L’origine de la pandémie de Covid-19
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L’origine de la pandémie de Covid-19
Rappel du premier message :
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L’origine de la pandémie de Covid-19 est naturelle, expliquent les scientifiques
par GUILLAUME PIGEARD, le 19 mars 2020
En analysant le séquençage du génome du coronavirus SARS-CoV-2, les scientifiques ont définitivement exclu toute création d’origine humaine, prouvant au contraire une évolution naturelle depuis des virus animaux.
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Crédits : NIAID Rocky Mountain Laboratories
En ce moment, une vidéo fait beaucoup parlé d’elle ayant été vue 3 millions de fois sur Facebook, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Son auteur cherche à montrer que le virus ayant causé la pandémie Covid-19 aurait été mis au point par l’Institut Pasteur. Cela est absolument faux, les scientifiques viennent de démontrer qu’il n’est pas d’origine humaine.
Des preuves concluantes d’une origine animale
À l’époque où [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] au sujet de la pandémie Covid-19, il est primordial d’écouter les scientifiques pour trouver une source d’information fiable. Il y a 2 jours, l’équipe du Dr Kristian Andersena, professeur en immunologie et microbiologie à l’institut de recherche Scripps aux États-Unis, a publié dans le journal Nature Medecine les conclusions de sa longue enquête sur les origines du coronavirus SARS-CoV-2.
En comparant les données de séquencement du génome du virus rendues disponibles à la communauté scientifique par les scientifiques chinois au début de l’épidémie à celles des autres coronavirus connus, l’équipe a « fermement déterminé que le SARS-CoV-2 est d’origine naturelle ». Pour tirer une telle conclusion, ils ont analysé les protéines spiculaires du virus. Ils se sont plus particulièrement intéressés aux domaines de liaisons aux récepteurs (RBD) qui permettent au virus de se fixer sur les cellules humaines et au site de clivagequi lui permet d’ouvrir ces cellules et d’y pénétrer. Selon les scientifiques, l’efficacité redoutable de ces protéines spiculaires à viser ACE2, un récepteur permettant la régulation de la pression sanguine, ne peut que provenir que d’une sélection naturelle, aucun virus produit génétiquement ne pouvant obtenir de tels résultats. Des simulations sur les liaisons [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Un virus issu de la chauve-souris ou du pangolin
Ils ont également observé la structure moléculaire du SARS-CoV-2. Si quelqu’un avait cherché à produire un coronavirus par génie génétique, il se serait appuyé sur un virus existant. Or, les scientifiques ont observé que son squelette diffère de manière substantielle des coronavirus connus et se rapproche davantage des virus présents chez la chauve-souris ou le pangolin. Il reste donc à déterminer comment le virus a pu passer de l’animal à l’Homme.
Deux scénarios sont envisagés. Le premier est similaire aux épidémies précédentes, dont celle du SRAS, dans lesquelles la transmission s’était faite directement de l’animal (civette et chameau) à l’homme avec un virus déjà pathogène. L’autre hypothèse est celle de la transmission d’un virus non pathogène qui a pu muter au contact des premières populations touchées. Malheureusement, il est difficile, voire impossible, de déterminer aujourd’hui lequel de ces scénarios s’est réellement produit. Dans le premier cas, un retour du virus serait simple puisqu’il est toujours présent et actif dans la population animale.
Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Thèmes : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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L’origine de la pandémie de Covid-19 est naturelle, expliquent les scientifiques
par GUILLAUME PIGEARD, le 19 mars 2020
En analysant le séquençage du génome du coronavirus SARS-CoV-2, les scientifiques ont définitivement exclu toute création d’origine humaine, prouvant au contraire une évolution naturelle depuis des virus animaux.
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En ce moment, une vidéo fait beaucoup parlé d’elle ayant été vue 3 millions de fois sur Facebook, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Son auteur cherche à montrer que le virus ayant causé la pandémie Covid-19 aurait été mis au point par l’Institut Pasteur. Cela est absolument faux, les scientifiques viennent de démontrer qu’il n’est pas d’origine humaine.
Des preuves concluantes d’une origine animale
À l’époque où [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] au sujet de la pandémie Covid-19, il est primordial d’écouter les scientifiques pour trouver une source d’information fiable. Il y a 2 jours, l’équipe du Dr Kristian Andersena, professeur en immunologie et microbiologie à l’institut de recherche Scripps aux États-Unis, a publié dans le journal Nature Medecine les conclusions de sa longue enquête sur les origines du coronavirus SARS-CoV-2.
En comparant les données de séquencement du génome du virus rendues disponibles à la communauté scientifique par les scientifiques chinois au début de l’épidémie à celles des autres coronavirus connus, l’équipe a « fermement déterminé que le SARS-CoV-2 est d’origine naturelle ». Pour tirer une telle conclusion, ils ont analysé les protéines spiculaires du virus. Ils se sont plus particulièrement intéressés aux domaines de liaisons aux récepteurs (RBD) qui permettent au virus de se fixer sur les cellules humaines et au site de clivagequi lui permet d’ouvrir ces cellules et d’y pénétrer. Selon les scientifiques, l’efficacité redoutable de ces protéines spiculaires à viser ACE2, un récepteur permettant la régulation de la pression sanguine, ne peut que provenir que d’une sélection naturelle, aucun virus produit génétiquement ne pouvant obtenir de tels résultats. Des simulations sur les liaisons [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien].
Un virus issu de la chauve-souris ou du pangolin
Ils ont également observé la structure moléculaire du SARS-CoV-2. Si quelqu’un avait cherché à produire un coronavirus par génie génétique, il se serait appuyé sur un virus existant. Or, les scientifiques ont observé que son squelette diffère de manière substantielle des coronavirus connus et se rapproche davantage des virus présents chez la chauve-souris ou le pangolin. Il reste donc à déterminer comment le virus a pu passer de l’animal à l’Homme.
Deux scénarios sont envisagés. Le premier est similaire aux épidémies précédentes, dont celle du SRAS, dans lesquelles la transmission s’était faite directement de l’animal (civette et chameau) à l’homme avec un virus déjà pathogène. L’autre hypothèse est celle de la transmission d’un virus non pathogène qui a pu muter au contact des premières populations touchées. Malheureusement, il est difficile, voire impossible, de déterminer aujourd’hui lequel de ces scénarios s’est réellement produit. Dans le premier cas, un retour du virus serait simple puisqu’il est toujours présent et actif dans la population animale.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Covid : les masques n’ont en rien empêché la diffusion d’Omicron
16 mai 2024 17 h 59 min
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Une étude tout ce qu’il y a de plus mainstream vient de confirmer que les masques n’ont pas empêché la variante Omicron du covid de se répandre, et même que le port du masque, obligatoire entre novembre 2021 et janvier 2022 au Royaume-Uni, avait eu des effets néfastes sur l’immunité des enfants. Réalisée par l’université d’East Anglia sous la direction du Pr Paul Hunter, l’étude a été financée par le National Institute for Health and Care Research (NIHR) et publié par PLOS One.
Il ne s’agit donc pas d’une étude « alternative » menée par des scientifiques mettant en doute les données officielles au sujet du covid et de la gestion de la crise, avec ses multiples aspects liberticides et ses aberrations thérapeutiques. Mais quand ce type de conclusions parvient du camp de la docilité aux « solutions » officielles, elles n’en sont que plus délectables.
On se souviendra de ce qu’en novembre 2021, la variante du covid hautement infectieuse baptisée Omicron avait entraîné dans de nombreux pays, dont la France et le Royaume-Uni, la réintroduction de règles telles que le port de masques, l’auto-isolement, le télétravail et les passeports de vaccination ou sanitaires. Selon l’étude du Pr Hunter, si ce type de mesures avaient permis de ralentir le covid au début de la pandémie, elles n’ont guère eu d’effet sur les taux d’infection après l’arrivée de la première vague d’Omicron.
Et cela est particulièrement vrai pour le port du masque, imposé au Royaume-Uni sous peine d’amende pouvant atteindre les 6.400 livres sterling (près de 7.500 euros). Les chercheurs ont également constaté que le port de masques après la première vague d’Omicron pourrait avoir augmenté le risque pour les enfants d’attraper le covid lors des vagues suivantes, parce qu’ils étaient moins immunisés. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : « Les personnes qui ne portaient pas de masque ont contracté toutes leurs infections au cours des deux premières semaines [de la vague] et étaient ensuite immunisées, alors que les personnes qui portaient des masques n’étaient pas immunisées parce qu’elles n’avaient pas eu le covid jusqu’à ce moment-là. »
Il affirme néanmoins que les masques ont « retardé la pandémie » en permettant d’attendre la vaccination massive et en déduit qu’ils « ont donc probablement sauvé de nombreuses vies ». Mais d’ajouter : « Une fois que le covid était durablement installé, et certainement dès qu’Omicron est arrivé avec une infectiosité beaucoup plus grande… les masques n’ont finalement été d’aucune valeur pour la plupart des gens. »
Selon les chercheurs de l’University of East Anglia, les masques ont permis une réduction de 19 % des infections au début de la pandémie, mais ils précisent que cela ne tenait pas compte de la variante Omicron, beaucoup plus transmissible.
D’après leur étude, les adultes qui ne portaient jamais de masque avaient jusqu’à 30 % de risques supplémentaires d’être infectés, contre 10 % seulement pour les enfants, mais que ces avantages avaient totalement disparu dès le mois de février 2022. Ils suggèrent que les masques n’ont servi qu’à retarder l’infection par le Covid, alors que les personnes qui avaient déjà été exposées au virus jouissaient d’une plus grande immunité.
L’étude affirme également que des facteurs tels que le fait de vivre dans un foyer de quatre personnes ou plus, d’appartenir à une minorité ethnique ou de travailler dans le secteur de la santé et de l’aide sociale étaient tous liés à un risque plus élevé au début de la pandémie, mais que ce risque était devenu négligeable après l’épisode Omicron. A la fin du mois de février 2022, le risque réduit d’infection lié au fait d’être retraité ou de vivre avec une personne de plus de 70 ans avait disparu, tandis que le risque pour les adultes vivant avec des enfants diminuait également.
Précisons que les chercheurs ont travaillé sur les données officielles de l’enquête covid de l’Office for National Statistics de novembre 2021 à mai 2022 (avec toutes les questions qui se posent autour de la réalité des « infections » comptabilisées sur la foi de tests contestables). Ils ont estimé les taux d’infection et posé des questions aux personnes pour savoir quels facteurs pouvaient être liés à un test positif.
Mais [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]…
16 mai 2024 17 h 59 min
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Une étude tout ce qu’il y a de plus mainstream vient de confirmer que les masques n’ont pas empêché la variante Omicron du covid de se répandre, et même que le port du masque, obligatoire entre novembre 2021 et janvier 2022 au Royaume-Uni, avait eu des effets néfastes sur l’immunité des enfants. Réalisée par l’université d’East Anglia sous la direction du Pr Paul Hunter, l’étude a été financée par le National Institute for Health and Care Research (NIHR) et publié par PLOS One.
Il ne s’agit donc pas d’une étude « alternative » menée par des scientifiques mettant en doute les données officielles au sujet du covid et de la gestion de la crise, avec ses multiples aspects liberticides et ses aberrations thérapeutiques. Mais quand ce type de conclusions parvient du camp de la docilité aux « solutions » officielles, elles n’en sont que plus délectables.
On se souviendra de ce qu’en novembre 2021, la variante du covid hautement infectieuse baptisée Omicron avait entraîné dans de nombreux pays, dont la France et le Royaume-Uni, la réintroduction de règles telles que le port de masques, l’auto-isolement, le télétravail et les passeports de vaccination ou sanitaires. Selon l’étude du Pr Hunter, si ce type de mesures avaient permis de ralentir le covid au début de la pandémie, elles n’ont guère eu d’effet sur les taux d’infection après l’arrivée de la première vague d’Omicron.
Covid : la variante Omicron passait de toute façon…
Et cela est particulièrement vrai pour le port du masque, imposé au Royaume-Uni sous peine d’amende pouvant atteindre les 6.400 livres sterling (près de 7.500 euros). Les chercheurs ont également constaté que le port de masques après la première vague d’Omicron pourrait avoir augmenté le risque pour les enfants d’attraper le covid lors des vagues suivantes, parce qu’ils étaient moins immunisés. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : « Les personnes qui ne portaient pas de masque ont contracté toutes leurs infections au cours des deux premières semaines [de la vague] et étaient ensuite immunisées, alors que les personnes qui portaient des masques n’étaient pas immunisées parce qu’elles n’avaient pas eu le covid jusqu’à ce moment-là. »
Il affirme néanmoins que les masques ont « retardé la pandémie » en permettant d’attendre la vaccination massive et en déduit qu’ils « ont donc probablement sauvé de nombreuses vies ». Mais d’ajouter : « Une fois que le covid était durablement installé, et certainement dès qu’Omicron est arrivé avec une infectiosité beaucoup plus grande… les masques n’ont finalement été d’aucune valeur pour la plupart des gens. »
Selon les chercheurs de l’University of East Anglia, les masques ont permis une réduction de 19 % des infections au début de la pandémie, mais ils précisent que cela ne tenait pas compte de la variante Omicron, beaucoup plus transmissible.
Omicron n’a pas été empêché de circuler par les masques
D’après leur étude, les adultes qui ne portaient jamais de masque avaient jusqu’à 30 % de risques supplémentaires d’être infectés, contre 10 % seulement pour les enfants, mais que ces avantages avaient totalement disparu dès le mois de février 2022. Ils suggèrent que les masques n’ont servi qu’à retarder l’infection par le Covid, alors que les personnes qui avaient déjà été exposées au virus jouissaient d’une plus grande immunité.
L’étude affirme également que des facteurs tels que le fait de vivre dans un foyer de quatre personnes ou plus, d’appartenir à une minorité ethnique ou de travailler dans le secteur de la santé et de l’aide sociale étaient tous liés à un risque plus élevé au début de la pandémie, mais que ce risque était devenu négligeable après l’épisode Omicron. A la fin du mois de février 2022, le risque réduit d’infection lié au fait d’être retraité ou de vivre avec une personne de plus de 70 ans avait disparu, tandis que le risque pour les adultes vivant avec des enfants diminuait également.
Précisons que les chercheurs ont travaillé sur les données officielles de l’enquête covid de l’Office for National Statistics de novembre 2021 à mai 2022 (avec toutes les questions qui se posent autour de la réalité des « infections » comptabilisées sur la foi de tests contestables). Ils ont estimé les taux d’infection et posé des questions aux personnes pour savoir quels facteurs pouvaient être liés à un test positif.
Mais [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]…
Anne Dolhein
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
ovid : les départements les plus touchés par le retour des contaminations
Publié par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], le 18/06/2024
2 min de lecture
Istock[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Non, la Covid n'est toujours pas derrière nous. Le 11 juin 2024, Santé publique France a alerté de la présence d'un rebond du virus ces dernières semaines. Devrez-vous à nouveau porter un masque ? On vous fait la liste des départements les plus touchés.
]Il est de retour cet été. Le 11 juin 2024, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a publié un rapport qui alerte sur la hausse du nombre de suspicion de cas de virus Covid-19 ces dernières semaines. Effectué à partir des résultats du réseau de l'Organisation de la surveillance coordonnée des urgences (OSCOUR), de SOS Médecins et de l'Insee, ce bulletin note une importante augmentation des passages aux urgences.
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Non, la Covid n'est toujours pas derrière nous. Le 11 juin 2024, Santé publique France a alerté de la présence d'un rebond du virus ces dernières semaines. Devrez-vous à nouveau porter un masque ? On vous fait la liste des départements les plus touchés.
]Il est de retour cet été. Le 11 juin 2024, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a publié un rapport qui alerte sur la hausse du nombre de suspicion de cas de virus Covid-19 ces dernières semaines. Effectué à partir des résultats du réseau de l'Organisation de la surveillance coordonnée des urgences (OSCOUR), de SOS Médecins et de l'Insee, ce bulletin note une importante augmentation des passages aux urgences.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: L’origine de la pandémie de Covid-19
Le microbiologiste et médecin hongkongais renommé, Yuen Kwok-yung, met en garde contre une nouvelle pandémie qui pourrait être plus dévastatrice que le Covid-19. Il exhorte les dirigeants à considérer cette éventualité et à agir pour faire face aux défis mondiaux que représentent le changement climatique rapide et les maladies infectieuses émergentes. L'expert insiste sur l'importance d'une collaboration internationale, essentielle pour la protection de tous.
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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