LA FÊTE DE LA DÉDICACE (Hanouccah)
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Enseignement :: Judaïsme :: Les Juifs Messianiques
Page 1 sur 1
LA FÊTE DE LA DÉDICACE (Hanouccah)
LA FÊTE DE LA DÉDICACE (Hanouccah)
- A la fête de Hanouccah , les juifs célèbre un miracle : celui de la Présence de l'Eternel Dieu dans le Temple, celui du miracle de la Lumière. Mais cette fête n'est-elle pas - elle aussi - une fête prophétique ?
On pourrait croire que les deux fêtes dont il est question dans le mois de décembre – Noël et Hanouccah - ne présentent pas de prime abord, un intérêt prophétique particulier.
Détrompez-vous.
Alors que les uns et les autres se préparent à orner leur maison, fenêtres, jardin, façade, etc., de guirlandes électriques apportant de jolies lumières scintillantes, arrêtons-nous un instant sur l’origine de cette tradition de décorer avec des guirlandes composées de multiples petites « lumières ». Vous êtes-vous jamais posé la question pourquoi à Noël, dans le monde entier, tout est ornementé par des « lumières » ? Eh bien, vous allez le savoir en découvrant l’histoire de Hanouccah !
Nous sommes 167 ans après les ravages occasionnés par Antiochus Epiphane, Yéshoua était à Jérusalem, dans le Temple lors de la célébration de cette fête : « On célébrait à Jérusalem la fête de la « Dédicace » (Hanouccah). C'était l'hiver. Et Yéshoua se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent, et lui dirent : Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Messie, dis-le nous franchement ». (Jean 10:22–24).
De quelle dédicace s’agissait-il ? Le Livre des Chroniques relate l’épisode de la dédicace du Temple par le Roi Salomon. « Ainsi fut achevé tout l'ouvrage que Salomon fit pour la maison de l'Éternel. Puis il apporta l'argent, l'or et tous les ustensiles que David, son père, avait consacrés, et il les mit dans les trésors de la maison de Dieu. » (2 Chroniques 5 :1)
Cette dédicace du temple, la prière de Salomon et l’apparition de Dieu à Salomon était célébrée dans le Temple de Jérusalem. Avant que n’arrivent les événements relatés lors de la bataille des Maccabées, il y avait probablement à Jérusalem, une fête de la dédicace en hébreu « hanouccah » dédicace, consécration, inauguration. L’origine du mot se trouve dans la racine primaire chanak établir, instruire, entraîner, dédier, inaugurer, dédicacer, initier.
Plus tard, ce Temple, après avoir été saccagé par les païens et leurs faux dieux, sera reconsacré à l’Eternel et ce de manière miraculeuse. En effet, cette fête de Hanouccah a pris le pas en célébrant le renouvellement du Temple après la venue d’Antiochus Epiphane en 167 avant Yeshoua HaMashiah. Ce Roi de Syrie qu’on appelait « l’illustre », voulait dominer les nations et Israël, en supprimant certains commandements de Dieu et notamment en interdisant le respect du shabbat, la circoncision, etc. Le peuple d’Israël était opprimé et n’en pouvait plus de cette situation.
- Une famille asmonéenne dont un des pères était Mattathias issu d’une famille sacerdotale de Cohanim, fait lever la révolte. C’est la lutte contre la tyrannie. En 168-167 après l’établissement d’un décret anti-juif, Mattathias avait rassemblé tous les juifs. Ceux-ci devaient lutter contre Antiochus Épiphane et contre les juifs hellénisants d’Israël. Antiochus Epiphane entre dans le Temple, enlève tout ce qui est de Dieu notamment les ustensiles qui servaient au service du Temple et profane ainsi le Temple de Jérusalem. Judas Maccabi l’Asmonéen, un des fils appelé « le marteau » lutte contre Antiochus Epiphane. Celui-ci avait sacrifié à Jupiter un porc sur l’autel du Temple, comble de la pire des abominations pour les juifs. Après un dur combat, les Juifs regagnent le Temple mais lorsqu’ils y entrent, c’est la désolation, tout y est saccagé, rien ne tient plus debout.
Parallèle de la rentrée de Yeshoua dans le Temple qui purifie le Temple des voleurs « Ma maison sera appelée …
- Or, dans le Temple, il faut savoir qu’il y avait depuis toujours un chandelier à 7 branches qui restait constamment allumé, il ne pouvait jamais être éteint car c’était le signe de la Présence de Dieu. Malheureusement, lorsque Judas Maccabi et ses hommes entrent dans le Temple, ce n’est plus le cas. La Ménorah renversée et cassée est éteinte. Les fioles qui renfermaient l’huile sont elles aussi détruites et l’huile s’est répandue sur le sol. C’est pour eux, l’horreur totale. Il faut absolument rallumer cette Ménorah et le plus vite possible. Cependant sans huile, comment faire brûler les mèches de la Menorah ? Quelqu’un trouva un petit reste d’huile dans une fiole à moitié cassée. Voilà de quoi rallumer la Ménorah ! Cependant, la quantité d’huile ne suffirait pas pour plus d’une journée, et il est donc impératif de fabriquer à nouveau de l’huile sur le champ.
Mais cela prend du temps et la Ménorah va à nouveau s’éteindre. Il faut savoir que l’huile pour le temple était exclusivement fabriquée par la tribu d’Aser. Le temps d’aller chercher de l’huile et de revenir prenait bien 8 jours au minimum. Dans le nom d’Aser, on retrouve d’ailleurs la racine du mot « heureux ». A la naissance du huitième fils de Jacob, Léa dit : « Que je suis heureuse ! Oui, les femmes me diront heureuse » (Genèse 30 : 13). Cette tribu habita une contrée propice à la culture des oliviers et Jacob dit : « Aser produit une nourriture excellente ; et il fournira les mets délicats des rois » (Genèse 49 : 20). Moïse le bénit en disant : « Béni soit Aser entre les enfants d’Israël ! Qu’il soit agréable à ses frères, et QU’IL PLONGE SON PIED DANS L’HUILE ! Que tes verrous soient de fer et d’airain, et que ta vigueur dure autant que tes jours ! » (Deutéronome 33 : 24 à 25). La tradition montre effectivement que dans cette région où est implantée cette tribu, ses habitants baignent littéralement dans l’huile – comme le dit la Bible en vérité – « ils plongent leurs pieds dans l’huile ».
Tribu dite « heureuse » aussi par le symbolisme de l’huile de l’Esprit Saint qui était sur elle.
Le miracle :
Ne perdant pas courage, ils rallumèrent la Ménorah à la grâce de Dieu. Et que se passa-t-il ? Au lieu de tenir une seule journée, l’huile fut suffisante pour tenir 8 jours durant ! C’est le miracle de Dieu et c’est ce miracle-là qui est fêté aujourd’hui encore dans toutes les communautés juives du monde entier. Pour ce faire, chaque famille juive en Israël et en diaspora allume chacun des soirs de Hanouccah une bougie à sa fenêtre.
Le chandelier de la fête de Hanouccah est depuis lors symbolisé avec deux branches supplémentaires.
Lorsque le temple de Jérusalem avait été détruit, la foi juive avait été brutalement remise en question car c’est dans ce Temple que les enfants d’Israël pouvaient obtenir le salut par les sacrifices. Dans l’absence du Temple, le judaïsme a ajouté des lois afin de maintenir vivant l’identité juive. La Menorah, symbole de la Présence de Dieu.
C’est la raison pour laquelle une majorité de synagogues dans le monde préfèrent le chandelier à 8 ou à 9 branches au chandelier sacré à 7 branches que l’on n’a le droit de placer que dans le Temple.
Ce chandelier à 8-9 branches, on l’appelle la hanouccia. Il nous apporte un enseignement symbolique très intéressant.
Dans la tradition de Hanouccah, les bougies sont allumées à la Synagogue et dans les maisons. On récite différentes prières: « Al ha-nissim » au moment de la « Amidah » et des actions de grâces après le repas. A l’office du matin, on récite le « Hallel », et chaque jour on lit un passage particulier de la Torah. Après avoir allumé les bougies, les Achkenazes chantent, chez eux et à la Synagogue, le chant «[ltr]MAOZ TSOUR YESHOUATI[/ltr]» un cantique de Hanouccah très populaire composé au treizième siècle :
Maoz tsour Yéshouati, Puissant rocher de mon salut,
Vers Toi il convient de louer.
Restaure la Maison de ma prière et là,
Le sacrifice d’action de remerciement nous sacrifierons.
À l’époque où Tu prépares l’écrasement du persécuteur en ses gémissements
Alors j’achèverai par un chant vigoureux de louange,
L’inauguration de l’autel.
Cette fête ne fait pas partis des 7 fêtes que l’Éternel nous demande de commémorer. C’est une tradition Juive, un moment de festivité et de partage qui peut être observé par les croyants Messianiques qui le désire. Cet épisode Miraculeux qui a eu lieu parmi le peuple Juif, est symbolique et nous apporte un éclairage, si je puis dire, nouveau sur la relation qui existe entre Israël et Yeshoua le Messie …Cette fête prophétique est un bon moyen pour faire connaitre le Messianisme et en faire comprendre le sens… Yeshoua étant la lumière du monde, sans aucun doute…
Nous voyons aussi que, même dans les fêtes païennes comme noël, Dieu se révèle et se situe bien au-dessus de tout, Il est le Maitre de l’univers et tout lui appartient et lui est soumis …
Cette fête ne fait pas partis des 7 fêtes que l’Éternel nous demande de commémorer. C’est une tradition Juive, un moment de festivité et de partage qui peut être observé par les croyants Messianiques qui le désire. Cet épisode Miraculeux qui a eu lieu parmi le peuple Juif, est symbolique et nous apporte un éclairage, si je puis dire, nouveau sur la relation qui existe entre Israël et Yahusha le Messie …Cette fête prophétique est un bon moyen pour faire connaitre le Messianisme et en faire comprendre le sens… Yahusha étant la lumière du monde, sans aucun doute…
« On célébrait à Jérusalem la fête de la « Dédicace » (Hanouccah). C'était l'hiver. Et Yahusha se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent, et lui dirent : Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Messie, dis-le nous franchement ». (Jean 10:22–24).
Nous voyons aussi que, même dans les fêtes païennes comme noël, Dieu se révèle et se situe bien au-dessus de tout, Il est le Maitre de l’univers et tout lui appartient et lui est soumis …
- A la fête de Hanouccah , les juifs célèbre un miracle : celui de la Présence de l'Eternel Dieu dans le Temple, celui du miracle de la Lumière. Mais cette fête n'est-elle pas - elle aussi - une fête prophétique ?
On pourrait croire que les deux fêtes dont il est question dans le mois de décembre – Noël et Hanouccah - ne présentent pas de prime abord, un intérêt prophétique particulier.
Détrompez-vous.
Alors que les uns et les autres se préparent à orner leur maison, fenêtres, jardin, façade, etc., de guirlandes électriques apportant de jolies lumières scintillantes, arrêtons-nous un instant sur l’origine de cette tradition de décorer avec des guirlandes composées de multiples petites « lumières ». Vous êtes-vous jamais posé la question pourquoi à Noël, dans le monde entier, tout est ornementé par des « lumières » ? Eh bien, vous allez le savoir en découvrant l’histoire de Hanouccah !
Nous sommes 167 ans après les ravages occasionnés par Antiochus Epiphane, Yéshoua était à Jérusalem, dans le Temple lors de la célébration de cette fête : « On célébrait à Jérusalem la fête de la « Dédicace » (Hanouccah). C'était l'hiver. Et Yéshoua se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent, et lui dirent : Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Messie, dis-le nous franchement ». (Jean 10:22–24).
De quelle dédicace s’agissait-il ? Le Livre des Chroniques relate l’épisode de la dédicace du Temple par le Roi Salomon. « Ainsi fut achevé tout l'ouvrage que Salomon fit pour la maison de l'Éternel. Puis il apporta l'argent, l'or et tous les ustensiles que David, son père, avait consacrés, et il les mit dans les trésors de la maison de Dieu. » (2 Chroniques 5 :1)
Cette dédicace du temple, la prière de Salomon et l’apparition de Dieu à Salomon était célébrée dans le Temple de Jérusalem. Avant que n’arrivent les événements relatés lors de la bataille des Maccabées, il y avait probablement à Jérusalem, une fête de la dédicace en hébreu « hanouccah » dédicace, consécration, inauguration. L’origine du mot se trouve dans la racine primaire chanak établir, instruire, entraîner, dédier, inaugurer, dédicacer, initier.
Plus tard, ce Temple, après avoir été saccagé par les païens et leurs faux dieux, sera reconsacré à l’Eternel et ce de manière miraculeuse. En effet, cette fête de Hanouccah a pris le pas en célébrant le renouvellement du Temple après la venue d’Antiochus Epiphane en 167 avant Yeshoua HaMashiah. Ce Roi de Syrie qu’on appelait « l’illustre », voulait dominer les nations et Israël, en supprimant certains commandements de Dieu et notamment en interdisant le respect du shabbat, la circoncision, etc. Le peuple d’Israël était opprimé et n’en pouvait plus de cette situation.
- Une famille asmonéenne dont un des pères était Mattathias issu d’une famille sacerdotale de Cohanim, fait lever la révolte. C’est la lutte contre la tyrannie. En 168-167 après l’établissement d’un décret anti-juif, Mattathias avait rassemblé tous les juifs. Ceux-ci devaient lutter contre Antiochus Épiphane et contre les juifs hellénisants d’Israël. Antiochus Epiphane entre dans le Temple, enlève tout ce qui est de Dieu notamment les ustensiles qui servaient au service du Temple et profane ainsi le Temple de Jérusalem. Judas Maccabi l’Asmonéen, un des fils appelé « le marteau » lutte contre Antiochus Epiphane. Celui-ci avait sacrifié à Jupiter un porc sur l’autel du Temple, comble de la pire des abominations pour les juifs. Après un dur combat, les Juifs regagnent le Temple mais lorsqu’ils y entrent, c’est la désolation, tout y est saccagé, rien ne tient plus debout.
Parallèle de la rentrée de Yeshoua dans le Temple qui purifie le Temple des voleurs « Ma maison sera appelée …
- Or, dans le Temple, il faut savoir qu’il y avait depuis toujours un chandelier à 7 branches qui restait constamment allumé, il ne pouvait jamais être éteint car c’était le signe de la Présence de Dieu. Malheureusement, lorsque Judas Maccabi et ses hommes entrent dans le Temple, ce n’est plus le cas. La Ménorah renversée et cassée est éteinte. Les fioles qui renfermaient l’huile sont elles aussi détruites et l’huile s’est répandue sur le sol. C’est pour eux, l’horreur totale. Il faut absolument rallumer cette Ménorah et le plus vite possible. Cependant sans huile, comment faire brûler les mèches de la Menorah ? Quelqu’un trouva un petit reste d’huile dans une fiole à moitié cassée. Voilà de quoi rallumer la Ménorah ! Cependant, la quantité d’huile ne suffirait pas pour plus d’une journée, et il est donc impératif de fabriquer à nouveau de l’huile sur le champ.
Mais cela prend du temps et la Ménorah va à nouveau s’éteindre. Il faut savoir que l’huile pour le temple était exclusivement fabriquée par la tribu d’Aser. Le temps d’aller chercher de l’huile et de revenir prenait bien 8 jours au minimum. Dans le nom d’Aser, on retrouve d’ailleurs la racine du mot « heureux ». A la naissance du huitième fils de Jacob, Léa dit : « Que je suis heureuse ! Oui, les femmes me diront heureuse » (Genèse 30 : 13). Cette tribu habita une contrée propice à la culture des oliviers et Jacob dit : « Aser produit une nourriture excellente ; et il fournira les mets délicats des rois » (Genèse 49 : 20). Moïse le bénit en disant : « Béni soit Aser entre les enfants d’Israël ! Qu’il soit agréable à ses frères, et QU’IL PLONGE SON PIED DANS L’HUILE ! Que tes verrous soient de fer et d’airain, et que ta vigueur dure autant que tes jours ! » (Deutéronome 33 : 24 à 25). La tradition montre effectivement que dans cette région où est implantée cette tribu, ses habitants baignent littéralement dans l’huile – comme le dit la Bible en vérité – « ils plongent leurs pieds dans l’huile ».
Tribu dite « heureuse » aussi par le symbolisme de l’huile de l’Esprit Saint qui était sur elle.
Le miracle :
Ne perdant pas courage, ils rallumèrent la Ménorah à la grâce de Dieu. Et que se passa-t-il ? Au lieu de tenir une seule journée, l’huile fut suffisante pour tenir 8 jours durant ! C’est le miracle de Dieu et c’est ce miracle-là qui est fêté aujourd’hui encore dans toutes les communautés juives du monde entier. Pour ce faire, chaque famille juive en Israël et en diaspora allume chacun des soirs de Hanouccah une bougie à sa fenêtre.
Le chandelier de la fête de Hanouccah est depuis lors symbolisé avec deux branches supplémentaires.
Lorsque le temple de Jérusalem avait été détruit, la foi juive avait été brutalement remise en question car c’est dans ce Temple que les enfants d’Israël pouvaient obtenir le salut par les sacrifices. Dans l’absence du Temple, le judaïsme a ajouté des lois afin de maintenir vivant l’identité juive. La Menorah, symbole de la Présence de Dieu.
C’est la raison pour laquelle une majorité de synagogues dans le monde préfèrent le chandelier à 8 ou à 9 branches au chandelier sacré à 7 branches que l’on n’a le droit de placer que dans le Temple.
Ce chandelier à 8-9 branches, on l’appelle la hanouccia. Il nous apporte un enseignement symbolique très intéressant.
Dans la tradition de Hanouccah, les bougies sont allumées à la Synagogue et dans les maisons. On récite différentes prières: « Al ha-nissim » au moment de la « Amidah » et des actions de grâces après le repas. A l’office du matin, on récite le « Hallel », et chaque jour on lit un passage particulier de la Torah. Après avoir allumé les bougies, les Achkenazes chantent, chez eux et à la Synagogue, le chant «[ltr]MAOZ TSOUR YESHOUATI[/ltr]» un cantique de Hanouccah très populaire composé au treizième siècle :
Maoz tsour Yéshouati, Puissant rocher de mon salut,
Vers Toi il convient de louer.
Restaure la Maison de ma prière et là,
Le sacrifice d’action de remerciement nous sacrifierons.
À l’époque où Tu prépares l’écrasement du persécuteur en ses gémissements
Alors j’achèverai par un chant vigoureux de louange,
L’inauguration de l’autel.
Cette fête ne fait pas partis des 7 fêtes que l’Éternel nous demande de commémorer. C’est une tradition Juive, un moment de festivité et de partage qui peut être observé par les croyants Messianiques qui le désire. Cet épisode Miraculeux qui a eu lieu parmi le peuple Juif, est symbolique et nous apporte un éclairage, si je puis dire, nouveau sur la relation qui existe entre Israël et Yeshoua le Messie …Cette fête prophétique est un bon moyen pour faire connaitre le Messianisme et en faire comprendre le sens… Yeshoua étant la lumière du monde, sans aucun doute…
Nous voyons aussi que, même dans les fêtes païennes comme noël, Dieu se révèle et se situe bien au-dessus de tout, Il est le Maitre de l’univers et tout lui appartient et lui est soumis …
Cette fête ne fait pas partis des 7 fêtes que l’Éternel nous demande de commémorer. C’est une tradition Juive, un moment de festivité et de partage qui peut être observé par les croyants Messianiques qui le désire. Cet épisode Miraculeux qui a eu lieu parmi le peuple Juif, est symbolique et nous apporte un éclairage, si je puis dire, nouveau sur la relation qui existe entre Israël et Yahusha le Messie …Cette fête prophétique est un bon moyen pour faire connaitre le Messianisme et en faire comprendre le sens… Yahusha étant la lumière du monde, sans aucun doute…
« On célébrait à Jérusalem la fête de la « Dédicace » (Hanouccah). C'était l'hiver. Et Yahusha se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon. Les Juifs l'entourèrent, et lui dirent : Jusques à quand tiendras-tu notre esprit en suspens? Si tu es le Messie, dis-le nous franchement ». (Jean 10:22–24).
Nous voyons aussi que, même dans les fêtes païennes comme noël, Dieu se révèle et se situe bien au-dessus de tout, Il est le Maitre de l’univers et tout lui appartient et lui est soumis …
Sujets similaires
» Roch Hachana, fête juive ou fête païenne ?
» "Halloween, les origines du rituel"
» La fête de l'Aïd
» Hajj et grande fête
» FÊTE DE LA NAISSANCE DU BOUDDHA
» "Halloween, les origines du rituel"
» La fête de l'Aïd
» Hajj et grande fête
» FÊTE DE LA NAISSANCE DU BOUDDHA
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Enseignement :: Judaïsme :: Les Juifs Messianiques
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum