La justice et l’Église contre la pédophilie

Rappel du premier message :

La justice et l’Église contre la pédophilie

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C’est après le scandale du cardinal Barbarin, à Lyon, que Jacques Dallest, procureur général de la cour d’appel de Chambéry, a décidé de démarcher l’archevêque Philippe Ballot pour mener une réflexion commune sur le sujet. Une première en France. « Nous avons établi une méthode de fonctionnement pour traiter les cas éventuels de pédophilie ici », annonce Jacques Dallest.

Le plan d’action, sous forme de partenariat, invite l’archevêque à communiquer directement auprès du procureur s’il a connaissance d’un signalement, pour qu’une enquête judiciaire soit ouverte. « Si nous devons nous compléter, je ne dois pas me substituer au procureur », souligne Mgr Ballot, ajoutant que désormais, s’il reçoit des mails de signalement, il les transmet aussitôt au parquet général.

« Le système catholique voudrait que je mène mes propres investigations, pour en référer ensuite au Vatican qui prendrait les mesures nécessaires », poursuit-il. Mais en France, c’est à la justice de recueillir les témoignages, de recevoir les plaintes et d’appliquer les sanctions si besoin.

« Porter plainte est une démarche citoyenne »
Et le procureur est formel : « Si aucune plainte n’est déposée en justice, nous ne pouvons rien faire pour les victimes », insiste-t-il. « C’est une démarche citoyenne, qui aide à la fois la personne concernée et le reste des Français. » Une fois le processus enclenché, l’agresseur présumé est suspendu de ses fonctions le temps de l’enquête. Par la suite, le diocèse envisage d’ouvrir une “cellule d’écoute provinciale”, pour que les victimes puissent s’exprimer sur leurs traumatismes. Dans un souci de « transparence », l’homme de loi et l’homme d’église vont ouvrir le débat au public lundi 30 mai, dès 17 h 30 à Bellevue. Ils seront accompagnés de l’évêque d’Annecy, Yves Boivineau (qui devait confirmer sa venue), et du procureur d’Albertville. Un temps d’échange avec la société civile, pour évoquer ce sujet plus que jamais d’actualité et peut-être aider de potentielles victimes

Mikaël Malik a écrit:C'est ici que nous voyons que les religions sont du diable, car, toutes les abominations possibles et inimaginables sont commises au nom de la religion. Pour être plus clair, je dirais que, si ces gens qui commettent de telles atrocités au nom de la religion, s'ils n'en faisaient pas partie, jamais ils ne les commettraient parce que le bon sens et la conscience empêchent n'importe quel être humain normalement constitué de commettre de telles abominations comme par exemple, refuser une transfusion sanguine à son enfant, préférant le voir mourir que de vivre, ce qui est une folie démonique, voire satanique !!!

J'espère avoir été clair 

je suis content de voir que je ne suis pas le seul à considéré les religions comme une folie débile et démonique, si les religions faisaient du bien et appliquaient la justice, cela se saurait depuis longtemps

la religion, c'est le diable

Abus sexuels : Natalia Trouiller passe aux cribles les avancées et les points aveugles de l’Église
Entretien Trois ans après la publication du rapport Sauvé sur les violences sexuelles sur mineurs dans l’Église catholique, Natalia Trouiller, autrice, ancienne directrice de la communication du diocèse de Lyon devenue accompagnatrice de victimes, livre son regard sans concession sur la gestion des violences sexuelles par l’institution.
Recueilli par Héloïse de Neuville, le 06/10/2024 à 12:12

Abus sexuels : Natalia Trouiller passe aux cribles les avancées et les points aveugles de l’Église
Nathalie Trouiller, autrice, ancienne directrice de la communication du diocèse de Lyon devenue accompagnatrice de victimes.
Flavien Edenne pour La Croix

La Croix : Pouvez-vous vous présenter ? Comment avez-vous découvert personnellement le sujet des violences sexuelles dans l’Église ?

Natalia Trouiller : Je suis mariée, mère de trois...

EX-Témoin a écrit:

Mikaël Malik a écrit:C'est ici que nous voyons que les religions sont du diable, car, toutes les abominations possibles et inimaginables sont commises au nom de la religion. Pour être plus clair, je dirais que, si ces gens qui commettent de telles atrocités au nom de la religion, s'ils n'en faisaient pas partie, jamais ils ne les commettraient parce que le bon sens et la conscience empêchent n'importe quel être humain normalement constitué de commettre de telles abominations comme par exemple, refuser une transfusion sanguine à son enfant, préférant le voir mourir que de vivre, ce qui est une folie démonique, voire satanique !!!

J'espère avoir été clair 

je suis content de voir que je ne suis pas le seul à considéré les religions comme une folie débile et démonique, si les religions faisaient du bien et appliquaient la justice, cela se saurait depuis longtemps

la religion, c'est le diable

 Et aucune religion n'y échappe