La Bible : Réalité ou fiction ?
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La Bible : Réalité ou fiction ?
Rappel du premier message :
Entièrement prouvé dans les pages de la Bible !
Résumé
La Bible est-elle réellement la parole inspirée de Dieu ? Son contenu fut-il intégralement préservé au cours des millénaires, en tant que révélation unique venant du Créateur de l’univers ? Ou n’est-elle qu’un ensemble de mythes et de fables, conçus par des hommes ? Possédons-nous les textes authentiques de la Bible, ou y aurait-il d’autres sources importantes, méconnues, qui pourraient changer notre vision de Dieu, de Jésus-Christ et du christianisme ? Peut-on croire aux Écritures ? Sont-elles importantes et actuelles, à notre époque ?
Partir à la découverte de la Bible pourrait bien devenir, pour vous, l’aventure la plus importante et la plus enthousiasmante, à laquelle vous n’ayez peut-être jamais participé. Quoique les critiques attaquent la Bible, et que les prédicateurs ignorent ou survolent succinctement ce qu’elle enseigne, la Bible contient une somme de connaissance presque totalement ignorée du monde actuel. La Bible révèle le véritable but de la vie. Les prophéties bibliques ont non seulement prédit l’ascension et la chute des nations, mais elles annoncent et expliquent également la signification réelle des événements mondiaux, qui font aujourd’hui les gros titres de nos journaux. En dépit de ce que l’on a fait croire à des millions de gens, la Bible représente beaucoup plus qu’un livre d’observances religieuses ou qu’une source de confort spirituel pour ceux qui vivent dans le chagrin ou sont sans ressources !
La Bible : Réalité ou fiction ?
Douglas Winnail
Entièrement prouvé dans les pages de la Bible !
- La Bible est-elle juste une compilation de mythes et de légendes, ou est-ce la parole inspirée de Dieu ? Comment pouvez-vous être sûr que son contenu est authentique ?
- La Bible est-elle valable de nos jours ? Si oui, pourquoi ces informations essentielles sont-elles autant méconnues ?
- La Bible contient-elle des prophéties bibliques fortes qui concernent nos pays et le monde actuel ?
Résumé
La Bible est-elle réellement la parole inspirée de Dieu ? Son contenu fut-il intégralement préservé au cours des millénaires, en tant que révélation unique venant du Créateur de l’univers ? Ou n’est-elle qu’un ensemble de mythes et de fables, conçus par des hommes ? Possédons-nous les textes authentiques de la Bible, ou y aurait-il d’autres sources importantes, méconnues, qui pourraient changer notre vision de Dieu, de Jésus-Christ et du christianisme ? Peut-on croire aux Écritures ? Sont-elles importantes et actuelles, à notre époque ?
Partir à la découverte de la Bible pourrait bien devenir, pour vous, l’aventure la plus importante et la plus enthousiasmante, à laquelle vous n’ayez peut-être jamais participé. Quoique les critiques attaquent la Bible, et que les prédicateurs ignorent ou survolent succinctement ce qu’elle enseigne, la Bible contient une somme de connaissance presque totalement ignorée du monde actuel. La Bible révèle le véritable but de la vie. Les prophéties bibliques ont non seulement prédit l’ascension et la chute des nations, mais elles annoncent et expliquent également la signification réelle des événements mondiaux, qui font aujourd’hui les gros titres de nos journaux. En dépit de ce que l’on a fait croire à des millions de gens, la Bible représente beaucoup plus qu’un livre d’observances religieuses ou qu’une source de confort spirituel pour ceux qui vivent dans le chagrin ou sont sans ressources !
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Les détracteurs mettent la Bible au défi
Les Écritures affirment que « la parole de notre Dieu subsiste éternellement » et que « la parole du Seigneur demeure éternellement » (Ésaïe 40 :8 ; 1 Pierre 1 :25). Le roi David écrivit : « Il est bon, Yahvé, éternel est son amour, et d’âge en âge, sa vérité » (Psaume 100 :5, Bible de Jérusalem). Néanmoins, à travers les siècles, il y a toujours eu des opposants et des critiques qui ont essayé de saper, de mépriser, de défier et d’anéantir les Écritures, et même de railler le Dieu biblique. La Bible nous met en garde : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu » (Galates 6 :7). L’Ancien Testament raconte que, durant l’invasion de Juda par les Assyriens (vers 700 av. J.-C.), leur roi païen Sanchérib se moqua ouvertement du Dieu d’Israël devant le roi Ézéchias et le peuple de Jérusalem (2 Chroniques 32 :9-19), mais un peu plus tard, « l’Éternel envoya un ange, qui extermina dans le camp du roi d’Assyrie tous les vaillants hommes, les princes et les chefs. Et le roi confus, retourna dans son pays. Il entra dans la maison de son dieu, et là ceux qui étaient sortis de ses entrailles le firent tomber par l’épée » (2 Chroniques 32 :21-22)
L’Histoire confirme que Sanchérib ne vainquit pas Jérusalem, et ses propres fils l’assassinèrent. L’Histoire n’explique pas cet événement. Cependant, la Bible révèle que de graves conséquences peuvent résulter des moqueries proférées contre le Dieu réel ! À ce propos, l’historien grec Hérodote relate que Sanchérib essuya également un revers cuisant inexpliqué lorsque ses armées, ayant envahi l’Égypte, furent agressées par une nuée de mulots qui rongèrent leurs armes et les obligèrent, près de Péluse, à s’enfuir du champ de bataille en accusant de lourdes pertes (The Histories, 2 :141). Cette vérité biblique, relative au respect pour Dieu, demeure toujours valable.
Au siècle qui suivit celui des apôtres, des sources historiques confirment que Celse, un philosophe païen éloquent, créa un mouvement important en s’attaquant avec virulence à la Bible et au christianisme. Celse écrivit que les enseignements bibliques étaient « absurdes », que les récits de l’Évangile étaient « mensongers » et que celui qui croyait en un Dieu unique était « dupe » (Is the Bible True ?, Sheler, page 9). La Bible survécu, et le christianisme se répandit de par le monde, mais qui, aujourd’hui se souvient de Celse ? Ceux qui s’inspirent aujourd’hui des idées de Celse pourraient se référer à un érudit religieux du troisième siècle, du nom d’Origène, qui répondit point par point à ses attaques contre la Bible dans un ouvrage de huit volumes Contre Celse V (Editions du Cerf).
Au début du quatrième siècle, l’empereur romain Dioclétien tenta d’éradiquer la religion chrétienne. Il déclencha une terrible persécution contre les chrétiens, et ordonna que toutes les Bibles soient brûlées. Cependant, des années après, un nouvel empereur (Constantin) ordonna la production de cinquante Bibles ! Au cours du Moyen Age (vers 500 à 1500 apr. J.-C.) des érudits, influencés par des philosophes païens enseignèrent que les récits bibliques n’étaient que des allégories qu’il ne fallait pas interpréter littéralement. Leur approche allégorique affirmait que les passages bibliques contenaient une signification plus profonde dans le texte, et que la lecture littérale était sans importance. La Bible survécu mais cette façon de penser survit également, de nos jours, dans un certain nombre d’écoles de théologie. L’approche allégorique est une façon très subtile de miner le message biblique, car elle ignore ce que la Bible dit réellement.
Au dix-huitième siècle, des érudits séculiers commencèrent à se passionner pour la solidité apparente de la raison humaine et par les nouvelles découvertes scientifiques. Considérant que la raison humaine représentait l’autorité finale, et armés de préjugés contre le surnaturel, ces détracteurs commencèrent à proposer des théories spéculatives à propos des origines supposées de la Bible, et développèrent une stratégie de dénigrement fondée sur des contradictions apparentes et de prétendues erreurs. Cependant, les suppositions et les spéculations de ces critiques n’ont pas résisté à l’épreuve du temps. En fait, certaines de leurs déclarations semblent, aujourd’hui, extrêmement présomptueuses et naïves. Vers la fin du dix-huitième siècle, le philosophe français Voltaire prédit que le christianisme serait balayé en cent ans. Cependant, cinquante ans après sa mort, la Société Biblique de Genève faisait imprimer des quantités impressionnantes de Bibles et, ironie du sort, par la même maison qui imprimait les ouvrages de Voltaire, et sur la même presse que lui (The New Évidence That Demands a Verdict, McDowell, page 10). Les faits de l’Histoire, ainsi que les découvertes archéologiques, montrent clairement que les déclarations et les théories sans fondement des critiques séculiers ne sont que des baudruches gonflables remplies d’air chaud.
Les Écritures affirment que « la parole de notre Dieu subsiste éternellement » et que « la parole du Seigneur demeure éternellement » (Ésaïe 40 :8 ; 1 Pierre 1 :25). Le roi David écrivit : « Il est bon, Yahvé, éternel est son amour, et d’âge en âge, sa vérité » (Psaume 100 :5, Bible de Jérusalem). Néanmoins, à travers les siècles, il y a toujours eu des opposants et des critiques qui ont essayé de saper, de mépriser, de défier et d’anéantir les Écritures, et même de railler le Dieu biblique. La Bible nous met en garde : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu » (Galates 6 :7). L’Ancien Testament raconte que, durant l’invasion de Juda par les Assyriens (vers 700 av. J.-C.), leur roi païen Sanchérib se moqua ouvertement du Dieu d’Israël devant le roi Ézéchias et le peuple de Jérusalem (2 Chroniques 32 :9-19), mais un peu plus tard, « l’Éternel envoya un ange, qui extermina dans le camp du roi d’Assyrie tous les vaillants hommes, les princes et les chefs. Et le roi confus, retourna dans son pays. Il entra dans la maison de son dieu, et là ceux qui étaient sortis de ses entrailles le firent tomber par l’épée » (2 Chroniques 32 :21-22)
L’Histoire confirme que Sanchérib ne vainquit pas Jérusalem, et ses propres fils l’assassinèrent. L’Histoire n’explique pas cet événement. Cependant, la Bible révèle que de graves conséquences peuvent résulter des moqueries proférées contre le Dieu réel ! À ce propos, l’historien grec Hérodote relate que Sanchérib essuya également un revers cuisant inexpliqué lorsque ses armées, ayant envahi l’Égypte, furent agressées par une nuée de mulots qui rongèrent leurs armes et les obligèrent, près de Péluse, à s’enfuir du champ de bataille en accusant de lourdes pertes (The Histories, 2 :141). Cette vérité biblique, relative au respect pour Dieu, demeure toujours valable.
Au siècle qui suivit celui des apôtres, des sources historiques confirment que Celse, un philosophe païen éloquent, créa un mouvement important en s’attaquant avec virulence à la Bible et au christianisme. Celse écrivit que les enseignements bibliques étaient « absurdes », que les récits de l’Évangile étaient « mensongers » et que celui qui croyait en un Dieu unique était « dupe » (Is the Bible True ?, Sheler, page 9). La Bible survécu, et le christianisme se répandit de par le monde, mais qui, aujourd’hui se souvient de Celse ? Ceux qui s’inspirent aujourd’hui des idées de Celse pourraient se référer à un érudit religieux du troisième siècle, du nom d’Origène, qui répondit point par point à ses attaques contre la Bible dans un ouvrage de huit volumes Contre Celse V (Editions du Cerf).
Au début du quatrième siècle, l’empereur romain Dioclétien tenta d’éradiquer la religion chrétienne. Il déclencha une terrible persécution contre les chrétiens, et ordonna que toutes les Bibles soient brûlées. Cependant, des années après, un nouvel empereur (Constantin) ordonna la production de cinquante Bibles ! Au cours du Moyen Age (vers 500 à 1500 apr. J.-C.) des érudits, influencés par des philosophes païens enseignèrent que les récits bibliques n’étaient que des allégories qu’il ne fallait pas interpréter littéralement. Leur approche allégorique affirmait que les passages bibliques contenaient une signification plus profonde dans le texte, et que la lecture littérale était sans importance. La Bible survécu mais cette façon de penser survit également, de nos jours, dans un certain nombre d’écoles de théologie. L’approche allégorique est une façon très subtile de miner le message biblique, car elle ignore ce que la Bible dit réellement.
Au dix-huitième siècle, des érudits séculiers commencèrent à se passionner pour la solidité apparente de la raison humaine et par les nouvelles découvertes scientifiques. Considérant que la raison humaine représentait l’autorité finale, et armés de préjugés contre le surnaturel, ces détracteurs commencèrent à proposer des théories spéculatives à propos des origines supposées de la Bible, et développèrent une stratégie de dénigrement fondée sur des contradictions apparentes et de prétendues erreurs. Cependant, les suppositions et les spéculations de ces critiques n’ont pas résisté à l’épreuve du temps. En fait, certaines de leurs déclarations semblent, aujourd’hui, extrêmement présomptueuses et naïves. Vers la fin du dix-huitième siècle, le philosophe français Voltaire prédit que le christianisme serait balayé en cent ans. Cependant, cinquante ans après sa mort, la Société Biblique de Genève faisait imprimer des quantités impressionnantes de Bibles et, ironie du sort, par la même maison qui imprimait les ouvrages de Voltaire, et sur la même presse que lui (The New Évidence That Demands a Verdict, McDowell, page 10). Les faits de l’Histoire, ainsi que les découvertes archéologiques, montrent clairement que les déclarations et les théories sans fondement des critiques séculiers ne sont que des baudruches gonflables remplies d’air chaud.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
L’archéologie fournit des preuves
Les deux derniers siècles ont connu une montée de la critique contre la Bible, et beaucoup de déclarations arrogantes ont été rédigées par des érudits incrédules. Ces détracteurs prétendirent d’abord qu’en raison du manque de preuves externes à la Bible, l’existence des nombreux peuples et des lieux qu’elle évoquait, ne pouvaient être que le produit de l’imagination de ses différents rédacteurs. Cette approche trouva un terreau fertile dans l’enceinte des écoles de théologie « progressistes » et dans les cercles académiques séculiers. La presse et les médias prirent le relais en transmettant ces idées à la société et contribuèrent à alimenter des doutes sur la crédibilité de la Bible. Ces doutes et ce scepticisme persistent aujourd’hui, en dépit du fait que des découvertes archéologiques continuent à valider la véracité historique de la Bible, et qu’elles discréditent les allégations des sceptiques !
Jusqu’en 1992, certains spécialistes affirmaient avec aplomb « qu’il n’y avait aucune référence écrite nous autorisant à croire que David avait historiquement existé, pas plus que Josué, Abraham ou Adam » (voir “House of David Built on Sand”, Biblical Archeological Review, juillet-août 1994, pages 54-55). Cependant, tout juste un an plus tard, des archéologues découvrirent, sur les hauteurs de la Galilée, une inscription du neuvième siècle av. J.-C. faisant mention de la « maison de David ». Jeffrey Sheler, un journaliste de la revue religieuse US News & World Report écrivit : « La référence à David fut une bombe historique. Avant cette découverte, jamais le nom usuel de l’ancien roi conquérant de Juda […] n’avait été évoqué dans les récits de l’antiquité, en dehors des pages de la Bible » (Is The Bible True ?, Sheler, page 60).
Des critiques considéraient également que l’histoire biblique de David et de Goliath n’était qu’une fiction religieuse fantaisiste. Cependant, récemment, « des fouilles archéologiques sur les lieux de la patrie biblique présumée de Goliath [Gath, voir 1 Samuel 17 :4] ont mis à jour un morceau de poterie comportant le nom du Philistin, une trouvaille qui donnerait un crédit historique à l’anecdote biblique de la lutte entre David et le géant » (The London Times, 13 novembre 2005). Il s’agit de la plus ancienne inscription dans la langue des Philistins, jamais découverte, dont l’ancienneté remonte à environ 950 ans av. J.-C. – c’est-à-dire plus ou moins 70 ans autour des événements rapportés par la Bible.
Des érudits incrédules assuraient, depuis des années, qu’il « n’y avait pas de Hittites à l’époque d’Abraham, car aucun récit ne mentionnait leur existence en dehors de l’Ancien Testament. Ce n’était qu’un mythe » (McDowell, page 11). Cependant, plus tard « des recherches archéologiques […] mirent à jour plus de mille deux cents années de civilisation hittite » (ibid.). De la même façon, des détracteurs affirmaient que les patriarches bibliques Abraham, Isaac et Jacob étaient des figures fictives sorties du folklore hébreu. Des tablettes en écriture cunéiforme, découvertes dans les archives royales du palais de Mari au nord de la Syrie, datant du second millénaire avant Jésus-Christ (à l’époque approximative des patriarches), mentionnent « des noms comme celui d’Abam-ram (Abraham), Jacob-el et Benjamites » (When Skeptics Ask, Geisler & Brooks, pages 186-187). Toutes ces découvertes confirment le récit biblique et réfutent les attaques des critiques.
Certains détracteurs de la Bible ont noté des similitudes entre le récit de la création selon la Genèse, et les tablettes d’argile babyloniennes décrivant la création du monde. Ces savants discutent de détails relatifs à des différences majeures entre les récits, et ils insinuent que les rédacteurs bibliques auraient emprunté leur matériau à d’autres sources. Cependant, la découverte de plus de 17.000 tablettes d’argile à Ébla (en Syrie actuelle), dont l’origine remonte aux années 2500 av. J.-C., a renversé les théories des critiques. Les tablettes d’Ébla (qui datent la version épique babylonienne de la création 600 ans plus tôt) contiennent « le plus ancien récit connu de la création en dehors de la Bible […] cette version de la création se rapproche de manière saisissante de celle de la Genèse, en faisant mention d’un être qui créa les cieux, la lune, les étoiles et la terre. Des parallèles montrent que la Bible demeure la version la plus ancienne, quoique moins embellie […] Elles (les tablettes d’Ébla) anéantissent, en fin de compte, l’idée critique de l’évolution du monothéisme à partir d’un supposé polythéisme originel » (Baker Encyclopedia of Christian Apologetics, Geisler, page 208).
Ces découvertes remarquables, s’ajoutant à des dizaines d’autres – comme le Merneptah Stela, qui parle d’un pharaon d’Égypte des années 1200 av. J.-C. ayant conquis Israël, l’Obélisque noir de Nimrod qui représente le roi israélite Jehu s’inclinant devant le roi assyrien Salmanasar III, l’inscription près de Jérusalem mentionnant « Joseph, fils de Caïphe » (ce dernier étant le grand souverain sacrificateur à l’époque de la crucifixion du Christ ; voir Matthieu 26 :57), ainsi que la pierre du premier siècle de César sur laquelle est gravée l’inscription « Ponce Pilate, préfet de Judée » (Pilate était le gouverneur romain au moment de la crucifixion de Jésus ; voir Matthieu 27 :2) – tous ces témoignages nous autorisent à conclure que les rédacteurs de la Bible ont rapporté des faits réels et non pas imaginaires (voir The Signature of God, Jeffrey, pages 72-74 ; Is The Bible True ?, Sheler, pages 110-112).
La façon dont l’archéologie prouve l’exactitude historique de la Bible est remarquable. Notez ce qu’écrit l’archéologue Nelson Glueck : « On peut déclarer catégoriquement qu’aucune découverte archéologique n’a jamais contredit une seule référence biblique. Les résultats des trouvailles archéologiques confirment clairement les grandes lignes, ou précisent des détails historiques mentionnés dans la Bible » (Rivers in the Desert, Glueck, page 136). Le commentaire de Glueck fait échos aux paroles d’un autre archéologue éminent, William F. Albright, qui a déclaré : « Il n’y a aucun doute que l’archéologie ait confirmé la réelle historicité de la tradition de l’Ancien Testament […] Le scepticisme outrancier des grandes écoles d’histoire des 18ème et 19ème siècles à l’encontre de la Bible […] est graduellement tombé dans le discrédit » (Évidence that Demands a Verdict, McDowell, Volume 1, page 65). Les preuves apportées par l’Histoire et l’archéologie défient les critiques, et confirment les Écritures !
Les deux derniers siècles ont connu une montée de la critique contre la Bible, et beaucoup de déclarations arrogantes ont été rédigées par des érudits incrédules. Ces détracteurs prétendirent d’abord qu’en raison du manque de preuves externes à la Bible, l’existence des nombreux peuples et des lieux qu’elle évoquait, ne pouvaient être que le produit de l’imagination de ses différents rédacteurs. Cette approche trouva un terreau fertile dans l’enceinte des écoles de théologie « progressistes » et dans les cercles académiques séculiers. La presse et les médias prirent le relais en transmettant ces idées à la société et contribuèrent à alimenter des doutes sur la crédibilité de la Bible. Ces doutes et ce scepticisme persistent aujourd’hui, en dépit du fait que des découvertes archéologiques continuent à valider la véracité historique de la Bible, et qu’elles discréditent les allégations des sceptiques !
Jusqu’en 1992, certains spécialistes affirmaient avec aplomb « qu’il n’y avait aucune référence écrite nous autorisant à croire que David avait historiquement existé, pas plus que Josué, Abraham ou Adam » (voir “House of David Built on Sand”, Biblical Archeological Review, juillet-août 1994, pages 54-55). Cependant, tout juste un an plus tard, des archéologues découvrirent, sur les hauteurs de la Galilée, une inscription du neuvième siècle av. J.-C. faisant mention de la « maison de David ». Jeffrey Sheler, un journaliste de la revue religieuse US News & World Report écrivit : « La référence à David fut une bombe historique. Avant cette découverte, jamais le nom usuel de l’ancien roi conquérant de Juda […] n’avait été évoqué dans les récits de l’antiquité, en dehors des pages de la Bible » (Is The Bible True ?, Sheler, page 60).
Des critiques considéraient également que l’histoire biblique de David et de Goliath n’était qu’une fiction religieuse fantaisiste. Cependant, récemment, « des fouilles archéologiques sur les lieux de la patrie biblique présumée de Goliath [Gath, voir 1 Samuel 17 :4] ont mis à jour un morceau de poterie comportant le nom du Philistin, une trouvaille qui donnerait un crédit historique à l’anecdote biblique de la lutte entre David et le géant » (The London Times, 13 novembre 2005). Il s’agit de la plus ancienne inscription dans la langue des Philistins, jamais découverte, dont l’ancienneté remonte à environ 950 ans av. J.-C. – c’est-à-dire plus ou moins 70 ans autour des événements rapportés par la Bible.
Des érudits incrédules assuraient, depuis des années, qu’il « n’y avait pas de Hittites à l’époque d’Abraham, car aucun récit ne mentionnait leur existence en dehors de l’Ancien Testament. Ce n’était qu’un mythe » (McDowell, page 11). Cependant, plus tard « des recherches archéologiques […] mirent à jour plus de mille deux cents années de civilisation hittite » (ibid.). De la même façon, des détracteurs affirmaient que les patriarches bibliques Abraham, Isaac et Jacob étaient des figures fictives sorties du folklore hébreu. Des tablettes en écriture cunéiforme, découvertes dans les archives royales du palais de Mari au nord de la Syrie, datant du second millénaire avant Jésus-Christ (à l’époque approximative des patriarches), mentionnent « des noms comme celui d’Abam-ram (Abraham), Jacob-el et Benjamites » (When Skeptics Ask, Geisler & Brooks, pages 186-187). Toutes ces découvertes confirment le récit biblique et réfutent les attaques des critiques.
Certains détracteurs de la Bible ont noté des similitudes entre le récit de la création selon la Genèse, et les tablettes d’argile babyloniennes décrivant la création du monde. Ces savants discutent de détails relatifs à des différences majeures entre les récits, et ils insinuent que les rédacteurs bibliques auraient emprunté leur matériau à d’autres sources. Cependant, la découverte de plus de 17.000 tablettes d’argile à Ébla (en Syrie actuelle), dont l’origine remonte aux années 2500 av. J.-C., a renversé les théories des critiques. Les tablettes d’Ébla (qui datent la version épique babylonienne de la création 600 ans plus tôt) contiennent « le plus ancien récit connu de la création en dehors de la Bible […] cette version de la création se rapproche de manière saisissante de celle de la Genèse, en faisant mention d’un être qui créa les cieux, la lune, les étoiles et la terre. Des parallèles montrent que la Bible demeure la version la plus ancienne, quoique moins embellie […] Elles (les tablettes d’Ébla) anéantissent, en fin de compte, l’idée critique de l’évolution du monothéisme à partir d’un supposé polythéisme originel » (Baker Encyclopedia of Christian Apologetics, Geisler, page 208).
Ces découvertes remarquables, s’ajoutant à des dizaines d’autres – comme le Merneptah Stela, qui parle d’un pharaon d’Égypte des années 1200 av. J.-C. ayant conquis Israël, l’Obélisque noir de Nimrod qui représente le roi israélite Jehu s’inclinant devant le roi assyrien Salmanasar III, l’inscription près de Jérusalem mentionnant « Joseph, fils de Caïphe » (ce dernier étant le grand souverain sacrificateur à l’époque de la crucifixion du Christ ; voir Matthieu 26 :57), ainsi que la pierre du premier siècle de César sur laquelle est gravée l’inscription « Ponce Pilate, préfet de Judée » (Pilate était le gouverneur romain au moment de la crucifixion de Jésus ; voir Matthieu 27 :2) – tous ces témoignages nous autorisent à conclure que les rédacteurs de la Bible ont rapporté des faits réels et non pas imaginaires (voir The Signature of God, Jeffrey, pages 72-74 ; Is The Bible True ?, Sheler, pages 110-112).
La façon dont l’archéologie prouve l’exactitude historique de la Bible est remarquable. Notez ce qu’écrit l’archéologue Nelson Glueck : « On peut déclarer catégoriquement qu’aucune découverte archéologique n’a jamais contredit une seule référence biblique. Les résultats des trouvailles archéologiques confirment clairement les grandes lignes, ou précisent des détails historiques mentionnés dans la Bible » (Rivers in the Desert, Glueck, page 136). Le commentaire de Glueck fait échos aux paroles d’un autre archéologue éminent, William F. Albright, qui a déclaré : « Il n’y a aucun doute que l’archéologie ait confirmé la réelle historicité de la tradition de l’Ancien Testament […] Le scepticisme outrancier des grandes écoles d’histoire des 18ème et 19ème siècles à l’encontre de la Bible […] est graduellement tombé dans le discrédit » (Évidence that Demands a Verdict, McDowell, Volume 1, page 65). Les preuves apportées par l’Histoire et l’archéologie défient les critiques, et confirment les Écritures !
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Chapitre 4 – La Bible a-t-elle été rigoureusement préservée ?
Comment savoir si le texte biblique a été fidèlement préservé à travers les siècles ? Est-il logique de croire qu’un livre écrit sur plus de mille cinq cents ans, par plus de quarante auteurs natifs de contrées différentes, puisse être digne de confiance ? Peut-on prouver que le texte que nous possédons aujourd’hui est exact ?
Si la Bible représente la parole inspirée d’un Dieu tout puissant qui encourage les gens à « vérifier les faits », on peut s’attendre à trouver des preuves convaincantes témoignant que les Écritures furent préservées avec soin et exactitude, au fil du temps. De telles preuves existent dans les Écritures elles-mêmes. On peut également trouver des preuves dans la littérature traitant de l’histoire juive, dans les textes des premiers érudits de l’Église et dans une multitude de sources modernes. Les preuves que la Bible nous est parvenue intacte sont remarquables, étonnantes et irréfutables !
Comment savoir si le texte biblique a été fidèlement préservé à travers les siècles ? Est-il logique de croire qu’un livre écrit sur plus de mille cinq cents ans, par plus de quarante auteurs natifs de contrées différentes, puisse être digne de confiance ? Peut-on prouver que le texte que nous possédons aujourd’hui est exact ?
Si la Bible représente la parole inspirée d’un Dieu tout puissant qui encourage les gens à « vérifier les faits », on peut s’attendre à trouver des preuves convaincantes témoignant que les Écritures furent préservées avec soin et exactitude, au fil du temps. De telles preuves existent dans les Écritures elles-mêmes. On peut également trouver des preuves dans la littérature traitant de l’histoire juive, dans les textes des premiers érudits de l’Église et dans une multitude de sources modernes. Les preuves que la Bible nous est parvenue intacte sont remarquables, étonnantes et irréfutables !
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
La préservation de l’Ancien Testament
L’apôtre Paul révéla où aller chercher la preuve de la préservation des Écritures, lorsqu’il écrivit : « Quel est donc l’avantage des Juifs ? […] en ce que les oracles de Dieu leur ont été confiés » (Romains 3 :1-2). Le spécialiste biblique Bernard Ramm commente : « Les Juifs l’ont préservé (l’Ancien Testament) comme aucun autre manuscrit n’a jamais été conservé » (McDowell, page 9). Lorsque Dieu révéla Ses lois à leurs ancêtres, ils reçurent une mission : « Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien ; mais vous observerez les commandements de l’Éternel, votre Dieu, tels que je vous les prescris […] enseigne-les à tes enfants et aux enfants de tes enfants » (Deutéronome 4 :1-10). L’Histoire nous montre comment cela s’est réalisé.
La Bible révèle que Dieu donna directement Ses lois à Moïse (vers 1400 av. J.-C.), et que « lorsque Moïse eut complètement achevé d’écrire dans un livre les paroles de cette loi, il donna cet ordre aux Lévites […] Prenez ce livre de la loi, et mettez-le à côté de l’arche de l’alliance de l’Éternel » (Deutéronome 31 :24-26). Cette arche était un coffre contenant la loi gravée par Dieu sur des tables de pierre, et les écrits de Moïse (voir Deutéronome 10 :5). L’Arche était conservée dans le Tabernacle, et plus tard, dans le temple à Jérusalem. La Bible mentionne que le sacrificateur Esdras lut et expliqua le « Livre de la Loi de Moïse » au peuple revenu à Jérusalem, au cinquième siècle av. J.-C., après avoir été emmené captif à Babylone (Néhémie 8 :1-12). Vers 150 av. J.-C., nous possédons une preuve externe au récit biblique, qui atteste que le Pentateuque (les cinq premiers livres de l’Ancien Testament) était attribué à Moïse (The Origin of the Bible, Bruce, page 56). Au premier siècle de notre ère, Jésus et les apôtres citèrent et se référèrent aux livres de Moïse en tant qu’Écritures inspirées (voir Marc 12 :19-27 ; Jean 1 :17 ; Romains 10 :5). La Bible mentionne donc comment les Écritures furent préservées et également en usage, au cours des générations.
L’apôtre Paul révéla où aller chercher la preuve de la préservation des Écritures, lorsqu’il écrivit : « Quel est donc l’avantage des Juifs ? […] en ce que les oracles de Dieu leur ont été confiés » (Romains 3 :1-2). Le spécialiste biblique Bernard Ramm commente : « Les Juifs l’ont préservé (l’Ancien Testament) comme aucun autre manuscrit n’a jamais été conservé » (McDowell, page 9). Lorsque Dieu révéla Ses lois à leurs ancêtres, ils reçurent une mission : « Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien ; mais vous observerez les commandements de l’Éternel, votre Dieu, tels que je vous les prescris […] enseigne-les à tes enfants et aux enfants de tes enfants » (Deutéronome 4 :1-10). L’Histoire nous montre comment cela s’est réalisé.
La Bible révèle que Dieu donna directement Ses lois à Moïse (vers 1400 av. J.-C.), et que « lorsque Moïse eut complètement achevé d’écrire dans un livre les paroles de cette loi, il donna cet ordre aux Lévites […] Prenez ce livre de la loi, et mettez-le à côté de l’arche de l’alliance de l’Éternel » (Deutéronome 31 :24-26). Cette arche était un coffre contenant la loi gravée par Dieu sur des tables de pierre, et les écrits de Moïse (voir Deutéronome 10 :5). L’Arche était conservée dans le Tabernacle, et plus tard, dans le temple à Jérusalem. La Bible mentionne que le sacrificateur Esdras lut et expliqua le « Livre de la Loi de Moïse » au peuple revenu à Jérusalem, au cinquième siècle av. J.-C., après avoir été emmené captif à Babylone (Néhémie 8 :1-12). Vers 150 av. J.-C., nous possédons une preuve externe au récit biblique, qui atteste que le Pentateuque (les cinq premiers livres de l’Ancien Testament) était attribué à Moïse (The Origin of the Bible, Bruce, page 56). Au premier siècle de notre ère, Jésus et les apôtres citèrent et se référèrent aux livres de Moïse en tant qu’Écritures inspirées (voir Marc 12 :19-27 ; Jean 1 :17 ; Romains 10 :5). La Bible mentionne donc comment les Écritures furent préservées et également en usage, au cours des générations.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Un canon en opposition au désordre
La Bible, comme d’autres sources historiques, montre que l’Ancien Testament était composé de livres spécifiques largement reconnus pour avoir été divinement inspirés. La liste des livres reconnus d’inspiration divine constitue le canon de l’Ancien Testament, la Bible hébraïque. Au premier siècle de notre ère, tant Jésus (Luc 24 :44) que l’enseignant juif Philo mentionnèrent trois divisions majeures du canon de l’Ancien Testament : la Loi, les Prophètes et les Écrits (voir Bruce, page 60). Josèphe, historien juif du premier siècle, reconnaissait que la Bible hébraïque était composée de vingt-deux livres dont le contenu, classé différemment, forme les trente-neuf livres de notre Ancien Testament actuel, et que ces livres « ont tous été admis dans le canon depuis des temps immémoriaux » (ibid., page 61). Le fait que vingt-deux livres de l’Ancien Testament et vingt-sept livres du Nouveau Testament forment les quarante-neuf livres de la Bible (quarante-neuf étant considéré comme le nombre de l’achèvement) indique qu’une pensée divine avait guidé la procédure. La Bible n’est pas un ensemble de livres choisis par chance !
Les érudits actuels reconnaissent généralement que les Écritures hébraïques étaient considérées comme inspirées depuis fort longtemps. Selon l’un d’eux : « Il y a des preuves qui accréditent la théorie d’après laquelle le canon hébraïque était déjà établi bien avant la fin du premier siècle av. J.-C., probablement depuis le quatrième siècle avant notre ère, et certainement pas plus tard qu’en 150 av. J.-C. » (McDowell, page 26). Une autre source déclare : « Il n’y a aucun doute que le Pentateuque fut à la fois complété et accepté dans le canon à l’époque d’Esdras et de Néhémie, au cinquième siècle av. J.-C. […] Ce témoignage implique qu’au début de l’ère chrétienne, l’identité de tous les livres canoniques [l’Ancien Testament] était bien connue et généralement acceptée » (The Origin of the Bible, Bruce, page 56). Il est intéressant de remarquer qu’aucun des rédacteurs bibliques, ou des premiers érudits de l’Église, n’avait accepté comme étant inspirés, les livres apocryphes écrits dans la période transitoire entre les deux Testaments.
La Bible, comme d’autres sources historiques, montre que l’Ancien Testament était composé de livres spécifiques largement reconnus pour avoir été divinement inspirés. La liste des livres reconnus d’inspiration divine constitue le canon de l’Ancien Testament, la Bible hébraïque. Au premier siècle de notre ère, tant Jésus (Luc 24 :44) que l’enseignant juif Philo mentionnèrent trois divisions majeures du canon de l’Ancien Testament : la Loi, les Prophètes et les Écrits (voir Bruce, page 60). Josèphe, historien juif du premier siècle, reconnaissait que la Bible hébraïque était composée de vingt-deux livres dont le contenu, classé différemment, forme les trente-neuf livres de notre Ancien Testament actuel, et que ces livres « ont tous été admis dans le canon depuis des temps immémoriaux » (ibid., page 61). Le fait que vingt-deux livres de l’Ancien Testament et vingt-sept livres du Nouveau Testament forment les quarante-neuf livres de la Bible (quarante-neuf étant considéré comme le nombre de l’achèvement) indique qu’une pensée divine avait guidé la procédure. La Bible n’est pas un ensemble de livres choisis par chance !
Les érudits actuels reconnaissent généralement que les Écritures hébraïques étaient considérées comme inspirées depuis fort longtemps. Selon l’un d’eux : « Il y a des preuves qui accréditent la théorie d’après laquelle le canon hébraïque était déjà établi bien avant la fin du premier siècle av. J.-C., probablement depuis le quatrième siècle avant notre ère, et certainement pas plus tard qu’en 150 av. J.-C. » (McDowell, page 26). Une autre source déclare : « Il n’y a aucun doute que le Pentateuque fut à la fois complété et accepté dans le canon à l’époque d’Esdras et de Néhémie, au cinquième siècle av. J.-C. […] Ce témoignage implique qu’au début de l’ère chrétienne, l’identité de tous les livres canoniques [l’Ancien Testament] était bien connue et généralement acceptée » (The Origin of the Bible, Bruce, page 56). Il est intéressant de remarquer qu’aucun des rédacteurs bibliques, ou des premiers érudits de l’Église, n’avait accepté comme étant inspirés, les livres apocryphes écrits dans la période transitoire entre les deux Testaments.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Des copies exactes !
Dans quelle mesure, les livres de l’Ancien Testament à notre disposition aujourd’hui sont-ils fiables ? Le texte de l’Ancien Testament nous a-t-il été transmis de façon exacte ? Considérez ce témoignage : « Au sein du judaïsme, une suite d’érudits fut chargée de maintenir le standard et la préservation du texte biblique », au cours d’une époque qui s’étendit d’environ 500 av. J.-C. à 1000 apr. J.-C. » (Mc Dowell, pages 73-77). Les premiers scribes, les Sopherim (400 av. J.-C. à 200 apr. J.-C.) travaillèrent avec Esdras et ils « étaient considérés comme les gardiens de la Bible jusqu’à l’époque du Christ » (ibid.). Les Talmudistes (100 av. J.-C. à 500 apr. J.-C.) leur succédèrent, et finalement, vinrent les Massorètes (500 à 1000 apr. J.-C.). De nombreux récits confirment que ces scribes recopièrent les textes bibliques avec un soin extrême, vérifiant le nombre de mots dans le livre recopié, le nombre de fois qu’une lettre particulière apparaissait dans le livre, et même la lettre du milieu du Pentateuque et celle du milieu de la Bible !
À cause de ce souci du détail dans l’exécution et dans la transmission des manuscrits de l’Ancien Testament, les spécialistes modernes reconnaissent que « la Bible hébraïque fut transmise de la manière la plus exacte […] on peut dire, sans se tromper, qu’aucun autre ouvrage de l’antiquité n’a été transmis avec autant de fidélité […] cela tient du miracle » (Évidence That Demands a Verdict, McDowell, pages 55-56). La découverte des rouleaux de la mer Morte, en 1947, confirme que les Juifs ont préservé et transmis avec exactitude les textes de l’Ancien Testament. Avant la découverte des rouleaux dans une grotte située à proximité de la mer Morte, la plus ancienne copie des textes hébreux datait d’environ l’an 1000 apr. J.-C., or, les rouleaux retrouvés remontaient au premier siècle avant notre ère – c’est-à-dire près de mille ans auparavant ! Les rouleaux renfermaient deux copies presque complètes du livre d’Ésaïe, qui se révélèrent « être à 95% identiques, mot pour mot, à la Bible hébraïque que nous possédons. Les 5% de différences étaient des erreurs évidentes de calligraphie ou des fautes d’orthographe » (When Skeptics Ask, Geisler & Brooks, pages 158-159). Les rouleaux de la mer Morte nous fournissent une preuve solide que le texte de l’Ancien Testament n’a pas changé depuis plus de deux mille ans !
Dans quelle mesure, les livres de l’Ancien Testament à notre disposition aujourd’hui sont-ils fiables ? Le texte de l’Ancien Testament nous a-t-il été transmis de façon exacte ? Considérez ce témoignage : « Au sein du judaïsme, une suite d’érudits fut chargée de maintenir le standard et la préservation du texte biblique », au cours d’une époque qui s’étendit d’environ 500 av. J.-C. à 1000 apr. J.-C. » (Mc Dowell, pages 73-77). Les premiers scribes, les Sopherim (400 av. J.-C. à 200 apr. J.-C.) travaillèrent avec Esdras et ils « étaient considérés comme les gardiens de la Bible jusqu’à l’époque du Christ » (ibid.). Les Talmudistes (100 av. J.-C. à 500 apr. J.-C.) leur succédèrent, et finalement, vinrent les Massorètes (500 à 1000 apr. J.-C.). De nombreux récits confirment que ces scribes recopièrent les textes bibliques avec un soin extrême, vérifiant le nombre de mots dans le livre recopié, le nombre de fois qu’une lettre particulière apparaissait dans le livre, et même la lettre du milieu du Pentateuque et celle du milieu de la Bible !
À cause de ce souci du détail dans l’exécution et dans la transmission des manuscrits de l’Ancien Testament, les spécialistes modernes reconnaissent que « la Bible hébraïque fut transmise de la manière la plus exacte […] on peut dire, sans se tromper, qu’aucun autre ouvrage de l’antiquité n’a été transmis avec autant de fidélité […] cela tient du miracle » (Évidence That Demands a Verdict, McDowell, pages 55-56). La découverte des rouleaux de la mer Morte, en 1947, confirme que les Juifs ont préservé et transmis avec exactitude les textes de l’Ancien Testament. Avant la découverte des rouleaux dans une grotte située à proximité de la mer Morte, la plus ancienne copie des textes hébreux datait d’environ l’an 1000 apr. J.-C., or, les rouleaux retrouvés remontaient au premier siècle avant notre ère – c’est-à-dire près de mille ans auparavant ! Les rouleaux renfermaient deux copies presque complètes du livre d’Ésaïe, qui se révélèrent « être à 95% identiques, mot pour mot, à la Bible hébraïque que nous possédons. Les 5% de différences étaient des erreurs évidentes de calligraphie ou des fautes d’orthographe » (When Skeptics Ask, Geisler & Brooks, pages 158-159). Les rouleaux de la mer Morte nous fournissent une preuve solide que le texte de l’Ancien Testament n’a pas changé depuis plus de deux mille ans !
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Le Nouveau Testament préservé
La fiabilité du Nouveau Testament repose sur un abondant matériel disponible. Les érudits admettent volontiers : « Il y a davantage de textes anciens, et une plus grande quantité de manuscrits du Nouveau Testament que pour tout autre livre du monde antique » (Geisler, page 93). Ces manuscrits révèlent que le Nouveau Testament « nous a été transmis sans, ou presque sans variation » (McDowell, page 44).
Il existe plus de 24.000 copies manuscrites du Nouveau Testament en grec, en latin et en d’autres langues. Les plus anciens manuscrits du Nouveau Testament datent de quelques dizaines d’années, à peine, après leur rédaction originale à l’époque des apôtres. En comparaison, il n’y a que 643 manuscrits de l’Iliade d’Homère (rédigée vers 900 av. J.-C.) et la plus ancienne copie existante, aujourd’hui, date d’environ 400 av. J.-C. – quelques 500 ans après sa première parution. Seules 10 ou 20 copies des écrits de Jules César, de l’historien romain Tacite et de l’historien grec Hérodote subsistent encore de nos jours – quant à la plus ancienne de ces copies, elle fut rédigée mille ans après la sortie des originaux (McDowell, pages 39-43). Comparé au Nouveau Testament, aucun autre document de l’antiquité n’a laissé une telle quantité de matériel établissant la fiabilité de la transmission de son texte. Outre le grand nombre de manuscrits à notre disposition, les premiers écrivains chrétiens ont tellement cité le Nouveau Testament, dans leurs écrits, que presque tout le texte pourrait être reconstitué à partir de ces citations !
Quoique les sceptiques disent que les Évangiles furent rédigés des siècles après les apôtres, nous possédons le plus ancien fragment de l’Évangile de Jean, qui date de 130 apr. J.-C. – approximativement trente ans après la mort de l’apôtre Jean – ce qui conforte le point de vue traditionnel que l’apôtre Jean aurait écrit son Évangile vers la fin du premier siècle (voir McDowell, pages 39-47). De plus, « rien ne prouve que les Évangiles des deux premiers siècles circulaient sans le nom de leur auteur » (Sheler, page 33). Comme un expert l’a fait remarquer : « Si nous confrontons ce que déclare le texte du Nouveau Testament actuel avec n’importe quel autre écrit ancien, nous devons […] déclarer qu’il est merveilleusement exact » (McDowell, page 45). Une autre personnalité éminente a déclaré : « On ne pourra jamais assez insister sur le fait qu’en substance, le texte de la Bible est sûr ; particulièrement dans le cas du Nouveau Testament […] On ne peut pas en dire autant pour tout autre livre ancien dans le monde » (ibid.).
La fiabilité du Nouveau Testament repose sur un abondant matériel disponible. Les érudits admettent volontiers : « Il y a davantage de textes anciens, et une plus grande quantité de manuscrits du Nouveau Testament que pour tout autre livre du monde antique » (Geisler, page 93). Ces manuscrits révèlent que le Nouveau Testament « nous a été transmis sans, ou presque sans variation » (McDowell, page 44).
Il existe plus de 24.000 copies manuscrites du Nouveau Testament en grec, en latin et en d’autres langues. Les plus anciens manuscrits du Nouveau Testament datent de quelques dizaines d’années, à peine, après leur rédaction originale à l’époque des apôtres. En comparaison, il n’y a que 643 manuscrits de l’Iliade d’Homère (rédigée vers 900 av. J.-C.) et la plus ancienne copie existante, aujourd’hui, date d’environ 400 av. J.-C. – quelques 500 ans après sa première parution. Seules 10 ou 20 copies des écrits de Jules César, de l’historien romain Tacite et de l’historien grec Hérodote subsistent encore de nos jours – quant à la plus ancienne de ces copies, elle fut rédigée mille ans après la sortie des originaux (McDowell, pages 39-43). Comparé au Nouveau Testament, aucun autre document de l’antiquité n’a laissé une telle quantité de matériel établissant la fiabilité de la transmission de son texte. Outre le grand nombre de manuscrits à notre disposition, les premiers écrivains chrétiens ont tellement cité le Nouveau Testament, dans leurs écrits, que presque tout le texte pourrait être reconstitué à partir de ces citations !
Quoique les sceptiques disent que les Évangiles furent rédigés des siècles après les apôtres, nous possédons le plus ancien fragment de l’Évangile de Jean, qui date de 130 apr. J.-C. – approximativement trente ans après la mort de l’apôtre Jean – ce qui conforte le point de vue traditionnel que l’apôtre Jean aurait écrit son Évangile vers la fin du premier siècle (voir McDowell, pages 39-47). De plus, « rien ne prouve que les Évangiles des deux premiers siècles circulaient sans le nom de leur auteur » (Sheler, page 33). Comme un expert l’a fait remarquer : « Si nous confrontons ce que déclare le texte du Nouveau Testament actuel avec n’importe quel autre écrit ancien, nous devons […] déclarer qu’il est merveilleusement exact » (McDowell, page 45). Une autre personnalité éminente a déclaré : « On ne pourra jamais assez insister sur le fait qu’en substance, le texte de la Bible est sûr ; particulièrement dans le cas du Nouveau Testament […] On ne peut pas en dire autant pour tout autre livre ancien dans le monde » (ibid.).
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Le canon du Nouveau Testament
Pendant des dizaines d’années, des critiques ont accusé les livres du Nouveau Testament d’avoir été écrits un siècle, ou plus, après Jésus-Christ et les apôtres, et qu’ils avaient probablement été assemblés par des auteurs anonymes. Une telle composition tardive aurait laissé le temps aux mythes et aux légendes d’infiltrer le texte. Certains théologiens progressistes et certains écrivains modernes, comme celui du Da Vinci Code, prétendent également que les livres du Nouveau Testament furent sélectionnés par des comités aux motivations politiques, tandis que les livres valables auraient été écartés délibérément, ce qui compromettrait la véracité et la valeur de la Bible. Cependant, les preuves internes au Nouveau Testament, les faits historiques et le poids de nos connaissances actuelles réfutent ces idées.
Aujourd’hui, la plupart des experts crédibles s’accordent à dire que « le canon du Nouveau Testament, comportant les Évangiles et la plupart des épîtres de l’apôtre Paul, fut composé vers la fin du premier siècle […] la date certifiée pour les Évangiles canoniques n’est pas postérieure à 60-100 de notre ère » (Geisler, page 520). Ni l’Évangile de Luc, ni le livre des Actes (également écrit par Luc) ne mentionnent la destruction de Jérusalem et du temple qui, pour les Juifs, furent les événements les plus significatifs de ce siècle. En effet, aucun auteur du Nouveau Testament ne mentionne la destruction du temple, ce qui suggère fortement que le canon du Nouveau Testament avait déjà été établi.
Les livres du Nouveau Testament révèlent que leurs auteurs reconnaissaient les écrits inspirés par Dieu comme faisant partie du canon. L’apôtre Paul écrivit : « Ce que je vous écris est un commandement du Seigneur » (1 Corinthiens 14 :37). Paul écrivit que l’enseignement des apôtres était divinement inspiré, et devait être lu dans les Églises : « En recevant la parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu » (1 Thessaloniciens 2 :13 ; 5 :27). Pierre mit en garde ceux qui tordaient les écrits de Paul, en disant qu’ils tordaient également le sens des « autres Écritures » (2 Pierre 3 :15-16). Les érudits de l’Église des premiers siècles acceptaient les écrits des apôtres comme faisant partie des Écritures, et ils « prenaient soin de faire une nette distinction entre leurs propres écrits et les écrits des apôtres qui faisaient autorité » (Bruce, page 71). Cela montre que dès le début de l’histoire de l’Église, on reconnaissait le canon du Nouveau Testament.
Tertullien, un historien religieux du début des années 200 semble être le premier à utiliser le terme de Nouveau Testament en parlant des textes canoniques chrétiens. Ce point est très intéressant car il montre « que les écrits du Nouveau Testament étaient considérés comme étant placés au même niveau que ceux de l’Ancien Testament » (Bruce, page 66). Nous possédons des écrits des années 300 montrant que le canon du Nouveau Testament comprenait 27 livres – le même nombre qu’aujourd’hui. Une lettre écrite en l’an 367 par Athanase, évêque d’Alexandrie constitue la plus ancienne référence au nombre exact des 27 livres du canon du Nouveau Testament. Sa lettre qui était « destinée à éliminer, une fois pour toutes, l’usage de certains livres apocryphes » contient cet avertissement : « Ne laissez personne en ajouter, et que rien n’en soit retranché » (Bruce, page 74). Plus tard, en 397 après Jésus-Christ, un concile à Carthage décréta « qu’en dehors des Écrits canoniques [dont le concile arrêta la liste à 27 livres] rien ne doit être lu dans l’Église sous la désignation d’Écritures divines » (Bruce, page 74). Le but affiché consistait à définir quels étaient les livres faisant partie du canon inspiré du Nouveau Testament, et d’en écarter la littérature apocryphe.
Pendant des dizaines d’années, des critiques ont accusé les livres du Nouveau Testament d’avoir été écrits un siècle, ou plus, après Jésus-Christ et les apôtres, et qu’ils avaient probablement été assemblés par des auteurs anonymes. Une telle composition tardive aurait laissé le temps aux mythes et aux légendes d’infiltrer le texte. Certains théologiens progressistes et certains écrivains modernes, comme celui du Da Vinci Code, prétendent également que les livres du Nouveau Testament furent sélectionnés par des comités aux motivations politiques, tandis que les livres valables auraient été écartés délibérément, ce qui compromettrait la véracité et la valeur de la Bible. Cependant, les preuves internes au Nouveau Testament, les faits historiques et le poids de nos connaissances actuelles réfutent ces idées.
Aujourd’hui, la plupart des experts crédibles s’accordent à dire que « le canon du Nouveau Testament, comportant les Évangiles et la plupart des épîtres de l’apôtre Paul, fut composé vers la fin du premier siècle […] la date certifiée pour les Évangiles canoniques n’est pas postérieure à 60-100 de notre ère » (Geisler, page 520). Ni l’Évangile de Luc, ni le livre des Actes (également écrit par Luc) ne mentionnent la destruction de Jérusalem et du temple qui, pour les Juifs, furent les événements les plus significatifs de ce siècle. En effet, aucun auteur du Nouveau Testament ne mentionne la destruction du temple, ce qui suggère fortement que le canon du Nouveau Testament avait déjà été établi.
Les livres du Nouveau Testament révèlent que leurs auteurs reconnaissaient les écrits inspirés par Dieu comme faisant partie du canon. L’apôtre Paul écrivit : « Ce que je vous écris est un commandement du Seigneur » (1 Corinthiens 14 :37). Paul écrivit que l’enseignement des apôtres était divinement inspiré, et devait être lu dans les Églises : « En recevant la parole de Dieu, que nous vous avons fait entendre, vous l’avez reçue, non comme la parole des hommes, mais, ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu » (1 Thessaloniciens 2 :13 ; 5 :27). Pierre mit en garde ceux qui tordaient les écrits de Paul, en disant qu’ils tordaient également le sens des « autres Écritures » (2 Pierre 3 :15-16). Les érudits de l’Église des premiers siècles acceptaient les écrits des apôtres comme faisant partie des Écritures, et ils « prenaient soin de faire une nette distinction entre leurs propres écrits et les écrits des apôtres qui faisaient autorité » (Bruce, page 71). Cela montre que dès le début de l’histoire de l’Église, on reconnaissait le canon du Nouveau Testament.
Tertullien, un historien religieux du début des années 200 semble être le premier à utiliser le terme de Nouveau Testament en parlant des textes canoniques chrétiens. Ce point est très intéressant car il montre « que les écrits du Nouveau Testament étaient considérés comme étant placés au même niveau que ceux de l’Ancien Testament » (Bruce, page 66). Nous possédons des écrits des années 300 montrant que le canon du Nouveau Testament comprenait 27 livres – le même nombre qu’aujourd’hui. Une lettre écrite en l’an 367 par Athanase, évêque d’Alexandrie constitue la plus ancienne référence au nombre exact des 27 livres du canon du Nouveau Testament. Sa lettre qui était « destinée à éliminer, une fois pour toutes, l’usage de certains livres apocryphes » contient cet avertissement : « Ne laissez personne en ajouter, et que rien n’en soit retranché » (Bruce, page 74). Plus tard, en 397 après Jésus-Christ, un concile à Carthage décréta « qu’en dehors des Écrits canoniques [dont le concile arrêta la liste à 27 livres] rien ne doit être lu dans l’Église sous la désignation d’Écritures divines » (Bruce, page 74). Le but affiché consistait à définir quels étaient les livres faisant partie du canon inspiré du Nouveau Testament, et d’en écarter la littérature apocryphe.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
À propos des livres apocryphes
Que sont exactement les livres apocryphes ? Pourquoi ont-ils été un sujet de controverse au début de l’Église ? Sont-ils valables aujourd’hui ? Le terme « apocryphe » (qui signifie caché ou secret) s’applique aux livres que les Juifs et l’Église d’origine n’ont jamais accepté comme étant inspirés ou comme faisant partie du canon (voir Bruce, pages 79-94 ; Geisler, pages 28-34). La plupart des livres apocryphes datent de l’époque intermédiaire entre les deux Testaments, et furent rédigés par des auteurs anonymes ou sous le nom d’un individu, ou d’un endroit référencé dans les Écritures. Ces livres ne prétendent pas avoir été inspirés. Ils ne contiennent pas de prédictions prophétiques, mais ils comportent des erreurs historiques et géographiques, et avancent des idées fantaisistes ou des fausses doctrines contraires aux Écritures canoniques. Jésus et les rédacteurs du Nouveau Testament n’ont jamais reconnu que les apocryphes faisaient partie des Écritures : « Aucun canon, ni aucun concile n’a reconnu les apocryphes au cours des quatre premiers siècles » (Geisler, page 33).
Quoique certains livres apocryphes fussent publiés à la suite des livres canoniques de la version des Septante (une traduction grecque des Écritures hébraïques rédigée par soixante-dix érudits à Alexandrie vers 250 apr. J.-C.), cette traduction ne fut pas supervisée par des scribes de la tradition judaïque, dont les centres se trouvaient à Tibériade et à Babylone.
Flavius Josèphe, qui vécut au premier siècle après Jésus-Christ, a exclu expressément les livres apocryphes du canon hébreu lorsqu’il a écrit : « Nous ne possédons que vingt-deux livres dont nous croyons, à juste titre, qu’ils sont d’inspiration divine » (Against Apion, 1 :8). Philo, un enseignant juif d’Alexandrie ayant vécu au premier siècle, « cita abondamment l’Ancien Testament en se référant à des passages de presque tous les livres canoniques. Cependant, pas une seule fois, il ne mentionna les apocryphes, comme s’ils avaient été inspirés » (Geisler, page 32). Des anciens auteurs célèbres comme Origène, Cyril de Jérusalem, Athanase d’Alexandrie et Jérôme rejetèrent tous les livres apocryphes en tant qu’ouvrages dont on ne reconnaissait pas l’authenticité. En fait, ce fut Jérôme (qui composa la Vulgate en latin vers 400 apr. J.-C.) qui utilisa pour la première fois le terme d’apocryphes pour désigner les livres qui n’étaient pas considérés comme faisant partie du canon biblique inspiré, et qui ne devaient pas servir de référence pour établir la doctrine. Jérôme s’opposa au théologien Augustin, qui avait le sentiment que les livres apocryphes étaient inspirés et qu’ils devaient être ajoutés au canon, au motif probable qu’ils avaient été acceptés par les traducteurs de la version des Septante.
Les livres apocryphes devinrent un important sujet de discussion durant la Réforme, lorsque les protestants (en accord avec la pensée de Jérôme) rejetèrent les apocryphes comme non inspirés. Cependant, au concile de Trente, en 1546, les dirigeants de l’Église catholique romaine (conformément à la pensée d’Augustin), déclarèrent que ces livres faisaient partie du canon du Nouveau Testament. C’était une manœuvre de l’Église romaine pour contrer l’influence de Martin Luther et d’autres réformateurs qui étaient contre le célibat des prêtres, contre les prières pour les morts, et le purgatoire – des idées qui ne venaient pas des Écritures canoniques, mais de certains livres apocryphes. Toutefois, la controverse à ce sujet ne s’éteignit pas à cette époque-là.
Que sont exactement les livres apocryphes ? Pourquoi ont-ils été un sujet de controverse au début de l’Église ? Sont-ils valables aujourd’hui ? Le terme « apocryphe » (qui signifie caché ou secret) s’applique aux livres que les Juifs et l’Église d’origine n’ont jamais accepté comme étant inspirés ou comme faisant partie du canon (voir Bruce, pages 79-94 ; Geisler, pages 28-34). La plupart des livres apocryphes datent de l’époque intermédiaire entre les deux Testaments, et furent rédigés par des auteurs anonymes ou sous le nom d’un individu, ou d’un endroit référencé dans les Écritures. Ces livres ne prétendent pas avoir été inspirés. Ils ne contiennent pas de prédictions prophétiques, mais ils comportent des erreurs historiques et géographiques, et avancent des idées fantaisistes ou des fausses doctrines contraires aux Écritures canoniques. Jésus et les rédacteurs du Nouveau Testament n’ont jamais reconnu que les apocryphes faisaient partie des Écritures : « Aucun canon, ni aucun concile n’a reconnu les apocryphes au cours des quatre premiers siècles » (Geisler, page 33).
Quoique certains livres apocryphes fussent publiés à la suite des livres canoniques de la version des Septante (une traduction grecque des Écritures hébraïques rédigée par soixante-dix érudits à Alexandrie vers 250 apr. J.-C.), cette traduction ne fut pas supervisée par des scribes de la tradition judaïque, dont les centres se trouvaient à Tibériade et à Babylone.
Flavius Josèphe, qui vécut au premier siècle après Jésus-Christ, a exclu expressément les livres apocryphes du canon hébreu lorsqu’il a écrit : « Nous ne possédons que vingt-deux livres dont nous croyons, à juste titre, qu’ils sont d’inspiration divine » (Against Apion, 1 :8). Philo, un enseignant juif d’Alexandrie ayant vécu au premier siècle, « cita abondamment l’Ancien Testament en se référant à des passages de presque tous les livres canoniques. Cependant, pas une seule fois, il ne mentionna les apocryphes, comme s’ils avaient été inspirés » (Geisler, page 32). Des anciens auteurs célèbres comme Origène, Cyril de Jérusalem, Athanase d’Alexandrie et Jérôme rejetèrent tous les livres apocryphes en tant qu’ouvrages dont on ne reconnaissait pas l’authenticité. En fait, ce fut Jérôme (qui composa la Vulgate en latin vers 400 apr. J.-C.) qui utilisa pour la première fois le terme d’apocryphes pour désigner les livres qui n’étaient pas considérés comme faisant partie du canon biblique inspiré, et qui ne devaient pas servir de référence pour établir la doctrine. Jérôme s’opposa au théologien Augustin, qui avait le sentiment que les livres apocryphes étaient inspirés et qu’ils devaient être ajoutés au canon, au motif probable qu’ils avaient été acceptés par les traducteurs de la version des Septante.
Les livres apocryphes devinrent un important sujet de discussion durant la Réforme, lorsque les protestants (en accord avec la pensée de Jérôme) rejetèrent les apocryphes comme non inspirés. Cependant, au concile de Trente, en 1546, les dirigeants de l’Église catholique romaine (conformément à la pensée d’Augustin), déclarèrent que ces livres faisaient partie du canon du Nouveau Testament. C’était une manœuvre de l’Église romaine pour contrer l’influence de Martin Luther et d’autres réformateurs qui étaient contre le célibat des prêtres, contre les prières pour les morts, et le purgatoire – des idées qui ne venaient pas des Écritures canoniques, mais de certains livres apocryphes. Toutefois, la controverse à ce sujet ne s’éteignit pas à cette époque-là.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Les “Évangiles” gnostiques
En 1945, un ensemble de manuscrits, communément désignés comme les « Évangiles gnostiques », fut découvert près de Nag Hammadi, une ville égyptienne située au nord de Louxor, sur le Nil. Le gnosticisme contient un grand nombre d’idées hérétiques que les dirigeants de l’Église primitive attribuaient à Simon le magicien (voir Actes 8 :9-25 ; Geisler, page 274). Les écrits gnostiques contiennent des supposés « secrets oraux » du Christ qui diffèrent gravement de Son enseignement rapporté dans le Nouveau Testament. Dans l’Évangile de Thomas, Jésus s’emporte de colère et provoque le dessèchement d’un enfant qui l’avait offensé (3 :1-3). Dans un autre ouvrage, Jésus confectionne des oiseaux en argile, un jour de sabbat et lorsque Ses parents le réprimandent, Il frappe des mains et les oiseaux prennent leur envol. L’Évangile de Philippe suggère que Jésus connut une relation romantique avec Marie Madeleine. L’Évangile de Marie fait croire que Marie était le dirigeant réel des disciples du Christ.
Les dirigeants de l’Église primitive ont dénoncé les écrits gnostiques comme faux et hérétiques. Néanmoins, des critiques bibliques modernes, dont des théologiens révisionnistes, des écrivains inventifs et des mystiques New Age, ont ressuscité ces évangiles « alternatifs », et leur accordent autant de crédibilité qu’aux Écritures canoniques. Dan Brown, l’auteur bien connu du livre de fiction Da Vinci Code, utilise abondamment les idées hérétiques des écrits gnostiques, autant que le culte païen et le mysticisme pour construire son histoire. Dans son roman, il « présente Marie Madeleine comme étant […] une figure indépendante influente, protectrice de Jésus, co-fondatrice de Son mouvement, Sa seule disciple restée fidèle au pire moment de Sa vie, auteur de son propre évangile, Sa partenaire amoureuse et la mère de Son enfant. Pour les millions de femmes qui, aujourd’hui, se sentent offensées, discriminées ou peu considérées au sein des différentes confessions religieuses de tout bord, cette histoire imaginaire leur donne une occasion de regarder les débuts de l’histoire religieuse sous un nouvel angle entièrement différent. […] Da Vinci Code permet à chacun de ses lecteurs de reconsidérer d’un point de vue différent le rôle des femmes à la naissance du christianisme. Ces thèmes sont devenus à la mode à l’école de théologie d’Harward et dans d’autres centres intellectuels » (Secrets of the Code, Bernstein, page xxvii).
Lorsque Dan Brown fait dire à ses personnages : « Presque tout ce que nos pères nous ont enseigné au sujet du Christ est faux », et « La Bible est un produit de l’homme, mon cher, pas de Dieu », il va dans le sens d’une entreprise et d’un point de vue général, qui cherchent à ébranler et à discréditer les Écritures, ainsi que le Jésus-Christ de la Bible. Quoique l’intrigue du Da Vinci Code semble donner l’impression d’une « recherche courageuse de la vérité, à n’importe quel prix, son véritable but consiste à saper l’une des particularités fondamentales de la foi chrétienne – c’est-à-dire la croyance que le message original de l’Évangile, conservé dans la Bible, est la seule parole inspirée de Dieu » (Cracking the Code, Garlow & Jones, page 72). Le vrai danger des livres comme Da Vinci Code est qu’ils sèment le doute dans l’esprit des gens qui manquent de connaissances historiques et bibliques. Pour de tels individus, la fiction des écrits apocryphes risque d’être interprétée comme un fait réel et les conduire à se laisser tromper quant à la véritable particularité des Écritures inspirées. L’une des principales raisons pour lesquelles certains livres étaient incorporés aux canons de l’Ancien et du Nouveau Testaments et que d’autres ne l’étaient pas, consistait à marquer une nette distinction entre les livres inspirés et les faux écrits fallacieux des Gnostiques.
En 1945, un ensemble de manuscrits, communément désignés comme les « Évangiles gnostiques », fut découvert près de Nag Hammadi, une ville égyptienne située au nord de Louxor, sur le Nil. Le gnosticisme contient un grand nombre d’idées hérétiques que les dirigeants de l’Église primitive attribuaient à Simon le magicien (voir Actes 8 :9-25 ; Geisler, page 274). Les écrits gnostiques contiennent des supposés « secrets oraux » du Christ qui diffèrent gravement de Son enseignement rapporté dans le Nouveau Testament. Dans l’Évangile de Thomas, Jésus s’emporte de colère et provoque le dessèchement d’un enfant qui l’avait offensé (3 :1-3). Dans un autre ouvrage, Jésus confectionne des oiseaux en argile, un jour de sabbat et lorsque Ses parents le réprimandent, Il frappe des mains et les oiseaux prennent leur envol. L’Évangile de Philippe suggère que Jésus connut une relation romantique avec Marie Madeleine. L’Évangile de Marie fait croire que Marie était le dirigeant réel des disciples du Christ.
Les dirigeants de l’Église primitive ont dénoncé les écrits gnostiques comme faux et hérétiques. Néanmoins, des critiques bibliques modernes, dont des théologiens révisionnistes, des écrivains inventifs et des mystiques New Age, ont ressuscité ces évangiles « alternatifs », et leur accordent autant de crédibilité qu’aux Écritures canoniques. Dan Brown, l’auteur bien connu du livre de fiction Da Vinci Code, utilise abondamment les idées hérétiques des écrits gnostiques, autant que le culte païen et le mysticisme pour construire son histoire. Dans son roman, il « présente Marie Madeleine comme étant […] une figure indépendante influente, protectrice de Jésus, co-fondatrice de Son mouvement, Sa seule disciple restée fidèle au pire moment de Sa vie, auteur de son propre évangile, Sa partenaire amoureuse et la mère de Son enfant. Pour les millions de femmes qui, aujourd’hui, se sentent offensées, discriminées ou peu considérées au sein des différentes confessions religieuses de tout bord, cette histoire imaginaire leur donne une occasion de regarder les débuts de l’histoire religieuse sous un nouvel angle entièrement différent. […] Da Vinci Code permet à chacun de ses lecteurs de reconsidérer d’un point de vue différent le rôle des femmes à la naissance du christianisme. Ces thèmes sont devenus à la mode à l’école de théologie d’Harward et dans d’autres centres intellectuels » (Secrets of the Code, Bernstein, page xxvii).
Lorsque Dan Brown fait dire à ses personnages : « Presque tout ce que nos pères nous ont enseigné au sujet du Christ est faux », et « La Bible est un produit de l’homme, mon cher, pas de Dieu », il va dans le sens d’une entreprise et d’un point de vue général, qui cherchent à ébranler et à discréditer les Écritures, ainsi que le Jésus-Christ de la Bible. Quoique l’intrigue du Da Vinci Code semble donner l’impression d’une « recherche courageuse de la vérité, à n’importe quel prix, son véritable but consiste à saper l’une des particularités fondamentales de la foi chrétienne – c’est-à-dire la croyance que le message original de l’Évangile, conservé dans la Bible, est la seule parole inspirée de Dieu » (Cracking the Code, Garlow & Jones, page 72). Le vrai danger des livres comme Da Vinci Code est qu’ils sèment le doute dans l’esprit des gens qui manquent de connaissances historiques et bibliques. Pour de tels individus, la fiction des écrits apocryphes risque d’être interprétée comme un fait réel et les conduire à se laisser tromper quant à la véritable particularité des Écritures inspirées. L’une des principales raisons pour lesquelles certains livres étaient incorporés aux canons de l’Ancien et du Nouveau Testaments et que d’autres ne l’étaient pas, consistait à marquer une nette distinction entre les livres inspirés et les faux écrits fallacieux des Gnostiques.
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Chapitre 5 – Les vraies réponses aux grandes questions de la vie
À l’heure actuelle, beaucoup de gens vivent dans un monde dominé par le matérialisme. Beaucoup de gens jouissent, aujourd’hui, d’un standing nettement plus élevé qu’à n’importe quelle autre époque de l’histoire humaine. Néanmoins, quoique disposant de plus d’argent et de temps libre, des millions d’individus considèrent encore que leur vie est vide et qu’elle n’a pas de sens. Une couche grandissante de nos populations trouve que l’argent, les biens matériels et la recherche du plaisir n’apportent pas la sérénité, ne suppriment pas l’impression de vide et ne répondent pas aux grandes questions de la vie : Pourquoi suis-je né ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi j’existe ? Quel est le véritable but de la vie ? Que se passe-t-il après la mort ?
Ceux qui prennent la peine de s’intéresser à ce qui les entoure s’aperçoivent bien vite qu’il y a de terribles injustices dans notre monde actuel, et se demandent pourquoi des millions d’êtres humains souffrent de faim, de soif, d’insalubrité et de logement indécent. Pourquoi tant de gens sont exploités et maltraités par certains dirigeants corrompus ? Pourquoi y a-t-il des guerres et des actes délibérés d’une rare violence, ainsi qu’une recrudescence du terrorisme à travers le monde ? Pourquoi n’y a-t-il pas de paix ? Des millions de gens souhaitent un monde meilleur, mais ils savent qu’ils ne peuvent rien faire pour que cela change. Pourquoi, finalement, Dieu n’intervient-Il pas – pour autant qu’Il existe réellement ?
Peu de gens se satisfont des réponses vagues émanant de la plupart des dirigeants religieux, ou des philosophes du monde. On leur dit que les êtres humains ne sont que des « singes en pantalon » – ou des sacs d’ADN qui luttent pour survivre dans un univers sans but, en attendant le vide éternel après la mort – sans raison inspirante de vivre. D’autre part, qui croit encore que le but de la vie consisterait à passer l’éternité sur un nuage, en jouant de la harpe ? Entendre que « Dieu est amour » – et voir autour de soi tout le mal et toutes les injustices qui sont perpétrés dans le monde – n’apporte pas davantage d’éléments de réponse. Il est tragique qu’un grand nombre de gens, actuellement, ont été amenés à croire que ces réponses sont suffisantes pour trouver la tranquillité.
Cela n’a pas de sens ! La plupart de ceux qui prétendent que ces réponses sont les meilleures qui soient n’ont jamais compris ce que Dieu déclare réellement dans la Bible ! Beaucoup de théologiens ne savent pas, ou ne croient pas ce que la Bible dit à propos des questions essentielles de la vie. À cause des préjugés de la société qui est opposée à ce qui est surnaturel, encouragée par des érudits bibliques qui ne croient pas au Dieu personnel et tout puissant de la Bible, des millions de gens ont été conditionnés à devenir sceptiques envers les Écritures et ce qu’elles révèlent. Cependant, la Bible fournit les vraies réponses aux questions essentielles de la vie !
À l’heure actuelle, beaucoup de gens vivent dans un monde dominé par le matérialisme. Beaucoup de gens jouissent, aujourd’hui, d’un standing nettement plus élevé qu’à n’importe quelle autre époque de l’histoire humaine. Néanmoins, quoique disposant de plus d’argent et de temps libre, des millions d’individus considèrent encore que leur vie est vide et qu’elle n’a pas de sens. Une couche grandissante de nos populations trouve que l’argent, les biens matériels et la recherche du plaisir n’apportent pas la sérénité, ne suppriment pas l’impression de vide et ne répondent pas aux grandes questions de la vie : Pourquoi suis-je né ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi j’existe ? Quel est le véritable but de la vie ? Que se passe-t-il après la mort ?
Ceux qui prennent la peine de s’intéresser à ce qui les entoure s’aperçoivent bien vite qu’il y a de terribles injustices dans notre monde actuel, et se demandent pourquoi des millions d’êtres humains souffrent de faim, de soif, d’insalubrité et de logement indécent. Pourquoi tant de gens sont exploités et maltraités par certains dirigeants corrompus ? Pourquoi y a-t-il des guerres et des actes délibérés d’une rare violence, ainsi qu’une recrudescence du terrorisme à travers le monde ? Pourquoi n’y a-t-il pas de paix ? Des millions de gens souhaitent un monde meilleur, mais ils savent qu’ils ne peuvent rien faire pour que cela change. Pourquoi, finalement, Dieu n’intervient-Il pas – pour autant qu’Il existe réellement ?
Peu de gens se satisfont des réponses vagues émanant de la plupart des dirigeants religieux, ou des philosophes du monde. On leur dit que les êtres humains ne sont que des « singes en pantalon » – ou des sacs d’ADN qui luttent pour survivre dans un univers sans but, en attendant le vide éternel après la mort – sans raison inspirante de vivre. D’autre part, qui croit encore que le but de la vie consisterait à passer l’éternité sur un nuage, en jouant de la harpe ? Entendre que « Dieu est amour » – et voir autour de soi tout le mal et toutes les injustices qui sont perpétrés dans le monde – n’apporte pas davantage d’éléments de réponse. Il est tragique qu’un grand nombre de gens, actuellement, ont été amenés à croire que ces réponses sont suffisantes pour trouver la tranquillité.
Cela n’a pas de sens ! La plupart de ceux qui prétendent que ces réponses sont les meilleures qui soient n’ont jamais compris ce que Dieu déclare réellement dans la Bible ! Beaucoup de théologiens ne savent pas, ou ne croient pas ce que la Bible dit à propos des questions essentielles de la vie. À cause des préjugés de la société qui est opposée à ce qui est surnaturel, encouragée par des érudits bibliques qui ne croient pas au Dieu personnel et tout puissant de la Bible, des millions de gens ont été conditionnés à devenir sceptiques envers les Écritures et ce qu’elles révèlent. Cependant, la Bible fournit les vraies réponses aux questions essentielles de la vie !
Re: La Bible : Réalité ou fiction ?
Le but de la vie
Contrairement à l’opinion courante qui suppose que la vie ait émergé d’une soupe pré biotique chaude et visqueuse (apparentée à l’idée adoptée par les philosophes païens grecs) et que les êtres humains auraient évolué à partir d’une sorte de singe (selon les disciples de Charles Darwin), la Bible révèle que Dieu a créé les êtres humains à Sa propre image (Genèse 1 :26-28). Si vous croyez que la Bible est véritablement la parole de Dieu, vous êtes obligé de croire à cette déclaration. Selon les Écritures, les êtres humains ne furent pas créés pour divertir les divinités, comme certains philosophes de l’antiquité le prétendaient. Dieu créa les humains afin qu’ils apprennent à administrer la terre (Genèse 1 :26-28 ; 2 :15), et à édifier leur caractère en apprenant à discerner le vrai du faux (Genèse 2 :16-17). Selon les Écritures, Dieu établit l’institution du mariage et de la famille (Genèse 2 :18-24). Il distribua également les rôles au sein du mariage, et révéla des directives importantes de sorte que ces institutions, divinement ordonnées, fonctionnent correctement et efficacement (Matthieu 19 :3-9 ; Éphèsiens 5 :22-33 ; 6 :1-4 ; 1 Timothée 2 :8-15 ; 1 Pierre 3 :1-7).
La raison pour laquelle la Bible insiste pour que nous apprenions à gérer notre propre vie, et à cheminer sereinement au sein du mariage et de la famille, tient au fait que nous ayons été créés pour devenir membres de la famille spirituelle de Dieu (voir Romains 8 :15-17 ; Hébreux 2 :5-11 ; 1 Jean 3 :1-3). Si nous nous qualifions pour devenir membres de cette famille spirituelle, nous régnerons avec Jésus-Christ lorsqu’Il viendra établir le Royaume de Dieu sur la terre (voir Apocalypse 1 :4-6 ; 5 :10). Si on la comprend bien, la Bible révèle distinctement que nous ne monterons pas au ciel lorsque nous mourrons (voir Jean 3 :13 ; Actes 2 :29, 34 ; 13 :36). Lorsque vous comprenez ce que les Écritures révèlent concernant le but de la vie, vous commencez à réaliser pourquoi les enseignements du christianisme « traditionnel » ne sont ni satisfaisants, ni très convaincants. Pour en savoir plus au sujet du but réel de la vie, lisez notre brochure gratuite intitulée Votre ultime destinée.
Contrairement à l’opinion courante qui suppose que la vie ait émergé d’une soupe pré biotique chaude et visqueuse (apparentée à l’idée adoptée par les philosophes païens grecs) et que les êtres humains auraient évolué à partir d’une sorte de singe (selon les disciples de Charles Darwin), la Bible révèle que Dieu a créé les êtres humains à Sa propre image (Genèse 1 :26-28). Si vous croyez que la Bible est véritablement la parole de Dieu, vous êtes obligé de croire à cette déclaration. Selon les Écritures, les êtres humains ne furent pas créés pour divertir les divinités, comme certains philosophes de l’antiquité le prétendaient. Dieu créa les humains afin qu’ils apprennent à administrer la terre (Genèse 1 :26-28 ; 2 :15), et à édifier leur caractère en apprenant à discerner le vrai du faux (Genèse 2 :16-17). Selon les Écritures, Dieu établit l’institution du mariage et de la famille (Genèse 2 :18-24). Il distribua également les rôles au sein du mariage, et révéla des directives importantes de sorte que ces institutions, divinement ordonnées, fonctionnent correctement et efficacement (Matthieu 19 :3-9 ; Éphèsiens 5 :22-33 ; 6 :1-4 ; 1 Timothée 2 :8-15 ; 1 Pierre 3 :1-7).
La raison pour laquelle la Bible insiste pour que nous apprenions à gérer notre propre vie, et à cheminer sereinement au sein du mariage et de la famille, tient au fait que nous ayons été créés pour devenir membres de la famille spirituelle de Dieu (voir Romains 8 :15-17 ; Hébreux 2 :5-11 ; 1 Jean 3 :1-3). Si nous nous qualifions pour devenir membres de cette famille spirituelle, nous régnerons avec Jésus-Christ lorsqu’Il viendra établir le Royaume de Dieu sur la terre (voir Apocalypse 1 :4-6 ; 5 :10). Si on la comprend bien, la Bible révèle distinctement que nous ne monterons pas au ciel lorsque nous mourrons (voir Jean 3 :13 ; Actes 2 :29, 34 ; 13 :36). Lorsque vous comprenez ce que les Écritures révèlent concernant le but de la vie, vous commencez à réaliser pourquoi les enseignements du christianisme « traditionnel » ne sont ni satisfaisants, ni très convaincants. Pour en savoir plus au sujet du but réel de la vie, lisez notre brochure gratuite intitulée Votre ultime destinée.
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