Le système de circuits vitaux de la Terre
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Le système de circuits vitaux de la Terre
Rappel du premier message :
La nouvelle grille planétaire et l'évolution de la conscience
Alain Boudet
Dans la première partie de cette étude, nous avons observé, partout sur la Terre, des réseaux de lignes droites qui joignent des sites sacrés et transportent des flux d'énergie. Dans la deuxième partie, nous avons établi que ces flux étaient organisés selon une grille planétaire ou plusieurs grilles superposées, qui sont sous-tendues par des polyèdres réguliers. L'existence de ce réseau était connue des anciens peuples. Elle est encore familière chez les peuples indigènes actuels. Dans ce dernier volet, nous tentons de comprendre dans quel but les lieux sacrés ont été organisés selon une grille géométrique et en quoi nous sommes concernés aujourd'hui.
Des civilisations anciennes techniquement avancées
Sur tous les continents, la Terre porte les traces d'une ou de plusieurs civilisations anciennes. Ce n'étaient pas des populations rustres à la façon des hommes des cavernes tels qu'on nous les décrits. Elles savaient construire des édifices sacrés hautement élaborés (certains ont été présentés dans les deux précédentes parties), et les ont organisés en concordance avec les flux énergétiques de la grille planétaire.
À quelle époque ces civilisations ont-elles vécues? Dans certaines des constructions sacrées, on a relevé des indices qui tendent à prouver qu'elles ont existé dans des temps très anciens, bien plus anciens que l'époque considérée par les historiens comme les débuts de l'humanité. Ces indices sont présents soit dans la construction elle-même, soit dans les écritures et images qui y sont gravées ou peintes.
Le Grand Sphinx d'Égypte est situé à Guizeh à côté des pyramides du Caire. Au cours du temps, il a subi des dégradations et on peut voir des [ltr]traces d'érosion[/ltr] sur sa surface. Selon[ltr]John West[/ltr], les expertises du géologue Robert Schoch avec qui il s'est associé dans ses recherches, démontrent que ces traces ne sont dues ni au vent ni au sable du désert. Leurs dessins ondulés ne peuvent s'expliquer que par l'action de l'eau (Voir film: [ltr]The mystery of the Sphinx[/ltr]).
Or la plus ancienne grande période de pluie connue en Égypte remonte à la fin de la dernière glaciation, soit au moins 8'000 ans avant JC. Ceci est une forte indication sur le fait que le Sphinx était en place à cette époque. Existait-il donc une population qui vivait sur Terre il y a plus de 10'000 ans et qui a construit le Sphinx?
Si nous l'admettons, si une telle civilisation ingénieuse existait à cette époque, elle aurait dû laisser d'autres vestiges que le Sphinx. Y a-t-il d'autres empreintes de cette civilisation? Effectivement.
Une [ltr]carte montrant les continents et les mers[/ltr] a été établie en 1513 par un amiral turc nommé Piri Reis. Bien sûr, c'est une date assez récente qui n'a rien à voir avec nos 10'000 ans. Oui, mais Reis l'a établie à partir d'une vingtaine d'autres cartes des temps anciens dont il a recopié les détails sur sa propre carte. Sur celle-ci, on découvre la côte de l'Afrique occidentale, celle de l'Amérique du Sud, et ces côtes sont dessinées avec une correspondance presque exacte avec nos cartes actuelles. La connaissance de l'Amérique ne date pas de Christophe Colomb!
Bien plus étonnant, les contours du continent Antarctique y sont également représentés. Ceux qui ont dessiné ces cartes connaissaient non seulement l'existence de l'Antarctique mais aussi sa forme précise et étaient capables de la dessiner. Or ces contours ne nous sont connus que depuis 1949, lorsqu'une [ltr]expédition norvégienne, suédoise et britannique[/ltr] les a sondés à travers la couche de glace. Comment des gens pouvaient-ils les connaitre il y a si longtemps? Explication probable: ils les ont vus. C'était possible si cette civilisation vivait à un moment où l'Antarctique était dépourvu de glace. C'était il y a 8000 à 13'000 ans.
Le système de circuits vitaux de la Terre
La nouvelle grille planétaire et l'évolution de la conscience
Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignant
Résumé: Sur tous les continents, la Terre porte des édifices sacrés qui sont disposés sur les mailles d'une vaste grille de flux énergétiques. Sur certains édifices, on a relevé des indices qui indiquent qu'ils ont été bâtis par une civilisation techniquement et spirituellement très avancée. Les sites sacrés avaient des fonctions de régulation énergétique des flux et d'élévation de la conscience. Après un long sommeil, la grille est actuellement réactivée progressivement jusqu'à sa pleine puissance en 2012. Ce processus entraine des bouleversements terrestres et des modifications dans nos consciences. Nos corps sont progressivement reconnectés à la grille et sont également touchés. Tout cela a un sens précis: nous sommes invités à devenir pleinement responsables de notre vie et à créer un nouveau monde en harmonie avec la Terre.
Dans la première partie de cette étude, nous avons observé, partout sur la Terre, des réseaux de lignes droites qui joignent des sites sacrés et transportent des flux d'énergie. Dans la deuxième partie, nous avons établi que ces flux étaient organisés selon une grille planétaire ou plusieurs grilles superposées, qui sont sous-tendues par des polyèdres réguliers. L'existence de ce réseau était connue des anciens peuples. Elle est encore familière chez les peuples indigènes actuels. Dans ce dernier volet, nous tentons de comprendre dans quel but les lieux sacrés ont été organisés selon une grille géométrique et en quoi nous sommes concernés aujourd'hui.
Des civilisations anciennes techniquement avancées
Sur tous les continents, la Terre porte les traces d'une ou de plusieurs civilisations anciennes. Ce n'étaient pas des populations rustres à la façon des hommes des cavernes tels qu'on nous les décrits. Elles savaient construire des édifices sacrés hautement élaborés (certains ont été présentés dans les deux précédentes parties), et les ont organisés en concordance avec les flux énergétiques de la grille planétaire.
À quelle époque ces civilisations ont-elles vécues? Dans certaines des constructions sacrées, on a relevé des indices qui tendent à prouver qu'elles ont existé dans des temps très anciens, bien plus anciens que l'époque considérée par les historiens comme les débuts de l'humanité. Ces indices sont présents soit dans la construction elle-même, soit dans les écritures et images qui y sont gravées ou peintes.
Le Grand Sphinx d'Égypte est situé à Guizeh à côté des pyramides du Caire. Au cours du temps, il a subi des dégradations et on peut voir des [ltr]traces d'érosion[/ltr] sur sa surface. Selon[ltr]John West[/ltr], les expertises du géologue Robert Schoch avec qui il s'est associé dans ses recherches, démontrent que ces traces ne sont dues ni au vent ni au sable du désert. Leurs dessins ondulés ne peuvent s'expliquer que par l'action de l'eau (Voir film: [ltr]The mystery of the Sphinx[/ltr]).
Or la plus ancienne grande période de pluie connue en Égypte remonte à la fin de la dernière glaciation, soit au moins 8'000 ans avant JC. Ceci est une forte indication sur le fait que le Sphinx était en place à cette époque. Existait-il donc une population qui vivait sur Terre il y a plus de 10'000 ans et qui a construit le Sphinx?
Le grand Sphinx en Égypte comporte des traces d'érosion de plus de 10'000 ans Merci à [ltr]Wikipédia[/ltr] | Carte de Piri Reis en peau de gazelle, peinte en 1513. Elle représente l'océan Atlantique avec une partie des côtes de l'Amérique, de l'Afrique et de l'Antarctique. Merci à [ltr]Découvertes impossibles[/ltr] | Sa superposition (en jaune) sur la planisphère moderne (en vert) |
Si nous l'admettons, si une telle civilisation ingénieuse existait à cette époque, elle aurait dû laisser d'autres vestiges que le Sphinx. Y a-t-il d'autres empreintes de cette civilisation? Effectivement.
Une [ltr]carte montrant les continents et les mers[/ltr] a été établie en 1513 par un amiral turc nommé Piri Reis. Bien sûr, c'est une date assez récente qui n'a rien à voir avec nos 10'000 ans. Oui, mais Reis l'a établie à partir d'une vingtaine d'autres cartes des temps anciens dont il a recopié les détails sur sa propre carte. Sur celle-ci, on découvre la côte de l'Afrique occidentale, celle de l'Amérique du Sud, et ces côtes sont dessinées avec une correspondance presque exacte avec nos cartes actuelles. La connaissance de l'Amérique ne date pas de Christophe Colomb!
Bien plus étonnant, les contours du continent Antarctique y sont également représentés. Ceux qui ont dessiné ces cartes connaissaient non seulement l'existence de l'Antarctique mais aussi sa forme précise et étaient capables de la dessiner. Or ces contours ne nous sont connus que depuis 1949, lorsqu'une [ltr]expédition norvégienne, suédoise et britannique[/ltr] les a sondés à travers la couche de glace. Comment des gens pouvaient-ils les connaitre il y a si longtemps? Explication probable: ils les ont vus. C'était possible si cette civilisation vivait à un moment où l'Antarctique était dépourvu de glace. C'était il y a 8000 à 13'000 ans.
Re: Le système de circuits vitaux de la Terre
Un système complexe et vivant
La synthèse de ces informations de sources diverses nous met en face de plusieurs systèmes de flux énergétiques de la terre. D'un côté les repérages d'anomalies géomagnétiques ont abouti à la mise en évidence du polyèdre 120 avec ses 62 points et ses triangles. Les lignes y sont représentées au premier abord comme des tracés géométriques entre les sommets, non comme des flux énergétiques, bien qu'elles en soient probablement, comme nous le suggère l'existence des lignes de leys un peu partout sur terre. D'un autre côté, les mesures expérimentales en radiesthésie mettent en évidence des faisceaux de lignes et des quadrillages de flux énergétiques qui recouvrent toute la planète.
De ces constatations, des questions peuvent venir à l'esprit. Le réseau de l'or double ressemble fort à la grille de Sanderson et à celle de Becker-Hagens tout en étant différent. Y a-t-il un rapport entre eux et lequel? Pourquoi certains points de la grille géométrique de Becker-Hagens semblent être décalés par rapport à un lieu sacré proche? Je vais tenter de donner des réponses à ces questions dans la mesure où cela pourra ouvrir nos esprits à la réalité de ces grilles.
Toutefois, je ne vais pas chercher à répondre par des données techniques précises qui demanderaient des investigations longues et inutiles. Le but de cet article est de sensibiliser à l'existence et au fonctionnement de la grille, même si on ne sait pas parfaitement comment elle est constituée. Un peu comme vous pouvez bénéficier d'un ordinateur sans savoir exactement sa structure interne. Je reste fixé sur mon objectif qui consiste à comprendre ce que nous sommes et comment nous sommes reliés à l'univers.
Voici donc encore quelques notions qui rendent compte de la complexité des grilles. Il n'y a pas une seule grille, mais plusieurs qui sont superposées et connectées; elles ne suivent pas une géométrie stricte comme un dessin d'ordinateur; elles sont vivantes, mouvantes et adaptables.
Une géométrie adaptable au terrain
La représentation de la grille sous forme d'une géométrie parfaite ne correspond pas exactement à la réalité du terrain. Sur le terrain, les lignes ne suivent pas des tracés rigoureusement droits et les croisements ne sont pas situés exactement aux sommets de polyèdres parfaits. Mais cela n'infirme pas le modèle géométrique.
Le modèle est le principe créateur, le concept, qui s'adapte au terrain et peut subir des adaptations, des déformations. C'est comparable à la fabrication d'un grillage en fil de fer avec des carreaux parfaits, qui est déformé lorsqu'on l'utilise comme clôture sur un terrain inégal. Ou encore à une tente de camping qui est conçue en usine comme un dôme parfait avec ses armatures en arc de cercle, mais qui, une fois montée sur le terrain, s'avère distordue par des inégalités de terrain et par la façon dont on a tendu les cordes d'amarrage.
De même, les mailles d'un réseau polygonal ne sont pas forcément régulières. Leurs dimensions varient, ainsi que l'épaisseur des murs. Ainsi l'épaisseur des murs du réseau du nickel peut atteindre 39 cm. Lorsqu'on dit que le réseau est orienté Nord-Sud, il s'agit donc d'une orientation moyenne, globale qui subit des variations locales. Les lignes peuvent être sinueuses et non rectilignes.
Ces variations locales sont dues à la qualité du sol et du sous-sol ainsi qu'aux constructions qui ont été implantées. Les flux sont de nature électrique et magnétique, donc influencés par toute présence de charges électriques statiques ou en mouvement, en provenance de la terre ou du ciel, y compris l'influence des taches solaires. Ils sont sensibles aux tensions tectoniques locales, aux mouvements souterrains du magma, à la présence de métaux dans le sous-sol, ou à celle de quartz, un minéral abondant dans la terre qui présente des propriétés piezzoélectriques (voir article Cristaux et géométrie cristalline).
Les constructions métalliques modernes placées sans tenir compte de ces flux les modifient de façon souvent défavorable à l'harmonie du lieu, on peut dire qu'elles le polluent. Inversement, les constructions mégalithiques anciennes, bâties pour contrôler ces flux, les déplaçaient parfois volontairement afin qu'ils fonctionnent selon une technologie précise.
Les niveaux multidimensionnels des grilles
Notre découverte des résilles de métaux illustre le fait que plusieurs réseaux, plusieurs grilles coexistent et s'interpénètrent. Chacune porte une énergie différente et a donc une fonction spécifique.
Il y a des grandes grilles qui sont les conduits vitaux principaux de la terre. Ces grandes mailles sont divisées en mailles plus petites, elles-mêmes sous-divisées en mailles encore plus petites dessinant un treillis plus fin. Il y a des grilles dans des grilles, selon une hiérarchie d'échelle qu'on peut qualifier de fractale (voir article Images fractales).
On peut comparer cette imbrication de réseaux aux réseaux vitaux du corps humain. Le système sanguin est fortement couplé au réseau respiratoire, au système lymphatique et au système nerveux, par exemple. Il est lui-même constitué de gros vaisseaux principaux, qui se ramifient en vaisseaux plus fins, et encore jusqu'aux vaisseaux capillaires extrêmement fins.
Par ailleurs, le corps humain est fait de la superposition d'au moins 5 corps énergétiques de niveaux vibratoires différents: corps physique, vital, émotionnel, mental et spirituel (voir article Chakras et corps subtils). Il en est de même pour la Terre. Elle a ses propres corps énergétiques. Ainsi la comparaison entre le corps humain et le corps de la Terre n'est pas qu'une image commode. Il est une réalité: corps humain et corps terrestre sont constitués selon des structures semblables. Chacun des corps de la Terre est parcouru de son propre système circulatoire: c'est une grille.
La superposition multidimensionnelle des grilles a par exemple été décrite par Richard Leviton (Leys lines and the meaning of Adam). Selon sa vision, une certaine forme de structure énergétique s'est mise en place dans les premiers temps de l'existence de la Terre, en relation avec l'apparition de la vie biologique. La structure d'origine était faite de lignes droites reliant des vortex énergétiques en forme de dômes posés à la surface de la terre. Ces lignes étaient doubles, l'une portant la vibration de l'or et l'autre celle de l'argent. Ces lignes montaient aussi verticalement d'une certaine façon pour se rejoindre en un point particulier de la Terre, son nombril en quelque sorte. Ce nombril pourrait être Avebury en Angleterre. Il est intéressant de remarquer que d'autres lieux sur la planète ont été nommés nombril, comme Delphes en Grèce ou Cuzco au Pérou.
Levinton distingue 4 grilles de niveaux vibratoires différents, correspondant aux corps énergétiques de la Terre, localisées en surface ou dans l'atmosphère, jusqu'à environ 3 km d'altitude. L'une d'elle est faite de 15 grands cercles entourant la terre au-dessus de sa surface, déterminant 62 points de croisement et 120 triangles. La ligne de ley St-Michael en Angleterre en fait partie (voir article précédent). Elle ne se limite pas à l'Angleterre, elle fait le tour de la Terre. Une autre grille, souvent parallèle à la précédente, inclut une multitude de dômes secondaires, au total 1746 dômes qui sont devenus des lieux potentiels de menhirs, de centres mégalithiques ou de temples. Chaque dôme était porteur des codes de lumière nécessaires pour créer la vie.
Les grilles évoluent
Ainsi, les flux vitaux de la terre sont répartis selon un système de grilles géométriques multidimensionnelles dont la structure repose sur une combinaison de polyèdres inscrits dans la sphère terrestre, les solides de Platon et leur dérivés fractals.
Toutefois, ces géométries ne sont pas immuables. Les grilles sont vivantes et comme tout être vivant, elles respirent et évoluent. Leur évolution est liée à l'évolution de la terre et de l'humanité. Selon Levinton, chaque changement majeur dans l'évolution de la vie biologique et humaine a été accompagné d'un changement de la structure des grilles, par exemple au moment de l'apparition de l'homme sur Terre. Selon d'autres auteurs, d'importantes modifications des grilles ont marqué le début de l'expérience humaine de la dualité, c'est-à-dire la coupure de l'homme avec son être divin intérieur et avec les hiérarchies célestes (voir Le sens de la vie).
Or nous voilà à nouveau confrontés à de fortes modifications des grilles qui ont des répercussions troublantes sur nos corps et nos esprits, ainsi que sur la géologie. Nous approfondirons cet aspect dans la troisième partie de cette série, en tentant de répondre aux questions: qui a mis en place ces réseaux et ces centres sacrés et dans quel but?
Les 5 polyèdres réguliers de Platon sont connus en géométrie comme étant les seuls polyèdres réguliers convexes. On dit qu'un polyèdre est régulier lorsque ses faces sont régulières et égales et ses angles égaux. Convexe signifie qu'ils n'ont pas de creux, à l'inverse d'un polyèdre étoilé. Ces polyèdres sont inscriptibles dans une sphère.
Les 5 solides de Platon sont l'icosaèdre, l'octaèdre et le tétraèdre, qui sont faits de triangles, le dodécaèdre fait de pentagones, et le cube, fait de carrés.
Le cube et et l'octaèdre
Le cube existe dans le dodécaèdre lui-même, si on met en évidence certains de ses sommets. Comme le remarque David Wilcock, la grille de Cathie révèle ce cube de façon évidente. Au cours du temps, le cube de la grille terrestre a pu être préexistant puis englobé par le dodécaèdre, ou l'inverse, il s'est démarqué du dodécaèdre.
Dans la grille de Cathie, on détecte aussi l'octaèdre, fait de 8 triangles équilatéraux.
Le tétraèdre
Reste le tétraèdre, un polyèdre à 4 faces triangulaires, qu'on peut aussi décrire comme une pyramide à 3 côtés. Est-il visible sur la Terre?
La Terre étant pourvue d'un axe de rotation, l'axe du tétraèdre devra être confondu avec l'axe de rotation. L'un des sommets du tétraèdre se trouve donc sur un des pôles, soit au nord ou soit sud. Il s'ensuit que le triangle de base aura ses trois sommets dans le plan d'un parallèle, équidistants de 360/3 = 120° (voir figure).
À quelle latitude se trouve ce parallèle? Si on prend pour mesure du côté du tétraèdre la valeur 1, sa hauteur, le segment qui joint le sommet à la base sera 0,8165 (√6/3), ce qui place la base à la latitude de 19,47° dans le système décimal des degrés, ou 19° 28' dans le système des degrés, minutes et secondes (sexagésimal).
Comme les 2 pôles sont géométriquement équivalents, on peut s'attendre à trouver 2 tétraèdres, l'un pointé vers le haut, l'autre vers le bas. C'est un double tétraèdre, une figure mise en évidence par Johannes Kepler en 1609 qu'il a nommée Stella Octangula, en français octangle étoilé. On la nomme parfois tétraèdre étoilé. Sa correspondance à deux dimensions (sur une surface) est l'étoile de David. Avant Kepler, elle a été décrite dans la Proportion Divine de Luca Pacioli, en 1509.
Le tétraèdre de Hoagland et les volcans d'Hawaï
Sur la Terre, où sont situés ces sommets à la latitude de 19° 47'? Cette recherche a été menée dans les années 1990 par David Percy, un producteur de cinéma et de télévision britannique qui a aussi reçu la charge de directeur européen des opérations pour la mission Mars. C'est lui qui a suggéré l'existence d'un tétraèdre régulier inscrit dans la Terre, dont un sommet est situé au pôle sud et les autres sommets répartis à 120° à la latitude 19,5°. Richard Hoagland, un ex-conseiller en matière aérospatiale pour la NASA, semble avoir repris ces données à la faveur d'une conférence faite à l'ONU en 1992. Les analyses de ces 2 chercheurs portent en premier lieu sur la planète Mars et sur d'autres planètes (voir article Les sons, créateur de formes).
En ce qui concerne la Terre, beaucoup de sites sacrés d'anciennes civilisations sont localisés autour de 19,5° Nord ou Sud de l'équateur de la Terre: par exemple le complexe de Teotihuacan au Mexique. Le parallèle 19,5° sud traverse les océans, tandis que le parallèle 19,5° nord traverse plusieurs continents. C'est sur ce dernier que Hoagland localise un sommet du tétraèdre sur la grande ile d'Hawaï. Sur cette ile, déjà rencontrée avec Sanderson (point 16 de la grille B-H) se trouvent les volcans parmi les plus actifs sur la terre, tel le Mauna Kea situé à la latitude 19° 30' Nord et la longitude 155° Ouest.
Le tétraèdre de Carl Munck et la grande pyramide de Guizeh
Carl Munck (dans son livre The Code, 1997) propose un autre tétraèdre également ancré au pôle sud. Un des sommets de la base est localisé sur le Nil à la longitude 31° est. Il est inséré dans une bande longitudinale nord - sud d'une largeur de 1° à l'intérieur de laquelle sont situées toutes les pyramides d'Égypte. Le Nil est lui aussi contenu à l'intérieur de cette bande. La grande pyramide y est située à la latitude 30° Nord. La latitude 19° se trouve plus bas, au Soudan.
Selon Carl Munck, les coordonnées géodésiques des monuments antiques sont inscrites sous forme codée dans le monument lui-même. Le code est assez complexe et ses règles semblent la résurgence d'une science ancienne, la guématrie, dont les formes les plus élaborées ont été perdues et restent à redécouvrir.
Selon ce décodage, les longitudes sont fixées par rapport à un méridien zéro qui n'était pas celui de Greenwich comme aujourd'hui, mais un méridien qui traverse la grande pyramide de Guizeh. Les longitudes anciennes sont déduites des longitudes actuelles en enlevant 31°.
La grande pyramide était considérée comme le point central de la terre. Géographiquement, si on trace des grands cercles passant par elle, et orientés dans n'importe quelle direction, ils traversent plus de terres qu'on ne peut le faire en aucun autre endroit. C'est le centre de gravité des terres émergées. Énergétiquement, le lieu concentre de grands flux d'énergie terrestre. Selon W. Becker, la grande pyramide est construite sur un point d'énergie très puissant où se croisent les lignes du tétraèdre, du cube, de l'octaèdre, du dodécaèdre et de l'icosaèdre.
Les pyramides du Yucatan
En nous déplaçant de 120° vers l'ouest, on arrive à la longitude 89° ouest. Si vous examinez ce lieu (c'est facile avec Google Earth où vous indiquez ses coordonnées 19° 30' N 89° W dans le cadre de recherche), vous tombez en pleine forêt de la péninsule du Yucatan au Mexique. Légèrement plus au sud, dans le Guatemala, se trouve le complexe de Tikal et ses pyramides. Au nord, nombreuses sont les pyramides implantées dans toute la région.
Sur le même méridien de longitude 89° ouest, on trouve une pyramide peu connue immergée dans le lac de Rock Lake. Sur ce lac situé au Nord (43°N) dans le Wisconsin (États-Unis), on a rapporté d'étranges phénomènes de distorsion de perception.
Les iles Mariannes
Carl Munck n'indique pas quel est le troisième point. Mais avec nos puissants moyens techniques actuels tel que Google Earth, il est facile de le localiser. Nous déplaçant de 120° vers l'ouest, nous arrivons à la longitude 151° est. On tombe très près de l'archipel des iles Mariannes au sud du Japon dans l'océan pacifique.
Cet archipel est constitué d'un chapelet de sommets émergents d'une longue chaine de montagnes sous-marines qui s'étire sur 2519 km entre l'ile de Guam et le Japon. Cette chaine, située sur la ceinture de feu volcanique de l'océan comporte une quinzaine de volcans. Elle borde la fosse océanique des Mariannes, où l'on trouve le point le plus profond de la planète (10 916 mètres). C'est une zone de subduction à la frontière de deux plaques tectoniques. Son orientation est à peu près nord - sud, dans le prolongement de la fosse du Japon.
On a donc là aussi une bande verticale qui complète les deux bandes de Guizeh et du Yucatan repérées par Carl Munck. Ces 3 bandes sont les émanations énergétiques des 3 pointes du tétraèdre.
Le tétraèdre de David Barr
Il est intéressant de signaler que l'idée du tétraèdre terrestre a inspiré un sculpteur et professeur des beaux arts américain, David Barr, qui en a installé un en grandeur nature comme œuvre d'art symbolique entre 1976 et 1985. Nommée The Four Corners Project (voir la vidéo de présentation), sa réalisation consiste en un tétraèdre imaginaire se déployant dans la terre, dont les 4 sommets affleurent à la surface et y sont matérialisés par une sculpture. La sculpture est un petit tétraèdre en marbre enfoncé dans la terre, affleurant comme une plante qui sort de terre. Un premier coin a été choisi symboliquement à l'île de Pâques au large du Chili (27° 6' S 109° 25' W). Les 3 autres, déterminés par un calcul de John Nystuen, sont dans le désert du Kalahari en Afrique (27° 30' S 24° 6' E), le Groenland (72° 38' N 41° 55' W), et la Nouvelle Guinée (2° 6' S 137° 23' E).
La synthèse de ces informations de sources diverses nous met en face de plusieurs systèmes de flux énergétiques de la terre. D'un côté les repérages d'anomalies géomagnétiques ont abouti à la mise en évidence du polyèdre 120 avec ses 62 points et ses triangles. Les lignes y sont représentées au premier abord comme des tracés géométriques entre les sommets, non comme des flux énergétiques, bien qu'elles en soient probablement, comme nous le suggère l'existence des lignes de leys un peu partout sur terre. D'un autre côté, les mesures expérimentales en radiesthésie mettent en évidence des faisceaux de lignes et des quadrillages de flux énergétiques qui recouvrent toute la planète.
De ces constatations, des questions peuvent venir à l'esprit. Le réseau de l'or double ressemble fort à la grille de Sanderson et à celle de Becker-Hagens tout en étant différent. Y a-t-il un rapport entre eux et lequel? Pourquoi certains points de la grille géométrique de Becker-Hagens semblent être décalés par rapport à un lieu sacré proche? Je vais tenter de donner des réponses à ces questions dans la mesure où cela pourra ouvrir nos esprits à la réalité de ces grilles.
Toutefois, je ne vais pas chercher à répondre par des données techniques précises qui demanderaient des investigations longues et inutiles. Le but de cet article est de sensibiliser à l'existence et au fonctionnement de la grille, même si on ne sait pas parfaitement comment elle est constituée. Un peu comme vous pouvez bénéficier d'un ordinateur sans savoir exactement sa structure interne. Je reste fixé sur mon objectif qui consiste à comprendre ce que nous sommes et comment nous sommes reliés à l'univers.
Voici donc encore quelques notions qui rendent compte de la complexité des grilles. Il n'y a pas une seule grille, mais plusieurs qui sont superposées et connectées; elles ne suivent pas une géométrie stricte comme un dessin d'ordinateur; elles sont vivantes, mouvantes et adaptables.
Une géométrie adaptable au terrain
La représentation de la grille sous forme d'une géométrie parfaite ne correspond pas exactement à la réalité du terrain. Sur le terrain, les lignes ne suivent pas des tracés rigoureusement droits et les croisements ne sont pas situés exactement aux sommets de polyèdres parfaits. Mais cela n'infirme pas le modèle géométrique.
Le modèle est le principe créateur, le concept, qui s'adapte au terrain et peut subir des adaptations, des déformations. C'est comparable à la fabrication d'un grillage en fil de fer avec des carreaux parfaits, qui est déformé lorsqu'on l'utilise comme clôture sur un terrain inégal. Ou encore à une tente de camping qui est conçue en usine comme un dôme parfait avec ses armatures en arc de cercle, mais qui, une fois montée sur le terrain, s'avère distordue par des inégalités de terrain et par la façon dont on a tendu les cordes d'amarrage.
De même, les mailles d'un réseau polygonal ne sont pas forcément régulières. Leurs dimensions varient, ainsi que l'épaisseur des murs. Ainsi l'épaisseur des murs du réseau du nickel peut atteindre 39 cm. Lorsqu'on dit que le réseau est orienté Nord-Sud, il s'agit donc d'une orientation moyenne, globale qui subit des variations locales. Les lignes peuvent être sinueuses et non rectilignes.
Ces variations locales sont dues à la qualité du sol et du sous-sol ainsi qu'aux constructions qui ont été implantées. Les flux sont de nature électrique et magnétique, donc influencés par toute présence de charges électriques statiques ou en mouvement, en provenance de la terre ou du ciel, y compris l'influence des taches solaires. Ils sont sensibles aux tensions tectoniques locales, aux mouvements souterrains du magma, à la présence de métaux dans le sous-sol, ou à celle de quartz, un minéral abondant dans la terre qui présente des propriétés piezzoélectriques (voir article Cristaux et géométrie cristalline).
Les constructions métalliques modernes placées sans tenir compte de ces flux les modifient de façon souvent défavorable à l'harmonie du lieu, on peut dire qu'elles le polluent. Inversement, les constructions mégalithiques anciennes, bâties pour contrôler ces flux, les déplaçaient parfois volontairement afin qu'ils fonctionnent selon une technologie précise.
Les niveaux multidimensionnels des grilles
Notre découverte des résilles de métaux illustre le fait que plusieurs réseaux, plusieurs grilles coexistent et s'interpénètrent. Chacune porte une énergie différente et a donc une fonction spécifique.
Il y a des grandes grilles qui sont les conduits vitaux principaux de la terre. Ces grandes mailles sont divisées en mailles plus petites, elles-mêmes sous-divisées en mailles encore plus petites dessinant un treillis plus fin. Il y a des grilles dans des grilles, selon une hiérarchie d'échelle qu'on peut qualifier de fractale (voir article Images fractales).
On peut comparer cette imbrication de réseaux aux réseaux vitaux du corps humain. Le système sanguin est fortement couplé au réseau respiratoire, au système lymphatique et au système nerveux, par exemple. Il est lui-même constitué de gros vaisseaux principaux, qui se ramifient en vaisseaux plus fins, et encore jusqu'aux vaisseaux capillaires extrêmement fins.
Par ailleurs, le corps humain est fait de la superposition d'au moins 5 corps énergétiques de niveaux vibratoires différents: corps physique, vital, émotionnel, mental et spirituel (voir article Chakras et corps subtils). Il en est de même pour la Terre. Elle a ses propres corps énergétiques. Ainsi la comparaison entre le corps humain et le corps de la Terre n'est pas qu'une image commode. Il est une réalité: corps humain et corps terrestre sont constitués selon des structures semblables. Chacun des corps de la Terre est parcouru de son propre système circulatoire: c'est une grille.
La superposition multidimensionnelle des grilles a par exemple été décrite par Richard Leviton (Leys lines and the meaning of Adam). Selon sa vision, une certaine forme de structure énergétique s'est mise en place dans les premiers temps de l'existence de la Terre, en relation avec l'apparition de la vie biologique. La structure d'origine était faite de lignes droites reliant des vortex énergétiques en forme de dômes posés à la surface de la terre. Ces lignes étaient doubles, l'une portant la vibration de l'or et l'autre celle de l'argent. Ces lignes montaient aussi verticalement d'une certaine façon pour se rejoindre en un point particulier de la Terre, son nombril en quelque sorte. Ce nombril pourrait être Avebury en Angleterre. Il est intéressant de remarquer que d'autres lieux sur la planète ont été nommés nombril, comme Delphes en Grèce ou Cuzco au Pérou.
Levinton distingue 4 grilles de niveaux vibratoires différents, correspondant aux corps énergétiques de la Terre, localisées en surface ou dans l'atmosphère, jusqu'à environ 3 km d'altitude. L'une d'elle est faite de 15 grands cercles entourant la terre au-dessus de sa surface, déterminant 62 points de croisement et 120 triangles. La ligne de ley St-Michael en Angleterre en fait partie (voir article précédent). Elle ne se limite pas à l'Angleterre, elle fait le tour de la Terre. Une autre grille, souvent parallèle à la précédente, inclut une multitude de dômes secondaires, au total 1746 dômes qui sont devenus des lieux potentiels de menhirs, de centres mégalithiques ou de temples. Chaque dôme était porteur des codes de lumière nécessaires pour créer la vie.
Les grilles évoluent
Ainsi, les flux vitaux de la terre sont répartis selon un système de grilles géométriques multidimensionnelles dont la structure repose sur une combinaison de polyèdres inscrits dans la sphère terrestre, les solides de Platon et leur dérivés fractals.
Toutefois, ces géométries ne sont pas immuables. Les grilles sont vivantes et comme tout être vivant, elles respirent et évoluent. Leur évolution est liée à l'évolution de la terre et de l'humanité. Selon Levinton, chaque changement majeur dans l'évolution de la vie biologique et humaine a été accompagné d'un changement de la structure des grilles, par exemple au moment de l'apparition de l'homme sur Terre. Selon d'autres auteurs, d'importantes modifications des grilles ont marqué le début de l'expérience humaine de la dualité, c'est-à-dire la coupure de l'homme avec son être divin intérieur et avec les hiérarchies célestes (voir Le sens de la vie).
Or nous voilà à nouveau confrontés à de fortes modifications des grilles qui ont des répercussions troublantes sur nos corps et nos esprits, ainsi que sur la géologie. Nous approfondirons cet aspect dans la troisième partie de cette série, en tentant de répondre aux questions: qui a mis en place ces réseaux et ces centres sacrés et dans quel but?
Les 5 polyèdres réguliers sont inscrits dans la Terre
Les 5 polyèdres réguliers de Platon sont connus en géométrie comme étant les seuls polyèdres réguliers convexes. On dit qu'un polyèdre est régulier lorsque ses faces sont régulières et égales et ses angles égaux. Convexe signifie qu'ils n'ont pas de creux, à l'inverse d'un polyèdre étoilé. Ces polyèdres sont inscriptibles dans une sphère.
Les 5 solides de Platon sont l'icosaèdre, l'octaèdre et le tétraèdre, qui sont faits de triangles, le dodécaèdre fait de pentagones, et le cube, fait de carrés.
Le cube et et l'octaèdre
Le cube existe dans le dodécaèdre lui-même, si on met en évidence certains de ses sommets. Comme le remarque David Wilcock, la grille de Cathie révèle ce cube de façon évidente. Au cours du temps, le cube de la grille terrestre a pu être préexistant puis englobé par le dodécaèdre, ou l'inverse, il s'est démarqué du dodécaèdre.
Dans la grille de Cathie, on détecte aussi l'octaèdre, fait de 8 triangles équilatéraux.
Un cube (rouge) inscrit dans le dodécaèdre (bleu) | Grille de Bruce Cathie | Octaèdre régulier |
Le tétraèdre
Reste le tétraèdre, un polyèdre à 4 faces triangulaires, qu'on peut aussi décrire comme une pyramide à 3 côtés. Est-il visible sur la Terre?
La Terre étant pourvue d'un axe de rotation, l'axe du tétraèdre devra être confondu avec l'axe de rotation. L'un des sommets du tétraèdre se trouve donc sur un des pôles, soit au nord ou soit sud. Il s'ensuit que le triangle de base aura ses trois sommets dans le plan d'un parallèle, équidistants de 360/3 = 120° (voir figure).
À quelle latitude se trouve ce parallèle? Si on prend pour mesure du côté du tétraèdre la valeur 1, sa hauteur, le segment qui joint le sommet à la base sera 0,8165 (√6/3), ce qui place la base à la latitude de 19,47° dans le système décimal des degrés, ou 19° 28' dans le système des degrés, minutes et secondes (sexagésimal).
Tétraèdre | Les 2 tétraèdres ont un sommet au pôle et les 3 autres sur les parallèles de latitude 19,47° au nord et et sud | Double tétraèdre ou octangle étoilé |
Comme les 2 pôles sont géométriquement équivalents, on peut s'attendre à trouver 2 tétraèdres, l'un pointé vers le haut, l'autre vers le bas. C'est un double tétraèdre, une figure mise en évidence par Johannes Kepler en 1609 qu'il a nommée Stella Octangula, en français octangle étoilé. On la nomme parfois tétraèdre étoilé. Sa correspondance à deux dimensions (sur une surface) est l'étoile de David. Avant Kepler, elle a été décrite dans la Proportion Divine de Luca Pacioli, en 1509.
Le tétraèdre de Hoagland et les volcans d'Hawaï
Sur la Terre, où sont situés ces sommets à la latitude de 19° 47'? Cette recherche a été menée dans les années 1990 par David Percy, un producteur de cinéma et de télévision britannique qui a aussi reçu la charge de directeur européen des opérations pour la mission Mars. C'est lui qui a suggéré l'existence d'un tétraèdre régulier inscrit dans la Terre, dont un sommet est situé au pôle sud et les autres sommets répartis à 120° à la latitude 19,5°. Richard Hoagland, un ex-conseiller en matière aérospatiale pour la NASA, semble avoir repris ces données à la faveur d'une conférence faite à l'ONU en 1992. Les analyses de ces 2 chercheurs portent en premier lieu sur la planète Mars et sur d'autres planètes (voir article Les sons, créateur de formes).
En ce qui concerne la Terre, beaucoup de sites sacrés d'anciennes civilisations sont localisés autour de 19,5° Nord ou Sud de l'équateur de la Terre: par exemple le complexe de Teotihuacan au Mexique. Le parallèle 19,5° sud traverse les océans, tandis que le parallèle 19,5° nord traverse plusieurs continents. C'est sur ce dernier que Hoagland localise un sommet du tétraèdre sur la grande ile d'Hawaï. Sur cette ile, déjà rencontrée avec Sanderson (point 16 de la grille B-H) se trouvent les volcans parmi les plus actifs sur la terre, tel le Mauna Kea situé à la latitude 19° 30' Nord et la longitude 155° Ouest.
Le tétraèdre de Carl Munck et la grande pyramide de Guizeh
Carl Munck (dans son livre The Code, 1997) propose un autre tétraèdre également ancré au pôle sud. Un des sommets de la base est localisé sur le Nil à la longitude 31° est. Il est inséré dans une bande longitudinale nord - sud d'une largeur de 1° à l'intérieur de laquelle sont situées toutes les pyramides d'Égypte. Le Nil est lui aussi contenu à l'intérieur de cette bande. La grande pyramide y est située à la latitude 30° Nord. La latitude 19° se trouve plus bas, au Soudan.
Le tétraèdre inscrit dans la Terre selon Carl Munck | Vallée du Nil et pyramides | Péninsule du Yucatan et Rock Lake |
Selon Carl Munck, les coordonnées géodésiques des monuments antiques sont inscrites sous forme codée dans le monument lui-même. Le code est assez complexe et ses règles semblent la résurgence d'une science ancienne, la guématrie, dont les formes les plus élaborées ont été perdues et restent à redécouvrir.
Selon ce décodage, les longitudes sont fixées par rapport à un méridien zéro qui n'était pas celui de Greenwich comme aujourd'hui, mais un méridien qui traverse la grande pyramide de Guizeh. Les longitudes anciennes sont déduites des longitudes actuelles en enlevant 31°.
La grande pyramide était considérée comme le point central de la terre. Géographiquement, si on trace des grands cercles passant par elle, et orientés dans n'importe quelle direction, ils traversent plus de terres qu'on ne peut le faire en aucun autre endroit. C'est le centre de gravité des terres émergées. Énergétiquement, le lieu concentre de grands flux d'énergie terrestre. Selon W. Becker, la grande pyramide est construite sur un point d'énergie très puissant où se croisent les lignes du tétraèdre, du cube, de l'octaèdre, du dodécaèdre et de l'icosaèdre.
Les pyramides du Yucatan
En nous déplaçant de 120° vers l'ouest, on arrive à la longitude 89° ouest. Si vous examinez ce lieu (c'est facile avec Google Earth où vous indiquez ses coordonnées 19° 30' N 89° W dans le cadre de recherche), vous tombez en pleine forêt de la péninsule du Yucatan au Mexique. Légèrement plus au sud, dans le Guatemala, se trouve le complexe de Tikal et ses pyramides. Au nord, nombreuses sont les pyramides implantées dans toute la région.
Sur le même méridien de longitude 89° ouest, on trouve une pyramide peu connue immergée dans le lac de Rock Lake. Sur ce lac situé au Nord (43°N) dans le Wisconsin (États-Unis), on a rapporté d'étranges phénomènes de distorsion de perception.
Les iles Mariannes
Carl Munck n'indique pas quel est le troisième point. Mais avec nos puissants moyens techniques actuels tel que Google Earth, il est facile de le localiser. Nous déplaçant de 120° vers l'ouest, nous arrivons à la longitude 151° est. On tombe très près de l'archipel des iles Mariannes au sud du Japon dans l'océan pacifique.
Cet archipel est constitué d'un chapelet de sommets émergents d'une longue chaine de montagnes sous-marines qui s'étire sur 2519 km entre l'ile de Guam et le Japon. Cette chaine, située sur la ceinture de feu volcanique de l'océan comporte une quinzaine de volcans. Elle borde la fosse océanique des Mariannes, où l'on trouve le point le plus profond de la planète (10 916 mètres). C'est une zone de subduction à la frontière de deux plaques tectoniques. Son orientation est à peu près nord - sud, dans le prolongement de la fosse du Japon.
On a donc là aussi une bande verticale qui complète les deux bandes de Guizeh et du Yucatan repérées par Carl Munck. Ces 3 bandes sont les émanations énergétiques des 3 pointes du tétraèdre.
Le tétraèdre de David Barr
Il est intéressant de signaler que l'idée du tétraèdre terrestre a inspiré un sculpteur et professeur des beaux arts américain, David Barr, qui en a installé un en grandeur nature comme œuvre d'art symbolique entre 1976 et 1985. Nommée The Four Corners Project (voir la vidéo de présentation), sa réalisation consiste en un tétraèdre imaginaire se déployant dans la terre, dont les 4 sommets affleurent à la surface et y sont matérialisés par une sculpture. La sculpture est un petit tétraèdre en marbre enfoncé dans la terre, affleurant comme une plante qui sort de terre. Un premier coin a été choisi symboliquement à l'île de Pâques au large du Chili (27° 6' S 109° 25' W). Les 3 autres, déterminés par un calcul de John Nystuen, sont dans le désert du Kalahari en Afrique (27° 30' S 24° 6' E), le Groenland (72° 38' N 41° 55' W), et la Nouvelle Guinée (2° 6' S 137° 23' E).
Re: Le système de circuits vitaux de la Terre
les lignes energetiques de la terre sont gérées par la lune
odin- Religion : odinisme
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Localisation : normandie
Re: Le système de circuits vitaux de la Terre
toutes les pyramides ont été construites par les differentes reincarnations de l'âme originelle des humains
odin- Religion : odinisme
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Localisation : normandie
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