L'origine du Culte Marial
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L'origine du Culte Marial
Le Culte Marial
Lourdes, une expérience païenne matriarcale
En 1858 eurent lieu à Lourdes dans les Pyrénées françaises plusieurs apparitions miraculeuses. C’est une certaine Bernadette Soubirous qui fut témoin de ces apparitions qu’elle interpréta comme étant celles de la vierge Marie. Bernadette raconta alors qu’elle vit la vierge car c’est le seul langage religieux qu’elle connaissait. Selon plusieurs spécialistes de la question, il serait fort possible que Bernadette ne sut pas interpréter correctement ce qu’elle vit. Plusieurs indices tendent à démontrer que l’expérience qu’elle vécut, fut une montée de la Déesse-Mère de son inconscient dans son conscient. Ce serait donc une expérience païenne qu’elle n’aurait pas su identifier.
Grotte et source, des symboles de la déesse-mère
Le fait que les apparitions eurent lieu dans une grotte près d’une source est très révélateur au niveau symbolique, car ces deux éléments sont intimement liés au culte de la Terre-Mère. La source est l’élément vital de fécondité qui connecte avec la Déesse-Mère dans son aspect jeune, tandis que la grotte est un symbole de la matrice universelle, la Déesse dans son aspect plus mûr, celui de la Mère. Ce sont des détails qui ont une grande importance car ils sont attestés dans tous les cultes antiques liés à la grande Déesse. L’incertitude de Bernadette est attestée, car elle n’a pas pu donner d’explications pour ses visions, jusqu’à ce qu’elle lui dise "je suis l’immaculée conception".
Elle n’a donc pas identifié au premier abord l’apparition… ceci jusqu’à ce que les autorités catholiques du secteur lui soufflent à l’oreille ce qu’elle devait dire afin de ne pas être prise pour une sorcière, ce qui lui aurait valu certains problèmes avec la légendaire tolérance inquisitoire des catholiques… Par ailleurs, le genre de pélerinages qui a lieu régulièrement à Lourdes possède un fond plutôt païen, car si on enlève le vernis chrétien, on est bien en présence d’anciennes coutumes antérieures au christianisme telles qu’on les connaît de la Grèce païenne par exemple.
"En terre païenne, aux Indes par exemple, elle aurait interprété son aventure de manière plus charnelle, plus sexuelle, et n’aurait pas cru devoir se retirer de la vie. Pour nous aucun doute possible: il y a eu à Lourdes un événement religieux authentique et nous contestons seulement sa spécificité chrétienne."
Re: L'origine du Culte Marial
La Vierge Noire chrétienne, survivance d’un culte païen matriarcal (Isis – Artémis)
Les Vierges noires sont des effigies féminines qui appartiennent à l’iconographie du Moyen Âge européen. Elles tirent leur nom de leur couleur sombre, souvent limitée au visage et aux mains. La plupart d’entre elles sont des sculptures produites entre le xie et le xve siècle. On trouve parmi elles de nombreuses Vierges à l’enfant. La majorité des 450 à 500 recensées se rencontrent dans le bassin méditerranéen occidental, domaine de l’art roman, avec une concentration importante dans le sud de la France où on en compte 180. Bien que des musées en conservent, la plupart des Vierges noires sont placées dans des églises et certaines suscitent des pèlerinages importants.
Des attributs non chrétiens
La plupart de ces Vierges noires sont liées à des rites de fertilité, de fécondité ou de sexualité. Ce ne sont pas là les attributs ordinaires de la Vierge chrétienne. A Montserrat, l’hommage à la Madone donne lieu à une fête singulièrement païenne, puisque les fidèles se livrent à une danse circulaire qui rappelle volontiers les antiques danses orgiaques. D’autres Vierges noires sont également liées aux astres, à la Lune ou à Vénus. Si elles représentent parfois Marie, la mère du Christ, ces statues sont chargées de tout autre chose. Elles prennent un sens qui dépasse la symbolique chrétienne ordinaire. Mais de quel passé nous arrivent-elles ? Et quel message alors nous apportent-elles ?
La Vierge Noire chrétienne, survivance d'un culte païen matriarcal, la déesse-mère des Templiers
Tradition gnostique : féminin sacré, sagesse mariale, vestige de culte matriarcal
Les Vierges Noires ont pris la succession des anciennes déesses sous une forme christianisée. « Ne sont-elles pas si souvent à proximité immédiate de sources, de puits, d'arbres ou de pierres qui avaient chez nos ancêtres pré-chrétiens une signification sacrée bien connue ? Mais avant d'être représentée, la Mère de la manifestation fut adorée sous l'apparence d'une Pierre Noire tombée du ciel, comme à Ephèse pour Artémis. Le « bétyle », pierre noire d'origine météorique, figure Cybèle la Noire, ou la « Grande Déesse » chthonienne grecque. Et le pèlerin musulman baise la Pierre Noire de la Kaaba à La Mecque. Toutes les Vierges Noires, comme encore Kali la Noire (Inde), Isis, Astarté, Sara (Gitans), Annis appelée en Grande Bretagne Black Annis, Innani (Summer), ... convient les êtres à percer toutes les couches de leur matière, à aller aux Tréfonds, là où Elle se trouve, pour leur révéler Sa lumière."
Des reines célestes qui embarrassent l’Eglise
Elles portent presque toujours une couronne :
considérées comme des « Reines des cieux ». Elles sont associées à des représentations de la Lune ou des étoiles. Il s’agit d’une pratique qui nous ramène à l’ère pré-chrétienne et qui perpétue les cultes païens des divinités féminines. Ces "Maîtresses du Monde" causent beaucoup de souci à l’Église catholique, qui les met « hors circuit » dès qu’elle le peut sans trop choquer les populations locales, toujours plus attachées aux Vierges qu’à la fréquentation des messes. Depuis le XIXe siècle, beaucoup de ces Vierges noires ont été remplacées par des représentations plus conformes au modèle marial. Quand elles n’ont pas été, tout simplement, repeintes… en blanc !
Un christianisme matriarcal
Dans le texte de la messe de l’Immaculée Conception, on trouve les paroles suivantes : « Le Seigneur me posséda au début de toutes choses. J’existais avant qu’il ne donne la vie aux créatures. J’existais de toute éternité, avant même que la Terre ne soit créée. »
Tout obéit à Marie, même Dieu
Plusieurs écrivains chrétiens du Moyen Age en arriveront à admettre que c’est la Vierge, et non Dieu, qui a créé le monde ! L’un d’entre eux écrira : « Tout obéit à Marie, même Dieu. » C’est ainsi que, insensiblement, le christianisme du Moyen Age se teintera des couleurs d’une religion matriarcale, fondée sur le principe féminin symbolisé par Marie. Dans le même temps, les qualités « féminines » de Jésus étaient accentuées : douceur, bienveillance, et même passivité. La Vierge était devenue la médiatrice entre les hommes et leur dieu, en quelque sorte une déesse protectrice de l’Europe occidentale.
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Les Vierges noires sont des effigies féminines qui appartiennent à l’iconographie du Moyen Âge européen. Elles tirent leur nom de leur couleur sombre, souvent limitée au visage et aux mains. La plupart d’entre elles sont des sculptures produites entre le xie et le xve siècle. On trouve parmi elles de nombreuses Vierges à l’enfant. La majorité des 450 à 500 recensées se rencontrent dans le bassin méditerranéen occidental, domaine de l’art roman, avec une concentration importante dans le sud de la France où on en compte 180. Bien que des musées en conservent, la plupart des Vierges noires sont placées dans des églises et certaines suscitent des pèlerinages importants.
Des attributs non chrétiens
La plupart de ces Vierges noires sont liées à des rites de fertilité, de fécondité ou de sexualité. Ce ne sont pas là les attributs ordinaires de la Vierge chrétienne. A Montserrat, l’hommage à la Madone donne lieu à une fête singulièrement païenne, puisque les fidèles se livrent à une danse circulaire qui rappelle volontiers les antiques danses orgiaques. D’autres Vierges noires sont également liées aux astres, à la Lune ou à Vénus. Si elles représentent parfois Marie, la mère du Christ, ces statues sont chargées de tout autre chose. Elles prennent un sens qui dépasse la symbolique chrétienne ordinaire. Mais de quel passé nous arrivent-elles ? Et quel message alors nous apportent-elles ?
La Vierge Noire chrétienne, survivance d'un culte païen matriarcal, la déesse-mère des Templiers
Tradition gnostique : féminin sacré, sagesse mariale, vestige de culte matriarcal
Les Vierges Noires ont pris la succession des anciennes déesses sous une forme christianisée. « Ne sont-elles pas si souvent à proximité immédiate de sources, de puits, d'arbres ou de pierres qui avaient chez nos ancêtres pré-chrétiens une signification sacrée bien connue ? Mais avant d'être représentée, la Mère de la manifestation fut adorée sous l'apparence d'une Pierre Noire tombée du ciel, comme à Ephèse pour Artémis. Le « bétyle », pierre noire d'origine météorique, figure Cybèle la Noire, ou la « Grande Déesse » chthonienne grecque. Et le pèlerin musulman baise la Pierre Noire de la Kaaba à La Mecque. Toutes les Vierges Noires, comme encore Kali la Noire (Inde), Isis, Astarté, Sara (Gitans), Annis appelée en Grande Bretagne Black Annis, Innani (Summer), ... convient les êtres à percer toutes les couches de leur matière, à aller aux Tréfonds, là où Elle se trouve, pour leur révéler Sa lumière."
Des reines célestes qui embarrassent l’Eglise
Elles portent presque toujours une couronne :
considérées comme des « Reines des cieux ». Elles sont associées à des représentations de la Lune ou des étoiles. Il s’agit d’une pratique qui nous ramène à l’ère pré-chrétienne et qui perpétue les cultes païens des divinités féminines. Ces "Maîtresses du Monde" causent beaucoup de souci à l’Église catholique, qui les met « hors circuit » dès qu’elle le peut sans trop choquer les populations locales, toujours plus attachées aux Vierges qu’à la fréquentation des messes. Depuis le XIXe siècle, beaucoup de ces Vierges noires ont été remplacées par des représentations plus conformes au modèle marial. Quand elles n’ont pas été, tout simplement, repeintes… en blanc !
Un christianisme matriarcal
Dans le texte de la messe de l’Immaculée Conception, on trouve les paroles suivantes : « Le Seigneur me posséda au début de toutes choses. J’existais avant qu’il ne donne la vie aux créatures. J’existais de toute éternité, avant même que la Terre ne soit créée. »
Tout obéit à Marie, même Dieu
Plusieurs écrivains chrétiens du Moyen Age en arriveront à admettre que c’est la Vierge, et non Dieu, qui a créé le monde ! L’un d’entre eux écrira : « Tout obéit à Marie, même Dieu. » C’est ainsi que, insensiblement, le christianisme du Moyen Age se teintera des couleurs d’une religion matriarcale, fondée sur le principe féminin symbolisé par Marie. Dans le même temps, les qualités « féminines » de Jésus étaient accentuées : douceur, bienveillance, et même passivité. La Vierge était devenue la médiatrice entre les hommes et leur dieu, en quelque sorte une déesse protectrice de l’Europe occidentale.
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Re: L'origine du Culte Marial
Les cathédrales, temples païens de la Déesse
Les grandes cathédrales étaient les temples de cette déesse. Entre 1170 et 1270, pas moins de 84 cathédrales dédiées à Notre-Dame et cinq cents églises seront édifiées à sa gloire. La plus grande partie de ces monuments seront bâtis sur des sites déjà consacrés par la présence d’une statue de Madone, le plus souvent noire et généralement pré-chrétienne.
La déesse druidique des Carnutes
Chartres est située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l’an, de très secrètes liturgies. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est qu’il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la " Vierge Noire ".
La Déesse des Commencements
La cathédrale de Chartres est un sanctuaire dédié à la Vierge bien avant l’introduction du christianisme en Gaule. Cette "Virgo Paritura" que les Druides ont vénérée à l’emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte, est appelée " Notre Dame de Sous-Terre ", l’image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle " sur le point d’enfanter " le monde, vers laquelle se dresse l’humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l’Immaculée conception.
Les deux vierges de Chartres
Selon Fulcanelli, « La cathédrale de Chartres est la mieux partagée sous ce rapport ; elle en possède deux, l’une désignée sous le vocable expressif de Notre-Dame-sous-Terre, dans la crypte, est assise sur un trône dont le socle porte l’inscription déjà relevée :
Virgini parituræ ; l’autre, extérieure, appelée Notre-Dame-du-Pilier, occupe le centre d’une niche remplie d’ex voto sous forme de cœurs embrasés. Cette dernière, nous dit Witkowski,est l’objet de la dévotion d’un grand nombre de pèlerins. Primitivement, ajoute cet auteur, la colonne de pierre qui lui sert de support était « cavée » des coups de ses fougueux adorateurs, comme le pied de saint Pierre, à Rome, ou le genou d’Hercule que les païens adoraient en Sicile ; mais, pour la préserver des baisers trop ardents, elle fut entourée d’une boiserie en 1831. Avec sa Vierge souterraine, Chartres passe pour être le plus ancien de tous les pèlerinages. Ce n’était d’abord qu’une antique statuette d’Isis sculptée avant Jésus-Christ, ainsi que le racontent d’anciennes chroniques locales.
Toutefois, notre image actuelle ne date que de l’extrême fin du xviiie siècle, celle de la déesse Isis ayant été détruite, à une époque inconnue, et remplacée par une statue de bois, tenant son Enfant assis sur les genoux, laquelle fut brûlée en 1793. »
Les grandes cathédrales étaient les temples de cette déesse. Entre 1170 et 1270, pas moins de 84 cathédrales dédiées à Notre-Dame et cinq cents églises seront édifiées à sa gloire. La plus grande partie de ces monuments seront bâtis sur des sites déjà consacrés par la présence d’une statue de Madone, le plus souvent noire et généralement pré-chrétienne.
La déesse druidique des Carnutes
Chartres est située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l’an, de très secrètes liturgies. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est qu’il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la " Vierge Noire ".
La Déesse des Commencements
La cathédrale de Chartres est un sanctuaire dédié à la Vierge bien avant l’introduction du christianisme en Gaule. Cette "Virgo Paritura" que les Druides ont vénérée à l’emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte, est appelée " Notre Dame de Sous-Terre ", l’image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle " sur le point d’enfanter " le monde, vers laquelle se dresse l’humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l’Immaculée conception.
Les deux vierges de Chartres
Selon Fulcanelli, « La cathédrale de Chartres est la mieux partagée sous ce rapport ; elle en possède deux, l’une désignée sous le vocable expressif de Notre-Dame-sous-Terre, dans la crypte, est assise sur un trône dont le socle porte l’inscription déjà relevée :
Virgini parituræ ; l’autre, extérieure, appelée Notre-Dame-du-Pilier, occupe le centre d’une niche remplie d’ex voto sous forme de cœurs embrasés. Cette dernière, nous dit Witkowski,est l’objet de la dévotion d’un grand nombre de pèlerins. Primitivement, ajoute cet auteur, la colonne de pierre qui lui sert de support était « cavée » des coups de ses fougueux adorateurs, comme le pied de saint Pierre, à Rome, ou le genou d’Hercule que les païens adoraient en Sicile ; mais, pour la préserver des baisers trop ardents, elle fut entourée d’une boiserie en 1831. Avec sa Vierge souterraine, Chartres passe pour être le plus ancien de tous les pèlerinages. Ce n’était d’abord qu’une antique statuette d’Isis sculptée avant Jésus-Christ, ainsi que le racontent d’anciennes chroniques locales.
Toutefois, notre image actuelle ne date que de l’extrême fin du xviiie siècle, celle de la déesse Isis ayant été détruite, à une époque inconnue, et remplacée par une statue de bois, tenant son Enfant assis sur les genoux, laquelle fut brûlée en 1793. »
Re: L'origine du Culte Marial
La crypte souterraine, utérus d’Isis
D’après Fulcanelli, « Jadis, les chambres souterraines des temples servaient de demeure aux statues d’Isis, lesquelles devinrent, lors de l’introduction du christianisme en Gaule, ces Vierges noires que le peuple, de nos jours, entoure d’une vénération toute particulière.
Leur symbolisme est d’ailleurs identique ; les une et les autres montrent, sur leur soubassement, la fameuse inscription : Virgini parituræ ; à la Vierge qui doit enfanter.
La mère des dieux
Ch. Bigarne, nous parle de plusieurs statues d’Isis désignées sous le même vocable.
« Déjà, (…) le savant Elias Schadius avait signalé, dans son livre De dictis Germanicis, une inscription analogue : Isidi, seu Virgini ex qua filius proditurus est (A Isis, ou à la Vierge de qui le Fils prendra naissance).
Ces icônes n’auraient donc point le sens chrétien qu’on leur prête, du moins exotériquement. Isis, avant la conception, c’est, dit Bigarne, dans la théogonie astronomique, l’attribut de la Vierge que plusieurs monuments, bien antérieurs au christianisme, désignent sous le nom de Virgo paritura, c’est-à-dire la terre avant sa fécondation, et que les rayons du soleil vont bientôt animer. C’est aussi la mère des dieux, comme l’atteste une pierre de Die : Matri Deum Magnæ ideæ. » (…) Un détail encore, utile pour l’hermétiste. Dans le cérémonial prescrit pour les processions de Vierges noires, on ne brûlait que des cierges de couleur verte.
Isis, la vierge noire de Paris
Les Parisii étaient un peuple belge vivant dans l’actuelle région parisienne et en Grande-Bretagne. Selon César (53 av. J.-C.), leur ville principale (oppidum) aurait été Lutetia (Paris). L’origine et la signification de l’ethnonyme Parisii n’est pas établie avec certitude, car le celtique ancien est assez mal connu au début du xxie siècle.
L’idole de Saint-Germain-des-Prés
Jacques-Antoine Dulaure, un historien du xviiie ‑ xixe siècle, associait le nom des Parisii à la déesse égyptienne Isis, à cause de la découverte d’une statue de la déesse retrouvée à l’église Saint-Germain-des-Prés.
Cette statue était maigre, haute, droite, noire pour sa peau, presque nue avec quelque linge entassé autour de ses membres et était située contre la muraille du côté septentrional où est situé le crucifix de l’église : on l’appelait l’idole de Saint-Germain-des-Prés. Avant la fondation de l’abbaye, il existait déjà à l’époque romaine, un temple probablement dédié à Isis, alors appelé Locotice, qui assurait l’immortalité aux initiés.
Isis brûlée lors de la Révolution Française
La cathédrale Notre-Dame-de-l’Annonciation du Puy-en-Velay (Auvergne) est un monument majeur de l’art roman et de l’Occident chrétien (XIe siècle). Une Vierge noire, objet de nombreux pèlerinages au cours des siècles, trône sur un maître-autel baroque. L’actuelle effigie remplace celle qui aurait été offerte par Saint Louis à son retour de la croisade d’Égypte, et qui fut brûlée lors de la Révolution française. Selon Faujas de Saint-Fond, il s’agissait d’une statue très ancienne d’Isis, déesse égyptienne de la fécondité, que l’on avait métamorphosée en Vierge.
Il est vrai que des statuettes d’Isis tenant Osiris sur les genoux lui ressemblent de façon frappante. En janvier 1794, la Vierge Noire arrachée de son autel fut dépouillée de ses richesses (pierres précieuses, dorures…) et reléguée aux Archives. On se souvint malheureusement d’elle : le 8 juin 1794, jour de la Pentecôte, les représentants du pouvoir révolutionnaire, dont Louis Guyardin, vinrent la chercher pour la brûler place du Martouret. Quand les toiles enduites de couleur eurent fini de se consumer, une petite porte secrète pratiquée dans le dos de la statue s’ouvrit et une sorte de parchemin roulé en boule en sortit ; malgré les protestations, on ne chercha pas à savoir ce qu’il contenait. Certains pensent que sur ce parchemin était inscrite l’origine exacte de la vierge noire.
Un culte matriarcal résistant
Avec les Madones noires, nous sommes donc en présence de cultes qui dépassent les dogmes chrétiens sur la virginité de la « Mère de Dieu ». Presque tous les aspects de ce culte laissent transpirer un paganisme originel, resté incroyablement vivace après des siècles de christianisation et de chasse aux superstitions.
D’après Fulcanelli, « Jadis, les chambres souterraines des temples servaient de demeure aux statues d’Isis, lesquelles devinrent, lors de l’introduction du christianisme en Gaule, ces Vierges noires que le peuple, de nos jours, entoure d’une vénération toute particulière.
Leur symbolisme est d’ailleurs identique ; les une et les autres montrent, sur leur soubassement, la fameuse inscription : Virgini parituræ ; à la Vierge qui doit enfanter.
La mère des dieux
Ch. Bigarne, nous parle de plusieurs statues d’Isis désignées sous le même vocable.
« Déjà, (…) le savant Elias Schadius avait signalé, dans son livre De dictis Germanicis, une inscription analogue : Isidi, seu Virgini ex qua filius proditurus est (A Isis, ou à la Vierge de qui le Fils prendra naissance).
Ces icônes n’auraient donc point le sens chrétien qu’on leur prête, du moins exotériquement. Isis, avant la conception, c’est, dit Bigarne, dans la théogonie astronomique, l’attribut de la Vierge que plusieurs monuments, bien antérieurs au christianisme, désignent sous le nom de Virgo paritura, c’est-à-dire la terre avant sa fécondation, et que les rayons du soleil vont bientôt animer. C’est aussi la mère des dieux, comme l’atteste une pierre de Die : Matri Deum Magnæ ideæ. » (…) Un détail encore, utile pour l’hermétiste. Dans le cérémonial prescrit pour les processions de Vierges noires, on ne brûlait que des cierges de couleur verte.
Isis, la vierge noire de Paris
Les Parisii étaient un peuple belge vivant dans l’actuelle région parisienne et en Grande-Bretagne. Selon César (53 av. J.-C.), leur ville principale (oppidum) aurait été Lutetia (Paris). L’origine et la signification de l’ethnonyme Parisii n’est pas établie avec certitude, car le celtique ancien est assez mal connu au début du xxie siècle.
L’idole de Saint-Germain-des-Prés
Jacques-Antoine Dulaure, un historien du xviiie ‑ xixe siècle, associait le nom des Parisii à la déesse égyptienne Isis, à cause de la découverte d’une statue de la déesse retrouvée à l’église Saint-Germain-des-Prés.
Cette statue était maigre, haute, droite, noire pour sa peau, presque nue avec quelque linge entassé autour de ses membres et était située contre la muraille du côté septentrional où est situé le crucifix de l’église : on l’appelait l’idole de Saint-Germain-des-Prés. Avant la fondation de l’abbaye, il existait déjà à l’époque romaine, un temple probablement dédié à Isis, alors appelé Locotice, qui assurait l’immortalité aux initiés.
Isis brûlée lors de la Révolution Française
La cathédrale Notre-Dame-de-l’Annonciation du Puy-en-Velay (Auvergne) est un monument majeur de l’art roman et de l’Occident chrétien (XIe siècle). Une Vierge noire, objet de nombreux pèlerinages au cours des siècles, trône sur un maître-autel baroque. L’actuelle effigie remplace celle qui aurait été offerte par Saint Louis à son retour de la croisade d’Égypte, et qui fut brûlée lors de la Révolution française. Selon Faujas de Saint-Fond, il s’agissait d’une statue très ancienne d’Isis, déesse égyptienne de la fécondité, que l’on avait métamorphosée en Vierge.
Il est vrai que des statuettes d’Isis tenant Osiris sur les genoux lui ressemblent de façon frappante. En janvier 1794, la Vierge Noire arrachée de son autel fut dépouillée de ses richesses (pierres précieuses, dorures…) et reléguée aux Archives. On se souvint malheureusement d’elle : le 8 juin 1794, jour de la Pentecôte, les représentants du pouvoir révolutionnaire, dont Louis Guyardin, vinrent la chercher pour la brûler place du Martouret. Quand les toiles enduites de couleur eurent fini de se consumer, une petite porte secrète pratiquée dans le dos de la statue s’ouvrit et une sorte de parchemin roulé en boule en sortit ; malgré les protestations, on ne chercha pas à savoir ce qu’il contenait. Certains pensent que sur ce parchemin était inscrite l’origine exacte de la vierge noire.
Un culte matriarcal résistant
Avec les Madones noires, nous sommes donc en présence de cultes qui dépassent les dogmes chrétiens sur la virginité de la « Mère de Dieu ». Presque tous les aspects de ce culte laissent transpirer un paganisme originel, resté incroyablement vivace après des siècles de christianisation et de chasse aux superstitions.
Re: L'origine du Culte Marial
A travers l'étude des mots et des étymologies contenus dans les mythes et les religions de l'Antiquité, Alexandre Hislop a dans son livre "les deux Babylones" recomposé le fil historique qui relie le Catholicisme aux anciennes religions chaldéenne, égyptienne, grecque et romaine. Le constat est effarant ! Il est fréquent que nous retrouvions dans les mythologies sumériennes, babyloniennes, et autres, des personnages dont l'histoire est semblable et seul le nom diffère.
L'un de ces personnages était connu pour avoir fondé BABYLONE lorsqu'il portait le nom de NIMROD (qui est très certainement un titre signifiant "Seigneur", ainsi que pour avoir construit des cités telles que Ninive où de nombreuses tablettes sumériennes ont été retrouvées, indiquant une copie des mythes égyptiens. L'astrologie de sumer est pauvre en comparaison de la connaissance des Egyptiens et de plus tard les Grecs, puis finalement au Vatican.
SEMIRAMIS (un avatar d'ISIS dont le nom égyptien est ASET) est la femme de NIMROD, elle est appelée NINKHARSAG (ou Nin-Khoursag), la "dame de la montagne", dans les mythes sumériens, où elle est le compagnon du Dieu ENLIL. SEMIRAMIS est devenue la reine de BABYLONE et a épousé NIMROD (Nimrud, Nemrod) . Selon l'historien Flavius Josèphe, et la Genèse laissent entendre que NIMROD était un puissant chasseur qui provoquait Dieu.
Le jour où NIMROD est à mort, le peuple a pleuré. SEMIRAMIS a donné naissance à un enfant, TAMMUZ et a déclaré qu'il était la réincarnation de NIMROD.
Ainsi elle est devenue une déesse dotée de nombreux appellations :
Reine du ciel, médiatrice, reine de l'humanité. TAMMUZ deviendra BAAL, le " SEIGNEUR ". NIMROD a comme planète correspondante JUPITER et la constellation d'ORION. TAMMUZ (Messie) né le 25 décembre est lié à la LUNE comme OSIRIS mais il n'est pas HORUS l'Egyptien.
Dans une autre version, TAMMUZ est le fils de SEMIRAMIS mais illégitime, c'est à dire un BATARD. La reine prétendait alors que sont fils était celui de NIMROD. Ainsi elle déclara, que le SEIGNEUR son mari était de retour (renaissance). Puis, lorsque les Babyloniens ont été dispersés dans différentes parties du monde, ils ont apporté avec eux le culte de la divine mère SEMIRAMIS et de son fils TAMMUZ.
Aphrodite et Hermes.........................Artémis / Diane......................Ostara / Eostre......................Devaki et Krishna
Ces appellations des divinités dépendent du lieu géographique où l’on se trouve. En Chine, ce fut le culte de la sainte SHING MOO. En Inde, celui de KALI ou de DEVAKI (la déesse) et de KRISHNA (son fils). A Ephèse, celui de DIANE. Toutes ces entités viennent d'Egypte et du culte d' ISIS (la déesse mère) et de HORUS (son fils) avec le père OSIRIS.
L'un de ces personnages était connu pour avoir fondé BABYLONE lorsqu'il portait le nom de NIMROD (qui est très certainement un titre signifiant "Seigneur", ainsi que pour avoir construit des cités telles que Ninive où de nombreuses tablettes sumériennes ont été retrouvées, indiquant une copie des mythes égyptiens. L'astrologie de sumer est pauvre en comparaison de la connaissance des Egyptiens et de plus tard les Grecs, puis finalement au Vatican.
SEMIRAMIS (un avatar d'ISIS dont le nom égyptien est ASET) est la femme de NIMROD, elle est appelée NINKHARSAG (ou Nin-Khoursag), la "dame de la montagne", dans les mythes sumériens, où elle est le compagnon du Dieu ENLIL. SEMIRAMIS est devenue la reine de BABYLONE et a épousé NIMROD (Nimrud, Nemrod) . Selon l'historien Flavius Josèphe, et la Genèse laissent entendre que NIMROD était un puissant chasseur qui provoquait Dieu.
Le jour où NIMROD est à mort, le peuple a pleuré. SEMIRAMIS a donné naissance à un enfant, TAMMUZ et a déclaré qu'il était la réincarnation de NIMROD.
Ainsi elle est devenue une déesse dotée de nombreux appellations :
Reine du ciel, médiatrice, reine de l'humanité. TAMMUZ deviendra BAAL, le " SEIGNEUR ". NIMROD a comme planète correspondante JUPITER et la constellation d'ORION. TAMMUZ (Messie) né le 25 décembre est lié à la LUNE comme OSIRIS mais il n'est pas HORUS l'Egyptien.
Dans une autre version, TAMMUZ est le fils de SEMIRAMIS mais illégitime, c'est à dire un BATARD. La reine prétendait alors que sont fils était celui de NIMROD. Ainsi elle déclara, que le SEIGNEUR son mari était de retour (renaissance). Puis, lorsque les Babyloniens ont été dispersés dans différentes parties du monde, ils ont apporté avec eux le culte de la divine mère SEMIRAMIS et de son fils TAMMUZ.
Aphrodite et Hermes.........................Artémis / Diane......................Ostara / Eostre......................Devaki et Krishna
Ces appellations des divinités dépendent du lieu géographique où l’on se trouve. En Chine, ce fut le culte de la sainte SHING MOO. En Inde, celui de KALI ou de DEVAKI (la déesse) et de KRISHNA (son fils). A Ephèse, celui de DIANE. Toutes ces entités viennent d'Egypte et du culte d' ISIS (la déesse mère) et de HORUS (son fils) avec le père OSIRIS.
Re: L'origine du Culte Marial
En 1950, le Pape Pie XII proclamait l’"assomption de Marie", l’identifiant comme étant la Reine du Ciel.
“ Les enfants ramassent du bois, Les pères allument le feu et les femmes pétrissent la pâte pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter.” (Jérémie 7:18 TKCP)
“ Mais nous voulons agir comme l’a déclaré notre bouche, offrir de l’encens à la reine du ciel, et lui faire des libations, comme nous l’avons fait, nous et nos pères, nos rois et nos chefs, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem. Alors nous avions du pain pour nous rassasier, nous étions heureux, et nous n’éprouvions point de malheur.” (Jérémie 44:17 LSG)
“ Et depuis que nous avons cessé d’offrir de l’encens à la reine du ciel et de lui faire des libations, nous avons manqué de tout, et nous avons été consumés par l’épée et par la famine…” (Jérémie 44:18 LSG)
“D’ailleurs, lorsque nous offrons de l’encens à LA reine du ciel et que nous lui faisons des libations, est-ce sans la volonté de nos maris que nous lui préparons des gâteaux pour l’honorer et que nous lui faisons des libations?” (Jérémie 44:19 LSG)
Marie, reine du ciel et de la terre
de estelle.couvercelle » Mar Mai 27, 2014 3:35 pm
Ô Marie, vous la Reine du ciel et de la terre, avez bien voulu vous servir de ce qu’il y avait de plus faible selon le monde.Ô Marie, donnez à celle qui ose se dire votre enfant, cette précieuse vertu d’humilité. Faites, ô tendre Mère, que votre enfant vous imite en tout et pour tout. En un mot, que je sois une enfant selon votre cœur et selon celui de votre cher Fils. »
Jérémie 44:25 Ainsi parle le Seigneur (YHWH) des Armées, le Dieu d’Israël : Vous et vos femmes, vous avez accompli de vos mains ce que vous avez dit de votre bouche, à savoir : « Nous voulons nous acquitter des vœux que nous avons faits, offrir de l’encens à la reine du ciel et répandre des libations pour elle ! » Vous allez donc réaliser vos vœux, vous allez vous acquitter de vos vœux. 26 A cause de cela, écoutez la parole du Seigneur, vous tous, de Juda, qui habitez en Egypte ! Je le jure par mon grand nom, dit le Seigneur (YHWH), mon nom ne sera plus invoqué par la bouche d’aucun des hommes de Juda ; dans toute l’Egypte aucun ne dira : « Par la vie du Seigneur Dieu (YHWH) ! » 27 Je veillerai sur eux, non pas pour leur bonheur, mais pour leur malheur.
Apocalypse 17 La Bible du Semeur (BDS)
L'un des sept *anges qui tenaient les sept coupes vint me parler:
--- Viens ici, me dit-il, je te montrerai le jugement de la grande prostituée[a] qui est sise sur les grandes eaux.2 Les rois de la terre se sont livrés à la débauche avec elle, et les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution.3 Il me transporta alors en esprit dans un désert. Je vis une femme assise sur une bête au pelage écarlate. Cette bête était couverte de titres offensants pour Dieu, elle avait sept têtes et dix cornes.4 La femme était vêtue d'habits de pourpre et d'écarlate, et parée de bijoux d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait à la main une coupe d'or pleine de choses abominables et d'obscénités dues à sa prostitution.5 Sur son front, elle portait gravé un nom mystérieux signifiant: «La grande Babylone, la mère des prostituées et des abominations de la terre.»6 Je vis qu'elle était ivre du sang de ceux qui appartiennent à Dieu et de ceux qui ont rendu témoignage à Jésus. A sa vue, je fus profondément bouleversé.
“ Les enfants ramassent du bois, Les pères allument le feu et les femmes pétrissent la pâte pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter.” (Jérémie 7:18 TKCP)
“ Mais nous voulons agir comme l’a déclaré notre bouche, offrir de l’encens à la reine du ciel, et lui faire des libations, comme nous l’avons fait, nous et nos pères, nos rois et nos chefs, dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem. Alors nous avions du pain pour nous rassasier, nous étions heureux, et nous n’éprouvions point de malheur.” (Jérémie 44:17 LSG)
“ Et depuis que nous avons cessé d’offrir de l’encens à la reine du ciel et de lui faire des libations, nous avons manqué de tout, et nous avons été consumés par l’épée et par la famine…” (Jérémie 44:18 LSG)
“D’ailleurs, lorsque nous offrons de l’encens à LA reine du ciel et que nous lui faisons des libations, est-ce sans la volonté de nos maris que nous lui préparons des gâteaux pour l’honorer et que nous lui faisons des libations?” (Jérémie 44:19 LSG)
Marie, reine du ciel et de la terre
de estelle.couvercelle » Mar Mai 27, 2014 3:35 pm
Ô Marie, vous la Reine du ciel et de la terre, avez bien voulu vous servir de ce qu’il y avait de plus faible selon le monde.Ô Marie, donnez à celle qui ose se dire votre enfant, cette précieuse vertu d’humilité. Faites, ô tendre Mère, que votre enfant vous imite en tout et pour tout. En un mot, que je sois une enfant selon votre cœur et selon celui de votre cher Fils. »
Jérémie 44:25 Ainsi parle le Seigneur (YHWH) des Armées, le Dieu d’Israël : Vous et vos femmes, vous avez accompli de vos mains ce que vous avez dit de votre bouche, à savoir : « Nous voulons nous acquitter des vœux que nous avons faits, offrir de l’encens à la reine du ciel et répandre des libations pour elle ! » Vous allez donc réaliser vos vœux, vous allez vous acquitter de vos vœux. 26 A cause de cela, écoutez la parole du Seigneur, vous tous, de Juda, qui habitez en Egypte ! Je le jure par mon grand nom, dit le Seigneur (YHWH), mon nom ne sera plus invoqué par la bouche d’aucun des hommes de Juda ; dans toute l’Egypte aucun ne dira : « Par la vie du Seigneur Dieu (YHWH) ! » 27 Je veillerai sur eux, non pas pour leur bonheur, mais pour leur malheur.
Apocalypse 17 La Bible du Semeur (BDS)
L'un des sept *anges qui tenaient les sept coupes vint me parler:
--- Viens ici, me dit-il, je te montrerai le jugement de la grande prostituée[a] qui est sise sur les grandes eaux.2 Les rois de la terre se sont livrés à la débauche avec elle, et les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution.3 Il me transporta alors en esprit dans un désert. Je vis une femme assise sur une bête au pelage écarlate. Cette bête était couverte de titres offensants pour Dieu, elle avait sept têtes et dix cornes.4 La femme était vêtue d'habits de pourpre et d'écarlate, et parée de bijoux d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait à la main une coupe d'or pleine de choses abominables et d'obscénités dues à sa prostitution.5 Sur son front, elle portait gravé un nom mystérieux signifiant: «La grande Babylone, la mère des prostituées et des abominations de la terre.»6 Je vis qu'elle était ivre du sang de ceux qui appartiennent à Dieu et de ceux qui ont rendu témoignage à Jésus. A sa vue, je fus profondément bouleversé.
Re: L'origine du Culte Marial
Apocalypse 22:15 Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge !
Doctrines et dogmes non-bibliques imposés par la plupart des églises dites "chrétiennes" notamment l'Église Catholique
• Prières pour les morts.
300 après J.C.
•Signe de la croix.
300 après J.C.
• Vénération des anges et des saints décédés.
375 après J.C.
• Utilisation d'images pour le culte.
375 après J.C.
• La messe comme célébration quotidienne
394 après J.C.
• Premiers symptômes de l'exaltation de Marie. Première apparition du terme " Mère de Dieu " au Concile d'Ephèse.
431 après J.C.
• Rites de l'Extrême Onction.
526 après J.C.
• Doctrine du Purgatoire, sorte de sas avant le Paradis dont Jésus-Christ serait le geôlier!!!
593 après J.C.
• Prières adressées à Marie et aux saints décédés.
600 après J.C.
• Adoration de la Croix, des images, icônes et des reliques.
786 après J.C.
• Canonisation des saints décédés.
995 après J.C.
• Célibat des prêtres (pour empêcher la dispersion des biens par héritage).
1079 après J.C.
• Introduction du Rosaire copié sur des rites Musulmans et Tibétains.
1090 après J.C.
• Invention des indulgences, sources de profit supplémentaires.
1190 après J.C.
• Le pape Innocent III établit le principe de la transsubstantiation.
1215 après J.C.
• Confession auriculaire des péchés auprès d'un prêtre.
1215 après J.C.
• Adoration de l'hostie.
1220 après J.C.
• Coupe de vin retranchée et interdite au public au moment de la communion.
1414 après J.C.
• Le dogme de l'existence d'un Purgatoire est proclamé.
1439 après J.C.
• Confirmation de la doctrine des 7 sacrements.
1439 après J.C.
• L'autorité de la " tradition " des hommes est considérée comme étant égale à celle des Ecritures au Concile de trente.
1545 après J.C.
• Les livres " Deutérocanoniques " ou dits " apocryphes " sont ajoutés aux 66 Livres Bibliques originaux.
1546 après J.C.
• Dogme de l' Immaculée Conception " à propos de Marie.
1854 après J.C.
• Le Concile du Vatican proclame que le pape comme est infaillible en matière de foi et de morale.
1870 après J.C.
• Assomption du corps physique de la " Vierge Marie " dans les cieux peu de temps après sa mort.
1950 après J.C.
• Marie proclamée " Mère de l'Eglise ".
1965 après J.C.
— Vierge noire — Cathédrale de "Notre Dame" du Puy-en-Velay — (Haute Loire) —
Doctrines et dogmes non-bibliques imposés par la plupart des églises dites "chrétiennes" notamment l'Église Catholique
• Prières pour les morts.
300 après J.C.
•Signe de la croix.
300 après J.C.
• Vénération des anges et des saints décédés.
375 après J.C.
• Utilisation d'images pour le culte.
375 après J.C.
• La messe comme célébration quotidienne
394 après J.C.
• Premiers symptômes de l'exaltation de Marie. Première apparition du terme " Mère de Dieu " au Concile d'Ephèse.
431 après J.C.
• Rites de l'Extrême Onction.
526 après J.C.
• Doctrine du Purgatoire, sorte de sas avant le Paradis dont Jésus-Christ serait le geôlier!!!
593 après J.C.
• Prières adressées à Marie et aux saints décédés.
600 après J.C.
• Adoration de la Croix, des images, icônes et des reliques.
786 après J.C.
• Canonisation des saints décédés.
995 après J.C.
• Célibat des prêtres (pour empêcher la dispersion des biens par héritage).
1079 après J.C.
• Introduction du Rosaire copié sur des rites Musulmans et Tibétains.
1090 après J.C.
• Invention des indulgences, sources de profit supplémentaires.
1190 après J.C.
• Le pape Innocent III établit le principe de la transsubstantiation.
1215 après J.C.
• Confession auriculaire des péchés auprès d'un prêtre.
1215 après J.C.
• Adoration de l'hostie.
1220 après J.C.
• Coupe de vin retranchée et interdite au public au moment de la communion.
1414 après J.C.
• Le dogme de l'existence d'un Purgatoire est proclamé.
1439 après J.C.
• Confirmation de la doctrine des 7 sacrements.
1439 après J.C.
• L'autorité de la " tradition " des hommes est considérée comme étant égale à celle des Ecritures au Concile de trente.
1545 après J.C.
• Les livres " Deutérocanoniques " ou dits " apocryphes " sont ajoutés aux 66 Livres Bibliques originaux.
1546 après J.C.
• Dogme de l' Immaculée Conception " à propos de Marie.
1854 après J.C.
• Le Concile du Vatican proclame que le pape comme est infaillible en matière de foi et de morale.
1870 après J.C.
• Assomption du corps physique de la " Vierge Marie " dans les cieux peu de temps après sa mort.
1950 après J.C.
• Marie proclamée " Mère de l'Eglise ".
1965 après J.C.
— Vierge noire — Cathédrale de "Notre Dame" du Puy-en-Velay — (Haute Loire) —
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