Le purgatoire.
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Le purgatoire.
Rappel du premier message :
Fr Lawrence Lew OP/Flickr | CC BY-NC-ND 2.0
Le 2 novembre, jour de la commémoration de tous les fidèles défunts, nous prions pour les proches qui nous ont quittés. Nous supplions le Seigneur en leur faveur parce que nous pensons qu’ils ne sont ni au Paradis (ils n’auraient plus besoin alors de nos prières), ni en enfer (ce serait trop tard !). On appelle Purgatoire cet état intermédiaire entre Paradis et Enfer. Mais quelle réalité recouvre exactement ce terme ? Et nos chers défunts y souffrent-ils ? Ce sont là des questions pertinentes car elles touchent la destinée de ceux auxquels nos cœurs sont attachés.
Lire aussi : Que sait-on au juste de l’au-delà ?
Longtemps le Purgatoire a eu mauvaise réputation. Il était décrit comme un lieu d’intenses souffrances, un séjour peu hospitalier, et qui ne donnait pas franchement envie de considérer les fins dernières de l’homme ! Certes, il serait démagogique de le peindre maintenant, en guise de compensation, comme un havre de délices. Mais si les âmes qui s’y trouvent ne baignent pas dans l’allégresse, cela tient à leur besoin d’être purifiées avant d’entrer dans la maison du Père. Aussi l’existence du Purgatoire n’est-elle pas une mauvaise nouvelle. Elle relève d’une nécessité : ne peut voir Dieu que celui qui a un cœur ajusté à l’Amour éternel. Et comme le nôtre est rarement converti aux Béatitudes au moment de notre décès, il convient que le Seigneur le « travaille », comme un potier, afin d’en faire une œuvre digne d’entrer dans la Jérusalem céleste. Le Catéchisme de l’Église catholique enseigne que « ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel » (CEC n° 1030).
Mais de quelle nature est la souffrance ressentie par les âmes au Purgatoire ? En fait, elle ne résulte pas d’un châtiment que Dieu nous infligerait à cause de notre désobéissance. Paradoxalement, cette souffrance découle plutôt de l’amour de Dieu, et de notre prise de conscience de tous les rendez-vous avec cet amour que nous avons manqués durant notre vie terrestre. La purification subie au Purgatoire résulte du décalage considérable que les âmes constatent entre, d’une part, leurs vies passées, marquées par un égoïsme récurrent, et d’autre part l’Amour de Dieu.
Lire aussi : Un chrétien ne prépare pas sa mort mais sa résurrection
Seule une épreuve purificatrice est en mesure de réduire un tel écart et de laver ainsi le défunt de ses imperfections. Au fond, c’est le feu de l’Amour de Dieu qui fait souffrir l’âme au Purgatoire, cet Amour que nous n’avons pas pris au sérieux durant notre séjour sur terre, et dont nous n’avons pas pratiqué les commandements. Cet Amour nous met maintenant devant les yeux tous ceux auxquels nous avons négligé de porter secours, ces frères et sœurs dont nous n’avons pas été attentifs aux appels.
Cependant, au Purgatoire, la peine des défunts est atténuée par l’espérance assurée d’entrer un jour au paradis et de voir Dieu. Le purgatoire, plus qu’une session de rattrapage, est surtout une école de l’amour et du bonheur. L’âme y est autant tournée vers l’avenir d’éternité qui l’attend que vers ses déficiences passées.
Que ces considérations ne nous interdisent pas cependant de prier pour les âmes qui s’y trouvent afin de hâter leur délivrance !
Faut-il craindre le Purgatoire ?
Fr Lawrence Lew OP/Flickr | CC BY-NC-ND 2.0
Jean-Michel Castaing | 01 novembre 2019
Notre imperfection n’est pas un obstacle à la vie éternelle… grâce au Purgatoire. C’est ce temps de purification qui nous permet d’avoir un cœur parfaitement ajusté à l’Amour éternel, et de voir Dieu dans sa plénitude infinie.
Le 2 novembre, jour de la commémoration de tous les fidèles défunts, nous prions pour les proches qui nous ont quittés. Nous supplions le Seigneur en leur faveur parce que nous pensons qu’ils ne sont ni au Paradis (ils n’auraient plus besoin alors de nos prières), ni en enfer (ce serait trop tard !). On appelle Purgatoire cet état intermédiaire entre Paradis et Enfer. Mais quelle réalité recouvre exactement ce terme ? Et nos chers défunts y souffrent-ils ? Ce sont là des questions pertinentes car elles touchent la destinée de ceux auxquels nos cœurs sont attachés.
Lire aussi : Que sait-on au juste de l’au-delà ?
L’existence du Purgatoire est une bonne nouvelle
Longtemps le Purgatoire a eu mauvaise réputation. Il était décrit comme un lieu d’intenses souffrances, un séjour peu hospitalier, et qui ne donnait pas franchement envie de considérer les fins dernières de l’homme ! Certes, il serait démagogique de le peindre maintenant, en guise de compensation, comme un havre de délices. Mais si les âmes qui s’y trouvent ne baignent pas dans l’allégresse, cela tient à leur besoin d’être purifiées avant d’entrer dans la maison du Père. Aussi l’existence du Purgatoire n’est-elle pas une mauvaise nouvelle. Elle relève d’une nécessité : ne peut voir Dieu que celui qui a un cœur ajusté à l’Amour éternel. Et comme le nôtre est rarement converti aux Béatitudes au moment de notre décès, il convient que le Seigneur le « travaille », comme un potier, afin d’en faire une œuvre digne d’entrer dans la Jérusalem céleste. Le Catéchisme de l’Église catholique enseigne que « ceux qui meurent dans la grâce et l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, bien qu’assurés de leur salut éternel, souffrent après leur mort une purification, afin d’obtenir la sainteté nécessaire pour entrer dans la joie du ciel » (CEC n° 1030).
Une souffrance liée à un rendez-vous manqué avec l’amour
Mais de quelle nature est la souffrance ressentie par les âmes au Purgatoire ? En fait, elle ne résulte pas d’un châtiment que Dieu nous infligerait à cause de notre désobéissance. Paradoxalement, cette souffrance découle plutôt de l’amour de Dieu, et de notre prise de conscience de tous les rendez-vous avec cet amour que nous avons manqués durant notre vie terrestre. La purification subie au Purgatoire résulte du décalage considérable que les âmes constatent entre, d’une part, leurs vies passées, marquées par un égoïsme récurrent, et d’autre part l’Amour de Dieu.
Lire aussi : Un chrétien ne prépare pas sa mort mais sa résurrection
Seule une épreuve purificatrice est en mesure de réduire un tel écart et de laver ainsi le défunt de ses imperfections. Au fond, c’est le feu de l’Amour de Dieu qui fait souffrir l’âme au Purgatoire, cet Amour que nous n’avons pas pris au sérieux durant notre séjour sur terre, et dont nous n’avons pas pratiqué les commandements. Cet Amour nous met maintenant devant les yeux tous ceux auxquels nous avons négligé de porter secours, ces frères et sœurs dont nous n’avons pas été attentifs aux appels.
Un lieu d’espérance
Cependant, au Purgatoire, la peine des défunts est atténuée par l’espérance assurée d’entrer un jour au paradis et de voir Dieu. Le purgatoire, plus qu’une session de rattrapage, est surtout une école de l’amour et du bonheur. L’âme y est autant tournée vers l’avenir d’éternité qui l’attend que vers ses déficiences passées.
Que ces considérations ne nous interdisent pas cependant de prier pour les âmes qui s’y trouvent afin de hâter leur délivrance !
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: Le purgatoire.
Josué2 a écrit:Est-ce que la Bible parle du purgatoire ?
Les Églises chrétiennes issues de la Réforme (luthérienne, calviniste), ainsi que les évangéliques, rejettent en effet l'existence du purgatoire, étant donné qu'il n'est pas mentionné dans la Bible.
Est-ce que la Bible parle du purgatoire ?
Est-ce que la bible parle du monde nouveau? d'un futur paradis terrestre? d'un collège central existant au premier siècle? etc. la réponse à ces trois questions est NON, Loool
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Mikaël Malik aime ce message
Re: Le purgatoire.
https://www.lemonde.fr/archives/article/1981/10/09/l-invention-du-purgatoire_2710099_1819218.html
L'INVENTION DU PURGATOIRE
• Une révolution théologique ressuscitée par Jacques Le Goff.
Par EMMANUEL TODD.
Publié le 09 octobre 1981 à 00h00, modifié le 09 octobre 1981 à 00h00
Chaque génération de chrétiens vit avec l'illusion que le catholicisme est une doctrine ferme, ancrée pour l'éternité. En réalité, cette religion est l'une des plus plastiques qu'ait jamais élaborées l'humanité. Elle a varié dans le temps plus fondamentalement que bien des systèmes de type syncrétiste, antique ou hindou. Le protestantisme est une scission. Mais le catholicisme proprement dit a subi dans le courant des siècles des transformations, des déformations capitales.
Une mutation définitive
Dans un livre remarquable, Dieu ou le Christ, étude psychosociologique inspirée des méthodes de Gabriel Tarde, Jean Milet, professeur à l'Institut catholique de Paris, soulignait bien l'un des fondements doctrinaux de l'instabilité structurelle du catholicisme (1). Monothéiste, mais refusant d'accorder une primauté absolue à Dieu le Père ou au Christ, la religion chrétienne a été condamnée, depuis l'origine, à osciller perpétuellement entre une conception " théocentriste " mettant l'accent sur un dieu transcendantal et une représentation " christocentrée " insistant sur la présence de Dieu parmi les hommes. Chacune des étapes traversées par l'Eglise peut être caractérisée par sa position à l'intérieur de ce système bipolaire. Ainsi, le protestantisme peut-il être considéré comme un déséquilibre menant à une conception presque complètement théocentrique du rapport au divin (à la manière du judaïsme).
C'est une mutation définitive plus qu'une oscillation qu'analyse Jacques Le Goff dans la Naissance du purgatoire, livre érudit, touffu, mais qui sait fort bien où il va. Le christianisme originel ignore le concept de purgatoire, troisième lieu entre l'enfer et le paradis, spécialisé dans le traitement du péché véniel. Avant le douzième siècle, les penseurs et les théologiens du monde occidental emploient parfois le terme dans sa forme adjective, dans l'expression " feu purgatoire ", par exemple. Mais, au douzième siècle, le substantif, évocateur d'une spatialisation, amorce d'une géographie plus précise de l'au-delà, se répand : d'abord chez les clercs, spécialistes de l'art scholastique, puis dans les sphères élevées de la hiérarchie chrétienne, et il est finalement considéré, vers le milieu du treizième siècle, comme un article du dogme par la papauté.
L'INVENTION DU PURGATOIRE
• Une révolution théologique ressuscitée par Jacques Le Goff.
Par EMMANUEL TODD.
Publié le 09 octobre 1981 à 00h00, modifié le 09 octobre 1981 à 00h00
Chaque génération de chrétiens vit avec l'illusion que le catholicisme est une doctrine ferme, ancrée pour l'éternité. En réalité, cette religion est l'une des plus plastiques qu'ait jamais élaborées l'humanité. Elle a varié dans le temps plus fondamentalement que bien des systèmes de type syncrétiste, antique ou hindou. Le protestantisme est une scission. Mais le catholicisme proprement dit a subi dans le courant des siècles des transformations, des déformations capitales.
Une mutation définitive
Dans un livre remarquable, Dieu ou le Christ, étude psychosociologique inspirée des méthodes de Gabriel Tarde, Jean Milet, professeur à l'Institut catholique de Paris, soulignait bien l'un des fondements doctrinaux de l'instabilité structurelle du catholicisme (1). Monothéiste, mais refusant d'accorder une primauté absolue à Dieu le Père ou au Christ, la religion chrétienne a été condamnée, depuis l'origine, à osciller perpétuellement entre une conception " théocentriste " mettant l'accent sur un dieu transcendantal et une représentation " christocentrée " insistant sur la présence de Dieu parmi les hommes. Chacune des étapes traversées par l'Eglise peut être caractérisée par sa position à l'intérieur de ce système bipolaire. Ainsi, le protestantisme peut-il être considéré comme un déséquilibre menant à une conception presque complètement théocentrique du rapport au divin (à la manière du judaïsme).
C'est une mutation définitive plus qu'une oscillation qu'analyse Jacques Le Goff dans la Naissance du purgatoire, livre érudit, touffu, mais qui sait fort bien où il va. Le christianisme originel ignore le concept de purgatoire, troisième lieu entre l'enfer et le paradis, spécialisé dans le traitement du péché véniel. Avant le douzième siècle, les penseurs et les théologiens du monde occidental emploient parfois le terme dans sa forme adjective, dans l'expression " feu purgatoire ", par exemple. Mais, au douzième siècle, le substantif, évocateur d'une spatialisation, amorce d'une géographie plus précise de l'au-delà, se répand : d'abord chez les clercs, spécialistes de l'art scholastique, puis dans les sphères élevées de la hiérarchie chrétienne, et il est finalement considéré, vers le milieu du treizième siècle, comme un article du dogme par la papauté.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: Le purgatoire.
Pas de référence... Oh, comme c'est ballot...Josué2 a écrit:L'enfer n'est pas le purgatoire.
Et même les dictionnaires reconnaissent que la doctrine du purgatoire est venue tardivement.
Dans le catholicisme, le purgatoire est une étape de purification.
Référence
Ce n'est rien d'autre que la "tente de purification" des anciens hébreux et de la religion pharaonique. Cette notion est dans le judaïsme, le christianisme et même dans d'autres religions. C'est curieux, non ?
On enseigne dans le catéchisme que le purgatoire est un débarcadère d’intermittence afin d’accéder au Paradis, au "jardin des roseaux" égyptiens, aux "champs élysées" repris par les grecs, etc. Il est une étape nécessaire à moins d'avoir vécu en "odeur de sainteté" sa vie durant.
Au fait, que signifie cette étrange expression populaire "en odeur de sainteté". Eh bien, tout simplement, depuis le néolithique inférieur, donc rigoureusement très antérieur aux monothéismes, le corps du mort était parfumé. La continuation s'est faite d'abord chez les égyptiens de l'antiquité bien avant la naissance d'Abraham, avec la science de l'embaumement. Elle est reprise par Moïse dont la tradition hébraïque affirme qu'il est l'auteur de la Torah. On parfume chez les hébreux, puis chez les juifs (ce terme est né en France au XIII siècle) et les chrétiens :
"40 Ils prirent donc le corps de Jésus, et l’enveloppèrent de linceuls, avec les aromates, comme c’est la coutume d’ensevelir chez les Juifs." Jean 19:40
"55 Les femmes qui étaient venues de Galilée avec Jésus, ayant suivi Joseph, considérèrent le sépulcre, et comment le corps de Jésus y avait été mis.56 Et s’en retournant, elles préparèrent des aromates et des parfums ; et, pendant le sabbat, elles se tinrent en repos, selon la loi." Luc 23::55,56
Ma bibliographie dépasse la centaine de pages d'après celles des meilleurs spécialistes, notamment dans la collection La Pléiade et L'Harmattan. Ce dernier est la première référence universitaire de France.
Or si on découvre, par accident le plus souvent, une tombe d'un mort depuis x années, cent ans par exemple, et que le corps est intact et, surtout, sent bon (une odeur de rose, toujours), alors le (ou la) est déclaré(e) saint(e). Parce qu'il (elle) est en odeur de sainteté. Par exemple Germaine de Pibrac. Voici ce qu'est l'odeur de sainteté.
Marmhonie- Modérateur
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Re: Le purgatoire.
Marmhonie a écrit:Pas de référence... Oh, comme c'est ballot...Josué2 a écrit:L'enfer n'est pas le purgatoire.
Et même les dictionnaires reconnaissent que la doctrine du purgatoire est venue tardivement.
Dans le catholicisme, le purgatoire est une étape de purification.
Référence
Ce n'est rien d'autre que la "tente de purification" des anciens hébreux et de la religion pharaonique. Cette notion est dans le judaïsme, le christianisme et même dans d'autres religions. C'est curieux, non ?
On enseigne dans le catéchisme que le purgatoire est un débarcadère d’intermittence afin d’accéder au Paradis, au "jardin des roseaux" égyptiens, aux "champs élysées" repris par les grecs, etc. Il est une étape nécessaire à moins d'avoir vécu en "odeur de sainteté" sa vie durant.
Au fait, que signifie cette étrange expression populaire "en odeur de sainteté". Eh bien, tout simplement, depuis le néolithique inférieur, donc rigoureusement très antérieur aux monothéismes, le corps du mort était parfumé. La continuation s'est faite d'abord chez les égyptiens de l'antiquité bien avant la naissance d'Abraham, avec la science de l'embaumement. Elle est reprise par Moïse dont la tradition hébraïque affirme qu'il est l'auteur de la Torah. On parfume chez les hébreux, puis chez les juifs (ce terme est né en France au XIII siècle) et les chrétiens :
"40 Ils prirent donc le corps de Jésus, et l’enveloppèrent de linceuls, avec les aromates, comme c’est la coutume d’ensevelir chez les Juifs." Jean 19:40
"55 Les femmes qui étaient venues de Galilée avec Jésus, ayant suivi Joseph, considérèrent le sépulcre, et comment le corps de Jésus y avait été mis.56 Et s’en retournant, elles préparèrent des aromates et des parfums ; et, pendant le sabbat, elles se tinrent en repos, selon la loi." Luc 23::55,56
Ma bibliographie dépasse la centaine de pages d'après celles des meilleurs spécialistes, notamment dans la collection La Pléiade et L'Harmattan. Ce dernier est la première référence universitaire de France.
Or si on découvre, par accident le plus souvent, une tombe d'un mort depuis x années, cent ans par exemple, et que le corps est intact et, surtout, sent bon (une odeur de rose, toujours), alors le (ou la) est déclaré(e) saint(e). Parce qu'il (elle) est en odeur de sainteté. Par exemple Germaine de Pibrac. Voici ce qu'est l'odeur de sainteté.
Si il y a une référence relis bien le message
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: Le purgatoire.
Encore un copié/collé sans référence. Ici, il s'agit de Wikipedia (selon "Jacques Le Goff")...Josué2 a écrit:En 1254, le pape Innocent IV écrit au légat Eudes de Châteauroux, à Chypre, pour demander que les Grecs acceptent la définition du purgatoire comme lieu où l'on purge ses péchés véniels mais non mortels ; c'est là, selon Jacques Le Goff, « l'acte de naissance doctrinal du purgatoire comme lieu ».
Donc sa source n'est pas biblique.
Il n'y a rien à cacher pourtant. Et seule la conclusion, par trop rustique, est de vous.
À nous de donner l'exemple
Marmhonie- Modérateur
- Religion : Catholique
Sexe : Messages : 166
Localisation : USA
Re: Le purgatoire.
Et oui le mot purgatoire ne se trouve pas dans la bible.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: Le purgatoire.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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