faux dollar par rapport au vrai dollar. Voyez-vous?

8 Pour tout ce que Dieu a fait, le diable a fait un substitut, une contrefaçon. Voyez-vous? Et c'est pour cette raison que dans les derniers jours, les deux esprits apparaissent; les gens sont tellement formalistes et fondamentalistes qu'ils passent tout à fait à côté de l'Esprit, voyez-vous, comme cela. Et certains d'entre eux, les radicaux, tombent en plein dans des ismes avec cela, mais la vraie Eglise de Dieu marche juste au milieu de la route, elle se tient là, remplie de la puissance de Dieu. C'est là qu'elle se trouve.
Eh bien, certainement, tout ce que Dieu a, le diable a quelque chose pour imiter cela. Vous voyez, il fait quelque chose à partir de cela. Et Jésus connaissait effectivement leurs pensées, c'est pourquoi les grands orthodoxes de ces jours-là disaient : "Ce Gars est le meilleur diseur de bonnes aventures du pays. Il est Belzébul, le prince des démons. " Est-ce juste? Eh bien, ça, c'est ce que disaient les prédicateurs. Et les grands enseignants de la Bible de ce temps-là disaient : "Il est Belzébul. "

9 Maintenant, voyons ce que disait le diable. Le diable disait : "Il est le Fils de Dieu. Nous savons qui Tu es, le Saint de Dieu. " Est-ce juste? Dans ce cas, les démons en savaient plus sur Dieu que les ministres. Est-ce juste? Quand Paul et Silas étaient là, accomplissant certaines grandes oeuvres pour Dieu, une vieille petite diseuse de bonnes aventures parcourait la rue chaque jour en criant derrière Paul. Elle disait : "Voilà l'homme qui nous montre le chemin de la vie. C'est l'homme de Dieu. "
Mais les prédicateurs étaient là, disant : "Ce sont des imposteurs. Ils bouleversent le monde. Ils ne valent rien. " Et les… Les ministres étaient là, disant : "Ce sont des imposteurs. " Mais le diable disait : "Ce sont des hommes de Dieu. " Qui avait raison? Vous voyez, c'était le diable qui avait raison. Est-ce juste? Certainement qu'il avait raison. Vous voyez donc, même ces gens…
Vous pouvez en savoir beaucoup sur la Parole, vous dire : "Oh! la Parole, la Parole. " C'est juste. Mais l'Evangile n'est pas venu en paroles seulement, mais avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit, au point que la Parole est vivifiée. Vous voyez?
Le blé est très bien dans votre main, mais il ne vous donnera jamais une moisson. Vous devez l'ensevelir et le laisser recevoir une nouvelle vie. Est-ce juste?

10 Eh bien, la Parole, c'est très bien; c'est la voie de Dieu, certes. Mais rien que la Parole, "la lettre tue, mais l'Esprit vivifie ". Voyez-vous ce que je veux dire?
Maintenant, l'ennemi devait donc témoigner de Dieu. Lors de Son ministère ici, Il est apparu et des choses ont commencé à se produire. Et alors les portes de l'église Lui étaient complètement fermées, et on disait : "Eh bien, si quelqu'un va là-bas L'écouter, nous allons tout simplement prendre son… renvoyer vos papiers. Vous devrez vous en aller. Vous ne serez plus du nombre. "
Mais il y avait des gens appelés Marthe, Marie et Lazare, qui étaient frère et soeurs. Et ils avaient entendu Jésus et avaient vu Ses miracles, il leur importait donc peu s'Il était… ce que les orthodoxes, l'église ou quoi d'autre disaient à ce sujet. Ils croyaient en Lui et ils L'accompagnaient. Et ils croyaient en Lui parce qu'ils savaient qu'Il était un Homme de Dieu. Il est donc venu habiter chez eux, à - à Béthanie.

11 Et alors, pendant qu'Il vivait là avec - avec eux, Son ministère devint si grand qu'un jour Il dut quitter la maison. La foule se pressait autour de Lui, il y avait trop, trop de gens à la maison. Et les gens venaient à Lui par milliers, mais Il s'éclipsait, et se retirait quelque part ailleurs, voyez-vous, pour être seul avec le Père et prier. Les villes Le réclamaient, mais Il allait dans la montagne, seul, Il allait seul à la montagne, pour voir dans quelle direction le Père Le conduirait. Il était venu pour accomplir l'oeuvre du Père. C'est de cela que nous devrions nous occuper aujourd'hui, des affaires de notre Père, c'est juste, pas être tellement dans les classes sociales et - et le reste, mais dans les affaires du Père.

12 A présent, prenons ce Merveilleux Jésus juste une minute, et considérons Sa venue, juste avant qu'Il ne vînt. Il y avait un… D'abord, avant Sa venue, il y eut une annonce. L'église avait complètement rétrogradé et était complètement dans la confusion, juste à peu près comme c'est le cas aujourd'hui. Et on avait ceci, les Pharisiens, les Sadducéens, les Publicains, tout un tas, oh! toutes sortes d'ismes là. Et cela au point que même un homme apparut, prétendant être un grand homme, et il conduisit des centaines de gens dans le désert, mais ils périrent. Vous connaissez l'histoire. Et tout comme cela…
Mais finalement, le moment vint, plutôt le besoin, de venir…?… L'attendaient. Et un jour… Observons.
Je vois un vieil homme et une vieille femme, qui ont largement dépassé l'âge d'avoir des enfants, la femme donc. Et elle a dit… Ils avaient prié toutes ces années que Dieu ôte l'opprobre de la femme, et qu'elle puisse avoir des enfants, car c'était un honneur pour toute femme juive d'avoir un enfant.

13 Combien les gens ont changé cela aujourd'hui. C'est pratiquement un déshonneur que d'avoir un enfant. Eh bien, n'est-ce pas juste? Vous pouvez ne pas dire amen, mais c'est la vérité. Une femme préférerait dépenser cent dollars pour un pauvre petit chien au nez écrasé, et lui vouer l'amour maternel, là, plutôt que de perdre son temps avec un bébé. Eh bien, vous savez que c'est la vérité. Elle le promène dans la rue, l'ayant revêtu d'un petit tricot. Et j'ai vu l'une des plus grandes cliniques que j'ai jamais vues, pratiquement, par ici, c'est une clinique pour chiens. Je n'arrive pas à comprendre cela. Je ne conçois pas cela. Bien. De toute façon, c'est entre vous et Dieu.
Maintenant, écoutez. Zacharie était donc un homme juste, un sacrificateur. Et il est venu à la maison de Dieu; là, son - son office consistait à brûler l'encens là à l'intérieur pendant que le peuple était en prière. Et alors, un jour, pendant qu'il brûlait l'encens, le temps de la promesse approchait; Et Dieu a envoyé un Ange à l'autel. Croyez-vous dans les anges? [L'assemblée dit : "Amen. " - N.D.E.] Absolument.

14 Il n'y a pas longtemps, quelqu'un disait : "Frère Branham, vous vous êtes trompé au sujet de cet Homme qui vous parle. " Il a dit : "C'était le Seigneur. " J'ai dit : "C'était un Ange. Il a dit : 'Je suis envoyé de la Présence de Dieu.' Ce n'était pas le Seigneur. C'était un Ange. "
"Oh! a-t-il dit, c'était tout à fait une erreur. " Il a dit : "Frère Branham, autrefois, dans la Bible, Dieu parlait, a-t-il dit, il y eut Daniel et tous les autres. Oui, ils étaient… Il avait des Anges et ainsi de suite, comme cela, mais ce n'est pas la doctrine du Nouveau Testament. "
Et cet homme était un homme, il a dit : "Nous parlons là où la Bible parle et nous nous taisons là où la Bible se tait. "
Je me suis dit : "Combien il était silencieux sur quelque chose dont la Bible parle!" J'ai dit : "Voulez-vous me dire que vous ne croyez pas que les Anges de Dieu… "
L'homme a dit : "Absolument pas. C'est le Saint-Esprit qui conduit l'Eglise. "
J'ai dit : "C'est correct. Mais il y a des esprits en service envoyés de la Présence de Dieu. "
Il a dit : " Pas dans le Nouveau Testament, frère. "
J'ai dit : "Oh ! Si. Dans le Nouveau Testament. "
Il a dit : "Le Saint-Esprit, pas les Anges, le Saint-Esprit."
J'ai dit : "Ecoutez, je voudrais vous poser une question. " J'ai dit : "C'est l'Ange de Dieu qui a rencontré Marie ? "
Il a dit : "Oui, mais ça, c'était avant la Pentecôte. Après la Pentecôte, a-t-il dit, c'était désormais le Saint-Esprit. "

15 J'ai dit : "Certainement, le Saint-Esprit conduit l'Eglise; c'est vrai. Mais écoutez; ai-je dit, croyez-vous que Philipe avait le baptême du Saint-Esprit? "
Croyez-vous cela, vous tous? Certainement qu'il L'avait. Eh bien, quand il était là en Samarie, tenant un réveil, qui lui a parlé, disant : "Va dans le désert à Gaza "? Etait-ce le Saint-Esprit? Pas dut tout. C'est un Ange du Seigneur qui lui a parlé. Est-ce juste? "Va dans le désert, à Gaza, et parle. "
Ecoutez, combien croient que - que Pierre avait le Saint-Esprit? Voyons. Vous croyez qu'il avait le baptême du Saint-Esprit? Cette nuit-là, quand il était en prison et que chez Jean-Marc se tenait une réunion de prière pour lui, qui était-ce qui, sous forme d'une Lumière qui brillait à la fenêtre, lui ouvrit les portes? Etait-ce le Saint-Esprit? L'Ange du Seigneur.

16 Combien croient que Paul avait le Saint-Esprit? Eh bien, quand il était là dans le bateau quatorze jours et quatorze nuits, sans lune, ni étoiles, tout espoir parti, il est descendu dans la galerie pour prier, puis il est remonté. Il a dit : "Ayez bon courage, car l'Ange de Dieu dont je suis le serviteur m'est apparu cette nuit, et a dit : 'Ne crains point, Paul.' " Est-ce juste? L'Ange du Seigneur…
Tout le livre de l'Apocalypse fut écrit à partir du témoignage d'un Ange. " Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses, à écrire à l'Eglise. " Est-ce juste?
Jean est tombé à terre pour adorer l'Ange. Mais l'Ange dit : "Ne le fais pas. " Eh bien, il ne s'agit pas de Joseph Smith. Et il a dit… Un véritable Ange n'acceptera pas d'être adoré. Vous savez cela. Absolument pas. Il a dit : "Adore Dieu. "

17 Et Dieu a toujours des Anges. Et s'ils visitent les gens… Il ne s'agit pas de l'adoration des Anges. Mais les êtres angéliques, lesquels sont des attributs de Dieu, sont envoyés pour servir l'Eglise, au travers des gens. Oh! la la! Aujourd'hui combien nous sommes loin d'être la véritable Eglise apostolique. Nous qui prétendons être là, qui prétendons avoir embrassé les bénédictions des rebords de la coupe des bénédictions, combien nous en sommes privées. Combien nous exécutons la danse des éventails sur la mousse sans savoir ce qu'il y a au fond. C'est vrai.
Eh bien, les amis, en me tenant ici derrière, je suis responsable non pas vis-à-vis de l'auditoire, mais de Dieu. C'est juste. Et mes paroles doivent être… Je sais que plusieurs millions de gens m'écoutent et veillent à chaque parole que je prononce. Je dois donc, de tout mon coeur, être tout aussi fidèle à Dieu que possible. Et aujourd'hui, je dis que nous n'avons jamais effleuré la surface. C'est juste. L'Eglise devrait aller en profondeur. Oh! la la! Nous lisions… C'est comme la lecture, l'écriture et l'arithmétique.
Remarquez. Maintenant, cet Ange est venu, c'était Gabriel. Or, Dieu envoie des anges mineurs, c'est juste, peut-être comme celui qui vient ici. Et certaines personnes, en fait, se bourrent la tête avec des histoires et des anges qu'ils pensent avoir vus, et des choses comme cela. C'est juste de la contrefaçon.

18 Si un homme a vu un Ange de Dieu et a rencontré Dieu qui lui a donné Sa commission, ou plutôt cet Ange lui a donné une commission de la part de Dieu, et que cela vienne de Dieu, cela témoignera sur toute la ligne que c'est la vérité. Croyez-vous cela? Mais si ce n'est pas le cas, ce n'est pas la vérité. Voilà une chose à laquelle vous pouvez vous fier : "C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. " C'est la vérité.

19 Maintenant, remarquez ceci, cet Ange, c'était Gabriel. Or, ces anges mineurs viennent; mais quand vous voyez ou vous entendez parler de la venue de Gabriel, attendez un événement majeur. Ce fut Gabriel qui annonça la première Venue de Jésus-Christ. Est-ce juste? Et la Bible nous enseigne que c'est Gabriel qui annoncera la seconde Venue. Il sonnera la trompette de Dieu, est-ce juste, la Venue du Seigneur, l'Ange de Dieu, Gabriel qui se tient à la - à la droite de Dieu.
Eh bien, ce grand Gabriel est descendu là, pendant que le sacrificateur agitait là son encensoir, faisant brûler l'encens, tandis que le peuple était dehors en prière. Il se tenait à l'autel. Et il a jeté un coup d'oeil du - du côté de l'autel, et voilà que le grand Archange se tenait là. Cela a effrayé le sacrificateur. Et il lui a dit tout concernant sa vie et tout, et ce qu'il allait faire. Il a dit : "Après que tu auras achevé tes jours de service ici, rentre chez toi vers Elisabeth, ta femme. Et elle va avoir un enfant et tu lui donneras le nom de Jean. "
Eh bien maintenant, suivez. Alors, ce sacrificateur a dit : "Comment cela peut-il se faire? Elle est avancée en âge. " Vous voyez?

20 Il y a des justes qui marchent dans toute la Lumière du Seigneur; c'est là le genre de foyer où Dieu peut entrer. Eh bien, si vous offrez toutes sortes de - de réceptions, et la bière et tout dans votre maison, Dieu ne vous y visitera jamais. C'est juste. Mais si vous avez un foyer qui est nettoyé et qui vit pour Dieu, dans la prière, la Bible ouverte et tâchée de quelques larmes, Dieu peut vous visiter. C'est juste. En effet, vous aurez ouvert un canal afin qu'Il puisse y venir.
Et voilà un endroit où il en était ainsi. Eh bien, quand Dieu a exaucé la prière de Zacharie et d'Elisabeth, on dirait que cela l'a effrayé à mort, bien sûr. Il ne pensait pas que cela pouvait arriver. Et il a dit : "Je suis Gabriel et je me tiens dans la Présence de Dieu, et mes paroles s'accompliront en leur temps. " Et alors, Zacharie est ressorti et le peuple… Il fut frappé de mutisme. Et il allait rester muet jusqu'au jour de la naissance de l'enfant.
Et ainsi Zacharie est sorti et le peuple… Il faisait des signes au peuple. Ils comprirent qu'il avait eu une vision ou quelque chose du genre. Il est donc rentré chez lui, et Elisabeth a conçu et s'est cachée pendant six mois. Et elle était enceinte.

21 Et puis remarquez, juste là à Nazareth, la ville la plus méchante de la contrée, probablement pire que Chicago. Donc un endroit presque aussi mauvais que Jeffersonville d'où je viens. Alors, eh bien, un jour, il y avait là une petite vierge fiancée à un homme d'environ quarante-cinq ans, un veuf qui avait environ quatre enfants.
Eh bien, elle rentrait à la maison, comme cela se passe en Orient. C'était peut-être un lundi. Elle transportait son eau de lavage sur la tête, peut-être dans une jarre, comme ils le font, elle marchait. Et tout à coup, une grande Lumière a brillé devant elle. Elle… Cela effraya la petite vierge. Elle regarda. Et là se tenait Gabriel à côté d'elle. Il dit : "Je te salue, Marie ! " En d'autres termes : " Arrête-toi ! " Il dit : "Tu es bénie entre les femmes. " Il lui dit… lui parla de sa cousine Elisabeth qui avait conçu dans sa vieillesse, et qui allait avoir un enfant. Et il lui dit qu'elle allait avoir un Enfant, sans connaître d'homme.
Eh bien, considérez la différence avec Zacharie, ce ministre qui avait étudié à maintes et maintes, et maintes et maintes, et maintes et maintes reprises les Ecritures, et qui avait beaucoup d'exemples : il y avait Sara, Anne, et les autres, là dans l'Ancien Testament, beaucoup d'exemples. Il - il doutait qu'il en soit ainsi. Mais cette jeune fille ne douta point. Elle a dit : " Voici la servante du Seigneur; qu'il me soit fait selon ta Parole. " Quelle différence!

22 Eh bien, des fois, vous pouvez vous endurcir. En lisant la Bible juste comme vous lisez un journal, si vous avez le même genre de foi que vous avez dans un journal, alors vous vous endurcissez. Quand vous lisez la Parole de Dieu, croyez-La telle qu'Elle déclare la chose là, et prenez Dieu au mot.
Alors, aussitôt qu'elle a lu cela ou plutôt qu'elle a vu cela devant elle, l'Ange du Seigneur a dit : "Tu vas avoir un Enfant", considérez la chose qu'elle devait croire. Eh bien, elle devait croire quelque chose qui n'était jamais arrivé. Zacharie ne devait pas… Cela était arrivé plusieurs fois dans les Ecritures. Il avait beaucoup d'exemples. Mais Marie devait croire quelque chose qui était totalement impossible et qui n'était jamais arrivé auparavant. Et pourtant, elle n'a pas douté de cela, elle a simplement dit : "Voici la servante du Seigneur. Qu'il me soit fait ainsi. " Elle a pris Dieu au mot.
Et aujourd'hui, juste ici maintenant, tandis que des centaines de personnes à travers le monde ont été guéries dans les grandes campagnes de ce dernier réveil qui balaie le monde, aujourd'hui même, juste à cette minute, beaucoup, beaucoup de gens dans des réunions ici aux Etats-Unis sont guéris à l'instant même par la puissance de Dieu; tant d'exemples, chaque jour, chaque soir. Et cependant, nous nous asseyons et nous nous inquiétons disant : "Ô Dieu, pourquoi ne fais-Tu pas ceci, et, pourquoi ne fais-Tu pas cela? " Prenez Dieu au mot.

23 Marie a dit : "Voici la servante du Seigneur." Elle s'est mise à se réjouir. Elle était heureuse. Dieu l'avait promis; elle savait qu'elle allait avoir cet Enfant. Je crois avoir dit quelque chose à ce sujet hier soir. Elle n'a pas attendu qu'elle sente la vie. Elle n'a pas attendu d'être certaine. Elle n'a pas attendu un signe visible. Elle a simplement cru que ce que l'Ange avait dit était la vérité. Vous y êtes!
Le problème, c'est que nous doutons de Dieu. Et si nous doutons de Dieu, nous ne pouvons pas croire en Dieu. La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration des choses qu'on ne voit pas, qu'on ne goûte pas, qu'on ne touche pas, qu'on ne sent pas, ou n'entend pas. Amen.
Je commence à me sentir un peu religieux en cet instant même. Je… Très bien. Oh! Prenez Dieu au mot. Elle s'est mise à se réjouir et à louer Dieu aussitôt qu'elle a entendu cela. " La foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend de la Parole de Dieu. " Est-ce juste? [L'assemblée dit : "Amen. " - N.D.E.] "La foi vient de ce qu'on entend. "

24 Aussitôt que vous entendez la Parole de Dieu déclarer que vous pouvez être libéré, croyez-le. Réjouissez-vous-en. Dieu manifestera la chose après que vous l'aurez acceptée. Mais d'abord acceptez cela. Christ est mort pour les pécheurs. Je le crois. Je l'accepte. Je me mets à me réjouir. Dieu accomplit la justice par cela.
Je crois qu'Il a été dévêtu pour ma guérison. Je le crois. Je l'accepte. La Parole de Dieu est la guérison pour moi. Vous voyez, aussitôt que je le crois. Il ne peut me venir en aide que si je crois. Je dois croire et confesser cela d'abord, et alors Dieu est lié par Sa Parole.
Et s'Il est le Dieu Tout-Puissant, Il peut tout. Et s'Il ne peut pas tout, Il n'est pas le Dieu Tout-Puissant. Voilà! Très bien.
Remarquez. Quel genre de garçon ce devrait être? Quel genre de personne ? Puisque Dieu tient Sa Parole, si Dieu a promis de faire quoi que ce soit, Il le fera.
Quand les enfants d'Israël ont été conduits hors d'Egypte, Dieu a promis de prendre soin d'eux pendant leur voyage dans le désert. Dieu a dit qu'Il prendrait soin d'eux et Il l'a effectivement fait. Peu importe où conduisait le chemin et que l'ennemi se plaçait en travers du chemin de Dieu, il cédait.
Je peux les voir arriver à la mer Rouge. Dieu avait tracé Son plan, le chemin par où Il allait les conduire. Ils sont allés tout droit jusqu'à la mer Rouge : il n'y avait aucun moyen de la traverser. Voilà l'armée de Pharaon était ici, les montagnes d'un côté, l'armée de Pharaon ici, la mer Rouge devant eux. Moïse leva les mains. Le Psaume 72 dit que Dieu a regardé en bas. Il a vu ce chemin qui traversait le fond de la mer. Ses enfants étaient juste là, dans le besoin de la promesse, prenant Dieu au mot.
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:39

25 Dieu a regardé en bas au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés. Et alors, la mer eut peur et se retira comme cela, et fit un chemin sec, et Israël traversa sur une terre sèche. Prenez Dieu au mot.
Quand ils ont traversé la mer Rouge, ces incirconcis, ces gens prétentieux comme les soi-disant croyants d'aujourd'hui, tentèrent de faire la même chose, ils périrent. Alors une grande victoire fut remportée quand ils virent le camp ennemi périr.
Myriam entra dans l'Esprit, elle prit un tambourin et elle marcha sur le rivage en dansant. Cela vous choque un peu, là. Elle dansait en battant du tambourin. Et les filles d'Israël la suivirent, battant des tambourins et dansant dans l'Esprit. Si ce n'est pas un réveil à l'ancienne mode, je ne sais rien à ce sujet : la victoire.
Là gisaient les morts, couchés sur le dos, ceux qui… toutes les choses qui les avaient dérangés…

26 Lorsque cette vieille maladie qui vous a dérangé, ce vieux mal d'estomac… Oh! la la! Quand cette vieille lance, ce vieux péché, ces vieilles choses qui vous retardaient et vous retenaient, quand vous marchez à travers le Sang de Jésus, là-bas, et que Dieu a purifié votre âme, il y aura un autre moment de danse. Les cloches de joie du ciel retentiront dans votre coeur. Moïse, le conducteur, était là, très excité. Oui! Il jeta les mains en l'air et chanta un cantique dans l'Esprit. C'était comme à une réunion en plein air, n'est-ce pas? Absolument.

27 Eh bien, ils s'étaient éloignés de toutes leurs récoltes. Ils s'étaient éloignés de tout ce qu'ils avaient. Ils avaient amené sur la tête de petits paniers de pains pétris, c'est ce qu'ils ont mangé : il n'y avait plus de pain, rien à manger. " Dieu a promis. " Très bien.
Cette nuit-là, ils sont allés se coucher. Le lendemain matin, ils se sont réveillés, et le sol était couvert de manne : Dieu pourvoyait à tout ce dont ils avaient besoin. Le sol était tout couvert de manne. Ils sont sortis ramasser cela. Et quand ils se sont mis à manger cela, cela avait le goût du miel. Oh! la la! En avez-vous déjà mangé, de la manne? Quel beau type ! Eh bien, Il a dit : "N'en prenez pas assez pour aujourd'hui, samedi. Juste pour le samedi, pour aller jusqu'au Sabbat. " Il a dit : "Ramassez-en juste assez aujourd'hui, pour manger aujourd'hui; demain, prenez-en encore. " Aujourd'hui le problème qu'ont les gens, c'est qu'ils cherchent à se fier à une expérience qu'ils ont faite il y a vingt ans. Savez-vous ce qui arrivait à cette manne? En passant la nuit, elle était infestée d'asticots.

28 Et c'est là le problème pour bon nombre de nos expériences pentecôtistes, nous nous reposons sur quelque chose qui est arrivé jadis, infesté d'asticots et défraîchi. Qu'en est-il d'aujourd'hui? Voici le jour. Aujourd'hui c'est le moment. Très bien.
Maintenant, c'est ce que je remarque. Merveilleux ! Il est dit : "Cela a le goût du miel sur le rocher. " David a dit cela : "Combien c'était doux ! " Le miel a quelque chose que Dieu aime.
Remarquez, David était un berger, les bergers portaient - portaient une gibecière sur le côté. Et dans cette gibecière ils mettaient du miel. Et quand leurs brebis tombaient malades, ils prenaient un peu de ce miel et ils en frottaient sur un rocher. Et la brebis malade allait là et se mettait à lécher ce rocher, et en léchant le miel, elle prenait le calcaire du rocher et le calcaire guérissait cette brebis malade.

29 Quel beau type de ce jour ! Ecoutez, mes amis, j'ai tout une gibecière pleine de miel ici, et je vais en mettre sur le Rocher, Jésus-Christ, et vous, les brebis malades, mettez-vous à lécher maintenant, et soyez sûres de vous rétablir, aussi sûr que deux et deux font quatre. Léchez le Calvaire, pas la main d'un homme ou une superstition, mais le Calvaire, pas l'Eglise baptiste, l'Eglise méthodiste et Presbytérienne, Pentecôtiste, mais le Calvaire, le Rocher des âges. Léchez cela. Et elles se rétablissaient. Et s'il y a jamais eu un temps où les brebis malades devraient se mettre à lécher, c'est aujourd'hui.
Remarquez, Dieu a dit : "Maintenant, je veux que vous fassiez ceci : Allez chercher un grand omer plein de cela, et mettez cela à part pour l'amener dans le lieu saint, afin que toutes les générations qui devront suivre, quand elles entreront… Tout homme qui entrait dans le sacerdoce, qui était appelé au sacerdoce, pouvait entrer et prendre une bouchée de cette manne originelle. Celle qui était dans le lieu saint ne se détériorait pas. Elle conservait toute sa qualité. Chaque sacrificateur, après avoir été ordonné à la sacrificature, pouvait aller jusqu'au voile, alors chacun pouvait prendre une bouchée de cette manne originelle qui était tombée le premier jour où la manne était tombée. Ce fut à ce moment-là que Dieu les appela pour aller prendre tout un omer de la manne du premier jour.

30 Quel beau type du Saint-Esprit, au jour de la Pentecôte ! De même que Dieu a conduit l'Eglise dans le naturel, à travers le désert, de même Dieu, aujourd'hui, conduit Son Eglise, dans le spirituel. Et notre manne, notre ressource qui maintient notre vie vient par le Saint-Esprit. Et aussitôt que les apôtres ont ôté toute crainte et tout doute et qu'ils se sont rassemblés dans la chambre haute, Dieu leur a donné le baptême du Saint-Esprit. Quand Celui-ci est tombé, c'était notre Manne qui venait du ciel d'auprès de Dieu, pareil à un vent impétueux, remplissant toute la pièce où ils se trouvaient. Des langues séparées semblables à des langues de feu se sont posées sur eux; ils sont sortis du bâtiment et sont allés dans les rues et se sont mis à prêcher et à témoigner, Dieu accomplissait des miracles. Est-ce juste? Notre Manne…
Eh bien, Dieu en a-t-Il mis une partie là? Pierre dit dans Actes 2.30 à 38, il dit : "Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. "

31 Si donc aujourd'hui Dieu continue à appeler, chaque homme ou chaque femme qui vient à la fontaine remplie de Sang tiré des veines d'Emmanuel et qui devient un sacrificateur ou plutôt un enfant, un enfant né de Dieu, dans le Royaume de Dieu, a le droit au baptême originel du Saint-Esprit, pas une bouchée, mais une âme toute remplie de la même puissance qui est tombée le jour de la Pentecôte.
Je ne suis pas excité. Je sais où je suis. Laissez-moi vous dire quelque chose, frère. Ce dont l'Eglise a besoin aujourd'hui, ce n'est pas d'un nouveau maire de la ville ou d'un nouveau Parti démocrate ou d'un nouveau Parti républicain. Elle a besoin d'un réveil à l'ancienne mode du Saint-Esprit envoyé de Dieu, et du retour du Saint-Esprit biblique dans l'Eglise. C'est de ça qu'elle a besoin. Oh ! c'est merveilleux. Absolument.
Quand ils ont eu soif, le rocher a été frappé. Ils ont bu au puits, au rocher. Quand ils étaient dans le besoin, Dieu pourvoyait au besoin. Quand Christ était sur le point de venir sur la terre, Dieu a pris des dispositions.

32 Maintenant, considérez la petite Marie. La voilà qui part dans le désert, dans les montagnes pour voir Elisabeth, sa cousine. Jésus et Jean étaient des demi - étaient des cousins issus de germains. Marie et Elisabeth étaient des cousines germaines. Et elles sont allées dans les montagnes, elle y est allée pour jouir de la communion avec sa cousine.
C'est ce dont nous avons besoin aujourd'hui. Juste… La mer Morte est tout ce qu'il y a de plus mort au monde, elle prend tout et ne donne rien. Autrement dit, si nous venons à une réunion et que Dieu remplisse notre âme de gloire, nous devrions parler à cinquante personnes par jour, partout, chaque jour, parler à d'autres cinquante personnes, à d'autres cinquante personnes. Donnez. Cela garde la citerne propre. Très bien.
Remarquez. Elle est donc allée dans les montagnes. Et je peux la voir tandis qu'elle commence à approcher. Je vois une femme sortir en courant. Elle était assise là. Présentons cela sous forme d'un petit drame. Je peux la voir assise là, en train de tricoter, vous savez, ou de crocheter, ou tout ce que les femmes faisaient à cette époque-là. Elle aperçoit Marie venir; elle jette par terre son crochet et ce qu'elle tricotait. La voilà qui part en toute hâte, elle l'étreint dans ses bras, elle l'entoure de ses bras, elle l'embrasse et dit : "Oh! Marie, je suis si heureuse de te voir. " L'amour, les uns pour les autres, aujourd'hui il n'y en a presque plus. Eh bien, n'est-ce pas la vérité? Tout parti…

33 Eh bien, aujourd'hui vous ne savez même pas que votre voisin est décédé, jusqu'à ce que vous lisiez la nouvelle dans le journal. N'est-ce pas vrai? Je me souviens du moment où nous pouvions emprunter l'argent et tout de la ferme, de l'autre fermier. Maintenant, essayez de faire cela. Il vous faut avoir une certaine garantie. C'est honteux. L'amour, c'est faute de cela que le monde se meurt aujourd'hui, faute d'amour. On n'a pas besoin d'être si orthodoxe dans son enseignement. Une personne, peut-être qu'il n'y en a pas deux parmi nous ici, qui sont d'accord sur la même chose, mais nous pouvons être d'accord sur ceci : l'amour de Dieu a été répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Aimons-nous les uns les autres.
Jésus a dit : "A ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres. "

34 Eh bien, il n'y a pas longtemps, j'étais en Floride. Je voudrais simplement laisser passer ceci. Monsieur Bosworth, beaucoup d'entre vous le connaissent, le vieux papa Bosworth, F. F. Bosworth, il y a quelques années il a tenu de grandes réunions ici. Certains d'entre vous, les mères et les pères âgés de Chicago, vous vous souvenez de lui. Et quand nous étions là-bas, il… La première fois qu'il est venu à mes réunions, nous tenions… Je suis allé là, il y avait un petit garçon qui tenait une série de réunions. Ils avaient… Il a dit : " Il était tout simplement sur le point d'échouer. " Je suis donc allé et j'ai tenu une réunion, et ce soir-là une duchesse est venue. Je pense que c'est ainsi qu'on appelle cela, une de ces femmes, vous savez, de la haute société.
Et frère Bosworth a donc dit : "Frère Branham, cette Duchesse qui est propriétaire de ceci, de toute cette propriété, désire vous voir. "
J'ai dit : "Eh bien, ce n'est pas possible maintenant. "

35 Et alors, quand nous traversions la tente ce soir-là, derrière dans la petite salle de prière, voilà qu'elle était là. Oh! frère, elle était peu vêtue et trop maquillée, vous savez. Elle avait deux très grosses boucles d'oreilles qui pendaient, on dirait des étriers du diable, vous savez, la selle étant posée juste au milieu de sa nuque, et il chevauchait. Et elle était assise là. Et elle avait une paire de lunettes qu'elle tenait. Je ne me moque pas de cette femme, mais elle ne portait pas assez de vêtements pour bourrer un bon mousquet. Et elle se tenait là avec ces lunettes montées sur une tige comme ceci, vous savez, qu'elle tenait comme cela. Elle a dit : "Etes-vous docteur Branham? "
J'ai dit : "Non, madame. "
Elle a dit… J'ai dit : "Je suis frère Branham. "
Elle a dit : "Eh bien, je suis très charmée de faire votre connaissance. "

36 Eh bien, je ne comprenais pas ce que disait la femme. J'ai tendu la main et j'ai saisi cette énorme main, cette main grasse, là, chargée d'environ quarante bagues, me semblait-il. Je l'ai saisie. J'ai dit : "Baissez-la, afin que je puisse vous reconnaître si je vous revois. " Oui. Elle se donnait de grands airs. Qu'était-elle? Une motte de terre de 1,80 m, là. C'est vrai.
Oh! c'est ce qu'il en est aujourd'hui. Comment peut-Il attendre davantage, quand les gens baignent tout simplement leurs âmes dans toutes sortes de corruption et tout.
"Ce qui se ressemble s'assemble. " Vous savez, parmi les oiseaux qui ont la plus belle apparence se trouvent les charognards. C'est juste. Eh bien, même si l'extérieur n'est pas remarquable, c'est l'intérieur qui compte. C'est juste. Très bien.
Alors, Marie a couru voir… Marie est allée voir Elisabeth, et elle l'a embrassée. Et elle a dit : "Oh! la la! Je suis si heureuse de savoir que tu vas avoir un enfant. "
Elle a dit : "Oui, je vais avoir cet enfant. C'est vrai. "
Elle a dit : "Tu sais, le Seigneur m'est apparu aussi. " Vous voyez? Elle avait une bénédiction à - à expliquer. Elle a dit : "Le Seigneur m'est apparu et m'a dit que j'allais avoir un Enfant sans connaître d'homme. Et que je Lui donnerai le Nom de Jésus. "

37 Et, le petit Jean, à ce que nous sachions, n'avait pas encore reçu la vie. Elisabeth a dit qu'elle avait peur. Elle était à son sixième mois de grossesse, avec le bébé à ce moment-là, avec ce bébé sans vie. C'est anormal. C'est tout à fait anormal, après environ deux ou trois mois. Et ici, ça faisait six mois, il n'y avait pas de vie.
Et dès que Marie a prononcé le Nom de Jésus, le petit Jean a reçu la vie, il s'est mis à bondir de joie dans le sein de sa mère. Si le Nom de Jésus-Christ, la première fois qu'Il a été prononcé par des lèvres humaines, a apporté la vie à un bébé mort, qu'est-ce que cela devrait faire à une Eglise née de nouveau? Alléluia! Qu'est-ce que cela devrait faire à une personne malade? Ce Nom de Jésus a ramené à la vie un bébé mort.

38 Et la Bible dit que Jean a reçu le baptême du Saint-Esprit ou plutôt a reçu le Saint-Esprit dans le sein de sa mère, et qu'il est né rempli du Saint-Esprit. Alléluia! Vous y êtes! Il a reçu la joie et il s'est mis à bondir et à sauter. Et le Saint-Esprit est venu sur sa mère et elle a prophétisé. Oh! la la! Et ne pas parler du Royaume de Dieu? Certainement.
Ensuite, Marie est retournée, après être restée avec elle plusieurs jours. Considérez ce petit Jean, quand il est né. "Quel genre d'enfant doit-il être? "
" Eh bien, je pense que nous devrions l'envoyer au séminaire ", au cimetière, tout ce que vous voulez. Les deux sont des lieux de morts.

39 Un prédicateur de séminaire me fait penser à un poulet d'incubateur. Un petit poulet d'incubateur est produit mécaniquement, et le petit ne fait que pépier sans arrêt, cherchant une maman, mais il n'y en a pas une auprès de qui aller. C'est très exactement comme un prédicateur d'incubateur. Il connaît bien la lecture, l'écriture, l'arithmétique, il sait se tenir vraiment comme il faut, incliner la tête, crier amen comme un veau à l'agonie. Mais il n'en sait pas plus au sujet de Dieu qu'un hottentot au sujet d'un chevalier égyptien. C'est juste. Vous savez que c'est vrai. Vous pouvez ne pas dire amen à cela, mais c'est la vérité. C'est juste.
Oh! cela m'importe peu si mon fils ne connaît même pas son abc, je veux qu'il connaisse Christ, le plein pardon des péchés, et qu'il reçoive le baptême du Saint-Esprit. Alléluia! Ils ne distinguent pas des pois cassés du café. Ça ne change rien pour moi, aussi longtemps qu'il connaît Christ et le pardon des péchés.

40 Observez ce brave petit gars de neuf ans, il est allé dans le désert, pas à un séminaire pour recevoir une injection d'embaumement. Pas du tout. Il est allé dans le désert. Il a vécu là avec Dieu jusqu'à l'âge de trente ans. Vous connaissez la naissance de Jésus… Notre temps s'amenuise, je ne vais donc pas prendre du temps pour répéter cela. Vous connaissez cela. Et à l'âge de trente ans, " quel genre de prédicateur devrait-ce être? " Le voilà sortir du désert, non pas avec un col retourné, et le dos… en smoking, prenant chaque jour comme dîner du poulet frit avec de petits pains. Absolument pas. Alléluia! Il est sorti du désert vêtu d'un pantalon poilu, ceint d'une ceinture en peau de brebis, comme cela. Mais il a prêché la repentance.

41 Je peux le voir. Hérode s'est présenté, vous savez, il vivait avec la femme de son frère Philippe. Je peux entendre certains des anciens venir en disant : "Ne prêche pas sur le mariage et le divorce aujourd'hui, là. Hérode est assis là. " Le brave Jean, rempli du Saint-Esprit (Pourriez-vous vous l'imaginer être retenu?), il s'est avancé droit en face de lui et a dit : "Il ne t'est pas permis de l'avoir. " C'est juste. Ô Dieu, donne-nous des Jean.
Eh bien, je dis aujourd'hui que ce dont l'Eglise baptiste a besoin, c'est davantage de Jean de la race de Jean Baptiste, qui ne feront pas des compromis, mais qui prêcheront les richesses inaccessibles… insondables de Christ. Frère, il n'avait pas d'instruction, on sait qu'il n'avait jamais passé un seul jour à l'école. Il n'avait aucun diplôme, il n'avait pas un licencié ou plutôt un diplôme de licence, ou peu importe comment vous voulez appeler cela. D.D.D.D ou peu importe comment vous voulez appeler cela.
Vous savez ce que signifie D.D.? "Dead dog" [Chien mort, en anglais - N.D.T.] Très bien. Il ne connaissait rien de cela. Mais il disait aux gens où ils habitaient et ce qu'ils devaient faire. Ô Dieu, donne-nous davantage de Baptiste de ce genre. C'est tout à fait juste.
Il a dit : "Il ne t'est pas permis de l'avoir. " C'est vrai.

42 L'autre jour, un homme… Je parlais d'une dame; je racontais l'histoire d'une dame qui jouait au piano. Et maintenant, vous pouvez… Eh bien, ceci vous regarde. Cela dépend de vous. Vous voyez? Mais cette dame-là avait mis trop de maquillage, cette femme avait sur elle assez de peinture pour peindre pratiquement une grange. Et alors il a dit, cet homme a dit : "Frère Branham, c'est mon épouse. " Il a dit : " C'est une sainte. "
J'ai dit : "Frère, je ne veux pas blesser vos sentiments; mais elle n'en a pas l'air. [Frère Branham utilise le mot " ain't ", forme abrégé de " have not " qui signifie " n'a pas " - N.D.T.] Elle ne m'a pas l'air d'une sainte. " C'est ce que…
Savez-vous ce que signifie " ain't "? Dans le Sud, c'est un fantôme. Très bien. Permettez que je vous le dise. Ecoutez. La seule femme dans la Bible qui se soit jamais peint le visage pour aller à la rencontre d'un homme, ce fut Jézabel, et Dieu l'a donnée en pâture aux chiens. Si donc vous vous tenez… Ces gens qui sont censés être si braves et avoir le Saint-Esprit. Vous pouvez dire : "Bonjour, mademoiselle Viande pour Chiens. " C'est ainsi que Dieu les appelle, de la viande pour chiens, c'est ce qu'elles sont à Ses yeux. Vous voyez? Très bien.

43 Permettez-moi de vous dire que ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est des prédicateurs qui ôteront leurs gants et qui se tiendront à la chaire et proclameront le Plein Evangile de Jésus-Christ avec la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. Les gens aiment bien être là où on les secoue un petit peu d'un côté, et on fait un peu de compromis de l'autre côté. C'est très exactement ce qu'ont fait les Luthériens. C'est ce qu'ont fait les Méthodistes, c'est ce qu'ont fait les Baptistes. Et c'est ce que font les Pentecôtistes. Fiou! Après ceci, vous ne m'apprécierez plus. Mais, je ne… Permettrez-moi de vous dire une chose. C'est la chose la plus importante, je suis responsable devant Dieu. C'est juste. Je crois… Je crois que c'est la vérité solennelle de Dieu. Absolument. La seule chose que vous devez faire, c'est mettre ce coeur en ordre.

44 Eh bien, nous avons tous vécu ici dans ces Etats situés vers l'est, vers l'est. Ici, nous avons le chêne. Chaque année, pendant tout l'hiver, le chêne porte toujours des feuilles. Pendant le printemps, les vieilles feuilles tombent de l'arbre. Vous n'avez pas besoin d'aller les arracher. Laissez simplement la nouvelle vie monter, les vieilles feuilles tomberont. Quand un homme est réellement né de nouveau et un… son coeur, qu'il s'agisse d'une femme ou d'un homme, la vieille vie tombe et la nouvelle vie vient et prend place. Qu'ils se mettent simplement - simplement en ordre avec Dieu, alors vous verrez. C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
Et permettez-moi de vous le dire, mon frère. Je ferais mieux de fermer ma bouche ici. C'est juste. Je me souviens, dans l'histoire de ma vie, de la première fois que j'ai eu à goûter un peu à une sortie. J'avais une petite amie et je pensais… Vous savez, votre première petite amie. Oh ! elle avait des yeux comme une colombe et un cou comme un cygne, et des dents comme des perles. Je pensais que c'était la plus belle créature que j'aie jamais vue. Et quand nous sommes sortis, nous… un ami et moi, nous avons acheté du Coca et des sandwiches. Je suis venu donner un sandwiche à ma petite amie. Et elle mangeait le sandwiche et on prenait du Coca. Je suis allé remettre les bouteilles. A mon retour… C'était juste à l'époque où les femmes commençaient à perdre leur décence, vous savez. Et ainsi, elle était là, fumant la cigarette. Je l'ai regardée. J'avais toujours eu mon opinion sur la femme qui fume, et je l'ai encore aujourd'hui. C'est la chose la plus vile qu'elle ait jamais faite. Ne soyez pas embarrassé. Vous voyez? Ne vous levez pas pour sortir, vous savez, alors que vous êtes coupable. Très bien. Mais permettez-moi de vous dire quelque chose. Si Dieu pense… S'Il pense que c'est ainsi que l'Ange de Dieu rend témoignage de moi ici, cet après-midi même à l'estrade, vous passerez un mauvais moment en franchissant ces portes là-bas, je vous assure, quand vous comparaîtrez devant Lui. D'abord, cessez. Arrêtez. Mettez ces choses de côté. L'heure du jugement est proche. Et si la vierge Marie a dû aller là-bas dans la chambre haute et attendre jusqu'à ce qu'elle ait reçu le baptême du Saint-Esprit, et qu'elle est sortie en titubant comme une femme ivre, vous n'arriverez jamais au ciel, avec quelque chose de moins coûteux que cela. C'est juste. Quand un homme… Ecoutez-moi. Je vous dis la vérité. Placez Dieu ici dedans et Il prendra soin du reste. Et alors, regardez ensuite tout autour. Vous n'avez pas à dire… " Eh bien, je L'ai. " Les fruits montrent que ce n'est pas le cas. Ainsi c'est… Ne dites pas cela. Allez de l'avant; vous savez où vous en êtes. Très bien.

45 Maintenant, regardez. Alors, je vois Jean quand il est apparu là et a commencé à prêcher, oh! la la! juste la repentance, aussi durement qu'il le pouvait. Mettant la cognée à la racine de l'arbre, et chaque arbre qui ne porte pas de bons fruits, sera coupé et jeté dans la mer. Et alors remarquez, ou plutôt au feu.
Ensuite Jésus est venu. Quand Il fut baptisé, Il sortit directement de l'eau et la Voix de Dieu se fit entendre, disant : "Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en qui J'ai trouvé Mon plaisir. " Il est allé dans le désert pour être tenté par le diable. Chaque homme et chaque femme, dès que vous êtes baptisé du Saint-Esprit, immédiatement le diable surgit de toute part. S'il ne le fait pas, alors vous feriez mieux de retourner.

46 Donc, chaque fois que vous êtes guéri, voilà les symptômes qui apparaissent partout et ils vous tentent. Si ce n'est pas le cas, faites attention. Voyez-vous? La foi est toujours là pour accepter ce que Dieu a fait.
Son ministère grandit donc et Il s'en alla. Il est allé dans un… Alors nous arrivons à notre texte. Rapidement maintenant.
Alors nous voyons que Lazare… Il s'est éloigné de la maison. Et aussitôt que Jésus a quitté la maison, la maladie s'est installée, le chagrin s'est installé. Et suivez, chrétiens, quand Jésus quitte votre maison, la maladie et les ennuis vont s'installer aussitôt après. Quand Il quitte votre maison, préparez-vous à avoir des ennuis, car ils sont alors en route. Faites-Lui bon accueil dans votre maison. Qu'Il soit l'Hôte invisible. Quand vous vous mettez à table, ne mangez jamais sans Lui rendre grâces pour cela. Je vois beaucoup de gens qui se disent chrétiens, qui ne rendent jamais grâces, ils sont tout aussi maladroits qu'un cochon sous un pommier. Un cochon peut se mettre là sous un pommier, et les pommes lui tombent sur la tête pendant toute la journée, et il va en manger jusqu'à ne plus pouvoir grogner, ou presque; mais il ne lèvera jamais les yeux pour voir d'où elles tombent. C'est juste. C'est tout à fait vrai. Les gens sont si ingrats, impies, sans affection naturelle, déloyaux, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant une forme de piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-là. C'est ce que l'Esprit dit dans Timothée. Est-ce juste?

47 Et voici qu'en ce jour où nous vivons, les pentecôtistes se plongent en plein là-dedans. Vous, les gens de la sainteté, vous vous plongez en plein là-dedans, la tête la première. C'est vrai. Oh! la la! Quel triste spectacle! Ce dont nous avons besoin aujourd'hui, frère, c'est d'un réveil, d'une secousse, d'une démolition, d'une mise en morceaux, de nouveau chez le potier.
Suivez. Je vois maintenant Jésus quitter la maison. Lazare est tombé malade. Maintenant, ceci c'est d'après l'histoire; on apprend qu'elle - qu'elle avait une hémorragie aux poumons. Je ne sais pas. Ce n'est pas la Bible; ce sont juste des écrits des historiens. Il avait une hémorragie. Quand Jésus a quitté la maison, alors Marthe et Marie ainsi que tous les autres ont quitté la synagogue, et ils suivaient Jésus. Ils ont envoyé chercher Jésus pour qu'Il vienne prier pour Lazare. Pensez-vous qu'Il l'a fait? Il a continué sa route.

48 Maintenant, si c'était vous, oh, si vous envoyiez chercher votre pasteur et qu'il ne venait pas, vous diriez : "Eh bien, ce vieil hypocrite! Je n'irai plus jamais à l'église de Philadelphie. Je n'y retournerai plus jamais. "
Jésus n'est pas venu. Et si Marie avait eu de telles pensées, ainsi que Marthe, quel jour cela aurait été! Maintenant, il ne m'a pas demandé de dire cela, j'ai simplement dit cela. Cela s'adresse à n'importe quelle église. Vous devriez avoir foi en votre pasteur, en tant qu'un homme de Dieu. S'il ne l'est pas… S'il ne l'est pas, faites-le partir et placez là quelqu'un qui l'est. C'est juste. Ne fermez pas l'église. C'est juste, continuez. Si ce n'est pas un homme de Dieu, s'il ne vit pas, n'agit pas, ne fait pas, ne prêche pas tel qu'il le devrait, faites-le partir et placez quelqu'un d'autre qui le fera.

49 Maintenant, maintenant, vous devez donc avoir confiance. Ceci, c'est la maison du jugement, c'est la maison de Dieu où Dieu descend et prononce Son jugement. Votre pasteur est censé être un homme juste. L'assemblée est censée être d'accord avec lui à cent pour cent. Vous êtes censé être unis à cent pour cent. Et là, si ce n'est pas le cas, alors Satan a une brèche par où entrer. Vous avez une lacune quelque part, vous allez tout perdre.
Alors, lorsqu'ils ont de nouveau envoyé chercher Jésus, au lieu de venir, Il a tout simplement continué; Il n'est pas venu et Il n'a pas dit un mot à ce sujet. Il avait reçu une vision du Père. Je vais prendre cela là ce soir, si possible. Il avait une vision du Père, montrant que Lazare allait mourir, et Il devait suivre Sa vision. Bien sûr, Il le fit. Il a continué son chemin. Au bout d'un moment, les gens ont dit…
Il a dit : "Mon ami Lazare dort. "
Eh bien, les disciples ont dit : "Eh bien, s'il dort, alors il fait bien; il récupère. Il va mieux. "
Ensuite, Il le leur dit dans leur propre langage. Il a dit : "Il est mort. Et à cause de vous, Je suis content que Je n'aie pas été là. Mais Je pars le réveiller. " Il savait où Il allait. Dieu Lui avait déjà dit. Il suivait ce que le Père avait dit de faire, pas ce que l'homme Lui avait dit; ce que Dieu avait dit. Il savait exactement ce qu'il fallait faire.

50 Je peux entendre certains de ces gens dire : "Eh ! Ce saint exalté était juste ici, prêchant la guérison divine. Et, oh ! Il a vu que l'autre souffre de l'hémorragie, la tâche était trop ardue pour Lui. Il s'en est allé. Maintenant, nous allons voir ce qu'il en est. " Très bien. Il a alors dit : "Je vais le réveiller. "
Alors, le premier jour passa… Des afflictions étaient arrivées, et on a pris Lazare, on l'a amené, on a embaumé son corps, on l'a amené là et on l'a enseveli dans la tombe. Tout espoir était parti. Le deuxième jour passa, il faisait toujours noir. Le troisième jour passa, la corruption s'installa dans son corps. Il était bien mort depuis quatre jours.

51 Puis, immédiatement, vous savez, quelqu'un est venu, et la jeune Marthe et la jeune Marie étaient assises dans la maison, en train de pleurer. Le soutien de la famille était mort. Oh ! elles disaient… Considérez qui était mort. Ils avaient renoncé à leur église. Eh bien, le…?… normalement, devait les encourager. Tout espoir était parti. Leur frère était mort. On les avait chassées de leur église. Cet Homme prêchait la guérison divine, et celui qui était comme leur - leur pasteur était mort. Tout espoir, tout était perdu.
Et presqu'à ce moment-là, Jésus est revenu. C'est d'habitude à ce moment-là qu'Il vient : juste à l'heure la plus sombre. C'est à l'heure la plus sombre que Jésus est revenu.
J'étais étendu là à l'hôpital. Le médecin est entré et m'a regardé. Il a dit : "Mon fils, il te reste trois minutes à vivre. Ton coeur bat dix-sept fois à la minute. " L'heure la plus sombre, alors Jésus vint. Oui.
E. Howard Cadle, ici à Indianapolis, était étendu là dans la rue, ivre, les mouches bourdonnant sur sa bouche. Il est entré en titubant dans l'église d'où il avait rétrogradé (Et les démocrates en avaient fait un très grand hall de rassemblement), et il est descendu au sous-sol, ivre, il est allé en titubant vers le tas de charbons et il y avait là la photo de sa mère. Il a prié là. L'heure la plus sombre qu'il n'avait jamais connue; il avait froid, il était ivre, il s'est évanoui. Puis Jésus vint. Oui.

52 Et là-bas, quand les frères Mayo m'ont dit que je n'avais que peu de temps à vivre, Jésus est venu. C'est toujours à l'heure la plus sombre, c'est à ce moment-là qu'Il vient. C'est toujours le cas, c'est juste à temps, au bon moment que Jésus vient.
Alors, la petite Marthe, elle avait vraiment traîné les pas, à son sujet, au sujet - au sujet du Royaume de Dieu et ainsi de suite. Mais, j'admire son courage. Aussitôt qu'elle a appris que Jésus venait, voilà qu'elle est allée aussi vite que possible. Je peux entendre les gens dire : "Eh bien, voyez-la partir. J'ai entendu dire là-bas que ce saint exalté revient. " Elle a simplement repoussé la personne. Elle voulait arriver auprès de Jésus.
Marthe avait lu un passage quelque part là dans la Bible. Une fois, il y avait une Sunamite qui avait fait une grande faveur à un prophète. Elle savait qu'il était un prophète. Vous voyez? C'était Elie. Et Elie l'a bénie et lui a dit qu'elle allait avoir un enfant, un certain jour, à une certaine époque. Et ce bébé naquit quand elle n'était plus en âge d'avoir un enfant. Et elle a eu le bébé. Le petit enfant devait avoir attrapé une insolation ou quelque chose de ce genre. Il a crié : "Ma tête! Ma tête! " Il était dans le champ avec son père, vers onze heures du matin. Il a envoyé un serviteur, qui a mis l'enfant sur les genoux de sa mère. Et l'enfant est resté couché là jusqu'à midi, et il est mort. Considérez cette Sunamite, combien elle était confiante.

53 Elle a pris le bébé et l'a directement amené dans la petite chambre où Elie avait dormi. Elle lui avait préparé là un endroit où il pouvait dormir quand il était de passage. Quel bon endroit où l'amener, sur le lit du prophète, là où dormait le prophète. Elle l'a couché sur le - sur le lit. Elle est sortie vers le serviteur, elle a dit : "Selle maintenant un âne et on y va ; ne t'arrête pas " (Oh! la la !), à moins que je te le dise. " Elle a dit : "Allons là-bas au mont Carmel, là où se trouve ce prophète. "
Son mari a dit : "Ce n'est ni la nouvelle lune ni le sabbat. Il n'y sera pas. "
Elle a dit : "Tout va bien. Laisse-moi aller. " J'aime cette détermination. J'aime cela. Alléluia. "Alléluia" signifie "que notre Dieu soit loué", en hébreu, ne - ne vous inquiétez donc pas à ce sujet. Très bien.

54 Elle est partie. Elle a dit : "Ne t'arrête pas. Mène maintenant, mène ce mulet aussi vite que possible. " Quand elle s'est approchée du mont Carmel, elle savait une seule chose, c'est que Dieu lui avait donné cet enfant. Et le plus proche représentant sur terre qu'elle connaissait, c'était Elie, Son prophète. Elle ne savait pas pourquoi Dieu avait repris l'enfant, mais elle savait que si elle pouvait entrer en contact avec ce prophète… En effet, Dieu était dans le prophète. "Si je peux parvenir auprès de ce prophète, je saurai pourquoi mon enfant est mort. C'est lui qui m'a dit que cet enfant viendrait. Et je sais qu'il est le prophète de Dieu. Et si seulement je peux parvenir auprès de lui, il se peut que je sois obligée de chevaucher vite, il se peut que je sois obligée de chevaucher sur une longue distance… Mais si je peux parvenir auprès de ce prophète, il pourra me dire pourquoi cet enfant est mort. "
Le prophète se tenait donc là. Dieu ne dit pas toujours tout ce qui se passe à Ses prophètes. Elie s'est dirigé alors vers la porte, et Guéhazi était avec lui, et il a dit : "Voilà venir cette Sunamite. " Il a dit : "Elle a l'air inquiète. Quelque chose ne va pas. "
Il a dit : "Dieu me l'a caché. Je ne sais pas quel est le problème. " C'est ce qu'il a dit, quand il l'a vue venir. Elle s'est approchée. Il a dit : "Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? L'enfant se porte-t-il bien? " Ecoutez ceci. "Tout va bien. "
Gloire! Je ne… C'est à peine si on a assez de place ici pour prêcher en ce moment même.
Laissez-moi vous dire quelque chose. "Tout va bien. " Pourquoi? L'enfant était un cadavre, son mari se tordait les mains en faisant les cents pas, et elle avait le coeur brisé. " Tout va bien. " Hum!

55 Elle avait la foi, si elle pouvait parvenir auprès du prophète. C'est tout ce dont elle avait besoin. "Je t'ai trouvé, Elie. Tu es le représentant de Dieu. Dieu est dans Son prophète. Et je suis venue ici maintenant. Je suis convaincue que Dieu le révélera. Tout va bien. " Elle a couru et elle est tombée à ses pieds. Guéhazi s'est dit : "Tiens! " Il était censé retenir les gens loin de son maître." Il l'a écartée brusquement.
Elie a dit : "Laisse-la tranquille. " Il a dit : "Son coeur est attristé. Mais je ne sais pas de quoi il s'agit. "
Et elle a commencé à lui révéler ce qui était arrivé. Maintenant observez. Il a dit : "Guéhazi, prends mon bâton et va, va vers l'enfant. Si quelqu'un te parle, ne lui répond pas. Si quelqu'un te salue, ne le salue pas. Si quelqu'un te dit : 'Bonjour', ne lui dis rien. Va tout droit. "

56 Voilà le problème aujourd'hui. Alors que nous avons un Message, nous nous arrêtons pour des affaires mondaines, pour des dîners et des fêtes, et tout comme cela, pour de petites réunions de couture, et on parle de madame Untel. Il n'est pas étonnant que nous ne puissions arriver nulle part. Un homme qui a un Message de Dieu dit : "Allons de l'avant. " Très bien.
"Mais prends mon bâton. " Elie toucha ce bâton. Elie savait que tout ce qu'il touchait était béni. Pourquoi imposons-nous les mains aux malades? Pourquoi ordonnons-nous les anciens par l'imposition des mains? Elie savait que ce qu'il touchait était béni. Je pense que c'est de là que Paul a tiré la pratique d'appliquer les mouchoirs qui avaient touché son corps. Vous voyez?
Paul savait que tout ce qu'il touchait était béni. Si les gens veulent le croire, on dit que vous obtenez la même bénédiction, juste comme s'il avait prié pour vous et vous avait imposé les mains, quel que soit le cas.

57 Et Elie savait que ce bâton était béni. Il a dit : "Guéhazi, prends mon bâton à la main, tiens-le devant toi et vas-y maintenant. Et ne t'arrête pour rien. Si quelqu'un te parle, ne parle pas. Maintenant, tu as une commission. Amène ce bâton. " C'était très bien. Le mouchoir, c'était une bonne chose. Mais cette Sunamite ne savait pas si Dieu était dans le bâton ou pas, par contre elle était convaincue que Dieu était dans le prophète. Elle a dit : "L'Eternel… "
Il a dit : "Va maintenant avec elle. "

58 Elle a dit : "L'Eternel est vivant, et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point. " Oh ! vous y êtes! "Je vais rester juste ici, juste à côtés de toi, je suis entre tes mains maintenant, jusqu'à ce que nous sachions ce qu'il en est. "
Il a dit : "Va avec… "
- Non.
Et Guéhazi a précédé, alors lui a ceint ses reins et s'est mis en route avec elle. Les voilà partir, la femme en compagnie du prophète, le désir de son coeur, faisant le chemin.
Elie a dit : "Je ne sais pas. Il ne m'a rien dit à ce sujet. Je ne sais rien te dire. Je vais donc aller là-bas. "
Voilà revenir Guéhazi. Le prophète a dit : " As-tu posé le bâton sur lui? "
- Oui.
- Y avait-il de signes quelconques?

59 " Pas de vie. Il est toujours endormi. Il est toujours mort. Il est parti. " Vous voyez? La foi de la femme n'était pas dans cela. Elle était dans le prophète. Elle savait que… Si elle avait cru que Dieu était dans ce bâton, cela aurait produit le même effet. Mais elle savait que Dieu était dans Son prophète.
Voilà donc venir Elie. Tous les voisins s'étaient rassemblés à la porte, et ils pleuraient, criaient, gémissaient et continuaient ainsi. Le vieil Elie avança au milieu d'un tel groupe. Il est entré, il a tiré les battants de la porte, il a refermé la porte. Le petit cadavre gisait là, il était mort depuis plusieurs, plusieurs heures, peut-être très tard dans la soirée. Elie a fait les cents pas dans la chambre. Oh! la la! Alléluia ! Il a fait les cents pas dans la chambre, il s'est approché… Il savait que Dieu était en lui. Il a étendu son corps sur l'enfant, il a placé ses lèvres contre les siennes, son nez contre le sien, le front contre le sien. Il a gardé son corps là, il n'a pas prié; il a placé son corps. Il s'est étendu là.

60 Au bout d'un moment, il a senti la chair de l'enfant se réchauffer. Il s'est levé. Il s'est remis à marcher. Oh! la la! Il faisait les cents pas, allant et revenant; à l'extérieur on hurlait, on criait et on continuait ainsi. Elie marchait… Il est encore retourné et a étendu son corps sur l'enfant, et l'enfant a éternué sept fois. Il l'a pris et a dit : "Appelle donc cette Sunamite. " Vous y êtes!
Et sans doute que Marthe avait lu cela. Elle savait que si Dieu était dans Son prophète, certainement qu'Il était dans Son Fils. Alléluia. " Mon frère est mort, mais laissez-moi parvenir auprès du Fils de Dieu. Je serai consolée quand j'arriverai là. " Elle cours vite là-bas.
Maintenant, écoutez. On dirait qu'elle aurait pu Le réprimander. On dirait qu'elle aurait pu Le rabrouer.
Elle pouvait dire : "Pourquoi n'es-Tu pas venu vers mon frère? Pourquoi n'es-Tu pas venu quand nous T'avons appelé? Nous avons tout abandonné pour Te suivre. Nous avons quitté l'église. Nous avons perdu tout notre prestige dans la ville. Nous avons tout fait. Et quand nous T'avons envoyé chercher pour que Tu viennes prier pour Ton ami intime, Tu as refusé de le faire. " On dirait qu'elle en avait le droit. Si elle avait fait cela, cette histoire n'aurait jamais été écrite.

61 Il s'agit de votre attitude envers cela. Votre attitude envers le don de Dieu fera que vous obteniez ce que vous demandez. Comprenez-vous? Oh! combien j'aurai aimé m'arrêter juste ici, Frère Boze, et enfoncer cela pendant environ une demi-heure ! Mais je ne saurai pas le faire. Votre attitude : Dieu peut envoyer un don et peu importe ce que vous… Cela dépend de votre attitude envers le don. Considérez ceux qui Le frappèrent au visage et qui crachèrent sur Lui et tout, là il n'y avait aucune vertu. Mais une femme qui croyait la Parole toucha le bord de Son vêtement et fut guérie. Est-ce juste? Très bien. Cela dépend de ce que vous en pensez. Dieu envoie cela. Mais c'est votre attitude envers tout don divin qui détermine ce que vous en obtenez. Ainsi, il…
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:39

Mon Ange marchera devant toi

1         Bonsoir amis. Très heureux d'être  ...tantôt venir, tantôt rentrer, alors je—j'ai pensé, eh bien, que là, la pièce serait un peu étroite, mais nous sommes heureux. Vous savez, certains de nos rassemblements les plus spirituels, c'est là où deux ou trois sont rassemblés; c'est là qu'il est. Je suis certain que presque tous les chrétiens peuvent se référer en quelque sorte à une époque où nous n'avions qu'un petit groupe, juste une sorte de réunion de prière dans une petite baraque. C'est là que j'ai passé certains de mes moments les plus bénis, quand le Saint-Esprit descendait effectivement parmi nous et nous bénissait, lorsque nous avions de tous petits rassemblements. Il a fait cette promesse que dans la plus petite église, «là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d'eux».
2         Ce soir, j'aimerais lire un passage de l'Écriture, ensuite nous nous mettrons à prier pour les gens; étant juste un petit groupe comme ceci, nous devrions entrer sans tarder dans le domaine de la grâce et de la puissance guérissante de Dieu pour notre guérison. Il a promis de le faire, et II a pratiquement tout accompli pour nous révéler Sa volonté et Sa grâce pour nous; nous devons donc croire en Lui. Est-ce juste?
Ce soir, j'aimerais lire un passage de l'Écriture dans Exode chapitre 23, à partir du verset 20. Cela a toujours été mon passage favori. Il est dit :
Voici, j'envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que j'ai préparé.
Tiens-toi sur tes gardes en sa présence,... écoute sa voix ; ne lui résiste point, parce qu 'il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui.
Mais si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l'ennemi de tes ennemis et l'adversaire de tes adversaires.
Mon ange marchera devant toi...
3         Maintenant, comme pensée pour notre méditation pendant quelques instants, je désire prendre la dernière partie, ou plutôt la première partie de la phrase du dernier verset : Mon Ange marchera devant toi.¶Dans tous les âges, Dieu a toujours eu quelqu'un avec qui traiter ici sur la terre. Depuis qu'il a créé la terre, depuis qu'il a commencé, il n'y a jamais eu un temps où II n'était-où II a manqué quelqu'un sur qui mettre la main pour l'envoyer. Et pendant ce temps dont nous parlons ici et dont il est question dans le passage que je viens de lire, Il avait envoyé Moïse pour délivrer les enfants d'Israël.
Maintenant, ce n'est pas Moïse qui avait été envoyé. Moïse n'était qu'un instrument. Eh bien, dans mon cœur, j'ai... je crois que Dieu a toujours été le même. Tout au long des âges, dans chaque âge, Il était exactement tel qu'il avait été au commencement. Il a été manifesté dans la Paternité; Il a été manifesté dans la Filiation. Il est maintenant manifesté dans la dispensation du Saint-Esprit.
Nous ne vivons pas dans la dispensation du Christ, mais dans la dispensation du Saint-Esprit. Il s'agit des-des Actes du Saint-Esprit dans l'Église, les réactions de l'Église à ce qu'est le Saint-Esprit en eux. Nous vivons dans un jour merveilleux, le temps le plus glorieux de tous les âges.
Nous vivons maintenant juste à la fin de la scène des activités de ce monde et nous nous apprêtons à entrer dans cet âge glorieux que nous avons tous tant attendu, et dont les prophètes hébreux avaient parlé au fil du temps.
4         Et Dieu a toujours eu quelqu'un sur qui II peut mettre la main. Eh bien, Moïse était né un enfant particulier. Et Dieu avait ordonné qu'il devait amener les... faire sortir Israël sous sa conduite. Et avant qu'il descende en Égypte, après son appel, quand il était au désert ce matin-là, paissant les brebis de Jethro, son beau-père, il a vu un buisson en feu. Eh bien, je crois que c'était la première apparition de l'Ange du Seigneur. Il était dans ce buisson ardent. Et alors, quand II a commissionné Moïse et qu'il lui a dit ce qu'il devait faire, Il a marché devant lui là en Égypte. Et quand ils sont sortis, Il était de nouveau sous la forme du Feu, une Colonne de Feu. Et cette Colonne de Feu qui conduisait les enfants d'Israël, était le même Ange qui était dans le buisson ardent; c'était la même Colonne de Feu qui était dans ce buisson ardent.
5         Et cette Colonne de Feu ou cet Ange était l'Ange de l'alliance. Je crois que tous les ministres sont d'accord là-dessus, que c'était l'Ange de l'alliance. Si c'était l'Ange de l'alliance, alors c'était le Seigneur Jésus; c'était Dieu le Saint-Esprit. Car Moïse a choisi de-de porter l'opprobre de Christ, et il a regardé cela comme une richesse plus grande que les trésors de l'Égypte. Vous voyez? De Christ... C'est Christ, le Logos, l'Ange de l'alliance qui a conduit les enfants d'Israël de l'Égypte à la Terre promise, ce qui n'était qu'une préfiguration. Ce qu'il a fait dans le naturel alors, Il le fait dans le spirituel aujourd'hui.
Eh bien, Il avait promis de pourvoir à tous leurs besoins. Quand ils ont eu besoin d'eau, ils en ont obtenu du rocher. Quand ils avaient besoin de nourriture, Dieu a fait pleuvoir cela du ciel, Il envoyait cela en faisant souffler le vent. Et quand les eaux étaient amères, Il les a rendues douces. Et II pourvoyait à tous leurs besoins.
6         Quand la maladie est entrée dans le camp, Il a fait une expiation. Il a promis d'être Dieu en temps de détresse, un secours immédiat. Il a promis de faire ces choses et de leur venir en aide. Et maintenant, ce qu'il était à l'époque dans le... Il l'est aujourd'hui. Le même Esprit de Dieu qui a conduit Israël, conduit l'Église aujourd'hui, en nous faisant traverser, comme à l'époque, le désert pour aller à la Terre promise. Nous avons une Terre promise, croyez-le : «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures. Je vais vous préparer une place, puis Je reviendrai vous prendre.» Nous sommes en route. Nous allons vers cette glorieuse Terre promise dont Dieu nous a fait la promesse.
7         Maintenant, tout au long de ce voyage, Il a promis de pourvoir à tout ce dont nous avons besoin : «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. Tout ce que (Marc 11.24)... Tout ce que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir.» Or, Il nous a donné l'arme la plus puissante au monde, et c'est la prière. C'est la prière qui change les choses. Le chrétien ne réalise pas quelle puissance il possède lorsqu'il se met à genoux devant le Dieu Tout-Puissant au Nom de Jésus- Christ. Il ne réalise pas quelle-quelle puissance cela représente. Si seulement les gens peuvent réaliser que le-qu'avec ce qui leur est donné, tout ce que vous demandez vous sera accordé si vous pouvez vous emparer de la foi pour croire la chose. Car la Parole de Dieu est la Vérité.
8         Et maintenant, la Parole de Dieu vaincra Satan n'importe où, à n'importe quel endroit, n'importe quand. Eh bien, quand Jésus était ici sur terre, je-je crois qu'il était, eh bien, qu'il était Emmanuel. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Donc, toutes les grandes qualités du Père étaient en Jésus-Christ, le Fils, quand II était ici sur terre. Tout ce que le Père a Lui appartenait. Et tous les excellents dons qui sont en Dieu, et tout ce qui était [en Lui], étaient en Christ. Mais quand II a affronté Satan, Il n'a jamais utilisé un seul de ces dons. II... juste pour être votre exemple, Il a amené les choses à un point où même le plus faible des chrétiens... Il a dit... Or, 11-11 avait le pouvoir en ce moment-là même pour réprimander Satan et le chasser. Mais qu'a-t-Il fait ? Il n'a jamais recouru à Son pouvoir.
Satan a dit : «Si Tu es le Fils de Dieu...» Il y a toujours une incertitude quand Satan cite la Parole de Dieu.
Il a donc dit : «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent du pain.»
Alors, Jésus a dit : «Il est écrit dans la Parole du Père que l'homme ne vivra pas de pain seulement.»
Il L'a transporté au sommet du-du temple et a dit... il Lui a demandé de se jeter en bas. Jésus a dit : «Il est écrit... », revenant immédiatement à l'Écriture.
Alors, il L'a transporté sur une montagne, Lui a montré tous les royaumes du monde, et a dit : «Je te les donnerai si tu te prosternes et m'adores.»
Jésus a dit: «Il est écrit... » Voyez-vous, toujours : «Il est écrit; il est écrit.»
9         Et ainsi, quand vous pouvez frapper Satan avec les Écritures, il est impuissant au possible. Vous voyez? Eh bien, si quelque chose, peu importe ce que c'est... Eh bien, ce n'est pas à moi ou à votre pasteur de prier... C'est pour que nous priions avec vous, mais il faudra que votre foi propre et individuelle opère la guérison. Maintenant, le seul... Jésus n'a jamais guéri quelqu'un sans que le Père ne le Lui ait montré premièrement. Comme nous l'avons vu hier soir dans Jean chapitre 5, verset 19, Il a donc dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu'il voit faire au Père.»
Observez les deux aveugles qui Le suivaient un jour dans la rue. C'étaient des aveugles, et ils criaient : «Aie pitié de nous. Aie pitié de nous.» Il a simplement continué Son chemin. Il est entré dans la maison, et on Lui a amené les aveugles. Et les aveugles ont dit : «Aie pitié de nous.»
Il a dit : «Croyez-vous?»
Il a répondu : «Oui.»
Il a touché leurs yeux, disant : «... selon votre foi» Est-ce juste? «Qu'il vous soit fait selon-selon votre foi.» Voyez? Et ils avaient la foi.
La femme toucha le bord de Son vêtement, et II dit : «Ta foi (pas Ma puissance), ta foi t'a guérie.» Voyez, voyez? «Ta foi...» Voyez, ce que... Mais Il s'en alla et fit exactement ce que le Père Lui avait montré.
10     Eh bien, Son Esprit est avec nous aujourd'hui. Il révèle ce que le Père montre. C'est déjà fait. Votre prière, par exemple, vous là-bas, soyez en prière. Restez assis là et soyez en prière, et selon ce que le Père pourrait décider, votre foi pourrait s'élever à un niveau où elle dira : «Oui, je crois cela maintenant même. J'accepte cela maintenant même. Je crois cela maintenant même.»
Alors, le Père pourrait se tourner juste vers moi et dire : «Dis-lui que Je l'ai entendu, il avait telle chose, et c'est parti.» Voyez? Mais je ne peux pas faire cela de moi-même. Je ne peux dire que la chose est partie que si Lui me dit que c'est parti. Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire?
Maintenant, cela montre qu'il est le même hier, aujourd'hui... Je peux prier pour vous, et il vous sera fait selon votre foi. Mais s'il me demande de vous dire quelque chose, je peux recevoir là un message par un don divin, et vous annoncer ce qu'il a dit. Juste comme il en a été pour diverses personnes, vous en avez entendu les témoignages. Je ne cherche pas à prendre des témoignages, car M. Baxter les prend des fois; je ne reviens que sur les mêmes. Beaucoup à travers le monde ont entendu des milliers de témoignages sur ce qu'il a fait : au sujet de grands hommes, du membre du congrès Upshaw, et tout, ainsi que des autres, de Florence Nightingale. Lorsqu'ils ont donc été guéris (vous voyez?), Il avait parlé et avait dit une certaine chose, et je... Peu importe ce que c'est, cela arrivera ainsi chaque fois.
Eh bien, considérez cela partout où vous voulez, toute personne est libre de le faire, chaque fois que les gens ont entendu dire : «AINSI DIT LE SEIGNEUR» ou «au Nom du Seigneur, telle chose va arriver», cela est arrivé exactement ainsi. Voyez? Ou bien, allez partout dans les pays où je suis passé pour voir s'il a déjà été dit une fois «AINSI DIT LE SEIGNEUR» et prédit quelque chose qui ne se soit accompli à la lettre. Cela n'a jamais failli.
11     La première fois que Cela est arrivé, je n'étais bien sûr qu'un petit bébé. Je n'étais âgé que de trois minutes environ, quand Cela est entré. Mais tout au long de ma vie, chaque fois, avant même que je ne sois converti... Les dons et les appels sont sans repentir. Vous le savez. C'est là que je pense que la plupart des... Et, voyez-vous, je suis nouveau dans l'Église pentecôtiste. Je viens de l'Église baptiste. Et, à l'époque, les baptistes n'ont pas vu qu'il y avait un don divin. Les pentecôtistes ont cru cela. C'est donc là que Dieu m'a envoyé. C'est là que je me sens comme chez moi. Je suis l'un de vous (Voyez?), parce que j'ai reçu le Saint-Esprit, et puis Dieu a rendu la chose manifeste pour moi; c'était pour moi le départ. Mais pour ce qui est de la-la chose elle-même, c'est depuis mon enfance. Les dons et les appels sont sans repentir. Croyez-vous cela? Si vous croyez les Écritures...
Jésus-Christ était ordonné d'avance comme le Fils de Dieu. Il était la Semence de la femme, laquelle Semence devait écraser la tête du serpent dans le jardin d'Éden. Croyez-vous cela? Moïse ne pouvait pas s'empêcher d'être Moïse. Il était né un enfant particulier. Les gens ont remarqué qu'il l'était et ils en étaient convaincus. Et Dieu l'a suscité carrément sous le nez de Pharaon, n'est-ce pas? Est-ce juste? Il n'y pouvait rien. Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, était la voix de celui qui crie dans le désert. Est-ce juste?
12    Jérémie, le prophète, Dieu lui a dit: «Avant même que tu ne fusses formé dans le sein de ta mère, je te connaissais, et je t'avais consacré, et je t'avais établi prophète des nations. » Est-ce juste? Avant même qu'il ne sorte du sein de sa mère... Voyez, les dons et les appels sont sans repentir. Voyez? C'est Dieu qui les donne. Vous ne pouvez rien au fait que vous avez des yeux bleus. De vous tous, «qui, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? » Par conséquent, la chose est entrée dans le monde aujourd'hui avec un tas d'«ismes», vous voyez, et absolument cela n'est que l'œuvre de Satan pour essayer d'éloigner les gens de la vérité de Dieu. Et c'est ce que vous, les pentecôtistes et tous les autres, les baptistes et consorts avez eu tout au long de l'âge, c'est-à-dire quelqu'un qui essaye d'imiter quelque chose dont il ne sait rien. Il vaut mieux se tenir tranquille. «Qui, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie? » Si Dieu veut que vous soyez une certaine chose, Il vous amènera sur cette terre pour être cela, et c'est ce que vous serez. Voyez?
S'il vous a appelé à être un... à faire une chose... c'est comme un homme qui disait : «Eh bien, je crois que je gagnerai plus d'argent en me faisant prédicateur.» Vous ne serez jamais un prédicateur. Dieu doit vous appeler à être prédicateur. Comment un prédicateur peut-il prêcher sans que le Seigneur ne l'ait envoyé? Est-ce juste? Tout est en Dieu. Tout retourne droit en Dieu. Est-ce juste? Tout retourne droit à Lui, c'est Lui qui fixe le programme. Nous nous y conformons tout simplement (Vous voyez?), et nous exécutons cela.
13 Eh bien, il y a quelques années, tout le monde refusait catégoriquement de croire qu'il existait une quelconque lumière en dehors de la lumière du soleil. Autrefois, les critiqueurs et le monde scientifique riaient en disant : «Dieu n'a- t-Il pas commis une terrible erreur quand II a écrit la Bible?» Ils ont dit: «Il a dit qu'il a fait le-qu'Il a créé le firmament avant qu'il n'ait fait le soleil.» Ils ont dit : «Quelle idée! Il n'existe aucune lumière en dehors de la lumière du soleil, c'est impossible qu'il ait créé le firmament avant de créer le soleil.» Et l'apôtre a dit que tout votre corps est plein de lumière! Eh bien, la science a considéré cela avec un esprit humble et respectueux, elle a sondé cela et a confirmé que Dieu avait raison. Donc, il y a beaucoup de lumières en dehors de la lumière du soleil.
14     Par exemple, les rayons X. Cela n'a aucun... le soleil n'a rien à voir avec cela. Mais tout votre corps, chaque petite cellule, chaque petit atome est une lumière. Vous êtes simplement constitué de la lumière. On s'est rendu compte que la Bible a raison, que vous êtes simplement constitué de la lumière. En effet, les hommes de science, sans considérer cela d'un point de vue naturel... ne peuvent pas comprendre cela. Les choses spirituelles, c'est spirituellement qu'on en juge. Mais alors, ils ont prouvé que la Bible avait raison.¶Et tout récemment, un homme croyait vraiment qu'il y...que l'électricité pouvait être exploitée. Il s'est procuré un cerf-volant, et il a terminé en mettant une clef au bout de sa queue, et il a finalement concrétisé ce qu'il pensait, ce qu'il croyait être vrai, parce que... Les gens se sont moqués de lui, mais quelque chose dans son cœur lui disait que c'était vrai. Il s'en est donc tenu juste à cela.
Un peu plus tard, Thomas Edison, l'homme qui nous a donné la lampe électrique, croyait que cette électronique ou électrolyse pouvait être conduite par un fil. Je pense qu'il a essayé 10.000 fils. Il a essayé tel et tel type de métal. Cela n'a pas marché. Il se mettait là la nuit, avec une tasse de café et un sandwich, inlassable au possible. Mais toutefois, quelque chose dans son cœur lui disait qu'il pouvait faire que cette électricité échauffe un fil pouvant s'enflammer. Ainsi donc, il ne s'est pas découragé après l'essai du premier petit fil. Il a simplement mis celui-ci de côté et a essayé un autre.
15     Mais nous, non pas que nous... Nous qui sommes en contact avec le domaine spirituel de Dieu, nous... «Eh bien, on a prié pour moi, mais je ne me suis pas rétabli, je pense donc qu'il n'y a rien de vrai là-dedans.» Oh ! quel piètre appât à corneille vous représentez pour Dieu. Voyez? Observez. Certainement pas. Dieu veut quelqu'un qui ne laissera pas tomber les bras. Un vainqueur ne lâche jamais et celui qui lâche n'est jamais vainqueur. Vous devez rester là et proclamer la chose, proclamer les choses juste devant Satan. Dites-lui: «Il en est ainsi. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Le Seigneur l'a dit et il est écrit. Il est écrit.» Peu importe ce qu'il dit, «il est écrit», juste là.
«Eh bien, frère Branham n'a jamais pu me toucher.»
«Il est écrit.» Frère Branham n'a jamais guéri. Dieu a déjà opéré votre guérison. Cela a déjà été fait. «Il est écrit. Tout ce que je demande, si je crois en Dieu, je le recevrai. Cela m'appartient, c'est mon bien personnel.»
16    Ainsi, Edison, heure après heure, quelque chose dans son cœur... On n'avait pas d'électricité avant, mais... pour allumer une lumière, mais Edison croyait que cela se ferait. Et finalement, il a conquis la chose, parce que quelque chose dans son cœur disait que cela se ferait. Et aussi longtemps qu'il y a ici dedans quelque chose qui le dit, il doit y avoir quelque chose là pour répondre à cela. C'est juste.
Qu'aurait dit votre arrière-grand-père en parlant à son voisin de la télévision, d'une onde, vibrant dans l'air comme cela, qui reproduit même des images ? Eh bien, le voisin aurait dit : «C'est un détraqué. » Mais quelqu'un croyait qu'il existait une onde. Mais il ne pouvait pas l'expliquer. Dieu l'avait ici. Eh bien, comment a-t-il pensé qu'il existait une onde? Nous l'avons; nous avons la télévision, n'est-ce pas? Certainement que nous l'avons. La radio et tout. Comment était-ce possible? Parce que quelque chose au fond du cœur humain disait : «Ça se trouve là. » Et cette chose est entrée dans ce domaine, a pris cela et l'a apporté ici pour le donner au monde.
17     Eh bien, frère, sœur, appelez-moi fanatique si vous voulez, mais je sais que la puissance de Dieu est une réalité. Premièrement, parce que Dieu l'a dit. Deuxièmement, parce que quelque chose dans mon cœur dit qu'il existe une puissance de Dieu pour guérir chaque maladie. Je le crois. Et aussi longtemps que je crois cela, je consacrerai ma vie (Voyez?), parce que je sais que c'est la vérité. D'abord, c'est la Parole de Dieu, ensuite quelque chose dans mon cœur me dit : «Elle est là. » Et je cherche chaque fil, partout, essayant de trouver par où nous pouvons amener cela dans l'Église. Les fanatiques peuvent se lever et s'en aller, mais Dieu... Vous verrez le jour où l'Église de Jésus-Christ se mettra debout avec cette grande puissance dont les gens se moquent aujourd'hui. Cela sera manifesté exactement comme l'électricité, car il y a quelque chose dans le cœur humain qui dit qu'elle est là. Voyez? C'est le même Ange de Dieu.
18     Maintenant, suivez. David a dit : «Quand la profondeur appelle la profondeur... » Si une profondeur appelle une profondeur, il faut qu'il y ait une profondeur pour répondre à cet appel.
Tenez, comme j'en ai souvent donné l'illustration, avant qu'une nageoire fut sur le dos d'un poisson, il dut y avoir d'abord de l'eau où celui-ci pouvait nager, sinon il n'aurait pas eu de nageoire. Est-ce juste? Avant qu'il y ait un arbre, qu'une fleur éclose dans le monde, il dut y avoir d'abord une terre pour qu'elle-pour que la fleur s'y tienne, sinon il n'y aurait pas eu de fleur. Est-ce juste?
Maintenant, ici il n'y a pas-il y a quelque temps, j'ai lu là où un petit enfant avait... Frère Baxter me racontait l'autre jour qu'un petit enfant avait continuellement besoin de sel, de sel, de sel. Et on a éloigné le sel de l'enfant, on ne voulait pas le laisser en prendre. L'enfant est mort. On a fait une autopsie qui a finalement révélé qu'il y avait quelque chose dans le corps de l'enfant qui réclamait ce sel. Et ils ont mis cette chose là-dedans et le sel s'est totalement dissout. Voyez? S'ils avaient donné du sel à l'enfant, si...
Tenez, j'ai lu l'histoire du petit enfant qui mangeait les gommes de crayons. Et il a mangé la pédale d'une bicyclette. Eh bien, on se demandait... Après avoir examiné le petit garçon, on a finalement découvert que son petit corps avait besoin de soufre. Il y a du soufre dans le caoutchouc. Voyez? Il y a du soufre, quelque chose ici dedans qui réclame du soufre, il va s'agiter jusqu'à ce qu'il le trouve quelque part. Et cela montre que s'il y a quelque¶chose ici au-dedans qui réclame du soufre, il doit y avoir du soufre pour répondre à cet appel. Comprenez-vous ce que je veux dire? La profondeur appelle la profondeur...
19    Eh bien, aussi longtemps qu'il y a quelque chose dans nos cœurs... Combien ici croient à la guérison divine? Très bien. Alors, aussi sûr... Écoutez... Soyez... Aussi sûr qu'il y a un appel là au-dedans, un désir d'être guéri par Dieu au moyen de la guérison divine, il doit y avoir une fontaine ouverte quelque part. Voyez? ...?... Avant que cette création soit là-dedans, cette création qui vous fait désirer cela, il dut y avoir d'abord un Créateur pour créer cette création. Est-ce juste? Eh bien, il doit donc y avoir Dieu quelque part pour mettre ce désir dans votre cœur, afin que vous désiriez cela. Et s'il a mis ce désir là, donc il doit y avoir là quelque chose pour satisfaire ce désir que vous avez. Voyez-vous? La profondeur appelant la profondeur... Et ici quelque part, vous comprendrez un jour, et nous verrons tous cela, que Dieu aura une Église qui fera une percée là-bas, frère, et dans toutes ces choses merveilleuses qui appartenaient autrefois à l'Église du Dieu vivant, laquelle a été rejetée, et se mettra debout un de ces jours pour un voyage vers le Ciel.
Oh ! j'ai vu cela pendant des années, mon frère et ma sœur, et ce soir, je crois que c'est le même Saint-Esprit qui a conduit les enfants d'Israël qui nous conduit dans ces eaux, quelque part là-bas. Les gens n'arrivent pas à comprendre cela, mais ça se trouve là. Aussi longtemps que le cœur humain réclame cela, il doit y avoir là quelque chose pour répondre à cela. La profondeur appelle la profondeur. «Mon Ange marchera devant toi pour te conduire sur ce chemin.»
20    Le problème est que nous essayons de devancer l'Ange. Laissez l'Ange montrer le chemin, et II nous conduira aux fontaines de l'eau de Vie et nous la donnera gratuitement. Croyez-vous cela? Inclinons la tête.
Seigneur Jésus, ce soir, ici même, nous sommes reconnaissants pour cette petite église. Nous Te remercions pour son pasteur, pour ses enseignants, ainsi que pour ses étudiants. Et nous Te remercions pour chaque ministre et son assemblée, pour ceux d'entre eux qui se sont réunis ici ce soir. Certains sont là dans les autres salles, nous Te remercions pour eux. Mais par-dessus toutes choses, nous Te remercions pour Jésus-Christ qui nous a rassemblés par Sa miséricorde, à cause de Son mérite. Nous Te remercions, Père, d'un cœur sincère et fidèle.
Maintenant, je Te prie d'être ce soir avec nous. Aide-nous et bénis-nous. Et alors que mon cœur et ceux des autres ici présents sont unis, appelant la profondeur, la Profondeur... Et des hommes et des femmes sont assis ici, et ce sont Tes enfants que l'ennemi a affligés... Comme notre frère Baxter, le...
Ton enseignant, il y ajuste quelques instants, je me tenais là sur les marches, l'écoutant, l'entendant parler, chasser les mauvais esprits. Combien nous Te remercions, Seigneur, de ce que Ta Parole nous enseigne qu'«en Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris». Tu l'as promis, ô Dieu.
Maintenant, ô Père, nous Te prions d'ouvrir les rideaux ce soir. Ouvre- nous ces sphères et ces dimensions là-bas, Seigneur, afin que le Glorieux Saint-Esprit remplisse de foi chaque cœur ce soir et que nous sortions ce soir de ce bâtiment sans qu'il y ait quelqu'un de faible parmi nous. Que nous sortions dans la joie, heureux, guéris, remplis de l'Esprit, et qu'un réveil à l'ancienne mode éclate ici dans la ville, Seigneur, qui balaiera toute la ville. Accorde-le, ô Père, et que plusieurs soient sauvés. Car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
21       [Frère Branham parle à quelqu'un.-N.D.E.] ...?... allez de l'avant avec ces ...?... Très bien. Vous voyez, mon ami, il nous est un peu difficile de décider comment procéder pour prier pour les malades. Frère Baxter, je pense que vous leur avez expliqué que nous devons distribuer des cartes pour maintenir l'ordre dans la ligne. Nous essayerons de dire : «Eh bien, maintenant, qu'autant viennent ici, ou retournent là et qu'il y en ait autant là.» Vous pourriez dire: «Oui, oui, voilà. Vous faites acception...» Nous distribuons donc des cartes à tout le monde et nous commençons juste là quelque part dans la série pour appeler.
Maintenant, je pense que vous avez dit que vous avez distribué de 50 à 100, de quelle série? Série H de 1 à 100. Bien, commençons. Prenons 50, 60... Combien pouvons-nous en aligner ici? Environ 10, monsieur? Très bien. Essayons avec 15 alors. Très bien. Nous allons prendre les 8, 10, 11, 12, 13, 14, jusque là, 50, 55, 60, 65, environ les quinze premiers. Nous allons commencer avec H-50. Qui a le H-50, la carte de prière H-50? 51, 52, 53, 54, c'est bien, alignez-vous juste ici. Avancez juste de ce côté, s'il vous plaît, et alignez-vous. Et il se peut que nous ne puissions pas les prendre eux tous. Nous ferons de notre mieux.
22     Et maintenant, je veux que chacun de vous soit profondément et sincèrement en prière. Allez-vous le faire? Très bien, pendant qu'ils approchent, je vois un-un jeune homme assis ici devant moi. Il est très sérieusement malade; j'aimerais que Dieu guérisse cet homme ou nous donne quelque chose, une révélation. Pendant que je suis ici, j'aimerais voir... J'ai vu pire que cela, que notre Seigneur a guéri.
Eh bien, peut-être a-t-on prié plusieurs fois pour ce jeune homme. Ça, je ne sais pas. Mais si Dieu parlait et me disait de lui dire quelque chose, prierez- vous afin qu'il vous l'accorde? Je-je pense qu'il le fera. J'ai vu ce jeune homme hier soir, et dans mon cœur je l'ai aimé, et je.. Maintenant, Il peut me dire que-c'est pour tel but, pour telle raison, ce qui en est la cause, ce que cela fera. Je ne sais pas. Voyez? Cela dépend de Dieu. Je-je dois faire exactement ce qu'il me dit de faire. Il peut lui dire qu'il est guéri. Si tel est le cas, cela- cela règle la question. S'il me dit qu'il ne sera jamais rétabli, cela-cela n'arrivera jamais. Il en sera exactement tel qu'il l'aura dit. Voyez? Je ne pourrais pas... Mais je ne sais pas, j'observe le jeune homme, j'ai l'œil sur lui, et j'ai l'œil surtout le monde.
23     Maintenant, l'Ange du Seigneur... Combien ont déjà vu Sa photo? Faites voir vos mains. Sur... Cette photo, ce Halo de Lumière comme Celle qui a été photographiée là ? Beaucoup d'entre vous L'ont vue. Je pense que nous en avons encore quelques-unes. Et nous sommes... Très bien, de 50 à 65. Retournez votre carte de prière, mon ami. Regardez au verso. Vous verrez qu'il y a un ...?... de 50 à 65. S'il vous plaît, il y a à peu près...ce n'est pas... ils ne sont pas tous en ligne. De 50 à 65, si vous voulez bien vous aligner ici, nous allons faire tout notre possible. De 50 à 65, est-ce la série H? Était-ce H- 50? Très bien. Très bien.
Et maintenant, vous autres, tenez simplement votre carte, maintenant peut- être que si nous arrivons à en finir avec ces numéros-ci, peut-être que nous pourrons appeler un autre numéro, et nous allons prendre un peu plus loin, comme cela. Nous faisons le tour, nous essayons toujours de veiller à ce que tout le monde soit en place pendant que nous prions, afin qu'on puisse prier pour tout le monde. Et maintenant, mais nous... Regardez sur votre carte; maintenant comptez-les, Frère Baxter, si vous voyez... Et s'il y a un...et s'il y a peut-être quelqu'un qui est sourd ou quelque chose de ce genre, et, eh bien, il ne pourra pas venir. Regardez sur la carte de quelqu'un qui est assis... Et si c'est-si c'est votre voisin ou quelque chose de ce genre... Et maintenant, les gens qui montent ici n'ont pas l'assurance... (D'accord... )
24     Très bien, le fait de monter ici n'est pas l'assurance que ces gens vont être guéris, rien du tout. Ils se tiennent tout simplement ici. Mais la seule assurance qu'il y a, c'est la grande foi que vous avez en Dieu. C'est votre foi qui opère cela.
Maintenant, je voudrais que chacun de vous qui êtes dans-dans ces allées ce soir reste assis, tranquille et en prière. Et je voudrais que vous priiez avec la plus profonde sincérité. Je veux que vous priiez, croyant que Dieu va révéler [votre maladie] et vous guérir là où vous êtes assis ou debout, là-derrière, où que vous soyez. Croyez tout simplement; c'est tout ce que je vous demande de faire. Ayez simplement foi en Dieu.
26    Bon, je suis-je suis votre frère, et je ne suis ici que pour un but, et-et c'est de vous aider. Et la seule manière que j'ai de pouvoir vous aider, c'est de vous amener à voir ce que Jésus-Christ a déjà fait pour vous.
Maintenant, avant que nous commencions à prier, laissez-moi dire ceci à cette audience qui est ici derrière, partout. Mes frères et sœurs, Jésus-Christ a déjà guéri chaque personne qui se trouve ici dans cette ville. Chaque personne ici qui est malade ici ce soir, vous êtes déjà guérie, et chaque pécheur qui est dans la salle, si vous êtes ici, vos péchés vous sont déjà pardonnés. Tout ce que vous avez à faire, c'est d'accepter ce qui a été fait. Alors, en acceptant cela, vous L'acceptez Lui comme votre Sauveur, mais II ne viendra pas mourir de nouveau pour vous; II... Vous acceptez simplement ce qu'il a fait, et au travers de cela vous êtes sauvé. Est-ce juste? Et il en est de même de la guérison. Je crois que c'est juste, Frère Baxter.
Et-et frère, c'est la vérité, n'est-ce pas? Oui. L'œuvre a déjà été accomplie. Jésus-Christ a achevé cette œuvre et a payé le prix de la rédemption complète au Calvaire quand II est mort. Maintenant, nous devons regarder là- haut et croire cela. Quoi que vous demandiez, croyez que vous le recevez; cela règle la question. Maintenant, ayez foi.
27    Et la seule chose que... Maintenant, voici ces ministres ici, ici derrière moi, ainsi que mon propre organisateur que voici, frère Baxter. Eh bien, eux ils pourraient expliquer la Parole là où peut-être moi, je ne pourrais même pas L'aborder. Ils sont... Dieu les a appelés dans ce but. Vous voyez? Et si seulement vous croyez ce qu'ils vous disent, voilà ce qui accomplit la chose. Cela accomplira exactement la même chose; c'est la Parole de Dieu.
Eh bien, après cela, l'amour de Dieu a envoyé des dons dans l'Église. Maintenant, je crois que ce soir le Saint-Esprit peut parler à une certaine personne par des langues inconnues, et une autre personne là-bas peut donner l'interprétation et dire avec exactitude à cette personne-ci ou à quelqu'un d'autre quoi faire, exactement son problème et ce qu'est son... Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, c'est un don divin qui est dans l'Église. Bien, et s'il dit cela, il en sera exactement ainsi, si c'est le Saint-Esprit. Ce sera exactement tel qu'il l'a dit. C'est ça un don.
II a donc envoyé premièrement les prophètes, les docteurs, les évangélistes, et... Est-ce juste? Les dons de langues, l'interprétation, tout cela, c'est pour l'édification de l'Église. Est-ce juste? Tout, c'est pour édifier l'Église, Dieu les a établis dans l'Église. Qui les a établis? Ce n'est pas parce que quelqu'un vous a imposé les mains, mais c'est parce que Dieu vous a établi, pas un homme. Dieu a placé dans l'Église... Il a donné...¶Très bien, amenez la dame. Eh bien, ces gens qui viennent me sont totalement inconnus. Et maintenant, je veux que chacun de vous ce soir fasse ceci pour moi, car j'ai... Vous voyez, j'attends un appel pour me rendre en Afrique, et cela peut arriver à n'importe quel moment. Et je ne sais pas exactement combien de soirées mon... Nous pourrions séjourner n'importe où, car cela... Il pourrait... Ma vie Lui a été consacrée. Il peut m'appeler dans dix minutes et m'envoyer en Australie; je partirais, vous voyez, où que ce soit.
29     Mais pendant que nous sommes ici, je voudrais que vous vous débarrassiez de toute superstition, que vous mettiez tout en place et que vous vous soumettiez au Saint-Esprit, afin que Dieu puisse agir en vous, et vous recevrez les bienfaits des bénédictions de Dieu pour vous. C'est pour cela que je suis venu vers vous. Je suis venu comme ceci en disant : «Maintenant, ô Dieu, aide-moi. Fais que tous croient et qu'ainsi je puisse les servir. » Et lorsque je quitterai la ville, la gloire de Dieu sera partout, et les gens loueront notre Précieux Seigneur Jésus que nous aimons infiniment de tout notre cœur alors que nous travaillons dans Sa vigne.
Bon, dans l'Esprit divin, la providence de Dieu, c'est ceci...le don de visions et de prescience, et de la connaissance de ce qui a été et de ce qui sera, ce n'est pas pour guérir; mais seulement pour élever Jésus-Christ afin qu'il ramène Sa Parole qui dit: «Les choses que J'ai faites, vous les ferez aussi», vous voyez, ce que le Père montrait.
30     Maintenant, je crois que cette dame qui se tient ici... Je-je ne vous connais pas, n'est-ce pas, madame? A ce que je sache, je ne vous ai jamais vue. Nous sommes de parfaits inconnus, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Eh bien, si donc je ne vous connais pas et peut-être que vous avez parcouru des centaines et des centaines de kilomètres pour arriver ici, peut-être, alors c'est... Et puis, quand je suis descendu ici pour-pour vous parler, eh bien, moi, j'ai grandi dans l'Indiana, et vous, peut-être en Floride. Eh bien, alors quand nous nous rencontrons pour parler l'un à l'autre, alors que des kilomètres nous séparaient, Dieu vous connaissait cependant avant votre naissance. Il me connaissait avant ma naissance.
31     Et maintenant, je-je crois que vous êtes une chrétienne; je-je... Parce que votre esprit semble être le bienvenu, vous voyez, il... Quand un-quand un chrétien approche, il y atout simplement quelque chose qui dit : «Bienvenue. » Vous voyez? Et je-je saisis cela aussitôt. C'est le Saint-Esprit. Mais alors, étant donné que je ne sais rien à votre sujet et que des kilomètres nous séparaient durant toute notre vie, si le Saint-Esprit devait-faisait quelque chose qui vous révélerait que la Présence de Son Être est ici, alors cela vous amènerait à avoir plus confiance que je vous ai dit la vérité.¶Je veux m'approcher... Je... Vous savez, bien sûr, ce que je suis en train de faire maintenant; je suis juste en train de contacter votre esprit. Vous voyez? Mais je-je... En vous parlant, je veux que vous croyiez ceci, vous voyez, que Dieu connaît toute chose, et ce que cela essaye de faire, c'est vous amener dans un état où vous Le recevrez comme votre Guérisseur (voyez, voyez), juste quelque chose qui stimule la foi qui est-qui est en vous. Car comme vous êtes une chrétienne, la chose se trouve là, mais il se pourrait qu'elle soit dormante. Vous voyez? Et maintenant, juste vous parler quelques instants pour en quelque sorte... Comme vous êtes la première malade, c'est toujours un... Je voudrais d'abord prendre du temps pour les malades, jusqu'à ce que je sois sûr que Sa Présence est là, alors je prierai pour les gens, parce qu'ils ... s'ils arrivent à croire à moitié, ils obtiendront une bénédiction, vous voyez, s'ils-s'ils croient juste la chose.
Mais l'Ange du Seigneur dont frère Baxter parlait ce soir, dans Sa Présence donc, si-s'Il se tient près d'ici, alors II va-Il vous connaît, et II me connaît. Et alors, s'il y a quelque chose qui cloche en vous, une maladie, alors cela... absolument... Vous avez assisté au service de l'après-midi et tout. C'est un démon. Toute maladie vient du diable. Vous ne pouvez pas attribuer cela à Dieu. Vous voyez? Cela vient du diable.
32     Eh bien, si-si donc c'est un esprit... Or, nous deux ici présents, nous sommes des esprits, de même que nous sommes naturels, nous sommes surnaturels. Et si donc vous êtes une chrétienne et moi un chrétien, et qu'alors il y a quelque chose en vous, un-un esprit de maladie, Dieu m'a donc envoyé en tant que votre frère. Vous voyez? Et je vous parle et je vous dis qu'il m'a dit d'aller prier pour les gens; eh bien, c'est tout. Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire, si tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» Eh bien, c'est cela: être sincère quand je prie et amener les gens à croire.
Eh bien, j'ai posé la question au sujet de mon manque d'instruction, j'étais-j'ai reçu une instruction d'école primaire, juste au niveau de la septième année, comment pourrais-je amener les gens à me croire?
Il a dit : «De même que Moïse avait reçu deux signes comme confirmation...», et II a commencé à parler... Vous connaissez la suite de l'histoire, je pense. Maintenant, croyez-vous que c'est la vérité? Maintenant, s'il me révèle votre problème ou quelque chose en rapport avec votre vie et dont vous savez que je ne sais rien, alors croirez-vous que c'est un véritable signe que Dieu m'a envoyé ici pour prier pour vous? Est-ce juste?
Très bien, je voudrais que vous regardiez-regardiez, que vous continuiez à me regarder et à croire. Je vous assure, mes amis chrétiens, cela-c'est vraiment un problème. Vous voyez, il y a des esprits tout autour de vous. Pendant mes-¶pendant mes réunions tenues dans les auditoires, je n'ai jamais des gens derrière moi, voyez-vous, personne tout autour comme cela, nulle part sauf de ce côté-ci, de telle sorte que je garde le dos comme ceci pour faire face droit au malade. Mais, vous voyez, il y a des malades qui sont assis là-derrière. Vous voyez, et dès que je... Cette femme, dès que cela commence à venir, ça bouge de toute part, vous voyez, et vous devez faire attention, sinon vous devenez embrouillé. Et pour le savoir, il faut qu'une vision apparaisse, isolant un seul cas. Et vous voyez, il y a des malades qui sont assis là, des malades ici, ici, par ici, et tout autour, qui se tiennent devant moi. Mais ma prière est que Dieu soit miséricordieux.
34     Vous-vous êtes... Oui, vous souffrez d'un... Il y a quelque chose qui cloche. C'est un-c'est-c'est-c'est le cancer? Est-ce vrai? N'est-ce pas juste? Vous avez été récemment examinée pour cela. Et n'était-ce pas au sein? Est-ce juste? Eh bien, voyons si j'ai raison. N'était-ce pas au sein gauche? Est-ce juste? J'ai vu le médecin quand il bougeait cette chose par-dessus vous, un homme un peu élancé, regardant en bas. Est-ce juste?
Dites, vous ne... Vous n'êtes pas de la Floride. Vous êtes de New York. Est-ce juste? Est-ce vrai? Très bien. Je vous vois près d'un lac ou quelque chose comme ça, là-bas à cet endroit. Est-ce vrai? Je connais cette contrée. Approchez un instant. Croyez-vous que c'est la vérité, que Dieu m'a envoyé pour que vous soyez guérie?
O Dieu, aie pitié; je Te prie d'être bienveillant envers cette pauvre petite femme et de la guérir, de la rétablir. Et maintenant, en tant que Ton serviteur, sachant que pour ce qui la concerne, si Tu ne la touches pas, ô Seigneur, d'une façon ou d'une autre, elle ne pourra pas rester plus longtemps sur la terre. O Seigneur, nous avons besoin d'elle. Nous avons besoin d'elle-elle ici et elle est notre sœur, et je prie sincèrement maintenant pour que sa foi s'élève très haut, au-dessus de toute maladie, au-delà de tout ce que je prononce ...?... la gloire de Dieu. Et que dès cet instant même, qu'elle commence à aller mieux, à se rétablir. Je déclare : «Maudit soit ce cancer.» Au Nom de Jésus-Christ, que cela quitte son corps, et qu'elle rentre chez elle une femme bien portante, et qu'elle serve Dieu. Au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez-vous vous rétablir? Croyez de toute votre vie. Oh, que Dieu vous bénisse ...?... Levez ...?... «J'accepte ma guérison.»
35     Très bien. Bonsoir, madame. Venez. Oh, c'est le... Votre petit bébé? Eh bien, c'est un beau petit... Je vois qu'il a une éruption au visage. Oui, oui. Oh ! c'est dommage. Maintenant, ne... Maintenant, ça ne me dérange pas du tout. Vous voyez, c'est en ordre ...?... Je pense que c'est une sorte d'eczéma au visage. Est-ce juste? Croyez-vous que ce que vous avez entendu est la vérité?
Vous croyez. Votre bébé a aussi quelque chose d'autre, n'est-ce pas? C'est une sorte d'asthme. Est-ce juste?
Dites, vous aussi, vous êtes souffrante. Vous avez une sorte d'esprit d'étouffement. Je-je crois que c'est un goitre interne ou quelque chose comme cela qui fait que vous étouffez. Est-ce juste? Dites donc, autre chose : Vous avez besoin de Jésus-Christ comme votre Sauveur. Pas vrai? Vous n'êtes pas une chrétienne. Voulez-vous devenir une chrétienne maintenant? Levez la main et dites à Jésus que vous voulez être une chrétienne.
Dieu Tout-Puissant, cette pauvre jeune mère se tient ici tenant son bébé, et nous sommes enseignés que tout concourt au bien. O Dieu, guéris-la; ôte le goitre de sa gorge. Ôte cela, Seigneur, et guéris ce petit bébé chéri. Sauve son âme d'une vie de péché. Qu'elle rentre ce soir chez elle en se réjouissant, étant heureuse, et que tous deux soient rétablis et Te servent tous les jours de leur vie, comme elle T'a accepté maintenant devant cet auditoire. Tu as dit : «Si vous rendez témoignage de Moi devant les hommes, Je confesserai de vous devant le Père.» Nous Te remercions, ô Seigneur, de l'avoir acceptée, de l'avoir sauvée et guérie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que Dieu vous bénisse, sœur. Vous êtes donc ma sœur. Vos péchés vous sont pardonnés; vous êtes guérie. Le bébé va être bien portant. Allez en paix, et que Dieu soit avec vous.
35 Très bien, approchez. Avez-vous cru? Pourquoi ne pas être guéri? Peu importe ce qui viendrait, ce qui arriverait, Dieu s'est confirmé Lui-même maintenant. Il est ici présent. Qui sont ces gens? Deux ou trois sont passés. Je ne les ai jamais vus de ma vie. Je ne sais rien à leur sujet, je n'ai jamais entendu parler d'eux et je ne les ai jamais vus de ma vie. Et vous devez reconnaître qu'il y a quelque chose ici. Vous devez reconnaître que c'est dans le domaine du surnaturel. Maintenant, croyez. C'est l'Esprit de Jésus-Christ, le même qui savait où des mulets étaient attachés, le même qui a dit à Philippe quand il est venu avec Nathanaël, qui a dit : «Voici un Israélite en qui il n'y a point de fraude.»
Il a dit : «Eh bien, quand m'as-Tu connu?»
Il a dit : «Avant que Philippe t'appelât, quand tu étais sous l'arbre.» Eh bien, Il n'a donc jamais cherché à dire...
Les Juifs disaient : «Oh ! c'est tout simplement un bon diseur de bonne aventure, Belzébul.»
Mais Philippe a dit : «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d'Israël.»¶«Nous savons que nul homme ne pourrait faire ces choses si Dieu n'est avec lui.»
36     Eh bien, maintenant, si vous êtes ici sans être quelqu'un du Plein Évangile et que vous êtes un peu superstitieux, ôtez cela de votre chemin. Ces gens ne sont pas fous; l'Esprit de Dieu est sur eux. Ils sont fous pour le monde, mais c'est l'Esprit de Dieu qui est juste entré en eux. J'étais autrefois dans votre condition. Mais Dieu m'a associé à ceux qui croient. Maintenant, débarrassez- vous de ces doutes et des choses que vous avez dans votre cœur, et croyez, et vous recevrez aussi et serez la gloire... aurez la gloire de Dieu.
Voici une femme qui se tient devant moi; c'est-c'est l'Esprit qui est ici. Je ne connais pas cette dame. Je ne l'ai jamais vue de ma vie. Mais vous êtes une chrétienne (N'est-ce pas juste?), remplie du Saint-Esprit, vous étiez très excitée lorsque cela est arrivé. Est-ce juste? Et vous souffrez maintenant de la tuberculose, et c'est dans les intestins. Est-ce juste? Est-ce le Christ qui était ce... Maintenant, le Seigneur Jésus vous a guérie, madame, et vous vous porterez bien. Partez et portez-vous bien ...?... Christ. Amen.
37    Approchez maintenant ...?... Ayez foi en Dieu; croyez en Lui et II accomplira cela. Approchez ...?... Croyez-vous? Tout ce qu'il vous faut, c'est avoir la foi. Croyez en Dieu et Dieu accomplira cela.
Quelqu'un est en prière. Oh ! ce que pourrait faire le Saint-Esprit juste- juste en cet instant, vous voyez, ce qu'il pourrait faire si les gens Le laissaient simplement faire! Vous cherchez à être guéri maintenant même. Vous me regardez, essayant de votre mieux de prier afin d'être guéri. Moi, je-je ne peux pas vous guérir, mon frère, mais regardez-moi et je peux vous dire ce qu'est votre problème. Je vais vous demander ceci, vous qui êtes assis là et qui m'êtes inconnu. Si Dieu me révèle votre problème, accepterez-vous votre guérison? Vous l'accepterez? Vous souffrez de la hernie. Est-ce juste? Très bien, levez- vous et acceptez alors votre guérison et portez-vous bien. Que Dieu vous bénisse.
Très bien. Très bien. Croyez-vous que je suis Son serviteur, frère? Je-je crois que vous croyez cela. Certainement. Et-et c'est seulement Dieu, seulement Dieu. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Mais il y a un... Le Saint- Esprit est ici maintenant, voyez-vous, c'est Lui dont je-je sais que cela... Je sais en qui-je sais en qui j'ai cru. Et je sais qu'il m'a dit cela. Et je crois chaque Parole qu'il a dite. Dis donc, à propos, je vois une chaire se dresser entre moi et vous. Vous êtes un ministre de l'Évangile. Est-ce juste? Et n'avez- vous pas quelque chose à la gorge? Est-ce-n'est-ce pas juste? Levez la main. Très bien.¶Dieu Tout-Puissant, guéris Ton serviteur ici présent; et que cela le quitte et s'en aille loin de lui ce soir. Et maintenant, ô Père, qu'il soit rétabli. Que cela s'en aille au Nom de Jésus-Christ. Puisse-t-il prêcher l'Évangile mieux que jamais auparavant dans sa vie. Au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.
39     Croyez-vous de tout votre cœur? Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas; croyez tout simplement. Vous qui êtes là dans la ligne, si seulement vous croyiez, vous ne seriez pas obligés de venir dans la ligne. Vous là-bas, si simplement vous croyez, vous ne serez pas obligés de venir dans la ligne, ayez foi. J'ai vu un... Où est donc allé cet homme pour lequel je viens de prier? Là-derrière. J'ai vu une chaire posée ici il y ajuste quelques instants, mais il y a une femme qui se tient derrière cela. Oh, c'est la... Là, n'est-ce pas que vous êtes une femme ministre? Vous avez un problème de poumons, n'est-ce pas, sœur? N'avez-vous pas un problème de poumons ou quelque chose là-dedans, en rapport avec les poumons? Est-ce juste? Croyez-vous de tout votre cœur que Dieu va vous guérir? Très bien, levez-vous et acceptez alors votre guérison, au Nom du Seigneur Jésus.
40     Très bien. Approchez. Madame, croyez-vous de tout votre cœur? Si je suis serviteur de Dieu, alors Dieu est ici. Est-ce juste? Si je ne disais pas la vérité, Dieu ne rendrait jamais témoignage à quoi que ce soit. Est-ce juste? Dieu ne rend témoignage qu'à Ses dons. Si j'ai déclaré cela et que ce soit faux, alors Dieu ne m'a jamais envoyé. Si je dis que c'est la vérité, vous avez le droit de douter de moi, mais pas de Dieu. Alors, c'est donc Dieu. A présent, ce n'est plus moi; je rendais simplement témoignage il y a quelques instants. Et maintenant, c'est Lui qui rend témoignage. Voulez-vous guérir de ces calculs rénaux? Le voulez-vous? Très bien, alors partez, et que le Seigneur Jésus vous rétablisse et vous guérisse au Nom de Jésus-Christ. Qu'il en soit ...?... Disons : «Dieu soit loué!» ...?... Très bien. Croyez-vous, sœur? Est-ce que je... Vous désirez voir ce cœur battre de nouveau comme il faut? Le voulez-vous? Levez la main, et cela va se faire. Au Nom du Seigneur Jésus, qu'elle parte et soit guérie au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, partez en croyant. Partez en croyant. Allez simplement retrouver votre ...?... Partez et croyez Dieu, car II va ...?... l'œuvre.
Très bien, amenez la dame. Approchez, madame. Vous aussi, vous êtes guérie des troubles cardiaques, n'est-ce pas, sœur ? Levez la main et dites : «Je l'accepte maintenant même.» Au Nom du Seigneur Jésus ...?... Amen.¶Très bien, approchez. Il se fait que vous avez des troubles féminins et aussi des troubles cardiaques. N'est-ce pas juste? Levez la main et dites : «Je remercie Dieu pour ma guérison.» Continuez ...?... Partez, en croyant, en ayant foi.
Approchez, madame. Croyez-vous? Dites, madame, qui êtes assise juste là, voulez-vous être guérie de cette hypertension, vous qui êtes assise au bout? Si c'est le cas, levez-vous. Juste à ce moment, cela vous a quittée juste à ce moment, madame, si seulement vous continuez à croire, vous vous en remettrez pour toujours. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.
Très bien, sœur, croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Il y a une table entre vous et moi. Vous vous éloignez de cette table à reculons, parce que vous avez des ennuis gastriques. C'est un ulcère de l'estomac. Est-ce juste? Très bien. Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir, et puisse-t-elle partir d'ici ce soir et être guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Partez. Il a dit cela, maintenant croyez en Lui; continuez à louer Dieu.
42     Chacun de vous peut être guéri, si seulement vous croyez. La Présence du Seigneur est proche. La Présence du Seigneur est ici pour vous guérir. Croyez- vous, madame? Voulez-vous vous remettre de cet asthme dont vous souffrez? Dites : «Dieu soit loué pour m'avoir guérie.» Partez, croyez cela de tout votre cœur et Dieu l'accomplira. Ayez foi ...?...
Croyez-vous, madame? Voulez-vous vous remettre de l'arthrite? Levez la main, dites : «Seigneur, je suis libre!» Déposez ces cannes, alors que vous quittez l'estrade en vous réjouissant et en disant : «Grâces soient rendues à Dieu.» 
43     Vous avez des troubles mentaux, la détresse; car dans la soirée quand le soleil commence à se coucher, vous commencez à devenir très nerveuse. N'est-ce pas juste? Vous êtes toute bouleversée. Vous êtes dans la ménopause; c'est ce qui vous cause des troubles gastriques, de sorte que vous ne pouvez rien manger, cela est devenu acide. Est-ce juste? Levez la main, dites : «Je crois en Toi, Seigneur.» Partez ...?... maintenant en vous réjouissant, disant : «Dieu soit loué.» Très bien? Disons : «Dieu soit loué.»
Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous partir et être guéri au Nom de Jésus. Amen. Dites: «Grâces soient rendues à Dieu.» Très bien.
Croyez-vous, madame? Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous partir et être guérie, être rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Disons: «Dieu soit loué.»
Maintenant, c'est le moment où la Présence du Seigneur est ici pour guérir. Les eaux sont agitées. C'est maintenant le moment d'entrer; c'est la vérité. Dieu est en train de confirmer la vérité. Pourquoi ne pouvez-vous pas le¶faire en ce moment? Regardez ici. Vous n'avez pas... Ce qu'il vous faut, c'est avoir la foi. Vous vous sentez différent, n'est-ce pas? C'est juste.
43 Madame, vous qui êtes assise là dans cette chaise, là, écoutez. Vous n'avez pas besoin de monter ici. Croyez-vous? Croyez-vous que je suis Son prophète?
Si donc c'est le cas, eh bien, vous n'êtes pas obligée de vous tenir ici. Je pourrais vous parler tandis que vous êtes assise là. Est-ce juste? Vous avez des troubles féminins. N'est-ce pas vrai? C'est un abcès à l'ovaire. Levez la main. S'il y en a une parmi vous qui a-qui a des troubles féminins, levez la main. Est-ce juste? Maintenant, quittez la ligne, rentrez et soyez guérie. Disons : «Dieu soit loué ! »
Ne croyez-vous pas qu'il pourrait vous guérir maintenant même, si vous acceptez cela? Levons-nous et ...?... alors, levez-vous partout. Maintenant, prions. Levons nos mains. Que nous ...?... Dieu seul...
Bien-aimé Jésus, nous Te remercions ...?... soit pour mon cœur... Puisse l'Esprit descendre. Puisses-Tu guérir chacun d'eux. Puissent-ils quitter cette salle ce soir en se réjouissant et étant heureux ...?...
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:41

Démonologie, domaine religieux


1 Je me demande combien connaissent ce petit chant, comme je vous salue très chaleureusement dans cette communion fraternelle chrétienne et avec l’amour de Christ, aujourd’hui. Combien connaissent ce petit chant, Il prend soin de toi ? Le connaissez-vous ? Très bien, voyons si on y arrive. Le connaissez-vous, soeur ? Vous connaissez ? Bon : Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi; 
Tant le jour que la nuit, 
Il prend soin de toi. Oh ! c’est très bien. Maintenant, essayons-le encore. Il prend soin de toi, 
Il prend soin de toi; 
Tant le jour que la nuit, 
Il prend soin de toi.
2 Notre Père céleste, nous Te remercions de ce que Tu prends bien soin de nous et Tu manifestes Ton amour envers nous, en ce que Tu as envoyé Ton propre Fils bien-aimé, le–le Fils de Dieu innocent, pour prendre la place des pécheurs coupables. Combien nous Te remercions d’avoir pris soin de nous et de T’être soucié de nous, au point de faire ceci ! Et nous en sommes tellement reconnaissants, Seigneur. Nous sommes heureux de nous rassembler ici cet après-midi sous la voûte des cieux, et nous demandons Tes bénédictions sur ce service. Accorde, Seigneur, à chaque homme, femme, garçon ou fille qui sont ici, de faire maintenant une étude approfondie des Écritures. Nous sommes confrontés à un monde qui est sous la domination de Satan. Et, Père, alors que nous étudions la puissance des démons et ce qu’ils font aux gens, nous Te prions de nous donner une grande foi, et puissent beaucoup de grands signes et prodiges se produire. Car nous le demandons au Nom de Christ et pour la gloire de Dieu. Amen.
3 Nous abordons sans tarder l’étude de cet après-midi, je pense, une quinzaine de minutes plus tôt que prévu. Le sujet en est toujours la Démonologie.
4 Et maintenant, je viens de recevoir un message, tout à l’heure, frère Beeler, de mes amis. Et je débute une tournée en Afrique en mi-juillet. Alors, c’est réglé, tout est arrangé maintenant. Frère Baxter ne pourra pas y aller à cette période-là, alors je devrai me rendre en Afrique tout seul. Alors, je pars là-bas avec... puisse le... Vous devez prier pour moi maintenant, afin que le Seigneur m’aide, parce que j’en aurai vraiment besoin, maintenant, là-bas parmi... Je m’attends à ce qu’il y ait au moins deux cent mille personnes à cette réunion.
5 Et il y a une vision que j’ai notée ici. Je veux que vous ici, vous en bénéficiiez. Elle s’est produite en décembre. J’étais dans la chambre, un matin, quand l’Ange du Seigneur est entré. Je... Vous voyez, quand j’étais là-bas, j’avais désobéi à Dieu, et j’ai attrapé des amibes. Tout le monde sait–sait ce que c’est les amibes, un parasite qui... on en meurt presque. Et c’est parce que j’avais fait quelque chose que Dieu m’avait dit de ne pas faire. Combien ont entendu raconter ça ? Je pense qu’il y en a certains parmi vous ici. Je sais que ceux du tabernacle ont entendu raconter ce qui s’était passé. Dieu m’avait dit d’aller à un endroit, de me tenir loin de tel endroit, d’aller à un autre endroit. Et j’ai laissé les prédicateurs me convaincre de faire le contraire. Eh bien, les prédicateurs, ce sont des gens formidables, et ce sont mes frères, mais écoutez ce que Dieu vous dit. C’est exact. Voyez ? Vous avez une seule mission.
6 Combien s’en souviennent, à un moment donné il y avait deux prophètes, dans la Bible ? Et l’un d’eux, le Seigneur lui avait parlé, Il lui avait dit : « Va à tel endroit. Et ne–ne reviens pas par... À ton retour, prends un autre chemin », et ainsi de suite. Et–et Il avait dit : « Ne mange pas et ne bois pas pendant que tu seras là-bas.»
7 Et un autre vrai prophète est allé le voir, et il a dit : « Le Seigneur m’est apparu après qu’Il t’est apparu. » Et il a dit : « Viens avec moi à la maison. » Et le prophète a écouté ce que l’autre avait dit, et il a perdu sa vie à cause de ça. Voyez-vous, faites ce que Dieu vous dit de faire, peu importe ce que n’importe qui d’autre peut dire.
8 Maintenant, nous... Dans cette vision, Il... C’est ce qui m’a réveillé, le 13 septembre... ou, décembre. Et–et assis au bord de mon lit, je me demandais quel serait mon avenir. Je–je suis rentré de là-bas, ils étaient prêts à m’envoyer au lazaret, les parasites étaient sur le point de m’emporter. Ils m’ont fait subir un examen quand j’ai posé le pied dans le pays. Et, par la grâce de Dieu, ils m’ont simplement permis de retourner chez moi, parce que c’était très disséminé. J’avais prié, et j’étais allé voir ces ministres; j’avais dit : « Le Seigneur m’a dit de ne pas prendre cette direction-là. »
Ils ont dit : « Oh ! Dieu peut parler à quelqu’un d’autre qu’à toi. »
9 J’ai dit : « Koré avait cette idée-là à un moment donné. » Alors… mais je suis allé chercher des feuilles, je les ai déposées sur leurs pieds, et j’ai dit : « Souvenez-vous, au Nom du Seigneur, si nous faisons ce voyage là-bas, ce sera un échec, et nous allons tous le payer cher. » Et pour sûr que nous l’avons payé cher ! Oh ! la la ! Nous avons tous failli mourir. Alors, là, au retour...
10 On est aux prises avec tant de choses là-bas dans les pays étrangers. Par exemple, il y a une petite puce, si elle vous mord, vous attrapez la fièvre de la tique. Et cette petite chose-là, quand ça vous mord, même si vous avez des démangeaisons, vous ne pouvez pas vous gratter. Vous regardez, si c’est une petite bestiole noire, ne l’arrachez pas. Elle a une petite tête avec laquelle elle se creuse une voie dans la peau, elle vrille comme ceci et se fixe là. Si vous l’arrachez, en l’arrachant, la tête qui est à l’intérieur resterait là. Il y a dedans un virus, qui vous paralyserait. Alors, ne vous grattez pas, ou ne l’arrachez pas. Vous n’avez qu’à prendre du suif. Elle respire par le dos. Laissez tomber du suif dessus, et elle va se détacher.
11 Ensuite, il y a un petit moustique. Il ne fait pas du tout de bruit. Il arrive en fendant l’air [Frère Branham donne une petite tape sur sa main. – N.D.É.], il n’a qu’à vous toucher, c’est tout, et vous avez la malaria.
12 Et–et puis, il y a ce qu’ils appellent le serpent mamba. S’il vous mord, vous ne vivez qu’à peu près deux minutes après qu’il vous a mordu.
13 Et il y a le cobra jaune. Vous vivez une quinzaine de minutes après sa morsure. Et l’un d’eux était assez près de mon fils qu’il aurait pu poser sa main sur sa tête. Il s’était déjà levé, prêt à mordre, avant que nous tirions dessus, comme ça.
14 Et il y a le cobra noir. Oh ! il y a vraiment tout ! Et puis, il y a les dangers de la brousse, les animaux, évidemment, les lions, le tigre, ou les léopards, et tous les autres avec lesquels on est aux prises dans la jungle. Et puis, les maladies, il y a vraiment toutes sortes de maladies là-bas.
15 Et vous devez affronter tout ça quand vous y allez. Et, en plus, il y a le sorcier guérisseur qui est là pour vous défier de tous les côtés, voyez-vous, et toutes leurs superstitions et tout. Mais, combien… quelle chose merveilleuse de voir notre Seigneur écarter tout ça d’un geste, d’un côté à l’autre, comme ça, ensuite on continue.
Ce jour-là, je me suis tenu là… je me souviens vraiment bien de ce qui s’est passé, je vous en parlerai un de ces jours à une autre réunion, parce que, cet après-midi, je voudrais aborder mon sujet, de la Démonologie.
16 Mais, eh bien, assis là, je réfléchissais là-dessus, me demandant comment ça allait finir. Et en traversant la mer, au retour, –– je sais que nous avons eu environ cent mille conversions pendant que nous étions là-bas, –– et le vieux frère Bosworth est venu à moi. Il a dit… j’ai dit : « Eh bien, Frère Bosworth ?»
17 Il a dit : « Je suis vraiment fier de toi, Frère Branham ! » Il a dit : « Pour toi–pour toi, la vie ne fait que commencer », a-t-il dit.
18 J’ai dit : « Eh bien, ça doit être fini, je suppose. » J’ai dit : « J’ai quarante ans passés. Je suppose que j’ai combattu le bon combat et que j’ai achevé la course. »
19 Il a dit : « ‘Quarante ans passés’ ? » Il a dit : « Je n’étais pas converti avant cet âge-là. » Il a dit : « Je suis encore bien actif. » Il avait tout près de quatre-vingts ans. Et simplement...
Je me suis dit : « Eh bien, peut-être que c’est assez juste, ça. »
20 Donc, il disait : « Non, tu es simplement un Branham tout neuf maintenant. Tu sais mieux comment prendre tes réunions en main, et tout. » Il disait : « Simplement, si tu t’attaques à l’Amérique comme il le faudrait, avec une réunion organisée comme il faut, où tu pourrais rester au même endroit pendant six ou huit semaines, et que ce soit bien organisé et annoncé un peu partout, disait-il, tu accomplirais quelque chose, mais… et pour notre Seigneur. » Alors, on a continué comme ça, à parler simplement ; alors, ça a été très, très agréable.
21 Alors, quelque temps après, j’ai eu une vision, quand j’étais en Amérique, elle m’est venue et m’a renvoyé en Afrique, et elle me montrait cette même réunion, installé là, devant Durban. Et la première réunion a disparue peu à peu, elle est passée à l’histoire, partie en direction de l’ouest. La deuxième réunion est apparue, et à ce moment-là, elle était encore plus grande que la première. Et Il... J’ai entendu un cri, et un ange venait du Ciel ; il avait une lumière puissante.
22 Et l’Ange du Seigneur, qui se tient près de nous ici, se tenait… Il se tient toujours à ma droite, de ce côté-ci. Et Il se tenait là, et Il–Il se déplaçait en formant un cercle. Et j’ai vu cet Homme en-dessous de Lui. Il–Il n’est pas... Eh bien, quand vous Le voyez, ce n’est pas une vision. C’est tout aussi réel que me regarder. Eh bien, vous pouvez L’entendre marcher et vous parler. Et quand Il... N’importe quoi... Il est tout aussi réel que… Et ce n’est pas une vision; cet Homme se tient là, exactement comme vous. Et Sa voix, c’est exactement comme si c’était la mienne ou comme si c’était la vôtre. Mais une vision, c’est quelque chose qui se présente devant vous et vous le voyez, comme ça. Mais cet Homme-là, Il s’approche simplement et Il se tient là.
23 Alors, Il m’a dit ce qui allait arriver. Et Il a dit que... Cet Ange est descendu, et Il m’a dit de me retourner et de regarder dans cette direction-ci. Et ça semblait être en direction de l’Inde, là. Je ne dis pas que c’est en Inde, mais c’est près de là. Mais c’étaient des Indiens.
24 En effet, les Africains sont de grands costauds, de forte corpulence. Certains d’entre eux mesurent presque sept pieds [2,10m] et pèsent, oh ! 280 ou 300 livres [127 ou 130 kg]; costauds, les Zoulous. Eh bien, il y a les Songhaïs et les Sothos, et, oh ! il y a beaucoup de tribus différentes. Il y avait quinze tribus différentes assises là, ce jour-là, auxquelles je parlais.
25 Je disais une parole, comme : « Jésus-Christ, le Fils de Dieu. » J’allais boire un peu d’eau, en attendant que ce soit transmis par tous les interprètes. L’un d’eux disait... Et toutes sortes de bruits !
Dans le temps, je me disais, quand j’entendais les pentecôtistes parler en langues, alors que, peut-être, l’un parlait en émettant certains sons et que l’autre parlait en émettant d’autres sons, comment était-ce possible ? Mais je crois que la Bible a raison, et je sais qu’Elle a raison, quand Elle dit : « Il n’est aucun son qui soit sans signification. » C’est…?...
Certains disaient, l’un d’eux faisait : « Blrr blrr blrr blrr », ce qui voulait dire : « Jésus-Christ, le Fils de Dieu. » L’autre faisait : « Clouc clouc clouc clouc », ça, c’était : « Jésus-Christ, le Fils de Dieu » dans sa langue. Donc, quel que soit le son qui est produit, il a un sens quelque part. C’est exact. Quel que soit le bruit qui est produit, il a un sens pour quelqu’un quelque part. Et, quand Il... Ils transmettaient ça.
26 Et j’ai remarqué qu’à ma gauche, quand cet Ange était descendu et que j’ai vu comme un essaim, là, et c’étaient des hommes avec... ils avaient comme une espèce de–de drap autour de leur corps, comme ceci, et ça les enveloppait et c’était attaché, comme la couche pour un petit bébé. Et c’était... Et tout ce que je pouvais voir, à perte de vue, c’étaient des gens. Ensuite, cet Ange a allumé une lampe puissante qui oscillait, et elle s’est mise à faire un mouvement de va-et-vient, comme ça. Et jamais de ma vie je n’ai vu autant de gens !
27 Ensuite, cet autre Ange est venu très près de moi, et Il a dit : « Il y en a trois cent mille à cette réunion. » Et je l’ai noté ici. Vous aussi, inscrivez-le sur un bout de papier, comme quand j’avais raconté que ce petit garçon ressusciterait en Finlande. Notez-le sur la page de garde de votre Bible ou quelque part, qu’à cette réunion, –– il va y avoir une réunion, que… et vous en entendrez parler par quelque moyen de diffusion, –– il y aura trois cent mille personnes qui assisteront à cette réunion. Maintenant, voyez si ce n’est pas vrai. Elle sera donc trois fois plus grande que l’autre. Voyez ? Trois cent mille personnes qui assisteront à la réunion. Et je suis tellement heureux de pouvoir y aller. Je ne sais pas quoi faire, parce que j’aime gagner des âmes pour notre Seigneur.
28 Et là-bas, à une occasion, d’avoir vu–d’avoir vu trente mille païens primitifs venir à Jésus-Christ à la suite d’un seul appel à l’autel, trente mille païens primitifs…
29 Maintenant, abordons notre sujet sans tarder. Hier, nous avons étudié la technique qu’utilisent les démons. Je réfléchissais aujourd’hui, alors que Dieu traitait avec moi. Vous ne savez pas ce que ça représente, d’avoir la liberté d’aller de l’avant. Eh bien, je ne suis pas un enseignant. Je suis loin d’être un–un commentateur de la Bible. Et je suis... Mon instruction se limite à une septième année. Alors, c’est... Et, avec ça, je suis sorti de l’école il y a environ vingt-cinq ans, il y a donc longtemps que je n’y suis plus. Je n’ai pas beaucoup d’instruction, mais tout ce que je sais, c’est ce que je reçois par inspiration. Et si cette inspiration ne concorde pas avec la Bible, alors elle est fausse. Voyez ? Il faut que ce soit la Bible. Quelle que soit l’inspiration, il faut que ça vienne... Voici le fondement de Dieu. Aucun autre fondement que Ceci n’a été posé. Et quoi que Ceci soit, si ce que je disais était contraire à Ceci, alors que mes paroles soient un mensonge, parce que la Vérité, c’est Ceci. Voyez ? Voyez ? Et si un ange vous disait quelque chose qui soit différent de Ceci, Paul a dit : « Qu’il soit pour vous anathème », même un ange de Lumière… Or, il y a beaucoup de grandes choses. Seulement, je... les seuls... j’ai choisi deux jours parce que… pour pouvoir apporter ce sujet aux gens, c’est-à-dire hier et aujourd’hui, des réunions d’après-midi.
30 Maintenant, la raison pour laquelle j’ai fait ceci, c’est pour faire moi-même un petit essai afin de voir si Dieu allait m’aider. J’ai quelque chose à coeur. Et le voici après ce grand Message, et après que Dieu Lui-même a confirmé que ce que j’ai dit est bien la Vérité de Sa Parole : par Sa Parole, d’abord, et ensuite par les signes et les prodiges. Maintenant, je pense que, muni de la Vérité de l’Évangile pour l’Église, j’ai envers Dieu une obligation : apporter ceci à l’Église. C’est exact. Elles sont tellement divisées en tant d’organisations différentes et de branches sectaires de chacune que c’est mal, ça. Nous sommes tous enfants de Dieu, quand nous sommes nés de nouveau. Ça... voyez-vous. Et la vérité, c’est que Dieu veut que nous le sachions, que nous sommes Ses enfants.
31 Maintenant, souvenez-vous, le temple de Salomon a été taillé partout dans le monde. Et une pierre est arrivée incurvée comme ceci, et une pierre incurvée comme cela, et une taillée comme ceci, et une taillée comme cela, mais à l’assemblage, il n’y a pas eu le moindre grincement de scie, ni le moindre coup de marteau ; chaque chose s’est ajustée parfaitement à sa place. Dieu est Celui qui a donné les directives pour ça.
32 Dieu a une église qui s’appelle les Assemblées, et une église de Dieu, et une la ceci, et l’autre la cela. Mais quand elles s’assembleront toutes, elles formeront un seul grand groupe d’amour fraternel, et Dieu mettra… rassemblera cette Église et L’emportera là-haut dans le ciel.
33 Tout tableau célèbre, avant de pouvoir un jour être exposé dans une galerie d’art, doit être exposé, passer d’abord par une commission des critiques. L’homme qui l’a peint… ou, excusez-moi, son nom m’échappe; enfin, celui qui a peint La Sainte Cène, cela lui a demandé toute une vie. Il a peint ce tableau. Il s’est passé environ vingt ans, ou dix ans, je crois, entre le moment où il a peint Christ et celui où il a peint Judas. Et, vous êtes-vous rendu compte, dans ce tableau célèbre, que le même homme qui a posé pour représenter Christ, dix ans plus tard, a posé pour représenter Judas ? C’est exact. Effectivement. Dix ans de péché, il avait été un grand chanteur d’opéra, ensuite il a représenté Christ, et il a fini par représenter Judas. Ça ne vous prendra pas forcément dix ans. Ça prendra dix minutes pour produire le même effet sur vous. Ça changera votre caractère, par le péché. Mais toujours est-il que ce tableau est passé par tous les critiques.
34 Et c’est ce que je pense de l’Église de Dieu, ce groupe qu’on appelle… Eh bien, je ne dis pas ceci pour faire une remarque désobligeante. J’ai navigué sur les sept mers, et j’en suis à mon troisième voyage autour du monde, et les gens disent : « Saint exalté ! Saint exalté ! » Et j’ai cherché partout dans le monde, et je n’ai encore jamais trouvé un saint exalté. C’est un nom que le diable a collé aux gens, c’est tout. Un saint exalté, ça n’existe pas. J’ai les statistiques de toutes les six cent soixante-huit églises différentes qui existent et qui sont organisées dans le monde, et il n’y en a pas une seule qui s’appelle les saints exaltés. Et ça, ça provient du gouvernement. Je ne connais pas une seule église sainte exaltée. Alors, ça, c’est seulement un nom que le diable a donné. Mais, maintenant, malgré tout ceci, toutes ces choses, Dieu a peint un tableau. Et, à un moment donné, ces petites églises qu’il y avait là-bas autrefois, certains d’entre vous...
35 Je regarde ces hommes aux cheveux gris. Mon garçon, hier… J’étais en train d’étudier dans mon bureau et un ministre est entré en passant, il a dit : « J’aimerais serrer la main à ton papa. » Évidemment, mon garçon a été à l’école de frère Baxter et des autres ; eux, c’est carrément « non », un point c’est tout, tout de suite. Je n’aime pas ça. Voyez ? Peu importe si je... Évidemment, je ne peux pas être à la fois serviteur des hommes et serviteur de Dieu. Mais moi, ce que je trouve, j’aime serrer la main de mes frères. J’aime faire ça. Il y a quelque chose là-dedans, j’aime serrer la main d’un–d’un ministre. Et non seulement celle d’un ministre, mais de tout enfant de Dieu, j’aime le faire. Je n’en ai rien su, jusqu’au moment où ma femme m’en a parlé, un peu plus tard. Eh bien, s’il avait dit à ce ministre : « Un petit instant, il s’est retiré pour prier, et–et je vais voir ce qu’il en dira. » Eh bien, ça, c'aurait été mieux. Alors, je l’ai repris un peu là-dessus, il ne doit pas faire ça. Voyez ?
36 Alors, et c’est vrai, on ne peut pas venir tout de suite, chaque fois, comme le frère le disait tout à l’heure. Si on le fait, alors le soir, je–je suis épuisé, vous voyez. Les gens se mettent à parler, et peut-être que chacun a une maladie, et quand ils se mettent à en parler, tout de suite, voilà l’Ange du Seigneur qui est là pour dire ce qu’il en est.
37 Il y a quelqu’un qui est assis, qui regarde droit vers moi en ce moment, qui sait que c’est bien vrai, car c’est arrivé il y a seulement quelques minutes, ou environ une heure et demie. C’est une dame qui est assise ici, elle ne savait pas ce qu’il en était, l’Ange du Seigneur lui avait parlé l’autre soir et lui avait dit quelque chose, et elle ne comprenait pas ce qu’il en était. Mais aujourd’hui, c’est arrivé. Alors, maintenant, elle connaît le sens de Ses paroles, quand Il lui parlait. Comme j’étais là à lui parler, l’Ange du Seigneur est venu directement lui dire quel était son problème, et tout ce qu’il en était, et–et ce qu’elle pensait, l’un de ses bien-aimés, et comment Dieu avait parlé et avait dit qu’Il avait confirmé la chose, et ce qui allait arriver. Alors, voilà précisément comment ça va se passer. Voyez ? Dieu l’a dit.
38 Eh bien, maintenant, et si, à quelques reprises, ça... Alors, et avec chaque vision vous vous affaiblissez toujours plus, voyez-vous. Et, tout à coup, vous arrivez à l’église, le soir, vous êtes complètement épuisé, si bien que vous ne savez plus trop quoi faire. Et priez pour moi, là, voyez-vous, parce que je vais d’une réunion à une autre, puis à une autre. Si cette réunion-ci était la seule, ce ne serait pas la même chose si je rentrais chez moi maintenant et restais sans rien faire pendant quelques mois, aller chercher ma canne à pêche et partir à la pêche. Mais il me faut aller directement d’une réunion à une autre, directement d’une réunion à une autre, vous voyez. C’est à cause de ça.
39 Et, vous tous, priez, vous les gens, ici dans l’auditoire. Ils m’ont dit hier soir que je… parlais à quelqu’un et que cette personne n’a pas réagi à l’appel. Eh bien, ça, c’est assez dangereux, vous voyez. Quand ils disaient que... Eh bien, parfois, ces lumières ne vont pas éclairer, il y a un coin où c’est sombre, entre les deux.
40 Et j’observe l’Ange du Seigneur, quand Il se tient ici, je peux le sentir. Ensuite, je vais sentir qu’Il s’éloigne de moi, et je vais observer, Il va partir et aller quelque part se tenir là un petit moment, et je peux Le voir. Et Ça va se mettre à briller, et une vision va venir. Alors, je vais avoir la vision. Je vais observer l’aspect de la personne qui est là, dans ce coin-là. Je trouve la personne, ensuite je parle. Voilà ce qui se produit. Voilà ce qui arrive. On n’est pas obligé de le dire à tout le monde, mais voilà–voilà ce qui se produit, vous voyez. Tout ça, c’est dans le domaine spirituel.
41 Alors, si cette personne ne réagit pas, ce serait comme lire la Bible, ici, et dire : « Ça ne vaut rien » et s’en détourner. Voyez ? Alors, ce serait assez moche, ça. Alors, soyez sur le qui-vive, soyez à l’écoute, soyez vigilants. Quand Il parle, répondez. Voyez-vous, soyez simplement prêts à répondre à tout moment.
42 Et alors, ma femme et frère Beeler, et beaucoup de personnes, ce matin, m’en parlaient, disant qu’un homme avait été appelé au sujet de son frère quelque part, il y avait quelque chose qui n’allait pas chez lui, et tout. Et cet homme n’a pas réagi à l’appel, alors, là, il n’y a rien à faire. C’est entre Dieu et cet homme. La vision m’a quitté. Ensuite, je ne l’ai plus retrouvée, parce qu’il n’a pas répondu. Alors, soyez vigilants, soyez sur le qui-vive.
43 Maintenant, nous allons prendre ce sujet, de la Démonologie, et parler des démons. Eh bien, les gens, quand on dit « démon », tout de suite ils se mettent à penser : « Oh ! du fanatisme, ou quelque chose ! » Mais les démons sont tout aussi réels que les anges. Ils sont tout aussi réels.
44 Et le diable est tout aussi réel, comme démon, que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il est un démon ! Le Ciel est tout aussi réel. Si l’enfer n’existe pas, le Ciel n’existe pas non plus. Et s’il n’y a pas de bénédiction éternelle... ou plutôt de châtiment éternel, il n’y a pas de bénédiction éternelle. S’il n’y a pas de jour, il n’y a pas de nuit. Voyez ? Mais aussi sûr qu’il y a le jour, il y a la nuit. Au–aussitôt… aussi sûr qu’il y a–sûr qu’il y a un chrétien, il va forcément y avoir un hypocrite. Aussi sûr qu’il y a quelqu’un qui est véritablement de Dieu, il y a quelqu’un qui va imiter ça. Voyez ? C’est tout à fait ça, le pour et le contre, le noir et le blanc, et ainsi de suite comme ça, en toutes choses, dans la vie, le vrai et le faux partout. Et il y a un faux évangile, il y a un vrai Évangile. Il y a un vrai baptême, il y a un faux baptême. Il y a un faux-semblant, et il y a un vrai. Il y a un vrai dollar américain, et il y a un faux dollar américain. Il y a un chrétien véritable, il y a un hypocrite véritable, voyez-vous, qui ne fait qu’imiter. Alors, c’est ce qu’on trouve ; alors, toutes ces choses, elles vont ensemble. Eh bien, nous ne pouvons pas les séparer. Dieu laisse tomber la pluie.
45 Qu’Il me permette de parler un peu de quelque chose ici. Combien y a-t-il de prédicateurs ici ? Levez la main. Partout, les prédicateurs, levez la main. Eh bien, que Dieu vous bénisse, frères. Maintenant, maintenant, ne prenez pas ceci comme une doctrine maintenant, mais juste avant d’aborder ce sujet vital, je vais vous raconter une de… Combien y a-t-il de pentecôtistes ici ? Levez la main, tout autour, partout. Eh bien, êtes-vous tous pentecôtistes ? Très bien. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé la première fois que je me suis retrouvé parmi vous, dans vos rangs.
J’étais ici, dans l’Indiana, à un endroit qui s’appelle Mishawaka. C’était le premier groupe de pentecôtistes que je voyais, ils s’appelaient les–les Assemblées pentecôtistes de Jésus-Christ, je crois, ou quelque chose comme ça, un groupe de gens formidables. Maintenant, ils ont formé ensemble une organisation et ils s’appellent les pentecôtistes unis. Ils se sont dissociés des autres à cause d’un désaccord sur le baptême d’eau. Ça ne fait pas d’eux des hypocrites. Il y a de nombreux chrétiens véritables, de vrais chrétiens, véritables, nés de nouveau du Saint-Esprit, parmi eux. Et Dieu leur a donné le Saint-Esprit, à eux qui ont été baptisés dans le « Nom de Jésus », et Il a donné le Saint-Esprit aux autres qui ont été baptisés dans le « Père, Fils, Saint-Esprit ». Alors, « Dieu donne le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent. » Alors, qui–qui a reçu, qui Lui a obéi ? Voilà.
46 Si vous pouviez seulement oublier ça, et ceux qui veulent être de telle manière, laissez-les faire, et vous, allez-y, soyez des frères. C’est tout. Ne... Ce qui a causé ça, c’est qu’ils se sont divisés, qu’ils se sont séparés. Voyez ? Quoi ? De briser, de démolir, de rompre la fraternité, de vous mettre à part et de vous séparer. Non, non, nous ne sommes pas séparés, nous sommes un. C’est exact.
47 Mais quand j’étais là-bas, j’observais ces gens-là. Eh bien, moi qui sortais d’une petite église baptiste du sud, bien ordinaire, eh bien, je voyais ces gens, je suis entré là et ils tapaient des mains, ils s’égosillaient : « L’un d’entre eux, l’un d’entre eux, heureux de dire que je suis l’un d’entre eux ! »
48 J’ai pensé : « Oh ! la la! Fiou ! » Tout à coup, quelqu’un est passé en dansant, en y mettant toute son énergie. « Ttt ! ttt ! ttt ! ttt ! ttt ! », j’ai pensé, « quelle façon de se conduire à l’église ! Je n’ai jamais rien entendu de pareil. » Je ne les lâchais pas d’yeux, partout. Je me demandais : « Eh bien, mais qu’est-ce qui se passe avec ces gens ? »
49 Eh bien, vous m’avez entendu raconter l’histoire de ma vie, quand je m’étais retrouvé à cette réunion, là-bas. Mais voici une chose que je n’ai jamais racontée, que je n’ai encore jamais racontée, en public. Alors, ils... Maintenant, si vous voulez l’effacer de votre enregistrement, eh bien, vous êtes libre de le faire. [Frère Branham rit. – N.D.E.] Très bien. Alors, là, j’observais, et, eh bien, je me disais : « Eh bien, ces gens, ce sont les gens les plus heureux que j’aie vus de ma vie. » Ils n’avaient pas honte de leur religion. Nous, les baptistes, il nous arrive d’avoir un peu honte, de temps à autre, vous savez. Voyez ? Et quand ils se mettent à prier, vous savez, ils vont se mettre derrière l’éventail, vous savez. Et–et, mais nous... Mais ces gens-là, ce n’était pas le cas, frère, ils–ils avaient de la religion partout, en dedans, en dehors, et partout sur eux.
50 Eh bien, je me souviens, ce soir-là, quand je suis monté sur l’estrade. Ils avaient dit : « Tous les prédicateurs : sur l’estrade. » C’était une convention. Ils étaient obligés de la faire ici au Nord, à cause–à cause du problème de ségrégation raciale, la loi de Jim Crow, du Sud. Alors, ils s’étaient tous rassemblés là, de partout. Alors, j’étais assis sur l’estrade. Et il a dit... Eh bien, maintenant, il y a... J’ai écouté tous les prédicateurs, toute la journée et ce soir-là. Ils ont annoncé un vieux prédicateur, c’est un vieil homme de couleur qui est arrivé, juste une petite couronne de cheveux sur la tête, comme ça, et il portait une longue redingote de prédicateur, vous savez, à col de velours, et il faisait chaud. Le pauvre vieux est arrivé comme ceci. Il a dit : « Mes chers enfants, a-t-il dit, je voudrais vous raconter… », Il s’est mis à témoigner. Je devais être le plus jeune de ceux qui étaient assis sur l’estrade. Et, donc, il disait : « Je vous le dis ! » Il a pris son texte dans Job : « Où étais-tu quand Je fondais le monde. Dis-Moi sur quoi ses bases sont appuyées. »
51 Tous ces autres prédicateurs avaient prêché au sujet de Christ, quelque chose comme on avait l’habitude d’entendre. Je les avais écoutés, j’y avais pris plaisir. Mais pas ce vieux-là ! Il est retourné en arrière, environ dix mille ans avant le commencement du monde. Il est allé jusque dans les Cieux et il est redescendu en traversant le ciel, ce qui se passait là, ce sur quoi ils avaient prêché, tout le long, pendant la journée; il a prêché sur ce qui se passait dans le Ciel. Il a ramené Christ sur l’arc-en-ciel horizontal, tout là-bas quelque part dans l’Éternité. Mais, il n’avait même pas prêché pendant cinq minutes, ce vieux-là, et Quelque Chose s’est emparé de lui. Il a sauté en l’air, il a claqué des talons, et il s’est écrié : « Youppi ! » Il avait à peu près autant de place que j’en ai ici. Il a dit : « Je n’ai pas assez de place pour prêcher », et il s’en est allé comme ça.
52 Eh bien, je me suis dit : « Si cette chose-là produit cet effet sur un homme qui a peut-être quatre-vingts ans, qu’est-ce qu’elle fera sur moi ? Voilà ce que je veux. Voilà ce que je veux. »
53 Mais ce qui m’a intrigué, c’est ceci. Maintenant, nous parlons de démons, là. Ce qui m’a intrigué, j’observais deux hommes. L’un était assis d’un côté, et l’autre de l’autre. Et quand l’Esprit descendait, ces hommes se levaient, ils parlaient en langues, ils poussaient des cris, ils avaient l’écume aux lèvres. Et je me disais : « Oh ! la la ! si seulement je pouvais avoir ça ! » Voyez ? « Comme c’est merveilleux ! Oh ! c’est... j’aime vraiment ça ! » Eh bien, je suis allé dans le champ de maïs. Et je vous ai raconté l’histoire de ma vie. Vous l’avez lue dans le livre. J’y ai dormi toute la nuit. Le lendemain matin, j’y suis retourné, alors je me suis dit que j’allais faire un test. J’ai une façon de faire les choses, dont personne n’est au courant, seulement Dieu et moi. C’est donc… je prononce un oracle, et je vais voir quel esprit est dans un homme. Vous le voyez ici même sur l’estrade. Voyez ? Et, donc, je me suis mis à parler à l’un de ces hommes. Je les avais vus, ils étaient assis l’un près de l’autre, et ils se prenaient par la main, et ils dansaient, et ils poussaient des cris. Je me disais : « Oh ! la la ! Ça me semble réel ! »
54 Et j’ai pris l’une de ses mains. J’ai dit : « Bonjour, monsieur ! »
55 Il a dit : « Bonjour. » Un homme très bien, du type gentleman. Il a dit...
J’ai dit : « Êtes-vous un ministre ? »
Il a dit : « Non, monsieur. Je ne suis qu’un laïque. »
56 Alors j’ai engagé une petite conversation avec lui pour capter son esprit. Voyez ? Il ne le savait pas. Personne ne le savait. Je n’en ai jamais parlé. Il s’est passé des années avant que j’en parle. Ainsi donc... Mais, quand j’ai vu ce qu’il en était, ça sonnait juste, parfaitement, c’était un chrétien ! Cet homme était un saint de Dieu, absolument. J’ai pensé : « Frère, c’est très bien. »
57 Mais ce qui est bizarre, quand j’ai trouvé l’autre homme, c’était le contraire. Il vivait même avec une femme qui n’était pas sa femme. C’est exact. Et j’ai vu ça s’approcher de lui, une vision. Je me suis dit : « Oh ! la la ! Ce n’est pas possible. » Et cet homme... Je me suis dit : « Eh bien, alors, cet esprit qui est parmi ces gens, il est mauvais. Un point, c’est tout. »
58 Alors, ce soir-là, quand les... je suis allé à la réunion, et les bénédictions descendaient, je priais Dieu, et le Saint-Esprit, l’Ange du Seigneur attestait qu’il s’agissait bien du Saint-Esprit. Et le même Esprit qui descendait sur cet homme-ci descendait sur cet homme-là. Et quand l’Esprit descendait, ils se levaient tous les deux, et tous les deux poussaient des cris, hurlaient et louaient le Seigneur, parlaient en langues, dansaient. Je disais : « Je–je–je ne saisis vraiment pas, Seigneur. Je… Ils… ne voient pas ça dans la Bible, que ça pourrait être juste. » Là, j’ai dit : « Peut-être que c’est moi qui suis séduit. » Voyez ? J’ai dit... Maintenant, voici, je–je ne... Je suis–je suis strictement fondamentaliste pour ce qui est de la Bible. Il faut que ce soit Ceci. Voyez ? J’ai dit : « Seigneur, Tu sais comment je suis, il faut que je–je le voie dans Ta Parole. Et je–je ne comprends pas. Voilà que le Saint-Esprit descend sur cet homme-ci, que le Saint-Esprit descend sur cet homme-là, et l’un d’eux est un saint, et l’autre est un hypocrite. Et je le sais. » Et je le sais sans... J’aurais pu prendre cet homme à part et le lui prouver, ou le lui signaler sur place, lui dire ce qu’il en était.
59 Comme j’aurais pu le faire à cet homme qui était assis ici, hier soir, qui n’était rien d’autre qu’un–qu’un imposteur, s’il y en a jamais eu un, assis là. Et j’aurais dû dénoncer la chose, mais il se serait levé et se serait mis à faire des histoires. Alors, j’ai simplement laissé tomber, parce que c’était la réunion, mais je savais qui c’était. Oui, oui.
Il y en avait un, deux, qui étaient assis au fond l’autre soir, ils font partie d’une certaine église de la ville, ici. De vrais critiqueurs ! Je les ai vus. Mais si on fait ça, c’est là que les ennuis commencent. Je l’ai fait bien des fois. Je les laisse faire, c’est tout. Ça ne fait rien. Dieu est au courant, c’est Lui le Juge. Qu’eux m’interpellent, une fois, et là vous verrez quelque chose se produire, vous voyez, que lui le fasse.
Comme le démon, ce n’est pas moi qui ai appelé le démon à sortir. Il est simplement venu à moi et il m’a défié. C’est là que Dieu est entré en action, voyez-vous, c’est exact, et vous avez vu ce qui s’est passé. Très bien. Mais j’ai simplement laissé tomber. À la réunion, ça n’a pas été facile à cause de ça, parce que cet esprit était là, cherchant continuellement à m’attaquer, voyez-vous. Et, alors, j’ai simplement continué.
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:42

60 Mais, eh bien, ces hommes, je ne comprenais pas ça. Et c’est deux ans plus tard, ou trois, alors que j’étais à Green’s Mill, Indiana, ici, à la réserve scoute. Je m’étais retiré dans une vieille caverne, là où je vais pour prier. Et là, je disais : « Seigneur, je ne comprends pas ce qui est arrivé à ce groupe de gens. Les gens les plus gentils que j’aie jamais rencontrés de toute ma vie, et je–je ne comprends pas comment il pourrait s’agir là d’un mauvais esprit. Quand c’est le... si, alors... Tu connais l’intégrité de mon coeur. Tu sais combien je T’aime, et comme je T’ai servi. Et ce même Esprit, qui est ici avec moi, était sur ces gens. Et voici que de même Il était sur ce gars-là » Alors, je ne comprenais pas.
61 Et le Seigneur est descendu, dans Sa miséricorde, et Il m’a montré. Voici ce qu’il en était. Il faut que ce soit scripturaire, première chose. Il a dit : « Prends ta Bible. » Et j’ai pris ma Bible. Je pense que j’ai dû tenir cette Bible pendant dix minutes, sans que personne... qu’aucune autre Parole ne vienne. J’ai simplement attendu quelques instants. Je L’ai entendu dire de nouveau : « Ouvre dans Hébreux 6, et commence à lire. » C’est ce que j’ai fait. Et arrivé au passage où il est dit : « La pluie tombe souvent sur la terre, pour l’abreuver et la préparer, l’apprêter pour ce qui... mais les épines et les chardons, qui sont près d’être rejetés, on finit par y mettre le feu. » Et c’est là que j’ai saisi.
Je me suis dit : « Voilà ce que c’est. Grâces soient rendues à Dieu ! Voilà ce que c’est. » Voyez ?
62 Maintenant, Jésus a dit : « Un semeur est sorti semer des semences », n’est-ce pas ? Eh bien, tous, vous êtes chrétiens, ici, –– tout le monde a levé la main, en tout cas, –– des pentecôtistes, des chrétiens nés de nouveau. Très bien. Ils... Et Il a dit : « Un semeur est sorti semer des semences. Et pendant qu’il dormait... (sa mort dans l’intervalle, voyez ?) Et pendant qu’il dormait, un ennemi est venu semer de l’ivraie dans ce champ. » De l’ivraie, qu’est-ce ? De mauvaises herbes, des ronces, et tout. Bien. « Et quand le laboureur (le prédicateur) a vu pousser cette ivraie, il a dit : ‘Je vais aller l’arracher.’ Il a dit : ‘Non, non. Tu arracherais aussi le blé. Laissez-les croître tous deux ensemble.’ »
63 Il y a un champ de blé ici. Il contient des plantes rampantes, des orties, de l’herbe aux sorciers, et tout le reste. Est-ce vrai ? Par contre, là, il contient du blé. Maintenant, la pluie tombe souvent sur la terre, pour l’abreuver. Or, la pluie, c’est pour quoi ? Pas pour arroser l’ortie. Maintenant, regardez bien et soyez attentifs. Pas pour arroser la plante rampante. La pluie est envoyée pour le blé, mais l’ortie et la mauvaise herbe sont tout aussi assoiffées que le blé. Et la même pluie qui tombe sur le blé tombe sur la mauvaise herbe. Et cette petite mauvaise herbe va se redresser, comme ça, tout heureuse et dans l’allégresse, tout autant que le petit blé va se redresser, lui-même se redresser.
64 « Mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Voilà. Voyez ? Or, le même Saint-Esprit peut bénir un hypocrite. Ça, c’en a sonné quelques-uns d’entre vous, les arminiens, mais c’est la Vérité. C’est la Vérité. Vous appelez cela la sainteté, moi aussi, je crois à la sainteté. Mais le même Esprit, la pluie tombe sur les justes et sur les injustes, mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.
65 Si je regarde ici et que je vais chercher du blé, je rapporte du blé, mais les mauvaises herbes, c’est tout attaché ensemble. Et elles vivent de la même pluie qui est tombée pour le blé. Et la pluie n’a pas été envoyée pour les mauvaises herbes, elle a été envoyée pour le blé. Mais comme la pluie est dans le champ, que le blé est... que les mauvaises herbes sont dans le champ de blé, elles ont profité tout autant de la pluie que les autres. Et la même pluie qui a fait vivre le blé a fait vivre la mauvaise herbe.
66 Toutes les choses qui sont dans le naturel sont un type du spirituel, c’est ce que nous enseignons. Voilà ce qu’il en est, la démonologie, des démons qui imitent le christianisme et qui reçoivent quand même la bénédiction. Ce n’est pas du lait écrémé, les frères, si vous pouvez le recevoir. Voyez ? Voyez ? Maintenant, c’est–c’est la Vérité.
67 Alors, je ne suis pas sauvé aujourd’hui, parce que je peux pousser des cris. Je suis sauvé, non pas parce que je me sens sauvé. Je suis sauvé parce que j’ai rempli les conditions que Dieu a posées dans cette Bible. Jésus a dit : « Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Je le crois. C’est exact. Et selon ces conditions, je suis sauvé, parce que Dieu l’a dit.
68 S’il me disait qu’on est sauvé parce que quelqu’un a dit : « Un vent impétueux m’a cinglé le visage », c’est formidable, ça, mais je veux savoir d’où il est venu, ce vent impétueux, avant qu’il me cingle le visage, voyez-vous. Maintenant, quel genre de vie allez-vous mener, après que ce vent impétueux vous aura cinglé? Voyez ? Voyez-vous, c’est à votre fruit qu’on vous reconnaît. Donc, les démons peuvent oeuvrer au beau milieu des chrétiens. Le croyez-vous ? Regardez Paul, Paul a dit...
69 Eh bien, c’est ici que la Pluie du Dernier Jour... S’il y en a ici, pardonnez-moi si je dis quoi que ce soit contre vous. Je ne dirais rien contre vous, pas plus que j’en dirais contre les Assemblées, ou n’importe qui, les baptistes, ou n’importe qui d’autre. C’est la Vérité qui est la Vérité. Où vous avez dévié, c’est ici : de ces hommes et de ceux qui ne sont pas prophètes, vous faites d’eux des prophètes. On n’est pas prophète parce qu’on nous a imposé les mains et envoyés. On naît prophète. Voyez ? Dans la Bible, il y a un don de prophétie. C’est là que vous avez fait erreur, la différence entre le don de prophétie et un prophète. Le don...
70 « Dieu, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, a parlé à nos pères à travers les prophètes, dans ces derniers jours à travers Son Fils, Jésus-Christ. » Et il y a neuf dons spirituels en action dans le Corps de Christ. Ça pourrait être sur cette femme-ci, ce soir, la prophétie, et il se pourrait que ce ne le soit plus jamais, de toute sa vie. Il se pourrait que ce soit sur cette femme-ci le lendemain soir. Il se pourrait que ce soit sur cet homme-ci la fois d’après. Il se pourrait que ce soit sur celui-là, là-bas, la fois d’après. Ça ne fait pas d’elle un prophète, ça ne fait de personne un prophète. C’est un don de prophétie en vous.
71 Et avant que cet homme, ou que cette prophétie puisse être donnée à l’église, elle doit être jugée en présence de deux ou trois juges spirituels. Est-ce vrai ? Selon... Or, Paul a dit : « Vous pouvez tous prophétiser successivement. » Si celui-ci a une révélation, que celui-là se taise. Eh bien, dans ce cas, ils seraient tous prophètes, selon l’enseignement d’aujourd’hui. Non, église pentecôtiste, on a tout mélangé. Et c’est pour cette raison que Dieu ne peut pas entrer, tant que nous n’aurons pas redressé et aligné la chose sur la Bible. C’est exact. Il faut trouver le bon sentier. Comment peut-on bâtir une maison sans regarder le plan ? Voyez ? Il faut prendre un bon départ.
72 Maintenant, là, un prophète, on n’a jamais vu personne se tenir devant Ésaïe, devant Moïse. Il y en a un qui s’est tenu devant lui, un jour, Koré, et a cherché à contester avec lui, et Dieu a dit : « Séparez-vous, je vais ouvrir la terre. » On naît prophète. « Les dons et les appels sont sans repentir. » C’est la prédestination de Dieu, dès le plus jeune âge. Tout était parfait constamment, exactement ce qu’il disait, c’était la vérité, confirmée et mise en évidence. C’est la Parole de Dieu, qui vient au prophète. Mais un don de prophétie, c’est dans l’église.
73 Eh bien, vous dites : « Eh bien, les prophètes, c’est l’Ancien Testament. » Oh ! non ! Il y a eu des prophètes dans le Nouveau Testament.
74 Agabus était un–était un prophète du Nouveau Testament. Regardez l’Esprit de prophétie qui est descendu là-bas et qui a dit à Paul ce que... Et puis, Agabus est arrivé de Jérusalem, il est allé trouver Paul, et il a attaché sa ceinture autour de lui, il s’est retourné et a dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, l’homme qui portait ceci sera lié de chaînes quand il arrivera à Jérusalem. » Agabus, qui s’est levé et qui a dit, prédit ce qui allait arriver, était un prophète et non un homme avec le don de prophétie.
75 Et le don de guérison et tous ces dons, mon ami pentecôtiste, vous avez tout mélangé. Les dons sont dans l’église, toute personne dans l’église y a accès, toute personne qui a été baptisée dans le Corps. « Par un seul Esprit, nous Y sommes tous baptisés. » Et la Bible dit...
« Eh bien, j’ai le don de guérison. »
76 Eh bien, la Bible dit : « Confessez votre faute l’un à l’autre, et priez l’un pour l’autre. » Que toutes les personnes prient les unes pour les autres. Nous ne sommes pas un groupe divisé; nous sommes un groupe collectif, réuni. Voyez ? Eh bien, c’est comme ça que parfois les démons vont s’y prendre pour agir.
77 Maintenant, observez ce que Paul a dit : « Si quelqu’un parle en langues et que quelqu’un d’autre interprète, que ce qu’il a dit soit jugé avant–avant que l’église puisse le recevoir. »
78 Maintenant, ce ne sera pas une citation de l’Écriture, ou quelque chose comme ça. Dieu ne se répète pas. Mais ce sera un avertissement adressé à l’église. Alors, si de bons juges disent : « Recevons cela. Très bien, c’était du Seigneur. » Le deuxième dit : « Recevons-le. » Que par la bouche de deux ou de trois témoins, toute parole soit établie. Alors, l’église le reçoit, et on se prépare en conséquence. Si ce qui a été dit n’arrive pas, alors, vous avez un mauvais esprit parmi vous. C’est exact. Et si la chose arrive, alors remerciez Dieu, l’Esprit de Dieu est parmi vous. Voyez ? Alors, c’est là qu’il faut bien surveiller et être prudent. Donc, ne cherchez pas à forcer les choses. Il n’y a rien que je puisse faire pour avoir les yeux bruns si j’en ai des bleus, voyez-vous, il faut que je me contente de mes yeux bleus. Maintenant, c’est là que les démons agissent dans la sphère des gens spirituels.
79 Maintenant, nous entrons dans quelque chose de profond ici, et j’espère que ce n’est pas trop profond. Maintenant, dans I Samuel 28, je veux maintenant lire un passage des Écritures, ici. Je voudrais que vous écoutiez attentivement. Et je veux traiter de « démons », vous montrer comment ils agissent au sein même de l’église, et que Satan a une contrefaçon de toutes les choses véritables qui existent. Or, vous pouvez voir, selon la Bible, que les démons viennent parmi les chrétiens et ils font des imitations.
80 Et souvent, nous avons affirmé que des gens étaient chrétiens quand ils disaient : « Je crois en Jésus-Christ. » Eh bien, les démons croient la même chose, et ils tremblent. Ce n’est pas du tout le signe que vous êtes sauvé. Un de ces soirs, je voudrais aborder l’élection, et là vous constaterez le vrai sens du salut. Voyez ? Vous n’avez rien eu à y voir, ni au début, ni à la fin, ni rien que vous puissiez y faire du tout. Dieu sauve un homme, sans condition. Oh ! Ça, ça a frappé en profondeur, n’est-ce pas ? Maintenant, autant sortir ça de votre système pendant qu’on y est. Très bien.
81 Abraham a été le commencement de notre foi. Est-ce vrai ? Très bien ! Abraham a reçu la promesse. Et Dieu a appelé Abraham, parce qu’il était un grand homme, je suppose ? Non, non. Il est sorti de Babylone, du–du pays de Chaldée, de la ville d’Ur, et Dieu l’a appelé et a fait Son alliance avec lui, sans condition. « Je vais te sauver. Et pas seulement toi, Abraham, mais ta Postérité », sans condition.
82 Dieu a fait une alliance avec l’homme, et l’homme rompt son alliance chaque fois. L’homme n’a jamais gardé son alliance avec Dieu. La loi n’a jamais été gardée. Ils n’arrivaient pas à garder la loi. Christ est venu et Lui-même a transgressé la loi. En effet, la grâce avait déjà fourni un Sauveur. Moïse avait fourni un moyen d’échapper, et ensuite... d’échapper, plutôt, et ensuite les gens, après cela, voulaient encore avoir quelque chose à y faire. L’homme cherche toujours à faire quelque chose pour se sauver lui-même, alors qu’on ne peut pas. C’est sa nature. Dès qu’il a constaté qu’il était nu dans le jardin d’Éden, il a fait des ceintures avec des feuilles de figuier. Est-ce vrai ? Mais il a constaté qu’elles ne feraient pas l’affaire. Il n’y a rien qu’un homme puisse faire pour se sauver lui-même. Dieu vous sauve, sans condition, tout au long de l’âge. Et alors, quand vous êtes sauvé, vous êtes sauvé.
83 Considérez Abraham. Cet homme était là, il était allé là-bas, et Dieu lui avait donné le pays de la Palestine et lui avait dit de ne pas le quitter. Tout Juif qui quittait la Palestine était rétrograde. Dieu lui avait dit de rester là. Si Dieu vous dit de faire quoi que ce soit, et que vous ne le faites pas, alors vous êtes rétrograde. Est-ce vrai ? Bien, alors il y a eu une sécheresse pour éprouver la foi d’Abraham. Et Abraham, au lieu de rester là, non, il n’a pas pu rester là, il a pris la fuite, il a pris Sara avec lui et il a fait environ trois cents miles [483 km] –– j’aurais aimé avoir le temps de parler de ça, –– jusque dans un autre pays.
84 Et quand il est arrivé là-bas, alors il y avait ce grand roi, là-bas, Abimélec. C’était un jeune homme, et il voulait avoir une petite amie, alors il a trouvé la femme d’Abraham, Sara, et il est tombé amoureux d’elle. Et Abraham a dit : « Maintenant, dis-lui que tu es ma soeur, et que je suis ton frère. »
85 Alors, Abimélec a été content de ça, alors il a dit : « Très bien, nous allons simplement l’emmener au château. » Et les femmes ont dû la préparer, il allait l’épouser le lendemain.
86 Abimélec était un brave homme, un homme juste. Et cette nuit-là, pendant qu’il dormait, le Seigneur lui est apparu et a dit : « Considère-toi comme un homme mort. » Il a dit : « Cet homme... La femme que tu te proposes d’épouser là est la femme d’un autre homme. » Maintenant, regardez bien. « La femme d’un autre homme… »
87 Eh bien, il a dit : « Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon coeur (un homme juste, saint), Tu connais l’intégrité de mon coeur. Cet homme m’a dit que c’était sa soeur. Ne m’a-t-elle pas dit elle-même, que c’était ‘mon frère’ ? »
88 Il a dit, Dieu a dit : « Je connaissais l’intégrité de ton coeur, et c’est pour cette raison que Je ne t’ai pas laissé pécher contre Moi. Mais c’est Mon prophète ! » Alléluia !
89 Qu’était-il ? Rétrograde, et un petit filou qui mentait. Est-ce vrai ? Oh ! non, de petits mensonges pieux, ça n’existe pas. Ou bien ce sont des mensonges tout noirs, ou bien ce ne sont pas des mensonges du tout. Cet homme qui était là, il a carrément dit un mensonge, en disant que c’était sa soeur, alors que c’était sa femme, il tournait autour du pot, et il était rétrograde.
90 Et ici, il y avait un homme juste, qui s’est tenu devant Dieu et qui a dit : « Seigneur, Tu connais mon coeur. »
91 « Mais Je n’écouterai pas ta prière, Abimélec, mais ramène-le... ramène-la-lui, et qu’il prie pour toi. Il est Mon prophète. Je l’écouterai. » Oui, un rétrograde, un menteur, mais : « C’est Mon prophète. » N’est-ce pas la Vérité ? C’est la Bible.
92 Maintenant, n’allez pas trop loin avec ça, du côté calviniste : « Une fois sous la grâce, toujours sous la grâce », parce que vous vous retrouverez dans la disgrâce. Voyez ? Un petit instant, là, nous aurons le temps cette semaine de revenir là-dessus pour vous montrer que c’est bien tout à fait exact. Mais n’allez pas croire que juste parce que vous avez fait quelque chose de mal, que ça en est fini de vous. Vous êtes un enfant de Dieu, vous êtes né de l’Esprit de Dieu, vous êtes des fils et des filles de Dieu, et les fruits en rendront témoignage eux-mêmes. Voilà.
93 Maintenant, nous voici installés dans le pays. Maintenant, je voudrais lire, ici, le verset 6. Et Saül interrogea l’Éternel, et l’Éternel ne lui répondit pas, ni par songe, ni par l’Urim, ni par un prophète. Et Saül dit à ses serviteurs : Cherchez-moi une femme qui évoque les esprits, et j’irai vers elle, et je la consulterai. (Eh bien, je pourrais taper sur quelque chose ici, pendant seulement...) Cherchez-moi une femme qui évoque les esprits ... Et son serviteur lui dit : Voici, il y a à En-Dor une femme qui évoque les esprits. Et Saül se déguisa et revêtit des vêtements, d’autres vêtements, et il s’en alla, deux... lui et deux hommes avec lui, et ils vinrent de nuit chez la femme. Et ils dirent : ... -vine pour moi, je te prie, par un esprit, et fais-moi monter celui que je te dirai. Et la femme lui dit : Voici, tu sais que Saül a fait, tu sais, il a retranché du pays tous les évocateurs d’esprits et... diseurs de bonne aventure; c’est pourquoi... dresses-tu un piège à mon âme pour me faire mourir ? Et Saül répondit, lui jura par l’Éternel, disant : L’Éternel est vivant, s’il t’arrive aucun mal... Et la femme dit : Qui te ferai-je monter ? Et il dit : Fais-moi monter Samuel. Et la femme vit Samuel, et elle poussa un grand cri; et la femme parla à Saül, disant : Pourquoi m’as-tu trompée ? et tu es Saül ! Et le roi lui dit : Ne crains point; mais que vois-tu ? Et la femme dit : Je... à Saül : Je vois des dieux qui montent de la terre. Et il lui dit : Quelle était sa forme ? Et elle dit : C’est un vieillard qui monte, et il est enveloppé d’un manteau. Et Sam-... (Évidemment, c’est ce manteau de prophète. Voyez?) ... connut que c’était Samuel; et il se tint... et le visage contre terre et se prosterna. Et Samuel dit à Saül : Pourquoi as-tu troublé mon repos et m’as-tu fait monter ? Et Saül répondit, et dit : Je suis dans une grande détresse; parce que les Philistins me font la guerre, et Dieu s’est retiré de moi, et ne me répond pas, ni par prophète, ni par songe; et je t’ai appelé pour me faire savoir ce que je dois faire. Et Samuel dit : ... pourquoi m’interroges-tu, quand l’Éternel s’est retiré de toi et–et qu’il est devenu ton ennemi? Et l’Éternel a fait pour lui-même comme il me l’a dit; et l’Éternel a déchiré son royaume d’entre tes mains et l’a même donné à... David;
94 Maintenant, beaucoup d’entre vous, vous connaissez bien ceci. Maintenant, nous voulons nous y mettre sans tarder, et que Dieu nous aide maintenant, pendant quelques instants, à nous pencher là-dessus. Maintenant, observez. Il y avait un homme, Saül, qui était considéré, à un moment donné, comme un prophète, car il prophétisait avec les prophètes. Est-ce vrai, les enseignants ? Maintenant, ici, l’homme était rétrograde. Est-ce vrai ? Mais rappelez-vous où Samuel a dit qu’il serait avec lui, le lendemain. Parti prématurément, voyez-vous. Très bien, si vous ne voulez pas écouter Dieu, Dieu vous ôtera de la terre.
95 Regardez, dans l’épître aux Corinthiens, là, comment Paul a mis ces gens en ordre. Il a dit : « D’abord, je rends grâce à Dieu à votre sujet, de ce qu’il n’y ait pas de telles choses parmi vous, et tout, et de–de ce qu’il ne vous manque aucun don spirituel. Il leur disait ce qu’ils étaient, côté position, en Christ. Ensuite, il est passé à l’attaque, les a corrigés, leur a parlé de leurs femmes prédicateurs, de ce qu’ils faisaient et de ce qu’ils mangeaient à la table du Seigneur.
Et il y avait même un homme qui vivait avec sa belle-mère, et il a dit à cet homme en Christ : « Livrez-le au diable pour la destruction de la chair, afin que l’âme soit sauvée. » Voyez-vous, c’est ça, livrez-le. La Bible dit : « C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre dorment », partis prématurément à cause du péché. Dieu vous a retiré du chemin; un bon signe que vous étiez un chrétien, si vous avez été retiré.
96 Alors, maintenant, observez ici, Saül était considéré comme l’un des prophètes, ou comme faisant partie des prophètes, parce qu’il prophétisait. Et là, il était rétrograde, parce qu’il avait désobéi à Dieu, et son royaume lui avait été arraché d’entre les mains et avait été placé entre les mains de David, que Dieu avait oint par Samuel, avec la cruche d’huile.
97 Remarquez : à l’époque, il y avait trois moyens par lesquels ils pouvaient découvrir des choses de la part de Dieu; le premier était–était le prophète, le deuxième était un songe, et le troisième était l’Urim Thummim. Et aucun d’eux ne voulait répondre. Eh bien, vous savez ce qu’est un prophète, vous savez ce qu’est un songe spirituel, et vous savez ce qu’était l’Urim Thummim. Vous savez, l’autre jour, j’ai demandé à un–un homme quelque chose au sujet de l’Urim, et cet homme n’a pas pu me dire ce que c’était, l’Urim Thummim. Évidemment, c’était Dieu qui répondait par ces choses, mais il… Voyez ?
98 Et le diable produit une contrefaçon de chacun : le devin, le faux prophète et le voyant qui lit par une boule de cristal, voyez ? Eh bien, l’Urim Thummim était accroché à la poitrine d’Aaron, ici, l’Urim Thummim la couvrait, des pierres. Et on l’accrochait dans le temple. Et quand ils n’étaient pas certains, ils allaient devant Dieu pour la réponse, et une lumière brillait sur cet Urim Thummim, lequel… pour faire savoir si c’était la volonté de Dieu ou pas. Eh bien, quand l’Urim Thummim ne répondait pas... Eh bien, ça, c’était la réponse directe de Dieu.
Maintenant, l’Urim Thummim d’aujourd’hui… le diseur de bonne aventure a pris une boule de cristal pour imiter Cela; une fausseté. Dieu est dans une Trinité; les pouvoirs de Dieu sont dans une trinité. Et le diable est dans une trinité, et ses pouvoirs sont dans une trinité. Et je peux le prouver par la Bible. Et cet Urim Thummim n’était que la boule de cristal que le diable utilise aujourd’hui. Et le faux prophète d’aujourd’hui, celui que nous avons maintenant, c’était une sorcière ou le diseur de bonne aventure, là-bas ; c’est ce qui a remplacé le prophète, du côté du diable. Voyez-vous ce que je veux dire ?
99 Eh bien, et puis, l’Urim Thummim, aujourd’hui, c’est cette Bible. Si quelqu’un a donné une prophétie ou un songe, et que ça ne concorde pas ou ne se reflète pas dans la Bible de Dieu, c’est faux. Ne le croyez pas.
100 Dernièrement, un homme est venu me voir, il vient de l’Inde où je dois aller prochainement, un brave petit prédicateur. Il disait : « Frère Branham, je suis venu ici. » Il disait : « Une femme avait le Saint-Esprit et, disait-il, c’était une femme tellement charmante, tellement gentille. » Il disait : « Et elle s’était mariée quatre fois, et elle vivait avec son quatrième mari. Et j’ai dit : ‘Eh bien, comment est-ce possible, Seigneur ?’ » Et il disait : « Je suis allé Le consulter, et j’ai dit : ‘Oh ! gloire à Dieu !’ J’ai dit : ‘Alléluia ! Loué soit l’Éternel !’ » Tout simplement ce genre de gars-là, vous savez. Il a dit : « Alléluia ! Loué soit l’Éternel ! » Il a dit : « Le Seigneur m’a dit : ‘Voici, Je vais te donner un songe.’ » Et il a dit : « J’ai rêvé que ma femme, je l’ai vue qui vivait en adultère. Et elle est revenue vers moi, et elle a dit : ‘Oh ! veux-tu me pardonner, Victor ? Veux-tu me pardonner ? Je ne...’ ‘Eh bien, ai-je dit, bien sûr que je vais te pardonner et te reprendre.’ » Il a dit : « Alors, c’est ce que j’ai fait. » Il a dit : « Voyez-vous, je pardonne. »
101 J’ai dit : « Victor, votre songe était bien beau, mais c’est le diable qui vous l’a donné. »
Il a dit : « Comment ça ? »
102 J’ai dit : « Il ne concorde pas avec la Parole de Dieu. Elle vit dans l’adultère. Absolument. Elle ne peut pas vivre avec quatre hommes. Exact. Si elle quitte celui-là et retourne à son premier, elle se retrouve dans une situation pire qu’au départ. Elle doit vivre seule jusqu’à la fin de sa vie. » J’ai dit : « Vous le savez. Cela ne concorde pas avec la Parole de Dieu. Alors son... Votre songe était faux. » J’ai dit : « Il ne concorde pas du tout avec Ceci. »
103 Et quand un prophète avait donné une prophétie, qu’ils l’avaient prononcée, et qu’on voulait voir si cette prophétie était vraie, ils la présentaient devant l’Urim Thummim. Et si la Voix de Dieu faisait briller les lumières sur l’Urim Thummim, alors c’était la Vérité absolue. Et si un homme donne une interprétation, donne un songe, donne quelque chose par rapport à la Bible et, ou quoi que ce soit, et que ça ne concorde pas avec la Bible de Dieu, c’est faux. C’est Ça l’Urim Thummim d’aujourd’hui. La Parole de Dieu parle, et c’est la Voix directe de Dieu, comme l’Urim Thummim l’était avant que la Bible ait été écrite. Amen ! Alléluia ! Je me sens en quelque sorte religieux en ce moment. Ne me prenez pas pour un fanatique, si c’est ce que vous faites… Je sais, je sais où j’en suis. Je ne suis pas agité. C’est exact.
104 Voici la Vérité : la Parole de Dieu. Peu m’importe le genre de songe que vous avez eu, ou le genre de prophétie que vous avez donnée, si ce n’est pas la Parole de Dieu, c’est faux, si ça ne concorde pas avec cette Parole. C’est ça le problème aujourd’hui. L’un a un songe, l’autre a une vision, l’autre a une langue, l’autre a une révélation; c’est pour ça que c’est tout mélangé, et tout, si bien qu’on se retrouve avec des dénominations et de la division partout. Vous devriez ramener cela à un fondement final, et c’est la Parole de Dieu. C’est vrai.
105 Les églises sont bâties sur une chose en disant : « Oh ! Jésus revient sur un cheval blanc. Je le sais. Je L’ai vu en vision. » Ils fondent une église de ce genre-là. « Oh ! Alléluia ! Il revient sur une nuée. » Ils en font une de cette sorte. Ils se divisent et, se séparent, et se traitent mutuellement de « perchoir de buses », et de « repaire de poux », et de tout le reste. Eh bien, frère, ça prouve, dès le départ, que votre coeur n’est pas droit devant Dieu, quand vous faites ça. C’est exact. Nous sommes frères. Nous devons nous soutenir les uns les autres. Nous avons besoin les uns des autres.
106 Maintenant, regardez. Saül était rétrograde, et il est allé là-bas. Il… Dieu avait détourné de lui Sa face. Il est allé consulter les prophètes. Les prophètes sont allés, ils ont essayé de prophétiser, et Dieu a coupé, Il a refusé de donner une vision. Le prophète est ressorti, il a dit : « Je…?... Eh bien, Il ne m’a jamais rien dit à ton sujet. »
107 Eh bien, alors, il a dit : « Seigneur, donne-moi un songe. » Nuit après nuit, aucun songe n’est venu.
108 Ensuite, il est allé devant l’Urim Thummim, et il a dit : « Ô Dieu ! j’ai essayé par les prophètes, j’ai essayé par les songes, maintenant, aide-moi. Veux-Tu le faire ? » Il a coupé, aucune Lumière du tout n’a brillé.
109 Ensuite, il a eu recours à une magicienne, vile, dégradée. Il est allé la voir, il s’est faufilé jusque-là, il s’était déguisé. Et cette magicienne se présente là et fait monter l’esprit de Samuel.
110 Eh bien, je sais ce que vous pensez. Beaucoup ont dit : « Ce n’était pas Samuel. » Mais la Bible dit que c’était Samuel, et c’était Samuel. C’est bizarre comme on peut capter ça, n’est-ce pas ? Mais c’était bien Samuel. La Bible le dit.
111 Et cette magicienne pouvait le faire monter, et elle a fait monter Samuel. Et Samuel était quelque part ailleurs, mais il était conscient de ce qui se passait, et il avait encore son manteau de prophète sur lui. Alors, frère, quand vous mourez, vous n’êtes pas mort, vous vivez quelque part, quelque part ailleurs.
112 Laissez-moi m’arrêter un petit instant pour bien faire ressortir ce qu’il en est de la démonologie. Elle était un démon, mais elle était en contact étroit avec le monde des esprits. Maintenant, aujourd’hui, il y a beaucoup de spirites qui, en réalité, en savent plus sur le monde spirituel que les gens qui professent être chrétiens, et pourtant elle est un démon. À l’époque de la Bible, c’était pareil.
113 Quand Jésus était ici sur terre, il y avait ces professeurs, ces érudits et ces docteurs, parmi les meilleurs, sortis de meilleurs séminaires, meilleurs que ce que nous pourrions produire aujourd’hui. Et c’étaient des hommes saints, des hommes de renom, forcément. Si un Lévite était… Il devait être irréprochable, juste, sous tous les rapports. Et pourtant, cet homme-là ne connaissait pas plus Dieu qu’un lapin ne saurait ce que c’est que des raquettes de neige. Quand Jésus est venu, il ne L’a pas reconnu, et il a traité Jésus de « démon ». Il a dit : « C’est Béelzébul, le prince du Démon. » Est-ce vrai ?
114 Et voici venir un démon de la plus basse catégorie, qui avait lié un homme là, dans les tombes, et tout. Et ils se sont écriés. Le démon lui-même a dit : « Nous savons Qui Tu es. Tu es le Fils de Dieu, le Saint. » Est-ce vrai ? Les magiciennes et les devins, les démons, ont reconnu qu’Il était le Fils de Dieu; alors que les prédicateurs instruits des séminaires de théologie, ont reconnu en Lui Béelzébul. Lequel avait raison, le démon ou le prédicateur ? Le démon. Et, frère, ça n’a pas beaucoup changé aujourd’hui. Ils ne reconnaissent pas la puissance de Dieu.
115 Peu importe combien d’enseignements vous avez reçus, vous aurez beau vous enfoncer ça dans le crâne. Dieu ne se trouve pas dans les grands mots. Dieu se trouve dans un coeur honnête. Vous aurez beau chanter ou prononcer de grands mots comme je ne sais pas quoi, ce n’est pas ça qui vous rapproche de Dieu. Vous aurez beau vous tenir là, vous exercer à réciter votre sermon et à dire ces choses, ce n’est pas ça qui vous rapproche de Dieu. Vous aurez beau étudier les dictionnaires, au point d’en avoir un avec vous pour dormir, et encore là, ce n’est pas ça qui vous rapprochera de Dieu. Un coeur humble, soumis, dans la simplicité, voilà ce qui vous amène à Dieu. C’est vrai. Amen ! Un coeur humble, voilà ce que Dieu aime. Or, peu importe que vous ne sachiez pas votre ABC, ça n’y change rien, ça. Seulement un coeur humble ! Dieu habite dans un coeur humble; pas dans l’instruction, pas dans les écoles, pas dans la théologie, les séminaires, pas dans tous ces autres lieux; pas dans les grands mots, ni dans ces lieux de la haute société. Dieu habite dans le coeur humain. Et plus vous pourrez vous abaisser, devenir simple, plus grand vous deviendrez aux yeux de Dieu.
116 Je vais vous apporter quelque chose. Je vois que vos champs sont pleins de blé, ici. Un épi de blé bien rempli se courbe toujours. Un petit brin se dresse, il s’agite dans tous les sens comme s’il savait tout, il n’a rien dans la tête. C’est pareil pour beaucoup de ces gars qui pensent qu’ils en ont beaucoup dans la tête, alors qu’ils n’ont rien dans le coeur. Ou, une tête sainte va se courber devant la Puissance, reconnaître que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et croire à Ses oeuvres.
117 « Et Il est le même hier. » Oh ! Ils Le reconnaissent, bien sûr, du point de vue historique. Mais il ne s’agit pas de quelque chose d’historique. Les gens se lèvent et disent : « Oh ! Je crois à la Pentecôte, quand ils ont eu cette grande effusion et ces choses-là », et ils vous peignent un feu. Un homme gelé ne peut pas se réchauffer à un feu peint. Un feu peint ne réchauffe pas. Ça, c’est ce qu’ils ont été. Qu’en est-il aujourd’hui, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Ça, c’est un feu peint. Un homme qui meurt de froid et qui dit : « Regardez ce grand feu qu’ils ont eu. » Eh bien, ça ne va pas vous réchauffer.
118 Ce qu’ils ont fait à la Pentecôte, ce qu’ils avaient au début du Testament, nous l’avons aujourd’hui ! Et dès que Dieu aura remis tout ça d’aplomb, et que l’Église aura été rassemblée dans l’unité, l’Enlèvement aura lieu. Mais nous n’arrivons même pas à avoir la foi pour la guérison divine, encore moins pour l’Enlèvement, parce que nous sommes tous dans la confusion, l’un comme ceci, l’autre comme cela. « Le docteur Untel a dit que C’était ceci. Eh bien, mon prédicateur a dit qu’Il était Ceci. »
119 Il y a quelque temps, une femme disait : « Il n’est qu’un imposteur. » Elle disait : « Mon prêtre me l’a dit. » J’aimerais bien que son prêtre se présente ici une fois, on verrait qui est l’imposteur. Oui. On verra qui est l’imposteur. Venez donc essayer.
120 Il n’y a pas longtemps, ici, à Harlingen, au Texas, nous tenions une réunion là-bas. Et on avait placé de grandes affiches un peu partout sur les voitures ce soir-là. Quand je suis arrivé là, on disait que le FBI était là pour me dénoncer, montrer que j’étais un imposteur. Alors, une jeune fille avait été guérie quelque part au Texas, là-bas. Elle… c’était tout au nord et, je–je pense, à environ mille miles [1600 km], tout au nord, près de Panhandle. Et ici, on était tout au sud, à Harlingen, à la frontière. Frère Baxter est venu me dire : « Frère Branham, a-t-il dit, vous n’avez jamais vu une telle pagaille, là-bas, il y a environ quatre ou cinq mille personnes. » Et il a dit : « Et puis, tout autour, il y a le FBI qui a l’intention de vous prendre en défaut sur l’estrade, ce soir, et de vous dénoncer. »
J’ai dit : « Eh bien, je suis vraiment content de ça. »
121 Il a dit : « Vous vous souvenez de la jeune fille qui a été guérie l’autre soir ?»
122 Je rentrais de... je retournais à ma chambre. J’ai entendu quelqu’un pleurer, et j’ai regardé autour de moi. J’ai pensé que c’était peut-être quelqu’un qui avait été attaqué. C’était une jeune fille. J’ai regardé derrière moi. J’ai dit... Je suis revenu sur mes pas, j’ai dit : « Qu’y a-t-il, madame ? » Et c’étaient deux jeunes filles qui avaient toutes deux environ dix-sept, dix-huit ans ; elles étaient là, dans les bras l’une de l’autre, elles pleuraient.
123 Elle a dit : « Frère Branham ! » C’est là que j’ai vu qu’elles me connaissaient. Elle a dit : « Nous... je lui ai fait faire tout le voyage jusqu’ici. » Elle a dit : « Elle devait aller à l’hôpital psychiatrique. » La jeune fille avait été à ma réunion là-bas, à Lubbock, au Texas. Et elle a dit : « Je savais que si j’arrivais à l’emmener jusqu’ici, et que vous priiez pour elle, je croyais que Dieu la guérirait. »
124 Eh bien, j’ai pensé : « Quelle foi ! » Et j’ai dit : « Eh bien, eh bien, soeur, pouvez-vous là... » Et au même moment, j’ai dit : « Vous êtes venue jusqu’ici dans un roadster jaune, n’est-ce pas ? »
Elle a dit : « Oui ! »
Et j’ai dit : « Votre mère est invalide. »
Elle a dit : « C’est exact. »
J’ai dit : « Vous êtes membre de l’Eglise méthodiste. »
Elle a dit : « C’est l’exacte vérité. »
125 Et j’ai dit : « Quand vous étiez en route vers ici, votre voiture a failli capoter. Vous et cette jeune fille, vous riiez au moment où vous êtes passées quelque part où c’était moitié en béton et moitié en asphalte, et vous preniez un virage. »
Elle a dit : « Frère Branham, c’est la vérité ! »
J’ai dit : « Et, AINSI DIT LE SEIGNEUR, la jeune fille est guérie. »
126 Le lendemain, elle était en feu, elle le disait à tout le monde en ville, elle en parlait partout. Évidemment, là-bas, ils ne la connaissaient pas, ils ne savaient pas si elle avait déjà été dans cet état-là ou pas. Et alors, ce jour-là, je... Frère Baxter m’a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, ces jeunes filles sont là-bas en train de faire leurs bagages. » Et il y a une chose qu’il ne savait pas, que moi, je savais. Notre situation financière était au plus bas. Je ne permettais jamais qu’il en parle. Mais une de ces jeunes filles avait mis neuf cents dollars dans la–dans l’offrande le soir d’avant, ce qui avait rétabli notre situation financière. Eh bien, il ne le savait pas, jusqu’à aujourd’hui, il ne le sait pas, mais moi, je le savais. Voyez ? Que je... Dieu m’avait dit que tout irait bien.
127 Et frère Baxter disait : « Frère Branham, disait-il, vous devriez me laisser faire un peu de sollicitation. » Il disait : « Ils ont eu de ces guérisseurs divins ici, qui ont vraiment sollicité ces gens. »
128 J’ai dit : « Rien à faire. Non, monsieur. Vous ne ferez pas ça. Frère Baxter, le jour où vous solliciterez les gens pour obtenir de l’argent comme ça, ce sera le moment où vous et moi, nous nous serrerons la main comme frères, je ferai cavalier seul. Voyez ? » J’ai dit : « Vous ne ferez pas ça. » J’ai dit : « Dieu possède le bétail de mille collines, et tout Lui appartient. Je Lui appartiens. Il va prendre soin de moi. »
Il a dit : « Très bien. »
129 Et le même soir, il a dit : « Frère Branham, regardez ici. Quelqu’un... Regardez ici ! Il y a une enveloppe ici, il n’y a pas de nom dessus, elle contient neuf billets de cent dollars. Exactement le montant qu’il nous faut pour nous rattraper. »
J’ai dit : « Frère Baxter. »
Il a dit : « Pardonnez-moi. »
130 Et, donc, moi, je savais que c’était cette jeune fille. Et, donc–donc, le lendemain, frère Baxter a dit : « Frère Branham, elles sont là-bas, en train de faire leurs bagages, elles pleurent. »
J’ai dit : « Qu’y a-t-il ? »
Il a dit : « Vous feriez mieux d’aller les voir. »
131 Je me suis rendu jusqu’à la chambre où elles étaient. J’ai dit : « Elles sont dans quelle chambre ? » J’y suis allé et j’ai frappé à la porte. Je les entendais qui pleuraient. J’ai frappé à la porte, et la jeune fille est venue à la porte, elle a dit : « Oh ! Frère Branham, je suis vraiment désolée. » Elle a dit : « C’est à cause de moi que vous avez tous ces ennuis. »
J’ai dit : « Ennuis ? Qu’y a-t-il, soeur ? »
Elle a dit : « Oh ! c’est à cause de moi que le FBI est à vos trousses. »
Et j’ai dit : « Oh ! vraiment ? »
132 Elle a dit : « Oui. » Elle a dit : « J’ai dû témoigner trop fort en ville aujourd’hui, et tout. »
J’ai dit : « Non. »
133 Et elle a dit : « Frère Branham, le FBI est là-bas, il est là, ils ont l’intention de vous dénoncer ce soir. »
134 J’ai dit : « Eh bien, si je–si je fais quelque chose de mal, il faut qu’on me dénonce. Voyez ? » J’ai dit : « Bien sûr. S’il faut dénoncer la prédication de l’Évangile, eh bien, faisons-le. Voyez ? » J’ai dit : « Je–je–je vis selon cette Bible, et ce que cette Bible ne dit pas... Voici ma protection, juste ici. Voyez ? » Et j’ai dit, et il...
Elle a dit : « Eh bien, a-t-elle dit, je suis vraiment désolée d’avoir fait ce que j’ai fait. »
J’ai dit : « Vous n’avez rien fait, soeur. »
Elle a dit : « Eh bien, n’avez-vous pas peur d’aller là-bas ? »
Et j’ai dit : « Non. »
Elle a dit : « Eh bien, le FBI est là. »
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:42

135 J’ai dit : « Eh bien, ils sont déjà venus à ma réunion auparavant, et ils ont été sauvés. » J’ai dit : « M. Al Farrar... »
136 Le capitaine Al Farrar, beaucoup d’entre vous sont au courant de sa conversion, là-bas à Tacoma, dans le Washington, il a été sauvé en plein stand de tir. Il est venu à la réunion, il a dit : « J’ai suivi cet homme pendant deux ans. J’avais entendu parler des finances, et j’y ai regardé de près, j’ai tout examiné, partout. » Et il a dit : « C’est la Vérité, vous n’écoutez pas un fanatique ce soir, vous écoutez la Vérité. » Il a dit : « Un des hommes de la police, j’ai fait examiner son enfant par un médecin et je l’ai fait passer dans la ligne de prière. » Et il a dit : « Il a été dit à l’enfant exactement ce qui n’allait pas chez lui et ce qui lui était arrivé. Il a dit : ‘Dans huit jours, il retournera à l’école, un cas de polio.’ » Et il a dit : « Le huitième jour, le petit est retourné à l’école. » Il a dit : « Je l’ai suivi pendant deux ans », devant dix mille personnes. C’est là tout. Il y a une photo de ça, la réunion de Seattle, dans–dans le livre que vous avez. Il a dit : « Je veux que vous sachiez tous que vous n’écoutez pas un charlatan religieux. Vous écoutez la Vérité. » Le capitaine Al Farrar. Et le lendemain, je l’ai conduit à Dieu, et il a reçu le baptême du Saint-Esprit, dans un stand de tir, au-dessous d’un grand édifice, là-bas.
J’ai dit : « Peut-être que ce gars-là va faire la même chose. »
Alors, elle a dit : « Avez-vous peur d’aller là-bas ? »
137 J’ai dit : « Peur ? Mais certainement pas. Certainement pas. Pourquoi aurais-je peur, alors que c’est Dieu qui m’a envoyé faire ça ? C’est Lui qui livre le combat, pas moi. » Alors, j’ai dit : « Maintenant, je veux que vous restiez tous à l’écart. » Et alors, je...
138 Nous sommes allés à la réunion ce soir-là, la salle était pleine à craquer. Et le concierge, là, est venu me dire : « Révérend Branham, j’ai engagé dix enfants mexicains. » Il a dit : « Regardez ça : ‘Le révérend Branham sera dénoncé ce soir par le FBI, un fanatique religieux’ », ou quelque chose comme ça. Et il a dit : « C’est affiché sur toutes ces voitures. Arracher... » Il a dit : « J’ai engagé dix petits enfants mexicains, ils vont tout arracher et mettre ça ici. » Il a dit : « Oh ! j’ai envie de lui mettre la main au collet, à ce gars-là ! »
139 J’ai dit : « Ne vous en faites pas, monsieur. Dieu lui mettra la main au collet, voyez-vous. » J’ai dit : « Laissez-le simplement faire. »
140 Donc, il est venu me voir. Et ce soir-là, quand nous sommes arrivés, je ne l’oublierai jamais, je suis entré dans la salle. Frère Baxter a chanté Crois seulement. Il a dit : « Maintenant, frère Branham a dit que ce soir nous devions quitter le bâtiment. » Il a dit : « Je vais aller au fond, là-bas, m’asseoir. » Il a dit : « On se prépare à le dénoncer ce soir, ici sur l’estrade. » Il a dit : « Je l’ai vu au milieu de bien de rudes combats, et j’ai vu Dieu venir prendre sa place. » Il a dit : « Je–je vais tout simplement aller là-bas m’asseoir. »
141 Je me suis avancé. J’ai dit : « Je viens de lire ici un petit article, qui disait qu’on allait me dénoncer ce soir, sur l’estrade, ici. » J’ai dit : « Je–j’aimerais que les agents du FBI s’avancent maintenant et montent me dénoncer ici sur l’estrade. » J’ai dit : « Je suis ici pour défendre l’Évangile; j’aimerais que vous veniez me dénoncer. » J’ai attendu. J’ai dit : « Peut-être qu’ils ne sont pas encore arrivés. » Je savais où j’en étais. Il m’avait déjà montré, là-bas dans ma chambre, ce qui allait arriver, avant que je parte, vous voyez. Et j’ai dit–j’ai dit : « Peut-être que je vais attendre un peu. Est-ce qu’on pourrait chanter un cantique ? » Et quelqu’un est monté et a chanté un solo.
142 J’ai dit : « Monsieur l’agent du FBI, êtes-vous à l’intérieur ou à l’extérieur ? J’attends qu’on me dénonce. Voulez-vous vous avancer ? » Personne n’est venu. Je cherchais à savoir où c’était. Le Seigneur m’avait dit que… ce qu’il en était. C’étaient deux prédicateurs rétrogrades, et je–j’observais. J’ai vu une ombre noire suspendue dans le coin. J’ai su où c’était. J’ai regardé dans cette direction, et elle est montée et est allée au balcon, comme ceci. Un homme avec un complet bleu, et un avec un complet gris.
143 J’ai dit : « Mes amis, il n’y a pas de FBI. Qu’est-ce que le FBI a à voir dans la prédication de la Bible ? » J’ai dit : « Certainement pas. Ce n’était pas deux agents du FBI venus pour me dénoncer. Mais, voici ce qu’il y a à dénoncer, ils sont assis là-haut, ces deux prédicateurs, là-bas. » Et ils se sont accroupis. J’ai dit : « Ne vous accroupissez pas, comme ça. » Et deux grands Texans voulaient monter là-haut et leur mettre la main au collet. J’ai dit : « Non, frères, la chair et le sang n’ont rien à voir dans cette affaire ; restez bien tranquilles. Dieu va s’occuper de la chose. »
144 J’ai dit : « Maintenant, frères, regardez, pendant que vous êtes là-haut, regardez par ici. » J’ai dit : « Si... Vous avez dit que j’étais Simon le magicien, que je pratiquais la sorcellerie, que j’ensorcelais les gens. » J’ai dit : « Si je suis Simon le magicien, alors vous êtes l’homme de Dieu. Maintenant, descendez et venez ici sur l’estrade. Et si je suis Simon le magicien, que Dieu me frappe de mort. Et si je suis le prophète de Dieu, venez ici, et que Dieu vous frappe de mort. Maintenant, nous allons voir lequel est le vrai et lequel est le faux. Maintenant, venez donc ici. Nous allons chanter un cantique. » Ils sont sortis du bâtiment, et on ne les a jamais revus. Voyez ? J’ai dit : « Venez donc. Si je suis Simon le magicien, que Dieu me frappe de mort. Et si je suis le prophète de Dieu, alors que Dieu vous frappe de mort quand vous viendrez sur cette estrade. Si je suis dans le vrai devant Dieu, Dieu vous fera mourir sur cette estrade. » Ils s’en sont bien gardés. C’est exact. Ils s’en sont bien gardés. Ils avaient entendu parler de ce qui s’était passé à d’autres endroits. C’est exact. Alors, n’allez jamais penser que Dieu n’est plus Dieu. Il exauce.
145 Donc, cette sorcière d’En-Dor, elle a fait monter l’esprit de Samuel. Et Saül a parlé à Samuel. Eh bien, vous allez peut-être vous demander comment cela a pu se faire. Cela ne peut pas se faire aujourd’hui. Non, non. En effet, le sang des taureaux et des boucs, c’était seulement en attendant le moment de l’accomplissement. À cette époque-là, quand un homme mourait... Les prédicateurs, appuyez-moi si vous pensez que c’est exact. Quand un homme mourait, il mourait sous l’expiation d’un animal, et son âme allait au paradis. Et c’est là qu’il restait, jusqu’à… jusqu’au–jusqu’au jour de la Rédemption. Et son âme se trouvait là.
146 Je vais vous brosser un petit tableau, ici. Combien ont lu mon article, ou l’article qu’ils ont écrit à mon sujet, dans le Reader’s Digest, là, peut-être le numéro d’octobre ou de novembre ? Très bien. Avez-vous remarqué comment ça s’est passé ? Avez-vous remarqué, environ deux ou trois semaines avant, il y a eu ce grand médium réputé, celle qu’on met à l’épreuve depuis très, très longtemps, Mme Pepper. Est-ce que quelqu’un a lu ça, l’article sur Mme Pepper dans le Reader’s Digest ? C’est bizarre, n’est-ce pas, comme ces deux esprits...
147 Il me reste combien de temps ? Rien qu’un peu. Il est… et vingt; il va vraiment falloir que je me dépêche. Je sais que vous avez... Regardez, excusez-moi une minute.
148 Vous savez, il y a–il y a le faux. Il y a un vrai et un faux dans tout. Si je vous donne un dollar et que je dis : « Est-ce que ce dollar est bon ? » Vous le regarderiez, il faudrait qu’il ressemble pas mal à un vrai dollar, sinon vous ne le croiriez pas. Est-ce vrai ? Alors, il faudra vraiment que ce soit une bonne imitation.
149 Et si Jésus a dit que les deux esprits dans les derniers jours seraient tellement proches que cela séduirait même les élus si c’était possible, les gens religieux. Maintenant, souvenez-vous. Eh bien, il n’y a rien là-bas, dans ces vieilles églises froides–vieilles églises froides et formalistes. Au dehors, tout ce qu’ils ont, c’est l’apparence de la piété, vous voyez. Mais ces deux esprits, les vrais esprits, allaient être tellement proches que cela séduirait même les élus, comme ils oeuvreraient côte à côte dans les derniers jours. Est-ce que Jésus l’a dit ? Il l’a dit.
150 Maintenant, observez, mes amis, je vais vous brosser un petit tableau. Je voudrais que vous regardiez ici un petit instant. Et accordez-moi toute votre attention, parce que je vais vous apporter une parabole, et à ce moment-là vous verrez ce qu’il en est.
151 Maintenant, dans le Reader’s Digest, il était écrit là, j’étais là-bas, avec deux mille sept cents personnes qui attendaient qu’on prie pour elles, là-bas. Lisez l’article. Et un homme est venu du Canada, il avait un petit garçon qui était allé chez les Mayo et chez John Hopkins, à cause d’une maladie cérébrale grave, qui avait fait recroqueviller ses petites mains comme ceci, et ses jambes recroquevillées sous lui. Et ils avaient dit : « Il n’y a même pas d’opération, ni rien qu’on puisse faire. »
152 Alors, il l’a ramené au Canada. Il a dit : « Je ne m’avoue pas encore vaincu. » Procurez-vous le numéro de novembre du Reader’s Digest, et ça s’appelle le–le–Le miracle de Donny Morton. Et–et alors, il était dit que, dans cet article, que cet–que cet homme a dit : « Je ne m’avoue pas encore vaincu, parce que je connais quelqu’un qui guérit par la foi, du nom de William Branham, grâce à qui deux de mes amis qui étaient sourds et muets parlent et entendent. »
153 Ils ont téléphoné pour essayer de voir où j’étais, si j’étais encore quelque part en–en Amérique. Et j’étais à Costa Mesa, en Californie. Et cet article-là, quand vous le lirez, préparez-vous à pleurer. Ça va vraiment vous briser le coeur. Comment il a traversé des rafales de neige, et tout le reste, avec ce petit ! Il disait : « Attention, Donny. » Il disait : « Allons, nous ne sommes pas vaincus. » Et le petit garçon, c’était tout juste s’il arrivait à sourire, tellement il était affligé. Il disait : « Nous ne sommes pas vaincus, nous allons demander à Dieu. Nous allons nous adresser au prophète de Dieu et lui demander. »
154 Et, donc, ils ont affronté la neige. Et ils sont finalement arrivés là-bas, et la mère devait venir avec eux, mais comme ils n’avaient pas assez d’argent pour aller par avion, ils ont renvoyé la mère. Et le garçon et son papa ont été obligés de venir en bus, et là ils ont fait tout le trajet de Winnipeg, au Canada, jusqu’à Costa Mesa, en Californie. Et ils sont arrivés là-bas, fauchés, et le père raconte comment il devait changer les couches du petit, un petit garçon d’environ sept ou huit ans, complètement impotent. Et comment il était, n’arrivait pas à manger, ni rien, et il disait que son petit garçon pouvait seulement l’entendre parler. Et il pouvait voir, par son regard, qu’il–qu’il essayait de sourire, vous savez. Et il savait qu’il... Il lui décrivait différentes choses qu’il voyait, en Amérique.
155 Et quand ils sont arrivés là-bas, en Californie, ils ont raconté au service d’aide aux voyageurs ce qu’il était venu voir. Il a dit : « Venu voir un Divin quoi ? » Avec un gros point d’interrogation.
156 Évidemment, vous vous imaginez un peu ce que l’Amérique en a dit, vous voyez. Voyez-vous, ça, c’est nous, voyez-vous : « Nous, on est tellement intelligents ! On sait tout, vous savez, et on n’a pas besoin de nous dire quoi que ce soit. Pour nous, c’est déjà tout classé. » Voyez ?
157 Et alors, donc : « Un divin quoi ? Vous avez fait tout le trajet depuis Winnipeg, au Canada ? » Eh bien, ils trouvaient ça affreux.
158 Enfin, le journal a préparé une–une voiture pour l’envoyer là-bas. Et il a dit que quand ils sont arrivés à l’endroit où se formait la ligne, il a dit que deux mille sept cents personnes attendaient qu’on prie pour elles. Mais, il a dit, quand ils ont vu ce garçon tout petit, difforme, et ce pauvre père avec son bonnet sur la tête, son manteau en lambeaux, il a dit, tout le monde s’est écarté et lui a cédé sa place. Quand il est arrivé sur l’estrade...
159 C’est contraire aux règlements de faire un transfert de ca–carte de prière. La personne doit venir à la réunion et se procurer sa propre carte. Si jamais on découvre que vous êtes dans la ligne et qu’il y a eu transfert de carte de prière avec quelqu’un d’autre, la carte de prière est annulée. Voyez ? En effet, vous devez venir entendre les instructions et savoir comment recevoir cela. C’est à vous d’y voir. Vous ne pouvez pas venir la chercher pour quelqu’un d’autre. Vous devez venir la chercher vous-même, pour que vous entendiez. Quelque personnage important qui dirait : « Si... Eh bien, je ne crois pas beaucoup à ça. Mais peut-être que s’Il me guérissait, je... » Vous voyez ? Et alors, avec ça, on a des histoires sur l’estrade ; alors, ils éliminent tout simplement la chose avant d’en arriver là.
160 Alors, quand le garçon s’est avancé, ou que le père s’est avancé pour venir sur l’estrade avant les autres, Billy lui a demandé sa carte de prière. Il n’en avait pas. Il a dit : « Dans ce cas, je suis désolé, monsieur. » Il a dit : « Vous devrez attendre. »
161 Il a dit : « Très bien. » Il a dit : « J’attendrai. » Il a dit : « Je vais simplement passer à mon tour, comme les autres, dans ce cas. » Il a dit : « Je ne savais pas que je devais faire ceci. »
162 Et alors je parlais à quelqu’un, et il s’est fait que j’ai entendu. J’ai vu le père qui repartait, et j’ai dit : « Qu’y avait-il ? »
Il a dit : « Il n’avait pas de carte de prière. »
Et Quelque Chose m’a dit : « Ramène-le. »
163 Alors, j’ai dit : « Amène-le ici. » Le père s’est avancé, les larmes coulaient sur son visage, il avait besoin d’un rasage et… Et il–il s’est approché, et voici ce que le Reader’s Digest disait. Je n’ai posé aucune question, mais j’ai regardé le petit bien en face, et j’ai dit au petit d’où il venait, qu’il était allé à la clinique Mayo, et tout ce qui n’allait pas chez lui, combien il avait été malade, et tout.
164 Et alors, le père s’est mis à pleurer, et il allait repartir. Ça disait, comme il allait descendre de l’estrade, il s’est retourné et il a dit : « C’est exact, monsieur. » Il a dit : « Mais est-ce que mon petit pourra jamais en réchapper ? »
165 J’ai dit : « Ça, je ne sais pas. » J’ai dit : « Un petit instant. » Une vision est apparue devant mes yeux. J’ai dit : « Vous ne voudrez pas le croire, vu que tous les deux, Mayo et Hopkins, ont dit que cette opération ne pouvait pas être pratiquée au cerveau, mais je vais vous dire quoi faire. Vous, demain, repartez tout simplement avec le petit. D’ici trois jours, vous rencontrerez dans la rue une femme aux cheveux noirs, et cette femme va vous demander ce qui ne va pas chez le petit. Ensuite, elle va vous parler d’un petit médecin de campagne, ici, qui peut pratiquer cette opération, et vous ne voudrez pas le croire, vu que Mayo l’avait refusé et avait dit que ‘ce n’était pas faisable’. Mais c’est la seule possibilité qu’il y a pour votre petit : par la puissance de Dieu, la miséricorde de Dieu et cette opération. Maintenant, si vous croyez que je suis Son prophète, allez, faites ce que je vous dis. » Comme d’appliquer les figues sur Ézéchias, et ainsi de suite.
Il a dit, il s’est retourné et a dit : « Merci. » Il est descendu de l’estrade.
166 Deux jours ou plus avaient passé; un jour qu’il était dans la rue, une dame s’est approchée, elle a dit : « Qu’est-ce qui ne va pas chez votre petit ? »
167 Il a dit : « Il a une–une maladie cérébrale. » Et il parlait comme ça, tout bonnement. Et, eh bien, ils–ils se disaient que c’était très grave, vous savez.
168 Alors, il a dit qu’au bout de quelques minutes, il s’est passé quelque chose. Elle a dit : « Monsieur, je connais quelqu’un qui peut faire cette opération. »
169 Il a dit : « Madame, écoutez, les Frères Mayo ont abandonné son cas, et ils ont dit que ce n’était pas faisable. » Il a dit : « Un homme, ici, a prié pour lui, il s’appelle Frère Branham. » Il a dit : « Il a fait une prière pour le petit. » Il s’est dit : « Une minute ! Elle a les cheveux noirs, elle porte un manteau. » Il s’est dit : « C’est elle. » Il a dit : « Où est ce médecin ? » Et elle lui a dit. Il l’a emmené là-bas et le médecin a pratiqué l’opération, le petit s’est rétabli.
170 Eh bien, cela a été publié dans le Reader’s Digest, vous voyez. Et les Frères Mayo m’ont fait venir pour un entretien à ce sujet. Ils ont dit : « Révérend Branham, qu’avez-vous fait à ce petit ? »
171 J’ai dit : « Rien. Je ne l’ai jamais touché. J’ai seulement dit ce que Dieu m’a dit de lui dire. L’homme a obéi. »
172 Eh bien, le plus drôle, c’est que deux semaines plus tard, ou deux semaines auparavant, ou trois, dans le Reader’s Digest, peut-être un mois avant, l’article sur Mme Pepper a été publié. Eh bien, elle, c’est une vraie magicienne, ou un médium. Eh bien, il y en a une vraie, et il y a quelqu’un qui en fait une imitation. Cette femme, c’est depuis 1897 qu’elle est là. Elle a plus de cent ans maintenant, à New York, les deux... sourde comme un pot. Le Reader’s Digest, procurez-vous... Je pense que celui-là a été publié environ deux mois, ou un mois avant le mien; vous pourrez le trouver, au début de l’automne. M. Baxter l’avait ici, l’autre jour. Si j’y avais pensé, je lui aurais demandé... ou si j’avais su que j’allais dire ceci, je–je l’aurais apporté aussi. Je peux vous le trouver. Et c’était un article d’environ douze ou quatorze pages. Elle n’était qu’une simple ménagère. Et un jour, elle est entrée en transe pendant qu’elle était souffrante, et elle s’est mise à parler aux morts. Et cette femme, ils l’ont fait venir tout autour du monde, partout. Ils l’ont emmenée en Angleterre. Ils lui ont même fait changer de vêtements, et bien des fois, pour voir si quelque chose leur aurait échappé, ou quoi. Et ils sont allés là-bas, ils ont déguisé quelqu’un en lui mettant un masque sur le visage, un Grec, et il faisait semblant d’être Anglais. Et elle lui a dit tout ce qu’il en était. Et il–il–il voulait faire revenir un de ses compagnons qui était mort.
173 Maintenant, la seule chose qu’elle... Tout autour du monde, et c’est ici dans le Reader’s Digest, il y est dit qu’il y a quelques soirs, ou quelques mois, une chose de ce genre a été dévoilée. Un homme dont on prétendait qu’il avait baisé la main spectrale de sa mère, et le lendemain il a été prouvé au tribunal de police que tout ce qu’il avait baisé, c’était un morceau de mousseline à fromage. Beaucoup de gens qui se font passer pour des médiums ! C’est tout simplement ces genres de petits liseurs qui s’installent au bord de la rue ; eux, en fait, ce ne sont pas des médiums du tout. Ce n’est rien d’autre que des faux, des imitateurs. Mais il existe un vrai médium.
174 Parmi nous aussi, les gens religieux, il y a beaucoup d’imitateurs, c’est des deux côtés. Maintenant, restez bien tranquilles quelques instants.
175 Maintenant, remarquez, cette Mme Pepper, c’est un vrai médium. Et le magazine disait : « Voici une chose qu’on peut affirmer avec certitude, c’est que lorsqu’un homme meurt, il n’est pas mort. Il est vivant quelque part, puisque cette femme fait revenir son esprit, et elle parle à ces gens. »
176 « Alors, que fait-elle, Frère Branham ? Croyez-vous cela ? » Oui, oui. La Bible le dit, c’est pour cela que je le crois. Et elle est du diable. Le spiritisme, c’est une ruse du diable. Eh bien, remarquez maintenant, observez-les, tous les deux.
177 Après ça, vous auriez dû voir le tas de lettres qui me sont arrivées de partout, quand mon article a suivi le sien. C’est bizarre, n’est-ce pas, que juste avant la fin du temps, Dieu ait parlé de ces choses ? Et le Reader’s Digest est publié dans toutes les langues sous le ciel. Voyez ? Remarquez, c’est bizarre, n’est-ce pas, qu’ils aient paru l’un après l’autre ?
178 Alors, les lettres sont arrivées, ça disait : « Frère Branham, c’est la preuve que vous n’êtes qu’un médium. » Ils disaient : « C’est la preuve. Regardez, vous avez dit à cette femme où elle allait retrouver... Regardez celle-ci, cette femme. »
179 J’ai dit : « Attendez un instant. » J’ai rédigé une lettre officielle (excusez-moi) que j’ai envoyée aux gens. J’ai dit : « Comme vous en connaissez peu, vous les prédicateurs. » J’ai dit : « Au lieu de baptiser votre corps, c’est votre cerveau qui aurait besoin d’être baptisé. » C’est exact. « Vous ne vous arrêtez pas pour réfléchir aux choses. Vous n’essayez pas d’y regarder de près. »
180 C’est comme ça qu’ils ont fait, aux autres époques. Ils voyaient Jésus. Ils savaient qu’Il pouvait... qu’Il connaissait les secrets de leur coeur. Il savait ce qu’ils faisaient, comme ça. Et ils ont dit : « C’est le prince des démons. C’est Béelzébul, le meilleur diseur de bonne aventure du monde. » Ils ne se sont pas arrêtés pour essayer de comprendre, pour voir qu’il s’agissait là du Fils de Dieu. Ils n’étaient pas assez spirituels pour le savoir. C’est ça, ils passent par-dessus la chose quand ils lisent. Certainement, Jésus devait entrer dans Jérusalem monté sur un mulet, et tout, mais eux, ils regardaient la Seconde Venue.
181 Et c’est la même chose aujourd’hui ! Ils passent par-dessus la vraie chose. Alléluia ! C’est exact. Je sais que Dieu est ici cet après-midi, et je sais que je prends beaucoup de votre temps, mais vous devez voir ceci, mon ami. Au cas où je ne vous reverrais plus jamais, vous devez savoir ce que sont les démons, vous devez savoir ce qui est la Vérité et ce qui est l’erreur. Et c’est tellement proche, vous devez faire la distinction.
182 Maintenant, souvenez-vous, ce ne sera pas là-bas quelque chose de très loin, de ce côté-ci, comme les pharisiens, ou quelque chose de très loin, de ce côté-là. C’est ici tout près, à la porte, c’en est très proche. Observez bien. Eh bien, si je prenais...
183 Prenons ces deux cas. Si je prenais et que je vous donnais ce dollar, eh bien, si je vous donnais un faux dollar… Nous allons utiliser une parabole pour que vous puissiez le voir. La première chose que vous feriez, si vous étiez un homme intelligent, si vous prenez un dollar et que vous le regardez, la première chose, vous allez le tâter et voir de quoi il est fait. Est-ce vrai ? Vous allez voir de quoi il est fait. Vous allez en considérer la valeur. Un vrai dollar n’est pas fait de papier, il est fait en partie de papier et en partie de soie, vous voyez. Et la première chose, vous devrez en considérer la valeur. Ça, c’est le premier indice.
184 Et maintenant, considérons-la, elle, de ce côté-ci; et considérons le Seigneur, de ce côté-ci, Lui qui a à voir avec nous.
185 Maintenant, regardez, la première chose que vous devez remarquer, tout... Regardez bien son article. De ses cinquante et quelques années de pratique à dire la bonne aventure et à faire monter les esprits des morts, pas une seule fois elle n’a mentionné Dieu, Christ, la guérison divine, la délivrance, le Jugement, ni rien. Tout ce qu’il y a là, c’est de la rigolade et de la folie.
186 Mais de ce côté-ci, c’est constamment Dieu, le Jugement, la Venue de Jésus, la guérison divine, la puissance de Dieu, la délivrance. Considérez-en la valeur. Vous ne voyez pas les diseurs de bonne aventure et les magiciennes, là-bas, en train de prêcher l’Évangile. Que se passe-t-il avec les gens ? Oh ! la la! Remarquez !
187 Et la vraie chose à faire, si vous voulez voir si c’est un vrai dollar ou pas, s’il lui ressemble beaucoup, relevez-en les numéros, et envoyez-les à l’hôtel de Monnaie. Et si là-bas il y a des numéros qui correspondent à ça, il y a une pièce d’argent d’un dollar qui l’attend. Est-ce vrai ?
188 Eh bien, alors, frère, considérez ce qu’elle a fait, et examinez-le par rapport à la Bible, vous verrez que c’est la sorcière d’En-Dor.
189 Et si vous considérez ce qu’il y a ici, que vous allez voir ce qu’il en est, ça se trouve dans le Livre ici, à l’hôtel de Monnaie : « Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement ». Certainement, la même oeuvre qu’Il avait faite ! Il n’est pas allé s’occuper de sottises et d’absurdités avec les gens. C’était pour faire du bien, pour aider quelqu’un, pour les conduire à Dieu. Amen ! Je ne dis pas « amen » à moi-même, mais amen veut dire qu’il en soit ainsi . Et je... j’Y crois. Je sais que C’est la Vérité.
190 Maintenant, remarquez, alors, voilà. Maintenant, on va faire vite, là, parce que je ne veux pas vous retenir plus longtemps.
191 Écoutez, présentons un petit tableau ici, un petit tableau mental. Ici, il y a un ruisseau qui coule ici, qui traverse tout le long de ce côté-ci, qui traverse la vie. Maintenant, regardez bien. C’est un canal. Accordez-moi toute votre attention maintenant pour ne pas manquer ceci. Tout le long comme ceci. Eh bien, c’est dans ce petit canal, ici, que demeurent les êtres mortels, vous et moi. Maintenant, là-dedans, voyons ce que c’est. C’est rempli de folie et de tout le reste, mais de temps à autre vous y verrez une lumière. Vous voyez des ténèbres et des traits, ça, c’est de l’amusement et de l’excitation, les démons qui s’emparent des gens. Oh ! ils sont bien habillés (oh ! la la !) et cultivés au possible, des érudits aux manières très raffinées, mais c’est quand même le diable. Mais il y a des gens qui sont nés de nouveau là-dedans.
192 Eh bien, les gens qui sont dans ce canal reçoivent des influences de deux côtés différents. Maintenant, de ce côté-ci, en allant dans cette direction-ci, il y a une trinité. Et de ce côté-ci, en allant dans cette direction-ci, il y a une trinité.
193 Eh bien, quand... eh bien, premièrement, de ce côté-ci, il y a les âmes des injustes, quand un homme meurt, il va dans un lieu où il attend d’être jugé. Jésus est allé prêcher aux âmes qui étaient en prison là-bas. Puis, ce sont les démons. Ensuite, c’est le diable et l’enfer. En montant, premièrement... Eh bien, ceux qui sont là, ce sont des esprits, des esprits d’hommes qui sont morts sans s’être jamais repentis. Ils attendent le Jugement. Tout ce qu’ils connaissent, c’est la folie et ce qu’ils ont fait.
194 Maintenant, ici, en haut, ces chrétiens reçoivent l’influence d’En Haut. Ceci, c’est en parabole. Ici, en haut, il y a un autre Esprit, le Saint-Esprit, l’Esprit d’un Homme, Jésus-Christ. Le Saint-Esprit – le Saint-Esprit influence Son Église dans cette dimension des mortels.
195 Le diable, par ces esprits, influence les hommes. Maintenant, regardez, ensuite, il y a les anges. Ensuite, il y a Dieu. Eh bien, chaque être mortel ici est influencé par l’un de ces mondes. Voyez-vous ce que je veux dire ?
196 Eh bien, ce que cette femme a fait, c’est qu’elle a pénétré dans cette dimension-là. Et elle parle à ces hommes possédés du démon qui ont été, au commencement, les esprits de ces anges déchus qui ne se sont pas repentis là-bas, au commencement, et ils les ont laissés prendre possession de leur être. Et ils attendent le Jugement.
197 Et ceux-ci, ici, ils sont influencés et nés de nouveau de l’Esprit de Dieu. Et le diable a ses prophètes, et Dieu a les Siens. Voyez-vous ce que je veux dire ? C’est l’influence, et nous voilà partis. Arrêtez-vous pour faire la distinction. Jésus, quand Il était ici sur terre...
198 Eh bien, aujourd’hui, il ne peut pas pénétrer dans cette dimension-là et faire sortir un juste de cette dimension-là. Il ne pourrait pas le faire, parce que les justes ne sont plus là où ils étaient autrefois, au paradis. Non, non. Le paradis a été éliminé quand le Sang de Jésus l’a supprimé. Écoutez. Oh ! la la !
199 Si je pouvais penser comment Jésus, quand Il est mort, est allé prêcher aux âmes qui étaient en prison… Il est mort pécheur, n’ayant connu aucun péché, mais c’est notre péché qui était sur Lui. Et Dieu, à cause de Ses péchés, L’a envoyé au séjour des morts. La Bible dit : « Il est allé prêcher aux âmes. »
200 Des gens disent : « Frère Branham, je ne comprends pas ça. » Ils disent : « Jésus est ressuscité le troisième jour. Il est mort le vendredi après-midi et Il est ressuscité le dimanche matin, mais Il n’est resté mort qu’un jour. »
201 Il a dit : « Dans ce délai... » En effet, Il n’avait qu’un passage des Écritures dans la Bible sur lequel Il pouvait s’appuyer. En effet, David, un homme qui a rétrogradé plus tard, mais il a été sauvé, mais un prophète sous l’inspiration de Dieu, il avait dit : « Je n’abandonnerai pas Son âme dans le séjour des morts, et Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption. » Et il savait qu’au bout de trois jours et trois nuits, la corruption s’installerait dans ce corps. Et Dieu avait bien dit au prophète : « Il ne verra pas la corruption. » Ainsi… [Espace vide sur la bande. – N.D.E.]
Alléluia ! Il a revêtu la Parole de Dieu. Il a vaincu Satan, chaque fois, par Elle. Il a vaincu la mort, par la Parole de Dieu. Alléluia ! Il a vaincu la mort. Et quand ils L’ont tué et qu’Il est mort pécheur, avec mes péchés et vos péchés sur Lui, Il est descendu, je peux Le voir frapper à la porte là-bas.
Et ces âmes perdues sont venues et ont dit : « Mais, Qui es-Tu ? »
202 Il a dit : « Pourquoi n’avez-vous pas écouté Énoch ? Pourquoi n’avez-vous pas écouté ces autres prophètes qui ont prêché ? » Ils ont été condamnés. « Je suis le Fils de Dieu qui, une fois, était vivant. Je... Mon Sang a été versé. Je viens vous dire que J’ai accompli ce que les prophètes avaient annoncé à Mon sujet. » Il a fait Sa descente, plus loin que les démons, directement au séjour des morts, Il a ôté au diable les clés de la mort et du séjour des morts, Il les a accrochées à Son côté, et Il est remonté. Alléluia !
203 Le matin commence à se lever. Alléluia ! Brossons un petit tableau, ici. Tôt le matin, il y a un autre groupe qui se trouve ici, dans le paradis. Ils n’y sont pas en ce moment.
204 Maintenant, mes amis qui êtes de grands catholiques, qui croyez à l’intercession des saints. Si vous parlez à un saint dans votre église, cet homme est un pécheur, il est dans le séjour des morts, ou–ou il attend là-bas d’être jugé. Et si c’était un saint, il est dans la Gloire de Dieu et ne peut pas revenir. C’est exact. Je peux le prouver. Le sang des–le sang des taureaux ne pouvait pas ôter le péché, mais le Sang de Jésus a supprimé les péchés.
205 Je peux voir Jésus monter là où, au paradis, il y avait le vieux Abraham, Isaac, Jacob, et les autres là-bas, Samuel et tous les autres là-bas. Je peux L’entendre frapper à la porte. [Frère Branham donne des coups sur la chaire. – N.D.E] Amen ! Oh ! j’aime ça. Me voilà qui devient bien... je me sens religieux en ce moment. Je peux Le voir regarder là-bas. Je peux l’entendre dire : « Qui est là ? Qui est-Ce là ? » Il a dit : « Je… C’est Abraham qui parle. « Qui est-Ce ? »
206 Je suis la Postérité d’Abraham. » Amen. Je peux voir Abraham venir à la porte, ouvrir la porte. Il a dit : « Je suis la Postérité d’Abraham. »
Daniel a dit : « Regardez là ! Voilà la Pierre que j’ai vu se détacher de la montagne. »
207 Je peux entendre les gens dire : « Le voici ! Je L’ai vu, comme de la poussière sous Ses pieds, les nuages qui se déplaçaient, quand les béliers... tapaient des mains, les feuilles, et que tous poussaient des cris. » Oh ! Je peux voir les différentes personnes qui étaient là dans le paradis, à L’attendre.
208 Je peux L’entendre dire : « Venez ! Le jour se lève là-bas à Jérusalem. Nous devons sortir d’ici. Nous allons monter, parce que vous vous êtes fiés au sang des taureaux et des boucs, en attendant le moment de Mon Sang. Mais Mon Sang a été versé là-bas au Calvaire. Je suis le Fils de Dieu incarné. Toutes les dettes du péché ont été payées. Nous allons sortir d’ici ! » Alléluia ! Gloire à Dieu !
209 Je peux voir Abraham saisir Sara par le bras, et les voilà qui sortent ! Dans Matthieu 27, quand il est sorti, je peux les entendre faire une petite escale là-bas aux environs de Jérusalem. Et tout à coup, je peux voir le vieux Caïphe et les autres qui étaient dans la rue, ils disaient : « Ils me racontent que ce gars-là est ressuscité. Dites donc, qui est ce gars qui passe là-bas; ce jeune homme, cette jeune fille ? »
210 Plus du tout de vieillards; c’était Abraham et Sara. Et ils ont disparu. Ils ont regardé : « Quelqu’un nous observe. » Ils pouvaient disparaître, tout comme Lui avait traversé le mur, le même genre de corps. Alléluia ! Exact. Voilà tous les prophètes et les autres qui se promènent à pied, qui promènent les regards sur la ville.
211 Et Jésus a ouvert le chemin pour monter dans… ou au-dessus des étoiles, de la lune, des nuages, et Il a emmené les captifs, Il a fait des dons aux hommes. Jésus est assis aujourd’hui à la droite du Père, Il est monté là-haut, Il s’est assis, jusqu’à ce que tous Ses ennemis soient devenus Son marchepied.
212 Et aujourd’hui, mon cher ami chrétien, les démons sont à l’oeuvre de tous côtés. Et l’Esprit de Dieu se porte en avant, de l’autre côté, pour les neutraliser chaque fois. Alléluia ! Voilà. Les journaux, et les digests, et tout le reste, le déclarent. Ils observent ces choses. Ils ne peuvent pas voir ce que c’est. Qu’est-ce ? C’est pour préfigurer la grande épreuve de force qui aura lieu très prochainement entre Dieu et le diable. Rangez-vous du côté de Dieu et soyez droit dans votre coeur. Amen.
213 Il n’y a pas longtemps, j’étais à Toledo, dans l’Ohio, je tenais une réunion. Je vais conclure.
214 Vous voyez ce que je veux dire au sujet des démons ? Ils sont à l’oeuvre. Ils sont très religieux, tout aussi religieux… Oh ! ils vont à l’église tous les dimanches, ils récitent le Credo des Apôtres, et ils chantent la Doxologie. Oh ! la la ! ils sont religieux au possible !
« Frère Branham, vous voulez dire que c’est la Vérité ? »
215 C’est cette sorte d’esprit qui a suspendu Jésus-Christ à la croix. Et Jésus a dit : « Vous avez pour père le diable. »
216 Eh bien, certains ont dit : « Oh ! la Russie est l’antichrist. » Jamais ! La Russie n’est pas l’antichrist. L’antichrist sera tellement religieux qu’il séduirait même les élus, si c’était possible.
Souvenez-vous, Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Maintenant, les voilà. Faites comme vous voudrez. Je ne suis responsable que de la Vérité.
217 Des démons à l’oeuvre… Hier, j’ai traité des démons, dans le domaine physique. Aujourd’hui, je vous montre ce qu’il en est dans le domaine spirituel, où ils se trouvent dans le domaine religieux. Où ils se trouvent là-bas, ce qu’on appelle le cancer, et ce qu’on appelle ceci, cela et autre chose, mais je vous ai démontré, par la Bible, que ce sont des démons. Maintenant, de ce côté-ci, aujourd’hui, les revoilà, dans le domaine religieux, ils sont très religieux, très pieux.
218 Si vous vous mettiez seulement à réfléchir, frère. Caïn, celui qui a été à l’origine même de tout cela, était un homme très religieux. Ésaü était un homme très religieux. Judas était un homme très religieux. C’est la religion. Ce n’est pas le monde extérieur. C’est dans les rangs mêmes. Observez bien ceci, la démonologie ! Peut-être qu’un peu plus tard, à un moment donné, je pourrai en parler un peu plus. Il commence à se faire tard.
219 Ne condamnez personne. Aimez tout le monde. Si vous ne pouvez pas aimer du fond de votre coeur, alors Christ n’est pas avec vous.
220 À Toledo, dans l’Ohio, je suis entré dans un petit restaurant. J’avais mangé dans un établissement, un petit établissement Dunbar, un petit établissement charmant. Ils étaient si gentils. Cet après-midi-là, ils avaient fermé leurs portes pour aller à l’école du dimanche. Et alors, j’ai dû aller de l’autre côté de la rue, à une espèce de petit établissement mondain, et je suis entré là. Et je sais que jouer à des jeux d’argent est illégal dans l’Ohio. Et voici qu’il y avait là un policier de l’État qui avait son bras autour des épaules d’une jeune fille, sa main qui retombait ici sur sa poitrine, en train de jouer à une machine à sous. La justice de nos États et de notre pays, il n’y en a plus. C’est déplorable !
221 Je mets ma confiance sur Christ, le Rocher solide, je me tiens, tout autre sol est du sable mouvant. Il ne reste plus rien d’autre. C’est exact.
222 J’ai regardé au fond, et il y avait une ravissante jeune fille, probablement adolescente, de dix-neuf, dix-huit, dix-neuf ans. Et ce qu’ils faisaient, ces garçons là-bas, autour de la table, c’était affreux. Je me suis assis là. Et alors, ce qui m’a surpris, assis là, où une dame était venue et avait dit : « Voulez-vous vous asseoir ? »
J’ai dit : « Merci. Je voulais un petit-déjeuner. »
223 Et assise sur une chaise, ici, il y avait une dame âgée, aussi âgée que ma mère, de cinquante-cinq, cinquante-huit ans. Elle portait une paire de ces petits vêtements indécents qu’elles portent.
224 Les gens affirment que ça donne de la fraîcheur. La science dit : « Vous êtes fous. » Certainement pas. Tout ce que vous voulez, c’est montrer votre nudité. C’est honteux, déshonorant. Une dame ne mettrait pas ça. Une femme oui, mais pas une dame.
225 Ainsi donc, ils... là, elle était assise là. Sa pauvre chair était flasque. Elle portait cette espèce de manucure orchidée, comme… ou le nom que vous donnez à ça, sur les lèvres. Et les cheveux coupés très courts comme un homme, et tout frisottés; dont la Bible a dit que c’était honteux. Et une femme, qu’un homme...
226 La Bible affirme que, si une femme se coupe les cheveux, l’homme a le droit de la répudier, de divorcer d’avec elle, parce qu’elle n’est pas loyale envers lui. Nous devrons nous y mettre et prêcher la Bible, ici, un de ces jours. Il est dit : « Si elle se coupe les cheveux, elle déshonore son mari. » Si elle est déshonorante, elle devrait être répudiée. Vous ne pouvez pas en épouser une autre, mais vous pouvez la répudier. Fiou ! Ah ! celle-là–celle-là ne passe pas facilement, je peux le sentir. Mais c’est la Vérité.
227 Oh ! autrefois, on trouvait ça parmi nous qui avons le Saint-Esprit, mais on a levé les barrières. Un vieux frère disait autrefois : « On a laissé tomber les barrières, on a laissé tomber les barrières, on a fait des compromis avec le péché. On a laissé tomber les barrières, les brebis sont sorties, mais comment les boucs sont-ils entrés ? » Vous avez levé les barrières. C’est ça qu’il y a. Vous avez laissé tomber les barrières, le monde et l’église se sont entremêlés. Tout comme les Moabites et tout, et Balaam, qui les a fait se marier entre eux, c’est exactement la même chose aujourd’hui. Et l’église est toute polluée, et l’âge pentecôtiste, c’est l’âge de Laodicée qui devient tiède et est vomi de la bouche de Dieu. Et Dieu appelle Son reste à sortir de tout ce groupe-là, Il L’emporte à la Maison, c’est tout à fait exact, tout à fait, La fait passer par la résurrection.
228 Et elle était assise là, du manucure à lèvres partout sur le visage, et elle en avait partout, comme ça. Et elle avait du truc noir là, sur les yeux, et elle était en sueur, ça coulait. Et la pauvre vieille avait peut-être des arrière-petits-enfants. Et elle était assise là, avec deux hommes âgés, et l’un d’eux avait une espèce de grande écharpe autour du cou, et on était en juin, il était assis là. Il s’est levé, il prenait un petit verre, et elle aussi, elle prenait un verre. Et elle regardait autour d’elle.
229 J’ai pensé : « Ô Dieu ! Ô Dieu, pourquoi ne rayes-Tu pas tout ça de la carte ? Pourquoi ne… Est-ce que ma petite Sharon... mon petit bébé, ma petite Sara et ma petite Rebecca, devront être élevées dans cette génération, pour en venir à être confrontées à des choses pareilles ? » J’ai pensé : « Regarde, ici, dans ces parcs et tout, et tout ce qui se passe. » J’ai pensé : « Ô Dieu ! Oh ! je suis content que Tu aies pris Sharon, si c’était Ta volonté. Est-ce que ma petite Rebecca et ma petite–petite Sara devront être élevées sous l’influence de choses pareilles ? » Et ces gens, ils les appellent... ils font partie de la chorale et tout. Et j’ai pensé : « C’est vraiment honteux, hein ? » J’ai pensé : « Ô Dieu ! comment Ta sainte justice peut-elle supporter ça ? Il me semble que Ton indignation de juste devrait s’élever là et–et faire sauter cet établissement. »
230 Et j’ai entendu l’Ange du Seigneur, Il a dit : « Viens à l’écart. » J’y suis allé. Et quand Il en a fini avec moi, je me sentais comme une personne différente. « Pourquoi la condamnes-tu ? »
J’ai dit : « Regarde ça, comment elle est. » Et voici ce qu’Il...
231 J’ai eu une vision. J’ai vu un monde comme ceci, rond, un autre monde. Mais ce monde-ci, il y avait un arc-en-ciel autour, et c’était le Sang de Christ qui protège de la colère de Dieu. Il ne pourrait pas regarder ça, Il–Il détruirait la chose à l’instant même, parce qu’Il a dit : « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras. » Donc, c’est ce qu’Il ferait.
232 Ensuite, voici ce qui m’est venu à l’esprit. Je me suis vu moi-même. Bien que je n’aie pas fait ça, mais j’étais quand même un pécheur. Et alors, le Sang de Jésus-Christ agit pour nous comme un pare-chocs. Voyez ? Ainsi, quand je pèche, mes péchés Le frappent et ils heurtaient Sa tête précieuse, et je pouvais voir les larmes et le Sang qui coulaient. « Pardonne-lui, Père, il ne sait pas ce qu’il fait. » Et je faisais autre chose, et ça frappait Là-dessus. « Pardonne-lui, Père. »
233 S’ils ne s’étaient pas arrêtés à Lui, j’aurais été détruit. Et si je n’acceptais jamais Sa grâce, le jour où mon âme voguera jusque de l’autre côté, je suis déjà jugé. J’ai rejeté. Il ne reste plus que le jugement. Jugé, j’ai déjà été jugé. Dieu a dit : « Le jour où tu en mangeras, ce jour-là tu mourras. » Vous êtes jugés en plein là. Le tribunal, c’est ici, cet après-midi, votre attitude à l’égard de Christ.
234 Alors, j’ai pensé : « Oui, c’est vrai. » Et je me suis vu, un jour, me traîner jusqu’à Lui. J’ai vu mon vieux livre qui était là, un pécheur, et tout y était inscrit. J’ai vu que c’était à cause de mes péchés, et j’ai dit : « Seigneur, veux-Tu me pardonner ?»
235 Il a mis Sa main dans Son côté, Il a pris du Sang, Il a écrit dessus, Il a dit : « Pardonné. » Il l’a jeté dans la mer de l’oubli, pour ne plus jamais s’en souvenir. C’était parti pour toujours ! Il a dit : « Je te pardonne, mais toi, tu la condamnes. »
Ça a changé ma façon de penser. J’ai dit : « Seigneur, sois miséricordieux. »
236 Après être sorti de la vision, je me suis approché et je me suis assis. J’ai dit : « Bonjour, madame. »
Elle a dit : « Oh ! bonjour. »
237 Et j’ai dit : « Veuillez m’excuser, ai-je dit, je suis le révérend Branham, un ministre. »
Elle a dit : « Oh ! excusez-moi. Ah! euh, excusez-moi, Révérend Branham. »
238 J’ai dit : « Madame, j’étais… » Je lui ai raconté l’histoire. J’ai dit : « J’étais là-bas, et je vous condamnais, je pensais : ‘Comme c’est affreux !’ Peut-être que vous avez des enfants. »
Elle a dit : « J’en ai. »
239 J’ai dit : « Comment se fait-il que ça a mal tourné ? » Elle s’est mise à me raconter une histoire qui aurait déchiré n’importe quel coeur. J’ai dit : « Je–je demandais à Dieu pourquoi il ne balayait pas tout ça de la face de la terre. Ici, vous qui êtes ici avec ces deux hommes ivres, et vous êtes ivre, vous-même. » Et j’ai dit : « Un jour... Ce Sang retient la colère de Dieu de venir sur vous. Vous allez mourir un de ces jours. Et, alors, vous–vous avez le libre arbitre maintenant, vous pouvez rejeter ou recevoir. » J’ai dit : « Mais, un jour, votre âme ira de l’autre côté, où il n’y aura plus de miséricorde. Et si vous mourez dans vos péchés, vous êtes déjà jugée, et vous irez en enfer. »
240 Savez-vous quoi ? Cette femme s’est glissée de sa chaise, là-bas dans ce restaurant. Nous avons eu une réunion de prière comme vous n’en avez jamais entendu de votre vie, et elle est venue à Christ. Qu’était-ce ? Ne les condamnez pas; parlez-leur de l’Évangile. Ils sont possédés du démon; ce sont des mortels dans cette dimension-ci. Ils reçoivent l’influence de ce côté, ici. Notre influence vient d’En Haut. Voyons ce que nous pouvons faire de nos talents, afin d’en gagner d’autres à Christ.
241 Notre Père céleste, je Te remercie de Ta bonté et de Ta miséricorde. Je suis désolé, Seigneur; peut-être que les gens, je les ai retenus ici tellement longtemps. Mais, comme c’est la dernière de cette série des réunions-ci d’après-midi, je voulais leur en parler, « des démons », et j’en ai trop débité au même endroit, en une seule prédication, mais peut-être qu’ils pourront trier ça, ici et là, et comprendre ce que j’ai voulu dire. Tu connais les intentions de mon coeur, pourquoi j’ai apporté ça.
242 Puissent les gens repartir d’ici, cet après-midi, les hommes et les femmes se surveiller dans tous leurs faits et gestes, mais vivre heureux et libres. Puissent-ils savoir que Dieu les a sauvés. Et puissent-ils regarder à Lui, oublier tous les ismes et toutes les choses qui les entourent, et vivre paisiblement et sobrement, et dans la crainte de Dieu. Et puis, ô Dieu, quand Tu voudras les utiliser pour quoi que ce soit, Tu pourras t’adresser directement à eux et les envoyer là où Tu voudras qu’ils aillent ou leur faire faire ce que Tu voudras. Puissent les gens être humbles et trouver Christ dans leur coeur. Pardonne-nous, Seigneur, nos manquements, à chacun de nous.
243 Et nous savons que–que Satan rôde comme un lion rugissant, partout, dévorant qui il veut, sous des voiles religieux. Ô Dieu, ces pauvres petits enfants, regarde-les, partout. Ils sont vulnérables et exposés aux gens. Et je Te prie, ô Dieu, d’être miséricordieux envers eux, et de sauver tous les perdus, de guérir les malades. Et, ô Dieu, nous sommes conscients que ces vieux démons de la maladie qui viennent sur Tes enfants, que Tu as une expiation qui repose là-bas, pour se charger de ça. Et tous les démons qui les inciteraient à pécher, Tu as une expiation qui repose là-bas, qui va se charger de ça. Et je Te prie de l’accorder, au Nom de Jésus. Amen.
Je me demande s’il y a...
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William Branham = faux prophète - Page 7 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:43

Le Prophète du 20e Siècle


1.         Puis-je vous présenter ma femme? Chérie,  voici frères Leroy et Paul Kopp de Los Angeles, en Californie.
            [Sœur Branham dit : "Enchantée de vous recevoir chez nous, Frère Kopp." - N.D.E.]
            [Frère Kopp dit : "Frère Branham, durant vos deux grandes campagnes de Los Angeles, au Calvary Temple, nous avons vu que le Seigneur Jésus-Christ vous utilisait d'une manière très spéciale avec ces dons merveilleux de discernement des esprits, des cœurs de gens aussi bien que des maladies de leurs corps, et les signes de la guérison  et les miracles qui ont été accomplis. Nous nous sommes dit que c'était merveilleux." - N.D.E.]
            [Frère Kopp dit : "Nous sommes intéressés, Frère Branham, à entendre davantage sur ce ministère unique que Dieu vous a donné." - N.D.E.]

2.         Très bien, Frère Kopp. Retournons au commencement. Je suis né à l'est du Kentucky, dans une petite cabane en rondin, près de Burkesville, dans le Kentucky. Le matin où je suis né, d'après ce que mes parents m'ont raconté, une Lumière est entrée dans la pièce et est restée suspendue au-dessus de moi.
            Les membres de ma famille n'étaient pas des croyants. Ils ne fréquentaient aucune église. Naturellement, cela a causé une grande agitation parmi eux. Cela m'a accompagné tous les jours de ma vie. Récemment, on En a tiré une photo, par les moyens scientifiques comme on peut voir Cela ici. Vous connaissez probablement cette photo-ci. La science a confirmé que C'est l'unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié par un moyen scientifique.
            A mon avis, c'est le même Ange de Dieu qui avait accompagné les enfants d'Israël de l'Egypte en Palestine. Vous savez, étant vous-même un érudit, que c'était l'Ange de l'alliance, qui n'est personne d'autre que notre Seigneur Jésus-Christ. Et quand Il était ici sur la terre, manifesté dans la chair, Il ne prétendait pas être un homme important. Il a dit: " Le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu'Il voit faire au Père." Il…

3.         Dans Saint Jean, chapitre 5, peut-être que vous connaissez bien cela, cette Ecriture, Jésus passait par cette célèbre piscine de Béthesda. Il a trouvé beaucoup d'infirmes là, des aveugles, des boiteux, des estropiés, qui attendaient que l'eau soit agitée. C'était étrange qu'Il ne se soit occupé que d'un seul homme, mais si vous remarquez bien, Il savait où celui-ci se trouvait. Le Père le Lui avait montré. Il n'a guéri que celui là seul. Peut-être qu'il - qu'il n'était pas infirme. Il était tout simplement couché sur un grabat, mais Jésus l'a guéri.
            Et puis, plus loin dans ce chapitre, nous trouvons vers le verset 19, qu'Il a été interrogé par les Juifs. Peut-être que cela pourrait susciter des questions aujourd'hui, comment Dieu peut-Il passer par un endroit où il y a toutes ces personnes estropiées, infirmes et aveugles sans les guérir tous. Mais voici, je vais citer Ses Paroles. Il a dit : "En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu'Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. "

4.         Ensuite, d'après Ses propres Paroles, Son ministère était basé sur les visions venant de Son Père. Ne serait-ce donc pas étrange que Son ministère continue d'être accompli comme Il l'avait promis à Ses disciples? "Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Vous en ferez de plus grandes, car Je M'en vais au Père." Il a dit : "Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous jusqu'à la fin du monde" Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et éternellement.
            Je crois que c'est une confirmation, dans ces derniers jours, de la résurrection de Jésus-Christ, vivant parmi Son peuple, accomplissant les mêmes signes et les mêmes prodiges qu'Il faisait quand Il était ici sur terre.
            Quand j'avais 7 ans, nous avons déménagé du Kentucky pour l'Indiana, là sur la route, pas très loin d'ici où nous habitons maintenant. A l'époque, nous puisions de l'eau au puits, à un pâté de maisons, je pense, derrière notre vieille maison de campagne. Un bel après-midi de septembre, pendant que je revenais de la pompe avec de l'eau, il y avait là un grand peuplier à peu près à mi-chemin entre la pompe et la maison.

5.         Comme je passais par-là, le vent tourbillonnait dans un arbre, ce que nous appelons ici un tourbillon. Eh bien, ce n'était pas quelque chose d'étrange à cette période de l'année, dans cette partie-là de la contrée. Mais cela a duré dans l'arbre. Ça ne quittait pas. Je me suis arrêté pour voir ce que c'était. Et une Voix est sortie de Là, disant : "Ne fume jamais, ne bois jamais, ni ne souille jamais ton corps d'aucune manière, car tu auras un travail à faire quand tu seras plus âgé."
            Effrayé ? Ce n'est pas le mot qui convient. J'ai couru vite à la maison, dire à ma mère qu'un Homme m'avait parlé depuis l'arbre. Eh bien, elle a pensé que j'étais nerveux. Elle m'a mis au lit. Mais depuis ce temps- là, les visions ont commencé à apparaître. Et quand cela vient sur moi, ça produit une vision. Je suis en mesure de dire aux gens ce qui cloche en eux, ce qu'ils doivent faire dans la vie, et les péchés qu'ils cachent dans leur vie.
            A l'âge de 37 ans, j'étais en train de prier dans ma chambre une nuit et, quand je me suis relevé, j'ai vu une Lumière sur le plancher. Alors , j'ai regardé tout autour pour voir d'où Cela venait, Cela venait d'en haut. La Colonne de Feu était suspendue juste au-dessus, et Elle projetait la Lumière sur le plancher. J'ai entendu quelqu'un marcher. J'ai regardé, un homme venait, dans la chambre, venant dans cette Lumière. Selon les mesures humaines, il pesait environ 200 livres [90kg - N.D.T.]. Il avait des cheveux noirs qui Lui tombaient sur les épaules, et un teint olivâtre. Il était pieds nus.

6.         Naturellement, j'ai eu peur et Il m'a dit : "Ne crains point." Et aussitôt que j'ai entendu cette Voix, j'ai reconnu que c'était la même Voix qui m'avait toujours parlé, mais c'était la première fois que je Le voyais donc sous la forme humaine. Il a dit : "Je viens de la Présence de Dieu pour te dire que tu es appelé à prier pour les malades. De grands signes et prodiges accompagneront ton ministère, et tu prieras pour des rois, des monarques et autres."
            Eh bien, je lui ai dit que j'étais pauvre, que je n'avais pas d'instruction, que je ne serais pas en mesure d'accomplir un tel travail. Il a dit : "De même qu'il a été donné à Moïse deux signes pour confirmer son ministère, il te sera donné deux signes. L'un sera la prière pour les malades, les miracles, et l'autre, tu connaîtras les secrets mêmes du cœur des gens."

7.         Je lui ai dit que je priais à ce sujet, que les gens m'avaient dit que c'était du diable - le ministère. Il m'a cité plusieurs Ecritures, telles que, quand Philippe a trouvé Nathanaël et que Nathanaël est venu auprès de Jésus. Eh bien, Jésus lui a dit où il avait été, qu'il avait été sous un arbre quand Nathanaël l'a trouvé. Et beaucoup d'autres Ecritures, telles que la femme au puits, comment  ses péchés lui ont été révélés, quand Jésus lui a dit qu'elle avait eu cinq maris. Elle est entrée dans la ville en courant et a dit : "Voici le Christ."
            Il a cité beaucoup d'autres Ecritures. Je Lui ai dit que je partirais. Il m'a rassuré qu'Il serait toujours avec moi, comme vous le savez, Frère Kopp, et le monde le sait aussi, ces grandes choses qui s'accomplissent dans ce ministère.

8.         On se demandait si je me souviendrais de ces visions pendant très longtemps. Il y a quelque temps j'en ai eu une, il y a environ quatre ans, pour être précis : un petit garçon était mort au bord d'une route, tamponné par un véhicule et tué. Et il devait être ressuscité des morts. Eh bien, j'en ai parlé à tout le monde, j'ai prophétisé partout aux Etats-Unis et au Canada. C'était écrit sur la feuille de garde de milliers de Bibles, comme quoi la chose aura lieu.
            Un jour, pendant que nous tenions des campagnes dans les pays scandinaves, nous parcourions la Finlande, venant de Kuopio. Et il y eut une foule de gens rassemblée au bord de la route. Ils tournoyaient autour d'une forme quelconque. Nous sommes sortis pour regarder. La chose était là, le petit garçon, tout, la scène, exactement comme cela m'avait été montré.
            J'ai dit à frère Moore : "Regarde ta Bible et vois si ce n'est pas la scène en question. "

9.         "Oui", a-t-il dit. Je me suis agenouillé, j'ai demandé à notre Seigneur Jésus de confirmer Sa Parole qu'Il m'avait montrée, et dont Il m'avait annoncé l'accomplissement. Le petit garçon a été ramené à la vie par notre Seigneur Jésus. Il est vivant et en bonne santé aujourd'hui.
            Frère Kopp, ce ne sont là que quelques-unes des choses que notre Seigneur Jésus est en train d'accomplir aujourd'hui dans le ministère qu'Il m'a confié. A mon humble avis, c'est pour confirmer Sa Parole. Les choses qu'Il a promises comme devant arriver en ce jour, nous les voyons arriver aujourd'hui.
            Maintenant, concernant les campagnes en Israël, Frère Kopp, je serais très heureux de servir notre Seigneur en Israël. Je crois que mon ministère sera très efficace auprès des Juifs, car comme les Ecritures le déclarent : "Les Juifs demandent des miracles, les Grecs cherchent la sagesse."

10.       [Frère Kopp dit : "Nous croyons que beaucoup de Juifs, ainsi que d'autres, là dans la Terre sainte, arriveront à croire que le Seigneur Jésus-Christ est le Messie, quand ils verront un chrétien accomplir la prophétie de Joël dans l'Ancien Testament." - N.D.E.]
            Oui, Frère Kopp, je suis sûr que vous vous référez à la prophétie de Joël dans l'Ancien Testament, Joël 2.28, où Il a prophétisé que dans les derniers jours, Il répandra Son Esprit sur toute chair. Les fils et les filles prophétiseraient. Les vieillards auraient des songes, et les jeunes gens auraient des visions.
            [Frère Kopp dit : " Eh bien, Frère Branham, je pense que nous allons devoir vous dire au revoir pour le moment. Ç'a certainement été un grand plaisir et ç'a été très édifiant. Et nous devons nous en aller. Mais nous vous reverrons, Dieu voulant, à Chicago dans les prochains jours." - N.D.E.]

11.       Eh bien, gentlemen, ç'a été un plaisir de vous recevoir dans notre maison ce soir. Nous prierons ensemble pour le succès des réunions de Chicago. Et par la grâce de Dieu, j'espère vous rencontrer là dans les prochains jours.
            [Sœur Meda Branham dit : "Est-ce que ça vous dérangerait de prendre une tasse de thé avant de partir?"]
            Frère Kopp dit : "Oh! eh bien, merci beaucoup, Sœur Branham. C'est très gentil." Frère Leroy Kopp et son fils, Paul Kopp, disent : "Merci." - N.D.E.]
            Merci, chérie.

12.       [Ce qui va suivre, c'est la ligne de prière de la campagne de Chicago - N.D.E.]
            Maintenant, à vous qui croyez, l'Ange de Dieu, qui a été envoyé vers moi pour vous aider à croire Jésus-Christ, n'est pas éloigné à deux pieds [environ 60 cm - N.D.T.] de là où je me tiens maintenant même. Si vous croyez que je suis Son serviteur, vous devez accepter ce que je dis. Je ne peux pas vous faire croire cela. Vous devez simplement … Voyez? Mais Il est ici maintenant à l'estrade.
            Maintenant, que le Seigneur vous bénisse, pendant que je parle à cette femme. Que chacun de vous soit en prière. Ces gens sont malades. Maintenant, si cette femme dit qu'elle m'est étrangère… Je ne l'ai jamais vue de ma vie, il n'y a pas du tout moyen de la connaître, aucun moyen du tout. Eh bien, je ne peux pas la guérir, pas plus que je ne peux la sauver; et vous savez que je ne le peux pas. Mais Jésus-Christ a déjà fait tout cela quand Il est mort au Calvaire.
13.       Mais Il a envoyé des dons dans Son Eglise. Est-ce vrai? Si c'est vrai, dites : "Amen."

            [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] Et les dons, c'est pour quoi faire? Edifier l'église. Est-ce vrai? En d'autres termes, s'il y a des croyants, des incroyants qui viennent, alors ils diront: "Réellement…" La Bible dit: "Si vous tous vous parlez en langues, et que des incroyants viennent, eh bien, ils diront que vous êtes fous. Mais s'il y en a un qui prophétise et qui révèle les secrets du cœur, alors cet incroyant ne tomberait-il pas par terre disant : 'Dieu est réellement au milieu de vous.'" Est-ce vrai? C'est tout à fait vrai. Très bien.
            Croyez maintenant de tout votre cœur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici maintenant pour accomplir et faire ce qu'Il avait promis de faire.
 
14.       Madame, j'aimerais juste vous parler comme… dans le… la raison pour laquelle je fais cela, c'est pour contacter votre esprit. Allez-vous croire de tout votre cœur? Et si Dieu me révèle exactement ce qui cloche en vous, allez-vous L'accepter comme votre Guérisseur? Vous allez le faire. Eh bien, nous sommes étrangers, je pense, n'est-ce pas? Nous ne nous sommes jamais vus dans la vie, nulle part. Mais Dieu sait ce qui cloche en vous, n'est-ce pas? Vous, l'un de vos problèmes majeurs, vous souffrez aussi de l'anémie, n'est-ce pas vrai? Vous croyez que Dieu va vous rétablir.
            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Rétablis-la, Père. Puisse-t-elle partir d'ici ce soir complètement guérie, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.

15.       Maintenant allez en vous réjouissant. Priez. Maintenant, cela dépend de votre foi, sœur. Voyez? Il ne m'a rien dit, Il a juste révélé ce qui n'allait pas en vous. Observez ce qu'Il dit. Voyez? Ce qu'Il vous dit, faites-le. Maintenant, cela dépend complètement de vous. Voyez? Croyez cela. Vous avez dit que vous acceptez cela. Maintenant, Il vous a prise au mot. Prenez-Le au mot. Mettez-vous à témoigner la même chose, et vous serez guérie. Amen. Disons : "Grâces soient rendues à Dieu." Amen.
            J'espère que Dieu est en train de vous bénir tous là maintenant, au point que vous ne puissiez plus douter de cela. Ce serait un - un - un péché pour vous de ne pas croire maintenant. Après que Dieu a envoyé Son Fils, et qu'Il a accompli ce dont Il parle maintenant, et qu'Il a accompli tous ces signes, et vous… et Il a envoyé Sa Bible, Il a envoyé Ses prédicateurs, Il a envoyé Ses dons, et vous continuez à ne pas croire en Lui, il ne reste plus rien pour vous sinon d'être condamné à la fin. Est-ce vrai ?

16.       Mais le seul but dans tout cela, c'est de glorifier Dieu et de révéler Jésus-Christ, que… Quand Il était ici sur la terre, Il a fait exactement la même chose. Que tous les lecteurs de la Bible qui croient cela disent: Amen. [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] 
Et Il a dit: "Après que Je m'en serai allé, Je reviendrai. Encore un peu de temps, le monde ne Me verra plus (ce sont les incroyants), mais vous, vous Me verrez (Qui? Les croyants), car Je serai avec vous, même en vous, jusqu'à la fin du monde." Est-ce vrai? Alors c'est un péché que de ne pas croire. "Allez et ne péchez plus (ou ne doutez plus) sinon une chose pire que ceci vous arrivera", a dit Jésus. Est-ce vrai ? Alors nous devons croire. Ça doit être croire ou périr.

17.       Si j'étais Dieu, et que les gens n'arrivaient pas à me croire sur parole, cela réglerait la question. Mais les gens continuent à ne pas recevoir la Parole, ensuite les signes et les prodiges sont ajoutés dans l'Eglise, comme Jésus-Christ a promis de le faire. Et à mon humble avis, je crois qu'Il est en train d'en finir maintenant même avec les Gentils, et qu'Il va retourner sous peu chez les Juifs. Et les Gentils seront abandonnés dans leurs dogmes et des histoires qu'ils ont, ainsi que dans leurs credos, et leurs dénominations froides et formalistes. Et l'Eglise sera ravie et enlevée. Et l'Evangile ira chez les Juifs. Amen. "Amen" signifie "ainsi soit-il". Très bien.

18.       Excusez-moi, sœur. Je dois de temps en temps détendre mon esprit. Maintenant, nous sommes des étrangers. Je vois que vous m'êtes totalement étrangère. Vous venez de loin. Vous venez d'une autre ville. Vous avez un grand problème dans votre cœur. Et vous avez un trouble cardiaque, pour commencer. Est-ce vrai?
            Et il y a beaucoup d'obscurité. Je vois un voile noir qui continue à vous suivre, comme cela. Oh, il s'agit d'un mensonge. Quelqu'un a dit un mensonge à votre sujet, et c'était un homme qui professait la guérison divine. [La sœur dit: "Oui." - N.D.E.] Il a dit que vous êtes une sorcière. ["Oui."] Est-ce vrai? Et il y a eu - il y a eu beaucoup d'agitation dans votre église, ou une chose comme cela, à ce sujet. N'est-ce pas vrai?
            Votre pasteur est malade maintenant même. Il a la polio. Est-ce vrai? ["Oui."] Sœur, ne faites pas cas de ce que les gens vous disent. Ils mentent. Et ce qui vous dérange au niveau du cœur, c'est cette nervosité, vous avez un cœur surmené. Retournez en paix à la maison, et que Dieu vous bénisse. Vous êtes bien portante. Que Dieu vous bénisse. Vous n'êtes pas une sorcière.

19.       Croyez-vous de tout votre cœur? Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce cancer ? Croyez-vous qu'Il vous rétablira si je le Lui demande?
            Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme. Et puisse-t-elle être complètement guérie. Je demande cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen.
            Poursuivez votre chemin, vous réjouissant, disant : "Merci Seigneur", et vous serez rétablie.
            Venez, madame.
            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, accorde à cette femme une parfaite santé au Nom de Jésus-Christ. Amen.
            Que Dieu vous bénisse. Juste un instant. Quelque chose vous est arrivé. Vous savez cela. Vous en êtes consciente, n'est-ce pas vrai?
            Eh bien, c'est partout dans le bâtiment, et chaque personne qui est ici peut être guérie maintenant même si elle croit cela. Croyez-vous cela? [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] Ayez foi en Dieu. Etes-vous l'un des huissiers, monsieur? Très bien, monsieur.

20.       Cette dame assise juste là a une maladie de coeur, elle porte une robe tachetée. Levez-vous, madame. Il vient donc de vous guérir de cette affection de cœur. Croyez-vous cela de tout votre cœur? Très bien.
            Il y a une dame assise là avec un mouchoir levé, elle pleure, elle a reçu un coup à la tête l'autre jour. Elle a des maux de tête causés par cela. Est-ce vrai? Levez-vous et acceptez votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen.
            Combien d'autres parmi vous aimeraient accepter leur guérison? Jésus-Christ est ici même maintenant pour vous guérir. Croyez-vous cela? Tous ceux qui veulent être guéris, mettez-vous debout maintenant même. Chaque personne dans le bâtiment qui veut être guérie, levez-vous. Levez les mains vers Dieu, comme ceci.
            Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Dispensateur de tout don, comme Ton Esprit est ici ce soir, je Te prie de guérir chaque personne dans ce bâtiment. Tu es ici. Le Saint-Esprit est ici. Et maintenant moi, en tant que Ton serviteur, avec ces autres serviteurs, nous maudissons chaque maladie qui est ici. Puisse Jésus-Christ, le Fils de Dieu, guérir chaque personne qui est ici.
            Satan, quitte ces gens au Nom de Jésus-Christ.
            Maintenant, que ceux qui ont les mains levées disent : "Gloire à Dieu" ; et allez en vous réjouissant-vous, rendant… à Dieu [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu." - N.D.E.]
            Très bien, Frère Boze.
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