2020 : le monde a basculé - Covid-19
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2020 : le monde a basculé - Covid-19
Rappel du premier message :
Nous voyons très clairement que le monde entier a basculé, il navigue vers l'inconnu, il a peur ! C'est une première depuis des lustres, la fin est proche, très proche, c'est une évidence pour ceux qui connaissent les prophéties bibliques.
Les riches et les puissants ne sont pas épargnés par ce virus, leurs pouvoirs et leurs argents ne peuvent rien, ce petit virus les domine ! Ce virus a mis le monde à terre et a stoppé net la folie des hommes.
Jésus a aussi prophétisé les pestes comme un dès signes des derniers jours.
Paroles de Jésus :
Matthieu 24:6 Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. 7 Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. 8 Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.
Luc 21:10 Alors il leur dit: Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume; 11 il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel.
Gloire à YHWH Dieu et au Seigneur Jésus en cette soirée de Pâque. Amen
Bible :
Matthieu 26:17 Le premier jour des pains sans levain, les disciples s'adressèrent à Jésus, pour lui dire: Où veux-tu que nous te préparions le repas de la Pâque?
1 Corinthiens 5:7 Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Luc 22:7 Le jour des pains sans levain, où l'on devait immoler la Pâque, arriva, 8 et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.
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2020 : le monde a basculé - Covid-19
Nous voyons très clairement que le monde entier a basculé, il navigue vers l'inconnu, il a peur ! C'est une première depuis des lustres, la fin est proche, très proche, c'est une évidence pour ceux qui connaissent les prophéties bibliques.
Les riches et les puissants ne sont pas épargnés par ce virus, leurs pouvoirs et leurs argents ne peuvent rien, ce petit virus les domine ! Ce virus a mis le monde à terre et a stoppé net la folie des hommes.
Jésus a aussi prophétisé les pestes comme un dès signes des derniers jours.
Paroles de Jésus :
Matthieu 24:6 Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. 7 Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. 8 Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.
Luc 21:10 Alors il leur dit: Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume; 11 il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel.
Gloire à YHWH Dieu et au Seigneur Jésus en cette soirée de Pâque. Amen
Bible :
Matthieu 26:17 Le premier jour des pains sans levain, les disciples s'adressèrent à Jésus, pour lui dire: Où veux-tu que nous te préparions le repas de la Pâque?
1 Corinthiens 5:7 Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Luc 22:7 Le jour des pains sans levain, où l'on devait immoler la Pâque, arriva, 8 et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.
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Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Une nouvelle étude japonaise fait le lien entre la vaccination covid et la surmortalité due au cancer
23 avril 2024
Aux termes d’une nouvelle étude japonaise publiée le 8 avril dans la revue Cureus, il existe une « augmentation statistiquement significative » du nombre de morts par cancer après réception d’une troisième dose de vaccins ARNm contre le covid-19. Les chercheurs évoquent en particulier le fait que ces vaccins covid provoquent une immunosuppression et le réveil de virus latents dans le corps humain.
L’étude portait sur les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour plusieurs types de cancers entre 2020 et 2022, à partir des données du gouvernement japonais. « Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020) », indique l’étude.
« Cependant, une certaine surmortalité par cancer a été observée en 2021 à la suite de la vaccination de masse avec les premières et deuxièmes doses de vaccin ; une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (y compris le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, tous sensibles aux œstrogènes et au récepteur alpha des œstrogènes, ERα) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. » Une autre étude a montré que la protéine spike dont la fabrication est déclenchée par les vaccins ARNm à nanoparticules de lipides se lie spécifiquement à ERα et augmente l’activité transcriptionnelle de celui-ci.
La surmortalité s’est révélée plus importante en 2022 qu’en 2021. La quasi-totalité des vaccins covid en cause étaient à base d’ARNm à nanoparticules de lipides, 78 % d’entre eux étant des vaccins Pfizer et les 22 % restants des vaccins Moderna. A eux deux, ils représentent plus de 99,9 % des vaccins covid administrés au Japon.
Il est à noter que le déploiement des vaccins covid a coïncidé avec une interruption et un ralentissement de la baisse des taux de mortalité par cancer observée dans tous les groupes d’âge au cours de la décennie précédente, notamment les plus tueurs : la baisse de la mortalité liée aux cancers du poumon, colorectaux, de l’estomac et du foie en particulier a ralenti en 2021 et 2022.
Les auteurs de l’étude signée Gibo M, Kojima S, Fujisawa A, et al. ont souligné que les changements survenus en 2020 peuvent être attribués à l’ampleur des confinements qui ont entraîné des retards et des annulations d’opérations chirurgicales et d’autres traitements contre le cancer, mais ils identifient néanmoins plusieurs liens de causalité potentiels entre les vaccins et les décès dus au cancer en 2021 et au-delà.
La surmortalité due au cancer, pas aux confinements
« Certaines études ont montré que les réponses à l’interféron de type I (INF), qui jouent un rôle essentiel dans l’immunosurveillance du cancer, sont supprimées après la vaccination SARS-CoV-2 mRNA-LNP », écrivent-ils. « Il a été démontré que le vaccin SARS-CoV-2 provoque une immunosuppression et conduit à la réactivation de virus latents tels que le virus de la varicelle et du zona (VZV, herpèsvirus humain 3 ; HHV3) ou l’herpèsvirus humain 8 (HHV8) dans certains cas », ajoutent-ils. « Ces phénomènes pourraient également contribuer à expliquer la surmortalité due au cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx en 2022, lorsque la vaccination de masse avec la troisième dose et les doses ultérieures était en cours. »
Les chercheurs ont donc conclu que ces « augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα pourraient être attribuables à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-LNP plutôt qu’à l’infection par le covid-19 elle-même ou à une réduction des soins d’oncologie en raison des confinements ». L’importance de cette possibilité justifie des études plus approfondies, selon les chercheurs.
Le Japon fait partie des pays où la prévalence de la vaccination anti-covid est la plus haute : ainsi 68 % de la population y ont reçu la troisième dose et la vaccination de masse est actuellement en cours avec la 7e dose…
L’étude japonaise rappelle par ailleurs que les vaccins Pfizer et plus encore Moderna contiennent un nombre de molécules équivalent à entre un tiers et 1,1 fois le nombre de cellules du corps humain, et que les nanoparticules de lipides se retrouvent dans différents organes, en particulier le foie, la rate, la glande surrénale, l’ovaire et la moelle osseuse ; on a retrouvé des protéines spike recombinants spécifiques au vaccin dans le sang de 50 % des vaccinés et ils y étaient toujours détectables entre 3 et 6 mois plus tard. A l’inverse, on n’a trouvé la protéine spike virale dans le sérum des personnes infectées que pendant 10 à 20 jours, y compris chez les plus malades, rappellent les chercheurs. Ceux-ci invoquent encore d’autres études montrant une plus forte incidence de l’infection aux nouvelles formes de covid chez les vaccinés ayant reçu plusieurs doses.
Ayant noté que l’une des plus fortes causes de mortalité liée au cancer est la thrombose, ils estiment qu’« il est raisonnable de supposer que la tendance supplémentaire à la formation de thromboses observée avec le vaccin ARNm-LNP pourrait être extrêmement dangereuse ». Cette tendance pourrait expliquer la surmortalité constatée après la vaccination de masse, assurent-ils.
Mais les chercheurs insistent pour dire que plusieurs mécanismes, parmi lesquels ceux évoqués ci-dessus, sont susceptibles d’être en cause.
Raison de plus pour rester prudent face à une nouvelle molécule : les constatations faites par les scientifiques japonais – Miki Gibo, Seiji Kojima, Akinori Fujisawa, Takayuki Kikuchi et Masanori Fukushima – viennent rappeler l’importance d’avoir du recul. Leur étude ne porte au demeurant que sur les deux premières années de la campagne de vaccination ; que nous réserve l’avenir ?
23 avril 2024
Aux termes d’une nouvelle étude japonaise publiée le 8 avril dans la revue Cureus, il existe une « augmentation statistiquement significative » du nombre de morts par cancer après réception d’une troisième dose de vaccins ARNm contre le covid-19. Les chercheurs évoquent en particulier le fait que ces vaccins covid provoquent une immunosuppression et le réveil de virus latents dans le corps humain.
L’étude portait sur les taux de mortalité ajustés en fonction de l’âge pour plusieurs types de cancers entre 2020 et 2022, à partir des données du gouvernement japonais. « Aucune surmortalité significative n’a été observée au cours de la première année de la pandémie (2020) », indique l’étude.
« Cependant, une certaine surmortalité par cancer a été observée en 2021 à la suite de la vaccination de masse avec les premières et deuxièmes doses de vaccin ; une surmortalité significative a été observée pour tous les cancers et certains types spécifiques de cancer (y compris le cancer de l’ovaire, la leucémie, le cancer de la prostate, le cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx, le cancer du pancréas et le cancer du sein, tous sensibles aux œstrogènes et au récepteur alpha des œstrogènes, ERα) après la vaccination de masse avec la troisième dose en 2022. » Une autre étude a montré que la protéine spike dont la fabrication est déclenchée par les vaccins ARNm à nanoparticules de lipides se lie spécifiquement à ERα et augmente l’activité transcriptionnelle de celui-ci.
La vaccination anti-covid multidoses concerne plus de deux tiers des Japonais
La surmortalité s’est révélée plus importante en 2022 qu’en 2021. La quasi-totalité des vaccins covid en cause étaient à base d’ARNm à nanoparticules de lipides, 78 % d’entre eux étant des vaccins Pfizer et les 22 % restants des vaccins Moderna. A eux deux, ils représentent plus de 99,9 % des vaccins covid administrés au Japon.
Il est à noter que le déploiement des vaccins covid a coïncidé avec une interruption et un ralentissement de la baisse des taux de mortalité par cancer observée dans tous les groupes d’âge au cours de la décennie précédente, notamment les plus tueurs : la baisse de la mortalité liée aux cancers du poumon, colorectaux, de l’estomac et du foie en particulier a ralenti en 2021 et 2022.
Les auteurs de l’étude signée Gibo M, Kojima S, Fujisawa A, et al. ont souligné que les changements survenus en 2020 peuvent être attribués à l’ampleur des confinements qui ont entraîné des retards et des annulations d’opérations chirurgicales et d’autres traitements contre le cancer, mais ils identifient néanmoins plusieurs liens de causalité potentiels entre les vaccins et les décès dus au cancer en 2021 et au-delà.
La surmortalité due au cancer, pas aux confinements
« Certaines études ont montré que les réponses à l’interféron de type I (INF), qui jouent un rôle essentiel dans l’immunosurveillance du cancer, sont supprimées après la vaccination SARS-CoV-2 mRNA-LNP », écrivent-ils. « Il a été démontré que le vaccin SARS-CoV-2 provoque une immunosuppression et conduit à la réactivation de virus latents tels que le virus de la varicelle et du zona (VZV, herpèsvirus humain 3 ; HHV3) ou l’herpèsvirus humain 8 (HHV8) dans certains cas », ajoutent-ils. « Ces phénomènes pourraient également contribuer à expliquer la surmortalité due au cancer des lèvres, de la bouche et du pharynx en 2022, lorsque la vaccination de masse avec la troisième dose et les doses ultérieures était en cours. »
Les chercheurs ont donc conclu que ces « augmentations particulièrement marquées des taux de mortalité de ces cancers sensibles aux ERα pourraient être attribuables à plusieurs mécanismes de la vaccination ARNm-LNP plutôt qu’à l’infection par le covid-19 elle-même ou à une réduction des soins d’oncologie en raison des confinements ». L’importance de cette possibilité justifie des études plus approfondies, selon les chercheurs.
Le Japon fait partie des pays où la prévalence de la vaccination anti-covid est la plus haute : ainsi 68 % de la population y ont reçu la troisième dose et la vaccination de masse est actuellement en cours avec la 7e dose…
La vaccination covid à ARNm laisse plus de traces que le covid lui-même
L’étude japonaise rappelle par ailleurs que les vaccins Pfizer et plus encore Moderna contiennent un nombre de molécules équivalent à entre un tiers et 1,1 fois le nombre de cellules du corps humain, et que les nanoparticules de lipides se retrouvent dans différents organes, en particulier le foie, la rate, la glande surrénale, l’ovaire et la moelle osseuse ; on a retrouvé des protéines spike recombinants spécifiques au vaccin dans le sang de 50 % des vaccinés et ils y étaient toujours détectables entre 3 et 6 mois plus tard. A l’inverse, on n’a trouvé la protéine spike virale dans le sérum des personnes infectées que pendant 10 à 20 jours, y compris chez les plus malades, rappellent les chercheurs. Ceux-ci invoquent encore d’autres études montrant une plus forte incidence de l’infection aux nouvelles formes de covid chez les vaccinés ayant reçu plusieurs doses.
Ayant noté que l’une des plus fortes causes de mortalité liée au cancer est la thrombose, ils estiment qu’« il est raisonnable de supposer que la tendance supplémentaire à la formation de thromboses observée avec le vaccin ARNm-LNP pourrait être extrêmement dangereuse ». Cette tendance pourrait expliquer la surmortalité constatée après la vaccination de masse, assurent-ils.
Mais les chercheurs insistent pour dire que plusieurs mécanismes, parmi lesquels ceux évoqués ci-dessus, sont susceptibles d’être en cause.
Raison de plus pour rester prudent face à une nouvelle molécule : les constatations faites par les scientifiques japonais – Miki Gibo, Seiji Kojima, Akinori Fujisawa, Takayuki Kikuchi et Masanori Fukushima – viennent rappeler l’importance d’avoir du recul. Leur étude ne porte au demeurant que sur les deux premières années de la campagne de vaccination ; que nous réserve l’avenir ?
Anne Dolhein
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Re: 2020 : le monde a basculé - Covid-19
Les plus jeunes victimes des confinements covid en grave difficulté à l’école
3 juillet 2024 14 h 35 min
jeunes confinements difficulté école
C’était prévisible : en cassant la vie sociale et en empêchant les enfants de fréquenter l’école, ou alors avec un masque, les gouvernements du monde ont joué avec l’avenir des plus fragiles au nom de la lutte contre le covid ; ils sont aujourd’hui en difficulté. C’est ce que reconnaît enfin une enquête du très gauchisant New York Times cité par Breitbart : les enfants encore très jeunes au moment de la crise du covid ont gravement souffert des confinements. Le journal soutenait pourtant toutes les mesures liberticides dont il constate aujourd’hui la nocivité… peu surprenante, en vérité.
Le New York Times a interrogé plus d’une vingtaine d’enseignants, de pédiatres et d’experts de la petite enfance pour conclure que le bouleversement complet de la société pendant la pandémie a, en fait, nui aux jeunes enfants, comme on le voit aujourd’hui avec le recul. Les experts cités dans l’article « ont dépeint une génération moins susceptible de posséder des compétences adaptées à son âge, c’est-à-dire d’être capable de tenir un crayon, de communiquer ses besoins, d’identifier les formes et les lettres, de gérer ses émotions ou de résoudre des problèmes » avec les autres enfants du même âge.
Bref, ces tout-petits ont été retardés sur le plan moteur, psychologique et relationnel. Si ce n’était pas une expérience d’ingénierie sociale, c’en a eu tous les effets. Le drame dans le drame, c’est qu’elle a eu lieu à une échelle gigantesque.
Le très jeunes en difficulté à l’école alors qu’ils étaient tout-petits au moment du covid
« Je pense vraiment que les enfants nés à cette époque ont eu des problèmes de développement par rapport aux années précédentes », a déclaré le Dr Jaime Peterson, pédiatre à l’Oregon Health and Science University, dont les recherches portent sur la préparation à l’entrée en maternelle. « Nous leur avons demandé de porter des masques, de ne pas voir les adultes, de ne pas jouer avec les enfants. Nous avons vraiment coupé ces interactions, et ce temps n’est pas récupérable pour les enfants », déplore-t-il.
Le Times note que les effets nocifs des confinements sur les enfants plus âgés au moment de la pandémie sont aujourd’hui bien documentés, mais qualifie de « surprenantes d’une certaine manière » ceux constatés chez des enfants qui de toute façon n’allaient pas encore à l’école à ce moment-là : les nourrissons et les tout-petits.
Les chercheurs avec lesquels le Times s’est entretenu ont souligné qu’au moment de la pandémie, les jeunes enfants, dont les premières années sont les plus critiques pour le développement du cerveau, ont été affectés par le stress parental, une moindre exposition aux autres, une moindre fréquentation de l’école maternelle et davantage de temps passé devant des écrans.
Joel Ryan, qui travaille avec un réseau de centres Head Start et de centres de maternelles de l’Etat de Washington, a déclaré que les enfants les plus jeunes représentent un « tsunami pandémique » qui se dirige vers le système éducatif des Etats-Unis. Il a constaté une augmentation des retards d’élocution et des problèmes de comportement. Brook Allen, à Martin (Tennessee), qui enseigne en maternelle depuis 11 ans, a déclaré qu’elle avait pour la première fois cette année plusieurs élèves qui pouvaient à peine parler, plusieurs qui ne savaient pas aller sur le pot et plusieurs qui ne possédaient pas les capacités motrices nécessaires pour tenir un crayon.
Les jeunes des confinements ne recherchent plus la compagnie d’autres enfants
Une autre maîtresse du Tennessee a constaté pour sa part que les jeunes enfants ne jouent plus à des jeux imaginatifs et ne recherchent plus la compagnie d’autres enfants comme le faisaient les classes précédentes. Elle a même dû remplacer les petits matériaux de construction de sa classe par de gros blocs souples parce que la motricité fine des élèves n’était pas assez développée.
Lissa O’Rourke, enseignante en maternelle à St. Augustine, en Floride, a déclaré qu’elle avait remarqué que les jeunes enfants avaient plus de mal à réguler leurs émotions. « Ils renversaient les chaises, lançaient des objets, frappaient leurs camarades et leurs enseignants », a-t-elle déclaré. Voilà qui promet !
Difficulté à l’école et en société
Heidi Tringali, ergothérapeute pédiatrique à Charlotte (Caroline du Nord), a déclaré pour sa part que ses collègues et elle voyaient davantage d’enfants souffrant de « problèmes visuels, de force musculaire, d’aptitudes sociales, d’attention – tous les déficits ». « Nous voyons vraiment la différence quand ils ne sortent pas pour jouer », a-t-elle déclaré.
Le New York Times conclut sur une note optimiste en citant un pédiatre neuroscientifique de Columbia University selon lequel « il est absolument possible de rattraper le retard, à condition de le prendre à temps : il n’y a rien de déterministe dans un cerveau à six mois ».
Mais est-il facile de remédier à de telles lacunes et de tels problèmes sans prendre les enfants individuellement et reprendre les apprentissages et l’éducation quasiment à zéro ? Il y faut du temps et de la disponibilité. Du savoir-faire aussi. On finira par leur préférer les robots.
Jeanne Smits
3 juillet 2024 14 h 35 min
jeunes confinements difficulté école
C’était prévisible : en cassant la vie sociale et en empêchant les enfants de fréquenter l’école, ou alors avec un masque, les gouvernements du monde ont joué avec l’avenir des plus fragiles au nom de la lutte contre le covid ; ils sont aujourd’hui en difficulté. C’est ce que reconnaît enfin une enquête du très gauchisant New York Times cité par Breitbart : les enfants encore très jeunes au moment de la crise du covid ont gravement souffert des confinements. Le journal soutenait pourtant toutes les mesures liberticides dont il constate aujourd’hui la nocivité… peu surprenante, en vérité.
Le New York Times a interrogé plus d’une vingtaine d’enseignants, de pédiatres et d’experts de la petite enfance pour conclure que le bouleversement complet de la société pendant la pandémie a, en fait, nui aux jeunes enfants, comme on le voit aujourd’hui avec le recul. Les experts cités dans l’article « ont dépeint une génération moins susceptible de posséder des compétences adaptées à son âge, c’est-à-dire d’être capable de tenir un crayon, de communiquer ses besoins, d’identifier les formes et les lettres, de gérer ses émotions ou de résoudre des problèmes » avec les autres enfants du même âge.
Bref, ces tout-petits ont été retardés sur le plan moteur, psychologique et relationnel. Si ce n’était pas une expérience d’ingénierie sociale, c’en a eu tous les effets. Le drame dans le drame, c’est qu’elle a eu lieu à une échelle gigantesque.
Le très jeunes en difficulté à l’école alors qu’ils étaient tout-petits au moment du covid
« Je pense vraiment que les enfants nés à cette époque ont eu des problèmes de développement par rapport aux années précédentes », a déclaré le Dr Jaime Peterson, pédiatre à l’Oregon Health and Science University, dont les recherches portent sur la préparation à l’entrée en maternelle. « Nous leur avons demandé de porter des masques, de ne pas voir les adultes, de ne pas jouer avec les enfants. Nous avons vraiment coupé ces interactions, et ce temps n’est pas récupérable pour les enfants », déplore-t-il.
Le Times note que les effets nocifs des confinements sur les enfants plus âgés au moment de la pandémie sont aujourd’hui bien documentés, mais qualifie de « surprenantes d’une certaine manière » ceux constatés chez des enfants qui de toute façon n’allaient pas encore à l’école à ce moment-là : les nourrissons et les tout-petits.
Les chercheurs avec lesquels le Times s’est entretenu ont souligné qu’au moment de la pandémie, les jeunes enfants, dont les premières années sont les plus critiques pour le développement du cerveau, ont été affectés par le stress parental, une moindre exposition aux autres, une moindre fréquentation de l’école maternelle et davantage de temps passé devant des écrans.
Joel Ryan, qui travaille avec un réseau de centres Head Start et de centres de maternelles de l’Etat de Washington, a déclaré que les enfants les plus jeunes représentent un « tsunami pandémique » qui se dirige vers le système éducatif des Etats-Unis. Il a constaté une augmentation des retards d’élocution et des problèmes de comportement. Brook Allen, à Martin (Tennessee), qui enseigne en maternelle depuis 11 ans, a déclaré qu’elle avait pour la première fois cette année plusieurs élèves qui pouvaient à peine parler, plusieurs qui ne savaient pas aller sur le pot et plusieurs qui ne possédaient pas les capacités motrices nécessaires pour tenir un crayon.
Les jeunes des confinements ne recherchent plus la compagnie d’autres enfants
Une autre maîtresse du Tennessee a constaté pour sa part que les jeunes enfants ne jouent plus à des jeux imaginatifs et ne recherchent plus la compagnie d’autres enfants comme le faisaient les classes précédentes. Elle a même dû remplacer les petits matériaux de construction de sa classe par de gros blocs souples parce que la motricité fine des élèves n’était pas assez développée.
Lissa O’Rourke, enseignante en maternelle à St. Augustine, en Floride, a déclaré qu’elle avait remarqué que les jeunes enfants avaient plus de mal à réguler leurs émotions. « Ils renversaient les chaises, lançaient des objets, frappaient leurs camarades et leurs enseignants », a-t-elle déclaré. Voilà qui promet !
Difficulté à l’école et en société
Heidi Tringali, ergothérapeute pédiatrique à Charlotte (Caroline du Nord), a déclaré pour sa part que ses collègues et elle voyaient davantage d’enfants souffrant de « problèmes visuels, de force musculaire, d’aptitudes sociales, d’attention – tous les déficits ». « Nous voyons vraiment la différence quand ils ne sortent pas pour jouer », a-t-elle déclaré.
Le New York Times conclut sur une note optimiste en citant un pédiatre neuroscientifique de Columbia University selon lequel « il est absolument possible de rattraper le retard, à condition de le prendre à temps : il n’y a rien de déterministe dans un cerveau à six mois ».
Mais est-il facile de remédier à de telles lacunes et de tels problèmes sans prendre les enfants individuellement et reprendre les apprentissages et l’éducation quasiment à zéro ? Il y faut du temps et de la disponibilité. Du savoir-faire aussi. On finira par leur préférer les robots.
Jeanne Smits
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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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