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William Branham = faux prophète

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William Branham = faux prophète - Page 4 Empty William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 18:51

Rappel du premier message :

.
William Branham



Paroles de Jésus :

Matthieu 7
15. Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
16 Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?
17 Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
20 C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.William Branham, Le Prophète du temps de la fin 



Le prophétisme de William Branham

Branham assure avec force qu’il ne s’est jamais considéré comme étant un prophète :
« Les gens m’ont dit : ‘Frère Branham, le Seigneur vous a appelé pour être son prophète’. Je ne me suis jamais considéré moi-même comme un prophète … »
(W.M. Branham, la Parole Parlée, Debout dans la brèche, 1963, page 12)

Fernand Fait, branhamiste du Québec, déclare que si Branham avait dit lui-même qu’il était prophète, il n’aurait pas été ce prophète que Fait attendait :

« Frère Branham ne pouvait dire : ‘Je suis un prophète, suivez-moi’. S’il l’avait fait, il n’aurait pas été le prophète que j’attendais et que la Bible a promis. Un prophète ne s’authentifie pas lui-même. »
(F. Fait, cassette n° 8014, Ma réponse à Etienne Fauvel)

Qu’en est-il de vous madame ? Croyez-vous que JE SUIS SON PROPHETE, son serviteur ? … vous êtes de l’Ohio … votre nom est Mme Alice Thompson ».
(W.M. Branham, Biographie de William Branham, page 211)

« Si vous croyez que JE SUIS UN PROPHETE du Seigneur, un serviteur de Dieu, alors écoutez-moi
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°6, Age de Thyatire, 1960, page 21)

« Maintenant comme vous êtes croyants, croyez-vous que je suis son serviteur et SON PROPHETE ? Il doit en être ainsi pour le savoir »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, Tourner les regards vers JESUS, 1963, page 39)

« Me croyez-vous SON PROPHETE, son serviteur ? Croyez-vous que Dieu est près et son esprit et que ce qui se fait maintenant est dû au Seigneur JESUS ? … si Dieu veut me faire connaître ce qui ne va pas chez vous comme confirmation de ce que JE SUIS SON PROPHETE, me tenant ici et révélant la vérité »
(W.M. Branham, La profondeur appelle la profondeur, 1954, page 23)

« … j’espère que je me suis fait bien comprendre. Je ne désire pas être mal compris. Je veux être honnête à l’appel. Je veux être cela. Dieu a toujours employé un PROPHETE, un homme »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, série n°1, n°4, le messager du temps de la fin, 1963, page 9)

« Cela vous quitte maintenant, votre foi vous a sauvée … CROYEZ-VOUS QUE JE SUIS LE PROPHETE du Seigneur ? … vous ne recevrez pas d’autre signe »
(W.M. Branham in : William Branham, un prophète méconnu, page 390)


Les prophéties de William Branham

Faisant écho aux injonctions de la Bible, William Branham enseigne qu’on ne doit pas craindre ni écouter un prophète qui déclare des choses qui ne se réalisent pas !

« La Bible dit : ‘Si parmi vous, quelqu’un prétend être spirituel ou être un prophète, si ce qu’il dit ne se réalise pas, alors ne l’écoutez pas. Ne le craignez pas du tout. Ne craignez point cet homme-là »
(W.M. Branham, Révélation des 7 sceaux, n°5, 3ème sceau, 1963, page 47)

Les textes bibliques sont cristallins :
« Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite, n’aie pas peur de lui »
(Deutéronome 18 :22)

« C’est par l’accomplissement de ce qu’il prophétise qu’il sera comme véritablement envoyé par l’Eternel »
(Jérémie 28 :9)

« Leurs visions sont vaines et leurs oracles menteurs, ils disent : ‘L’Eternel a dit ! Et L’Eternel ne les a point envoyés et ils font espérer que leur parole s’accomplira »
(Ezéchiel 13 :6)

Branham avalise totalement ces textes :
« Comment peut-on dire de quelqu’un qu’il est un prophète et dire ensuite qu’il a eu une fausse révélation ? »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 16)


Ewald Frank, le branhamiste allemand bien connu, écrira ce qui suit :
« De fausses prophéties ont le même effet que la divination et la sorcellerie. Sans en être conscients, les gens tombent sous un ensorcellement … »
(Lettre circulaire n°33, janvier 1987, page 22)


La prophétie de 1977
« En juin 1933, le frère Branham VIT EN VISION les événements de la fin des temps. En dernier lieu, il vit un calendrier qui, de lui-même se feuilletait pour s’arrêter à l’année 1977. Alors que frère Branham fixait ce dernier millésime intensément, il entendit subitement une explosion extraordinaire. Ensuite il vit que tout était rasé à même le sol. Il voyait du feu et de la fumée jusqu’à ce que tout fut en cendres. Frère Branham disait depuis ce jour que TOUT CE QUI NE S’EST PAS ENCORE REALISE LE SERA ENTRE LES ANNEES 1933 A 1977 »
(Ewald Frank, La Parole demeure éternellement, pages 19 et 20)

« Je dis : ‘ Je prédis, d’après la façon dont va le temps, que tout cela se passera entre les années 1933 et 1977. Et les événements devront se précipiter pour se produire dans ce laps de temps »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 39)

Dans le contexte de cette citation (page 39), voici ce qui devait se produire :

L’Église catholique romaine devait prendre le pouvoir aux Etats-Unis.

Ces derniers devaient voler en éclats et plus rien ne devait subsister de leur territoire et à cette même page 39, Branham ajoute emphatiquement : « CECI, C’EST AINSI DIT LE SEIGNEUR »

« … mais je prédis simplement d’après une vision qu’Il (Dieu) m’a donnée et en considérant les temps et la manière dont les choses évoluent, que cela se passera à un certain moment entre 1933 et 1977. En tous cas, cette grande nation se lancera dans une guerre qui la réduira en cendres. Tout cela est très proche, terriblement proche. Mais je puis me tromper, parce que je ne fais que prédire » (W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°10, Age de Laodicée, 1960, pages 9 et 10)

« Je confirme la parole de mon serviteur et j’accomplis ce que PREDISENT mes envoyés »
(Ésaïe 44 :26)

« Afin que vous vous souveniez des PREDICTIONS des saints prophètes … »
(2 Pierre 3 :2)

« Qui a, comme moi, fait des PREDICTIONS- Qu’il le déclare et me le prouve … »
(Ésaïe 44 :7)

« Et l’Eternel me dit : C’est le mensonge que prophétisent en mon nom les prophètes ; Je ne leur ai point donné d’ordre, Je ne leur ai point parlé. Ce sont des visions mensongères, de vaines PREDICTIONS, des tromperies de leur cœur, qu’ils vous prophétisent »
(Jérémie 14 :14)


« L’âge de Laodicée a commencé vers le début du 20ème siècle, aux environs de 1906. Combien de temps durera-t-il ? En tant que serviteur de Dieu QUI A EU UNE QUANTITE DE VISIONS DONT AUCUNE NE M’A JAMAIS TROMPE (je ne prophétise pas) mais je prédis que cet âge se terminera aux alentours de 1977. 

Si vous voulez bien ici me permettre une note personnelle, je vous dirai que je fonde cette PREDICTION sur 7 visions de première importance qui se sont succédées devant moi un dimanche matin en juin 1933. Le Seigneur JESUS me parla disant que la venue du Seigneur était proche, mais qu’avant son retour, 7 événements de première importance devraient avoir lieu. Je les écrivis tous et ce matin-là, je racontai la révélation du Seigneur … me basant sur les 7 visions, ainsi que sur les changements rapides qui ont balayé le monde depuis 50 ans, je prédis (je ne prophétise pas) que toutes ces visions devront se réaliser d’ici 1977. 

Et bien que beaucoup auront l’impression que cette affirmation est faite à la légère, vu que le Christ a dit que nul ne connaît ni le jour ni l’heure, je continue à maintenir cette PREDICTION 30 ans après, parce que JESUS n’a pas dit que personne ne pouvait connaître l’année, le mois ou la semaine qui verrait sa venue. Ainsi, je le répète, je le crois sincèrement et je le maintiens selon ce que j’ai étudié dans la Parole, ainsi que par DIVINE INSPIRATION, que l’année 1977 pourrait bien marquer le point final des systèmes du monde et nous introduire dans le millénium »
(W.M. Branham, Exposé des 7 Ages de l’Église, pages 382 et 383)

« Seigneur, je suis conscient de ce qui m’arrivera au jour du jugement si j’induis ces gens en erreur »
(W.M. Branham, J’accuse cette génération, n°9, 1963, page 48)

« Si une personne seulement dans le monde entier peut prouver qu’une révélation ne soit pas juste, même partiellement, je suis d’accord qu’on me prenne pour toujours comme faux prophète »
(W.M. Branham, cité dans : La Parole de Dieu demeure éternellement, page 19)


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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:13

William Branham fut transporté à l’hôpital d’Amarillo, Texas. Le lendemain matin, après avoir pris d’urgence place dans un avion, Pearry Green, pasteur à Tucson, arriva au chevet de William Branham, et là il se mit à chanter le cantique bien connu : “Sur les ailes d’une colombe blanche comme la neige”. William Branham tourna la tête et sourit. Pearry Green l’informa qu’il venait de voir par le hublot de l’avion la lune toute noire, à l’exception d’une petite larme rouge sang dans la partie inférieure. William Branham essaya alors de s’asseoir et de crier quelque chose, mais il était sous trachéotomie, et le son était incompréhensible [Selon les Ecritures, la lune perdant sa clarté et se changeant en sang 

constitue un signe de jugement sur le peuple : Esaïe 13:10, Ezéchiel 32:7, Matthieu 24:29, Joël 2:31 repris en Actes 2:20, etc.]. Pearry Green croit savoir que, lors d’une prédication à Edmonton au Canada, William Branham aurait indiqué que lors de sa mort, il y aurait un signe de la lune devenant couleur sang. 

Le vendredi soir 24 décembre 1965, à 5 h 49, William Branham rendait l’esprit. 

Quand William Branham avait été introduit à l’hôpital, le docteur Hines, radiologue, avait déclaré que les fractures du coude et de la hanche étaient irréparables. Mais trois ou quatre jours plus tard, il avait déclaré, qu’il ne comprenait pas ce qui s’était passé, mais que les os s’étaient ressoudés : “Pour ce qui est des os, il est dix mille fois en meilleur état 

que le jour de son admission à l’hôpital.” Lorsque, selon la coutume américaine, William Branham fut embaumé, le directeur de l’entreprise de pompes funèbres déclara : “Il y a quelque chose d’étonnant. Le système circulatoire de cet homme est excellent !”. 

Certains de ses amis s’attendaient certes au fond de leur cœur à le voir ressusciter. Mais cette marque d’affection, d’admiration, ... mais aussi d’émouvante foi, fit ricaner plusieurs observateurs et fut déformée sans scrupule par la presse à sensation. 

Beaucoup d’amis de William Branham furent choqués en apprenant sa mort : ils croyaient qu’il était au-dessus de ce genre de tragédie. Il est à noter que le grand prophète Elisée lui-même est mort de maladie [2 Rois 13:14], or le prophète annoncé pour le dernier temps doit être oint de l’Esprit d’Elie et d’Elisée ! Les actes de la souveraineté de Dieu nous sont souvent incompréhensibles. 

Le service funèbre eut lieu le 29 décembre. Mais l’inhumation n’eut pas lieu immédiatement : Billy Paul attendait les indications de Meda quant au choix du lieu : Jeffersonville ou Tucson. Le cercueil fut donc scellé et placé en attente. Mais certains firent courir le bruit mensonger que les “disciples de William Branham, dans l’attente de sa résurrection, dépensaient des milliers de dollars pour le maintenir dans une salle de congélation.” 

L’inhumation eut lieu le 11 avril 1966 à Jeffersonville. 

[D’après “The Acts Of The Prophet” de Pearry Green, chapitres 16 et 17] 

Vision du Trône 

William Branham avait évoqué avec son épouse Meda ce qui se passerait au ciel quand elle rencontrerait Hope, la première épouse de William Branham. Environ un mois après cet entretien, il rêva qu’il se trouvait au moment de la remise des couronnes à l’Epouse [Ce moment glorieux annoncé par les Ecritures ne doit pas être confondu avec le jugement des incrédules]. Un grand Trône dominait la scène, et un Ange tenait le Livre de Vie. Des gradins circulaires d’ivoire blanc permettaient à la multitude présente de voir tout ce qui se passait. William Branham se tenait tranquille, observant les frères et les sœurs monter vers le Christ à l’appel de leur nom inscrit dans le Livre de Vie. Et il entendit ainsi le Seigneur dire à deux d’entre eux : “C’est bien, bon et fidèle serviteur... Entre dans la joie de ton maître” [cf. Matthieu 25:21,23]. Puis ils allèrent vers un monde nouveau magnifique, où ils se retrouvèrent remplis de joie. Et William Branham en voyant cela bondit de joie et s’écria : “Que c’est merveilleux ! Gloire à Dieu ! Alléluia !” Et il vit ainsi monter des personnes qu’il avait connues sur terre. 

Puis un ange l’appela à son tour : “William Branham !” 

Il ne s’y attendait pas, et il fut effrayé : “Il va falloir que je monte moi aussi ?” Mais, au milieu de la foule, des mains amicales lui touchaient l’épaule : “Dieu vous bénisse frère Branham !” Il grimpa la première marche, les yeux fixés sur le Seigneur. Et alors ses deux épouses terrestres, Meda et Hope, l’encadrèrent et lui prirent le bras, dans un amour parfait. Et ensemble ils se dirigèrent vers le Trône. 

[“The Sixth Seal” le 23 mars 1963 à Jeffersonville, Indiana] 

L’année 1977 

A plusieurs reprises, William Branham défia publiquement ses contradicteurs de mentionner une de ses prophéties qui se serait révélée erronée. Si tel avait été le cas une seule fois, il s’engageait à quitter son ministère. La Bible dit en effet : “Le prophète qui aura l’audace de dire EN MON NOM une parole que je ne lui aurai point commandé de dire, ou qui parlera au nom d’autres dieux, ce prophète-là sera puni de mort. Peut-être diras-tu en ton cœur : Comment reconnaîtrons-nous la parole que l’Eternel n’aura point dite ? Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite: n’aie pas peur de lui” [Deutéronome 18:20 à 22]. 

Après la mort de William Branham, le bruit courut qu’il avait prophétisé au Nom du Seigneur que le retour de Jésus-Christ ou que l’Enlèvement auraient lieu au plus tard en 1977. Ce bruit, sous diverses formes, fut repris par certains de ses amis qui créèrent ainsi agitation et exaltation autour d’eux. Mais les ennemis s’emparèrent aussi de ces bruits, en particulier après 1977, pour qualifier William Branham de faux prophète, ce qui est une accusation particulièrement grave. 

Or, après examen de plusieurs centaines de prédications de William Branham, nous déclarons : 
• que William Branham à plusieurs reprises affirma, conformément aux Ecritures, que personne ne pouvait connaître la date de la venue de Jésus-Christ. 
• qu’à plusieurs reprises il fit référence à sa vision des sept tableaux prophétiques reçue en 1933 [voir chapitre 2], qui se terminait pas le spectacle du territoire en ruine des Etats-Unis. Et il est vrai qu’il parla souvent de l’année 1977 en ces occasions. Mais il a toujours affirmé que ces déclarations relatives à l’année 1977 n’étaient pas données sous le sceau du AINSI DIT LE SEIGNEUR. N’ayant pas reçu une formation théologique en séminaire ou à l’université, il essaya de faire comprendre cela en disant qu’il “prédisait”, mais ne “prophétisait” pas : 

“Je prédis cela avant la totale annihilation, je ne dis pas que le Seigneur m’a dit cela, mais je crois ... que quelque chose va se passer d’ici à 1977” 

[“Teaching On Moses”, le 13 mai 1956 à Jeffersonville, Indiana] 

“Je prédis, mais non sous l’onction, je prédis que ces choses se produiront d’ici 1977.” 

[“Conference With God” le 25 novembre 1960, à Shreveport, Louisiane] 

“Je ne sais pas quand l’Age de Laodicée se terminera, mais je prédis que ce sera d’ici 1977. Je prédis, ce n’est pas le Seigneur qui me l’a dit, je le prédis d’après une vision [celle des sept tableaux] qu’il m’a donnée il y a quelques années, et cinq choses sur sept se sont déjà produites.” 

[“The Ephesian Church Age”, le 5 décembre 1960 à Jeffersonville, Indiana] 

“J’ai dit : Je prédis, étant donné la rapidité avec laquelle les choses évoluent, que ce sera entre 1933 et 1977.” 

[“The Thyatirean Church Age”, le 8 décembre 1960 à Jeffersonville, Indiana] 

“Je prédis, notez bien que je ne dis pas que ce sera ainsi, je prédis que cela se terminera vers 1977, que l’église sera tombée dans l’apostasie complète et sera rejetée de la bouche de Dieu. Et la Seconde Venue du Christ, ou l’Enlèvement peut advenir n’importe quand. Et je peux me tromper d’un an, de vingt ans, de cent ans... Je prédis seulement cela d’après une vision qu’il m’a montrée, et d’après la façon dont les choses évoluent... Je peux me tromper, je prédis.” 

[“The Laodicean Church Age” le 11 décembre 1960 à Jeffersonville, Indiana] 

“L’année 1977 sera la soixante-dixième année-jubilé ... Dieu se sera occupé aussi longtemps des Juifs que des Non-Juifs... Ce [la réalisation du septième tableau prophétique ? 1977 ?] sera le jubilé de l’élévation de l’Epouse et le retour du Christ aux Juifs... Nous ne savons pas quand cela se produira. J’ai eu cette vision en 1933... et j’ai prédit qu’une grande tragédie se produirait aux Etats-Unis avant ou vers 1977... J’ai prédit que tout cela se produirait entre 1933 et 1977.” 

[“The Seventy Weeks Of Daniel” le 6 août 1961 à Jeffersonville, Indiana] 

Mais, en décembre 1965, un ami sincère de William Branham, chrétien de l’assemblée de Jeffersonville, édita un “Exposé des sept Ages de l’Eglise”, préfacé par William Branham lui-même. Dans cet ouvrage remarquable, l’auteur essaya de résumer, en les ordonnant, les propos tenus par William Branham au cours de plusieurs prédications antérieures et en particulier il présenta ainsi les propos de William Branham relatifs à l’année 1977 : “En m’appuyant sur les sept visions, et sur les changements rapides qui balaient le monde depuis cinquante ans, je prédis, je ne prophétise pas, que ces visions seront toutes accomplies avant 1977 [Cela résume bien en effet les propos de William Branham]. Et bien que l’on puisse affirmer qu’il s’agit là d’une déclaration irresponsable puisque Jésus a dit que nul ne connaissait le jour ou l’heure, je continue de maintenir cette prédiction après trente années, car Jésus n’a pas dit qu’aucun homme ne connaîtrait l’année, le mois ou la semaine de sa venue [C’est là une déclaration, classique sous la plume de ceux qui pensent pouvoir découvrir la date de ces évènements futurs, que nous n’avons relevée dans aucune des prédications étudiées de William Branham]. Je répète donc et crois sincèrement et maintiens en tant qu’étudiant indépendant de la Parole, et en 

accord avec l’inspiration Divine, que 1977 doit marquer la fin des systèmes du monde et déboucher sur le millénium [Nous n’avons également trouvé nulle trace de cette dernière phrase dans les prédications de William Branham].” 

[“An Exposition Of The Seven Church Ages”, Chapter 9, p. 322]

Des défenseurs zélés de William Branham se sont néanmoins emparés de ce passage ... avant 1977, et ses ennemis ont fait de même ... après 1977 ! Il est facile d’imaginer les conséquences. De nombreux pamphlets imprimés et sites Internet “anti-Branham” se sont nourris et se nourrissent encore des déclarations maladroites publiées après la mort de William Branham et avant 1977. Peut-on juger la pensée de l’Eglise primitive à partir des écrits et des comportements déviants ultérieurs ? 

Par ailleurs, l’Ecriture dit que l’homme est toujours faillible. Le prophète Nathan, alors qu’il n’était pas sous onction, donna au roi David un conseil déplacé [2 Samuel 7:3]. C’était pourtant un authentique prophète, et quand l’onction reposait sur lui, il devenait une véritable Voix de Dieu [2 Samuel 12:1]. 

Nous croyons que les éléments précédents sont suffisants pour remettre les choses à leur juste place. 

Suivre les empreintes ensanglantées du Christ 

L’un des diacres de William Branham, Tony Zabel, lui raconta un songe qu’il venait d’avoir. Dans ce songe, Tony Zabel essayait de trouver son chemin vers le Ciel et il vit venir un homme revêtu d’une robe noire et lisant un livre : c’était un pasteur. Il demanda à cet homme le chemin des Cieux. L’homme lui répondit : “Demandez à l’homme qui me précède.” 

Plus loin, il rencontra un autre homme habillé de noir chantant des cantiques, c’était un autre pasteur. (Ces deux pasteurs étaient des amis personnels de William Branham). Tony Zabel lui demanda : “Quel est le chemin pour atteindre le sommet de cette montagne là ?” 

“Voye-vous ce petit bonhomme au sommet, avec un bleu de travail et un chapeau de cow-boy ?” C’était William Branham. Tony Zabel le rejoignit, et ils atteignirent ensemble le sommet, William Branham prenant Tony Zabel par le bras. 

A partir du sommet il y avait un désert à traverser. William Branham dit : “Tony, il faut que je te quitte ici, et il faut que tu fasses une partie du chemin par tes propres moyens.” 

“Frère Branham, qu’est-ce que je dois faire à partir d’ici ?” 

“Viens ici Tony, et baisse les yeux. Vois-tu ces traces de pas ensanglantées ? Ce sont les traces que j’ai toujours suivies. Appuie-toi là-dessus.” 

William Branham commente ainsi : “C’est la seule chose que je puisse indiquer à un homme : non pas un credo ou une sensation quelconque, mais ces traces de pas ensanglantées qui conduisent à la Bible, le Sang de Jésus-Christ.” 

[”Footprints” p. 1 d’après “Present Stage Of My Ministry” § 80 à 84, le 8 septembre 1962 à Jeffersonville, Indiana] 

La Lumière détache un Rocher de la montagne 

“Mon fils Billy Paul ne rêve pas souvent. L’autre nuit, il a rêvé qu’il était dans une église, et je n’étais pas encore arrivé. Quand je suis entré, des flammes sortaient de mes yeux. Et j’ai dit : “C’est le moment ; c’est terminé !” Et tout le monde s’est mis à crier : “Je ne peux pas, mon enfant...” 

Et mafemme adit : “Je n’arrive même pas à obtenir de Sarah qu’elle prie pour la bénédiction sur le repas” et tout cela. Billy a dit : “Il faut que j’aille chercher Loyce et le bébé.” 

J’ai répondu : “Loyce ne peut pas venir maintenant. Le bébé est trop jeune pour savoir. Billy, c’est l’heure, il faut y aller. Il est minuit, avant le lever du jour Jésus sera ici. Si ce n’est pas le cas, je suis un faux témoin du Christ.” 

Et quelqu’un s’est levé : “Personne ne connaît la minute ou l’heure.” 

“Je n’ai jamais dit la minute ou l’heure, j’ai dit entre maintenant et le lever du jour. Allons-y Billy. C’est le moment.” Et nous sommes partis en voiture. Nous avons gravi la montagne, et alors on aurait dit que le jour venait, et les cieux étaient sombres au-dessus de la terre. Je me suis garé le long de la route, j’ai levé les bras, les flammes sortant toujours de mes yeux : “Seigneur, j’ai fait cela à ton commandement. J’ai fait cela uniquement parce que tu m’as dit d’agir ainsi. J’ai fait ces choses selon ce que tu m’avais dit.” Et je suis allé vers une grande montagne de granit, et une Lumière, sans le secours d’aucune main, en a détaché un rocher pesant des centaines de tonnes qui s’est mis en branle. J’ai dit : “Tournez la tête ; ne regardez pas. Ce sera terminé dans un instant.” Et un grand souffle saint a tout balayé tandis que ce Rocher allait vers l’église. 

Un jour cela va arriver ainsi. Je lui ai dit : “Tu as déjà eu le temps, Dieu t’a constamment averti. Même pour mon propre fils, c’est l’heure. Je ne peux dire que ce qu’il me dit de dire...” Daniel a vu ce Rocher détaché de la montagne [Daniel 2:31 à 35].” 

[“Footprints” p. 479 d’après “A Man That Can Turn On The Light” § 138 à 142 le 29 décembre 1963 à Jeffersonville, Indiana] 

La prière doit être encore plus sincère 

Un jour William Branham envisageait de jeûner. Vers trois heures du matin, il se leva et eut une vision. Il marchait comme sur une carte de la Palestine, et se dirigeait vers le Jourdain. Il avait déjà parcouru les deux tiers du chemin depuis son point de départ. Il entendait des chants. Regardant de l’autre côté de la rive, il dit : “Oh, gloire à Dieu, toutes les promesses reposent de l’autre côté, dans la Terre Promise.” 

William Branham revint alors à lui, se demandant s’il n’avait pas rêvé. Puis à nouveau il fut pris dans une vision. Il se sentit élevé sur une route étroite, en compagnie d’un frère inconnu. Il semblait que les gens de cette région étaient effrayés, et il se demandait pourquoi. Et une voix dit alors : “Il y a un grand danger en ces temps-ci. Cette énorme chose hideuse, quand elle vous frappe, c’est la mort.” 

Il vit alors un énorme serpent monstrueux glisser au travers des herbes, et atteindre la route. William Branham qui était conscient d’être dans une vision, reconnut la pire espèce de serpent venimeux, dont la morsure entraîne la mort en quelques instants. Il observa le serpent qui le regardait avec colère, la langue sifflante. Puis le serpent s’avança rapidement mais peu à peu ralentit et, au moment de s’élancer pour mordre, il se mit à trembler, quelque chose semblait le retenir. Il essaya d’attaquer par d’autres côtés, mais il ne pouvait pas mordre William Branham. 

Alors le serpent se retourna vers l’autre frère. Ce dernier se mit à sauter pour éviter le serpent qui l’attaquait. William Branham se dit que si le serpent l’atteignait, ce serait la mort, et qu’il n’était pas étonnant que les gens aient peur. Il leva les bras et pria : “O Dieu, aie pitié de mon frère ! Si le serpent le frappe, il mourra.”

Après qu’il eut prononcé cette prière, le serpent se retourna alors vers lui. Et une Voix venue d’en haut dit : “Il t’a été donné le pouvoir de le lier, lui le pire, ou n’importe quel autre.” 

“Mon Dieu, que dois-je faire ?” 

Il y a une chose que tu dois faire. Tu dois être encore plus sincère. 

“Mon Dieu, pardonne mon manque de sincérité, et que je sois sincère.” 

Et alors que William Branham levait à nouveau les bras, quelque chose l’enveloppa et s’empara de tout son corps. Il regarda le serpent qui était encore une fois impuissant contre lui. 

“Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je te lie.” 

Une fumée bleuâtre sortit du serpent, il s’enroula en forme de signe “&”, et sa propre queue le frappa à mort à la tête. Et le frère fut ainsi libéré. William Branham écrasa le serpent et se saisit de ce corps solidifié comme s’il y avait eu une poignée : “Qu’il était rapide ! Cette fumée bleue, c’était sa vie. Et ce qui reste s’est transformé en verre.” 

Et la Voix dit à nouveau : “Pour faire ceci, tu dois être plus sincère que tu ne l’es.” 

Et la vision quitta William Branham. Il alla s’enfermer dans une petite pièce pour demander à Dieu son aide, et ce qu’il devait faire. Il ouvrit sa Bible, et tomba sur le passage suivant: Célébrons la fête, non avec du vieux levain, ni avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec des pains sans levain de sincérité et de vérité [1 Corinthiens 5: 8, Darby]. 

Wiliam Branham déclara : “Le pain de la sincérité et de la vérité, c’est la Parole. J’ai compris ce qu’il voulait dire.” 

[“Footprints” p. 366 à 369 d’après “Paradox Of God”, le 24 décembre 1961 à Jeffersonville, Indiana] 

Le témoignage de Tommy L. Osborn 

[Voici des extraits de l’allocution de l’évangéliste Tommy Osborn donnée lors d’une cérémonie-souvenir le 26 janvier 1966 à Phœnix, Arizona.] 

... Le premier soir où j’ai entendu et vu frère Branham prêcher, je n’ai pas entendu de Voix, je ne savais pas que cela avait été dit de lui, et je ne savais pas que la Voix venant du ciel avait dit ces paroles. Je ne savais rien de cela. Je ne me tenais pas avec les prédicateurs qui croyaient en lui. Mais, semblable à une Voix, j’ai entendu. J’ai su. Cela est venu à moi ! “Comme Jean-Baptiste fut envoyé comme précurseur de sa première venue, William Branham est envoyé comme précurseur de sa deuxième venue.” 

J’étais un jeune prédicateur inexpérimenté. Je n’étais pas un théologien. Je ne connaissais pas les Ecritures. Pourquoi ai-je connu cela, je ne sais pas. J’ai dit : “Merci Seigneur, il a croisé mon sentier. Merci Seigneur, j’ai appris. Merci Seigneur, j’ai saisi.” Cela n’a pas pris dix soirs, seulement un soir. 

Cette génération cherche un signe, un autre signe, un autre, et encore un autre ! Un, c’est assez ! Un, c’est suffisant ! Dieu a voulu, pour être sûr que nous ne manquerions point de connaître l’immuabilité de son Alliance, recommencer en ce vingtième siècle, en cette génération destinée à le faire revenir. Cette génération doit savoir. Cette génération doit être inexcusable, car c’est à cette génération que cette œuvre a été donnée. Alors il a envoyé un vase humain particulier, entouré de signes surnaturels pour attirer l’attention et pousser cette génération perverse à regarder, réfléchir, chercher et penser. 

Ainsi, ce halo de Lumière qui est apparu à sa naissance, l’Etoile, l’Ange, le discernement, les dons, toutes ces choses furent données dans ce but. Pourquoi ? Pour nous montrer Dieu à nouveau ! Pour répéter ce qu’il nous avait montré en Jésus-Christ, quand il est venu dans la chair, et pour nous le rappeler une dernière fois. Comme Jésus, frère Branham a redémontré la chose même qui fit croire aux hommes que le vrai Messie était venu. 

Il était voyant ; il voyait, il vivait dans les deux mondes, le visible et l’invisible en même temps, et transcendait les deux pratiquement sans cesse. Jésus a dit : “Mon Père agit jusqu’à présent, moi aussi j’agis... Le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu’il voit faire au Père” [Jean 5:17,19]. Et voici qu’en ce vingtième siècle frère Branham vient et agit exactement de la même manière. 

De partout les foules toujours venaient. Pourquoi ? Parce que c’était une génération qui avait oublié ce que Dieu était. Nous allions à l’église, nous avions nos réunions sous tente, mais nous avions oublié. Nous avions besoin de le voir. 

J’étais seul. J’étais prédicateur. J’étais sincère. Je priais pour les malades. J’étais loyal envers mon organisation. Mais j’avais oublié. Nous faisions du mieux que nous pouvions. Cela m’avait été dit par des hommes qui, j’en suis sûr, étaient aussi sincères qu’ils pouvaient l’être. Mais ils avaient oublié. 

J’étais allé en Inde. Je voulais aider les gens. Mais quand j’ai rencontré les Hindous et les Musulmans, je n’ai pas pu gagner, car ils disaient : “Votre Bible n’est pas la Parole de Dieu. Notre Coran est la Parole de Dieu. Jésus n’était pas Son Fils. Jésus n’était pas Son Prophète. Mahomet est Son saint prophète.” Je n’ai pas pu prouver qui avait raison. Ils avaient un livre noir, et j’avais un livre noir. Le mien était la Bible, le leur était le Coran. Lequel était le bon ? Ils croyaient le leur, je croyais le mien. Mais il n’y avait pas de preuve. 

Je suis revenu chez moi et j’ai entendu un sermon : “Si vous voyez Jésus, vous ne serez plus jamais le même.” Je l’ai vu le matin suivant dans une vision, et ceci a changé ma vie et m’a préparé à ce que Dieu envoyait sur mon chemin - l’homme de Dieu. J’avais vu le Seigneur, et aucun homme ne peut expliquer ce qui se passe quand cela se produit. Je savais qu’il était vivant. 

Peu de temps après ceci, nous eûmes une convention, mais frère Branham est venu à Portland, dans l’Oregon. Or c’est là que se déroulait notre convention, et j’étais, en tant que secrétaire du district, le pasteur organisateur. Mais j’ai dû quitter la convention pour aller voir l’homme de Dieu. Ma femme y est allée, et elle m’a raconté ce qu’elle avait vu. J’étais dans l’obligation d’y aller, j’ai dû y aller ! 

J’étais assis là, au troisième balcon du Civic Auditorium de Portland. Ce petit homme du Kentucky est venu devant le micro, avec sa Bible serrée contre lui, et il a prêché. Quel message merveilleux ! Et si simple ! 

Son langage était celui de ses montagnes, mais il était aussi de Dieu. Dieu était en lui, je l’ai su. Il a expliqué les Paroles du Seigneur et il a agi comme si elles étaient toutes vraies, aussi vraies maintenant que depuis toujours. 

Quand il eut terminé, plusieurs se tournèrent vers le Seigneur. Les malades ont été amenés devant lui, et ils défilèrent devant lui. Il y en avait tellement qu’il n’eut pas le temps de s’occuper de chacun. J’ai regardé et j’ai pleuré. A chaque instant il s’arrêtait pour rester quelques minutes avec une personne, parfois loin du micro, et je ne pouvais pas entendre ce qui se disait. Il semblait que quelque chose de merveilleux se produisait. 

J’en ai entendu autour de moi qui critiquaient : “Regardez ! On les amène en les portant, et on les ramène en les portant !”. Moi, je n’ai pas vu cela. Frère Branham nous avait annoncé la promesse de Jésus-Christ : “Vous imposerez les mains aux malades et les malades seront guéris”. Et c’est ce qui arrivera, car la Parole de Dieu ne peut faillir, les Ecritures ne peuvent être brisées. Et j’étais assis là, le cœur débordant, me réjouissant à la pensée que lorsqu’il toucherait les gens, ils seraient rétablis. 

Il ne m’est jamais venu à l’esprit que cela ne se produirait pas. J’ai été choqué d’entendre ces gens critiquer au cours de la réunion même. Il a arrêté une petite fille, et nous a demandé d’incliner nos têtes. Je l’ai entendu dire sans élever beaucoup la voix : “Esprit sourd et muet, je t’ordonne dans le Nom de Jésus-Christ, de quitter cet enfant et de ne plus revenir en elle.” Mais il ne l’a pas dit comme je l’avais entendu dire auparavant : il ne l’a pas dit comme les scribes et les pharisiens. Il a parlé comme quelqu’un qui a de l’autorité. Il pensait vraiment ce qu’il disait. 

J’étais sur le point de l’aider. Je voulais faire de mon mieux, et je suis sûr que la plus grande partie de l’auditoire pensait de même. Mais c’était terminé, le travail était achevé. 

Il l’avait dit et c’était terminé. Il avait dit au démon ce qu’il devait faire, et il s’attendait au résultat. Il savait qu’il était le patron, et il était évident que le démon le savait aussi. C’était tout. La petite fille fut guérie avant que je sois au diapason. J’ai éclaté en sanglots. Oh, c’était merveilleux ! Cette petite fille était parfaitement guérie. 

Il m’a semblé que dix mille voix tournoyaient au-dessus de ma tête : “Tu peux faire cela. C’est ce que Jésus faisait. C’est ainsi que Pierre et Jean faisaient. Ce qu’ils ont fait dans la Bible, peut être fait aujourd’hui. La Bible est pour aujourd’hui.” 

Beaucoup n’ont pas compris le signe dans la main qui était donné comme preuve. Cela préoccupait beaucoup les théologiens et les chrétiens qui trouvaient cela nouveau. Ils n’avaient jamais vu cela auparavant. Pourquoi les gens ont-ils alors crié que cet homme avait un démon et qu’il était Baalzébul ? Comment pouvaient-ils dire une telle chose ? 

A l’inverse, il y a eu ceux qui ne croyaient pas que c’était un démon et qui prièrent pour recevoir le même signe. Je ne pouvais pas comprendre cela non plus. J’étais assis là à regarder, et il ne m’est pas venu à l’idée de désirer ce signe. Ce n’était pas mon affaire. C’était le Don de Dieu à une génération. Il ne m’est pas venu à l’esprit que c’était ce que je devais posséder. Mais ce qu’il a fait en discernant les pensées et les besoins des gens, me démontrait Jésus en action. J’ai vu Jésus ce soir-là dans une forme humaine appelée William Branham. J’ai vu Dieu à l’œuvre dans un montagnard du Kentucky. J’ai vu la Parole de Dieu manifestée sur l’estrade, la Parole vivante qui ne peut être brisée. 

Un signe nous dit où aller et vers quoi, et non : “Regardez le signe ! je suis un signe !” Quel bien cela pourrait-il faire ? Le signe pointe vers la direction. Vers quoi ? Comment mes frères prédicateurs ne pouvaient-ils pas voir et comprendre ? Comment pouvaient-ils dire que cet homme était un démon ? Comment pouvaient-ils dire que ce n’était pas de Dieu ? Comment un homme, un membre d’église, un chrétien, pouvait-il voir cela et ne pas y croire ? 

Le signe est venu. Il ne se répètera pas. Plusieurs vont le réclamer. Plusieurs vont le chercher. Plusieurs vont manifester leur propre signe. Mais cela ne se répétera pas. 

C’est cette génération qui est prédestinée par Dieu pour ramener le Roi. Nous avons eu notre répétition générale. Notre mémoire a été rafraîchie. Nous avons marché là où Dieu a marché. Dieu, en prenant la forme d’un autre, a tracé nos sentiers, nos villes, et nos rues. C’est aussi certain que le fait qu’il a marché avec nous, d’une manière extraordinaire : frère Branham était entouré de signes surnaturels pour indiquer à nouveau cela. Oh mon Dieu ! que mes frères chrétiens puissent entendre ici ce qu’il aura à leur dire. 

Cela m’a montré Jésus à l’œuvre. Cela a ajusté ma foi en l’Evangile pour ma génération. C’était le Saint-esprit à l’œuvre devant mes yeux. Cela me démontrait la puissance du Nom que j’ai reçu en entrant dans la famille de Dieu, ce Nom qui est au-dessus de tout nom dans les cieux et sur la terre. Je porte ce Nom. Le Dieu que ce Nom représente est en vous et en moi. Je n’ai pas de signe, mais j’ai ceci. Devons-nous encore voir le signe sur ses mains ou l’entendre le répéter ? 

Il disait : “Il est ici, la Nuée se tient là.” Il priait, ou parlait, et cela partait. Il l’a vu, nous en a parlé, et Dieu a même permis à l’appareil photographique de le capter pour nos yeux incrédules. Il a permis que la Lumière apparaisse et soit photographiée. Qu’exigeons-nous ? Pourtant, devant la plus grande démonstration de Dieu dans la chair qu’aucune génération ait pu contempler auparavant, l’homme reste incrédule... 
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:14

REPÈRES CHRONOLOGIQUES     
  

• 06 avril 1909, à Burkesville, Kentucky

Naissance de William Branham sous une Lumière

• septembre 1916 à Utica, Indiana

Première Voix de l’Ange

• septembre 1927

Départ vers l’Ouest

• septembre 1928

Conversion

• juin 1933 près de la rivière Ohio

Début du ministère, Lumière et Voix lors d’un service de baptême

• août 1933 à Jeffersonville, Indiana

Construction du premier Tabernacle

• 22 juin 1934 à Jeffersonville

William Branham épouse Hope Brumbach

• 13 septembre 1935 à Jeffersonville

Naissance de Billy Paul

• 27 octobre 1936 à Jeffersonville

Naissance de Sharon Rose

• novembre 1936 à Jeffersonville

Prophétie de l’inondation de l’Ohio

• 30 novembre 1936 à Jeffersonville

Mort de son père Charles Branham

• 22 juillet 1937 à Jeffersonville

Mort de sa femme Hope

• 26 juillet 1937 à Jeffersonville

Mort de sa fille Sharon Rose

• 23 octobre 1941 à Jeffersonville

William Branham épouse Meda Broy en secondes noces

• 21 mars 1946 à Jeffersonville

Naissance de Rebekah Branham

• 6-7 mai 1946

Le Président Truman déclare unilatéralement qu’Israël est une nation

• 07 mai 1946 à Jeffersonville

VISITE DE L’ANGE qui annonce deux signes surnaturels

• mai 1946

Guérisons de Betty Daugherty, de Margie Morgan, etc.

• mai 1946 à Saint Louis, Missouri

Première grande campagne de guérison

• 1946

Lumière photographiée à Camden

• novembre 1947, à Portland

Victoire sur un fou furieux

• 29 novembre 1947

Etat d’Israël reconnu par l’ONU

• mars 48 à Pensacola, Floride

Grandes réunions de guérison

• avril 1948 à Jeffersonville

Début d’un repos forcé après épuisement

• 24 janvier 1950 à Houston, Texas

Lumière photographiée au-dessus de sa tête, lors d’un débat

• avril-mai 1950 en Scandinavie

Résurrection d’un jeune Finlandais, guérison de Viera Ihalainen

• 19 mars 1951 à Jeffersonville

Naissance de Sara

• 06 octobre 195

Début de la campagne spectaculaire en Afrique du Sud

• 19 septembre 1954 à Bombay, Inde

Guérisons spectaculaires

• mai 1955 à Lausanne, Suisse

Lumière photographiée lors d’une réunion pastorale

• 19 mai 1955 à Jeffersonville

Naissance de Joseph

• décembre 1955 à Jeffersonville

VISION DE LA TENTE

• juin 1959 au Kentucky

Résurrection d’un petit poisson

• 08 octobre 1959 en Indiana

Première création d’écureuils

• 22 octobre 1959 au Kentucky

Seconde création d’écureuils

• novembre 1959 à Depauw, Indiana

Les deux fils d’Hattie Wright sauvés

• 08 mai 1960 à Jeffersonville

De l’autre côté du rideau du temps

• décembre 1960 à Jeffersonville

Présentation des “Ages de l'Eglise”

• 08 janvier 1961 à Jeffersonville

La Lumière “dessine” les âges sur le mur


• 11 février 1961 en Californie

“Tu as choisi le chemin étroit”

• 25 août 1961 au Kentucky

Vision des trois arcs-en-ciel

• septembre 1961, Yukon, Canada

Le caribou et le grizzly

• 27 octobre 1961 à Jeffersonville

Mort de sa mère Ella Branham

• 21 décembre 1962 à Jeffersonville

Vision des trois constellations

• janvier 1963

Départ pour Tucson

• janvier 1963 au Sabino Canyon, Arizona

Réception de l’EPEE DU ROI

• 28 février à la Sunset Moutain, Arizona

Rencontre avec les SEPT ANGES

• mars 1963 à Jeffersonville

Présentation des SEPT SCEAUX

• 07 juillet 1963 à Jeffersonville

“J’accuse cette génération”

• 24 octobre 1963 dans le Colorado

Un blizzard est apaisé instantanément

• 30 décembre 1963

Visite du pape Paul VI à Jérusalem

• 26 mars 1964 à la Sunset Mountain, Arizona

Tourbillon violent dans la Coronado Forest ; annonce du jugement pour la côte Ouest

• juillet 1964

Vision de l’Epouse et de l’église apostate

• 28 novembre 1964 en Alaska

Grand tremblement de terre

• septembre 1965 près de Tucson, Arizona

La colombe et le rocher de l’Aigle blanc

• 18 décembre 1965 à Amarillo, Texas

Accident d’automobile

• 24 décembre 1965 à Amarillo, Texas

Décès de William Branham

• 11 avril 1965 à Jeffersonville, Indiana

Inhumation de William Branham
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:16

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L'Ange de Dieu (L'Ange et Sa Commission)


  1.    …Canada et une grande partie des Etats-Unis. Et je ne connais pas d’autre endroit, mieux que celui-ci où je suis maintenant même, à Phœnix, en Arizona, où je préférerais me retrouver cet après-midi. Je suis venu au Nom du Seigneur prier pour les malades, déclarer que je crois que beaucoup de puissants miracles seront accomplis pendant ces huit prochains dimanches. J’espère que ce sera l’une des plus grandes séries de réunions qui déclencheront un réveil à l’ancienne mode ici à Phœnix, tel qu’il ne connaîtra pas de fin avant que le Maître Lui-même apparaisse sur la scène.
Ce matin, quand je me suis réveillé et me suis levé de mon lit, que je suis allé à la fenêtre, que j’ai tiré les rideaux de la fenêtre et ai promené le regard vers la montagne Camelback, vers les palmiers verts entre ici et la montagne, et juste au moment où le soleil se levait et éclairait la montagne, je me suis dit que les gens d’Arizona, de Phœnix, devraient vraiment être reconnaissants de vivre en un tel endroit ! On est plus près du Ciel à Phœnix, en Arizona. Quelle atmosphère vraiment céleste ! J’aime ça. Et je suis reconnaissant d’avoir ces huit semaines à passer avec vous, ou plutôt ces huit dimanches.
  2.    Ce dimanche-ci, probablement qu’il y en a beaucoup ici que je n’ai jamais rencontrés auparavant, et j’aimerais faire votre connaissance. J’aimerais passer un moment avec chacun de vous, parler avec vous, vous serrer la main et causer avec vous. Peut-être que ce sera possible pour moi plus tard.
Aussitôt après ces réunions, je dois aller à… là en Californie, aussitôt après, et puis, de là à Frisco, et puis à Vancouver, en Colombie-Britanique, pour commencer le mardi. On espère avoir de grandes foules à Vancouver, parce que les réunions de Calgary…
C’était ma dernière réunion. Le Seigneur Jésus est venu, c’était la réunion la plus puissante que j’aie jamais expérimentée de toute ma vie, à Calgary. Ça a été puissant dans tout le Canada. Les Canadiens… Probablement qu’il y en a quelques-uns ici maintenant. Ils y seront après la réunion de là ; en effet, des centaines qui n’avaient pas pu entrer dans la ligne de prière viendront ici.
  3.    Mais les Canadiens ont un retard d’à peu près trente à cinquante ans par rapport à l’Amérique. Ils n’ont pas ce genre de vie rapide que nous menons aujourd’hui. Ils ne sont jamais pressés. Ils sont très humbles et très doux, ils s’attendent à la puissance du Dieu Tout-Puissant. Et Il a certainement manifesté Sa très merveilleuse puissance parmi les Canadiens. Des sourds, des muets, des aveugles, des cancers, des estropiés, des fauteuils roulants, oh ! tout a eu lieu. Et plusieurs milliers qui n’étaient pas entrés dans la ligne de prière se sont déjà rassemblés à Vancouver, dit-on.
L’une des oeuvres les plus extraordinaires dont je peux me souvenir en ce moment-ci, c’était un petit garçon dans un fauteuil roulant. En fait, j’avais fait une déclaration, et cela est aussi vrai que je me tiens ici… Il m’avait promis, cet Ange, que si j’étais sincère et que j’amenais les gens à croire, rien ne résisterait à…
Donc, les gens voulaient voir ce qui arriverait dans une ligne de prière où il n’y a que des estropiés. Et alors, on a annoncé qu’il y aurait une ligne de prière, que ce serait une ligne de miracles, rien que pour des estropiés ; que nous en prendrions quelques-uns pour voir ce qui arriverait avec le don de guérison. En fait, ce n’est pas un don de miracles, c’est le don de guérison. Ils voulaient voir ce qui arriverait dans une–une ligne de ce genre-là.
  4.    Il y avait un jeune homme dans la trentaine, qui avait suivi les réunions depuis–depuis Saskatoon jusqu’à Edmonton et ailleurs, jusqu’à Calgary. Il était à court d’argent. Sa mère avait vendu certains de ses biens, et il ne lui restait alors rien pour–pour se nourrir, juste assez d’argent pour retourner à la maison. Et quand elle a appris qu’il y aurait une ligne de miracles exclusivement pour les estropiés, alors elle a donné en gage son alliance de mariage afin que le jeune garçon reste pour la ligne des miracles. Je l’ai appris, qu’une mère avait donné en gage son alliance de mariage pour que le jeune garçon reste là.
L’alliance de cette mère-là valait pour elle autant que celles de ma mère, ou de ma femme, ou de votre femme valent pour elles. ça représente beaucoup pour elle. Peut-être que son mari était mort, à ce que je sache. Eh bien, nous avons négocié pour qu’elle la récupère, qu’elle ait encore de l’argent.
  5.    Mais ce soir-là, mon jeune frère avait fait entrer ce jeune garçon dans la ligne. C’était l’estropié le plus hideux que j’aie vu depuis plusieurs années. Ses bras s’allongeaient jusqu’au niveau des jambes. C’était vraiment–vraiment un spectacle à voir.
Juste devant moi se trouvait une petite… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… jugement de Dieu, où j’aurai à rendre compte de chaque parole que je… Chaque parole que j’ai prononcée, j’aurai à répondre pour ça. Mais, tout d’un coup, ma main, celle par laquelle le don se manifeste, les vibrations, elle était devenue très chaude. Et je… La petite enfant était âgée d’environ huit, neuf ans, peut-être pas aussi âgée que ça. Alors, je l’ai posée sur sa petite cuisse, et quelque chose est simplement descendu vers le bas. Et, mes amis, Dieu est mon Juge, Lui que je sers ; les quatre pouces [10 cm] qui manquaient à la jambe de l’enfant ont été complétés. Elle a placé cette Bible sur sa tête et a marché de long en large devant l’assistance, tout aussi parfaitement que marcherait n’importe qui, comme cela. Elle était guérie, une heure après qu’on a prié pour elle.
  6.    Le suivant, c’était ce jeune garçon estropié. Après qu’on eut prié pour lui pendant quelque trente-cinq ou quarante minutes, je n’arrivais pas à sentir un quelconque changement. Je vous l’expliquerai plus tard, ce que je veux dire par là, par sentir. Et peu après, la–la délivrance se produisit. La puissance qui le liait quitta.
Le lendemain matin, le jeune homme s’est lui-même rasé. Ses mains s’étiraient, il ne pouvait même pas se nourrir ni se raser lui-même, il a marché dans la salle, il a poussé son fauteuil roulant çà et là dans la salle, pour la première fois depuis quelque trente ans. Il va me rencontrer. Il a reçu un télégramme. Et demain, il va me rencontrer à Vancouver, il sera le premier à me saluer et à me serrer la main, il marchera dans un champ, se fera prendre une photo pendant qu’il marchera là pour me rencontrer à l’avion, après avoir passé tout ce temps dans son fauteuil roulant.
Oh ! Dieu reste toujours Dieu. Si seulement j’avais le temps de vous raconter des choses… Mais je suis sûr que Dieu vous les fera savoir de diverses manières, par des témoignages et autres.
 
  7.    Je me demande s’il y a ici des amis canadiens. Y a-t-il ici quelqu’un de Canada ? Voudriez-vous simplement lever la main, quelqu’un du Canada ? Oui, j’en vois un. De quelle partie du Canada, sœur ? Québec ? Winnipeg. Etiez-vous à la réunion de Winnipeg ? Vous n’y étiez pas.
Il y a eu aussi à Winnipeg un homme avec un membre plus court que l’autre d’environ deux ou trois pouces [5 ou 7,5 cm] ; il portait un soulier relevé, l’un de ces gros souliers à semelles compensées. Et il s’était acheté une nouvelle paire de souliers qu’il avait amenés à la réunion afin de les porter. Et Dieu a… ne décevra jamais quelqu’un qui a ce genre de foi. Il s’en est allé, portant ses nouveaux souliers, il a laissé ses vieux souliers sur l’estrade. Il était rétabli, guéri.
Il est merveilleux, n’est-ce pas ? Bon, nous n’avons pas beaucoup de temps chaque soir, mais nous avons beaucoup de soirées pour… ou plutôt beaucoup d’après-midi pour prier pour les malades. Et j’aimerais que vous, les bien-aimés, si vous le voulez, et vous tous qui connaissez Jésus comme votre Sauveur, ou votre Guérisseur, j’aimerais que, cette semaine qui vient, vous vous mettiez à prier de tout votre cœur.
  8.    Et j’ai devant moi plusieurs milliers de kilomètres à parcourir par avion. J’ai… parcourant le… depuis Vancouver, travailler sur la côte aussi loin qu’en Californie, revenir à Fresno où je dois me rendre demain, chez les Arméniens. Ils ont fait venir par avion un jeune garçon du nom d’Abaick, il prie pour les malades. Ils l’ont fait venir du Caire pour prier pour un homme du nom d’Arcalian.
Au même moment où on a envoyé le chercher, on a envoyé me chercher en Indiana pour que j’aille prier pour une femme qui avait le cancer. Et tous ses deux seins avaient été amputés, le cancer était descendu dans sa–sa… la cavité pulmonaire. Et trois jours après qu’on eut prié pour la femme, elle a fait des achats dans la rue. Elle est en parfaite santé aujourd’hui, sans symptômes de cancer, du tout.
  9.    Et cela a beaucoup frappé les–les Arméniens là-bas, de voir que le Seigneur Jésus était un si Grand Guérisseur, je suis… Il y a des gens qui appellent maintenant. Il y a un autre cas de cancer, c’est un ami à cette femme-là. A propos, certains éminents spécialistes de Saint Louis avaient donné à cette femme quelques heures à vivre, on l’avait amenée là par avion pour être opérée. Mais aujourd’hui, elle est guérie.
Cela me rappelle ce cantique : Grâce étonnante, quel doux son qui sauva, ou plutôt nous dirons, qui guérit un vil comme moi.
Eh bien, cet après-midi, je… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] les démons qui sortent des gens. Cela obscurcit les pensées des gens, les empêchant de voir cela. Mais si vous êtes respectueux, vous verrez la gloire de Dieu ici à Phœnix.
Je pense maintenant... Si vous le voulez, inclinons la tête et ayons juste un mot de prière, s’il vous plaît, partout. A vous tous qui êtes ici, les enfants et tous, soyez respectueux au possible…?…
  10.    Jésus, notre Père céleste…?… après-midi, du fond du cœur, revenir à Phœnix, en Arizona, venant au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ, venant avec…?… qu’ils veulent, sans l’ombre de doute, voir la gloire du Dieu Tout-Puissant être manifestée, les esprits sourds-muets quitter les gens, quitter les aveugles ; les–les estropiés être délivrés, quand la puissance de Christ descendra délivrer ceux qui sont captifs et liés par les puissances de Satan.
Ô Dieu, je Te prie [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… tout celui qui [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… dans ces réunions [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… les prédicateurs [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… et qui parrainent cette série de réunions ici pour la ville de Phœnix. Peut-être que beaucoup de mondains ne comprendront pas exactement ce que cela représente, mais ceux qui sont spirituels et sages sauront ce que ça représente, un signe.
  11.    Ô Père, je Te prie de manifester Ta puissance. Bénis ceux qui nous ont cédé cet auditorium. Je Te prie d’être avec chacun d’eux, Père. S’il y en a parmi eux qui ne sont pas sauvés, qu’ils soient sauvés, Père. Et puisse ce bâtiment qui est utilisé ici pour différents discours, Père… Je Te prie maintenant même de sanctifier cette salle pour les services de Jésus-Christ. Puissent les pécheurs se frayer un chemin en pleurant vers le Calvaire ici même dans cette salle. Puissent les malades être délivrés, puissent les démons pousser des cris et sortir. Et puisse cela donner à cette belle petite ville la plus grande secousse qu’elle ait jamais eue.
Père, je crois que Tu as beaucoup de gens ici, venus de différents coins du monde ; ils s’assemblent ici à cette station climatique. Et je Te prie, Père, de les guérir et de leur faire savoir qu’il y a une Fontaine remplie du Sang, tiré des veines d’Emmanuel. Ô Dieu, accorde-le.
  12.    Bénis chaque prédicateur, je le demande encore, Père, qui a laissé son assemblée libre cet après-midi de venir. Je Te prie d’être avec nous tous.
Et maintenant, Dieu bien-aimé, je Te remercie pour le repos que Tu m’as accordé là dans les montagnes, et maintenant je descends avec une nouvelle force. Ô Christ, que Ton don dépasse tout ce que le diable pourrait placer devant nous. Puissent les grandes puissances ébranlantes de Dieu ôter tout ce qui n’est pas de Dieu, même des cœurs froids et indifférents des pécheurs : hommes, femmes, jeunes gens et jeunes filles.
 
  13.    Père, viens en aide, alors que les avions traversent les montagnes en vrombissant, je Te prie de me ramener en sécurité une fois de plus le dimanche prochain à Phœnix. Père, c’est Toi le Capitaine de notre salut. Je Te prie de venir en aide.
Maintenant, bénis la réunion de cet après-midi. Et que chaque cœur ici soit circoncis. Que les oreilles soient circoncises pour entendre la Parole de Dieu, et circoncis les lèvres de Ton serviteur pour dire ce qui est correct. Puissent les grandes puissances être manifestées cet après-midi pour délivrer les gens. Et que tout celui qui viendra à l’estrade, vienne avec cette seule pensée : « Cette fois-ci, c’est mon tour, et je dois être délivré. Si les autres le sont, moi aussi, je le peux. » Et puissent-ils ne pas garder silence, mais parcourir les rues de cette ville et témoigner la semaine prochaine, rendant louange et gloire à Dieu. Et puisse cela engager même les marchands, et tous, Père, jusqu’à ce qu’il y aura un grand réveil ici. Que les gens puissent reconnaître que l’Esprit de Dieu a toujours de la prééminence partout. Tu peux pénétrer dans les lieux les plus sombres et en retirer ceux qui pleurent. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… 
  14.    Juste une analyse, pour faire donc une estimation, depuis que je suis à Phœnix, il y a eu au moins six… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] je dirais… Eh bien, je dirais, vingt-cinq ou trente-cinq mille personnes, peut-être plus que ça, pour lesquelles on a prié. Et il y a eu au moins dix mille personnes de guéries parmi elles. Pouvez-vous vous représenter cela ? Des gens souffrant du cancer de dernier stade sont guéris depuis la dernière réunion. Je pense que, rien que dans les–dans les–les provinces du Canada, au moins deux cent cinquante (ou peut-être plus que ça) cas des gens dont les yeux louches ont été rétablis. Et des muets, c’est innombrable. En effet, ils venaient par multitude, certains sourds, muets, d’autres malentendants, et tout, qui furent parfaitement rétablis. Eh bien, cela ne s’est fait que grâce à la visitation de l’Ange.
  15.    Il y a quelques soirées, j’étais chez moi, à mon retour de Canada, je ne pouvais pas accéder à ma maison pendant cinq jours. Des gens étaient tellement entassés là qu’ils m’ont tenu à l’écart pendant cinq jours. Il y a quelques jours, les gens affluaient, on a placé là quelqu’un pour les renvoyer, ils venaient de tous les coins du pays. Et leur…
Le soir… le dernier dimanche matin, ma petite église m’a demandé de bien vouloir passer par-là pour avoir… leur apporter un enseignement sur le Livre d’Apocalypse. Je l’ai fait. Puis, à la fin, le pasteur associé a dit : « Eh bien, frère Branham ne priera pas pour les malades, parce qu’il attend et préserve ses forces pour arriver à Phœnix. » Et alors, il a dit : « Que personne ne sollicite la prière. » Mais je me suis tenu là pour leur serrer la main ; il était 11h. Et à 14h, ils m’ont fait partir du lieu.
  16.    Et je portais une montre, j’ai saisi une femme là, la première, elle avait une tumeur, et la tumeur a arrêté… les vibrations ont arrêté ma montre. Je ne peux pas prier pour les gens tout en portant une montre. Je peux vous le démontrer cet après-midi. Elle s’arrêtera chaque fois, les vibrations contre cette montre Longines pimpant neuf. Elle–elle s’arrêtera ; la vibration l’arrêtera. Et j’ai montré à un prédicateur venant de…?… Il est quelque part ici, dans l’assistance, cet après-midi. Et il… Elle–elle s’est arrêtée. La vibration l’a arrêtée.
Alors, le dimanche soir, alors que j’étais là pour leur apporter juste un sermon, eh bien, des gens ont formé une ligne de prière. Et je leur ai demandé si je pouvais me lever afin de prier pour eux en masse, s’ils croiraient. Et ils ont dit qu’ils croiraient. Alors, ils… Que leurs cœurs soient bénis, ils–ils voulaient me serrer la main, ou quelque chose comme cela, vous savez, pour vous toucher. Et ils sont tous passés pour me serrer la main.
Et puis, certaines personnes qui avaient été guéries de cancer, de tuberculose et autres, se tenaient là, voulant être vus. Certaines personnes que je vous ai dit qu’elles étaient guéries se tenaient là.
  17.    Et je… Pendant que j’étais là, j’ai senti la Présence de cet Ange s’approcher. Quand j’ai regardé dans l’assistance, j’ai aperçu la femme qu’Il appelait. J’ai vu qu’elle était dans la ligne de prière. Dieu le sait, je ne savais pas ce qui clochait chez cette dame. Et j’ai dit : « Venez ici, vous. » Et elle s’est simplement levée et m’a regardé.
J’ai dit : « Vous, là. »
Et une dame a dit : « Voulez-vous dire cette dame-ci ? »
Et j’ai dit : « Oui. »
Elle a dit : « Eh bien, elle est sourde. »
Et j’ai dit : « Eh bien, faites-la venir ici. C’est maintenant qu’elle doit être guérie. » Eh bien, voyez, cela doit venir de Dieu. J’ai dit : « Depuis quand est-elle sourde ? »
Elle a dit : « Sa sœur est quelque part dans la salle. » Et il y avait à peu près autant de gens dans cette salle-là qu’il y en a dans cette rangée centrale, je pense. C’était tout ce qu’on pouvait faire entrer, du dehors.
Alors la dame est venue. Et elle a dit… sa sœur a dit : « Elle est sourde toute sa vie, pratiquement, depuis son enfance en tout cas, depuis qu’elle avait environ douze ans. » 
Eh bien, aussitôt que je l’ai tenue, il est apparu… Quand je priais pour eux, j’utilisais ma main droite. Alors, les vibrations se manifestaient sur la main gauche. Et un instant après, l’esprit de surdité a été chassé de cette dame, elle a regardé, et j’ai [Frère Branham claque ses doigts. – N.D.E.] claqué les doigts. Elle s’est retournée et a regardé. J’ai dit : « Vous m’entendez, n’est-ce pas ? » Et son ouïe était parfaite. Alors, elle s’est mise à pleurer. C’était une dame très bien habillée, elle s’est mise à pleurer avec les mains en l’air. Et les gens se sont mis à courir çà et là. Alors, on m’a fait sortir par derrière.
  18.    En effet, vous voyez, mes amis, je ne peux que… Je ne suis qu’un humain. Je ne suis qu’un homme. Mais cela doit venir du Dieu Tout-Puissant. Voyez-vous ?
Avez-vous observé le Maître ? Il entrait dans une ville, accomplissait peut-être un seul miracle et puis quittait cette ville. Avez-vous remarqué cela ? C’était souvent comme ça. Il y avait beaucoup de lépreux à l’époque de–d’Elisée, mais un seul a été envoyé vers lui ; c’était Naaman. Est-ce vrai ? Il est difficile de dire combien de lépreux étaient venus, mais un seul lui avait été envoyé, et c’était celui-là seul que le Seigneur avait à l’esprit.
Et le seul moyen pour moi de le révéler, c’est quand je sens ce Quelque Chose provenant de la personne me donner accès à cette puissance surnaturelle. Ce n’est pas ma puissance, c’est la Sienne. Alors, il n’y a rien, peu importe ce que c’est… Je le dis au Nom du Seigneur. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
  19.    Eh bien, à qui parlait-Il ? A Moïse. Lors de vos leçons de l’école du dimanche, beaucoup parmi vous ont lu sur ce grand personnage de la Bible, Moïse. Je l’aime, car il était une–une préfiguration de–de la Venue de Christ. Il était juste un type de la Venue de Christ.
Remarquez. Eh bien, après que le peuple d’Israël était allé en Egypte et qu’il était tombé dans la servitude pendant quatre cent vingt ans, ce qu’Il avait déjà annoncé à Abraham que ça arriverait… Quand le temps de la promesse s’est approché, j’aimerais donc que vous remarquiez comment… Remarquez donc cela. Quand le temps de la promesse s’est approché, les gens ont commencé en ce temps-là à voir qu’il leur arrivait quelque chose, des difficultés. Et Dieu suscite toujours des ennuis, la plupart du temps, toujours, pour rassembler les gens. Saviez-vous cela ? 
Je crois qu’il arrivera un temps où il n’y aura plus, parmi le peuple de Dieu, de division du genre Je suis membre de telle église, je suis membre de telle autre église. Je crois que la persécution rassemblera toute la grande Eglise rachetée de Dieu, et nous serons un en Jésus-Christ. Et alors, Dieu La ramènera à la Maison. Là, nous ne discuterons plus pour savoir si c’est telle doctrine qui est vraie ou telle autre.
  20.    Maintenant, remarquez. Alors, quand le temps de la promesse s’est approché, il s’est élevé un Pharaon qui ne connaissait pas Joseph, et le peuple a été accablé de fardeaux. Et les gens étaient tellement accablés de fardeaux qu’ils n’arrivaient pas à fabriquer les–les briques et autres qu’ils étaient censés fabriquer. Et alors, penseriez-vous que Dieu frapperait Son peuple comme cela ? Oui. En effet, la Parole de Dieu est éternellement vraie. Est-ce vrai ? Et Il avait promis qu’Il le délivrerait, et Il n’avait pas d’autre moyen par lequel Il devait faire cela en dehors de celui-là.
C’est pourquoi donc, lors de la persécution d’Israël, Dieu a donc fait descendre un Ange sur terre. Mais avant qu’Il fasse venir l’Ange, Il avait un petit garçon né là-bas, du nom de Moïse. Est-ce exact ? Et ce petit garçon, Moïse, était plutôt d’une naissance particulière. Et puis, à l’âge de la maturité, il a été envoyé pour libérer les enfants d’Israël, car ils étaient dans l’esclavage. Et Dieu lui avait dit avant donc qu’il parte : « Je placerai Mon… J’enverrai Mon Ange devant toi. »
Eh bien, Dieu aurait pu envoyer l’Ange là, n’est-ce pas ? Il pouvait laisser l’Ange aller Lui-même, mais au lieu de cela, Il a envoyé l’Ange parler à travers la voix d’un homme. Dieu a toujours utilisé l’homme pour Son œuvre. Est-ce vrai ? Il n’utilise pas les organisations ou autres, des systèmes mécaniques, mais Il utilise des hommes. Le Saint-Esprit descendait sur des hommes. C’est lui l’instrument de Dieu ici sur terre.
  21.    Il était le premier à avoir la juridiction sur toutes choses sur terre (Est-ce vrai ?), sur tous les animaux. Et il a perdu son–son autorité. Et la Bible nous enseigne que ce que le premier Adam a perdu, le second Adam, Christ, l’a restitué à la race humaine.
Alors, mes amis, si cela est vrai, prédicateurs, qu’est-ce qui ne va pas avec l’église aujourd’hui ? C’est ce que j’aimerais savoir. Si Christ a été le chaînon manquant entre Dieu et l’homme, et qu’Il est venu reconnecter Dieu et l’homme, qu’est-ce qui ne va pas aujourd’hui ? C’est l’incrédulité qui est à la base. Et si vous entreprenez une œuvre et que vous voyiez un petit quelque chose, aussitôt vous dites : « Oh ! eh bien, laissez tomber cela. Ça ne venait pas de Dieu. » Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.
Si vous construisez une maison et que vous disiez : « Eh bien, telle personne ne convient simplement pas ici ; car regardez là où se trouve tel bloc, cette grande ouverture ici. Oh ! cela semble… » Si c’est… Allez de l’avant. Continuez à construire la maison. Dieu a un autre bloc qui conviendra à cet endroit-là, qui le comblera. La maison ne peut pas être construite comme cela. De même aujourd’hui, pendant que Dieu agit, oublions ça et entrons droit dans l’Esprit du Dieu Tout-Puissant et, là, contemplons la Maison de Dieu restaurée une fois de plus.
  22.    Remarquez. Eh bien, au jour où Dieu rassemblait Son peuple, une grande persécution frappa le peuple, et Moïse fut envoyé comme libérateur. Il a ouvert la mer Rouge ; il a accompli tous ces miracles… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] 
Ils n’en savent pas plus qu’un Hottentot n’en sait au sujet d’un chevalier égyptien. C’est vrai. Et même les esprits versés dans l’astronomie avaient reconnu cela avant les hommes qui prétendaient même avoir le Saint-Esprit…?… C’est vrai. Tout homme peut dire ces choses. Mais si Dieu ne rend pas témoignage à cela, c’est faux. Est-ce vrai ? Mais si Dieu en rend témoignage, ce sont les œuvres de Dieu. Est-ce vrai ?
  23.    Si je viens ici à Phœnix en tant que prophète et que je n’accomplis pas les œuvres d’un prophète, alors ne me croyez pas. Mais si je viens au Nom du Seigneur Jésus, selon la prophétie et en tant que Son serviteur, et que j’accomplis les œuvres qui sont écrites concernant Son serviteur, alors croyez-moi. Le ferez-vous ? Si les sourds n’entendent pas, les muets ne parlent pas, les aveugles ne voient pas, les estropiés ne marchent pas, si des prophéties ne sont pas données sur le péché des gens, et que vos péchés de l’enfance ne sont pas dévoilés, alors croyez que cet Ange qui est venu vers moi est un imposteur et que moi aussi, je suis un imposteur. Mais si cela se manifeste ici sur l’estrade devant vous, croyez cela et repentez-vous de vos péchés et de votre incrédulité, car l’heure de Sa visitation est proche. C’est vrai. En effet, Il fait ces œuvres uniquement pour confirmer Sa Parole.
Ecoutez, de toute façon, avant que tout jugement soit jamais envoyé sur terre, Dieu envoie avertir les gens. C’est vrai. Et, mes amis, écoutez ma parole, si c’est en rapport avec Dieu. L’un des plus grands jugements qui ait jamais frappé toute la terre est en route. Eh bien, ne l’oubliez pas. Un jour, je serai parti, mais souvenez-vous-en. Beaucoup parmi vous, les plus jeunes, et certains parmi vous les plus âgés, vous verrez que je vous ai dit la vérité. C’est vrai.
  24.    Eh bien, ce don vient par… Si vous aviez prié et demandé à Dieu d’envoyer un don, Il l’a envoyé. Il y a quelques mois, quand j’étais ici à Phœnix, c’était nouveau. Mais maintenant, sans doute, vos principaux journaux, ou vos principaux magazines, Life, Times et autres… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] et ça s’est du coup répandu partout dans le monde.
Deux soirées avant que je rentre à la maison, cinq différentes nations avaient téléphoné. Et la capitale de la Turquie avait téléphoné, disant : « Nous avons appris que le Seigneur Dieu Tout-Puissant a étendu Ses bras pour guérir en Amérique. » Ils ont dit : « Est-ce possible pour nous d’avoir quelques miettes ? » Affamés, des païens…
Ô peuple ! levez-vous au Nom de votre Seigneur. Réclamez le privilège que Dieu vous a donné, car l’heure pour vous d’être guéri est là, c’est vrai, de glorifier Dieu et de recevoir de Son Esprit et Ses bénédictions. Débarrassez-vous de tous les formalismes. Débarrassez-vous de toute cette religion de rites et entrez dans la sphère du Dieu vivant, qui éveille l’âme de l’homme et vous fait entrer dans la justice, vous amène à L’adorer en Esprit et en Vérité. Car l’heure vient, et elle est déjà venue, où Dieu a envoyé Son avertissement.
  25.    Cela vient par des vibrations dans la main. Le Dieu même qui a envoyé Son Ange devant Moïse… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… Ange ici. C’est vrai. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] J’essaie d’être sincère. Eh bien, j’aimerais que vous sachiez ceci, que je pourrais partir…?… avant le matin. Je ne sais pas. Mais cette nuit-là, dans la chambre, quand Il est venu (pour vous)… Il m’est apparu plusieurs fois sous forme d’une–d’une étoile. Je L’ai vu plusieurs fois. Mais quand Il s’est rendu visible, c’était un Homme qui apparemment pesait deux cents livres [90 kg].
Il y a un peu plus de deux ans aujourd’hui, j’étais assis dans une pièce. Je lisais ma petite Bible Scofield, et j’ai entendu quelque chose. Premièrement, j’ai vu une Lumière. Et j’ai pensé que c’était un véhicule qui prenait un virage. Mais cela a changé, et c’était devenu plus brillant. J’ai regardé à la porte, et il n’y avait pas de véhicule. Alors, j’ai entendu quelque chose venir comme ça, faisant… [Frère Branham frappe quatre fois sur le podium. – N.D.E.] en marchant. Et j’ai regardé, la Lumière s’était intensifiée. Et juste au-dessus de moi était suspendue une grande Etoile. Et la Lumière tendait, on dirait, plus vers le vert, entre le vert et le jaune. Elle éclairait le plancher. Et un Homme apparut, marchant dans cette Lumière ; on dirait, comme je l’ai dit auparavant, qu’Il pesait deux cents livres [90 kg], un grand Homme. Il n’avait pas de barbe au visage, comme sur le tableau de Christ. Qui Il est, je ne sais pas. Mais Il avait… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] épaule. Son teint était plus d’olive. Il avait des yeux noirs. Il s’est approché de moi aussi près que l’est ce micro.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:16

26.    Oui, c’est vrai, mes amis. Je ne pouvais pas parler. Et Il m’a dit… J’étais juste assis là. Et Il a dit : « N’aie pas peur. Je suis envoyé de la Présence de Dieu pour te dire que ta vie particulière, ta naissance particulière… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] un don de guérison divine aux peuples du monde. » Et Il ajouta : « Si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire, aucune maladie ne résistera à ta prière, même pas le cancer. » Et Il a dit : « Il arrivera que tu révéleras aux gens leurs maladies à partir d’une vibration dans ta main. Puis, si tu restes longtemps respectueux, alors tu leur révéleras les péchés de leur vie et des choses qu’ils ont faites. »
Mes chers amis, avec cette Bible devant moi cet après-midi, cela s’est accompli. Je suis allé de l’avant... [Espace vide sur la bande – N.D.E.] 
  27.    Eh bien, c’est ce que je mettais en cause. Et je ne vais pas vous demander directement en public comme ça, car beaucoup parmi vous pourraient lever la main et dire qu’ils n’ont pas compris. Mais je crois qu’il y en a ici parmi vous, car je sais cela par l’Esprit… essayer de me retirer cet après-midi, j’ai parlé aussi durement que possible.
Remarquez, je sens maintenant dans l’Esprit que beaucoup, beaucoup de choses arriveront…?… Notez… (voyez ?), car la foi est en train de s’établir là.
Je connais un homme, assis juste dans cette salle maintenant même, qui est affligé. Je peux faire venir cet homme-là sur cette estrade, il sera guéri maintenant même. C’est vrai. Je sais qu’il est ici dans la salle. Je sens son esprit venir du côté gauche, ici. C’est vrai.
  28.    Je me demande si la petite fille espagnole de Sacramento qui était dans la salle cette nuit-là, qui était assise là, et elle était assise là au fond de la salle, et elle se disait dans son cœur… C’était une catholique. Elle se disait : « Je ne peux pas arriver là où se trouve frère Branham. Mais si seulement il me regarde dans les yeux, je serai guérie. » Je ne savais rien sur cette jeune fille. Elle était là et habitait… là, au-delà de Long Beach, ou quelque part là, dans des réunions.
Je suis entré dans la réunion ce soir-là ; je prêchais. Et pendant que je prêchais, j’ai vu le–le… on dirait que la foi continuait à tirer cela, juste à ma droite. J’ai regardé vers le bas et au fond de la salle, j’ai dit : « Cette jeune fille, assise très loin, dites-lui de venir ici. » J’ai dit : « Venez ici, jeune fille. » Et j’ai son témoignage. Elle a failli s’évanouir. Elle a dit : « Moi ? » 
J’ai dit : « Vous, en petit chapeau rond, venez ici. » Elle s’est avancée humblement. Elle souffrait de la tuberculose. Je l’ai tenue par la main, j’ai dit : « Vous souffrez de la tuberculose. Mais ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR’… » C’était tout. C’était fini. Le lendemain matin, elle re… elle a donné son cœur à Christ. Elle a été baptisée, elle a amené sa famille.
Et elle est censée me rencontrer ici à Phœnix. Je ne sais pas où est cette jeune fille. Etes-vous dans la salle, sœur ? Où que vous soyez donc, vous de Sacramento, là en Californie ? Elle est censée être ici à cette série de réunions de Phœnix maintenant. Si vous êtes ici, levez-vous. Levez-vous, si vous êtes ici. Il se peut que je manque de voir votre main quelque part, si vous êtes dans la salle : une petite jeune fille espagnole, je pense d’environ dix-huit, vingt ans, quelque chose comme cela. Elle doit être ici. Elle vous donnera son témoignage cette semaine. Ce n’est que l’une des choses sur des centaines qui ont eu lieu.
  29.    Eh bien, la même chose peut se faire ici. J’attirerai votre attention si cet homme vient dans la ligne ; en effet, je crains de l’appeler maintenant, parce que cela sera suspect, on dirait. Je ne suis simplement pas autorisé à l’appeler en ce moment-ci, mais je sais qu’il est ici. Il y a ici un homme qui est un parfait inconnu, je ne l’ai jamais vu de ma vie, il est tout aussi sourd que possible ; c’est vrai. Mais il est assis ici. 
Si cet homme est dans cette salle cet après… si cet homme vient dans cette ligne de prière cet après-midi, et que j’arrive à le toucher en étant sous cette onction que j’ai maintenant, ses oreilles seront parfaitement ouvertes. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si ce n’est pas vrai, taxez-moi alors de faux prophète. Je peux le faire venir à l’estrade. S’Il m’accorde un autre… J’attends juste une seconde pour voir ce qu’Il dit à ce sujet. Eh bien, observez et voyez ce que je vous dis.
  30.    Eh bien, nous allons former la ligne de prière juste dans quelques instants. Et voici ce que j’aimerais que vous fassiez : s’il y a un sceptique moderne dans cette salle, je vous avertis au Nom du Seigneur Jésus, ne restez pas assis dans la salle pendant ce temps, car des cancers, la surdité, l’épilepsie, vont d’une personne à l’autre. J’expliquerai cela plus tard. Comprenez-vous tous ?
Combien m’ont entendu expliquer que des maladies sont des germes, et que des germes sont une vie ? Vous êtes vous-même un germe ; vous êtes venu d’un germe de vie. Est-ce vrai ? Eh bien, si vous venez de votre–de votre père et de votre mère, un germe de vie… Un cancer est un germe ; un cataracte est un germe ; une tumeur est un germe ; la tuberculose est un germe. Est-ce vrai ? D’où sont-ils venus? Quel genre de vie est-ce ? Les médecins appellent… (Ce sont les termes médicaux) ils disent : « Cancer, cataracte », ainsi de suite comme cela. Jésus les appelait des démons. Est-ce vrai ? Et c’est ce qu’ils sont. Et tout le monde sait qu’un démon, c’est un tourmenteur. C’est quelque chose qui tourmente votre corps.
  31.    Eh bien, j’aimerais savoir le… Combien croient que Dieu a envoyé Son don de guérison ? Eh bien, voyons. Que Dieu vous bénisse. Oh ! la la ! Quatre-vingt-cinq pour cent de la foule croient. Alors, avec ça, je vous assure que vous verrez la gloire du Dieu Tout-Puissant.
Eh bien, ne l’oubliez pas, pendant que je m’avance pour un mot de prière, après avoir prié avec vous ici, si… Laissez-moi vous donner un conseil. Dans mon intérêt et le vôtre, cela ne fera que jeter l’opprobre.
Souvenez-vous, autre chose : Ceci n’est pas un don pour accomplir des miracles. Il… La dernière fois qu’Il m’a parlé, c’était à Vandalia, en Illinois. Y a-t-il ici quelqu’un qui était aux réunions de Vandalia, qui était là, à Vandalia, en Illinois ? Une personne, ici dans la salle, qui était là quand l’Ange du Seigneur était descendu et avait dit : « Tu te limites. Il arrivera… » [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
  32.    Croyez-vous que je suis un serviteur de Jésus…?… Père…?… debout près de vous…?… cancer. Une vibration sur ma main. Tu sais que ses jours à elle sont très courts ; dans peu de temps, cette âme qui a autrefois vécu ici sur terre s’en ira vers une autre demeure. La vie est précieuse pour tous ces gens. Par Ta puissance, Tu la guériras cet après-midi. Epargne sa vie. Elle veut que Tu…?… Je me rappelle quand Ton glorieux Esprit avait accompli ces choses. Que l’Ange de Dieu qui m’avait rencontré cette nuit-là dans la pièce s’avance maintenant pour aider et donner l’autorité sur ce démon.
Toi, démon appelé cancer, je t’adjure par Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, quitte cette femme. Toi, démon de cancer, je t’adjure par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, sors de cette femme (…?…)
Père céleste, nous Te remercions pour Ta puissance de guérison. Nous Te remercions, parce que Tu entends donc réellement et exauces la prière. Je prie, Père, que cette femme Te serve tous les jours de sa vie. Que toute gloire et toute louange Te soient rendues au Nom de Jésus-Christ. Amen. Très bien…?… chaque vibration…?… Nom.
Maintenant, rappelez-vous, vous allez tomber terriblement malade dans quelques heures, terriblement malade, suite à la mort de ce cancer. Avez-vous déjà été dans l’une de mes réunions auparavant ? Très bien. Votre cancer est mort maintenant. Remarquez ce que je vous dis. Je ferai huit semaines ici. Et vous découvrirez ce que je vous ai dit. Durant ce temps, j’aimerais que vous veniez à l’estrade et que vous témoigniez sur votre état. Votre cancer est en train de vous quitter.
  33.    Monsieur…?… voyez, vos âmes valent autant à Ses yeux. Vous êtes nerveux, horriblement nerveux. C’est ce qui a causé votre gastrite, ça a causé une maladie de, quelque chose comme de l’acide qui monte dans l’estomac et vous cause des brûlures, et ça cause une maladie…?… une mauvaise haleine…?… Est-ce vrai ? Comment pensez-vous que j’ai su cela ? C’est vrai, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache, mais c’est ça. Et j’aimerais que vous remarquiez ceci, juste sous ces bosses…?… voyez ces…?… Regardez-les. Voyez comment ils…?… c’est une vibration, un état de cela…?… ça a commencé…?… des ulcères partout…?… Maintenant…?… Et si cela doit s’arrêter, voyez-vous ce que je veux dire ? Ces choses, comme un faisceau blanc ? Voyez-vous ces petites taches blanches ? Observez-les donc apparaître et disparaître. Eh bien, c’est…?… Très bien. Eh bien, si je laisse ma main comme ça et qu’elles s’arrêtent, et qu’elle redevienne blanche comme celle-ci, alors vous êtes guéri. Si ce n’est pas le cas, cela restera là. Vous servirez Dieu, n’est-ce pas ? Si vous pouvez vivre…
Notre Père céleste, cet homme voulant une bénédiction…?… montre qu’il est un serviteur, Seigneur, et combat pour ce qui nous est cher à nous tous. Et nous Te remercions pour sa vaillante âme, car c’est… ramène… Maintenant, je Te prie, Dieu bien-aimé, qu’aujourd’hui Tu lui montres que les droits mêmes pour lesquels il combat, la liberté de religion, un lieu où adorer selon ce que nous dicte notre conscience, Tu régneras en ce lieu en le guérissant. Dieu…?…[Espace vide sur la bande – N.D.E.]
  34.    Gardez cela…?… Maintenant, vous venez de prouver que…?… Eh bien, la foi vient…?… Dieu bien-aimé, que cet homme puisse savoir que Tu es réellement le Fils de Dieu, le…?… sa vie, que moi, je suis Ton serviteur. Aide-moi à avoir la puissance d’aller à la rencontre de ce démon qui le lie…?… Toi, démon, je t’adjure de quitter ce jeune garçon au Nom de Jésus-Christ de Nazareth ; sors de lui ! Le voilà partir. Maintenant, jeune homme…?… Maintenant, ce n’est pas…?… Tu comprends cela, jeune homme ? Je ne suis pas…?… Très bien, maintenant…?… Maintenant, vous pouvez probablement relever la tête juste un instant. Je vais attirer votre attention dans quelques instants sur une grande…?…
Maintenant, ma main…?… posé ma main sur la sienne, c’est devenu légèrement rouge au-dessus de ce…?… et de petits boutons blancs, on dirait, qui apparaissaient sur ma main se sont arrêtés quand cela a été guéri. Est-ce vrai, monsieur ? Et mon autre main est normale et bien. Je n’ai pas bougé ma main. C’est placé juste entre les maladies, contre mon estomac, posé juste comme ça. Je ne l’ai point bougée ni en haut ni en bas, elle est restée exactement là où elle était. Et ma main est parfaitement blanche. Eh bien, quelque chose de visible est arrivé à cela, quelque chose que vous pouvez voir de vos yeux.
  35.    Etes-vous chrétien ? Eh bien, vous rappelez-vous que quand vous avez été sauvé, vous êtes allé de l’avant, croyant en Dieu de tout votre cœur ? En effet, quelque chose vous était arrivé, n’est-ce pas ? Vous en avez rendu témoignage depuis lors. Satan vous a parlé, il a cherché à vous amener à douter de cela, à vous en éloigner. Mais vous avez tenu ferme. Faites de même. Votre gastrite cessera si vous faites cela. Cet ulcère et tout seront guéris. Vous serez de nouveau un homme bien portant…?… pour vous ? Anthony, de New Mexico. Si vous retournez dans cette région, allez-vous venir à l’estrade témoigner dans les prochaines semaines, dire aux gens ce qui est arrivé, afin qu’ils puissent le savoir ? Quel est votre nom ? Barnett ? Que Dieu vous bénisse, Frère Barnett.
Ecoutez le témoignage du jeune garçon. Il est net et clair. Avez-vous remarqué que, plus je gardais ma main là, ça devenait blanc tout le temps ? Vous êtes guéri, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Louons vraiment le Seigneur, tout le monde. Inclinez la tête maintenant et rendez gloire…?…
  36.    Placez votre main sur la mienne. Qu’est-ce ? Quoi ? Sentez ce que c’était avec ma main. Eh bien, regardez. Vous avez un mauvais ulcère saignant. Vous souffrez aussi de…?… Maintenant, regardez. Voyez comment…?… ça se voit donc sur ma main…?… Regardez celle-ci. Voyez comment…?… Eh bien, suivez, et soyez–soyez respectueux ; croyez-vous que Jésus peut guérir…?…
Notre Père céleste, Toi qui connais toutes choses, Tu connais les vertus guérissantes pour lesquelles Tu es mort au Calvaire, manifeste Ta puissance. Comme Elisée avait dit, après avoir vu Elie être enlevé, il a dit : « Que le Dieu d’Elie parle. » Que le Dieu de Christ parle.
Toi, démon, je t’adjure de quitter cette dame. Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, sors d’elle. J’aimerais que vous releviez la tête, sœur. En haut. Voyez-vous la lumière ? Eh bien, vous pouvez voir cela de vos yeux, n’est-ce pas ? Les points rouges quitteront, se trouvant…?… Est-ce vrai ? Maintenant, rentrez chez vous, vous serez rétablie. Allez et louez Dieu le reste de vos jours, et Dieu vous a rétablie. Louez Dieu chaque jour. Témoignez pour Lui chaque fois que je vous rencontre, absolument. Que Dieu vous bénisse.
  37.    Sœur, vous êtes–vous êtes sur le point de faire une dépression nerveuse. Vous êtes très nerveuse, vraiment inquiète. Vous éprouvez des inquiétudes. On dirait que vous… Eh bien, vous ne savez que faire de vous-même. Est-ce vrai ? Très bien. Vous pensiez beaucoup venir pour qu’on prie pour vous, n’est-ce pas ? Très bien. Vous pouvez rentrer chez vous bien portante maintenant. Si je demandais le…?… de la vie, faites ceci pour Lui.
Dieu Tout-Puissant et Tout…?… le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, Toi qui L’as ramené d’entre les morts… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Quitte-la, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Sors !
  38.    Maintenant, pendant que j’étais…?… eux dehors… Eh bien, eh bien, cela ne se manifeste pas par des vibrations. Il n’y a pas de vibrations sur ma main. Seulement, elle a juste été un peu affectée par une maladie de femme, une petite poche dans l’estomac. Elle souffrait de gastrite, quelque chose comme un petit…?… comme le gaz dans l’estomac, et autres comme ça. Est-ce vrai, madame ? Maintenant, comment ai-je su cela ? [La femme répond : « A partir des vibrations. » – N.D.E.] C’est vrai, voyez ? 
Eh bien, maintenant, voici ce qui se passe. Elle pique des crises de nervosité très aiguës. Mais la maladie prin…–principale, c’est une maladie mentale, psychique. Cela lui cause…?… des sentiments, elle a des inquiétudes, d’abord comme un vieux morceau de…?… Et vous avez l’impression de perdre la tête. N’est-ce pas là les sentiments que vous éprouvez ?
  39.    Eh bien, qu’est-ce ? Eh bien, ce n’est pas normal. S’il y a un médecin tout près… vous savez que ce n’est pas normal pour un être humain d’être comme ça. Eh bien, qu’est-ce ? Ce n’est pas exactement une maladie du corps. Mais je sens comme s’il y a autour d’elle une atmosphère brumeuse. Etes-vous déjà entré dans un endroit sombre, dans une allée ou quelque chose comme cela, et vous avez été tout d’un coup effrayé ? Ou vous marchez dans des rues, ou n’importe où ? Combien ont déjà expérimenté cela, avoir été effrayé ? Il y a de quoi vous effrayer. Est-ce vrai ? Il y a de quoi vous inquiéter. Il y a quelque chose qui hante cette femme, qui lui donne ce sentiment-là. Mais maintenant, cela a quitté. C’est parti. Maintenant, la dame peut rentrer bien portante chez elle.
Eh bien, habitez-vous près, sœur ? New Mexico. Très bien. Si vous êtes ici, dans les quatre ou cinq prochaines semaines, venez et voyez ce qui est arrivé. Eh bien, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Mettez-vous simplement à louer Dieu, en disant : « Merci, Dieu bien-aimé. » Maintenant, tous ces sentiments brumeux vont quitter, vous n’aurez plus cela. Que Dieu vous bénisse, madame.
  40.    Eh bien, inclinez juste la tête un instant…?… Maintenant, voici un pauvre…?… C’est une maladie vraiment grave. J’aimerais que vous redressiez la tête, vous tous. J’aimerais que vous regardiez juste ma main. J’aimerais que vous regardiez cette main-ci, ici ; pouvez-vous voir cela à partir de là… ? Laissez-moi reculer pour me placer sous ces lumières. Eh bien, regardez ma… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… corps. Il a une tumeur. Regardez cette main-ci, ici, comme c’est blanc ! Voyez, je presse sur cette main-ci autant que sur l’autre. Voyez ? Voyez-vous ces petites taches blanches sur ma main, des marques rouges dans…?… 
Pauvre petite créature ! Que–qu’est-ce que le médecin a dit qui n’allait pas chez vous ? La tumeur ? La tumeur de glande. Très bien. Maintenant, évidemment, on ne peut donc pas opérer. Et avez-vous–vous la foi pour croire que Dieu accordera au petit garçon d’être rétabli ? C’est votre unique espoir, n’est-ce pas ? Votre unique espoir.
Très bien. Inclinez maintenant la tête, mes amis. J’aimerais que vous observiez. Je vais tenir ma main comme ceci, comme c’était. Eh bien, inclinez simplement la tête. Je ne dis pas que ça quittera. Je vais seulement demander à Dieu, c’est tout.
  41.    Bien-aimé Père céleste, je me dis : qu’arriverait-il si c’était mon petit garçon, le petit Billy Paul ? Et ce petit enfant se tient ici, sans autre moyen pour vivre dans cette vie-ci, si ce n’est par Toi, maintenant. Rien ne peut plus être fait. Mais la foi qui a créé le monde… Tu as dit : « Je le peux, si tu crois. » Dieu bien-aimé, je ne sais comment être davantage sincère envers Toi. Ce pauvre petit enfant va mourir, Père. Les médecins ne peuvent plus rien faire. Et c’est vraiment une grâce que sa mère soit ici, Père, elle sait que c’est…?… depuis. La dernière chose qu’elle peut faire, c’est amener ce petit garçon ici pour qu’on prie pour lui. Ô Dieu, aie pitié, s’il Te plaît, Père.
J’ai montré aux gens les vibrations de ce démon qui tourmente le petit enfant. Ô Dieu, son père ou sa mère, ou n’importe qui qui a péché, pardonne cela de toute façon ; quelque part au cours des générations, quelqu’un a péché, ô Christ, crois-moi, pardonne cela. Et je Te prie d’accorder l’autorité sur ce démon.
Toi, démon appelé tumeur, je viens à ta rencontre au Nom de Jésus-Christ. Aujourd’hui, tu le quitteras. Sors de lui !  
Dieu Tout-Puissant et Plein de dons, viens-moi en aide, Dieu bien-aimé. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
  42.    Dieu, que l’on sache dans sa contrée que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur.
Toi, démon, je viens à ta rencontre. Au Nom de Jésus-Christ, je t’adjure, sors de cet enfant au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant.
Très bien. Auditoire, vous pouvez redresser la tête. Maintenant, vous voyez, ma main ne vous avait pas… ? Observez ce qui a de… rouges. Eh bien, observez-la devenir blanche. Pouvez-vous… cela quitter ? Y a-t-il dans l’assistance quelqu’un qui voit cela quitter ? Ça y est, parfaitement normal et blanc, il n’y a pas de vibrations ni quelque chose d’anormal. Où habitez-vous, madame ? Ici à Phœnix ? Ramenez-le la semaine prochaine. J’aimerais voir ce qui lui est arrivé. Que Dieu vous bénisse.
  43.    Nous devrions dire : « Merci, Seigneur », n’est-ce pas ? Ce ne sont pas… Ce sont des choses que vous ne voyez pas, mes amis. Mais elles sont–elles sont ici, malgré tout. Elles se produisent. Eh bien, croyez, tout le monde. Gardez la tête inclinée.
Père bien-aimé, ce frère est ici debout maintenant sur des béquilles, avec une jambe amputée, et Satan le dérange avec cette maladie qui perdure. Mais Tu es ici pour guérir. Tu es ici pour le rétablir. Ô Dieu, il est estropié, il est sur ces béquilles. Père, peut-être que Tu peux former l’autre membre…?… Peut-être qu’il ne l’aura pas sur-le-champ. Mais Tu as dit : « Mieux vaut entrer dans le Royaume de Dieu avec un seul membre, ou un seul œil, plutôt que d’être jeté dans la géhenne. » Ô Père, maintenant qu’il est devenu Ton serviteur, qu’il a entendu…?… Satan, quitte cet homme au Nom de Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?… Que Dieu vous bénisse. Vous habitez ici à Phœnix, monsieur. Les vibrations se sont arrêtées. Ne voudriez-vous pas revenir ? Vous pouvez venir, venir à l’estrade et témoigner afin que les gens puissent voir.
  44.    Oh ! c’est votre fils. Voyez-vous ma main ? Vous voyez cela…?… Petit garçon, crois-tu que si je demande à Jésus, Il te rétablira et tu seras normal ? Tu…?… crois-tu ? Tu es estropié. Iras-tu, une fois rétabli, dire à tous les petits enfants que Jésus t’a guéri ? Tu feras tout ce qui est humain, n’est-ce pas ? Que Dieu te bénisse donc. Le voilà venir, un petit garçon…?… Je parle dans ce…?… maman, j’aimerais que vous regardiez. Cela deviendra physiquement sombre. Maintenant, voyez où ma main est…
Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur ce petit garçon. Nous savons qu’il n’y a pas pour lui de chance de se rétablir, de devenir normal, ou quoi que ce soit. Sa mère l’a amené. Ô Christ, aie pitié. C’est pratiquement sa dernière espérance. Sois miséricordieux, s’il Te plaît, Père. Nous savons, Père, que la foi est une ferme assurance des choses que l’on espère, une démonstration de celles que l’on ne voit pas. Puisse ce petit garçon retourner chez son médecin, et que le médecin dise : « Oh ! la la ! Que lui est-il arrivé ? Il se rétablit. » Ô Dieu, accorde-lui de passer de la mort à la vie.
Satan, quitte cet enfant. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je t’adjure, Satan. Le voilà partir…?… Maintenant, voyez-vous ce qui est arrivé à ma main ? De Minneapolis, à Minnesota. 
Redressez la tête, auditoire. Les médecins… Etait-ce à Mayo ? L’université de Minnesota. Les médecins l’ont abandonné. Il n’y avait pas d’espoir pour lui. Et elle l’a amené ici à Phœnix pour être guéri. Et aussi certainement que je me tiens sur l’estrade, le Dieu Tout-Puissant a touché le corps de ce jeune garçon…?…
Maintenant, écoutez, sœur. Ma main était rouge par endroits, couverte de zébrures, on dirait, il y a quelques instants. Est-ce vrai ? Ma main est-elle dans le même état, madame ? Avez-vous vu qu’elle a changé de rouge mousseux au blanc ? Avez-vous vu cela ? Très bien…?… Petit garçon, tu peux rentrer à Minnesota, je crois que tu vivras jusqu’à devenir un homme normal. Gloire au Seigneur… 
Si Ton serviteur… je Te suis reconnaissant, Dieu bien-aimé, de ce que Tu m’as montré cet après-midi ce qu’est Ta volonté divine ; après avoir passé cette année avec l’impression d’être en dehors de Ta volonté, en laissant ces gens apporter…?... « Guéris ma femme ». « Guéris ma fille. » Ô Dieu, désormais, je vais… avec Ton assistance, je suivrai ce que Tu ordonneras ; accorde-le, Seigneur. Que l’homme fasse ce qu’il pense être le meilleur, Père ; je suivrai Ta conduite. 
Maintenant, aide-moi à aller auprès de cette femme, Père, dans un esprit de douceur et réprimander cette puissance qui est en elle. Sale démon, sors de la femme au Nom de Jésus-Christ.
  45.    Oh ! louez le Seigneur, aimez-Le…?... Très bien, gardez vos têtes inclinées. D’où venez-vous ? …?... De la Californie…?... plusieurs années, m’entendez-vous bien ? …?...     M’entendez-vous maintenant ? …?... comme la femme qui était–qui était déterminée à entrer dans la ligne, est-ce vrai ? …?... Vous êtes Espagnole, il n’est pas étonnant que vous croyiez…?... je n’en ai jamais vu une faillir jusqu’à présent. C’est vrai. Eh bien, c’est vraiment bien. Maintenant, rentrez simplement chez vous et réjouissez-vous. Que Dieu vous bénisse, sœur…?... Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, vous pouvez dire : « Gloire au Seigneur. » Maintenant, observez, observez donc–donc maintenant la différence quand un homme cherche à faire des choses et quand c’est Dieu qui les fait.
Maintenant, inclinez la tête…?... Cette femme est sourde, totalement sourde…?...
Dieu Tout-Puissant, je Te prie d’être miséricordieux…?... cette femme qui vient ici maintenant pour être guérie de…?... se tient ici, sourde. Et, Père, je sens maintenant que Tu es proche, que les bénédictions me sourient et que maintenant notre sœur que voici peut être guérie. Ô Dieu Eternel, aie maintenant pitié, pardonne et oublie, Père, nous prions pour notre erreur, d’avoir osé faire de Ta Puissance l’objet de risée pour beaucoup d’incroyants. Tu n’as jamais guéri pour faire parade aux yeux de gens…?... ils doivent être guéris…?... en croyant…?... Tu n’as que… Tu ne peux pas sauver les gens…?... afin que Tu puisses les sauver. Tu les sauves parce qu’ils croient en Toi. Ô Christ, maintenant je Te prie de donner de la force et guérir cette femme. Toi, esprit de surdité, quitte cette femme. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ. M’entendez-vous ? [Frère Branham claque les doigts – N.D.E.] Pouvez-vous m’entendre ? M’entendez-vous…?...
  46.    Maintenant, très bien, nous aimerions prier pour un petit garçon ici…?... Père, j’impose les mains au petit garçon, je Te prie, Père, au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ de Nazareth. Amen. Croyez-vous maintenant, sœur…?...
Père, je prie pour cette petite fille, on l’a apprêtée pour que Ton serviteur prie pour elle. Je lui impose les mains, Père, comme Tu as enseigné que nous devons le faire. Et Tu as dit que la prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera. Et je Te prie de la guérir au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Croyez-vous, sœur ? Que Dieu vous bénisse. Ô Dieu, je prie pour ma sœur que voici, de Californie, qui a un épuisement général. Maintenant, je prie, Père…?... Je Te prie de…?... j’impose les mains à…?... Ô Dieu notre Père, je Te prie de la guérir de cette maladie qu’elle a…?... et je lui impose simplement les mains…?... je Te prie de la guérir au Nom de Jésus-Christ. Ô Père, je Te prie de guérir cet homme de sa…?... maladie. Nous Te prions de le rétablir…?... Je demande cette bénédiction au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen. Croyez-vous, monsieur ? Très bien. Ô Jésus, le Fils de Dieu, je Te prie de guérir ce petit garçon et de le rétablir, Père. Il a une infection, dit-on, et je Te prie de le guérir, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu te bénisse, petit garçon.
Père, je Te prie de guérir ce petit garçon, qui a été amené ici cet après-midi pour qu’on prie pour lui. Et je Te demande, ô Dieu, alors que je lui impose les mains, de le guérir et de le rétablir au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen…?...
  47.    Père, je Te prie de guérir mon frère et de le rétablir. Au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Ô Dieu, je Te prie de guérir cet homme… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] et de le rétablir, au Nom de Jésus-Christ, je prie. Amen. Ô Dieu, je Te prie de guérir ce garçon et de le rétablir, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ô Dieu, je Te prie de guérir cette femme et de la rétablir, Père, au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, je Te prie de guérir ma sœur et de la rétablir, Père, au Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen. Que Dieu bénisse…?...
Que–qu’est-ce qui ne va pas avec vous ? …?... Non, vous regardez ma main. Maintenant, que tout le monde soit vraiment respectueux, j’aimerais vous parler juste un instant. Ne quittez pas, c’est vraiment très capital, ne quittez pas maintenant. Encore environ deux minutes seulement…?...
Ô Dieu, je Te prie de guérir ma…?... Seigneur, et de la rétablir…?... Au Nom de Christ, je prie…?... Ô Dieu, je Te prie de guérir mon…?... Au Nom de Ton Fils Jésus-Christ. Ô Dieu, je Te prie de guérir mon frère, au Nom…?... Ô Dieu, guéris ma sœur. Je Te prie de la rétablir au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, je Te prie de guérir mon frère au Nom de Jésus-Christ. Ô Dieu, guéris mon frère, au… de Jésus-Christ. Ô Dieu, guéris mon frère…?... Ô Dieu, guéris ma sœur, au… Jésus…?...
Vous n’avez jamais…?... avez jamais été dans une…?... malade, au moins une demi-douzaine ou deux douzaines ou plus, extraordinaires là, s’accompliront, est-ce vrai ? Levez la main si c’est vrai, si c’est le cas. C’est bien. Eh bien, qu’est-ce qui a fait cela ? Je vous ai dit au commencement que je… Généralement, frère Kidson aime descendre prendre un groupe de malades et d’affligés, les placer devant ; amener les gens à avoir la foi, à croire en voyant ces miracles être accomplis. Est-ce vrai ? Vous avez tous vu cela dans des réunions. Et c’est ainsi que les gens se précipitent et cherchent à occuper le devant. Et j’ai promis à Dieu, ici devant vous tous, environ deux mille personnes, ici, je pense, ou à peu près, ou, je pense, mille cinq cents, mille huit cents environ.
  48.    Maintenant, écoutez, j’ai promis à Dieu, si c’est Sa divine volonté, qu’Il accomplisse tous ces miracles cet après-midi, pour tout celui qui viendra devant moi. Est-ce vrai ? Combien se souviennent que j’ai dit cela ? Qu’ils disent : « Amen. » Et je lui avais dit que si ce n’était pas Sa volonté, je le saurais désormais, et je ne le permettrais pas désormais à qui que ce soit de former des lignes de miracles, de venir devant la sal… venir premièrement devant moi. Combien m’ont entendu dire cela ? Dites : « Amen. » Et il n’y a qu’une seule personne qui est passée ici cet après-midi, et elle a été retirée de la ligne des miracles, quelqu’un l’en a retiré là, qui a été guéri de surdité. Est-ce vrai ? Eh bien, jamais de ma vie je n’ai vu cela auparavant.
Maintenant, avec l’aide du Dieu Tout-Puissant, je n’aimerais pas que quelqu’un m’amène une personne et dise : « Guéris cette personne », plus jamais. Dieu a permis cela aujourd’hui. Et combien ici m’ont entendu dire que l’Ange de Dieu m’avait rencontré à Vandalia, en Illinois ? Ce matin-là, j’avais témoigné devant les gens. Il s’est tenu là dans un grand arc-en-ciel au milieu de la pièce, s’était tenu là devant ces gens-là, et Il m’avait dit que je réduisais trop ce don de guérison à l’opération des miracles. Combien se souviennent m’avoir entendu dire cela ?
Très bien, j’ai tout bonnement continué à faire cela malgré tout, parce que les gens m’y poussaient, disant : « Occupe-toi de ceci et de cela. » Et jamais de ma vie, avant cet après-midi, je n’avais vu quelque chose se présenter devant le don de guérison sans être guéri. Mais je voulais m’assurer que j’accomplissais la volonté de Dieu. Il s’est donc fait qu’aujourd’hui, et Dieu sait que je ne serais pas assez hypocrite pour dire cela, je suis venu directement prêcher moi-même aux malades.
Mais Balaam, ces hommes lui avaient dit : « Viens, viens de toute façon. Maudis ces gens. Maudis ces gens. » Si le… et le… hier soir, je vous avais dit, la soirée avant celle d’hier, que l’Ange de Dieu s’était tenu dans la pièce où j’étais ; vous en souvenez-vous ? C’est suffisant pour moi comme témoignage, mes amis. Je n’aimerais pas que quelqu’un amène l’autre, disant : « Guéris tel, guéris tel autre. » Que Dieu rende témoignage…?... Très bien. Eh bien, c’est vrai.
  49.    Eh bien, le dimanche prochain, nous ferons passer la ligne exactement comme nous l’avions toujours fait. Et maintenant, écoutez, dans toute cette réunion, aujourd’hui, et il y a beaucoup de sourds qui sont passés ici, et des sourds, et cela, après que j’eus donné l’ordre à cela, même les vibrations ne quittaient pas, c’est vrai. Cela quittait, puis ça s’emparait d’eux et ça revenait. C’était juste un témoignage.
Maintenant, j’aimerais que les mêmes sourds-muets qui étaient ici aujourd’hui viennent dans la ligne le dimanche prochain, juste dans une ligne ordinaire, voyez. Revenez dans la ligne, juste une ligne ordinaire. Et que personne… rappelez-vous, que personne ne vienne vers moi me demander d’accomplir des miracles, plus jamais, voyez. Maintenant, Dieu a permis cela cette fois-ci, et vous en êtes tous témoins. Est-ce vrai ? Dites : « Amen. »
Il continuera à accomplir des miracles, mais pas pour ceux qui réclament les miracles. J’aimerais désormais être conduit par l’Esprit de Dieu sur ce que je fais, peu importe ce que frère Kidson ou n’importe qui d’autre dit à ce sujet. C’est suffisant comme témoignage pour moi et pour le Dieu Tout-Puissant. Pensez-vous que j’ai raison ? Si vous le pensez, levez la main…?... Je pense que maintenant je suis sur le point de pouvoir mettre les choses en ordre. Que Dieu Tout-Puissant bénisse et aie pitié.
  50.    Maintenant, amenez votre… ces mêmes personnes dans la ligne la semaine prochaine ou passer dans l’autre ligne afin qu’elles puissent êtres guéries. Mais que jamais personne ne me demande de venir guérir tel, guérir tel autre. Je laisserai le Saint-Esprit me dire sur qui m’arrêter et sur qui ne pas m’arrêter, est-ce vrai ? Amen. Maintenant, inclinons la tête pendant que je Lui demande juste un instant, s’il vous plaît. Soyez respectueux, ami, ne soyez pas irrévérencieux…?...
Père, je Te remercie aujourd’hui de ce que Tu m’as permis de croire Ta main puissante. Je comprends maintenant pourquoi Ton Ange était venu dans la pièce l’autre soir. Il était un Témoin, ô Dieu ; j’avais tort. J’ai tort depuis le temps même où…?... Maintenant, Père, pardonne Ton serviteur…?... Et à partir d’aujourd’hui, autant que je sache, je vais…?...
Et puis, aujourd’hui…?... voir si je devais garder tout, la ligne de prière, tout est ligne des miracles. Et nous T’avons parlé, ou nous T’avons plutôt demandé si Tu voudrais qu’on amène tout le monde ici et que Tu les guérisses, alors je continuerai et je n’aurai que des lignes de miracles. Mais si Tu ne guéris pas les gens dans la ligne des miracles, alors ce sera un signe que Tu vas les guérir en les laissant passer et croire…?... Or, l’Ange de Dieu m’avait dit qu’il arrivera qu’ils ne croiraient pas à moins qu’il y ait un miracle. Et Tes Paroles ont été confirmées. Dieu Tout-Puissant, pardonne-moi pour ma stupidité. Et je Te prie d’être avec moi maintenant et de m’aider tout au long du parcours à partir d’ici. Désormais, Père, je suivrai uniquement la conduite de Ton Esprit. Pardonne-moi, ô Dieu, aide-moi maintenant à aller de l’avant à partir de cette salle cet après-midi, sachant, devant des témoins, des milliers de gens ici, ou des centaines de gens plutôt, que Tu es ici et Tu as confirmé Ta Parole en ce jour devant tous.
Accorde-le, Père, et qu’on ait le dimanche prochain la plus grande réunion qui puisse jamais exister dans le futur, ou plutôt dans le passé, je veux dire. Et puis, Père, Ton glorieux Nom sera glorifié, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
  51.    J’aimerais savoir parmi ceux qui sont dans l’assistance, dans la réunion, combien pensent que ce que je fais est bien. Voici ce qui s’est passé. Il y a un peu d’agitation quand on cherche à occuper le devant, est-ce vrai ? Et de l’agitation, tout le monde cherche…?.... Désormais, Dieu, étant mon soutien, je garderai la même ligne, je la ferai passer là donc comme je le fais, en ordre. Je me tiendrai simplement là et je prierai pour les gens, et ils sont censés me croire ; et ils en sont arrivés à ne pas croire. Pourquoi les femmes sont-elles revenues ici et m’ont dit : « On n’a même pas prié pour moi », alors qu’elles étaient passées dans la ligne ? C’est parce qu’il ne s’était pas accompli de miracle. Et des centaines de lettres affluent dans mon secrétariat et il y est écrit : « On n’a même pas prié pour moi, je suis passé dans la ligne rapide. » Vous êtes censés croire, amis, et prendre Dieu au Mot.
Maintenant, allez-vous prier pour moi cette semaine ? Et le dimanche prochain, nous reviendrons et nous verrons le Seigneur guérir Son peuple. Que Dieu vous bénisse.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:17

La foi est l'assurance

1.    On apprête de nouveaux appareils pour l’enregistrement. 
C’est  à peine si nous savons chaque soir où nous serons. C’est vrai, je pense, le… environ le troisième déplacement en l’espace de ces quatre dernières soirées. Nous avons donc, je pense, un autre déplacement demain soir. C’est ça qui rend la chose très désagréable, juste ce genre de déplacement de lieu en lieu, et alors on peut à peine… C’est juste comme un nouvel endroit chaque soir et – et cela rend la chose très difficile.
            J’espère qu’un jour ou l’autre, quand je reviendrai à Oakland, eh bien, peut-être que nous pourrons obtenir quelque chose comme cet auditorium pour une ou deux semaines. C’est alors que nous pourrons avoir un vrai réveil et une véritable série de réunions. Ne le croyez-vous pas? Oui, je le crois, moi aussi. 
            Notre programme n’a pas été très régulier. Eh bien, je dirais ceci : Nous sommes ici juste pour une soirée ou deux, et la prochaine fois on sera à 100 miles[160km – N.D.T] plus loin. Juste au moment où nous recevons la chose, juste au moment où les gens sont établis à un point où ils peuvent commencer à voir l’action surnaturelle de Dieu, c’est alors que l’on interrompt la réunion pour aller quelque part à deux, trois, quatre cent milles [320, 480, 643km – N.D.T.] plus loin, pour recommencer; et juste au moment où les gens entrent dans l’étape du réveil où ils peuvent être guéris et où beaucoup de choses peuvent se produire... 
2.    Ainsi, je pense, qu’à mon retour du Canada, eh bien, avant d’aller au Mexique ou ailleurs, je pense que nous allons simplement aménager des lieux de réveils, rester un mois entier à un endroit ou quelque chose comme cela, afin de pouvoir vraiment amener les gens… Quand ils peuvent rester assez longtemps jusqu’à ce que certains pour qui l’on a prié com… commenceront à arriver et que les rapports nous parviendront, disant que les gens sont guéris, les gens sont guéris, comme cela, et les témoignages allant…
            C’est comme dans ma propre ville, Jeffersonville, dans l’Indiana. Eh bien, là-bas, il n’y a rien. Oh! la la! Aussitôt que nous arrivons dans la ville, des centaines de gens affluent de partout parce qu’ils ont… ils sont… On est installé à un seul endroit; on n’est pas en mouvement comme c'est le cas maintenant.
3.    Et puis, mes amis, ça fait environ six mois que je suis en déplacement jour et nuit. Aujourd’hui j’ai passé une merveilleuse journée, seul avec Dieu. Personne n’était là, sinon le Seigneur et moi. Et je deviens plus calme quand je reste seul. Maintenant, il me reste encore cinq réunions avant de prendre mon repos ; encore cinq réunions. Et puis, au mois de mai, il me faut prendre tout un mois, aller dans les Rocky Mountains [les montagnes rocheuses – N.D.T] oh! la la! où je serai, où vous recevez on dirait… J’aime être seul avec Dieu. C’est ainsi que… que je Le trouve très précieux pour moi. Et puis, je reviendrai alors pour commencer par le Canada… 
4.    Maintenant, nous n’avons pas beaucoup de temps. A quelle heure devez-vous fermer l’auditorium? Vingt-trois heures? Je pense qu’ils ont dit qu’ils ferment l’auditorium à vingt-trois heures. 
            Ainsi, ce soir, je désire vous parler juste pour… juste consacrer un peu de temps à enseigner la Parole de foi, afin que vous sachiez comment vous approcher de Dieu. 
            Il y a beaucoup de ces grands et profonds sujets sur lesquels les gens prétendent beaucoup connaître. Et quand on en arrive à la confrontation finale, ils n’en savent pas grand-chose. Eh bien, c’est vrai. Et nous allons découvrir quelques-unes de ces choses ce soir. 
            Et à propos, après demain soir, à l’autre auditorium, j’aurai à donner un petit aperçu de l’histoire de ma vie. C’est au cas où vous aimeriez l’entendre. Aimeriez-vous entendre cela? Faites voir les mains. C’est – c’est vraiment bien. Avez-vous indiqué l’emplacement de cet auditorium? 
5.    [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… afin que vous ayez une idée précise, car je veux que vous soyez guéris. C’est pour ça que je suis ici. Je… C’est pour moi un grand sacrifice que d’être ici, mes amis. J’ai un foyer, une famille et je suis novice, je ne suis qu’un… un bébé dans le ministère. Ça ne fait que quelques mois depuis que j’ai reçu le don de guérison. 
            Je n’ai pas… Je ne…?… pas propriétaire, je vis juste dans deux pièces, dans une maisonnette, en forme de L. Ma femme puise de l’eau à quelque chose comme, presque la moitié d’un pâté de maisons. Elle en ramène encore de la maison. On m’a offert de belles maisons dans d’autres villes où l’on me dit : «Je vous bâtirai une maison d’une valeur de cinq mille dollars, juste pour vous l’offrir comme cadeau.»
6.    Mes amis, ce n’est pas l’argent qui m’intéresse moi. Je – je suis – j’aurais souhaité ne devoir même jamais y penser. Et c’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre vous m’envoient… m’offrent des cadeaux, je – je ne les prends pas; parce que ce n’est pas votre – votre argent qui compte, j’ai besoin de votre confiance. Je – je suis ici pour votre guérison.
7.    Et comme je le disais concernant mon petit foyer, ma femme et mes deux enfants, j’aurais – j’aurais aimé être avec eux ce soir. Juste maintenant, il est vingt-trois heures, cette petite créature fidèle est à genoux, en train de prier pour moi maintenant. Elle sait que c’est à peu près à ce moment que le service commence. Ma gentille et brave mère, elle est en train de prier pour moi. Le petit garçon dont la mère était morte alors qu’il n’avait que deux ans, est en train de prier pour moi. Et d’une façon ou d’une autre, quand je monte à la chaire, je sens que leurs prières seront exaucées. Et je sais qu’Il est ici. 
            Vous ne savez combien j’aimerais les voir ce soir. Quand je les quittais à l’aéroport, pour venir, il y a quelques mois, ils s’accrochaient à mon manteau et pleuraient. Le médecin qui fréquente mon église m’a dit que je ne vivrai qu’une année de plus. Il a dit qu’au rythme où j’allais, je tomberai mort de crise cardiaque un soir à la chaire. Et mon petit garçon a peur de cela, il ne fait donc que pleurer, disant : «Papa, ne pars pas.»
8.    Mais il y a quelque chose qui me pousse vers les malades et les affligés. Et, mes amis, je ne peux vous aider que si vous croyez en moi; c’est le seul moyen pour moi de pouvoir faire quoi que ce soit pour vous. 
            J’aimerais donc être là ce soir. Vous ne savez combien j’aimerais… Beaucoup parmi vous savent ce que c’est que d’être loin de la maison, n’est-ce pas? Mais je…C’est… Je dis que c’est juste une petite cabane. Mais on n’a pas besoin d’une grande maison pour se faire un foyer. C’est le caractère à l’intérieur qui fait un foyer. Et je suis reconnaissant d’avoir un foyer. 
            Ainsi, que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi et je vous en dirai davantage après demain soir. 
9.    Et maintenant, ce soir, mes amis, s’il vous plaît, gardez les petits enfants aussi patiemment que possible, et vous, faites de même. Accordez-moi toute votre attention juste pendant quelques instants, et je vais essayer de vous expliquer, au mieux de ma connaissance, la raison de ma présence ici ce soir, et comment vous devez vous approcher de Dieu pour recevoir votre guérison. 
            J’ai beaucoup souffert et je sais ce que c’est qu’être malade. Et je – je veux vous aider. Et je ne le peux que si vous croyez. 
            Je souhaite saisir cette occasion tout de suite… j’ai tant de choses à l’esprit, et je suis fatigué et épuisé. Mais j’aimerais remercier le ministre, son nom m’échappe, celui qui nous a permis, je pense, d’avoir cet auditorium ce soir, sacrifiant ses services, le Révérend Jack Walker. S’il est dans l’assistance, Frère Walker, que Dieu vous bénisse, mon frère, vous et votre… qu’Il fasse de vous… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
10.    … Père, nous sommes très reconnaissants de cette nouvelle occasion que nous avons ce soir de nous tenir devant Ton aimable peuple pour lui parler du jour et de l’heure où nous vivons, juste avant la venue de Ton Bien-aimé Fils pour enlever une Eglise, un peuple appelé à sortir, qui est lavé dans le Sang, né de nouveau et prêt à aller à la rencontre d’un Dieu saint, le Sang du saint Christ de Dieu leur servant de pont.
Bénis-nous ensemble ce soir, pendant que nous nous attendons à Ta Divine Présence. Et puisse l’Ange que Tu as envoyé dans la pièce cette nuit-là pour parler à Ton serviteur, la raison même de notre présence ici ce soir, puisse-t-Il se tenir à la chaire à côté de Ton humble serviteur ce soir pour confirmer chaque parole qui est prononcée. Et que de grands miracles et prodiges accompagnent cela. 
            Père, bénis le ministre, frère Walker, qui nous a donné cet auditorium ce soir. Que lui et les siens soient bénis. Donne-lui du succès dans Ton ministère, une branche portant du fruit. Et qu’il ait beaucoup de trophées à déposer à Tes pieds, en ce glorieux jour-là. Bénis le ministre qui a parrainé ce programme ici dans cette ville, frère Moss, tous les autres ministres, les collaborateurs. Ô Dieu, que leurs églises soient des flammes de feu, des témoignages pour la gloire de Dieu, en ces derniers et mauvais jours où nous vivons sous les ombres, juste avant la Venue du Juste. 
            Oh! parle au peuple ce soir, Père, d’une façon remarquable. Et qu’il y ait la foi et que le Saint-Esprit étende Ses ailes de part et d’autre de cet auditorium ce soir. Et que la vertu vienne de telle sorte que beaucoup, beaucoup de grandes guérisons miraculeuses soient accomplies, afin que Sa renommée soit répandue partout dans toutes les régions de la Côte Ouest de cet hémisphère. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen. 
11.    Maintenant, mes amis, comme je l’ai dit, nous nous sommes déplacés tant de fois. Je pense que beaucoup d’entre vous ici n’ont même jamais appris comment le don de guérison divine est venu. Mais la seule chose que je veux que vous fassiez ce soir, c’est de me croire. Si vous croyez, vous verrez la gloire de Dieu, j’en suis sûr. Le succès n’a pas été comme je l’espérais, dans les quelques dernières soirées, bien que les estropiés, les affligés, les sourds, les muets, les boiteux… Mais ça semble très lent, depuis que nous avons atteint la Côte Ouest.
            Frère Charles Fuller me parlait quand nous étions là à Long Beach, et il m’a parlé, disant : «Frère Branham, a-t-il dit, la raison pour laquelle, a-t-il dit, cette Côte Ouest ici a tout au nom de la guérison divine, a-t-il dit, il y a des adorateurs de Blue Flame, les adorateurs de Father Divine et tout, le tout au nom de la guérison divine.» Il a dit : «C’est une grande pierre d’achoppement.» Eh bien, cela …C’est peut-être ça, mes amis, je ne sais pas ; mais cela n’empêche pas la puissance de Dieu de guérir.
12.    [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]…de l’adoration et le Guérisseur divin. Et maintenant, personne ne peut accomplir un miracle en Son Nom et parler de Lui à la légère. C’est ce qu’Il a dit. Si donc quelqu’un amène les gens à être guéris, j’en suis reconnaissant, mais je crois vraiment de tout mon cœur, alors que nous abordons le sujet ce soir, que vous, peut-être si Dieu nous aide, que vous saisirez la vision et vous verrez ce que sont réellement le jour et le temps dans lesquels nous vivons. Et alors, vous verrez et vous croirez. 
13.    Que Dieu nous aide, alors que je lis une portion des Ecritures maintenant. Là, dans l’épître aux Hébreux, au chapitre 11, nous allons commencer à lire les trois premiers versets. Ecoutez très attentivement, car mes paroles ne sont que les paroles d’un mortel, elles failliront, mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle est toujours vraie.
or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. 
Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable. 
C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde à été formé par la Parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit…a… été fait de choses visibles. 
C’est par la foi, qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à ses dons; et c’est par elle… parle encore, quoique mort.
14.    Le système de sonorisation est un peu fort… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Très bien, maintenant je pense que cela peut aller un peu – un peu mieux, en quelque sorte, cela produit un écho à partir de… Très bien.
 Maintenant, je voudrais tirer mon texte du chapitre 3, plutôt du verset 3, et de la dernière… l’une des dernières phrases : «Dieu rendant témoignage à ses dons». Et maintenant, mon sujet se trouve au chapitre 1, ou plutôt au verset 1 (Excusez-moi), au verset 1 : «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» 
15.    Le jour dans lequel nous vivons, c’est un jour qui est caractérisé par une paix instable et un repos instable partout. Les gens courent ça et là, cherchant tout ce qu’ils peuvent chercher. Presque tout le monde peut se faire des adeptes; peu importe ce qu’on enseigne ou ce qu’on pense, quelqu’un l’écoutera. Et c’est un jour dont les prophètes ont parlé. 
            Les gens, quand ils ont faim, ils mangeront n’importe où. Quand les enfants et les gens crèvent de faim, ils mangeront dans une poubelle, alors qu’avant ils mangeaient à une belle table. Mais s’ils ont faim, ils mangeront quelque part. Je pense donc que les vrais et authentiques ministres de l’Evangile devraient être à l’œuvre; ils devraient donner aux gens des bonnes choses, la nourriture au temps convenable. 
16.    Maintenant, mon sujet concernant… Comme je vous l’ai affirmé, je ne suis pas un prédicateur, j’ai seulement le don de guérison, que je confesse humblement provenir de Dieu. Je ne suis pour rien quant à la venue de ce don. J’étais… cela a été préordonné par Dieu il y a des années et des années. Je n’y suis pour rien… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … la terre qui a produit cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] 
17.    C’est ça la clé des Ecritures. La foi, celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu.
            C’est par la foi que ce monde a été créé. C’est par la foi que les choses ont été formées et amenées à l’existence. Dieu a simplement vu cette goûte de rosée pendre là dans les airs, peu m’importe comment vous voulez l’appeler. Et Il a tout simplement parlé et Il a dit : «Que la lumière soit.» Et la lumière fut. Et ensuite Il a manifesté la terre, Il l’a séchée et tout le reste. Tout cela a été créé par Dieu au moyen d’un acte de foi. C’est par la foi que tout l’univers a été créé. 
            C’est par la foi que vous êtes ici ce soir. Beaucoup d’entre vous, vous avez dit à vos employeurs que vous retournerez demain au travail. Comment savez-vous que vous le ferez? Vous avez dit à votre femme : «Je serai à la maison après le service.» Comment le savez-vous? Vous avez peut-être dit à quelqu’un de venir vous prendre en taxi à vingt-trois heures. Comment savez-vous que vous serez ici? Il se peut que vous vous retrouviez dans l’Eternité avant vingt-trois heures ce soir. Voyez? Mais tout cela, c’est par la foi. Tout, c’est par la foi.
18.    Eh bien, beaucoup de gens parlent de ce sujet, la foi, mais ils n’en savent pas grand-chose. Maintenant, écoutez mes amis, je – je vous aime et je veux que vous compreniez ceci. Il y a tellement de gens qui parlent de la foi, qui ne connaissent pas un seul principe de la foi. Maintenant, nous sommes ensemble, vous et moi; peut-être que nous ne nous rencontrerons plus jamais de ce coté-ci de l’Eternité. Mais je… si j’avais un lieu où nous pourrions rester ensemble, et où je pourrais exposer progressivement la chose jusqu’au point où vous pourriez comprendre cela plus clairement que maintenant, en effet, beaucoup d’entre vous vont penser… Et vous êtes…probablement beaucoup auront de moi une fausse impression ce soir, pendant que j’essaye de mon mieux de vous apporter ceci, et vous penserez que je me glorifie, mais ce n’est pas ça, mes amis bien-aimés. C’est pour votre bien, si seulement je peux vous amener à voir ce que – ce que Dieu a fait pour vous.
19.    Eh bien, certains – beaucoup de gens passent dans la ligne, et ils disent : «Oh! J’ai la foi pour être guéri.» 
            Et, mes amis, quand ils y passent, je sais qu’ils n’ont pas assez de foi pour guérir d’un mal de dent. C’est vrai. Et certains passent ayant le cancer, et ils disent : «J’ai la foi pour être guéri.» Ils n’ont pas la foi. 
            Ce soir, ma leçon sur les Ecritures c’est : La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez, c’est une ferme assurance. C’est quelque chose de précis, quelque chose que vous possédez réellement. Ce n’est pas quelque chose que vous imaginez ni quelque chose que vous pensez avoir, mais c’est un acte réel et précis que vous avez. Voyez-vous ce que je veux dire?
20.    Eh bien, il n’y a pas longtemps… Je vais vous raconter une petite histoire sur quelqu’un qui est venu afin que vous voyiez ce qu’est la foi. La foi est un don en soi. Vous pouvez en avoir une portion, mais il y a un don de foi. 
            C’est juste comme certains parmi vous qui oignent les malades, et prient pour eux, et vous obtenez un résultat. Ce n’est pas là un don de guérison, cela est une portion de foi. Mais cela n’est pas un don personnel de guérison, car il n’y a qu’un seul don personnel de guérison ; il n’y a qu’un seul don personnel de foi, il n’y a qu’un seul don personnel de – de miracles et autres. Il y en a eu dans les Ecritures, les Apôtres en avaient. Et beaucoup… ils ont fait de puissantes œuvres de… Philippe et tous les autres… Mais cela était un don de guérison. 
21.    C’est comme quand nous quittons la ville, comme beaucoup de gens disent… J’ai remarqué à certains endroits, après mon départ, certains d’entre eux, peut-être quinze ou vingt, disaient : «Le Seigneur m’a donné le don de guérison.» Eh bien, que Dieu bénisse leurs cœurs. 
            D’autres disent : «Frère Branham, voulez-vous m’imposer les mains pour que je reçoive le don de guérison?»
            J’aurais souhaité le faire, j’aurais aimé faire passer chacun de vous dans cette ligne ici ce soir; et je dirais qu’il n’y aura plus un seul malade d’ici quelques semaines à Oakland. C’est vrai. Mais ce n’est pas à moi de le donner; c’est… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
22.    La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Prenons cette portion de l’Ecriture «une ferme assurance des choses qu’on espère». 
            Il y a trois choses : L’espérance, la charité et la foi. Est-ce vrai? Eh bien, l’espérance est un élément, la foi en est un autre, et la charité en est un autre. La charité, c’est l’amour. 
            J’ai vu beaucoup de gens passer, des gens aimables, de vrais chrétiens, mais ils n’avaient pas assez de foi pour être guéris, et un pécheur passe et il a la foi pour être guéri. Voyez? 
            C’est un tout autre élément. Il ne s’agit pas de votre bonne façon de servir Dieu ; c’est un – un élément que vous possédez vous-même. Maintenant, je veux que vous compreniez ceci, parce que c’est pour votre bien. 
23.    Il y a quelques semaines, quelques mois plutôt j’étais chez moi pour quelques nuits. Et, oh! la la! à peu près trois cents personnes s’étaient rassemblées dans la maison et dans la cour ce jour-là, et vers deux heures du matin, ma femme m’a amené au lit. Et pendant que j’étais étendu en travers du lit, oh ! la la! – mes jambes ont eu des crampes et ont été endolories.
            J’étais couché là, et j’ai entendu un véhicule s’approcher par-devant. Et j’ai dit : «Oh! la la! quelqu’un arrive.»
            Et elle a dit : «Eh bien, écoute, je vais à la porte.» 
            Et pendant qu’elle se dirigeait vers la porte je me suis endormi.
            Et j’ai entendu quelqu’un dire : «Eh bien, ça fait longtemps depuis que l’enfant est malade.» Et un petit bébé pleurait au point que ses cris n’avaient même plus rien d’humain, c’était quelque chose comme … vous qui lisez mon petit livre intitulé ‘La vision céleste’… Combien dans – dans l’auditoire ont lu cela? Voyons. La vision céleste. Voyez, quelque chose de ce genre. 
            Ce tout petit enfant, il avait environ huit, dix semaines. Et il était – il n’arrêtait pas du tout de pleurer. Et la mère a dit : «Eh bien, j’ai – je… nous avons voyagé toute la journée et toute la nuit pour arriver ici. Elle a dit : «Nous avons vu où il … Frère Branham devait être à la maison et nous avons amené le bébé.»
24.    Oh! la la! le pauvre petit. Je ne pouvais pas dormir. Et je suis sorti là et j’ai prié pour le petit bébé. Puis, je me suis assis, et là dans le fauteuil juste un instant, je m’entretenais avec la mère. Ils venaient de loin, du Nord de l’Ohio. Et pendant que nous étions assis là, mes amis, le petit a cessé de pleurer. Il avait donc pleuré jour et nuit. Oh! Pour moi cela vaut plus que tout l’argent du monde. 
            Et là, j’ai jeté un coup d’œil, et la mère s’est mise à pleurer, de très grosses larmes dégoulinant sur la petite couverture. Le vieux papa, assis là en salopette, avait probablement dépensé une bonne partie de ses revenus pour venir, il s’est approché et m’a entouré de son bras, il a dit : «Je vous aime, Frère Branham.» 
            Oh! la la! un des meilleurs cœurs qui aient jamais battu, était sous une vieille chemise bleue. C’est vrai. 
25.    Il ne s’agit pas de votre façon de vous habiller; ce qui compte, c’est ce qui est en vous. C’est exact. Et là, je savais qu’il était sincère là-dessus, Ce n’était pas de l’hypocrisie. Il le disait du fond de son cœur, il m’aimait. Et j’ai regardé le petit bébé, et la mère, quand je suis entré dans l’autre chambre, elle était [Espace vide sur la bande – N.D.E.] il ne faisait que nous sourire. Et mes amis, cela vaut tout, n’est-ce pas? C’est vrai. Cela vaut tout. Et ensuite ils ont dit… Ma femme a dit : «Eh bien, je vais vous apprêter du café ou quelque chose, si vous le désirez.»
            Et ils ont dit : «Eh bien, nous allons attendre un petit moment.» 
            Et ma femme a dit : «Eh bien, alors…»
            «Je vais vous dire quoi, ai-je dit, je vais m’étendre sur ce fauteuil, et laisser la mère et les autres aller au lit pour dormir un tout petit peu.»
26.    Et ainsi, nous leur avons donné un lit, et moi, je me suis installé dans un fauteuil pour essayer de me reposer jusqu’à l’aube. Et juste à ce moment-là, une autre voiture est arrivée, et un jeune homme s’est avancé jusqu’à la porte. Et il a dit : «Frère Branham?»
            J’ai dit : «Oui.» Je cherchais à me réveiller.
            Il a dit : «Je sais que vous avez vraiment sommeil.»
            J’ai dit : «Oui.»
            Il a dit, il m’a parlé, disant : «Je viens de Morengo, dans l’Indiana» Il a dit : «Ma jeune sœur se meurt de l’appendicite ; il faut qu’elle soit opérée ce matin» Il a dit : «Voudriez-vous venir auprès d’elle?»
            Eh bien, cette… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… et dans ma vieille bagnole Ford, qui m’attend là à Houston, dont tout le côté était bosselé par mes genoux, à l’endroit où je cognais mes genoux comme cela, essayant de rester éveillé, pendant que j’allais prier pour les malades. Je quittais une réunion pour aller à une autre. Et je suis entré dans le champ, avec ma main hors de la portière de la voiture, disant : «Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse», profondément endormi. 
            Jamais je n’oublierai le jour où, venant de Houston, je – il y avait… j’ai entendu une voiture klaxonner et je me suis rendu compte que j’étais du mauvais côté de la route, seulement je ne pouvais pas me réveiller. Voyez?
            J’avais passé là quinze jours et quinze nuits à prier pour les malades et voyant des choses merveilleuses. Mais, oh! la la! mes amis, si ma vie s’écourtait, quelqu’un d’autre peut-être pourra subsister, à cause de ma mort.
27.    Et cet homme m’a dit, ce jeune homme, il a dit : «Ma jeune sœur…», il m’a dit qu’il était membre d’une église. Je ne mentionnerai pas le nom ici, parce que ce n’est pas indiqué, je ne critique la religion de personne. Et de toute façon, cette église est mon pire ennemi. Ils prétendent que la guérison divine et le reste, ça n’existe pas. 
            Et j’étais à mon église, l’église Baptiste de Milltown, où j’étais allé tenir un réveil. Beaucoup d’entre vous ont vu dans le petit livre intitulé «Jésus Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement.» 
            Il y avait là une jeune fille qui pesait 47 livres [environ 25,5 kg – N.D.T], elle avait 27 ans et pesait 47 livres; elle répondait au nom de Géorgie Carter, elle avait la tuberculose, et elle était membre de cette même église. Et elle disait que, les voisins disaient : «Que…» Elle était restée couchée sur son dos, neuf ans et six mois. Et les gens disaient : «Qu’elle se rétablisse, et nous croirons cela.» 
            Mais, mes amis, ce soir elle est ma pianiste dans l’église Baptiste de Milltown. Mais est-ce que les gens croient? Non, même si quelqu’un ressuscitait des morts, ils ne croiraient pas. 
28.    Et à propos, un homme qui gisait à la morgue, déclaré mort par trois médecins au moment où je suis entré là où il se trouvait, ce soir il conduit une locomotive en Pennsylvanie, et les gens ne croient toujours pas. C’est vrai. C’est vrai. Ils ne veulent pas croire.
            L’heure est arrivée où les yeux des gens sont tellement aveuglés par les soucis du monde et d’autres soucis qu’ils ne voient même pas Dieu. Il est juste au milieu d’eux et ils passent à côté, comme il en était au temps de Christ, ils ont manqué de Le reconnaître. 
29.    Et alors, cette dame, ou plutôt cet homme m’a demandé : «Voudriez-vous venir?» 
            J’ai dit : «Oui, monsieur.»
            Il a dit : «Peut-être que je ferais mieux de vous y amener.»
            J’ai dit : «Non, je m’efforcerai de rester éveillé.»
            Et ma femme s’est mise à pleurer, disant : «Eh bien, chéri, tu vas t’endormir quelque part.»
            Et je suis monté dans ma vieille voiture et je me suis mis à rouler à petite vitesse, j’ai dit : «Je vais le surveiller.» En allant, je me pinçais et me mordais les doigts, et je prenais de la salive et m’en essuyais les yeux et que sais-je encore, m’efforçant de rester éveillé. Je sais que cela a l’air très peu hygiénique, mais je – je faisais tout pour essayer d’atteindre cette enfant-là.
30.    Et nous avons parcouru environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] sur une vieille route, là loin, dans une municipalité rurale, et là était couchée une jeune fille âgée de – d’environ huit, dix-sept ou dix-huit ans. Et elle était couchée là dans un état terrible. Quand je suis entré dans la chambre, elle était très nerveuse et elle a demandé : «Oh! Est-ce vous frère Branham?» Elle a dit… 
            J’ai dit : «Croyez-vous, sœur?»
            Elle a dit : «Oh! oui, je crois.» 
            Elle a dit : «Je – je – je crois.» Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église.» Elle était membre de la même église que Géorgie Carter. 
            Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église, moi je crois. Je crois.»
            Et alors, ils… cet homme, le père, est venu à ma rencontre, m’a serré la main, et il … il m’a conduit vers le lit, et a dit : «Monsieur, a-t-il dit, elle va être opérée ce matin.» Et il a dit : «Elle est… Nous craignons qu’elle ne soit en mesure d’effectuer le voyage.» Il a dit : «Nous devons l’amener jusqu’à New Albany, dans l’Indiana.» Ça faisait environ 40 miles [64 km – N.D.T.] jusqu’au premier hôpital. Et elle avait environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] à effectuer dans la campagne, juste oh! la la!… Juste une zone non cultivée de part et d’autre d’une clôture[en anglais «fence row» – N.D.T.], on y descend comme ça, là où des camions effectueraient presque un voyage pour y descendre. Eh bien, je – j’ai assisté et aidé dans des opérations et… 
31.    [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … et c’était … Je savais que cette enfant ne pouvait pas arriver à l’hôpital; qu’elle mourrait avant d’y arriver. Il se peut qu’il y ait des médecins assis ici maintenant, il y a généralement des médecins qui viennent suivre les réunions. Et son côté était enflé et avait rougi, l’appendice s’était rompu et était prêt à éclater à tout moment.
            Eh bien, souvent j’ai accompagné le Docteur Adair, le médecin de notre ville, celui qui fréquente mon église. Et on faisait l’opération, et on faisait une – une incision. Et quand cela éclatait et se répandait sur la table, alors – alors, parfois, on fait sortir les intestins, et on les asperge et on les nettoie afin d’éviter la péritonite et on fait une incision en forme de V et on y installe un tube pour faire le drainage. Parfois, les gens étaient guéris.
            Mais cette enfant-là ne pouvait pas… Cet appendice aurait éclaté, et elle avait encore 30 miles [48 km – N.D.T.] ou plus de route à parcourir. Et elle serait morte avant d’arriver là.
32.    Eh bien, mes amis, cette jeune fille me regardait et elle a dit : «Oh!, Frère Branham, pensez-vous que je vais survivre?»
            Et j’ai dit : «Je le crois.» Mais, elle a dit… j’ai lui ai demandé : «Maintenant, croyez-vous?»
Elle a dit : «oh! oui oui, je crois. Bien sûr, peu m’importe ce que mon église dit. Je – je crois. Géorgie Carter était guérie.» Elle a dit : «Moi aussi, je serai guérie. J’ai peur de l’opération.»
            Voyez, juste comme cela. Des voisins s’étaient rassemblés là. 
33.    Maintenant, écoutez, voici où je veux en venir avec vous maintenant là-dessus. Cette fille pensait qu’elle croyait, juste comme beaucoup d’entre vous qui passerez dans cette ligne, ce soir. Vous pensez que vous croyez, mais elle ne croyait pas. 
            Maintenant, beaucoup d’entre vous ont des problèmes gynécologiques, et peut-être, juste l’une ou l’autre chose qui… peut-être des ulcères d’estomac. Et il vous – vous faut prendre votre… Vous avez peut-être un peu de temps. 
            Mais pour cette fille-là, il y avait une urgence. Sa vie était en danger. Quelque chose devait être fait. J’ai alors dit : «Sœur, je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments, mais vous – vous ne croyez pas.»
            Eh bien, c’est juste comme le frère le dit ici, quand vous avez la tête haute, peu importe où vous vous trouvez dans le bâtiment… Je ne dis pas ceci, mes amis, n’oubliez pas, je vous le dis uniquement pour votre bien. Ce n’est pas moi, mais c’est Dieu. Je sais quand vous faites la grosse tête, je le sens. Que vous soyez derrière moi, où que vous soyez, c’est comme la nuit dernière, il y avait une dame assise là, derrière moi, faisant la grosse tête. Je le savais tout le temps. Ainsi donc, c’est entre Dieu et l’individu, vous voyez. Je n’y peux rien. Ils – ils font obstacle aux gens. Plusieurs fois, des choses sont bloquées. 
34.    Ainsi donc, cette fille a dit : «Oh! Je crois, je crois, Frère Branham.» Eh bien, elle pensait qu’elle croyait. 
            Maintenant écoutez, elle avait de l’espérance. Mais la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire? 
            Maintenant, j’ai dit : «Sœur, c’est un cas ordinaire, ai-je dit, je vais prendre un peu de temps et vous accorder une possibilité de recevoir peut-être une grande foi et vous en tirer grâce à cela ; mais il vous faut avoir une attention soutenue, maintenant même. Car je vais être sincère avec vous : vous ne survivrez pas jusqu’à voir l’hôpital.» 
            Or, les parents n’avaient pas beaucoup apprécié cela en ce moment-là. Mais je préférerais être sincère avec vous, vous faire savoir la vérité… Ne préféreriez-vous pas que je sois sincère avec vous?
            Et rappelez-vous, mes amis, je ne combats pas contre la chair et le sang; c’est une puissance spirituelle. Je dois être sincère devant le Dieu Tout-Puissant. Voyez? Ainsi, étant donné que je sais le danger qu’il y a pour ma propre vie, et non seulement pour la mienne, mais pour la vôtre… Et alors, elle a dit qu’elle – qu’elle croyait, mais elle ne croyait pas.
            «Eh bien, ai-je dit, maintenant, écoutez.» Maintenant, je veux que vous remarquiez ceci, et je veux que vous soyez très attentifs maintenant pour saisir chaque mot, afin que l’on puisse partager cela, un petit quelque chose que Dieu a permis là. Et je verrai si vous avez la foi. J’ai dit : «Sœur, vous n’avez pas la foi.»
Elle a dit : «Oh! Révérend Branham, j’ai la foi pour croire toute chose.»
35.    [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] … Si vous avez la foi, je voudrais vous demander quelque chose pour vous démontrer plutôt que – que vous n’en avez pas. 
            Maintenant écoutez ceci et saisissez-en chaque parole. Il y avait dans la pièce un fil qui pendait à un chandelier, et au bout de ce fil se trouvait un petit bracelet et cela avait… C’était un bracelet blanc avec de petits objets rouges à l’intérieur et avec lequel un enfant jouait probablement, vous savez, en balançant cela dans la chambre. Peut-être que certains d’entre vous calment leurs propres enfants de cette manière-là, en balançant quelque chose autour comme cela, pour jouer avec, pour les amuser.
36.    Et j’ai vu ce petit bracelet qui pendait. Il était… J’ai dit à la jeune dame, j’ai dit : «A quelle distance vous trouvez-vous de ce bracelet-là?» 
            Elle a dit : «Prob… à peu près à quinze pieds [quatre mètres et demi – N.D.T.] »
J’ai dit : «Maintenant, vous tous, les adultes qui êtes ici, vous tous, tournez simplement le dos vers moi.»… J’ai dit : «Eh bien, rien ne sera fait pour blesser qui que ce soit. J’ai dû simplement parler à cette fille parce qu’elle devait en fait saisir la pensée.»
            Et c’est la raison pour laquelle j’aborde ces choses avec vous ce soir. Nous avons encore deux soirées et quelque chose doit être fait. Voyez-vous? Maintenant, je ne veux pas que vous alliez dire quelque chose de faux à ce sujet, car vous aurez peut-être à en répondre au jugement.
            Et j’ai alors dit : «Quelque chose doit être fait tout de suite.» Et j’ai dit: «Maintenant, vous les parents, tournez simplement le dos.»
            Et quelques voisins étaient assis avec elle, et ils m’ont tous tourné le dos, et ils ont tourné leurs chaises. Je me suis adressé à la jeune dame, j’ai dit : «Maintenant, vous m’avez dit que vous avez la foi pour tout croire.» 
            Elle a dit : «Oui, monsieur.»
            «C’est depuis quand que vous avez mangé?» 
            Et elle a dit : «A peu près trois jours.» Elle a dit : «Je ne peux même pas garder l’eau dans mon estomac.»
            Et vous connaissez ce que c’est que l’appendice, et elle faisait aussi la fièvre. 
37.    Et j’ai dit : «Maintenant, si vous croyez de tout votre cœur et que vous me prouvez maintenant que vous avez la foi… Maintenant regardez tout droit à ce bracelet ;» et ça pendait là à mi-hauteur, «et faites balancer cela sans arrêt dans la pièce. Faites donc balancer cela d’avant en arrière dans cette pièce, et puis arrêtez-le. Et je croirai que vous avez la foi.»
            Elle a dit : «Oh! Frère Branham, a-t-elle dit, oh! la la! pourquoi me demandez-vous pareille chose?»
            J’ai dit : «Je voulais voir si vous aviez la foi.»
            J’ai dit : «Jésus a dit : ‘Tout est possible si vous croyez’.»
38.    Eh bien, mes amis, ça c’est de la foi pure. Les magiciens utilisent souvent cela pour jouer des tours et tout, faire éclater des verres et tout. Cela s’accomplira si vous croyez. Mais j’essaye de fonder votre – la pensée sur la foi, afin que vous sachiez de quoi je parle. Et je veux que vous restiez maintenant tranquilles, pour comprendre cela. Réveillez-vous afin que, quand j’aurai terminé avec ceci, vous sachiez ce qu’il en est. 
39.    Alors elle a dit : «Eh bien, Frère Branham, personne ne peut faire ça.»
            J’ai dit : «Oh! si, tout celui qui croit le peut.» 
            Et elle a dit : «Eh bien, je ne crois pas que quelqu’un puisse faire cela.»
            J’ai dit : «Je pensais que vous aviez dit que vous croyiez pour toutes choses.»
            Voyez-vous comment elle s’est fait prendre là même? J’ai dit : «Vous avez dit que vous croyiez toutes choses. Je veux que vous le prouviez.» 
            Et elle a dit : «Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un qui puisse faire cela. Ça, c’est matériel, Frère Branham.» Elle a dit : «Pouvez-vous le faire?»
            J’ai dit : «Oui, madame.» 
            Et elle a dit : «Eh bien, puis-je vous voir faire cela?»
            J’ai dit : «Si vous le voulez.»
            Elle a dit : «Je le veux bien.»
40.    Alors évidemment, fixant ma pensée sur cela, j’ai amené la jeune fille à regarder à cela, et non pas moi. Comme souvent dans une réunion, je peux prendre n’importe quel enfant qui louche, qu’il y a dans cette réunion, vous l’amenez ici, et sans même prier pour lui, vous me laissez le regarder simplement droit dans les yeux comme cela, je ferai que ses yeux deviennent droits. Mais dès que je tourne la tête…[Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
41.    J’ai utilisé cela comme exemple. Elle est rentrée, elle a pensé qu’elle n’allait plus revenir dans la ligne, elle devait faire deux ou trois jours avant qu’elle entre. Mais quand elle est revenue cette fois-là, elle a dit : «Frère Branham, vous m’avez dit de revenir dans la ligne.» 
            Il y a des centaines de gens entassés partout, debout dans le… très tôt le matin, elle est arrivée tout trempée, elle est entrée pour qu’on prie pour elle. Et alors, quand Dieu a guéri ses yeux là, que les deux yeux étaient devenus droits et qu’elle était normale, elle s’en est allée en se réjouissant. Voyez? C’est là la différence entre votre foi et la foi de Dieu. 
42.    Eh bien, et puis naturellement, en fixant mes yeux sur ce bracelet – ce que vous pouvez faire vous-même, si vous ne doutez pas de cela dans votre cœur – ça s’est mis à tourner. Et puis, ça s’est balancé d’avant en arrière, tout autour, en diagonale, et je l’ai arrêté.
            Elle a dit : «Frère Branham, a-t-elle dit, ça c’est du spiritisme.» [Frère Branham rit. – N.D.E.]
            J’ai dit : «Je – je pensais que peut-être vous alliez dire quelque chose de ce genre.» Oh! la la! N’est-ce pas étrange que des gens qui professent connaître Dieu connaissent si peu de choses à Son sujet? N’est-ce pas vrai? 
            Elle a dit : «Vous savez, nous sommes membres de l’Eglise de Christ.»
Excusez-moi, je ne voulais pas mentionner cela. Excusez-moi, vous de l’Eglise de Christ, je ne voulais pas mentionner cela. Voyez? De toute façon, elle a dit : «Nous parlons là où la Bible parle et nous nous taisons là où la Bible se tait.» 
            Vous savez que vous avez ce slogan. J’ai remis cela en question quelques fois. 
            J’ai dit : «Très bien.» 
            Elle a dit : «On ne peut pas trouver pareille chose dans la Bible, au sujet d’une telle chose.» 
            J’ai dit : «Je – je pensais que c’est ce que vous diriez.» J’ai dit : «Certainement, cela se trouve dans la Bible.»
            Et elle a dit : «Eh bien, jamais je… je ne crois pas cela.»
            «Très bien, ai-je dit, vous ne croyez pas cela?»
            Elle a dit : «Non, montrez-moi où ça se trouve dans la Bible.» 
43.    J’ai dit : «Un jour, Jésus passait près d’un arbre, Il a voulu y trouver des fruits. Il n’y avait pas de fruit. Il a maudit l’arbre, et cela s’est mis à sécher. Et quand Ils sont passés par-là à midi, l’arbre séchait. Pierre a remarqué cela et il a dit que l’arbre avait vite séché. Il a dit : ‘Si vous dites dans votre cœur que cet arbre soit déraciné et jeté dans la mer et que vous n’en doutiez pas, il vous obéira.’» A-t-Il dit cela? 
            Et j’ai dit : «Il a dit : ‘Si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et que vous ne doutiez pas dans votre cœur, cela s’accomplira aussitôt !’ Est-ce qu’Il l’a dit?» Certainement, Il l’a dit. 
            J’ai dit : «Je sais que votre pasteur qui ne croit pas, cherchant à justifier son incrédulité, a dit qu’il s’agissait d’une montagne de péché. Je – je suis allé moi-même à l’école, il était à genou près du Mont des Oliviers. C’était le Mont des Oliviers. Si vous dites dans votre cœur que cela soit déplacé, et que vous n’en doutiez pas…» J’ai dit : «La foi de quelle dimension?» 
            Et Il a dit : «Si vous aviez la foi de la grosseur d’un grain de sénevé…» 
            J’ai dit : «Maintenant, si la foi de la grosseur d’un grain de sénevé peut déplacer cette montagne, combien plus petite doit être la foi qu’il vous faudrait avoir pour mettre en mouvement ce bracelet?» 
44.    Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, je me suis souvent demandé pourquoi Il a parlé du grain de sénevé. Je pourrai lâcher cette pensée. Le grain de sénevé est la plus petite de toutes les semences. C’est vrai. Mais rien ne peut se mélanger avec le grain de sénevé. C’est entièrement le sénevé. Vous ne pouvez pas mélanger cela avec le chou frisé ni rien et faire croître cela. C’est entièrement du sénevé. Si vous avez autant de foi que ça, entièrement la foi, sans qu’elle soit mélangée avec autre chose, demandez ce que vous voulez ; cela vous sera accordé. Mais ça ne doit pas vaciller, ça doit être l’authentique sénevé, si vous savez de quoi je parle. 
            Très bien, et j’ai dit : «Combien plus en faut-il?» 
            «Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, j’aimerais vous poser une question» Elle a dit : «Est-ce Dieu qui a bougé cela ou est-ce le diable qui a bougé cela?»
            J’ai répondu : «Ce n’est ni l’un ni l’autre qui a bougé cela.»
            Elle a dit : «Comment donc cela a-t-il bougé?»
            J’ai dit : «C’est moi qui l’ai bougé.»
            Elle a dit : «Eh bien, vous êtes à une distance de 15 pieds [environ 5 mètres – N.D.T] de cela, ou plus.»
            J’ai dit : «Non, c’est ma foi qui a bougé cela.» Voyez? Si vous demandez quelque chose et que vous n’en doutiez pas… Voyez-vous ce que je veux dire?
45.    [Un grincement se fait entendre. – N.D.E.]… la foi, mais vous avez le libre arbitre ; vous êtes un être humain. Vous pouvez ne pas aimer cela dans votre cœur, et je ne pourrai pas vous toucher si vous le faisiez.
            Jésus ne pouvait pas accomplir beaucoup d’œuvres puissantes à cause de quoi? [L’assemblée répond : «de l’incrédulité» – N.D.E.]. C’est vrai. Voyez-vous combien les gens en savent peu au sujet de… combien les gens en savent peu au sujet de la foi? C’est étonnant, mes amis, de voir combien les gens en savent peu. Ils en parlent trop et pourtant ils en savent si peu.
46.    Et puis, elle a dit : «Eh bien, voulez-vous donc me dire que… Qu’est-ce que cela a à voir avec Dieu, quel rôle, là?» 
            J’ai dit : «Maintenant écoutez, il y a eu un Ange qui est descendu dans la pièce et m’a dit que jadis, bien avant ma naissance, j’ai été prédestiné à avoir un don de guérison divine. Et Il est venu me dire une nuit dans la pièce que Dieu avait envoyé le don, et que c’était un don de guérison divine pour le peuple. Et si je pouvais amener les gens à me croire (à me croire) et que j’étais sincère dans ma prière, rien ne résisterait à la prière.» 
            J’ai dit : «Par conséquent, ayant parlé face à face avec cet Etre surnaturel, je crois cela de tout mon cœur. Et si je peux vous amener à me croire de tout votre cœur, c’est ce qui amène Dieu en action et alors vous êtes guérie. Votre foi vous a sauvé.» Voyez-vous ce que je veux dire? Votre foi pour croire vous a sauvé. Pas ce que vous vous êtes fabriqué et que vous vous êtes imaginé, mais ce dont vous êtes vraiment sûr, une démonstration même des choses qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire? 
            Alors la jeune fille a dit : «Frère Branham, je sais certainement qu’il y a quelque chose à un niveau élevé que je n’ai jamais atteint.» Elle a dit : «J’essayerai de tout mon cœur, et que Dieu ait pitié de moi.» Elle a dit : «Que je croie.»
            Et j’ai alors saisi sa main. Il y a eu une vibration émanant de cet appendice rompu, j’ai prié pour elle et cela s’est arrêté immédiatement. J’ai dit : «Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, votre foi vous a sauvée.»
47.    Quelques instants plus tard, j’étais assis dans le fauteuil, et je me suis endormi. Le soleil se levait, j’ai dû me reposer juste un peu avant de rentrer à la maison, parce que je craignais de – de craquer quelque part en route et de faire un accident. Et j’étais assis là, ils ont appelé l’ambulance et ils leur ont dit que ce n’était plus nécessaire. Quand j’ai été – j’ai été réveillé par l’un des membres de la famille, eh bien, la fille avait quitté le lit et avait pris un demi-litre de glace. Et la … Elle n’a plus jamais été opérée depuis lors. Elle se tenait sous la véranda et me disait au revoir d’un signe de la main. Elle a dit : «Au revoir, Frère Branham.» Son témoignage a été publié dans le «Herald of Truth» [Le Héraut de la Vérité – N.D.T.] il n’y a pas longtemps. Madame Edith Wright, à – à Milltown, ou à Depaw, dans l’Indiana, c’était elle là – là.
48.    Très bien. Bon, vous voyez ce qu’est la foi. C’est quelque chose…Maintenant, écoutez, amis ; je sais que vous tous vous êtes… au moins vous savez ceci : Ce corps est dirigé par cinq sens. Est-ce vrai? Très bien, il a cinq sens, c’est tout ce qui dirige ce corps humain. Maintenant, écoutez très attentivement, et accordez-moi votre attention maintenant. Le sens, cinq sens, est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe, est-ce vrai? Ces cinq sens dirigent tout le corps humain. Est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Or, aucun d’eux ne manifeste la foi. La foi est le sixième sens, que certaines personnes connaissent, (comme vous aimez appeler cela), comme de la télépathie mentale ou – ou tout ce que vous voulez ou souhaitez appeler cela, beaucoup de noms injurieux, mais pour moi c’est la foi. Et cela est au-dessus de tous les cinq sens du corps humain. Voyez-vous ce que je veux dire? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… grand… 
            La foi est le seul sens précis et sûr, et c’est le sixième sens. La foi est plus que la vue. La foi est plus que le toucher. On ne touche pas la foi. On ne goûte pas la foi. La foi n’a pas d’odeur. On ne voit pas la foi. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. 
49.    Tenez, voyez-vous cette Bible? Maintenant, j’ai besoin de cette Bible. Maintenant, je la regarde. Maintenant, j’en ai besoin. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que je ne vois pas. Voyez-vous ce que je veux dire? 
            Ici dans ma poche, je pense avoir un vieux canif Barlow que je porte depuis des années. Maintenant, je ne vois pas ce canif. Je ne touche pas ce canif, je ne goûte pas ce canif. Je ne le sens pas. Mais je sais que ce canif est là-dedans. Comment le savez-vous? C’est parce que je crois qu’il est là-dedans. Maintenant, si cela ne s’y trouve pas, la foi l’y mettra, s’il n’y est pas. 
Cela vous suffoque [L’assemblée rit. – N.D.E.] je le sais. Mais – mais c’est vrai. Si vous croyez, tout est possible. Vous avez peur de recevoir Dieu, mes amis, vous avez peur. Maintenant, il se peut que j’aie laissé ce canif là sur la commode, là où je me suis changé il y a quelque temps. Mais tout aussi sûr que cela, si ce canif est sur cette commode en ce moment même, si je le crois de tout mon cœur, il se retrouvera dans ma poche. Cela vous suffoque. Mais Dieu est capable de le mettre là, si vous le croyez. 
50.    Tenez. J’aimerais vous montrer quelque chose. Venez ici, Révérend Kidson. Est-ce bien, sœur Marse? [Quelqu’un répond : «Oui.» – N.D.E.] Voudriez-vous vous lever juste un instant? Je veux vous montrer quelque chose, mes amis. Tenez-vous juste ici. Et ne vous en faites pas, ce n’est pas pour vous donner en spectacle, sœur, mais c’est pour la gloire de Dieu. 
            Maintenant, écoutez, mes amis, je veux vous montrer quelque chose. Je crois qu’il y a une – une femme debout devant moi. Pouvez-vous me dire que je suis dans l’erreur? [Frère Kidson réplique : «Vous ne…» – N.D.E.] Mais… [Vous n’entendez pas de femme? – N.D.E.] 
Non, je n’entends aucune femme. 
[Vous ne touchez aucune femme? – N.D.E.] 
Non, monsieur. 
Ne savez-vous pas comment je sais qu’il y en a une là? 
[Vous ne goûtez aucune femme? – N.D.E.] 
Non. 
[Comment pouvez-vous dire qu’il y a là une femme? – N.D.E.] 
«C’est parce que le sens de la vue me dit que je vois une femme.» 
[«Hum! eh bien, en êtes-vous sûr?» – N.D.E.] 
«Je suis certain qu’il y a une femme là debout. Croyez-vous que j’ai raison?» 
[Oui. – N.D.E.] 
Auditoire, croyez-vous que j’ai raison? 
Eh bien, est-ce possible que je sois dans l’erreur? Oui. Chacun de nous peut être aveuglé, selon notre vue. Il se peut que ça soit une vision. Ne l’oubliez pas, les cinq sens du corps ne sont pas si certains. La foi est sûre.
51.    Maintenant, je sais néanmoins qu’une femme se tient là, car le sens de la vue me dit qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, vous pensez que vous pouvez m’en dissuader, me dire qu’il n’y a pas de femme là debout. Essayez-le donc une fois. Essayez de me dire que je ne vois pas une femme qui se tient devant moi. Pensez-vous que vous pouvez m’en dissuader? Non, non, car je sais que ce sens de la vue est certain, et je regarde cette femme, et je sais qu’elle se tient là. Pourtant tout ce que je sais, c’est par le sens de la vue.
Maintenant, j’aimerais que vous observiez. Maintenant, je vais fermer les yeux. Maintenant, j’ai senti la main d’une femme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
52.    Je peux dire que c’est une femme. Elle porte un chapeau de femme. Elle a une chevelure de femme; c’est une main de femme. Je sais que c’est une femme, parce que je la touche. Pensez-vous que vous puissiez m’en dissuader? 
            [Non. – N.D.E.]. Hein? C’est certain, je le sais, que c’était une femme. Je lui ai tourné le dos, mais je sais pourtant que c’est une femme. Voyez-vous? C’est parce que le sens du toucher me dit qu’il y a une femme là. Voyez-vous ce que je veux dire? 
            Eh bien, la vue me dit qu’il y en avait une là en ce moment. Je ne la touche pas. Ça c’est le sens de la vue. Je sais qu’elle se tient là, parce que je la regarde. 
            Je ferme les yeux. Je sais qu’elle se tient là maintenant, parce que…non pas parce que je la vois, parce que je touche sa main. Je sais qu’elle se tient là. Je ne la vois pas, et pourtant je la touche. Le sens du toucher déclare qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire? 
53.    Maintenant, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration, voyez-vous? C’est sûr et certain, tout aussi sûr que ma vue, tout aussi certain que mon toucher… C’est une démonstration des choses qu’on ne voit pas. C’est tout aussi sûr que ça. Voyez-vous ce que je veux dire? 
            Il y a tellement des gens qui cherchent à s’enthousiasmer et ils disent : «Je… j’ai la foi.» Mais, mes amis, elle n’est pas là. Si elle était là, elle réagirait, voyez-vous? Comprenez-vous ce que je veux dire? 
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:18

54.    Maintenant, écoutez… Merci, Sœur Marse, que Dieu vous bénisse.
            Maintenant, écoutez. Eh bien, j’ai vu la femme, mon sens de la vue a déclaré qu’elle était là. Je savais donc qu’elle était là par le sens de la vue. J’ai fermé les yeux. Je n’ai pas utilisé la vue. Je l’ai alors touchée, et le sens du toucher a déclaré qu’elle était là. Le sens du toucher était tout aussi certain que le sens de la vue, parce que c’était une démonstration certaine. 
            Or, la foi est une démonstration certaine des choses qu’on ne voit pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne sent pas et qu’on n’entend pas. Maintenant, regardez ici. Je vais fermer les yeux maintenant. Regardez.
55.    C’était du jus d’orange. [Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas d’oranges.» – N.D.E.] 
            Non, monsieur. 
            [Vous n’entendez pas d’oranges. – N.D.E.] 
            Non, Monsieur. 
            [Vous ne touchez pas d’oranges. – N.D.E.]. Non, monsieur. [Vous ne sentez pas l’odeur des oranges. – N.D.E.]
            Non, monsieur. 
            [Qu’est-ce qui vous fais penser que c’est une orange?] 
            C’est parce que j’ai goûté cela. 
            [Etes-vous sûr? – N.D.E.] 
            Je suis sûr que c’était du jus d’orange. Cela ne pouvait pas être du citron, cela ne pouvait pas être du raisin, cela ne pouvait pas être de la pamplemousse. C’était le jus d’orange, de par le sens du goût. Je – je n’en ai pas senti l’odeur, je n’ai pas entendu cela; je ne l’ai pas touché, je ne l’ai pas vu, et pourtant le sens du goût m’a fait savoir que c’était du jus d’orange. Pensez-vous que j’ai raison? [Vous avez raison. – N.D.E.] 
            Certainement, c’est du jus d’orange. Eh bien, le sens du goût a confirmé que c’était du jus d’orange. Maintenant, vous pouvez beau me dire que c’était de l’eau, je sais que c’est du jus d’orange. J’ai goûté cela. Voyez-vous? Vous pouvez aussi le goûter. Et si vous avez le sens du goût, vous le reconnaîtrez aussi. Et si vous avez la foi, vous saurez exactement de quoi je parle. 
            Maintenant, regardez encore ici. Maintenant, regardez ici. Je sens l’odeur du parfum. C’est le parfum. 
            [Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas cela.» – N.D.E.] 
            Je ne vois pas de parfum. 
            [«Vous ne l’entendez pas.» – N.D.E.] 
            Je n’entends pas le parfum. 
            [Vous ne goûtez pas cela. – N.D.E.] Je ne goûte pas cela. 
            [Vous ne touchez pas cela. – N.D.E.] Non. [«Qu’est-ce qui vous fait penser que c’est du parfum?»] Parce que j’en sens l’odeur. [«Amen.» – N.D.E.] C’est vrai. Le sens de l’odorat me fait savoir que le parfum était sous mon nez. [Une rayure se fait entendre – N.D.E.]
            …moi? Essayez-le. Très bien, je sais que c’était du parfum. Je n’ai pas vu cela, n’est-ce pas? Ai-je vu cela? J’avais les yeux fermés. Ai-je goûté cela? Non, je n’ai pas mis cela dans la bouche. Ai-je touché cela? Je n’ai point posé mes mains dessus, ni rien d’autre. Comment ai-je alors su cela? Ai-je entendu cela? Non, j’ai senti l’odeur de cela, et c’était une démonstration certaine que c’était du parfum. Je sais cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
56.    [Musique de fond – N.D.E.] Maintenant… [Frère Kidson dit   «…Vous ne touchez pas la musique.» – N.D.E.] Non, monsieur. [Vous ne goûtez pas la musique. – N.D.E.] 
            Non, monsieur. [«Eh bien, qu’est-ce qui vous fait penser que c’est de la musique?» – N.D.E.] 
            J’entends cela et je sais que c’est de la musique. 
            [«En êtes-vous sûr?» – N.D.E.] 
            J’en suis sûr. La dame est en train de jouer Crois seulement. Pensez-vous que je dis la vérité? 
            [Vous dites la vérité – N.D.E.] 
            Essayez de m’en dissuader! Je ne vois pas cela. Je ne goûte pas cela. Je ne touche pas cela. Je ne sens pas l’odeur de cela. Mais j’entends cela. Est-ce que j’étais sûr? Suis-je sûr d’avoir raison? Pourquoi? 
57.    Maintenant, il y a les cinq sens du corps. Eh bien, ils sont sûrs, n’est-ce pas? Vous savez quand ils fonctionnent, vous le savez. Maintenant, vous regardez un auditoire. Vous savez que vous me regardez. 
            Eh bien alors, mes amis, la foi… Voilà! La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas; elle est sûre. Vous savez cela. Il n’est pas nécessaire que quelqu’un vous dise quelque chose de plus à ce sujet. Elle est tout autant manifeste que n’importe lequel de ces cinq autres sens du corps. Savez-vous ce que je veux dire? Combien ont maintenant une idée générale de ce que je veux dire? Faites voir les mains. Voyez, voyez? 
58.    Ce n’est pas ce que vous essayez de vous faire croire vous-même. Maintenant, par exemple, j’essaye de me faire croire que j’entends de la musique. Je – je ne peux pas y arriver. Puis-je me faire croire que je suis en train de sentir l’odeur du parfum? Ça n’y est simplement pas. Je dois absolument sentir cela. Voyez-vous ce que je veux dire?
            Et la foi est sûre à ce point. C’est un acte de certitude. Vous savez cela. Oh la la ! j’espère que vous voyez cela, ce que je veux dire. 
59.    Voyez, c’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. On ne voit pas cela. On ne goûte pas cela. Quelqu’un dira : «Je ne me sens pas mieux.» 
            Eh bien, qu’a-t-il? Pourquoi ne vous sentez-vous pas mieux? Si vous avez la foi, qu’il vous soit fait selon votre foi. Est-ce vrai? Voyez? 
Peu importe comment vous vous sentez, vous êtes guéri de toute façon. Peu importe ce que vous voyez, vous êtes guéri de toute façon. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est un – vous savez cela. Rien ne peut ôter cela de votre cœur. Vous savez cela. C’est un fait réel là même. Oh! la la!
            Si seulement vous pouviez voir cela, mes amis, quelque chose arriverait. Si seulement vous pouviez savoir de quoi je parle, quelque chose réagirait à l’instant même. Voyez? C’est sûr. Cela est bel et bien là, tout aussi certain que le sont ces cinq autres sens. Ces derniers relèvent de l’homme naturel. La foi est de Dieu. L’homme naturel peut se tromper, mais pas Dieu. Oh! la la!
60.    Bien, cela nous ferait crier. Pensez-y. Et les gens me disent qu’ils ont la foi, mais ils disent qu’ils ne peuvent pas croire à la guérison divine. Mes amis, si vous ne croyez pas à la guérison divine, vous êtes perdus. C’est vrai. Comment allez-vous – si vous ne pouvez pas avoir assez de foi pour que Dieu rapièce ce corps afin de Se glorifier dedans, combien plus de foi vous faudra-t-il avoir pour croire que Dieu prendra ce vieux corps mortel pour le rendre immortel et l’enlever? C’est une véritable guérison divine. Oh! la la! Il y aura de graves déceptions au jour du Jugement, à la résurrection, c’est vrai.
61.    La foi… Nous devons en arriver au point où nous serons enlevés comme Enoch. C’est vrai. Il avait reçu la foi, le témoignage, selon lequel cela était agréable à Dieu. Enoch n’avait-il pas… Notre prochain passage des Ecritures dit qu’Enoch avait eu un témoignage par la foi, comme quoi il était agréable à Dieu. Est-ce vrai? Et la Bible dit : «Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.» Ainsi, vous devez avoir le même genre de foi pour croire et être sûr. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] 
62.    Un don de guérison... pas un don de miracle, bien que cela soit accompagné de beaucoup de miracles. Mais c’est un don de guérison, les gens sont guéris. Ils sortent, on prie pour eux, ils reviennent. Oh! la la! ils sont guéris. Attendez que je quitte la ville, mes amis. Longtemps après mon départ, vous entendrez des gens venant dans vos églises dire : «Eh bien, ce cancer, c’est parti.» Cette – cette surdité que j’avais – eh bien, je – j’entends maintenant.» «Mon affliction, eh bien, cela m’a simplement quitté!»
63.    C’est juste la simplicité de … Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez faire par excitation. Il ne s’agit pas de l’excitation. Je vois les gens venir dans la ligne, ils se mettent simplement à s’agiter. Ils disent : «Ô Dieu, alléluia! Amen ! Gloire à Dieu!» Ne faites pas cela. Vous gênez la foi, là. Vous gênez Dieu. Approchez-vous avec respect et levez simplement la main et croyez. C’est tout. La foi, vous ne vous excitez pas pour cela. La foi est quelque chose qui est déjà dans votre cœur. Venez simplement et croyez. Voyez-vous ce que je veux dire?
            Oh! mes amis! oh! la la! je vous aime. Je ne vous parlerais pas si directement si je ne vous aimais pas; mais je vous aime trop pour vous voir manquer ça. Voyez-vous? Vous – vous devez comprendre.
64.    Et maintenant écoutez, maintenant venons-en très vite à mon texte afin que nous puissions nous dépêcher. Dieu a rendu témoignage à l’offrande d’Abel. Dieu rend toujours témoignage à ses dons. Est-ce vrai?
            Maintenant, je veux que vous remarquiez que lorsque les enfants d’Israël étaient en esclavage pendant 420 ans, là en Egypte, amenés là par Joseph, quand ils étaient descendus… Peu après, il s’est levé un Jo… ou plutôt un Pharaon qui n’avait point connu Joseph. Et alors le peuple est entré dans l’esclavage. Et ils ont eu à construire des maisons en pailles, des briques, du matériel en paille, et en chaume. Et alors, ils se sont mis à réclamer à grands cris un libérateur auprès de Dieu. Est-ce vrai? Et ils ont crié et crié. Et Dieu avait préordonné un libérateur (Est-ce vrai?), Moïse. 
65.    Et quand Moïse a atteint l’âge de maturité, il est sorti et a vu deux Egyptiens maltraiter un Hébreu, et il a tué les Egyptiens et les a enterrés. Et le lendemain, quand il a rencontré des Hébreux qui se battaient, ils lui ont dit : «Eh bien, veux-tu nous tuer comme tu as tué l’Egyptien?» Maintenant écoutez, soyez tranquille. 
            Moïse, le libérateur même, le don de Dieu au peuple, ils ne l’ont pas compris. Voyez-vous ce que je veux dire? Ils n’ont pas compris Moïse. Et Moïse se disait qu’assurément ils comprendraient qu’il était le don qui leur était envoyé pour les délivrer. Mais ils ne l’ont pas compris.
            Et maintenant, les amis, ne me comprenez pas mal. Puis-je dire ceci avec révérence dans mon cœur, sachant que je vais dans l’Eternité, que je comparaîtrai un jour en Jugement? Des milliers de gens manquent de reconnaître leur don. Voyez-vous? Ils ne peuvent pas comprendre cela. Et ils regardent et disent : «Oh! ce n’est qu’un homme.» 
            C’est vrai. Etait-ce Dieu ou Moïse qui a délivré le peuple? C’était Dieu en Moïse, voyez? Ils ont réclamé le libérateur, et quand Dieu leur a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela, parce que c’était par un homme. Mais ce n’était pas un homme; c’était Dieu dans l’homme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
66.    … qui habite en Moi, est Celui qui fait les œuvres.» Vous voyez? Mais il était le don de Dieu pour le monde. Dieu L’a donné pour vous et moi. N’êtes-vous pas heureux de cela? Ecoutez, c’est Dieu qui L’a donné.
            Eh bien alors, les gens qui croient que c’est Dieu qui L’a donné, peuvent être sauvés. Mais ceux qui ne le croient pas, ne peuvent pas être sauvés. Est-ce vrai?
            Et il n’y a pas du tout d’autre moyen pour entrer dans le Royaume, excepté par Lui. Est-ce vrai? Eh bien alors, si vous le croyez, vous pouvez être sauvé. Mais si vous ne croyez pas cela, vous ne pouvez pas être sauvé, parce qu’Il est le don de Dieu.
Ecoutez, les Ecritures déclarent : «Nul… Nous savons que Dieu était avec Christ, car nul ne pouvait faire les œuvres qu’Il faisait si Dieu n’était avec lui.» Est-ce vrai? Alors, qu’était-ce? Dieu rendait témoignage que c’était Son Fils unique. Est-ce vrai? Dieu rendait témoignage de cela; Il a dit : «Celui-ci est Mon Fils.» Il a dit : «Si vous ne Me croyez pas, croyez à cause de ces œuvres mêmes.» Est-ce vrai? Il a dit : «L’homme rend témoignage de lui-même», vous savez ce que disent les Ecritures, «mais si – s’il rend témoignage et que ce qu’il dit n’est pas vrai, alors ne Me croyez pas. Mais si Je rends témoignage et que ce que Je dis est vrai, Mon Père en rendra témoignage.»
            Et si je vous parle d’un don de guérison divine et que Dieu n’en rende pas témoignage, laissez ça de côté. C’est faux. Mais si Dieu rend témoignage de ça, croyez que c’est le don de Dieu pour vous. C’est vrai. Voyez-vous ce que je veux dire?
67.    Je n’aime pas devoir apporter ceci comme ça, mes amis, mais j’espère que vous lisez cela entre les lignes. Remarquez donc. Voyez, c’est le don de Dieu. Après que Jésus – quand Il est parti… Il a été enlevé. Beaucoup de gens sont venus à Jésus sans jamais être guéris. Il a prié pour beaucoup sans qu’il y ait des résultats, parce qu’ils ne croyaient pas. Ils ne croyaient pas qu’Il était le Fils de Dieu. Ils disaient : «Eh bien, Il se fait Lui-même Dieu! Il pardonne les péchés sur la terre : Un blasphème!» Ne voyez-vous pas?
            Ils ont dit cela d’Elie. Ils ont dit la même chose de Moïse. «Eh bien, nous aurions aimé mourir là en Egypte plutôt que d’être amenés ici pour mourir de faim dans le désert.» 
            Voyez, le messager de Dieu a toujours été rejeté. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? J’espère que vous le savez, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs. Je – je veux que vous compreniez cela, mes amis. 
68.    Eh bien, ils ont donc eu besoin d’un Sauveur. Dieu a envoyé Christ au monde comme Sauveur.
            Ensuite, après que Jésus s’en est allé, beaucoup parmi le peuple bien-aimé de Dieu étaient malades et affligés. Dieu a donné à Pierre le don de guérison divine. Maintenant cela…, les gens étaient guéris parce que Dieu rendait témoignage au don de la guérison divine qui était en Pierre, tout comme Il a rendu témoignage qu ‘Elie était le prophète, que Moïse était le libérateur, que Christ était le Fils. Il en a rendu témoignage au travers de Pierre qu’Il était le guérisseur. L’a-t-Il fait? Et les gens ont eu une idée. Et ils rassemblaient même une foule de gens de sorte que Pierre ne pouvait pas prier pour chacun d’eux, et eux savaient que cet apôtre était le don de Dieu pour eux. Et il ne leur a jamais serré la main, en disant : «Que Dieu vous bénisse.» On faisait sortir les gens du bâtiment, on les étendait dans la rue, afin que même l’ombre de Pierre puisse passer sur eux et qu’ils soient guéris. Est-ce vrai? Pourquoi? C’est parce qu’ils savaient que Pierre était le don de guérison envoyé au peuple par Dieu. Oh! J’espère que vous comprenez cela, mes amis; écoutez. Vous voyez, c’était le don de Dieu. Mais alors, j’aimerais vous poser une question. Est-ce Pierre qui accomplissait la guérison? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
69.    Dieu n’est pas dans des objets matériels. Dieu est dans les hommes. Le Saint-Esprit n’est jamais tombé sur des organisations, il est tombé sur des hommes. Et aujourd’hui, tant de gens disent : «Ils ne sont pas de ma foi.» Eh bien, si vous êtes de la foi de Christ, c’est tout pareil. Dieu ne s’occupe pas de… votre organisation ne vaut pas ça pour Lui. Et les gens atteignent un point où c’est tout simplement un grand milieu organisé. Et cela – c’est la raison pour laquelle j’ai préféré tenir cela dans un auditorium.
            Si c’est dans une – une église des unitaires, les trinitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église des trinitaires, les unitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église méthodiste, les baptistes ne voudront pas venir. Si c’est dans une église baptiste, les méthodistes ne voudront pas venir. Un corps… Quelqu’un a dit : «Maintenant, devrions-nous encore nous faire baptiser pour que nous venions pour qu’on prie pour nous?»
            Miséricorde! C’est aussi païen que jamais. C’est vrai. Non ! Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. C’est vrai. Peu importe qui vous êtes, et où vous êtes. C’est vrai. Ainsi, cela importe peu, l’organisation dont vous êtes membre. Il ne vous faut pas être membre de l’Eglise baptiste, ni de l’Eglise méthodiste, ni de l’Eglise pentecôtiste ni de quoi que ce soit. Il vous faut avoir foi en Dieu. C’est vrai.
            Maintenant, et franchement, il ne vous faut pas être membre d’une église. Mais si vous êtes guéri et que vous vous mettiez de nouveau à pécher, cela reviendra encore sur vous, et pire qu’auparavant. Allez donc quelque part à une église et servez Dieu. Dieu ne vous guérit pas pour la gloire du diable. Il vous guérit pour Sa gloire.
70.    Maintenant regardez comment les gens faillissent. Eh bien, Moïse a failli... je m’imagine comment il a failli... Il détestait vraiment se présenter là et parler aux gens, parce qu’il se disait que ce serait s’exalter soi-même. Il pensait que les gens diraient : «Eh bien, regardez cet homme.» 
            Nous en avons eu beaucoup dans le monde aujourd’hui. Nous en avons eu beaucoup qui sont venus et ont dit : «Dieu a fait ceci et Il a fait cela.» Mais Dieu n’a pas rendu témoignage à cela. Mais si Dieu rend témoignage, Il honorera Son don. Est-ce vrai?
71.    Oui, bien sûr. Dieu a honoré l’offrande de – d’Abel, Il a honoré le don de Moïse, et Moïse pensait que les gens comprendraient, mais ils n’ont pas compris.
            Et aujourd’hui, certainement, on dirait que personne n’a besoin de venir plus près que vous l’êtes maintenant pour savoir de quoi je parle. Très bien, mais cela passe par-dessus la tête de la majorité. Et, mes amis, je vous aime, et je veux vous voir rétablis.
            Eh bien, quand ils ont réclamé un libérateur, Dieu a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela. Moïse était le don de Dieu en Israël. Croyez-vous cela?
 72.    Ainsi jusqu’à Elie, le prophète, c’étaient des dons de Dieu. Plusieurs d’entre eux apparurent comme faux prophètes. Juste à l’époque d’Elie, de faux prophètes apparurent, mais Dieu rendit témoignage de la prophétie d’Elie. Si c’est de Dieu, Dieu en rendra témoignage. Et il y eut Elie et il était le don de Dieu en Israël. Le croyez-vous?
            Il était même le pasteur d’Achab. Il était le pasteur de Jézabel. Elle ne voulait pas accepter qu’il était son pasteur, mais c’était l’homme qui lui avait dit quel genre de vie elle menait. C’est vrai. Il était son pasteur. Elle le haïssait, et pourtant il était le don auquel Dieu avait pourvu pour elle, là, pour lui révéler ses péchés, mais elle a manqué de le reconnaître. Savez-vous de quoi je parle?
73.    Puis Jésus vint. Et Jésus… Ecoutez. Jésus était le don de Dieu à Israël, au monde. Est-ce vrai? Jésus était le don de Dieu. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique.» Croyez-vous cela? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
            Et ce n’était pas les apôtres. Pensez-vous que Moïse était le – le libérateur parce que c’était Moïse, à cause de Ses facultés, de son intelligence? Eh bien, il disait qu’il était un homme à la bouche embarrassée. C’était Dieu en Moïse, un don au peuple. C’était Dieu en Christ. Il disait : «Ce n’est pas Moi, c’est Mon Père qui habite en Moi.»
            C’est la raison pour laquelle Marthe a dit : «Seigneur…» (le sermon d’hier soir), elle a dit : «Je sais que Tu es le Christ, le – le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Elle croyait cela. Et là, les gens croyaient en lui.
74.    Et regardez Pierre quand il est passé, eh bien, c’était un mortel. Il était né d’une chair de péché comme vous et moi. C’est vrai. Mais le peuple avait besoin d’un guérisseur, alors ils l’ont envoyé – Dieu a envoyé Pierre accomplir cette œuvre particulière. Jean, représentait l’amour. Pierre n’avait pas dans son cœur l’amour que Jean avait. Jean était le canal d’amour de Dieu. Voyez-vous?
Tenez donc, quand Il a pris Pierre, Jacques et Jean – l’espérance, la foi et la charité… Ne voyez-vous pas? Ces gens qui étaient des dons, eux trois : l’espérance, la foi et la charité... L’espérance était dans Jacques, c’était lui qui avait mis l’Eglise en ordre. La foi était en Pierre, et la charité était en Jean. L’espérance, la foi et la charité; c’étaient des représentants de Dieu sur la terre. 
Et on plaçait les gens à l’ombre de Pierre et ils étaient guéris.
Oh! Mes amis. Oh! la la! ne pensez pas que je crie après vous mes amis. Vous pouvez penser que je suis excité, mais je ne le suis pas. Je cherche à vous faire comprendre assez précisément mon sujet pour que vous voyiez de quoi je parle. 
75.    Maintenant, les pentecôtistes prient ces 30 ou 40 dernières années pour un don de guérison. 
            Nous vivons aux jours où nous avons la meilleure médecine qu’on ait jamais eue. Nous avons les meilleurs hôpitaux qu’on ait jamais eus. Nous avons les meilleurs médecins jamais eus. Nous avons les meilleurs médicaments jamais utilisés. Et nous avons plus des maladies que jamais. 
            Ce soir, des milliers et des centaines de milliers de précieux saints de Dieu souffrent. Et ils crient sans arrêt, ils ont réclamé pendant des années que Dieu restitue à l’Eglise le don de guérison divine. Et après que Dieu a mis les orbites en mouvement, il y a 37 ans, qu’Il a préordonné cela et l’a envoyé, des centaines de gens passent à côté de cela sans le reconnaître, mes amis.
76.    Eh bien, ça s’est accompli. Je n’aime pas dire ceci. Que Dieu soit miséricordieux ! Ecoutez, mes amis, là dans l’autre partie du pays, là à Phœnix, là à Houston, là à San Antonio, là dans l’Arkansas, à travers le pays, des milliers qui passent par-là sont guéris de toutes sortes des maladies et afflictions. Oakland, reconnais ton jour! Un jour, je vous rencontrerai à la barre du Jugement de Dieu, et vous reconnaîtrez que je vous ai témoigné de la vérité du Dieu Tout-Puissant. Vous avez réclamé cela. Quoi? Si vous, vous honorez cela autant que vous y croyez, Dieu rendra témoignage de Ses dons. C’est vrai. Il l’a fait pour Abel. Il l’a fait pour Elie. Il l’a fait pour Moïse. Il l’a fait pour Pierre. Il l’a fait pour Paul. Il l’a fait pour tous, et Il le fera encore aujourd’hui.
            Quand la Pentecôte était descendue pour la première fois et que le baptême du Saint-Esprit s’était mis à tomber au début, les gens ont dit : «C’est du fanatisme.» Mais Dieu a rendu témoignage de cela, que c’était ainsi. C’est pourquoi je suis avec vous ce soir, parce que je sais que c’est la main de Dieu. Beaucoup d’entre eux sont entrés dans des ismes avec ça, mais il y a un authentique article de la Pentecôte. Dieu en a rendu témoignage. C’est vrai. Et Il a fait la même chose ce soir d’une autre façon. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] 
77.    Et j’entrais dans un drugstore ; et quand je suis entré, j’ai remarqué un gars qui me regardait un peu drôlement. Je suis entré au magasin et j’en suis ressorti, et je tenais le bouchon d’une bouteille. Et je n’ai jamais oublié cette histoire. Et j’étais encore en uniforme.
Et, il a mis sa… Cet homme a mis sa main sur mon épaule, et il m’a regardé, il a dit : «Monsieur, a-t-il dit, je vois que vous êtes un agent de service public.» Il a dit : «Je pensais vous poser une question.» Il a dit : «Vous pourriez penser que je suis un peu fou.» 
Et j’ai dit : «Qu’y a-t-il, monsieur?»
Il a dit : «J’habite à Paducah, dans le Kentucky.» Il a dit : «Depuis environ deux ans, ma santé se détériore.» Il a dit : «La semaine dernière, j’ai eu un songe particulier.» Il a dit : «J’ai rêvé que je devais venir à Jeffersonville, dans l’Indiana, pour rencontrer quelqu’un du nom de Branham pour qu’il prie pour moi.» Il a dit : «Savez-vous si oui ou non il y a des Branham qui habitent ici?»
Oh! la la! Vous ne savez pas comment je me suis senti. Je me suis dit : «Oh! Dieu rend témoignage.»
Et j’ai dit : «Oui, monsieur.» J’ai dit : «Je sais qu’il y a des Branham qui habitent ici». 
Il a dit : «Savez-vous s’il y en a un qui prie pour les malades?» 
J’ai dit : «C’est moi.» 
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William Branham = faux prophète - Page 4 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:18

Il m’a simplement regardé comme ça, et les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Il m’a simplement pris par la main, je l’ai pris par la main, j’ai enlevé mon chapeau, je l’ai déposé par terre, et j’ai posé mon fusil dedans, je me suis agenouillé au bord de la rue et je me suis mis à prier pour lui là même, dans la rue. 
Quand je me suis relevé, il y avait des mères debout, retenant leurs petits enfants, et des hommes qui avaient enlevé leurs chapeaux comme ça, attendant la fin de la prière. 
Beaucoup de choses avaient été accomplies à Jeffersonville et les gens savaient ce qui se passait. Et quand nous nous sommes levés, ils étaient tous là debout, les têtes inclinées, suivant la prière. 
Je me suis relevé. Et le frère, il m’a entouré de ses bras et s’est mis à me tapoter comme cela. Je ne l’ai plus jamais revu depuis ce jour-là. Dieu l’avait guéri.
78.    Et j’étais là à Houston, au Texas, aux réunions du révérend Kidson. Et un matin, me tenant là, oh! la la ! comme je méditais, je priais! Il y avait… nous tenions des réunions pendant le jour. Et des centaines de gens venaient dans la ligne et étaient guéris.
Et tout à coup, une dame est entrée en courant. Oh! le bâtiment était à peu près long comme cet auditorium, la salle principale ici. Et la dame est entrée en courant au fond. Elle tenait un petit garçon dans ses bras, et elle s’est assise. Et elle était très agitée. Et la ligne de prière d’à peu près de quatre personnes côte à côte qui avançaient comme cela. 
            Et elle s’est levée et a dit : «Un instant, un instant !» Et tout le monde s’est arrêté. 
            Elle a dit : «Je n’aimerais pas arrêter cette ligne de prière, mais je voudrais vous dire...» 
            Elle était très nerveuse, tremblante, un peu excitée. 
79.    Elle a dit : «J’habite là à l’ouest de Houston.» Eh bien, Houston est une très grande ville de plusieurs kilomètres de large, et nous étions à l’est. Elle a dit : «Ce matin, ma voisine, la mère de ce petit enfant, a-t-elle dit, son père était un vieux prédicateur méthodiste.» Elle a dit : «Il est mort il y a vingt ans.» Elle a dit : «Avant sa mort, il allait partout, prêchant et disant qu’un jour Dieu restituerait le don à l’Eglise pour les Gentils, avant la fin de la dispensation des Gentils, comme Il l’a fait pour les Juifs.»
            Et elle a dit : «Sa fille, voici son enfant, a-t-elle dit, elle est un peu faible.»
            Et elle a dit : «Ce matin, après avoir fait le ménage de la maison, elle a dressé son balai à franges et elle s’est couchée en face du pied du lit, et elle se reposait.» Et elle a dit : «Tout à coup, elle a eu un songe. Elle a vu monter un gros nuage sombre.» Et elle a dit : «De ce nuage est sorti… commencer à se retirer.» Et elle a dit : «Son défunt père est apparu et il a dit : ‘Lève-toi, prends l’enfant et va à Houston Gospel Tabernacle. [Tabernacle Evangélique de Houston – N.D.T.] Le don de guérison divine se trouve là.’»
            Eh bien, elle s’est dit que ce n’était qu’un songe. Jamais elle n’avait entendu parler du Houston Gospel Tabernacle. Elle est donc restée là quelques instants, puis elle s’est rendormie, et elle a rêvé de cela une deuxième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Son défunt père est tout droit sorti du nuage en marchant. Elle a dit : «Bien, c’est étrange, j’ai rêvé de papa pour la deuxième fois.» Elle a dit : «Il a dit : ‘Prends l’enfant.’» Eh bien, elle s’est levée et a bu quelque chose et elle a fait un petit tour de la maison, et elle est rentrée se coucher – s’est encore couchée. Et quand elle est rentrée, elle a rêvé de cela une troisième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Et son… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
80.    On a appelé le bureau de renseignements pour vérifier si les choses existaient selon le rêve. Eh bien, je ne crois pas à tous les rêves. Ainsi donc, on a ppelé, mais on répondit : "Vos jeunes gens auront des visions, vos vieillards auront des songes." 
            Et alors elle - elle a appelé le bureau de renseignements et on lui a dit : "Oui, il existe un Houston Gospel Tabernacle très loin à l'ouest, sur la 67e rue." Et on lui a dit : "A l'est de la 67e rue." 
            Et la dame, la mère, tellement faible qu'elle ne pouvait pas… Eh bien, l'enfant était - avait une paralysie infantile, ses petites jambes étaient estropiées. Et elle ne pouvait pas amener l'enfant.
            Mais elle a fait venir la voisine. Et la voisine a sans arrêt changé de bus et voiture jusqu'à ce qu'elle a pris une voiture qui l'a déposée juste à environ deux pâtés de maison de l'église. Et un agent se tenait là. Et elle lui a demandé : "Savez-vous où se trouve le Houston Gospel Tabernacle?" 
            Il a répondu : "Oui, madame. Juste là où se trouve cette foule de gens, là dans la rue, a-t-il dit, ils ont un service de guérison."
81.    Eh bien, la pauvre dame était si faible et lorsqu'elle est arrivée là, elle... Vous pouvez vous imaginer comment elle s'était sentie ; elle est entrée directement là et elle a vu cela. Et elle m'en a parlé - et j'ai dit : "Amenez-moi l'enfant." 
            Oh! la la! Vous savez ce qui s'est passé, n'est-ce pas? Certainement. Et je me suis dit que même si les gens… les anges du ciel en savent quelque chose, Dieu rendra témoignage de cela. Ses œuvres seront manifestées quoi qu'en pensent les gens. C'est juste. C'est vrai, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs.
82.    J'étais là à Camden, dans l'Arkansas, avec frère Adams, je me demande si seulement l'un des frères Adam est ici ce soir. Et étant chez lui, il m'a entraîné dehors, des milliers avaient assisté au service. Et un jour, on me faisait sortir du service et j'ai entendu continuellement quelqu'un crier : "Pitié, Pitié! Oh! où êtes-vous Révérend?" 
            Et je me suis retourné. Frère Adam a dit : "Vous ne pouvez pas vous Arrêter." Vous savez, c'était un homme de couleur.
            Et pourtant, même dans l'Arkansas, si vous serrez ne fût-ce que la main à un homme de couleur, on vous jettera en prison. Et voilà donc, ils ont une loi comme cela là-bas. Vous pouvez lui parler, mais ne le touchez pas. Eh bien, ça ce n'est pas juste ! Non. C'est un humain comme vous ou moi, ou n'importe qui d'autre. C'est tout à fait vrai. Je ne sais pas ce que vous en pensez. Mais je veux décharger mon âme à ce sujet. C'est juste. Assurément. Je suis pour Abraham Lincoln et cela est juste. Et regardez...
83.    Là se tenait ce pauvre homme de couleur, criant : "Oh! Révérend!" 
   Frère Adam a dit : "Venez, Frère Branham." Il a dit : "Oh! la la! Regardez cette foule, a-t-il dit, ils font pression à cause de vous." Et on m'a tiré hors de la foule. Ils ne veulent pas être durs, mais ils essayent de me prendre… parce que, mes amis, quelquefois les gens viennent tout autour et ils vous piétinent presque à mort. Et on vous tire tout simplement. J'aime les gens. Que Dieu bénisse leur cœur. 
            J'aimerais me tenir là même et toucher chacun d'eux et prier pour eux jusqu'à ce que je sois simplement... et que le souffle quitte mon corps. 
            La dernière soirée, lorsque j'ai quitté le bâtiment, ils ont dû presque m'étendre dans la voiture, même mon cœur et tout avait des secousses et bondissait comme ça.
84.    Vous ne réalisez pas la tension qu'il y a à avoir le contrôle sur ces démons. Lorsqu'ils se présentent et qu'ils sont dans la salle et vous en êtes responsable. Et s'il arrive quelque chose dans le bâtiment? Eh bien, on vous mettrait en prison et on interdirait la réunion pour toujours. Est-ce vrai? Voyez, voyez-vous ce que ça représente pour vous? Vous n'en savez pas la responsabilité. Et ici donc… et si fatigué de toute façon après six mois de voyage.
85.    Alors je - j'ai dit : "Une minute." Il criait tout simplement, le pauvre. Il tenait son chapeau en main, il avait des cheveux gris. Il disait : "Révérend, Révérend ;" Sa femme a dit : "Tu ne peux pas l'atteindre, chéri. Tu ne peux pas l'atteindre." 
            Et j'ai dit : "Une minute, juste une minute." Et alors je me suis retourné et je l'ai regardé, j'ai dit : "Qu'y a-t-il, monsieur?" 
Et frère Adam et l'autre homme m'ont amené là où il était. Et j'ai dit : "Qu'y a-t-il?" 
Il a dit : "Révérend, Révérend." 
Voyez, il me tenait comme cela. Il a dit : "Révérend", en posant sa main sur moi. 
J'ai dit : "Oui." 
86.    Il a dit : "Une minute, Révérend." Il a dit : "J'ai parcouru une longue distance pour arriver ici". Il a dit : "La nuit d'hier, a-t-il dit, ma vieille mère qui est morte il y a environ 20 ans presque," et il a dit : "Elle était une chrétienne, et cela fait plus de douze ans que je suis aveugle." Il a dit : "Et hier soir ou plutôt avant hier soir, j'ai rêvé… [Espace vide sur bande - N.D.E.] que Dieu avait envoyé son don de guérison divine et que c'était à Camden, dans l'Arkansas, et que moi je ne vous laisse pas passer." Il a dit : "Révérend, ne me passez pas, je vous en prie." Pensez-vous que je pouvais le passer. Peu importe qui il était. C'est Dieu. Peu importe si on vous met en prison.
87.    Alors me tenant là, près de ce pauvre vieil homme, j'ai pris ses mains - ses yeux avaient crevé suite à une explosion, j'ai pris ses mains et pendant que je priais pour lui, sa femme pleurait, les larmes coulaient et tombaient de son manteau comme cela. Elle se tenait là. 
            Après que j'avais fini de prier il... Ses yeux… Il était très émerveillé, il a regardé autour de lui, il s'est mis à battre les yeux; il a dit : "Et chérie, n'est-ce pas là une automobile qui est parquée juste là?" C'était notre voiture à bord de laquelle on roulait. Des larmes coulaient sur ses yeux - de ses yeux. Il s'est mis à lever les mains et à se réjouir.
            Oh! Frère, Dieu rendra témoignage à ses dons. Les cieux et la terre peuvent passer, mais Dieu va agir. Il y aura quelqu'un qui recevra cela. Bien sûr que oui, si vous venez et honorer ce que Dieu a fait pour vous. C'est vrai. Dieu rendra témoignage à Son don. C'est maintenant même le temps de commencer.
88.    Ecoutez, il n'y a pas longtemps j'étais dans - j'étais là dans l'Illinois. Et écoutez, ceci me vient à l'esprit alors que nous parlons de l'homme de couleur. Il y avait… J'étais dans un grand amphithéâtre. Beaucoup d'entre vous savent de quel endroit je parle. Et là, en regardant tout autour et en voyant différentes choses, j'ai vu un vieil homme de couleur, avec une petite couronne de cheveux blancs autour de sa tête. Il venait comme cela, en train de contempler. Et après un instant, il s'est approché d'un - un objet. Il s'est arrêté. Il a ôté son chapeau. Il l'a tenu derrière lui. Il a incliné la tête. J'ai vu qu'il offrait une prière.
            Et après qu'il eut fini de prier, je me suis approché de lui et j'ai dit : "Monsieur, ai-je dit, je suis un prédicateur." J'ai dit : "Je vous ai vu prier. Qu'y a-t-il de si saisissant au sujet de la boîte?" Il a levé les yeux vers moi, de pauvres vieilles joues rugueuses et ridées, et les larmes coulant sur ses deux joues, il a dit : "Rev… Pasteur? a-t-il dit, regardez simplement là."
Et, je me suis redressé et j'ai regardé là, et c'était comme s'il y avait là une vieille petite robe, j'ai dit : "Je ne vois qu'un costume." Et c'est ce que beaucoup de gens voient, les signes naturels. J'ai dit : "Je ne vois qu'un costume."
Il a dit : "Voyez-vous cette sorte de cercle qui est là dessus, pasteur?"
Et j'ai dit : "Oui, monsieur."
Il a dit : "Palpez juste ici sur mon côté." Il a dit : "Ce sont là les marques d'une ceinture d'esclave. C'est le sang d'Abraham Lincoln."
Il a dit : "C'est le sang d'Abraham Lincoln qui m'a délivré de la ceinture d'esclave. Pourquoi ne devrais-je pas ôter mon chapeau et offrir une prière?"
 
89.    Et ce soir, je pense que si un homme de couleur, à cause de la liberté et de son droit, a pu ôter son chapeau devant le sang d'Abraham Lincoln, que devriez-vous faire, vous chrétiens, devant le Sang de Jésus-Christ? Voyez? Oh! mes amis, je m'attendais à plus de foi à Okland et à Los Angeles aussi.
            Je vais vous dire que les gens qui ont reçu cela, il n'y a pas longtemps, c'étaient les Espagnols d'Arizona. Ils ont très vite saisi la pensée. Ils ont reconnu que c'était le don de Dieu pour eux. Ils sont venus directement sur l'estrade. Et j'ai vu ces chères vieilles mères espagnoles s'évanouir et tomber et être retirées de la ligne avant d'arriver jusqu'à moi. Eux ont cru à cela.
            L'une d'elle est venue, elle avait même eu un songe qu'elle... elle ne connaissait même pas l'anglais. Et elle a vu cet Etre Surnaturel se tenir là. Vous avez eu cette lettre, ici n'est-ce pas? [Frère Branham pose une question à quelqu'un sur l'estrade. - N.D.E.] Beaucoup… Pourquoi? Dieu rendra témoignage de Son don. Est-ce vrai? Oh! mes amis, vous savez de quoi je parle. Comprenez-vous maintenant de quoi je parle? De la foi, croyez cela. Venez, il ne s'agit pas de l'homme; il s'agit de Dieu dans l'homme. Vous savez ce que je veux dire. 
90.    [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]... je T'en prie, ô Dieu, que les gens viennent ce soir juste comme ils l'ont fait du temps des apôtres. Qu'ils viennent, réalisant que ceci est le temps apostolique pour eux, c'est maintenant l'heure où ce qu'ils avaient demandé est maintenant là. Le Saint-Esprit sous forme de guérison pour leurs corps. Accorde-le, Dieu bien-aimé. Que beaucoup de gens soient guéris ce soir. Aie pitié, Père. 
            Et que tous ceux qui viennent ce soir viennent comme l'ont fait ces gens-là lorsqu'ils sont passés près de Ton humble serviteur, Simon Pierre. Et ils se couchaient à son ombre et étaient complètement guéris, parce qu'ils avaient reconnu Dieu dans l'homme. Qu'ils reconnaissent Dieu comme on L'avait reconnu en Moïse. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Que - ce soir ils reconnaissent Dieu dans Son peuple. Accorde-le, Père bien-aimé. Sois miséricordieux maintenant et bénis chacun d'eux.
            Et, ô Dieu bien-aimé, je prie maintenant pour ma petite église chez moi, qui vient de tenir des services ce soir, pleurant, suppliant que je retourne chez moi. Ô Dieu, les gens venant des différents coins du pays se rassemblent... Prends soin de mon petit orphelin, s'il te plaît, Dieu bien-aimé. 
            Oh! je suis ici, m'efforçant, essayant de mon mieux, Dieu bien-aimé, d'obéir à ce qui m'a été dit de faire. Et que les gens voient, ô Père, quel sacrifice ça représente, et ce que Tu as fait pour eux. Et qu'ils reconnaissent ce jour et que beaucoup soient guéris et rétablis, de leurs maladies, et qu'ils rendent témoignage dans cette ville. Car nous le demandons dans le beau Nom de Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé. Amen.
91.    Mes amis, les gens tombent simplement de part et d'autre. Oh! combien je souhaiterais que vous puissiez, que vous... Je sais que vous le faites. Que Dieu bénisse vos cœurs. J'ai simplement confiance pour croire que vous le faites.
            Chantons tous maintenant tandis que la chorale joue, et tous : "Crois seulement." Maintenant, que chacun élève très haut la voix. Allons-y maintenant.
            Crois seulement, crois seulement; 
            Tout est possible
            (C'est bien, je vais reculer à l'ombre, derrière le microphone…?… Je me mets juste ici.)
            Crois seulement, 
            Tout est possible
            … seulement
92.       Juste une minute maintenant. Croyez-vous que Dieu est parmi nous ce soir? Croyez-vous cela? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la délivrance à vous qui l'avez réclamée? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la guérison? Croyez-vous cela de tout votre cœur? Alors chantons cela, nos mains posées sur nos cœurs, disant :
            Seigneur, je crois, Seigneur je crois;
            Tout est possible, Seigneur je crois; 
            Seigneur, je crois, oh! Seigneur, je crois
            Tout est… 
93.    [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]… l'heure est venue. Nous croyons que Tu viens bientôt. Tu as envoyé Ton don pour glorifier Ton Saint Fils. Il étend Sa sainte main pour guérir au moyen de Son Eglise. Viens en aide aux gens ici ce soir. Pendant que la musique joue doucement et lentement, que les gens croient. Père, si j'ai dit quelque chose de faux, pardonne-moi. Je Te prie de faire comprendre aux gens que ceci est le temps auquel Tu as rendu témoignage. Et qu'ils sachent que Ton serviteur n'est pas venu parce qu'il l'a désiré; c'était Ta volonté que je vienne, Père. Et qu'ils se débarrassent de tout scepticisme, de toute pensée sceptique et qu'ils viennent ce soir pour être guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen. 
            Maintenant vous êtes-vous débarrassés de tout scepticisme? Avez-vous vraiment tout oublié au sujet de vos pensées sceptiques? Allez-vous venir pour être guéris ce soir? Croyez-vous cela? Dites : "Amen", tous ceux… Que Dieu vous bénisse, mes amis.
94.    Maintenant, on va prendre une photo. Et je vais vous dire ce que je fais de ces photos. Je les accroche dans ma chambre. Chaque soir quand je suis à la maison, je prie pour elles. Combien veulent que je prie pour eux quand je regarderai à cette photo? Que Dieu bénisse vos cœurs.
            Eh bien, soyez sûr de ne pas rater le service de demain soir, et du soir suivant, l'histoire de ma vie, le soir suivant, je veux que vous écoutiez cela. Et que Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous nous levons avec révérence pour un instant ; on va prendre la photo. Maintenant, le photographe va vous dire quoi faire. [Le photographe dit : "Eh bien, veuillez vous asseoir maintenant, s'il vous plaît." - N.D.E.] Si ceux qui sont au balcon, se levaient, ce serait de loin mieux, ce serait beaucoup mieux… N'est-ce pas vrai, photographe, s'ils se tenaient debout, ce serait une photo de loin plus belle? Surtout au balcon, n'est-ce pas vrai? Ça fait une photo plus jolie… Très bien, vous au balcon, tenez-vous debout. On veut que ceux qui sont aux balcons se lèvent, partout. C'est bien…?… en présence de…?… [La ligne de prière continue, mais Frère Branham s'écarte du micro et tout n'est pas très audible, et le texte qui suit n'est pas complet. - N.D.E.] 
95.    C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn, c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à Ses dons. Père céleste, je Te remercie pour Ton témoignage maintenant, en approuvant ce que Tu as fait par notre bien-aimé Jésus. Que L'Ange qui m'avait parlé dans la pièce cette nuit-là soit présent à côté de Ton serviteur pour confirmer la Parole, L'accompagnant de beaucoup de miracles et de prodiges. Nous réalisons que Satan est…?… Et que beaucoup de gens soient guéris ce soir, et que leur foi soit élevée en ce moment pour croire le témoignage. Et qu'ils soient guéris de toutes sortes de maladies. Que chaque esprit soit soumis à Ton serviteur, pour la gloire de Dieu; nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
96.    Maintenant…?… La volonté de Dieu est de la guérir…?… juste avant le…?… tourmentant…?… sœur. Je t'adjure par Jésus…?… Dieu Tout-Puissant, je Te prie de bénir notre sœur qui est souffrante et puisse-t-elle en ce…?… se rendre compte que c'est…?… gens, que Tu rendes témoignage à Ton don. Toi démon, sors d'elle, au Nom de Jésus-Christ. 
            Maintenant, comment pouvez-vous…?… Croyez-vous que Dieu vous a dit…?… Croyez-vous de tout votre cœur, sœur? Dieu bien-aimé, il est impossible pour elle de ne pas être guérie, et elle dit qu'elle croit de tout son cœur. Et Tu m'as dit que si j'amenais les gens à me croire, que Tu m'as envoyé dans ce but et que si j'étais sincère dans la prière, aucune maladie ne résisterait à cette prière. Ô Dieu, j'ai rendu témoignage à Ton don dans plus de onze Etats. Et maintenant, je Te prie, Père, d'accorder…?… que notre sœur soit comptée parmi ceux qui ont la foi. Sors d'elle, toi…?…
97.    [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]…?… Père céleste, je pense à outre mer, comment Tu as œuvré avec ces aimables saints…?… comment Tu…?… s'humilier pour croire en Dieu… Et je Te prie de bénir notre bien-aimé frère, comme il est près…?… Il est dans le besoin…?… Je Te prie, ô Dieu, aie pitié de lui. Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… Croyez-vous maintenant de tout cœur?…?…
            Viens…?… C'est ça la vérité. Vous voulez être guérie, n'est-ce pas? Croyez-vous que Dieu écoute la prière de frère Branham? Très bien.
            Père céleste, comme cette jolie fillette est…?… les petits yeux bleus levés vers le…?… et souriant…?…la foi pour croire qu'elle va recevoir ce qu'elle a demandé. Et cette vibration…?… Sois miséricordieux envers elle, père. Toi, démon, sors d'elle au Nom de Jésus-Christ. 
            …?…mon cœur…?… Notre père céleste, sois miséricordieux ; une jolie fillette souffre ce soir, et Tu es ici pour rendre…[Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
98.    Croyez-vous…?… Père céleste, sois miséricordieux envers notre sœur qui souffre…?…Tu sais tout…?… Oh…?… pour comprendre que le Dieu Tout-Puissant a…?… Seigneur, et Il rend témoignage à Ses…?…Toi démon…?… de la quitter…?… au nom de Jésus-Christ. Amen.
            Dieu bien-aimé…?… Je crois ce qu'ils…?… Je prie ce soir, Père, pour mon cher frère qui souffre, Satan cherche à lui ôter la vie. Bénis-le, Dieu bien-aimé…?…Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… là aux balcons, gardez la tête inclinée, je vous prie. Cela l'avait quitté et puis, c'est revenu directement sur lui. Et j'ai compris que quelqu'un avait levé la tête. Ne faites pas cela…?…
            Maintenant, juste un instant…?… Inclinez la tête et croyez de tout votre cœur. Père céleste, Tu as promis…?… de guérir les gens. Je sens que le grand Messager, l'Ange de Dieu qui guérit se tient près de la chaire à présent. Par conséquent, avec toute la foi que Tu as…?… parce que mon frère est dans…?… Comment ce démon qui est venu pour l'envoyer prématurément à la tombe… Sors de lui et…?… au Nom de Jésus-Christ…?… Toute vibration s'est arrêtée dans ma main…?… Partez, que Dieu vous bénisse avec…?…
99.    [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… Si c'était le cas, cela vibrerait…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Partez et croyez, mon frère…?… tout maintenant?…?… Je vois…?… maintenant même. Je vous vois…?… La Bible le dit clairement…?… si vous croyez, car tout est possible si vous croyez…?… Dix-neuf cents ans sont passés. Il est monté en haut, et Il a fait des dons aux hommes, et maintenant Dieu rend toujours témoignage à Son don. Par conséquent, par obéissance à ce qui a été donné par commission…?… Je réprimande ce démon ; sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… 
            Peut-être que j'accorderai une pause à l'auditoire. Levez la tête. S'il y en a parmi vous qui voudraient voir… Combien m'ont entendu expliquer ce qu'étaient les vibrations…?… Faites voir les mains. Combien ici comprennent comment le don est venu, la vibration sur la main? Faites voir les mains. Vous voyez tous ce que c'est… 
100.    [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… juste cet homme…?… Voyez-vous ces…?… Je pensais que j'étais…?… cette vibration ici. Voyez? Mais c'est…?… Maintenant, que tout le monde incline la tête et prie…?… Maintenant, rappelez-vous, ceci peut aller d'une personne à une autre, soyez donc sûr de garder votre tête inclinée…?…
            Père céleste, sois miséricordieux, ô Dieu, envers notre bien-aimée sœur, qui a le droit, Père, ce soir d'être guérie; elle est venue réclamer son privilège que Dieu lui a donné, celui d'avoir été guérie par le Sauveur Jésus de Nazareth. Par conséquent, ô Père, donne à Ton serviteur la foi. Que je puisse être capable de monter maintenant même jusqu'à atteindre cette…?… cette foi…?… Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je te réprimande, Satan, quitte-la…?…
            Je vous en prie, ne levez pas la tête, mes amis. Maintenant, cela fait obstacle à cette femme. C'est très… ça doit être un cancer plutôt qu'une maladie de femme, parce que ça c'est beaucoup, beaucoup aggravé. Maintenant, gardez la tête inclinée…?… Croyez-vous de tout votre…?… croyez-vous de tout votre cœur que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Croyez-vous que tout ce que vous avez à faire c'est simplement de croire?…?… il y a des têtes levées quelque part, mon ami. Gardez la tête inclinée…?…
            Bien-aimé Père céleste, sois miséricordieux envers notre… [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
101.   Ainsi, si quelque chose arrive sur le…?… comme cela, maintenant, qu'arriverait-il si vous aviez un…?… Vous voyez? Des fois je me pose simplement la question… J'aimerais… chez vous, mais je…?… là-bas une personne qui se meurt veut que je puisse aller par avion, affréter un…?… Une femme appelle depuis…?… le Missouri, a-t-on dit, elle s'est accrochée au téléphone, elle s'est agenouillée au… près du téléphone, pleurant, me suppliant de prier…?… d'être là au téléphone comme cela, de ne pas raccrocher pour que son…?… On voulait affréter un avion pour que j'aille directement dans le Missouri où un petit enfant se mourait…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?…
            Oh! la la! C'est pathétique, mais que peut - que peut faire un homme? Cela vous fera perdre la tête, à l'idée que…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… de telles choses qui arrivent de partout.
            Je parlais à ma femme et elle disait qu'il y a des foules de gens et tout, oh! la la! Et mille cinq cents lettres viennent de gens dans l'espace de dix jours à mon…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.] 
102.    Maintenant, cette fillette est aveugle, il n'y a pas de vibrations dans sa main. Elle est estropiée, et bien sûr que ça ne produit pas de vibrations, c'est juste une maladie causée par des microbes. Eh bien, il me faudra simplement croire…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.] Je crois que Dieu la guérira…?… Croyez-vous cela? Maintenant, rappelez-vous, je dis…?… Je ne veux pas…?… vous…?… Dieu va nous parler…?… des soirées, je dois dire à l'église, peut-être donner quelques témoignages sur des choses.
            Maintenant, gardez la tête inclinée, je vais demander à Dieu de tout mon cœur de… Rappelez-vous que je ne suis pas un guérisseur, c'est Dieu.
            Petite fille, tu aimes Jésus, n'est-ce pas, chérie? Eh bien, je vais demander à Jésus de t'accorder de recouvrer la vue, de te faire marcher…?… Bien-aimé Jésus, le…?… fils, envoie Tes bénédictions divines sur cette fillette, et ces yeux qui sont maintenant aveugles, puissent-ils voir de nouveau, et puisse ce corps qui est maintenant estropié être rétabli. Je Te prie, Père, d'accorder cela au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus-Christ. Peux…?… voir ces lumières…?… Vois-tu cela? Maintenant, regarde là…?… Maintenant lève les yeux vers moi…?… Vois-tu là-haut? Vois-tu cela? Vois-tu cette ombre par ici?
            Très bien, vous pouvez relever la tête, auditoire.[Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… le cristallin et tout étaient complètement couverts, on dirait de…?… Mais le rétrécissement est suffisamment… Quand quelque chose meurt ça se rétrécit. Est-ce vrai? Les yeux de l'enfant se sont suffisamment rétrécis au point qu'elle peut voir les lumières de la salle et identifier ma main devant son visage…?… Lève les yeux dans cette direction [Rayure sur la bande - N.D.E.]  
103.    [L'enregistrement n'est pas clair. - N.D.E.]…?… Disons tous : "Gloire au Seigneur."…?… Oh ! la la !…?… Maintenant, nous allons publier son témoignage dans le journal, à savoir qu'elle voit, pour que vous puissiez le voir. Quel est son nom, sœur? Ronna Mae Promise. Voyez cela dans le journal…?…
            Votre cancer est…?… Très bien. Combien croient maintenant? Que Dieu bénisse votre cœur…?… Maintenant, voici un sourd-muet. Il y a une vibration…?… dans sa main. Très bien. Inclinez la tête, tout le monde. Maintenant, voici la vibration. Ça, je peux dire par la façon dont cela…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… placez votre signe sur cela…?… il faut que ce soit la foi, juste ma propre foi pour croire cela. Maintenant, j'aimerais que vous incliniez la tête, partout.
            Combien dans cet auditoire croient que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Veuillez lever la main. Très bien. Très bien, s'il y a un si grand nombre de gens qui croient, vous verrez la gloire de Dieu. Inclinez la tête, partout.
104.    [Quelqu'un dit qu'il n'a jamais dit à Frère Branham ce qu'était son problème. - N.D.E.] Vous n'avez pas besoin de nous le dire, mon ami. Cela est connu. Il n'y a pas de secrets pour Dieu; et Il révèle Ses secrets à Ses serviteurs. Vous avez vu des choses qui ont été accomplies, même des habitudes et des choses. Il y a quelqu'un qui est passé il y a quelques instants, qui avait une habitude. Lorsque j'ai regardé cette personne, je n'ai pas voulu dénoncer cela. Les maladies vénériennes ou des habitudes. Je ne dois pas faire cela. Vous comprenez, à moins que vous vouliez que je le fasse. Si vous me le demandez, si vous voulez savoir…Bien sûr, aussitôt que vous avez fait cela, j'ai senti cette vibration…?… des bouchons dans les oreilles.
            Maintenant inclinez la tête, tout le monde; soyez vraiment aimables et calmes; et soyez vraiment respectueux et vous verrez la gloire de Dieu.
105.    Père céleste, oh, j'ai dû me hâter de venir dans cette ville et je dois me hâter d'en repartir. Et apparemment, c'est…?… au moment où nous amenons les gens à un point où ils commencent à croire et où des choses s'accomplissent, alors nous devons repartir. Je prie que Tu trouves convenable de nous envoyer encore ici.
            Et maintenant, ici se tient - ici se tient devant moi cet homme, et Satan a bouché ses oreilles pour l'amener un jour à marcher devant un véhicule ou quelque chose comme cela, et être tué sur ses pieds, oh, il a essayé de faire du mal à ce pauvre frère, mais nous sommes ici pour le rétablir, Père.
Et maintenant, j'ai parlé aux gens ce soir sur Ta visitation, celle de l'Ange de Dieu. Et puisses-Tu confirmer cela maintenant sous leurs yeux car cette ligne de la foi devra commencer… [Rayure sur la bande - N.D.E.]
106.    [La partie suivante était sur une bande enregistrée auparavant avec ce sermon. - N.D.E.] A présent nous allons avoir un solo de trompette par mon brave ami, frère F.F. Bosworth : Frère Bosworth.
            [Frère Bosworth joue un solo. - N.D.E.]
            Oh! la la! C'était très bien, Frère Bosworth. Nous avons certainement apprécié cela. Et je me demande, pendant que vous êtes en train d'accorder votre instrument-là, si nous pouvons avoir une petite mélodie de "A la Croix". C'est pour ainsi dire mon chant préféré. Je me demande si vous pourriez jouer cela. Très bien, Frère Bosworth.
            [Frère Bosworth joue "A la Croix." - N.D.E.]
            Oh! la la! c'est comme lors du réveil d'autrefois, d'il y a longtemps. Dites donc, nous nous réjouissons certainement ici par cette petite visite ici avec frère et sœur McAnally ce soir. Je me demande, Frère Hooper si vous avez un mot que vous aimeriez dire au micro maintenant. [Frère Hooper dit quelques paroles. - N.D.E.]
            Oui oui. Frère McAnally est presque le meilleur chasseur de sanglier de la région. Il est le meilleur en mon absence. Très bien. J'aimerais entendre un mot de la part de ma femme ici. Très bien, chérie, que vas-tu dire? [Sœur Meda Branham dit : "Certainement, je suis heureuse du privilège que j'ai d'être en Arizona et de rencontrer des amis comme frère et sœur McAnally. - N.D.E.]
            Frère Bosworth, que pensez-vous de l'Arizona et de ces gens ici?
            [Frère Bosworth dit quelques paroles. - N.D.E.]
            [Frère McAnally fait un commentaire sur la chasse au sanglier - N.D.E.]
            [Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
            Frère Mac, tout ce que vous avez fait pour nous pendant ce voyage depuis que nous sommes ici… Et j'ai confiance au Dieu Tout-Puissant qu'un jour, nous pourrons être de nouveau ensemble. Que Dieu vous bénisse, frère. J'ai toujours désiré entendre la voix de votre femme. Sœur McAnally, même si je suis à des kilomètres, mais quand vous jouerez ceci, pensez à moi.
            [Sœur McAnally dit quelques paroles. - N.D.E.]
            Ok, eh bien; merci, sœur McAnally. Ç'a été très très bien. Oh! c'est juste une petite femme timide. En quelque sorte, j'aime pourtant cela. Frère Bosworth, vous en avez un autre là, sur cette vieille trompette-là? Nous…nous aimerions vraiment en entendre un autre pour frère Mac et les autres. Que Dieu vous bénisse, frère. Très bien, Frère Bosworth.
            [Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
            Bien, Frère Bosworth. Merci beaucoup. Frère Hooper, vous avez un autre mot à dire? Rien à dire? Chérie, oh! la la! Mac, dites-nous quelque chose très rapidement à ce micro, s'il vous plaît.
            [Frère MacAnally dit quelques paroles de plus au sujet de la chasse. - N.D.E.]
OK, c'est bien. Voulez-vous dire un mot, Frère Bosworth? Dites quelque chose d'autre.
            [Frère Bosworth parle pendant une minute et demie. - N.D.E.]
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:19

Les enfants d’Israël (Les enfants dans le desert)

1         Des milliers de gens y assistent. Et chaque soir, nous avons eu à en renvoyer quelques-uns. L'art héraldique et la salle... trois à cinq mille personnes rentraient de-de réunions... Et le Seigneur a ouvert les yeux des aveugles ; et les sourds, les muets et les boiteux. C'était glorieux, et je suis allé là la semaine passée ...?...
J'avais un retard d'un jour, après avoir fait escale ici à Phœnix. On m'a donc ramené ici, disant que, si c'était possible pour moi de venir ici cette semaine, on n'allait pas me laisser venir ici. Ainsi, nous avons directement progressé jusque- là, jusqu'à ce que je sois revenu.
2         J'ai commencé le vendredi ou le samedi matin. J'étais censé être ici hier soir, et je viens à peine de rentrer. Et donc, une escale de 18 heures. Et je ne m'en suis tiré qu'il y a peu. Et je n'ai pas dormi depuis avant hier soir. Je suis donc bien fatigué. Et on est censé être très nombreux. Et avant hier soir, j'ai prié pour à peu près trois mille personnes, rien qu'en une seule soirée. Tout le monde peut donc se représenter combien c'est fatigant.
Mais c'est toujours bien d'être à Phœnix, je vous assure ; il y a quelque chose qui me fait vraiment aimer cette ville. L'autre jour, je n'ai passé que quelques moments avec des frères, à gravir vite la montagne et contempler le bas. Là- haut. .. à partir de là où je reste. Je suis monté là et j'ai contemplé le bas ; je me suis dit : « Oh ! la la! comme c'est céleste, comme... » Vous êtes bénis avec une merveilleuse ville par ici. Et je pense que c'est la ville la plus modeste que je connaisse, la ville qui ressemble le plus au Ciel. Le problème est que nous ne l'apprécions pas assez. C'est vrai. Cette terre est un lieu merveilleux que Dieu nous a donné, si seulement nous pouvons en prendre soin. Voyez ? Mais nous ne le faisons pas.
Ainsi donc, c'est notre... C'est notre quatrième dimanche, n'est-ce pas ? Nous avons encore quatre dimanches. Et ce dimanche-ci, je l'ai consacré, le Seigneur voulant, à n'avoir que des miracles, ce dimanche-ci, le Seigneur voulant. Pas les foules de gens, mais faire venir juste ceux qui sont affligés et estropiés, de sorte qu'ils puissent être guéris visiblement ici devant cet auditoire.C'est une chose terrible à faire. Vous savez quoi ? Je - je pense que j'agis mal en disant ça. Non, pour commencer, ce n'est pas bien de faire ça. Mais, juste je... ce n'est même pas... Mon don, ce ne sont pas les miracles. Mon don consiste à prier pour les malades et les affligés. C'est la guérison, et non les miracles. Je regrette beaucoup de ce que j'ai donc décidé de faire un miracle devant tout le monde ; vraiment.
3         Et quand l'Ange du Seigneur m'a parlé, la dernière fois qu'il a parlé... A propos, avant hier soir, je L'ai revu dans la chambre pour la première fois depuis environ six mois. Et... Mais II ne m'a point parlé. Il se tenait simplement à la porte, me regardant, quand je me suis retourné. Et je me suis empressé de tomber sur ma face. Mais quand je me suis relevé, Il était reparti. Ainsi...
Et la dernière fois qu'il m'a parlé, Il m'a dit ce que j'étais... vous en ai parlé la semaine passée. A Vandalia, en Illinois, eh bien, Il m'a dit que je réduisais trop l'œuvre à l'accomplissement des miracles, et qu'il arriverait que les gens ne me croiraient pas à moins qu'il y ait des miracles accomplis. Et c'est vrai. C'est ce qui se passe. Les gens n'ont pas l'impression qu'on a prié pour eux...
4         La semaine passée, j'ai eu quelque chose de très étrange... A propos, beaucoup parmi vous étaient venus au secours là, dans l'Oregon. Je... Nous sommes tous chrétiens et nous aimons entendre de bonnes nouvelles, n'est-ce pas ? Alors, j'étais là avec le révérend Gordon Lindsay. Et il y avait la collaboration de toutes les églises, toutes, même les baptistes et tout... Et beaucoup de meilleurs médecins de l'État étaient venus, le gouverneur aussi. Et le Seigneur m'a fait trouver grâce aux yeux des gens. Et c'étaient certainement des réunions merveilleuses et glorieuses que nous avions eues. Et beaucoup, beaucoup de milliers de gens...
Je pense que c'est la meilleure assistance que nous ayons eue depuis le Canada. Évidemment, au Canada, on a eu la meilleure série de réunions que nous ayons jamais eues, c'était là dans le... parmi les Canadiens. Et, oh! comme le Seigneur a été à l'œuvre parmi eux! Et nous... A une réunion, on a eu à peu près trente-cinq mille personnes, dans-dans les réunions. On n'arrivait même pas à les contenir dans les champs de foire. Nous avons dû les amener dans de grandes salles de rodéo et ailleurs pour nous occuper d'eux. Et le Bien-aimé Seigneur a merveilleusement agi parmi eux, accomplissant de puissants miracles.
5         Comme je ne parlerai que pendant quelques instants, je souhaiterais consacrer un peu plus de temps à parler des- des miracles. Un miracle... Il est - il est écrit dans la Bible que...
Et j'espère que beaucoup parmi vous comprendront la position que j'essaie de prendre cet après-midi. Savez-vous pourquoi j'ai fait ça ? Et Dieu sait que je tremble à l'idée même de tenir la réunion de cet après-midi. C'est vrai. En effet, je vois assis ici, devant moi, des boiteux, des aveugles, des affligés, des gens aux membres déformés et recroquevillés, et que moi, je vienne vous dire ce que je - je vous dis.
Eh bien, ne l'oubliez pas, d'abord, ce dimanche, j'ai cédé au... Et j'espère que Dieu ne retiendra pas cela à ma charge. Et avez-vous remarqué, l'estrade, même autour de moi. Je leur ai demandé d'avoir donc... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... dans l'assistance. Et, mes amis, j'espère que vous m'accorderez toute votre attention, votre respect cet après-midi. [Espace vide sur la bande.]
7         II n'a jamais guéri les gens pour faire parade de Sa puissance. Lui, quand Satan a cherché à L'amener à en faire parade devant les gens, vous voyez, c'était une tentation du diable. Mais il Lui a présenté les Écritures, disant : « Il est écrit, Il donnera des ordres à Ses Anges, de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre, ils Te porteront. » Voyez ? Mais Jésus... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
Christ ne guérissait pas tous ceux qui venaient à Lui. Il ne guérissait pas tous les malades et tous les affligés. Il n'en a guéri que quelques-uns, ceux vers qui Il était conduit pour la guérison. Et c'est comme ça que se déroulent les réunions ...?... toutes les réunions dont je me souviens. Eh bien, il y en a eu beaucoup dans cette contrée-là. Il y a eu beaucoup de grands miracles extraordinaires.
8         L'autre soir, on a amené... L'école des muets, on a amené un enfant de l'école des muets. Et puis, tout d'un coup, je n'avais jamais vu autant de sourds- muets au cours-au cours de tout mon ministère. Tous dans la ligne étaient des sourds-muets. Et je-je me suis arrêté. Je priais pour eux. Puis, je me suis arrêté, j'ai demandé pourquoi il y avait tant de muets. Et alors, il y avait une fillette de douze ans environ, et l'esprit a été chassé d'elle. C'était la petite créature la plus pathétique, quand l'esprit fut chassé d'elle, elle a commencé à parler et entendre.
Le lendemain soir, on l'a ramenée, disant qu'elle ne parlait plus ni n'entendait. Son médecin l'a accompagnée alors avec une infirmière. Ils ont donc dit qu'elle l'avait entendue parler depuis l'estrade, elle avait entendu dire, plutôt, qu'elle avait parlé depuis l'estrade. Eh bien, ils sont passés derrière elle et [Frère Branham tape ses mains. - N.D.E.] ils ont tapé les mains comme ça, et elle n'entendait pas du tout, ils ont claqué les doigts, ils ont cherché à l'amener à dire quelque chose, et elle n'y arrivait pas. Ils - ils lui parlaient à l'aide des doigts, comme ça. Elle n'y arrivait pas. Et alors, ils [Frère Branham tape encore les mains. - N.D.E.] ont tapé leurs mains comme ça, elle n'entendait pas du tout. Or, cette enfant avait parlé et entendu avant-hier soir sur l'estrade. Ainsi donc, ils ont essayé de l'amener à dire quelque chose. Ils disaient « papa » ou « maman », ou quelque chose comme cela. Elle faisait... [Frère Branham illustre - N.D.E.] comme ça. Et elle ne disait rien.
9         Je me suis souvenu de cette enfant. Eh bien, alors, j'ai dit : « Eh bien, ramenez-la ici. » Et ils ont fait monter la fillette, et alors, après que l'esprit fut chassé d'elle, je me tenais juste à côté d'elle, et je... [Frère Branham claque ses doigts. - N.D.E.] comme ça. Elle s'est retournée, a sursauté, et a regardé tout autour comme ça. J'ai dû... venir et je lui ai fait taper les mains... faire ses mains comme ça. Et elle s'est retournée ; elle a entendu ça. Ainsi donc, je l'ai amenée à dire : « Maman », et elle a dit : « Ma - man. »
J'ai dit, j'ai dit : « Pa - pa » avec ma ...?... avec ma langue, comment dire cela. Elle a dit : « Pa - pa. » Eh bien, elle pouvait parler et entendre là sur l'estrade. Et, je leur en ai donc parlé ; j'ai dit, eh bien : « C'est exactement comme la conversion. Vous pouvez être chrétien ce soir et pécheur demain. Vous pouvez croire et vous attacher à Dieu, et croire cela de tout votre cœur. » Eh bien, j'ai alors demandé pourquoi il y avait tant de sourds-muets.
10      Et on avait amené une fillette là de sept ans environ, qui était - qui était née sourde-muette. Et elle parlait et entendait ; il y avait une grande école des sourds-muets, juste là, à Oregon. J'étais juste à côté d'elle. Et c'était donc cela ; ils ont fait venir tous leurs sourds-muets à partir de cette fillette-là. Et cette dernière a manqué de conserver la sienne et on l'a ramenée. Je pense donc qu'il y avait quelque chose comme vingt ou vingt-cinq cas des sourds-muets qui avaient été guéris la semaine passée. Ils ont définitivement parlé et entendu sur l'estrade.
Mais alors, je ne les ai pas pris eux tous. Juste quand ils passaient, je pouvais sentir la pression de la foi. Eh bien, que ce fût ma foi qui se lançait...
11      Eh bien, mes amis, il n'y a qu'un seul moyen pour vous au monde d'être guéris, c'est uniquement par la foi en Dieu. Bon, peu importe à quel point Dieu peut me permettre, par ma propre foi, d'ôter un esprit de vous, si vous ne partez pas avec la foi en Dieu, pour servir Dieu et Lui faire confiance, cela reviendra directement sur vous. Jésus n'a-t-Il pas dit : « Va, et ne pèche plus, de peur qu'il ne t'arrive quelque chose de pire » ?
Ne venez jamais dans une ligne de prière, si vous ne vous attendez pas à servir Dieu le reste de vos jours. C'est vrai. N'importe quand, ne menez jamais une vie de pécheur, car votre situation s'empirera, elle s'empirera davantage. Dieu a promis que votre situation sera pire qu'au départ. N'osez jamais venir... Et surtout cet après-midi, à vous qui allez venir dans cette ligne des miracles, n'osez pas venir, à moins de promettre à Dieu, de tout votre cœur, que (et soyez sérieux là-dessus) que vous Le servirez le reste de vos jours.
12     Eh bien, c'est... Jésus a dit à Satan, là : « Il est écrit que tu ne tenteras point le Seigneur. » Ou comme d'autres l'ont écrit, en d'autres termes, faire parade de la puissance de Dieu. Eh bien, rappelez-vous, dans la Bible, beaucoup de gens passaient à côté de Jésus, Il n'avait même jamais éprouvé de compassion pour eux. S'il en avait éprouvé, Il n'a pas manifesté cela. C'était là où II était conduit qu'il s'arrêtait. Est-ce vrai ?
Par exemple, cet homme qui était à la piscine, sous les cinq portiques. Alors que des foules de gens impotents étaient couchés là, Jésus est passé - passé au milieu d'eux. Et là était couché un homme, il était couché là depuis de nombreuses années. Il n'a relevé que cet homme-là, Il lui a dit de prendre son lit et de rentrer chez lui, Il n'a même jamais dit quelque chose au reste de la foule. Est-ce vrai ?
Un seul homme, Il l'a pris par la main, Il l'a fait sortir de la foule, directement hors de la ville, Il a prié pour lui. Évidemment, ce dernier a commencé par voir des hommes comme des arbres. Peut-être qu'il s'est tenu là une heure ou deux, priant pour lui, à ce que je sache. Mais, après tout, quand II a fini de prier, cet homme a recouvré la vue. Voyez, partout où II était conduit...
13      Considérez l'homme, à la porte La Belle, que Pierre avait guéri, avec Jean, quand ils franchissaient la porte. Jésus passait bien par cette porte-là mois après mois, pendant qu'il était à Jérusalem. Pourquoi n'avait-Il pas guéri cet homme-là ? Ce dernier avait passé quarante ans couché là. Remarquez. Ou il ne s'était pas soucié de ...?... là pour continuer à mendier, je pense. C'est pour cela qu'il était couché là durant beaucoup d'années.
Remarquez donc. Dieu ne guérit pas juste pour faire parade de Sa puissance. Il ne guérit que ceux-là, non pas sur base des mérites de votre christianisme. Il ne vous guérit pas parce que vous êtes chrétien. Il ne ... Mais quand II vous guérit, Il veut que vous deveniez chrétien à partir de ce moment-là. Mais li­mais Il ne guérit pas parce que... vous-vous serez rétabli : « Je vais aller là, je serai guéri, car je suis chrétien. » Non, Dieu guérit sur base de votre foi, votre foi. Si vous êtes un - si vous êtes un pécheur, et que vous ne sachiez rien au sujet de Dieu, que vous n'avez jamais été chrétien, si vous Lui promettez que vous deviendrez chrétien, et que vous viendrez avec assez de foi pour que cela s'accomplisse, cela s'accomplira tout de suite. Mais ...?... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
14     Je n'ai même pas un dessein à l'esprit. Et ces... Et puis, on va là et ça vous rend nerveux de regarder dans la rue et de voir ces mères qui marchent avec de petits enfants là dans les bras ; et de voir les - les estropiés couchés là, s'attendant à ce qu'on s'arrête pour prier, des cas urgents.
Je suis humain. J'ai un cœur. Et j'ai de la sympathie pour les gens. Si je me laisse emporter, j'aurais une dépression nerveuse avant qu'une semaine s'écoule. Il me faut simplement fermer les yeux, lever les yeux et dire : «O Dieu! aie pitié », et continuer de marcher. Voyez ? Et j'en arrive au point où je deviens très nerveux.
Il y a quelques instants, ma fillette, elle a maintenant dix-neuf mois. La maman a téléphoné, elle voulait savoir si j'avais effectué un très bon voyage. Ma fillette ne faisait que parler. Elle disait : « Mon papa ? » Et elle a dit : « Je t'aime. Reviens à la maison, papa », comme ça. Et on l'a éloignée du téléphone, alors elle s'est mise à pousser des cris, elle voulait revenir au téléphone. Ça a failli me tuer. Évidemment. Et je ne l'ai vue qu'à cinq reprises depuis sa naissance... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
15      Eh bien, beaucoup de pères sont avec leurs petits enfants. Cela me donne le sentiment... Oh! je redoute de voir ces pauvres petits malades et affligés. Mais tout ce que je peux faire, c'est être sincère envers les gens. Et voici : Quand vous viendrez dans la ligne... Ce sera après aujourd'hui. Quand vous passerez dans la ligne, la ligne de prière, veuillez faire un vœu de ne rester qu'avec Dieu. Si Dieu accomplit pour vous ces miracles ici aujourd'hui, n'importe quoi qu'on amènera à l'estrade, si Dieu guérit cela...
Et Dieu sait que... Oh! puisse le Seigneur accorder que je ne cherche pas à faire parade avec Sa puissance! Non, ce n'est pas ce que je fais. Mais, afin que vous soyez encouragés...
J'ai toujours aimé Phœnix, Arizona. Je vous aime encore. Les foules n'ont jamais été comme il faut à Phœnix. On n'a jamais eu ici de foules comme celles que nous avons ailleurs. Bon, eh bien, je ne sais pas. Mais j'ai toujours aimé Phœnix. Et je me demandais... J'aimerais un jour habiter ici. Et il y a quelque chose de grand ici qui m'attire, ici, on dirait que ça m'amène parfois ici.
16      Et je consacre ce jour aux miracles. Et puisse Dieu, qui m'entend maintenant, bien vouloir m'accorder cela aujourd'hui, que tout ce qu'on amènera ici devant Lui et moi aujourd'hui soit guéri; assurément, vous croirez désormais. Vous - vous passerez dans la ligne de prière et vous croirez que Dieu a effectivement envoyé ce don de guérison. N'allez-vous pas croire cela ? Il ne vous faudra plus avoir un autre miracle d'accompli, dans les autres réunions ; vous croirez si on prie pour vous.
Et rappelez-vous, avec cette Bible ici devant moi, est-ce vrai que cette puissance n'a été donnée que pour la guérison ? Je prie pour les gens, ils s'en vont. Et s'ils croient, ils sont rétablis. Si cette sensation, cette foi, cette prièreest offerte pour quelqu'un et qu'il croit cela, les Anges de Dieu veilleront sur lui. Il doit se rétablir, peut-être pas en cette heure même, peut-être pas cette semaine- là, peut-être pas ce mois-là. Cela peut prendre six semaines avant qu'il se rétablisse. Mais il se rétablira. Il doit se rétablir.
             Et, mes amis, le nombre le plus bas que j'aie jamais eu de toutes mes réunions, en comptant à partir des cartes de prière, c'était soixante-dix pour cent de ceux pour qui on avait prié. Le pourcentage le plus élevé, c'était à Winnipeg, au Canada. Quatre-vingt-dix-huit pour cent de ceux pour qui on avait prié avaient été guéris. Quatre-ving- dix-huit pour cent... Ça ne fait que cinq mois environ, quatre mois. Et ils sont guéris aujourd'hui.
Ils sont... Certains ont envoyé leur - leur témoignage qu'ils sont rétablis. Et à la réunion de Vancouver, mon secrétaire m'a appelé pendant que j'étais à Portland - ou à Ashland, et il a dit : « Frère Branham, je crois que ça sera cent pour cent, à voir comment les témoignages affluent, et les cartes de prières que nous avions distribuées. » Cela fait cent pour cent, j'espère.
            Eh bien, si Dieu peut guérir ces gens-là au Canada sur base de leur foi, Dieu aime les Américains autant que les Canadiens. Est-ce vrai ? Il ne fait acception de personne. Et II vous guérira, si seulement vous croyez cela. Mais Il ne peut pas vous guérir sans votre foi. Il vous faut croire qu'il guérira.
Eh bien, je pense donc qu'il est 14 h 03' ou 15 h 03' en ce moment-ci. Eh bien, nous aimerions sortir vers 17 h. J'aimerais parler juste un tout petit peu de notre leçon, et ensuite nous formerons la ligne de prière, ou la ligne de maintien de la foi.
             Bon, est-ce que tout le monde va attentivement suivre ceci ? Attentivement ? Mes amis, je vous en prie, et puisse Dieu qui m'entend... rappelez-vous que je ne fais pas ceci cet après-midi devant vous pour faire parade. Et si je suis dans l'erreur, que Dieu aie pitié de moi. Je ne veux rien faire de mal.
Mais l'Ange m'a dit : « Rien ne résistera à ta prière si tu es sincère et que tu amènes les gens à te croire. » Je n'ai encore rien vu, peu importe ce que c'est, qui ait résisté, après que j'ai consacré beaucoup de temps à une personne, sans que le Dieu Tout-Puissant ait guéri cela pendant que la personne est encore devant moi. Comprenez-vous, tout le monde ? Et c'est la vérité.
             Cette fois-ci encore, je vais essayer d'en finir à Phœnix. C'est vrai. La ville que j'ai l'intention d'habiter un jour. Et Dieu peut guérir les gens aujourd'hui. Et s'il m'accorde cela, et qu'il le permette pour tout celui qui vient : sourd, muet, estropié, aveugle, fou, quoi que ce soit, que ça soit délivré ici même devant les gens, alors le reste de temps, je Le laisserai conduire, qu'il veuille seulement m'entendre et exaucer ma prière. Allez-vous prier pour moi, que Dieu m'aide ? Je sais que le ministère est à ses débuts. Il y a une grande pression. Mes amis, je peux voir les fruits de ce que j'ai toujours essayé... je Lui reste toujours fidèle ... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] ... Et je rends grâces à Dieu pour ce qui se passe maintenant.
             De grands réveils balaient le pays. Les gens sont d'un seul cœur et d'une même pensée. Ils se les envoient simplement d'une église à l'église de l'autre, ils laissent les gens fréquenter l'église de leur choix. Ils les laissent faire selon leur propre préférence. Peu importe ce que quelqu'un croit, qu'il aille de l'avant et qu'il croie cela, mais ne critiquez pas cet autre homme. C'est - c'est... Restons ensemble et servons Dieu.
Oh, j'espère que Dieu fera encore cela. Et s'il m'accorde une faveur cet après- midi et qu'il guérit ces gens devant vous, alors écoutez ma parole, mes amis. Ne retenez rien contre quelqu'un, ou contre l'église de quelqu'un. Soyons un, comme des frères et sœurs, et alors le pécheur qui est dehors reconnaîtra que nous aimons effectivement Jésus. C'est vrai. Voyez ?
            Voici ce que Jésus a dit : «...ceci tous reconnaîtront que vous êtes Mes disciples, parce que vous avez... », serrez la main les uns aux autres ? Parce que vous êtes membres de la - de cette église ? « C'est parce que vous vous aimez les uns les autres. » Est-ce vrai ? L'amour, les uns envers les autres, alors vous reconnaîtrez... «Tous les hommes reconnaîtront que vous êtes Mes disciples. » Et si nous ne nous aimons pas les uns les autres, alors nous ne pouvons pas être Ses disciples. C'est ce qui fait obstacle aux pécheurs. C'est ce qui retient la Venue de... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... croire que Dieu me l'accordera cet après-midi, pour cette petite et belle ville, de démontrer Sa puissance et Son autorité. S'il le fait, alors si vous ne Le recevez pas et que vous n'écoutez pas mes paroles, moi, j'aurai fait tout mon possible. Ce - c'est vrai. Et je me disais que j'attendrais pour cela la dernière réunion. Mais je vois donc que si je fais cela, j'aurai beaucoup plus de temps de parler de ce que nous sommes un.
Rappelez-vous, mes amis, que vous soyez noir, blanc, jaune, rouge, Américain, Canadien, Russe, Espagnol, Mexicain, d'où que vous veniez, nous sommes tous un en Jésus-Christ, nous tous. Dieu n'aime pas l'un plus que l'autre. Il ne m'aime pas plus que vous. Il ne vous aime pas plus que moi. Nous y sommes donc, nous sommes tous un en Jésus-Christ.
             Et vivons en conséquence. Vivons comme cela, chaque jour, devant le monde, et ils verront. C'est ainsi que vous élèverez Jésus aux yeux du monde. Que les autres voient Jésus en vous. Vous êtes des épîtres écrites lues de tous les hommes.
Allez-vous m'accorder cela, et allez... Et si Dieu m'accorde le reste de cela, je pense qu'il y aura une explosion, aujourd'hui même, du réveil à l'ancienne mode à Phœnix. Ne-n'aimeriez-vous pas voir chaque église dans un grand réveil à Phœnix ? Des âmes naissant dans le Royaume...
24     Inclinons un instant la tête. Notre Père céleste, me voici aujourd'hui debout ici devant ce groupe de gens, fatigué et épuisé, avec des crampes et des douleurs aux membres, poussant, tirant. 0 Christ, accorde qu'un jour Ton serviteur parte en paix, alors nous pourrons traverser ce fleuve. Et j'espère que Tu m'accorderas du repos de l'autre côté.
Père, Tu sais mes sentiments aujourd'hui, combien j'aurais bien voulu être chez moi à la maison à l'occasion de la fête de Thanksgiving, être simplement assis avec ma femme et ma famille. Mais, ô Dieu, ces cris et cette attraction à Portland pour les États d'Oregon au nord... Et ces précieuses personnes ici, à Phœnix, venues de différentes nations, les différentes personnes se rassemblant pour être guéries....
25      Et, Père, un jour, puissions-nous passer le Thanksgiving ensemble lorsque Tu seras couronné Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Ce glorieux jour de Thanksgiving, quand tous les saints seront rassemblés, ô Dieu, aide-nous à travailler pour ce jour-là pendant que nous sommes ici sur terre, et puisses-Tu nous accorder de la force divine.
Et, Père, alors que nous ouvrons Ta Parole maintenant pour quelques instants, puisse le Saint-Esprit descendre prendre les choses de Dieu et les apporter directement à cet aimable groupe de gens, semer les semences d'amour et de communion dans cette assemblée de gens, au point que chaque église sera bénie et que les gens commenceront un réveil, Seigneur, parmi eux et amèneront beaucoup d'âmes perdues pendant ces trois réunions à venir. Accorde-le, Père, et nous Te louerons pour cela, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
26     Eh bien, les trois prochaines réunions, le Seigneur voulant, nous allons faire un appel à l'autel et nous ferons venir des gens, des pécheurs. Amenez donc vos amis pécheurs et attendez-vous à ce que Dieu nous rencontre ici, sauve et guérisse toutes leurs maladies.
Le dimanche passé, dans notre leçon sur les Écritures, je pense qu'on était dans Nombres, chapitre 21, on parlait du serpent d'airain. Un... Le dimanche avant celui-là, nous avions vu le Rocher frappé. Le dimanche passé, nous sommes arrivés là où Dieu s'était occupé de Son peuple de telle manière qu'il les avait fait sortir de l'Égypte et avait pourvu à une voie pour eux tout au long du chemin.
27      Et nous avons vu le dimanche passé que toute cette église-là était un type, ou une ombre de l'Église que nous avons aujourd'hui : l'appel à sortir, la sortie des ténèbres pour entrer dans la merveilleuse Lumière, être conduit par des signes et des prodiges de Dieu, les faire sortir de l'Égypte et les faire entrer dans la Terre promise... Et c'est le type parfait même de l'Église aujourd'hui qui, étant conduite, sort des ténèbres pour entrer dans la Lumière de Christ, et comment II a conduit les gens, on a vu qu'ils étaient là parmi ces Égyptiens. Ils étaient devenus comme des païens. Dieu les a fait sortir, Il leur a donné des lois et des prodiges. Ils ont marché avec Dieu, et Dieu les a préservés de la maladie. Il leur a donné la nourriture à manger... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
28      II y a une voie pour chaque pécheur qui est ici, qui a péché. La voici : «Il y a une Fontaine remplie du Sang tiré... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] veines, les pécheurs plongés dans ce flot, perdent toutes les traces de leur culpabilité.» Vous êtes donc candidat à suivre l'Église de Dieu dans ce pèlerinage au désert vers la Terre promise. Et notre Terre promise se trouve dans Jean 14 : «Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu et croyez aussi en moi. Car il y a plusieurs demeures dans la Maison de Mon Père : Si cela n'était pas, Je vous l'aurais dit. Je m'en vais vous préparer une place. Et Je reviendrai, et Je vous prendrai avec Moi. » N'est-ce pas merveilleux, quand je pense à Son amour et à Sa compassion? «Je reviendrai, et Je vous prendrai avec Moi », l'amour qu'il avait.
29      Parfois, je me sens comme un esclave fugitif. Quand Paul en a trouvé un, il a écrit une lettre à son maître, disant : «Ne... Mets tout ce qu'il te doit, mets-le à ma charge, je te le payerai à mon arrivée. » Quand je pense à cela, je pense à ce Paul-là, ce grand chrétien, comment son cœur avait reconnu qu'il avait une grande dette, et que Christ avait, de Son propre Sang, écrit son pardon à la croix, et qu'il avait pris sa place. Et il avait de la compassion pour les autres. Ne serait- ce pas merveilleux si nous éprouvions tous de la compassion cet après-midi ? Prendre juste leur faute et M'en charger, Me laisser... si nous nous chargions ainsi les uns des fardeaux des autres... Eh bien, c'est ce que Dieu veut... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
Ils sont arrivés à un endroit où ils se sont mis à murmurer contre Dieu, et - et contre Moïse. Et Dieu a dû demander à Moïse de frapper le rocher. Nous avons vu avec quoi il l'a frappé, la verge de jugement. En fait, nous savons que c'était le jugement, la verge du jugement de Dieu. C'est cela qui avait fait venir des mouches, des puces, et-et qui avait changé de l'eau en... Ou qui faisait sortir des grenouilles des eaux et autres là en Égypte, parce que c'était le jugement de Dieu sur un peuple incroyant.Et remarquez. Le seul moyen pour Dieu de faire sortir ce peuple, c'était par une expiation. Et le seul moyen pour Dieu de pouvoir nous faire sortir aujourd'hui, c'est par une expiation. Et l'expiation a été déjà faite au Calvaire.
31     Remarquez. Ils descendent là. Oh! comme c'est parfait dans les Écritures! Comment Joseph, le plus jeune fils, rejeté par ses frères : Christ, rejeté par Ses frères. Joseph portait un manteau de sept couleurs. Et les sept couleurs, évidemment, représentaient les sept couleurs de l'arc-en-ciel, ce qui était une alliance.
Et Dieu a toujours eu Son peuple de l'alliance. Et puis, ce jeune Joseph était censé être tué par ses frères, et son manteau a été renvoyé à son père. Et j'aimerais que vous remarquiez une autre chose, c'est qu'il était jeté dans une fosse, et il était censé être mort. Et il a été retiré de cette fosse, et il a été amené dans la plus grande ville commerciale du monde, il était devenu le bras droit, de sorte que personne ne pouvait franchir les portes ou entrer dans les cours, sans être premièrement passé par Joseph : Un type parfait de Christ.
On pensait qu'on L'avait tué, et on L'avait jeté dans la tombe. Mais Dieu L'a ressuscité. Et aujourd'hui, Il est assis à la droite de la Majesté divine, et personne ne peut venir à Dieu sans passer par Christ. Est-ce vrai ?
32     Remarquez, l'échanson et le panetier, l'un a été refusé et l'autre rejeté, comme les deux voleurs à la croix, un type parfait. Et puis, à la mort de Joseph, il a laissé le signe aux Égyptiens, que ses os seront emportés à leur sortie. Beaucoup d'Égyptiens passaient par là, ou plutôt d'Israélites, là en Égypte, et voyaient ces os. Ils savaient qu'un jour avant que ces os soient complètement détruits, ils partiraient avec.
Christ, non pas que je croie dans Ses os, mais II a laissé une tombe vide, afin que nous qui sommes chrétiens aujourd'hui...
Quelqu'un a dit : «Frère Branham. Tout ce qui vous fait savoir que vous êtes chrétiens, ce sont les écrits des Juifs. »
J'ai dit : «J'ai plus que ça, pour savoir que je suis chrétien. » Assurément. Vous aussi, si vous êtes né de nouveau. Remarquez. Mais nous avons une tombe vide.
33      L'Islam est la religion qui a le plus de gens au monde aujourd'hui. Il y a plus de musulmans que n'importe quoi. Mais ils gardent un cheval blanc à la tombe de Mahomet, il est gardé là ça fait deux mille ans. On amène constamment un cheval blanc là pour que Mahomet, une fois ressuscité, le monte.
Si nous allons au fleuve Ganges aujourd'hui, nous trouverons là des mères qui sacrifient leurs petits enfants, les jetant en pâture aux alligators, et elles laissent les alligators croquer les petits enfants sombres, et leur sang giclant dans leur gueule, elles offrent des sacrifices au dieu du Nil. Eh bien, quelqu'un dira : « En effet, je suis sincère, c'est tout ce qui fait la différence. » Il faut plus que la sincérité. Eux aussi sont sincères.
34      Là, en Inde aujourd'hui, dans l'adoration de Bouddha, des gens comme frère Jateph, Gadyce Moservan, il a dit : «Frère Branham, j'ai vu... » Vous savez... Je pense que vous tous, vous connaissez Gadyce. C'est quelqu'un qui est connu à travers les nations, partout, l'Église méthodiste. Il a dit : «Je les ai vus se tenir debout jusqu'à ce que les ongles poussent et transpercent les mains, en disant : O grand Bouddha, si - si vous ne donnez pas du repos à mon âme, je n'abaisserai pas ma main.' » Laisse cela comme ça. Beaucoup parmi eux ne se sont pas couchés depuis des années, et ils sont debout dormant le long des murs, en train de prier.
Les Chinois, ils se fracturent les pieds. Ils ont quatre cent et quelques dieux de la cuisine seulement, ou l'une et l'autre chose comme cela, l'adoration païenne, réclamant la paix pour leur âme.
35      Et vous Américains, vous pouvez avoir cela maintenant même, mais vous le rejetez. Eh bien, ces païens se lèveront au jour du Jugement et condamneront... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] C'est vrai... [Espace vide sur la bande.]... pour vos idoles... [Espace vide sur la bande.] ...?... sont tous morts et partis. [Espace vide sur la bande.]... mais ressuscité ; il y a une tombe vide. Vous direz : «Oh! Eh bien, peut-être qu'on a vidé la tombe! » Il a fait mieux que ça. Il a dit : «Je prierai le Père, et II vous enverra un autre Consolateur, le Saint-Esprit, Il demeurera avec vous pour toujours. » Et II est ici aujourd'hui dans cette salle maintenant même, prêt à remplir tout cœur qui s'est vidé du monde ; Christ entrera sous forme du Saint-Esprit, et vous serez sauvé, vous aurez la paix. C'est vrai.
36      Oh ! la la ! Il n'est pas étonnant que cela fasse tressaillir notre cœur de joie, la glorieuse église, Dieu la conduisant à sortir. Ensuite, une fois arrivés à un certain endroit, à Kadès, c'était à Kadès que se trouvait à l'époque le siège du jugement, comme nous l'avons vu le dimanche passé.
Et alors, après que l'église était passée, Martin Luther... C'était la troisième étape du pèlerinage. Martin Luther était la première étape du pèlerinage, l'appel à sortir des ténèbres. John Wesley était la deuxième étape. Puis, la Pentecôte est venue. Et la Pentecôte a amené le jugement. Et les gens sont allés à la recherche des dons plutôt que... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] C'est vrai. Je crois que Dieu veut que je dise cela.Mes amis, si vous n'avez pas l'amour de Dieu dans votre cœur, vous manquez tout, peu importe ce que vous avez fait. Les langues cesseront, la prophétie prendra fin. Mais la charité ne périt jamais. Je préférerais que ma femme m'aime plutôt qu'elle ait peur de moi, pas vous ? Assurément, vous aimez Dieu. L'amour de Dieu dans votre cœur...
37      Remarquez donc. Alors, quand ils ont subi le jugement, ils sont tous rentrés, la maladie a aussitôt frappé dans le camp et des serpents venimeux sont apparus. Et Dieu a fait descendre le don de guérison pour les enfants d'Israël, un serpent d'airain. Peut-être qu'il n'avait pas pu trouver un homme en qui II pouvait placer confiance pour mettre cela, alors II l'a placé sur un serpent, un morceau d'airain et une perche. Et c'est la même chose, seulement sous une autre forme. Après qu'un malheur a frappé, ça a éclaté en morceaux, des centaines de différentes églises, organisations, et dénominations, vous vous disputez les uns avec les autres, la maladie. Il y a des maladies dans le pays aujourd'hui plus qu'on en a jamais connu auparavant. Le grand fléau du cancer balaye les nations, et les chrétiens en meurent par milliers. Et de penser donc qu'à l'heure même où l'Ange de Dieu est descendu, Il a même identifié le cancer.
38      Je vais aller à l'hôpital aussitôt après, il y a là une enfant à l'article de la mort. On dit que quatorze médecins l'ont abandonnée avec le cancer. Oh, puisse Dieu me rencontrer là. Ce sera un témoignage pour Phœnix.
Cet Ange se tenait là, qui a témoigné que rien comme le cancer... Il a dit : «Rien ne résistera à ta prière, même pas le cancer. »
Mais pensez-vous que tous les Juifs avaient cru dans ce serpent d'airain ? Certainement pas. Et il y a des milliers de Gentils et de gens aujourd'hui, quand vous leur parlez du don de la guérison divine, ils disent que c'est du fanatisme. Comment vous attendez-vous à être guéri ? Ce n'est pas pour vous pour commencer ; c'est pour les croyants, pour ceux qui croient.
39      Maintenant donc, après que nous les avons laissés le dimanche passé, nous pourrions donc continuer le voyage au chapitre 22. Et je n'aurai pas le temps de lire cela... sur cela. Mais je peux lire un ou deux versets ici, et suivez donc attentivement.
Et les enfants d'Israël partirent, ils campèrent dans la plaine de Moab, au- delà du Jourdain, vis-à-vis de Jéricho.
Remarquez, ils ont continué le voyage. Et alors qu'ils continuaient... Évidemment, Aaron était mort en ce temps-là. Et alors qu'ils progressaient, Moïse, progressant avec les enfants d'Israël, ils voulaient passer, contourner un pays. Le roi leur a dit : «Non, vous ne pouvez pas passer par ici. » Mais quand il est venu et qu'il les a combattus et qu'il a emporté des gens, alors Dieu lui a dit, Il a dit à Israël, ou plutôt Israël a fait des vœux à Dieu, que s'il livrait ce roi entre leurs mains, ils extermineraient ce pays. Et c'est le type d'aujourd'hui. Si Dieu vous donne l'Esprit, le Saint-Esprit, Il exterminera le péché dans votre vie. Allez de l'avant. Rien ne peut arrêter l'Église. Ils peuvent vous taxer de fanatiques, ils peuvent simplement vous taxer de ceux qui portent une Bible. Ils peuvent dire que vous êtes un saint exalté, ou n'importe quoi qu'ils font. Rien ne va subsister devant l'Église de Dieu. Elle avance vers Canaan. Si vous ne - si vous n'allez pas, Dieu va prendre ceux qui veulent partir. C'est vrai. II... Cette Église... Il n'y a rien. C'est une force irrésistible. C'est vrai. Et Dieu ôteratout.
40      II y a quelques années, on disait qu'on allait vous chasser, qu'on allait vous renvoyer en arrière, qu'on allait vous fermer la bouche, mais l'Église va de l'avant. C'est vrai. Et l'Église continuera d'avancer. Il n'y a rien. Il arrivera un temps où vous deviendrez assez grands, vous devriez être en mesure de vous exprimer et parler.
Aujourd'hui, elle progresse. Et ils ont fini par arriver au pays de - de Moab, là, et un roi Balap, il... plutôt Balak. Il redoutait d'être exterminé, il a dit : «Oh! cette grande foule-là, c'est comme, elle va nous exterminer comme des veaux exterminent l'herbe de champ. » Il a envoyé un prédicateur, un prophète du nom de Balaam. Il a dit : «Va me maudire ce peuple, Israël, car je comprends que celui que tu maudis est maudit et celui que tu bénis est béni. »
41      Eh bien, j'aimerais que vous remarquiez cela. Voici. Les gens savaient qu'il y avait une puissance dans ce prophète, telle que tout ce qu'il maudissait était maudit, tout ce qu'il bénissait était béni. Vous lecteurs de la Bible, vous qui lisez la Bible, est-ce scripturaire ? Eh bien, si seulement nous avions le temps de le lire comme il nous le fallait, mais tel... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Je ne peux pas, Dieu met cela dans ma bouche. Est-ce vrai ? Eh bien, je ne peux pas le dire, aucun prophète, aucun homme, aucun guérisseur, personne. Vous demandez trop d'un prophète. Certainement.
Il y avait beaucoup de gens qui venaient auprès d'Élisée pour être guéris de la lèpre. La Bible dit qu'il y avait beaucoup de lépreux à l'époque d'Élisée, mais un seul a été guéri, et c'était Naaman. Est-ce vrai ? Certainement.
Combien pensez-vous étaient venus ? Il y avait probablement des centaines de lépreux qui étaient venus, car il y en avait beaucoup à l'époque de - d'Élisée. Mais il n'y a eu qu'un seul parmi eux... Mais Dieu a écrit cela dans la Bible. Allez voir.
42     Aujourd'hui, il y a de cela plusieurs mois, j'ai enregistré trente-cinq mille cas, avec des attestations médicales confirmant des guérisons définitives. Frère, je - je pense que vous pensez que je suis excité, mais je ne le suis pas. Je sais où je me tiens. Mais écoutez.
Jésus a dit : «Vous accomplirez de plus grandes œuvres que celles que j'ai accomplies car Je m'en vais au Père. » Quelqu'un devait accomplir cette Parole-là. C'est vrai. De ces pierres Dieu peut susciter des enfants à Abraham.
43     Et remarquez. Eh bien, aux grandes réunions de guérisons donc, et ce sont ici les derniers jours. Si je n'étais pas conscient de ces choses, j'aurais eu peur de parler de cette ligne des miracles. Je ne peux faire que ce que Dieu dit de faire. Je ne peux parler que quand Dieu dit de parler. Je ne peux guérir que quand Dieu dit de guérir. Je ne peux vous dire que les vibrations sont parties que quand Dieu arrête les vibrations.
Eh bien, je ne peux pas les arrêter. Je ne suis pas guérisseur ; c'est Lui le Guérisseur. Mais quand je les vois être arrêtées, ce n'est pas moi qui les arrête, elles sont arrêtées par Dieu. Et si je vous dis cela, et que vous en doutez, alors vous retomberez encore malade. Si vous croyez cela, vous serez guéri. C'est vrai. Rien ne peut empêcher que l'on soit guéri. Eh bien, je ne peux amener un sourd à entendre. Je ne peux amener un muet à parler. Je ne peux faire sortir ces bouchons qui sont dans les oreilles de gens. C'est Dieu qui fait cela. Et s'il le fait sur l'estrade, partez en vous réjouissant et servez-Le, de peur qu'une chose plus grande...
44      Balaam a dit : «Je ne peux pas le faire à moins que Dieu m'envoie. » Eh bien, ensuite, il a prié Dieu. Mais cette nuit-là, l'Esprit vint lui parler. Et II a dit : «N'y va pas. » On dirait que cela devrait suffire, n'est-ce pas ? Eh bien, je me prêche pratiquement ma conviction, ici même cet après-midi. Il m'a déjà parlé : «Tu confirmes... tu confines trop ce don de guérison aux miracles. » Et j'aimerais que ceci soit l'apogée.
Et remarquez. Ensuite, il s'est dit : «Je ne peux dire que ce que Dieu dit. » Aucun prophète ne peut dire autre chose que ce que Dieu place dans sa bouche, s'il est un prophète. S'il est un faux prophète, s'il est un mercenaire, eh bien, il - il peut dire n'importe quoi. Mais si vous dites n'importe quoi, et Dieu doit accomplir cela. Si c'est Dieu qui l'a dit, ça sera ainsi.
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William Branham = faux prophète - Page 4 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:19

45      Remarquez. Il a alors dit cela, qu'il ne pouvait dire que ce que Dieu mettait dans sa bouche. Et Dieu lui avait dit de renvoyer ces gens. Et il... Remarquez. Alors, Balaam, comme beaucoup de prophètes mercenaires donc, pour les intérêts, pour de l'argent, il est revenu et Lui a demandé pour la seconde fois. Il est retourné auprès de Dieu.
Remarquez donc. Il y a une volonté parfaite de Dieu et il y a une volonté permissive de Dieu. Et Dieu a permis à Son prophète d'aller de l'avant, cependant ce n'était pas dans Sa volonté parfaite. C'était Sa volonté permissive. Et je pense que cet après-midi, c'est la même chose concernant ces... opérant ces-ces... pour cette ligne de miracles. C'est peut-être la volonté permissive de Dieu, mais ce n'est pas Sa volonté parfaite. Vous êtes censés me croire sur parole, et si - si...
47      Écoutez, mes amis, c'est difficile de dire cela. C'est difficile pour les gens de voir cela. Mais je ne... Il devrait y avoir quelqu'un... que Dieu accorde qu'un jour je puisse avoir quelqu'un, Il m'enverra quelqu'un qui parlera pour moi, et je n'aurai pas à faire cela. En effet, on dirait qu'on se jette des fleurs. Dieu au Ciel sait que je ne me tiendrais pas ici pour être hypocrite à ce point devant Son peuple. C'est vrai. Mais c'est la vérité. Je serai jugé pour cela au jour du Jugement. Il a déjà dit cela.
Et remarquez. Eh bien, ça peut ne pas être Sa volonté parfaite, mais je crois dans Sa volonté permissive, car je le Lui ai demandé pour Phœnix, ici, aujourd'hui, afin que vous puissiez voir que ce que je vous ai dit est vrai. Et l'Ange de Dieu, qui m'a rencontré cette nuit-là dans la chambre, je prie qu'il se tienne ici pour résister contre tout ce qui sera amené ici cet après-midi. Eh bien, eh bien, comme je le dis, je ne suis pas censé faire cela ; en effet, je ne fais que dire : « Amenez quelqu'un ici. »
48      Bon, si vous me laissez parcourir cette foule, j'ai déjà repéré au moins quatre personnes qui sont assises ici devant moi maintenant même, qui peuvent être guéries ici même, par un miracle, maintenant même; en effet, je les aperçois. L'un d'eux, c'est un homme âgé, aux cheveux grisonnants. Une autre, c'est une jeune fille ; une autre, une jeune fille. Ils sont assis juste devant moi maintenant ; ils peuvent être guéris par un miracle, ici même.
Mais s'il me fallait aller là et vous choisir, alors on voudrait trouver un défaut en moi. Voyez ? Ce don, je ne pense pas qu'il ait été donné pour tenir des réunions de masse comme celles-ci. Je ne pense pas. Je pense que je devrais être conduit par le Dieu Tout-Puissant à aller partout où II me conduit, de lieu en lieu, comme cela. Et puis, prier pour des gens et autres, selon qu'il me conduit.
Je ne sais pas. Mais quoi qu'il en soit, je cherche à régler ces choses, que je puisse trouver Sa divine volonté parfaite, Son canal par lequel entrer, rester là, peu importe ce que quelqu'un dit à ce sujet. C'est vrai.
Eh bien, Il a dit à Balaam d'aller là. Évidemment, nous savons qu'en chemin, l'Ange du Seigneur l'a rencontré. Et il a pu... il était si aveugle, siassoiffé d'argent qu'il n'a pas pu voir - même pas voir le - l'Ange se tenant devant lui. Et puis, le - l'ânesse qu'il montait s'est détournée pour aller dans le champ. Cette ânesse. Oh ! la la ! L'ânesse a eu plus de discernement spirituel que l'homme, quand ce dernier a détourné son esprit de Dieu.
L'autre soir, quelqu'un parlait, et je disais que mon... [Espace vide sur la
bande - N.D.E.] « ...placer une pierre d'achoppement sur le chemin des gens.
»
J'ai dit : «C'est vrai comme tout. » Je...
« Les chrétiens devraient... si les chrétiens avaient vu ça, ça serait différent, vu ces choses. »
J'ai dit : «Oui, mais parfois les chrétiens sont si aveugles qu'ils n'arrivent pas à voir cela. » C'était à l'époque de la Venue de Jésus. Ces astrologues sont allés droit là et L'ont adoré, les trois mages. Et le sacrificateur au temple avait des discussions pour savoir si telle ou telle chose était vraie. C'est la vérité. Et une petite sorcière...
50      Rappelez-vous, je dis que c'est une œuvre du diable. Tous les spirites et l'astronomie, c'est l'œuvre du diable. Et je sais que je vais aller au Mexique, là où on pratique la magie noire et tout le reste, mais je sais en Qui j'ai cru. Je sais que Dieu prendra soin de moi. Et II amènera cette chose à une confrontation, comme II l'a fait l'autre soir à Oregon. C'est exact. C'est vrai. Mais quant à amener les gens à rester assez longtemps tranquilles pour voir cela, ça, c'est une autre chose. Bon. Alors, ces choses dont il a parlé, et... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Il n'a pas vu l'Ange, et le... [Espace vide sur la bande.]... s'est détourné. Alors l'Ange est allé et s'est tenu à un autre endroit. Observez-Le, Il s'est déplacé à trois reprises, ce qui représente les trois étapes du voyage, les trois étapes du voyage donc, les trois étapes du voyage des enfants d'Israël, les trois étapes du déplacement de Balaam.
51     Nous sommes à notre troisième et dernier jour. Et rappelez-vous, l'âge de la Pentecôte, c'est un âge rejeté. Je déteste le dire, car je n'avais point trouvé la foi dans une quelconque église comme j'en ai trouvé dans l'Église pentecôtiste. Mais elle est rejetée, parce que c'est le dernier âge de l'église de Laodicée : tiède. Elle est vomie de la bouche de Christ. Mais Dieu en a fait sortir Son peuple, de cet âge pentecôtiste.
Vous direz : «Eh bien, j'attends un âge glorieux. » Je sais, beaucoup parmi vous... Il y a un enseignement, les écoles des prophètes. Ils disaient qu'il y aurait tout un grand âge de l'église à venir. Ne le croyez pas. La prochaine chose à venir, c'est Christ venant pour Son Église. C'est vrai. Pour... Rappelez-vous donc, le dernier âge de l'église, c'est l'âge de l'église deLaodicée, l'âge tiède qui est vomi de la bouche de Dieu. C'est vrai. Et vous le savez.
52        « Oh! direz-vous, Frère Branham, vous faites cavalier seul. » Eh bien, qu'en est-il de tout le concile ? C'est ainsi que l'Église catholique avait commencé, par le concile des hommes. Dieu n'agit pas par le concile des hommes ; Il traite avec les individus.
Regardez là tout ce groupe de prophètes disant à Achab de monter en paix. Et quelqu'un a dit : «N'y en a-t-il pas un autre ? » C'est Josaphat qui avait dit cela. «Oui, il y a le pauvre petit vieux Michée. » Mais Michée savait où il se tenait. Il connaissait son Dieu. Et je sais que beaucoup rejetteront cette déclaration que je fais maintenant. Mais n'oubliez pas, je le crois de tout mon cœur, je connais Dieu. Et je crois que c'est dans cet âge-ci, où nous nous attachons trop à telle église et à telle autre. Dieu n'aime pas ça. Il nous faut sortir de cela. Il nous faut nous rassembler, que nos cœurs soient ensemble. C'est vrai.
53     Et remarquez donc. Et quand il est allé là, cette ânesse a vu cela se tenir... D'abord, elle L'a vu là à la porte ; le prochain endroit, c'était un endroit resserré et, le suivant, elle L'a vu se tenir à un chemin très étroit. Et finalement, l'ânesse a parlé d'une voix d'homme.
Regardez. Une ânesse muette, un animal muet. Si Dieu, un Ange de Dieu a pu parler par un animal muet, ne peut-Il pas parler par un homme ? Les gens sont trop aveugles pour Le voir. Il a dit : «Voici... De ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Achab - à Abraham. » Oh ! la la ! Alors, Balaam est allé maudire les enfants d'Israël. Nous devons nous dépêcher. Oh ! la la ! J'aime vraiment ceci de toute façon. Il avait beaucoup de place.
54      Regardez. Il a continué son déplacement après que l'ânesse lui eut même parlé. Et l'Ange du Seigneur se tenait sur la route. Eh bien, Dieu n'apprécie pas les agissements des gens, les gens tièdes. Soyez soit chaud, soit froid, soyez soit dedans, soit dehors. Que Dieu hâte le jour où les chrétiens seront ce qu'ils professent être, et les pécheurs de même. Oh, si je n'étais pas pour Christ, je serais contre Lui. Je me tiendrais ici parlant contre. Je ...?... Je n'aurais rien à faire pour Lui. Il n'y aurait rien pour Lui. Je serais contre Lui si je n'étais pas pour Lui.
Mais mes amis, je crois effectivement qu'il est le Fils de Dieu, comme la Bible le dit. Je crois qu'il est monté en haut, comme la Bible le dit. Je crois qu'il revient, comme la Bible le dit. Et je crois qu'il a renvoyé des dons aux hommes. Par conséquent, aujourd'hui, je fais un programme là-dessus, parce que j'y crois. Si vous me voyez mener une vie différente, faites-le moi savoir,car j'aurai rétrogradé. Si je fais autre chose et que je mène cette vie-là, j'aurai peur de m'avancer devant ces démons et ces puissances.
55      Je sais que c'est difficile, cela me brise. Et je déteste tout dire aux gens. Mais, mes amis, je dois me tenir au Jugement un jour pour répondre devant vous. C'est vrai. Et votre sang sera entre mes mains. Servez Dieu avec révérence d'un cœur pur, avec un saint amour pour Lui. Marchez chaque jour dans l'amour, tout le temps. Faites du bien aux autres, et faites de bonnes œuvres, aimez Dieu, et adorez-Le, et c'est la vie que vous êtes censé mener. Et traitez votre voisin comme vous-même. C'est bien. Bon. Remarquez ceci maintenant. Alors, quand il est arrivé là, Balaam... Ou quand il est descendu là, il pensait assurément que... Voici une autre erreur. Je vais insérer ceci juste avant de terminer. Veuillez m'accorder toute votre attention ici même jusqu'à ce que nous atteignions l'apogée. Oh ! la la ! je sens qu'il est ici. Assurément. Je Le remercie.
56      Regardez. Quand il est arrivé là, Balaam est allé avec cette pensée-là. Eh bien, je vous engueule là. Vous - vous les gens de la sainteté, les gens du plein Évangile, les nazaréens, les pentecôtistes, l'Église de Dieu et les assemblées de Dieu et, oh! tous les autres parmi vous, même vous les méthodistes, les baptistes, et vous tous qui aimez Dieu, remarquez ceci. Mais regardez, quand Balaam... Eh bien, pour en faire une application à l'église, c'est en cours. Quand Balaam est allé là, il a considéré le peuple. Israël avait fait tout ce qui pouvait être fait, pratiquement, comme péché. Ils avaient rétrogradé vis-à-vis de Dieu. Ils étaient là, ils avaient... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... église... l'étalon de la petite église, ils avaient brisé les foyers des hommes, l'un allant dans tel sens et l'autre dans tel autre, ils avaient fait tout ce qui pouvait être fait. C'est vrai. Mais, ne jugez pas tout le monde à partir d'une seule personne. Voyez ? Nous avons tous eu ça. C'est vrai. Mais ils disent : « Oh, cette - cette - cette église du Saint-Esprit, tous ces gens qui poussent des cris et qui font des histoires. Regardez, je connais l'un de leurs pasteurs qui a fait telle chose. »
Oui, et frère, s'il n'y avait pas un peu d'argent derrière cela, on aurait dit beaucoup de choses au sujet de ces autres aussi. Mais, comme ils ont beaucoup d'argent pour étouffer cela, on doit faire passer une éponge sur ces gens. C'est tout. Mais, rappelez-vous, nous avons les deux, le bien et le mal.
Et Balaam a considéré ce peuple et il s'est dit : « Regardez ça... » Écoutez donc. Il s'est dit assurément qu'un Dieu saint et moral maudirait un tel peuple qui a fait de telles choses. Mais alors qu'il le regardait, il a vu, il a dit : « Eh bien, regardez. Ils ont fait ceci, ils ont fait cela. Assurément, il n'y a pas au Ciel de Dieu saint qui puisse regarder cela et-et avoir absolument unequelconque bénédiction pour cette église-là. En effet, regardez-les. Ils ont fait telle chose, ils ont fait telle autre. » Il regardait cela avec des yeux, d'un point de vue moral, cherchant à juger un peuple par un Dieu moral, un Dieu saint, mais il a manqué de voir le rocher frappé qui les précédait, le serpent d'airain, cette expiation qui avait pardonné leurs péchés.
Et c'est pareil aujourd'hui, alors que les gens rient et disent : « Ces guérisseurs divins, ces saints exaltés, ils ont fait telle et telle chose. » Je reconnais cela. Mais ils manquent de voir le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, précédant l'Église. C'est vrai. Cela fait expiation. Il y a une expiation qui a été faite pour l'Église. Et vous qui connaissez Dieu, allez de l'avant. Dieu est pour vous. Peu importe à quel point on cherche à placer une malédiction sur cela, ça ne peut pas se faire. Le Sang de Christ ôte cela. Dieu n'a pas regardé les gens suivant leur étendard moral. Tout ce qu'il regarde, c'est le Sang de Son propre Fils, Jésus- Christ. Et tous ceux qui sont sous ce Sang-là sont protégés. Amen.
58      Oh! la la! Sous le Sang... Peu m'importe à quel point vous criez à tue- tête, vous poussez des cris, restez là jusqu'au matin. C'est vrai. Ils étaient sous le sang, le sang de l'agneau, le rocher frappé, le serpent d'airain. Regardez, ils étaient sous le sang de l'agneau, comme nous avons vu la semaine passée, le balaie - le Sang placé sur la porte, le linteau de la porte. Ils sont sortis sous le sang, ils sont allés là. Quand ils ont eu faim, Dieu les a nourris de la manne du Ciel. Quand ils ont eu soif, Il leur a donné l'eau du rocher. Quand ils sont tombés malades, Il leur a donné la puissance de la guérison.
Et Balaam a manqué de voir cela. Il pensait, comme ils étaient si radicaux dans ceci et cela, que - que Dieu n'avait pas de considération pour eux. Il n'avait pas de considération pour eux, mais II en avait pour Son expiation. Amen. Dieu, aujourd'hui, peu importe ce que l'église a fait, l'expiation, le Sang de Jésus-Christ fait toujours expiation pour les péchés. Amen.
59      Oh! la la ! Nous allons bien directement crier ici, bien assez, n'est-ce pas ? Quand je pense à cela, le Sang... Sous le Sang, tous sont Ses fils et Ses filles tant qu'ils confessent sous le Sang. Si vous avez donc fait un mal, placez- vous sous le Sang aujourd'hui et confessez vos péchés. Car si nous sommes déchus de la grâce, nous avons un Avocat auprès du Père, notre Seigneur Jésus- Christ.
Oh! s'il n'y avait pas cet Avocat-là, ça aurait été fini pour nous, n'est-ce pas ? Mais nous sommes amenés là sous le Sang riche et royal du Fils de Dieu. Et devant Dieu, nous sommes purs et saints. Alléluia!
Je pense que ce n'est pas illégal de dire cela à Phœnix : Alléluia! Je veux dire gloire à notre Dieu. Je pense qu'il mérite chaque louange, chaque alléluiaque nous pouvons faire retentir avec ces lèvres mortelles. La Bible dit : « Vous êtes un sacerdoce royal, un peuple particulier, offrant des sacrifices spirituels à Dieu, les fruits de vos lèvres Lui rendant gloire. » Oh! la la ! Les fruits de vos lèvres, déversant la louange chaque jour devant les gens.
Quel Souverain Sacrificateur nous avons ! Dans quel sacerdoce nous sommes ? Dans le sacerdoce de la circoncision, non pas de la chair, mais du cœur (Amen.), le cœur circoncis par le Saint-Esprit. C'est vrai. Vous pouvez alors offrir des louanges et l'adoration à Dieu, le sacrifice spirituel, vos lèvres déversant des louanges pour Lui.
61      L'autre soir, alors que les gens se tenaient là, quand un petit enfant aveugle qui était dans les bras de la mère, ses petits yeux étaient aveugles, mais après qu'on eut prié pour lui, je le tenais dans mes mains comme ça, le regardant. Je regardais là et j'ai dit : « Maman, il voit la lumière. » Elle l'a regardé, elle a placé ses mains devant lui. Il a cligné ses petits yeux. Et j'ai pris ma main, il a suivi ma main tout autour comme ça. Eh bien, les gens se sont simplement levés, ces chevrons ont retenti de louanges. Il y avait quelqu'un qui se tenait là, il a dit : « Ils font trop de bruits. »
J'ai dit : « S'ils se taisaient, je pense que ces chevrons loueraient Dieu. » Quelque chose doit se passer. Amen! Oh! la la! Il n'est pas étonnant que le poète ait pu chanter :
Grâce étonnante ! Quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi !
Autrefois j'étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé, J'étais aveugle, mais maintenant je vois. Oh, c'était la grâce qui m'avait enseigné la crainte, Sa grâce a ôté mes peurs ;

Combien précieuse parut cette grâce, au début de ma foi ! (Oh! la la!) Après que nous aurons passé dix mille ans là,

C'est... nous n'aurons pas moins de temps pour chanter Ses louanges, Que nous en avions au début.

62      Oh! comme c'est merveilleux ! Il n'est pas étonnant qu'Eddie Perronet ait pu crier à l'heure de sa mort, jetant ses mains sur la croix, il s'est écrié :
Que tous acclament la puissance du Nom de Jésus !
Que les anges se prosternent ;
Apportez le diadème royal,Et couronnez-Le, Seigneur de tous.

Oh! la la ! La pauvre aveugle Fanny Crosby n'avait jamais vu de sa vie, elle s'écria :

Ne m'oublie pas, ô doux Sauveur, Écoute mon humble cri ; Quand Tu appelleras les autres, Ne m'oublie pas.

Que peux-Tu m'offrir, Seigneur ? Que peux-Tu offrir à l'aveugle Fanny Crosby, qui a été aveugle toute sa vie? Elle avait trouvé le flot de tout... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Voyez-vous ce que je veux dire ?
Plus que vie pour moi. [Espace vide sur la bande.]

Face à face, Le contempler, prendre... [Espace vide sur la bande.]

Eternel... [Espace vide sur la bande.]

62      L'Auteur de... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Viens-moi en aide cet après-midi, Père. Et puisse ceci ne pas consister à faire parade de Ta puissance. Mais, ô Dieu, que tout celui qui passera sur cette estrade cet après-midi soit guéri par Ta divine puissance, afin que le peuple d'Israël, spirituellement parlant, puisse se réjouir de la puissance de leur salut. Et puissent ceux qui sont incroyants avoir honte. Accorde-le, Dieu bien-aimé, et ils se prosterneront humblement au pied de la croix le dimanche prochain, et cette semaine, à un moment, et diront : « Seigneur, j'ai été dans l'erreur. J'ai persécuté les gens qui croyaient dans la guérison divine. Je disais qu'ils étaient des saints exaltés. Je les ai taxés de tous les noms. Mais je manquais de voir le Sang et la puissance de Christ qui les précédaient.»
0 Christ, encourage Ton peuple. « 0 Jacob, que tes tentes sont rangées dans un ordre divin. » Oh, d'où qu'ils regardent, c'est divin. Il y a la joie ; la libération du péché ; la puissance de la guérison ; il y a tout sous la tente. 0 Dieu, que l'aveugle Balaam voie cela cet après-midi et qu'il rende gloire au Dieu du Ciel. Car nous le demandons en Son Nom, et pour Sa gloire. Amen.
63     Juste un instant. Je vais demander à l'un d'eux qui est ici de s'avancer donc. Que tout le monde garde son siège. Nous allons avoir un... que l'un des frères s'avance ici à la chaire.
Maintenant, ne l'oubliez pas, mes précieux amis, la puissance de Dieu; ce n'est pas pour en faire parade. Entendez-vous cela ? Et si Jéhovah Dieu, mon Sauveur Jésus-Christ, va exaucer ma prière cet après-midi et va guérir ces gens qui seront amenés ici, par des miracles... Alors, si alors vous ne recevez pasChrist, alors Phœnix, j'aurai fait tout mon possible. J'aurai fait tout mon possible. J'ai essayé de vous parler ; j'ai essayé de vous prêcher ; j'ai essayé de vous le démontrer par la Parole ; et alors, si Dieu se manifeste par la puissance, c'est tout ce que je sais faire. Alors, je crois que, si Dieu le fait, quand nous ferons un appel à l'autel à l'ancienne mode ici, les pécheurs se frayeront leur chemin, les chrétiens retourneront, se serreront la main les uns aux autres, et il y aura un réveil qui balayera par ici.
65      J'ai appris qu'il y a deux ou trois réveils qui ont donc commencé. Le frère James Outlaw, je pense, commence un réveil. Et beaucoup d'autres frères ici dans la ville. J'espère qu'il y aura un réveil qui commencera dans chaque église, partout, et que les gens viendront à Christ. Oh! la la! Croyez-vous que nous sommes en cette étape du voyage maintenant ? Le croyez-vous ? Levez la main. Eh bien, j'aimerais vous poser encore une question. (Frère Hooper, si vous pouvez vous apprêter à venir sur l'estrade juste un instant.) Bon, voici la question que j'aimerais poser : S'il y a quelqu'un ici aujourd'hui, qui ne croit pas ceci de tout son cœur maintenant, mes amis, si vous ne croyez pas cela...
66      Tenez, la semaine passée, nous avons eu certaines choses qui sont arrivées dans notre réunion, durant toute cette merveilleuse réunion. Mais il y avait deux huissiers qui se tenaient juste à côté quand une crise d'épilepsie avait été chassée, et les deux huissiers sont tombés chacun de son coté, l'un est tombé face en avant, l'autre est tombé face en arrière comme ceci. Quelques heures plus tard, ils ont cherché à faire entrer une femme, ils n'ont pas pu, c'était une belle femme, une femme d'affaires de la ville; elle avait un-un maga-un magasin, où elle vendait des habits pour femmes et tout, une très belle femme. Et environ deux jours plus tard, on l'a amenée là devant l'hôtel, et elle était en train de baver comme un chien qui a perdu la tête. Voyez ? Ils ne pouvaient pas... C'étaient les puissances de l'enfer qui avaient été chassées, et les démons qui vont d'une personne à l'autre.
Eh bien, laissez-moi dire - dire encore cela juste ...?... là. Écoutez. N'oubliez pas, il s'agit de chasser Satan. Avec ma Bible sur mon cœur, mes amis, il s'agit de chasser des puissances qui lient ces gens. Et quand cette puissance est chassée, ce démon ira quelque part s'il peut en trouver. Vous rappelez-vous quand Jésus avait chassé Légion, les démons, ils ont dit : « Accorde-nous d'aller ici dans ce troupeau de cochons. » Est-ce vrai ? Et II - Il leur a permis d'y aller. Et ils allèrent là, et ces cochons, par milliers, coururent à la rivière et s'y noyèrent. Est-ce vrai ?
Et maintenant, souvenez-vous-en, mes précieux amis, c'est de tout mon cœur; considérez ceci comme un avertissement. Si vous avez une pensée sceptique, s'il vous plaît, ne restez pas dans la salle maintenant. En effet, il yaura probablement des fous, des aveugles, des sourds, tout va être amené ici maintenant. Et vous devez vous tenir parfaitement calme. Et si vous trouvez que vous ne pouvez pas garder la tête inclinée, alors ne restez pas ici. Eh bien, nous essayerons de souffler chaque quinze minutes, si le Seigneur accomplit un miracle, évidemment.
Eh bien, je ne dis pas qu'il n'y en aura qu'un seul. Il ne peut y en avoir qu'un seul. Je peux ne pas même avoir ce seul-là. Je ne peux le dire. Permettez-moi de bien me faire comprendre. De part et d'autre, vérifiez et revérifiez cela afin que vous en soyez sûrs.
68      Rappelez-vous, j'ai dit que ceci est un don de guérison. Que tout le monde m'en rende témoignage. Si c'est le cas, dites amen. [L'assemblée dit : « Amen ». - N.D.E.] L'Ange ne m'a jamais dit d'accomplir un seul miracle. Que tout celui qui entend cela dise amen. Il m'a dit que si je priais pour les gens, ils seraient guéris, si je peux les amener à me croire. Vous avez entendu, si vous vous en souvenez, dites amen. Mais c'est par la foi, la foi en l'Invisible qui est ici cet après-midi, il m'a été accordé par le Dieu Tout-Puissant d'ouvrir les yeux des gens totalement aveugles, de déboucher les oreilles de ceux qui étaient nés sourds-muets, de sorte qu'ils parlaient et entendaient. Des boiteux qui avaient des atrophies physiques hideuses... leurs membres se sont dépliés devant les yeux des gens et ils sont partis en marchant par la puissance de l'Invisible.
69      Mais, rappelez-vous, il ne s'agit pas de ma propre puissance. Il s'agit de Sa puissance. Je n'ai aucun moyen, pas du tout, d'accomplir des miracles. Je ne suis qu'un homme comme vous, votre mari, votre frère. Je suis un homme. Mais Lui est Dieu. Et cet Ange est divin, celui qui est envoyé du Trône de Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire ? C'est par... [Espace vide sur la bande.] L'Ange, et la Parole de Dieu... [Espace vide sur la bande.]
... miracles ici... [Espace vide sur la bande.] Est-ce vrai ? Bon, combien croiront avec moi ? Voyons votre... [Espace vide sur la bande.] ...?... Je vous ai ...?... merci.
Maintenant, doucement, donnons-leur un peu de chance de se reposer. Que tout le monde se tienne avec respect maintenant que nous chantons Crois seulement, maintenant. Tout le monde. Eh bien, c'est un cantique que l'Ange de Dieu apprécie. Maintenant, tout le monde, détendons-nous, et soyez vraiment aimables. Aimez-vous Jésus ? Dites : « Amen. »
70      Maintenant je dois totalement me détendre. Et maintenant, pendant que nous chantons, eh bien, tout le monde, allons-y donc doucement :
Crois seulement, crois seulement,Tout est possible, crois seulement ; Crois seulement, crois seulement ; Tout est possible, crois seulement.
Inclinons la tête et fredonnons cela très doucement. [Frère Branham se met à fredonner - N.D.E.] Oh! Grâces soient rendues à Dieu! Pendant que vous fredonnez cela, j'aimerais ...?...
71     Bon, regardons très respectueusement à notre Seigneur Jésus. O Dieu, combien je me sens humble en me tenant ici. J'ai présenté ceci, Père, dans cette partie de la réunion, disant aux gens que ces choses pourront arriver. O Dieu, j'ai prêché cela ...?... aujourd'hui, sur un mercenaire, le prophète Balaam. Et je sais que Tu as dit, Bien-aimé Jésus, au diable : « Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu. »
Satan a dit : « Oui, mais il est écrit dans les Écritures... » Oui, Père. Et Satan cherchera à tenter aujourd'hui.
Dieu bien-aimé, tout est entre Tes mains. Et je Te prie du fond de mon cœur aujourd'hui, ici devant ce microphone, comme d'habitude, seul dans la chambre... Mais, Père, Tu connais mon cœur. Et je crois que c'est Ton ministère qui a été tant négligé, Ton peuple a été rejeté dans le ...?... l'heure est arrivée où Tu vas prendre Ton Église.
72     Viens-moi en aide, Père bien-aimé. Voudras-Tu honorer les paroles de Ton serviteur aujourd'hui, c'est si pauvre et indigne d'être honoré ? J'ai dit que cet Ange, qui m'avait rencontré dans la chambre cette nuit-là, avait dit : « Rien ne résistera à ta prière. » Dieu bien-aimé, si ce n'est pas Ta volonté divine, s'il Te plaît, arrête cela.
Mais, Père, Tu connais toutes choses. Ce n'est pas afin que ces gens m'entendent, mais que Toi, Tu m'entendes. Je veux voir un réveil dans cette ville-ci. O Dieu, il y a quelque chose qui remue mon cœur depuis que j'ai su que j'allais venir à Phœnix. Viens-moi en aide, Dieu bien-aimé. Et puisse cela déclencher un réveil à l'ancienne mode. Puisse Ton serviteur un jour habiter ici dans cette belle petite ville.
Maintenant, bénis-nous ensemble. Oins-moi, Seigneur. S'il Te plaît, que Ton Ange... Et Tu sais, Père, que je Te rends toute la louange et toute la gloire. Tu sais que j'ai déclaré dans tous les journaux et tous les magazines que je ne suis pas guérisseur. C'est Toi qui es le Guérisseur. Je veux être humble, Père, car je ne suis que poussière, pour Te rendre gloire. Juste laisser... me permettre, Père, d'aider ces pauvres gens malades qui souffrent, les aveugles, les estropiés. Le veux-Tu, Père ? Et puis, la semaine prochaine, nous allons donc,Père, faire selon ce que Toi, Tu diras. Accorde cela aujourd'hui. Et ne retiens pas cela à charge de Ton serviteur ou des gens. Je Te prie, Père, d'accorder la puissance divine maintenant, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez maintenant vous asseoir avec respect.
73      Maintenant, j'aimerais que les huissiers... certains de petits enfants sont agités et tout. On doit se tenir tout à fait tranquilles, mes amis. S'il vous plaît, les mamans, ne laissez pas les petits enfants se déplacer. Et au cas où les petits enfants pleurent, n'avez-vous pas un endroit par ici, huissiers, où les faire asseoir... ? Combien de huissiers y a-t-il dans le bâtiment ? Faites voir la main. Les huissiers, êtes-vous à votre poste de devoir ? Très bien. Suivez, et aidez les mamans. Et ne permettez à personne de courir dans la salle, car c'est un temps très, très sacré.
Suivez les réunions de guérison ...?... les maladies pour des vibrations ? Très bien. Eh bien, O.K. Maintenant, vous avez quelqu'un qui émet ces vibrations. J'aimerais que tout le monde voie ma main. Maintenant, encore cette fois seulement ...?... Voyez-vous ce que... comment c'est blanc ? Combien comprennent et ont vu des vibrations sur ma main ? Faites-voir la main. Voulez- vous dire que ce sont tous ces gens qui sont dans des réunions ? C'est pratiquement une nouvelle foule par ici. C'est difficile de croire, n'est-ce pas ?
74      Mes amis, cela vient par des vibrations, vous pouvez voir cela sur ma main. Ma main devient rouge sang, et il y a des boutons... blancs qui la parcourent suivant la maladie. Les gens ne me disent pas les maladies dont ils souffrent. Cet Esprit descend et leur révèle le type de maladie dont ils souffrent. Les médecins m'ont examiné là la semaine passée. Chaque médecin, il présente des cas dans des hôpitaux... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
Oui, madame. Vous avez une tumeur qui s'est transformée en cancer. Est-ce vrai ? Vous avez un peu plus que ça aussi. Est-ce vrai ? Vous ai-je dit la vérité ? Le cancer ? Cela est entré dans vos... de femme ?... Et vous vous en préoccupez ...?... Et puis, vous avez des problèmes de femme. Et vous avez un... Vous avez subi une espèce d'opération, et cela cause encore une infection et votre gastrite qui est ...?...
Maintenant, écoutez ça. Demandez à ceux qui sont dans la ligne ici. Avez-vous le cancer ? [Espace vide sur la bande.] Souffrez-vous ...?... C'est ce que ce germe est...?... Et je vois ...?... je vais ...?... discerner ...?...Maintenant, à vous qui vous tenez près, j'aimerais que vous regardiez ma main, si je peux m'avancer ici afin que vous puissiez voir là derrière. Voyez ? Maintenant, vous l'assistance, redressez la tête. Laissez-moi m'avancer ici. J'aimerais que vous regardiez ma main ...?... Maintenant, j'aimerais que vous regardiez cette main-ci. Voyez-vous comment ma main est blanche ? Voyez- vous cela ? Regardez comment ...?... Maintenant, observez ici, quand je prends ma propre main et que je la place là-dessus. Eh bien, suivez ça ; j'enlève ma main là ...?... la main est là-dessus, vous le pouvez. Suivez ça. Je place ma propre main dessus. Voyez ? Voyez-vous comment c'est blanc ? Eh bien, la femme place simplement sa main dessus. Ça y est. C'est sombre et rougeâtre. Eh bien, ma main éprouve une sensation de feu. Voyez cela ...?... [Frère Branham continue à prier et à parler aux gens pendant environ soixante- quinze secondes. Les paroles sont très difficiles à saisir - N.D.E.]
75      Maintenant, je veux que toute l'assistance incline la tête partout, et je vais... ? Je veux ...?... patient, j'aimerais que vous regardiez mes mains. Maintenant, regardez mes mains. Que le reste d'entre vous incline la tête, car c'est elle qui a le cancer; en effet, si cela sort ...?... Rappelez-vous, il se peut que vous vous retrouviez ...?... mourant de cancer... ?...
76      Maintenant ...?... Maintenant, voici ce que c'est. Le cancer de cette femme est mort. Le germe est sorti de là, la vie en est sortie. Eh bien, voici ce qui se passe. Maintenant, beaucoup parmi vous ici sont - sont des entrepreneurs... ou ...?... Combien ici ont ...?... miséricorde ...?... a-t-il donné une carte de prière ? Vous qui avez des cartes de prière, maintenant regardez, maintenant rappelez-vous ceci. Dans l'espace de soixante-douze heures, vous allez tomber très malade, et vous allez beaucoup vomir. Eh bien, rappelez-vous ceci (voyez ?), en effet, le cancer étant mort (voyez ?), eh bien, sa vie est sortie. Et puis, après que la vie est sortie ...?... Vous allez tomber malade ...?... Vous pouvez passer... cela, amis ; Si vous le mettez dans une bouteille ...?...
77     O Eternel Dieu, exauce cette prière de Ton serviteur, puissent-ils être ...?... se tenir ici ce soir et toute la prédication... ?...
Toi, démon appelé cancer, je viens à ta rencontre au Nom de Jésus- Christ, le Fils de Dieu. Je t'adjure de la quitter. Sors de cette femme, toi esprit de cancer, au Nom de Jésus-Christ...?...
Si c'est donc Ta volonté pour moi de-de ne pas prendre ces ...?... mais laisse- les passer, et ceux qui ont la foi, que ...?... du sourd-muet et que cela... ?... alors je saurai, Père, que Ton ...?... Et maintenant, s'il y en a, que l'on sache par ...?... sans quelque chose. Alors, Père, je saurai que Tu es présent. Mais je saurai que c'est Ta volonté que je fasse passer les gens dans la ligne sans que quelqu'un soit guéri ...?... Les sourds, les muets, ou les aveugles, ils se tiennent dans la ligne, et faisant parade de Ta puissance, Père ...?... O Père, pardonne Ton serviteur, et les gens ...?... Exauce la prière de Ton serviteur maintenant...?...77 Toi esprit de surdité, je viens devant toi au Nom de Jésus-Christ. Sors de cet homme. Je t'adjure de quitter. [Frère Branham claque ses doigts et tape - N.D.E.] M'entends-tu ? ...?... Dites : « Amen. » [ L'homme répond : « Amen. » - N.D.E.] Gloire au Seigneur. [Gloire au Seigneur.] Dites : « Amen. » Dites : « Père, je crois en Toi. » ...?... Dites : « Amen. » [« Amen. »] Dites : « J'aime Dieu. » [« J'aime Dieu. »] Dites : « Seigneur, je Te servirai. » ...?... Bon, quel est votre nom ...?... Où habitez-vous ? Ici à Phœnix ...?..
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William Branham = faux prophète - Page 4 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:21

Expériences

1         Bien-aimé frè...C'était miracle après miracle qui étaient accomplis : les sourds, les muets, les aveugles, les estropiés et tout. Un homme est venu sur l'estrade, complètement aveugle, il a recouvré la vue ; il m'a suivi partout, tournant en rond sur l'estrade, dans l'allée, comme cela. Et un autre homme est venu, aveugle, il a recouvré la vue. Il y avait, oh! quelques trois ou quatre jeunes dames et de jeunes filles, de petits enfants qui avaient des yeux complètement louches, des yeux hideusement louches, et ils ont été guéris là sur place.
Et deux médecins se tenaient là, juste un... tous les deux, à ma droite, ont examiné cela ; ils ont observé cela, ils ont examiné les patients et autres. Et ils sont venus au micro, ils ont témoigné qu'ils... parfaitement... C'étaient des médecins, l'un est un spécialiste de San Francisco, en Californie.
2        Ainsi, Dieu est Dieu. Il est toujours le Grand JE SUIS, non pas le J'ETAIS, JE SUIS, maintenant, le temps présent. Il est-Il est toujours ici pour guérir ceux qui croient. Et il n'y a que ceux qui croient qui vont être guéris, peu importent les circonstances. Il vous faut croire cela.
Si vous voulez... Dieu peut vous permettre, ici même, cet après-midi, de vous lever, et vous marcherez sur cette estrade, puis vous redevenez estropié. Vous pouvez quitter cette estrade en marchant, le doute et l'incrédulité frappent votre cœur, la maladie que vous aviez reviendra sur vous. Et si vous partez et que vous ne Le servez pas, une chose pire reviendra sur vous. C'est vrai. Vous devez servir Dieu avec révérence toute votre vie, en croyant en Lui de tout votre cœur.
3     Et maintenant, aujourd'hui, nous avons beaucoup de temps cet après-midi ; car nous allons prier pour tout le monde qui est dans la salle cet après-midi. En fait, nous en avons le temps. Et puis, avant de partir, j'aimerais prier pour tout le monde, avant de quitter Phoenix. Et je ne vous parlerai pas très longtemps, parce que j'aimerais y consacrer du temps. Vous avez de bons prédicateurs ici. Vous avez un bon groupe de ministres. Et ils prêchent ; moi, je ne suis pas un prédicateur pour commencer. Alors, vous pouvez... Ces prédicateurs peuvent vous parler comme ils l'ont fait ce matin lors des services.
Combien sont allés à l'église ce matin ? Faites voir la main, partout dans la salle. Eh bien, c'est bien. Et combien ont l'intention d'y aller ce soir ? Faites voir la main, partout dans la salle, ceux qui vont aller à l'église ce soir ? C'est bien. Il y a environ le tiers parmi vous qui n'était pas parti. J'espère que vous irez ce soir. J'espère que vous irez à l'église ce soir. Allez à une église quelque part. Ne manquez jamais d'aller à l'église le dimanche. Et... pour la réunion de prière.
4        Nous avons besoin de gens qui n'ont pas d'église ici, qui se débattent. Mon conseil pour vous serait de rester à votre poste de devoir aussi loyalement que possible pour la cause de Christ, et soutenez votre pasteur et tout ce qui- qui-qui se passe, et... pour la cause de Christ. Et faites-le, Dieu vous bénira. Le seul moyen pour vous de pouvoir respecter Dieu, c'est de vous respecter les uns les autres. Est-ce vrai ?
Si vous voulez que quelqu'un dise quelque chose de bien à votre sujet, dites quelque chose de bien au sujet de quelqu'un d'autre ; on dira quelque chose de bien à votre sujet. Jette du pain à la surface des eaux, tu le retrouveras. Comme le frère l'a dit l'autre jour au Canada, il a dit : « Oui, frère Branham a beurré cela. » C'est à peu près vrai. Vous voyez, et si vous le jetez à la surface des eaux, vous le retrouverez beurré. C'est ainsi, car je suis ...?... Faites donc... faites aux autres ce que vous aimeriez qu'ils vous fassent. C'est donc une bonne chose à mettre en pratique.
5         Maintenant, j'aimerais prendre juste un peu de temps pour vous expliquer certaines choses qui sont très essentielles. Et une des choses qui, à mon avis, constituent, à beaucoup d'endroits, des obstacles à nos réunions, c'est le fait de ne pas rester à un endroit faute de temps. Je n'arrive pas à rester assez longtemps à un endroit. Peut-être deux jours, trois jours, ou quelque chose comme cela. Les réunions devraient durer trente jours.
Cela semble être un temps long. Mais voici ce que j'ai remarqué : chaque jour que je reste en un endroit, le lendemain, il y a une foule plus grande avec un nouvel enthousiasme. Et ça augmente jour après jour, jour après jour. Et alors, les résultats de la guérison sont... Oh, il n'y a pas de rapport avec l'autre.
Eh bien, c'est juste comme dans notre série de réunions ici à Phoenix ; nous avons un seul dimanche, le diable a trouvé l'occasion de refroidir les esprits avant que je puisse retourner de nouveau le dimanche suivant. C'est vrai. Il vous faut prendre la chose et frapper là-dessus, et continuer à enfoncer cela. Vous ne pouvez pas tapoter un clou, et puis vous éloigner et laisser les enfants jouer avec cela un moment, et puis revenir le dimanche suivant et tapoter de nouveau. Il vous faut enfoncer ce clou-là, comme cela, le river dans le bois.
6         Eh bien, c'est comme ça avec la foi. Vous devez la faire ancrer dans les gens. Ils vont accourir ici un dimanche, juste pendant quelques instants, ils sont agités : « Est-ce qu'on va prier pour moi ?» Ils vont se précipiter dans une ligne de prière, sans même savoir ce pour quoi ils viennent. La semaine suivante, ils se mettent avec des critiqueurs qui disent : « Ah! il n'y a rien là. Je sais qu'on avait prié pour la femme de Jim Jones. Ça ne l'a pas du tout aidée.» C'est vrai. Ce n'était pas pour la femme de Jim Jones. C'est pour vous qui croyez. C'est pour les croyants. C'est seulement pour les croyants. Et, rappelez-vous, si vous n'avez pas de foi, cela ne vous fera aucun bien.
Maintenant, pour commencer, ce don n'a pas été donné pour faire l'œuvre que je suis en train de faire avec maintenant, dans ces réunions d'auditorium. Ce n'est pas, le plan divin de Dieu que ça se fasse comme ça. Le plan divin pour Dieu, si j'avais l'occasion de rester juste quelques semaines ici pour vous expliquer tout cela... Cela vient par révélation.
Nuit et jour, quand je rencontre cet Ange, Il m'envoie quelque part. Il peut dire : «Va à tel endroit.» Je n'ai jamais vu l'endroit auparavant.
7         Laissez-moi vous donner un exemple, quelque chose comme cela, et vous pourrez comprendre. Il va... J'entre dans une maison tout aussi physiquement que je me tiens ici. Peut-être qu'il y a une dame qui me rencontre à la porte. Elle porte un tricot rouge. Et dans la cour, il y a une vieille houe par terre. J'ai vu cela en entrant par la porte. Il y a une Bible déposée sur la-sur la table de toilette, et il y a quelqu'un qui est couché sur un lit, un estropié.
Eh bien, alors, je me rends à cette maison ; peu de temps après, je trouve le lieu. Quand je vais à cette maison, je vois la houe déposée dans la cour. Oui, la femme en tricot rouge me rencontre à la porte. J'entre. Mais la Bible n'est pas déposée sur la table de toilette, elle se trouve sur un bureau. Eh bien, je ne peux pas dire AINSI DIT LE SEIGNEUR. Je ne peux pas le leur dire jusqu'à ce que quelqu'un prenne cette Bible et La dépose ici sur la table de toilette sans savoir ce qu'il fait. Alors, on peut se tenir là et dire : AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]
8         Untel viendra vers moi : « Frère Branham, vais-je me rétablir ? » Je-je- j'espère que ce sera le cas pour vous, sœur. Un-untel autre viendra vers moi : « Qu'en est-il de celui-ci ? Nous entendons mon oncle, mon... oh! » Eh bien, ça vous rend simplement fou. Si vous laissez cela rester tout le temps à votre esprit, eh bien, vous serez aussitôt un malade mental (voyez ?), pas... On ne prendra que quelques heures pour le devenir. Eh bien, alors, je ne sais rien à ce sujet.
Mais dans ces réunions qui se tiennent dans l'auditorium, la raison pour laquelle nous permettons cela, c'est qu'il y a beaucoup de gens. Eh bien, il est très rare que cet Ange envoie, avant qu'un cas... Mais je remarque que, quand Il m'envoie pour un cas, on voit plus de gloire de Dieu que si vous teniez quinze réunions dans l'auditorium. C'est vrai. En effet, vous partez avec l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et cela s'accomplit là.
9         Ecoutez. Nous avons beaucoup de temps. J'aimerais vous raconter juste un cas, afin que vous puissiez comprendre. Cela a eu lieu tout récemment. Je vous donne les noms des gens, afin que vous notiez cela. J'étais chez ma mère. Et ceci arrive très souvent. Je priais en chambre. Je n'allais pas rentrer chez moi, car je voulais être seul là. J'éprouvais un désir, je voulais rester seul, j'avais juste un fardeau sur le cœur : prier. Quelqu'un parmi vous a-t-il déjà ressenti cela ? Et je me suis simplement mis à prier. Je suis allé, j'étais-j'étais couché de travers sur le lit, et je me suis endormi. Et je me suis réveillé ; ça devait être vers deux heures du matin. Et j'avais toujours ce fardeau-là. Je me suis mis à prier de nouveau. Et je me suis agenouillé sur le plancher pour prier. J'ai regardé dans un coin comme cela.
Nous sommes des gens très pauvres, et nous avions un... Ma mère faisait d'habitude sa lessive, faisait entrer les habits et les déposait sur une chaise. Je ne sais pas si vous, les femmes, vous avez déjà fait cela ou pas. Mais on les entasse sur une chaise, juste entassés dans un coin.
10     Et j'ai pensé : « Eh bien, pauvre vieille mère, il y a là les habits lavés.» J'ai vu un grand quelque chose de blanc là au coin. J'ai dit : « Eh bien...» Et il m'est arrivé de regarder ces habits lavés. Je n'avais pas vu cela auparavant. Mais on dirait que ces habits lavés se déplaçaient comme ceci en l'air. Eh bien, je me suis dit qu'il faisait sombre dans la chambre, et je me suis essuyé les yeux, et... J'ai alors remarqué... Soit c'est moi qui allais vers ces habits lavés, soit c'étaient ces habits lavés qui venaient vers moi, quelque chose de blanc... J'ai fini par découvrir qu'il n'y avait pas d'habits lavés dans la chambre ; c'était un nuage blanc vaporeux, là dans le coin. Et voilà que ça venait vers moi.
Eh bien, rappelez-vous, comme je témoigne ceci devant vous, un jour je vais devoir répondre pour ces paroles au Jugement.
11     Eh bien, je sais que vous avez prêché sur le fanatisme. Que Dieu bénisse votre cœur, frère ; j'en ai trouvé beaucoup (c'est vrai), du pur fanatisme. Et ce ne sont que les œuvres du diable que d'empêcher tout ce qu'il peut contre Dieu. C'est vrai.
Et cela s'est approché, ça s'est avancé droit vers moi. Et je suis entré dans le nuage ou-ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas ce qui s'était passé.
Mais quand je me dirigeais vers cela, j'ai vu que j'allais à une petite maison blanche, située... une petite maison effilée de trois pièces, ou plutôt de deux pièces, construite comme ce que nous appelons une maison Shotgun [maisons effilées dont les portes donnent les unes sur les autres-N.D.T.], et une petite maison effilée.
12     Et je suis entré par la porte de devant, et alors, j'ai regardé à-à ma gauche, il y avait-il y avait un divan rouge pliable. Une vieille mère était assise là, pleurant. Là à ma droite, il y avait un divan pliable, et un jeune homme aux cheveux blonds ondulés était assis là. Une femme aux cheveux noirs s'appuyait contre la porte qui donnait à la cuisine, ou plutôt à l'autre pièce ; elle pleurait. Et j'ai remarqué là, au lit, un petit lit en fer avec affiche, l'un des spectacles hideux que je n'aie jamais vus de ma vie. C'était un petit garçon qui était couché là, portant une salopette bleue en velours côtelé. Et l'une de ces petites jambes était tordue comme ça, au point qu'elle s'était collée contre sa petite hanche. Et la jambe gauche était tordue comme ça. Et chaque bras était tordu dans le sens inverse, contre le flanc. Et quelque chose était placé sur sa petite poitrine ici, et son petit corps était tordu comme ça. Oh! il y avait un... Et son père, un homme élancé et sombre, se tenait là, en train de pleurer sur l'enfant.
«Eh bien, ai-je dit, n'est-ce pas étrange ? J'étais chez ma mère tout aussi... tout aussi... étrange, ce n'est pas...» Vous ne rêvez pas. C'est juste comme quand on a un cauchemar. C'est tout aussi réel que je sais que je me tiens ici à Phoenix, en Arizona, dans cet auditorium, plus que ça. Alors j'ai pensé : « Eh bien, alors, c'est étrange.» Et je commençais à me retourner... Il se tient toujours à ma droite. Et quand je me suis tourné vers la droite, là se tenait l'Ange du Seigneur avec Son... cet Homme qui vient vers moi. Qui est-Il ?
13       Eh bien, rappelez-vous, saisissez ceci. Après que frère Branham sera parti, ne... Je ne connais pas Son Nom. Il ne me l'a jamais dit. C'est un Homme grand. Il pèse plus de 200 livres [l00kg-N.D.T.], je pense, d'après les mesures humaines; Il porte une robe blanche, Il a des cheveux noirs. Et II se tient juste
comme ceci. Il se tenait à ma droite. Alors II a dit : « Cet enfant peut-il vivre ?»
Et j'ai dit : « Je-je... Seigneur, je ne sais pas.» Il a dit «Prie pour lui.»
Le père me l'a amené. Et j'ai posé mes mains sur lui, comme ceci, et j'ai prié pour lui. Il a sauté des bras de son père et il est tombé sur l'une de ces petites jambes tordues. Et quand il est tombé sur cette petite jambe, celle-ci s'est simplement déployée. La première jambe s'est déployée. Et il a fait un autre pas, une autre jambe s'est déployée, la jambe gauche. Et il est allé au coin, il a fait le prochain pas, et son petit corps s'est redressé. Et il est revenu vers moi en marchant et il a mis ses petites mains dans les miennes, en disant : « Frère Branham, je suis parfaitement guéri. »
Alors j'ai dit : « Eh bien, gloire au Seigneur ! »
14     Et puis, cet Ange est revenu à ma droite. Il m'a soulevé, et je me suis retrouvé sur une vieille petite route de campagne. Et je me tenais là, Il a dit... Il m'a montré un cimetière. Il a dit : « Note son numéro.» Et je l'ai fait. Il m'a placé à côté du prochain, et j'étais à un petit endroit où il y avait juste une petite station d'essence et un magasin, un magasin peint en jaune au devant. Et il y avait un vieil homme qui en est sorti, vêtu d'une salopette bleue en velours côtelé, ou une salopette bleue et un képi jaune en velours côtelé, et il avait une moustache blanche. Il a dit : « Il va vous indiquer le chemin.»
Alors, Il m'a fait entrer dans une maison comme ceci, partant du nord vers le sud. Et quand j'y suis entré, il y avait un... Je suis entré, il y avait un vieux réchaud placé là, un vieux four en bois, ce que nous appelions le four en tronc d'arbre. Je ne pense pas que vous en ayez ici en Arizona. Combien savent ce que c'est un four en tronc d'arbre ? Faites... Etes-vous de l'Arkansas ? C'est là qu'on en trouve beaucoup. Combien de gens d'Arkansas sont ici ? Voyons. C'est ce que je pensais. Voyez ? Très bien.
15     Et ils avaient un... Les mains, juste là, placées sur eux ...?... Aujourd'hui, on a enlevé ces écriteaux des maisons modernes et on y a placé des photos des jeunes filles nues... Je préférerais avoir un vieil écriteau : « Que Dieu bénisse notre maison.» Pas vous ? C'est vrai.
Et alors... J'ai remarqué que dans un-un grand lit d'airain, là à ma gauche, était couché soit une jeune fille ou un jeune garçon. Son visage était comme celui d'un homme. Mais j'ai pensé qu'il avait de longs cheveux. Il avait des lèvres en forme de cœur comme celles des femmes. Et sa main droite était comme ceci, et la jambe gauche était tordue au niveau des orteils, tordue de côté. Et il... J'ai pensé : « Eh bien, n'est-ce pas étrange ?» Je me suis demandé : « Est-ce un homme ou une femme ?» Et j'ai regardé.
Et j'ai entendu Quelque Chose me parler, et j'ai vu se tenir là... Cet Ange se tenait là, Il a dit : « Eh bien, va prier, pose tes mains comme ceci », droit toutes les deux, juste sur le ventre de cette personne.
16    Eh bien, je me suis dit : « Ça doit être une fille ou un garçon, vous savez ; en effet, si c'était une fille, c'est une jeune fille.» Il m'a dit de placer mes mains de travers sur le ventre de cette personne. Eh bien, je n'oserais pas refuser de faire ce qu'il me dirait. Et j'ai posé mes mains au... sur le ventre de cette personne et j'ai prié.
Et alors, j'ai entendu une petite voix dire : « Gloire au Seigneur!» Et j'ai regardé, j'ai vu cette main infirme se redresser, sa jambe redevenir normale. J'ai vu la personne se lever. Et quand cela s'est passé, son... la jambe du pyjama s'est relevée et a dévoilé le genou rond comme celui d'une jeune fille. Vous savez comment est le genou d'un homme, il est plutôt osseux. Eh bien, le-le genou de la jeune fille était rond. J'ai vu que c'était comme cela sur son... lorsque la jambe de son pyjama s'était relevée. Et elle était parfaitement guérie.
Et à peu près en ce moment, j'ai entendu les gens dire : « Oh ! Grâces soient rendues à Dieu!»
Eh bien, je me suis dit : «N'est-ce pas étrange ?» J'ai entendu quelqu'un crier : « Oh ! Frère Branham! Oh! Frère Branham !»
Je me suis dit : « J'entends quelqu'un.»
« Oh! Frère Branham...»
17 Je-je revenais à moi-même dans la pièce. Je me tenais en plein milieu de la pièce. Je n'avais été nulle part, on dirait, si ce n'était en plein milieu de la pièce. Il y avait quelqu'un qui était entré par la porte. J'ai dit : « Oui, entrez.»
Quelqu'un... Il a ouvert la porte et il est entré. Il a dit : « Qu'y a-t-il ? » Et j'ai dit... Il pleurait. Il a dit : « Frère Branham, vous souvenez-vous de moi ?»
Et j'ai dit : « Non, monsieur, je ne me souviens pas de vous.»
Et il a dit : « Mon nom est John Emmel.» Il a dit : « Il y a environ quatre ans, vous m'avez baptisé, moi et ma famille.» Et il a dit : « Pendant la guerre, ici à l'usine de poudre, vous...»
J'ai dit : « Je me souviens de vous maintenant. Vous aviez tué un homme, n'est-ce pas ?»
Il a dit : « Oui, oui. Je lui avais donné un coup de poing et il s'était cassé le coup lors d'une bataille.» Et il a dit : « Et je-j'avais fui.» Il a dit : « J'avais rétrogradé.» Et il a dit : « L'année passée, mon petit garçon est mort de pneumonie.» Il a dit : « Il me reste un petit garçon, et docteur Bruner de notre ville dit qu'il va donc mourir de pneumonie.»
Et j'ai demandé : « Est-ce vrai ?»
Il a dit : « Oui. Voudriez-vous prier pour lui ?»
J'ai dit : « Oui, oui.»
Il a dit : « Eh bien, je vais prendre Graham Snelling...» Il est maintenant mon pasteur associé au Branham Tabernacle, à Jeffersonville. Il a dit... « Je suis... »
C'était son cousin. « Je vais prendre frère Graham pour qu'il vienne avec nous.» Et il a dit : « L'enfant... » Il a dit : « Savez-vous où j'habite ?»
Et j'ai dit : « Non, non.»
Il a dit : « J'habite à 4 miles [6 km-N.D.T.] à peu près au nord d'Utica, dans l'Indiana.» Et Utica est à 7 miles [12 km] de Jeffersonville.
Et j'ai dit : « Très bien, j'irai.»
Il a dit : « Eh bien, ne prenez pas votre voiture, je vous amènerai à bord de la mienne.»
Et j'ai dit : « D'accord.»
18    Et aussitôt qu'il est sorti, ma mère m'a appelé, elle a dit : « Mon chéri, quel est le problème avec cet homme ? Il ne faisait que secouer et appeler, secouer la porte.»
Et j'ai dit : « Maman, je... Quelque chose est arrivé.» J'ai dit : « Je-j'étais en vision.»
Elle a dit : « Oh, c'est vrai ?»
Et j'ai dit... Elle a dit : « Est-ce une bonne chose ?»
Et j'ai dit : « Oui, le petit garçon de cet homme va être guéri.» Et peu de temps après, il est revenu, je suis monté à bord de la voiture et nous nous sommes dirigés vers l'usine de fabrication de navire... Et je... En remontant donc la route, il a dit...
J'ai dit : « Monsieur Emmel, je pense que c'est vraiment difficile pour vous étant donné que vous êtes rétrograde maintenant ?»
19     II a dit : « Oui, Frère Branham, a-t-il dit, j'ai honte de moi-même. J'avais même honte de venir vous chercher.» Il a dit : « Ça fait environ deux semaines que l'enfant est malade.» Mais il a dit : « Je-j'avais honte de venir vous chercher.» Il a dit : « Et docteur Bruner a dit qu'il allait mourir.» Il a dit qu'il avait quitté vers 2h. On était alors vers 4-4h 30. Il a dit : « Il dit qu'il va mourir. Et il n'y avait donc rien d'autre à faire sinon venir prendre la dernière chose que je sache...»
J'ai dit : « Monsieur Emmel, vous avez dit que vous habitez au nord d'Utica?»
Il a dit : « Oui, oui.»
Et j'ai dit : « Vous habitez dans une petite maison blanche, n'est-ce pas ?» Il a dit : « Oui, oui.»
Et j'ai dit : « La porte de devant donne au sud par rapport à chez vous ?»
Et il a dit : « Oui, oui.»
J'ai dit : « Vous avez un divan rouge pliable dans cette maison-là, n'est-ce pas?»
Il a dit : « Oui, oui.»
Et j'ai dit : « Vous avez la plinthe rouge, ou-ou des contours, comme ceci, la languette, faite en languette...»
Il a dit : « Oui.»
J'ai dit : « Votre enfant a environ... Je dirais environ trois ans et il porte un velours bleu côtelé.»
Il a dit : « Avez-vous déjà été là-bas ?»
Et j'ai dit : « Oui, oui ; pas-pas comme vous le penseriez.»
Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, c'est... »
J'ai dit : « Et le-l'enfant respire à peine, n'est-ce pas ?»
Il a dit : « C'est ça.» « Eh bien, ai-je dit, c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant va vivre.»
Il a dit : « Frère Branham ?»
Et j'ai dit : « Eh bien, est-ce... Comment... Eh bien, avez-vous déjà été chez moi ?»
J'ai dit : « J'ai été là il y ajuste quelques instants.» Il a dit : « Eh bien, je ne vous ai point vu, Frère Branham.» J'ai dit : « Non, j'étais... C'était en vision, Frère mmel.» Et il a dit...
J'ai dit : « Mais ne vous en faites pas, votre enfant vivra.»
20   II a freiné sa vieille Ford modèle T qu'il avait, il a passé ses bras autour, l'un autour de frère Graham et l'autre autour de moi. Et jamais de ma vie je n'ai entendu un homme pleurer et se repentir comme cela. Il a dit : « O Dieu, j'ai honte de moi-même.»
Il a dit : « Je ne Te tournerai jamais-jamais le dos, une fois de plus, si seulement Tu me pardonnes.» Et là, il a redonné son cœur à Christ, là à notre... Et nous étions là, à environ 15 minutes, et il pleurait. Et il a senti que Dieu lui avait pardonné.
Et il est monté, il est entré dans la maison. Aussitôt que je suis entré, j'ai vu la maman.
21    Eh bien, c'est là que l'on peut toujours parler, quand il ne le faut pas. Comme j'ai apporté ce cas, c'est là où j'avais failli échouer et provoquer quelque chose. Vous devez veiller à ce que vous faites.
Et-et je-je suis entré dans la pièce, le petit enfant était couché là. La plinthe était là... Le divan pliable se trouvait là. Et cet homme qui était avec moi, frère Graham Snelling... [Espace vide sur la bande-N.D.E.]
Dieu n'est pas pressé ...?... L'homme est pressé, pas Dieu. Alors j'ai dit : « Amenez-moi l'enfant maintenant, si vous avez la foi.» Ils ont am... [Espace vide sur la bande] Et la mère était... C'est à peine si l'enfant vivait. Et le seul moyen de le savoir était de placer un petit morceau de papier léger devant son nez pour voir s'il aspirait et refoulait le souffle par son nez. C'était grave à ce point-là.
Eh bien, j'ai vu son corps déformé, c'était la pneumonie. Il était pratiquement mort, tout ceci était remonté jusqu'ici, et c'est l'unique endroit où il respirait. C'est ce que représentait ce signe, être tordu. J'ai dit : « Amenez-le ici.»
Et ils l'ont amené là. Et oh ! la la ! après que j'eus prié pour lui, si rien... son état s'était empiré. Ses petits yeux étaient fixes, sa langue ressortie, sa petite tête renvoyée en arrière.
Eh bien, je me suis dit : «Un instant, il y a quelque chose qui ne va pas.» Jamais de ma vie je n'ai vu cela faillir, parce que ce-c'est tout aussi vrai que la Bible. Dieu a déjà proclamé cela. Quelque chose... Il n'y a aucun moyen pour vous d'en douter. Vous n'avez pas à demander à la personne. «Si vous avez foi... » C'est déjà proclamé par le Dieu Tout-Puissant. Cela va arriver.
22     Et je me suis dit qu'il y avait quelque chose qui clochait, et il m'est arrivé de penser : « Eh bien, il y a une personne qui n'est pas dans la maison. Et rien n'était en ordre.» Cette vieille mère... il n'y avait là personne en lunettes. Où était-elle ? Eh bien, je me suis dit : «Eh bien, maintenant, cela... »
Et ils ont amené le petit enfant là, et il était tout étouffé, il faisait... [Frère Branham imite le son de quelqu'un qui étouffe.-N.D.E.] Et la maman a accouru vers lui, le père aussi, et ils se sont mis à le réanimer, ils lui ont mis cette histoire au nez, et tout. Et tous deux se sont mis à crier et ils ont abandonné l'enfant seul. Frère Graham s'est mis à le réanimer. Alors... juste comme mort... Eh bien, tout aussi bleu que ce petit corps pouvait l'être, il était étendu là raide, comme ça. Les poumons, déjà... Les poumons étaient congestionnés. Il était même replié, repoussant... ses petites côtes comme cela, là où ses poumons étaient-étaient enflés. C'est ainsi qu'il était couché.
Et je-je me suis dit : « Oh ! la la ! Quelque chose n'est pas...» Je savais que cette mère n'était pas là. Alors, j'ai su que j'avais-que j'avais manqué... je n'avais pas obéi à Dieu.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:22

23     Ils réanimaient donc cet enfant depuis ce temps-là jusqu'à l'aube, le soleil s'était levé. Je n'avais plus dit un mot. Je ne pouvais pas dire un mot. Je ne pouvais pas le leur dire. Mais j'ai vu le divan pliable, j'ai tout vu.
Il était alors temps pour frère Snelling d'aller absolument travailler. Et alors, monsieur Emmel allait le ramener chez lui. Il a dit : « Frère Branham, souhaiteriez-vous partir ?» Et j'ai dit : « Non, non. Je vais juste rester ici.» Et je me suis dit : « O Dieu!» Je priais : « Pardonne-moi. Pardonne-moi.»
24     C'est... Eh bien, vous vous rappelez qu'il y a deux, trois dimanches, je me tenais ici, à la chaire, quand j'ai fait quelque chose. C'est l'unique chose que je... Oh! c'est... Je-je considère le côté humain, j'essaie de suivre ce que quelqu'un dit plutôt que d'attendre voir ce que Dieu dit. Priez pour moi. C'est alors que j'ai besoin de vos prières. Eh bien, je vous ouvre tout simplement mon cœur ici aujourd'hui, car... C'est peut-être la dernière fois que nous nous rencontrons donc dans la vie.
Et alors, je me suis retourné, et je-je ne savais que faire. Il a dit : « Eh bien, voudriez-vous partir en voiture avec nous, Frère Branham ?»
J'ai dit : « Non, j'attendrai ici.» Je savais que si Dieu pouvait exaucer ma prière et me pardonner, il y aurait une chance pour cet enfant. Mais cependant, je suis... tout... Rien n'était parfaitement en ligne.
Et... Eh bien, cela peut ne pas représenter beaucoup pour vous, mais aux yeux de Dieu, cela représente tout. Cela doit être parfaitement en ligne. C'est vrai. Et j e-j ' ai vu le j eune garçon...
25     Frère Snelling a dit : «Eh bien, je dois partir, parce que je dois aller travailler.» Il conduisait un tracteur chez Colgate; il y avait là la compagnie Palmolive Peet, là. Alors, il-il a enfilé son veston. Et je me suis dit : « Oh ! la la ! s'il part, j'aurai peut-être à passer deux ou trois jours ici, jusqu'à ce qu'il revienne.» En effet, je savais que c'était lui l'homme aux cheveux blonds frisés qui était dans la vision.
Eh bien, vous ne savez pas quelles pensées j'avais, ami. Et vous ne le saurez jamais jusqu'à ce que nous nous rencontrions au Jugement, au jour où j'aurai à répondre pour ces paroles que je prononce près de ce micro.
Et je-j'étais assis sur le divan pliable. Et le soleil se levait. Il faisait terriblement froid. C'était en hiver. Et j'étais assis là. Frère Emmel portait son manteau et son large chapeau lourd. Et-et frère Snelling portait son manteau et le peignoir. Et ils voulaient sortir. Et il a dit... Il a parlé à sa femme, frère Emmel. Et j'étais assis à la fenêtre, regardant comme ceci, là. Et il m'est arrivé de voir un petit sentier passer par le trottoir, pour ainsi dire, un petit sentier en terre autour de la maison. Et voici venir la grand-mère de l'enfant. Elle portait des lunettes.
Oh ! la la ! Vous ne savez pas quel sentiment vous éprouvez alors. J'ai pensé : « Oh! si seulement ils ne quittent pas maintenant.» Je me suis dit : « O Dieu, combien je Te suis reconnaissant.»
26     Et cette femme venait toujours par la porte de devant. C'est par là qu'on les visite, en passant par la porte de devant. Mais ce matin-là, ma voiture n'était pas là, il n'y avait que la voiture de son beau-fils. Elle avait quitté à un moment du matin, car l'enfant était dans un très mauvais état. Et elle était rentrée chez elle pour dormir un peu. Et elle a contourné par la porte de derrière. Je ne pouvais rien dire. Je devais simplement rester assis là et observer donc, pourquoi ?
Mais vous ne saurez jamais comment je m'étais senti quand j'ai regardé et vu cette femme venir. J'ai reconnu que c'était elle. Je ne l'avais jamais vue de ma vie. Mais j'ai reconnu que c'était elle, je l'avais vue passer comme cela. Je me suis dit : « O Dieu, gloire au Seigneur.»
Et frère Snelling était... Ils étaient tous sur le point de partir. Elle est entrée par la porte de la cuisine, et elle est venue à la porte du milieu et a frappé à la porte. Et si elle n'avait pas fait cela, la vision n'aurait toujours pas été complète. Sa fille est allée pour ouvrir la porte, pour voir qui c'était. Et c'était sa mère.
Et elle a dit : « Comment va l'enfant ? Y a-t-il une amélioration ?»
Et madame Emmel a dit : « Non, maman, non. » Et elle a simplement levé la main comme ça pour pleurer, comme ça, vous savez. Elle a placé la tête contre le mur. Et c'était exactement comme ça dans la vision.
27     Eh bien, j'étais sur le divan pliable, là où frère Snelling était supposé être. Je me suis levé du divan pliable, je suis allé comme ceci, me demandant ce qui allait arriver. J'ai pensé : « Elle doit s'asseoir dans cette chaise rouge.» Et je me suis simplement tenu là, un petit instant. Et je-je me posais des questions. Et frère Snelling s'est aussi mis à pleurer. Comme il l'avait vue pleurer. Il a tout juste enlevé son chapeau, et il s'est assis sur le divan pliable.
J'ai pensé : « Oh ! la la !» Encore une chose pour que cela arrive. J'ai regardé tout autour pour voir où tout en était. Et j'ai regardé, et la dame, elle était... Oh! non, elle a déposé son petit cartable qu'elle avait. Et elle a reculé là, elle s'est assise sur le divan pliable, elle a enlevé ses lunettes et elle a commencé à les essuyer, exactement comme c'était dans la vision.
28     C'est alors que j'ai pu sentir Quelque Chose se tenir près de moi. J'ai reconnu qu'il était là. Et j'ai dit : « Frère Emmel.» Et il m'a regardé.
J'ai dit : « Avez-vous toujours foi en moi ?»
Il a dit : « Frère Branham, je vous aime de tout mon cœur.»
J'ai dit : « Je vais vous le dire maintenant, je suis désolé pour ce que j'ai fait il y a quelques instants. La vision n'était pas complète. Mais maintenant, vous devez prouver que vous avez toujours foi en moi.» Si vous croyez cela... L'enfant était tout aussi bleu que possible. Et j'ai dit : « Si vous avez toujours foi en moi, amenez l'enfant.» [Espace vide sur la bande-N.D.E.]
L'enfant... [Espace vide sur la bande] ...?... la vision. Je suis désolé de ce que j'ai fait il y a quelques instants. Pardonne Ton serviteur, et guéris cet enfant au Nom de Jésus-Christ.
29     Et quand j'ai dit cela, le petit enfant a passé ses bras autour du cou de son père et il a dit : « Papa, papa.» Oh! vous parlez d'un groupe de gens qui poussent des cris dans une maison ! Et alors... Alors, ils se sont mis à courir. J'ai dit : « Remettez-le au lit ; trois jours passeront avant qu'il se rétablisse, car il avait effectué trois pas, cela l'avait fait sortir de là.»
Je suis rentré, j'ai dit à l'église ce qui était arrivé. Et le troisième jour, j'ai dit : « Maintenant, je n'entendrai plus parler de cela. Le troisième jour, allez-y et voyez s'il ne traverse pas la pièce, pour mettre ses petites mains dans les miennes, et dire : Frère Branham, je suis parfaitement guéri.»
Et ainsi donc, vous pouvez à peu près vous représenter combien étaient allés pour voir cela : toute l'église. Il y avait des voitures partout sur la route. Et je n'avais dit à personne d'aller. Je devais aller le premier (voyez ?) pour eux, afin qu'ils voient que ça venait de Dieu. Et ils s'étaient rassemblés là.
30      Je me suis avancé à la porte, j'ai frappé à la porte, et la maman était derrière dans une petite cuisine. Elle a traversé la maison en courant et-et elle a ouvert la porte, et alors, elle a dit : « Oh! c'est frère Branham. Entrez, Frère Branham.» Elle a dit : « Voyez-vous combien il a changé ?»
Il avait bu du lait au chocolat et il s'était fait l'une de ces petites moustaches, vous savez, en buvant du lait au chocolat. Et il a traversé la pièce. Tout le monde se tenait là, regardant par la fenêtre et tout. Il s'est avancé, il s'est tenu dans la pièce, il n'avait jamais prononcé un mot. Il s'est avancé et a placé ses petites mains dans les miennes, il a dit : « Frère Branham, je suis parfaitement guéri.» Voyez ?
31       Je commence à parler de la suite. Deux semaines plus tard, je sortais de mon bureau. Et généralement, nous avons un petit-un petit casier où nous plaçons notre courrier. Mais Herbert Scott, un très brave homme là, il a dit-il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, avant que vous ne descendiez à mon bureau par ici, (j'étais en patrouille)...» Il a dit : «Il y a une lettre sur mon bureau pour vous.»
J'ai dit : « Je la prendrai.» Et je commençais à descendre les marches pour aller dans la partie principale du bureau, comme notre bureau local se trouvait vers la partie supérieure du bâtiment. Je me suis mis à descendre et on dirait que quelque chose m'intriguait de façon étrange au sujet de cette lettre-là. Je suis allé vers la lettre, à l'endroit, et je l'ai prise ; j'ai regardé cela, l'expéditeur était mentionné. Je l'ai ouverte, j'ai regardé cela. Et j'ai dit : « Eh bien, je dirai...»
32     J'ai regardé cela, c'était écrit : « Je suis madame Harold Nail.» Elle disait : « Révérend Branham, j'ai une jeune fille de seize ans qui est malade.» Elle disait : « Elle souffre depuis un temps. L'arthrite l'a placée dans cette affliction.» Et elle disait : « Elle ne fait que pleurer nuit et jour.» Et elle disait : « Je suis membre de l'Eglise méthodiste à-à ... juste un...» Je mentionnerai le nom de l'endroit juste dans une minute. C'est au sud de Salem, dans l'Indiana.
Y a-t-il quelqu'un ici qui vient de tout près de Salem, dans l'Indiana ? Il y a quelqu'un là derrière. De quelle partie de l'Indiana êtes-vous, sœur ? De quelle partie de l'Indiana ? Salem ? Salem dans l'Indiana. Oh ! la la! Connaissez- vous Harold Nail ? Connaissez-vous Harold ? Voilà, c'est bien. Maintenant, ceci est une preuve donc. Maintenant, nous avons cela juste ici. C'est bien. J'aimerais vous voir après la réunion. C'est... Eh bien, je vous dirai où cela... South Boston. Savez-vous où se trouve South Boston ? C'est... très bien. Maintenant, nous avons le récit appuyé par une preuve. L'autre jour, j'étais... J'aime que les gens soient près. Très bien.
33     Eh bien, je-j'ai amené cette lettre. Il y était écrit : « J'habite à Salem, dans l'Indiana, ou à South Boston, dans l'Indiana» Et il était écrit : « Notre pasteur est venu et il-il nous a dit... Nous avions eu une réunion de prière et quelqu'un nous a apporté un petit livre intitulé Jésus-Christ le même hier, aujourd 'hui et éternellement. Et il était écrit : « Nous avons lu ce petit livre sur la guérison et quelque chose a touché mon cœur pour vous envoyer chercher, afin de prier pour cette jeune fille.» Et il s'est fait que, quand elle a indiqué la nuit où cela a eu lieu, c'était la même nuit où j'ai eu la vision. Voyez-vous ? Maintenant, vérifiez cela.
Je suis rentré chez moi, j'en ai parlé à ma femme. J'ai dit : « Ecoute ça ! »
Elle a dit : « Oui.»
Elle a dit : « Oh ! c'est une vision, n'est-ce pas ?» J'ai dit : « C'est ça.»
A la réunion de prière de ce soir-là, à l'église, je suis allé là et j'ai présenté cela. Tout le monde voulait partir. Il y avait là une famille du nom de Brace, Ad Brace.
34    Je les ai souvent cherchés. Je... Peut-être qu'ils sont dans cette réunion-ci. Est-ce qu'Ad Brace du Texas est ici ? Ou quelqu'un qui le connaît ? Ils étaient venus là pour être guéris, madame Brace. Elle souffrait de la tuberculose. Et alors, ils-ils voulaient partir.
Et j'ai dit : « Bon, premièrement, où se trouve South Boston ?» Quelqu'un m'a indiqué où ça se trouvait.
Alors... Et je suis allé au sud de New Albany. Connaissez-vous Hoosier, là au fond? Je suis allé au sud de New Albany et nous sommes allés très loin. Et là- bas, c'était New Boston au lieu de South Boston. Eh bien, je n'avais jamais entendu parler de South Boston. Je me suis dit : « Eh bien, alors-alors, c'est étrange, n'est-ce pas ? New Boston.» Eh bien, je suis revenu.
Et il y avait un vieux pêcheur du nom de Wisehart, là à la rivière. Il m'a parlé, disant : « Non, South Boston est loin... Allez vers Salem dans l'Indiana.»
35    Ainsi donc, j'ai pris la route de Henryville pour prendre le virage. Et ils m'ont dit de prendre le virage à Henryville. Et vous connaissez cette route qui passe par là depuis Henryville, je pense. C'était une route boueuse-boueuse. Eh bien, je... Et alors, j'ai repris cette petite vieille route de gravier et j'ai continué à partir. Il y avait un petit cantique qu'ils... C'étaient des pentecôtistes. Et ils m'ont appris un cantique sur... Quelque chose comme...
Il y a presque partout des peuples
Dont les cœurs sont tout enflammés.
Du feu qui descendit à la Pentecôte,
Qui les purifia et les rendit saints ;
Oh! cela brûle maintenant dans mon cœur,
Oh! gloire à Son Nom !
Je suis très heureux de dire que je suis l'un d'entre eux.
Avez-vous déjà entendu cela ? Eh bien, ils essayaient de m'apprendre ce cantique-là. Eh bien, il y a là quelque chose, et il a dit le... l'une ou l'autre chose au sujet d'un infirme qui avait été rendu capable de marcher et autres comme cela. Et je pensais que c'était bien.
J'ai dit : « Venez, reprenons cela.» Et nous chantions, poursuivant le chemin comme cela.
36     Et tout à coup, Quelque Chose m'a frappé, ça a failli me paralyser. Et je- j'ai pensé que c'était... J'ai pensé que peut-être j'étais tombé malade. Et j'ai arrêté la voiture. J'étais là au sommet d'une petite colline. Et il y avait là une église à ma gauche. Je me suis dit : « Peut-être ça peut être l'Ange du Seigneur. Je dépasse une église.» Alors, je suis sorti et je suis allé derrière la voiture. J'avais une petite vieille Ford... J'ai mis mon pied sur le... là-derrière, près du coffre. Je me suis tenu là. Et je me suis dit : « Je me demande bien ce que c'est.» Alors, il s'est fait que j'ai regardé à ma gauche, et il y avait là un cimetière. 
37     ...moi ce bout de papier. Et elle me l'a apporté là, nous avons vérifié les noms et les numéros des tombes. C'était exactement l'endroit. J'ai dit : « C'est ça la route. Nous sommes sur la bonne route maintenant. Et c'était l'Ange du Seigneur qui m'avait arrêté. Moi, j'étais passé à côté de cela sans le remarquer. Voyez ? Vous savez comment se présente le cimetière Bunker Hill. Et jamais de ma vie je n'ai été dans cette contrée, je n'en savais rien. Je suis donc parti... Je veux... J'ai poursuivi mon chemin. J'ai rencontré un homme qui se tenait à côté d'un-d'un bâtiment où il était... une petite station d'essence, et il roulait une cigarette.
Et j'ai dit : « Est-ce le chemin vers South Boston ?» Il a dit : « Oui, monsieur. Continuez tout droit.»
J'ai dit : « Connaissez-vous quelqu'un là-bas, du nom d'Harold Nail ?» « Oui, monsieur.»
Très bien. J'ai donc continué. J'ai continué à avancer. Ils ont dit : « Eh bien... »
J'ai dit : « Eh bien, si j'arrive dans cette ville... (la ville, South Boston.) Il y aura un homme qui sortira en salopette bleue. Il aura un képi jaune en velours côtelé et une moustache blanche.» J'ai dit : « Il sortira d'un petit magasin qui a une façade j aune. »
Et alors... Et elle... Madame-madame Brace a dit : « Eh bien, je-je n'ai jamais vu de pareil, Frère Branham.» Elle a dit : « Je ne sais pas ce que je-je... Je ne sais que faire de plus.» Elle a dit : « Quand je pense à ces noms là- derrière. » Elle n'en revenait pas. Elle n'avait jamais vu de pareil.
38   Et alors, nous avons continué. Je suis descendu. Je ... Nous avons passé quelques virages et j'avais confondu la route là-bas. Et je me suis adressé à un homme, il a dit : « Eh bien, vous-vous savez comment est l'Indiana. Vous virez à droite, vous virez à gauche.» Ainsi, je devais avoir pris un mauvais virage. Ainsi, malgré tout, je... Il a dit : « Suivez tout droit ce chemin.»
Un autre homme qui se tenait là a dit : « Vous-vous allez à South Boston. C'est à environ 4 ou 5 miles [6,4 ou 8 km-N.D.T.]
Je conduisais. Nous bavardions, vous savez. Peu après, j'ai atteint une petite ville ; je l'ai dépassée. J'ai dit : « C'est cet endroit-ci.» C'est ici même. Et c'était un endroit spacieux, sur la route, on dirait, vous savez, une petite route de campagne là. J'ai dit : « C'est l'endroit, ici même.» Et voilà, le magasin avait une façade jaune. Observez.
Nous sommes allés un peu plus loin. Un homme en salopette bleue et en képi jaune en velours côtelé est sorti de ce magasin, il avait une moustache blanche. Madame Brace s'est tout simplement effondrée là même dans la voiture, elle s'est évanouie. Et elle-elle ne savait pas...
39     J'ai dit : « Le voilà. C'est lui l'homme en question.» J'ai dit : « Maintenant, observez, il agira de façon étrange, parce que Cela... La puissance du Seigneur est tout près de lui.» Et je me suis rapproché ; j'ai dit : « Monsieur, ai-je dit, vous êtes censé m'indiquer là où se trouve Harold Nail.»
Et les lèvres du vieil homme ont commencé à trembloter, comme cela. Il a dit : « Oui, monsieur.» Il a dit : « Remontez directement cette route, et prenez le virage. C'est la troisième maison à droite, du côté d'une grande grange rouge érigée sur la colline.»
J'ai dit : « Oui, oui.»
Il a dit : « Pourquoi ?»
Et j'ai dit : « Avez... A-t-il une jeune fille qui est assez malade ou quelque chose comme cela ?»
Il a dit : « Oui.»
J'ai dit : « Elle va être guérie.»
De très grosses larmes ont commencé à couler sur ses pauvres vieilles joues. Et nous avons fait demi-tour. Et frère Brace parlait à la sœur Brace, en lui essuyant le visage avec sa main. Et nous avons fait demi-tour, nous sommes rentrés, et nous avons descendu la route, nous sommes arrivés au lieu.
40     II y avait une-une femme du genre corpulent, madame Nail, elle est sortie de la maison. Et elle a dit : « Je sais que c'est vous Frère Branham, à partir de votre photo qui est dans le livre.»
J'ai dit : « Oui, madame.»
Elle a dit : « Entrez.»
Nous sommes entrés. Ils m'ont donc accompagné. Nous avons emprunté le passage qui était là. Et quand nous étions... passions par la porte, j'ai dit : « Observez maintenant ce qui est dans la chambre.» Aussitôt qu'on franchit la porte, il y aura un grand vieux réchaud en tronc d'arbre placé là. Il y aura là l'écriteau : «Que Dieu bénisse notre maison.» Il y avait le-le grand lit avec affiche. Il y avait une jeune fille couchée là, ayant l'air d'un garçon, un regard dur, et ses mains étaient recroquevillées par l'arthrite, et son pied était comme cela. Et jusqu'au papier qui était jaune, avec des images rouges.
Madame Brace s'est de nouveau évanouie. Elle s'est de nouveau évanouie en voyant cela et en voyant ce qui s'était passé.
41 Eh bien, et-et alors, c'était comme s'il se passait quelque chose d'étrange. C'est comme si mon esprit ou mon être, ou quelque chose comme cela, était sorti. Et je me rappelle que je me suis avancé, et j'ai posé mes mais sur le ventre de cette jeune fille. Et j'ai dit : « AINDI DIT LE SEIGNEUR, sœur, vous allez être guérie.» Et je me suis mis à prier.
Et quand je me suis mis à prier, j'ai entendu quelque chose dire, une petite voix dire : « Gloire au Seigneur.» Et c'était elle. Elle pleurait nuit et jour à cause de cette affliction. Et quand j'ai regardé, sa main était redevenue normale, son pied s'était redressé, et quand elle s'est relevée, la jambe gauche de son pyjama s'est relevée assez haut à ce niveau, pour dévoiler le genou rond. Et lorsque madame Brace a vu cela, elle est repartie. Elle s'est donc effondrée parterre et elle a dit : « Maman, maman.»
La jeune fille est sortie de la chambre, elle est revenue habillée, se peignant les cheveux avec cette main qui était infirme, son pied infirme... Et aujourd'hui, elle habite à Salem, dans l'Indiana.
Par hasard, la connaissez-vous, sœur ? Quel-quel est votre nom ? Laurel. Vous venez de Salem, dans l'Indiana. Connaissez-vous madame Nail ? Connaissez- vous la jeune fille ? Connaissez-vous le cas ? Voilà un témoin.
Eh bien, disons : « Gloire au Seigneur !» Tout le monde.
Que faites-vous très loin dans cette contrée ? C'est un bon endroit, n'est-ce pas ? Ça l'est assurément. C'est vraiment bien. Vous venez de Salem, dans l'Indiana... C'est à environ-à environ 30 miles, 35 miles [49 km-N.D.T.] de chez moi, je pense, de Salem, dans l'Indiana.
Eh bien, voyez-vous ? Or, c'est juste un des cas où Dieu se fraie une voie pour accomplir ces choses.
42   Je me demande si j'ai le temps de vous en raconter très vite un qui est à l'esprit, juste quelques instants. Je me demande si nous pouvons le faire. Voudriez-vous dire amen, si vous voulez entendre cela ? Est-ce que ça vous dérange que j'en parle ? Si vous voulez entendre cela, dites amen. [L'assemblée dit : « Amen.»-N.D.E.]
C'était à Little Rock, dans l'Arkansas. Combien connaissent G.H. Brown de Little Rock, dans l'Arkansas? Un pasteur, G.H. Brown. Quelqu'un ici au fond ? Très bien. Le connaissez-vous ?
Eh bien, écrivez-lui pour avoir ce témoignage. Et maintenant, cet homme, si vous voulez lui écrire pour avoir ce témoignage, voyez la dame là derrière, premièrement si vous le voulez. Et ensuite, écrivez à madame Harold Nail, à South Boston, dans l'Indiana. Ou écrivez à l'autre, c'est monsieur John Emmel à Utica, dans l'Indiana, RFD 2. Et si vous voulez écrire à cet homme pour avoir ce témoignage-ci que je vais vous raconter maintenant, c'est Révérend G.H. Brown, 505, Hickory Street, Little Rock, Arkansas. Je vais essayer de vous le raconter aussi vite que possible, dire un mot de prière, et alors nous commencerons la ligne de prière.
43     Combien sont ici aujourd'hui pour qu'on prie pour eux ? Voyons... 
La ligne de prière... de près. J'appelle toujours cela un manque ...?... dans un événement, ou quelque chose comme cela. Ça a beaucoup à faire avec la foi de la personne.
Mais quand II m'envoie quelque part, mon ami, peu me-m'importe que la personne soit dans la tombe, morte depuis cinquante ans, elle en sortira. En effet, Dieu a déjà proclamé cela. Absolument. Et... Maintenant, c'est tout aussi vrai, mes amis, que je me tiens ici. La Bible déclare : « Toute affaire se réglera sur la déclaration de deux ou trois témoins.» Est-ce vrai ? Maintenant, demandez.
44     Maintenant, c'est ainsi que le don est censé opérer. Voyez ? Eh bien, j'aimerais que vous remarquiez ceci. Ce n'était pas ma prière sincère qui avait fait venir ce don. Les dons ne viennent pas par des prières sincères. Les dons sont préordonnés de Dieu. Ils sont ordonnés et envoyés.
Ici, au pont municipal. Sœur, sans doute que vous savez là où se trouve le pont municipal, n'est-ce pas, qui relie Jeffersonville à Louisville ?
Vingt-deux ans, alors que j'étais un petit garçon, juste un petit garçon d'environ cinq ou six ans, quand l'Ange du Seigneur est apparu dans le buisson... Vous m'avez entendu raconter cela, n'est-ce pas ? Quand je transportais de l'eau.
Eh bien, environ deux semaines après cela, je jouais aux billes avec mon jeune frère. Et je pensais que j'étais tombé malade, un sentiment vraiment étrange m'avait envahi. Je suis allé m'asseoir à côté d'un arbre. Et j'ai regardé la rivière, et un pont a été jeté là, un grand, un très grand pont qui enjambait la rivière. Et j'ai compté seize hommes qui étaient tombés de ce pont-là et s'étaient noyés. Je suis allé en parler à ma mère. Et je lui ai dit que j'avais vu cela. Et ils ont pensé que j'étais fou ou quelque chose comme cela. Ils ont pensé que j'étais juste un tout petit peu nerveux, un enfant nerveux.
Et vingt-deux ans plus tard, au même endroit, le pont municipal a été jeté et seize hommes ont perdu leur vie là. Voyez ? Ce n'était pas quelque chose
que... C'est-c'est Dieu qui a envoyé cela. Vos prières ont amené cela. Voyez ?
45    Et il se peut que cet homme soit assis dans cette salle maintenant même, c'est un prophète divin qui vient. Il peut se lever ; il peut prétendre des choses. Il y a beaucoup de fanatismes qui suivent généralement ces choses. Faites attention. Je vous avertis avant que cela n'arrive. Mais Dieu rendra témoignage à Son don. Est-ce vrai ? Il en rendra témoignage.
Maintenant, remarquez. Et soyez vraiment attentifs à ça. Cela... Vous m'avez entendu raconter la guérison de cette femme-là, cette folle de l'autre jour, celle qui était couchée sur son dos là, à Little Rock, dans 1'Arkansas. Vous rappelez- vous m'avoir entendu raconter cela ?
J'avais reçu un appel téléphonique ; frère Brown est venu me prendre. J'avais reçu un appel téléphonique de Memphis, dans le Tennessee.
Y'a-t-il ici quelqu'un de Memphis, dans le Tennessee ? Dans les parages du Tennessee ? Il y en a beaucoup. Je vois des voitures du Tennessee là-dehors. Alors je me suis dit... Très bien, c'était à Memphis, et c'était arrivé à votre receveur des postes. Et... N'importe qui, quel est le nom de cette ville de l'Arkansas, frère, sœurs, où cela s'est passé ? C'est ça. Là où la fille de Paul Morgan... Walnut Ridge, dans l'Arkansas. Y a-t-il ici quelqu'un qui vient des environs de Walnut Ridge ? Combien connaissent Paul Morgan, à Walnut Ridge, dans l'Arkansas ? Levez la main. Très bien, vous reconnaîtrez le cas donc, c'est bien. Walnut Ridge, dans l'Arkansas...
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 19:23

46   Eh bien, j'étais à Corning, dans l'Arkansas, dans la réunion, quand le cas de Walnut Ridge était arrivé. Il était tout simplement couché sur le... Vous savez comment les gens sont dans l'Arkansas. Le temps ne les arrête pas là-bas ; ils s'amènent carrément. Et on les met là, dans les rues, autour de l'église, autour du presbytère. Et j'allais nuit et jour donc. C'est ça donc mon problème. Voyez ? Je me suis simplement effondré. Au commencement, j'étais juste...Ils n'avaient pas de temps d'arrêt, je... Les églises m'ont simplement laissé continuer toute la nuit.
Et alors un téléphone sonnait sans cesse. Et connaissez-vous madame Nelly Riggs là, à Little Rock ? Ou-ou au... Non pas à Little Rock, mais à Corning ? Eh bien, c'était elle qui répondait au téléphone. Elle a dit : « Eh bien, nous ne pouvons pas le réveiller, monsieur. » Elle a dit : « Il vient... Nous venons à peine de le mettre au lit.»
Et l'homme a continué, très, très persistant. Alors, je—j'ai dit : « Laissez-moi lui parler.»
Elle a dit : « C'est Paul Morgan.»
47     Qui était-il, frère ? Qui est-il là, dans l'Arkansas ? Un collecteur du comté. Et alors... Je ne pense pas que c'était ça à l'époque, n'est-ce pas ? Un commis, la ville... ou un commis du comté.
Et alors, je suis allé—je suis allé au téléphone. Il a dit : « Je suis le commis du comté ici à Walnut Ridge», qui se trouve à environ 70 miles [environ 113 km- N.D.T.] au sud par rapport au lieu où j'étais. Et il a dit : « Monsieur, j'ai entendu parler de grandes œuvres de Dieu.» Il a dit : « Je désire que vous veniez accomplir un miracle sur ma fille. »
J'ai dit : « Monsieur Morgan, ai-je dit, eh bien, je ne peux accomplir aucun miracle.» J'ai dit : « C'est Dieu qui est le Guérisseur.»
Il a dit : « Eh bien, j'ai appris...» Il a dit : « Ecoutez, monsieur.» Il a ajouté : « Ma-ma fillette se meurt.» Et il a dit : « Elle est-elle est dans un état très grave. Et nous ne nous attendons pas à ce qu'elle vive plus de deux ou trois heures.» Et il a dit : « J'aime ma fillette.» Il a dit : « Elle est mon unique enfant. Elle a environ douze ans.» Et il a dit : « Je voudrais... Je-je désire que vous veniez.»
J'ai dit : « Monsieur Morgan, je serai content de venir. Mais écoutez ceci, monsieur.» J'ai dit : « Il y a des gens ici debout, dans la véranda, avec des petits enfants. Et ils sont trempés pour être restés sous la pluie, debout, toute la nuit.» J'ai dit : « Ils n'arrivent même pas à s'approcher de l'endroit. »
Et il—il a dit : « Je le sais monsieur. » Il a dit : « Et j'apprécie cela. » Mais il a dit : « Vous êtes aussi un père, n'est-ce pas ? »
J'ai dit : « Oui, oui. »
48     II a dit : « Pensez-y donc. Ces mères-là, leurs enfants ne se meurent pas. » Il a dit : « Ils peuvent avoir autres choses. » Mais il a dit : « Mon enfant a attrapé la pneumonie. Et le meilleur spécialiste que je puisse avoir a dit qu'il ne lui reste que trois heures à vivre. »
J'ai dit : « Eh bien, monsieur. Je ne pourrais même pas arriver là dans trois heures. »
Il a dit : « Mais, Frère Branham, a-t-il dit, ne pensez pas que j'essaie d'user de mon autorité pour faire pression. » Et monsieur Morgan est un gentil homme. Il nous a suivi pendant longtemps, n'est-ce pas, Frère Kidson, tout au long des réunions. Il a dit : « Si seulement vous venez, a-t-il dit, je vais simplement... Vous ne savez pas ce que... » Il a dit : « Monsieur, leurs enfants, s'ils ont pu tenir toute la nuit, a-t-il dit, peut-être qu'ils-ils peuvent attendre un peu. Mais mon enfant ne le peut pas. » Il a dit : « Je viens de perdre une fillette ici, d'environ douze ans. Ma première fillette est morte, a-t-il dit, bien avant que ces affaires de guérison commencent. »
49     Et je compatissais avec lui pour cette pauvre enfant mourante. Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, vous ne pouvez pas aller là, chéri. » Il a dit : « Mon..., a-t-il dit, eh bien, vous êtes-vous êtes pratiquement mort.» J'ai dit : « Eh bien, laissez-moi me coucher derrière votre... [Espace vide sur la bande] la petite voiture Plymouth.» Et on a roulé sur cette autoroute à 70 miles par heure [113 km / heure-N.D.T.] vers l'Arkansas.
Et en route vers là, je priais. Et l'Ange du Seigneur était dans la voiture avec moi pendant juste un moment. Il a dit : « Dis-lui ceci : AINSI DIT LE SEIGNEUR, il y a des eaux claires qui coulent, c'est Ma Parole à lui transmettre. » Quand II a quitté, je-j'étais tout aussi éveillé que je le suis maintenant. Et je me suis mis à crier et à louer le Seigneur, et frère Johnson a dit : « Qu'y a-t-il ? »
J'ai dit : « l'Ange du Seigneur était ici, Frère Johnson. »
Il a dit : « Oh! Frère Branham... » Vous savez... S'il y a parmi vous quelqu'un qui connaît frère Johnson, c'est un très brave homme. Il a freiné. Il s'est mis à crier. J'ai dit : « Allez simplement de l'avant maintenant. Allez de l'avant et allez tout droit. »
50    Et quand nous sommes arrivés là, eh bien, les gens de l'Arkansas s'aiment les uns les autres. Et ils aiment Paul Morgan. Et tout autour de cette clinique- là, il y avait vraiment des gens réunis partout, attendant le dernier mot. Ils étaient restés là toute la nuit, attendant les derniers mots pour la fillette. Elle était aimée de tout le monde.
Mais vous ne savez pas comment... quel-quel sentiment on a. On est sorti de là et on a commencé à se frayer un chemin à travers la foule. Et il y avait le- l'un des médecins qui se tenait là. Ils étaient à la porte. Ils ne pouvaient plus faire entrer les gens, sauf ceux qui pouvaient accéder sur les marches. Et ils attendaient là, tout le monde les aimait.
Il a dit : « Est-ce vous le révérend Branham ? »
J'ai dit : « Oui, oui, c'est moi. »
Il a dit : « Monsieur Morgan vous attend. »
Il a dit : « Puis-je vous montrer la chambre ? »
J'ai dit : « Oui, oui. »
J'ai dit : « L'enfant vit encore. »
Il a dit : « Oui, elle vit. »
Etj'aidit : «Là... »Et alors sur le ...?... nous avons rencontré un stagiaire.
Il a dit : « Voici le révérend Branham, a-t-il dit, que monsieur Morgan attend. » Alors... Eh bien, le stagiaire est rentré avec moi et il a dit : « Voudriez-vous être seul, Frère Branham ? »
J'ai dit : «Je préfère. J'aimerais voir premièrement le père et la mère. »
Il a dit : « Eh bien, on a deux infirmières dans la chambre, ils sont en train de lui donner de l'oxygène. »
51 On ne pouvait pas la placer sous la tente à oxygène, ils ont dû lui mettre un masque en caoutchouc. Or, s'il y a un médecin ici, je n'avais jamais vu cela auparavant. Ils lui ont mis cela et ils lui donnaient de l'oxygène par force. Elle respirait un peu, faisant... [Frère Branham illustre-N.D.E.] Puis, on remettait cela sur elle, faisant... Alors, ça redescendait, puis l'infirmière enlevait et poussait cela, faisait... ôtant cela comme ceci, c'est ainsi qu'ils l'ont gardée vivante.
Je commençais à frapper à la porte. Oh! la la! j'ai simplement senti Quelque Chose se tenir près. Frère Johnson était là, j'ai dit : « N'entrez pas, Frère Johnson. Laissez-moi aller seul. »
Je suis allé à la porte. L'une des infirmières a ouvert la porte. Elle a dit : « Que voulez-vous ? »
J'ai dit : « C'est moi frère Branham. J'aimerais voir... » Elle a dit : « Entrez. » Je suis entré. Monsieur Morgan a dit : « Est-ce vous frère Branham ? » J'ai dit : « Oui. »
Il est simplement venu mettre ses bras autour de moi. Vous savez comment il est, un très grand homme, gentil. Il a dit : « Frère Branham, a-t-il dit, j'essaie de vivre correctement. Je-j'essaie de faire ce qui est correct. Je ne sais pas pourquoi Dieu retire mon enfant. »
J'ai dit : « Ne soyez pas excité, monsieur Morgan. Asseyez-vous.» Je me suis approché de l'infirmière. Et elle a dit : « Il nous faudra maintenir cet oxygène en cours. »
J'ai dit : « C'est en ordre. Je voudrais que vous le fassiez. »
52     La fillette était couchée, on dirait voûtée comme ceci. J'ai posé mes mains sur elle et j'ai dit : « Maintenant, papa (au papa), ai-je dit, est-ce que vous et la maman, vous promettez de servir Dieu, de témoigner de cela partout où vous allez ? »
« Nous le ferons. »
J'ai dit : « N'ayez pas peur. J'ai une Parole pour vous ; en effet, c'est de la part du Seigneur, après ma prière pour votre enfant. » J'ai posé mes mains sur l'enfant, j'ai invoqué sur elle le Nom de Jésus-Christ. Et dès que je l'ai fait, ce n'était plus alors nécessaire de lui donner de l'oxygène par le nez. Je me suis retourné et j'ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, Monsieur Morgan. » J'ai dit : « Beaucoup de spécialistes ont déclaré que votre enfant se mourait. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre enfant vivra. » J'ai dit : « Elle se rétablira. Voici une Parole pour vous. Souvenez-vous-en toute votre vie : Il y a des eaux claires qui coulent. » Vous n'avez pas de témoignage là même, n'est-ce pas ? Non. Et il est signé par le notaire. Et alors, je suis sorti du bâtiment. Et le troisième jour, l'enfant était retournée à l'école. Elle était guérie, bien portante. Voyez ?
53     Eh bien, puis à Little Rock, ils m'ont envoyé chercher pour... Quel était le nom de cet homme-là ? Le receveur de poste là au... Qui qu'il soit, vous de-de Memphis, vous savez de qui je parle, je pense. C'est un-un homme élancé. Mais de toutes les façons, après que je l'aurai décrit ici, vous le reconnaîtrez. Et l'homme qui était avec lui, c'était Kenny. Je me rappelle cela, monsieur Kenny.
Et ils m'ont envoyé chercher pour prier pour cet homme, disant qu'il se mourait. Eh bien, je me suis apprêté à aller par le premier vol. Et au lieu d'aller à... Je m'apprêtais et j'enfilais ce costume. J'ai entendu quelque chose comme un vent souffler dans la chambre, se mettre à faire whoouf, whoouf, whoouf. [Frère Branham illustre cela.-N.D.E.] Je me suis dit : « Oh ! la la ! le vent est très fort aujourd'hui. » Et j'enfilais ma chemise, vous savez, le costume et tout. Je chantais. Et Frère Brown s'apprêtait à m'amener là, il a dit que l'homme se mourait.
54  Et cet homme-là qui était allé chez le médecin, Général Patton... Vous souvenez-vous tous de lui ? On l'a amené là par avion pour cet homme-là. Tout indiquait qu'il se mourait, un cas de pneumonie aussi. Il a dit : « Il se meurt. Cet homme ne peut pas se rétablir. » Il avait l'asthme, la pneumonie asthmatique. Et alors, j'ai commencé à enfiler mon costume, je pensais que frère Brown allait être là à n'importe quel moment.
Et on ne pouvait pas obtenir un... Et monsieur Kenny était venu par voiture. C'était un genre d'officier de la loi là, vous savez, il avait un-il avait un gyrophare et une sirène sur son véhicule. Et il était venu là, il avait quitté tôt afin de pouvoir me prendre au cas où l'avion ferait donc défaut.
55     Et j'ai regardé là, et juste un tourbillon on dirait passait par la chambre. Je me suis agenouillé pour prier. Et alors, l'Ange du Seigneur a parlé, disant : « Ne va pas là. Son temps est arrivé. » Très bien. Je me suis levé et j'ai ôté mon costume. Quelques instants après, ils sont venus à la porte. Et comme frère Kenny entrait précipitamment, il a dit : « C'est vous frère Branham ? »
J'ai dit : « Oui. » Et frère Brown était avec lui. Eh bien, vous tous, vous connaissez frère Brown, ou n'importe qui d'entre vous qui voudrait écrire pour avoir ce témoignage. Il a fait passer son bras autour de moi, il a dit : « Oh! j'ai eu la foi pour le savoir. » Il a dit : « C'est un ami personnel de Paul Morgan. » Il a dit : « Il a appris au sujet de sa fille. » Et il a dit : « Bien sûr, il est inconscient maintenant. » Mais il a dit : « C'est mon ami intime. » Il a dit : « Vous savez... »
J'ai dit : « Mais monsieur, vous allez probablement trouver votre ami parti à votre retour. Car AINSI DIT LE SEIGNEUR, cet homme va mourir. »
56     Eh bien, vous, juste vers... Eh bien, vous, juste vers... « Eh bien, le Saint- Esprit m'a avisé de ne pas partir. Il m'a parlé ici dans cette chambre il y a quelques instants. » Il a dit : « Mais, Frère Branham, a-t-il dit, il est... Sa femme a dit... Ils sont juste... Ils viennent de sortir de la... d'une grande église, vous savez, pour entrer dans leur église. » Et il a dit : « Si seulement vous... Si vous... a-t-il dit, cela représente beaucoup pour elle. » J'ai dit : « Mais je n'y puis rien, monsieur. Je ne peux pas aller à l'encontre de la volonté de Dieu. Je ne peux pas aller.» Il a dit : « Vous voulez dire que mon ami va mourir ? »
J'ai dit : «Il sera probablement mort à votre retour. » J'ai dit : « Néanmoins, à quelle heure allez-vous rentrer ? » Il a dit : « Je retournerai vers 20h ce soir. »
J'ai dit : « Appelez-moi le matin. Je serai en train de prier. » J'ai dit : « Son cas m'intéresse. Et faites-moi savoir quand il mourra. » J'ai dit : « Appelez-moi le matin et faites-moi savoir son état et l'heure exacte de sa mort au cas où il serait parti quand vous arriverez. Et ne vous dérangez pas de m'appeler ce soir, car je serai dans une réunion. Et ne m'appelez pas, parce que je ne sais pas, il se peut que je ne sois pas revenu de la réunion avant deux ou trois heures du matin. »
Eh bien, il était très... Il s'est mis à pleurer. Il a dit : « Mon pauvre ami, mon pauvre ami », comme cela, il est rentré en pleurant.
57     Eh bien, je suis allé à la réunion ce soir-là, et c'était le même soir où le fou avait été guéri. Voyez ? On est rentré et je suis allé au lit. Et le lendemain matin, comme j'étais rentré vers deux heures...
Et le lendemain matin, je-je me suis levé dans la chambre... Eh bien, j'aimerais que vous écoutiez très attentivement ceci maintenant, afin que vous puissiez comprendre l'histoire de frère Brown. Quand je me suis réveillé en chambre, je... juste... comme cela. Et je me suis dit : « Oh ! la la ! C'est l'aube. » J'ai regardé, il y avait là, à côté de mon lit, une dame. Eh bien, ma chambre était fermée à clef. La porte était fermée à clef. Elle portait un ensemble brun, un ensemble brun clair, elle avait on dirait des cheveux gris entremêlés. Elle portait un corsage blanc, quoi... peu importe comment les femmes appellent cela. Je pense qu'on appelle cela un ensemble, n'est-ce pas ? Lorsqu'on a la robe et la veste de même couleur, vous savez, la même chose. Alors elle était assise là. Elle était-elle regardait de côté avec beaucoup de tristesse.
Et j'ai dit... Je me suis levé ; je me suis dit : « Eh bien, ici... Comment cette femme est-elle entrée ici? La porte est fermée à clef, et voici la clef ici. Et cette femme est assise là. » Et j'allais me lever pour dire : « Madame...»
Et alors, j'ai regardé ici derrière, et il y avait là un homme assis, là. C'était un homme élancé, il portait un costume clair, il avait des cheveux gris et une cravate rouge. Il avait l'air très triste, comme cela. Et elle a regardé vers lui, et il a un peu souri. Et ils se sont regardés l'un et l'autre.
58    Alors, je me suis dit : « Eh bien, qu'est-ce ? » Et je me suis directement levé... Tout aussi réel, mes amis, (Dieu est mon Juge) que je me tiens ici même en train de vous regarder, comme ça. Et j'ai dit : « Eh bien, qu'est-ce ? » Et j'ai levé les yeux, et je me tenais sur une estrade, quelque part dans une église. Eh bien, eh bien ...?... Ou-ou je me suis mordu le doigt pour voir si je ne dormais carrément pas ou ce qui n'allait pas avec moi.
Et j'ai vu que ceci n'était-n'était pas... c'était une vision. Alors, j'ai considéré cela, et juste à ce moment-là, c'est parti... cela a commencé à disparaître. Et je les ai vus rire l'un à l'autre. Et ils avaient les têtes inclinées vers moi, comme ça, et ils souriaient l'un à l'autre, les têtes inclinées comme ça. Et ils ont disparu de la chambre, comme cela.
59     Eh bien, je me suis levé, et j'ai prié. Et j'ai dit : « O Dieu, je ne les connais pas. Qu'est-ce que cela signifie ? Probablement que quelqu'un répondant à ce profil va venir aujourd'hui. » Parfois, je vois des gens venir dans des réunions, comme ça. J'ai dit : « Eh bien, lorsque je les verrai... » Vous m'entendez... Vous m'avez plusieurs fois entendu me mettre à dire : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, levez-vous. » Voyez ? C'est parce que Dieu avait déjà dit cela. Cela doit arriver. Alors, je me suis dit : «Eh bien, il y aura quelqu'un comme cela qui va venir. »
Et alors, je-je pensai : « Eh bien, je vais lire ma Bible.» Cette Bible même. J'ai dit : « Seigneur, où voudras-Tu que je lise dans Ta Bible, ce matin ? » J'aime vraiment lire la Parole du Seigneur. J'ai simplement pris ma main comme ceci, je l'ai posée sur la Bible et j'ai ouvert Cela. Et Elle s'est ouverte là où Esaïe avait été envoyé vers Ezéchias pour lui annoncer que son temps était arrivé. Ezéchias avait tourné son visage contre le mur et avait prié le Seigneur. Et le Seigneur avait entendu sa voix, Il est revenu et II a parlé à Esaïe, disant : « Va lui dire que je lui accorde quinze ans. » Vous rappelez-vous cela ? « Eh bien, ai-je dit, n'est-ce pas là une chose étrange ? » Eh bien, je-j'ai dit que cette Ecriture semble... J'avais oublié ce-ce cas là-bas. J'ai dit : « C'est étrange, n'est-ce pas ? »
60     Et à ce moment-là, le téléphone a sonné. J'ai dit : « Eh bien, c'est frère Brown qui vient m'aider, me prendre et m'amener.» Vous savez comment... Là, il y avait deux ou trois personnes avec lui. Je me suis dit : « C'est lui qui vient me prendre pour le petit-déjeuner.» Et j'ai pris le combiné.
J'ai dit : « Salut. »
Il a dit : « Salut. Frère Branham ? »
J'ai dit : « Oui, oui. Comment ça va, Frère Brown ? »
Il a dit : « Ce n'est pas frère Brown. C'est frère Kenny de Memphis. »
J'ai dit : « Oh ! » Je pensais que personne à part-à part frère Brown ne savait dans quelle chambre je restais et que les gens se demanderaient où je restais (voyez-vous ?). Et j'ai vu que frère Kenny le savait aussi. J'ai dit : « Oui. » J'ai dit : « Eh bien, quelle nouvelle ? »
61 Et juste à ce moment-là, la vision m'est venue à l'esprit. Et il a dit : « Eh bien, Frère Branham, nous sommes restés éveillés toute la nuit. Nous pensions qu'il allait mourir. » Il a dit : « Le... Ils sont ici maintenant. » Il a dit : « On attend la dernière minute n'importe quand. » Il a dit : « Frère Branham, je suis... je sais que je peux amener ma femme à venir là si je... dans votre prochaine réunion, quand vous viendrez à Jonesboro, le premier de l'an. » Il a dit : « L'amener, la faire entrer dans la réunion ? »
J'ai dit : « Peut-être que vous le pouvez, monsieur. » Mais j'ai dit : «Vous disiez ...?... »
Il a dit : « Oui, a-t-il dit, il se meurt. » J'ai dit : « Est-ce que sa femme est là ? »
Il a dit : « Oui. » J'ai dit : « Est-ce que sa femme porte un ensemble brun avec un corsage blanc et qu'elle est une femme aux cheveux grisonnants ? »
Il a dit : « Certainement. »
J'ai dit : « Est-ce que lui porte un costume clair ? Est-ce qu'il a des cheveux grisonnants, et porte une cravate rouge ? »
Il a dit : « C'est ce qu'il porte tout le temps. Pourquoi ? Le connaissez-vous ? »
J'ai dit : « Oui, oui. Dites à sa femme de venir au téléphone. »
Il a dit : « Eh bien, Frère Branham, j'ai dit qu'on s'attendait à ce qu'il s'en aille à tout moment. »
J'ai dit : « Eh bien, dites-lui de venir au téléphone. »
Il a dit... Eh bien, il a dit : « Je lui ai déjà dit que vous aviez dit qu'il allait mourir. »
J'ai dit : « Mais j'aimerais qu'elle vienne au téléphone. »
Elle est venue au téléphone et j'ai dit : « Salut. » Et je lui ai demandé si c'était elle.
Elle a dit : « Oui. »
Alors j'ai dit : « Eh bien, c'est Frère Branham. » Elle a dit : « Oui. » Elle a dit : « J'ai entendu, Frère Branham. » J'ai dit : « Mais écoutez, sœur. Etes-vous prête maintenant ? » Elle a dit : « Que voulez-vous dire ? »
J'ai dit : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, votre mari vivra. » J'ai dit : « Est-ce que-est-ce que... Croyez-vous cela ? » Je n'entendais pas de réponse. J'ai dit : « Croyez-vous cela ? » Je n'arrivais pas à entendre de réponse.
62    Je me suis dit... Alors, j'ai entendu quelqu'un s'agiter là, elle s'était évanouie. Et le... Elle était tombée par terre. Et alors, frère Kenny a pris le
combiné : « Qu'est-ce qui se passe, Frère Branham ? La femme s'est évanouie.
»
J'ai dit : « Je lui ai dit : AINSI DIT LE SEIGNEUR, son mari va vivre. »
Il a dit : « Quoi ? »
J'ai dit : « Oui, il va vivre. »
J'ai dit : « Je l'ai décrit. Je l'ai vu en vision il y a quelques instants. Elle va vivre... ou plutôt il va vivre. »
Il a dit : « Oh! puis-je venir vous chercher ? »
J'ai dit : « Attendez le prochain vol. Je serai là. »
63       ... allé à cet hôpi... [Espace vide sur la bande] ...?... les médecins étaient là. Je suis entré. Voici venir sa sœur dans le hall, elle a dit : « En voilà une idée ...?... Un prédicateur saint exalté par ici, alors que mon frère se meurt là. Je pense que c'est une disgrâce. »
Oh ! la la ! Cela ne pouvait pas... Rien ne pouvait arrêter la chose. Le diable ne pouvait pas envoyer assez de diablotins de l'enfer pour arrêter cela. Il n'y a rien. Il n'y a rien. C'était absolument là. C'est tout. Il avait déjà été dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» C'est là. Oh ! vous ne savez pas comment je m'étais senti en entrant là!
J'ai parcouru le hall, et voici venir une infirmière, sortant de là, vous savez. Et j'ai dit : « Y a-t-il quelqu'un là-dedans, madame ? »
Et elle a dit : « Oui, il y a deux médecins à l'intérieur. »
J'ai dit : « Dites-leur de sortir. » Oh ! la la ! Oh ! la la ! Vous ne savez pas comment je m'étais senti. Dans la chambre, il n'y avait que ces deux. Je suis allé là...
Mes amis, vous... Je sais que vous pensez... Certains parmi vous me taxent de fanatique, mais Dieu est mon Juge, Lui que je sers. Je suis entré dans cette chambre, comme cela, et ces médecins en sont sortis, avec un regard très sarcastique, vous savez. Je suis entré, et la pauvre sœur, elle était bien sur le point de s'évanouir. Alors, j'ai dit : « Maintenant, ne vous en faites pas. »
64     Je n'avais pas mon veston, et j'avais emprunté celui de frère Brown. Et j'avais cette-cette Bible enfouie dans la poche. Et le veston était trop grand pour moi ; je le trimbalais tout simplement pour faire ...?... J'avais l'air très bizarre. C'était un temps froid. Et alors, j'ai déposé le veston sur la chaise, je lui ai dit : « Eh bien, allez prendre la Bible et prenez tel passage des Ecritures », ce que j'avais vu là dans Esaïe. Et il... elle s'est mise à lire cela.
Je-je-je l'ai regardée, et ses yeux étaient ternes, vous savez, là, ses yeux étaient comme, vous savez, cette eau qui sort. Sa bouche était renvoyée en arrière ; ses oreilles étaient à peu près comme cela. Il était couché là, sous cette tente à oxygène-oxygène, comme ça, vous savez.
65     Et j'ai pris... j'ai introduit la main sous la tente à oxygène et j'ai saisi sa main. Il y eut une vibration qui s'est fait sentir. Alors, je l'ai secoué un peu. J'ai dit : « M'entendez-vous, monsieur ? »
Elle a dit... Il a dit : « Oui, oui. » Ça faisait environ deux jours, là.
J'ai dit : « Ne... Vous ne-vous ne doutez pas d'une parole que je dis, n'est-ce pas ? »
Elle a dit : « Absolument pas. Je ne doute de rien. » C'est une brave petite femme.
J'ai saisi la main de son mari. J'ai dit : « Dieu bien-aimé, Toi qui m'as parlé ce matin dans une vision, je sais que ces gens sont ...?... Jonesboro, dans l'Arkansas... ou... Car je me tenais sur cette estrade-là et ceux-ci sont l'homme et la femme en question. » J'ai dit : « Maintenant, que l'Ange de Dieu parle. » J'ai senti la vibration quitter. J'ai tout simplement continué à prier.
Je l'ai senti saisir ma main. Je savais que Dieu était là. Je l'ai senti saisir ma main ; je savais que la vie était là. Directement, j'ai levé les yeux, et je l'ai vu commencer à mouiller ses lèvres. Elle était toujours là au chevet du lit, pleurant. Et j'ai attendu juste un tout petit peu, et je l'ai aussitôt vu regarder comme cela. J'ai dit : « Me connaissez-vous ? »
66    Et elle s'est très vite levée et elle a regardé. Elle l'a vu relever la tête,
comme sur sa main, comme ceci, me regardant. J'ai dit : «Me connaissez-vous?»
Il a dit : « Oui, c'est frère Branham. »
Oh ! la la ! Elle a failli foncer sous cette tente à oxygène. Elle a dit : « Papa, papa, papa, papa, » comme cela, elle l'a saisi, comme cela, et elle s'est mise à l'embrasser et tout. Je me suis tout simplement glissé hors de la chambre comme cela, pendant qu'ils continuaient ; j'ai descendu les marches, je suis retourné à l'avion. Quand je me dirigeais vers l'avion, les Assemblées de Dieu avaient assez de gens là, je ne sais pas où ils étaient... Ils passaient par la ligne. Il y avait une petite fille qui avait la polio. Ils ont dû lui jouer... l'amener au piano.
Et lorsque je me suis arrêté là à l'avion... le prochain voyage après ceci, j'étais assis là dans un restaurant, et une jeune fille s'est approchée et s'est assise à côté de moi. Elle a demandé : « Vous souvenez-vous de moi, Frère Branham ? » Je pensais... J'avais failli m'évanouir là même quelques instants. Et j'ai dit : « Non, madame. Non. »
Elle a dit : « Vous avez prié pour moi. J'avais la polio ...?... là-bas. » Et là... [Espace vide sur la bande.-N.D.E.]
67    Et le troisième... le deuxième jour après cela, l'homme avait quitté son lit, il s'était rasé, il prenait le jambon et les œufs comme petit déjeuner, il était rentré chez lui et il avait repris son travail. Il vit là maintenant. Pourquoi ? C'est l'AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez-vous ce que je veux dire ?
Maintenant, vous, les gens de Phoenix, voici ce que c'est. C'est ainsi que Dieu veut que ce don opère parfaitement. Comprenez-vous cela, vous tous ? Si vous comprenez, dites : « Amen. » [L'assemblée dit : « Amen. »-N.D.E.] Maintenant, rappelez-vous, écrivez à cet homme pour qu'il vous donne ce témoignage. Révérend G.H. Brown, 505 Victor Street, Little Rock, dans l'Arkansas. Et l'autre, c'est Harold Nail, à South Boston, dans l'Indiana. Et John Emmel, à Utica, dans l'Indiana, RFD 2. Maintenant, pour ces témoignages... Cas après cas...
68     Maintenant, quand l'Ange de l'Eternel parle comme cela, rien ne peut résister devant cela. C'est absolu... Alors quel... ma foi ? Eh bien, je sais que ça va arriver. Ça ne sert à rien de dire quoi que ce soit de plus là-dessus ; ça doit arriver. Si cette personne était morte et qu'elle se trouvait dans la tombe depuis vingt ans, et qu'il disait : « Va là-bas et parle », je croirai que tous les cieux seraient ébranlés de leur orbite avant que l'on refuse d'exaucer cette prière. Dieu fera cela. Là, c'est quand il y a réellement l'AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Eh bien, quand nous venons à ces réunions, je détecte les vibrations. Parfois je peux demander des vibrations, et Dieu honorera ma prière. Il enverra cela. C'est vrai. Mais s'il y a quelque chose entre vous et Dieu, et que vous n'arrangez pas cela... Si votre foi est faible et que vous attendez simplement une ligne lente afin que cela puisse être rejeté... si votre foi n'est pas tout à fait au point, cela reviendra directement sur vous. Cela ira ailleurs. Car j'ai prié pour les gens. Je vous ai caché cela. Mais j'ai prié pour des gens qui viennent dans la ligne, et je les ai placés quelque part là, puis je suis retourné dans quinze minutes vérifier sur eux, cela était revenu sur eux. Voyez ?
69    Votre foi est l'unique chose qui peut vous faire du bien, votre foi, votre foi en Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire ? Sans la foi, c'est impossible. Est-ce vrai ? Maintenant, croyez cela de tout votre cœur, quand vous passerez, que vous allez être rétabli, et vous serez en bonne santé. Si vous ne croyez pas, cela ne sera pas guéri, peu importe ce qui arrive. Vous ne serez pas guéri, à moins de croire cela de tout votre cœur.
Maintenant, écoutez. Combien parmi vous peuvent dire que je porte une chemise blanche ? Combien parmi vous, là maintenant, disent que j'ai une chemise blanche ? Comment savez-vous que je porte une chemise blanche ? Vous la voyez. C'est l'unique moyen pour vous de le savoir. Etes-vous sûrs que c'est blanc ?
Eh bien, alors, écoutez. La vue, c'est un sens du corps. Est-ce vrai ? La vue, c'est l'un des sens. Combien de sens y a-t-il dans le corps ? La vue, le goût, le toucher, l'odorat et l'ouïe. Combien de sens y a-t-il pour l'esprit ? Deux : la foi et le doute.
Etes-vous deux personnes en vous-même ? Vous êtes l'âme... Votre âme, c'est la nature de l'esprit, naturellement. Mais maintenant, vous êtes corps et esprit. Est-ce vrai ? Vous êtes un corps, une chair, et vous êtes à l'intérieur, donc l'esprit. Est-ce vrai ? Très bien. L'extérieur... L'homme intérieur quitte, l'homme extérieur meurt. Est-ce vrai ? [Espace vide sur labande-N.D.E.]
70     Je pense que j'ai ce ...?... maintenant ...?... Très bien. Maintenant, regardez ici. Je crois qu'un homme se tient devant moi maintenant et qu'il porte un veston sombre. Combien pensent que j'ai raison ? [Espace vide sur la bande.-N.D.E.] Il porte une chemise blanche. Croyez-vous que j'ai raison ? Très bien. Maintenant, représentez-vous, je sais qu'il se tient là. Je le vois. Est- ce vrai ? Y a-t-il un autre moyen au monde par lequel je puisse dire qu'il est là, en dehors de la vue ? C'est l'unique moyen, n'est-ce pas ?
Maintenant, regardez ici. Eh bien, je ne vois pas cet homme maintenant, n'est- ce pas ? Mais il se tient toujours là. Comment est-ce que je sais qu'il se tient là ? Je le sens. C'est le sens de toucher. Tout celui qui a le sens de toucher reconnaîtra la même chose. Maintenant, peut-être qu'il discute avec moi, je ne le vois pas. Mais cependant, je le touche. Je ne le touche pas, cependant je le vois. Voyez-vous les sens ? Ils sont directs, n'est-ce pas ? Ils sont parfaits, ce que vous appelez parfait.
71     Mais puis-je me tromper là-dessus ? Assurément que je le peux. Il se peut que je sois daltonien. Ce veston... Il se peut que vous soyez daltonien. Oui, oui. Il se peut que vous soyez... Il se peut que ça soit tout à fait différent. Il se peut qu'il ne porte pas une chemise blanche. Vous n'êtes pas... Mais vous jurerez par cela. Est-ce que je le touche ? Je dirais qu'il se tient là parce que je le touche. Voyez ? Mais il se peut que je me trompe là-dessus. Et pourtant, je le sais, je le crois vraiment de tout mon cœur, qu'il se tient là, car le sens de toucher déclare qu'il est là.
Maintenant, j'aimerais que vous remarquiez. (Allez au piano.) J'ai un autre sens. Je voudrais que vous remarquiez ceci. Si... (Appuyez sur une touche) [Un frère joue une note sur le piano-N.D.E.] J'entends la musique. Il y a la musique dans la salle. (Continuez à appuyer cela, frère, appuyez toutes les touches du clavier là.) Combien entendent cela ? Combien savent que cela... Est-ce que je vois cela ? Est-ce que je touche cela ? Est-ce que je goûte... [Espace vide sur la bande] Est-ce que je sens par l'odorat...  Comment est-ce que je sais qu'on joue la musique là ? J'entends cela. C'est le sens de l'ouïe. Voyez ?
72     Eh bien, je sais que quelqu'un dirait : « Il n'entend pas cela. » Si, je l'entends. Jouez cela de nouveau, frère. Je sais que j'entends cela, n'est-ce pas ? Pourquoi ? Vous entendez cela. Vous ne voyez pas cela, mais vous entendez cela. Vous ne voyez pas la musique, n'est-ce pas ? Vous ne goûtez pas la musique, vous ne la touchez pas, n'est-ce pas ? Mais comment reconnaissez- vous que c'est de la musique ? Vous entendez cela. C'est vrai.
Eh bien, frère, la foi est une ferme assurance des choses que l'on espère, une démonstration de celles que l'on ne voit pas, que l'on ne goûte pas, que l'on ne touche pas, que l'on ne sent pas, ou que l'on n'entend pas. Vous savez cela. C'est une foi.
Oh ! que Dieu bénisse vos cœurs. Je souhaiterais pouvoir vous amener à voir cela. Ecoutez ceci, mes amis, c'est certain. Est-ce que cette chemise est blanche ? Bien, la guérison est réelle, si vous croyez...
Une ferme assurance, non pas ce que vous... La plupart des gens espèrent tout simplement, en disant : « Oh ! je crois que je serai guéri. » Sur mille personnes qui passent, neuf cent quatre-vingt-dix-neuf ne connaissent pas le principe élémentaire de la foi. C'est vrai. Ils ont l'espérance au lieu de la foi. La foi est sûre.
73     Oh ! je... réel, quand vous pouvez être sûr que cela va arriver. Si vous êtes sûr que vous serez guéri cet après-midi... Si votre sens de la foi... Voici ce que c'est, comprenez cela. Si votre sens de la foi vous déclare que ce don vient de Dieu et que vous allez être guéri, tout autant que votre vue déclare que cette chemise est blanche, vous allez assurément recevoir cela, lorsque vous passerez. Voyez-vous ce que je veux dire ?
Maintenant, si vous pouvez faire confiance au côté humain, pourquoi ne pas faire confiance au côté super humain ? Si vous pouvez faire confiance au corps, pourquoi ne pas faire confiance à l'esprit ? En effet, l'esprit est supérieur au corps. Amen. Voilà. Voyez-vous ce que je veux dire ? Il s'agit de la foi, une ferme assurance des choses que l'on espère.
74     Ecoutez. Ce n'est pas ceci... ce n'est pas ceci : « Je le crois, je pense à cela. » Vous en êtes sûr. C'est une ferme assurance des choses que l'on espère, une démonstration de celles que l'on ne voit pas, l'on ne goûte pas, l'on ne touche pas, l'on ne sent pas, l'on n'entend pas. Si vous le croyez, ça sera là, de toute façon.
Certaines personnes s'en vont et disent : « Eh bien, je ne me sens pas mieux. L'on a prié pour moi la semaine passée. » Ah ! Probablement que vous ne vous êtes jamais senti mieux non plus. C'est vrai. Il vous faut croire cela. Sinon...
Jésus n'a jamais dit : « Avez-vous senti cela ?» Il a dit : « Avez-vous cru cela ? » Vous croyez cela. Et vous avez la foi, vous savez cela. Alors, quand cette révélation de la part de l'Ange vient, il n'y a pas assez de démons en enfer pour pouvoir empêcher cela de s'accomplir.
Eh bien, n'allez pas ici et là, en disant : « Eh bien, je ne me sens pas bien depuis deux ou trois semaines, depuis qu'on a prié pour moi. Je ne me sens pas mieux.» Ne prêtez pas attention à cela. Si vous croyez réellement que c'est un don de Dieu, levez-vous et, peu importe ce que vous sentez, allez en vous réjouissant et en louant Dieu. C'est fini. C'est tout. Vous le savez.
75     Quand j'avais été guéri de la gastrite, eh bien, je me rappelle que je me tenais le ventre en marchant, là. Et après qu'on avait prié pour moi, je n'avais personne avec le don de guérison pour prier pour moi. Un ancien m'avait oint d'huile. Il m'avait dit... J'avais lu dans la Bible. J'avais vu que la Parole de Dieu était vraie. Et je sais qu'il en avait le droit. Même s'il était un prédicateur baptiste, il est venu oint : « La Bible le dit. » Il a déversé de l'huile sur ma tête. Il a dit : « Maintenant, croyez-vous que vous serez rétabli ? »
J'ai dit : « ...?... O Dieu, je demande de tout mon cœur d'être guéri. » Je suis directement rentré à la maison pour me mettre à manger. Je prenais la boisson à base d'orge et le jus de prune depuis environ trois, quatre mois. Le médecin avait dit : « Une seule bouchée de nourriture solide vous tuerait sur-le-champ. » Savez-vous ce que j'ai fait ? Je suis directement rentré à la maison, et nous prenions du pain de maïs, des haricots et des oignons pour dîner.
Je ne sais pas si vous avez déjà pris cela comme ça ou pas. Mon vieux, c'est bon. Je peux en supporter maintenant même. Et... maman avait fait cuire... Ma mère avait fait cuire un gros vieux pain de maïs avec cela dedans, comme cela. Et je prends toujours le bout, c'est bon et ça a de la graisse, vous savez, et c'est croustillant.
Ainsi, à la maison, nous sommes toujours assez baptistes pour rompre le pain. Vous savez, nous ne le coupons pas. Jésus rompait le pain et le bénissait. Ainsi, nous le faisons cuire dans... Et vous étendez simplement la main et vous en rompez un morceau. Alors, je...
76 Maman a dit... Nous ne priions jamais à la maison. Et papa... papa était catholique. Alors, je—j'ai dit : « Maintenant, je vais essayer de demander une bénédiction. »
Et je n'oublierai jamais mon pauvre vieux papa, comment il avait crié. Et maman a dit : « Mon souci, ce n'est pas que tu aies de la religion, chéri, mais que tu... le médecin a dit que cela te tuerait. »
J'ai dit : « Mais Dieu a dit que je vivrais. Si je meurs... Et si je meurs, je rentrerai à Ta maison. Et quand je Te rencontrerai à la porte, je serai mort en faisant confiance à Ta Parole. » J'ai dit : « J'ai assez longtemps tenté avec les médecins. Ils n'arrivent pas à me faire du bien.»
Et j'ai pris une bonne bouchée de haricots et un oignon, et j'ai mordu à belles dents un très gros morceau de ce pain de maïs, et j'ai commencé par cela. Et je l'ai mâché. Cela avait un très bon goût, un peu drôle, mais... Je n'avais pas mangé de la nourriture solide depuis environ plus d'un an. Et quand j'ai avalé la première bouchée, voilà, elle est aussitôt remontée. Et alors, j'ai mis la main sur la bouche pour empêcher cela de sortir. J'ai pris encore une autre cuillérée jusqu'à ce que j'en ai terminé tout un plat, qui en était plein. Quand je me suis levé de la table, il m'a fallu tenir la main. Tout aussi aigre que l'acide peut l'être.
Maman a fait venir le médecin. Elle a dit : « Il va mourir. C'est tout. Une seule bouchée le tuera. C'est tout... »
J'étais là, parcourant la salle, vous savez. Elle a dit : « Es-tu... comment te sens-tu ? »
J'ai dit : « Merveilleux, bien. »
Elle a dit : « Tu es sur le point de mourir. »
J'ai dit : « Non, maman. » Et j'avalai tout aussi vite que possible, de l'eau chaude dans ma bouche, vous savez, c'est passé de l'autre côté, et j'ai vu que tout était fini. Je suis entré dans la chambre, je me suis mis à parcourir la chambre, en disant :
Je peux, je vais, je crois vraiment,
Je peux, je vais, je crois vraiment, Je peux, je vais, je crois vraiment, Que Jésus me guérit maintenant. Je Te prendrai au Mot, Je Te prendrai au Mot...
... comme cela, vous savez. J'ai continué, croyant cela de tout mon...
77    J'étais devenu très faible, j'ai failli tomber sur le lit, comme cela; je pensais : « Oh ! Miséricorde, miséricorde. » Et je me suis levé le lendemain, je descendais la rue, vous savez. Oh ! la la ! Je ne me faisais pas de soucis. Maman est rentrée. Elle avait veillé sur moi toute la nuit, pensant que j'allais sûrement mourir, vous savez. Le lendemain matin, tous les haricots étaient bien là, au même endroit. Elle a dit : « Que veux-tu ? »
J'ai dit : « Je veux encore les haricots et du pain de maïs. » Oui... Oh ! le diable n'allait pas me dérober cela. Non, non. Dieu l'a dit.
Et chaque promesse dans le Livre est mienne,
Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne. (Est-ce vrai ?)
Je me confie en Sa Parole divine,
Car chaque promesse dans le Livre est mienne.
C'est vrai. 11-11... Je préférerais qu'il dise : « Quiconque veut » plutôt que de dire : « William Branham. » Il se peut qu'il y ait une centaine de William Branham. Mais chaque : « Quiconque veut », je sais que cela s'applique à moi. C'est vrai. J'ai simplement dit : «Je Te crois. » Oui, oui. Et je me suis mis à descendre la rue... On me demandait : « Comment vous sentez-vous, Frère Branham ? »
Et je répondais : « Merveilleux. » Je descendais la rue faisant... la bouche pleine de haricots, je les ravalais. Non, non. Je n'allais pas les cracher. Non, non. Je les ravalais. Le Seigneur les bénissait. Ils étaient miens. Cela a continué...
Je descendais là, quelqu'un disait : « Salut, Frère Branham. » Je disais : « Salut. » « Comment te sens-tu ? » « Merveilleux. »
78    II n'y a pas longtemps, quelqu'un m'a parlé, disant : « Frère Branham, tu mentais. » Non, je ne mentais pas. Non, je ne mentais pas. Eux me demandaient comment mon corps se sentait, moi, je répondais en disant comment ma foi se sentait. C'était merveilleux. Oui, oui. Certainement. Ma-ma foi se sentait merveilleusement bien, parce que j'avais pris Dieu au Mot. Peu m'importait comment je me sentais. Même si je continuais à avoir un renvoi, je disais toujours que j'étais guéri. Amen. C'est vrai. Assurément, parce que la Parole de Dieu est vraie. Croyez-vous cela ? Chantons cela alors.
Chaque promesse dans le Livre est mienne,
Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne,
Je crois en Son cœur divin,
Chaque promesse dans le Livre est mienne.
Vous tous les malades, pour qui on va prier maintenant, chantez cela avec moi.
Chaque promesse dans... (levez la main) est mienne,
Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne,
Je crois en Sa Parole divine.
Chaque promesse dans le Livre est mienne
Que devons-nous faire ?
Crois seulement,
Crois seulement, (C'est tout ce qu'il vous faut faire.) Tout est possible, Crois seulement.
79 Je ne suis pas fameux comme conducteur de chants. Mais je sais vraiment, dans mon cœur, qu'il vous faut croire cela. Est-ce vrai ? Très bien. Maintenant, frère, donnez-nous-en l'accord et nous suivrons cela. Très bien. Tout le monde, une fois de plus maintenant :
Crois seulement,
Crois seulement,
Tout...
La Bible le dit, n'est-ce pas ? Dieu n'a-t-Il pas dit cela ? Ne vous a-t-Il pas promis le don ? Ils sont ici. Les autres sont guéris, ne le pouvez-vous pas ? Vous ? Vous ? Ne le pouvez-vous pas ?
... crois seulement.
Tout est possible, (Gloire à Dieu. Assurément.)
Crois seulement.
Seigneur, je crois maintenant (Croyez-vous ?),
Seigneur, je crois,
Tout est possible,
Seigneur, je crois,
Seigneur, je crois,
Seigneur, je crois,
Car tout est possible,
Seigneur, je crois.
Ecoutez. Si je ne ...?... ...au Jugement, je dirai toujours que je crois que chaque promesse est vraie. C'est vrai. Croyez- vous cela ? Très bien.
80     Inclinons la tête maintenant, jouez bien cela, s'il vous plaît, frère. Inclinons la tête maintenant, pendant qu'on s'apprête pour la prière.
Notre Père céleste, nous Te remercions aujourd'hui pour chaque promesse dans le Livre. Nous Te remercions pour avoir fait descendre le Saint-Esprit pour les-les gens qui Le possèdent, et pour la salle. Et nous Te prions, ô Dieu, de les sauver tous et de les faire entrer dans Ton Royaume en ce jour-là, car ils ont été gentils en ouvrant-ouvrant leurs portes pour nous laisser entrer. Bénis tout le monde. Bénis les médecins de cette ville. Bénis toutes les infirmières, les asiles.
O Dieu, que les gens sachent que je suis ici pour essayer d'aider la pauvre humanité qui souffre. Je ne suis pas ici pour une quelconque cause, si ce n'est d'essayer d'aider ces gens aux yeux enfoncés, malades, qui se meurent. Et, ô Dieu, comment quelqu'un oserait-il dire quelque chose de mal contre quelque chose de ce genre, alors qu'on s'efforce de leur présenter un Christ aimable, qui guérit toute maladie et toute affliction ?
81     Bénis Tes ministres, Seigneur. Puissent-ils être des tisons oints. Et qu'un réveil à l'ancienne mode éclate maintenant ici, à Phoenix, et qu'ils aillent d'une église à une autre, d'un lieu à un autre, jusqu'à ce que cet endroit devienne un endroit dont toute la nation dira : «Allez à Phoenix, en Arizona, car le Saint-Esprit se déverse encore là et de grands signes et des prodiges s'accomplissent parmi les gens. » 0 Dieu! Tu sais combien j'aime cette petite ville! Et je Te prie de la garder, Seigneur. Accorde cela, Seigneur, et envoie un réveil à l'ancienne mode.
Guéris tout le monde, Père. Et puisse Ton Ange que j'ai essayé de présenter au peuple clairement, disant que je ne peux parler que quand Lui parle... Ma prière, c'est uniquement pour la foi des gens. Mais, ô Dieu, puissent-ils avoir la foi pour croire cet après-midi, alors qu'ils passent par cette ligne. Il y a plusieurs centaines de gens. Et quand ils passeront, puissent-ils être guéris, et nous Te rendrons toutes les louanges et toute la gloire, car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.
82     Maintenant, comme un petit cantique d'adieu, pendant qu'on termine la ligne de prière, donne-nous l'accord là, frère, de II prend soin de toi. Le veux- tu ? «Il prend soin de toi », vous savez.
II...
C'est ce que je veux vous chanter et, vous, chantez-le-moi donc en retour, tout le monde. Combien connaissent cela ? Il prend soin de toi. Faites voir les mains (Très bien. Entonnez-le-nous maintenant. Très bien.)
Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi,
Tant le jour que la nuit,
Il prend soin de toi.
Chantons-le maintenant tous ensemble. Allons-y. Il prend soin de toi, Il prend soin de toi, Tant le jour que la nuit, Il prend soin de toi.
83     Ecoutez. Laissons cette aile du milieu chanter cela pour le reste parmi vous. Chantez-le avec moi, juste cette aile du milieu, par ici. Allons-y donc.
Il prend soin de toi, (ils chantent pour vous tous.)
Il prend soin de toi,
Tant le jour que la nuit,
Il prend soin de toi.
Que tous les malades qui peuvent se lever, tous les malades, levez-vous, ceux qui vont passer dans la ligne de prière. Maintenant, vous ici qui êtes bien portants, que vous et moi, nous chantions cela pour les malades qui vont passer dans la ligne de prière.
II... (désignez-les du doigt.)
Il prend soin de toi,
Il prend soin de toi,¶Tant le jour que la nuit,
Il prend soin de toi. (Que tout le monde se lève maintenant.) II...
84     Maintenant, retournez-vous et serrez la main à votre voisin. Que tout le monde chante II prend soin de toi. Serrez la main à quelqu'un à côté de vous.
Il prend soin de... (C'est bien. Retournez-vous pour une bonne poignée de main.)
Il prend soin de toi. (Chantons-le une fois de plus.) Il prend soin de toi, Il prend soin de toi, Tant le jour que la nuit, Il prend soin de toi.
Disons tous : «Amen. » Allons-y. Cela ne vous fera pas de mal. Maintenant, disons : «Gloire au Seigneur. » Allons... Gloire au Seigneur. Maintenant, écoutons-nous tous dire ensemble : «J'aime mon voisin. » [L'assemblée dit : «J'aime mon voisin. »-N.D.E.] Désormais, j'essaierai d'être un serviteur de Christ. [Désormais, j'essaierai d'être un serviteur de Christ.]
Il prend soin de... (Oh ! la la! Entrons du coup là-dedans.)
Il prend soin de toi,
Tant le jour que la nuit,
Il prend soin de toi.
85      (Plus lentement, frère.) Maintenant, inclinons la tête. Le gouverneur de votre Etat est dans un état critique, il m'a envoyé un mot pour que je prie pour lui maintenant. Inclinez la... [Espace vide sur la bande-N.D.E.] O, Père! qui collabores vraiment avec nous dans l'amour. Cet homme qui est à un niveau plus élevé, là sur le siège, régnant sur le peuple...
O Dieu! épargne la vie à notre gouverneur d'ici, de l'Arizona. O Dieu! nous l'aimons et nous savons que Tu l'as placé là pour veiller sur les gens et sur les biens de la nation ici dans-dans cet Etat. Et je Te prie de lui envoyer Ton Ange maintenant même et de lui faire savoir que nous sommes en train de prier pour lui maintenant. Et, ô Dieu, exauce notre prière, et puisse-t-il se rétablir immédiatement. Puisse-t-il être en bonne santé et qu'il T'aime tous les jours de sa vie. Accorde-le, Père. Je réclame la vie du gouverneur, qu'elle soit épargnée, au Nom de Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant. Amen.
Maintenant, restez tous assis. Merci.
[Un frère donne des instructions aux gens dans la ligne de prière et aux huissiers] (Osbush ?) Gouverneur Osborn, de sa part.
86     Très bien. Eh bien, tout le monde, soyez vraiment respectueux maintenant. Nous allons commencer la ligne de prière. Et vous-vous, les huissiers, vous savez comment continuer à faire avancer les gens dans la ligne. Je prierai pour tout le monde, autant que possible.
Bon, je vous dirai ce qui est arrivé. Maintenant, je ne sais pas ce qui va arriver le long de la ligne, mais je sens qu'il y a du bruit dans des mûriers. C'est vrai. C'est un... J'aurais souhaité que nous ayons environ huit ou dix jours, là, vous pourriez bien continuer à monter et vous gagnerez du terrain ici. C'est vrai.
Maintenant, il est-il est 16h 30. Bon, je ne sais pas à quelle heure nous sortirons. Nous sortirons après avoir prié pour tout le monde. C'est vrai. Ainsi donc, c'est ce que j'aimerais faire. Et je vous remercie tous pour votre gentillesse. En effet, probablement, quand je serai donc sous l'onction, je ne voudrais pas en sortir. Voyez ? Et je remercie chacun de vous pour votre gentillesse.
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