L’ Islam Top Secret !
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L’ Islam Top Secret !
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Les Musulmans et non-Musulmans
ne connaissent pas bien l’Islam d’origine!…
…Ils confondent la croyance en Dieu
avec la croyance religieuse (l’Islam)…
Re: L’ Islam Top Secret !
Au commencement, l’Islam était une pensée et un mouvement politique car Mahomet, son fondateur, était déjà à ses débuts un homme de propagande, par la suite un homme delégislation et enfin un guerrier.
D’autres fondateurs de religion comme Jésus et sans doute Bouddha ne seront jamais mêlés directement à la politique et n’auront pas déclenché de guerre. Mahomet, lui, le fut et ce fut là une des grandes originalités.
Sans doute dans l’histoire le nom de Jésus a été assimilé a beaucoup de guerres mais cela était totalement différent de l’Islam avec un prophète qui se mêlait directement à lapropagande, la législation et qui déclenchait même des guerres.
Par conséquent, depuis quatorze siècles, toucher l’Islam - tel que le conçoivent certains - ou le critiquer est interdit et la seule punition est la mort.
Des massacres de plusieurs milliers de Persans, de Juifs dés le début de la nouvelle religion en Péninsule d’Arabie et dans les autres pays conquis par l’épée de l’Islam jusqu’à nos jours, en 2005, Theo Van Gogh aux Pays-Bas.
Critiquer - au sens de l'analyse rationnelle - l’Islam et le désinfecter seront deux pas vers la rénovation d’une pensée qui n’a jamais réussit à s’adapter définitivement avec les droits de l’homme et la liberté d’expression, reflet de la liberté de conscience. C'est la question de savoir si l'islam détient la capacité à se réformer, question obsédante depuis de nombreux siècles et à laquelle l'écrivain contemporain algérien juge que l'on peut répondre par la négative.
Certains auteurs du monde musulman, comme le tunisien Mohammed Talbi, se plaisent à citer leurs homologues occidentaux quand ces derniers considèrent que Mohammad (Mahomet, en français) est un des hommes qui ont le plus transformé la face du monde; ce qui est parfaitement exact au regard de l'histoire. Mais, par ailleurs, la théologie musulmane considère pour sa part que le fondateur de l'Islam est un homme comme tous les autres hommes. Mahomet " et non la formule consacrée "Prophète Mahomet " pour bien signaler que n'est analysé ici que le personnage de l'histoire des hommes et non la figure du dogme musulman ; à la quelle chacun est libre de croire ou pas.Re: L’ Islam Top Secret !
L’Histoire secrète d’ALLAH
Du fait des moyens de communication et du fait des voyages intercontinentaux - quel français par exemple n'a pas passé une semaine de vacances au Maroc ? , même les personnes les moins au fait de la richesse de la culture musulmane le savent :
Le Dieu de Mahomet est Allah.
En effet, le Dieu de MAHOMET n’est pas comme les autres, ce n'est pas le Yaveh de la Bible, Le Dieu de Mahomet s’appelle ALLAH que l'usage commun traduit par "Dieu" .
Or ce nom vient du mot ELAH qui veut dire "idole", "statue"…
Or ce nom vient du mot ELAH qui veut dire "idole", "statue"…
Mais, précisément, MAHOMET a rajouté un article arabe : " AL ". Son Dieu est alors devenu ALLAH à savoir un dieu dont le nom peut se traduire par "cette statue est la mienne".
Le premier slogan de MAHOMET était "LA-ELA-HA-ELLA-LLAH" ; un slogan que l'on retrouve dans le premier verset de la chahadah (la profession de foi musulmane, le premier pilier de l'islam) et que l'on entend, chanté par les muezzins, du haut des minarets.
Ce slogan, souvent traduit usuellement par "Il n'y a pas d'autre Dieu que Dieu", signifie qu’il n’y aucun autre ELAH que le mien (ALLAH)"; c'est-à-dire "il n'y a pas d'autre statue que cette statue qui est la mienne".
Le deuxième slogan assez important de MONSIEUR MAHOMET est "ALLAO-AKBAR" ; un slogan bien connu maintenant de tout le monde y compris des personnes peu instruites en matière de culture musulmane. Ce slogan est souvent traduit par "Dieu est grand", voire par "Il n'y a rien de plus grand que Dieu". Mais, en fait, si l'on s'appuie sur les particularités linguistiques de l'arabe du Coran, en fait Mahomet reconnaît explicitement l’existence d’autres ELAH (Dieu) à côté de son Dieu (Allah)
Ce slogan, souvent traduit usuellement par "Il n'y a pas d'autre Dieu que Dieu", signifie qu’il n’y aucun autre ELAH que le mien (ALLAH)"; c'est-à-dire "il n'y a pas d'autre statue que cette statue qui est la mienne".
Le deuxième slogan assez important de MONSIEUR MAHOMET est "ALLAO-AKBAR" ; un slogan bien connu maintenant de tout le monde y compris des personnes peu instruites en matière de culture musulmane. Ce slogan est souvent traduit par "Dieu est grand", voire par "Il n'y a rien de plus grand que Dieu". Mais, en fait, si l'on s'appuie sur les particularités linguistiques de l'arabe du Coran, en fait Mahomet reconnaît explicitement l’existence d’autres ELAH (Dieu) à côté de son Dieu (Allah)
ALLAH était en fait le nom de la statue la plus grande qui existait à La MECQUE et le père de MONSIEUR MAHOMET s’appelait ABDALLAH, un nom qui veut dire "esclave et serviteur d’ALLAH", littéralement "esclave de cette statue qui est la mienne".
AKBAR signifie "le plus grand" donc ALAO-AKBAR désigne ALLAH comme étant le plus grand des Dieux. Donc, le slogan de Mahomet ne nie pas l’existence de petits Dieux, bien au contraire. Car c'est une évidence que lorsque l’on dit qu’une chose est la plus grande c’est que proportionnellement, il y a une autre chose plus petite.
Nous entendons beaucoup de noms de personnages éminents, par exemple ALI AKBAR et ALI ASGHAR. Donc il y a bien un Ali qui est grand et un autre qui est petit.
Pour bien faire comprendre au lecteur francophone donc peu versé dans le subtilités de la langue arabe, Victor Hugo désignait les deux empereurs français. L'auteur de La Légende des Siècles a utilisé l'expression "Napoléon le grand (Napoléon I) et Napoléon le petit (Napoléon III).
Pour bien faire comprendre au lecteur francophone donc peu versé dans le subtilités de la langue arabe, Victor Hugo désignait les deux empereurs français. L'auteur de La Légende des Siècles a utilisé l'expression "Napoléon le grand (Napoléon I) et Napoléon le petit (Napoléon III).
Mais, à contrario, si l’on veut exprimer la grandeur incomparable de quelque chose ou de quelqu'un ; si on veut dire de tel personnage qu’il est le plus grand comme, par exemple,Alexandre le Grand, un héros par ailleurs fort présent dans le Coran. Alors pour dire " le grand " la langue arabe utilise le mot "KABIR".
En conséquence MAHOMET pour nier la totalité des petits dieux (ELAH) présents à la Mecque, aurait du modifier son slogan et dire "ALLAHO KABIRON". Il ne l'a pas fait. Nous verrons plus loin pourquoi.
Mais il est essentiel de souligner que malgré une existence de plus de 1400 ans, ce slogan n’est pas strictement monothéiste.
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Re: L’ Islam Top Secret !
La Généalogie secrète de Mahomet
ABDOL-MOTALEB, le grand-père de MAHOMET a beaucoup prié pour qu’ALLAH (la statue qui est la Mienne) lui donne dix garçons.
Si Allah exauçait son souhait, ABDOL-MOTALEB était prêt à offrir un de ses fils en sacrifice, à l'égorger tout simplement.
Si Allah exauçait son souhait, ABDOL-MOTALEB était prêt à offrir un de ses fils en sacrifice, à l'égorger tout simplement.
A l’époque, avoir des filles n’était pas un bon signe pour le peuple du désert d’Arabie. Si cela se produisait, la famille pensait que les Dieux de La MECQUE (les statues dont Allah) ne l’aimeraient pas. Par conséquent, la majeure partie du temps, à la naissance, on enterrait le nouveau-né s’il était de sexe féminin.
Par chance, ABDOL-MOTALEB eu dix garçons. Un jour, il décida donc d’en immoler un à La MECQUE.
Il fit un tirage au sort pour choisir celui qui serait offert à ALLAH et c’est le plus jeune de tous, ABDALLÂH, qui fut désigné. Nous avons vu qu'Abdallâh signifie "l'esclave d'Allah, de cette statue qui est la mienne", le tirage au sort avait ainsi bien fait les choses.
Un matin, après plusieurs jours de préparation, alors que le soleil commençait à donner une couleur dorée au désert, ABDOL-MOTALEB prit la main de son fils le plus cher à ses yeux.
Il se dirigea vers la grande statue « HOBAL » et tout en demandant son autorisation, ABDOL-MOTALEB met à genoux son fils devant deux grandes statues, ASSAF et NAELLE, où le sacrifice devait avoir lieu.
ABDALLÂH était un beau garçon, grand et musclé avec un visage d’ange.
Les autres membres de la tribu du GHOREISH contestèrent ce sacrifice auprès de ABDOL-MOTALEB. Mais ce dernier s'entêtait et disait : « Les Dieux ne vont pas être contents de moi ». Certains lui expliquèrent qu’il pouvait remplacer son fils par une dizaine de chameaux.
Après maintes et maintes consultations, ABDOL-MOTALEB effectua dix nouveaux tirages au sort. Les neuf premiers désignèrent de nouveau ABDALLÂH alors que le dernier livra le nom des chameaux. En conséquence, il devait donc sacrifier 100 chameaux à la place de son fils.
OMOL-GEHETAL, jeune femme très riche et ambitieuse, fille de Monsieur NOFEL de la tribu BANI-ASSAD (les fils du Lion) proposa à ABDOL-MOTALEB de laisser son fils en échange des 100 chameaux….
ABDOL-MOTALEB proposa à alors à son fils ABDALLÂH de se marier avec Mademoiselle AMENE, fille de Monsieur VAHAB.
Abdallâh resta trois jours et trois nuits avec elle puis, il sortit voir les femmes qui avaient participé au sacrifice des 100 chameaux.
Cette histoire de père voulant égorger son fils et de fils échappant à l'immolation fait furieusement penser à la Bible. Quoiqu'il en soit, certains disent qu’ABDALLÂH partit en direction de la Syrie alors que d’autres pensent qu’il resta vivant jusqu’à la naissance de son fils, le futur MAHOMET, et mourut 28 mois après.
Cette histoire de père voulant égorger son fils et de fils échappant à l'immolation fait furieusement penser à la Bible. Quoiqu'il en soit, certains disent qu’ABDALLÂH partit en direction de la Syrie alors que d’autres pensent qu’il resta vivant jusqu’à la naissance de son fils, le futur MAHOMET, et mourut 28 mois après.
Au cours du 24ème anniversaire de la reine du roi perse, ANOU-SHIRWAN, le futur MAHOMET naquît…
ABDOL-MOTALEB (son grand-père) prit le nouveau-né et se précipita vers La MECQUE au pied de l’idole « HOBAL » et pria pour cette naissance. AMENE, la mère du futur Mahomet, ne pouvait pas allaiter son fils, c’est pour cela qu’elle choisit une femme du nom de HALIMA pour qu’elle lui donne le sein. A l’époque, nombreuses étaient les femmes qui ne pouvaient pas donner le sein à leurs enfants. C’est pour cette raison qu’elles demandaient les services de femmes de tribus éloignées pour, en quelque sorte, les remplacer et servir de nourrices. HALIMA, son mari ainsi que son bébé cherchaient une famille riche pour donner le sein à leurs enfants mais le seul nouveau-né restant était le futur MAHOMET, issu d’une famille plutôt modeste.
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Re: L’ Islam Top Secret !
MAHOMET et les extraterrestres
HALIMA s’est occupée du futur MAHOMET pendant plusieurs années mais, du jour au lendemain, elle prit la main du jeune garçon et le ramena chez son grand-père.
Le grand-père, étonné de ce retour, demanda une explication. HALIMA lui dit : « J’ai peur que le Diable soit entré en lui »
AMENE, la mère du futur Mahomet, et le grand-père n’acceptèrent pas cette version. AMENE pour sa part prétendait qu’au moment où elle était enceinte, la lumière du monde était plus lumineuse et elle ne sentait pas le poids dans son ventre. Un jour le fils de HALIMA qui jouait avec le futur MAHOMET, courut chez ses parents et dit : « Deux hommes habillés en blanc ont pris mon frère (le futur MAHOMET ), ils lui ont ouvert le ventre pour y chercher quelque chose". C’est à la suite de cette histoire qu’HALIMA décida de ramener l'enfant à sa famille. Plus tard, devenu adulte et se disant prophète, Mahomet raconta lui-même l’histoire de l’ouverture de son ventre à l’âge de cinq ou six ans.
Un jour, un vieil homme sage de la tribu de BANI-AMER rendit visite à MAHOMET pour l’interviewer ! L’homme sage dit : « Alors MOHAMMAD, dis-moi comment puis-je apprendre plus que je ne sais déjà ? »
MAHOMET répondit : « En continuant à apprendre ! »
L’homme sage reprit : « Quels sont les signes de l’apprentissage ? »
MAHOMET dit : « Chercher et toujours poser la question. »
L’homme sage continua : « Comment va s’étendre le mal ? »
MAHOMET dit : « En insistant ! »
L’homme sage poursuivit : « Le bien peut-il être positif après le mal ? »
MAHOMET dit : « Oui, on peut toujours s’excuser et abandonner le mal vers le bien. »
L’homme sage demanda : « Quel est ton message ? »
MAHOMET dit : « Prier le seul Dieu. »
L’homme sage s'enquit : « Si je fais cela, qu’est-ce que ça m’apportera ? »
MAHOMET dit : « Les jardins éternels avec de l’eau qui coule à tes pieds »
L’homme sage objecta : « Mais ça c’est très bien mais personne ne l’a jamais encore vu et raconté. De ce monde-là, ici et maintenant, que puis-je gagner que je puisse sentir et toucher ? »
MAHOMET dit : « Conquérir le monde, obtenir ses richesses. »
L’homme de la tribu de BANI-AMER accepta de devenir membre de ce mouvement de pensée, il se fit musulman. Alors, il dit à MAHOMET : « Donnes-moi l’origine de cette prophétie ? Les autres prophètes venaient de familles éduquées et riches comme MOISE, grand général de l’armée d’Égypte, JÉSUS, le souvenir du temple de Jérusalem, le grand rabbin, ZACHARIA, ou encore MARIE, une femme de discipline et de pensée…. Mais toi, tu lances ta prophétie parmi les gens du désert qui prient pour les pierres ou les statues. Comment se fait-il ? Et quel est le secret et l’origine de ta prophétie ? »
MAHOMET répondit : « Quand que j’étais un jeune garçon, je n’aimais pas ces statues qui recouvraient La MECQUE. Je n’aimais pas non plus la poésie. Quand j’étais tout petit, je jouais avec mes amis dans une vallée. Trois personnes habillées de blanc qui tenaient une bassine dorée avec une lumière autour de leurs têtes, m’ont approché. Mes amis apeurés ont pris la fuite. De loin, ils criaient: « Le gamin n’est pas comme nous, il vient de la tribu de GHOREISH, il n’a pas de père, il est chez nous pour être allaité. Si vous le tuez, vous ne gagnerez rien ». Mais les trois personnes n’écoutaient pas. Un des trois m’agrippa et m’allongea sur le sol. Il ouvrit mon ventre, de haut en bas, et prit tout ce qu’il contenait, posa le tout dans une bassine avec un produit qui ressemblait à la neige. Après avoir tout lavé et nettoyé, il remit tout à sa place. La deuxième personne s’approcha de moi, sa main pénétra mon corps. Il y sortit mon cœur, il y avait du sang noir qui coulait J’ai pensé qu’il prenait quelque chose de mon cœur. Il avait une bague dorée qui reflétait de la lumière. Il tamponna avec la bague mon cœur et le remit à sa place. Ensuite, la troisième personne se dirigea vers moi, toucha l’ouverture faite par la première personne et la referma. Ils m’embrassèrent et repartirent. Ensuite, j’ai vu ma nourrice et les membres de sa tribu s’approcher de moi, très inquiets. Ma nourrice m’a pris dans ses bras, réjouit que je sois vivant. J’ai pensé que les gens avaient vu toute cette opération alors que non. Ils pensaient que le démon était entré en moi. Je disais, non ça va, je suis conscient, je ne suis pas malade. Mes parents d’adoption étaient du même avis que moi. Mais les membres de la tribu insistaient pour que j’aille chez le grand voyant du désert, Monsieur COHEN pour qu’il m’examine. Alors je suis allé chez lui. Dés qu’il entendit ma version, tel que je viens de te la raconter, il sursauta et cria : « Ola, quelle tristesse pour le peuple arabe, qu’Allah protège le peuple arabe de cette personne. Tuez ce garçon et moi ensuite. Je jure sur la tête de deux grande idoles, LATT et AZZA que si vous le laissez vivant, il détruira votre religion, votre cerveau. Il insultera vos ancêtres, créera la division et vous ramènera une religion que vous n’avez encore jamais vu et entendu parler…. »
Ma nourrice me prit dans ses bras et dit à Monsieur COHEN : « C’est vous qui êtes fou, j’ai eu tord de vous amener mon fils. Vas chercher quelqu’un pour te tuer mais je ne tuerais pas mon fils". A la suite de cette histoire, ma nourrice se trouvait dans l’obligation de me rendre à ma famille.
L’homme de la tribu de BANI-AMER embrassa MAHOMET en lui disant : « Je crois en toi et nous allons conquérir le monde ».
La réponse de Monsieur Cohen fait penser à celle de Zacharie à propos de Jésus "Cet enfant sera source de divisions". (Mathieu XX, XX). La proximité est plus manifeste en tenant compte du fait que "Cohen" signifie "prêtre", ce qu'était Zacharie. Néanmoins, on ne comprend pas très bien comment un Cohen, descendant du grand Petre du Temple de Jérusalem, pouvait dire en "Je jure sur la tête de deux grande idoles, LATT et AZZA"
DJEN en arabe signifie « démon » et le mot « génie » en découle.
Bien sûr, le mot "MADJNOUN" est utilisé pour désigner les personnes qui sont anormales et folles ; néanmoins "fou" en arabe se dit "MAHBOUL", un mot passé dans l'argot français. Donc à l’époque, celui qui prétendait être habité par le démon était qualifié de MADJNOUN. Génie veut également dire "celui qui a un démon (positif ou négatif) en lui" à savoir: "envahi par un DJEN !" De temps en temps, MAHOMET avait une grande fièvre et un mal de tête énorme ; ce qui lui permettait d’avoir des pensées miraculeuses. Certains ont reconnu, dans les signes décrits par Mahomet, des formes de crises d'épilepsie, une maladie qualifiée dans l'Antiquité de "Mal des Dieux".
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Bien sûr, le mot "MADJNOUN" est utilisé pour désigner les personnes qui sont anormales et folles ; néanmoins "fou" en arabe se dit "MAHBOUL", un mot passé dans l'argot français. Donc à l’époque, celui qui prétendait être habité par le démon était qualifié de MADJNOUN. Génie veut également dire "celui qui a un démon (positif ou négatif) en lui" à savoir: "envahi par un DJEN !" De temps en temps, MAHOMET avait une grande fièvre et un mal de tête énorme ; ce qui lui permettait d’avoir des pensées miraculeuses. Certains ont reconnu, dans les signes décrits par Mahomet, des formes de crises d'épilepsie, une maladie qualifiée dans l'Antiquité de "Mal des Dieux".
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Re: L’ Islam Top Secret !
Démons, premiers fidèles de MAHOMET !
Dans le Coran, nous trouvons un verset nommé DJEN (démon) et comme MAHOMET lui-même l’a confirmé, les DJENS furent les premiers à devenir musulmans.
Lorsque MAHOMET prononça l prophétie, il essaya de trouver des alliés en dehors de sa ville natale, La MECQUE. Il savait qu’il allait avoir des problèmes avec sa tribu, c’est pour cela qu’il chercha un refuge à l’extérieur. Comme MAHOMET l’a raconté, un jour, il sortit négocier avec un village proche de La MECQUE. La négociation ne lui permit pas d’ouvrir un bureau officiel ou une succursale de son mouvement dans son village. Il reprit donc la route de sa ville natale. La veille de son arrivée, il fut interpellé par un groupe de démons (DJEN). Il les informa qu’il était le prophète d’ALLAH, de la statue qui est la mienne. Les DJENS le crurent et l’acceptèrent comme prophète. MAHOMET a donc commencé à faire sa première prière en groupe avec eux.
A l’époque d’OMAR, 2ème calife, un voyant arabe (marabout) lui rendit visite. OMAR lui demanda s’il était toujours voyant et s’il avait des contacts avec les démons. Il répondit positivement. OMAR lui demanda donc si ses démons l’avaient informé de la prophétie de MAHOMET . L’arabe dit « oui » et continua : « Un mois ou un an avant la proclamation de l’Islam par MOHAMMAD, mon démon est venu me voir en me disant : Tu ne vois pas que le monde va changer ? Et un nouveau prophète va arriver. »
Cette histoire se retrouve évidemment dans le Coran. Il s'agit de la Sourate 72, intitulée "AL-JINN" (LES DJINNS)et que l'on date d'avant l' Hégire. Cette sourate comprend 28 versets que nous reproduits ci-dessous :
"Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
1. Dis : «Il m'a été révélé, qu'un groupe de Djens (démons) prêtèrent l'oreille, puis dirent : «Nous avons certes entendu une Lecture [le Coran] merveilleuse,
2. qui guide vers la droiture. Nous y avons cru, et nous n'associerons jamais personne à notre Seigneur.
3. En vérité notre Seigneur - que Sa grandeur soit exaltée - ne S'est donné ni compagne, ni enfant !
4. Notre insensé [Iblis] disait des extravagances contre Allah.
5. Et nous pensions que ni les humains ni les djinns ne sauraient jamais proférer de mensonge contre Allah.
6. Or, il y avait parmi les humains, des mâles qui cherchaient protection auprès des mâles parmi les Djens (démons) mais cela ne fît qu'accroître leur détresse.
7. Et ils avaient pensé comme vous avez pensé qu'Allah ne ressusciterait jamais personne.
8. Nous avions frôlé le ciel et Nous l'avions trouvé plein d'une forte garde et de bolides.
9. Nous y prenions place pour écouter. Mais quiconque prête l'oreille maintenant, trouve contre lui un bolide aux aguets.
10. Nous ne savons pas si on veut du mal aux habitants de la terre ou si leur Seigneur veut les mettre sur le droit chemin.
11. Il y a parmi nous des vertueux et [d'autre] qui le sont moins : nous étions divisés en différentes sectes.
12. Nous pensions bien que nous ne saurions jamais réduire Allah à l'impuissance sur la terre et que nous ne saurions jamais le réduire à l'impuissance en nous enfuyant.
13. Et lorsque nous avons entendu le guide [le Coran], nous y avons cru, et quiconque croit en son Seigneur ne craint alors ni diminution de récompense ni oppression.
14. Il y a parmi nous les Musulmans, et il y en a les injustes [qui ont dévié]. Et ceux qui se sont convertis à l'Islam sont ceux qui ont cherché la droiture.
15. Et quant aux injustes, ils formeront le combustible de l'Enfer.
16. Et s'ils se maintenaient dans la bonne direction, Nous les aurions abreuvés, certes d'une eau abondante,
17. afin de les y éprouver. Et quiconque se détourne du rappel de son Seigneur, Il l'achemine vers un châtiment sans cesse croissant.
18. Les mosquées sont consacrées à Allah : n'invoquez donc personne avec Allah.
19. Et quand le serviteur d'Allah s'est mis debout pour L'invoquer, ils faillirent se ruer en masse sur lui.
20. Dis : «Je n'invoque que mon Seigneur et ne Lui associe personne».
21. Dis : «Je ne possède aucun moyen pour vous faire du mal, ni pour vous mettre sur le chemin droit».
22. Dis : «Vraiment, personne ne saura me protéger contre Allah; et jamais je ne trouverai de refuge en dehors de Lui.
23. [Je ne puis que transmettre] une communication et des messages [émanant] d'Allah. Et quiconque désobéit à Allah et à son Messager aura le feu de l'Enfer pour y demeurer éternellement.
24. Puis, quand ils verront ce dont on les menaçait, ils sauront lesquels ont les secours les plus faibles et [lesquels] sont les moins nombreux.
25. Dis : «Je ne sais pas si ce dont vous êtes menacés est proche, ou bien, si mon Seigneur va lui assigner un délai.
26. [C'est Lui] qui connaît le mystère. Il ne dévoile Son mystère à personne,
27. sauf à celui qu'Il agrée comme Messager et qu'Il fait précéder et suivre de gardiens vigilants,
28. afin qu'Il sache s'ils ont bien transmis les messages de leur Seigneur. Il cerne (de Son savoir) ce qui est avec eux, et dénombre exactement toute chose».
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Re: L’ Islam Top Secret !
Voyage vers l’espace de MAHOMET
Un jour, MAHOMET informa ses fidèles qu’il avait effectué un voyage spatial la nuit dernière.
DOLDOL, son cheval ailé préféré, était son vaisseau.L’archange GABRIEL était venu le voir pour l’informer qu’ALLAH l’invitait à visiter le ciel à sept étages. Il monta donc sur son cheval et à chaque étage, il fut guidé par ALLAH lui-même et l’archange GABRIEL. Dans ce voyage, il visita le paradis, l’enfer et l’espace où se trouvait les personnes placées en file d’attente pour entrer soit au paradis ou en enfer.
Jusqu’au 6ème étage, l’archange GABRIEL accompagna MAHOMET , mais, il ne pouvait pas se rendre dans le 7ème car il risquait de se brûler les ailes. L’archange GABRIEL dit à MAHOMET : « Je te laisse ici entre les mains d’ALLAH où je n’ai pas l’accès. »
DOLDOL, son cheval ailé préféré, était son vaisseau.L’archange GABRIEL était venu le voir pour l’informer qu’ALLAH l’invitait à visiter le ciel à sept étages. Il monta donc sur son cheval et à chaque étage, il fut guidé par ALLAH lui-même et l’archange GABRIEL. Dans ce voyage, il visita le paradis, l’enfer et l’espace où se trouvait les personnes placées en file d’attente pour entrer soit au paradis ou en enfer.
Jusqu’au 6ème étage, l’archange GABRIEL accompagna MAHOMET , mais, il ne pouvait pas se rendre dans le 7ème car il risquait de se brûler les ailes. L’archange GABRIEL dit à MAHOMET : « Je te laisse ici entre les mains d’ALLAH où je n’ai pas l’accès. »
Durant ce voyage, MAHOMET rendit ainsi visite à :
ADAM sans EVE, au premier étage.
Saint-Jean le Baptiste (YAH-YA en arabe) et JESUS, au second.
Le très beau JOSEPH (mais, comme Eve, ZOLEKHA, la femme du pharaon, n’était pas là non plus) au troisième étage.
Dans le quatrième étage, l’archange GABRIEL lui présente Monsieur ADRIS.
Au cinquième, AARON, le frère de Moise et l'ancêtre de tous les Cohen du monde.
Au sixième et avant dernier étage, il fit la connaissance de MOISE. A chacune de ses rencontres, MAHOMET découvrit les différents personnages. Enfin, au septième étage, il tomba nez à nez avec ABRAHAM et visita le paradis.
Là-bas, il trouva une rivière de lait qui avait le goût de miel et la terre n’était que parfum. Lors de son entrevue avec ALLAH, MAHOMET se vit imposer cinquante prières par jour pour lui et son peuple. Il accepta. En retournant sur Terre, au moment de dire adieu à MOISE, ce dernier lui demanda ce qu’ALLAH lui avait imposé. Il répondit "cinquante prières par jours". MOISE lui signifia que c’était vraiment beaucoup trop et qu’il devait revenir devant ALLAH pour lui demander de réduire le nombre de prières. MAHOMET s’exécuta et à son retour, ALLAH lui retira 10 prières. Ce ne fut pas assez au goût de MOISE qui lui dit d’aller derechef consulter ALLAH. MAHOMET y alla donc à cinq reprises et obtint ainsi cinq prières par jour. MOISE continua à le pousser mais MAHOMET lui répondit que cela suffisait et qu’il n’y retournerait plus. Il continua : « ALLAH qui ne change jamais d’avis m’a baissé de dix fois le nombre réel de prières à faire alors je ne le dérangerais plus".
Là-bas, il trouva une rivière de lait qui avait le goût de miel et la terre n’était que parfum. Lors de son entrevue avec ALLAH, MAHOMET se vit imposer cinquante prières par jour pour lui et son peuple. Il accepta. En retournant sur Terre, au moment de dire adieu à MOISE, ce dernier lui demanda ce qu’ALLAH lui avait imposé. Il répondit "cinquante prières par jours". MOISE lui signifia que c’était vraiment beaucoup trop et qu’il devait revenir devant ALLAH pour lui demander de réduire le nombre de prières. MAHOMET s’exécuta et à son retour, ALLAH lui retira 10 prières. Ce ne fut pas assez au goût de MOISE qui lui dit d’aller derechef consulter ALLAH. MAHOMET y alla donc à cinq reprises et obtint ainsi cinq prières par jour. MOISE continua à le pousser mais MAHOMET lui répondit que cela suffisait et qu’il n’y retournerait plus. Il continua : « ALLAH qui ne change jamais d’avis m’a baissé de dix fois le nombre réel de prières à faire alors je ne le dérangerais plus".
Bien entendu, toute cette histoire également se retrouve dans le Coran et plus précisément dans la sourate 17 que l'on date d'avant l'Hégire et dont le titre AL-ISRAsignifie "un voyage nocturne vers l’espace". Cette sourate comprend 111 versets. Du versets 1 à 14, on peut lire :
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
1. Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée Al-Haram à la Mosquée Al-Aqsa (Jérusalem) dont Nous avons béni l'alentours, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est Lui, vraiment, qui est l'Audient, le Clairvoyant.
2. Et Nous avions donné à Moïse le Livre dont Nous avions fait un guide pour les Enfants d'Israël : «Ne prenez pas de protecteur en dehors de Moi».
3. [Ô vous], les descendants de ceux que Nous avons transportés dans l'arche avec Noé. Celui-ci était vraiment un serviteur fort reconnaissant.
4. Nous avions décrété pour les Enfants d'Israël, (et annoncé) dans le Livre : «Par deux fois vous sèmerez la corruption sur terre et vous allez transgresser d'une façon excessive».
5. Lorsque vint l'accomplissement de la première de ces deux [prédictions,] Nous envoyâmes contre vous certains de Nos serviteurs doués d'une force terrible, qui pénétrèrent à l'intérieur des demeures. Et la prédiction fut accomplie.
6. Ensuite, Nous vous donnâmes la revanche sur eux; et Nous vous renforçâmes en biens et en enfants. Et Nous vous fîmes [un peuple] plus nombreux :
7. «Si vous faites le bien, vous le faites à vous-mêmes; et si vous faites le mal, vous le faites à vous [aussi]». Puis, quand vint la dernière [prédiction,] ce fut pour qu'ils affligent vos visages et entrent dans la Mosquée comme ils y étaient entrés la première fois, et pour qu'ils détruisent complètement ce dont ils se sont emparés.
8. Il se peut que votre Seigneur vous fasse miséricorde. Mais si vous récidivez, Nous récidiverons. Et Nous avons assigné l'Enfer comme camp de détention aux infidèles.
9. Certes, ce Coran guide vers ce qu'il y a de plus droit, et il annonce aux croyants qui font de bonnes œuvres qu'ils auront une grande récompense,
10. et à ceux qui ne croient pas en l'au-delà, que Nous leur avons préparé un châtiment douloureux.
11. L'homme appelle le mal comme il appelle le bien, car l'homme est très hâtif.
12. Nous avons fait de la nuit et du jour deux signes, et Nous avons effacé le signe de la nuit, tandis que Nous avons rendu visible le signe du jour, pour que vous recherchiez des grâces de votre Seigneur, et que vous sachiez le nombre des années et le calcul du temps. Et Nous avons expliqué toute chose d'une manière détaillée.
13. Et au cou de chaque homme, Nous avons attaché son œuvre. Et au Jour de la Résurrection, Nous lui sortirons un écrit qu'il trouvera déroulé :
14. «Lis ton écrit. Aujourd'hui, tu te suffis d'être ton propre comptable».
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Re: L’ Islam Top Secret !
Première femme de MAHOMET
Madame KHADIJEH était une femme d’affaire qui manageait une grande société anonyme de commerce international.
Elle gérait plusieurs caravanes qui traversaient la péninsule d’Arabie, la Syrie, la Perse, Babylone, l’Egypte, l’Ethiopie. Beaucoup de gens riches confiaient leurs capitaux à Madame KHADIJEH pour qu’elle les fasse fructifier. Elle avait également des hôtels qui étaient des centres d’hébergements avec des tentes.
La MECQUE étant l’une des villes de la péninsule d’Arabie la plus proche de la Mer Rouge, c’était donc un endroit stratégique pour l’économie. Madame KHADIJEH avait épousé deux personnes très riches avant de devenir la première femme de MONSIEUR MAHOMET, Messieurs ABOHALE et ATIGH.
Ces derniers possédaient beaucoup de biens et lorsqu’ils moururent, c’est Madame KHADIJEH qui hérita de tout. Alors que MONSIEUR MAHOMET avait juste une vingtaine d’années et Madame KHADIJEH environ la quarantaine, néanmoins ils se marièrent, suite à une fructueuse collaboration économique. MONSIEUR MAHOMET en effet avait dirigé quelques caravanes en voyageant en Syrie, en Egypte, en Perse, en Inde ou encore au Cachemire. Il avait donc la confiance de Madame KHADIJEH laquelle, par ailleurs, était d’une famille chrétienne. Elle même se disait très croyante.
Elle gérait plusieurs caravanes qui traversaient la péninsule d’Arabie, la Syrie, la Perse, Babylone, l’Egypte, l’Ethiopie. Beaucoup de gens riches confiaient leurs capitaux à Madame KHADIJEH pour qu’elle les fasse fructifier. Elle avait également des hôtels qui étaient des centres d’hébergements avec des tentes.
La MECQUE étant l’une des villes de la péninsule d’Arabie la plus proche de la Mer Rouge, c’était donc un endroit stratégique pour l’économie. Madame KHADIJEH avait épousé deux personnes très riches avant de devenir la première femme de MONSIEUR MAHOMET, Messieurs ABOHALE et ATIGH.
Ces derniers possédaient beaucoup de biens et lorsqu’ils moururent, c’est Madame KHADIJEH qui hérita de tout. Alors que MONSIEUR MAHOMET avait juste une vingtaine d’années et Madame KHADIJEH environ la quarantaine, néanmoins ils se marièrent, suite à une fructueuse collaboration économique. MONSIEUR MAHOMET en effet avait dirigé quelques caravanes en voyageant en Syrie, en Egypte, en Perse, en Inde ou encore au Cachemire. Il avait donc la confiance de Madame KHADIJEH laquelle, par ailleurs, était d’une famille chrétienne. Elle même se disait très croyante.
Monsieur MEYSSARE, était l’un des amis de MONSIEUR MAHOMET. Il l’accompagnait lors de ses sorties avec les caravanes. Il se trouvait qu’il était également l’homme de confiance de Madame KHADIJEH. Un jour, en rentrant de Syrie, il relata une histoire sur MONSIEUR MAHOMET qui attira l’attention de Madame KHADIJEH. MEYSSARE raconta que lors d’un arrêt avec sa caravane, il était rentré dans une église alors que MONSIEUR MAHOMET resta, lui, dehors. A sa sortie, accompagné de l’archevêque de BOSSRA, tous deux regardèrent MONSIEUR MAHOMET allongé à l’ombre d’un palmier. L’archevêque demanda : « Qui est cet homme ? ». MEYSSARE répondit : « Un homme membre de la tribu de GHOREISH venant de La MECQUE".
Lors d’une discussion, l’archevêque déclara que MAHOMET était un homme désigné des dieux. Quand Madame KHADIJEH entendit la version de MEYSSARE, elle désira encore plus MONSIEUR MAHOMET. Elle s’empressa donc d’envoyer un messager lui dire : « Mon cousin, à cause de nos liens familiaux, ton honnêteté, ta franchise et ta volonté de bien faire, je te désire ». Elle lui fit également savoir qu’elle serait à sa disposition.
Même si Madame KHADIJEH était la femme la plus riche de la péninsule d’Arabie, elle avait toutefois besoin de l’autorisation de son père, Monsieur KHOULID pour se marier. Néanmoins recevant une multitude de demandes de la part d’hommes riches et respectueux, elle était consciente que son père n’accepterait pas son l'union Madame KHADIJEH élabora alors toute une mise en scène pour épouser MONSIEUR MAHOMET. Elle organisa une fête au cours de laquelle elle égorgea une vache. Pendant cette fête, elle fit boire du vin à son père de telle sorte qu’il soit saoul. Une fois arrivée à ses fins, elle habilla son père élégamment et le couvrit de parfum. Le lendemain, elle dit à son père qu’il l’avait marié à MONSIEUR MAHOMET la nuit passée. Monsieur KHOULID nia. Il signifia à sa fille que jamais au grand jamais, il n’aurait permis cette union : « Les plus grands et les plus riches hommes de GHOREISH ont demandé ta main et j’ai toujours refusé, comment se fait-il que j’ai accepté que MOHAMMAD, un orphelin et pauvre de surcroît, devienne mon gendre".
Mais la nuit dernière, le mariage avait été célébré et la contestation de Monsieur KHOULID n’y faisait rien. MONSIEUR MAHOMET devint ainsi le mari d’une femme très riche. Il pouvait donc financer toutes les choses qu’il désirait faire afin de devenir quelqu’un d'important; comme il le rêva déjà à l’âge de 5 ou 6 ans (l’histoire vue précédemment du tampon sur son cœur par les extraterrestres).
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Re: L’ Islam Top Secret !
MAHOMET : de MADJNOUN vers la PROPHÉTIE
Comme il l’avait dit à plusieurs reprises et nous pouvons le constater dans le Coran, MAHOMET n’aimait pas les poètes et la poésie. Pourtant à l’époque, dans la péninsule d’Arabie, la première richesse des intellectuels était la poésie. Toute la gravité de cette question a été mise en évidence par l'écrivain algérien Amin Zaoui dans une remarquable ouvrage.
Il y avait à la Mecque, comme aujourd'hui à Londres, une sorte de Highpark où tous les vendredis, la population se rendait. C’était un bazar nommé AKKAZ où chacun pouvait lire des poèmes, donner des discours ou tout simplement écouter. MAHOMET, parmi les orateurs, en appréciait un tout particulièrement du fait de ses élégants discours. Mais la poésie ne constituait pas son domaine de prédilection et lui n’était pas un très bon tribun. Il préféra donc devenir un thérapeute, le Docteur MAHOMET, ou plus précisément un MADJNOUN qui soignait les personnes atteintes d’épilepsie ou celles possédées par les démons. Femme croyante et religieuse Madame KHADIJEH, n’aimait pas que son mari exerce la profession de MADJNOUN et ait des pensées ou des contacts avec les démons. Or plusieurs fois, MAHOMET fut pris d’une fièvre avec un mal de tête énorme. Dans le Coran, à plusieurs reprises, il est du reste signalé que les gens prétendirent que MONSIEUR MAHOMET était un MADJNOUN :
a) Sourate 68 AL-QALAM (LA PLUME):
51. Peu s'en faut que ceux qui mécroient ne te transpercent par leurs regards, quand ils entendent le Coran, ils disent : «Il est certes fou (MADJNOUN) ! »
b) Sourate 37 SAFFAT (Les RANGÉES):
36. et disaient : «Allons-nous abandonner nos divinités pour un poète fou ? »
c) Sourate 44 AD-DUKHAN (LA FUMEE):
14. Puis ils s'en détournèrent en disant : «C'est un homme instruit MADJNOUN [par d'autres], un possédé».
d) Sourate 12 YUSUF (JOSEPH):
3. Nous te racontons le meilleur récit, grâce à la révélation que Nous te faisons dans le Coran même si tu étais auparavant du nombre des inattentifs .
Un jour cependant, comme le lecteur attentif peut le retrouver dans le Coran lui-même, cette idée de MADJNOUN fut abandonnée et Monsieur Mahomet devint "avertisseur".
Cette évolution peut s'apprécier à la lecture de la Sourate 74 AL-MUDDATTIR (LE REVÊTU D'UN MANTEAU). Datée d'avant l'hégire, elle contient 56 versets.
Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
1. Ô, toi (Muhammad) ! Le revêtu d'un manteau !
2. Lève-toi et avertis.
3. Et de ton Seigneur, célèbre la grandeur.
4. Et tes vêtements, purifie-les.
5. Et de tout péché, écarte-toi.
6. Et ne donne pas dans le but de recevoir davantage.
7. Et pour ton Seigneur, endure.
8. Quand on sonnera du Clairon,
9. alors, ce jour-là sera un jour difficile,
10. pas facile pour les mécréants.
11. Laisse-Moi avec celui que J'ai créé seul,
12. et à qui J'ai donné des biens étendus,
13. et des enfants qui lui tiennent toujours compagnie,
14. pour qui aussi J'ai aplani toutes difficultés.
15. Cependant, il convoite [de Moi] que Je lui donne davantage.
16. Pas du tout ! Car il reniait nos versets (le Coran) avec entêtement.
17. Je vais le contraindre à gravir une pente.
18. Il a réfléchi. Et il a décidé.
19. Qu'il périsse ! Comme il a décidé !
20. Encore une fois, qu'il périsse; comme il a décidé !
21. Ensuite, il a regardé.
22. Et il s'est renfrogné et a durci son visage.
23. Ensuite il a tourné le dos et s'est enflé d'orgueil.
24. Puis il a dit : «Ceci (le Coran) n'est que magie apprise
25. ce n'est là que la parole d'un humain».
26. Je vais le brûler dans le Feu intense (Saqar).
27. Et qui te dira ce qu'est Saqar ?
28. Il ne laisse rien et n'épargne rien"
Alors qu'elle essayait d’éloigner son mari de la pensée des extraterrestres, des démons et des MADJNOUN, Madame KHADIJEH le présenta à son oncle, un cardinal en Arabie, résidant à La MECQUE. Cet ecclésiastique forma MONSIEUR MAHOMET au christianisme, lequel abjurera son activité de MADJNOUN officiellement avec le verset 51 de la sourate 68 (La plume) vue précédemment et reprise ici : « Peu s’en faut que ceux qui mécroient ne te transpercent par leurs regards, quand ils entendent la parole, ils disent : « Il est certes MADJNOUN ! ».
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Re: L’ Islam Top Secret !
L’ISLAM réservé pour La MECQUE et les arabes
Dés que la prophétie fut annoncée, MAHOMET prétendit être le prophète de La MECQUE, de tout ce qui l’entoure et des gens qui parlent arabe.
Dans le verset 4 de la sourate « IBRAHIM », nous lisons qu’ALLAH lui même dit : « Nous n’envoyons des prophètes qu’à la langue de chaque peuple. »
Le verset 92 de la sourate « AL-ANNAM » précise que MAHOMET est prophète d’OMOLGHORA (La MECQUE) et de ses banlieues. Une précision que nous retrouvons dans le verset 7 de la sourate « AL-RAAD ».Mais, comme cela se produit bien ou trop souvent, après avoir goûté à la richesse et au pouvoir, certains principes de départ furent abandonnés. Et, à coup sûr, les avis changèrent !
Comme de bien entendu, les autres peuples durent non seulement oublier mais enterrer leurs langues et leurs civilisations anciennes afin de devenir à leur tour arabophones ; sans aucun doute pour justifier le verset 4 de la sourate « EBRAHIM » citée plus haut.
Aujourd’hui beaucoup de pays d'Asie comme la Turquie ou l’Iran, mon pays natal, le Pakistan, l’Afghanistan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, dont la majorité de la population est musulmane, ne sont pas arabophones. Ils parlent en langue perse ou en langues avestiques.
Mais d'autres grandes cultures (berbère, syrienne, phénicienne ou babylonienne) et d'autres grands pays comme l’Egypte, ont oublié et abandonné leurs langues et leurs héritages respectifs pour devenir arabophones.
Ajoutons qu'il est assez difficile de comprendre comment une mission (celle de Mahomet) circonscrite à une zone géographique bien précise (La Mecque et ses environs), limitée à une population particulière (les Arabes païens) puisse être présentée, par ses adeptes et en contradiction avec le Coran, comme ayant vocation à embrasser l'humanité entière.
Ajoutons qu'il est assez difficile de comprendre comment une mission (celle de Mahomet) circonscrite à une zone géographique bien précise (La Mecque et ses environs), limitée à une population particulière (les Arabes païens) puisse être présentée, par ses adeptes et en contradiction avec le Coran, comme ayant vocation à embrasser l'humanité entière.
Les ancêtres du prophète de l'Islam : les portiers de la maison des idoles
Le cinquième ancêtre de Mahomet, Ghassi fils de Kalab, était un personnage fin et intelligent. Il paraît que le prophète de l'Islam a hérité de son ingéniosité et de son intelligence. Ghassi Ibn Kalab s'empara du leadership des Quoriche, et de la responsabilité de la Kaaba, de façon habile, par un coup d'Etat expéditif.
Comme les deux grands historiens d'islam, Ibn Hécham et Tabari, l'écrivent, le nom de Ghassa était d'abord Zéid ; puis, ayant dès son enfance été élevé chez un homme nommé Rabiéh, il prit le nom de Ghassa. Il faut redire que les ancêtres de Mahomet, tout comme lui, étaient pour la plupart orphelins et aucun d'entre eux n'avait grandi chez ses véritables parents. Le fils de Ghassa, qui s'appelait Abdé Menaf ainsi que ses propres enfants, Hashem, Abd al Mottaléb, Abd Allah et Mahomet (le fondateur d'islam), avaient tous été élevés loin de leurs familles parentales.
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Re: L’ Islam Top Secret !
L'ancêtre du prophète avait acheté la Kaaba au prix d'une outre de vin !
Comment le cinquième ancêtre de Mahomet se chargea-t-il du patronage de la Kaaba ?
Ghassa, qui avait été élevé chez un certain Rabiéh, sur le territoire de Ghasaéh, partit, à l'âge de l'adolescence, pour accomplir le pèlerinage à la Mecque ; un pèlerinage qui existe depuis bien avant l'islam Dans cette ville, il coucha avec la fille du cheikh Khasaï qui était le portier de la Kaaba, se maria avec elle et quatre enfants naquirent de leur union.
Il les prénomma comme lui en leur adjoignant le nom de la Kaaba elle-même ainsi que ceux de deux des idoles de la Kaaba. Cela donna donc : Abd al Dar (esclave de la Kaaba) ; Abd é Manaf (esclave de la belle idole des Quoriche Manaf), qui est le quatrième ancêtre de Mahomet ; Abd al Osâ (esclave de l'idole Osâ). Nous en parlerons davantage de cette idole, dont le nom est cité dans le Coran, lorsque nous expliquerons les fameux versets Gharanigh (les versets sataniques qui valurent tant d'ennuis à notre amis Slamn Rushdie). Et enfin, le quatrième enfant Abd é Ghassa (esclave de Ghassa), qui est le nom du cinquième ancêtre de Mahomet.
Au moment de sa mort, Cheikh Khasaï, confia la garde des clés de la Kaaba à sa fille, l'épouse de Ghassa et chargea un certain Abo Ghabchan d'aider celle-ci à l'ouverture et à la fermeture des portails de la Kaaba. Les clés étaient donc entre les mains d'Abou Ghabshan, mais symboliquement, la responsabilité de la Kaaba était en fait confiée à Habi, fille de cheikh Khasaï et épouse de Ghassa.
Ghassa, qui avait été élevé chez un certain Rabiéh, sur le territoire de Ghasaéh, partit, à l'âge de l'adolescence, pour accomplir le pèlerinage à la Mecque ; un pèlerinage qui existe depuis bien avant l'islam Dans cette ville, il coucha avec la fille du cheikh Khasaï qui était le portier de la Kaaba, se maria avec elle et quatre enfants naquirent de leur union.
Il les prénomma comme lui en leur adjoignant le nom de la Kaaba elle-même ainsi que ceux de deux des idoles de la Kaaba. Cela donna donc : Abd al Dar (esclave de la Kaaba) ; Abd é Manaf (esclave de la belle idole des Quoriche Manaf), qui est le quatrième ancêtre de Mahomet ; Abd al Osâ (esclave de l'idole Osâ). Nous en parlerons davantage de cette idole, dont le nom est cité dans le Coran, lorsque nous expliquerons les fameux versets Gharanigh (les versets sataniques qui valurent tant d'ennuis à notre amis Slamn Rushdie). Et enfin, le quatrième enfant Abd é Ghassa (esclave de Ghassa), qui est le nom du cinquième ancêtre de Mahomet.
Au moment de sa mort, Cheikh Khasaï, confia la garde des clés de la Kaaba à sa fille, l'épouse de Ghassa et chargea un certain Abo Ghabchan d'aider celle-ci à l'ouverture et à la fermeture des portails de la Kaaba. Les clés étaient donc entre les mains d'Abou Ghabshan, mais symboliquement, la responsabilité de la Kaaba était en fait confiée à Habi, fille de cheikh Khasaï et épouse de Ghassa.
Selon les historiens musulmans Ibn Hécham et Tabari, Ghassa enivra Abou Ghabchan et lui acheta les clés de la Kaaba au prix d'une outre de vin et d'un bois d'aloès.
Il chassa ensuite les Khasaites (la famille de Khasaï) de la Kaaba, y fit entrer sa propre tribu et, après réalisation de transformations importantes dans l'affaire, il fit de la Kaaba une source fructueuse de revenus pour lui-même. Il unifia ensuite la tribu Quoriche et en devint le chef.
Cet épisode ignoré par la majorité des Musulmans et néanmoins connu des érudits comme en témoigne le texte ci-dessous extrait du Tarikh Al Kabir ; pages 809-810:
Il chassa ensuite les Khasaites (la famille de Khasaï) de la Kaaba, y fit entrer sa propre tribu et, après réalisation de transformations importantes dans l'affaire, il fit de la Kaaba une source fructueuse de revenus pour lui-même. Il unifia ensuite la tribu Quoriche et en devint le chef.
Cet épisode ignoré par la majorité des Musulmans et néanmoins connu des érudits comme en témoigne le texte ci-dessous extrait du Tarikh Al Kabir ; pages 809-810:
" Ghassa parla avec les Quoriche de Bani Kananéh dans le dessein de chasser Khasaé et Bani Bakre, et dès qu'ils eurent accepté sa proposition et se furent engagés dans ce but, il contacta son frère du côté maternel, Rasâh, qui vivait à Ghasaéh, et lui demanda de l'aide. Rasâh appela les habitants de Ghasaéh (qui vivaient loin de la Mecque) pour aider son frère. Ce qu'ils acceptèrent.... Ghassa devint alors le responsable des affaires de la Kaaba, et appela sa tribu vers la Mecque, puis en devint lui-même le gouvernant. Sa tribu lui obéissant, il posséda dès lors la charge de la Kaaba, de l'eau potable, [Réfadate], de l'assemblée, de l'étendard, et toute la dignité de la Mecque, lui fut dès lors acquise."
Il est intéressant de noter comment Mahomet tendit, quatre générations plus tard, et à l'instar de son cinquième ancêtre, à s'emparer du leadership et de la direction de sa tribu, au moyen d'une nouvelle méthode. Or, après Ghassa, ce furent ses gendres qui se chargèrent de poursuivre la responsabilité de leur beau-père. Mais leur ambition ainsi que leur soif de pouvoir firent surgir des querelles intempestives entre eux.
Même après l'islam, les guerres entre Arabes se produisirent.
Elles furent la suite des ambitieuses controverses internes et pré-islamiques de leurs ancêtres. En effet, les "Bani Hachéme", dont Mahomet fit partie, et les " Bani •maïéh ", se disputèrent pour dominer la Kaaba, leur propre tribu et les Arabes. La tribu des "Bani •maïéh " dont Abou Sofïan, Moâvïéh et •ssmân, concurrents politiques de Mahomet et de sa fille Fatima, furent tous les gendres de Ghassi, fils de Kélabe.
On sait également que la Kaaba était à l'époque, de même qu'aujourd'hui, similaire à une chapelle de Saints, où les habitants des quatre coins de la péninsule arabique venaient faire le pèlerinage. La seule différence entre aujourd'hui et hier réside dans le fait qu'à l'époque, le nombre des pèlerins était limité et très bas, et que l'on adorait ouvertement des idoles, alors qu'aujourd'hui, des millions de musulmans venus du monde entier se rassemblent chaque année à la Mecque pour tourner autour de la Kaaba au nom d'Allah, au nom de "cette statue qui est la mienne" et versent des milliards de dollars dans la poche de l'Arabie Saoudite. Ainsi, tout comme hier, la Kaaba est restée une maison d'idolâtres qui rapporte des rentes considérables à ses gardiens.
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Même après l'islam, les guerres entre Arabes se produisirent.
Elles furent la suite des ambitieuses controverses internes et pré-islamiques de leurs ancêtres. En effet, les "Bani Hachéme", dont Mahomet fit partie, et les " Bani •maïéh ", se disputèrent pour dominer la Kaaba, leur propre tribu et les Arabes. La tribu des "Bani •maïéh " dont Abou Sofïan, Moâvïéh et •ssmân, concurrents politiques de Mahomet et de sa fille Fatima, furent tous les gendres de Ghassi, fils de Kélabe.
On sait également que la Kaaba était à l'époque, de même qu'aujourd'hui, similaire à une chapelle de Saints, où les habitants des quatre coins de la péninsule arabique venaient faire le pèlerinage. La seule différence entre aujourd'hui et hier réside dans le fait qu'à l'époque, le nombre des pèlerins était limité et très bas, et que l'on adorait ouvertement des idoles, alors qu'aujourd'hui, des millions de musulmans venus du monde entier se rassemblent chaque année à la Mecque pour tourner autour de la Kaaba au nom d'Allah, au nom de "cette statue qui est la mienne" et versent des milliards de dollars dans la poche de l'Arabie Saoudite. Ainsi, tout comme hier, la Kaaba est restée une maison d'idolâtres qui rapporte des rentes considérables à ses gardiens.
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Re: L’ Islam Top Secret !
L’érudition secrète de Mahomet
- eaux salées / eaux douces Epopée de Gilgamesh
"Etre Omi" relatif à Mahomet
Le fondateur de l'Islam, orphelin du désert de l'Arabie, qui commença sa lutte politico-idéologique avec le slogan "Il n'y a de dieu qu'Allah", pu, après quelques années, unifier les Arabes païens et mettre à genoux les puissants de son temps. Certains voit dans cette incontestable épopée la confirmation que le fondateur de l'Islam est bien l'ultime prophète promis aux hommes ; d'autant que, selon eux, Mahomet était un ignorant, en arabe, omi
Mais ceux qui interprètent "être Omi", attribué au fondateur de l'islam, comme une marque d'analphabétisme, se trompent gravement.
Pendant l'obscurantisme arabe, ce mot qualifiait ceux qui n'étaient pas des "Gens de livre".
Par opposition donc aux Juifs, aux Chrétiens, aux Zoroastriens, aux Manichéens, qui, eux, eurent leurs livres révélés, on appelait alors "Omï", les tribus et les peuplades ignorantes et primitives, dépourvues de prophètes et de révélations. De même que l'on appelle depuis toujours la période d'avant Mahomet "la période de l'obscurantisme".
C'est pour cette raison que l'on trouve dans le Coran : "Nous avons choisi un prophète parmi les Omïion". Ce qui veut dire qu'à côté du Prophète lui-même, tous les membres de sa tribu également étaient des Omi, car dans beaucoup de versets coraniques est employé le mot "Omïion", le pluriel d'Omi. Or ces derniers n'étaient pas des incultes et des illettrés comme en atteste une très riche poésie arabe d'avant l'islam dont Amin Zaoui a la nostalgie.
Le fondateur de l'Islam faisait donc partie de ceux qui n'avaient jamais reçu de prophètes ni de livres.
Le mot "omi" doit donc se comprendre dans un sens comparable au mot "païen" de la théologie chrétienne ou au mot "gentil" ou "goy" de la terminologie juive. Le mot "omi" ne doit pas se traduire "analphabète", "illettré". Enfin, du point de vue - non scientifique - des filiations corano-bibliques, le fondateur de l'islam descendait d'Ismaël, alors que tous les prophètes israélites et même Jésus descendaient d'Isaac, le fils unique d'Abraham et de Sara. Le prophète de l'Islam est issu de Hadjar, la servante de Sara et l'épouse [la camarade de lit]d'Abraham, le père d'Ismaël ; il est donc le seul à être issu d'une génération d'esclaves.
Par opposition donc aux Juifs, aux Chrétiens, aux Zoroastriens, aux Manichéens, qui, eux, eurent leurs livres révélés, on appelait alors "Omï", les tribus et les peuplades ignorantes et primitives, dépourvues de prophètes et de révélations. De même que l'on appelle depuis toujours la période d'avant Mahomet "la période de l'obscurantisme".
C'est pour cette raison que l'on trouve dans le Coran : "Nous avons choisi un prophète parmi les Omïion". Ce qui veut dire qu'à côté du Prophète lui-même, tous les membres de sa tribu également étaient des Omi, car dans beaucoup de versets coraniques est employé le mot "Omïion", le pluriel d'Omi. Or ces derniers n'étaient pas des incultes et des illettrés comme en atteste une très riche poésie arabe d'avant l'islam dont Amin Zaoui a la nostalgie.
Le fondateur de l'Islam faisait donc partie de ceux qui n'avaient jamais reçu de prophètes ni de livres.
Le mot "omi" doit donc se comprendre dans un sens comparable au mot "païen" de la théologie chrétienne ou au mot "gentil" ou "goy" de la terminologie juive. Le mot "omi" ne doit pas se traduire "analphabète", "illettré". Enfin, du point de vue - non scientifique - des filiations corano-bibliques, le fondateur de l'islam descendait d'Ismaël, alors que tous les prophètes israélites et même Jésus descendaient d'Isaac, le fils unique d'Abraham et de Sara. Le prophète de l'Islam est issu de Hadjar, la servante de Sara et l'épouse [la camarade de lit]d'Abraham, le père d'Ismaël ; il est donc le seul à être issu d'une génération d'esclaves.
En conséquence "être Omi" ne signifie pas être analphabète, mais dépourvu de l'érudition que procure les livres révélés. D'une part, ce terme n'était pas seulement alloué au prophète d'islam, mais aussi à toute sa tribu, et à d'autres tribus, également sans religion révélée ni livre saint.
D'autre part,Mahomet est le seul des descendants d'Ismaël à avoir ainsi prophétisé et reconnu ses rivaux historiques, les descendants d'Isaac dont Moïse et Jésus, pour donner crédit à sa propre formation.
L'ingénieux personnage qu'était le fondateur d'islam marqua dès son enfance le cours de l'histoire. Son esprit curieux et chercheur lui octroya la possibilité d'effectuer maints voyages durant lesquels il accompagna des caravanes commerciales sortant de la Mecque. Il fit toujours preuve de beaucoup de diligence pour apprendre et découvrir les pensées révélatrices. Ce n'est pas sans raison qu'aujourd'hui encore, tous les savants, tous les chercheurs et tous les historiens, amis ou étrangers, retrouvent en la personne du fondateur de l'Islam quelqu'un d'adroit, de politicien et de sage ; bref, un stratège.
D'autre part,Mahomet est le seul des descendants d'Ismaël à avoir ainsi prophétisé et reconnu ses rivaux historiques, les descendants d'Isaac dont Moïse et Jésus, pour donner crédit à sa propre formation.
L'ingénieux personnage qu'était le fondateur d'islam marqua dès son enfance le cours de l'histoire. Son esprit curieux et chercheur lui octroya la possibilité d'effectuer maints voyages durant lesquels il accompagna des caravanes commerciales sortant de la Mecque. Il fit toujours preuve de beaucoup de diligence pour apprendre et découvrir les pensées révélatrices. Ce n'est pas sans raison qu'aujourd'hui encore, tous les savants, tous les chercheurs et tous les historiens, amis ou étrangers, retrouvent en la personne du fondateur de l'Islam quelqu'un d'adroit, de politicien et de sage ; bref, un stratège.
Dés son enfance, le jeune futur prophète allait au marché Akase où il écoutait réciter les poèmes et les allocutions d'orateurs et où il discutait pendant des heures avec les dignitaires juifs ou chrétiens. Cette influence se retrouve dans le Coran.
En effet, une partie des versets données à la Mecque fut écrite par le fondateur de l'Islam en imitation à Ghass Ibn Saédéh qui, au marché Akase, était l'un des poètes et orateurs qui connaissait Allah.
En effet, une partie des versets données à la Mecque fut écrite par le fondateur de l'Islam en imitation à Ghass Ibn Saédéh qui, au marché Akase, était l'un des poètes et orateurs qui connaissait Allah.
Les voyages consécutifs de Mahomet quand il était au service d'Abou Taléb et de Khadijéh, lui permirent de connaître tous les rites, toutes les cultures et toutes les paroles des grands hommes historiques de son temps et de sa région. Non, Monsieur Mahomet , le fondateur de l'islam, n'était pas un inculte.
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