Le Coran est l’œuvre des nazaréens
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Le Coran est l’œuvre des nazaréens
Le Coran est l’œuvre des nazaréens
Des thèses, largement vérifiées, de Bardet, Théry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme
(thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel : « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.
La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.
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Des thèses, largement vérifiées, de Bardet, Théry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme
(thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel : « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.
Waraqa ibn Nawfal est le cousin de Khadija, première épouse de Mahomet. Waraqa était selon certaines sources un prêtre converti au christianisme nestorien, prêcheur à la Mecque, qui y mourut en chrétien nestorien.
Date de décès : 1 janvier 610 ap. J.-C.
La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
HADITHS AUTHENTIQUES ATTESTENT :
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Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :
(...)
(Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».
(Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle .... ».
(...)
Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet.
En effet, Bukhari disait ceci : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.
La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! + Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».En effet, Bukhari disait ceci : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.
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Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
(...)
Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfal) qui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».
Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.
Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».
Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».
(Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréisme, et devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.
Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
(...)
Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».
Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
DES SOURCES HISTORIQUES ATTESTENT :
Ibn Sa’d est un biographe qui vivait à Bagdad au neuvième siècle. Il fut secrétaire de Waqidi. Sa réputation de fiabilité et de précision lui valut d’être très souvent cité dans les siècles suivants. Il indique :
(…)
Abdallah Mahomet ibn Sa’d ibn Mani al-Zuhri, Kitâb al-tabaqât al-kubra (Le livre des hautes classes), comme Ibn Hichâm , al-Sîrâ al-Nabawîya (Biographie du Prophète), quatre nazaréens dans l’entourage immédiat de Mahomet. L’un d'eux était Waraqa, les autres sont :
- Ubayd Allah ibn Jahch ibn Umayma. (un petit fils d’Abd al-Muttalib, l’oncle de Mahomet.)
- ‘Uthmân ibn al-Huwayrith (un cousin germain de Mahomet.)
- Zayd ibn ‘Amr ibn Nafîl (dont Mahomet disait : + A lui seul, il vaut une nation +).
- ‘Uthmân ibn al-Huwayrith (un cousin germain de Mahomet.)
- Zayd ibn ‘Amr ibn Nafîl (dont Mahomet disait : + A lui seul, il vaut une nation +).
(...)
Dans sa Lettre 112 à Saint Augustin, Saint Jérôme écrit ceci sur la secte de ces Nazaréens :
« Jusqu’aujourd’hui, dans toutes les synagogues de l’Orient, il y a chez les Juifs une secte (...) qui est jusqu’ici condamnée par les Pharisiens; on les appelle vulgairement Nazaréens; ils croient au Christ, fils de Dieu, né de la Vierge Marie, et ils disent que c’est celui qui, sous Ponce Pilate a souffert et est ressuscité; en lui nous aussi nous croyons; mais tandis qu’ils veulent tout ensemble être Juifs et chrétiens, ils ne sont ni Juifs ni chrétiens ».
D'autres sources arabes parlent aussi du moine nazaréen, Nastûrâ / Nastûr rencontré à Bosra (Syrie du sud) par Mahomet et qui aurait reconnu celui-ci comme prophète.
Et Théophane (avant 82
2) écrit ceci dans sa chronique : « Chaque fois qu'il venait en Palestine, il (Mahomet) fréquentait avec les juifs et les chrétiens et obtint d'eux certains matériaux scripturaires ».
Jean Damascène (vers 650-750) a raconté également ceci : « Muhammad était tombé par hasard sur l'Ancien et le Nouveau Testaments et même, paraît-il, après avoir conversé avec un moine arien».
Des sources syriaques appellent ce moine nazaréen, Sergius Bahîrâ (Baeira / Pakhyras).
Dans le Coran, l'influence nazaréenne, se voit dans l''interdiction de boire du vin. En effet les Nazaréens ne buvaient pas de vin, se référant à cette parole de Jésus : (Matthieu 26,29) :
« Pendant qu'ils mangeaient, Jésus prit le pain et prononça la prière de bénédiction, puis, il le rompit et le donna à ses disciples en disant : + Prenez, mangez, ceci est mon corps + Il prit ensuite une coupe et remercia Dieu, puis, il la leur donna en disant : + Buvez-en tous, car ceci est l'alliance nouvelle, alliance qui est versée pour beaucoup pour le pardon des péchés +. Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père ».
Dans son livre, le « Traité des hérésies » de Jean Damascène (Mansour Ibn Sarjoun, Arabe chrétien de Damas, 676-749), on lit ceci (vers 746) :
« Il (Mahomet) dit qu’il y a un seul Dieu, créateur de toutes choses, qu’Il n’a pas été engendré et qu’Il n’a pas engendré. Selon ses dires, le Christ est le Verbe de Dieu et son Esprit, mais il est crée et il est un serviteur ; il est né sans semence de Marie, la sœur de Moïse et d’Aaron. En effet dit-il, le Verbe et l’Esprit de Dieu sont entré en Marie et ont engendré Jésus, qui fut un prophète et un serviteur de Dieu. Et, selon lui, les juifs, au mépris de la Loi, voulurent le mettre en croix, et, après s’être emparés de lui, ils n’ont crucifié que son ombre. Le Christ lui – même, dit-il, ne subit ni la croix ni la mort. En effet Dieu l’a pris près de lui dans le ciel, parce qu’Il l’aimait. Et il dit également, qu’une fois le Christ monté aux cieux, Dieu l’a interrogé en disant ? : + Jésus ! as-tu dis : je suis le fils de Dieu et Dieu ? + Jésus d’après lui, a répondu : + Sois miséricordieux envers moi, Seigneur ! Tu sais que je n’ai pas dit cela et que je ne dédaigne d’être ton serviteur. Mais les hommes mauvais ont écrit que j’avais fait cette déclaration ; ils ont menti à mon égard, et ils sont dans l’erreur +. Dieu, dit il, lui a répondu : + Je sais que tu n’as pas fait cette déclaration + (...). Ils nous appellent + associateurs + parce que, disent-ils, nous introduisons à côté de Dieu un associé lorsque nous disons que le Christ est le fils de Dieu et Dieu ».
Le manuscrit arménien du « Vardabed Ghévond (vers 771) » nous transcrit la lettre de Omar II, (Umar ben Abd al-Aziz, 8ème calife Omeyade) à l'empereur byzantin Léon III l'Isaurien (717-741) :
« ... Pourquoi ne trouve-t-on, dans le Code mosaïque, aucune indication à propos du paradis ou de l’enfer, ou de la résurrection et du jugement ? Ce sont les évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean, qui en ont parlé selon leur talent. N’est-il pas vrai que Jésus, en parlant dans l’évangile de la mission du Paraclet ou Consolateur à venir, indiquait la mission de notre Mahomet ? Pour quelle raison les peuples chrétiens se sont-ils, après la mort des disciples de Jésus, partagés en soixante douze races (sectes) ? Pourquoi ont-ils fait de Jésus l’associé et l’égal du Dieu unique et tout puissant, en professant trois Dieux, et en changeant arbitrairement toutes les lois, comme celle de la circoncision en baptême, celle du sacrifice en eucharistie, celle du samedi en dimanche ? Est-il possible que Dieu ait habité dans la chair et dans le sang, et dans les entrailles souillées d’une femme ? ».
La (Sourate 4,171) du Coran confirme le rejet de la divinité de Jésus par les Musulmans :
« Ô gens du Livre (Chrétiens), n'exagérez pas dans votre religion, et ne dites d'Allah que la vérité. Le Messie Jésus, fils de Marie, n'est qu'un Messager d'Allah, Sa parole qu'Il envoya à Marie, et un souffle de vie venant de Lui. Croyez donc en Allah et en Ses messagers. Et ne dites pas 'Trinité'. Cessez ! Ce sera meilleur pour vous. Allah n'est qu'un Dieu unique. Il est trop glorieux pour avoir un enfant. C'est à Lui qu'appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre et Allah suffit comme protecteur ».
Bien que n'étant pas Dieu, Jésus était cependant reconnu comme Messie par les Musulmans. Des sources contemporaines à Mahomet (datant de vers 626) indiquent que celui-ci se prenait pour un prophète et qu'il annonçait la redescente du Messie Jésus. Hors, les Judéo-Chrétiens Nazaréens semblaient attendre eux aussi le retour de Jésus.
Dans la Chronographie de Théophane, il est écrit (pour l'année 622) : « Les juifs se sont attachés à Mahomet parce qu’ils le tenaient pour un de leurs prophètes ».
Jacques d’Edesse (633-708) écrivait : « Les Mahgrayes (Musulmans) confessent tous fermement qu’il (Jésus) est le vrai Messie qui devait venir et qui fut prédit par les Prophètes ; sur ce point, il n’y a pas de dispute avec nous ».
Dans la chronique arménienne Doctrina Jacobi / Didascalie de Jacob V,16,209 (datant de vers 634- 640), le Juif Abraham de Césarée racontait ceci :
« On disait que le prophète (Mahomet) était apparu, venant avec les Saracènes (Arabes), et qu’il proclamait la venue du Messie qui allait venir. Étant arrivé à Sykamine, je m’arrêtai chez un vieil homme bien versé dans les écritures et lui dis : + Que me dis-tu, du prophète apparu avec les Saracènes ? + Il me répondit dans un profond soupir : + Il est faux car les prophètes ne viennent pas armés avec épée et char de guerre.+ ... Et moi, Abraamès, ayant poussé l’enquête, j’appris de ceux qui l’avaient rencontré, qu’on ne trouve rien d’authentique dans ce prétendu prophète : Il n’est question que d’effusion du sang des hommes. Il dit aussi qu’il détient les clés du Paradis, ce qui est incroyable ».
Cette croyance de Mahomet, en la descente prochaine de Jésus, est confirmée par un hadith de Bukhari et Muslim :
« Selon Abu Hourayra, le Prophète a dit : + Par Celui qui tient mon âme en sa main, la descente de Jésus fils de Marie est imminente ; il sera pour vous un arbitre juste (…) il mettra fin à la guerre et il prodiguera des biens tels que personne n’en voudra plus. En ce moment, une seule prosternation sera meilleure que le monde et son contenu + ».
L'historien byzantin Théophane (vers 758/760-817/818) prétendait d'ailleurs que l'islam trouvait son origine chez des « Juifs qui prennent Mahomet pour leur Christ tant attendu ». Cependant l'alliance entre les Arabes et les Judéo-Chrétiens (ou nazaréens) ne durera pas et les deux peuples finiront par se séparer, à la fois politiquement et religieusement.
Ainsi Théophane (avant 822) écrit ceci sur Mahomet, dans sa chronique :
« En cette année mourut Muhammad, le leader et le faux prophète des Sarrasins, après la nomination de son parent Aboubacharos à sa chefferie. Dans le même temps sa renommée se répandit et tout le monde avait peur. Au début de son avènement, les Juifs égarés croyaient qu'il était le Messie qui est attendu par eux, de sorte que certains de leurs dirigeants se joignirent à lui et acceptèrent sa religion tout en délaissant celle de Moïse, qui a vu Dieu. Ceux qui l'ont fait étaient au nombre de dix, et ils sont restés avec lui jusqu'à sa mort. Mais quand ils le virent manger de la viande de chameau, ils ont réalisé qu'il n'était pas celui qu'ils croyaient, mais, ayant peur d'abjurer sa religion, ces malheureux hommes lui ont appris des choses illicites dirigées contre nous, Chrétiens, et sont restés avec lui ».
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
STRATÉGIE POLITICO-RELIGIEUSE DES NAZARÉENS
Et plutôt payant. Les deux Empires de l’époque, les Grecs byzantins et les Perses sassanides, sont épuisés par des querelles internes et par les campagnes militaires montées l’un contre l’autre. C’est d’ailleurs dans ce cadre que se comprend l’Hégire, selon l’année probable : Ceux qui quittent la Syrie en l'an 622 pour le désert n’avaient sans doute pas envie de rencontrer les armées d’Héraclius, qui commençait la reconquête de l’Est de son Empire pris huit ans plus tôt par les Perses. Les campagnes avaient alors lieu l’été, puis on se donnait rendez-vous pour l’année suivante.
En 628, les Perses finissent par être complètement battus, et l’on peut penser que certains stratèges liés aux Perses, arabes ou non, rejoignirent alors Yathrib pour se mettre au service du projet que montent les « judéo-nazaréens ». Ils choisissent alors Mahomet comme le représentant de leurs alliés arabes. Mais l’expédition de 629 est un échec, comme on l’a vu. Manifestement, certains passages du Coran témoignent du souci que l’auteur eut alors de remonter le moral des troupes, et l’un d’eux évoque clairement cet épisode (S. XXX, 1-5 selon la voyellisation correcte rétablie par Blachère).
La vision de l’Histoire et du salut qui fit l’unité entre les différents partenaires du projet. Il faut en dire un peu plus en effet. Dans cette vision, le salut n’est pas spirituel, il ne passe pas par une réforme intérieure que l’on nomme conversion. C’est un salut qui doit se réaliser au niveau de la société. Là où Jésus a parlé (rarement) de l’opposition entre les fils de ténèbres et les fils de lumière, les « judéo-nazaréens » imaginent une vision du monde où des appartenances communautaires distinguent et séparent ces deux groupes. D’un côté, il y a le Parti de Dieu, et de l’autre le reste de ceux qui, forcément, sont contre Dieu, ne serait-ce qu’à cause de leur ignorance. Cette manière de voir est toujours fondamentalement celle de l’Islam, qui ne peut concevoir le monde autrement que comme un affrontement du Dâr al-islâm, le domaine où l’Islam est instauré comme loi du pays et où les non musulmans sont soumis, et le Dâr al-harb ou domaine de la guerre c’est-à-dire les pays et institutions à conquérir puisque Dieu les a donnés aux musulmans.
Mais ce furent d’abord les judéo-nazaréens qui cultivèrent cette idéologie en nourrissant ces prétentions conformément à ce qu’on lit dans leurs livres, on l’a vu précédemment.
Le pire, c’est que tous ces gens (les judéo-nazaréens) croient sincèrement sauver le monde puisqu’ils pensent détenir la recette de son salut.
Or, l’importance d’une telle fin justifie les moyens : Que vaut la vie d’un homme, ou celle de quelques millions d’hommes, si le salut du monde est en jeu ? C’est là où se trouve la perversion totale de ces idéologies capables de transformer des hommes paisibles et pacifiques en assassins, comme on le voit toujours en de nombreux pays. Cette perversion tire sa force du christianisme. Simplement, celui-ci est contrefait. C’est le petit détail qui change tout, et qui passe parfois inaperçu du plus grand nombre (et par fois aussi de certains intellectuels).
On connaît mal les guerres que firent Mahomet et Umar au départ de Yathrib pour soumettre toutes les tribus arabes à leur portée, mais les traditions musulmanes évoquent la ruse, la férocité, les meurtres. C'est ainsi que les Arabes sont unis dans le projet de prendre Jérusalem et d’y reconstruire le Temple, qui sera « le Troisième », ainsi qu’il est annoncé dans les apocryphes messianistes des « judéo-nazaréens ». Ce qu’on appelle « le deuxième Temple » est celui qui avait suivi l’exil et qui, en fait, a été rebâti par Hérode le Grand et détruit en l'an 70 par les Romains de Titus alors même qu’il était enfin terminé.
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Et plutôt payant. Les deux Empires de l’époque, les Grecs byzantins et les Perses sassanides, sont épuisés par des querelles internes et par les campagnes militaires montées l’un contre l’autre. C’est d’ailleurs dans ce cadre que se comprend l’Hégire, selon l’année probable : Ceux qui quittent la Syrie en l'an 622 pour le désert n’avaient sans doute pas envie de rencontrer les armées d’Héraclius, qui commençait la reconquête de l’Est de son Empire pris huit ans plus tôt par les Perses. Les campagnes avaient alors lieu l’été, puis on se donnait rendez-vous pour l’année suivante.
En 628, les Perses finissent par être complètement battus, et l’on peut penser que certains stratèges liés aux Perses, arabes ou non, rejoignirent alors Yathrib pour se mettre au service du projet que montent les « judéo-nazaréens ». Ils choisissent alors Mahomet comme le représentant de leurs alliés arabes. Mais l’expédition de 629 est un échec, comme on l’a vu. Manifestement, certains passages du Coran témoignent du souci que l’auteur eut alors de remonter le moral des troupes, et l’un d’eux évoque clairement cet épisode (S. XXX, 1-5 selon la voyellisation correcte rétablie par Blachère).
La vision de l’Histoire et du salut qui fit l’unité entre les différents partenaires du projet. Il faut en dire un peu plus en effet. Dans cette vision, le salut n’est pas spirituel, il ne passe pas par une réforme intérieure que l’on nomme conversion. C’est un salut qui doit se réaliser au niveau de la société. Là où Jésus a parlé (rarement) de l’opposition entre les fils de ténèbres et les fils de lumière, les « judéo-nazaréens » imaginent une vision du monde où des appartenances communautaires distinguent et séparent ces deux groupes. D’un côté, il y a le Parti de Dieu, et de l’autre le reste de ceux qui, forcément, sont contre Dieu, ne serait-ce qu’à cause de leur ignorance. Cette manière de voir est toujours fondamentalement celle de l’Islam, qui ne peut concevoir le monde autrement que comme un affrontement du Dâr al-islâm, le domaine où l’Islam est instauré comme loi du pays et où les non musulmans sont soumis, et le Dâr al-harb ou domaine de la guerre c’est-à-dire les pays et institutions à conquérir puisque Dieu les a donnés aux musulmans.
Mais ce furent d’abord les judéo-nazaréens qui cultivèrent cette idéologie en nourrissant ces prétentions conformément à ce qu’on lit dans leurs livres, on l’a vu précédemment.
Le pire, c’est que tous ces gens (les judéo-nazaréens) croient sincèrement sauver le monde puisqu’ils pensent détenir la recette de son salut.
Or, l’importance d’une telle fin justifie les moyens : Que vaut la vie d’un homme, ou celle de quelques millions d’hommes, si le salut du monde est en jeu ? C’est là où se trouve la perversion totale de ces idéologies capables de transformer des hommes paisibles et pacifiques en assassins, comme on le voit toujours en de nombreux pays. Cette perversion tire sa force du christianisme. Simplement, celui-ci est contrefait. C’est le petit détail qui change tout, et qui passe parfois inaperçu du plus grand nombre (et par fois aussi de certains intellectuels).
On connaît mal les guerres que firent Mahomet et Umar au départ de Yathrib pour soumettre toutes les tribus arabes à leur portée, mais les traditions musulmanes évoquent la ruse, la férocité, les meurtres. C'est ainsi que les Arabes sont unis dans le projet de prendre Jérusalem et d’y reconstruire le Temple, qui sera « le Troisième », ainsi qu’il est annoncé dans les apocryphes messianistes des « judéo-nazaréens ». Ce qu’on appelle « le deuxième Temple » est celui qui avait suivi l’exil et qui, en fait, a été rebâti par Hérode le Grand et détruit en l'an 70 par les Romains de Titus alors même qu’il était enfin terminé.
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Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
CROYANCE DE LA SECTE JUIVE, LES NAZARÉENS
On voit bien à quel courant de pensée il puise ses délires destructeurs. On en a parlé précédemment, c’est à la suite de la destruction du Temple de l'an 70 que l’idéologie « judéo-nazaréene » se structura en vision cohérente du Monde et de l’Histoire, construite sous l’angle de l’affrontement des « bons » et des « méchants », les premiers devant être les instruments de la libération de la Terre. Le recoupement des données indique que c’est en Syrie, chez les « judéo-chrétiens » qui refusèrent de rentrer en Judée après l'an 70 et réinterprétèrent leur foi, que cette idéologie de salut - la première de l’Histoire - s’est explicitée.
Cette secte « judéo-nazaréene » est née dans un contexte de rupture que se situe son rapport avec le « judéo-christianisme » originel.
Les textes trouvés dans les grottes de la mer Morte contribuent fortement à cette compréhension. Il s’agissait d’un retour matériel, d’un avènement politique du Messie, non d’une Venue dans la gloire comme la foi chrétienne l’enseigne … Pour cela, il aurait fallu qu’une religion nouvelle ait été fondée, afin de conquérir Jérusalem !
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Les « judéo-nazaréens » reconnaissaient Jésus non pas comme le Fils de Dieu venu visiter son peuple, mais seulement comme le Messie suscité par Dieu. Ce n’est pas de sa faute si ce dernier n’a pu établir le Royaume de Dieu : Les Grands-Prêtres se sont opposés à lui et vont même vouloir le tuer. Mais Dieu ne pouvait permettre que son Messie fût crucifié, Il l’enlève donc à temps au Ciel, et c’est une apparence - un autre homme ou une illusion - qui est clouée sur la croix à sa place.
Divers textes apocryphes disent cela bien avant le Coran (IV, 157), et certains imaginent même que c’est Simon de Cyrène, celui qui avait aidé Jésus à porter sa croix, qui se retrouve dessus par erreur. L’important, c’est que Jésus, lui, soit gardé « en réserve » au Ciel. Mais il ne peut redescendre que lorsque le Pays sera débarrassé de la présence étrangère et que le Temple sera rebâti par les vrais croyants. Pour que le salut du monde advienne, la recette est donc évidente : Il suffira de prendre Jérusalem - qui doit devenir la capitale du monde - et de reconstruire le Temple. Le « Messie-Jésus » - une expression gardée dans le Coran que nous avons - imposera alors le Royaume de Dieu sur toute la terre. Là, on est loin des messianismes antérieurs à notre ère, qui étaient simplement nationalistes et religieux.
L'histoire de ce messianisme politique change de nature au début de l’Ère chrétienne … Ainsi, l’insurrection de l'an 66 qui conduisit à la ruine du Temple en l'an 70 n’était plus simplement nationaliste, quoique son idéologie soit mal connue : Flavius Josèphe est la seule source qui aurait pu nous l’expliciter mais il glisse sur le sujet (il y a été impliqué lui-même). Cependant, on peut penser à un mélange de messianisme nationaliste et d’eschatologie « mondialiste » où le message « judéo-chrétien », déformé, n’est pas étranger. Les sources sont plus claires à propos de la seconde insurrection judéenne, qui s’étendit de 132 à 135 ; Celle-là est explicitement messianiste, et inspirée par un certain Aqiba qui est en fait un « ex-judéo-chrétien » devenu « Rabbi », et qui est connu pour son anti-christianisme.Divers textes apocryphes disent cela bien avant le Coran (IV, 157), et certains imaginent même que c’est Simon de Cyrène, celui qui avait aidé Jésus à porter sa croix, qui se retrouve dessus par erreur. L’important, c’est que Jésus, lui, soit gardé « en réserve » au Ciel. Mais il ne peut redescendre que lorsque le Pays sera débarrassé de la présence étrangère et que le Temple sera rebâti par les vrais croyants. Pour que le salut du monde advienne, la recette est donc évidente : Il suffira de prendre Jérusalem - qui doit devenir la capitale du monde - et de reconstruire le Temple. Le « Messie-Jésus » - une expression gardée dans le Coran que nous avons - imposera alors le Royaume de Dieu sur toute la terre. Là, on est loin des messianismes antérieurs à notre ère, qui étaient simplement nationalistes et religieux.
On voit bien à quel courant de pensée il puise ses délires destructeurs. On en a parlé précédemment, c’est à la suite de la destruction du Temple de l'an 70 que l’idéologie « judéo-nazaréene » se structura en vision cohérente du Monde et de l’Histoire, construite sous l’angle de l’affrontement des « bons » et des « méchants », les premiers devant être les instruments de la libération de la Terre. Le recoupement des données indique que c’est en Syrie, chez les « judéo-chrétiens » qui refusèrent de rentrer en Judée après l'an 70 et réinterprétèrent leur foi, que cette idéologie de salut - la première de l’Histoire - s’est explicitée.
Cette secte « judéo-nazaréene » est née dans un contexte de rupture que se situe son rapport avec le « judéo-christianisme » originel.
Les textes trouvés dans les grottes de la mer Morte contribuent fortement à cette compréhension. Il s’agissait d’un retour matériel, d’un avènement politique du Messie, non d’une Venue dans la gloire comme la foi chrétienne l’enseigne … Pour cela, il aurait fallu qu’une religion nouvelle ait été fondée, afin de conquérir Jérusalem !
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
UN MYTHIQUE PERSONNAGE RÉUNIT DES ARABES AUTOUR DU PROJET NAZARÉEN
Appelons ce personnage Mahomet (l'histoire se passe au 7ème siècle, mais le nom de Mahomet apparaît pour la première fois au 8ème siecle et il est présenté aux arabes : Messager d'Allah).
Il s’agit au départ lorsque commence l’aventure de Mahomet, d’Arabes chrétiens - ils sont, ces « associateurs » dont parle le texte coranique -, même s’ils sont baptisés depuis peu. Leur conversion au christianisme fut en particulier le fruit des efforts de l’Église jacobite qui va même aménager pour eux des lieux-églises en plein air. Un signe de cette conversion ? Au début du VIe siècle, les Qoréchites étaient encore connus pour être d’abominables pillards sévissant du côté de la Mésopotamie ; Et voilà qu’à la fin de ce même VIe siècle, au temps de l’enfance de Mahomet, ce sont de pacifiques caravaniers, spécialistes du transport depuis la façade syrienne de la Méditerranée vers la Mésopotamie et l’Asie. Entre-temps, ils étaient devenus chrétiens, et c’est bien à des chrétiens que s’adressent les harangues de l’auteur des feuillets coraniques primitifs.
Les « judéo-nazaréens » leur promettent l’appât du butin, dont parle par exemple le verset 20 de la sourate 48, pour constituer un motif de les entraîner dans la guerre pour prendre Jérusalem.
Les « judéo-nazaréens » leur promettent l’appât du butin, dont parle par exemple le verset 20 de la sourate 48, pour constituer un motif de les entraîner dans la guerre pour prendre Jérusalem.
Comme chrétiens, ces arabes nouvellement convertis, étaient donc déjà habitués à une certaine vision de l’Histoire … Ils avaient conscience que le Salut a une histoire, racontée dans la Bible. Avec la prédication protoislamique, ils découvrent qu’ils sont des fils d’Abraham selon les commentaires juifs du chapitre 25 de la Genèse.
Il n’est même pas écrit dans la Bible qu’Ismaël est leur ancêtre ! René Dagorn a bien montré que cette légende des apocryphes juifs était inconnue ou, du moins, indifférente aux Arabes chrétiens de l’époque de Mahomet. Or c’est là-dessus que les « judéo-nazaréens » vont jouer pour enrôler les arabes dans la guerre.
En effet, ces « judéo-nazaréens » sont habiles.
Ils ont compris que sans l’aide d’Arabes, qui forment la réserve militaire d’appoint, autant pour l’Empire byzantin que pour celui des Perses, ils ne parviendraient jamais à prendre et garder Jérusalem. Pour faire advenir l’Ère messianique qu’ils attendaient, ils eurent l’idée de circonvenir les Arabes au nom de la descendance d’Ismaël, en étendant à eux les promesses de domination universelle que l’on trouve dans leurs livres apocalyptiques, par exemple dans le IVe livre d’Esdras où l’on peut lire : « Seigneur, tu as déclaré que c’est pour nous que tu as créé le monde. Quant aux autres nations, qui sont nées d’Adam, tu as dit qu’elles ne sont rien (...) Si le monde a été créé pour nous, pourquoi n’entrons-nous pas en possession de ce monde qui est notre héritage ? » (VI, 55 sq). Et plus loin, dans le même texte, voici une formule qui nous renvoie tout naturellement au texte de la Sourate VII que nous venons de citer, sur la terre qui appartient aux pieux : « Cherche à savoir comment seront sauvés les justes, à qui appartient le monde et pour qui il existe, et à quelle époque ils le seront » (IX, 13b).
Ils ont compris que sans l’aide d’Arabes, qui forment la réserve militaire d’appoint, autant pour l’Empire byzantin que pour celui des Perses, ils ne parviendraient jamais à prendre et garder Jérusalem. Pour faire advenir l’Ère messianique qu’ils attendaient, ils eurent l’idée de circonvenir les Arabes au nom de la descendance d’Ismaël, en étendant à eux les promesses de domination universelle que l’on trouve dans leurs livres apocalyptiques, par exemple dans le IVe livre d’Esdras où l’on peut lire : « Seigneur, tu as déclaré que c’est pour nous que tu as créé le monde. Quant aux autres nations, qui sont nées d’Adam, tu as dit qu’elles ne sont rien (...) Si le monde a été créé pour nous, pourquoi n’entrons-nous pas en possession de ce monde qui est notre héritage ? » (VI, 55 sq). Et plus loin, dans le même texte, voici une formule qui nous renvoie tout naturellement au texte de la Sourate VII que nous venons de citer, sur la terre qui appartient aux pieux : « Cherche à savoir comment seront sauvés les justes, à qui appartient le monde et pour qui il existe, et à quelle époque ils le seront » (IX, 13b).
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Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
LA RECONSTRUCTION DU TEMPLE DE JÉRUSALEM
Les sources historiques officielles s’accordent pour dire que, dès que Jérusalem est prise, « la Maison » est déjà relevée ; et qu’il s’agit d’un cube ! Selon certains témoignages que je reprends dans mon livre, cette reconstruction aurait d’abord été le fait de « juifs » avant d’être celui des Arabes. On peut comprendre que les observateurs non avertis ne comprenaient bien ni ce qui se passait, ni qui exactement tirait les ficelles.
En fait, c’est une espérance exprimée dans la sourate 2:127 qui, pour ainsi dire, se réalisait là : « Abraham (figurant les juifs et les Arabes unis) relèvera les assises (qui restent) de la Maison avec [l’aide d’]Ismaël (figurant les Arabes) ».
Personne ne sera étonné d’apprendre que le cube hâtivement élevé avait les dimensions exactes du cœur du temple d’Hérode - il constitue la véritable « mosquée de Umar », l’octogone que l’on voit aujourd’hui l’ayant remplacée à la fin du 7ème siècle tout en gardant une dimension extérieure égale à celle du cube. Une source dit que Umar fit un sacrifice devant cette Maison relevée, ce qui nous renvoie évidemment aux sacrifices anciens faits au Temple, mais sans doute aussi aux pratiques « judéo-nazaréene » dont l’Islam a d’ailleurs hérité vaguement au moins dans le rite du sacrifice du mouton lors de l’aïd el-kébîr ou dans l’interdiction du vin et de l’alcool en général.
En fait, c’est une espérance exprimée dans la sourate 2:127 qui, pour ainsi dire, se réalisait là : « Abraham (figurant les juifs et les Arabes unis) relèvera les assises (qui restent) de la Maison avec [l’aide d’]Ismaël (figurant les Arabes) ».
Personne ne sera étonné d’apprendre que le cube hâtivement élevé avait les dimensions exactes du cœur du temple d’Hérode - il constitue la véritable « mosquée de Umar », l’octogone que l’on voit aujourd’hui l’ayant remplacée à la fin du 7ème siècle tout en gardant une dimension extérieure égale à celle du cube. Une source dit que Umar fit un sacrifice devant cette Maison relevée, ce qui nous renvoie évidemment aux sacrifices anciens faits au Temple, mais sans doute aussi aux pratiques « judéo-nazaréene » dont l’Islam a d’ailleurs hérité vaguement au moins dans le rite du sacrifice du mouton lors de l’aïd el-kébîr ou dans l’interdiction du vin et de l’alcool en général.
Au moment de la prise de Jérusalem en 638, le sens de la collaboration entre Mahomet et les « judéo-nazaréens », nourrie de pensée eschatologique et apocalyptique va se poursuivre autour de Waraqua, un personnage très important : À ce sujet, il suffit d’entendre attentivement ce que les traditions islamiques ont à nous dire sur le personnage de Waraqa. J’en profite pour dire que son rôle a dû être si important qu’il n’a pas pu être effacé, alors que tant de témoignages islamiques anciens, écrits ou non, disparaissaient - en fait tous ceux qui sont antérieurs à la biographie normative de Ibn Hichâm, composée et imposée deux siècles après la mort de Mahomet : C’est seulement par des citations que l’on connaît quelque chose des écrits antérieurs, qui furent systématiquement détruits.
Or, ce qui est dit de ce Waraqa est hautement révélateur, comme l’indique le dossier quasiment exhaustif réuni par Joseph Azzi sur ce personnage. « On le présente comme un cousin de Khadidja, la première femme de Mahomet, ou parfois comme un cousin de celui-ci. Il pourrait être les deux, ce qui est même très vraisemblable. Il bénit leur mariage, et pour cause : Il est dit « prêtre nasraniyy, ce qu’il ne faut pas traduire par prêtre chrétien mais bien par prêtre nazaréen ».
Or, ce qui est dit de ce Waraqa est hautement révélateur, comme l’indique le dossier quasiment exhaustif réuni par Joseph Azzi sur ce personnage. « On le présente comme un cousin de Khadidja, la première femme de Mahomet, ou parfois comme un cousin de celui-ci. Il pourrait être les deux, ce qui est même très vraisemblable. Il bénit leur mariage, et pour cause : Il est dit « prêtre nasraniyy, ce qu’il ne faut pas traduire par prêtre chrétien mais bien par prêtre nazaréen ».
En somme, les « judéo-nazaréens » comptaient des prêtres parmi eux, descendants de la tribu de Lévi ; et il y avait des consacrés hommes [ceux que le Coran nomme « moines » et qui sont dits se lever la nuit pour réciter des psaumes de la Bible (III, 113 ; IV, 163 ; V, 82 ; XVII, 55.78 ; LXX, 20) ], ce qui est à comprendre dans une perspective eschatologique et guerrière : Le salut du monde vaut que l’on s’y consacre totalement.
De Waraqa, le commentateur Al-Bukhari (mort en 870) donne la présentation suivante : « Cet homme, qui était cousin de Khadidja du côté de son père avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile (livre des chrétiens) que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ». Il est de la tribu arabe des Qoréchites, mais « il est devenu nazaréen » :
De Waraqa, le commentateur Al-Bukhari (mort en 870) donne la présentation suivante : « Cet homme, qui était cousin de Khadidja du côté de son père avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile (livre des chrétiens) que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ». Il est de la tribu arabe des Qoréchites, mais « il est devenu nazaréen » :
Waraqa constitue donc un pont entre les deux peuples (« judéo-nazaréens » et arabes).
Al Bukhari a encore cette parole à la fois énigmatique et révélatrice : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». À l’époque, il n’est pas question du tout de « révélation », sinon de traductions en arabe des écrits judéo-nazaréens (comme par exemple quand le texte coranique évoque les « feuilles d’Abraham » - celles de Moïse étant tout simplement la Torah c’est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible). Les feuillets coraniques les plus anciens seraient-ils de lui ? Pas nécessairement, car les feuillets sont des écrits de circonstance - essentiellement de propagande -, alors qu’il est plutôt dit le traducteur de textes beaucoup plus important. Dans l’avenir, la recherche y verra sans doute plus clair sur ces points. En tout cas, il ne dut pas être le seul à écrire pour les Arabes « devenus nazaréens »... Ou à convaincre de le devenir !
Al Bukhari a encore cette parole à la fois énigmatique et révélatrice : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». À l’époque, il n’est pas question du tout de « révélation », sinon de traductions en arabe des écrits judéo-nazaréens (comme par exemple quand le texte coranique évoque les « feuilles d’Abraham » - celles de Moïse étant tout simplement la Torah c’est-à-dire les cinq premiers livres de la Bible). Les feuillets coraniques les plus anciens seraient-ils de lui ? Pas nécessairement, car les feuillets sont des écrits de circonstance - essentiellement de propagande -, alors qu’il est plutôt dit le traducteur de textes beaucoup plus important. Dans l’avenir, la recherche y verra sans doute plus clair sur ces points. En tout cas, il ne dut pas être le seul à écrire pour les Arabes « devenus nazaréens »... Ou à convaincre de le devenir !
Christoph Luxenberg a montré le substrat araméen qu’il fallait quelquefois supposer pour lire correctement le Coran. Certains versets coraniques particulièrement obscurs ; Il n’y a là rien d’étonnant si l’on pense que la langue maternelle du ou des auteurs est le syro-araméen, la langue habituelle des judéo-nazaréens.
Ce qui est dit également dans les traditions islamiques de Zayd, qui aurait appris l’hébreu et l’écriture dans les écoles juives, est également très révélateur, même si c’est approximatif : Ce « juif » de Yathrib a joué un certain rôle dans l’élaboration du proto-islam, qui était encore le pendant arabe très peu autonome du « judéonazaréisme ». Il faudrait mentionner encore les inscriptions qu’on dit, faute de mieux, « judéoarabes » et que l’on a trouvées il y a quelques années dans le désert du Neguev (sud d’Israël) ; Alfred-Louis de Prémare les a finement analysées. Il s’agit d’invocations en arabe adressées par exemple au Dieu de Moïse et de Jésus, et elles datent de l’enfance de Mahomet. Par comparaison, rien de tel n’existe dans la région mecquoise et dans toute l'arabie, et d’autant moins que ni cette écriture ni cette langue arabe n’y étaient employées.
Ce qui est dit également dans les traditions islamiques de Zayd, qui aurait appris l’hébreu et l’écriture dans les écoles juives, est également très révélateur, même si c’est approximatif : Ce « juif » de Yathrib a joué un certain rôle dans l’élaboration du proto-islam, qui était encore le pendant arabe très peu autonome du « judéonazaréisme ». Il faudrait mentionner encore les inscriptions qu’on dit, faute de mieux, « judéoarabes » et que l’on a trouvées il y a quelques années dans le désert du Neguev (sud d’Israël) ; Alfred-Louis de Prémare les a finement analysées. Il s’agit d’invocations en arabe adressées par exemple au Dieu de Moïse et de Jésus, et elles datent de l’enfance de Mahomet. Par comparaison, rien de tel n’existe dans la région mecquoise et dans toute l'arabie, et d’autant moins que ni cette écriture ni cette langue arabe n’y étaient employées.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
MASSACRE DES JUDÉO-NAZARÉENS ET COMPILATION DU CORAN
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Dans la biographie officielle de Mahomet, on lui attribue le massacre des juifs.
Je le pense également. Il est invraisemblable que Mahomet ait massacré des juifs rabbanites (orthodoxes ndlr), dont les « judéo-nazaréens » aussi bien que leurs alliés Arabes avaient besoin de la neutralité, au moins. Mais après 640, on imagine aisément que Umar puis son successeur Uthman aient voulu se défaire d’alliés devenus encombrants. Ironie de l’histoire : Les « fils d’Israël » - au moins leurs chefs - sont massacrés par ceux qu’ils avaient eux-mêmes convaincus d’être les « fils d’Ismaël » ! Sont massacrés les juifs rabbanites (orthodoxes ndlr), dont les « judéo-nazaréens ». En fait, le problème se posait aux Arabes de justifier d’une manière nouvelle le pouvoir qu’ils avaient pris sur le Proche-Orient. C’est dans ce cadre qu’apparut la nécessité d’avoir un livre propre à eux, opposable à la Bible des « juifs » et des « chrétiens », sur la base des textes écrits et laissées par les « judéo-nazaréens » (Le Coran) et qui consacrerait la domination arabe sur le monde ... Ce qui a contribuer à occulter le passé « judéo-nazaréen » du coran, dont voici les origines :
(...)Je le pense également. Il est invraisemblable que Mahomet ait massacré des juifs rabbanites (orthodoxes ndlr), dont les « judéo-nazaréens » aussi bien que leurs alliés Arabes avaient besoin de la neutralité, au moins. Mais après 640, on imagine aisément que Umar puis son successeur Uthman aient voulu se défaire d’alliés devenus encombrants. Ironie de l’histoire : Les « fils d’Israël » - au moins leurs chefs - sont massacrés par ceux qu’ils avaient eux-mêmes convaincus d’être les « fils d’Ismaël » ! Sont massacrés les juifs rabbanites (orthodoxes ndlr), dont les « judéo-nazaréens ». En fait, le problème se posait aux Arabes de justifier d’une manière nouvelle le pouvoir qu’ils avaient pris sur le Proche-Orient. C’est dans ce cadre qu’apparut la nécessité d’avoir un livre propre à eux, opposable à la Bible des « juifs » et des « chrétiens », sur la base des textes écrits et laissées par les « judéo-nazaréens » (Le Coran) et qui consacrerait la domination arabe sur le monde ... Ce qui a contribuer à occulter le passé « judéo-nazaréen » du coran, dont voici les origines :
Le Calife basé à l’oasis de Médine ne disposait, en fait de « textes » en arabe, que des papiers que les « judéo-nazaréens » y avaient laissés.
Même si l’on y ajoute les textes plus anciens laissés en Syrie, cela ne fait pas encore un choix énorme. Et il fallait choisir, dans la hâte, des textes répondant aux attentes des nouveaux maîtres du Proche-Orient ! Autant dire que, quel qu’il fût, le résultat du choix ne pouvait guère être satisfaisant, même si on choisissait les textes présentant le moins d’allusions au passé judéonazaréen.
C’est ainsi que les traditions musulmanes ont gardé le souvenir de « collectes » ou assemblages du Coran divergents entre eux et concurrents - parce qu’ils fournirent évidemment à des ambitieux l’occasion de se pousser au pouvoir. Umar fut assassiné. Son successeur également, et il s’ensuivit une véritable guerre intra-musulmane, aboutissant au schisme entre « chiites » et « sunnites ».
Quant aux textes assemblés dans ce qu’on nomma le « Coran », ils continuèrent d’être adaptés à ce qu’on attendait d’eux, dans une suite de fuites en avant : Apporter des modifications à un texte, c’est souvent se condamner à introduire de nouvelles pour pallier les difficultés ou les incohérences induites par les premières, etc. Un texte ne se laisse pas si facilement manipuler. Surtout qu’il faut chaque fois rappeler les exemplaires en circulation, les détruire et les remplacer par des nouveaux - ce dont les traditions musulmanes ont gardé le souvenir et situent jusqu’à l’époque du gouverneur Hajjaj, au début du VIIIe siècle encore !
Quand il devint trop tard pour le modifier encore en ses consonnes, sa voyellisation puis son interprétation furent à leur tour l’objet d’élaborations (parfois assez savantes). Ainsi, à force d’être manipulé, le texte coranique devint de plus en plus obscur, ce qu’il est aujourd’hui. Mais il était tout à fait clair en ces divers feuillets primitifs c’est-à-dire avant que ceux-ci aient été choisis pour constituer un recueil de 114 parties - le même nombre que de logia de l’évangile de Thomas, nombre lié aux besoins liturgiques selon Pierre Perrier.
Même si l’on y ajoute les textes plus anciens laissés en Syrie, cela ne fait pas encore un choix énorme. Et il fallait choisir, dans la hâte, des textes répondant aux attentes des nouveaux maîtres du Proche-Orient ! Autant dire que, quel qu’il fût, le résultat du choix ne pouvait guère être satisfaisant, même si on choisissait les textes présentant le moins d’allusions au passé judéonazaréen.
C’est ainsi que les traditions musulmanes ont gardé le souvenir de « collectes » ou assemblages du Coran divergents entre eux et concurrents - parce qu’ils fournirent évidemment à des ambitieux l’occasion de se pousser au pouvoir. Umar fut assassiné. Son successeur également, et il s’ensuivit une véritable guerre intra-musulmane, aboutissant au schisme entre « chiites » et « sunnites ».
Quant aux textes assemblés dans ce qu’on nomma le « Coran », ils continuèrent d’être adaptés à ce qu’on attendait d’eux, dans une suite de fuites en avant : Apporter des modifications à un texte, c’est souvent se condamner à introduire de nouvelles pour pallier les difficultés ou les incohérences induites par les premières, etc. Un texte ne se laisse pas si facilement manipuler. Surtout qu’il faut chaque fois rappeler les exemplaires en circulation, les détruire et les remplacer par des nouveaux - ce dont les traditions musulmanes ont gardé le souvenir et situent jusqu’à l’époque du gouverneur Hajjaj, au début du VIIIe siècle encore !
Quand il devint trop tard pour le modifier encore en ses consonnes, sa voyellisation puis son interprétation furent à leur tour l’objet d’élaborations (parfois assez savantes). Ainsi, à force d’être manipulé, le texte coranique devint de plus en plus obscur, ce qu’il est aujourd’hui. Mais il était tout à fait clair en ces divers feuillets primitifs c’est-à-dire avant que ceux-ci aient été choisis pour constituer un recueil de 114 parties - le même nombre que de logia de l’évangile de Thomas, nombre lié aux besoins liturgiques selon Pierre Perrier.
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Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
NAZARÉENS AUX SOURCES DU CORAN
Des thèses, largement vérifiées, de Bardet, Théry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme (thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel : « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.
Des thèses, largement vérifiées, de Bardet, Théry et Bertuel : Le Coran est l’œuvre des nazaréens et en occurrence d'un prêtre judéo-chrétien (Waraqa Bin Nawfal), qui a converti Mahomet et les arabes au monothéisme (thèse expliquée en détail dans le grand ouvrage de Joseph Bertuel : « L'Islam : Ses véritables origines »). Les discours et les allocutions de Mahomet, qui composent les sourates du Coran, tirent essentiellement leur racines sur les textes de la secte des nazaréens.
Le Coran.
La création du Coran et du monothéisme arabe appelé Islam serait l’œuvre des nazaréens (secte des judéo-chrétiens), l'un d'eux est judéo-nazaréen, il s'appelle Waraqa Bin Nawfal, prêtre de la secte à la Mecque à l'époque de la jeunesse de Mahomet. Il est cousin à Khadija, la première femme de Mahomet, une juive convertie au christianisme de la secte nazaréenne des judéo-chrétiens.
DES HADITHS AUTHENTIQUES ATTESTENT :
Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :
(...)
(Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».
(Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle .... ».
(...)
Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet. En effet, Bukhari disait ceci : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.
La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! + Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».
D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
(...)
Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfal) qui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».
Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.
Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».
Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».
(Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréisme, et devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.
Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
(...)
Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».
Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).
Des hadiths de Aïsha en parlent de Waraqa :
(...)
(Sahih Al-Bukhari, Volume 4, Book 55, Number 605) : « Le Prophète retourna vers Khadija tandis que son coeur battait rapidement. Khadijâ le conduisit chez son cousin Waraqa bin Nawfal ibn Asad ibn 'Abd al-'Uzzä ibn Ouzzä. Celui-ci avait embrassé le christianisme lors de son âge d'ignorance, et il avait pris l'habitude de transcrire l’écriture hébraïque et l'Injil de l'hébreu, tant que Dieu lui en avait accordé la force de le faire. Waraqa était très âgé et il était privé de la vue .... ».
(Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 87,111) : « ... Waraqa était le fils de son oncle paternel, c'est à dire le frère de son père, qui pendant la période pré-Islamique était devenu un chrétien. Il savait tracer les caractères hébraïques et avait copié en hébreu toute la partie de l’Évangile qu’Allah avait voulu qu’il transcrivit. Il était âgé et était devenu aveugle .... ».
(...)
Waraqa a probablement influencé fortement Mahomet. En effet, Bukhari disait ceci : « Lorsque Waraqa est décédé, la révélation s’est tarie ». Cela montre qu'il était l'inspirateur de Mahomet pour l'écriture des Sourates. Lorsque Waraqa est mort, Mahomet n'en a plus écrit.
La (Sourate 16, 105). : montre d'ailleurs que les Arabes soupçonnaient cette influence de Waraqa : « Certes nous savons que les infidèles disent : + Cet homme a seulement pour maître un mortel ! + Mais la langue de celui auquel ils pensent est une langue barbare, alors que cette prédication est en claire langue arabe ».
D'autres hadiths principaux le mentionnent, qu'il a joué un rôle significatif :
(...)
Voici ce qu’écrit (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Cet homme (Waraqa Ibn Nawfal) qui était cousin de Khadidja du côté de son père, avait embrassé le nazaréisme avant l’apparition de l’islam. Il savait écrire l’hébreu, et avait copié en hébreu toute la partie de l’évangile que Dieu avait voulu qu’il transcrivît ».
Autre citation de (Al Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre hébreu. Il écrivait de l’évangile en hébreu ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Ibn Kusaïr, Biographie du prophète, 1, 386. Abû al-Faraj al-Isfahânî, Kitâb al-agânî, (Le livre des chants). Abû al-fida Ibn Kathîr, Tafsîr al-qur’ân, (Explication du Coran), une copie de l’ouvrage de Tabari.et al-Isfahânî et Ibn Kathîr donnent la même information : « Ce texte indique que Waraqa était un prêtre nazaréen ». Le fait qu’il ne mentionne qu’un seul évangile le signifiait également, et nous en verrons encore d’autres attestations.
Muslim, compilateur de l’un des six recueils principaux, très célèbre, mais moins cependant que celui d’Al Boukhari, cite le même hadith, avec cependant une différence significative, (Muslim, Sahih, I, 78 et 79) : « Le prêtre Waraqa écrivait le Livre arabe. Il écrivait de l’évangile en arabe ce que Dieu voulait qu’il écrivît ».
Dans la Sira (ce qui signifie l’histoire) d’Ibn Hichâm, écrite 200 ans après la mort de Mahomet, unique biographie n’ait pas disparu, on peut lire (Ibn Hicham, Sira, 1,175 et 203) : « Waraqa était devenu nazaréen et avait suivi les livres et appris la science des hommes ... Il était excellent connaisseur du nazaréisme. Il a fréquenté les livres des nazaréens, jusqu’à les connaître comme les gens du Livre ».
Au début du dixième siècle, près de trois siècles après la mort de Mahomet, Al Yaqûbî publia un recueil de sermons attribués à Mahomet, dans lequel il écrit (Al-Yaqubi, Tarikh, 1, 256 et 257) : « Parmi les Arabes qui sont devenus nazaréens, il y a un groupe de Quraysh ... parmi eux figuren t... Waraqa ibn Nafal ibn Assad ».
(Al Isfahânî, Al kital al-agânî, Le livre des chansons Le Caire, 1937, vol 3, 144) écrit lui aussi : « Waraqa s’est converti au nazaréisme au temps de l’ignorance (c’est-à-dire avant l’islam) ». Ainsi, Waraqa était un juif converti au nazaréisme, et devenu prêtre nazaréen. C'est lui qui célébra la bénédiction du mariage de Mahomet avec Khadidja.
Al Halabi écrivit une biographie de Mahomet en utilisant essentiellement l’œuvre d’Ibn Hichâm. Quelques renseignements anciens ont pu lui parvenir par tradition orale, et enrichir son œuvre. D’après lui, lors du mariage de Mahomet avec Khadidja, Waraqa a déclaré : « Nous sommes les chefs et les guides des Arabes ».
(...)
Les sources islamiques elles-mêmes confirment la profondeur de leur accord, car Waraqa était l’inspirateur de Mahomet. Boukhari ajoute en effet cette indication (Al-Boukhari, Sahih, Livre 1, Chapitre 1) : « Lorsque Waraqa fut décédé, la révélation s’est tarie ».
Cela laisse penser que Waraqa fournissait à Mahomet la matière des ses allocutions et discours, à partir de traductions en arabe de textes religieux ou liturgiques nazaréens. À la mort de Waraqa, Mahomet déclara qu’il l’avait vu au paradis (Alépine, vol 1. opus cit.).
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
LES ORIGINES ÉLUCIDÉES DU CORAN ET DE L'ISLAM.
La question des origines de l’islam est une question tabou. Aussi curieux que cela puisse paraître, les chercheurs occidentaux, même marxistes ou athées, s’en sont tenus souvent à la légende musulmane d’un Mahomet analphabète qui, partant de Jérusalem, est monté au ciel pour aller chercher le Coran avant de revenir en Arabie sur la jument ailée, qui lui avait déjà servi de moyen de transport à l’aller. Edouard-Marie Gallez vient de soutenir une longue thèse (1000 pages) où il fait le point de tout ce que la recherche vraiment scientifique sait des origines de l’Islam mais aussi sur les textes de la mer Morte .
La question des origines de l’islam est une question tabou. Aussi curieux que cela puisse paraître, les chercheurs occidentaux, même marxistes ou athées, s’en sont tenus souvent à la légende musulmane d’un Mahomet analphabète qui, partant de Jérusalem, est monté au ciel pour aller chercher le Coran avant de revenir en Arabie sur la jument ailée, qui lui avait déjà servi de moyen de transport à l’aller. Edouard-Marie Gallez vient de soutenir une longue thèse (1000 pages) où il fait le point de tout ce que la recherche vraiment scientifique sait des origines de l’Islam mais aussi sur les textes de la mer Morte .
Sur les pas de la sagesse.
À l’Hégire de 622 et à l’année 1 de l’entrée dans une ère qui, en toute logique, doit être nouvelle pour toute l’Humanité. Ce que la Bible appelle la « terre » et invite à conquérir, c’est seulement la Palestine. Quel rapport y a-t-il alors avec un programme de conquête qui viserait le monde entier ? Ce rapport tient précisément à l’idéologie des « nazaréens ». Ces derniers ne sont pas des « juifs » de l’Ancien Testament (qui auraient alors sept siècles de retard), mais d’ex-judéo-chrétiens bien de leur temps. Dans leur vision de l’Histoire, la reconquête de la Terre d’Israël est liée à la venue de l’Ère Nouvelle. Elle est une étape. Une étape indispensable au Salut. Régis Blachère a bien compris que cette « terre que Dieu vous a destinée » (S. V, 21) désigne la Palestine, et il en est ainsi 18 autres fois du mot « terre » dans le Coran. Et tel fut bien le but poursuivi par l’expédition des guerriers de Mahomet dès l’année 629, un fait connu des historiens mais habituellement passé sous silence dans les articles pour le grand public, alors qu’il s’agit de la seule donnée de la vie de Mahomet qui soit à la fois totalement sûre et bien datée.
En cette année-là, à la tête de ses troupes, Mahomet est battu par les Byzantins (qui s’appelaient encore Romains) à l’est du Jourdain, à Mouta. C’est évidemment là qu’on l’attendait, puisque selon l’image biblique de la libération de la Terre, il faut nécessairement passer le Jourdain. C’est après sa mort c’est-à-dire seulement neuf ans plus tard que ‘Oumar entrera finalement dans Jérusalem, alors que le pays était déjà sous contrôle depuis quatre années - seule Jérusalem résistait encore. Pour tous ces gens, la prise de la Palestine et de la Ville apparaît alors comme le gage de la conquête du monde. Sophrone, le Patriarche de Jérusalem, l’avait bien compris puisqu’il écrivit en 634 déjà dans un sermon sur le baptême que les Arabes « se vantent de dominer le monde entier, en imitant leur chef continûment et sans retenue ». C’est une telle perspective, beaucoup plus large que celle de la seule Terre d’Israël, qui est exprimée dans la Sourate 7:128 : « La terre appartient à Dieu, il en fait hériter qui il veut parmi ses créatures et le résultat appartient aux pieux ».
Dans tous ce qui suit, nous allons démontré les origines le l'islam et les sources du Coran. L’appellation simple de « nazaréens » dans le Coran porte à équivoque, et pour plus de clarté, nous allons utilisé la dénomination de « judéo-nazaréens » pour les « nazaréens » et la dénomination de « chrétiens » pour les arabes chrétiens.
Dans tous ce qui suit, nous allons démontré les origines le l'islam et les sources du Coran. L’appellation simple de « nazaréens » dans le Coran porte à équivoque, et pour plus de clarté, nous allons utilisé la dénomination de « judéo-nazaréens » pour les « nazaréens » et la dénomination de « chrétiens » pour les arabes chrétiens.
Selon les récits islamiques, "Mahomet" épousa Khadija dont le cousin ou oncle, "Waraqa ibn Nawfal" est un « prêtre nasraniy » qui bénit leur mariage – le mot nasraniy signifie ici clairement non pas chrétien mais nazaréen comme en témoignent plusieurs passages du Coran lui-même : dans les sourates 2, verset 22 et 22,17, (selon la traduction très littéraliste du Coran faite par le gouvernement saoudien le pluriel nasârâ est rendu par nazaréens)
Les judéo-nazaréens comprenaient comme une nouvelle présence matérielle la seconde venue du Messie-Jésus. C’est un message que "Mahomet" proclama aux Arabes, selon deux sources indépendantes dont l’une est musulmane et l’autre juive :
“Selon Abu Hourayra le Prophète a dit : « Par Celui qui tient mon âme en sa main, la descente de Jésus fils de Marie est imminente ; il sera pour vous un arbitre juste… il mettra fin à la guerre et il prodiguera des biens tels que personne n’en voudra plus »” (hadith de Bukhari et Muslim)
Ce souvenir, que les manipulations ultérieures n’ont pas pu effacer, est recoupé par l’unique témoignage contemporain, tiré d’une lettre envoyée par un juif rabbinique à son frère ; elle indique : « il [Mahomet] proclamait la venue du Messie qui allait venir ». Ce Messie, mot signifiant celui qui a reçu l’onction de Roi, le Coran précise onze fois de qui il s’agit : le « Messie-Jésus » (al masîh-‘Îsa) et nul autre. (Didascalie de Jacob v 16, 209 - Patrologia Orientalis, 1903, vol. VIII,)p.715
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Les judéo-nazaréens comprenaient comme une nouvelle présence matérielle la seconde venue du Messie-Jésus. C’est un message que "Mahomet" proclama aux Arabes, selon deux sources indépendantes dont l’une est musulmane et l’autre juive :
“Selon Abu Hourayra le Prophète a dit : « Par Celui qui tient mon âme en sa main, la descente de Jésus fils de Marie est imminente ; il sera pour vous un arbitre juste… il mettra fin à la guerre et il prodiguera des biens tels que personne n’en voudra plus »” (hadith de Bukhari et Muslim)
Ce souvenir, que les manipulations ultérieures n’ont pas pu effacer, est recoupé par l’unique témoignage contemporain, tiré d’une lettre envoyée par un juif rabbinique à son frère ; elle indique : « il [Mahomet] proclamait la venue du Messie qui allait venir ». Ce Messie, mot signifiant celui qui a reçu l’onction de Roi, le Coran précise onze fois de qui il s’agit : le « Messie-Jésus » (al masîh-‘Îsa) et nul autre. (Didascalie de Jacob v 16, 209 - Patrologia Orientalis, 1903, vol. VIII,)p.715
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le Coran est l’œuvre des nazaréens
Selon le Coran :
Jésus est l'envoyé de Dieu, la Parole de Dieu (Kalima) et l’Esprit de Dieu (ruh) (Coran 4:171).
Le Coran reconnaît l’existence d’une distinction particulière entre les serviteurs de Dieu (Coran 2:253).
Jésus a une position particulière dans le Coran :
Il est nanti de signes (Coran 2:253; 43:63),
Il a reçu l’assistance du Saint Esprit (Coran 2:253).
Jésus est une personne d’une dignité extrême aussi bien dans ce monde que dans l’autre monde (Coran 3:45)
Contradiction :
Et si tu as quelque doute au sujet de ce que Nous t’avons révélé, interroge ceux qui, avant toi, lisaient l’Écriture (Coran 10 :94).
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Jésus est l'envoyé de Dieu, la Parole de Dieu (Kalima) et l’Esprit de Dieu (ruh) (Coran 4:171).
Le Coran reconnaît l’existence d’une distinction particulière entre les serviteurs de Dieu (Coran 2:253).
Jésus a une position particulière dans le Coran :
Il est nanti de signes (Coran 2:253; 43:63),
Il a reçu l’assistance du Saint Esprit (Coran 2:253).
Jésus est une personne d’une dignité extrême aussi bien dans ce monde que dans l’autre monde (Coran 3:45)
Contradiction :
Et si tu as quelque doute au sujet de ce que Nous t’avons révélé, interroge ceux qui, avant toi, lisaient l’Écriture (Coran 10 :94).
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
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