Forum Religion Catholique :: Enseignements
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Rappel du premier message :
Le combat spirituel
Le baptisé un peu conscient est engagé dans un combat de lumière et d’amour. Ce n’est pas un combat contre ses frères les hommes, c’est un combat contre l’ignorance, le mensonge, l’égoïsme, contre les injustices qui aliènent et oppriment.
Ne nous trompons pas de combat ! Le combat du chrétien, c’est d’abord contre lui-même qu’il doit le mener : cultivons le jardin de notre esprit et de notre cœur, arrachons les mauvaises herbes des habitudes aliénantes, semons la bonne graine des vertus. Proclamons par notre vie la victoire de Jésus : « Je vous écris, jeunes gens, parce que vous êtes forts, que la Parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le Mauvais » (1 Jean 2,14).
Les péchés capitaux
Notre nature est marquée par le péché originel : elle est déchue, blessée. Le baptême restaure la grâce en nous mais ne supprime une certaine concupiscence qui va incliner nos tendances vers les péchés capitaux. De tout temps, les disciples de Jésus-Christ ont combattu ; de leur expérience, de leur combat spirituel, ils ont tiré un enseignement précis : Jean Cassien, saint François de Sales ont peu à peu repéré les pensées, ou esprits, ou démons, qui entrainent l’homme au mal. Il faut mieux prendre conscience que la tentation prend naissance dans notre mental : « Dieu ne tente personne, mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui le séduit et le trompe » (Jacques 1,4). Il faut veiller sur nos mouvements affectifs, ou premiers mouvements, pour ne pas se laisser entrainer.
Jean Cassien enseigne que la mauvaise pensée engendre la mauvaise action : sa répétition donnera le vice : « Il y a huit vices principaux qui font la guerre au genre humain : le premier est la gourmandise ou gloutonnerie ; le deuxième, la luxure ; le troisième, l’avarice ou l’amour de l’argent ; le quatrième, la colère ; le cinquième, la tristesse (la jalousie, l’envie) ; le sixième, la paresse ou le dégout du cœur, l’acédie ; le septième, la vaine gloire ; le huitième, l’orgueil. »
Jean Cassien pense que pour tout homme, il y a une tendance, une faiblesse, qui l’emporte sur les autres. La tactique sera de la discerner, de lui résister et de la combattre en premier ; les autres péchés liés à cette tendance majeure, faibliront peu à peu. Mais nous ne pouvons rien sans la prière, les sacrements du pardon et de l’Eucharistie, le chapelet et la consécration à Marie. Être chrétien, c’est vouloir se mettre à la suite de Jésus, le prenant comme Seigneur et Sauveur : il y aura à combattre les injustices et les structures de péchés de notre société. Il faudra accepter avec abandon à la volonté du Père les contradictions, épreuves, maladies, échecs, opposition des autres, malveillance de certains... « La victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi » (1 Jean 5,4).
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Le combat spirituel
Le baptisé un peu conscient est engagé dans un combat de lumière et d’amour. Ce n’est pas un combat contre ses frères les hommes, c’est un combat contre l’ignorance, le mensonge, l’égoïsme, contre les injustices qui aliènent et oppriment.
Ne nous trompons pas de combat ! Le combat du chrétien, c’est d’abord contre lui-même qu’il doit le mener : cultivons le jardin de notre esprit et de notre cœur, arrachons les mauvaises herbes des habitudes aliénantes, semons la bonne graine des vertus. Proclamons par notre vie la victoire de Jésus : « Je vous écris, jeunes gens, parce que vous êtes forts, que la Parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le Mauvais » (1 Jean 2,14).
Les péchés capitaux
Notre nature est marquée par le péché originel : elle est déchue, blessée. Le baptême restaure la grâce en nous mais ne supprime une certaine concupiscence qui va incliner nos tendances vers les péchés capitaux. De tout temps, les disciples de Jésus-Christ ont combattu ; de leur expérience, de leur combat spirituel, ils ont tiré un enseignement précis : Jean Cassien, saint François de Sales ont peu à peu repéré les pensées, ou esprits, ou démons, qui entrainent l’homme au mal. Il faut mieux prendre conscience que la tentation prend naissance dans notre mental : « Dieu ne tente personne, mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui le séduit et le trompe » (Jacques 1,4). Il faut veiller sur nos mouvements affectifs, ou premiers mouvements, pour ne pas se laisser entrainer.
Jean Cassien enseigne que la mauvaise pensée engendre la mauvaise action : sa répétition donnera le vice : « Il y a huit vices principaux qui font la guerre au genre humain : le premier est la gourmandise ou gloutonnerie ; le deuxième, la luxure ; le troisième, l’avarice ou l’amour de l’argent ; le quatrième, la colère ; le cinquième, la tristesse (la jalousie, l’envie) ; le sixième, la paresse ou le dégout du cœur, l’acédie ; le septième, la vaine gloire ; le huitième, l’orgueil. »
Jean Cassien pense que pour tout homme, il y a une tendance, une faiblesse, qui l’emporte sur les autres. La tactique sera de la discerner, de lui résister et de la combattre en premier ; les autres péchés liés à cette tendance majeure, faibliront peu à peu. Mais nous ne pouvons rien sans la prière, les sacrements du pardon et de l’Eucharistie, le chapelet et la consécration à Marie. Être chrétien, c’est vouloir se mettre à la suite de Jésus, le prenant comme Seigneur et Sauveur : il y aura à combattre les injustices et les structures de péchés de notre société. Il faudra accepter avec abandon à la volonté du Père les contradictions, épreuves, maladies, échecs, opposition des autres, malveillance de certains... « La victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi » (1 Jean 5,4).
Re: Forum Religion Catholique :: Enseignements
Le Purgatoire et le Curé d'Ars !
Le Purgatoire et le Curé d'Ars !
LE CURE D' ARS par l'Abbé Bernard Nodet
le curé d'Ars et le purgatoire
"L'oeuvre de chacun deviendra manifeste, le jour le fera connaitre, car il doit se révéler dans le feu, et c'est feu qui éprouvera la qualité de l'oeuvre de chacun" - 1 Cor. 3, 13
Quand on meurt, on est souvent comme une lame de fer rouillé qu'il faut mettre au feu.
Oh ! si l'on savait combien nous pouvons obtenir de grâces par le moyen des âmes de purgatoire, elles ne seraient pas oubliées !
La pratique de la prière pour la délivrance du Purgatoire est, après celle pour la conversion des pécheurs, la plus agréable à Dieu.
Les âmes du Purgatoire ne peuvent rien pour elles-mêmes, mais elles peuvent beaucoup pour leurs bienfaiteurs.
Ayant un jour entendu un prédicateur peindre très vivement la désolation de ces âmes, répéter leurs cris de douleur, les lamentations qu'il les supposait adresser aux vivants, le Curé d'Ars après le sermon le reprit doucement en lui disant qu'il s'était écarté de la vérité, que ces âmes connaissaient la justice de Dieu, y étaient soumises et souffraient avec résignation.
Voici un exemple donné par le Curé d'ARS à ses paroissiens à propos de la messe:
"Mes enfants, un bon prêtre [il s'agit du curé d'Ars lui même] avait eu le malheur de perdre un ami qu'il chérissait tendrement, aussi
priait-il beaucoup pour le repos de son âme.
Un jour, Dieu lui fit connaitre qu'il était au Purgatoire et qu'il souffrait horriblement.
Ce saint prêtre ne crut rien faire de mieux que d'offrir le Saint Sacrifice de la messe pour son cher
défunt. Au moment de la consécration, il prit l'hostie entre ses doigt et dit :"Père Saint et Éternel,
faisons un échange ; vous tenez l'âme de mon ami qui est en Purgatoire et moi je tiens le corps de
votre fils qui est entre mes mains. Père bon et miséricordieux, délivrez mon ami et je vous offre votre
fils avec tous les mérites de sa mort et de sa passion".
Sa demande fut exaucée. En effet, au moment de l'élévation, il vit l'âme de son ami, toute
rayonnante de gloire, qui montait au Ciel : Dieu avait accepté l'échange.
Mes enfants, quand nous voulons délivrer du Purgatoire une âme qui nous est chère, faisons de
même. Offrons à Dieu, par le Saint Sacrifice, son bien-aimé Fils, avec tous les mérites de sa mort et
de sa passion. Il ne pourra rien nous refuser.
Re: Forum Religion Catholique :: Enseignements
Document exceptionnel sur l'image miraculeuse de Notre Dame de la Guadeloupe!
Document exceptionnel sur l'image miraculeuse de Notre Dame de la Guadeloupe,
a partir du LIEN.
http://www.gloria.tv/?media=447149
Clic sur l’image et la page tourne de droite à gauche pour lire...
Document exceptionnel sur l'image miraculeuse de Notre Dame de la Guadeloupe,
a partir du LIEN.
http://www.gloria.tv/?media=447149
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Re: Forum Religion Catholique :: Enseignements
Le Purgatoire !
Lorsque l'âme quitte cette vie, soit elle est parfaitement unie au Christ et dans ce cas, rare, elle jouit directement de la Béatitude divine ; soit elle n'est pas unie au Christ, et dans ce cas, fréquent (Lc 13.24 ; Mt 7.13), elle est perdue pour l'éternité ; soit elle est unie au Christ imparfaitement, et dans ce cas, elle doit se purifier de ce qui la tient encore éloignée de Dieu (1 Co 3.15). Ce qui la tient éloignée de Dieu, c'est son cœur attaché aux choses de ce monde, aux jouissances de la sensualité, aux satisfactions de la sentimentalité, surtout, à la complaisance mise en soi-même, plutôt qu'en Dieu qui seul suffit. Pour jouir de Dieu, il faut évidemment ne faire qu'un avec Dieu. Et donc, pour cela, tel le fer jeté dans le feu qui devient feu, il faut que l'âme soit jetée dans un feu si douloureux que le feu de cette terre n'est en comparaison qu'une image de feu. « Purgatoire » vient du grec « pur » qui signifie « feu ».
Le Purgatoire est une réalité de foi enseignée aussi bien par l'Ecriture Sainte que par les Pères et les Conciles. Ainsi, Jésus enseigne en Mt 12.31 que « le blasphème contre l'Esprit-Saint ne sera pardonné ni en ce monde ni en l'autre. », ce disant, Jésus enseigne non seulement que le péché contre l'Esprit-Saint ne sera jamais pardonné (et pour cause, puisqu'il est le refus de recevoir le pardon donné en Jésus) mais aussi que dans l'autre monde des péchés sont encore pardonnés sans quoi cela n'aurait eu aucun sens que Jésus évoque le fait d'tre pardonné dans l'autre monde.
Déjà dans l'Ancien Testament nous voyons Judas Macchabée offrir des sacrifices expiatoires pour, de leurs péchés, délivrer ses soldats morts (2 M 12.46). Et dès les premiers temps, l'Eglise a prié pour ses défunts. Aujourd'hui encore Elle recommande d'offrir à Dieu en faveur des défunts outre des aumônes, des indulgences, et des œuvres de pénitence, l'offrande du Sacrifice de la Messe, qui est le plus grand cadeau que nous puissions offrir à Dieu en leur nom. En effet, en vertu de l'unité réalisé par l'Amour, c'est comme si c'était eux qui, par nous, et nous par le prêtre, offraient le Sacrifice de Jésus, témoignage unique et parfait d'Amour de Dieu le Fils incarné à Dieu le Père Source de toutes grâces. Cette pratique suppose donc un autre dogme : celui de la Communion des Saints, lequel suppose à son tour la Résurrection de Jésus, qui a détruit la mort et réunit l'humanité à Dieu, et les Saints les uns aux autres, qu'ils soient encore sur terre, au Purgatoire ou déjà au Ciel, et cela en vertu de leur commune union au Corps du Christ ressuscité dont ils sont devenus membres lors de leur baptême.
Parce que l'âme, une fois le temps fini pour elle, ne peut plus rien faire pour changer son sort, acquérir de nouveaux mérites, et grandir en amour, elle est totalement dépendante de la charité de ses frères et sœurs encore sur la terre, et qui eux, jouissant encore de la liberté ici-bas peuvent agir en son nom pour offrir à Dieu des actes d'amour quelle aimerait tellement maintenant Lui avoir offert L'âme au Purgatoire souffre terriblement d'avoir vu au moment de sa mort combien Dieu est infiniment aimable en Lui-même, combien Il la aimée durant tout son séjour sur terre, et combien elle-même s'est montrée si outrageusement indigne de Son amour. C'est cet amour qui la brûle et la fait souffrir, car elle voudrait tellement maintenant avoir aimé Dieu comme Il mérite d'être aimé, et elle ne le peut plus Si l'âme du damné souffre à cause de sa haine de Dieu, haine qui accroît son tourment, lequel à son tour nourrit sa haine, l'âme au Purgatoire souffre au contraire à cause de son amour de Dieu. Son temps est fini et ne reviendra jamais, et elle na pas assez aimé Quel malheur ! Mais un malheur bienheureux, puisqu'elle aime ! Par cet amour, bien qu'encore imparfaitement, elle est unie à Dieu. Elle sait donc quelle est sauvée ! A la différence du damné : son malheur aura une fin !
Si l'âme ne peut plus rien pour changer son sort, elle ne saurait cependant manquer de reconnaissance pour qui ici-bas porte à son crédit les bonnes œuvres quelle aimerait tellement maintenant avoir offertes à Dieu Pensons-y et prions pour nos défunts ! Faisons célébrer des Messes pour eux, et nous verrons alors combien ils savent nous montrer leur reconnaissance !
Ajoutée par ChristTVinfos le 2011-03-27
(cf CEC n° 1030-1032).
Lorsque l'âme quitte cette vie, soit elle est parfaitement unie au Christ et dans ce cas, rare, elle jouit directement de la Béatitude divine ; soit elle n'est pas unie au Christ, et dans ce cas, fréquent (Lc 13.24 ; Mt 7.13), elle est perdue pour l'éternité ; soit elle est unie au Christ imparfaitement, et dans ce cas, elle doit se purifier de ce qui la tient encore éloignée de Dieu (1 Co 3.15). Ce qui la tient éloignée de Dieu, c'est son cœur attaché aux choses de ce monde, aux jouissances de la sensualité, aux satisfactions de la sentimentalité, surtout, à la complaisance mise en soi-même, plutôt qu'en Dieu qui seul suffit. Pour jouir de Dieu, il faut évidemment ne faire qu'un avec Dieu. Et donc, pour cela, tel le fer jeté dans le feu qui devient feu, il faut que l'âme soit jetée dans un feu si douloureux que le feu de cette terre n'est en comparaison qu'une image de feu. « Purgatoire » vient du grec « pur » qui signifie « feu ».
Le Purgatoire est une réalité de foi enseignée aussi bien par l'Ecriture Sainte que par les Pères et les Conciles. Ainsi, Jésus enseigne en Mt 12.31 que « le blasphème contre l'Esprit-Saint ne sera pardonné ni en ce monde ni en l'autre. », ce disant, Jésus enseigne non seulement que le péché contre l'Esprit-Saint ne sera jamais pardonné (et pour cause, puisqu'il est le refus de recevoir le pardon donné en Jésus) mais aussi que dans l'autre monde des péchés sont encore pardonnés sans quoi cela n'aurait eu aucun sens que Jésus évoque le fait d'tre pardonné dans l'autre monde.
Déjà dans l'Ancien Testament nous voyons Judas Macchabée offrir des sacrifices expiatoires pour, de leurs péchés, délivrer ses soldats morts (2 M 12.46). Et dès les premiers temps, l'Eglise a prié pour ses défunts. Aujourd'hui encore Elle recommande d'offrir à Dieu en faveur des défunts outre des aumônes, des indulgences, et des œuvres de pénitence, l'offrande du Sacrifice de la Messe, qui est le plus grand cadeau que nous puissions offrir à Dieu en leur nom. En effet, en vertu de l'unité réalisé par l'Amour, c'est comme si c'était eux qui, par nous, et nous par le prêtre, offraient le Sacrifice de Jésus, témoignage unique et parfait d'Amour de Dieu le Fils incarné à Dieu le Père Source de toutes grâces. Cette pratique suppose donc un autre dogme : celui de la Communion des Saints, lequel suppose à son tour la Résurrection de Jésus, qui a détruit la mort et réunit l'humanité à Dieu, et les Saints les uns aux autres, qu'ils soient encore sur terre, au Purgatoire ou déjà au Ciel, et cela en vertu de leur commune union au Corps du Christ ressuscité dont ils sont devenus membres lors de leur baptême.
Parce que l'âme, une fois le temps fini pour elle, ne peut plus rien faire pour changer son sort, acquérir de nouveaux mérites, et grandir en amour, elle est totalement dépendante de la charité de ses frères et sœurs encore sur la terre, et qui eux, jouissant encore de la liberté ici-bas peuvent agir en son nom pour offrir à Dieu des actes d'amour quelle aimerait tellement maintenant Lui avoir offert L'âme au Purgatoire souffre terriblement d'avoir vu au moment de sa mort combien Dieu est infiniment aimable en Lui-même, combien Il la aimée durant tout son séjour sur terre, et combien elle-même s'est montrée si outrageusement indigne de Son amour. C'est cet amour qui la brûle et la fait souffrir, car elle voudrait tellement maintenant avoir aimé Dieu comme Il mérite d'être aimé, et elle ne le peut plus Si l'âme du damné souffre à cause de sa haine de Dieu, haine qui accroît son tourment, lequel à son tour nourrit sa haine, l'âme au Purgatoire souffre au contraire à cause de son amour de Dieu. Son temps est fini et ne reviendra jamais, et elle na pas assez aimé Quel malheur ! Mais un malheur bienheureux, puisqu'elle aime ! Par cet amour, bien qu'encore imparfaitement, elle est unie à Dieu. Elle sait donc quelle est sauvée ! A la différence du damné : son malheur aura une fin !
Si l'âme ne peut plus rien pour changer son sort, elle ne saurait cependant manquer de reconnaissance pour qui ici-bas porte à son crédit les bonnes œuvres quelle aimerait tellement maintenant avoir offertes à Dieu Pensons-y et prions pour nos défunts ! Faisons célébrer des Messes pour eux, et nous verrons alors combien ils savent nous montrer leur reconnaissance !
Ajoutée par ChristTVinfos le 2011-03-27
(cf CEC n° 1030-1032).
Re: Forum Religion Catholique :: Enseignements
Les Apparitions et les âmes du Purgatoire a Padre Pio !
Les Apparitions et les âmes du Purgatoire
Le petit Francesco connut des apparitions dès l’enfance. Croyant que cela arrivait à tout le monde, il n’en parlait pas. Des anges, des saints et même Jésus et la Vierge Marie lui apparurent. Quelquefois, il avait des apparitions de démons. Aux derniers jours de décembre 1902, alors qu’il était en discernement de vocation, Francesco eut une vision. Voici comment, longtemps plus tard, son confesseur décrivit la vision: «Francesco eut une vision suivie de combats réels avec le démon. À maintes reprises, il dut affronter l’ennemi des âmes pour arracher ces dernières à son emprise.» Un soir, Francesco se reposait dans une chambre d’invités, au rez-de-chaussée du couvent. Il était étendu sur un lit quand un homme d’une grande beauté, majestueux et resplendissant, lui apparut. L’homme le prit par la main et lui dit: «Suis-moi: le moment est venu pour toi d’affronter le guerrier infatigable». Francesco fut alors transporté à la campagne, en un site très vaste où il se trouva parmi une multitude d’hommes divisée en deux groupes: un groupe d’hommes aux visages très beaux, portant des vêtements d’un blanc éclatant; et un autre groupe d’hommes d’aspect repoussant, vêtus d’habits noirs comme les ténèbres. Francesco vit approcher un grand homme au visage effroyable et si grand que son front frôlait les nuages. L’homme resplendissant qui était apparu à Francesco l’enjoignit d’affronter le personnage monstrueux. Francesco demanda d’être préservé de la fureur du personnage étrange, mais l’homme resplendissant refusa: «Inutile de résister: avec celui-ci, il faut combattre. Aie courage, engage-toi avec confiance, lutte courageusement, sachant que je serai près de toi, que je t’assisterai et que je ne permettrai pas qu’il l’emporte.» Le combat fut terrible. Cependant, aidé de l’homme resplendissant, Francesco triompha. Contraint de fuir, le personnage monstrueux se traîna derrière la foule d’hommes sinistres, au milieu de cris, d’imprécations et de hurlements assourdissants. Le groupe vêtu de blanc applaudit et loua celui qui avait assisté le pauvre Francesco en si rude combat. L’homme resplendissant posa sur la tête de Francesco une couronne d’une beauté indescriptible. Mais presque aussitôt, la lui retirant, il lui dit: «Je te réserve une autre couronne, encore plus belle que celle-ci, si tu sais lutter contre celui que tu viens de vaincre. En effet, il reviendra toujours à la charge. Tu combattras vaillamment, sans douter de mon aide ... sans t’effrayer de sa présence ... Je serai près de toi et t’assisterai toujours, pour que tu triomphes de lui.»
Un soir, Padre Pio se reposait. Seul, il était étendu depuis peu sur un lit de sangles, quand lui apparut un homme drapé dans un manteau lumière. Surpris, Padre Pio se leva et lui demanda son nom et le motif de sa visite. L’inconnu répondit qu’il était une âme du purgatoire: «Je m’appelle Pietro Di Mauro. J’ai péri dans un incendie, le 18 septembre 1908, dans ce couvent transformé en centre d’hébergement pour personnes âgées, après l’expropriation des biens ecclésiastiques. Surpris dans mon sommeil, j’ai été la proie des flammes. Je viens du purgatoire: le Seigneur m’a permis de venir vous demander de célébrer à mon intention la sainte messe, demain matin. Grâce à votre prière, je pourrai entrer en Paradis.» Padre Pio l’assura qu’il célébrerait la messe à son intention ... Voici ses mots: «Je voulus le raccompagner à la sortie du couvent. Je constatai que je m’étais entretenu avec un défunt seulement quand, sur le parvis, l’homme disparut. J’avoue être rentré au couvent plutôt effrayé. Notre supérieur, abbé Paolino de Casacalenda, avait remarqué mon agitation, aussi lui racontai-je ce qui venait d’arriver et lui demandai-je la permission de célébrer la sainte messe à l’intention de cette âme. Quelques jours plus tard, abbé Paolino, intrigué, se rendit au bureau de l’état civil de la commune de San Giovanni Rotondo, o...ù il demanda et obtint la permission de consulter le registre des décès pour le mois de septembre 1908, où figuraient les nom et prénom du défunt, de même que la cause du décès: «Le 18 septembre 1908, dans l’incendie de l’hospice, Pietro Di Mauro, fils de Nicola, a trouvé la mort.»
À San Giovanni Rotondo, Cleonice Morcaldi, fille spirituelle de Padre Pio, dont la mère était décédée depuis un mois, terminait sa confession lorsque Padre Pio lui dit: «Ce matin, ta maman s’est envolée au Paradis: je l’ai vue pendant que je célébrais la messe.»
Cet autre épisode fut raconté par Padre Pio à l’abbé Anastasio. «Un soir, pendant que je priais, seul au sanctuaire, j’entendis un bruissement; je vis ensuite un jeune moine affairé autour du maître-autel, époussetant les candélabres et rangeant les porte-bouquets. J’étais convaincu que c’était le moine Leone. Comme c’était l’heure de dîner, je m’approchai de la balustrade et lui dis: «Le moine Leone va-t-il dîner? Ce n’est plus l’heure d’épousseter et de ranger l’autel.» Une voix, qui n’était pas celle du moine Leone, me répondit: «Je ne suis pas le moine Leone.» Qui donc es-tu? lui demandai-je. Il me répondit: «Je suis votre confrère; j’ai fait mon noviciat ici. Par obéissance, je dois tenir le maître-autel propre et y mettre de l’ordre pendant un an. En de nombreuses occasions, malheureusement, j’ai manqué de respect envers Jésus, au Saint Sacrement, en passant devant l’autel sans m’incliner. Par suite de ce manquement, je suis encore en purgatoire. Dieu, dans sa bonté infinie, m’envoie chez vous parce que vous êtes en mesure d’établir jusqu’à quand je devrai souffrir dans ces flammes d’amour. Je me recommande à vous ...» Pensant me montrer généreux envers cette âme souffrante, je lui dis: «Tu resteras jusqu’à demain matin, à l’heure de la messe conventuelle.» Mais l’âme s’écria: «Cruel!», puis disparut. Je ne pourrai jamais oublier ce cri, qui m’atteignit au cœur. En effet, au lieu d’obtenir aussitôt à cette âme le Paradis, je l’ai condamnée à une autre nuit de purgatoire.»
Padre Pio a connu des apparitions pratiquement chaque jour et l’on s’accorde à dire qu’il vivait en deux mondes: l’un, visible, et l’autre, invisible ou surnaturel.
Padre Pio faisait part de ses expériences à ses directeurs spirituels. Dans sa lettre du 7 avril 1913 à l’abbé Augustin, il écrivit: «Vendredi matin, j’étais au lit quand Jésus m’est apparu. Il était triste et défiguré. Il m’a fait voir une multitude de prêtres, dont plusieurs dignitaires ecclésiastiques; certains étaient en train de célébrer l’Eucharistie, d’autres revêtaient leurs ornements sacerdotaux, d’autres les retiraient. Peiné de voir souffrir Jésus, je lui demandai pourquoi il souffrait tant. Sans me répondre, Il tourna mon regard vers ces prêtres. Peu après, presque horrifié et comme las de regarder, Il ne regarda plus les prêtres, mais posa son regard sur moi. Je vis couler des larmes sur son visage. Il s’éloigna de cette foule de prêtres avec une expression de dégoût sur le visage, s’écriant: «Bouchers!» Puis, se tournant vers moi, Il me dit: «Mon fils, ne crois pas que mon agonie n’ait duré que trois heures, non; à cause de ces âmes pour lesquelles j’ai souffert, je serai en agonie jusqu’à la fin du monde. Pendant ce temps d’agonie, mon fils, il ne faut pas dormir. Mon âme a soif de pitié humaine, mais, hélas! ils me laissent porter seul le poids de leur indifférence. L’ingratitude et l’apathie de mes ministres me rendent l’agonie plus amère. Hélas! comme ils correspondent mal à mon amour! Ce qui me tourmente le plus est qu’ils ajoutent à l’indifférence le mépris et l’incrédulité. J’aurais voulu les foudroyer si je n’avais été retenu par les anges et par les âmes que vous attirez à moi ... Écris à ton directeur spirituel et raconte-lui ce que tu as vu et entendu de moi ce matin. Demande-lui de faire lire ta lettre au père provincial.» Jésus m’a dit autre chose mais, ce qu’Il m’a dit, je ne puis le divulguer.»
(PADRE PIO DA PIETRELCINA: Epistolario I° (1910-1922) a cura di Melchiorre da Pobladura e Alessandro da Ripabottoni - Edizioni "Padre Pio da Pietrelcina" Convento S.Maria delle Grazie San Giovanni Rotondo - FG)
Lettre du 13 février 1913 à le père Augustin: Jésus me répète: « ... Ne crains pas si je te fais souffrir: je te donnerai aussi la force. Je désire que ton âme, grâce au martyre quotidien caché, soit purifiée et éprouvée; ne t’effraie pas de moi si je permets au démon de te tourmenter et au monde de te dégoûter, car rien ne prévaudra contre ceux qui gémissent sous la Croix pour mon amour et que j’ai décidé de protéger.»
(PADRE PIO DA PIETRELCINA: Epistolario I° (1910-1922) a cura di Melchiorre da Pobladura e Alessandro da Ripabottoni - Edizioni "Padre Pio da Pietrelcina" Convento S.Maria delle Grazie San Giovanni Rotondo - FG)
Lettre du 18 novembre 1912 à le père Augustin: « ... Jésus, sa Mère chérie, l’angelot avec les autres, m’encouragent et me répètent que la victime, pour être considérée telle, doit perdre tout son sang.»
(PADRE PIO DA PIETRELCINA: Epistolario I° (1910-1922) a cura di Melchiorre da Pobladura e Alessandro da Ripabottoni - Edizioni "Padre Pio da Pietrelcina" Convento S.Maria delle Grazie San Giovanni Rotondo - FG)
Lettre du 12 mars 1913 à le père Augustin: ... J’ai entendu, mon père, les justes plaintes de notre doux Jésus: «Mon amour pour les hommes est repayé d’ingratitude! J’aurais été moins vexé si je les avais moins aimés. Mon Père ne veut plus les supporter. Je voudrais cesser de les aimer, mais ... (ici, Jésus soupira …) mais hélas! Mon cœur est fait pour aimer! Les hommes lâches et fatigués ne font aucun effort pour résister aux tentations, ils se délectent dans leur iniquité. Les âmes que je préfère, celles que j’éprouve, viennent moins à moi; les faibles abandonnent dans l’effarement et dans le désespoir; les âmes fortes se laissent gagner peu à peu. Ils me laissent seul la nuit et seul le jour, dans les églises. Ils ne se nourrissent plus au sacrement de l’autel; ils ne parlent jamais de ce sacrement d’amour; ceux qui en parlent le font avec beaucoup d’indifférence et de froideur. On oublie mon cœur; personne ne se nourrit plus de mon amour; je suis toujours triste. Ma maison est devenue pour beaucoup un théâtre d’amusements; aussi mes ministres, que j’ai toujours aimés avec prédilection, que j’ai aimés comme la prunelle de mes yeux, devraient réconforter mon cœur plein d’amertume et devraient m’aider dans la rédemption des âmes. Or, qui l’aurait cru? D’eux, je reçois de l’ingratitude. Je vois, mon fils, nombre de ceux-ci qui ..., il s’arrêta ici, des sanglots lui serrèrent la gorge, il pleura en secret … que sous d’hypocrites aspects me trahissent par des communions sacrilèges, au mépris de la lumière et des forces que je leur ai prodiguées.»
(PADRE PIO DA PIETRELCINA: Epistolario I° (1910-1922) a cura di Melchiorre da Pobladura e Alessandro da Ripabottoni - Edizioni "Padre Pio da Pietrelcina" Convento S.Maria delle Grazie San Giovanni Rotondo - FG)Af
texte copié par:Janine Redonnet
Re: Forum Religion Catholique :: Enseignements
L'ENFER CHRETIEN
Ne croyez pas ce que l'on vous dit, l'enfer existe et il est terrible.
http://enfer-catholique.blogspot.com/search/label/A7....Visions de l'enfer
Vidéo : http://dai.ly/x548qu
RÉVÉLATIONS SUR L'ENFER..
Enssemble,en tant que groupe, 7 jeunes colombiens ont été enmenés par
Jésus Christ pour visiter l'Enfer et en témoigner....
http://spiritlessons.com/Documents/7_Jovenes/French_Revelations_sur_lEnfer_7_Columbian_Youths_Hell.htm
Pourquoi je place ce lien sur le forum ?
Pour réfléchir sur ce dont on ne nous parle plus dans nos Églises,
on dirait que ce mot a été banni des prédications de nos Prêtres !!!!
Pourquoi ? J'imagine par peur de déplaire au monde, la majorité
des gens vivent à l'envers des commandements de Dieu !
Nous devons quand même être conscients que cette possibilité existe vraiment.
Ne croyez pas ce que l'on vous dit, l'enfer existe et il est terrible.
http://enfer-catholique.blogspot.com/search/label/A7....Visions de l'enfer
Vidéo : http://dai.ly/x548qu
RÉVÉLATIONS SUR L'ENFER..
Enssemble,en tant que groupe, 7 jeunes colombiens ont été enmenés par
Jésus Christ pour visiter l'Enfer et en témoigner....
http://spiritlessons.com/Documents/7_Jovenes/French_Revelations_sur_lEnfer_7_Columbian_Youths_Hell.htm
Pourquoi je place ce lien sur le forum ?
Pour réfléchir sur ce dont on ne nous parle plus dans nos Églises,
on dirait que ce mot a été banni des prédications de nos Prêtres !!!!
Pourquoi ? J'imagine par peur de déplaire au monde, la majorité
des gens vivent à l'envers des commandements de Dieu !
Nous devons quand même être conscients que cette possibilité existe vraiment.
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