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La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle.

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 La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 Empty La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle.

Message  Mikaël Malik Dim 19 Fév 2023, 19:07

Rappel du premier message :

La transfusion est une bonne chose


Une femme est présentée comme héroïne pour avoir sauvé la vie de sa nièce, en lui donnant son sang.
 
The Remarkable story comes from California of an antomobile accident involving a man, his wife, and his niece. The automobile went over the side of a cliff, killing the man. His wife and his niece, injured, lay in the bottom of the canyon for three days, awaiting discovery. Fearing the death of the child, the woman deliberately cut her arms and breast with glass from the windshield to provide blood to keep will the child alive durind the cold nights. The child will recover, but the heroine is expected to die. 

 L'histoire remarquable vient de la Californie, d'un accident automobile impliquant un homme, sa femme et sa nièce. L'automobile est allé sur le côté d'une falaise, tuant l'homme. Sa femme et sa nièce, blessé, restèrent dans le fond du canyon pendant trois jours, en attendant qu'on les retouve. Craignant la mort de l'enfant, la femme a délibérément coupé ses bras et sa poitrine avec le verre du pare-brise pour fournir du sang, et maintenir l'enfant en vie durant les nuits froides. L'enfant va récupérer, mais l'héroïne est mourrante.



Golden Age (l'Âge d'Or), 17 décembre 1924, page 163  
 La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 Cmhz

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« L’erreur va de pair avec l’oppressionLa vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divinsc’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
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Message  Mikaël Malik Lun 15 Mai 2023, 16:16

Josué2 a écrit:[size=33]Complications des transfusions
Par 
Ravindra Sarode 
, MD, The University of Texas Southwestern Medical Center
Examen médical févr. 2022


VOIR L’ÉDUCATION DES PATIENTS
[/size]

Les complications les plus fréquentes de la transfusion sont les suivantes




La plupart des complications graves, qui ont une mortalité très élevée, sont les suivantes




Les autres complications comprennent les suivantes




La reconnaissance précoce des symptômes évocateurs d'une réaction transfusionnelle et leur signalement rapide à la banque de sang sont indispensables. Les symptômes les plus fréquents sont des frissons, des crampes, de la fièvre, une dyspnée, des lipothymies, une urticaire solaire, un prurit et des douleurs de l'hypochondre. Si l'un de ces symptômes (autre qu'une urticaire et un prurit localisés) survient, la transfusion doit être immédiatement interrompue et la perfusion IV maintenue ouverte avec du sérum physiologique normal. Le reste du produit sanguin et des prélèvements coagulés et anticoagulés du sang du patient doivent être envoyés à la banque de sang pour investigation. NOTE: la transfusion avec l'unité incriminée ne doit pas être redémarrée et toute unité issue du même don ne doit pas être délivrée. Toute transfusion supplémentaire doit être évitée jusqu'à ce que la cause de la réaction soit déterminée, sauf en cas d'urgence, dans ce cas il faut utiliser des globules rouges type O Rh négatifs.

L'hémolyse des globules rouges du donneur ou du receveur (habituellement du premier) pendant ou après une transfusion peut être due à une incompatibilité ABO/Rh, à des anticorps plasmatiques, à des globules rouges hémolysés ou fragilisés (p. ex., par surchauffe du sang conservé ou par contact avec des solutions IV hypotoniques). L'hémolyse est plus fréquente et grave quand les globules rouges incompatibles du donneur sont hémolysés par un anticorps dans le plasma du receveur. Les réactions hémolytiques peuvent être aiguës (apparaissant dans les 24 heures) ou retardées (de 1 à 14 jours).


Réaction transfusionnelle fébrile non hémolytique




Une réaction fébrile peut être observée sans hémolyse. Une cause possible réside dans les anticorps dirigés contre le groupe HLA (human leukocyte antigen) des globules blancs issus du sang de donneurs par ailleurs compatibles. Cette cause est très fréquente chez les patients polytransfusés ou multipares. Les cytokines libérées par les globules blancs pendant le stockage, en particulier dans les concentrés plaquettaires, constituent une autre cause possible.

Cliniquement, les réactions fébriles consistent en une augmentation de la température de ≥ 1° C, avec des frissons, et parfois des céphalées et des lombalgies. Les symptômes simultanés de réaction allergique sont fréquents. La fièvre et les frissons étant des signes prodromiques d'une réaction hémolytique transfusionnelle grave, toutes les réactions fébriles doivent être analysées comme de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës, et comme pour toute réaction transfusionnelle.

La plupart des réactions fébriles sont traitées aisément par du paracétamol et, si nécessaire, de la diphénhydramine. Les patients doivent également être traités (p. ex., par du paracétamol) avant les futures transfusions. Si un receveur a fait plus d'une réaction fébrile, des filtres de leucoréduction spéciaux seront utilisés lors des transfusions ultérieures; la plupart des hôpitaux pratiquent des composants sanguins stockés et déleucocytés.


Réaction hémolytique transfusionnelle aiguë




Environ 20 patients décèdent annuellement de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë aux États-Unis. La réaction hémolytique transfusionnelle aiguë provient habituellement des anticorps du plasma du receveur dirigés contre les Ag des globules rouges du donneur. L'incompatibilité ABO est la cause la plus fréquente de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë. Des anticorps dirigés contre des Ag de groupes sanguins autres qu'ABO peuvent également être cause de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës. Une erreur d'étiquetage des prélèvements prétransfusionnels du receveur au moment de leur collecte et une erreur de correspondance entre le receveur prévu et le produit sanguin immédiatement avant la transfusion sont des causes classiques.

L'hémolyse est intravasculaire, entraînant une hémoglobinurie avec différents degrés de lésion rénale aiguë et parfois une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD). La gravité de la réaction hémolytique transfusionnelle aiguë dépend des éléments suivants


  • Degré d'incompatibilité


  • Quantité de sang administré


  • Taux d'administration


  • Intégrité des reins, du foie et du cœur




Une phase aiguë se développe habituellement dans l'heure du début de la transfusion, mais elle peut se manifester plus tardivement, pendant la transfusion ou immédiatement après. Le début est habituellement brutal. Le patient peut ressentir une gêne ou de l'anxiété. Le patient peut présenter une dyspnée, une fièvre, des frissons, des rougeurs du visage (bouffées vasomotrices), une douleur sévère, en particulier de la région lombaire. Un choc peut apparaître, avec un pouls faible et rapide; une peau froide et moite; une pression artérielle basse; et des nausées et des vomissements. Un ictère peut apparaître après l'hémolyse aiguë.

En cas de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë sous anesthésie générale, le seul signe peut être une hypotension, une hémorragie en nappe incontrôlable au niveau de l'incision ou des muqueuses, liée à une CIVD ou des urines foncées qui reflètent une hémoglobinurie.

Vous ne ferez jamais croire qu'une médication quelle qu'elle soit n'a aucun risque, même une simple aspirine contre la douleur peut tuer une personne fragile, il n'y a aucun traitement médical aussi petit soit-il qui est sans risque. Il ne faut surtout pas oublier que ce dogme de la transfusion est une invention de la girouette Nathan Knorr, la même année, 1945, il a affirmé le contraire de ce qu'il avait dit, non.....oui......non....oui, jusqu'à ce que le oui l'emporte. 

Mais c'est bien parce que c'est comme cela, entre autres, que nous pouvons déceler les imposteurs, les faux oints et les faux prophètes. N'oubliez pas non plus que Jésus avait prévenu, qu'au temps de la fin, de tels individus, des faux prophètes, des faux oints/faux christ, viendraient avec leurs propres doctrines pour tromper. 

Je vous ai prévenu à l'avance a dit Jésus !

 :bye au revoir:


Mikaël Malik a écrit:
Dieu n'a jamais promulgué l'interdiction de transfusion sanguine.

Wanneer wij ons leven verliezen, doordat wij weigeren, inspuitingen te laten maken, dient zulks niet tot een getuigenis ter rechtvaardiging van Jehova's Naam. God heeft nooit bepalingen uitgevaardigd die het gebruik van medicijnen, inspuitingen of bloedtransfusie verbiedt. Het is een uitvinding van menschen, die gelijk de Farizeën Jehova's barmhartigheid en liefde buiten beschouwing laten. Jehova te dienen met geheel ons verstand beteekent niet ons verstand uit te schakelen; vooral dan niet, als het om een menschenleven gaat, dat Jehova toegewijd en daarom heilig is. 

 "Si nous mourons parce que nous refusons de faire des injections, ce n'est pas un témoignagne pour le nom de Jéhovah. 

Dieu n'a jamais promulgué de règles régissant l'utilisation des médicaments, des injections ou l'interdiction de transfusion sanguine. C'est une invention des hommes, qui comme chez Pharisiens ne prend pas en considération la miséricorde et l’amour de Jéhovah. Servir Jéhovah avec toute notre pensée ne signifie pas de désactiver notre esprit; surtout pas, lorsqu'il s'agit d'une vie humaine, qui est dévouée à Jéhovah et par conséquent est sacrée."


Consolation, septembre 1945, n 109, page 29, édition néerlandaise)
 La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 861r

Par celui qui a inventé ce dogme sur la transfusion, Nathan Knorr   La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 4156410652

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Message  Josué2 Lun 15 Mai 2023, 18:58


[size=40]Scandale du sang contaminé : résumé, nombre de victimes


[/size]



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Source: sante.journaldesfemmes.fr
L’affaire du sang contaminé est l’un des plus grands scandales sanitaires en France. Entre 1984 et 1985, 2000 hémophiles ont eu le virus du sida (VIH) suite à des transfusions de sang contaminé. Ces produits auraient été volontairement distribués. Résumé de l’affaire.
Le scandale du sang contaminé éclate le 25 avril 1991 en France. Ce jour-là, la journaliste Anne-Marie Casteret, révèle que le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) a sciemment distribué, de 1984 à 1985, des produits sanguins contaminés à des hémophiles. Plus de 2000 patients ont ainsi été contaminés par le virus du sida (VIH) et par le virus de l’hépatite C. Plusieurs médecins et ministres ont été mis en cause et ont comparu devant la justice. Dates-clé, nombre de victimes, nombre de morts, ministres impliqués, résultat de la condamnation… Retour sur une affaire sanitaire mêlé à un scandale politique qui a marqué la France.

[size=30]Dates-clé du scandale du sang contaminé[/size]

[size]
 Fin 1984 : l’épidémie de sida se propage à grande vitesse. On entend de plus en plus parler d’elle, notamment en France. On suspecte un mode de transmission de la maladie par voie sanguine et les réserves de sang du pays, issues des donneurs de sang, sont potentiellement contaminées (il n’y a pas de test de dépistage des donneurs à cette époque). Pour éviter les contaminations au sida, il faudrait alors traiter les plasmas recueillis (chauffer le sang à haute température inactive le virus) avant de procéder à une transfusion sanguine ou a minima, ne pas utiliser les produits non traités. C’est en tout cas ce que recommandent les professionnels de santé de l’époque. Mais les capacités de traitement étant insuffisantes en France, le Centre de transfusion sanguine (CNTS), en concertation avec les membres du gouvernement, autorise la circulation de stocks de sang contaminé par le virus du sida, à destination des hémophiles nécessitant une transfusion sanguine.
Article complet ici: sante.journaldesfemmes.fr[/size]

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(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
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Message  EX-Témoin Mar 16 Mai 2023, 13:48


Mikaël Malik a écrit:
Josué2 a écrit:[size=33]Complications des transfusions
Par 
Ravindra Sarode 
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Examen médical févr. 2022


VOIR L’ÉDUCATION DES PATIENTS
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Les complications les plus fréquentes de la transfusion sont les suivantes




La plupart des complications graves, qui ont une mortalité très élevée, sont les suivantes




Les autres complications comprennent les suivantes




La reconnaissance précoce des symptômes évocateurs d'une réaction transfusionnelle et leur signalement rapide à la banque de sang sont indispensables. Les symptômes les plus fréquents sont des frissons, des crampes, de la fièvre, une dyspnée, des lipothymies, une urticaire solaire, un prurit et des douleurs de l'hypochondre. Si l'un de ces symptômes (autre qu'une urticaire et un prurit localisés) survient, la transfusion doit être immédiatement interrompue et la perfusion IV maintenue ouverte avec du sérum physiologique normal. Le reste du produit sanguin et des prélèvements coagulés et anticoagulés du sang du patient doivent être envoyés à la banque de sang pour investigation. NOTE: la transfusion avec l'unité incriminée ne doit pas être redémarrée et toute unité issue du même don ne doit pas être délivrée. Toute transfusion supplémentaire doit être évitée jusqu'à ce que la cause de la réaction soit déterminée, sauf en cas d'urgence, dans ce cas il faut utiliser des globules rouges type O Rh négatifs.

L'hémolyse des globules rouges du donneur ou du receveur (habituellement du premier) pendant ou après une transfusion peut être due à une incompatibilité ABO/Rh, à des anticorps plasmatiques, à des globules rouges hémolysés ou fragilisés (p. ex., par surchauffe du sang conservé ou par contact avec des solutions IV hypotoniques). L'hémolyse est plus fréquente et grave quand les globules rouges incompatibles du donneur sont hémolysés par un anticorps dans le plasma du receveur. Les réactions hémolytiques peuvent être aiguës (apparaissant dans les 24 heures) ou retardées (de 1 à 14 jours).


Réaction transfusionnelle fébrile non hémolytique




Une réaction fébrile peut être observée sans hémolyse. Une cause possible réside dans les anticorps dirigés contre le groupe HLA (human leukocyte antigen) des globules blancs issus du sang de donneurs par ailleurs compatibles. Cette cause est très fréquente chez les patients polytransfusés ou multipares. Les cytokines libérées par les globules blancs pendant le stockage, en particulier dans les concentrés plaquettaires, constituent une autre cause possible.

Cliniquement, les réactions fébriles consistent en une augmentation de la température de ≥ 1° C, avec des frissons, et parfois des céphalées et des lombalgies. Les symptômes simultanés de réaction allergique sont fréquents. La fièvre et les frissons étant des signes prodromiques d'une réaction hémolytique transfusionnelle grave, toutes les réactions fébriles doivent être analysées comme de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës, et comme pour toute réaction transfusionnelle.

La plupart des réactions fébriles sont traitées aisément par du paracétamol et, si nécessaire, de la diphénhydramine. Les patients doivent également être traités (p. ex., par du paracétamol) avant les futures transfusions. Si un receveur a fait plus d'une réaction fébrile, des filtres de leucoréduction spéciaux seront utilisés lors des transfusions ultérieures; la plupart des hôpitaux pratiquent des composants sanguins stockés et déleucocytés.


Réaction hémolytique transfusionnelle aiguë




Environ 20 patients décèdent annuellement de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë aux États-Unis. La réaction hémolytique transfusionnelle aiguë provient habituellement des anticorps du plasma du receveur dirigés contre les Ag des globules rouges du donneur. L'incompatibilité ABO est la cause la plus fréquente de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë. Des anticorps dirigés contre des Ag de groupes sanguins autres qu'ABO peuvent également être cause de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës. Une erreur d'étiquetage des prélèvements prétransfusionnels du receveur au moment de leur collecte et une erreur de correspondance entre le receveur prévu et le produit sanguin immédiatement avant la transfusion sont des causes classiques.

L'hémolyse est intravasculaire, entraînant une hémoglobinurie avec différents degrés de lésion rénale aiguë et parfois une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD). La gravité de la réaction hémolytique transfusionnelle aiguë dépend des éléments suivants


  • Degré d'incompatibilité


  • Quantité de sang administré


  • Taux d'administration


  • Intégrité des reins, du foie et du cœur




Une phase aiguë se développe habituellement dans l'heure du début de la transfusion, mais elle peut se manifester plus tardivement, pendant la transfusion ou immédiatement après. Le début est habituellement brutal. Le patient peut ressentir une gêne ou de l'anxiété. Le patient peut présenter une dyspnée, une fièvre, des frissons, des rougeurs du visage (bouffées vasomotrices), une douleur sévère, en particulier de la région lombaire. Un choc peut apparaître, avec un pouls faible et rapide; une peau froide et moite; une pression artérielle basse; et des nausées et des vomissements. Un ictère peut apparaître après l'hémolyse aiguë.

En cas de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë sous anesthésie générale, le seul signe peut être une hypotension, une hémorragie en nappe incontrôlable au niveau de l'incision ou des muqueuses, liée à une CIVD ou des urines foncées qui reflètent une hémoglobinurie.




Vous ne ferez jamais croire qu'une médication quelle qu'elle soit n'a aucun risque, même une simple aspirine contre la douleur peut tuer une personne fragile, il n'y a aucun traitement médical aussi petit soit-il qui est sans risque. Il ne faut surtout pas oublier que ce dogme de la transfusion est une invention de la girouette Nathan Knorr, la même année, 1945, il a affirmé le contraire de ce qu'il avait dit, non.....oui......non....oui, jusqu'à ce que le oui l'emporte. 

Mais c'est bien parce que c'est comme cela, entre autres, que nous pouvons déceler les imposteurs, les faux oints et les faux prophètes. N'oubliez pas non plus que Jésus avait prévenu, qu'au temps de la fin, de tels individus, des faux prophètes, des faux oints/faux christ, viendraient avec leurs propres doctrines pour tromper. 

Je vous ai prévenu à l'avance a dit Jésus !

 :bye au revoir:


Mikaël Malik a écrit:
Dieu n'a jamais promulgué l'interdiction de transfusion sanguine.

Wanneer wij ons leven verliezen, doordat wij weigeren, inspuitingen te laten maken, dient zulks niet tot een getuigenis ter rechtvaardiging van Jehova's Naam. God heeft nooit bepalingen uitgevaardigd die het gebruik van medicijnen, inspuitingen of bloedtransfusie verbiedt. Het is een uitvinding van menschen, die gelijk de Farizeën Jehova's barmhartigheid en liefde buiten beschouwing laten. Jehova te dienen met geheel ons verstand beteekent niet ons verstand uit te schakelen; vooral dan niet, als het om een menschenleven gaat, dat Jehova toegewijd en daarom heilig is. 

 "Si nous mourons parce que nous refusons de faire des injections, ce n'est pas un témoignagne pour le nom de Jéhovah. 

Dieu n'a jamais promulgué de règles régissant l'utilisation des médicaments, des injections ou l'interdiction de transfusion sanguine. C'est une invention des hommes, qui comme chez Pharisiens ne prend pas en considération la miséricorde et l’amour de Jéhovah. Servir Jéhovah avec toute notre pensée ne signifie pas de désactiver notre esprit; surtout pas, lorsqu'il s'agit d'une vie humaine, qui est dévouée à Jéhovah et par conséquent est sacrée."


Consolation, septembre 1945, n 109, page 29, édition néerlandaise)
 La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 861r

Par celui qui a inventé ce dogme sur la transfusion, Nathan Knorr   La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 4156410652

ne vous fatiguez pas mikaêl car même avec toutes les preuves du monde qu'il pourrait avoir sous les yeux, vous ne convaincrez jamais un fou fanatique d'une quelconque secte de quoi que ce soit

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Message  Josué2 Mar 16 Mai 2023, 14:20

[size=33]Complications des transfusions
Par 
Ravindra Sarode 
, MD, The University of Texas Southwestern Medical Center
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VOIR L’ÉDUCATION DES PATIENTS
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Les complications les plus fréquentes de la transfusion sont les suivantes

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La plupart des complications graves, qui ont une mortalité très élevée, sont les suivantes
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Les autres complications comprennent les suivantes
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La reconnaissance précoce des symptômes évocateurs d'une réaction transfusionnelle et leur signalement rapide à la banque de sang sont indispensables. Les symptômes les plus fréquents sont des frissons, des crampes, de la fièvre, une dyspnée, des lipothymies, une urticaire solaire, un prurit et des douleurs de l'hypochondre. Si l'un de ces symptômes (autre qu'une urticaire et un prurit localisés) survient, la transfusion doit être immédiatement interrompue et la perfusion IV maintenue ouverte avec du sérum physiologique normal. Le reste du produit sanguin et des prélèvements coagulés et anticoagulés du sang du patient doivent être envoyés à la banque de sang pour investigation. NOTE: la transfusion avec l'unité incriminée ne doit pas être redémarrée et toute unité issue du même don ne doit pas être délivrée. Toute transfusion supplémentaire doit être évitée jusqu'à ce que la cause de la réaction soit déterminée, sauf en cas d'urgence, dans ce cas il faut utiliser des globules rouges type O Rh négatifs.

L'hémolyse des globules rouges du donneur ou du receveur (habituellement du premier) pendant ou après une transfusion peut être due à une incompatibilité ABO/Rh, à des anticorps plasmatiques, à des globules rouges hémolysés ou fragilisés (p. ex., par surchauffe du sang conservé ou par contact avec des solutions IV hypotoniques). L'hémolyse est plus fréquente et grave quand les globules rouges incompatibles du donneur sont hémolysés par un anticorps dans le plasma du receveur. Les réactions hémolytiques peuvent être aiguës (apparaissant dans les 24 heures) ou retardées (de 1 à 14 jours).

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Réaction transfusionnelle fébrile non hémolytique

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Une réaction fébrile peut être observée sans hémolyse. Une cause possible réside dans les anticorps dirigés contre le groupe HLA (human leukocyte antigen) des globules blancs issus du sang de donneurs par ailleurs compatibles. Cette cause est très fréquente chez les patients polytransfusés ou multipares. Les cytokines libérées par les globules blancs pendant le stockage, en particulier dans les concentrés plaquettaires, constituent une autre cause possible.

Cliniquement, les réactions fébriles consistent en une augmentation de la température de ≥ 1° C, avec des frissons, et parfois des céphalées et des lombalgies. Les symptômes simultanés de réaction allergique sont fréquents. La fièvre et les frissons étant des signes prodromiques d'une réaction hémolytique transfusionnelle grave, toutes les réactions fébriles doivent être analysées comme de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës, et comme pour toute réaction transfusionnelle.

La plupart des réactions fébriles sont traitées aisément par du paracétamol et, si nécessaire, de la diphénhydramine. Les patients doivent également être traités (p. ex., par du paracétamol) avant les futures transfusions. Si un receveur a fait plus d'une réaction fébrile, des filtres de leucoréduction spéciaux seront utilisés lors des transfusions ultérieures; la plupart des hôpitaux pratiquent des composants sanguins stockés et déleucocytés.

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Réaction hémolytique transfusionnelle aiguë

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Environ 20 patients décèdent annuellement de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë aux États-Unis. La réaction hémolytique transfusionnelle aiguë provient habituellement des anticorps du plasma du receveur dirigés contre les Ag des globules rouges du donneur. L'incompatibilité ABO est la cause la plus fréquente de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë. Des anticorps dirigés contre des Ag de groupes sanguins autres qu'ABO peuvent également être cause de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës. Une erreur d'étiquetage des prélèvements prétransfusionnels du receveur au moment de leur collecte et une erreur de correspondance entre le receveur prévu et le produit sanguin immédiatement avant la transfusion sont des causes classiques.

L'hémolyse est intravasculaire, entraînant une hémoglobinurie avec différents degrés de lésion rénale aiguë et parfois une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD). La gravité de la réaction hémolytique transfusionnelle aiguë dépend des éléments suivants
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  • Degré d'incompatibilité


  • Quantité de sang administré


  • Taux d'administration


  • Intégrité des reins, du foie et du cœur


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Une phase aiguë se développe habituellement dans l'heure du début de la transfusion, mais elle peut se manifester plus tardivement, pendant la transfusion ou immédiatement après. Le début est habituellement brutal. Le patient peut ressentir une gêne ou de l'anxiété. Le patient peut présenter une dyspnée, une fièvre, des frissons, des rougeurs du visage (bouffées vasomotrices), une douleur sévère, en particulier de la région lombaire. Un choc peut apparaître, avec un pouls faible et rapide; une peau froide et moite; une pression artérielle basse; et des nausées et des vomissements. Un ictère peut apparaître après l'hémolyse aiguë.

En cas de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë sous anesthésie générale, le seul signe peut être une hypotension, une hémorragie en nappe incontrôlable au niveau de l'incision ou des muqueuses, liée à une CIVD ou des urines foncées qui reflètent une hémoglobinurie.

En cas de suspicion de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë, une des premières étapes consiste à revérifier les étiquettes d'identification sur l'échantillon et chez le patient. Le diagnostic est confirmé par un test à l'antiglobuline positif en mesurant l'hémoglobine urinaire et la LDH (lactate déshydrogenase), la bilirubine et l'haptoglobine sériques. Une hémolyse intravasculaire libère de l'hémoglobine libre dans le plasma et les urines; les concentrations d'haptoglobine sont très faibles. Il peut en résulter une hyperbilirubinémie.

Après la phase aiguë, l'importance de la lésion rénale aiguë détermine le pronostic. La reprise d'une diurèse et une diminution de l'urée sérique font entrevoir habituellement la guérison. L'insuffisance rénale chronique est inhabituelle. Une oligurie et des signes de choc prolongés sont des éléments de mauvais pronostic.

Si une réaction hémolytique transfusionnelle aiguë est suspectée, la transfusion doit être arrêtée et un traitement de support commencé. L'objectif du traitement initial est de maintenir une pression artérielle correcte et une bonne perfusion rénale avec du sérum physiologique à 0,9% IV et du furosémide. Une solution physiologique est administrée en IV pour maintenir la diurèse à 100 mL/h pendant 24 heures. La dose initiale de furosémide est de 40 à 80 mg (1 à 2 mg/kg chez l'enfant), avec adaptation des doses suivantes pour maintenir le flux urinaire > 100 mL/h le premier jour.

Le traitement médicamenteux de l'hypotension doit être effectué avec prudence. Les amines qui diminuent le débit sanguin rénal (p. ex., l'adrénaline, noradrénaline, dopamine à hautes doses) sont contre-indiquées. Si un médicament hypertenseur est nécessaire, la dopamine 2 à 5 mcg/kg/min est habituellement utilisée.

Un néphrologue doit être consulté le plus rapidement possible, en particulier à défaut de réponse aux diurétiques dans les 2 à 3 heures suivant le début du traitement, ce qui peut indiquer une nécrose tubulaire aiguë. L'expansion volémique et les traitements diurétiques peuvent alors être contre-indiqués et la dialyse précoce utile.

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Maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease])

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La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) liée aux transfusions (voir aussi Rejet du greffon et maladie du greffon contre l'hôte) est habituellement induite par la transfusion de produits contenant des lymphocytes immunocompétents à un hôte immunodéprimé. Les lymphocytes du donneur attaquent les tissus hôtes parce que le système immunitaire de l'hôte ne peut pas détruire les lymphocytes du donneur. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) peut parfois être observée chez des patients immunocompétents, transfusés avec du sang d'un donneur homozygote pour l'haplotype HLA (human leukocyte antigen) (habituellement un parent proche), pour lequel le patient est hétérozygote.

La symptomatologie comprend de la fièvre, une éruption cutanée (éruption se diffusant de manière centrifuge et devenant une érythrodermie avec bulles), des vomissements, une diarrhée liquide et hémorragique, des adénopathies et une pancytopénie due à l'aplasie de la moelle osseuse. Un ictère et des enzymes hépatiques élevés sont également fréquents. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) se manifeste 4 à 30 jours après la transfusion et est diagnostiquée sur des éléments cliniques et des biopsies de peau et un myélogramme. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) a une mortalité > 90% parce qu'aucun traitement spécifique n'est disponible.

La prévention de la maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) est l'irradiation (pour léser l'ADN des lymphocytes du donneur) de tous les produits sanguins transfusés. Elle est effectuée
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  • Si le receveur est immunodéprimé (p. ex., syndromes de déficits immunitaires congénitaux, hémopathies malignes, transplantation de cellules-souches hématopoïétiques; nouveau-nés)


  • Si le sang du donneur provient d'un parent au 1er degré


  • Lorsque des composants HLA-appariés, à l'exclusion des cellules souches, sont transfusés


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Le traitement par des corticostéroïdes et d'autres immunosuppresseurs, y compris ceux utilisés pour la transplantation d'organes solides, n'est pas une indication de l'irradiation des produits sanguins.
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 La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle. - Page 2 Empty Re: La transfusion est une bonne chose, NON, La transfusion est une violation de la loi divine qui amène la perte de la vie éternelle.

Message  EX-Témoin Mar 16 Mai 2023, 14:33

Josué2 a écrit:[size=33]Complications des transfusions
Par 
Ravindra Sarode 
, MD, The University of Texas Southwestern Medical Center
Examen médical févr. 2022


VOIR L’ÉDUCATION DES PATIENTS
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Les complications les plus fréquentes de la transfusion sont les suivantes




La plupart des complications graves, qui ont une mortalité très élevée, sont les suivantes




Les autres complications comprennent les suivantes




La reconnaissance précoce des symptômes évocateurs d'une réaction transfusionnelle et leur signalement rapide à la banque de sang sont indispensables. Les symptômes les plus fréquents sont des frissons, des crampes, de la fièvre, une dyspnée, des lipothymies, une urticaire solaire, un prurit et des douleurs de l'hypochondre. Si l'un de ces symptômes (autre qu'une urticaire et un prurit localisés) survient, la transfusion doit être immédiatement interrompue et la perfusion IV maintenue ouverte avec du sérum physiologique normal. Le reste du produit sanguin et des prélèvements coagulés et anticoagulés du sang du patient doivent être envoyés à la banque de sang pour investigation. NOTE: la transfusion avec l'unité incriminée ne doit pas être redémarrée et toute unité issue du même don ne doit pas être délivrée. Toute transfusion supplémentaire doit être évitée jusqu'à ce que la cause de la réaction soit déterminée, sauf en cas d'urgence, dans ce cas il faut utiliser des globules rouges type O Rh négatifs.

L'hémolyse des globules rouges du donneur ou du receveur (habituellement du premier) pendant ou après une transfusion peut être due à une incompatibilité ABO/Rh, à des anticorps plasmatiques, à des globules rouges hémolysés ou fragilisés (p. ex., par surchauffe du sang conservé ou par contact avec des solutions IV hypotoniques). L'hémolyse est plus fréquente et grave quand les globules rouges incompatibles du donneur sont hémolysés par un anticorps dans le plasma du receveur. Les réactions hémolytiques peuvent être aiguës (apparaissant dans les 24 heures) ou retardées (de 1 à 14 jours).


Réaction transfusionnelle fébrile non hémolytique




Une réaction fébrile peut être observée sans hémolyse. Une cause possible réside dans les anticorps dirigés contre le groupe HLA (human leukocyte antigen) des globules blancs issus du sang de donneurs par ailleurs compatibles. Cette cause est très fréquente chez les patients polytransfusés ou multipares. Les cytokines libérées par les globules blancs pendant le stockage, en particulier dans les concentrés plaquettaires, constituent une autre cause possible.

Cliniquement, les réactions fébriles consistent en une augmentation de la température de ≥ 1° C, avec des frissons, et parfois des céphalées et des lombalgies. Les symptômes simultanés de réaction allergique sont fréquents. La fièvre et les frissons étant des signes prodromiques d'une réaction hémolytique transfusionnelle grave, toutes les réactions fébriles doivent être analysées comme de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës, et comme pour toute réaction transfusionnelle.

La plupart des réactions fébriles sont traitées aisément par du paracétamol et, si nécessaire, de la diphénhydramine. Les patients doivent également être traités (p. ex., par du paracétamol) avant les futures transfusions. Si un receveur a fait plus d'une réaction fébrile, des filtres de leucoréduction spéciaux seront utilisés lors des transfusions ultérieures; la plupart des hôpitaux pratiquent des composants sanguins stockés et déleucocytés.


Réaction hémolytique transfusionnelle aiguë




Environ 20 patients décèdent annuellement de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë aux États-Unis. La réaction hémolytique transfusionnelle aiguë provient habituellement des anticorps du plasma du receveur dirigés contre les Ag des globules rouges du donneur. L'incompatibilité ABO est la cause la plus fréquente de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë. Des anticorps dirigés contre des Ag de groupes sanguins autres qu'ABO peuvent également être cause de réactions hémolytiques transfusionnelles aiguës. Une erreur d'étiquetage des prélèvements prétransfusionnels du receveur au moment de leur collecte et une erreur de correspondance entre le receveur prévu et le produit sanguin immédiatement avant la transfusion sont des causes classiques.

L'hémolyse est intravasculaire, entraînant une hémoglobinurie avec différents degrés de lésion rénale aiguë et parfois une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD). La gravité de la réaction hémolytique transfusionnelle aiguë dépend des éléments suivants


  • Degré d'incompatibilité


  • Quantité de sang administré


  • Taux d'administration


  • Intégrité des reins, du foie et du cœur




Une phase aiguë se développe habituellement dans l'heure du début de la transfusion, mais elle peut se manifester plus tardivement, pendant la transfusion ou immédiatement après. Le début est habituellement brutal. Le patient peut ressentir une gêne ou de l'anxiété. Le patient peut présenter une dyspnée, une fièvre, des frissons, des rougeurs du visage (bouffées vasomotrices), une douleur sévère, en particulier de la région lombaire. Un choc peut apparaître, avec un pouls faible et rapide; une peau froide et moite; une pression artérielle basse; et des nausées et des vomissements. Un ictère peut apparaître après l'hémolyse aiguë.

En cas de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë sous anesthésie générale, le seul signe peut être une hypotension, une hémorragie en nappe incontrôlable au niveau de l'incision ou des muqueuses, liée à une CIVD ou des urines foncées qui reflètent une hémoglobinurie.

En cas de suspicion de réaction hémolytique transfusionnelle aiguë, une des premières étapes consiste à revérifier les étiquettes d'identification sur l'échantillon et chez le patient. Le diagnostic est confirmé par un test à l'antiglobuline positif en mesurant l'hémoglobine urinaire et la LDH (lactate déshydrogenase), la bilirubine et l'haptoglobine sériques. Une hémolyse intravasculaire libère de l'hémoglobine libre dans le plasma et les urines; les concentrations d'haptoglobine sont très faibles. Il peut en résulter une hyperbilirubinémie.

Après la phase aiguë, l'importance de la lésion rénale aiguë détermine le pronostic. La reprise d'une diurèse et une diminution de l'urée sérique font entrevoir habituellement la guérison. L'insuffisance rénale chronique est inhabituelle. Une oligurie et des signes de choc prolongés sont des éléments de mauvais pronostic.

Si une réaction hémolytique transfusionnelle aiguë est suspectée, la transfusion doit être arrêtée et un traitement de support commencé. L'objectif du traitement initial est de maintenir une pression artérielle correcte et une bonne perfusion rénale avec du sérum physiologique à 0,9% IV et du furosémide. Une solution physiologique est administrée en IV pour maintenir la diurèse à 100 mL/h pendant 24 heures. La dose initiale de furosémide est de 40 à 80 mg (1 à 2 mg/kg chez l'enfant), avec adaptation des doses suivantes pour maintenir le flux urinaire > 100 mL/h le premier jour.

Le traitement médicamenteux de l'hypotension doit être effectué avec prudence. Les amines qui diminuent le débit sanguin rénal (p. ex., l'adrénaline, noradrénaline, dopamine à hautes doses) sont contre-indiquées. Si un médicament hypertenseur est nécessaire, la dopamine 2 à 5 mcg/kg/min est habituellement utilisée.

Un néphrologue doit être consulté le plus rapidement possible, en particulier à défaut de réponse aux diurétiques dans les 2 à 3 heures suivant le début du traitement, ce qui peut indiquer une nécrose tubulaire aiguë. L'expansion volémique et les traitements diurétiques peuvent alors être contre-indiqués et la dialyse précoce utile.


Maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease])




La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) liée aux transfusions (voir aussi Rejet du greffon et maladie du greffon contre l'hôte) est habituellement induite par la transfusion de produits contenant des lymphocytes immunocompétents à un hôte immunodéprimé. Les lymphocytes du donneur attaquent les tissus hôtes parce que le système immunitaire de l'hôte ne peut pas détruire les lymphocytes du donneur. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) peut parfois être observée chez des patients immunocompétents, transfusés avec du sang d'un donneur homozygote pour l'haplotype HLA (human leukocyte antigen) (habituellement un parent proche), pour lequel le patient est hétérozygote.

La symptomatologie comprend de la fièvre, une éruption cutanée (éruption se diffusant de manière centrifuge et devenant une érythrodermie avec bulles), des vomissements, une diarrhée liquide et hémorragique, des adénopathies et une pancytopénie due à l'aplasie de la moelle osseuse. Un ictère et des enzymes hépatiques élevés sont également fréquents. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) se manifeste 4 à 30 jours après la transfusion et est diagnostiquée sur des éléments cliniques et des biopsies de peau et un myélogramme. La maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) a une mortalité > 90% parce qu'aucun traitement spécifique n'est disponible.

La prévention de la maladie du greffon contre l'hôte (GVHD [graft-vs-host disease]) est l'irradiation (pour léser l'ADN des lymphocytes du donneur) de tous les produits sanguins transfusés. Elle est effectuée


  • Si le receveur est immunodéprimé (p. ex., syndromes de déficits immunitaires congénitaux, hémopathies malignes, transplantation de cellules-souches hématopoïétiques; nouveau-nés)


  • Si le sang du donneur provient d'un parent au 1er degré


  • Lorsque des composants HLA-appariés, à l'exclusion des cellules souches, sont transfusés




Le traitement par des corticostéroïdes et d'autres immunosuppresseurs, y compris ceux utilisés pour la transplantation d'organes solides, n'est pas une indication de l'irradiation des produits sanguins.

comme la expliqué mikaël, il n'y a aucun médicament sans risque, une transfusion aujourd'hui est moins risqué que de prendre un doliprane

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