L'idolâtrie dans les religions
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La kaaba - Les origines païennes pré-islamique
L'idolâtrie dans les religions
Le Coran, la dérive de l'Islam, par Jacques Smadja p. 108-109
«Le culte de celui-ci [Mohammed] devait unir entre elles toutes les tribus arabes de la péninsule. Il se mit à réformer la législation de la cité [Médine] et, à partir de l'an 624 de notre ère, à entreprendre une campagne contre les Mecquois, marquée par les événements suivants: une victoire (Badr), une défaite (Ohod), le blocus de Médine que les assiégés entourèrent d'un grand fossé (la guerre du Fossé), une série de négociations, de compromis et, finalement, en 630, la prise de La Mecque. Muhammad s'assurait un onzième marriage avec la fille d'un chef mecquois, concluant les dernières alliances dont il avait besoin pour asseoir son autorité.
En habile politicien, il ne supprima pas le pèlerinage païen à La Mecque, où l'on adorait la pierre noire. Ce pèlerinage était un véritable symbole d'union, toutes les tribus nomades s'y retrouvaient, et le premier exclusivement musulman eut lieu en mars 632 sous les auspices du Prophète.»
La kaaba - Les origines païennes pré-islamique
Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 kaabas dans la péninsule d'Arabie, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.
Quant à son apparence primitive, la Ka‘ba apparaissait probablement au départ comme un simple enclos de pierres sans toit, édifié à proximité immédiate d'un point d'eau salvateur au fond d'une vallée sèche et non arborée. Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d'espace sacré.
Bientôt, les populations bédouines vinrent de toute l'Arabie y déposer les statues (asnam) de leurs idoles, auxquelles ils rendaient visite une fois par an lors d'un pèlerinage. On dit qu'à l'avènement de l'islam, la Kaaba contenait plus de 360 statues de divinités, les plus vénérées et les plus plébiscitées étant : Hubbal, al-Lat, al-`Uzza ou Manat.
La Ka'ba mecquoise fut édifiée à une époque indéterminée. Le Coran dit que c'est le prophète Ibrahim (Abraham) qui l'a construite avec l'aide de son fils Ismaël.
Les rites païens musulmans
- Lors de leur prières, les musulmans se prosternent 5 fois par jour en direction de ce morceau de meteorite orné d'argent
- Lors du hadj, les pelerins se bousculent pour caresser ou embrasser la pierre noire. Météorite située dans un angle de la Kaaba.
- Le rite islamique veut que les pelerins tournent 7 fois autour de la kaaba. Culte que l'on retrouve dans les sectes et "religions" païennes.
- Selon un hadith Muslim authentique, cette pierre avait l'habitude saluer le prophète de l'islam.
dieu "Sîn", symbole que l'on retrouve sur la "porte du repentir" à l'intérieur de la Kaaba à La Mecque.
Intérieur de la Kaaba
Le Coran, la dérive de l'Islam, par Jacques Smadja p. 108-109
«Le culte de celui-ci [Mohammed] devait unir entre elles toutes les tribus arabes de la péninsule. Il se mit à réformer la législation de la cité [Médine] et, à partir de l'an 624 de notre ère, à entreprendre une campagne contre les Mecquois, marquée par les événements suivants: une victoire (Badr), une défaite (Ohod), le blocus de Médine que les assiégés entourèrent d'un grand fossé (la guerre du Fossé), une série de négociations, de compromis et, finalement, en 630, la prise de La Mecque. Muhammad s'assurait un onzième marriage avec la fille d'un chef mecquois, concluant les dernières alliances dont il avait besoin pour asseoir son autorité.
En habile politicien, il ne supprima pas le pèlerinage païen à La Mecque, où l'on adorait la pierre noire. Ce pèlerinage était un véritable symbole d'union, toutes les tribus nomades s'y retrouvaient, et le premier exclusivement musulman eut lieu en mars 632 sous les auspices du Prophète.»
La kaaba - Les origines païennes pré-islamique
Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 kaabas dans la péninsule d'Arabie, mais celle de La Mecque était vénérée par toutes les tribus.
Quant à son apparence primitive, la Ka‘ba apparaissait probablement au départ comme un simple enclos de pierres sans toit, édifié à proximité immédiate d'un point d'eau salvateur au fond d'une vallée sèche et non arborée. Sa construction dans ce lieu insolite signalait manifestement déjà une intention cultuelle et confirmait son caractère d'espace sacré.
Bientôt, les populations bédouines vinrent de toute l'Arabie y déposer les statues (asnam) de leurs idoles, auxquelles ils rendaient visite une fois par an lors d'un pèlerinage. On dit qu'à l'avènement de l'islam, la Kaaba contenait plus de 360 statues de divinités, les plus vénérées et les plus plébiscitées étant : Hubbal, al-Lat, al-`Uzza ou Manat.
La Ka'ba mecquoise fut édifiée à une époque indéterminée. Le Coran dit que c'est le prophète Ibrahim (Abraham) qui l'a construite avec l'aide de son fils Ismaël.
Les rites païens musulmans
- Lors de leur prières, les musulmans se prosternent 5 fois par jour en direction de ce morceau de meteorite orné d'argent
- Lors du hadj, les pelerins se bousculent pour caresser ou embrasser la pierre noire. Météorite située dans un angle de la Kaaba.
- Le rite islamique veut que les pelerins tournent 7 fois autour de la kaaba. Culte que l'on retrouve dans les sectes et "religions" païennes.
- Selon un hadith Muslim authentique, cette pierre avait l'habitude saluer le prophète de l'islam.
dieu "Sîn", symbole que l'on retrouve sur la "porte du repentir" à l'intérieur de la Kaaba à La Mecque.
Intérieur de la Kaaba
Re: L'idolâtrie dans les religions
L'idolâtrie dans les religions
Apocalypse 22:15 Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge !
Doctrines et dogmes non-bibliques imposés par la plupart des églises dites "chrétiennes" notamment l'Église Catholique
• Prières pour les morts.
300 après J.C.
•Signe de la croix.
300 après J.C.
• Vénération des anges et des saints décédés.
375 après J.C.
• Utilisation d'images pour le culte.
375 après J.C.
• La messe comme célébration quotidienne
394 après J.C.
• Premiers symptômes de l'exaltation de Marie. Première apparition du terme " Mère de Dieu " au Concile d'Ephèse.
431 après J.C.
• Rites de l'Extrême Onction.
526 après J.C.
• Doctrine du Purgatoire, sorte de sas avant le Paradis dont Jésus-Christ serait le geôlier!!!
593 après J.C.
• Prières adressées à Marie et aux saints décédés.
600 après J.C.
• Adoration de la Croix, des images, icônes et des reliques.
786 après J.C.
• Canonisation des saints décédés.
995 après J.C.
• Célibat des prêtres (pour empêcher la dispersion des biens par héritage).
1079 après J.C.
• Introduction du Rosaire copié sur des rites Musulmans et Tibétains.
1090 après J.C.
• Invention des indulgences, sources de profit supplémentaires.
1190 après J.C.
• Le pape Innocent III établit le principe de la transsubstantiation.
1215 après J.C.
• Confession auriculaire des péchés auprès d'un prêtre.
1215 après J.C.
• Adoration de l'hostie.
1220 après J.C.
• Coupe de vin retranchée et interdite au public au moment de la communion.
1414 après J.C.
• Le dogme de l'existence d'un Purgatoire est proclamé.
1439 après J.C.
• Confirmation de la doctrine des 7 sacrements.
1439 après J.C.
• L'autorité de la " tradition " des hommes est considérée comme étant égale à celle des Ecritures au Concile de trente.
1545 après J.C.
• Les livres " Deutérocanoniques " ou dits " apocryphes " sont ajoutés aux 66 Livres Bibliques originaux.
1546 après J.C.
• Dogme de l' Immaculée Conception " à propos de Marie.
1854 après J.C.
• Le Concile du Vatican proclame que le pape comme est infaillible en matière de foi et de morale.
1870 après J.C.
• Assomption du corps physique de la " Vierge Marie " dans les cieux peu de temps après sa mort.
1950 après J.C.
• Marie proclamée " Mère de l'Eglise ".
1965 après J.C.
— Vierge noire — Cathédrale de "Notre Dame" du Puy-en-Velay — (Haute Loire) —
Apocalypse 22:15 Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge !
Doctrines et dogmes non-bibliques imposés par la plupart des églises dites "chrétiennes" notamment l'Église Catholique
• Prières pour les morts.
300 après J.C.
•Signe de la croix.
300 après J.C.
• Vénération des anges et des saints décédés.
375 après J.C.
• Utilisation d'images pour le culte.
375 après J.C.
• La messe comme célébration quotidienne
394 après J.C.
• Premiers symptômes de l'exaltation de Marie. Première apparition du terme " Mère de Dieu " au Concile d'Ephèse.
431 après J.C.
• Rites de l'Extrême Onction.
526 après J.C.
• Doctrine du Purgatoire, sorte de sas avant le Paradis dont Jésus-Christ serait le geôlier!!!
593 après J.C.
• Prières adressées à Marie et aux saints décédés.
600 après J.C.
• Adoration de la Croix, des images, icônes et des reliques.
786 après J.C.
• Canonisation des saints décédés.
995 après J.C.
• Célibat des prêtres (pour empêcher la dispersion des biens par héritage).
1079 après J.C.
• Introduction du Rosaire copié sur des rites Musulmans et Tibétains.
1090 après J.C.
• Invention des indulgences, sources de profit supplémentaires.
1190 après J.C.
• Le pape Innocent III établit le principe de la transsubstantiation.
1215 après J.C.
• Confession auriculaire des péchés auprès d'un prêtre.
1215 après J.C.
• Adoration de l'hostie.
1220 après J.C.
• Coupe de vin retranchée et interdite au public au moment de la communion.
1414 après J.C.
• Le dogme de l'existence d'un Purgatoire est proclamé.
1439 après J.C.
• Confirmation de la doctrine des 7 sacrements.
1439 après J.C.
• L'autorité de la " tradition " des hommes est considérée comme étant égale à celle des Ecritures au Concile de trente.
1545 après J.C.
• Les livres " Deutérocanoniques " ou dits " apocryphes " sont ajoutés aux 66 Livres Bibliques originaux.
1546 après J.C.
• Dogme de l' Immaculée Conception " à propos de Marie.
1854 après J.C.
• Le Concile du Vatican proclame que le pape comme est infaillible en matière de foi et de morale.
1870 après J.C.
• Assomption du corps physique de la " Vierge Marie " dans les cieux peu de temps après sa mort.
1950 après J.C.
• Marie proclamée " Mère de l'Eglise ".
1965 après J.C.
— Vierge noire — Cathédrale de "Notre Dame" du Puy-en-Velay — (Haute Loire) —
Re: L'idolâtrie dans les religions
L'idolâtrie dans les religions
"Les Deux Babylones ou Identité de l'Église Romaine et du culte de Nemrod et de Sémiramis".
Il n'y a presque pas de tribu païenne où l'on ne trouve la croix. Elle était adorée par les Celtes païens longtemps avant l'incarnation et la mort de Christ.
« C'est, dit Maurice, un fait remarquable et bien confirmé, que les Druides avaient coutume de choisir dans leurs bois l'arbre le plus grand, le plus beau, pour en faire un emblème de leur divinité; ils coupaient les petites branches, et attachaient deux des plus fortes à la plus haute partie du tronc, de telle manière que ces branches s'étendaient de chaque cotés comme les bras d'un homme, et présentaient avec le corps l'aspect d'une énorme croix; sur l'écorce, en plusieurs endroits, ils gravaient aussi la lettre Tau.»
Elle était adorée au Mexique longtemps avant que les catholiques romains n'y eussent pénétré; On y élevait de grandes croix de pierre, sans doute au dieu de la pluie. La croix ainsi adorée par beaucoup de nations ou regardée comme un emblème sacré, était le symbole indubitable de Bacchus, le Messie Babylonien, car il était représenté ayant sur la tête un bandeau couvert de croix.
Ce symbole du dieu Babylonien est aujourd'hui en honneur dans toutes les immenses landes de la Tartane, ou domine le Bouddhisme, et la manière dont on l'y représente fournit un commentaire frappant du langage dont Rome se sert pour désigner la croix.
Bien que la croix, dit le colonel Wilford, dans les Recherches asiatiques, ne soit pas un objet de culte chez les Boudhas ou Bouddhistes, c'est leur devise et leur emblème favoris.
Dans l'office de la croix, elle est appelée l'arbre de vie, et on enseigne à ses adorateurs à l'invoquer ainsi:
« Salut, O Croix, bois triomphal, véritable salut du monde, de tous les arbres il n'en est point un seul dont les feuilles, les fleurs, les boutons puissent être comparés aux tiens! 0 Croix, notre seule espérance, augmente la justice de l'homme pieux, et pardonne les fautes du pécheur. » Peut-on Croire en lisant le récit scripturaire de la crucifixion que ce récit ait jamais Pu se transformer en cette bizarrerie de feuilles, de fleurs et de boutons, qu 'on trouve dans l'office romain.
Mais si on considère que la croix Bouddhiste, comme celle de Babylone, était l'emblème certain de Tammuz, qui était connu comme la branche de gui, ou Celui qui guérit tout, il est facile de voir pourquoi l'initiale sacrée est couverte de feuilles, et pourquoi Rome, en l'adoptant, l'appelle, le « remède qui maintient la santé, guérit les maladies et fait ce que le pouvoir seul de l'homme ne pourrait jamais faire. »
Or, Ce symbole païen parait s'être introduit tout d'abord dans l'Église chrétienne d'Égypte, et dans l'Afrique entière.
Une déclaration de Tertullien, vers le milieu du troisième siècle, montre à quel point l'Église de Carthage était alors infectée du vieux levain L'Egypte en particulier, qui n'a jamais été entièrement évangélisée semble avoir la première, introduit ce symbole païen.
La première forme de ce qu'on appelle la croix chrétienne, découverte en Égypte sur des monuments chrétiens, est évidemment le Tau païen, ou signe de vie égyptien.
Que le lecteur lise avec soin ce passage de Wilkinson: «On peut citer un fait bien plus curieux concernant ce caractère hiéroglyphique (le Tau), c'est que les premiers chrétiens l'ont adopté au lieu de la croix, qui, plus tard, lui fut substituée; ils le mettaient en tête des inscriptions comme on le fit plus tard pour la croix.
Car, bien que le docteur Young ait des scrupules à croire les déclarations de sir A. Edmons-tone, d'après lequel on la trouve aussi dans les sépulcres de la grande oasis, je puis affirmer que ce dernier a raison et que beaucoup d'inscriptions avec un Tau en tête sont conservées encore aujourd'hui sur les premiers monuments chrétiens .»
Voici évidemment ce qu'il faut conclure de cette déclaration:
en Égypte, la première forme de ce que plus tard on appela la croix, n'était autre chose que la Crux Ansata, ou le signe de la vie, porté par Osiris et tous les autres dieux égyptiens; que l'ansa ou manche fut plus tard mis de côté et devint le simple Tau ou la croix ordinaire comme on l'a aujourd'hui et que, en la mettant sur les tombes, on n'avait nullement l'intention de rappeler la crucifixion du Nazaréen, mais c'était simplement le résultat d'un profond attachement aux anciens symboles païens, attachement toujours puissant, chez ceux qui, malgré le nom et la profession de chrétiens, sont encore, dans une large mesure, païens de coeur et de sentiment... C'est là et là seulement l'origine de l'adoration de la croix.
"Les Deux Babylones ou Identité de l'Église Romaine et du culte de Nemrod et de Sémiramis".
Il n'y a presque pas de tribu païenne où l'on ne trouve la croix. Elle était adorée par les Celtes païens longtemps avant l'incarnation et la mort de Christ.
« C'est, dit Maurice, un fait remarquable et bien confirmé, que les Druides avaient coutume de choisir dans leurs bois l'arbre le plus grand, le plus beau, pour en faire un emblème de leur divinité; ils coupaient les petites branches, et attachaient deux des plus fortes à la plus haute partie du tronc, de telle manière que ces branches s'étendaient de chaque cotés comme les bras d'un homme, et présentaient avec le corps l'aspect d'une énorme croix; sur l'écorce, en plusieurs endroits, ils gravaient aussi la lettre Tau.»
Elle était adorée au Mexique longtemps avant que les catholiques romains n'y eussent pénétré; On y élevait de grandes croix de pierre, sans doute au dieu de la pluie. La croix ainsi adorée par beaucoup de nations ou regardée comme un emblème sacré, était le symbole indubitable de Bacchus, le Messie Babylonien, car il était représenté ayant sur la tête un bandeau couvert de croix.
Ce symbole du dieu Babylonien est aujourd'hui en honneur dans toutes les immenses landes de la Tartane, ou domine le Bouddhisme, et la manière dont on l'y représente fournit un commentaire frappant du langage dont Rome se sert pour désigner la croix.
Bien que la croix, dit le colonel Wilford, dans les Recherches asiatiques, ne soit pas un objet de culte chez les Boudhas ou Bouddhistes, c'est leur devise et leur emblème favoris.
Dans l'office de la croix, elle est appelée l'arbre de vie, et on enseigne à ses adorateurs à l'invoquer ainsi:
« Salut, O Croix, bois triomphal, véritable salut du monde, de tous les arbres il n'en est point un seul dont les feuilles, les fleurs, les boutons puissent être comparés aux tiens! 0 Croix, notre seule espérance, augmente la justice de l'homme pieux, et pardonne les fautes du pécheur. » Peut-on Croire en lisant le récit scripturaire de la crucifixion que ce récit ait jamais Pu se transformer en cette bizarrerie de feuilles, de fleurs et de boutons, qu 'on trouve dans l'office romain.
Mais si on considère que la croix Bouddhiste, comme celle de Babylone, était l'emblème certain de Tammuz, qui était connu comme la branche de gui, ou Celui qui guérit tout, il est facile de voir pourquoi l'initiale sacrée est couverte de feuilles, et pourquoi Rome, en l'adoptant, l'appelle, le « remède qui maintient la santé, guérit les maladies et fait ce que le pouvoir seul de l'homme ne pourrait jamais faire. »
Or, Ce symbole païen parait s'être introduit tout d'abord dans l'Église chrétienne d'Égypte, et dans l'Afrique entière.
Une déclaration de Tertullien, vers le milieu du troisième siècle, montre à quel point l'Église de Carthage était alors infectée du vieux levain L'Egypte en particulier, qui n'a jamais été entièrement évangélisée semble avoir la première, introduit ce symbole païen.
La première forme de ce qu'on appelle la croix chrétienne, découverte en Égypte sur des monuments chrétiens, est évidemment le Tau païen, ou signe de vie égyptien.
Que le lecteur lise avec soin ce passage de Wilkinson: «On peut citer un fait bien plus curieux concernant ce caractère hiéroglyphique (le Tau), c'est que les premiers chrétiens l'ont adopté au lieu de la croix, qui, plus tard, lui fut substituée; ils le mettaient en tête des inscriptions comme on le fit plus tard pour la croix.
Car, bien que le docteur Young ait des scrupules à croire les déclarations de sir A. Edmons-tone, d'après lequel on la trouve aussi dans les sépulcres de la grande oasis, je puis affirmer que ce dernier a raison et que beaucoup d'inscriptions avec un Tau en tête sont conservées encore aujourd'hui sur les premiers monuments chrétiens .»
Voici évidemment ce qu'il faut conclure de cette déclaration:
en Égypte, la première forme de ce que plus tard on appela la croix, n'était autre chose que la Crux Ansata, ou le signe de la vie, porté par Osiris et tous les autres dieux égyptiens; que l'ansa ou manche fut plus tard mis de côté et devint le simple Tau ou la croix ordinaire comme on l'a aujourd'hui et que, en la mettant sur les tombes, on n'avait nullement l'intention de rappeler la crucifixion du Nazaréen, mais c'était simplement le résultat d'un profond attachement aux anciens symboles païens, attachement toujours puissant, chez ceux qui, malgré le nom et la profession de chrétiens, sont encore, dans une large mesure, païens de coeur et de sentiment... C'est là et là seulement l'origine de l'adoration de la croix.
Ce que dit la Bible
Bible : Ex 20.4, 5; De 5.8, 9
Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.
Deutéronome 4.15/18 Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Eternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux, la figure d’une bête qui rampe sur le sol, la figure d’un poisson qui vive dans les eaux au-dessous de la terre.
Deutéronome 29:16 Vous savez de quelle manière nous avons habité dans le pays d'Égypte, et comment nous avons passé au milieu des nations que vous avez traversées. 17 Vous avez vu leurs abominations et leurs idoles, le bois et la pierre, l'argent et l'or, qui sont chez elles.
C'est un culte rendu aux démons. 1 Corinthiens 10.14 à 22
Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elles, car je suis l'Eternel, votre Dieu. Lévitique 26:1
Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. 2 Rois 17:33
2 Corinthiens 6.14/17 :
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres?
Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle?
Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?
On apporte de Tarsis des lames d’argent, et d’Uphaz de l’or, L’ouvrier et la main de l’orfèvre les mettent en œuvre; Les vêtements de ces dieux sont d’étoffes teintes en bleu et en pourpre, Tous sont l’ouvrage d’habiles artisans. Jérémie 10:9
Les idoles des nations sont de l’argent et de l’or, Elles sont l’ouvrage de la main des hommes. Psaumes 135:15
«Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.
Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
et qui fais miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.»
(Exode 20:3-6)
Jérémie 50:8
Fuyez de Babylone, sortez du pays des Chaldéens, Et soyez comme des boucs à la tête du troupeau!
Apocalypse 18:4
Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux.
Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent et qui fais miséricorde jusqu’en mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.
Deutéronome 4.15/18 Puisque vous n’avez vu aucune figure le jour où l’Eternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre, la figure d’un oiseau qui vole dans les cieux, la figure d’une bête qui rampe sur le sol, la figure d’un poisson qui vive dans les eaux au-dessous de la terre.
Deutéronome 29:16 Vous savez de quelle manière nous avons habité dans le pays d'Égypte, et comment nous avons passé au milieu des nations que vous avez traversées. 17 Vous avez vu leurs abominations et leurs idoles, le bois et la pierre, l'argent et l'or, qui sont chez elles.
C'est un culte rendu aux démons. 1 Corinthiens 10.14 à 22
Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elles, car je suis l'Eternel, votre Dieu. Lévitique 26:1
Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient en même temps leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. 2 Rois 17:33
2 Corinthiens 6.14/17 :
Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres?
Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle?
Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles?
On apporte de Tarsis des lames d’argent, et d’Uphaz de l’or, L’ouvrier et la main de l’orfèvre les mettent en œuvre; Les vêtements de ces dieux sont d’étoffes teintes en bleu et en pourpre, Tous sont l’ouvrage d’habiles artisans. Jérémie 10:9
Les idoles des nations sont de l’argent et de l’or, Elles sont l’ouvrage de la main des hommes. Psaumes 135:15
«Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.
Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent,
et qui fais miséricorde jusqu'à mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.»
(Exode 20:3-6)
Jérémie 50:8
Fuyez de Babylone, sortez du pays des Chaldéens, Et soyez comme des boucs à la tête du troupeau!
Apocalypse 18:4
Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux.
Le Chapelet
Hindouisme, Bouddhisme, islam et la Chrétienté
Chapelets
Genèse (11, 1-9) - La tour de Babel
Gravure Gustave Doré la Bible Ancien Testament La tour de Babel
La Genèse
Gn 11:1- Tout le monde se servait d'une même langue et des mêmes mots.
Gn 11:2- Comme les hommes se déplaçaient à l'orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s'y établirent.
Gn 11:3- Ils se dirent l'un à l'autre : Allons ! Faisons des briques et cuisons-les au feu ! La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier.
Gn 11:4- Ils dirent : Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la terre !
Gn 11:5- Or Yahvé descendit pour voir la ville et la tour que les hommes avaient bâties.
Gn 11:6- Et Yahvé dit : Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises ! Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux.
Gn 11:7- Allons ! Descendons ! Et là, confondons leur langage pour qu'ils ne s'entendent plus les uns les autres.
Gn 11:8- Yahvé les dispersa de là sur toute la face de la terre et ils cessèrent de bâtir la ville.
Gn 11:9- Aussi la nomma-t-on Babel, car c'est là que Yahvé confondit le langage de tous les habitants de la terre et c'est de là qu'il les dispersa sur toute la face de la terre.
Chapelets
Genèse (11, 1-9) - La tour de Babel
Gravure Gustave Doré la Bible Ancien Testament La tour de Babel
La Genèse
Gn 11:1- Tout le monde se servait d'une même langue et des mêmes mots.
Gn 11:2- Comme les hommes se déplaçaient à l'orient, ils trouvèrent une vallée au pays de Shinéar et ils s'y établirent.
Gn 11:3- Ils se dirent l'un à l'autre : Allons ! Faisons des briques et cuisons-les au feu ! La brique leur servit de pierre et le bitume leur servit de mortier.
Gn 11:4- Ils dirent : Allons ! Bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet pénètre les cieux ! Faisons-nous un nom et ne soyons pas dispersés sur toute la terre !
Gn 11:5- Or Yahvé descendit pour voir la ville et la tour que les hommes avaient bâties.
Gn 11:6- Et Yahvé dit : Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises ! Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux.
Gn 11:7- Allons ! Descendons ! Et là, confondons leur langage pour qu'ils ne s'entendent plus les uns les autres.
Gn 11:8- Yahvé les dispersa de là sur toute la face de la terre et ils cessèrent de bâtir la ville.
Gn 11:9- Aussi la nomma-t-on Babel, car c'est là que Yahvé confondit le langage de tous les habitants de la terre et c'est de là qu'il les dispersa sur toute la face de la terre.
Les Symboles
Les symboles, l'invocation des saints, la Trinité, la mère et l'enfant qui est Sémiramis avec son enfant, etc, ont pour origine Babylone qui du temps de Rome était le Mithraïsme avec sa trinité païenne.
Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ?
L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines. Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.”
Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" ! Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en Dieu un Père, un Fils et un Saint-Esprit coéternels.
Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement. Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul.Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381.
L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament.
Le Dictionnaire de théologie catholique, un ouvrage de référence en 15 volumes, avoue: “Il semble incontestable que la révélation du mystère de la Trinité n’a pas été faite aux Juifs.”
Les symboles:
Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple. Voici ce les l'archéologie nous dévoile.
Trimurti, la trinité hindoue
Ici les traces de Babylone partout dans le monde.
Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ?
L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines. Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.”
Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" ! Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en Dieu un Père, un Fils et un Saint-Esprit coéternels.
Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement. Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul.Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381.
L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament.
Le Dictionnaire de théologie catholique, un ouvrage de référence en 15 volumes, avoue: “Il semble incontestable que la révélation du mystère de la Trinité n’a pas été faite aux Juifs.”
Les symboles:
Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple. Voici ce les l'archéologie nous dévoile.
Trimurti, la trinité hindoue
Ici les traces de Babylone partout dans le monde.
Re: L'idolâtrie dans les religions
De l'idolâtrie au Dévoilement du Dieu. Un
" Vous ne ferez pas de Dieux en or à mon côté " (Chémote 20, 23)
Israël a fait connaître la Tora au monde, répandant ainsi l'idée originale de D. unique (monothéisme).
Le paradoxe est que ce petit peuple, maintenant connu pour son rigorisme, s'est rendu coupable d'idolâtrie, à commencer par la création d'un veau d'or, prototype du faux culte, immédiatement après avoir vécu l'expérience vivante de Dieu Un, protecteur, et qui plus est, après avoir été l'objet d'une expérience très intense, lors de la proclamation des Dix Paroles sur le Mont Sinaï.
Celle-ci n'est pas toujours aussi évidente qu'il n'y paraît : " Et à Shèt… naquit un fils qu'il nomma Enoch, …alors Hou'hal, (de la racine 'Halal) a invoqué le Nom de D." (Béréchite 4, 26). Toute l'ambivalence de ce verset qui constitue un tournant fondamental dans l'histoire cultuelle de l'Humanité, tient sur l'interprétation de Hou'hal.
Certains, comme le Ibn 'Ezra, Rabbi Chmouèl Bèn Meïr, petit-fils de Rachi, et le Sforno traduisent par on commença, donnant au verset une charge positive, marquant ainsi l'instant primordial où les hommes s'élevèrent à la conscience intime de la présence du D.ieu Un dont les Patriarches, pères du monothéisme, en forment l'archétype.
A l'opposé, Rachi, Rav Sa'adia Gaone et le Rambam mettent en évidence la seconde signification du terme Hou'hal (on profana). Le sentiment de la vacuité de la présence de D.ieu est susceptible de conduire l'homme, créé à l'image de D.ieu et donc mû par une force de sainteté intérieure, à vouloir combler ce manque par un culte déviant, tel Israël à l'heure où il fabriqua le veau d'or. Cependant, l'exil en Egypte, devenue creuset de fer, prépare les Bné Israël à devenir une nation sainte.
Pourtant, à peine sortis d'une intense contemplation de Dieu, à la fois collective et personnelle, ils créent un veau d'or : "…Et ils lui dirent à Aharon : lève-toi et façonne-nous D.ieu(x) qui iront devant nous car lui, Moché, l'homme qui nous a fait monter du Pays d'Egypte, nous ne savons pas ce qu'il lui est advenu" (Chémote 32, 1).
Certains, Pour certains des Bné Israël, encore tout imprégnés de traditions égyptiennes, une relation directe et personnelle à Dieu semble étrange : ''Je suis l'Eternel, Ton D. qui t'ai fait sortir d'Egypte, de la maison d'esclavage" (Chémote 20, 2).
N'ayant façonné qu'un seul veau d'or, ils recourent au duel multiple pour le désigner : "Voici tes dieux, Israël, qui t'ont fait monter du pays d'Egypte" (Chémote 32, 8). Ils ressentent la nécessité d'un intermédiaire, comme de coutume en Egypte. Aussi, attribuent-ils les dix plaies, leur sortie d'Egypte à Moché, faisant de lui l'incarnation de D.ieu.
Pourtant, la finalité était de transmettre la sanctification du Nom divin : "…Afin que tu racontes à ton fils et à ton petit-fils ce que J'ai fait en Egypte… et vous saurez que Je suis D." (Chémote 10, 2).
Au lieu de cela ils érigent un veau d'or. Leur manquement fut de ne pas sanctifier le Nom divin, à l'image de Moché qui, après avoir frappé le Rocher par deux fois, déclara : "…de ce rocher nous (Aharone et Moché) pouvons faire sortir de l'eau pour vous" (Chémote 20, 10).
Ce Nous, interprété comme une profanation du Nom de D., lui interdira son entrée en Israël. Cette première personne du pluriel pouvait en effet encourager la perception de Moché aux yeux d'Israël comme une incarnation de Dieu, comme Dieu lui-même. Les Fils d'Israël appréhendent-ils le veau comme une entité autonome détachée de la Source de vie, ou bien le considèrent-ils comme un médiateur en l'absence de Moché, afin de s'unir à l'ultime dimension transcendantale du D. caché ?
Depuis le temps des Patriarches et jusqu'à l'exil de Babylone, Israël est tentée par l'idolâtrie : outre les Térafim (idoles) cachés par Ra'hèl, Ya'akov doit purifier son camp des statuettes (Béréchite 35, 2).
Les Bné Israël, en proie à ce besoin rassurant d'incarner la divinité, offrent de l'encens à Né'houchtane, le serpent d'airain, antique symbole de foi en D. (Mélakhim 18, 4).
Par ailleurs, ils rendent un culte païen à l'éphod (manteau sans manches du grand-prêtre) de Gide'one (Juges 8, 27) et un Lévi élevé au rang de prêtre de la statue de Mikha remplit sa fonction tout naturellement (Choftim 17- 18).
Comment saisir alors la faute des Bné Israël, si faute il y a ? Et que peut être le culte véritable en Israël ? Les Bné Israël choisirent comme intermédiaire un jeune taureau, un veau. Est-ce un pur hasard ? Quelle conception de D. avaient les Bné Israël après avoir été témoins de la manière dont Il " fit justice des dieux de l'Egypte " (Bamidbar 33, 4) au pied du Mont Sinaï. C'est-à-dire après avoir atteint l'un des buts de la sortie d'Egypte : "…Vous servirez D. sur ce Mont " (Chémote 3, 12), et au bout des quarante jours passés dans l'attente du retour de Moché ?
Apparemment, les Fils d'Israël, debout au pied du Mont Sinaï, ne sont pas encore prêts à saisir l'esprit de la Parole de D. : " Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi " (Chémote 20, 3) et " tu ne te prosterneras point devant elles (les sculptures et les images)".
Tout au long de sa longue histoire tourmentée, Israël ne renie nullement D. pour adorer les dieux des nations environnantes, mais plutôt : " Leur intention est bonne, mais leurs moyens d'y parvenir ne le sont pas " (Selon le Kouzari).
Au contraire, l'agneau pascal enracine en leur conscience d'hommes libres la foi inébranlable en un D.ieu Un.
Selon Rabbi Yéhouda Halévi, Ibn 'Ezra et le Rambane, Israël recherchait, en l'absence de Moché (Bamidbar 9, 23), un substitut concret, une compensation à la révélation du Buisson Ardent. Résultat : "Ils échangèrent leur gloire contre la figure d'un veau qui broute l'herbe" (Psaume 106, 20) et "s'installèrent pour manger, boire et se levèrent pour se divertir" (Chémote 32, 6). Ce terme recouvre un triple sens : adultère (Béréchite 39, 17), meurtre (Chémouèl 2: 2, 14) et cultes étrangers.
" Israël rendit un faux culte non seulement au veau d'or mais aussi à d'autres dieux " (Traité 'Avoda Zara 53b). Leur faute ne fut pas tant de créer un veau mais d'outrepasser d'une part au commandement positif Je suis ton D. et d'autre part d'arroger au principe de la Providence divine.
Après la faute du veau d'or, aucun homme, fût-il Moché, aucun texte (les Tables de l'Alliance gravées de la main de D. mais brisées par Moché avec l'approbation a posteriori de D.) ne peuvent faire l'objet d'un culte dogmatique, notion étrangère au Judaïsme.
Or, le Judaïsme ignore la notion d'hérésie : "Israël, quand bien même fauterait-il, demeure Israël" (Sanhédrine 44a). A la brisure des Tables d'Alliance, les lettres divines gravées s'envolèrent, rendant ces Tables, pierre inutile. Le monde doit être sanctifié mais non point divinisé. Du spirituel dépend la matière.
Or, si les tables sont doubles, elles ne servent que de support aux lettres, pour proclamer haut et fort : " Ecoute Israël, l'Eternel notre D., est Un ". La faute des Bné Israël, si grave que D. refuse de les appeler "son peuple", au risque d'amener la profanation du nom divin par les nations : " Faut-il que les Egyptiens disent : c'est pour les faire périr…' (Chémote 32, 12) que tu les as tirés du pays d'Egypte… parce que l'Eternel n'a pas pu faire entrer ce peuple dans le pays qu'il leur avait promis, il les a égorgés dans le désert" (Bamidbar 14, 15- 16).
" Vous ne ferez pas de Dieux en or à mon côté " (Chémote 20, 23)
Israël a fait connaître la Tora au monde, répandant ainsi l'idée originale de D. unique (monothéisme).
Le paradoxe est que ce petit peuple, maintenant connu pour son rigorisme, s'est rendu coupable d'idolâtrie, à commencer par la création d'un veau d'or, prototype du faux culte, immédiatement après avoir vécu l'expérience vivante de Dieu Un, protecteur, et qui plus est, après avoir été l'objet d'une expérience très intense, lors de la proclamation des Dix Paroles sur le Mont Sinaï.
Une question se pose donc: "quelle est la limite séparant le culte véritable du faux culte" ? |
Celle-ci n'est pas toujours aussi évidente qu'il n'y paraît : " Et à Shèt… naquit un fils qu'il nomma Enoch, …alors Hou'hal, (de la racine 'Halal) a invoqué le Nom de D." (Béréchite 4, 26). Toute l'ambivalence de ce verset qui constitue un tournant fondamental dans l'histoire cultuelle de l'Humanité, tient sur l'interprétation de Hou'hal.
Certains, comme le Ibn 'Ezra, Rabbi Chmouèl Bèn Meïr, petit-fils de Rachi, et le Sforno traduisent par on commença, donnant au verset une charge positive, marquant ainsi l'instant primordial où les hommes s'élevèrent à la conscience intime de la présence du D.ieu Un dont les Patriarches, pères du monothéisme, en forment l'archétype.
A l'opposé, Rachi, Rav Sa'adia Gaone et le Rambam mettent en évidence la seconde signification du terme Hou'hal (on profana). Le sentiment de la vacuité de la présence de D.ieu est susceptible de conduire l'homme, créé à l'image de D.ieu et donc mû par une force de sainteté intérieure, à vouloir combler ce manque par un culte déviant, tel Israël à l'heure où il fabriqua le veau d'or. Cependant, l'exil en Egypte, devenue creuset de fer, prépare les Bné Israël à devenir une nation sainte.
Pourtant, à peine sortis d'une intense contemplation de Dieu, à la fois collective et personnelle, ils créent un veau d'or : "…Et ils lui dirent à Aharon : lève-toi et façonne-nous D.ieu(x) qui iront devant nous car lui, Moché, l'homme qui nous a fait monter du Pays d'Egypte, nous ne savons pas ce qu'il lui est advenu" (Chémote 32, 1).
Certains, Pour certains des Bné Israël, encore tout imprégnés de traditions égyptiennes, une relation directe et personnelle à Dieu semble étrange : ''Je suis l'Eternel, Ton D. qui t'ai fait sortir d'Egypte, de la maison d'esclavage" (Chémote 20, 2).
N'ayant façonné qu'un seul veau d'or, ils recourent au duel multiple pour le désigner : "Voici tes dieux, Israël, qui t'ont fait monter du pays d'Egypte" (Chémote 32, 8). Ils ressentent la nécessité d'un intermédiaire, comme de coutume en Egypte. Aussi, attribuent-ils les dix plaies, leur sortie d'Egypte à Moché, faisant de lui l'incarnation de D.ieu.
Pourtant, la finalité était de transmettre la sanctification du Nom divin : "…Afin que tu racontes à ton fils et à ton petit-fils ce que J'ai fait en Egypte… et vous saurez que Je suis D." (Chémote 10, 2).
Au lieu de cela ils érigent un veau d'or. Leur manquement fut de ne pas sanctifier le Nom divin, à l'image de Moché qui, après avoir frappé le Rocher par deux fois, déclara : "…de ce rocher nous (Aharone et Moché) pouvons faire sortir de l'eau pour vous" (Chémote 20, 10).
Ce Nous, interprété comme une profanation du Nom de D., lui interdira son entrée en Israël. Cette première personne du pluriel pouvait en effet encourager la perception de Moché aux yeux d'Israël comme une incarnation de Dieu, comme Dieu lui-même. Les Fils d'Israël appréhendent-ils le veau comme une entité autonome détachée de la Source de vie, ou bien le considèrent-ils comme un médiateur en l'absence de Moché, afin de s'unir à l'ultime dimension transcendantale du D. caché ?
Depuis le temps des Patriarches et jusqu'à l'exil de Babylone, Israël est tentée par l'idolâtrie : outre les Térafim (idoles) cachés par Ra'hèl, Ya'akov doit purifier son camp des statuettes (Béréchite 35, 2).
Les Bné Israël, en proie à ce besoin rassurant d'incarner la divinité, offrent de l'encens à Né'houchtane, le serpent d'airain, antique symbole de foi en D. (Mélakhim 18, 4).
Par ailleurs, ils rendent un culte païen à l'éphod (manteau sans manches du grand-prêtre) de Gide'one (Juges 8, 27) et un Lévi élevé au rang de prêtre de la statue de Mikha remplit sa fonction tout naturellement (Choftim 17- 18).
Comment saisir alors la faute des Bné Israël, si faute il y a ? Et que peut être le culte véritable en Israël ? Les Bné Israël choisirent comme intermédiaire un jeune taureau, un veau. Est-ce un pur hasard ? Quelle conception de D. avaient les Bné Israël après avoir été témoins de la manière dont Il " fit justice des dieux de l'Egypte " (Bamidbar 33, 4) au pied du Mont Sinaï. C'est-à-dire après avoir atteint l'un des buts de la sortie d'Egypte : "…Vous servirez D. sur ce Mont " (Chémote 3, 12), et au bout des quarante jours passés dans l'attente du retour de Moché ?
Apparemment, les Fils d'Israël, debout au pied du Mont Sinaï, ne sont pas encore prêts à saisir l'esprit de la Parole de D. : " Tu n'auras pas d'autres dieux devant moi " (Chémote 20, 3) et " tu ne te prosterneras point devant elles (les sculptures et les images)".
Tout au long de sa longue histoire tourmentée, Israël ne renie nullement D. pour adorer les dieux des nations environnantes, mais plutôt : " Leur intention est bonne, mais leurs moyens d'y parvenir ne le sont pas " (Selon le Kouzari).
Au contraire, l'agneau pascal enracine en leur conscience d'hommes libres la foi inébranlable en un D.ieu Un.
Selon Rabbi Yéhouda Halévi, Ibn 'Ezra et le Rambane, Israël recherchait, en l'absence de Moché (Bamidbar 9, 23), un substitut concret, une compensation à la révélation du Buisson Ardent. Résultat : "Ils échangèrent leur gloire contre la figure d'un veau qui broute l'herbe" (Psaume 106, 20) et "s'installèrent pour manger, boire et se levèrent pour se divertir" (Chémote 32, 6). Ce terme recouvre un triple sens : adultère (Béréchite 39, 17), meurtre (Chémouèl 2: 2, 14) et cultes étrangers.
" Israël rendit un faux culte non seulement au veau d'or mais aussi à d'autres dieux " (Traité 'Avoda Zara 53b). Leur faute ne fut pas tant de créer un veau mais d'outrepasser d'une part au commandement positif Je suis ton D. et d'autre part d'arroger au principe de la Providence divine.
Après la faute du veau d'or, aucun homme, fût-il Moché, aucun texte (les Tables de l'Alliance gravées de la main de D. mais brisées par Moché avec l'approbation a posteriori de D.) ne peuvent faire l'objet d'un culte dogmatique, notion étrangère au Judaïsme.
Or, le Judaïsme ignore la notion d'hérésie : "Israël, quand bien même fauterait-il, demeure Israël" (Sanhédrine 44a). A la brisure des Tables d'Alliance, les lettres divines gravées s'envolèrent, rendant ces Tables, pierre inutile. Le monde doit être sanctifié mais non point divinisé. Du spirituel dépend la matière.
Or, si les tables sont doubles, elles ne servent que de support aux lettres, pour proclamer haut et fort : " Ecoute Israël, l'Eternel notre D., est Un ". La faute des Bné Israël, si grave que D. refuse de les appeler "son peuple", au risque d'amener la profanation du nom divin par les nations : " Faut-il que les Egyptiens disent : c'est pour les faire périr…' (Chémote 32, 12) que tu les as tirés du pays d'Egypte… parce que l'Eternel n'a pas pu faire entrer ce peuple dans le pays qu'il leur avait promis, il les a égorgés dans le désert" (Bamidbar 14, 15- 16).
De ce point de vue, D. n'a donc pas d'autre choix que "d'être D.ieu pour toi (Israël) et ta descendance" (Béréchite 17, 7) et Israël se verra forcé d'apprendre, de gré ou de force, à ne vénérer que D. seul, sans médiateurs. Moché ose, selon Rashi (Chémote 20, 31), reporter l'accusation de la faute sur D. Il appelle le veau D. (qui prodigue) l'or. Comment D. qui les a pourvus, à la sortie d'Egypte, de grands biens et particulièrement d'or (Chémote 11, 2) peut-il reprocher aux Bné Israël de l'avoir utilisé de cette façon, eux qui au plus profond de leur être désirent le servir ? Ne s'en serviront-ils pas plus tard pour construire le Tabernacle où résidera l'Arche recouverte d'or ? Moché, élevé dans la religion égyptienne, imprégné par elle depuis sa tendre enfance, accédant aux plus grands secrets de l'Egypte, sut néanmoins devenir un fervent avocat du monothéisme. Animé d'un amour illimité pour Israël, il restera cependant impuissant à éviter le veau d'or. L'expérience du veau d'or eut pour mérite d'ouvrir à la connaissance divine en valorisant la relation personnelle et directe que chaque homme unique peut entretenir avec son D. |
La perfection de l'homme réside en son adhésion à D. |
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
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