Un musulman ne peut serrer la main d'une femme

Un musulman ne peut serrer la main d'une femme

Premièrement, il n’est pas permis à un homme qui croit en Allah et à Son messager de mettre sa main dans celle d’une femme qui ne lui appartient pas et qui ne soit pas une de ses proches parentes. Quiconque le fait commet une injustice contre lui-même…

D’après Maaqal ibn Yassar, le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « que l’on enfonce une aiguille en fer dans la tête de l’un d’entre vous vaut mieux pour lui que de toucher une femme qui n’est pas la sienne… » (rapporté par at-Tabarani, dans al-Kabir, 486).

D’après Umayma fille de Raqiqa, le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Je ne serre pas la main aux femmes » (rapporté par an-Nassaï, 4181 et par Ibn Madja, 2874 et déclaré authentique par al-Albani dans Sahihi al-Djami, 2513).

Waliouddine al-Iraqui a dit : « L’expression d’Aïcha (P.A.a) : « Il prêtait serment aux femmes oralement » signifie qu’il ne leur serrait pas la main. Ce qui veut dire qu’il serrait la main aux hommes et leur parlait… ». Ce qu’Aïcha a dit , c’est aussi ce qui est connu (de tous).

Donc Dieu a créer l'Univers et demande à ne pas serrer la main du sexe opposé de notre espèce ?
Désolé xxxxx xxxxx xxxxx  bande de mongoles lolll

Exact. PBSL n'a jamais serré la main d'une femme qui n'était pas dans son harem

Quand il est entré en vainqueur à la Mecque en 630, les Mecquois venaient lui faire l'allégeance et lui serrer la main mais pour les femmes de la Mecque, il a pris un seau d'eau, a trempé sa main et a demandé aux femmes d'en faire autant.

«C'est un signe très clair contre l’Islam politique»
Affaire de TherwilLes écoliers de Bâle-Campagne ne pourront plus refuser de serrer la main à leurs enseignants pour des raisons religieuses. Saïda Keller-Messahli réagit à cette décision.
Saïda Keller-Messhali.


Les écoliers de Bâle-Campagne ne pourront plus refuser de serrer la main pour des raisons religieuses. La dispense qui avait été accordée à deux élèves musulmans d'un collège de Therwil va être supprimée. Après une analyse juridique, les autorités cantonales l'ont annoncé ce mercredi matin: elles estiment qu'une enseignante peut exiger qu'un élève lui serre la main. Si ces jeunes persistent dans leur refus, leurs parents risquent un avertissement, voire une amende pouvant aller jusqu'à 5000 francs. Saïda Keller-Messahli, présidente du Forum pour un Islam progressiste, répond à nos questions.

- Quelle est votre réaction?

- Je suis très satisfaite de cette décision courageuse. C’est un signe très clair contre l’Islam politique dans nos institutions.

- Cette affaire s'arrête-t-elle là ou une réflexion plus globale est-elle nécessaire?

- Il faut une réflexion plus globale pour éviter que des cercles extérieurs agissent auprès d’enfants. Ce ne sont jamais les jeunes eux-mêmes qui créent de tels problèmes: il y a derrière eux des islamistes qui veulent introduire des règles qu’ils considèrent meilleures. D’autres cas du même type se sont déjà produits. Par exemple, des islamistes ont réussi à créer un espace de prière dans une école publique à Lucerne, ce qui est scandaleux. En Suisse, il y a un manque de séparation entre le religieux et le politique. Il faut défendre la laïcité à l’école et le principe démocratique fondamental qu'est l’égalité entre les hommes et les femmes.

- Ne craignez-vous pas que si les autorités se montrent fermes, des jeunes vont quitter l'école publique alors que celle-ci pourrait au contraire aider à leur intégration?

- Non. Avec des règles claires nous soutenons les jeunes à ne pas céder à l'instrumentalisation de la part des islamistes.

- Vous lancez un appel aux politiciens?

- Oui, ils doivent s’opposer à toute revendication politique se faisant au nom de l'Islam. Les islamistes sont très actifs en Suisse et demandent par exemple que la viande de porc soit interdite dans les cafétérias scolaires.

- Concrètement, comment devraient-ils agir?

- C’est aux politiciens de mener cette réflexion. Ils doivent s’informer, être actifs et prendre l’initiative politique pour ériger un mur contre l'Islam politique, marquer la frontière qui ne doit pas être franchie en Suisse. (TDG)