L’évolution : une théorie invalidée par les faits
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L’évolution : une théorie invalidée par les faits
L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Dans le livre De la Genèse au génome[1] édité sous la direction de Lydia Jaeger et paru en février 2011, deux chapitres ont été consacrés aux preuves scientifiques en faveur de la théorie de l’évolution. Ces chapitres sont : « Les preuves et les questions ouvertes de la théorie de l’évolution » (pp. 55 à 67) du généticien évangélique Pascal Touzet, et « Les fossiles et l’évolution » du paléontologue Marc Godinot, directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études, catholique (pp. 69 à 83). Par cet ouvrage collectif, les auteurs ont clairement exprimé leur adhésion sans faille à la théorie de l’évolution, à sa logique darwinienne, s’alignant de fait sur l’appréciation de Richard B. Goldschmidt, qui avait déclaré que «l’évolution du monde animal et végétal est considérée par tous ceux qui sont capables de jugement comme un fait qui n’a besoin d’aucune preuve supplémentaire ». (American Scientist 1952, 40:84)[2].
Le témoignage du registre fossile
Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution
Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.
« La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques[3]. »
Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Maisaujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes[4] ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.
Evolution humaine
Quand on connaît les circonstances de la découverte des fossiles « pré-humains », on a raison de n’accorder aucun crédit aux thèses élaborées sur l’origine de l’homme. C’est ainsi qu’Hesperopithecus, l’homme du Nebraska, a été reconstitué à partir… d’une dent – qui s’est avérée plus tard être une dent de porc ! L’éminent zoologiste évolutionniste français Pierre-Paul Grassé livre à ce sujet une réflexion intéressante :
Dans l’histoire des Primates, il faut bien se garder de prendre pour argent comptant les reconstitutions de nos ancêtres, fondées sur de misérables documents (quelques dents, un fragment de mâchoire, une calotte crânienne), que proposent, avec sérieux, des paléontologistes débordant d’imagination. Ceci explique la promptitude avec laquelle les arbres généalogiques de l’Homme sont dressés, mais aussi abattus. Nous avons l’impression que les travaux les plus récents sont médiocres, bien qu’ils portent sur des trouvailles nouvelles et intéressantes ; leurs auteurs n’ont ni le savoir, ni le bon sens qui leur permettraient de les interpréter correctement[21].
« Lucy », l’australopithèque le plus connu découvert par Donald Johanson en 1974, était un singe comme tous les autres, et non un hominidé. Marvin L. Lubenow le montre après vingt-cinq ans d’étude des fossiles humains[22]. Son bassin était, en particulier, plus large, mais ses phalanges arquées témoignent bien qu’il était arboricole.
Homo habilis a été ainsi nommé car il fabriquait des outils de pierre très rudimentaires. Or, on a découvert que les chimpanzés actuels peuvent réaliser eux aussi des outils très simples :des sortes de balais pour attraper les termites. Les différences entre le singe et l’homo habilis ne tiennent plus.
Homo erectus pose lui aussi un sérieux problème, car il reste inchangé pendant 1,7 million d’années selon les évolutionnistes. Il ne témoigne donc pas d’une évolution graduelle vers l’homme.
L’homme de Néandertal, qui fut longtemps considéré comme l’intermédiaire entre l’homme et le singe, est reconnu maintenant être un homo sapiens comme nous.
L’échec de l’explication saltationniste
Ce mécanisme évolutif suggéré par Stephen Gould, Niles Eldredge, Steven Stanley et d’autres collègues, appelé le mécanisme de l’« équilibre ponctué ou intermittent » (« saltationnisme ») a été imaginé pour précisément remédier à l’absence de preuves fossiles de l’évolution. Selon eux, rien ou pas grand-chose ne se passe dans la vie des espèces pendant plusieurs millions d’années : c’est la période de stase, ou d’équilibre ; et puis, d’un coup, de la périphérie d’une zone géographique d’une espèce, quelques individus s’isolent et passent par une évolution rapide pour devenir une nouvelle espèce (la ponctuation).
Ces dernières espèces prolifèrent et restent de nouveau inchangées pendant des millions d’années. Voilà ce qui doit produire une archive fossile sans « chaînons manquants ». Cette théorie qui n’est pas plus convaincante que le darwinisme, car il s’agit toujours d’une spéciation mais accélérée, est défendue aujourd’hui par des évolutionnistes comme Pascal Picq.
Dans ce bref article, nous avons voulu mettre la théorie synthétique de l’évolution à l’épreuve des faits d’observation. De l’étude systématique et approfondie des fossiles, trois choses se dégagent :
Ces renseignements défient la croyance courante que les fossiles sont les témoins de l’évolution. Au lieu de voir les gisements fossiles contenir des formes intermédiaires, on voit chaque ordre, chaque classe, chaque phylum animal ou végétal surgir brusquement et séparé distinctement de tous les autres, sans aucune forme transitoire qui les relie. Dès le début de leur première apparition dans les gisements fossiles, ils sont finis, parfaits et fonctionnent à merveille.
Lien : http://larevuereformee.net/articlerr/n261/levolution-une-theorie-invalidee-par-les-faits
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Louis Boné
Philippe David
Gérald Pech
Marc Polo*
Dans le livre De la Genèse au génome[1] édité sous la direction de Lydia Jaeger et paru en février 2011, deux chapitres ont été consacrés aux preuves scientifiques en faveur de la théorie de l’évolution. Ces chapitres sont : « Les preuves et les questions ouvertes de la théorie de l’évolution » (pp. 55 à 67) du généticien évangélique Pascal Touzet, et « Les fossiles et l’évolution » du paléontologue Marc Godinot, directeur d’études à l’Ecole pratique des hautes études, catholique (pp. 69 à 83). Par cet ouvrage collectif, les auteurs ont clairement exprimé leur adhésion sans faille à la théorie de l’évolution, à sa logique darwinienne, s’alignant de fait sur l’appréciation de Richard B. Goldschmidt, qui avait déclaré que «l’évolution du monde animal et végétal est considérée par tous ceux qui sont capables de jugement comme un fait qui n’a besoin d’aucune preuve supplémentaire ». (American Scientist 1952, 40:84)[2].
Le témoignage du registre fossile
Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution
Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.
« La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques[3]. »
Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Maisaujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes[4] ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.
Evolution humaine
Quand on connaît les circonstances de la découverte des fossiles « pré-humains », on a raison de n’accorder aucun crédit aux thèses élaborées sur l’origine de l’homme. C’est ainsi qu’Hesperopithecus, l’homme du Nebraska, a été reconstitué à partir… d’une dent – qui s’est avérée plus tard être une dent de porc ! L’éminent zoologiste évolutionniste français Pierre-Paul Grassé livre à ce sujet une réflexion intéressante :
Dans l’histoire des Primates, il faut bien se garder de prendre pour argent comptant les reconstitutions de nos ancêtres, fondées sur de misérables documents (quelques dents, un fragment de mâchoire, une calotte crânienne), que proposent, avec sérieux, des paléontologistes débordant d’imagination. Ceci explique la promptitude avec laquelle les arbres généalogiques de l’Homme sont dressés, mais aussi abattus. Nous avons l’impression que les travaux les plus récents sont médiocres, bien qu’ils portent sur des trouvailles nouvelles et intéressantes ; leurs auteurs n’ont ni le savoir, ni le bon sens qui leur permettraient de les interpréter correctement[21].
« Lucy », l’australopithèque le plus connu découvert par Donald Johanson en 1974, était un singe comme tous les autres, et non un hominidé. Marvin L. Lubenow le montre après vingt-cinq ans d’étude des fossiles humains[22]. Son bassin était, en particulier, plus large, mais ses phalanges arquées témoignent bien qu’il était arboricole.
Homo habilis a été ainsi nommé car il fabriquait des outils de pierre très rudimentaires. Or, on a découvert que les chimpanzés actuels peuvent réaliser eux aussi des outils très simples :des sortes de balais pour attraper les termites. Les différences entre le singe et l’homo habilis ne tiennent plus.
Homo erectus pose lui aussi un sérieux problème, car il reste inchangé pendant 1,7 million d’années selon les évolutionnistes. Il ne témoigne donc pas d’une évolution graduelle vers l’homme.
L’homme de Néandertal, qui fut longtemps considéré comme l’intermédiaire entre l’homme et le singe, est reconnu maintenant être un homo sapiens comme nous.
L’échec de l’explication saltationniste
Ce mécanisme évolutif suggéré par Stephen Gould, Niles Eldredge, Steven Stanley et d’autres collègues, appelé le mécanisme de l’« équilibre ponctué ou intermittent » (« saltationnisme ») a été imaginé pour précisément remédier à l’absence de preuves fossiles de l’évolution. Selon eux, rien ou pas grand-chose ne se passe dans la vie des espèces pendant plusieurs millions d’années : c’est la période de stase, ou d’équilibre ; et puis, d’un coup, de la périphérie d’une zone géographique d’une espèce, quelques individus s’isolent et passent par une évolution rapide pour devenir une nouvelle espèce (la ponctuation).
Ces dernières espèces prolifèrent et restent de nouveau inchangées pendant des millions d’années. Voilà ce qui doit produire une archive fossile sans « chaînons manquants ». Cette théorie qui n’est pas plus convaincante que le darwinisme, car il s’agit toujours d’une spéciation mais accélérée, est défendue aujourd’hui par des évolutionnistes comme Pascal Picq.
Dans ce bref article, nous avons voulu mettre la théorie synthétique de l’évolution à l’épreuve des faits d’observation. De l’étude systématique et approfondie des fossiles, trois choses se dégagent :
- : L’absence systématique des formes intermédiaires, ce qui est une indication très claire de la discontinuité entre les différents types de plantes et d’animaux.
- : La complexité évidente de tous les fossiles jamais trouvés, qui défie l’idée d’évolution de formes simples vers des formes complexes.
Ces renseignements défient la croyance courante que les fossiles sont les témoins de l’évolution. Au lieu de voir les gisements fossiles contenir des formes intermédiaires, on voit chaque ordre, chaque classe, chaque phylum animal ou végétal surgir brusquement et séparé distinctement de tous les autres, sans aucune forme transitoire qui les relie. Dès le début de leur première apparition dans les gisements fossiles, ils sont finis, parfaits et fonctionnent à merveille.
Lien : http://larevuereformee.net/articlerr/n261/levolution-une-theorie-invalidee-par-les-faits
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Origine de la vie : Explication scientifique ou PREUVE de l'existence de Dieu
À l'origine est le néant
À l'origine est le néant
Origine de la vie : Explication scientifique ou PREUVE de l'existence de Dieu
Explication scientifique ou PREUVE de l'existence de Dieu
Explication scientifique de l'origine de la vie, ou mensonge universel.
Posez vous les bonne questions et surtout soyez honnête
.
Explication scientifique ou PREUVE de l'existence de Dieu
Explication scientifique de l'origine de la vie, ou mensonge universel.
Posez vous les bonne questions et surtout soyez honnête
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Comment les évolutionnistes interdisent la libre recherche scientifique et la liberté d’expression
Les évolutionnistes, donc ceux qui se réclament de l’héritage de Darwin, les plus fameux étant Steven Jay Gould, Richard Dawkins, Jacques Monod ou Albert Jacquard, de même que la quasi-totalité des universitaires occidentaux travaillant sur ces sujets, ont interdit aux scientifiques non-évolutionnistes d’exercer leur liberté de recherche scientifique et d’expression, tant à l’université, dans les revues scientifiques à comité de lecture que dans les médias.
Ils ont créé une insulte, "créationniste !", dont ils affublent quiconque ose remettre en question, même et surtout scientifiquement, la théorie de l’évolution. Même et y compris si le scientifique qui émet ces doutes n’est pas religieux lui-même. Les évolutionnistes le nient parfois, malgré les preuves factuelles multiples qui existent, mais le plus souvent ils le justifient en expliquant que toute explication qui ne valide pas la théorie de l’évolution n’est pas scientifique. Ce raisonnement lui-même n’est pas scientifique, mais hautement dogmatique et sectaire... voire religieux.
Une fois de plus, on peut identifier dans ces comportements sectaires et anti-scientifiques l’influence marxiste, d’ailleurs Stephen Jay Gould était lui-même marxiste : "Élevé dans une famille laïque, Gould se définit comme agnostique. Élevé par un père marxiste, Gould s’est toujours identifié au marxisme et a essayé de montrer la validité des analyses de Marx. Il participe, par exemple, à la New York Marxist School. Richard Dawkins quant à lui est un adversaire acharné de l’idée de l’existence de Dieu, son livre le plus vendu s’intitule d’ailleurs "The God Delusion" (Pour en finir avec Dieu). Pourtant il n’a jamais démontré que Dieu n’existait pas, il sort donc du domaine de la science pour entrer lui-même dans le religieux. Il a étudié à Berkeley, en Californie, qui n’est pas connu pour son christianisme échevelé, bien au contraire. En fait, le système universitaire actuel étant dominé outrancièrement par les marxistes, le système scientifique n’y fait pas exception, et l’on se retrouve avec des marxistes comme feu le généticien Albert Jacquard pour nous expliquer en quoi la théorie de l’évolution est forcément vraie, quelles que soient les preuves du contraire.
Jacques Monod, ancien membre du parti communiste français, biologiste et biochimiste français, qui fut aussi Prix Nobel, eut un retentissement mondial avec son livre "Le hasard et la nécessité" par lequel il concluait : « L’ancienne alliance est rompue ; l’homme sait enfin qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard. Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part. A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. »
Censure généralisée sur argent public
C’est toujours le même phénomène avec les marxistes : on coupe les têtes de ceux qui ne pensent pas comme vous, surtout s’ils sont chrétiens. En France, un des pays les plus marxistes au monde actuellement, le débat entre évolutionnistes et non-évolutionnistes a disparu il y a bien longtemps, pour ne laisser place qu’aux évolutionnistes. Aux Etats-Unis, la purge est plus récente, elle a donc permis à Ben Stein de réaliser un formidable documentaire sur l’épuration des scientifiques non-évolutionnistes aux États-Unis. Ce documentaire (en anglais) a été diffusé en 2007, et fait état d’un nombre considérable de scientifiques et professeurs limogés de leur université, et de journalistes virés de leur journal, pour avoir émis des doutes sur la théorie de l’évolution, ou parlé de l’intelligent design, une théorie alternative incluant l’idée d’un créateur intelligent. Il est particulièrement intéressant car il révèle l’aspect totalitaire de ces scientifiques qui se prétendent ouverts d’esprit et pour la liberté d’expression, alors qu’il n’en est rien. On retiendra en particulier l’analyse des différents chiens de garde du système évolutionniste : les médias, les journaux à comité de lecture, les associations de scientifiques, les associations de professeurs. Le tout financé par l’Etat, et tenu par des marxistes, ou leurs idiots utiles (notamment des libéraux), naturellement.
Ceux qui remettent en cause la théorie de l’évolution risquent donc la mort sociale, voire l’emprisonnement, comme le Dr Kent Hovind, qui croupit en prison aux Etats-Unis depuis une dizaine d’années, pour des faits non criminels mais uniquement fiscaux, qu’il nie totalement et qui concernent des impôts qu’il n’aurait pas payé : "Hovind fait valoir qu’il a fait le vœu de pauvreté en tant que ministre de l’Évangile de Jésus-Christ et, par conséquent, ne possède rien et ne reçoit pas de revenus. Il explique que tous ses besoins sont pris en charge par le ministère. Il dit avoir compris que comme une organisation 508 à but non lucratif, il n’avait pas à retenir les impôts, laissant les obligations envers le Ministère du Revenu aux autres travailleurs.
En novembre 2006, toutefois, Hovind a été reconnu coupable d’avoir omis de percevoir et de payer 470 000 $ dans les retenues à la source, contrevenant ainsi aux lois fiscales, et en structurant des transactions pour un total de 430 500 $ pour éviter de rapporter aux lois financières, d’avoir déposé une plainte frivole contre le Ministère du Revenu, d’avoir déposé une injonction à l’encontre d’un agent du Ministère du Revenu et d’avoir menacé les enquêteurs et les autres qui coopéraient à l’enquête.
La « structure » des accusations sont fondées sur l’application des lois visant à exposer le blanchiment d’argent par les trafiquants de drogues, ce qui exige des banques de remplir un rapport de transactions si tous les dépôts et retraits d’un quelconque client s’élèvent à plus de 10 000 $ dans une journée.Jusqu’en 2003, Évangélisme des sciences de la Création a retiré l’argent de la banque pour indemniser les salariés.
Les Hovind ont été inculpés en vertu d’une loi qui rend illégal le fait de se soustraire de rapporter la division de montants de transactions de moins de 10 000 $ et l’utilisation de plusieurs banques. Chaque chef est porteur d’une amende de 250 000 dollars et cinq années de prison.
Au fil des années, le montant des retraits de chaque semaine a augmenté de 2000 $ à environ 9500 $. En 2002, la pratique a cessé parce que les Hovind pensaient que c’était trop risqué de transporter autant d’argent.
Hovind soutient avoir abandonné toute pratique parce qu’il avait découvert qu’elle était juridiquement contestable. Mais aux petites heures du matin du 13 juillet 2006, environ vingt agents armés du gouvernement sont arrivés sur les propriétés du ministère, sans préavis, pour arrêter les Hovind. Kent Hovind a été placé en garde à vue pendant qu’il se préparait pour ses dévotions personnelles, tandis que quatre agents armés entouraient Jo Hovind qui dormait. Mme Hovind, qui mesure cinq pieds et qui pèse 100 livres, a dit qu’elle a été amenée de la maison en vêtements de nuit, malgré sa demande d’utiliser la salle de bain pour s’habiller. [...] Le plus gros problème, selon les critiques de la gestion du gouvernement du cas de Hovind, est le code des impôts, qui est tellement complexe qu’il peut être utilisé pour poursuivre presque n’importe qui." (2)
Hovind avait pour autre particularité de souligner le marxisme de certains de ses opposants idéologiques, tel que Stephen Jay Gould, et de préciser que l’argent public servait à enseigner une fable pour enfants, la théorie de l’évolution. Désigner le véritable ennemi, et s’en prendre à sa principale source de revenus, c’est la certitude que celui-ci ne vous appréciera pas du tout. Et c’est connu, quand le gouvernement n’a rien à reprocher à un ennemi politique sur le plan de la loi, il interprète celle-ci d’une telle manière qui l’arrange et en particulier sur son volet fiscal, qui permet tant et tant d’abus, comme nous l’avons vu si souvent ici. Or il suffit de regarder n’importe quel des débats de Kent Hovind avec des évolutionnistes pour comprendre qu’il était un des meilleurs débatteurs non-évolutionnistes, et qu’il dérangeait beaucoup la propagande évolutionniste. Ainsi, il avait proposé 250 000$ à quiconque pourrait prouver l’évolution darwinienne. Il a proposé à Richard Dawkins un débat avec lui, mais Dawkins l’a toujours refusé, proposant une somme astronomique pour que Hovind puisse débattre avec lui, ce qui n’a rien de tolérant. Il savait qu’il ne pouvait que perdre un tel débat, donc il l’a fui, préférant débattre avec des créationnistes moins au point que Hovind (la question n’était donc pas qu’il refusait de débattre avec des créationnistes), comme Wendy Wright :
Comparez avec Kent Hovind, qui débat ici avec une des références américaines de l’évolutionnisme, Michael Shermer :
Michael Shermer est interviewé dans le documentaire de Ben Stein, et il explique que les défenseurs de l’intelligent design ne sont exclus ni de l’université, ni des médias, ni de la science en général. Ce qui est factuellement faux, évidemment. Comme nous l’indiquions précédemment, malgré toutes ces preuves, les libéraux français ne bougent pas le petit doigt, preuve qu’ils ont choisi leur camp.
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/comment-les-evolutionnistes-49670
Les évolutionnistes, donc ceux qui se réclament de l’héritage de Darwin, les plus fameux étant Steven Jay Gould, Richard Dawkins, Jacques Monod ou Albert Jacquard, de même que la quasi-totalité des universitaires occidentaux travaillant sur ces sujets, ont interdit aux scientifiques non-évolutionnistes d’exercer leur liberté de recherche scientifique et d’expression, tant à l’université, dans les revues scientifiques à comité de lecture que dans les médias.
Ils ont créé une insulte, "créationniste !", dont ils affublent quiconque ose remettre en question, même et surtout scientifiquement, la théorie de l’évolution. Même et y compris si le scientifique qui émet ces doutes n’est pas religieux lui-même. Les évolutionnistes le nient parfois, malgré les preuves factuelles multiples qui existent, mais le plus souvent ils le justifient en expliquant que toute explication qui ne valide pas la théorie de l’évolution n’est pas scientifique. Ce raisonnement lui-même n’est pas scientifique, mais hautement dogmatique et sectaire... voire religieux.
Une fois de plus, on peut identifier dans ces comportements sectaires et anti-scientifiques l’influence marxiste, d’ailleurs Stephen Jay Gould était lui-même marxiste : "Élevé dans une famille laïque, Gould se définit comme agnostique. Élevé par un père marxiste, Gould s’est toujours identifié au marxisme et a essayé de montrer la validité des analyses de Marx. Il participe, par exemple, à la New York Marxist School. Richard Dawkins quant à lui est un adversaire acharné de l’idée de l’existence de Dieu, son livre le plus vendu s’intitule d’ailleurs "The God Delusion" (Pour en finir avec Dieu). Pourtant il n’a jamais démontré que Dieu n’existait pas, il sort donc du domaine de la science pour entrer lui-même dans le religieux. Il a étudié à Berkeley, en Californie, qui n’est pas connu pour son christianisme échevelé, bien au contraire. En fait, le système universitaire actuel étant dominé outrancièrement par les marxistes, le système scientifique n’y fait pas exception, et l’on se retrouve avec des marxistes comme feu le généticien Albert Jacquard pour nous expliquer en quoi la théorie de l’évolution est forcément vraie, quelles que soient les preuves du contraire.
Jacques Monod, ancien membre du parti communiste français, biologiste et biochimiste français, qui fut aussi Prix Nobel, eut un retentissement mondial avec son livre "Le hasard et la nécessité" par lequel il concluait : « L’ancienne alliance est rompue ; l’homme sait enfin qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard. Non plus que son destin, son devoir n’est écrit nulle part. A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. »
Censure généralisée sur argent public
C’est toujours le même phénomène avec les marxistes : on coupe les têtes de ceux qui ne pensent pas comme vous, surtout s’ils sont chrétiens. En France, un des pays les plus marxistes au monde actuellement, le débat entre évolutionnistes et non-évolutionnistes a disparu il y a bien longtemps, pour ne laisser place qu’aux évolutionnistes. Aux Etats-Unis, la purge est plus récente, elle a donc permis à Ben Stein de réaliser un formidable documentaire sur l’épuration des scientifiques non-évolutionnistes aux États-Unis. Ce documentaire (en anglais) a été diffusé en 2007, et fait état d’un nombre considérable de scientifiques et professeurs limogés de leur université, et de journalistes virés de leur journal, pour avoir émis des doutes sur la théorie de l’évolution, ou parlé de l’intelligent design, une théorie alternative incluant l’idée d’un créateur intelligent. Il est particulièrement intéressant car il révèle l’aspect totalitaire de ces scientifiques qui se prétendent ouverts d’esprit et pour la liberté d’expression, alors qu’il n’en est rien. On retiendra en particulier l’analyse des différents chiens de garde du système évolutionniste : les médias, les journaux à comité de lecture, les associations de scientifiques, les associations de professeurs. Le tout financé par l’Etat, et tenu par des marxistes, ou leurs idiots utiles (notamment des libéraux), naturellement.
Ceux qui remettent en cause la théorie de l’évolution risquent donc la mort sociale, voire l’emprisonnement, comme le Dr Kent Hovind, qui croupit en prison aux Etats-Unis depuis une dizaine d’années, pour des faits non criminels mais uniquement fiscaux, qu’il nie totalement et qui concernent des impôts qu’il n’aurait pas payé : "Hovind fait valoir qu’il a fait le vœu de pauvreté en tant que ministre de l’Évangile de Jésus-Christ et, par conséquent, ne possède rien et ne reçoit pas de revenus. Il explique que tous ses besoins sont pris en charge par le ministère. Il dit avoir compris que comme une organisation 508 à but non lucratif, il n’avait pas à retenir les impôts, laissant les obligations envers le Ministère du Revenu aux autres travailleurs.
En novembre 2006, toutefois, Hovind a été reconnu coupable d’avoir omis de percevoir et de payer 470 000 $ dans les retenues à la source, contrevenant ainsi aux lois fiscales, et en structurant des transactions pour un total de 430 500 $ pour éviter de rapporter aux lois financières, d’avoir déposé une plainte frivole contre le Ministère du Revenu, d’avoir déposé une injonction à l’encontre d’un agent du Ministère du Revenu et d’avoir menacé les enquêteurs et les autres qui coopéraient à l’enquête.
La « structure » des accusations sont fondées sur l’application des lois visant à exposer le blanchiment d’argent par les trafiquants de drogues, ce qui exige des banques de remplir un rapport de transactions si tous les dépôts et retraits d’un quelconque client s’élèvent à plus de 10 000 $ dans une journée.Jusqu’en 2003, Évangélisme des sciences de la Création a retiré l’argent de la banque pour indemniser les salariés.
Les Hovind ont été inculpés en vertu d’une loi qui rend illégal le fait de se soustraire de rapporter la division de montants de transactions de moins de 10 000 $ et l’utilisation de plusieurs banques. Chaque chef est porteur d’une amende de 250 000 dollars et cinq années de prison.
Au fil des années, le montant des retraits de chaque semaine a augmenté de 2000 $ à environ 9500 $. En 2002, la pratique a cessé parce que les Hovind pensaient que c’était trop risqué de transporter autant d’argent.
Hovind soutient avoir abandonné toute pratique parce qu’il avait découvert qu’elle était juridiquement contestable. Mais aux petites heures du matin du 13 juillet 2006, environ vingt agents armés du gouvernement sont arrivés sur les propriétés du ministère, sans préavis, pour arrêter les Hovind. Kent Hovind a été placé en garde à vue pendant qu’il se préparait pour ses dévotions personnelles, tandis que quatre agents armés entouraient Jo Hovind qui dormait. Mme Hovind, qui mesure cinq pieds et qui pèse 100 livres, a dit qu’elle a été amenée de la maison en vêtements de nuit, malgré sa demande d’utiliser la salle de bain pour s’habiller. [...] Le plus gros problème, selon les critiques de la gestion du gouvernement du cas de Hovind, est le code des impôts, qui est tellement complexe qu’il peut être utilisé pour poursuivre presque n’importe qui." (2)
Hovind avait pour autre particularité de souligner le marxisme de certains de ses opposants idéologiques, tel que Stephen Jay Gould, et de préciser que l’argent public servait à enseigner une fable pour enfants, la théorie de l’évolution. Désigner le véritable ennemi, et s’en prendre à sa principale source de revenus, c’est la certitude que celui-ci ne vous appréciera pas du tout. Et c’est connu, quand le gouvernement n’a rien à reprocher à un ennemi politique sur le plan de la loi, il interprète celle-ci d’une telle manière qui l’arrange et en particulier sur son volet fiscal, qui permet tant et tant d’abus, comme nous l’avons vu si souvent ici. Or il suffit de regarder n’importe quel des débats de Kent Hovind avec des évolutionnistes pour comprendre qu’il était un des meilleurs débatteurs non-évolutionnistes, et qu’il dérangeait beaucoup la propagande évolutionniste. Ainsi, il avait proposé 250 000$ à quiconque pourrait prouver l’évolution darwinienne. Il a proposé à Richard Dawkins un débat avec lui, mais Dawkins l’a toujours refusé, proposant une somme astronomique pour que Hovind puisse débattre avec lui, ce qui n’a rien de tolérant. Il savait qu’il ne pouvait que perdre un tel débat, donc il l’a fui, préférant débattre avec des créationnistes moins au point que Hovind (la question n’était donc pas qu’il refusait de débattre avec des créationnistes), comme Wendy Wright :
Comparez avec Kent Hovind, qui débat ici avec une des références américaines de l’évolutionnisme, Michael Shermer :
Michael Shermer est interviewé dans le documentaire de Ben Stein, et il explique que les défenseurs de l’intelligent design ne sont exclus ni de l’université, ni des médias, ni de la science en général. Ce qui est factuellement faux, évidemment. Comme nous l’indiquions précédemment, malgré toutes ces preuves, les libéraux français ne bougent pas le petit doigt, preuve qu’ils ont choisi leur camp.
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/comment-les-evolutionnistes-49670
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Evolution des espèces : 2 piliers de la théorie s'écroulent
L'embryologie et l'homologie, considérées comme 2 preuves majeures de la théorie de l'évolution, montrent au contraire que l'évolution n'a jamais existé.
Il existe aujourd'hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l'évolution.
Cette vidéo aborde rapidement ce que nous enseigne l'embryologie, étude du développement de l'embryon - et ce que nous apprennent en vérité les organes homologues.
L'embryologie et l'homologie, considérées comme 2 preuves majeures de la théorie de l'évolution, montrent au contraire que l'évolution n'a jamais existé.Il existe aujourd'hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l'évolution.
Cette vidéo aborde rapidement ce que nous enseigne l'embryologie, étude du développement de l'embryon - et ce que nous apprennent en vérité les organes homologues.
Il existe aujourd'hui un fossé béant entre le résultat des travaux des chercheurs et le dogme officiel de la théorie de l'évolution.
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Science ET croyance
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Pourquoi la théorie de l'évolution est-elle impossible ?
La théorie de l'évolution est fondée sur des mensonges et des tromperies, mais certainement pas sur des preuves scientifiques, Cette théorie, qui consiste à dire que la vie s'est formée à partir de matière inanimée par suite de coïncidences, a été démolie par la plupart des scientifiques, mais pour des raisons que vous connaissez certainement l'éducation nationale continue à enseigner a nos enfants ce mensonge. Aux Etats Unis il est même interdit de contre-dire cette version.
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La théorie de l'évolution est fondée sur des mensonges et des tromperies, mais certainement pas sur des preuves scientifiques, Cette théorie, qui consiste à dire que la vie s'est formée à partir de matière inanimée par suite de coïncidences, a été démolie par la plupart des scientifiques, mais pour des raisons que vous connaissez certainement l'éducation nationale continue à enseigner a nos enfants ce mensonge. Aux Etats Unis il est même interdit de contre-dire cette version.
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Les exemples de fossiles vivants réfutent la théorie de l'évolution
Un hareng vieux de 50 millions d'années
Ce hareng, également découvert à Green River au Wyoming et datant de l'Eocéne (il y a 50 millions d'années), possède une bouche à la structure unique pour les poissons se nourrissant en surface. Ce type de hareng a aussi été retrouvé dans les strates du Crétacé en Amérique du Sud. Après 50 millions d'années, ces poissons n'ont subi aucun changement.
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Annularia stellata de la période Carbonifère, vieux de 330 millions d'années, a été déterré en France. Les formes vivantes de cette plante sont appelées des prêles (queues de cheval).
Les premiers spécimens vivants de ce fossile de séquoia âgé de 50 millions d'années (Metasequoia) ont été retrouvés en Colombie Britannique au Canada. Ce spécimen est identique aux séquoias actuels.
Feuille de peuplier datant de l'Éocène, vieille de 50 millions d'années, a été découverte à Green River, en Utah.
Fossile retrouvé en Colombie Britannique au Canada remonte à l'Éocène (il y a 50 millions d'années).
Feuille de sumac vieille de 50 millions d'années retrouvée à Green River, au Colorado.
Feuille de platane (Macginitea) fossilisée, vieille de 55 millions d'années.
Les premiers spécimens vivants de ce fossile de séquoia âgé de 50 millions d'années (Metasequoia) ont été retrouvés en Colombie Britannique au Canada. Ce spécimen est identique aux séquoias actuels.
Feuille de peuplier datant de l'Éocène, vieille de 50 millions d'années, a été découverte à Green River, en Utah.
Fossile retrouvé en Colombie Britannique au Canada remonte à l'Éocène (il y a 50 millions d'années).
Feuille de sumac vieille de 50 millions d'années retrouvée à Green River, au Colorado.
Feuille de platane (Macginitea) fossilisée, vieille de 55 millions d'années.
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Les fossiles cachés par les évolutionnistes
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
"Un petit poisson ancêtre de l'homme ?" Non, l'ancêtre de l'homme est la banane. MDR
Ils ne savent plus quoi inventer pour appuyer cette fumeuse théorie.
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Ils ne savent plus quoi inventer pour appuyer cette fumeuse théorie.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Un moustique vieux de 46 millions d'années n'a subi aucune évolution, il est le même que le moustique d'aujourd'hui : http://www.lefigaro.fr/sciences/2013/10/15/01008-20131015ARTFIG00254-du-sang-dans-un-moustique-vieux-de-46millions-d-annees.php
Du sang dans un moustique vieux de 46 millions d'années
Le moustique fossilisé, du genre Culiseta, présente un abdomen distendu et sombre, caractéristique d'un animal gorgé de sang.
Des paléontologues ont retrouvé dans l'abdomen d'un moustique fossilisé dans le Montana l'hémoglobine d'une proie vivant à l'Éocène.
Dans le film Jurassic Park, les scientifiques refont vivre des dinosaures à partir d'ADN conservé dans du sang ingéré par des moustiques conservés dans de l'ambre. Un scénario farfelu car, à ce jour, aucun insecte gorgé de sang de dinosaure n'a jamais été retrouvé (sans compter que l'ADN se dégrade en quelques centaines d'années).
Des paléontologues viennent de faire un pas en avant en identifiant un moustique femelle contenant du sang fossilisé depuis 46 millions d'années, soit 20 millions d'années après la disparition des dinosaures.
Ils ont en fait découvert 36 spécimens de moustiques préservés dans les roches du Montana, dont une dizaine n'appartenant à aucune espèce connue, expliquent-ils dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS).
(sans blague)
Mais l'individu le plus intéressant est sans aucun doute celui d'une femelle, reconnaissable à ses antennes lisses et son abdomen sombre et distendu, comme s'il était gorgé de sang. Des analyses par spectroscopie aux rayons X ont montré que le corps de l'insecte avait une concentration élevée en fer et en carbone, bien plus que le schiste dans lequel il est emprisonné. Avec une sonde ionique, ils se sont aperçus que le fer était associé à des molécules d'hème, l'un des composants de l'hémoglobine. Il s'agit donc de sang pris sur une proie.
L'animal parasité reste inconnu, mais les moustiques ressemblent à des insectes qui piquent des oiseaux. Les chercheurs assurent que leur technique pourrait permettre d'identifier d'autres molécules biologiques dans des fossiles encore plus vieux, comme des dinosaures. Leur découverte renforce également le crédit d'autres chercheurs qui affirmaient avoir trouvé en 1997 puis en 2009 des composés sanguins dans des os de Tyrannosaurus rex et de Brachylophosaurus canadensis, un dinosaure «à tête de canard».
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Du sang dans un moustique vieux de 46 millions d'années
Le moustique fossilisé, du genre Culiseta, présente un abdomen distendu et sombre, caractéristique d'un animal gorgé de sang.
Des paléontologues ont retrouvé dans l'abdomen d'un moustique fossilisé dans le Montana l'hémoglobine d'une proie vivant à l'Éocène.
Dans le film Jurassic Park, les scientifiques refont vivre des dinosaures à partir d'ADN conservé dans du sang ingéré par des moustiques conservés dans de l'ambre. Un scénario farfelu car, à ce jour, aucun insecte gorgé de sang de dinosaure n'a jamais été retrouvé (sans compter que l'ADN se dégrade en quelques centaines d'années).
Des paléontologues viennent de faire un pas en avant en identifiant un moustique femelle contenant du sang fossilisé depuis 46 millions d'années, soit 20 millions d'années après la disparition des dinosaures.
Ils ont en fait découvert 36 spécimens de moustiques préservés dans les roches du Montana, dont une dizaine n'appartenant à aucune espèce connue, expliquent-ils dans les Comptes rendus de l'Académie américaine des sciences (PNAS).
(sans blague)
Mais l'individu le plus intéressant est sans aucun doute celui d'une femelle, reconnaissable à ses antennes lisses et son abdomen sombre et distendu, comme s'il était gorgé de sang. Des analyses par spectroscopie aux rayons X ont montré que le corps de l'insecte avait une concentration élevée en fer et en carbone, bien plus que le schiste dans lequel il est emprisonné. Avec une sonde ionique, ils se sont aperçus que le fer était associé à des molécules d'hème, l'un des composants de l'hémoglobine. Il s'agit donc de sang pris sur une proie.
L'animal parasité reste inconnu, mais les moustiques ressemblent à des insectes qui piquent des oiseaux. Les chercheurs assurent que leur technique pourrait permettre d'identifier d'autres molécules biologiques dans des fossiles encore plus vieux, comme des dinosaures. Leur découverte renforce également le crédit d'autres chercheurs qui affirmaient avoir trouvé en 1997 puis en 2009 des composés sanguins dans des os de Tyrannosaurus rex et de Brachylophosaurus canadensis, un dinosaure «à tête de canard».
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
Jean Rostand - Biologiste
Jean Rostand : les théories de l'évolution
Jean ROSTAND ne pense pas, contrairement à l'avis de la majorité des biologistes, que l'évolution de l'homme se soit faite par mutations successives (théorie néo-darwinienne). Il ne pense pas non plus que l'homme se soit transformé pour s'adapter aux conditions extérieures (théorie de Lamarque). Il reconnaît ne pas avoir lui-même d'hypothèse à avancer.
Jean ROSTAND ne pense pas, contrairement à l'avis de la majorité des biologistes, que l'évolution de l'homme se soit faite par mutations successives (théorie néo-darwinienne). Il ne pense pas non plus que l'homme se soit transformé pour s'adapter aux conditions extérieures (théorie de Lamarque). Il reconnaît ne pas avoir lui-même d'hypothèse à avancer.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’évolution : une théorie invalidée par les faits
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Un crâne préhistorique bouleverse l'évolution humaine
Par Erwan Lecomte - 21.10.2013
Ce fossile vieux de "1,8 millions d'années" et découvert en Géorgie simplifie considérablement l'arbre généalogique des hominidés.
Un crâne de "1,8 millions d'années" bouleverse la généalogie humaine.
GÉNÉALOGIE. C'est un sacré bouleversement qui vient de se produire dans la famille des hominidés dont nous autres, Homo sapiens, sommes les derniers représentants
Jusqu'à présent, les membres les plus anciens du genre Homo qui vivaient il y a un peu plus de 2 millions d'années étaient séparés en plusieurs espèces distinctes, telles que Homo rudolfensis, Homo habilis, Homo ergaster, Homo georgicus...
Les différentes espèces d'hominidés telles qu'on les concevait jusqu'à aujourd'hui.
De subtiles différences morphologiques entre les différents fossiles (à partir des crânes notamment) retrouvés sur les sites de fouilles avaient conduit les paléoanthropologues à penser que toutes ces espèces étaient bien distinctes.
Une seule et même espèce
Toutefois, un article publié vendredi 18 octobre 2013 dans le magazine américain Science remet en cause cette théorie. D'après une équipe internationale de chercheurs, menée par le Muséum National de Géorgie à Tbilisi, ces divisions n'ont plus lieu d'être car tous ces hominidés feraient en fait partie d'une seule et même espèce : l'Homo erectus.
Le nouvel arbre généalogique des hominidés tels que le proposent les chercheurs du Muséum National de Géorgie. Crédit : NY Times.
Pour appuyer cette affirmation, l'équipe de chercheurs s'est appuyée sur l'étude approfondie d'un crâne vieux de 1,8 million d'années découvert en 2005 sur le site de Dmanisi en Géorgie.
Le point rouge matérialise la localisation du site de Dmanisi, en Géorgie.
TRÉSORS. Véritable caverne d'Ali Baba, ce site a déjà livré des dizaines de milliers de fossiles de plantes et d'animaux, ainsi que des outils en pierre. Mais on lui doit surtout la découverte de cinq crânes hominidés, dans un excellent état de conservation :
"Skull 5", l'un des crânes découverts sur le site de Dmanisi en 2005. Crédit Guram Bumbiashvili, Georgian National Museum.
Et c'est sur ce crâne (dont la mandibule avait été découverte seule cinq ans auparavant) que les chercheurs ont trouvé les indices remettant en cause la classification actuelle des hominidés les plus anciens.
A l'instar de Homo habilis, ce fossile présente en effet une boîte crânienne relativement petite (546 cm3) soit le tiers de celle d'un homme moderne, mais aussi une face allongée et prognathe (comme Homo erectus) avec de grandes dents (comme Homo rudolfensis).
Analyse des caractères morphologiques du crâne découvert en Géorgie et des points communs qu'il partage avec de d'autres crânes identifiés comme appartenant à d'autres espèces d'hominidés. Crédit image : Université de Zurich / Science / National Geographic.
Ces éléments aurait pu laisser à penser que ce crâne est celui d'un ancêtre des autres espèces du genre Homo dont il porte les caractéristiques. "Si la boîte crânienne et la face de ce crâne avaient été trouvés séparément et à différents endroits en Afrique, ils auraient pu être attribués à des espèces différentes, car ce crâne est le seul à ce jour à réunir de telles caractéristiques", abonde Christoph Zollikofer de l'Institut d'anthropologie de Zürich (Suisse), un des coauteurs de cet article, dans un communiqué.
Mais tel ne fut pas le cas : le crâne et la mâchoire cohabitaient l'un près de l'autre. Et en les associant, les chercheurs ont obtenu "Skull 5", le premier crâne parfaitement conservé d'un hominidé du début du Pléistocène. Un fossile exceptionnel daté de 1,8 million d'années, comme les autres crânes découverts à proximité.
Reconstitution informatique des 5 crânes découverts à Dmanisi. Crédit : Marcia Ponce de León et Christoph Zollikofer, Université de Zurich
COMPARAISON. L'équipe s'est donc livrée à une comparaison morphologique des 5 crânes de Dmanisi : le fameux "Skull 5" et les quatre autres découverts sur le site. Puis ils les ont comparés à d'autres fossiles d'hominidés découverts en Afrique, en Asie ou en Europe, tous datés entre 1,8 à 1,2 million d'années.
Leur conclusion : les différences morphologiques que l'on peut observer entre ces fossiles sont grosso modo les mêmes que celles que l'on pourrait observer au sein d'un groupe d'humains ou d'un groupe de chimpanzés aujourd'hui.
Une incroyable variabilité entre les individus
Autrement dit, certains hominidés de l'époque avaient des dents un peu plus grosses, d'autres un visage un peu plus prognathe, et d'autres encore une tête un peu plus grosse ou plus petite que la moyenne.
« Les fossiles trouvés à Dmanisi semblent très différents les uns des autres, et il serait tentant de publier leur découverte sous la forme d'espèces distinctes » explique Christoph Zollikofer. « Nous savons cependant que ces individus venaient du même endroit et de la même période géologique, aussi ils pourraient en principe représenter une seule population d'une seule espèce. » Une espèce qui, partie de l'Est de l'Afrique, se serait répandue sur toute la planète.
Vue d'artiste de ce à quoi pouvait ressembler le propriétaire de "Skull 5". Crédit : J.H. Matternes / NY Times
CONTROVERSE. Toutefois, cette découverte ne fait pas l'unanimité. Interrogé par l'AFP, le paléobiologiste Bernard Wood, professeur à l'université George Washington, s'est ainsi déclaré "très sceptique" sur les conclusions de l'analyse du crâne de Dmanisi. S'il juge également très probable que les crânes trouvés sur le site de fouille géorgien appartiennent à une seule et même espèce d'hominidés, il n'est en revanche pas convaincu par l'extrapolation que font les auteurs à l'ensemble des autres espèces d'hominidés.
Les distinctions entre les différentes espèces d'Homo qui avaient cours jusqu'à présent ne sont pas basées que sur la morphologie crânienne, explique-t-il dans un entretien au magazine National Geographic. D'autres éléments tels que la longueur des bras par exemple entrent en ligne de compte pour séparer les différentes espèces. Il n'est donc pas forcément nécessaire de jeter aux orties l'ancienne classification.
"L'analyse de Skull 5, mais aussi des autres crânes et mandibules de Dmanissi montre l’incroyable variabilité morphologique observée sur ces individus datés de 1.8 million d’années et appartenant probablement à une même espèce… bien sûr, ces résultats doivent être validés par des études complémentaires sur les autres ossements de ce gisement qui est loin d’avoir livré tous ses secrets, mais ils posent quand même la question de l’interprétation des caractères morphologiques dans l’attribution des fossiles à une espèce donnée, et dans une plus large perspective dans la compréhension du buisson évolutif de l’Homme " nous explique Dominique Grimaud-Hervé, professeur au département de préhistoire du Muséum d'Histoire Naturelle.
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/un-crane-prehistorique-bouleverse-l-evolution-humaine_21562
Un crâne préhistorique bouleverse l'évolution humaine
Par Erwan Lecomte - 21.10.2013
Ce fossile vieux de "1,8 millions d'années" et découvert en Géorgie simplifie considérablement l'arbre généalogique des hominidés.
Un crâne de "1,8 millions d'années" bouleverse la généalogie humaine.
GÉNÉALOGIE. C'est un sacré bouleversement qui vient de se produire dans la famille des hominidés dont nous autres, Homo sapiens, sommes les derniers représentants
Jusqu'à présent, les membres les plus anciens du genre Homo qui vivaient il y a un peu plus de 2 millions d'années étaient séparés en plusieurs espèces distinctes, telles que Homo rudolfensis, Homo habilis, Homo ergaster, Homo georgicus...
Les différentes espèces d'hominidés telles qu'on les concevait jusqu'à aujourd'hui.
De subtiles différences morphologiques entre les différents fossiles (à partir des crânes notamment) retrouvés sur les sites de fouilles avaient conduit les paléoanthropologues à penser que toutes ces espèces étaient bien distinctes.
Une seule et même espèce
Toutefois, un article publié vendredi 18 octobre 2013 dans le magazine américain Science remet en cause cette théorie. D'après une équipe internationale de chercheurs, menée par le Muséum National de Géorgie à Tbilisi, ces divisions n'ont plus lieu d'être car tous ces hominidés feraient en fait partie d'une seule et même espèce : l'Homo erectus.
Le nouvel arbre généalogique des hominidés tels que le proposent les chercheurs du Muséum National de Géorgie. Crédit : NY Times.
Pour appuyer cette affirmation, l'équipe de chercheurs s'est appuyée sur l'étude approfondie d'un crâne vieux de 1,8 million d'années découvert en 2005 sur le site de Dmanisi en Géorgie.
Le point rouge matérialise la localisation du site de Dmanisi, en Géorgie.
TRÉSORS. Véritable caverne d'Ali Baba, ce site a déjà livré des dizaines de milliers de fossiles de plantes et d'animaux, ainsi que des outils en pierre. Mais on lui doit surtout la découverte de cinq crânes hominidés, dans un excellent état de conservation :
"Skull 5", l'un des crânes découverts sur le site de Dmanisi en 2005. Crédit Guram Bumbiashvili, Georgian National Museum.
Et c'est sur ce crâne (dont la mandibule avait été découverte seule cinq ans auparavant) que les chercheurs ont trouvé les indices remettant en cause la classification actuelle des hominidés les plus anciens.
A l'instar de Homo habilis, ce fossile présente en effet une boîte crânienne relativement petite (546 cm3) soit le tiers de celle d'un homme moderne, mais aussi une face allongée et prognathe (comme Homo erectus) avec de grandes dents (comme Homo rudolfensis).
Analyse des caractères morphologiques du crâne découvert en Géorgie et des points communs qu'il partage avec de d'autres crânes identifiés comme appartenant à d'autres espèces d'hominidés. Crédit image : Université de Zurich / Science / National Geographic.
Ces éléments aurait pu laisser à penser que ce crâne est celui d'un ancêtre des autres espèces du genre Homo dont il porte les caractéristiques. "Si la boîte crânienne et la face de ce crâne avaient été trouvés séparément et à différents endroits en Afrique, ils auraient pu être attribués à des espèces différentes, car ce crâne est le seul à ce jour à réunir de telles caractéristiques", abonde Christoph Zollikofer de l'Institut d'anthropologie de Zürich (Suisse), un des coauteurs de cet article, dans un communiqué.
Mais tel ne fut pas le cas : le crâne et la mâchoire cohabitaient l'un près de l'autre. Et en les associant, les chercheurs ont obtenu "Skull 5", le premier crâne parfaitement conservé d'un hominidé du début du Pléistocène. Un fossile exceptionnel daté de 1,8 million d'années, comme les autres crânes découverts à proximité.
Reconstitution informatique des 5 crânes découverts à Dmanisi. Crédit : Marcia Ponce de León et Christoph Zollikofer, Université de Zurich
COMPARAISON. L'équipe s'est donc livrée à une comparaison morphologique des 5 crânes de Dmanisi : le fameux "Skull 5" et les quatre autres découverts sur le site. Puis ils les ont comparés à d'autres fossiles d'hominidés découverts en Afrique, en Asie ou en Europe, tous datés entre 1,8 à 1,2 million d'années.
Leur conclusion : les différences morphologiques que l'on peut observer entre ces fossiles sont grosso modo les mêmes que celles que l'on pourrait observer au sein d'un groupe d'humains ou d'un groupe de chimpanzés aujourd'hui.
Une incroyable variabilité entre les individus
Autrement dit, certains hominidés de l'époque avaient des dents un peu plus grosses, d'autres un visage un peu plus prognathe, et d'autres encore une tête un peu plus grosse ou plus petite que la moyenne.
« Les fossiles trouvés à Dmanisi semblent très différents les uns des autres, et il serait tentant de publier leur découverte sous la forme d'espèces distinctes » explique Christoph Zollikofer. « Nous savons cependant que ces individus venaient du même endroit et de la même période géologique, aussi ils pourraient en principe représenter une seule population d'une seule espèce. » Une espèce qui, partie de l'Est de l'Afrique, se serait répandue sur toute la planète.
Vue d'artiste de ce à quoi pouvait ressembler le propriétaire de "Skull 5". Crédit : J.H. Matternes / NY Times
CONTROVERSE. Toutefois, cette découverte ne fait pas l'unanimité. Interrogé par l'AFP, le paléobiologiste Bernard Wood, professeur à l'université George Washington, s'est ainsi déclaré "très sceptique" sur les conclusions de l'analyse du crâne de Dmanisi. S'il juge également très probable que les crânes trouvés sur le site de fouille géorgien appartiennent à une seule et même espèce d'hominidés, il n'est en revanche pas convaincu par l'extrapolation que font les auteurs à l'ensemble des autres espèces d'hominidés.
Les distinctions entre les différentes espèces d'Homo qui avaient cours jusqu'à présent ne sont pas basées que sur la morphologie crânienne, explique-t-il dans un entretien au magazine National Geographic. D'autres éléments tels que la longueur des bras par exemple entrent en ligne de compte pour séparer les différentes espèces. Il n'est donc pas forcément nécessaire de jeter aux orties l'ancienne classification.
"L'analyse de Skull 5, mais aussi des autres crânes et mandibules de Dmanissi montre l’incroyable variabilité morphologique observée sur ces individus datés de 1.8 million d’années et appartenant probablement à une même espèce… bien sûr, ces résultats doivent être validés par des études complémentaires sur les autres ossements de ce gisement qui est loin d’avoir livré tous ses secrets, mais ils posent quand même la question de l’interprétation des caractères morphologiques dans l’attribution des fossiles à une espèce donnée, et dans une plus large perspective dans la compréhension du buisson évolutif de l’Homme " nous explique Dominique Grimaud-Hervé, professeur au département de préhistoire du Muséum d'Histoire Naturelle.
https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/un-crane-prehistorique-bouleverse-l-evolution-humaine_21562
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Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
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