L’origine de la pandémie de Covid-19
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L’origine de la pandémie de Covid-19
Rappel du premier message :
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L’origine de la pandémie de Covid-19 est naturelle, expliquent les scientifiques
par GUILLAUME PIGEARD, le 19 mars 2020
En analysant le séquençage du génome du coronavirus SARS-CoV-2, les scientifiques ont définitivement exclu toute création d’origine humaine, prouvant au contraire une évolution naturelle depuis des virus animaux.
Crédits : NIAID Rocky Mountain Laboratories
En ce moment, une vidéo fait beaucoup parlé d’elle ayant été vue 3 millions de fois sur Facebook, bien que le réseau social ait mis en place des mesure contre les fake news. Son auteur cherche à montrer que le virus ayant causé la pandémie Covid-19 aurait été mis au point par l’Institut Pasteur. Cela est absolument faux, les scientifiques viennent de démontrer qu’il n’est pas d’origine humaine.
Des preuves concluantes d’une origine animale
À l’époque où Facebook, Twitter, Google et autres géants de la Tech s’associent pour lutter contre la désinf[/color]ormation et les fake-news au sujet de la pandémie Covid-19, il est primordial d’écouter les scientifiques pour trouver une source d’information fiable. Il y a 2 jours, l’équipe du Dr Kristian Andersena, professeur en immunologie et microbiologie à l’institut de recherche Scripps aux États-Unis, a publié dans le journal Nature Medecine les conclusions de sa longue enquête sur les origines du coronavirus SARS-CoV-2.
En comparant les données de séquencement du génome du virus rendues disponibles à la communauté scientifique par les scientifiques chinois au début de l’épidémie à celles des autres coronavirus connus, l’équipe a « fermement déterminé que le SARS-CoV-2 est d’origine naturelle ». Pour tirer une telle conclusion, ils ont analysé les protéines spiculaires du virus. Ils se sont plus particulièrement intéressés aux domaines de liaisons aux récepteurs (RBD) qui permettent au virus de se fixer sur les cellules humaines et au site de clivagequi lui permet d’ouvrir ces cellules et d’y pénétrer. Selon les scientifiques, l’efficacité redoutable de ces protéines spiculaires à viser ACE2, un récepteur permettant la régulation de la pression sanguine, ne peut que provenir que d’une sélection naturelle, aucun virus produit génétiquement ne pouvant obtenir de tels résultats. Des simulations sur les liaisons avaient été faites par l’ordinateur le plus puissant du monde.
Un virus issu de la chauve-souris ou du pangolin
Ils ont également observé la structure moléculaire du SARS-CoV-2. Si quelqu’un avait cherché à produire un coronavirus par génie génétique, il se serait appuyé sur un virus existant. Or, les scientifiques ont observé que son squelette diffère de manière substantielle des coronavirus connus et se rapproche davantage des virus présents chez la chauve-souris ou le pangolin. Il reste donc à déterminer comment le virus a pu passer de l’animal à l’Homme.
Deux scénarios sont envisagés. Le premier est similaire aux épidémies précédentes, dont celle du SRAS, dans lesquelles la transmission s’était faite directement de l’animal (civette et chameau) à l’homme avec un virus déjà pathogène. L’autre hypothèse est celle de la transmission d’un virus non pathogène qui a pu muter au contact des premières populations touchées. Malheureusement, il est difficile, voire impossible, de déterminer aujourd’hui lequel de ces scénarios s’est réellement produit. Dans le premier cas, un retour du virus serait simple puisqu’il est toujours présent et actif dans la population animale.
Source : Nature Medecine
Thèmes : sante, science
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L’origine de la pandémie de Covid-19 est naturelle, expliquent les scientifiques
par GUILLAUME PIGEARD, le 19 mars 2020
En analysant le séquençage du génome du coronavirus SARS-CoV-2, les scientifiques ont définitivement exclu toute création d’origine humaine, prouvant au contraire une évolution naturelle depuis des virus animaux.
Crédits : NIAID Rocky Mountain Laboratories
En ce moment, une vidéo fait beaucoup parlé d’elle ayant été vue 3 millions de fois sur Facebook, bien que le réseau social ait mis en place des mesure contre les fake news. Son auteur cherche à montrer que le virus ayant causé la pandémie Covid-19 aurait été mis au point par l’Institut Pasteur. Cela est absolument faux, les scientifiques viennent de démontrer qu’il n’est pas d’origine humaine.
Des preuves concluantes d’une origine animale
À l’époque où Facebook, Twitter, Google et autres géants de la Tech s’associent pour lutter contre la désinf[/color]ormation et les fake-news au sujet de la pandémie Covid-19, il est primordial d’écouter les scientifiques pour trouver une source d’information fiable. Il y a 2 jours, l’équipe du Dr Kristian Andersena, professeur en immunologie et microbiologie à l’institut de recherche Scripps aux États-Unis, a publié dans le journal Nature Medecine les conclusions de sa longue enquête sur les origines du coronavirus SARS-CoV-2.
En comparant les données de séquencement du génome du virus rendues disponibles à la communauté scientifique par les scientifiques chinois au début de l’épidémie à celles des autres coronavirus connus, l’équipe a « fermement déterminé que le SARS-CoV-2 est d’origine naturelle ». Pour tirer une telle conclusion, ils ont analysé les protéines spiculaires du virus. Ils se sont plus particulièrement intéressés aux domaines de liaisons aux récepteurs (RBD) qui permettent au virus de se fixer sur les cellules humaines et au site de clivagequi lui permet d’ouvrir ces cellules et d’y pénétrer. Selon les scientifiques, l’efficacité redoutable de ces protéines spiculaires à viser ACE2, un récepteur permettant la régulation de la pression sanguine, ne peut que provenir que d’une sélection naturelle, aucun virus produit génétiquement ne pouvant obtenir de tels résultats. Des simulations sur les liaisons avaient été faites par l’ordinateur le plus puissant du monde.
Un virus issu de la chauve-souris ou du pangolin
Ils ont également observé la structure moléculaire du SARS-CoV-2. Si quelqu’un avait cherché à produire un coronavirus par génie génétique, il se serait appuyé sur un virus existant. Or, les scientifiques ont observé que son squelette diffère de manière substantielle des coronavirus connus et se rapproche davantage des virus présents chez la chauve-souris ou le pangolin. Il reste donc à déterminer comment le virus a pu passer de l’animal à l’Homme.
Deux scénarios sont envisagés. Le premier est similaire aux épidémies précédentes, dont celle du SRAS, dans lesquelles la transmission s’était faite directement de l’animal (civette et chameau) à l’homme avec un virus déjà pathogène. L’autre hypothèse est celle de la transmission d’un virus non pathogène qui a pu muter au contact des premières populations touchées. Malheureusement, il est difficile, voire impossible, de déterminer aujourd’hui lequel de ces scénarios s’est réellement produit. Dans le premier cas, un retour du virus serait simple puisqu’il est toujours présent et actif dans la population animale.
Source : Nature Medecine
Thèmes : sante, science
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Le nouveau variant BA.2.86, surnommé Pirola a été identifié pour la première fois en France. Pourquoi ce variant est-il très surveillé ? Quels sont les symptômes ? Est-il plus contagieux ?
Découvrez aussi : Covid : faut-il craindre un rebond à la rentrée ?
1.Le variant Pirola très surveillé
Le variant Pirola ou BA.2.86 vient d’être détecté en France. Il est surveillé attentivement par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, le variant Pirola comporte un très grand nombre de mutations du gène Spike qu’il porte (36 mutations). La protéine Spike donne au virus son aspect hérissé. Cette protéine permet au Sars-CoV-2 de pénétrer dans les cellules de l’organisme.2.Le variant Pirola serait plus contagieux
Son grand nombre de mutations rend le variant Pirola «susceptible d’évoluer de façon plus importante et de se répandre plus facilement», a rappelé Brigitte Autran la semaine dernière. Elle est présidente du Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires (Covars). Selon les autorités sanitaires américaines, «il est trop tôt pour savoir si ce nouveau variant cause une plus grande sévérité de la maladie par rapport aux autres variants».Découvrez aussi : Covid : faut-il craindre un rebond à la rentrée ?
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Bah oui !
Lett a même dit que ce virus était la preuve que nous étions très proche de la fin, que c'était les derniers des derniers jours
Lett a même dit que ce virus était la preuve que nous étions très proche de la fin, que c'était les derniers des derniers jours
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« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
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Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Le Monsieur Covid américain, Anthony Fauci, réattaque sur le port du masque malgré les études
8 septembre 2023 17 h 36 min
A l’heure où plusieurs entreprises, écoles et hôpitaux ont rétabli l’exigence du port du masque, outre-Atlantique, l’ancien conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, s’est prononcé en faveur de cette contrainte face à l’augmentation actuelle des cas de covid. Une intervention remarquée sur CNN, où il dit… tout et n’importe quoi, et devient la risée des politiques comme des internautes.
« Encore un subterfuge », s’est écrié le sénateur Rand Paul. Mais serait-ce pas néanmoins un mauvais présage ?
Le Monsieur Covid américain est de retour
En France, nous avions notre Monsieur Coronavirus, en la personne de Jérôme Salomon, qui avant chaque journal de 20 heures nous décrivait les tranchées des urgences et le nombre de blessés et de morts. Aux Etats-Unis, c’était le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, l’immunologiste Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des maladies infectieuses, qui faisait le grand commentateur, à chaque conférence de presse de la Maison Blanche.
Bien qu’aucun Etat américain n’ait encore mis en place d’obligation de porter un masque, il n’a pas hésité à revenir, dans une interview télévisée sur CNN, sur le port de ce bon vieux masque qu’on avait presque oublié.
Sauf qu’en début d’« épidémie », la chose était nouvelle, facile à imposer, face à la peur du virus. Aujourd’hui, les choses sont légèrement différentes. Et l’entretien avec le présentateur Michael Smerconish ne s’est pas vraiment passé comme Fauci l’avait prévu.
« Nous ne parlons pas d’obligations », susurre Fauci
Ce qui l’inquiétait le plus était le fait que, face à cette nouvelle « augmentation des cas » et une augmentation des hospitalisations allant jusqu’à 19 % (chiffres officiels), les Américains n’en fassent qu’à leur tête.
« J’espère que si, en fait, nous arrivons au point où le volume de cas est tel que des organisations comme les CDC [U.S. Centers for Disease Control & Prevention] recommandent aux gens de porter des masques, j’espère qu’ils respecteront la recommandation et prendront en compte le risque pour eux-mêmes et pour leurs familles, mais encore une fois, nous ne parlons pas de forcer qui que ce soit à faire quoi que ce soit », a donc susurré Fauci. Chacun se souvient de telles promesses…
Mais chat échaudé craint l’eau froide.
Et le présentateur de CNN a saisi l’occasion pour lui rappeler la grande analyse publiée en janvier dans une revue de la société de données médicales Cochrane, sur 78 études scientifiques de haute qualité, avec plus de 610.000 participants, qui concluaient que les masques étaient inutiles pour arrêter la transmission du virus…
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Marmhonie aime ce message
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Pourquoi j'ai quitté les Témoins de Jéhovah ? là où tout a commencé...
Lilcaks:cake:
1 886 vues 2 juin 2023
pourquoi j'ai quitté les témoins de Jéhovah
ça fait partie d'une des véritables premières raison bien-sûr ce n'est pas l'unique raison mais je pense que c'est vraiment ce qui m'a fait comprendre qu'il se passait quelque chose de pas normal et que surtout qui est ce collège central ?
aujourd'hui peu de personnes de mon entourage comprennent pourquoi ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah alors que ce détail n'est pas qu'un simple détail.
Je suis fort heureux d'apprendre que vous êtes de ceux qui avez compris que le collège central n'est pas ce qu'il prétend être.
Cela signifie que l'Esprit a influencé vos pensées quand il ne le peut malheureusement pas chez vos ex frères et sœurs TJ qui décident envers et contre tout de rester sourds aux multiples appels qui leur sont lancés ...
Que vous perdiez la foi au collège central, quoi de plus normal ! Mais vous dites : ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah
J'espère que vous comprenez que ce n'est pas parce que Dieu ne guide pas une structure ... que Dieu n'existe pas.
Bien des bénédictions vous accompagnent et bonne route !
Lilcaks:cake:
1 886 vues 2 juin 2023
pourquoi j'ai quitté les témoins de Jéhovah
ça fait partie d'une des véritables premières raison bien-sûr ce n'est pas l'unique raison mais je pense que c'est vraiment ce qui m'a fait comprendre qu'il se passait quelque chose de pas normal et que surtout qui est ce collège central ?
aujourd'hui peu de personnes de mon entourage comprennent pourquoi ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah alors que ce détail n'est pas qu'un simple détail.
@lambertkonings3371
Bonjour Lily et merci pour cette vidéo percutante.Je suis fort heureux d'apprendre que vous êtes de ceux qui avez compris que le collège central n'est pas ce qu'il prétend être.
Cela signifie que l'Esprit a influencé vos pensées quand il ne le peut malheureusement pas chez vos ex frères et sœurs TJ qui décident envers et contre tout de rester sourds aux multiples appels qui leur sont lancés ...
Que vous perdiez la foi au collège central, quoi de plus normal ! Mais vous dites : ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah
J'espère que vous comprenez que ce n'est pas parce que Dieu ne guide pas une structure ... que Dieu n'existe pas.
Bien des bénédictions vous accompagnent et bonne route !
@cosettemarisson7709
Merci beaucoup ma soeur en christ jai decouver la pedophile dans cet secte jai ete dans cet secte pendant 5o ans quand je leur ai dis de retire mon nom ils mon excommunier jai lu levangile de Jean surtout chapitre 14 verse 6 qui dis que Jesus christ est le chemin la verite et la vie je suive mon seigneur et sauveur Jesus christ je te conseille de lire les evangiles bon courage.______________________________________________________
Tout ce que vous avez dit en secret sera crié sur les toits en terrasse - Luc 13:3. C'est bien ce qui se passe avec internet depuis une bonne dizaine d'années
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Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Covid long : "Quelque chose semble se passer dans les tout premiers moments de l’infection"
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Au sein du SUMIV (Service universitaire des maladies infectieuses et du voyageur - CHR DRON de Tourcoing), le Docteur Olivier Robineau tente d'aider les malades du Covid long.
Lucas Dumortier / Light Motiv pour L'Express
Propos recueillis par Antoine Beau
Publié le 17/09/2023 à 07:00
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Il est un des rares spécialistes français du Covid long. Autant dire, un passionné d’énigmes et de mystères scientifiques et médicaux. Alors qu’une étude publiée le 31 août dernier dans Nature a relancé les espoirs de diagnostic et de traitement, Olivier Robineau, infectiologue au Centre hospitalier de Tourcoing et coordinateur d’une étude sur les formes persistantes du Covid-19, dresse un panorama actualisé de ce que l’on sait de cette maladie, encore en grande partie incomprise.
L’Express : Dans Nature, des chercheurs emmenés par Maxime Taquet, psychiatre à Oxford, ont découvert des biomarqueurs prédictifs du Covid long. Certains y ont vu un pas de géant dans le désert de la recherche sur le Covid-19. Qu’apportent ces travaux ?
Parue dans Nature, une étude permet de mieux comprendre pourquoi certains patients développent un Covid long, et d'autres pas. Un progrès, même si ce mal reste encore très mystérieux. Le point avec l'infectiologue Olivier Robineau.
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Il est un des rares spécialistes français du Covid long. Autant dire, un passionné d’énigmes et de mystères scientifiques et médicaux. Alors qu’une étude publiée le 31 août dernier dans Nature a relancé les espoirs de diagnostic et de traitement, Olivier Robineau, infectiologue au Centre hospitalier de Tourcoing et coordinateur d’une étude sur les formes persistantes du Covid-19, dresse un panorama actualisé de ce que l’on sait de cette maladie, encore en grande partie incomprise.
L’Express : Dans Nature, des chercheurs emmenés par Maxime Taquet, psychiatre à Oxford, ont découvert des biomarqueurs prédictifs du Covid long. Certains y ont vu un pas de géant dans le désert de la recherche sur le Covid-19. Qu’apportent ces travaux ?
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Marmhonie aime ce message
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
[size=32]Covid-19 : la date de la campagne vaccinale est connue
Par
devadmin
-
30 août 2023
5093
0
[/size]
[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+la+date+de+la+campagne+vaccinale+est+connue %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-la-date-de-la-campagne-vaccinale-est-connue/][/url]
[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+la+date+de+la+campagne+vaccinale+est+connue %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-la-date-de-la-campagne-vaccinale-est-connue/][/url]
Les cas de Covid repartent à la hausse avec une augmentation de 41% par rapport à la semaine précédente. Les autorités sanitaires viennent d’annoncer la date de la nouvelle campagne de vaccination.
Augmentation des cas Covid dans toute la France
[size]Santé publique France (SPF) constate une augmentation du nombre de passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 entre le 14 et le 20 août de +41% par rapport à la semaine précédente. SOS Médecins observe aussi une augmentation de 41% d’actes médicaux pour suspicion de Covid cette même semaine. Le virus du Covid-19 circule dans toutes les régions[/size]
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
EX-Témoin a écrit:Pourquoi j'ai quitté les Témoins de Jéhovah ? là où tout a commencé...
Lilcaks:cake:
1 886 vues 2 juin 2023
pourquoi j'ai quitté les témoins de Jéhovah
ça fait partie d'une des véritables premières raison bien-sûr ce n'est pas l'unique raison mais je pense que c'est vraiment ce qui m'a fait comprendre qu'il se passait quelque chose de pas normal et que surtout qui est ce collège central ?
aujourd'hui peu de personnes de mon entourage comprennent pourquoi ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah alors que ce détail n'est pas qu'un simple détail.@lambertkonings3371
Bonjour Lily et merci pour cette vidéo percutante.
Je suis fort heureux d'apprendre que vous êtes de ceux qui avez compris que le collège central n'est pas ce qu'il prétend être.
Cela signifie que l'Esprit a influencé vos pensées quand il ne le peut malheureusement pas chez vos ex frères et sœurs TJ qui décident envers et contre tout de rester sourds aux multiples appels qui leur sont lancés ...
Que vous perdiez la foi au collège central, quoi de plus normal ! Mais vous dites : ce détail m'a fait perdre ma foi en Jéhovah
J'espère que vous comprenez que ce n'est pas parce que Dieu ne guide pas une structure ... que Dieu n'existe pas.
Bien des bénédictions vous accompagnent et bonne route !@cosettemarisson7709
Merci beaucoup ma soeur en christ jai decouver la pedophile dans cet secte jai ete dans cet secte pendant 5o ans quand je leur ai dis de retire mon nom ils mon excommunier jai lu levangile de Jean surtout chapitre 14 verse 6 qui dis que Jesus christ est le chemin la verite et la vie je suive mon seigneur et sauveur Jesus christ je te conseille de lire les evangiles bon courage.
Si la watch avait dit à leurs témoins de ne pas se faire vacciner contre ce virus, aucun témoin ne se serait fait vacciner, et tout cela, sans donner aucune raison valable
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« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
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Localisation : Oui
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Nouvelle vague de Covid en septembre : où en est l’épidémie et que devez-vous faire si vous l’attrapez ?
Selon le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, l’épidémie de Covid « est là ». (MATHIEU THOMASSET / HANS LUCAS VIA AFP)
L’épidémie de Covid « est là », assure le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, et un large spectre d’indices montre une hausse des taux d’incidence. Mais depuis le début de l’épidémie, le protocole sanitaire a changé en cas de contamination.
Par Maxime Dhuin
·Publié le 21 septembre 2023 à 19h36·Mis à jour le 21 septembre 2023 à 20h55
Temps de lecture 3 min
Selon le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, l’épidémie de Covid « est là ». (MATHIEU THOMASSET / HANS LUCAS VIA AFP)
L’épidémie de Covid « est là », assure le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, et un large spectre d’indices montre une hausse des taux d’incidence. Mais depuis le début de l’épidémie, le protocole sanitaire a changé en cas de contamination.
Par Maxime Dhuin
·Publié le 21 septembre 2023 à 19h36·Mis à jour le 21 septembre 2023 à 20h55
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Marmhonie aime ce message
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Avec l'arrivée de l'automne et le risque d'une recrudescence du Covid-19, les vaccins ARN contre le SARS-CoV2 sont redevenus l'objet de polémiques acharnées, surtout autour des injections de rappel (particulièrement controversées lorsqu'il s'agit d'enfants) et des effets adverses des vaccins. Plus que jamais, on a l'impression d'assister à un affrontement entre deux camps diamétralement opposés. Pour les uns, la santé publique serait surtout menacée par les « anti-vax », jugés coupables d'avoir promu « l'hésitation vaccinale » (et donc la mort) par la désinformation. Pour l'autre camp, par contre, ce sont les autorités sanitaires et politiques elles-mêmes qui auraient imposé des produits dangereux à grande échelle contre les normes internationalement respectées de l'éthique médicale, en particulier dans le domaine du consentement éclairé.
Le débat est particulièrement âpre aux USA, avec de forts accents politiques. Selon une enquête récente pour Rasmussen Reports, 79 % des démocrates considèrent les vaccins Covid-19 comme sûrs, contre 38 % des républicains. Le concepteur de vaccins Peter Hotez a accusé le parti républicain de « rhétorique anti-science », affirmant que « 200 000 Américains [ayant refusé la vaccination contre le Covid-19 ] sont morts à cause d'une agression anti-scientifique coordonnée ». Un point de vue pourtant fortement contesté par d'autres scientifiques et médecins des deux côtés de l'Atlantique, parmi lesquels les 18871 signataires de la déclaration de l'International Covid Summit, dont la prochaine réunion se tiendra à Bucarest en novembre. Pour ces derniers, ce sont les défaillances de la pharmacovigilance et une campagne injustifiée visant les traitements précoces contre le Covid-19 qui seraient responsables d'autant, sinon plus de décès que ceux allégués par Hotez.
D'où pourrait venir l'arbitrage entre ces points de vue tellement polarisés ? Sans prétendre pouvoir trancher définitivement, signalons au moins quelques développements potentiellement significatifs :
- Les scientifiques reconnaissent de plus en plus la réalité d'effets indésirables graves après la vaccination, bien que leur fréquence fasse encore l'objet de débats intenses. Il s'agit notamment du décès par myocardite (risque ajouté par la Commission européenne à la notice accompagnant le vaccin actuel de Pfizer) ainsi que l'existence chez certaines personnes vaccinées d'une perturbation ressemblant au « Covid long ».
- Au niveau étatique, l'idée de l'indemnisation des victimes de ces effets semble faire son chemin. La Corée du Sud a par exemple décidé d'assouplir considérablement ses exigences en matière d'indemnisation : les familles des personnes décédées dans les 90 jours suivant la vaccination (cause de décès « non-établie ») peuvent désormais prétendre à un versement de l'état équivalent à 20 000 €, soit 3 fois le montant antérieur.
- Si certains estiment que, jusqu'à maintenant, les articles critiquant les vaccins Covid-19 ont été censurés, mais de telles publications commencent néanmoins à paraître dans des revues à comité de lecture. On aborde notamment des sujets tels que les réactions inflammatoires auto-immunes aux vaccins Covid-19 ou la possibilité d'une immunosuppression post-vaccinale. On note également la parution dans le journal Vaccine d'une étude critique, basée sur une méthodologie approuvée par l'OMS, des données des essais cliniques (Pfizer/Moderna), remettant en question le rapport bénéfice-risque affirmé.
- 3 laboratoires viennent par ailleurs de découvrir des niveaux surprenants de contamination par l'ADN dans les vaccins de Pfizer et Moderna. Ces taux ont été signalés par l'ancien chercheur du Human Genome Project Kevin McKernan, Phillip Buckhaults (Université de Caroline du Sud) et la Pr Brigitte König (Magdeburg Molecular Detection, Allemagne), donnant lieu à une vive discussion. On estime que la contamination découle de la méthode de production massive et accélérée des vaccins qui a utilisé des bactéries e.coli pour générer du matériel génétique. Il n'y a pas encore de consensus sur les risques associés à cette contamination ; il a toutefois été noté que les vaccins produits par la méthode en question (« Processus 2 ») n'ont été testés que sur 250 des 44 000 participants aux essais cliniques de Pfizer. Les données de sécurité à ce sujet sont donc minimes pour l'instant. En Allemagne, cette présence d'ADN - à des niveaux bien supérieurs à ceux autorisés - a été signalée au ministre de la Santé et a fait l'objet d'une protestation au Bundestag, tandis qu'en Australie, une action légale contre Pfizer et Moderna est en cours. On allègue que l'ADN fait entrer les vaccins dans la catégorie des OGM comme définie par la législation australienne ; aucune licence n'ayant été obtenue auprès de l'organisme de réglementation compétent, leur distribution serait donc illégale.
- Enfin, on constate une surmortalité persistante, toutes causes confondues, dans les pays hautement vaccinés, même après la fin de la pandémie. Cause ou corrélation ? Le débat continue...
Le débat est particulièrement âpre aux USA, avec de forts accents politiques. Selon une enquête récente pour Rasmussen Reports, 79 % des démocrates considèrent les vaccins Covid-19 comme sûrs, contre 38 % des républicains. Le concepteur de vaccins Peter Hotez a accusé le parti républicain de « rhétorique anti-science », affirmant que « 200 000 Américains [ayant refusé la vaccination contre le Covid-19 ] sont morts à cause d'une agression anti-scientifique coordonnée ». Un point de vue pourtant fortement contesté par d'autres scientifiques et médecins des deux côtés de l'Atlantique, parmi lesquels les 18871 signataires de la déclaration de l'International Covid Summit, dont la prochaine réunion se tiendra à Bucarest en novembre. Pour ces derniers, ce sont les défaillances de la pharmacovigilance et une campagne injustifiée visant les traitements précoces contre le Covid-19 qui seraient responsables d'autant, sinon plus de décès que ceux allégués par Hotez.
D'où pourrait venir l'arbitrage entre ces points de vue tellement polarisés ? Sans prétendre pouvoir trancher définitivement, signalons au moins quelques développements potentiellement significatifs :
- Les scientifiques reconnaissent de plus en plus la réalité d'effets indésirables graves après la vaccination, bien que leur fréquence fasse encore l'objet de débats intenses. Il s'agit notamment du décès par myocardite (risque ajouté par la Commission européenne à la notice accompagnant le vaccin actuel de Pfizer) ainsi que l'existence chez certaines personnes vaccinées d'une perturbation ressemblant au « Covid long ».
- Au niveau étatique, l'idée de l'indemnisation des victimes de ces effets semble faire son chemin. La Corée du Sud a par exemple décidé d'assouplir considérablement ses exigences en matière d'indemnisation : les familles des personnes décédées dans les 90 jours suivant la vaccination (cause de décès « non-établie ») peuvent désormais prétendre à un versement de l'état équivalent à 20 000 €, soit 3 fois le montant antérieur.
- Si certains estiment que, jusqu'à maintenant, les articles critiquant les vaccins Covid-19 ont été censurés, mais de telles publications commencent néanmoins à paraître dans des revues à comité de lecture. On aborde notamment des sujets tels que les réactions inflammatoires auto-immunes aux vaccins Covid-19 ou la possibilité d'une immunosuppression post-vaccinale. On note également la parution dans le journal Vaccine d'une étude critique, basée sur une méthodologie approuvée par l'OMS, des données des essais cliniques (Pfizer/Moderna), remettant en question le rapport bénéfice-risque affirmé.
- 3 laboratoires viennent par ailleurs de découvrir des niveaux surprenants de contamination par l'ADN dans les vaccins de Pfizer et Moderna. Ces taux ont été signalés par l'ancien chercheur du Human Genome Project Kevin McKernan, Phillip Buckhaults (Université de Caroline du Sud) et la Pr Brigitte König (Magdeburg Molecular Detection, Allemagne), donnant lieu à une vive discussion. On estime que la contamination découle de la méthode de production massive et accélérée des vaccins qui a utilisé des bactéries e.coli pour générer du matériel génétique. Il n'y a pas encore de consensus sur les risques associés à cette contamination ; il a toutefois été noté que les vaccins produits par la méthode en question (« Processus 2 ») n'ont été testés que sur 250 des 44 000 participants aux essais cliniques de Pfizer. Les données de sécurité à ce sujet sont donc minimes pour l'instant. En Allemagne, cette présence d'ADN - à des niveaux bien supérieurs à ceux autorisés - a été signalée au ministre de la Santé et a fait l'objet d'une protestation au Bundestag, tandis qu'en Australie, une action légale contre Pfizer et Moderna est en cours. On allègue que l'ADN fait entrer les vaccins dans la catégorie des OGM comme définie par la législation australienne ; aucune licence n'ayant été obtenue auprès de l'organisme de réglementation compétent, leur distribution serait donc illégale.
- Enfin, on constate une surmortalité persistante, toutes causes confondues, dans les pays hautement vaccinés, même après la fin de la pandémie. Cause ou corrélation ? Le débat continue...
Peter Bannister
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Marmhonie aime ce message
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
[size=42]Y a-t-il une surmortalité liée à la vaccination covid ? Les statistiques de “Décoder l’éco” le confirment[/size]
26 septembre 2023 18 h 48 min
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Pierre Chaillot, ce statisticien qui depuis le début de la crise du covid s’est intéressé aux chiffres officiels des hospitalisations, de la mortalité et de la vaccination liées au coronavirus, pour vérifier le discours officiel, vient de publier une nouvelle vidéo sur sa chaîne YouTube « Décoder l’éco ». Passionnante ! Il analyse les statistiques anglaises pour voir si la vaccination a effectivement entraîné une chute de la mortalité générale chez les vaccinés, ou si au contraire elle a été accompagnée d’une surmortalité, par groupe d’âge.
Déjà dans son livre Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, Pierre Chaillot s’étonnait de l’étroite corrélation que l’on peut observer entre les campagnes de vaccination et des hausses anormales de mortalité pour de nombreuses tranches d’âge, mais il note dans la vidéo que la plupart des pays européens ne révèle pas le statut vaccinal des personnes décédées – à commencer par la France.
Il explique d’emblée :
« Cela fait plus de deux ans qu’avec de nombreux chercheurs et notamment Laurent Tubiana, nous demandons la diffusion des statistiques de décès français selon le statut vaccinal. La raison est simple. S’il y a une maladie mortelle qui se répand et pour laquelle la vaccination est sûre et efficace, alors on devrait voir que les vaccinés meurent moins, toutes causes confondues, que les non vaccinés. Si on découvre que les vaccinés et les non vaccinés meurent exactement de la même manière, cela signifie que la vaccination anti-covid-19 n’a pas d’impact sur le plan sanitaire. Si on découvre l’inverse, c’est à dire que les vaccinés meurent plus que les non vaccinés, cela signifie que nous avons un gros problème de santé publique en France. Les autorités ne sont visiblement pas prêtes à prendre le risque de la vérité. »
Se fondant sur des statistiques publiques britanniques accessibles à tout un chacun, Pierre Chaillot note que « dès juin 2021, pour toutes les tranches d’âge, on pouvait voir que les non vaccinés mouraient moins que les vaccinés une dose » – chose cachée par le gouvernement britannique qui considérait comme non vaccinées les personnes ayant reçu leur première dose récemment.
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« Il s’est engagé à une fuite en avant de vaccinations frénétiques en ajoutant régulièrement une dose supplémentaire pour que les vaccinés ne meurent pas davantage que les non vaccinés », constate alors la vidéo, graphiques à l’appui (oui, il faut la regarder, on peut s’arrêter sur les nombreux graphiques fournis !) :
« Si on regarde de plus près, en cessant de présupposer que le vaccin est un produit miracle, on observe une vague de mortalité des non-vaccinés (…) pendant la campagne de vaccination pour la première dose, en février 2021. Puis on observe une vague de mortalité chez les vaccinés une dose (…) pendant la campagne de vaccination pour la deuxième dose, en mai 2021. Puis on observe une vague de mortalité des vaccinés deux doses seulement (…) pendant la campagne de vaccination pour la troisième dose, en décembre 2021. Ainsi, chaque groupe ayant reçu un certain nombre de doses vivrait une hécatombe pile pendant qu’on lance la campagne pour la dose suivante. C’est complètement incohérent et révélateur d’un problème dans les données, comme l’a montré l’équipe de Norman Fenton. La raison est simple : les individus qui décèdent juste après une dose de vaccin sont considérés comme non vaccinés ; on fait alors porter les décès de ceux qui viennent de recevoir leur première dose sur les non vaccinés. Ça fait monter artificiellement le nombre de décès des non-vaccinés juste après la campagne de vaccination. De la même manière, juste après la campagne pour la deuxième dose, les décès des vaccinés qui viennent de recevoir leur deuxième dose sont reportés sur les vaccinés une dose, et pareil pour la troisième dose, fin 2021. L’efficacité vantée des vaccins au Royaume-Uni repose uniquement sur une supercherie de calcul facilement décelable. Ce problème dans les données est dorénavant relevé par l’Institut statistique anglais, qui déclare en avoir corrigé une partie. »
Sans que l’on puisse savoir exactement la fiabilité des données, constate l’auteur.
Mais en se fondant sur les données des décès anglais selon le statut vaccinal, il a étudié un fichier contenant les données mensuelles de janvier 2021 à mai 2022 et un fichier d’avril 2021 à mai 2023, pour ensuite « coupler ces données au nombre de vaccinés par tranche d’âge ». Il l’a fait en choisissant délibérément « les calculs les plus favorables à la vaccination pour voir si, malgré ces choix, le taux de mortalité des vaccinés est supérieur à celui des non vaccinés », notamment en surestimant le nombre de vaccinés là où les chiffres n’étaient pas comparables directement entre décès et vaccinés du fait de périodes de calcul différentes (par semaine ou par mois), ou entre tranches d’âge pour la mortalité et le statut vaccinal (par 10 ans et par 5 ans).
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Dans chaque tranche d’âge, et en retenant le mode de calcul le plus favorable au discours officiel, « Décoder l’éco » constate que « les non-vaccinés meurent moins que les autres ». C’est plus flagrant parmi les tranches d’âges inférieures, mais Pierre Chaillot précise : « Ce constat ne concerne pas que les jeunes mais s’applique à toutes les tranches d’âge » et même à partir de la tranche 60-69 ans où la mortalité est naturellement beaucoup plus importante quoi qu’il arrive. « Jusqu’aux plus de 80 ans, le constat perdure alors que la mortalité générale devrait complètement noyer ce résultat », note-t-il. Pour ces derniers, la surmortalité est moindre mais reste perceptible.
Et il retrouve une variation similaire avec chaque ajout de dose : la part des vaccinés dans les décès demeure plus importante qu’elle ne l’est dans la population générale.
En invoquant ce qui se constate dans les données françaises, il précise encore :
« Régulièrement, on découvre que l’issue de cette fuite est la même pour tout le monde dans notre analyse. Depuis le début, nous avons fait tous les choix possibles en défaveur des non vaccinés. Et pourtant, c’est bien eux qui meurent le moins. Il reste encore probablement d’autres biais. Pour mémoire, nous l’avons dit en France, une personne dont on n’arrive pas à retrouver le statut vaccinal est considérée non vaccinée. Il peut y avoir jusqu’à soixante pour cent d’échec d’appariement entre les fichiers selon les catégories de population. Autrement dit, le nombre de décès des non-vaccinés est probablement surévalué car il contient des personnes qui sont vaccinées mais dont on n’a pas réussi à retrouver la trace de leur vaccination. »[/size]
26 septembre 2023 18 h 48 min
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Pierre Chaillot, ce statisticien qui depuis le début de la crise du covid s’est intéressé aux chiffres officiels des hospitalisations, de la mortalité et de la vaccination liées au coronavirus, pour vérifier le discours officiel, vient de publier une nouvelle vidéo sur sa chaîne YouTube « Décoder l’éco ». Passionnante ! Il analyse les statistiques anglaises pour voir si la vaccination a effectivement entraîné une chute de la mortalité générale chez les vaccinés, ou si au contraire elle a été accompagnée d’une surmortalité, par groupe d’âge.
Déjà dans son livre Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, Pierre Chaillot s’étonnait de l’étroite corrélation que l’on peut observer entre les campagnes de vaccination et des hausses anormales de mortalité pour de nombreuses tranches d’âge, mais il note dans la vidéo que la plupart des pays européens ne révèle pas le statut vaccinal des personnes décédées – à commencer par la France.
Il explique d’emblée :
« Cela fait plus de deux ans qu’avec de nombreux chercheurs et notamment Laurent Tubiana, nous demandons la diffusion des statistiques de décès français selon le statut vaccinal. La raison est simple. S’il y a une maladie mortelle qui se répand et pour laquelle la vaccination est sûre et efficace, alors on devrait voir que les vaccinés meurent moins, toutes causes confondues, que les non vaccinés. Si on découvre que les vaccinés et les non vaccinés meurent exactement de la même manière, cela signifie que la vaccination anti-covid-19 n’a pas d’impact sur le plan sanitaire. Si on découvre l’inverse, c’est à dire que les vaccinés meurent plus que les non vaccinés, cela signifie que nous avons un gros problème de santé publique en France. Les autorités ne sont visiblement pas prêtes à prendre le risque de la vérité. »
Se fondant sur des statistiques publiques britanniques accessibles à tout un chacun, Pierre Chaillot note que « dès juin 2021, pour toutes les tranches d’âge, on pouvait voir que les non vaccinés mouraient moins que les vaccinés une dose » – chose cachée par le gouvernement britannique qui considérait comme non vaccinées les personnes ayant reçu leur première dose récemment.
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La surmortalité liée à la vaccination covid masquée par des artifices
[size]« Il s’est engagé à une fuite en avant de vaccinations frénétiques en ajoutant régulièrement une dose supplémentaire pour que les vaccinés ne meurent pas davantage que les non vaccinés », constate alors la vidéo, graphiques à l’appui (oui, il faut la regarder, on peut s’arrêter sur les nombreux graphiques fournis !) :
« Si on regarde de plus près, en cessant de présupposer que le vaccin est un produit miracle, on observe une vague de mortalité des non-vaccinés (…) pendant la campagne de vaccination pour la première dose, en février 2021. Puis on observe une vague de mortalité chez les vaccinés une dose (…) pendant la campagne de vaccination pour la deuxième dose, en mai 2021. Puis on observe une vague de mortalité des vaccinés deux doses seulement (…) pendant la campagne de vaccination pour la troisième dose, en décembre 2021. Ainsi, chaque groupe ayant reçu un certain nombre de doses vivrait une hécatombe pile pendant qu’on lance la campagne pour la dose suivante. C’est complètement incohérent et révélateur d’un problème dans les données, comme l’a montré l’équipe de Norman Fenton. La raison est simple : les individus qui décèdent juste après une dose de vaccin sont considérés comme non vaccinés ; on fait alors porter les décès de ceux qui viennent de recevoir leur première dose sur les non vaccinés. Ça fait monter artificiellement le nombre de décès des non-vaccinés juste après la campagne de vaccination. De la même manière, juste après la campagne pour la deuxième dose, les décès des vaccinés qui viennent de recevoir leur deuxième dose sont reportés sur les vaccinés une dose, et pareil pour la troisième dose, fin 2021. L’efficacité vantée des vaccins au Royaume-Uni repose uniquement sur une supercherie de calcul facilement décelable. Ce problème dans les données est dorénavant relevé par l’Institut statistique anglais, qui déclare en avoir corrigé une partie. »
Sans que l’on puisse savoir exactement la fiabilité des données, constate l’auteur.
Mais en se fondant sur les données des décès anglais selon le statut vaccinal, il a étudié un fichier contenant les données mensuelles de janvier 2021 à mai 2022 et un fichier d’avril 2021 à mai 2023, pour ensuite « coupler ces données au nombre de vaccinés par tranche d’âge ». Il l’a fait en choisissant délibérément « les calculs les plus favorables à la vaccination pour voir si, malgré ces choix, le taux de mortalité des vaccinés est supérieur à celui des non vaccinés », notamment en surestimant le nombre de vaccinés là où les chiffres n’étaient pas comparables directement entre décès et vaccinés du fait de périodes de calcul différentes (par semaine ou par mois), ou entre tranches d’âge pour la mortalité et le statut vaccinal (par 10 ans et par 5 ans).
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Les statistiques révèlent une surmortalité dans toutes les tranches d’âge
[size]Dans chaque tranche d’âge, et en retenant le mode de calcul le plus favorable au discours officiel, « Décoder l’éco » constate que « les non-vaccinés meurent moins que les autres ». C’est plus flagrant parmi les tranches d’âges inférieures, mais Pierre Chaillot précise : « Ce constat ne concerne pas que les jeunes mais s’applique à toutes les tranches d’âge » et même à partir de la tranche 60-69 ans où la mortalité est naturellement beaucoup plus importante quoi qu’il arrive. « Jusqu’aux plus de 80 ans, le constat perdure alors que la mortalité générale devrait complètement noyer ce résultat », note-t-il. Pour ces derniers, la surmortalité est moindre mais reste perceptible.
Et il retrouve une variation similaire avec chaque ajout de dose : la part des vaccinés dans les décès demeure plus importante qu’elle ne l’est dans la population générale.
En invoquant ce qui se constate dans les données françaises, il précise encore :
« Régulièrement, on découvre que l’issue de cette fuite est la même pour tout le monde dans notre analyse. Depuis le début, nous avons fait tous les choix possibles en défaveur des non vaccinés. Et pourtant, c’est bien eux qui meurent le moins. Il reste encore probablement d’autres biais. Pour mémoire, nous l’avons dit en France, une personne dont on n’arrive pas à retrouver le statut vaccinal est considérée non vaccinée. Il peut y avoir jusqu’à soixante pour cent d’échec d’appariement entre les fichiers selon les catégories de population. Autrement dit, le nombre de décès des non-vaccinés est probablement surévalué car il contient des personnes qui sont vaccinées mais dont on n’a pas réussi à retrouver la trace de leur vaccination. »[/size]
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Marmhonie aime ce message
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
C'est excellent sujet mérite toute notre attention. Il y a eu un effet au départ un quiproquo mal compris. Et tout est parti de là vers des théories complotistes vraiment navrantes pour l'esprit humain. La vaccination par ARN messager (qui est une invention française) protège des formes graves de ses insuffisances respiratoires. En aucun cas la vaccination permet d'éviter d'être atteint. Il y a donc un enjeu au moins double. D'une part un pays n'est protégé contre un virus qu'avec un taux minimum de 93% de vaccination de sa population. En-deçà le virus reste présent & continue de toucher les plus faibles, c'est-à-dire les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et les plus fragiles notamment atteints de pathologies graves sous traitements constants. Or nous n'avons jamais atteint, dans aucun pays du monde, un tel taux de vaccination. Et par conséquent il est naturel qu'en laissant la porte ouverte à ses attaques le Covid mute, s'adapte, et continue de s'étendre et de tuer. Les gestes barrières élémentaires restent essentiels. Portez un masque FFP2 qui nous protège des autres, car un masque FFP1 protège les autres de nous, mais en aucun cas nous ne sommes protégés des autres ! Il y a ensuite le lavage régulier des mains avec de l'hydrogel sanitaire. Il suffit d'emporter une minuscule petite bouteille sur soi et de l'utiliser abondamment. La distance entre chaque personne devrait être au minimum de un mètre dans un endroit confiné. En extérieur il n'est nullement nécessaire de porter un masque actuellement. Nous avons appris à vivre avec la grippe espagnole dans les années 50 et chaque année la vaccination contre la grippe nécessaire pour les plus fragiles évidemment. Jamais personne n'a osé parler de théorie du complot contre la grippe ni contre le rhume des foins envers lequel nous ne pouvons strictement rien. Des maladies totalement éradiquées depuis plus d'un siècle sont revenues en France parce que le taux de vaccination des enfants avait chuté en dessous des 70 %, et par conséquent la porte était de nouveau réouverte à ces menaces invisibles qui ne pardonnent rien.
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