2020 : le monde a basculé - Covid-19
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2020 : le monde a basculé - Covid-19
Rappel du premier message :
Nous voyons très clairement que le monde entier a basculé, il navigue vers l'inconnu, il a peur ! C'est une première depuis des lustres, la fin est proche, très proche, c'est une évidence pour ceux qui connaissent les prophéties bibliques.
Les riches et les puissants ne sont pas épargnés par ce virus, leurs pouvoirs et leurs argents ne peuvent rien, ce petit virus les domine ! Ce virus a mis le monde à terre et a stoppé net la folie des hommes.
Jésus a aussi prophétisé les pestes comme un dès signes des derniers jours.
Paroles de Jésus :
Matthieu 24:6 Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. 7 Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. 8 Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.
Luc 21:10 Alors il leur dit: Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume; 11 il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel.
Gloire à YHWH Dieu et au Seigneur Jésus en cette soirée de Pâque. Amen
Bible :
Matthieu 26:17 Le premier jour des pains sans levain, les disciples s'adressèrent à Jésus, pour lui dire: Où veux-tu que nous te préparions le repas de la Pâque?
1 Corinthiens 5:7 Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Luc 22:7 Le jour des pains sans levain, où l'on devait immoler la Pâque, arriva, 8 et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.
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2020 : le monde a basculé - Covid-19
Nous voyons très clairement que le monde entier a basculé, il navigue vers l'inconnu, il a peur ! C'est une première depuis des lustres, la fin est proche, très proche, c'est une évidence pour ceux qui connaissent les prophéties bibliques.
Les riches et les puissants ne sont pas épargnés par ce virus, leurs pouvoirs et leurs argents ne peuvent rien, ce petit virus les domine ! Ce virus a mis le monde à terre et a stoppé net la folie des hommes.
Jésus a aussi prophétisé les pestes comme un dès signes des derniers jours.
Paroles de Jésus :
Matthieu 24:6 Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. 7 Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. 8 Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.
Luc 21:10 Alors il leur dit: Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume; 11 il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel.
Gloire à YHWH Dieu et au Seigneur Jésus en cette soirée de Pâque. Amen
Bible :
Matthieu 26:17 Le premier jour des pains sans levain, les disciples s'adressèrent à Jésus, pour lui dire: Où veux-tu que nous te préparions le repas de la Pâque?
1 Corinthiens 5:7 Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Luc 22:7 Le jour des pains sans levain, où l'on devait immoler la Pâque, arriva, 8 et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Covid-19 : le retour du masque obligatoire dans certains lieux
Face une hausse des contaminations de Covid-19 observée ces dernières semaines, cumulées à une augmentation des cas de bronchiolite et de grippe, certains hôpitaux français imposent l'obligation du port du masque. Medisite fait le point sur la situation.
Istock
Publié par Lise Khaim, le 13/10/2023
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Covid-19 : obligation du port du masque rétablie dans les hôpitaux
Par
devadmin
-
13 octobre 2023
[url=https://api.whatsapp.com/send?text=Covid-19+%3A+obligation+du+port+du+masque+r%C3%A9tablie+dans+les+h%C3%B4pitaux %0A%0A https://news-sante.fr/covid-19-obligation-du-port-du-masque-retablie-dans-les-hopitaux/][/url]
Plusieurs centres hospitaliers ont rétabli l’obligation du port du masque pour se protéger du Covid. Devez-vous aussi porter ce masque en tant que visiteur ? Que risquez-vous si vous n’avez pas de masque ?
Gardez un masque contre le Covid dans votre sac
Face à la recrudescence des cas de Covid, certains hôpitaux ont rétabli l’obligation de porter un masque. Ils souhaitent également se protéger face à d’autres virus respiratoires comme celui de la bronchiolite qui affecte les tout-petits. C’est le cas par exemple de l’hôpital du Mans qui évoque la «hausse de diverses épidémies d’infections
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Krash des médicaments anti-covid ?
19 octobre 2023 16 h 04 min
Même Biden n’en veut plus : l’Etat fédéral américain vient de rendre à Pfizer 7,9 millions de doses de Paxlovid, l’antiviral pour adultes contre un covid-19 qui ne demande pas de mise sous oxygène mais peut quand même évoluer vers une forme grave. Et l’accord du groupe pharmaceutique signé avec Washington sonne le glas des superprofits : le bénéfice net par action va passer de la fourchette 3,25 – 3,45 dollars par action à seulement 1,45-1,65. Panique en bourse, l’objectif de ventes annuelles est en baisse de 9 milliards de dollars. Bien sûr, cela touche aussi l’évaluation des stocks : les 5,5 milliards de stocks de produits covid sont dépréciés (4,6 milliards de Paxlovid et 900 millions de vaccin « Cominaty »). Le pactole covid a fini de couler pour Pfizer – et aussi par la société allemande BionTech qui lui est associée à 50/50.
19 octobre 2023 16 h 04 min
Même Biden n’en veut plus : l’Etat fédéral américain vient de rendre à Pfizer 7,9 millions de doses de Paxlovid, l’antiviral pour adultes contre un covid-19 qui ne demande pas de mise sous oxygène mais peut quand même évoluer vers une forme grave. Et l’accord du groupe pharmaceutique signé avec Washington sonne le glas des superprofits : le bénéfice net par action va passer de la fourchette 3,25 – 3,45 dollars par action à seulement 1,45-1,65. Panique en bourse, l’objectif de ventes annuelles est en baisse de 9 milliards de dollars. Bien sûr, cela touche aussi l’évaluation des stocks : les 5,5 milliards de stocks de produits covid sont dépréciés (4,6 milliards de Paxlovid et 900 millions de vaccin « Cominaty »). Le pactole covid a fini de couler pour Pfizer – et aussi par la société allemande BionTech qui lui est associée à 50/50.
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Royaume-Uni : un député affirme que les vaccins contre le covid-19 sont la cause principale actuelle de surmortalité
26 octobre 2023
Les langues se délient toujours plus. Un député britannique a fait valoir, en plein Parlement, que les vaccins expérimentaux contre le covid-19 sont la principale cause de surmortalité dans le monde depuis 2021. Mais la salle était quasi vide… Si ce genre de conclusions arrivent enfin dans les hémicycles, car la vérité finit toujours par sortir, les oreilles pour les écouter sont encore bien peu nombreuses. Les faits ont beau être étayés, les études sérieuses, l’opposition idéologique demeure – jusqu’à quand ?
C’est un fait : il y a eu plus de surmortalité au Royaume-Uni en 2022, que durant la quasi-totalité des sept dernières décennies, selon une analyse du Times. Pourtant, seuls quelques députés se sont présentés, ce 20 octobre, compte tenu du sujet controversé, bien qu’une foule se soit rassemblée dans la tribune publique pour écouter le député Andrew Bridgen.
Neuf mois qu’il réclamait ce débat sur la crise actuelle de la surmortalité, vingt fois un refus lui a été opposé.
« De nombreux pays sont actuellement aux prises avec une période de mortalité inattendue, et personne ne veut en parler », a déclaré cet ancien membre du Parti conservateur. « Nous avons connu plus de décès excédentaires depuis le 21 juillet que pendant toute l’année 2020. Contrairement à la pandémie, cependant, ces décès ne concernent pas de manière disproportionnée les personnes âgées. En d’autres termes, les décès excédentaires frappent des personnes dans la fleur de l’âge. Mais personne ne semble s’en soucier. »
« La plupart des chiffres importants ont été gardés cachés. D’autres données ont été curieusement présentées de manière déformée, et les personnes concernées cherchant à mettre en évidence des résultats importants et à poser des questions se sont retrouvées inexplicablement attaquées. »
Ce taux de mortalité étonnamment élevé dans tous les groupes d’âge peut être remarqué et quantifié depuis le déploiement des vaccins contre le covid-19. « Il y a eu une augmentation nette et progressive de la mortalité suite au déploiement du vaccin. Il y a eu un répit à l’hiver 2021/22 car il y a eu moins de décès respiratoires que prévu, mais autrement, l’excédent s’est maintenu sans cesse à ce niveau élevé. »
Les seules données des ambulances indiquent un hiatus : les appels d’urgences quotidiens sont passés de 2.000 à 2.500 et sont restés à ce niveau. Les demandes d’indemnités d’indépendance personnelle pour les personnes qui ont développé un handicap et ne peuvent plus travailler ont explosé avec le déploiement du vaccin, et ont continué d’augmenter depuis.
Quant à l’augmentation alarmante des maladies cardiaques, elle a été attestée non seulement en Grande-Bretagne mais dans plusieurs pays : la mortalité après vaccination la plus élevée était observée dans les régions les plus fortement vaccinées.
« Depuis 2022, il y a eu un excès de 11 % de décès par cardiopathie ischémique et un excès de 16 % de décès par insuffisance cardiaque », a souligné Bridgen.
Personne, évidemment, pour vérifier dans tous ces cas le statut vaccinal des patients… Chez les scientifiques, comme chez les médias, c’est toujours la grande omerta.
Et l’idée selon laquelle les vaccins anti-covid auraient permis d’éviter des millions de décès est « basée sur une modélisation réalisée sur la base d’hypothèses erronées ». Non seulement les vaccins covid-19 ne sont pas « sûrs et efficaces », mais « ils sont une folie », a asséné le débuté britannique.
Le phénomène se vérifie, effectivement, au niveau mondial et les études ne manquent pas. Le Dr John Campbell a travaillé, en mai, sur le rapport officiel de Statistique Canada qui rapporte une augmentation de 27 % de décès excédentaires chez les citoyens de moins de 44 ans en 2022. Une augmentation qui n’aurait pas été surprenante en 2020 et 2021, années de pic de l’épidémie, mais la plupart des décès sont survenus en octobre et novembre 2022. Statistique Canada le reconnaît mais évoque seulement, comme hypothèses d’analyse, le variant omicron et des surdoses de drogues…
Plus récemment, en septembre, des chercheurs du groupe canadien Correlation Research in the Public Interest ont découvert que 17 pays analysés, représentant 10,3 % de la population mondiale, n’avaient enregistré aucune augmentation détectable de la mortalité toutes causes confondues après que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie mondiale le 11 mars 2020 : elle survient, en revanche, après le déploiement vaccinal. Selon eux, le risque de toxicité mortelle par injection augmentait de manière significative avec l’âge, mais atteignait en moyenne 1 décès pour 800 injections, tous âges et tous pays confondus.
« Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué 17 millions de personnes, soit 0,213 % de la population mondiale, et n’aurait empêché aucun décès de manière mesurable. »
D’un côté, on a minimisé à l’extrême, voire occulté les effets « secondaires » des vaccins, et de l’autre, on a maximisé les effets mortels du Covid, en liant de manière abusée et erronée des décès à ce dernier. Le résultat ressemble à une immense arnaque.
De la manipulation des chiffres…
26 octobre 2023
Les langues se délient toujours plus. Un député britannique a fait valoir, en plein Parlement, que les vaccins expérimentaux contre le covid-19 sont la principale cause de surmortalité dans le monde depuis 2021. Mais la salle était quasi vide… Si ce genre de conclusions arrivent enfin dans les hémicycles, car la vérité finit toujours par sortir, les oreilles pour les écouter sont encore bien peu nombreuses. Les faits ont beau être étayés, les études sérieuses, l’opposition idéologique demeure – jusqu’à quand ?
« Une période de mortalité inattendue, et personne ne veut en parler »
C’est un fait : il y a eu plus de surmortalité au Royaume-Uni en 2022, que durant la quasi-totalité des sept dernières décennies, selon une analyse du Times. Pourtant, seuls quelques députés se sont présentés, ce 20 octobre, compte tenu du sujet controversé, bien qu’une foule se soit rassemblée dans la tribune publique pour écouter le député Andrew Bridgen.
Neuf mois qu’il réclamait ce débat sur la crise actuelle de la surmortalité, vingt fois un refus lui a été opposé.
« De nombreux pays sont actuellement aux prises avec une période de mortalité inattendue, et personne ne veut en parler », a déclaré cet ancien membre du Parti conservateur. « Nous avons connu plus de décès excédentaires depuis le 21 juillet que pendant toute l’année 2020. Contrairement à la pandémie, cependant, ces décès ne concernent pas de manière disproportionnée les personnes âgées. En d’autres termes, les décès excédentaires frappent des personnes dans la fleur de l’âge. Mais personne ne semble s’en soucier. »
« La plupart des chiffres importants ont été gardés cachés. D’autres données ont été curieusement présentées de manière déformée, et les personnes concernées cherchant à mettre en évidence des résultats importants et à poser des questions se sont retrouvées inexplicablement attaquées. »
La surmortalité après vaccination au Royaume-Uni
Ce taux de mortalité étonnamment élevé dans tous les groupes d’âge peut être remarqué et quantifié depuis le déploiement des vaccins contre le covid-19. « Il y a eu une augmentation nette et progressive de la mortalité suite au déploiement du vaccin. Il y a eu un répit à l’hiver 2021/22 car il y a eu moins de décès respiratoires que prévu, mais autrement, l’excédent s’est maintenu sans cesse à ce niveau élevé. »
Les seules données des ambulances indiquent un hiatus : les appels d’urgences quotidiens sont passés de 2.000 à 2.500 et sont restés à ce niveau. Les demandes d’indemnités d’indépendance personnelle pour les personnes qui ont développé un handicap et ne peuvent plus travailler ont explosé avec le déploiement du vaccin, et ont continué d’augmenter depuis.
Quant à l’augmentation alarmante des maladies cardiaques, elle a été attestée non seulement en Grande-Bretagne mais dans plusieurs pays : la mortalité après vaccination la plus élevée était observée dans les régions les plus fortement vaccinées.
« Depuis 2022, il y a eu un excès de 11 % de décès par cardiopathie ischémique et un excès de 16 % de décès par insuffisance cardiaque », a souligné Bridgen.
Personne, évidemment, pour vérifier dans tous ces cas le statut vaccinal des patients… Chez les scientifiques, comme chez les médias, c’est toujours la grande omerta.
Les vaccins contre le covid-19 ? Des « agents toxiques mortels »
Et l’idée selon laquelle les vaccins anti-covid auraient permis d’éviter des millions de décès est « basée sur une modélisation réalisée sur la base d’hypothèses erronées ». Non seulement les vaccins covid-19 ne sont pas « sûrs et efficaces », mais « ils sont une folie », a asséné le débuté britannique.
Le phénomène se vérifie, effectivement, au niveau mondial et les études ne manquent pas. Le Dr John Campbell a travaillé, en mai, sur le rapport officiel de Statistique Canada qui rapporte une augmentation de 27 % de décès excédentaires chez les citoyens de moins de 44 ans en 2022. Une augmentation qui n’aurait pas été surprenante en 2020 et 2021, années de pic de l’épidémie, mais la plupart des décès sont survenus en octobre et novembre 2022. Statistique Canada le reconnaît mais évoque seulement, comme hypothèses d’analyse, le variant omicron et des surdoses de drogues…
Plus récemment, en septembre, des chercheurs du groupe canadien Correlation Research in the Public Interest ont découvert que 17 pays analysés, représentant 10,3 % de la population mondiale, n’avaient enregistré aucune augmentation détectable de la mortalité toutes causes confondues après que l’Organisation mondiale de la santé a déclaré une pandémie mondiale le 11 mars 2020 : elle survient, en revanche, après le déploiement vaccinal. Selon eux, le risque de toxicité mortelle par injection augmentait de manière significative avec l’âge, mais atteignait en moyenne 1 décès pour 800 injections, tous âges et tous pays confondus.
« Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui aurait tué 17 millions de personnes, soit 0,213 % de la population mondiale, et n’aurait empêché aucun décès de manière mesurable. »
D’un côté, on a minimisé à l’extrême, voire occulté les effets « secondaires » des vaccins, et de l’autre, on a maximisé les effets mortels du Covid, en liant de manière abusée et erronée des décès à ce dernier. Le résultat ressemble à une immense arnaque.
De la manipulation des chiffres…
Clémentine Jallais
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.[/size]
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
Un sujet "inflammable et épidermique". Depuis bientôt quatre ans, le Covid long suscite de très vifs débats dans la communauté médicale et scientifique. Une véritable guerre de tranchées même, entre les spécialistes qui voient dans ces troubles persistants une maladie psychosomatique sans cause physique avérée, et ceux pour qui il s’agit d’une véritable pathologie organique. Avec au milieu, des centaines de milliers patients, ballottés par ces incertitudes, et bien souvent très mal accompagnés.[/size]
C’est pourquoi l’avis rendu aujourd’hui par le Covars (Comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires) est essentiel. Après six mois de travail, la consultation de toute la littérature scientifique sur le sujet, et des dizaines d’auditions, ses experts espèrent enfin trancher le débat. Pour eux, il n’y a plus aucun doute à avoir : le Covid long est bien une authentique maladie, qui doit bénéficier d’une prise en charge digne de ce nom. Bien sûr, comme toujours en médecine, il existe des nuances, et le Covars n’exclue pas la dimension psychologique de la pathologie, a fortiori chez des malades jusqu’ici maltraités par le système de santé. Mais pour ses experts, la priorité doit à présent aller à l’amélioration de l’offre de soins à destination de ces malades.
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Le vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 a été qualifié de « défectueux » par la justice britannique
9 novembre 2023 17 h 56 min
Alors que le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca affiche un bénéfice net record pour ce troisième trimestre, des voix s’élèvent et la justice s’en mêle. Poursuivi devant la Haute Cour dans le cadre de deux plaintes, il voit son vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 qualifié de « défectueux ». Une décision historique qui met à mal toute la logorrhée du laboratoire défendant son produit dont trois milliards de doses ont été fournies à plus de 180 pays. Les plaintes des deux ressortissants britanniques concernent le même grave effet secondaire, qu’on appelle désormais TTIV (Thrombopénie Thrombotique Immune induite par le Vaccin). Leurs avocats estiment, de plus, que les affirmations des communiqués de presse sur l’efficacité du vaccin ont été « largement surestimées », voire fallacieuses.
Autant que le groupe pharmaceutique, c’est la politique du gouvernement qui est visée dans son déploiement aveugle et totalitaire de la vaccination de masse.
Jamie Scott, père de deux enfants, a été vacciné en avril 2021 : il s’en est suivi une importante hémorragie et une lésion cérébrale permanente qui l’a rendu incapable de travailler. Alpa Tailor est, quant à elle, décédée à 35 ans, moins d’un mois après avoir été vaccinée, des suites de caillots sanguins et d’hémorragies cérébrales résultant aussi d’une TTIV. Derrière eux, ce sont quelque 80 réclamations qui pourraient être déposées, avec des dommages et intérêts de 80 millions de livres sterling potentiels.
L’année dernière encore, l’Organisation mondiale de la santé déclarait que le vaccin était « sûr et efficace pour toutes les personnes âgées de 18 ans et plus » et que l’effet indésirable qui a motivé ces actions en justice était « très rare ». Seulement, le vaccin, annoncé lors de son lancement par Boris Johnson comme un « triomphe de la science britannique », n’est aujourd’hui plus utilisé au Royaume-Uni qui a beaucoup tardé à en limiter la distribution. Dès mars 2021, plusieurs pays dont la Thaïlande, le Danemark, la Norvège et l’Islande en avaient suspendu les injections, à la suite de plusieurs accidents impliquant la formation de caillots sanguins.
Il s’est avéré que le risque encouru en recevant le vaccin était supérieur aux dommages causés par le Covid… Les estimations finales du gouvernement suggèrent que des caillots sanguins se produisent lors de la prise du vaccin d’AstraZeneca chez quasiment une personne sur 10.000. Les chiffres officiels de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) montrent qu’au moins 81 décès au Royaume-Uni seraient liés à cet effet indésirable grave, la majorité survenant chez des personnes de moins de 50 ans. Sur 148 versements effectués par le gouvernement dans le cadre du programme d’indemnisation des dommages causés par les vaccins, au moins 144 sont allés à des bénéficiaires du vaccin AstraZeneca.
Rappelons que, devant les inquiétudes soulevées par les autorités américaines, AstraZeneca n’a jamais demandé de licence aux Etats-Unis…
Les avocats de Jamie Scott font valoir qu’aucun avertissement sur le risque de TTIV n’a été inclus dans les informations sur le produit à la date de fourniture du vaccin. Un défaut d’information qui se retrouve plus globalement dans la communication du groupe qui a utilisé de manière répétée le mot « sûr », nous rapporte The Telegraph, en omettant de divulguer la réduction absolue du risque lié au vaccin (par rapport à la réduction dite relative qu’il affichait avec force, à l’instar de tous les distributeurs de vaccins contre le Covid-19).
« La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins », s’est défendu le groupe pharmaceutique.
A qui la faute alors ? A la MHRA qui avait accordé au vaccin « une approbation de commercialisation complète… pour le Royaume-Uni sur la base du profil de sécurité et de l’efficacité du vaccin » ? Au gouvernement qui aurait signé des deux mains, dans le cadre du déploiement de la vaccination de masse, la distribution de ce vaccin « traditionnel » (dépourvu de la technologie pionnière de l’ARNm, mais reposant aussi sur l’introduction de matériel génétique du coronavirus dans les cellules pour y fabriquer des protéines spike), moins cher et plus facile à stocker ?
Les autorités britanniques ont approuvé l’utilisation publique du vaccin d’AstraZeneca le 30 décembre 2020, quelques semaines seulement après la publication des données. Or, les essais n’étaient pas assez importants pour détecter la TTIV. Certes, ces caillots sanguins surviennent chez un petit nombre de personnes, mais les complications en sont parfois mortelles. Le droit le plus légitime, la liberté la plus élémentaire eussent été d’en avoir une pleine et entière connaissance. Ce qui ne fut la volonté ni des uns ni des autres, que ce soit par opportunisme financier ou politique.
Il est temps que ces vérités sortent – elles commencent enfin.
9 novembre 2023 17 h 56 min
Alors que le géant pharmaceutique britannique AstraZeneca affiche un bénéfice net record pour ce troisième trimestre, des voix s’élèvent et la justice s’en mêle. Poursuivi devant la Haute Cour dans le cadre de deux plaintes, il voit son vaccin AstraZeneca contre le Covid-19 qualifié de « défectueux ». Une décision historique qui met à mal toute la logorrhée du laboratoire défendant son produit dont trois milliards de doses ont été fournies à plus de 180 pays. Les plaintes des deux ressortissants britanniques concernent le même grave effet secondaire, qu’on appelle désormais TTIV (Thrombopénie Thrombotique Immune induite par le Vaccin). Leurs avocats estiment, de plus, que les affirmations des communiqués de presse sur l’efficacité du vaccin ont été « largement surestimées », voire fallacieuses.
Autant que le groupe pharmaceutique, c’est la politique du gouvernement qui est visée dans son déploiement aveugle et totalitaire de la vaccination de masse.
La justice met en lumière la politique de l’autruche du gouvernement britannique
Jamie Scott, père de deux enfants, a été vacciné en avril 2021 : il s’en est suivi une importante hémorragie et une lésion cérébrale permanente qui l’a rendu incapable de travailler. Alpa Tailor est, quant à elle, décédée à 35 ans, moins d’un mois après avoir été vaccinée, des suites de caillots sanguins et d’hémorragies cérébrales résultant aussi d’une TTIV. Derrière eux, ce sont quelque 80 réclamations qui pourraient être déposées, avec des dommages et intérêts de 80 millions de livres sterling potentiels.
L’année dernière encore, l’Organisation mondiale de la santé déclarait que le vaccin était « sûr et efficace pour toutes les personnes âgées de 18 ans et plus » et que l’effet indésirable qui a motivé ces actions en justice était « très rare ». Seulement, le vaccin, annoncé lors de son lancement par Boris Johnson comme un « triomphe de la science britannique », n’est aujourd’hui plus utilisé au Royaume-Uni qui a beaucoup tardé à en limiter la distribution. Dès mars 2021, plusieurs pays dont la Thaïlande, le Danemark, la Norvège et l’Islande en avaient suspendu les injections, à la suite de plusieurs accidents impliquant la formation de caillots sanguins.
Il s’est avéré que le risque encouru en recevant le vaccin était supérieur aux dommages causés par le Covid… Les estimations finales du gouvernement suggèrent que des caillots sanguins se produisent lors de la prise du vaccin d’AstraZeneca chez quasiment une personne sur 10.000. Les chiffres officiels de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) montrent qu’au moins 81 décès au Royaume-Uni seraient liés à cet effet indésirable grave, la majorité survenant chez des personnes de moins de 50 ans. Sur 148 versements effectués par le gouvernement dans le cadre du programme d’indemnisation des dommages causés par les vaccins, au moins 144 sont allés à des bénéficiaires du vaccin AstraZeneca.
Rappelons que, devant les inquiétudes soulevées par les autorités américaines, AstraZeneca n’a jamais demandé de licence aux Etats-Unis…
De la non sécurité absolue du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19
Les avocats de Jamie Scott font valoir qu’aucun avertissement sur le risque de TTIV n’a été inclus dans les informations sur le produit à la date de fourniture du vaccin. Un défaut d’information qui se retrouve plus globalement dans la communication du groupe qui a utilisé de manière répétée le mot « sûr », nous rapporte The Telegraph, en omettant de divulguer la réduction absolue du risque lié au vaccin (par rapport à la réduction dite relative qu’il affichait avec force, à l’instar de tous les distributeurs de vaccins contre le Covid-19).
« La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins », s’est défendu le groupe pharmaceutique.
A qui la faute alors ? A la MHRA qui avait accordé au vaccin « une approbation de commercialisation complète… pour le Royaume-Uni sur la base du profil de sécurité et de l’efficacité du vaccin » ? Au gouvernement qui aurait signé des deux mains, dans le cadre du déploiement de la vaccination de masse, la distribution de ce vaccin « traditionnel » (dépourvu de la technologie pionnière de l’ARNm, mais reposant aussi sur l’introduction de matériel génétique du coronavirus dans les cellules pour y fabriquer des protéines spike), moins cher et plus facile à stocker ?
Les autorités britanniques ont approuvé l’utilisation publique du vaccin d’AstraZeneca le 30 décembre 2020, quelques semaines seulement après la publication des données. Or, les essais n’étaient pas assez importants pour détecter la TTIV. Certes, ces caillots sanguins surviennent chez un petit nombre de personnes, mais les complications en sont parfois mortelles. Le droit le plus légitime, la liberté la plus élémentaire eussent été d’en avoir une pleine et entière connaissance. Ce qui ne fut la volonté ni des uns ni des autres, que ce soit par opportunisme financier ou politique.
Il est temps que ces vérités sortent – elles commencent enfin.
Clémentine Jallais
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
D'autres facteurs expliquent la résurgence du Covid-19 lorsque le thermomètre baisse, et ceux-là sont purement humains. "Une partie est en effet liée au comportement, en automne et en hiver, on reste davantage à l'intérieur, on aère peut-être un peu moins aussi", comme l'explique l'épidémiologiste.
Pensez à aérer !
Il est donc important de rappeler les bons gestes dont l'aération qui est indispensable au renouvellement de l'air. Il est recommandé d'aérer chaque jour son logement au moins 10 minutes. Par ailleurs, comme face à la grippe, les personnes à risque sont vivement encouragées à se faire vacciner et à se protéger contre le Sars-CoV-2.
A lire aussi : Covid-19 : pourquoi le SARS-CoV-2 est-il plus virulent que les autres coronavirus ?
Face à ces constats et à ces recommandations, une question se pose : le Covid-19 est-il devenu une maladie saisonnière au même titre que le rhume ou l'angine ? Pas vraiment, selon François Bailloux. "On a certes plus de cas en hiver, et ce depuis le début de la pandémie, mais ce n'est qu'avec plus de recul qu'on pourra dire que c'est à partir de l'année X qu'on a basculé", analyse-t-il.
Pour l'OMS, ce point semblait pourtant avoir été atteint au printemps 2023, lorsque Michael Ryan, son chef des programmes d'urgence avait affirmé : "Je pense que nous arrivons au point où nous pouvons considérer le Covid-19 de la même manière que nous considérons la grippe saisonnière, à savoir une menace pour la santé, un virus qui continuera à tuer, mais un virus qui ne perturbe pas notre société ou nos systèmes hospitaliers".
A lire aussi : Covid long : pourquoi ce syndrome post-infectieux risque de coûter des milliards d'euros à l'économie française ?
Mais cet automne, François Bailloux affirme que "le nombre de cas a été une surprise pour les spécialistes". De plus, de nouveaux variants de la famille Omicron se développent. On en parlait il y a quelques jours, le variant Pirola prend de l'ampleur en France. Il est "intrinsèquement plus contagieux", selon l'épidémiologiste.
Voir les commentaires
Sur le même sujet
Covid-19 : irritation des yeux, problèmes de peau, diarrhées... le variant "Pirola" présent en France à l'origine de symptômes inédits
Le variant "Pirola" a été placé par l'OMS dans la catégorie des variants sous surveillance
Covid-19 : peut-on se faire vacciner en même temps contre le coronavirus et le virus de la grippe ?
"Il n'y a pas de délai d'attente à respecter" entre les deux vaccins, indique le ministère de la Santé.
Covid-19 : "Heureusement que j'ai fait peur au Président" : Agnès Buzyn raconte les débuts de la pandémie
Pensez à aérer !
Il est donc important de rappeler les bons gestes dont l'aération qui est indispensable au renouvellement de l'air. Il est recommandé d'aérer chaque jour son logement au moins 10 minutes. Par ailleurs, comme face à la grippe, les personnes à risque sont vivement encouragées à se faire vacciner et à se protéger contre le Sars-CoV-2.
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Pour l'OMS, ce point semblait pourtant avoir été atteint au printemps 2023, lorsque Michael Ryan, son chef des programmes d'urgence avait affirmé : "Je pense que nous arrivons au point où nous pouvons considérer le Covid-19 de la même manière que nous considérons la grippe saisonnière, à savoir une menace pour la santé, un virus qui continuera à tuer, mais un virus qui ne perturbe pas notre société ou nos systèmes hospitaliers".
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Mais cet automne, François Bailloux affirme que "le nombre de cas a été une surprise pour les spécialistes". De plus, de nouveaux variants de la famille Omicron se développent. On en parlait il y a quelques jours, le variant Pirola prend de l'ampleur en France. Il est "intrinsèquement plus contagieux", selon l'épidémiologiste.
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Chine : une nouvelle épidémie de maladies respiratoires inquiète l’OMS
Par
devadmin
-
28 novembre 2023
L’Organisation mondiale de la santé a réclamé «des informations détaillées» aux autorités chinoises sur une nouvelle épidémie respiratoire. Que sait-on de cette maladie ? Qui touche-t-elle ?
Une nouvelle « pneumonie virale » ?
Dans un communiqué du 22 novembre, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a pointé une hausse récente des cas de maladies respiratoires en Chine. Un épisode qui rappelle celui du Covid il y a quatre ans qui a commencé comme une « pneumonie virale« . L’OMS «a adressé une demande officielle à la Chine pour obtenir des informations détaillées» sur cette maladie respiratoire.
La bactérie à l’origine de cette infection est connue
Les hôpitaux de Pékin et du Nord de la Chine sont débordés par une hausse d’infections respiratoires provoquées par la bactérie mycoplasma pneumaniae. Le programme de surveillance mondial des maladies ProMed, de la Société internationale pour les maladies infectieuses, évoque «une épidémie de pneumonie»
Fièvre et infections pulmonaires
ProMed rapporte le cas de plusieurs hôpitaux «submergés d’enfants malades avec de la fièvre et présentant des nodules pulmonaires. En effet, la bactérie mycoplasma pneumoniae entraîne des infections courantes touchant les enfants. Les symptômes caractéristiques sont : un mal de gorge, de la toux et de la fièvre, ainsi qu’un mal de tête, précisent les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). La bactérie provoque parfois des infections pulmonaires plus graves.
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
A seulement quelques jours de Noël, si certains territoires semblent être épargnés par le virus, d'autres voient leur taux d'incidence en hausse. Voici les départements dans lesquels l'épidémie pourrait faire son retour.
Le Covid risque-t-il de s'inviter à table lors des fêtes de fin d'année ? "La vague est bien là. Si on regarde les suspicions de Covid par SOS Médecins, on s'aperçoit qu'on était il y a un mois autour de 2 600 par semaine, et là, on est quasiment au double, à presque à 5 000 par semaine", révèle le médecin et journaliste de France Télévisions Damien Mascret, présent sur le plateau du 20 Heures de France 2, ce lundi 18 décembre. "Tout cela, ça n'est évidemment que la partie émergée de l'iceberg, car aujourd'hui, on se fait très peu tester", conclut-il.
Le Covid risque-t-il de s'inviter à table lors des fêtes de fin d'année ? "La vague est bien là. Si on regarde les suspicions de Covid par SOS Médecins, on s'aperçoit qu'on était il y a un mois autour de 2 600 par semaine, et là, on est quasiment au double, à presque à 5 000 par semaine", révèle le médecin et journaliste de France Télévisions Damien Mascret, présent sur le plateau du 20 Heures de France 2, ce lundi 18 décembre. "Tout cela, ça n'est évidemment que la partie émergée de l'iceberg, car aujourd'hui, on se fait très peu tester", conclut-il.
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
En Chine, un coronavirus potentiellement mortel créé en laboratoire ? Récit d’un emballement
La vérif' scientifique. Plusieurs articles mentionnent les travaux d’une équipe chinoise qui aurait manipulé un virus proche du Sars-CoV-2, favorisant sa capacité à infecter des humains. Ces recherches sont pourtant à relativiser.
Par Yohan Blavignat
Publié le 19/01/2024 à 13:38
Un technicien travaille sur des prélèvements de tests Covid dans un laboratoire de Wuhan, le 4 août 2021 en Chine
Un technicien travaille sur des prélèvements de tests Covid dans un laboratoire de Wuhan, le 4 août 2021 en Chine
afp.com/STR
Réservé aux abonnés
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Le schéma relève du déjà-vu : une étude scientifique paraît parmi des centaines d’autres en ce début d’année 2024. Passé relativement inaperçu dans un premier temps, un article mis en ligne le 4 janvier sur le site BioRxiv affirme qu’un coronavirus découvert sur des pangolins capturés en 2017, cousin du Sars-CoV-2, a été isolé et étudié par des scientifiques de l’Université de technologie chimique de Pékin. Ce dernier, qui diffère légèrement du virus présent dans la nature du fait de son isolement en laboratoire, aurait la capacité d’infecter des cellules humaines et des souris transgéniques humanisées. L’information est partagée dans un premier temps sur X (anciennement Twitter) par plusieurs comptes complotistes avant d’être reprise par le journal britannique Daily Mail. L’information retenue est la suivante : la Chine a manipulé un coronavirus, ce qui lui aurait conféré une létalité bien plus importante. La machine s’emballe, la nouvelle est partout. Et, jeudi 18 janvier, c’est au tour du Figaro, en France, de s’emparer de cette étude. Pourtant, plusieurs éléments de cet article tendent à minimiser pour le moins cette "découverte".
Pour Florence Débarre, directrice de recherche en biologie de l’évolution
La vérif' scientifique. Plusieurs articles mentionnent les travaux d’une équipe chinoise qui aurait manipulé un virus proche du Sars-CoV-2, favorisant sa capacité à infecter des humains. Ces recherches sont pourtant à relativiser.
Par Yohan Blavignat
Publié le 19/01/2024 à 13:38
Un technicien travaille sur des prélèvements de tests Covid dans un laboratoire de Wuhan, le 4 août 2021 en Chine
Un technicien travaille sur des prélèvements de tests Covid dans un laboratoire de Wuhan, le 4 août 2021 en Chine
afp.com/STR
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Le schéma relève du déjà-vu : une étude scientifique paraît parmi des centaines d’autres en ce début d’année 2024. Passé relativement inaperçu dans un premier temps, un article mis en ligne le 4 janvier sur le site BioRxiv affirme qu’un coronavirus découvert sur des pangolins capturés en 2017, cousin du Sars-CoV-2, a été isolé et étudié par des scientifiques de l’Université de technologie chimique de Pékin. Ce dernier, qui diffère légèrement du virus présent dans la nature du fait de son isolement en laboratoire, aurait la capacité d’infecter des cellules humaines et des souris transgéniques humanisées. L’information est partagée dans un premier temps sur X (anciennement Twitter) par plusieurs comptes complotistes avant d’être reprise par le journal britannique Daily Mail. L’information retenue est la suivante : la Chine a manipulé un coronavirus, ce qui lui aurait conféré une létalité bien plus importante. La machine s’emballe, la nouvelle est partout. Et, jeudi 18 janvier, c’est au tour du Figaro, en France, de s’emparer de cette étude. Pourtant, plusieurs éléments de cet article tendent à minimiser pour le moins cette "découverte".
Pour Florence Débarre, directrice de recherche en biologie de l’évolution
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Covid-19 : les effets désastreux du confinement en Angleterre
Photo : Homme confiné à sa fenêtre.
Il y a quasiment 4 ans, la plupart des pays occidentaux ont adopté une politique de confinement drastique pour juguler l'épidémie du Covid-19. Les éléments sur la genèse de l'épidémie sortent peu à peu – grâce à l'obstination du Congrès américain - sur les mensonges du gouvernement chinois qui avait identifié le virus dès la fin de 2019 (voir l'article du Washington Examiner). À en croire les débats parlementaires britanniques, la leçon principale à retenir pour une prochaine épidémie : confiner plus fort et plus vite… Pourtant la Suède – seul pays européen à avoir refusé d'imposer un confinement à sa population – affiche le plus faible taux d'excès de mortalité de 2020 à 2022 : une augmentation de 4,4% contre 11,1% en moyenne en Europe. Le Royaume-Uni a particulièrement souffert avec plus de 3300 morts par million d'habitants - un taux 25 % au-dessus du chiffre suédois. UnHerd a reçu Andy Cook qui dirige le think tank "Centre for Social Justice" (voir la vidéo en lien) – qui vient de publier une enquête détaillée sur les conséquences du confinement pour les communautés les plus défavorisées d'Angleterre et du Pays de Galles. L'accumulation de données recueillies sur le terrain démontre que le confinement a eu des effets désastreux pour les plus fragiles.
La conclusion principale est que l'ornière dans laquelle se trouvaient ces populations s'est dramatiquement creusée (2'30''). On pouvait pourtant le prévoir : des familles pauvres se sont retrouvées isolées. Les problèmes de violence domestique se sont amplifiés (les appels vers les centres d'aide ont explosé avec +700 % pendant le confinement), les enfants ayant du mal à l'école sont partis à la dérive. Et surtout… On n'observe aucune amélioration depuis 2022 !
Le coût économique du confinement a été vertigineux : £360 milliards de dépenses en Angleterre et au Pays de Galles (419 milliards d'euros). Un record alors qu'au final les inégalités n'ont fait qu'augmenter. Dans le monde du travail, on observe (6') une montée en flèche des arrêts maladie : on compte aujourd'hui 2,6 millions de personnes arrêtés pour une longue durée – 20 % en plus depuis le début de l'épidémie. Et il est extrêmement difficile de les faire revenir au travail : c'est une ornière confortable dans laquelle se trouvent des personnes dont les situations varient grandement. Si l'augmentation pendant l'épidémie n'est pas surprenante, il n'y pas eu de décrue depuis…
La santé mentale est particulièrement problématique chez les enfants : les diagnostics de troubles mentaux ont explosé passant d'1 enfant sur 9 à 1 enfant sur 6. L'estimation est qu'à ce rythme on devrait atteindre 1 enfant sur 4 d'ici 2030. Les statistiques (10'30'') font remonter qu'un quart des jeunes adolescents sont touchés. Si la télévision montrait tous les jours le nombre d'accidents de la route, comme elle l'a fait pour les infections et les décès dus au Covid, on se retrouverait avec de nombreuses personnes refusant de prendre leur voiture, voire de sortir de chez elles. L'impact mental du martellement sur le Covid pendant le confinement ne doit pas nous étonner…
Le mode de communication infantilisant et anxiogène ( « Soit on sauve des vies, soit on sauve l'économie » ) a conduit à sacrifier nos concitoyens les plus fragiles. De 65 000 enfants déscolarisés (absents au moins 50 % du temps), on est passé à 140 000 enfants « fantômes » (+134 % d'absentéisme au total). Un sondage (de Public First) démontre que les parents de ces classes populaires ne se considèrent plus responsables d'assurer la présence de leurs enfants à l'école et qu'une semaine de 4 jours au travail (au lieu de 5 normalement) est acceptable.
Les morts par overdose de méthadone (qui sert à remplacer l'héroïne lors d'un sevrage) ont suivi une courbe similaire. Comme le fentanyl aux États-Unis, la méthadone est encore plus addictive que la drogue qu'elle remplace. Les statistiques montrent une forte augmentation de sa distribution pendant le confinement pour aider les drogués à tenir que – là encore – la vague n'est pas retombée. On a en fait enchaîné des milliers de personnes à un produit hautement toxique.
Le confinement a aussi étranglé le système judiciaire déjà sous tension (21'). La justice a été « mise en pause » pendant cette période et c'est évidemment dans les quartiers où l'activité criminelle fait le plus de dégâts que les effets sont les plus délétères.
Les familles vivant dans des logements temporaires (payés par l'État) y sont restées après la fin du confinement (24') rendant – par exemple – l'intégration d'immigrants dans la société britannique encore plus difficile.
Le confinement a cassé des ressorts essentiels de nos sociétés – comme le révèle cette enquête. C'est la pire des réponses possibles… Or, il est surprenant de voir que les gouvernements ne semblent pas vouloir analyser la réalité de ses effets. La Suède, un pays voisin, a fait le bon choix et son mode de gouvernement est démocratique – contrairement au Parti Communiste Chinois qui a inspiré de nombreux pays…
Ludovic Lavaucelle
Copyright 2024 LSDJ, tous droits réservés.
Photo : Homme confiné à sa fenêtre.
Il y a quasiment 4 ans, la plupart des pays occidentaux ont adopté une politique de confinement drastique pour juguler l'épidémie du Covid-19. Les éléments sur la genèse de l'épidémie sortent peu à peu – grâce à l'obstination du Congrès américain - sur les mensonges du gouvernement chinois qui avait identifié le virus dès la fin de 2019 (voir l'article du Washington Examiner). À en croire les débats parlementaires britanniques, la leçon principale à retenir pour une prochaine épidémie : confiner plus fort et plus vite… Pourtant la Suède – seul pays européen à avoir refusé d'imposer un confinement à sa population – affiche le plus faible taux d'excès de mortalité de 2020 à 2022 : une augmentation de 4,4% contre 11,1% en moyenne en Europe. Le Royaume-Uni a particulièrement souffert avec plus de 3300 morts par million d'habitants - un taux 25 % au-dessus du chiffre suédois. UnHerd a reçu Andy Cook qui dirige le think tank "Centre for Social Justice" (voir la vidéo en lien) – qui vient de publier une enquête détaillée sur les conséquences du confinement pour les communautés les plus défavorisées d'Angleterre et du Pays de Galles. L'accumulation de données recueillies sur le terrain démontre que le confinement a eu des effets désastreux pour les plus fragiles.
La conclusion principale est que l'ornière dans laquelle se trouvaient ces populations s'est dramatiquement creusée (2'30''). On pouvait pourtant le prévoir : des familles pauvres se sont retrouvées isolées. Les problèmes de violence domestique se sont amplifiés (les appels vers les centres d'aide ont explosé avec +700 % pendant le confinement), les enfants ayant du mal à l'école sont partis à la dérive. Et surtout… On n'observe aucune amélioration depuis 2022 !
Le coût économique du confinement a été vertigineux : £360 milliards de dépenses en Angleterre et au Pays de Galles (419 milliards d'euros). Un record alors qu'au final les inégalités n'ont fait qu'augmenter. Dans le monde du travail, on observe (6') une montée en flèche des arrêts maladie : on compte aujourd'hui 2,6 millions de personnes arrêtés pour une longue durée – 20 % en plus depuis le début de l'épidémie. Et il est extrêmement difficile de les faire revenir au travail : c'est une ornière confortable dans laquelle se trouvent des personnes dont les situations varient grandement. Si l'augmentation pendant l'épidémie n'est pas surprenante, il n'y pas eu de décrue depuis…
La santé mentale est particulièrement problématique chez les enfants : les diagnostics de troubles mentaux ont explosé passant d'1 enfant sur 9 à 1 enfant sur 6. L'estimation est qu'à ce rythme on devrait atteindre 1 enfant sur 4 d'ici 2030. Les statistiques (10'30'') font remonter qu'un quart des jeunes adolescents sont touchés. Si la télévision montrait tous les jours le nombre d'accidents de la route, comme elle l'a fait pour les infections et les décès dus au Covid, on se retrouverait avec de nombreuses personnes refusant de prendre leur voiture, voire de sortir de chez elles. L'impact mental du martellement sur le Covid pendant le confinement ne doit pas nous étonner…
Le mode de communication infantilisant et anxiogène ( « Soit on sauve des vies, soit on sauve l'économie » ) a conduit à sacrifier nos concitoyens les plus fragiles. De 65 000 enfants déscolarisés (absents au moins 50 % du temps), on est passé à 140 000 enfants « fantômes » (+134 % d'absentéisme au total). Un sondage (de Public First) démontre que les parents de ces classes populaires ne se considèrent plus responsables d'assurer la présence de leurs enfants à l'école et qu'une semaine de 4 jours au travail (au lieu de 5 normalement) est acceptable.
Les morts par overdose de méthadone (qui sert à remplacer l'héroïne lors d'un sevrage) ont suivi une courbe similaire. Comme le fentanyl aux États-Unis, la méthadone est encore plus addictive que la drogue qu'elle remplace. Les statistiques montrent une forte augmentation de sa distribution pendant le confinement pour aider les drogués à tenir que – là encore – la vague n'est pas retombée. On a en fait enchaîné des milliers de personnes à un produit hautement toxique.
Le confinement a aussi étranglé le système judiciaire déjà sous tension (21'). La justice a été « mise en pause » pendant cette période et c'est évidemment dans les quartiers où l'activité criminelle fait le plus de dégâts que les effets sont les plus délétères.
Les familles vivant dans des logements temporaires (payés par l'État) y sont restées après la fin du confinement (24') rendant – par exemple – l'intégration d'immigrants dans la société britannique encore plus difficile.
Le confinement a cassé des ressorts essentiels de nos sociétés – comme le révèle cette enquête. C'est la pire des réponses possibles… Or, il est surprenant de voir que les gouvernements ne semblent pas vouloir analyser la réalité de ses effets. La Suède, un pays voisin, a fait le bon choix et son mode de gouvernement est démocratique – contrairement au Parti Communiste Chinois qui a inspiré de nombreux pays…
Ludovic Lavaucelle
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Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
[size=42]Le pape François dénonce le « déni suicidaire » des opposants au vaccin covid[/size]
21 mars 2024 19 h 56 min
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Le pape François a une nouvelle fois condamné ceux qui ont refusé de se faire vacciner contre le covid en affirmant que l’opposition aux piqûres génomiques l’« affligeait ». « Etre contre l’antidote constitue un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il affirmé, en maniant l’hyperbole à la manière de ceux qui pratiquent le chantage émotionnel.
Il s’est exprimé ainsi dans le cadre de ses mémoires publiées il y a quelques jours aux Etats-Unis et en Europe. C’est au cours de ses entretiens avec le journaliste Fabio Marchese Ragona que François est revenu sur la crise du coronavirus. On se souviendra de ce que le Vatican fut parmi les Etats ayant imposé la vaccination de la manière la plus autoritaire, refusant même les résultats de test négatifs attestant de la non infection par le virus, alors même que de nombreux responsables catholiques ont souligné la difficulté morale qu’elle pose, étant donné que la quasi-totalité des vaccins disponibles avait été développé en ayant recours à des lignées de cellules embryonnaires obtenu à l’occasion d’avortements tardifs. Et ce n’était pas le seul problème lié aux vaccins…
« Décider de recevoir le vaccin ou non relève toujours d’un choix éthique, mais je sais que de nombreuses personnes ont rejoint des mouvements opposés à l’administration du médicament. Cela m’a affligé parce que de mon point de vue, être contre l’antidote constituer un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il déclaré.
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Il n’a pas rappelé que les employés du Vatican n’ont même pas eu droit au libre choix « éthique », vu que plusieurs – y compris trois Gardes suisses – ont perdu leur travail pour cause de refus du vaccin, et que l’obligation vaccinale a été maintenue dans certains cas jusqu’en 2023.
Le pape semble même avoir ajouté une pique à l’encontre du cardinal Burke, en affirmant : « Il y avait même quelques antivax parmi les évêques ; certains d’entre eux ont frôlé la mort. » Une allusion à peine voilée à la maladie du cardinal américain qui a failli mourir du covid…
Mais aurait-il échappé à cette grave maladie s’il avait été vacciné ? Une récente étude de personnes ayant fait une infection covid grave avec hospitalisation a montré que les vaccinés du groupe ont été en proportion plus nombreux à en mourir que les non vaccinés.
Quant à dénoncer un comportement quasi suicidaire, cela relève d’une exagération manifeste. D’une part le covid tuait peu à l’aune du nombre d’infections recensées, voire très peu ou pas du tout parmi les jeunes et les personnes d’âge moyen, et d’autre part, l’écrasante majorité des non-vaccinés va aujourd’hui très bien, alors qu’on continue de découvrir des effets néfastes à long terme de la vaccination.
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Dans l’esprit du pape, c’est l’arrivée des premiers vaccins qui a permis d’en finir avec le « sinistre scénario » des confinements. Il a oublié de rappeler que les vaccins n’empêchent ni l’infection par le covid-19 ni sa transmission. Et que les confinements et restrictions ont persisté malgré le vaccin.
D’ailleurs, pas plus tard qu’en janvier, une association qui défend les intérêts des immunodéprimés faisait campagne pour le port du masque dans les lieux publics clos avec ce slogan : « Protéger ceux que le vaccin ne protège pas. » Ça ne s’invente pas.
Aujourd’hui le pape se souvient avec émotion d’avoir « immédiatement » programmé sa propre vaccination lorsque les premières doses sont arrivées. « Plus tard, j’ai également reçu les booster, et grâce à Dieu je n’ai pas attrapé le virus », a-t-il raconté à Ragona, en se félicitant d’avoir invité les démunis et les transgenres à venir se faire piquer au Vatican.
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Ainsi le pape François continue-t-il de faire la propagande pour une substance qui modifie le comportement des cellules humaines dans une démarche qu’il faut bien qualifier déjà de transhumaniste, puisqu’au moyen de l’ARN messager, elle fait délibérément et artificiellement produire des protéines propres à un virus par le corps humain. Voilà une question qui, au-delà des interrogations qu’elle devrait susciter chez les scientfiques, devrait agiter les théologiens, mais qui est balayée avec la même désinvolture que celle du recours à des cellules obtenues au moyen de l’avortement.
Rappelons que la vaccination a été très largement imposée dans de nombreux pays, pour éviter une mortalité qui n’était de toute façon pas au rendez-vous, et que les effets secondaires s’en sont révélés nombreux et souvent graves : c’était l’une des raisons principales invoquées par la plupart des « opposants » aux tout nouveaux vaccins ARNm que de nombreuses études sont venues justifier.
Mais le matraquage de l’opinion se poursuit. François se pose en compagnon de route de la mise en place des tyrannies sanitaires et autres manipulations au service du Nouvel Ordre Mondial.
Une étude publiée par le chercheur Denis Rancourt avec une équipe médicale évalue à 17 millions le nombre de morts associés au vaccin anti-covid, dont le déploiement est allé de pair dans de nombreux pays avec une augmentation inattendue de la mortalité « toutes cause » au moment des campagnes de vaccination.
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21 mars 2024 19 h 56 min
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Le pape François a une nouvelle fois condamné ceux qui ont refusé de se faire vacciner contre le covid en affirmant que l’opposition aux piqûres génomiques l’« affligeait ». « Etre contre l’antidote constitue un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il affirmé, en maniant l’hyperbole à la manière de ceux qui pratiquent le chantage émotionnel.
Il s’est exprimé ainsi dans le cadre de ses mémoires publiées il y a quelques jours aux Etats-Unis et en Europe. C’est au cours de ses entretiens avec le journaliste Fabio Marchese Ragona que François est revenu sur la crise du coronavirus. On se souviendra de ce que le Vatican fut parmi les Etats ayant imposé la vaccination de la manière la plus autoritaire, refusant même les résultats de test négatifs attestant de la non infection par le virus, alors même que de nombreux responsables catholiques ont souligné la difficulté morale qu’elle pose, étant donné que la quasi-totalité des vaccins disponibles avait été développé en ayant recours à des lignées de cellules embryonnaires obtenu à l’occasion d’avortements tardifs. Et ce n’était pas le seul problème lié aux vaccins…
« Décider de recevoir le vaccin ou non relève toujours d’un choix éthique, mais je sais que de nombreuses personnes ont rejoint des mouvements opposés à l’administration du médicament. Cela m’a affligé parce que de mon point de vue, être contre l’antidote constituer un acte de déni quasi suicidaire », a-t-il déclaré.
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Le pape François jette l’opprobre sur les opposants au vaccin covid
[size]Il n’a pas rappelé que les employés du Vatican n’ont même pas eu droit au libre choix « éthique », vu que plusieurs – y compris trois Gardes suisses – ont perdu leur travail pour cause de refus du vaccin, et que l’obligation vaccinale a été maintenue dans certains cas jusqu’en 2023.
Le pape semble même avoir ajouté une pique à l’encontre du cardinal Burke, en affirmant : « Il y avait même quelques antivax parmi les évêques ; certains d’entre eux ont frôlé la mort. » Une allusion à peine voilée à la maladie du cardinal américain qui a failli mourir du covid…
Mais aurait-il échappé à cette grave maladie s’il avait été vacciné ? Une récente étude de personnes ayant fait une infection covid grave avec hospitalisation a montré que les vaccinés du groupe ont été en proportion plus nombreux à en mourir que les non vaccinés.
Quant à dénoncer un comportement quasi suicidaire, cela relève d’une exagération manifeste. D’une part le covid tuait peu à l’aune du nombre d’infections recensées, voire très peu ou pas du tout parmi les jeunes et les personnes d’âge moyen, et d’autre part, l’écrasante majorité des non-vaccinés va aujourd’hui très bien, alors qu’on continue de découvrir des effets néfastes à long terme de la vaccination.
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Le vaccin covid comme outil de sortie des confinements ?
[size]Dans l’esprit du pape, c’est l’arrivée des premiers vaccins qui a permis d’en finir avec le « sinistre scénario » des confinements. Il a oublié de rappeler que les vaccins n’empêchent ni l’infection par le covid-19 ni sa transmission. Et que les confinements et restrictions ont persisté malgré le vaccin.
D’ailleurs, pas plus tard qu’en janvier, une association qui défend les intérêts des immunodéprimés faisait campagne pour le port du masque dans les lieux publics clos avec ce slogan : « Protéger ceux que le vaccin ne protège pas. » Ça ne s’invente pas.
Aujourd’hui le pape se souvient avec émotion d’avoir « immédiatement » programmé sa propre vaccination lorsque les premières doses sont arrivées. « Plus tard, j’ai également reçu les booster, et grâce à Dieu je n’ai pas attrapé le virus », a-t-il raconté à Ragona, en se félicitant d’avoir invité les démunis et les transgenres à venir se faire piquer au Vatican.
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François n’évoque même pas les arguments des opposants au vaccin covid
[size]Ainsi le pape François continue-t-il de faire la propagande pour une substance qui modifie le comportement des cellules humaines dans une démarche qu’il faut bien qualifier déjà de transhumaniste, puisqu’au moyen de l’ARN messager, elle fait délibérément et artificiellement produire des protéines propres à un virus par le corps humain. Voilà une question qui, au-delà des interrogations qu’elle devrait susciter chez les scientfiques, devrait agiter les théologiens, mais qui est balayée avec la même désinvolture que celle du recours à des cellules obtenues au moyen de l’avortement.
Rappelons que la vaccination a été très largement imposée dans de nombreux pays, pour éviter une mortalité qui n’était de toute façon pas au rendez-vous, et que les effets secondaires s’en sont révélés nombreux et souvent graves : c’était l’une des raisons principales invoquées par la plupart des « opposants » aux tout nouveaux vaccins ARNm que de nombreuses études sont venues justifier.
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Jeanne Smits
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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