Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
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Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
PBSL pratiquait la « mufa’Khathat »
La mufa’khathat veut dire "Placer entre les cuisses". Mahomet avait l’habitude de cette pratique.
C’est le Comité permanent pour la recherche islamique qui le dit :
A la question :
Quel est l’avis des savants musulmans sur le mufa’khathat puisqu’il est bien connu que le prophète, a pratiqué le « placer entre les cuisses » sur Aicha », le Comité a effectué des recherches approfondies et a émis cette fatwa :
Après avoir soigneusement étudié la question, le comité a donné la réponse suivante :
En ce qui concerne le prophète, plaçant son membre entre les cuisses de sa femme Aicha. Elle avait six ans et il ne pouvait pas avoir de rapports sexuels avec elle à cause de son jeune âge. C’est pourquoi le Prophète plaçait son membre (pénis) entre ses cuisses et l’y frottait doucement, l’apôtre d’Allah avait le contrôle de ses membres [d’homme] comme aucun autre croyant... »
https://www.youtube.com/watch?v=dxJJwoVpbfw
https://youtu.be/zm7Yv_ZEL8M
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Droits des femmes en islam
Un petit rappel à ceux qui affirment des choses qu’ils ne connaissent pas. Mahomet, alors âgé de 53 ans a bien forniqué avec Aïcha, alors qu’elle n’avait que 9 ans ! C’est écrit dans les textes musulmans. Nous invitons les musulmans qui viennent nous soutenir le contraire à lire les textes de leur dogme, au lieu de nous tenir des propos incohérents. Alors comment qualifiez-vous un homme de 53 ans qui couche avec une gamine de 9 ans ? En plus c’est le « beau modèle » à suivre selon la Sunna. Voila pourquoi de nos jours des gamines de 8 ans meurent après avoir été violées par de gros pervers qui reproduisent les actes de leur prophète !
La femme selon Mahomet
La femme se présente toujours à l’homme sous l’image d’un diable et lui tourne le dos de la même manière. Si quelqu’un d’entre vous rencontre une femme et la convoite, qu’il se dépêche aussitôt chez son épouse pour se soulager. Ainsi se délivre-t-il du mal. » (Al-Tâj, op. cit., 2/331, al-Tirmizî, n° 1668.)
Le bonheur de l’homme est de soulever le vêtement d’une femme de peau blanche. » (Transmis par l’imâm al-Ridâ, Idem ; hadith 1 de la rubrique 20.)
Mahomet pratiquait la « mufa’Khathat »
La mufa’khathat veut dire "Placer entre les cuisses". Mahomet avait l’habitude de cette pratique.
C’est le Comité permanent pour la recherche islamique qui le dit :
A la question :
Quel est l’avis des savants musulmans sur le mufa’khathat puisqu’il est bien connu que le prophète, a pratiqué le « placer entre les cuisses » sur Aicha », le Comité a effectué des recherches approfondies et a émis cette fatwa :
Après avoir soigneusement étudié la question, le comité a donné la réponse suivante : « En ce qui concerne le prophète, plaçant son membre entre les cuisses de sa femme Aicha. Elle avait six ans et il ne pouvait pas avoir de rapports sexuels avec elle à cause de son jeune âge. C’est pourquoi le Prophète plaçait son membre (pénis) entre ses cuisses et l’y frottait doucement, l’apôtre d’Allah avait le contrôle de ses membres [d’homme] comme aucun autre croyant... »
Mariage avec Aïcha
Aïcha raconte ses premiers moments avec Mahomet :
Il m’a épousée au mois de chawwal de l’an 10 après la révélation, trois ans après l’émigration. J’avais alors six ans. Le jour où nous avions consommé le mariage, je n’avais que neuf ans. » (Ibn Saad, op. cit., 8/58)) (Mahomet avait 53 ans !)
Il m’a épousée alors que je jouais avec mes copines. Désormais, ma mère m’enfermait et m’empêchait de sortir de la maison. Elle me répétait souvent que j’étais mariée ». (Ibn Saad, op. cit., 8/58))
Il m’a épousée au moment où je jouais encore à la balançoire », a-t-elle souvent répété. (Ibn Saad, op. cit., 8/59))
L’apôtre est venu chez nous, entouré d’hommes et de femmes de ses compagnons. Ma mère m’appelle alors que je jouais à la balançoire. Elle me fait descendre. Puis, elle arrange mes cheveux. Remarquant mon visage barbouillé, elle prend un peu d’eau et me lave le museau. Ensuite, elle me conduit – sans savoir ce que sa mère voulait d’elle –, commente Qaddûra. En arrivant à la porte, elle m’arrête et attend que les gens dégagent de la place. Puis, elle me fait entrer. L’apôtre est assis sur un lit dans notre demeure. Elle me place dans son giron et me dit : Voici ton époux, qu’Allah vous bénisse ! les gens se lèvent et s’éclipsent. Nous consommons le mariage dans notre propre maison. Je n’ai alors que neuf ans. » (Tabarî, 3/176, Sahih Muslim, “Livre du Nikâh”, 1442, Ibn Hanbal, op. cit. 8/211, Al-Samt-al-thamîn, 32, Daddûra, op. cit., p. 78.)
Al-Bukhâri fait une description quasi analogue de cette cérémonie de mariage (Sahîh Bukhârî, 5/70-71))
L’Envoyé d’Allâh épousa Aïsha, fille d’Abû Bakr al-Siddîq à Makkah. Elle avait alors six ans. Il consomma son mariage avec Aïsha à al-Madînah lorsqu’elle avait neuf ou dix ans. L’Envoyé d’Allâh n’épousa aucune vierge autre que ‘Aïsha. Ce fut son père Abû Bakr qui la lui maria. L’Envoyé d’Allâh lui donna comme dot quatre cents drachmes. » (Ibn Ishaq p.569))
Aussi Longtemps que Khadija vécut, le prophète ne prit point d’autre femme ; mais, après sa mort, il épousa Aïsha, qui n’était âgée que de six ans et trop jeune pour qu’il puisse consommer son mariage avec elle. Elle resta encore deux ans chez son père Abou Bakr, et le Prophète ne la conduisit dans sa maison qu’après la Fuite. » (Tabari p. 591)
Cet imam explique qu’il est légal en islam qu’un adulte puisse violer librement une fillette pour être en accord avec les actes de Mahomet !
Les épouses vierges ont plus de droits
Selon la sunna de Mahomet, l’épouse vierge a droit de passer plus de jours et de nuits avec son époux que la femme divorcée ou veuve. Anas Ibn Malak rapporte le hadith suivant :
Lorsqu’un homme se marie avec une femme vierge, alors qu’il est déjà marié avec une femme divorcée ou veuve, il devra consacrer d’abord sept jours à la vierge, puis partager son temps entre les deux. S’il épouse une veuve ou une divorcée, alors qu’il est déjà marié avec une vierge, il consacrera trois jours seulement à la première avant de commencer le partage de son temps entre les deux. » (Cité par quatre compilateurs de hadiths. Voir note d’Al-Tâj, 2/324 ; Sahîh Bukhari,Livre de mariage, 7/3)
Pour interpréter ce hadith, l’auteur du Taj fait savoir que :
Mahomet veut dire que si un homme se marie avec une femme vierge tout en ayant déjà une autre épouse, la vierge aura un droit exclusif à son mari pendant sept jours complets. (Pauvre Aïcha !) Et s’il se marie avec une femme divorcée ou veuve, celle-ci n’aura droit qu’à trois jours seulement. C’est un devoir qui incombe au mari pour surmonter la pudeur de la vierge et favoriser la familiarité intime avec elle. Mahomet accorde trois jours à la nouvelle épouse qui était divorcée ou veuve, car elle avait déjà acquis une certaine expérience avec les hommes. En revanche, la vierge qui est encore prisonnière de son hymen comme de sa pudeur, a besoin de bénéficier de plus de temps et de patience. En plus, il ne faut pas compter les jours de noces dans le partage du temps entre les épouses. Ces jours font partie du privilège accordé à la nouvelle élue. » (Voir note d’Al-Tâj, 2/324)
Comment copuler avec une vierge selon Mahomet
Mahomet manifeste une « sagesse particulière » à l’égard des vierges par rapport aux autres. À ce propos, il dit à ses compagnons :
On ne copule pas avec une femme divorcée ou veuve, avant de lui intimer l’ordre. On ne copule pas non plus avec une vierge sans son autorisation.
— Et comment obtenir son autorisation ? s’interrogent les compagnons.
— C’est son silence, répond-il. »
En essayant de comprendre davantage, Aïcha l’interroge aussi :
O envoyé d’Allah ! Mais la vierge est timide. Alors, Mahomet lui fait savoir que son agrément réside dans son silence. » (Sahîh Bukhari, Livre de mariage, 7/23)
Comment détecter les tares d’une femme selon Mahomet
Mahomet a édicté des normes méthodiques susceptibles de mieux connaître les femmes. Voici le témoignage d’un de ses proches :
L’apôtre d’Allah envoyait une femme pour détecter les inconvénients ou les tares cachés d’une femme qu’il convoitait. Il lui recommandait : Allez la voir et flairez sa bouche ! Flairez ses aisselles ! Regardez ses deux jarrets » (Cité par al-Sayyîd Sâbiq dans Fiqh al-sunna, 2/30)
Dans un autre récit, il est rapporté :
Regardez son jarret et humez autour de son cou… Reniflez bien ses dents et sa bouche. » (Ibid)
Au sujet de l’excision
Mahomet :
N’exagérez pas dans l’incision et n’en déracinez pas trop, car il sera visible. Sachez que l’excision est pour la femme un soulagement qui se manifeste sur son visage. » (Ibn al-Athîr, Assad al-ghâbâ fî marifat al-sahâba (Le lion de la forêt dans la connaissance des compagnons), n° 7533, Asqalânî, n° 1416)
L’urine de Mahomet est la panacée
De nombreuses femmes malades ont bu l’urine de Mahomet pour guérir. Umayma raconte :
L’apôtre d’Allah disposait d’un gobelet en bois pour uriner. Il le plaçait sous son lit. J’en ai bu et je suis guérie. » (Ibn al-Athîr, op. cit., n° 6732, Asqalânî, op. cit., n° 1465)
Les enseignements coraniques relatifs à la femme comme au code familial qui figurent dans 80 versets répartis sur neuf sourates : La Vache (2), Les Femmes (4), Les Troupeaux (5), Les Croyants (23), La Lumière (24), Les Factions (33), La Délibération (58), L’Épreuve (60) et La Répudiation (65). Les sujets évoqués se rapportent à la polygamie, la répudiation, l’esclavage, la discrimination, l’héritage, le témoignage, les châtiments corporels, l’inceste et certains interdits.
Les hommes ont autorité sur les femmes en vertu de la préférence qu’Allah leur a accordée sur elles et de ce qu’ils dépensent sur leurs biens au profit de ces dernières. » (C 4,34))
Pour expliquer ce postulat auquel est conférée une référence dogmatique, Ibn Kathir (1300-1373), juriste et traditionniste très réputé, mais surtout disciple du théologien et jurisconsulte Ibn Taymiya (1263-1328)), note, sans donner d’explications, que « les hommes sont supérieurs aux femmes et qu’un homme est de loin mieux qu’une femme. » (Ibn Qathir, commentaire du C 4,34)
D’autres commentateurs, juristes ou érudits célèbres, comme Razi, (865-925)) Baydawi, (? –1286)), Zamakhshari, (1075-1144)) et Tabari, (839-923)) refusent de commenter ce postulat de peur que la parole d’Allah ne se trouve altérée.
« Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles. » (C 4,11)
Cette inégalité de répartition est imposée par le Coran en matière d’héritage.
Les commentateurs, anciens et modernes, lui reconnaissent des motivations liées à la supériorité « multidimensionnelle » de l’homme.
Razi souligne :
L’homme est plus parfait que la femme dans la créativité, l’intelligence et les questions religieuses, car il est plus habile d’être juge ou imâm. De même, le témoignage d’un seul homme équivaut à celui de deux femmes. Celui à qui on attribue de grandes responsabilités, jouit, en contrepartie, de privilèges de taille. En effet, la femme est un être doué d’une déficience mentale et d’envies excessives. Si on lui donne beaucoup d’argent, elle se trouvera à l’origine d’une corruption considérable. » (Razi, At-Tafsir al-Kabir, commentaire du C 4,11)
Et d’ajouter : « Si le mâle est mentionné en premier lieu dans le verset 4,11, c’est parce qu’il est mieux qu’une femelle. » (Ibid)
Il ajoute qu’une telle supériorité est due à la position des hommes, très élevée, notamment dans :
Le savoir et la puissance, mais surtout parce que l’homme offre à son épouse une dot et se charge de ses dépenses. » (Ibid)
Ce verset n’échappe pas au commentaire de Tuffaha qui souligne :
Allah a établi la supériorité des hommes sur les femmes dans le verset 4,11, ce qui empêche toute égalité entre eux. L’homme est supérieur à la femme de par son intellect et sa haute compétence à gérer les affaires et à l’entretenir financièrement ». (Tuffaha, Ahmad Zaky, Al-Maraat wal-Islam (La femme et l’islam), Dar al-Kitab al-Lubnani, Beyrouth, 1e édition, 1985, p. 36)
Il est interdit à un musulman de contester ou de dénoncer cette inégalité, en matière d’héritage, sous peine d’être inculpé d’apostasie.
Déficiences intellectuelles des femmes musulmanes
L’imam Boukhari (Sahih Bukhari, Traduction anglaise, vol.1, Introduction, p. xiv), dont les oulama (Docteurs de la loi islamique) considèrent les hadiths qu’il a compilés comme « le recueil le plus authentique après le Coran », rapporte, sous forme d’entretien, un dialogue entre Mahomet et un groupe de femmes.
Il leur déclare : « Je n’ai vu aucune personne plus déficiente en intelligence et en religion que vous. Un homme prudent et sensible pourrait être détourné du droit chemin par l’une d’entre vous.
« Les femmes l’interrogent : « Ô envoyé ! Où est la déficience dans notre religion et notre intelligence ?
« – Ne savez-vous pas, leur répond-il, que le témoignage de deux femmes est équivalant à celui d’un seul homme ?
« Les femmes répliquent par l’affirmative.
Mahomet conclut : – Eh bien ! C’est là où réside la déficience de votre intelligence.
« Ensuite il leur demande : – Ne savez-vous pas encore que la femme ne peut ni prier ni jeûner durant ses menstrues ?
« Dès que les femmes lui répondent également par l’affirmative, il leur annonce : – Sachez donc que cela est inhérent à sa déficience mentale. » (Ibid, 1 hadith n° 301. Voir aussi vol.3, hadith n° 826)
Ce hadith est rapporté dans les deux collections les plus fiables : Sahih Boukhari et Sahih Muslim. L’autorité de ces auteurs confère à ce hadith le plus haut degré d’authenticité. D’autres auteurs, tels que Ghazali, Ibn Arabi, Razi, Suyouti, Qortobi, Nawawi et Ibn Kathir, l’ont également approuvé et commenté.
À ce propos, Al-Bahi al-Khuli, signale que
l’intellect d’une femme ne pourra jamais atteindre le niveau de celui d’un homme. » (Al-Bahi al-Khuli, Al-Islam wal-marat al-Moassirat (L’islam et la femme contemporaine), Dar al-Qalam, Koweït, p. 241.) Ainsi rejoint-il l’avis d’al Aqqad, auteur d’un ouvrage intitulé La femme et le Coran (al-Marat wal-Quran). Dans un chapitre, al Aqqad « exclue toute égalité intellectuelle pouvant exister entre hommes et femmes. » (Ibid.)
Mahomet : « La femme n’est qu’un jouet, que celui qui en prend possession, l’entretienne. » (Tuffaha (Ahmad Zaky), al-Maraat wal-Islam, Dar al-Kitab al-Lubnani, Beyrouth, 1ère édition, 1985, p. 180.)
« Alors que le calife Omar ( 591-644)) évoquait quelque chose, son épouse lui fait une remarque. Il lui rappelle aussitôt sa condition : « Sache que tu n’es rien d’autre qu’une poupée. Nous te convoquerons si nous avons besoin de toi. » (Kindi (Abou Bakr Ahmad Ibn Abd Allah Ibn Moussa al-), Al-Mussanaf, vol.1, 2e partie, p. 263. Voir aussi : Ghazali, Ihya ouloum al-din, vol. ii, Kitab Adab al-Nikah, p. 32)
Amr Ibn al-Ass ( ?-663)), autre calife, approuve en enseignant aux hommes : « Les femmes ne sont que des jouets, vous n’avez qu’à en choisir ! » (Kanz al-oummal, vol.21, hadith n° 919)
Une petite vidéo sur l’esclavage des femmes en islam toujours en vigueur au XXIe siècle :
Voir la vidéo sous-titrée en français.
https://www.youtube.com/watch?v=YUDkkjC7rzY
Nous pensons que cela suffit pour aujourd’hui, nous y reviendrons de temps en temps. Afin que ceux qui sombrent dans le néant puissent se ressaisir.
Prenez la peine de faire des recherches, en tenant compte de nos sources que vous pouvez aisément consulter. Maintenant, si vous vous rendez compte que vous avez bêtement suivis des préceptes qui sont contre vos idées vous savez ce qu’il vous reste à faire…
En notre qualité de femme avec tout ce que nous avons lu et malheureusement constaté sur la condition de la femme en islam, il y a de quoi cauchemarder, alors je prie ceux qui critiquent tout ce que nous faisons d’aller voir ailleurs si nous y sommes. Y’en a marre de se faire insulter quoi qu’on fasse, par ceux qui ne font rien.
Geneviève Harland
La mufa’khathat veut dire "Placer entre les cuisses". Mahomet avait l’habitude de cette pratique.
C’est le Comité permanent pour la recherche islamique qui le dit :
A la question :
Quel est l’avis des savants musulmans sur le mufa’khathat puisqu’il est bien connu que le prophète, a pratiqué le « placer entre les cuisses » sur Aicha », le Comité a effectué des recherches approfondies et a émis cette fatwa :
Après avoir soigneusement étudié la question, le comité a donné la réponse suivante :
En ce qui concerne le prophète, plaçant son membre entre les cuisses de sa femme Aicha. Elle avait six ans et il ne pouvait pas avoir de rapports sexuels avec elle à cause de son jeune âge. C’est pourquoi le Prophète plaçait son membre (pénis) entre ses cuisses et l’y frottait doucement, l’apôtre d’Allah avait le contrôle de ses membres [d’homme] comme aucun autre croyant... »
https://www.youtube.com/watch?v=dxJJwoVpbfw
https://youtu.be/zm7Yv_ZEL8M
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Droits des femmes en islam
Un petit rappel à ceux qui affirment des choses qu’ils ne connaissent pas. Mahomet, alors âgé de 53 ans a bien forniqué avec Aïcha, alors qu’elle n’avait que 9 ans ! C’est écrit dans les textes musulmans. Nous invitons les musulmans qui viennent nous soutenir le contraire à lire les textes de leur dogme, au lieu de nous tenir des propos incohérents. Alors comment qualifiez-vous un homme de 53 ans qui couche avec une gamine de 9 ans ? En plus c’est le « beau modèle » à suivre selon la Sunna. Voila pourquoi de nos jours des gamines de 8 ans meurent après avoir été violées par de gros pervers qui reproduisent les actes de leur prophète !
La femme selon Mahomet
La femme se présente toujours à l’homme sous l’image d’un diable et lui tourne le dos de la même manière. Si quelqu’un d’entre vous rencontre une femme et la convoite, qu’il se dépêche aussitôt chez son épouse pour se soulager. Ainsi se délivre-t-il du mal. » (Al-Tâj, op. cit., 2/331, al-Tirmizî, n° 1668.)
Le bonheur de l’homme est de soulever le vêtement d’une femme de peau blanche. » (Transmis par l’imâm al-Ridâ, Idem ; hadith 1 de la rubrique 20.)
Mahomet pratiquait la « mufa’Khathat »
La mufa’khathat veut dire "Placer entre les cuisses". Mahomet avait l’habitude de cette pratique.
C’est le Comité permanent pour la recherche islamique qui le dit :
A la question :
Quel est l’avis des savants musulmans sur le mufa’khathat puisqu’il est bien connu que le prophète, a pratiqué le « placer entre les cuisses » sur Aicha », le Comité a effectué des recherches approfondies et a émis cette fatwa :
Après avoir soigneusement étudié la question, le comité a donné la réponse suivante : « En ce qui concerne le prophète, plaçant son membre entre les cuisses de sa femme Aicha. Elle avait six ans et il ne pouvait pas avoir de rapports sexuels avec elle à cause de son jeune âge. C’est pourquoi le Prophète plaçait son membre (pénis) entre ses cuisses et l’y frottait doucement, l’apôtre d’Allah avait le contrôle de ses membres [d’homme] comme aucun autre croyant... »
Mariage avec Aïcha
Aïcha raconte ses premiers moments avec Mahomet :
Il m’a épousée au mois de chawwal de l’an 10 après la révélation, trois ans après l’émigration. J’avais alors six ans. Le jour où nous avions consommé le mariage, je n’avais que neuf ans. » (Ibn Saad, op. cit., 8/58)) (Mahomet avait 53 ans !)
Il m’a épousée alors que je jouais avec mes copines. Désormais, ma mère m’enfermait et m’empêchait de sortir de la maison. Elle me répétait souvent que j’étais mariée ». (Ibn Saad, op. cit., 8/58))
Il m’a épousée au moment où je jouais encore à la balançoire », a-t-elle souvent répété. (Ibn Saad, op. cit., 8/59))
L’apôtre est venu chez nous, entouré d’hommes et de femmes de ses compagnons. Ma mère m’appelle alors que je jouais à la balançoire. Elle me fait descendre. Puis, elle arrange mes cheveux. Remarquant mon visage barbouillé, elle prend un peu d’eau et me lave le museau. Ensuite, elle me conduit – sans savoir ce que sa mère voulait d’elle –, commente Qaddûra. En arrivant à la porte, elle m’arrête et attend que les gens dégagent de la place. Puis, elle me fait entrer. L’apôtre est assis sur un lit dans notre demeure. Elle me place dans son giron et me dit : Voici ton époux, qu’Allah vous bénisse ! les gens se lèvent et s’éclipsent. Nous consommons le mariage dans notre propre maison. Je n’ai alors que neuf ans. » (Tabarî, 3/176, Sahih Muslim, “Livre du Nikâh”, 1442, Ibn Hanbal, op. cit. 8/211, Al-Samt-al-thamîn, 32, Daddûra, op. cit., p. 78.)
Al-Bukhâri fait une description quasi analogue de cette cérémonie de mariage (Sahîh Bukhârî, 5/70-71))
L’Envoyé d’Allâh épousa Aïsha, fille d’Abû Bakr al-Siddîq à Makkah. Elle avait alors six ans. Il consomma son mariage avec Aïsha à al-Madînah lorsqu’elle avait neuf ou dix ans. L’Envoyé d’Allâh n’épousa aucune vierge autre que ‘Aïsha. Ce fut son père Abû Bakr qui la lui maria. L’Envoyé d’Allâh lui donna comme dot quatre cents drachmes. » (Ibn Ishaq p.569))
Aussi Longtemps que Khadija vécut, le prophète ne prit point d’autre femme ; mais, après sa mort, il épousa Aïsha, qui n’était âgée que de six ans et trop jeune pour qu’il puisse consommer son mariage avec elle. Elle resta encore deux ans chez son père Abou Bakr, et le Prophète ne la conduisit dans sa maison qu’après la Fuite. » (Tabari p. 591)
Cet imam explique qu’il est légal en islam qu’un adulte puisse violer librement une fillette pour être en accord avec les actes de Mahomet !
Les épouses vierges ont plus de droits
Selon la sunna de Mahomet, l’épouse vierge a droit de passer plus de jours et de nuits avec son époux que la femme divorcée ou veuve. Anas Ibn Malak rapporte le hadith suivant :
Lorsqu’un homme se marie avec une femme vierge, alors qu’il est déjà marié avec une femme divorcée ou veuve, il devra consacrer d’abord sept jours à la vierge, puis partager son temps entre les deux. S’il épouse une veuve ou une divorcée, alors qu’il est déjà marié avec une vierge, il consacrera trois jours seulement à la première avant de commencer le partage de son temps entre les deux. » (Cité par quatre compilateurs de hadiths. Voir note d’Al-Tâj, 2/324 ; Sahîh Bukhari,Livre de mariage, 7/3)
Pour interpréter ce hadith, l’auteur du Taj fait savoir que :
Mahomet veut dire que si un homme se marie avec une femme vierge tout en ayant déjà une autre épouse, la vierge aura un droit exclusif à son mari pendant sept jours complets. (Pauvre Aïcha !) Et s’il se marie avec une femme divorcée ou veuve, celle-ci n’aura droit qu’à trois jours seulement. C’est un devoir qui incombe au mari pour surmonter la pudeur de la vierge et favoriser la familiarité intime avec elle. Mahomet accorde trois jours à la nouvelle épouse qui était divorcée ou veuve, car elle avait déjà acquis une certaine expérience avec les hommes. En revanche, la vierge qui est encore prisonnière de son hymen comme de sa pudeur, a besoin de bénéficier de plus de temps et de patience. En plus, il ne faut pas compter les jours de noces dans le partage du temps entre les épouses. Ces jours font partie du privilège accordé à la nouvelle élue. » (Voir note d’Al-Tâj, 2/324)
Comment copuler avec une vierge selon Mahomet
Mahomet manifeste une « sagesse particulière » à l’égard des vierges par rapport aux autres. À ce propos, il dit à ses compagnons :
On ne copule pas avec une femme divorcée ou veuve, avant de lui intimer l’ordre. On ne copule pas non plus avec une vierge sans son autorisation.
— Et comment obtenir son autorisation ? s’interrogent les compagnons.
— C’est son silence, répond-il. »
En essayant de comprendre davantage, Aïcha l’interroge aussi :
O envoyé d’Allah ! Mais la vierge est timide. Alors, Mahomet lui fait savoir que son agrément réside dans son silence. » (Sahîh Bukhari, Livre de mariage, 7/23)
Comment détecter les tares d’une femme selon Mahomet
Mahomet a édicté des normes méthodiques susceptibles de mieux connaître les femmes. Voici le témoignage d’un de ses proches :
L’apôtre d’Allah envoyait une femme pour détecter les inconvénients ou les tares cachés d’une femme qu’il convoitait. Il lui recommandait : Allez la voir et flairez sa bouche ! Flairez ses aisselles ! Regardez ses deux jarrets » (Cité par al-Sayyîd Sâbiq dans Fiqh al-sunna, 2/30)
Dans un autre récit, il est rapporté :
Regardez son jarret et humez autour de son cou… Reniflez bien ses dents et sa bouche. » (Ibid)
Au sujet de l’excision
Mahomet :
N’exagérez pas dans l’incision et n’en déracinez pas trop, car il sera visible. Sachez que l’excision est pour la femme un soulagement qui se manifeste sur son visage. » (Ibn al-Athîr, Assad al-ghâbâ fî marifat al-sahâba (Le lion de la forêt dans la connaissance des compagnons), n° 7533, Asqalânî, n° 1416)
L’urine de Mahomet est la panacée
De nombreuses femmes malades ont bu l’urine de Mahomet pour guérir. Umayma raconte :
L’apôtre d’Allah disposait d’un gobelet en bois pour uriner. Il le plaçait sous son lit. J’en ai bu et je suis guérie. » (Ibn al-Athîr, op. cit., n° 6732, Asqalânî, op. cit., n° 1465)
Les enseignements coraniques relatifs à la femme comme au code familial qui figurent dans 80 versets répartis sur neuf sourates : La Vache (2), Les Femmes (4), Les Troupeaux (5), Les Croyants (23), La Lumière (24), Les Factions (33), La Délibération (58), L’Épreuve (60) et La Répudiation (65). Les sujets évoqués se rapportent à la polygamie, la répudiation, l’esclavage, la discrimination, l’héritage, le témoignage, les châtiments corporels, l’inceste et certains interdits.
Les hommes ont autorité sur les femmes en vertu de la préférence qu’Allah leur a accordée sur elles et de ce qu’ils dépensent sur leurs biens au profit de ces dernières. » (C 4,34))
Pour expliquer ce postulat auquel est conférée une référence dogmatique, Ibn Kathir (1300-1373), juriste et traditionniste très réputé, mais surtout disciple du théologien et jurisconsulte Ibn Taymiya (1263-1328)), note, sans donner d’explications, que « les hommes sont supérieurs aux femmes et qu’un homme est de loin mieux qu’une femme. » (Ibn Qathir, commentaire du C 4,34)
D’autres commentateurs, juristes ou érudits célèbres, comme Razi, (865-925)) Baydawi, (? –1286)), Zamakhshari, (1075-1144)) et Tabari, (839-923)) refusent de commenter ce postulat de peur que la parole d’Allah ne se trouve altérée.
« Allah vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles. » (C 4,11)
Cette inégalité de répartition est imposée par le Coran en matière d’héritage.
Les commentateurs, anciens et modernes, lui reconnaissent des motivations liées à la supériorité « multidimensionnelle » de l’homme.
Razi souligne :
L’homme est plus parfait que la femme dans la créativité, l’intelligence et les questions religieuses, car il est plus habile d’être juge ou imâm. De même, le témoignage d’un seul homme équivaut à celui de deux femmes. Celui à qui on attribue de grandes responsabilités, jouit, en contrepartie, de privilèges de taille. En effet, la femme est un être doué d’une déficience mentale et d’envies excessives. Si on lui donne beaucoup d’argent, elle se trouvera à l’origine d’une corruption considérable. » (Razi, At-Tafsir al-Kabir, commentaire du C 4,11)
Et d’ajouter : « Si le mâle est mentionné en premier lieu dans le verset 4,11, c’est parce qu’il est mieux qu’une femelle. » (Ibid)
Il ajoute qu’une telle supériorité est due à la position des hommes, très élevée, notamment dans :
Le savoir et la puissance, mais surtout parce que l’homme offre à son épouse une dot et se charge de ses dépenses. » (Ibid)
Ce verset n’échappe pas au commentaire de Tuffaha qui souligne :
Allah a établi la supériorité des hommes sur les femmes dans le verset 4,11, ce qui empêche toute égalité entre eux. L’homme est supérieur à la femme de par son intellect et sa haute compétence à gérer les affaires et à l’entretenir financièrement ». (Tuffaha, Ahmad Zaky, Al-Maraat wal-Islam (La femme et l’islam), Dar al-Kitab al-Lubnani, Beyrouth, 1e édition, 1985, p. 36)
Il est interdit à un musulman de contester ou de dénoncer cette inégalité, en matière d’héritage, sous peine d’être inculpé d’apostasie.
Déficiences intellectuelles des femmes musulmanes
L’imam Boukhari (Sahih Bukhari, Traduction anglaise, vol.1, Introduction, p. xiv), dont les oulama (Docteurs de la loi islamique) considèrent les hadiths qu’il a compilés comme « le recueil le plus authentique après le Coran », rapporte, sous forme d’entretien, un dialogue entre Mahomet et un groupe de femmes.
Il leur déclare : « Je n’ai vu aucune personne plus déficiente en intelligence et en religion que vous. Un homme prudent et sensible pourrait être détourné du droit chemin par l’une d’entre vous.
« Les femmes l’interrogent : « Ô envoyé ! Où est la déficience dans notre religion et notre intelligence ?
« – Ne savez-vous pas, leur répond-il, que le témoignage de deux femmes est équivalant à celui d’un seul homme ?
« Les femmes répliquent par l’affirmative.
Mahomet conclut : – Eh bien ! C’est là où réside la déficience de votre intelligence.
« Ensuite il leur demande : – Ne savez-vous pas encore que la femme ne peut ni prier ni jeûner durant ses menstrues ?
« Dès que les femmes lui répondent également par l’affirmative, il leur annonce : – Sachez donc que cela est inhérent à sa déficience mentale. » (Ibid, 1 hadith n° 301. Voir aussi vol.3, hadith n° 826)
Ce hadith est rapporté dans les deux collections les plus fiables : Sahih Boukhari et Sahih Muslim. L’autorité de ces auteurs confère à ce hadith le plus haut degré d’authenticité. D’autres auteurs, tels que Ghazali, Ibn Arabi, Razi, Suyouti, Qortobi, Nawawi et Ibn Kathir, l’ont également approuvé et commenté.
À ce propos, Al-Bahi al-Khuli, signale que
l’intellect d’une femme ne pourra jamais atteindre le niveau de celui d’un homme. » (Al-Bahi al-Khuli, Al-Islam wal-marat al-Moassirat (L’islam et la femme contemporaine), Dar al-Qalam, Koweït, p. 241.) Ainsi rejoint-il l’avis d’al Aqqad, auteur d’un ouvrage intitulé La femme et le Coran (al-Marat wal-Quran). Dans un chapitre, al Aqqad « exclue toute égalité intellectuelle pouvant exister entre hommes et femmes. » (Ibid.)
Mahomet : « La femme n’est qu’un jouet, que celui qui en prend possession, l’entretienne. » (Tuffaha (Ahmad Zaky), al-Maraat wal-Islam, Dar al-Kitab al-Lubnani, Beyrouth, 1ère édition, 1985, p. 180.)
« Alors que le calife Omar ( 591-644)) évoquait quelque chose, son épouse lui fait une remarque. Il lui rappelle aussitôt sa condition : « Sache que tu n’es rien d’autre qu’une poupée. Nous te convoquerons si nous avons besoin de toi. » (Kindi (Abou Bakr Ahmad Ibn Abd Allah Ibn Moussa al-), Al-Mussanaf, vol.1, 2e partie, p. 263. Voir aussi : Ghazali, Ihya ouloum al-din, vol. ii, Kitab Adab al-Nikah, p. 32)
Amr Ibn al-Ass ( ?-663)), autre calife, approuve en enseignant aux hommes : « Les femmes ne sont que des jouets, vous n’avez qu’à en choisir ! » (Kanz al-oummal, vol.21, hadith n° 919)
Une petite vidéo sur l’esclavage des femmes en islam toujours en vigueur au XXIe siècle :
Voir la vidéo sous-titrée en français.
https://www.youtube.com/watch?v=YUDkkjC7rzY
Nous pensons que cela suffit pour aujourd’hui, nous y reviendrons de temps en temps. Afin que ceux qui sombrent dans le néant puissent se ressaisir.
Prenez la peine de faire des recherches, en tenant compte de nos sources que vous pouvez aisément consulter. Maintenant, si vous vous rendez compte que vous avez bêtement suivis des préceptes qui sont contre vos idées vous savez ce qu’il vous reste à faire…
En notre qualité de femme avec tout ce que nous avons lu et malheureusement constaté sur la condition de la femme en islam, il y a de quoi cauchemarder, alors je prie ceux qui critiquent tout ce que nous faisons d’aller voir ailleurs si nous y sommes. Y’en a marre de se faire insulter quoi qu’on fasse, par ceux qui ne font rien.
Geneviève Harland
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Re: Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
Petite question HS
Yacoub, j'aimerais savoir comment tu fais pour poster les vidéos en grand format STP ???
Merci
Yacoub, j'aimerais savoir comment tu fais pour poster les vidéos en grand format STP ???
Merci
Re: Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
C'est simple, tu cliques droit sur ta vidéo et tu copies le code d'intégration de la vidéo que tu colles dans ton message. Tu obtiens quelque chose comme ça.
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Re: Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
C'est honteux de dire que mohamed était un prophète -- c'est s@lir et déshonorer les vrais prophetes comme Abraham, Moise jacob isaac, Esaie, bref qui n'avait même deux épouses c@r la prière & la recherche de la face de Dieu était pour eux plus que la vie de sexe
Manouche- Messages : 734
Re: Aïcha épousée à 6 ans, déflorée à 9 ans
Salomon, Prophète de l'islam, avait un harem de 700 femmes légitimes et 300 esclaves sexuelles. Ou l'inverse.
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