La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
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La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Rappel du premier message :
La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Entièrement prouvé dans les pages de la Bible !
Résumé
Aujourd’hui, les journaux nous relatent l’état des affaires mondiales, qui aurait été absolument impensable pour un observateur, en 1945, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Puis, l’axe Rome-Berlin a éclaté, et les forces américaines et britanniques s’élevèrent au pinacle de la victoire. De nos jours, les Britanniques ont été séparés de leur empire, et l’Amérique est moralement et culturellement en banqueroute. L’Europe est en train de s’unifier, activement, sous l’égide d’une puissante Union européenne, dominée par l’Allemagne.
Dans les décennies qui suivirent la Deuxième Guerre mondiale, l’Amérique et la Grande-Bretagne investirent des milliards de dollars dans des opérations d’espionnage et de contre-espionnage. Cependant, les événements géopolitiques les plus stupéfiants de l’époque d’après-guerre – aboutissant à l’effondrement du « Rideau de Fer », et à l’émergence d’une puissante Allemagne réunifiée – ont complètement pris par surprise ces gouvernements.
La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Entièrement prouvé dans les pages de la Bible !
- Quelle est l’identité de la bête de l’Apocalypse et recevrez-vous sa marque infâme ?
- À travers l’Apocalypse et son langage symbolique, la Bible interprète elle-même ses propres symboles !
- Pouvez-vous comprendre l’avenir et vous y préparer dans les années à venir ?
Résumé
Aujourd’hui, les journaux nous relatent l’état des affaires mondiales, qui aurait été absolument impensable pour un observateur, en 1945, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Puis, l’axe Rome-Berlin a éclaté, et les forces américaines et britanniques s’élevèrent au pinacle de la victoire. De nos jours, les Britanniques ont été séparés de leur empire, et l’Amérique est moralement et culturellement en banqueroute. L’Europe est en train de s’unifier, activement, sous l’égide d’une puissante Union européenne, dominée par l’Allemagne.
Dans les décennies qui suivirent la Deuxième Guerre mondiale, l’Amérique et la Grande-Bretagne investirent des milliards de dollars dans des opérations d’espionnage et de contre-espionnage. Cependant, les événements géopolitiques les plus stupéfiants de l’époque d’après-guerre – aboutissant à l’effondrement du « Rideau de Fer », et à l’émergence d’une puissante Allemagne réunifiée – ont complètement pris par surprise ces gouvernements.
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Chapitre 4 –La mystérieuse marque de la bête
Aucun sujet prophétique n’a soulevé autant de conjectures et de spéculations que la « marque de la bête ». En plus d’une « marque », Apocalypse 13 mentionne aussi une « incarnation » de la bête, ainsi que le mystérieux « nombre de son nom » – 666. Quelle est la signification de ces mystérieux symboles ?
Avant d’examiner le nombre, l’image ou la marque de la bête, considérons ce que nous avons établi jusqu’à présent. La bête des temps de la fin est clairement identifiée dans la Bible comme le successeur moderne de l’Empire de l’ancienne Babylone. Le prophète Daniel identifia quatre royaumes successifs : Babylone, la Perse, la Grèce et Rome. Rome, le « quatrième royaume », se poursuit sous sept survivances avant le retour du Messie, lorsque le Dieu des cieux détruira la dernière survivance de l’Empire romain et établira un Royaume qui durera à jamais.
Puisque l’Empire romain est la bête décrite par l’apôtre Jean dans Apocalypse 13 et 17, la « marque » est un insigne, ou une marque de l’Empire romain. « L’image » de la bête doit être quelque chose de modelé, ou de reproduit selon l’Empire romain.
Avant de poursuivre, notez qu’Apocalypse 13 mentionne une seconde « bête », d’origine terrestre et non céleste (verset 11). À première vue, elle semble être déguisée en chrétienne, cherchant à être identifiée comme le Christ, l’Agneau de Dieu (Jean 1 :29), mais recevant sa puissance du diable, qui est le serpent ancien (Apocalypse 12 :9). Dans la prophétie, les cornes sont utilisées pour représenter un gouvernement, ou une autorité, et cette créature est représentée avec deux cornes. Apocalypse 13 :12 révèle que cette seconde bête exige que tous fassent preuve d’allégeance et de loyauté envers le saint Empire romain, la bête dont la blessure mortelle avait été guérie (verset 12). Cette seconde bête est décrite comme accomplissant de grands miracles, et séduisant l’humanité (verset 13-14). Dans Matthieu 24 :24, le Christ prophétisa de « faux Christs », qui séduiront beaucoup de gens, sauf les véritables élus.
Historiquement, y a-t-il une institution proclamant représenter le Christ (“comme un agneau”, Apocalypse 13 :11), et séduisant la population par divers « prodiges » (verset 14) – une institution qui enseigne le message erroné du diable, qui est « à l’opposé » de la loi divine, et qui insiste auprès de ses partisans pour qu’ils fassent preuve de loyauté envers le saint Empire romain ? C’est exactement ce que fit l’Église de Rome, pendant toute la période médiévale !
Pourquoi deux cornes ? L’Église de Rome est à la fois un gouvernement ecclésiastique et civil. Le pape est à la fois un dirigeant religieux et la tête civile d’un État. Les prophéties bibliques montrent que l’union Église-État, au Moyen Age, était un précurseur des événements des temps de la fin, qui auront lieu à une beaucoup plus grande échelle.
Aucun sujet prophétique n’a soulevé autant de conjectures et de spéculations que la « marque de la bête ». En plus d’une « marque », Apocalypse 13 mentionne aussi une « incarnation » de la bête, ainsi que le mystérieux « nombre de son nom » – 666. Quelle est la signification de ces mystérieux symboles ?
Avant d’examiner le nombre, l’image ou la marque de la bête, considérons ce que nous avons établi jusqu’à présent. La bête des temps de la fin est clairement identifiée dans la Bible comme le successeur moderne de l’Empire de l’ancienne Babylone. Le prophète Daniel identifia quatre royaumes successifs : Babylone, la Perse, la Grèce et Rome. Rome, le « quatrième royaume », se poursuit sous sept survivances avant le retour du Messie, lorsque le Dieu des cieux détruira la dernière survivance de l’Empire romain et établira un Royaume qui durera à jamais.
Puisque l’Empire romain est la bête décrite par l’apôtre Jean dans Apocalypse 13 et 17, la « marque » est un insigne, ou une marque de l’Empire romain. « L’image » de la bête doit être quelque chose de modelé, ou de reproduit selon l’Empire romain.
Avant de poursuivre, notez qu’Apocalypse 13 mentionne une seconde « bête », d’origine terrestre et non céleste (verset 11). À première vue, elle semble être déguisée en chrétienne, cherchant à être identifiée comme le Christ, l’Agneau de Dieu (Jean 1 :29), mais recevant sa puissance du diable, qui est le serpent ancien (Apocalypse 12 :9). Dans la prophétie, les cornes sont utilisées pour représenter un gouvernement, ou une autorité, et cette créature est représentée avec deux cornes. Apocalypse 13 :12 révèle que cette seconde bête exige que tous fassent preuve d’allégeance et de loyauté envers le saint Empire romain, la bête dont la blessure mortelle avait été guérie (verset 12). Cette seconde bête est décrite comme accomplissant de grands miracles, et séduisant l’humanité (verset 13-14). Dans Matthieu 24 :24, le Christ prophétisa de « faux Christs », qui séduiront beaucoup de gens, sauf les véritables élus.
Historiquement, y a-t-il une institution proclamant représenter le Christ (“comme un agneau”, Apocalypse 13 :11), et séduisant la population par divers « prodiges » (verset 14) – une institution qui enseigne le message erroné du diable, qui est « à l’opposé » de la loi divine, et qui insiste auprès de ses partisans pour qu’ils fassent preuve de loyauté envers le saint Empire romain ? C’est exactement ce que fit l’Église de Rome, pendant toute la période médiévale !
Pourquoi deux cornes ? L’Église de Rome est à la fois un gouvernement ecclésiastique et civil. Le pape est à la fois un dirigeant religieux et la tête civile d’un État. Les prophéties bibliques montrent que l’union Église-État, au Moyen Age, était un précurseur des événements des temps de la fin, qui auront lieu à une beaucoup plus grande échelle.
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
La marque mystérieuse
Que peut donc être la marque ou l’insigne de l’Empire romain ? Dans quelques années, cela sera important pour tous ceux qui voudront participer au système économique de Babylone la Grande (Apocalypse 13 :17). Cependant, ceux qui l’accepteront, par leurs actions, amèneront aussi sur eux la terrible colère de Dieu (Apocalypse 14 :9-10). Quelle soit cette marque, elle a déjà existé dans les siècles passés, car tous les justes qui furent des martyrs la rejetèrent (Apocalypse 20 :4). En décrivant l’interaction de l’Église de Rome et du saint Empire romain médiéval, Apocalypse 13 montre que la marque, l’image et le nombre du nom de la bête ont tous existé pendant le Moyen Age, en tant que précurseur des temps de la fin.
Par le passé, beaucoup de suggestions ont été avancées pour identifier cette marque. Dans les années 1930, certains tentèrent de faire le lien avec les cartes de Sécurité Sociale, mises en place par l’administration Roosevelt. D’autres y ont vu des implications sinistres dans un système universel de codes à barres lisibles par des scanners. D’autres encore on soupçonné les cartes bancaires et d’autres innovations technologiques. Beaucoup s’attendaient à une sorte de tatouage, ou une minuscule puce informatique implantée sous la peau à l’insu de la population. Mais, à moins de rechercher TOUT ce que la Bible révèle à ce sujet, nous serons incapables de comprendre ce sujet.
Apocalypse 14 :10 révèle que ceux qui recevront la marque de la bête s’attireront la colère de Dieu. Notez les enseignements de l’apôtre Paul concernant les destinataires de la colère divine. Colossiens 3 :6 nous indique que « la colère de Dieu vient sur les fils de la rébellion ». La marque de la bête est donc une marque de désobéissance à Dieu ? Elle marque ceux qui refusent d’observer les commandements divins, en dépit des enseignements des deux témoins, et même par l’avertissement final donné par un ange de Dieu (Apocalypse 14 :9).
La marque de la bête est clairement un signe de désobéissance à Dieu et à Ses lois. La Bile révèle-t-elle un signe d’obéissance contrastant, qui identifie le véritable peuple de Dieu ? Dans Exode 31 :13-17, Dieu déclare à l’ancien Israël que Ses sabbats sont un signe perpétuel entre Lui et Son peuple ! Le sabbat est le commandement test, qui identifie le Dieu véritable de la Création et le peuple qui obéit à Ses commandements et Ses lois.
Apocalypse 13 explique que la marque de la bête, un signe de désobéissance à Dieu, est appliquée sur la main ou sur le front. La désobéissance, comme l’obéissance aux lois divines, sont symbolisées par une marque sur la main ou sur le front. « Voici les commandements, les lois et les ordonnances que l’Éternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession ; afin que tu craignes l’Éternel, ton Dieu, en observant, tous les jours de ta vie, toi, ton fils, et le fils de ton fils, toutes ses lois et tous ses commandements […] Tu les lieras comme un signe sur tes mains, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux » (Deutéronome 6 :1-2, 8). La main symbolise les actions, tandis que le front est le siège de l’intellect. L’obéissance à Dieu implique à la fois les œuvres (la main) et les pensées (le front).
La marque de la bête est un signe de désobéissance à Dieu. Mais cela implique, non seulement le rejet du signe d’obéissance à Dieu, le sabbat, mais aussi l’acceptation d’une marque ou d’un signe contrefait. Cette marque est, en réalité, un signe dérivé de Babylone et de Rome. Y a-t-il un symbole qui ait parcouru toutes les époques jusqu’à nos temps moderne ?
Que peut donc être la marque ou l’insigne de l’Empire romain ? Dans quelques années, cela sera important pour tous ceux qui voudront participer au système économique de Babylone la Grande (Apocalypse 13 :17). Cependant, ceux qui l’accepteront, par leurs actions, amèneront aussi sur eux la terrible colère de Dieu (Apocalypse 14 :9-10). Quelle soit cette marque, elle a déjà existé dans les siècles passés, car tous les justes qui furent des martyrs la rejetèrent (Apocalypse 20 :4). En décrivant l’interaction de l’Église de Rome et du saint Empire romain médiéval, Apocalypse 13 montre que la marque, l’image et le nombre du nom de la bête ont tous existé pendant le Moyen Age, en tant que précurseur des temps de la fin.
Par le passé, beaucoup de suggestions ont été avancées pour identifier cette marque. Dans les années 1930, certains tentèrent de faire le lien avec les cartes de Sécurité Sociale, mises en place par l’administration Roosevelt. D’autres y ont vu des implications sinistres dans un système universel de codes à barres lisibles par des scanners. D’autres encore on soupçonné les cartes bancaires et d’autres innovations technologiques. Beaucoup s’attendaient à une sorte de tatouage, ou une minuscule puce informatique implantée sous la peau à l’insu de la population. Mais, à moins de rechercher TOUT ce que la Bible révèle à ce sujet, nous serons incapables de comprendre ce sujet.
Apocalypse 14 :10 révèle que ceux qui recevront la marque de la bête s’attireront la colère de Dieu. Notez les enseignements de l’apôtre Paul concernant les destinataires de la colère divine. Colossiens 3 :6 nous indique que « la colère de Dieu vient sur les fils de la rébellion ». La marque de la bête est donc une marque de désobéissance à Dieu ? Elle marque ceux qui refusent d’observer les commandements divins, en dépit des enseignements des deux témoins, et même par l’avertissement final donné par un ange de Dieu (Apocalypse 14 :9).
La marque de la bête est clairement un signe de désobéissance à Dieu et à Ses lois. La Bile révèle-t-elle un signe d’obéissance contrastant, qui identifie le véritable peuple de Dieu ? Dans Exode 31 :13-17, Dieu déclare à l’ancien Israël que Ses sabbats sont un signe perpétuel entre Lui et Son peuple ! Le sabbat est le commandement test, qui identifie le Dieu véritable de la Création et le peuple qui obéit à Ses commandements et Ses lois.
Apocalypse 13 explique que la marque de la bête, un signe de désobéissance à Dieu, est appliquée sur la main ou sur le front. La désobéissance, comme l’obéissance aux lois divines, sont symbolisées par une marque sur la main ou sur le front. « Voici les commandements, les lois et les ordonnances que l’Éternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession ; afin que tu craignes l’Éternel, ton Dieu, en observant, tous les jours de ta vie, toi, ton fils, et le fils de ton fils, toutes ses lois et tous ses commandements […] Tu les lieras comme un signe sur tes mains, et ils seront comme des fronteaux entre tes yeux » (Deutéronome 6 :1-2, 8). La main symbolise les actions, tandis que le front est le siège de l’intellect. L’obéissance à Dieu implique à la fois les œuvres (la main) et les pensées (le front).
La marque de la bête est un signe de désobéissance à Dieu. Mais cela implique, non seulement le rejet du signe d’obéissance à Dieu, le sabbat, mais aussi l’acceptation d’une marque ou d’un signe contrefait. Cette marque est, en réalité, un signe dérivé de Babylone et de Rome. Y a-t-il un symbole qui ait parcouru toutes les époques jusqu’à nos temps moderne ?
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
L’adoration du soleil – Une ancienne contrefaçon de Satan
Dans l’ancienne Babylone, les rois servaient comme hauts sacrificateurs du soleil, Bel Mardouk. « Prendre la main de Bel Mardouk » faisait partie de la cérémonie de prise de fonction comme roi en Assyrie et en Babylone (“Babylonian and Assyrian Religion”, Encyclopædia Britannica, 11ème édition). La célébration du solstice d’hiver, autour du 25 décembre, était considérée comme la naissance du soleil. C’était un jour saint majeur associé avec une distribution de cadeaux et un arbre vert sacré.
Il n’y a pas que chez les Babyloniens où l’adoration du soleil fût impliquée dans les rites païens ; cela se retrouve également dans les rites de tous les successeurs de Babylone : chez les Perses, puis chez les Hellénistes et à Rome. En fait, pour chaque époque correspondant à l’une des quatre bêtes de Daniel, l’adoration du soleil a joué un rôle prééminent dans la religion impériale.
La Perse fut le premier successeur de Babylone. L’ancienne religion perse était centrée sur l’adoration de Mithra, le dieu de la lumière. Sous l’influence babylonienne, Mithra fut ensuite identifié comme le dieu-soleil babylonien. Les Grecs d’Asie mineure identifièrent Mithra à leur ancien dieu-soleil, Hélios, et ils contribuèrent à répandre le culte du soleil vers l’ouest. Alexandre le Grand voyagea en Égypte jusqu’au temple d’Ammon-Râ où les prêtres le proclamèrent fils littéral du soleil. Et qu’en est-il de Rome ? « Mitras, identifié à Sol Invictus à Rome, était celui qui donnait l’autorité et la victoire à la maison impériale » (“Mitras”, Encyclopædia Britannica, 11ème édition). Le Lempriere’s Classical Dictionary déclare que Sol, le dieu-soleil à Rome, était adoré comme « Baal ou Bel chez les Chaldéens [Babyloniens] » (page 590). L’Empire romain adopta l’adoration du soleil et de ses symboles chez ses prédécesseurs, et le propagea dans tout le monde occidental !
De nos jours, dans la Syrie moderne, il y a un petit village arabe qui s’appelle Baalbek. Il est situé sur les ruines de deux temples majestueux, qui étaient l’une des fiertés d’Héliopolis, la « Cité du Soleil » gréco-romaine. Voici l’explication de l’historien Will Durant : « Auguste y plaça une modeste colonie, et la ville se développa, résidence sacrée de Baal, le dieu solaire […] Sous Antonin le Pieux et sous ses successeurs, des architectes et des ingénieurs grecs, romains et syriens, élevèrent, sur l’emplacement d’un phénicien de Baal, un sanctuaire imposant pour Jupiter Heliopolitanus » (L’Histoire de la Civilisation, Will Durant, Volume 9, page 110). Ainsi, le Jupiter romain fut identifié à Baal, l’ancien dieu-soleil.
Un autre grand centre d’adoration païenne du soleil était le temple d’Héliopolis, en Égypte, où avait été érigée un grand obélisque sacré dédié au soleil. Aux environs de l’an 40 apr. J.-C., l’empereur romain, Caligula, fit transporter cet obélisque d’Égypte jusqu’à Rome, où il fut érigé sur le mont du Vatican. En 1586, sur l’ordre du Pape Sixtus V, cet ancien obélisque – 25,3 mètres de hauteur pour un poids de 320 tonnes – fut transporté à une courte distance de là. Suite aux efforts de 800 ouvriers, 160 chevaux et 45 treuils, l’obélisque fut érigé juste au milieu du parvis de la Cathédrale Saint Pierre – où il est toujours en place, depuis cette époque.
Dans la Rome Antique, avant l’époque de l’Empire, il y avait un culte dévoué à Sol, le dieu-soleil. Dans un livre intitulé World Religions from Ancient History to the Present, Parrinder fait un exposé sur l’adoration du soleil, en tant que religion de Rome :
« Il est normal que le centre de gravité de l’Empire romain se déplaçât vers l’est, où l’adoration du soleil était en expansion. Il y avait déjà une forte propagande impérialiste ; la Maison Dorée de Néron était un logement approprié pour l’incarnation du soleil, et Antonin accorda au soleil un honneur particulier. Sous la dynastie dominante, adoratrice du soleil, des Séverins, le dieu-soleil était représenté avec une barbe typiquement séverine, et l’empereur portait le titre d’INVICTVS [indomptable], qui était un épithète du soleil […] Le soleil était un symbole grandiose, unifiant et ralliant tout l’Empire […] En 274 apr. J.-C., Aurélien établit le dieu-soleil comme dieu suprême de l’Empire romain » (Parrinder, page 175).
Empereur de 270 à 280 apr. J.-C., Aurélien attribua la responsabilité de trois siècles de chaos, moral et politique, à Rome, à la désunion religieuse. Il tenta d’unifier tout l’Empire dans « un culte monothéiste du dieu soleil et de l’empereur, vicaire de cette divinité sur la terre […] Il construisit à Rome un magnifique temple du soleil, où, espérait-il, le baal d’Emèse et le dieu du mithriacisme viendraient se fondre […] Aurélien accentuait l’orientalisation de la monarchie qui avait commencé avec Elagabale, et qui se complètera sous Dioclétien et Constantin » (Durant, Volume 9, pages 307-308).
Considéré comme le premier empereur « chrétien » de Rome, Constantin était lui-même un dévot du dieu-soleil. « En fait, la chrétienté de l’empereur Constantin était ambiguë. Sa famille conservait des allégeances traditionnelles au dieu-soleil ; la fameuse vision de la croix qui lui vint du ciel, alors qu’il marchait vers Rome ; le soleil qui continuait d’apparaître pendant sa décennie sur les pièces de monnaie et sur son arche à Rome ; sa propre statue à Constantinople portant la couronne rayonnante du dieu-sole » (Parrinder, page 175). Au 1er siècle, la semaine planétaire de sept jours avait été popularisée à Rome. La semaine de sept jours tirait son origine de la Création (Genèse 1), et la connaissance du cycle hebdomadaire correct avait été préservée par les Juifs. Cependant, dans l’ancienne Babylone, chacun des sept jours de la semaine était associé à l’une des anciennes appellations des sept planètes : Soleil (Sun), Lune (Moon), Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne. C’est très important, car cela a servi de base à une proclamation impériale, qui a apposé une marque indélébile, issue de l’ancienne adoration du soleil, sur le monde proclamé chrétien.
L’Encyclopædia Britannica écrit : « La première identification de l’observance du dimanche [Sunday, en anglais] comme un devoir légal [une obligation imposée par la loi], se situe dans une constitution de Constantin, en 321 apr. J.-C., décrétant que toutes les cours de justice, les habitants des villes,, et les ateliers se devaient au repos le dimanche [venerabili die solie] » (“Sunday”, 11ème édition).
En utilisant le terme latin se traduisant par « vénérable jour du Soleil », Constantin identifiait le premier jour de la semaine comme un jour dédicacé au soleil [sun, en anglais], anciennement Sol. À travers la proclamation de l’empereur romain, une marque de l’ancienne Babylone et le culte de l’adoration du soleil ont forcément marqué les habitants de l’Empire romain. Cette marque – avec les autres symboles associés à l’adoration du soleil – a continué jusqu’à nos jours, en passant par la période médiévale.
Dans l’ancienne Babylone, les rois servaient comme hauts sacrificateurs du soleil, Bel Mardouk. « Prendre la main de Bel Mardouk » faisait partie de la cérémonie de prise de fonction comme roi en Assyrie et en Babylone (“Babylonian and Assyrian Religion”, Encyclopædia Britannica, 11ème édition). La célébration du solstice d’hiver, autour du 25 décembre, était considérée comme la naissance du soleil. C’était un jour saint majeur associé avec une distribution de cadeaux et un arbre vert sacré.
Il n’y a pas que chez les Babyloniens où l’adoration du soleil fût impliquée dans les rites païens ; cela se retrouve également dans les rites de tous les successeurs de Babylone : chez les Perses, puis chez les Hellénistes et à Rome. En fait, pour chaque époque correspondant à l’une des quatre bêtes de Daniel, l’adoration du soleil a joué un rôle prééminent dans la religion impériale.
La Perse fut le premier successeur de Babylone. L’ancienne religion perse était centrée sur l’adoration de Mithra, le dieu de la lumière. Sous l’influence babylonienne, Mithra fut ensuite identifié comme le dieu-soleil babylonien. Les Grecs d’Asie mineure identifièrent Mithra à leur ancien dieu-soleil, Hélios, et ils contribuèrent à répandre le culte du soleil vers l’ouest. Alexandre le Grand voyagea en Égypte jusqu’au temple d’Ammon-Râ où les prêtres le proclamèrent fils littéral du soleil. Et qu’en est-il de Rome ? « Mitras, identifié à Sol Invictus à Rome, était celui qui donnait l’autorité et la victoire à la maison impériale » (“Mitras”, Encyclopædia Britannica, 11ème édition). Le Lempriere’s Classical Dictionary déclare que Sol, le dieu-soleil à Rome, était adoré comme « Baal ou Bel chez les Chaldéens [Babyloniens] » (page 590). L’Empire romain adopta l’adoration du soleil et de ses symboles chez ses prédécesseurs, et le propagea dans tout le monde occidental !
De nos jours, dans la Syrie moderne, il y a un petit village arabe qui s’appelle Baalbek. Il est situé sur les ruines de deux temples majestueux, qui étaient l’une des fiertés d’Héliopolis, la « Cité du Soleil » gréco-romaine. Voici l’explication de l’historien Will Durant : « Auguste y plaça une modeste colonie, et la ville se développa, résidence sacrée de Baal, le dieu solaire […] Sous Antonin le Pieux et sous ses successeurs, des architectes et des ingénieurs grecs, romains et syriens, élevèrent, sur l’emplacement d’un phénicien de Baal, un sanctuaire imposant pour Jupiter Heliopolitanus » (L’Histoire de la Civilisation, Will Durant, Volume 9, page 110). Ainsi, le Jupiter romain fut identifié à Baal, l’ancien dieu-soleil.
Un autre grand centre d’adoration païenne du soleil était le temple d’Héliopolis, en Égypte, où avait été érigée un grand obélisque sacré dédié au soleil. Aux environs de l’an 40 apr. J.-C., l’empereur romain, Caligula, fit transporter cet obélisque d’Égypte jusqu’à Rome, où il fut érigé sur le mont du Vatican. En 1586, sur l’ordre du Pape Sixtus V, cet ancien obélisque – 25,3 mètres de hauteur pour un poids de 320 tonnes – fut transporté à une courte distance de là. Suite aux efforts de 800 ouvriers, 160 chevaux et 45 treuils, l’obélisque fut érigé juste au milieu du parvis de la Cathédrale Saint Pierre – où il est toujours en place, depuis cette époque.
Dans la Rome Antique, avant l’époque de l’Empire, il y avait un culte dévoué à Sol, le dieu-soleil. Dans un livre intitulé World Religions from Ancient History to the Present, Parrinder fait un exposé sur l’adoration du soleil, en tant que religion de Rome :
« Il est normal que le centre de gravité de l’Empire romain se déplaçât vers l’est, où l’adoration du soleil était en expansion. Il y avait déjà une forte propagande impérialiste ; la Maison Dorée de Néron était un logement approprié pour l’incarnation du soleil, et Antonin accorda au soleil un honneur particulier. Sous la dynastie dominante, adoratrice du soleil, des Séverins, le dieu-soleil était représenté avec une barbe typiquement séverine, et l’empereur portait le titre d’INVICTVS [indomptable], qui était un épithète du soleil […] Le soleil était un symbole grandiose, unifiant et ralliant tout l’Empire […] En 274 apr. J.-C., Aurélien établit le dieu-soleil comme dieu suprême de l’Empire romain » (Parrinder, page 175).
Empereur de 270 à 280 apr. J.-C., Aurélien attribua la responsabilité de trois siècles de chaos, moral et politique, à Rome, à la désunion religieuse. Il tenta d’unifier tout l’Empire dans « un culte monothéiste du dieu soleil et de l’empereur, vicaire de cette divinité sur la terre […] Il construisit à Rome un magnifique temple du soleil, où, espérait-il, le baal d’Emèse et le dieu du mithriacisme viendraient se fondre […] Aurélien accentuait l’orientalisation de la monarchie qui avait commencé avec Elagabale, et qui se complètera sous Dioclétien et Constantin » (Durant, Volume 9, pages 307-308).
Considéré comme le premier empereur « chrétien » de Rome, Constantin était lui-même un dévot du dieu-soleil. « En fait, la chrétienté de l’empereur Constantin était ambiguë. Sa famille conservait des allégeances traditionnelles au dieu-soleil ; la fameuse vision de la croix qui lui vint du ciel, alors qu’il marchait vers Rome ; le soleil qui continuait d’apparaître pendant sa décennie sur les pièces de monnaie et sur son arche à Rome ; sa propre statue à Constantinople portant la couronne rayonnante du dieu-sole » (Parrinder, page 175). Au 1er siècle, la semaine planétaire de sept jours avait été popularisée à Rome. La semaine de sept jours tirait son origine de la Création (Genèse 1), et la connaissance du cycle hebdomadaire correct avait été préservée par les Juifs. Cependant, dans l’ancienne Babylone, chacun des sept jours de la semaine était associé à l’une des anciennes appellations des sept planètes : Soleil (Sun), Lune (Moon), Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne. C’est très important, car cela a servi de base à une proclamation impériale, qui a apposé une marque indélébile, issue de l’ancienne adoration du soleil, sur le monde proclamé chrétien.
L’Encyclopædia Britannica écrit : « La première identification de l’observance du dimanche [Sunday, en anglais] comme un devoir légal [une obligation imposée par la loi], se situe dans une constitution de Constantin, en 321 apr. J.-C., décrétant que toutes les cours de justice, les habitants des villes,, et les ateliers se devaient au repos le dimanche [venerabili die solie] » (“Sunday”, 11ème édition).
En utilisant le terme latin se traduisant par « vénérable jour du Soleil », Constantin identifiait le premier jour de la semaine comme un jour dédicacé au soleil [sun, en anglais], anciennement Sol. À travers la proclamation de l’empereur romain, une marque de l’ancienne Babylone et le culte de l’adoration du soleil ont forcément marqué les habitants de l’Empire romain. Cette marque – avec les autres symboles associés à l’adoration du soleil – a continué jusqu’à nos jours, en passant par la période médiévale.
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
L’image de la bête
Nous avons vu que la seconde bête mentionnée dans Apocalypse 13 n’est autre que l’Église de Rome, tandis que la première bête mentionnée est l’Empire romain. L’Église de Rome, la seconde bête, ordonna qu’une « image » de la première bête, l’Empire romain, prenne forme. Qu’est-ce qu’une image ? C’est une copie, une maquette, une représentation ou une chose homologue. L’image de la bête est donc une chose homologue à l’Empire romain – quelque chose de façonné d’après le royaume ou le gouvernement romain. Remarquez la déclaration limpide de l’historien et politicien britannique, James Bryce : « [Le système] papal lui-même a été façonné d’après l’ancien Empire » (A History of the Holy Roman Empire Must Be Deduced from Its Theory, Hertzstein, page 53).
Apocalypse 13 montre que la fausse Église, la seconde bête, oblige tous les gens à faire preuve de loyauté et à adorer l’image, la structure religieuse organisée d’après l’ancien Empire romain. Elle était une « cause » de mort pour tous ceux qui refusaient de l’adorer (Apocalypse 13 :15). Au cours du Moyen Age, l’Église n’infligeait pas la punition elle-même. Elle déclarait simplement comme hérétiques ceux qui refusaient d’adhérer au système. Ceux qui étaient déclarés anathèmes, par l’Église, étaient considérés comme des ennemis de l’État : par conséquent, ils avaient à faire au gouvernement civil.
Le 1er siècle de l’Empire romain fut autoritaire. Mais la plupart des gens ne réalisent pas que, pour beaucoup de fonctions, les élections étaient une pratique acceptée et honorée. Même l’empereur était élu – en apparence par le Sénat, mais en fait, c’était par les Gardes Prétoriens, ou simplement par l’armée.
Même quelques-uns des anciens, que l’apôtre Paul admonesta (Actes 20 :30), devinrent plus tard des meneurs, en trompant le peuple de Dieu, en suivant l’exemple des municipalités romaines, en tenant des meetings religieux publics, où étaient élus les responsables. Notez les déclarations de l’historien Arthur Boak : « Ces municipalités étaient constituées d’après le modèle de Rome, quoique certaines appellations, comme celles de consul et Sénat, étaient réservées à la capitale […] Tous les responsables étaient communément élus » (A History of Rome to 565ad, 1965, page 370). Le Dr Boak continue : « Tant que les basses classes de Rome et les municipalités avaient une petite opportunité d’activités politiques, elles y trouvaient une compensation dans la vie sociale de leurs corporations et leurs collèges […] Ainsi, des collèges professionnels, religieux et funéraires, virent le jour. Leur organisation était constituée d’après les municipalités » (pages 370-371). Concernant le développement de l’Église catholique romaine, le Dr Boak ajoute : « Dans leur organisation, ces communautés étaient toutes bâties sur le même modèle général, ressemblant à un collegia religieux roma » (page 401).
Dans les congrégations, un nombre croissant de personnes non converties voulaient aussi « prendre la parole ». Les enseignants élus étaient ceux qui faisaient plaisir aux gens, en leur enseignant de plus en plus les coutumes païennes, de par le monde. Dans sa dernière lettre à Timothée, l’apôtre Paul a directement prophétisé cette tournure des événements (2 Timothée 4 :3-4).
L’historien Edward Gibbon écrivit : « D’après le résultat des délibérations publiques, on instituait un président du bureau chargé de recueillir les opinions de l’assemblée, puis de les exécuter » (Triumph of Christendom in the Roman Empire, page 44). Gibbon continue à décrire l’époque succédant au règne de l’empereur Constantin :
« La chaire épiscopale fut sollicitée, spécialement dans les grandes et opulentes cités de l’Empire, plutôt comme une dignité temporelle que spirituelle. Les opinions intéressées, les passions égoïstes et colériques, les méthodes de perfidies et de dissimulation, la corruption secrète, la violence sanguinaire, qui avaient auparavant déshonorées la légalité des élections dans les communautés grecques et romaines, influençaient aussi le choix des successeurs des apôtres » (page 336).
En prenant pour modèle les institutions et les pratiques de l’Empire romain, les hommes ont inventé une structure gouvernementale pour l’Église. Les manœuvres politiques commençaient à se substituer à la volonté divine. Les enseignements populaires et tranquillisants se substituèrent aux purs enseignements de Dieu, qui proposent la correction et la réprimande.
Le problème avec l’Église de Rome est qu’elle substitua une structure politique humaine à la place du gouvernement divin. Dans le gouvernement divin, les anciens sont désignés, d’après leurs fruits, par ceux que le Christ a déjà établis comme anciens dans Son Église (Tite 1 :5-9). Le gouvernement de Dieu est basé sur Sa loi. Dieu reconnaît les Siens selon le fruit qu’ils produisent (Matthieu 7 :15-23 ; Nombres 17 :7-10).
L’Église de Rome se développa d’après le modèle et la structure de l’ancien Empire romain. Il était demandé de faire allégeance à la structure en place, même si elle essaye de « changer les temps et la loi » (Daniel 7 :25). Dans Son gouvernement, Dieu juge d’après les résultats produits, et nous devons nous soumettre aux dirigeants humains, aussi longtemps que ceux-ci suivent le Christ (1 Corinthiens 11 :1).
Nous avons vu que la seconde bête mentionnée dans Apocalypse 13 n’est autre que l’Église de Rome, tandis que la première bête mentionnée est l’Empire romain. L’Église de Rome, la seconde bête, ordonna qu’une « image » de la première bête, l’Empire romain, prenne forme. Qu’est-ce qu’une image ? C’est une copie, une maquette, une représentation ou une chose homologue. L’image de la bête est donc une chose homologue à l’Empire romain – quelque chose de façonné d’après le royaume ou le gouvernement romain. Remarquez la déclaration limpide de l’historien et politicien britannique, James Bryce : « [Le système] papal lui-même a été façonné d’après l’ancien Empire » (A History of the Holy Roman Empire Must Be Deduced from Its Theory, Hertzstein, page 53).
Apocalypse 13 montre que la fausse Église, la seconde bête, oblige tous les gens à faire preuve de loyauté et à adorer l’image, la structure religieuse organisée d’après l’ancien Empire romain. Elle était une « cause » de mort pour tous ceux qui refusaient de l’adorer (Apocalypse 13 :15). Au cours du Moyen Age, l’Église n’infligeait pas la punition elle-même. Elle déclarait simplement comme hérétiques ceux qui refusaient d’adhérer au système. Ceux qui étaient déclarés anathèmes, par l’Église, étaient considérés comme des ennemis de l’État : par conséquent, ils avaient à faire au gouvernement civil.
Le 1er siècle de l’Empire romain fut autoritaire. Mais la plupart des gens ne réalisent pas que, pour beaucoup de fonctions, les élections étaient une pratique acceptée et honorée. Même l’empereur était élu – en apparence par le Sénat, mais en fait, c’était par les Gardes Prétoriens, ou simplement par l’armée.
Même quelques-uns des anciens, que l’apôtre Paul admonesta (Actes 20 :30), devinrent plus tard des meneurs, en trompant le peuple de Dieu, en suivant l’exemple des municipalités romaines, en tenant des meetings religieux publics, où étaient élus les responsables. Notez les déclarations de l’historien Arthur Boak : « Ces municipalités étaient constituées d’après le modèle de Rome, quoique certaines appellations, comme celles de consul et Sénat, étaient réservées à la capitale […] Tous les responsables étaient communément élus » (A History of Rome to 565ad, 1965, page 370). Le Dr Boak continue : « Tant que les basses classes de Rome et les municipalités avaient une petite opportunité d’activités politiques, elles y trouvaient une compensation dans la vie sociale de leurs corporations et leurs collèges […] Ainsi, des collèges professionnels, religieux et funéraires, virent le jour. Leur organisation était constituée d’après les municipalités » (pages 370-371). Concernant le développement de l’Église catholique romaine, le Dr Boak ajoute : « Dans leur organisation, ces communautés étaient toutes bâties sur le même modèle général, ressemblant à un collegia religieux roma » (page 401).
Dans les congrégations, un nombre croissant de personnes non converties voulaient aussi « prendre la parole ». Les enseignants élus étaient ceux qui faisaient plaisir aux gens, en leur enseignant de plus en plus les coutumes païennes, de par le monde. Dans sa dernière lettre à Timothée, l’apôtre Paul a directement prophétisé cette tournure des événements (2 Timothée 4 :3-4).
L’historien Edward Gibbon écrivit : « D’après le résultat des délibérations publiques, on instituait un président du bureau chargé de recueillir les opinions de l’assemblée, puis de les exécuter » (Triumph of Christendom in the Roman Empire, page 44). Gibbon continue à décrire l’époque succédant au règne de l’empereur Constantin :
« La chaire épiscopale fut sollicitée, spécialement dans les grandes et opulentes cités de l’Empire, plutôt comme une dignité temporelle que spirituelle. Les opinions intéressées, les passions égoïstes et colériques, les méthodes de perfidies et de dissimulation, la corruption secrète, la violence sanguinaire, qui avaient auparavant déshonorées la légalité des élections dans les communautés grecques et romaines, influençaient aussi le choix des successeurs des apôtres » (page 336).
En prenant pour modèle les institutions et les pratiques de l’Empire romain, les hommes ont inventé une structure gouvernementale pour l’Église. Les manœuvres politiques commençaient à se substituer à la volonté divine. Les enseignements populaires et tranquillisants se substituèrent aux purs enseignements de Dieu, qui proposent la correction et la réprimande.
Le problème avec l’Église de Rome est qu’elle substitua une structure politique humaine à la place du gouvernement divin. Dans le gouvernement divin, les anciens sont désignés, d’après leurs fruits, par ceux que le Christ a déjà établis comme anciens dans Son Église (Tite 1 :5-9). Le gouvernement de Dieu est basé sur Sa loi. Dieu reconnaît les Siens selon le fruit qu’ils produisent (Matthieu 7 :15-23 ; Nombres 17 :7-10).
L’Église de Rome se développa d’après le modèle et la structure de l’ancien Empire romain. Il était demandé de faire allégeance à la structure en place, même si elle essaye de « changer les temps et la loi » (Daniel 7 :25). Dans Son gouvernement, Dieu juge d’après les résultats produits, et nous devons nous soumettre aux dirigeants humains, aussi longtemps que ceux-ci suivent le Christ (1 Corinthiens 11 :1).
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Le nombre de son nom
Qu’en est-il du mystérieux nombre 666 ? Beaucoup de solutions ingénieuses ont été conçues pour « étiqueter » ce nombre à divers individus. Mais que veut dire la Bible quand elle nous dit que c’est un nombre d’homme ?
Avant que les chiffres arabes fussent acceptés dans le monde occidental au 13ème siècle, les lettres de l’alphabet correspondaient aussi à des chiffres ou à des nombres. Ainsi, chaque nom avait une valeur numérique. Dans l’alphabet romain, qui nous est le plus familier, les lettres ont une valeur numérique. Dans ce système, I=1, V=5, X=10, et ainsi de suite. La Bible a été écrite en grec et en hébreu, et ces deux langues utilisaient un système similaire.
La première solution proposée pour la signification du nombre 666 est traditionnellement attribuée à Polycarpe, le disciple de l’apôtre Jean, qui écrivit l’Apocalypse. Cette tradition a été préservée au 2ème siècle dans les écrits d’Irénée. Le nombre de 666 est « contenu dans les lettres grecques de Lateinos (L=30 ; A=1 ; T=300 ; E=5 ; I=10 ; N=50 ; O=70 ; S=200) » (Commentary of the Whole Bible, Jamieson, Fausset and Brown). Leteinos est un terme grec se référant aux Romains. Il est intéressant de constater que l’expression grecque, signifiant « le royaume latin » (h Latine Basileia), a aussi une valeur numérique de 666. Les écrivains grecs appelaient communément l’Empire romain de cette manière. Le livre de l’Apocalypse était originellement écrit en grec, puis il fut écrit en grec courant par les Églises de l’ancienne Asie Mineure.
Une autre explication intéressante implique le nom de l’empereur Néron, qui mourut vingt-cinq ans avant que l’apôtre Jean eût écrit l’Apocalypse. Bien que Néron fût mort, son royaume était cependant un système romain des temps de la fin. Il était arrivé au pouvoir en promettant des réformes constitutionnelles et un retour à « l’âge d’or » d’Auguste, mais plus son pouvoir grandissait, plus il devenait cruel et despotique. Vivant dans une atmosphère d’intrigue et de conspiration, il abusa de sa puissance, et il fut responsable de la première persécution officielle (de l’État romain) contre les chrétiens. Pendant son règne, la plupart des apôtres, dont les apôtres Pierre et Paul, furent martyrisés. Son nom en grec s’épelle Neron Kaesar (Néron César). Quand la forme grecque de son nom est épelée en caractères hébreux, leurs valeurs numériques additionnées font 666.
Le fondateur de la Rome antique était Romulus, les mots Rome et romains sont dérivés de son nom. En hébreu, le nom latin Romvlvs s’écrit Romiith. En hébreu ces lettres additionnées font 666 (resh=200 ; vau=6 ; mem=40 ; yod=10 ; yod=10 ; tau=400). Ainsi, à la fois en grec et en hébreu, les deux langues de la Bible, le nombre 666 est appliqué au royaume qui se rapporte de Rome.
Les prochaines années verront surgir la septième et dernière résurrection du saint Empire romain. Il n’aura pas d’autre signification numérique que le nom, ou peut-être un titre spécial, du dirigeant des temps de la fin de la puissante bête. Néanmoins, il est important de comprendre que le système romain est déjà marqué du nombre 666. Ce système – et sa survivance finale – sont identifiés à la bête.
Qu’en est-il du mystérieux nombre 666 ? Beaucoup de solutions ingénieuses ont été conçues pour « étiqueter » ce nombre à divers individus. Mais que veut dire la Bible quand elle nous dit que c’est un nombre d’homme ?
Avant que les chiffres arabes fussent acceptés dans le monde occidental au 13ème siècle, les lettres de l’alphabet correspondaient aussi à des chiffres ou à des nombres. Ainsi, chaque nom avait une valeur numérique. Dans l’alphabet romain, qui nous est le plus familier, les lettres ont une valeur numérique. Dans ce système, I=1, V=5, X=10, et ainsi de suite. La Bible a été écrite en grec et en hébreu, et ces deux langues utilisaient un système similaire.
La première solution proposée pour la signification du nombre 666 est traditionnellement attribuée à Polycarpe, le disciple de l’apôtre Jean, qui écrivit l’Apocalypse. Cette tradition a été préservée au 2ème siècle dans les écrits d’Irénée. Le nombre de 666 est « contenu dans les lettres grecques de Lateinos (L=30 ; A=1 ; T=300 ; E=5 ; I=10 ; N=50 ; O=70 ; S=200) » (Commentary of the Whole Bible, Jamieson, Fausset and Brown). Leteinos est un terme grec se référant aux Romains. Il est intéressant de constater que l’expression grecque, signifiant « le royaume latin » (h Latine Basileia), a aussi une valeur numérique de 666. Les écrivains grecs appelaient communément l’Empire romain de cette manière. Le livre de l’Apocalypse était originellement écrit en grec, puis il fut écrit en grec courant par les Églises de l’ancienne Asie Mineure.
Une autre explication intéressante implique le nom de l’empereur Néron, qui mourut vingt-cinq ans avant que l’apôtre Jean eût écrit l’Apocalypse. Bien que Néron fût mort, son royaume était cependant un système romain des temps de la fin. Il était arrivé au pouvoir en promettant des réformes constitutionnelles et un retour à « l’âge d’or » d’Auguste, mais plus son pouvoir grandissait, plus il devenait cruel et despotique. Vivant dans une atmosphère d’intrigue et de conspiration, il abusa de sa puissance, et il fut responsable de la première persécution officielle (de l’État romain) contre les chrétiens. Pendant son règne, la plupart des apôtres, dont les apôtres Pierre et Paul, furent martyrisés. Son nom en grec s’épelle Neron Kaesar (Néron César). Quand la forme grecque de son nom est épelée en caractères hébreux, leurs valeurs numériques additionnées font 666.
Le fondateur de la Rome antique était Romulus, les mots Rome et romains sont dérivés de son nom. En hébreu, le nom latin Romvlvs s’écrit Romiith. En hébreu ces lettres additionnées font 666 (resh=200 ; vau=6 ; mem=40 ; yod=10 ; yod=10 ; tau=400). Ainsi, à la fois en grec et en hébreu, les deux langues de la Bible, le nombre 666 est appliqué au royaume qui se rapporte de Rome.
Les prochaines années verront surgir la septième et dernière résurrection du saint Empire romain. Il n’aura pas d’autre signification numérique que le nom, ou peut-être un titre spécial, du dirigeant des temps de la fin de la puissante bête. Néanmoins, il est important de comprendre que le système romain est déjà marqué du nombre 666. Ce système – et sa survivance finale – sont identifiés à la bête.
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Chapitre 5 –Le récit de deux cités : Celle qui est passée et celle à venir
Le récit, de deux cités totalement opposées, est l’un des fils conducteurs à travers la Bible. Genèse 10 nous présente Babylone, ou Babel, la ville bâtie par Nimrod. Dans Genèse 11, nous trouverons Abraham, un homme né à Ur, en Chaldée, une ville adjacente et faisant partie de l’ancien royaume de Babylone. Genèse 12 nous relate le départ d’Abraham, sur l’ordre divin, des environs de Babylone. Dans Genèse 14, Abraham arrive à Jérusalem, anciennement appelée Salem, rencontre Melchisédek, « le sacrificateur du Dieu Très-Haut », qui bénit Abraham et reçoit sa dîme.
Dans le dernier livre de la Bible, nous lisons encore le nom de Babylone. Apocalypse 18 parle de « Babylone la Grande », et de sa destruction totale et définitive. Comme à Abraham, Dieu dit à Son peuple aux temps de la fin : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple » (Apocalypse 18 :4). Apocalypse 21 relate l’arrivée sur la terre de la nouvelle Jérusalem, la ville « bâtie par Dieu » (Apocalypse 21 :2).
Babylone et Jérusalem sont des villes anciennes, qui représentent deux systèmes de gouvernement et de mode de vie complètement opposés. L’un est dérivé de Nimrod, le premier tyran d’après le déluge qui s’est rebellé contre Dieu et Ses lois. Nimrod a introduit un système de gouvernement humain tyrannique, et il cherchait à construire un gouvernement mondial unique, selon les voies du diable. Babylone est une contrefaçon historique de Satan, et une alternative au Royaume de Dieu.
Après l’intervention de Dieu à la tour de Babel, l’importance de Babylone connut des hauts et des bas pendant plusieurs siècles. Finalement, au 7ème siècle av. J.-C., la capitale assyrienne Ninive tomba entre les mains des envahisseurs, et une fois encore, Babylone fût prééminente en devenant la principale ville de Mésopotamie. Nebucadnetsar devint roi de Babylone et donna le départ à une expansion qui permit à Babylone de dominer sur tout le Moyen-Orient. Ses conquêtes incluaient Juda et sa capitale, Jérusalem. Vers l’an 586 av. J.-C., les envahisseurs babyloniens détruisirent Jérusalem et le temple de Dieu qui s’y trouvait. Près de vingt ans auparavant, un certain nombre de jeunes Juifs furent capturés et emmenés à Babylone. Parmi ces Juifs se trouvait Daniel.
En l’an 539 av. J.-C., un soir où commençait la Fête des Trompettes, soixante-six ans après le commencement du règne de Nebucadnetsar, Daniel se tenait debout dans la salle de banquet silencieuse, et lisait ce que « la main avait écrit sur le mur », à l’un des successeurs de Nebucadnetsar, Belschatsar. Babylone avait été pesée dans la balance, trouvée légère, et serait donnée la nuit même à un royaume lui succédant.
La cité de Babylone était tombée, et quelques siècles plus tard, elle devint un lieu désert et inhabité, mais le système qui en sortait n’était pas mort. Il continua à travers ses successeurs, comme Daniel l’écrivit plusieurs siècles à l’avance.
Genèse 10 :10 explique que le commencement du royaume de Nimrod fut Babel. Dans les années à venir, l’incarnation des temps de la fin de cet ancien royaume est destinée à s’élever une fois encore. L’ancienne cité bâtie par Nimrod a été réduite en cendres et en ruines, mais le système gouvernemental, religieux et économique, se poursuit encore. À l’ancienne Babylone succéda la Babylone moderne, appelée par le prophète Ésaïe la « fille de Babylone » (Ésaïe 47 :1).
Le récit, de deux cités totalement opposées, est l’un des fils conducteurs à travers la Bible. Genèse 10 nous présente Babylone, ou Babel, la ville bâtie par Nimrod. Dans Genèse 11, nous trouverons Abraham, un homme né à Ur, en Chaldée, une ville adjacente et faisant partie de l’ancien royaume de Babylone. Genèse 12 nous relate le départ d’Abraham, sur l’ordre divin, des environs de Babylone. Dans Genèse 14, Abraham arrive à Jérusalem, anciennement appelée Salem, rencontre Melchisédek, « le sacrificateur du Dieu Très-Haut », qui bénit Abraham et reçoit sa dîme.
Dans le dernier livre de la Bible, nous lisons encore le nom de Babylone. Apocalypse 18 parle de « Babylone la Grande », et de sa destruction totale et définitive. Comme à Abraham, Dieu dit à Son peuple aux temps de la fin : « Sortez du milieu d’elle, mon peuple » (Apocalypse 18 :4). Apocalypse 21 relate l’arrivée sur la terre de la nouvelle Jérusalem, la ville « bâtie par Dieu » (Apocalypse 21 :2).
Babylone et Jérusalem sont des villes anciennes, qui représentent deux systèmes de gouvernement et de mode de vie complètement opposés. L’un est dérivé de Nimrod, le premier tyran d’après le déluge qui s’est rebellé contre Dieu et Ses lois. Nimrod a introduit un système de gouvernement humain tyrannique, et il cherchait à construire un gouvernement mondial unique, selon les voies du diable. Babylone est une contrefaçon historique de Satan, et une alternative au Royaume de Dieu.
Après l’intervention de Dieu à la tour de Babel, l’importance de Babylone connut des hauts et des bas pendant plusieurs siècles. Finalement, au 7ème siècle av. J.-C., la capitale assyrienne Ninive tomba entre les mains des envahisseurs, et une fois encore, Babylone fût prééminente en devenant la principale ville de Mésopotamie. Nebucadnetsar devint roi de Babylone et donna le départ à une expansion qui permit à Babylone de dominer sur tout le Moyen-Orient. Ses conquêtes incluaient Juda et sa capitale, Jérusalem. Vers l’an 586 av. J.-C., les envahisseurs babyloniens détruisirent Jérusalem et le temple de Dieu qui s’y trouvait. Près de vingt ans auparavant, un certain nombre de jeunes Juifs furent capturés et emmenés à Babylone. Parmi ces Juifs se trouvait Daniel.
En l’an 539 av. J.-C., un soir où commençait la Fête des Trompettes, soixante-six ans après le commencement du règne de Nebucadnetsar, Daniel se tenait debout dans la salle de banquet silencieuse, et lisait ce que « la main avait écrit sur le mur », à l’un des successeurs de Nebucadnetsar, Belschatsar. Babylone avait été pesée dans la balance, trouvée légère, et serait donnée la nuit même à un royaume lui succédant.
La cité de Babylone était tombée, et quelques siècles plus tard, elle devint un lieu désert et inhabité, mais le système qui en sortait n’était pas mort. Il continua à travers ses successeurs, comme Daniel l’écrivit plusieurs siècles à l’avance.
Genèse 10 :10 explique que le commencement du royaume de Nimrod fut Babel. Dans les années à venir, l’incarnation des temps de la fin de cet ancien royaume est destinée à s’élever une fois encore. L’ancienne cité bâtie par Nimrod a été réduite en cendres et en ruines, mais le système gouvernemental, religieux et économique, se poursuit encore. À l’ancienne Babylone succéda la Babylone moderne, appelée par le prophète Ésaïe la « fille de Babylone » (Ésaïe 47 :1).
Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Comment se présente l’avenir ?
Nous vivons dans un monde mouvementé. Il y a beaucoup de crainte et d’appréhension concernant l’avenir. D’un côté, la science et la technologie promettent un monde éblouissant de prospérité. D’un autre côté, le terrorisme ou les guerres nucléaires, bactériologiques et chimiques, menacent l’existence même de notre monde. Un grand dirigeant charismatique se lèvera en Europe, répondant à cette crise. Il s’engagera dans une alliance de l’Église et de l’État offrant la paix, la sécurité et la prospérité à un monde désespéré.
Usant de duplicité et d’intrigue, il convaincra dix chefs européens, représentant à la fois les successeurs – des temps de la fin – des parties occidentales et orientales de l’Empire romain, à s’unir temporairement et à lui donner leur autorité. Comme nous l’avons vu dans les années 1930, lorsque les gens commençaient à craindre pour leur avenir, ils voulaient ouvrir le marché libre pour assurer la sécurité.
Une période de paix et de prospérité croissantes s’ensuivit. Un grand marché mondial, unifié, semblait offrir d’incroyables profits aux cartels internationaux. Ensuite, face aux crises impliquant le Moyen-Orient aux nations anglophones, ce dirigeant agira très vite, et avec détermination. Annulant un traité précédemment signé avec l’État juif, ses armées écraseront Jérusalem et la moitié de la ville ira en captivité (Zacharie 14 :2). En même temps, une attaque accablante sera lancée contre l’Amérique, la Grande-Bretagne, le Canada et les anciennes nations du Commonwealth (pour obtenir plus de détails sur les prophéties relatives à ces événements.
La manifestation de Babylone, aux temps de la fin, promettra ce que Nimrod avait promis aux gens à la tour de Babel : l’unité, la sécurité et la prospérité. Chacun à son tour, c’est ce que Nebucadnetsar, Cyrus le Grand, Alexandre le Grand et César Auguste avaient aussi promis.
Les problèmes, en s’intensifiant dans un monde fracturé, seront contrecarrés par un schéma établi, imposant une unité politique et religieuse à l’échelle mondiale. L’imminente super-puissance européenne pourra compter sur les institutions mondiales existantes, pour les utiliser comme structure politique à sa propre fin. Alors que d’importants développements surviendront dans la sphère politique, c’est dans le domaine de la religion que nous verrons des événements sans précédent, dans nos temps modernes. La religion sera considérée comme la solution pour amener les gens à une identité commune, requise pour une unité politique.
Cette fois, des millions de gens de par le monde seront séduits par une religion frénétique, enseignée par un chef charismatique, qui fera apparemment de grands signes et des miracles. Plus préoccupés à entendre des « choses agréables » que les véritables doctrines, les gens diront, à cause des fausses promesses de ce dirigeant, qu’il les fera entrer dans l’âge d’or.
La future superpuissance européenne dirigera un puissant dispositif militaire, qui sera envoyé aux quatre coins du monde pour assurer la paix et la sécurité. Les technologies modernes permettront de créer un État-policier dont Staline et Hitler ont seulement pu rêver. Les gens seront conduits à accepter des mesures draconiennes, pour endiguer la violence terroriste et criminelle.
Au début, ce système connaîtra une forte croissance dans le monde économique. Un marché mondial unifié, prophétisé dans Ézéchiel 27 et Apocalypse 18, sera plébiscité comme la solution à une prospérité universelle. Ceux qui seront à la barre de ce système se réjouiront, pour un court moment, de richesses incomparables.
Néanmoins, des failles fatales dans ce système, inhérentes dès son commencement, engendreront le temps venu de grandes disparités. Le monde arabe sera irrité par les tentatives en vue de le contraindre à l’unité religieuse avec l’Europe. Un puissant chef – appelé le « roi du sud » dans Daniel 11 – se lèvera, il arrivera temporairement à créer l’unité dans la plupart du monde islamique. Défiée par ce dirigeant, l’Europe lancera une « guerre-éclair », qui aura pour effet une occupation européenne de la majeure partie du monde arabe (Daniel 11 :40-43).
Cette occupation européenne ne fera qu’accroître la suspicion des nations orientales – déjà soupçonneuse envers les dirigeants allemands européens. Finalement, les rumeurs en provenance des capitales orientales provoqueront une attaque des Européens, destinée à intimider le monde oriental (Daniel 11 :44). Mais les choses ne se passeront pas comme prévu, et la guerre qui en résultera provoquera finalement la destruction nucléaire de la majeure partie de l’Europe, dont Rome elle-même (Apocalypse 18 :10, 17-18), par l’alliance des puissances orientales (Apocalypse 9 :13-18).
Alors que les armées orientales traverseront le fleuve Euphrate pour commencer à envahir le Moyen-Orient, contrôlé par les Européens, les événements échapperont à tout contrôle. Les dix dirigeants européens, qui avaient donné leur puissance à ce système, se tourneront avec amertume vers l’Église et le système religieux, qui les a fait échouer (Apocalypse 17 :16 :17). De terribles armes de destruction massive, incluant les armes nucléaires comme les armes chimiques et bactériologiques (Apocalypse 9 :5-6, 18), seront utilisées. Juste avant que l’humanité ne s’autodétruise dans la confrontation au Moyen-Orient, le Christ Vivant, glorifié, descendra des cieux (Matthieu 24 :22).
Dans le contexte de cette époque la plus atroce, la plus violente et sanguinaire de l’histoire de l’humanité, la véritable solution aux problèmes de l’humanité sera mise en application. Le retour de Jésus-Christ sur cette terre n’est pas une théorie – c’est le seul espoir de l’humanité.
Transporté en vision dans l’époque à venir, l’apôtre Jean relate un merveilleux événement qui est tout proche : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! » (Apocalypse 18 :2). Suite à cet événement, Jésus-Christ Se posera sur le mont des Oliviers, près de Jérusalem, avec tous les saints ressuscités. Le Dieu des cieux établira un Royaume qui ne sera jamais détruit (Daniel 2 :44). La loi sortira de Jérusalem, et toutes les nations se soumettront au gouvernement divin (Ésaïe 2 :2-3).
La Bible relate l’histoire de deux cités : Babylone et Jérusalem. L’une sera détruite à jamais. L’autre sera recrée en tant que la Nouvelle Jérusalem, qui descendra des cieux, après un règne de mille ans du Messie, devenant le lieu de demeure du Père, du Christ et des « prémices » pour toute l’éternité (Apocalypse 21).
Les événements des temps de la fin, décrits dans cette brochure, sont réels ; ils surviendront pendant la vie de la majeure partie de nos lecteurs. Le Christ offre Sa protection à ceux qui marchent humblement et de façon zélée avec Lui, et qui font Son Œuvre (Luc 21 :36 ; Apocalypse 3 :10).
Qu’en est-il de vous ? Votre loyauté et votre allégeance – c’est-à-dire votre « citoyenneté » – est-elle en Babylone, l’abjecte, ou en Jérusalem céleste ? Votre avenir dépend de la réponse que vous donnerez à cette question ! « Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve ; invoquez-le, tandis qu’il est près » (Ésaïe 55 :6). Le Dieu des cieux établira bientôt un Royaume durable. Maintenant, Il nous offre, non seulement Sa protection et Son aide dans les terribles moments à venir, mais encore la possibilité d’entrer dans Son glorieux Royaume, et de l’hériter pour l’éternité !
Comme vous le voyez, le monde autour de vous se disloque de plus en plus ; ne vous découragez pas. Notez comment Jésus-Christ exhorta Ses disciples véritables : « Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche » (Luc 21 :28).
En dépit des calamités se profilant à l’horizon, souvenez-vous toujours que les meilleures nouvelles sont encore devant nous ! « Encore un peu, un peu de temps, celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas » (Hébreux 10 :37).
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Nous vivons dans un monde mouvementé. Il y a beaucoup de crainte et d’appréhension concernant l’avenir. D’un côté, la science et la technologie promettent un monde éblouissant de prospérité. D’un autre côté, le terrorisme ou les guerres nucléaires, bactériologiques et chimiques, menacent l’existence même de notre monde. Un grand dirigeant charismatique se lèvera en Europe, répondant à cette crise. Il s’engagera dans une alliance de l’Église et de l’État offrant la paix, la sécurité et la prospérité à un monde désespéré.
Usant de duplicité et d’intrigue, il convaincra dix chefs européens, représentant à la fois les successeurs – des temps de la fin – des parties occidentales et orientales de l’Empire romain, à s’unir temporairement et à lui donner leur autorité. Comme nous l’avons vu dans les années 1930, lorsque les gens commençaient à craindre pour leur avenir, ils voulaient ouvrir le marché libre pour assurer la sécurité.
Une période de paix et de prospérité croissantes s’ensuivit. Un grand marché mondial, unifié, semblait offrir d’incroyables profits aux cartels internationaux. Ensuite, face aux crises impliquant le Moyen-Orient aux nations anglophones, ce dirigeant agira très vite, et avec détermination. Annulant un traité précédemment signé avec l’État juif, ses armées écraseront Jérusalem et la moitié de la ville ira en captivité (Zacharie 14 :2). En même temps, une attaque accablante sera lancée contre l’Amérique, la Grande-Bretagne, le Canada et les anciennes nations du Commonwealth (pour obtenir plus de détails sur les prophéties relatives à ces événements.
La manifestation de Babylone, aux temps de la fin, promettra ce que Nimrod avait promis aux gens à la tour de Babel : l’unité, la sécurité et la prospérité. Chacun à son tour, c’est ce que Nebucadnetsar, Cyrus le Grand, Alexandre le Grand et César Auguste avaient aussi promis.
Les problèmes, en s’intensifiant dans un monde fracturé, seront contrecarrés par un schéma établi, imposant une unité politique et religieuse à l’échelle mondiale. L’imminente super-puissance européenne pourra compter sur les institutions mondiales existantes, pour les utiliser comme structure politique à sa propre fin. Alors que d’importants développements surviendront dans la sphère politique, c’est dans le domaine de la religion que nous verrons des événements sans précédent, dans nos temps modernes. La religion sera considérée comme la solution pour amener les gens à une identité commune, requise pour une unité politique.
Cette fois, des millions de gens de par le monde seront séduits par une religion frénétique, enseignée par un chef charismatique, qui fera apparemment de grands signes et des miracles. Plus préoccupés à entendre des « choses agréables » que les véritables doctrines, les gens diront, à cause des fausses promesses de ce dirigeant, qu’il les fera entrer dans l’âge d’or.
La future superpuissance européenne dirigera un puissant dispositif militaire, qui sera envoyé aux quatre coins du monde pour assurer la paix et la sécurité. Les technologies modernes permettront de créer un État-policier dont Staline et Hitler ont seulement pu rêver. Les gens seront conduits à accepter des mesures draconiennes, pour endiguer la violence terroriste et criminelle.
Au début, ce système connaîtra une forte croissance dans le monde économique. Un marché mondial unifié, prophétisé dans Ézéchiel 27 et Apocalypse 18, sera plébiscité comme la solution à une prospérité universelle. Ceux qui seront à la barre de ce système se réjouiront, pour un court moment, de richesses incomparables.
Néanmoins, des failles fatales dans ce système, inhérentes dès son commencement, engendreront le temps venu de grandes disparités. Le monde arabe sera irrité par les tentatives en vue de le contraindre à l’unité religieuse avec l’Europe. Un puissant chef – appelé le « roi du sud » dans Daniel 11 – se lèvera, il arrivera temporairement à créer l’unité dans la plupart du monde islamique. Défiée par ce dirigeant, l’Europe lancera une « guerre-éclair », qui aura pour effet une occupation européenne de la majeure partie du monde arabe (Daniel 11 :40-43).
Cette occupation européenne ne fera qu’accroître la suspicion des nations orientales – déjà soupçonneuse envers les dirigeants allemands européens. Finalement, les rumeurs en provenance des capitales orientales provoqueront une attaque des Européens, destinée à intimider le monde oriental (Daniel 11 :44). Mais les choses ne se passeront pas comme prévu, et la guerre qui en résultera provoquera finalement la destruction nucléaire de la majeure partie de l’Europe, dont Rome elle-même (Apocalypse 18 :10, 17-18), par l’alliance des puissances orientales (Apocalypse 9 :13-18).
Alors que les armées orientales traverseront le fleuve Euphrate pour commencer à envahir le Moyen-Orient, contrôlé par les Européens, les événements échapperont à tout contrôle. Les dix dirigeants européens, qui avaient donné leur puissance à ce système, se tourneront avec amertume vers l’Église et le système religieux, qui les a fait échouer (Apocalypse 17 :16 :17). De terribles armes de destruction massive, incluant les armes nucléaires comme les armes chimiques et bactériologiques (Apocalypse 9 :5-6, 18), seront utilisées. Juste avant que l’humanité ne s’autodétruise dans la confrontation au Moyen-Orient, le Christ Vivant, glorifié, descendra des cieux (Matthieu 24 :22).
Dans le contexte de cette époque la plus atroce, la plus violente et sanguinaire de l’histoire de l’humanité, la véritable solution aux problèmes de l’humanité sera mise en application. Le retour de Jésus-Christ sur cette terre n’est pas une théorie – c’est le seul espoir de l’humanité.
Transporté en vision dans l’époque à venir, l’apôtre Jean relate un merveilleux événement qui est tout proche : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande ! » (Apocalypse 18 :2). Suite à cet événement, Jésus-Christ Se posera sur le mont des Oliviers, près de Jérusalem, avec tous les saints ressuscités. Le Dieu des cieux établira un Royaume qui ne sera jamais détruit (Daniel 2 :44). La loi sortira de Jérusalem, et toutes les nations se soumettront au gouvernement divin (Ésaïe 2 :2-3).
La Bible relate l’histoire de deux cités : Babylone et Jérusalem. L’une sera détruite à jamais. L’autre sera recrée en tant que la Nouvelle Jérusalem, qui descendra des cieux, après un règne de mille ans du Messie, devenant le lieu de demeure du Père, du Christ et des « prémices » pour toute l’éternité (Apocalypse 21).
Les événements des temps de la fin, décrits dans cette brochure, sont réels ; ils surviendront pendant la vie de la majeure partie de nos lecteurs. Le Christ offre Sa protection à ceux qui marchent humblement et de façon zélée avec Lui, et qui font Son Œuvre (Luc 21 :36 ; Apocalypse 3 :10).
Qu’en est-il de vous ? Votre loyauté et votre allégeance – c’est-à-dire votre « citoyenneté » – est-elle en Babylone, l’abjecte, ou en Jérusalem céleste ? Votre avenir dépend de la réponse que vous donnerez à cette question ! « Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve ; invoquez-le, tandis qu’il est près » (Ésaïe 55 :6). Le Dieu des cieux établira bientôt un Royaume durable. Maintenant, Il nous offre, non seulement Sa protection et Son aide dans les terribles moments à venir, mais encore la possibilité d’entrer dans Son glorieux Royaume, et de l’hériter pour l’éternité !
Comme vous le voyez, le monde autour de vous se disloque de plus en plus ; ne vous découragez pas. Notez comment Jésus-Christ exhorta Ses disciples véritables : « Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche » (Luc 21 :28).
En dépit des calamités se profilant à l’horizon, souvenez-vous toujours que les meilleures nouvelles sont encore devant nous ! « Encore un peu, un peu de temps, celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas » (Hébreux 10 :37).
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Re: La bête de l’Apocalypse : Mythe, métaphore ou réalité à venir ?
Parmi les gens qui s'intéressent @ la Bible beaucoup sont intrigués par une bete étrange mentionnée dans le livre d'@pocalypse & généralement appelé "la bête de l'Apocalypse" -- L'@nimal est décrit comme ayant un aspect terrifiant -- Cette bete possède 7 têtes -- 10 cornes & de grandes dents de fer -- est-il possible de savoir ce que représente cet animal
Manouche- Messages : 734
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