Le Nom Divin dans l'archéologie
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Le Nom Divin dans l'archéologie
Rappel du premier message :
Le Nom divin dans l'archéologie
Colonne de Soleb
Datation: 14ème siècle avant notre ère
A la base de ses colonnes massives, le temple d’Amun à Soleb (Soudan), datant de l’époque d’Amenophis III (1391-1353 avant notre ère), dépeint des captifs les mains liées derrière leur dos. Des caractéristiques raciales clairement dépeintes ainsi qu’un nom clairement visible sur le pourtour circulaire de la colonne, donnent des informations sur ces prisonniers. Différents types de personnes y sont représentés.
L’une des colonnes est particulièrement intéressante concernant le nom divin. Elle se présente de la façon suivante :
Dans l’ordre correct :
t3 s3 sw w / y h w3 (w)
Certains spécialistes soulignent à juste titre que les voyelles égyptiennes ne sont pas très bien connues. Cependant, pour les mots d’origine étrangère - comme dans notre cas - les Égyptiens utilisaient une sorte d’alphabet standard avec des “matres lectionis”, semi-consonnes utilisées comme voyelles. Dans ce système on prononce : “3” = “a”; w = u en ÿ = i.
En utilisant ce système, le hiéroglyphe ci-dessus se lit ainsi :
“ta sasûw yehûa(w)”
Ce qui donne en français : “le pays des nomades (ou bédouins), ceux de Yehua(w).”
Certains spécialistes ont choisi d’identifier “Yehua” à un toponyme inconnu. Cela ne peut être prouvé avec certitude parce qu’il existe des endroits avec des noms tels que : pays de Juda (Deutéronome 34 : 2) et pays de Ramsès (Genèse 47 : 11). Voire, si l’on fait référence aux toponymes du Moyen-Orient de cette époque : pays de Jakob-El, pays de Josep-El, pays de Lewi-El, etc. Il est évident que les noms de personnes étaient utilisés dans des noms de lieux ! (1)
Jean Leclant écrit ceci : « Il est évident que le nom sur l’écusson de Soleb dont nous discutons correspond au “tétragramme” du Dieu de la Bible « YHWH. » » Il ajoute : « Le nom de Dieu apparaît ici pour la première fois comme nom d’un lieu. » Dans la note en bas de page, il explique que les noms de lieux sont souvent dérivés des noms de dieux. (2)
Il est intéressant de savoir que l’expression “Shasus”, utilisée par les Égyptiens, se rapporte aux bédouins vivant sous leur tente dans la région nord du Sinaï. À partir du 15ème siècle avant notre ère jusqu’au 12ème siècle avant notre ère les colons hébreux conquérant la Palestine étaient appelés “Hapirus”. Le mot “Apiru” ou “‘Habiru” signifie “nomades” dans les langues sémitiques.
Notes :
(1) Gérard Gertoux – “The Name Of God Y.eH.oW.aH Which is pronounced as it is written I_Eh_oU_Ah – It’s Story”
(2) Jean Leclant, Le “Tétragramme” à l’époque d’Aménophis III, dans “Études au Moyen-Orient dédicacées à Sa Majesté le Prince Takahito Mikasa à l’occasion de son 75ème anniversaire,” pages 215-219, 1991 Wiesbaden.
Un lien passionnant et très riche sur l'archéologie et le Nom divin
http://www.lenomdivin.info/archeologie.htm
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Le Nom divin dans l'archéologie
Colonne de Soleb
Datation: 14ème siècle avant notre ère
A la base de ses colonnes massives, le temple d’Amun à Soleb (Soudan), datant de l’époque d’Amenophis III (1391-1353 avant notre ère), dépeint des captifs les mains liées derrière leur dos. Des caractéristiques raciales clairement dépeintes ainsi qu’un nom clairement visible sur le pourtour circulaire de la colonne, donnent des informations sur ces prisonniers. Différents types de personnes y sont représentés.
L’une des colonnes est particulièrement intéressante concernant le nom divin. Elle se présente de la façon suivante :
Dans l’ordre correct :
t3 s3 sw w / y h w3 (w)
Certains spécialistes soulignent à juste titre que les voyelles égyptiennes ne sont pas très bien connues. Cependant, pour les mots d’origine étrangère - comme dans notre cas - les Égyptiens utilisaient une sorte d’alphabet standard avec des “matres lectionis”, semi-consonnes utilisées comme voyelles. Dans ce système on prononce : “3” = “a”; w = u en ÿ = i.
En utilisant ce système, le hiéroglyphe ci-dessus se lit ainsi :
“ta sasûw yehûa(w)”
Ce qui donne en français : “le pays des nomades (ou bédouins), ceux de Yehua(w).”
Certains spécialistes ont choisi d’identifier “Yehua” à un toponyme inconnu. Cela ne peut être prouvé avec certitude parce qu’il existe des endroits avec des noms tels que : pays de Juda (Deutéronome 34 : 2) et pays de Ramsès (Genèse 47 : 11). Voire, si l’on fait référence aux toponymes du Moyen-Orient de cette époque : pays de Jakob-El, pays de Josep-El, pays de Lewi-El, etc. Il est évident que les noms de personnes étaient utilisés dans des noms de lieux ! (1)
Jean Leclant écrit ceci : « Il est évident que le nom sur l’écusson de Soleb dont nous discutons correspond au “tétragramme” du Dieu de la Bible « YHWH. » » Il ajoute : « Le nom de Dieu apparaît ici pour la première fois comme nom d’un lieu. » Dans la note en bas de page, il explique que les noms de lieux sont souvent dérivés des noms de dieux. (2)
Il est intéressant de savoir que l’expression “Shasus”, utilisée par les Égyptiens, se rapporte aux bédouins vivant sous leur tente dans la région nord du Sinaï. À partir du 15ème siècle avant notre ère jusqu’au 12ème siècle avant notre ère les colons hébreux conquérant la Palestine étaient appelés “Hapirus”. Le mot “Apiru” ou “‘Habiru” signifie “nomades” dans les langues sémitiques.
Notes :
(1) Gérard Gertoux – “The Name Of God Y.eH.oW.aH Which is pronounced as it is written I_Eh_oU_Ah – It’s Story”
(2) Jean Leclant, Le “Tétragramme” à l’époque d’Aménophis III, dans “Études au Moyen-Orient dédicacées à Sa Majesté le Prince Takahito Mikasa à l’occasion de son 75ème anniversaire,” pages 215-219, 1991 Wiesbaden.
Un lien passionnant et très riche sur l'archéologie et le Nom divin
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
La traduction de Symmaque
Datum: troisième ou quatrième siècle de notre ère
Il existe encore des manuscrits préservés écrits sur parchemin datant du début de notre ère. De nombreux extraits des Saintes Écritures y sont inclus. Ils étaient souvent attachés autour de deux bâtons, un à chaque extrémité. On les appelait “rouleaux”. Luc 4 : 17 (jusqu’au v. 21).
Les écrits sur parchemin avaient l’avantage d’être plus solides et de durer plus longtemps que ceux écrits sur papyrus. En latin, les parchemins sont appelés “pergamena”. Le procédé utilisé pour fabriquer des parchemins a été développé dans l’ancienne cité de Pergame. Ils prenaient des peaux de chèvres, moutons ou veaux et traitaient le cuir de telle manière qu’on pouvait écrire sur chaque face. Les rédacteurs utilisaient une plume de roseau et l’encre était faite de gomme, de suie et d’eau.
À la Bibliothèque Nationale de Vienne, en Autriche, on peut voir un certain fragment daté du 3ème ou 4ème siècle. Ce fragment contient un texte en grec, mais il est tout à fait remarquable que le nom divin y figure écrit en hébreu ancien. Ce fragment contient des versets tirés du Psaume 69, en particulier les versets 13, 30 et 31. Ce parchemin est supposé avoir été écrit par Symmachus, que certains considèrent comme un Juif converti au christianisme. Il était le traducteur de l’Ancien Testament en grec à partir de l’hébreu. Dans sa traduction, effectuée aux alentours de 200 de notre ère, il s’est efforcé de donner au texte grec le sens exact tel qu’il se trouvait dans les Écritures Hébraïques.
Fac-similé réalisé par B. Bonte
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
La traduction d’Aquila
En 1890, Solomon Schechter a découvert une genizah semblable au Caire, en Égypte. Il a trouvé une quantité importante de manuscrits, y compris des extraits de la Bible. La genizah a été retrouvée intacte parce que les documents avaient été placés dans la brique - mis ainsi à l’abri pour plusieurs siècles. La superstition a joué son rôle : un serpent venimeux était censé être à l’entré de la genizah, prêt à tuer les voleurs.
Au nombre de ces anciens documents, l’un d’entre eux est particulièrement digne d’intérêt, il a été écrit vers l’an 128 de notre ère par un prosélyte juif nommé Aquila. Ce document est un palimpseste - manuscrit effacé et réutilisé à plusieurs reprises : dans la plupart des cas le parchemin était lavé et/ou gratté à la pierre ponce, et réutilisé à nouveau pour écrire. Dans ces cas-là, l’ancien texte gratté était toujours visible derrière le nouveau. Ce parchemin contient des extraits du livre des Psaumes en grec, traduits par Aquila. En différents endroits le nom divin est écrit en hébreu archaïque.
Colonne 1: texte hébreu et araméen
Colonne 2: traduction en grec de la colonne 1
Colonne 3: traduction en grec d’Aquila
Colonne 4: traduction en grec de Symmaque
Colonne 5: la Septante grecque, version révisée par Origène
Colonne 6: traduction en grec de Theodotion
En présentant ces traductions ensemble, Origène espérait pouvoir faire la lumière sur le texte original.
Date: fin du 5ème – début du 6ème siècle de notre ère
Que faisaient les Juifs de l’ancien temps avec des vieux manuscrits qui ne pouvaient plus être utilisés davantage ? Par respect pour le nom divin, ils ne les jetaient pas ni ne les détruisaient. Ils stockaient ces vieux documents dans une pièce faisant partie de la synagogue, appelée genizah. Quand il n’y avait plus de place disponible dans la genizah, ils emportaient les matériaux dans un lieu saint et les brûlaient cérémonieusement. Le temps a décomposé le reste.
En 1890, Solomon Schechter a découvert une genizah semblable au Caire, en Égypte. Il a trouvé une quantité importante de manuscrits, y compris des extraits de la Bible. La genizah a été retrouvée intacte parce que les documents avaient été placés dans la brique - mis ainsi à l’abri pour plusieurs siècles. La superstition a joué son rôle : un serpent venimeux était censé être à l’entré de la genizah, prêt à tuer les voleurs.
Au nombre de ces anciens documents, l’un d’entre eux est particulièrement digne d’intérêt, il a été écrit vers l’an 128 de notre ère par un prosélyte juif nommé Aquila. Ce document est un palimpseste - manuscrit effacé et réutilisé à plusieurs reprises : dans la plupart des cas le parchemin était lavé et/ou gratté à la pierre ponce, et réutilisé à nouveau pour écrire. Dans ces cas-là, l’ancien texte gratté était toujours visible derrière le nouveau. Ce parchemin contient des extraits du livre des Psaumes en grec, traduits par Aquila. En différents endroits le nom divin est écrit en hébreu archaïque.
Fac-similé réalisé par B. Bonte
Il est intéressant de noter qu’Origène, théologien du troisième siècle, a utilisé la traduction d’Aquila dans sa fameuse Hexaples. Dans cet ouvrage colossal, il avait placé les différentes versions du texte des Écritures Hébraïques sur six colonnes les unes à côté des autres.
Colonne 1: texte hébreu et araméen
Colonne 2: traduction en grec de la colonne 1
Colonne 3: traduction en grec d’Aquila
Colonne 4: traduction en grec de Symmaque
Colonne 5: la Septante grecque, version révisée par Origène
Colonne 6: traduction en grec de Theodotion
En présentant ces traductions ensemble, Origène espérait pouvoir faire la lumière sur le texte original.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Codex Aleppo
(photo : domain public - Wikimedia Commons)
Date: +- 930
Encore plus ancien que le Codex Leningradensis, le Codex d’Aleppo, fut écrit vers l’année 930, sur du vélin. Il est écrit d’une belle écriture régulière, à la main, par un des Massorètes, quelqu’un de la famille de Ben Ascher. Il a été conservé pendant des siècles dans l’ancienne synagogue d’Aleppo, en Syrie.Le codex a été cachée pendant longtemps par superstition religieuse que seules des expertises profaneront. A l’origine, il contenait l’intégralité de l’ancien testament, écrit sur 760 pages. Mais après un incendie au siècle passé, un quart du codex environ a été perdu. Le manuscrit se trouve maintenant en Israël. Dans ce codex aussi, le Nom de Dieu, sous la forme d’un tétragramme est employé couramment.
(photo : domain public - Wikimedia Commons)
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Codex Leningradensis
Dans le centre de l'étoile de David, le copiste se fait connaitre comme étant Samuel, fils de Jacob.
Date: 1008-1009
C’est le graphisme le plus ancien avec le texte complet de la bible hébraïque (mieux connue sous le nom d'ancien testament) daté de 1008/1009 et qui se trouve dans la bibliothèque nationale russe de St. Petersburg, ancienne Leningrad. C'est pourquoi, il est connu sous le nom de manuscrit Leningradensis.
Le manuscrit a été écrit par les juifs qui habitaient alors la ville du Caire en Egypte. C’étaient des hommes qui se s'étaient spécialisés dans la copie précise des textes, dans un graphisme régulier et clair. Ils avaient probablement été formés à l'école de Moise Ben Asher, copiste connu de cette époque. Cet ancien graphisme est d'autant plus précieux qu’il est encore dans un parfait état de conservation.
Le savant allemand Rudolf Kittel a utilisé le manuscrit comme source principale pour sa prestigieuse Biblia Hebraica, éditée en 1937. Plus tard, son collaborateur le Prof. Paul Kahle à continué ce travail, pour aboutir à une édition améliorée, éditée en 1977 ; la Biblia Hebraica Stuttgartensia.
Une jolie page illustrée du manuscrit
Un expert dans le domaine des manuscrits hébraïques a fait savoir que l'image en couleur avec l'étoile de David que vous voyez ci-dessous, est appelée « tapis Massorétique».
Une jolie page illustrée du manuscrit
Un expert dans le domaine des manuscrits hébraïques a fait savoir que l'image en couleur avec l'étoile de David que vous voyez ci-dessous, est appelée « tapis Massorétique».
Vous voyez ici une feuille complète du manuscrit Leningradensis. On trouve encore près de 15 représentations semblables dans ce manuscrit. Ce sont des pages avec des ornementations magnifiques, caractéristiques de l'art juif du moyen-âge. En outre, il possède un message religieux. Ainsi nous trouvons dans les lettres des textes du Deutéronome 12:1, 26:15, 27:10, 28:2, 12-13 et aussi des psaumes 60:10, 63:1, 4 68:20, 28a.
Dans le centre de l'étoile de David, le copiste se fait connaitre comme étant Samuel, fils de Jacob.
(photo: domaine public - Wikimedia Commons)
« Une page avec le texte »
Dans ce vieux graphisme, nous retrouvons le nom de Dieu à plusieurs endroits, sous la forme du tétragramme. Le premier tétragramme encadré comprend le texte de genèse 28:20. A l'intérieur du deuxième encadrement, nous ne voyons pas le tétragramme, mais une conjugaison du verbe « être ». Il s'agit ici du texte de genèse 28:22.
(Photo: domaine public - Wikimedia Commons)
Dans le texte...
(Photo: domaine public - Wikimedia Commons)
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Le nom de Dieu en Hébreux et langues anciennes
En Hébreux, le nom divin apparaît ainsi : YHWH. L’alphabet Hébraïque (l’écriture la plus ancienne dans laquelle la Bible est écrite) existait originellement avec 22 consonnes, certaines d’entre elles pouvant représenter 2 sons, pour donner au total 28 sons. Il n’y avait pas des voyelles. Celles ci devaient être ajoutées par le lecteur, selon le contexte.
Selon l’époque, il y a eu différentes façons d’écrire pour le Nom Divin
Ecriture ancienne | Lettres | Date du document | Document |
YHWH | 800 avant J.C. | Kuntillet Ajrud | |
YHWH | 625 avant J.C. | Ketef Hinnom - Rouleaux d’argent | |
YHWH | +- 600 avant J.C. | Lettres de Lachis – Arad tessons | |
YHW | 514-398 avant J.C. | Aramaic papyri | |
YHWH | 100-50 avant J.C. | Papyrus Foead 266 | |
YHWH | 30-50 | Les rouleaux de la mer Morte – Les Psaumes | |
YHWH | 50 avant J.C. - 50 | Nachal Hever | |
YHWH | 50 avant J.C. - 50 | Nachal Hever | |
YHWH | 30-50 | Rouleaux de la mer Morte - Les Psaumes | |
YHWH | 2 ème siècle | Syracuse | |
YHWH? | 3ème siècle | Symmachus | |
YY | 3ème siècle | Oxyrynchus | |
YHWH | 5ème siècle | Aquila | |
YHWH | A partir de 800 | Codex |
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Les indices du Nom dans les premiers Évangiles sont nombreux
Les sources historiques qui démontrent l'existence de l'Évangile de Matthieu en Hébreu.
-citation d'Épiphane de Salamine, Panarion 29.7.2
"Ils ont l'Evangile selon saint Matthieu dans son intégralité en hébreu. Car il est clair qu'ils le conservent encore dans l'alphabet hébreu, comme il a été écrit à l'origine."
-citation de Jérôme, Lettre 75 à Augustin concernant Jésus comme Fils de Dieu.
"Matthieu, également appelé Lévi, apôtre et ancien publicain, a composé un évangile de Jésus-Christ dans un premier temps publié en Judée, en hébreu pour le bien de ceux de la circoncision qui croyaient, mais fut ensuite traduit en grec dont l'auteur est incertain. L'hébreu lui-même a été conservé jusqu'à nos jours à la bibliothèque de Césarée, dont le Pamphlet est recueilli avec tant de diligence. J'ai également eu l'occasion d'avoir le volume qui m'a été décrit par les Nazaréens de Bérée, une ville de la Syrie, qui l'utilisent. En cela, il est à noter que, partout où l'évangéliste, que ce soit sur son propre compte ou en la personne de notre Seigneur, le Sauveur cite le témoignage de l'Ancien Testament, il ne suit pas l'autorité des traducteurs de la Septante, mais l'hébreu.(...)"
Matthieu 2:13 en hébreu
[המה הולכים והנה מלאך יהוה נראה אל יוסף קום וקח את הנער ואת אמו וברח למצרים ושם תעמוד עד אמרי אליך
כי הורודוס יבקש את הנער להרוג
Ils allèrent, et voici, le mala'k (messager) de YHWH apparut à Yosef : Lève-toi et prend le jeune (enfant) et sa mère et réfugie-toi en Mitsrayim (Egypte) et là restes-y jusqu'à ce que je te le dise. Car Horodos cherche le jeune (enfant) pour le tuer.
Matthieu 1:24 en hébreu.
ויקץ יוסף משנתו ויעש ככל אשר צוה אותו מלאך יהוה ויקח את אשתו
Et Yosef se réveilla de son sommeil et fit comme tout ce que lui avait commandé le mala'k (messager) de YHWH et prit sa femme.
Papyrus Egypte du début de notre ère sous le nom de Oxyrhynchus n 3522.
Jésus a cité le "Shema Israël" : “Écoute Israël YHVH, notre Élohim, YHVH ékhad (Un)”.
Deutéronome 6:4,
שְׁמַע, יִשְׂרָאֵל: יְהוָה אֱלֹהֵינוּ, יְהוָה אֶחָד
Ecoute Ysraël : YHWH notre Dieu, YHWH Est UN.
Marc 12:
28 Un des spécialistes de la loi, qui les avait entendus discuter, vit que Jésus avait bien répondu aux sadducéens. Il s'approcha et lui demanda: «Quel est le premier de tous les commandements?»
29 Jésus répondit: «Voici le premier: Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur...
Traductions les plus courantes d'un verset : "Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé." (Romains 10:13).
Verset repris de l'A.T par l'apôtre Paul - Joël 2:32 : Alors quiconque invoquera le nom de YHWH sera sauvé;.. "Tous ceux qui invoqueront le nom de Yahvé seront sauvés" (Bible de Jérusalem)
Actes 2:21 Alors quiconque invoquera le nom de YHWH sera sauvé. Romains 10:13 Car quiconque invoquera le nom de YHWH sera sauvé.
Paroles de Jésus :
- Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, (Matthieu 6:9)
Aquila reproduisit encore le nom de Dieu en hébreu dans sa version grecque du IIe siècle.
Au IIIe siècle, Origène disait:
“Dans les manuscrits les plus fidèles, LE NOM est écrit en lettres hébraïques.”Au IVe siècle, Jérôme, traducteur de la Bible, faisait cette observation: [size=130]“[size]À ce jour, on rencontre toujours le nom quadrilitère de Dieu (יהוה) en caractères archaïques dans certains rouleaux grecs.”[/size][/size]
À ce sujet, Paul Kahle déclare: “Nous savons à présent que, tant qu’il a été écrit par des Juifs et à l’intention des Juifs, le texte de la Bible grecque [la Septante] ne rendait pas le nom divin par kurios [Seigneur]; le Tétragramme était plutôt inscrit en caractères hébreux ou grecs dans les MSS [manuscrits].” — The Cairo Geniza, pages 222, 224.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Le Tétragramme sur les monuments et Églises de Paris
Le nom de Dieu apparaît près de 7000 fois dans le texte de la Bible sous la forme de quatre lettres, ou Tétragramme. Cette graphie en hébreu est transcrite en français par YHWH ou JHVH. Ce nom personnel de Dieu se retrouve plus de 50 fois en vingt endroits différents sur des monuments de Paris.
Au Moyen Âge, « certains chrétiens qui lisaient la Bible dans sa version originale ont lu YHWH en lui appliquant la vocalisation du terme Adonaï, c’est-à-dire en intercalant ses trois voyelles « ĕ », « ō » et « ā », et obtenu ainsi le nom Jéhovah ».
Cette hypothèse refait surface dans l'ésotérisme de la Renaissance, lorsque Johannes Reuchlin émet une théorie sur le rapport entre le Tétragramme et le nom de Jésus. Dans son De verbo mirifico, il affirme que le nom de Jésus, retranscrit vers l'hébreu, donne le pentagramme YHSVH ou IHSUH, c'est-à-dire les quatre lettres du Tétragramme YHVH ou IHUH, au cœur duquel il en a inséré une cinquième, le Sh : ש (shin). Selon cette hypothèse, cette consonne supplémentaire rendrait le nom prononçable. Celui-ci se lirait alors Yehoshuah, c'est-à-dire Jésus. Cette théorie n'est pas retenue par les spécialistes de la langue hébraïque.
Luther, lui-même traducteur de la Bible, l'avait déjà disqualifiée en expliquant que la prétendue similitude entre Jéhovah et Jéhoshuah aurait nécessité non seulement l'ajout d'une consonne (le shin) à Jéhovah mais aussi la suppression d'une autre (le ayin de Jéhoshuah).
Les traditions bibliques associent Yahvé, le Dieu d'Israël, au mont Sinaï (ou Horeb) ; c'est le cas dans la poésie (Deut., XXXIII, Jug., V et Ps. LXVIII). Il est probable que cette montagne (dans l'Orient ancien, la montagne, demeure du dieu, était la réduction du cosmos, la Grande Montagne) fut considérée comme le lieu classique d'une manifestation d'une divinité, Yahvé, bien longtemps avant que les Israélites ne la connussent. Quand ils eurent adopté Yahvé, les Hébreux adorèrent en lui leur Dieu, unique : c'est ainsi que d'un dieu tribal ou national, ils allaient faire le Dieu cosmique.
À lui seul, dans la religion biblique, Yahvé était de soi l'expression même du monothéisme israélite. Dans l'Exode (III, 14), il semblerait que Yahvé (YaHWéH) dérive de la racine hébraïque HâYâH (« être », « devenir »).
Or, la racine du mot n'est pas HYH, mais HWH, qui, en hébreu, signifie « désirer ». Aussi pense-t-on que Yahvé viendrait de dialectes amorrhéens, que parlaient les Patriarches et dans lesquels HWH (comme en araméen) signifie « être », « devenir ». Dès lors, Yahvé (YaHWéH) serait une forme verbale, causative, et voudrait dire : « Il fait être ». Les documents akkadiens fournissent des parallèles intéressants : des noms divins résultant de l'assemblage de cette forme causative et d'un substantif comme objet. À l'origine, Yahvé n'était peut-être que le premier élément d'un titre divin composé dont la Bible a conservé quelques exemples : Yahvé-Sabbaot (« Il fait être les armées ») ou Yahvé-Shalom (« Il fait être la paix »).
Y H W H
" Celui Qui Est" a donné un substantif à Mosheah (maladroitement traduit par moise qui ne donne aucunement la signification originale qui est "le sauvé") : c’est Y.H.W.H
donc cette traduction du tétragramme Ye-H-W-eH qui veut dire "Je Suis Celui Qui Est" ne peut pas être prononcer en-soi, nous ne pouvons pas dire à la place de "Celui Qui Est Le Tout-Puissant "
"Je Suis" cela serait incorrect: car l'ineffable est impronnonçable
mais "Celui Qui Est L'Eternel L'Admirable", Il a tout prévu pour la combinaison du tétragramme afin que l'on s'adresse vraiment à Lui, et non à une déité, effectivement la solution qui nous a été donné, le seul "chemin" est l'attribut de son "Essence Même" et non de son "Nom" que l'on ne connait pas encore (mais que l'on connaîtra dès que "Celui Qui Est notre Sauveur" sera revenu voir livre de la révélation) ainsi sans prononcer l'ineffable on insère la troisième personne pour le désigner dans le tétragramme; ainsi nous obtenons "Y a -H -ou//W -a H" = "C'Est Lui Qui Est" au lieu de l'ineffable Ye-H-W-eH
" Ya -H -ou//W -a H" on le prononce phonétiquement Yahouah
Ainsi dès lors où l'on s'adresse à Notre Créateur nous devons dire d'abord: "Toi Qui est Le...."
- Toi Qui Est le Créateur,
- Toi Qui Est le Sauveur
- Toi Qui Est le Roi des rois
- Toi Qui Est le ............
ainsi chaque individu devrait prononcer les qualificatifs ou attributs de "Celui Qui Est notre Père Céleste" dans sa langue d'origine afin que les sens n'en soient pas tordus
Car c'est Le seul sustantif que nous a laissé le Créateur dans l'ancienne Alliance c'est Y.H.W.H
((Un substantif est une unité lexicale (généralement un mot) qui désigne une chose ou une notion par lui-même. Autrement dit, c'est un mot qui tient une fonction de nom dans une phrase.))
Et le tétragramme de" Celui Qui Est Le Créateur " en lettres hébraïques figure plus de 6800 fois dans les Saintes Écritures.
srcutons les écritures pour mieux saisir la Parole de "Celui Qui Est le Créateur", "Celui Qui Est notre Père Céleste":
dans Exode 3:15 - Puis "Celui Qui Est notre Père Céleste"dit encore à Moshé : “ Voici ce que tu diras aux fils d’Israël :
"Celui Qui Est,YHWH" de vos ancêtres, "Celui Qui Est ,YHWH"d’Avraham(Abraham), d'Ytshak(Isaac) et d'Yakov(Jacob), m’a envoyé vers vous. C’est là comme on me nommera pour des temps indéfinis et c’est pour se le rappeler de génération en génération."
(Isaïe 42:8) “ Je Suis YHWH. C’est là mon nom ; et je ne donnerai ma gloire à aucun autre , ni ma louange aux images taillées."
(Psaume 83:18) pour qu’on sache que toi, dont le nom est YHWH, tu es, toi seul, le Très-Haut sur toute la terre !
(Isaïe 54:5) “ Car ton Créateur est , "YHWH" des armées est son nom ; et le Saint d’Israël est ton Rédempteur.
Il se nomme "YHWH" de toute la terre."
(Deutéronome 6:4) “ Écoute, ô Israël ! "Celui Qui Est le Créateur,YHWH"est un, Le seul YHWH".
"Y-aH-w/ou-aH Ha MoshéaH "qui signifie "Celui Qui Est Le Sauveur"
Le nom de Dieu apparaît près de 7000 fois dans le texte de la Bible sous la forme de quatre lettres, ou Tétragramme. Cette graphie en hébreu est transcrite en français par YHWH ou JHVH. Ce nom personnel de Dieu se retrouve plus de 50 fois en vingt endroits différents sur des monuments de Paris.
Églises : saint Sulpice (18 fois), saint Germain-des-près (2), Eglise du Dôme (3), Louvre (3), Saint-Pierre-du-Gros-Caillou (1), Saint Thomas-d’Aquin (3), Saint-Augustin (1), Notre-Dame-de-Lorette(5), Notre-Dame-de-l'Assomption (1), Saint-Roch (2), Notre-Dame des Victoires (1), Eglise Saint-Louis (3), Saint-Merri (3), Notre Dame de la Nativité de Bercy (1), Saint-Médard (1), La Chapelle de la Sorbonne (1), Eglise royale Notre-Dame du Val-de-Grâce (1), cimentière du Montparnasse (2), cimentière Père Lachaise (1), Synagogue (2), Cloître de l’hôpital Cochin (3).
Au Moyen Âge, « certains chrétiens qui lisaient la Bible dans sa version originale ont lu YHWH en lui appliquant la vocalisation du terme Adonaï, c’est-à-dire en intercalant ses trois voyelles « ĕ », « ō » et « ā », et obtenu ainsi le nom Jéhovah ».
Cette hypothèse refait surface dans l'ésotérisme de la Renaissance, lorsque Johannes Reuchlin émet une théorie sur le rapport entre le Tétragramme et le nom de Jésus. Dans son De verbo mirifico, il affirme que le nom de Jésus, retranscrit vers l'hébreu, donne le pentagramme YHSVH ou IHSUH, c'est-à-dire les quatre lettres du Tétragramme YHVH ou IHUH, au cœur duquel il en a inséré une cinquième, le Sh : ש (shin). Selon cette hypothèse, cette consonne supplémentaire rendrait le nom prononçable. Celui-ci se lirait alors Yehoshuah, c'est-à-dire Jésus. Cette théorie n'est pas retenue par les spécialistes de la langue hébraïque.
Luther, lui-même traducteur de la Bible, l'avait déjà disqualifiée en expliquant que la prétendue similitude entre Jéhovah et Jéhoshuah aurait nécessité non seulement l'ajout d'une consonne (le shin) à Jéhovah mais aussi la suppression d'une autre (le ayin de Jéhoshuah).
YAHVÉ ou YAHWEH
Le Dieu d'Israël, Yahvé, était connu avant Moïse chez d'autres peuples que les Hébreux : dans la Bible hébraïque, on trouve les formes abrégées Yahu, Yo ou Yah, la plupart du temps en composition, préposées ou postposées, dans des noms théophores (Yoiakin, Abia) ou dans des formules liturgiques (alléluia). Dans les papyrus juifs d'Éléphantine, on parle de Yaho.Les traditions bibliques associent Yahvé, le Dieu d'Israël, au mont Sinaï (ou Horeb) ; c'est le cas dans la poésie (Deut., XXXIII, Jug., V et Ps. LXVIII). Il est probable que cette montagne (dans l'Orient ancien, la montagne, demeure du dieu, était la réduction du cosmos, la Grande Montagne) fut considérée comme le lieu classique d'une manifestation d'une divinité, Yahvé, bien longtemps avant que les Israélites ne la connussent. Quand ils eurent adopté Yahvé, les Hébreux adorèrent en lui leur Dieu, unique : c'est ainsi que d'un dieu tribal ou national, ils allaient faire le Dieu cosmique.
À lui seul, dans la religion biblique, Yahvé était de soi l'expression même du monothéisme israélite. Dans l'Exode (III, 14), il semblerait que Yahvé (YaHWéH) dérive de la racine hébraïque HâYâH (« être », « devenir »).
Or, la racine du mot n'est pas HYH, mais HWH, qui, en hébreu, signifie « désirer ». Aussi pense-t-on que Yahvé viendrait de dialectes amorrhéens, que parlaient les Patriarches et dans lesquels HWH (comme en araméen) signifie « être », « devenir ». Dès lors, Yahvé (YaHWéH) serait une forme verbale, causative, et voudrait dire : « Il fait être ». Les documents akkadiens fournissent des parallèles intéressants : des noms divins résultant de l'assemblage de cette forme causative et d'un substantif comme objet. À l'origine, Yahvé n'était peut-être que le premier élément d'un titre divin composé dont la Bible a conservé quelques exemples : Yahvé-Sabbaot (« Il fait être les armées ») ou Yahvé-Shalom (« Il fait être la paix »).
Y H W H
" Celui Qui Est" a donné un substantif à Mosheah (maladroitement traduit par moise qui ne donne aucunement la signification originale qui est "le sauvé") : c’est Y.H.W.H
donc cette traduction du tétragramme Ye-H-W-eH qui veut dire "Je Suis Celui Qui Est" ne peut pas être prononcer en-soi, nous ne pouvons pas dire à la place de "Celui Qui Est Le Tout-Puissant "
"Je Suis" cela serait incorrect: car l'ineffable est impronnonçable
mais "Celui Qui Est L'Eternel L'Admirable", Il a tout prévu pour la combinaison du tétragramme afin que l'on s'adresse vraiment à Lui, et non à une déité, effectivement la solution qui nous a été donné, le seul "chemin" est l'attribut de son "Essence Même" et non de son "Nom" que l'on ne connait pas encore (mais que l'on connaîtra dès que "Celui Qui Est notre Sauveur" sera revenu voir livre de la révélation) ainsi sans prononcer l'ineffable on insère la troisième personne pour le désigner dans le tétragramme; ainsi nous obtenons "Y a -H -ou//W -a H" = "C'Est Lui Qui Est" au lieu de l'ineffable Ye-H-W-eH
" Ya -H -ou//W -a H" on le prononce phonétiquement Yahouah
Ainsi dès lors où l'on s'adresse à Notre Créateur nous devons dire d'abord: "Toi Qui est Le...."
- Toi Qui Est le Créateur,
- Toi Qui Est le Sauveur
- Toi Qui Est le Roi des rois
- Toi Qui Est le ............
ainsi chaque individu devrait prononcer les qualificatifs ou attributs de "Celui Qui Est notre Père Céleste" dans sa langue d'origine afin que les sens n'en soient pas tordus
Car c'est Le seul sustantif que nous a laissé le Créateur dans l'ancienne Alliance c'est Y.H.W.H
((Un substantif est une unité lexicale (généralement un mot) qui désigne une chose ou une notion par lui-même. Autrement dit, c'est un mot qui tient une fonction de nom dans une phrase.))
Et le tétragramme de" Celui Qui Est Le Créateur " en lettres hébraïques figure plus de 6800 fois dans les Saintes Écritures.
srcutons les écritures pour mieux saisir la Parole de "Celui Qui Est le Créateur", "Celui Qui Est notre Père Céleste":
dans Exode 3:15 - Puis "Celui Qui Est notre Père Céleste"dit encore à Moshé : “ Voici ce que tu diras aux fils d’Israël :
"Celui Qui Est,YHWH" de vos ancêtres, "Celui Qui Est ,YHWH"d’Avraham(Abraham), d'Ytshak(Isaac) et d'Yakov(Jacob), m’a envoyé vers vous. C’est là comme on me nommera pour des temps indéfinis et c’est pour se le rappeler de génération en génération."
(Isaïe 42:8) “ Je Suis YHWH. C’est là mon nom ; et je ne donnerai ma gloire à aucun autre , ni ma louange aux images taillées."
(Psaume 83:18) pour qu’on sache que toi, dont le nom est YHWH, tu es, toi seul, le Très-Haut sur toute la terre !
(Isaïe 54:5) “ Car ton Créateur est , "YHWH" des armées est son nom ; et le Saint d’Israël est ton Rédempteur.
Il se nomme "YHWH" de toute la terre."
(Deutéronome 6:4) “ Écoute, ô Israël ! "Celui Qui Est le Créateur,YHWH"est un, Le seul YHWH".
"Y-aH-w/ou-aH Ha MoshéaH "qui signifie "Celui Qui Est Le Sauveur"
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
Nom divin
Le pays des Shasous de Yahweh - La plus ancienne mention du Nom divin dans les écrits non bibliques
● Les colonnes de Soleb
Vers 1370, le Pharaon Aménophis III ou Amenhotep III (1391-1353 avant J-C), fait ériger un temple majestueux dédié au dieu Amôn-Râ sur la rive occidentale du Nil, à Soleb, en Nubie (aujourd’hui au Soudan).
Dans ce monument mesurant environ 120 mètres de long, les archéologues découvrent une salle dont les bases des colonnes énumèrent les territoires ou peuples prétendument assujettis par Aménophis.
Chaque territoire est représenté par un captif les bras liés dans le dos avec des caractéristiques physiques clairement dépeintes ; des inscriptions dans un cartouche (une sorte d’écusson) précisent le nom du pays ou du peuple auquel le prisonnier appartient.
Dans l’un des cartouches, on peut lire l’inscription : « Le pays des Shasous de YHWH » ou « pays des Shasous de Yahô ». Cette inscription est antérieure de cinq siècles à la célèbre Stèle de Mesha, considérée jusque-là comme le plus ancien témoignage archéologique portant le nom divin.
« Shasou » ou « shosou » est un mot égyptien désignant « nomades ».
« Le pays des Shasous de Yahô » désigne le territoire occupé par les nomades adorateurs de Yahô, YHWH.
"Pays des Shasous"
"YHWH - Yahô ou Yahweh"
● Conclusion
Il est intéressant de remonter aussi loin dans le temps, jusqu’au 14e siècle avant J-C, et de trouver le Tétragramme du Nom de Dieu sur des documents non bibliques.
Nous savons maintenant comment s’écrit Yahvé, Yahweh ou Jéhovah en écriture hiéroglyphique !
Catégories : Nom de Dieu, Egypte, YHWH, Tétragramme, archéologie, Le pays des Shasous de Yahô, hiéroglyphes
https://www.apocalypse-enfin-clair.com/2019/08/24/le-pays-des-shasous-de-yahweh-la-plus-ancienne-mention-du-nom-divin-dans-les-%C3%A9crits-non-bibliques/
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Le pays des Shasous de Yahweh - La plus ancienne mention du Nom divin dans les écrits non bibliques
Le pays des Shasous de Yahweh - La plus ancienne mention du Nom divin dans les écrits non bibliques
La plus ancienne mention du Nom divin, YHWH, dans les écrits non bibliques remonte au 14ème siècle av J-C en Egypte dans une liste d’Aménophis III à Soleb, liste recopiée à Amara-Ouest et à Aksha à l’époque de Ramsès II.
Le Nom de Dieu y apparaît écrit en hiéroglyphes.
Le Nom de Dieu y apparaît écrit en hiéroglyphes.
● Les colonnes de Soleb
Vers 1370, le Pharaon Aménophis III ou Amenhotep III (1391-1353 avant J-C), fait ériger un temple majestueux dédié au dieu Amôn-Râ sur la rive occidentale du Nil, à Soleb, en Nubie (aujourd’hui au Soudan).
Dans ce monument mesurant environ 120 mètres de long, les archéologues découvrent une salle dont les bases des colonnes énumèrent les territoires ou peuples prétendument assujettis par Aménophis.
Chaque territoire est représenté par un captif les bras liés dans le dos avec des caractéristiques physiques clairement dépeintes ; des inscriptions dans un cartouche (une sorte d’écusson) précisent le nom du pays ou du peuple auquel le prisonnier appartient.
Dans l’un des cartouches, on peut lire l’inscription : « Le pays des Shasous de YHWH » ou « pays des Shasous de Yahô ». Cette inscription est antérieure de cinq siècles à la célèbre Stèle de Mesha, considérée jusque-là comme le plus ancien témoignage archéologique portant le nom divin.
« Shasou » ou « shosou » est un mot égyptien désignant « nomades ».
« Le pays des Shasous de Yahô » désigne le territoire occupé par les nomades adorateurs de Yahô, YHWH.
Réplique du bas-relief portant l’inscription “Le pays des Shasus de Yahweh"
dans le temple de Soleb datant du 14e siècle avant J-C.
Crédit photo Flickr
dans le temple de Soleb datant du 14e siècle avant J-C.
Crédit photo Flickr
Lecture des hiéroglyphes, ici, de droite à gauche.
Les hiéroglyphes s'écrivent de haut en bas, de droite à gauche ou de gauche à droite. Le lecteur, pour connaître le sens de lecture, doit considérer la direction dans laquelle sont tournés les hiéroglyphes asymétriques. Par exemple, quand les figures humaines et les animaux, facilement repérables, regardent vers la gauche, il faut lire de gauche à droite, et inversement.
Voici la même inscription hiéroglyphique avec lecture de gauche à droite :
Voici la même inscription hiéroglyphique avec lecture de gauche à droite :
"Pays des Shasous"
"YHWH - Yahô ou Yahweh"
● Les colonnes d’Amarah-Ouest
Soleb n’est pas le seul site de Nubie où le nom Yahweh figure en hiéroglyphe. D’autres listes, manifestement des copies de celle de Soleb, ont été retrouvées à Amara-Ouest (à environ 50 km au nord de Soleb) dans les temples de Ramsès II datant du 13e siècle av J-C et à Aksha. Dans la liste d’Amara-ouest, on peut lire l’inscription hiéroglyphique: “ Yahweh en terre de Shosou ”.
Soleb n’est pas le seul site de Nubie où le nom Yahweh figure en hiéroglyphe. D’autres listes, manifestement des copies de celle de Soleb, ont été retrouvées à Amara-Ouest (à environ 50 km au nord de Soleb) dans les temples de Ramsès II datant du 13e siècle av J-C et à Aksha. Dans la liste d’Amara-ouest, on peut lire l’inscription hiéroglyphique: “ Yahweh en terre de Shosou ”.
Shasu de Yahweh, Temple de Ramsès II à Amara-Ouest, 13e siècle avant J-C.
● Conclusion
Il est intéressant de remonter aussi loin dans le temps, jusqu’au 14e siècle avant J-C, et de trouver le Tétragramme du Nom de Dieu sur des documents non bibliques.
Nous savons maintenant comment s’écrit Yahvé, Yahweh ou Jéhovah en écriture hiéroglyphique !
YHWH – Yahô ou Yahweh
Catégories : Nom de Dieu, Egypte, YHWH, Tétragramme, archéologie, Le pays des Shasous de Yahô, hiéroglyphes
https://www.apocalypse-enfin-clair.com/2019/08/24/le-pays-des-shasous-de-yahweh-la-plus-ancienne-mention-du-nom-divin-dans-les-%C3%A9crits-non-bibliques/
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Nom Divin dans l'archéologie
De ce que j'ai compris, celon le sens de lecture :
de droite a gauche :
C'est le cycle de la vie, d'abord ont naie poussin, puis ont meurt, on deviens un cliché, caré prit dans un labyrinthe vertueux pour ce retrouver dans l'au dela. ont prend des aile car on est morts, puis ont reviens sur terre avec des aile, en ange, un jugement a accomplir, revoir ces fait, ces action, pour repecher la vie qui etait contenue par le KA ( cerceuil ).
de droite a gauche :
C'est le cycle de la vie, d'abord ont naie poussin, puis ont meurt, on deviens un cliché, caré prit dans un labyrinthe vertueux pour ce retrouver dans l'au dela. ont prend des aile car on est morts, puis ont reviens sur terre avec des aile, en ange, un jugement a accomplir, revoir ces fait, ces action, pour repecher la vie qui etait contenue par le KA ( cerceuil ).
on3- Religion : chretiens-muslim
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