Le sionisme, c'est quoi
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Le sionisme, c'est quoi
Le sionisme, c'est quoi
Le sionisme est l'ennemi du judaïsme
Rabbin Teitelbaum : "Nous n'avons rien à voir avec le sionisme"
un rabbin explique que le sionisme est politique et pas religieux, que le sionisme est une rébellion satanique contre la Torah
Rabbin Teitelbaum : "Nous n'avons rien à voir avec le sionisme"
un rabbin explique que le sionisme est politique et pas religieux, que le sionisme est une rébellion satanique contre la Torah
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Re: Le sionisme, c'est quoi
Le Contrat de Transfert - Hitler a co fondé Israël en 1933
L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie.
L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'Etat allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands.
L'accord Haavara (en hébreu הסכם העברה, Heskem Haavara, littéralement « accord de transfert ») est un accord signé le 25 août 1933 après trois mois de négociations entre la Fédération sioniste d'Allemagne, la Banque anglo-palestinienne (sous les ordres de l'Agence juive, une agence exécutive officielle en terre palestinienne) et les autorités économiques du régime de l'Allemagne nazie.
L'accord a été conçu pour faciliter l'émigration des Juifs allemands vers la Palestine. Aidant les Juifs à émigrer, il les force à abandonner la plupart de leurs possessions à l'Etat allemand avant le départ. Ces actifs, selon l'accord, pouvaient être obtenus plus tard, en les transférant en Palestine comme biens d'exportation allemands.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Théodore Herzl, le fondateur du sionisme
Les propos de Herzl, une histoire méconnue par le monde - Les propos antisémites de Théodore Herzl, le "père" fondateur du sionisme.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Le vrai visage de Theodor Herzl, le "père" et l'inventeur du sionisme politique
Histoire raconté par un juif :
La simple évocation de certains noms de personnages de l'histoire juive, aujourd'hui pourtant disparus, provoque encore chez certains d'entre nous des réactions extrêmes, voire carrément hystériques.
Je me souviens par exemple d'un cours que je donnais un jour dans la synagogue d'un hôtel à Eilat. On m'y avait invité pour animer le Seder et la fête de pessah'. Je ne sais plus dans quel contexte j'ai mentionné le nom du fondateur du sionisme politique, Théodore Herzl. Aussitôt, l'un des participants se leva, rouge de colère, et se dirigea sans mot dire vers l'Arche Sainte pour la recouvrir d'un Talith. A l'assistance qui, tout comme moi, n'avait pas compris ce qui avait provoqué chez lui cette réaction surprenante, il expliqua, contenant difficilement son émotion: "il est des noms qu'on ne prononce pas dans une synagogue!" Apres la conférence et jugeant que notre homme avait probablement eu le temps de se calmer, j'allais le trouver pour m'excuser d'avoir pu le choquer et j'en profitais pour lui demander si il aurait eu la même conduite pour le cas où j'aurais cité Spinoza ou Marx (Karl, pas Groucho).
-Vous savez bien que ce n'est pas pareil, me répondit-il, excédé à nouveau par ce qu'il pensait être de ma part de l'évidente mauvaise foi!...
Binyamin-Zeev-Théodore Herzl est mort le 3 juillet 1904, à l'âge de 44 ans. Plus d'un siècle après, que savons-nous réellement de celui que les manuels d'histoire en Israël appellent "le visionnaire de l'Etat Juif"? Je suppose que si nous leur posions la question, beaucoup de juifs, israéliens ou non, répondraient quelque chose du genre: "Herzl fut un juif assimilé, journaliste en poste à Paris, secoué par la dégradation du capitaine Dreyfus, et qui fut amené à chercher une réponse à l'antisémitisme sous la forme d'un refuge territorial quelconque pour le peuple juif, n'importe lequel faisant l'affaire". Encore que je soupçonne que mon petit juif irascible d'Eilat aurait été plus direct encore (si tant est qu'il eût été en mesure de me répondre malgré son indignation). J'imagine fort bien de sa part une réponse ressemblant plutôt à ceci: "Herzl, juif honteux, n'avait qu'un but: la disparition du peuple juif. Au départ, il aurait souhaité convertir tout le monde au catholicisme mais se rendant compte des difficultés de la tâche, il opta pour une assimilation collective sous la forme d'un mouvement qu'il appela "sionisme" pour mieux masquer son objectif"
En effet, on m'a fait récemment remarqué que certaines vidéos propageant ce même message et commentées par de respectables rabbins, circulaient en ce moment sur le net. J'ai visionné l'une d'entre elles et le moins que je puisse en dire avec certitude est que leurs auteurs n'ont jamais lu intégralement le moindre ouvrage du journaliste viennois (je n'ose en effet imaginé que l'ayant lu, c'est sciemment qu'ils déforment ainsi la réalité et lui font un tel procès d'intention) ...
Histoire raconté par un juif :
La simple évocation de certains noms de personnages de l'histoire juive, aujourd'hui pourtant disparus, provoque encore chez certains d'entre nous des réactions extrêmes, voire carrément hystériques.
Je me souviens par exemple d'un cours que je donnais un jour dans la synagogue d'un hôtel à Eilat. On m'y avait invité pour animer le Seder et la fête de pessah'. Je ne sais plus dans quel contexte j'ai mentionné le nom du fondateur du sionisme politique, Théodore Herzl. Aussitôt, l'un des participants se leva, rouge de colère, et se dirigea sans mot dire vers l'Arche Sainte pour la recouvrir d'un Talith. A l'assistance qui, tout comme moi, n'avait pas compris ce qui avait provoqué chez lui cette réaction surprenante, il expliqua, contenant difficilement son émotion: "il est des noms qu'on ne prononce pas dans une synagogue!" Apres la conférence et jugeant que notre homme avait probablement eu le temps de se calmer, j'allais le trouver pour m'excuser d'avoir pu le choquer et j'en profitais pour lui demander si il aurait eu la même conduite pour le cas où j'aurais cité Spinoza ou Marx (Karl, pas Groucho).
-Vous savez bien que ce n'est pas pareil, me répondit-il, excédé à nouveau par ce qu'il pensait être de ma part de l'évidente mauvaise foi!...
Binyamin-Zeev-Théodore Herzl est mort le 3 juillet 1904, à l'âge de 44 ans. Plus d'un siècle après, que savons-nous réellement de celui que les manuels d'histoire en Israël appellent "le visionnaire de l'Etat Juif"? Je suppose que si nous leur posions la question, beaucoup de juifs, israéliens ou non, répondraient quelque chose du genre: "Herzl fut un juif assimilé, journaliste en poste à Paris, secoué par la dégradation du capitaine Dreyfus, et qui fut amené à chercher une réponse à l'antisémitisme sous la forme d'un refuge territorial quelconque pour le peuple juif, n'importe lequel faisant l'affaire". Encore que je soupçonne que mon petit juif irascible d'Eilat aurait été plus direct encore (si tant est qu'il eût été en mesure de me répondre malgré son indignation). J'imagine fort bien de sa part une réponse ressemblant plutôt à ceci: "Herzl, juif honteux, n'avait qu'un but: la disparition du peuple juif. Au départ, il aurait souhaité convertir tout le monde au catholicisme mais se rendant compte des difficultés de la tâche, il opta pour une assimilation collective sous la forme d'un mouvement qu'il appela "sionisme" pour mieux masquer son objectif"
En effet, on m'a fait récemment remarqué que certaines vidéos propageant ce même message et commentées par de respectables rabbins, circulaient en ce moment sur le net. J'ai visionné l'une d'entre elles et le moins que je puisse en dire avec certitude est que leurs auteurs n'ont jamais lu intégralement le moindre ouvrage du journaliste viennois (je n'ose en effet imaginé que l'ayant lu, c'est sciemment qu'ils déforment ainsi la réalité et lui font un tel procès d'intention) ...
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Un rabbin explique que le sionisme est une hérésie
Un rabbin explique pourquoi le sionisme est incompatible au judaïsme
Erasmus Fondation
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Un rabbin explique pourquoi le sionisme est incompatible au judaïsme
Erasmus Fondation
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Re: Le sionisme, c'est quoi
Discours de N Finkelstein, un juif antisioniste
Docteur en Sciences Politiques, Norman Finkelstein est l'auteur de plusieurs ouvrages.
Discours choc de N. Finkelstein un juif antisioniste
Reportage Palestine
Note. Il faut savoir qu'aucun pays arabe n'a livré de Juifs à Hitler à la demande du régime nazi.
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Docteur en Sciences Politiques, Norman Finkelstein est l'auteur de plusieurs ouvrages.
Discours choc de N. Finkelstein un juif antisioniste
Reportage Palestine
Note. Il faut savoir qu'aucun pays arabe n'a livré de Juifs à Hitler à la demande du régime nazi.
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Re: Le sionisme, c'est quoi
SÉMITE, subst. et adj.
I. − Subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient au groupe ethnique et linguistique dont Sem est considéré comme l'ancêtre.
Les sémites primitifs; les sémites nomades; les anciens sémites; une tribu de sémites. C'est uniquement sur des données historiques et linguistiques que se fonde Moïse pour déterminer les groupements ethniques qui descendent de Sem, de Cham et de Japhet: les Sémites, pasteurs nomades, les Chamites sédentaires et les fils de Japhet, ancêtres des races caucasiques (Hist. sc., 1957, p. 1436).
Les Sémites de l'Ouest, appelés ainsi pour les distinguer de leurs congénères orientaux, Babyloniens et Assyriens, représentent (...) divers peuples ou groupes de peuples, établis au Proche Orient plusieurs millénaires avant l'ère chrétienne (Mythol.1981).
Empl. adj. Les Juifs primitifs étaient un peuple sémite (Haddon, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 44).
− En partic., gén. avec une connotation péj. Juif. Le prix de haute tartuferie me paraît revenir sans conteste à ceux qui, dans la presse et dans la Chambre, déclament contre le péril clérical et la dictature militaire, tout en donnant libre carrière à ces puissances contre le méprisable sémite avec qui l'aryanisme aristocratique n'a rien à faire (Clemenceau, Iniquité, 1899, p. 261).
Empl. adj. Suivaient les hommes politiques dans les loges des muses gouvernementales et sémites (Lorrain, Phocas, 1901, p. 256).
II. − Adj. Qui est relatif, qui est propre aux sémites. Synon. sémitique A.Type sémite. Un des types anthropologiques décrits par les auteurs du xixs. Le type sémite est l'un des plus répandus (...). Les anciens Assyriens, Syriens, Phéniciens et Carthaginois et les modernes Arabes et Juifs sont rangés sous ce chef (P. Topinard, L'Anthropol., 1895, p. 477). Le chef des Bororo, race nomade de pasteurs, au type sémite fortement accusé, nous a accompagnés de Léré jusqu'à Biparé (Gide, Retour Tchad, 1928, p. 956).
− En partic. Qui est relatif, qui est propre aux Juifs. [Disraëli] pensait que des déluges de pensée ecclésiastique submergent périodiquement les esprits et que ces orages ont peu d'importance parce que les eaux, en se retirant, permettent toujours d'apercevoir la même arche, immobile au sommet du mont. Cette arche, c'est la révélation sémite et chrétienne, la Bible complétée par les Évangiles (Maurois, Disraëli, 1927, p. 240). Les Juifs sont désormais tolérés, non seulement parce qu'ils sont bons banquiers et bons géographes, mais parce qu'il y a entre le nouvel esprit puritain et l'esprit sémite de curieuses analogies (Morand, Londres, 1933, p. 266).
:diamonds: Péj. Il y avait autour de la table, côté des hommes, tout autant de profils sémites qu'un soir de réception de Mme Buloz (Lorrain, Sens. et souv., 1895, p. 30).
Chamite ou(k)hamite,(hamite, khamite) subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient aux populations d'Afrique orientale, Éthiopiens, Lybiens entre autres, dont Cham est considéré comme l'ancêtre. Les pays du sud (Mésopotamie, Syrie et Arabie) avaient primitivement une population variée de dolichocéphales, les uns à peau claire comme les Méditerranéens et les Sémites, les autres à peau foncée comme les Hamites(Haddon, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 162).Supra de Hist. sc.
2.
Chamitique ou(k)hamitique,(hamitique, khamitique) adj.Qui est relatif, qui est propre aux Chamites. V. mélange ex. 3.
Prononc. et Orth.: [semit]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1. 1845 adj. et subst. ethnol. (Besch.); 2. a) 1884 subst., abusivement « juif » (Péladan, Vice supr., p. 104); 1893 adj. (Goncourt, Journal, p. 396: une cervelle sémite); 1895 profil sémite (Lorrain, loc. cit.); 1895 type sémite (P. Topinard, loc. cit.); b) 1938 (Pie XI, Déclaration à un groupe de pèlerins de la Radio catholique belge, 6 sept., rapportée ds La Docum. cath., t. 39, 1938, col. 1460: Il n'est pas possible aux chrétiens de participer à l'antisémitisme [...] Nous sommes spirituellement des sémites). Dér., au moyen du suff. -ite*, de Sem, lat. Sem, gr. Σ η ́ μ, hébr. Shēm (un des trois fils de Noé, avec Cham et Japhet, Gen. 5, 32; 9, 26-27; 10, 21-31; cf. chamitique et japhétique) à qui la tradition attribue l'origine des peuples sémitiques. Fréq. abs. littér.: 55.
[ltr]http://www.cnrtl.fr/definition/semites[/ltr]
I. − Subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient au groupe ethnique et linguistique dont Sem est considéré comme l'ancêtre.
Les sémites primitifs; les sémites nomades; les anciens sémites; une tribu de sémites. C'est uniquement sur des données historiques et linguistiques que se fonde Moïse pour déterminer les groupements ethniques qui descendent de Sem, de Cham et de Japhet: les Sémites, pasteurs nomades, les Chamites sédentaires et les fils de Japhet, ancêtres des races caucasiques (Hist. sc., 1957, p. 1436).
Les Sémites de l'Ouest, appelés ainsi pour les distinguer de leurs congénères orientaux, Babyloniens et Assyriens, représentent (...) divers peuples ou groupes de peuples, établis au Proche Orient plusieurs millénaires avant l'ère chrétienne (Mythol.1981).
Empl. adj. Les Juifs primitifs étaient un peuple sémite (Haddon, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 44).
− En partic., gén. avec une connotation péj. Juif. Le prix de haute tartuferie me paraît revenir sans conteste à ceux qui, dans la presse et dans la Chambre, déclament contre le péril clérical et la dictature militaire, tout en donnant libre carrière à ces puissances contre le méprisable sémite avec qui l'aryanisme aristocratique n'a rien à faire (Clemenceau, Iniquité, 1899, p. 261).
Empl. adj. Suivaient les hommes politiques dans les loges des muses gouvernementales et sémites (Lorrain, Phocas, 1901, p. 256).
II. − Adj. Qui est relatif, qui est propre aux sémites. Synon. sémitique A.Type sémite. Un des types anthropologiques décrits par les auteurs du xixs. Le type sémite est l'un des plus répandus (...). Les anciens Assyriens, Syriens, Phéniciens et Carthaginois et les modernes Arabes et Juifs sont rangés sous ce chef (P. Topinard, L'Anthropol., 1895, p. 477). Le chef des Bororo, race nomade de pasteurs, au type sémite fortement accusé, nous a accompagnés de Léré jusqu'à Biparé (Gide, Retour Tchad, 1928, p. 956).
− En partic. Qui est relatif, qui est propre aux Juifs. [Disraëli] pensait que des déluges de pensée ecclésiastique submergent périodiquement les esprits et que ces orages ont peu d'importance parce que les eaux, en se retirant, permettent toujours d'apercevoir la même arche, immobile au sommet du mont. Cette arche, c'est la révélation sémite et chrétienne, la Bible complétée par les Évangiles (Maurois, Disraëli, 1927, p. 240). Les Juifs sont désormais tolérés, non seulement parce qu'ils sont bons banquiers et bons géographes, mais parce qu'il y a entre le nouvel esprit puritain et l'esprit sémite de curieuses analogies (Morand, Londres, 1933, p. 266).
:diamonds: Péj. Il y avait autour de la table, côté des hommes, tout autant de profils sémites qu'un soir de réception de Mme Buloz (Lorrain, Sens. et souv., 1895, p. 30).
Chamite ou(k)hamite,(hamite, khamite) subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient aux populations d'Afrique orientale, Éthiopiens, Lybiens entre autres, dont Cham est considéré comme l'ancêtre. Les pays du sud (Mésopotamie, Syrie et Arabie) avaient primitivement une population variée de dolichocéphales, les uns à peau claire comme les Méditerranéens et les Sémites, les autres à peau foncée comme les Hamites(Haddon, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 162).Supra de Hist. sc.
2.
Chamitique ou(k)hamitique,(hamitique, khamitique) adj.Qui est relatif, qui est propre aux Chamites. V. mélange ex. 3.
Prononc. et Orth.: [semit]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1. 1845 adj. et subst. ethnol. (Besch.); 2. a) 1884 subst., abusivement « juif » (Péladan, Vice supr., p. 104); 1893 adj. (Goncourt, Journal, p. 396: une cervelle sémite); 1895 profil sémite (Lorrain, loc. cit.); 1895 type sémite (P. Topinard, loc. cit.); b) 1938 (Pie XI, Déclaration à un groupe de pèlerins de la Radio catholique belge, 6 sept., rapportée ds La Docum. cath., t. 39, 1938, col. 1460: Il n'est pas possible aux chrétiens de participer à l'antisémitisme [...] Nous sommes spirituellement des sémites). Dér., au moyen du suff. -ite*, de Sem, lat. Sem, gr. Σ η ́ μ, hébr. Shēm (un des trois fils de Noé, avec Cham et Japhet, Gen. 5, 32; 9, 26-27; 10, 21-31; cf. chamitique et japhétique) à qui la tradition attribue l'origine des peuples sémitiques. Fréq. abs. littér.: 55.
[ltr]http://www.cnrtl.fr/definition/semites[/ltr]
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
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Bible :
Ezéchiel 9: 6-10 Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit: Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis!… Sortez!… Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville. Comme ils frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m’écriai: Ah! Seigneur Eternel, détruiras–tu tout ce qui reste d’Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem? Il me répondit: L’iniquité de la maison d’Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d’injustice, car ils disent: L’Eternel a abandonné le pays, l’Eternel ne voit rien. Moi aussi, je serai sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs oeuvres sur leur tête..
Ésaïe 59:1 Non, la main de l'Eternel n'est pas trop courte pour sauver, Ni son oreille trop dure pour entendre. 2 Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l'empêchent de vous écouter. 3 Car vos mains sont souillées de sang, Et vos doigts de crimes; Vos lèvres profèrent le mensonge, Votre langue fait entendre l'iniquité.
1 Thessaloniciens 2:14 Car vous, frères, vous êtes devenus les imitateurs des Eglises de Dieu qui sont en Jésus-Christ dans la Judée, parce que vous aussi, vous avez souffert de la part de vos propres compatriotes les mêmes maux qu'elles ont soufferts de la part des Juifs. 15 Ce sont ces Juifs qui ont fait mourir le Seigneur Jésus et les prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes, 16 nous empêchant de parler aux païens pour qu'ils soient sauvés, en sorte qu'ils ne cessent de mettre le comble à leurs péchés. Mais la colère a fini par les atteindre.
Matthieu 15:1 Alors des pharisiens et des scribes vinrent de Jérusalem auprès de Jésus, et dirent: 2 Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens? Car ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas. 3 Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? 4 Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. 5 Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, 6 n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère. Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. 7 Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit: 8 Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. 9 C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes.
Invention de l'antisémitisme
Wilhelm Marr publie en mars 1879 un pamphlet intitulé : La victoire du judaïsme sur la germanité considérée d'un point de vue non confessionnel. Dans la foulée, il participe le 26 septembre 1879 à une réunion en vue de la création d'une « Ligue des antisémites » (Antisemiten-Liga).
Dès le 2 septembre 1879, le journal juif Allgemeine Zeitung des Judenthums révèle le projet de Wilhelm Marr de créer aussi un hebdomadaire antisémite (« antisemitische Wochenblatt »). C'est ainsi qu'apparaît pour la première fois ce mot appelé à une
[ltr]sinistre diffusion[/ltr]
.
En employant le mot antisémitisme pour désigner la haine des juifs et d'eux seuls, Wilhelm Marr et ses émules commettent une double erreur :
1) ils assimilent une catégorie linguistique (les langues sémitiques) à une catégorie raciale, 2) ils réduisent les usagers des langues sémitiques aux juifs en oubliant les Phéniciens, les Arabes... Du fait de cette étymologie déficiente, le mot antisémitisme suscite une question récurrente : un arabophone qui hait les juifs peut-il être qualifié d'antisémite ? Le mot antijuif serait mieux adapté... mais la tradition historique s'oppose à son emploi.
[ltr]https://www.herodote.net/Les_juifs_en_e ... ese-24.php[/ltr]
Bible :
Ezéchiel 9: 6-10 Tuez, détruisez les vieillards, les jeunes hommes, les vierges, les enfants et les femmes; mais n’approchez pas de quiconque aura sur lui la marque; et commencez par mon sanctuaire! Ils commencèrent par les anciens qui étaient devant la maison. Il leur dit: Souillez la maison, et remplissez de morts les parvis!… Sortez!… Ils sortirent, et ils frappèrent dans la ville. Comme ils frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m’écriai: Ah! Seigneur Eternel, détruiras–tu tout ce qui reste d’Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem? Il me répondit: L’iniquité de la maison d’Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d’injustice, car ils disent: L’Eternel a abandonné le pays, l’Eternel ne voit rien. Moi aussi, je serai sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs oeuvres sur leur tête..
Ésaïe 59:1 Non, la main de l'Eternel n'est pas trop courte pour sauver, Ni son oreille trop dure pour entendre. 2 Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation Entre vous et votre Dieu; Ce sont vos péchés qui vous cachent sa face Et l'empêchent de vous écouter. 3 Car vos mains sont souillées de sang, Et vos doigts de crimes; Vos lèvres profèrent le mensonge, Votre langue fait entendre l'iniquité.
1 Thessaloniciens 2:14 Car vous, frères, vous êtes devenus les imitateurs des Eglises de Dieu qui sont en Jésus-Christ dans la Judée, parce que vous aussi, vous avez souffert de la part de vos propres compatriotes les mêmes maux qu'elles ont soufferts de la part des Juifs. 15 Ce sont ces Juifs qui ont fait mourir le Seigneur Jésus et les prophètes, qui nous ont persécutés, qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes, 16 nous empêchant de parler aux païens pour qu'ils soient sauvés, en sorte qu'ils ne cessent de mettre le comble à leurs péchés. Mais la colère a fini par les atteindre.
Matthieu 15:1 Alors des pharisiens et des scribes vinrent de Jérusalem auprès de Jésus, et dirent: 2 Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens? Car ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas. 3 Il leur répondit: Et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu au profit de votre tradition? 4 Car Dieu a dit: Honore ton père et ta mère; et: Celui qui maudira son père ou sa mère sera puni de mort. 5 Mais vous, vous dites: Celui qui dira à son père ou à sa mère: Ce dont j'aurais pu t'assister est une offrande à Dieu, 6 n'est pas tenu d'honorer son père ou sa mère. Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition. 7 Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit: 8 Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. 9 C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes.
Invention de l'antisémitisme
Wilhelm Marr publie en mars 1879 un pamphlet intitulé : La victoire du judaïsme sur la germanité considérée d'un point de vue non confessionnel. Dans la foulée, il participe le 26 septembre 1879 à une réunion en vue de la création d'une « Ligue des antisémites » (Antisemiten-Liga).
Dès le 2 septembre 1879, le journal juif Allgemeine Zeitung des Judenthums révèle le projet de Wilhelm Marr de créer aussi un hebdomadaire antisémite (« antisemitische Wochenblatt »). C'est ainsi qu'apparaît pour la première fois ce mot appelé à une
[ltr]sinistre diffusion[/ltr]
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De la science à l'idéologie
Bien avant Wilhelm Marr, les linguistes européens ont identifié une origine commune aux langues hébraïque, arabe, araméenne, assyrienne et guèze (éthiopien ancien). En souvenir de la Bible, ils ont rangé toutes ces langues sous l'épithète sémitique.
Le mot tire son origine de Sem, fils de Noé et ancêtre d'
[ltr]Abraham[/ltr]
. Selon la Bible, Abraham engendra Ismaël avec sa servante Agar et Isaac avec son épouse Sara. Du premier descendraient les Arabes et du second les Hébreux !
En employant le mot antisémitisme pour désigner la haine des juifs et d'eux seuls, Wilhelm Marr et ses émules commettent une double erreur :
1) ils assimilent une catégorie linguistique (les langues sémitiques) à une catégorie raciale, 2) ils réduisent les usagers des langues sémitiques aux juifs en oubliant les Phéniciens, les Arabes... Du fait de cette étymologie déficiente, le mot antisémitisme suscite une question récurrente : un arabophone qui hait les juifs peut-il être qualifié d'antisémite ? Le mot antijuif serait mieux adapté... mais la tradition historique s'oppose à son emploi.
[ltr]https://www.herodote.net/Les_juifs_en_e ... ese-24.php[/ltr]
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
L'antisémitisme Ashkenaz ???
Les Juifs Ashkenazes ne sont pas sémites !
sémite
Définition et Synonymes - Définition Mediadico[/size]
sémite(adjectif, nom)
Qui appartient aux peuples du Proche-Orient parlant ou ayant parlé une langue sémitique
(Arabes, Hébreux, Phéniciens, etc.). https://www.mediadico.com/dictionnaire/definition/improprement/
Improprement, Juif.
1 : juif, sémitique, hébreu, israélite.
2 Définition du dictionnaire Littré
> SÉMITE
Prononciation : sé-mi-t'
s. m.
Nom de peuples asiatiques ou africains qu'on rattache, d'après la Bible, à Sem, comme à leur auteur. Les Sémites comprennent les peuples qui parlèrent ou qui parlent babylonien, chaldéen, phénicien, hébreu, samaritain, syriaque, arabe et éthiopien.
https://www.mediadico.com/dictionnaire/definition/semite/
Sémite :personne appartenant à un des peuples originaires d’Asie occidentale (ancienne Mésopotamie et du Moyen-Orient), que la tradition fait descendre de Sem, fils de Noé, et qui ont parlé ou parlent les langues dites sémitiques (l'hébreu, l'arabe, l'araméen, le babylonien, l'assyrien, et l'amharique).
Le terme "sémite" désigne plus particulièrement les peuples et les tribus bibliques ainsi que leurs descendants actuels, incluant aussi bien les Hébreux que les Arabes. Il n’est donc pas synonyme de juif. Ce mot est tombé en désuétude.
Hébreu (selon la tradition juive, de l'hébreu ivri, dérivé de Eber, descendant de Sem qui était le fils de Noé, ou de ever, "au-delà" [du fleuve Euphrate]) : personne appartenant au peuple des Hébreux. La Bible nomme Hébreux les tribus sémitiques semi-nomades qui vivaient en Syrie depuis le XIXe ou XVIIIe siècle avant JC et qui, après avoir traversé l'Euphrate, se sont installées en terre de Canaan (la Palestine) sous la conduite d'Abraham. Cet épisode est relaté par la Genèse, Chapitre XII. Ceux qui plus tard s'installèrent en Egypte avec Joseph furent contraints à l'esclavage (L'Exil) jusqu'à ce que Moïse les libère et les amène sur la Terre Promise. A partir du VIe siècle avant JC, ils se désignent comme les Judéens d'où dérive le mot "juif".
Dans les évangiles, les Hébreux sont les Juifs de Palestine qui parlent l'araméen.
L'hébreu est aussi la langue, d'origine sémitique, de l'ancien peuple d'Israël (de la Bible Hébraïque) ainsi que la langue officielle de l'Etat actuel d'Israël.
Israélite : descendant du peuple d'Israël formé par les douze fils de Jacob dont l'histoire, décrite dans la Bible, commence à la sortie d'Égypte avec Moïse. Après le schisme qui suivit le règne du roi Salomon, le terme "israélite" (du royaume d'Israël) s'oppose à "judéen" (du royaume de Judée) d'où dérive le mot "juif". De nos jours, "israélite" est souvent utilisé comme euphémisme pour éviter d'employer le mot "juif".
Juif : (de l'hébreu Yehoudi, habitant de Judée, l'un des deux royaumes rivaux après le schisme du royaume d'Israël) personne appartenant à la communauté du "peuple juif", descendant des Hébreux ou de ceux "qui les ont ralliés" au cours des époques. Bien qu'il se confonde parfois avec le sens d'appartenance religieuse, le mot "juif" a plutôt une signification d'appartenance ethnique. La grande majorité des Juifs se considèrent comme formant un peuple unique et membres d'une nation disséminée dans les pays du monde (Diaspora).
Dans la pratique moderne, le terme "juif" inclut à la fois l'individu qui pratique le judaïsme et l'individu qui, même sans pratiquer cette religion, s'identifie comme juif en vertu de son héritage familial et culturel.
Longtemps considérés comme déicides par les chrétiens, les Juifs ont été, très souvent au cours de l'histoire, victimes de brimades, de discriminations, de pogroms (émeutes antisémites) et de persécutions... L'antisémitisme a atteint son point culminant dans la première moitié du XXe avec le racisme anti-juif des nazis et leur entreprise d'extermination, un génocide appelé Shoah ("catastrophe" en hébreu), qui a provoqué la mort de 5 à 6 millions de personnes selon les estimations des historiens.
Sioniste : (de l'hébreu sion, l'une des collines de Jérusalem) partisan du sionisme. Le sionisme est un mouvement né à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, visant à la création d'un Etat juif indépendant en Palestine. Il s'est développé sous la pression de l'antisémitisme et des pogroms d'Europe centrale, mais aussi à cause du choc provoqué par l'affaire Dreyfus.
Plus politique que religieux, le sionisme trouve cependant son inspiration dans le sentiment mystique de l'avènement messianique et du retour du peuple juif sur la Terre Promise.
Le sionisme, dont Theodor Herzl fut le principal organisateur (premier congrès à Bâle en 1897),[/size] rencontra des oppositions au sein même de la Diaspora juive, mais devint l'espoir pour les communautés persécutées d'Europe orientale. La déclaration Balfour, en 1917, permit la création d'un Foyer juif en Palestine. Il fut à l'origine de la création de l'État d'Israël en 1948.
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Les Juifs Ashkenazes ne sont pas sémites !
sémite
Définition et Synonymes - Définition Mediadico[/size]
sémite(adjectif, nom)
Qui appartient aux peuples du Proche-Orient parlant ou ayant parlé une langue sémitique
(Arabes, Hébreux, Phéniciens, etc.). https://www.mediadico.com/dictionnaire/definition/improprement/
Improprement, Juif.
1 : juif, sémitique, hébreu, israélite.
2 Définition du dictionnaire Littré
> SÉMITE
Prononciation : sé-mi-t'
s. m.
Nom de peuples asiatiques ou africains qu'on rattache, d'après la Bible, à Sem, comme à leur auteur. Les Sémites comprennent les peuples qui parlèrent ou qui parlent babylonien, chaldéen, phénicien, hébreu, samaritain, syriaque, arabe et éthiopien.
https://www.mediadico.com/dictionnaire/definition/semite/
Sémite :personne appartenant à un des peuples originaires d’Asie occidentale (ancienne Mésopotamie et du Moyen-Orient), que la tradition fait descendre de Sem, fils de Noé, et qui ont parlé ou parlent les langues dites sémitiques (l'hébreu, l'arabe, l'araméen, le babylonien, l'assyrien, et l'amharique).
Le terme "sémite" désigne plus particulièrement les peuples et les tribus bibliques ainsi que leurs descendants actuels, incluant aussi bien les Hébreux que les Arabes. Il n’est donc pas synonyme de juif. Ce mot est tombé en désuétude.
Hébreu (selon la tradition juive, de l'hébreu ivri, dérivé de Eber, descendant de Sem qui était le fils de Noé, ou de ever, "au-delà" [du fleuve Euphrate]) : personne appartenant au peuple des Hébreux. La Bible nomme Hébreux les tribus sémitiques semi-nomades qui vivaient en Syrie depuis le XIXe ou XVIIIe siècle avant JC et qui, après avoir traversé l'Euphrate, se sont installées en terre de Canaan (la Palestine) sous la conduite d'Abraham. Cet épisode est relaté par la Genèse, Chapitre XII. Ceux qui plus tard s'installèrent en Egypte avec Joseph furent contraints à l'esclavage (L'Exil) jusqu'à ce que Moïse les libère et les amène sur la Terre Promise. A partir du VIe siècle avant JC, ils se désignent comme les Judéens d'où dérive le mot "juif".
Dans les évangiles, les Hébreux sont les Juifs de Palestine qui parlent l'araméen.
L'hébreu est aussi la langue, d'origine sémitique, de l'ancien peuple d'Israël (de la Bible Hébraïque) ainsi que la langue officielle de l'Etat actuel d'Israël.
Israélite : descendant du peuple d'Israël formé par les douze fils de Jacob dont l'histoire, décrite dans la Bible, commence à la sortie d'Égypte avec Moïse. Après le schisme qui suivit le règne du roi Salomon, le terme "israélite" (du royaume d'Israël) s'oppose à "judéen" (du royaume de Judée) d'où dérive le mot "juif". De nos jours, "israélite" est souvent utilisé comme euphémisme pour éviter d'employer le mot "juif".
Juif : (de l'hébreu Yehoudi, habitant de Judée, l'un des deux royaumes rivaux après le schisme du royaume d'Israël) personne appartenant à la communauté du "peuple juif", descendant des Hébreux ou de ceux "qui les ont ralliés" au cours des époques. Bien qu'il se confonde parfois avec le sens d'appartenance religieuse, le mot "juif" a plutôt une signification d'appartenance ethnique. La grande majorité des Juifs se considèrent comme formant un peuple unique et membres d'une nation disséminée dans les pays du monde (Diaspora).
Dans la pratique moderne, le terme "juif" inclut à la fois l'individu qui pratique le judaïsme et l'individu qui, même sans pratiquer cette religion, s'identifie comme juif en vertu de son héritage familial et culturel.
Longtemps considérés comme déicides par les chrétiens, les Juifs ont été, très souvent au cours de l'histoire, victimes de brimades, de discriminations, de pogroms (émeutes antisémites) et de persécutions... L'antisémitisme a atteint son point culminant dans la première moitié du XXe avec le racisme anti-juif des nazis et leur entreprise d'extermination, un génocide appelé Shoah ("catastrophe" en hébreu), qui a provoqué la mort de 5 à 6 millions de personnes selon les estimations des historiens.
Sioniste : (de l'hébreu sion, l'une des collines de Jérusalem) partisan du sionisme. Le sionisme est un mouvement né à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, visant à la création d'un Etat juif indépendant en Palestine. Il s'est développé sous la pression de l'antisémitisme et des pogroms d'Europe centrale, mais aussi à cause du choc provoqué par l'affaire Dreyfus.
Plus politique que religieux, le sionisme trouve cependant son inspiration dans le sentiment mystique de l'avènement messianique et du retour du peuple juif sur la Terre Promise.
Le sionisme, dont Theodor Herzl fut le principal organisateur (premier congrès à Bâle en 1897),[/size] rencontra des oppositions au sein même de la Diaspora juive, mais devint l'espoir pour les communautés persécutées d'Europe orientale. La déclaration Balfour, en 1917, permit la création d'un Foyer juif en Palestine. Il fut à l'origine de la création de l'État d'Israël en 1948.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Les Juifs Ashkenazes ne sont pas sémites !
Bible :
Genèse 10:1 Voici la postérité des fils de Noé, Sem, Cham et Japhet. Il leur naquit des fils après le déluge. 2 Les fils de Japhet furent: Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méschec et Tiras. 3 Les fils de Gomer: Aschkenaz, Riphat et Togarma.…
1 Chroniques 1:1 Adam, Seth, Enosch, 2 Kénan, Mahalaleel, Jéred, 3 Hénoc, Metuschélah, Lémec, 4 Noé, Sem, Cham et Japhet. 5 Fils de Japhet: Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méschec et Tiras. - 6 Fils de Gomer: Aschkenaz, Diphat et Togarma.
Genèse 11:10 Voici la postérité de Sem. "= Sémite". Sem, âgé de cent ans, engendra Arpacschad, deux ans après le déluge. 11 Sem vécut, après la naissance d'Arpacschad, cinq cents ans; et il engendra des fils et des filles.
24 Nachor, âgé de vingt-neuf ans, engendra Térach. 25 Nachor vécut, après la naissance de Térach, cent dix-neuf ans; et il engendra des fils et des filles. 26 Térach, âgé de soixante-dix ans, engendra Abram, Nachor et Haran.
SÉMITES
Depuis la Destruction du 2e Temple de Jérusalem, qui contenait les registres de Généalogie des 12 Tribus. Détruit avec le Temple. Et depuis la Dispersion qui s'en est suivie, plus personne ne peut affirmer de manière irrévocable être de la Tribu de Juda dont le Messie prophétisé par Jacob (Ge 49), doit provenir. Jésus est Descendant de la Tribu de Juda.
L'adjectif « sémitique » a été forgé par l'orientaliste allemand A. L. Schlözel dans le tome VIII (1781) du Repertorium für biblische und morgenländische Literatur de J. G. Eichhorn, pour désigner des langues dont la parenté était perçue dès le Moyen Âge par les docteurs juifs : l'hébreu, l'araméen et l'arabe. L'appellation était choisie par référence au « tableau des peuples » de la Genèse (x) où Sem, fils de Noé, est donné comme le père d'Abram et l'ascendant d'Eber, éponyme des Hébreux, ainsi que de Yoqtan, ancêtre de diverses populations d'Arabie.
Cela est purement conventionnel, puisque le texte biblique range parmi les descendants de Sem les Élamites et les Lydiens, dont les langues n'étaient pas sémitiques, et, en revanche, fait des Cananéens des enfants de Cham, alors même que l'hébreu est défini ailleurs (Isaïe, xix, 18) comme la « langue de Canaan ». Néanmoins, l'usage s'en est universellement répandu et le terme « Sémites » a été appliqué à tous les peuples parlant ou ayant parlé des langues sémitiques, peuples qui ont joué un grand rôle dans le Proche-Orient asiatique dès l'aube de l'histoire et auxquels le monde actuel est redevable de l'écriture alphabétique et des trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l'islam. Le critère linguistique est le seul qui permette de définir avec certitude une famille sémitique et de postuler une unité préhistorique des Sémites.
L'hypothèse d'une origine commune des peuples sémitiques est d'autant plus vraisemblable qu'à la différence des Indo-Européens ou des Ouraliens ils ont occupé une aire continue et bien délimitée comprenant la péninsule arabique, la steppe syro-arabe et ce que l'égyptologue américain J. H. Breasted a appelé le « Croissant fertile », à savoir la côte orientale de la Méditerranée depuis le Sinaï jusqu'au Taurus, la Syrie du Nord et la Mésopotamie.
https://www.universalis.fr/encyclopedie/semites/
«Les fils de Japhet furent: Gomer, Magog,...Les fils de Gomer: Aschkenaz,...»(Ge 10:2-5), les Ashkénazes ne sont donc ni Sémites, ni Hébreux, ni Juifs. Mais juste Sionistes. Et Khazars, une Ethnie
Turque descendants de Japhet. et non de sem.Les fils de Japhet furent: Gomer, Magog,...Les fils de Gomer: Aschkenaz,...»(Ge 10:2-5), Khazars, une Ethnie Turque descendants de Japhet. et non de sem.
Les juifs ashkénazes ne sont pas un peuple sémite comme le laisse croire l'histoire récente. Ce qui n’est pas le cas des juifs séfarades qui sont juifs de religion, mais aussi juif (ou hébreux) de "race".
Les ashkénazes sont d'origine caucasienne turcophone (Khazar) et ont adopté la religion juive au 8e siècle.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Les Juifs pratiquants ne peuvent pas être sionistes
Un Juif révèle toute la vérité sur l’Etat d’Israël ! (La vidéo a provoqué la colère d’Israël)
La Renaissance Turque
(La vidéo qui a provoqué la colère de l'état d’Israël).
Les Juifs pratiquants ne peuvent pas être sionistes, car, selon la Torah, c'est une rébellion contre Dieu.
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Un Juif révèle toute la vérité sur l’Etat d’Israël ! (La vidéo a provoqué la colère d’Israël)
La Renaissance Turque
(La vidéo qui a provoqué la colère de l'état d’Israël).
Les Juifs pratiquants ne peuvent pas être sionistes, car, selon la Torah, c'est une rébellion contre Dieu.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: Le sionisme, c'est quoi
Les Sémites
L'appellation de Sémite trouve son origine dans le célèbre tableau des nations au chapitre X de la Genèse, dans lequel Sem, l'un des trois fils de Noé, avec Cham et Japheth, est donné comme le père d'Héber (les Hébreux), Élam, Assur, Aram, Arphaxad et Lud.
C'est là une classification élémentaire, qui rend compte, certes, d'un état de fait politique vers le début du ~ Ier millénaire, mais qui attribue une souche commune aux Elamites qui parlent une langue asianique et aux Hébreux, Assyriens et Araméens, dont les dialectes sont sémitiques.
Comme l'indo-européen, le sémitique est plus un concept linguistique que culturel, et certainement pas racial.
Cependant, se pose le problème de l'origine, tout autant que de la nature, du groupe qui parlait une langue "proto-sémitique" et s'est imposé à ses voisins, dans la mesure où il existe réellement une unité primordiale des langues sémitiques.
L'arabe est longtemps apparu comme l'une des langues les plus proches du sémitique commun, et de nombreux spécialistes ont voulu voir dans la péninsule Arabique le berceau des peuples sémitiques, situation qui expliquait dans une certaine mesure les aspects sémitiques marqués de l'égyptien ancien et les rapprochements qu'on a pu faire avec les langues dites chamitiques parlées en Afrique orientale et auxquelles on a même voulu rattacher le berbère.
Il semblerait que ce soit très haut dans la préhistoire, sans doute au Mésolithique (daté pour le Proche-Orient entre les ~ Xe et ~ VIIIe millénaire) que se sont séparés les groupes qui vont constituer les peuples sémitiques des époques historiques, et il semble vain de chercher à déterminer un berceau précis.
On a pu penser à une certaine époque que le sud de la Mésopotamie a été occupé par des populations de nature inconnue, peut-être asianique (appellation commode pour désigner les populations de l'Asie antérieure ni sémites, ni indo-européennes parlant généralement des langues agglutinantes), avant l'arrivée des Sumériens.
Les Sémites serraient arrivés plus tard dans cette région, et Akkad serait leur premier État organisé.
Or, l'importance de l'élément sémite à Mari et à Kish dès le début du ~ IIIe mill, laisse supposer qu'il y était établi depuis déjà longtemps, au point qu'on pourrait tout aussi bien soutenir que les populations de la Mésopotamie préhistorique et en particulier les gens de la culture d'el-Obeid étaient déjà des Sémites, refoulés ou en grande partie assimilés par les Sumériens dont ils auraient pu adopter la langue.
Par ailleurs, la découverte des tablettes aEbla, qui révèlent l'existence d'un État où l'on parlait une langue sémitique apparentée aux dialectes cananéens dès le milieu du ~ IIIe millénaire, met en question l'hypothèse de migrations venues de l'Arabie.
Il est peut-être utile de rappeler ici la théorie d'Ignazio Guidi qui, à la suite d'une étude serrée des divers vocabulaires sémitiques, a pu établir la communauté des termes qui s'appliquent à des régions de plaines arrosées par des fleuves, l'exemple du mot nahr, qui signifie fleuve dans toutes les langues sémitiques, étant caractéristique, alors que chaque langue possède un terme différent pour désigner la montagne.
Seule la Mésopotamie répondrait au concept d'un berceau primitif.
L'origine syrienne de migrations comme celles des Amorites et des Araméens laisserait tout aussi bien supposer que c'est vers le haut Euphrate et dans les régions situées au sud qu'il convient de placer l'un des foyers d'expansion des Sémites.
Quant aux Assyriens, qu'on voit établis en Mésopotamie du nord dès le ~ IIIe millénaire, et dans l'histoire desquels on ne trouve pas de tradition de migration, ils semblent descendre simplement des anciennes populations établies vers les rives du Tigre moyen au moins dès la fin du Néolithique.
Il n'existe pas plus de civilisation sémitique unique que de civilisation indo-européenne.
Chacun des grands peuples sémitiques de l'Antiquité a créé une culture qui lui était propre, même si l'on peut trouver quelques traits communs.
Ainsi, lorsqu'il est question de civilisation sémitique, il convient de distinguer celles des Akkadiens, des Babyloniens, des Assyriens, des Phéniciens, des Hébreux, des Nabatéens, des Araméens, des divers peuples d'Arabie, des Éthiopiens, etc.
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