Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
+2
CL Watchtower
Mikaël Malik
6 participants
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Religions & Cie :: Critiques/Religions :: Judaïsme / Talmud / Messianique / Kabbale
Page 6 sur 8
Page 6 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Rappel du premier message :
Les faits sont les faits : l'histoire occultée des Juifs Khazars: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Cet ouvrage ne plaira pas à de nombreuses personnes car il fait vibrer une corde extrême-ment sensible : l'origine des peuples.
En effet, ce texte remet ''littéralement'' en cause l'origine de la plus ancienne des civilisations : celle du peuple hébreux (rien que cela !). Dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, Benjamin H. Freedman eut l'occasion d'avoir un grand nombre d'entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis. Il fut témoin, et même acteur, des manipulations dans la politique internationale et dans les médias. Il fut l'ami personnel de nombreux acteurs politiques (Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy). Benjamin H. Freedman était très riche (étant le principal actionnaire de l'immense compagnie des savons Woodbury) et disposait d'un carnet d'adresses exceptionnel : ce sont sans doute les raisons qui l'ont maintenu en vie, et parallèlement, les raisons qui l'ont poussé à écrire une série d'ouvrages explosifs.
Après la Seconde Guerre mondiale, Freedman, écœuré par ce à quoi il avait assisté, décida de révéler tout ce qu'il pourrait sur le sionisme et ses origines, sujet qu'il connaissait parfaitement, étant lui-même Juif et ancien sioniste. Il rompit avec ses idéaux et fonda en 1946 la ''Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine'' ; puis passa le reste de sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre ce qu'il nommait ''la tyrannie sioniste'' qui enserrait le monde. Il consacra à cette activité plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.
-
Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Les faits sont les faits : l'histoire occultée des Juifs Khazars: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Les faits sont les faits : l'histoire occultée des Juifs Khazars: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Cet ouvrage ne plaira pas à de nombreuses personnes car il fait vibrer une corde extrême-ment sensible : l'origine des peuples.
En effet, ce texte remet ''littéralement'' en cause l'origine de la plus ancienne des civilisations : celle du peuple hébreux (rien que cela !). Dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, Benjamin H. Freedman eut l'occasion d'avoir un grand nombre d'entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis. Il fut témoin, et même acteur, des manipulations dans la politique internationale et dans les médias. Il fut l'ami personnel de nombreux acteurs politiques (Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy). Benjamin H. Freedman était très riche (étant le principal actionnaire de l'immense compagnie des savons Woodbury) et disposait d'un carnet d'adresses exceptionnel : ce sont sans doute les raisons qui l'ont maintenu en vie, et parallèlement, les raisons qui l'ont poussé à écrire une série d'ouvrages explosifs.
Après la Seconde Guerre mondiale, Freedman, écœuré par ce à quoi il avait assisté, décida de révéler tout ce qu'il pourrait sur le sionisme et ses origines, sujet qu'il connaissait parfaitement, étant lui-même Juif et ancien sioniste. Il rompit avec ses idéaux et fonda en 1946 la ''Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine'' ; puis passa le reste de sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre ce qu'il nommait ''la tyrannie sioniste'' qui enserrait le monde. Il consacra à cette activité plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
CL Watchtower et EX-Témoin aiment ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Les Khazars
La chute de l'empire
Ce qui a fait la force des Khazars va cependant causer leur perte. S’ils réussissent à garder leur identité de peuple de la steppe, jusqu'à se convertir au judaïsme, ils conservent aussi un pouvoir essentiellement clanique, sans État. Au moindre signe de faiblesse, les clans et tribus qui leurs sont soumis sont tentés de se révolter. Après une période de troubles dans les années 830, le rapport de force se renverse dans la seconde moitié du IXe siècle et conduit à la chute de l’empire khazar.
Combats autour de la steppe
Un nouveau peuple, les Magyars, commence à prendre de l’importance. Ils ne sont pas turcophones ; leur langue est ougrienne et ils apparaissent dans les régions de l’Oural et de la Volga.Les Khazars s'allient à de nouveaux-venus, les Magyars, pour affronter d'autres nomades, les Petchenègues. Au IXe siècle, ils doivent aussi affronter des musulmans de plus en plus redoutables. C’est également au cours de ces années, de la fin du IXe siècle au début du Xe, que se rassemblent les populations slaves du Dniepr à la Volga autour d’un pouvoir d’origine viking.
Pendant ce temps, dans les Balkans, l’empire bulgare est à son apogée. Pour les contenir, l’empereur byzantin Léon VI (886-912) demande l’aide des Khazars ainsi que de leurs alliés magyars dirigés par Arpad.
Mais en retour, les Bulgares encouragent les Petchenègues à attaquer les Magyars et les Khazars sur leurs arrières. Une stratégie payante puisque les Magyars sont obligés de fuir en Pannonie vers 895. Ils sont accompagnés d’un groupe de rebelles khazars, les Kabars : ils formeront plus tard la Hongrie.
Au Xe siècle, les Petchenègues contrôlent les rives de la mer Noire et les Byzantins entament une reconquête de la Crimée : le territoire khazar se réduit donc comme peau de chagrin.
Cessant de soutenir ses alliés d’hier, Constantinople entre en relations avec les Petchenègues ou les Russes. Les Byzantins estiment les Khazars incapables de maîtriser la situation et les jugent d’autant moins utiles qu’ils se sont convertis au judaïsme.
Mais c’est la principauté de Kiev qui va porter le coup de grâce aux Khazars et ravage leur capitale Atil. Après lui viennent les Oghouz... Le khanat des Khazars n'est plus que l'ombre de lui-même...
https://www.herodote.net/La_chute_de_l_empire-synthese-2353-503.php
Une des preuves éclatantes que les ashkénazes ne sont pas Hébreux, ni sémites, ni descendants du peuple d'Israël, ni issus de la postérité d'Abraham, c'est qu'ils ont une typologie faciale caucasienne et blanche des Pays d'Europe.
D'après vous, ils ressemblent plus à qui physiquement ? A des Européens caucasiens blancs ? Ou à des Palestiniens et des Juifs séfarades ? La réponse est évidente !
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Abbas: Les Ashkénazes ne sont pas des sémites, Hitler les a tués pour leur rôle social
Lors d'un récent discours, le dirigeant palestinien a répété que l'antisémitisme européen n'est pas le résultat d'une "inimitié" envers les Juifs, mais de leur rôle de créanciers.
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas lors d'un événement organisé pour commémorer la Nakba, lors de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, le 15 mai 2023. (Crédit : Ed Jones/AFP)
https://fr.timesofisrael.com/abbas-les-ashkenazes-ne-sont-pas-des-semites-hitler-les-a-tues-pour-leur-role-social/
Dans un récent discours, le président de l’Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, a répété un certain nombre de clichés antisémites proférés au fil des ans, notamment des affirmations infondées sur les origines des Juifs ashkénazes et sur le fait que le dictateur nazi Adolf Hitler avait fait massacrer les Juifs en raison de leur « rôle social » de créanciers, et non en raison d’une hostilité à l’égard du judaïsme.
S’exprimant le mois dernier devant le conseil révolutionnaire de son parti, le Fatah, Abbas a exposé le mythe selon lequel les Juifs ashkénazes ne descendent pas des anciens Israélites, mais d’un ancien peuple turc connu sous le nom de Khazars, qui, selon une théorie sans fondement, s’est converti en masse au judaïsme.
« La vérité que nous devons clarifier pour le monde est que les Juifs européens ne sont pas des sémites », a déclaré Abbas, selon une traduction de ses propos par l’Institut de recherche sur les médias du Moyen-Orient (MEMRI). « Ils n’ont rien à voir avec le sémitisme.”
Les arabes sont sémites, pas les ashkénazes qui sont Japhétites comme les autres européens, ils sont blancs et caucasiens, il suffit de les regarder pour le constater, ils ne ressemblent en rien aux Séfarades qui eux sont de vrais sémites.
« Lorsque nous les entendons parler de sémitisme et d’antisémitisme, les Juifs ashkénazes, eux au moins, ne sont pas des sémites », a-t-il ajouté.
Abbas avait déjà affirmé publiquement que les Juifs ashkénazes seraient les descendants des Khazars, notamment dans un discours de 2018 dans lequel il avait accusé le « comportement social » des Juifs d’être à l’origine de la Shoah, une autre affirmation qu’il a répété dans son récent discours.
« Ils disent qu’Hitler a tué les Juifs parce qu’ils étaient Juifs et que l’Europe détestait les Juifs parce qu’ils étaient Juifs. Ce n’est pas vrai. Il a été clairement expliqué que [les Européens] ont combattu [les Juifs] en raison de leur rôle social et non de leur religion », a déclaré Abbas en août. « Plusieurs auteurs ont écrit à ce sujet. Même Karl Marx a dit que ce n’était pas vrai. Il a dit que l’hostilité n’était pas dirigée contre le judaïsme en tant que religion, mais contre le judaïsme pour son rôle social. »
« Les Européens ont combattu ces personnes en raison de leur rôle dans la société, qui avait trait à l’usure, à l’argent, etc.”
C'est vrai ! Voir cette vidéo historique :
Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas présidant la 11e session du Conseil révolutionnaire du Fatah, à Ramallah, le 26 août 2023. (Crédit : Thaer Ghanayem/via WAFA)
Abbas a ensuite semblé reprendre le mythe de la trahison auquel Hitler avait souscrit après la Première Guerre mondiale, en accusant les Juifs et d’autres personnes d’avoir causé la perte de l’Allemagne dans le conflit.
« Tout le monde sait que pendant la Première Guerre mondiale, Hitler était sergent. Il a dit qu’il combattait les Juifs parce qu’ils s’occupaient d’usure et d’argent. Selon lui, ils faisaient du sabotage, et c’est pourquoi il les détestait », a déclaré Abbas. « Nous tenons à préciser qu’il ne s’agit pas de sémitisme ou d’antisémitisme.”
« Quant aux Juifs orientaux, ce sont des Sémites », a-t-il ajouté, faisant référence aux Séfarades – ou Juifs du Grand Moyen-Orient.
Abbas a également lancé une nouvelle diatribe contre la Déclaration Balfour, le document publié en 1917 par le gouvernement britannique déclarant soutenir un « foyer national » pour le peuple juif en Terre d’Israël, auquel il a accusé l’Amérique d’avoir participé à l’époque.
« Qui a inventé l’État [juif] ? C’est la Grande-Bretagne et l’Amérique, pas seulement la Grande-Bretagne », a-t-il affirmé. « Je dis cela pour que nous sachions qui nous devons considérer comme notre ennemi, qui nous a fait du mal et nous a enlevés notre patrie pour la donner aux Israéliens ou aux Juifs.”
L’ambassadeur israélien auprès des Nations unies, Gilad Erdan, s’en est pris à Abbas mercredi, après la publication de la traduction des propos du chef de l’AP.
« Voici le vrai visage des dirigeants palestiniens », a écrit Erdan sur X -anciennement Twitter. « Tout comme Abbas blâme les Juifs pour la Shoah, il blâme également les Juifs pour tous les problèmes du Moyen-Orient. Tout en propageant ce pur antisémitisme, il paie les terroristes palestiniens pour qu’ils assassinent des Israéliens et fait publiquement l’éloge du terrorisme palestinien.”
« Le monde doit se réveiller et tenir Abbas et son Autorité palestinienne responsables de la haine qu’ils répandent et de l’effusion de sang qui en découle. Il doit y avoir une tolérance zéro pour l’incitation [à la haine] et le terrorisme palestiniens », a ajouté l’envoyé.
Ce n’est pas la première fois qu’Abbas fait des déclarations antisémites et des commentaires incendiaires sur la Shoah. Il avait notamment déclaré en mai qu’Israël « mentait comme » le chef de la propagande nazie, Joseph Goebbels. L’année dernière, en Allemagne, il avait accusé Israël d’avoir perpétré « 50 Holocaustes » lors d’une conférence de presse aux côtés du chancelier Olaf Scholz. Israël, l’Allemagne et les États-Unis avaient réagi à cette déclaration avec stupeur et indignation.
https://fr.timesofisrael.com/abbas-les-ashkenazes-ne-sont-pas-des-semites-hitler-les-a-tues-pour-leur-role-social/
C'est bien l'O.N.U qui, en 1948, a enfanté cette abomination en Palestine, cela n'a rien à voir avec une quelconque réalisation prophétique
Ben Gourion : Pourquoi les Arabes feraient-ils la paix? Si j’étais, moi, un leader arabe, jamais je ne signerais avec Israël. C’est normal : nous avons pris leur pays.
Certes, Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela peut-il les intéresser ? Notre Dieu n’est pas le leur. Nous sommes originaires d’Israël, c’est vrai, mais il y a de cela deux mille ans : en quoi cela les concerne-t-il ? Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ?
https://www.babelio.com/auteur/Nahum-Goldmann/323670/citations
Lors d'un récent discours, le dirigeant palestinien a répété que l'antisémitisme européen n'est pas le résultat d'une "inimitié" envers les Juifs, mais de leur rôle de créanciers.
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas lors d'un événement organisé pour commémorer la Nakba, lors de l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, le 15 mai 2023. (Crédit : Ed Jones/AFP)
https://fr.timesofisrael.com/abbas-les-ashkenazes-ne-sont-pas-des-semites-hitler-les-a-tues-pour-leur-role-social/
Dans un récent discours, le président de l’Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, a répété un certain nombre de clichés antisémites proférés au fil des ans, notamment des affirmations infondées sur les origines des Juifs ashkénazes et sur le fait que le dictateur nazi Adolf Hitler avait fait massacrer les Juifs en raison de leur « rôle social » de créanciers, et non en raison d’une hostilité à l’égard du judaïsme.
S’exprimant le mois dernier devant le conseil révolutionnaire de son parti, le Fatah, Abbas a exposé le mythe selon lequel les Juifs ashkénazes ne descendent pas des anciens Israélites, mais d’un ancien peuple turc connu sous le nom de Khazars, qui, selon une théorie sans fondement, s’est converti en masse au judaïsme.
« La vérité que nous devons clarifier pour le monde est que les Juifs européens ne sont pas des sémites », a déclaré Abbas, selon une traduction de ses propos par l’Institut de recherche sur les médias du Moyen-Orient (MEMRI). « Ils n’ont rien à voir avec le sémitisme.”
Les arabes sont sémites, pas les ashkénazes qui sont Japhétites comme les autres européens, ils sont blancs et caucasiens, il suffit de les regarder pour le constater, ils ne ressemblent en rien aux Séfarades qui eux sont de vrais sémites.
« Lorsque nous les entendons parler de sémitisme et d’antisémitisme, les Juifs ashkénazes, eux au moins, ne sont pas des sémites », a-t-il ajouté.
Abbas avait déjà affirmé publiquement que les Juifs ashkénazes seraient les descendants des Khazars, notamment dans un discours de 2018 dans lequel il avait accusé le « comportement social » des Juifs d’être à l’origine de la Shoah, une autre affirmation qu’il a répété dans son récent discours.
Ne seraient pas, Ils le le sont !!! Et la vraie histoire en témoigne.
« Ils disent qu’Hitler a tué les Juifs parce qu’ils étaient Juifs et que l’Europe détestait les Juifs parce qu’ils étaient Juifs. Ce n’est pas vrai. Il a été clairement expliqué que [les Européens] ont combattu [les Juifs] en raison de leur rôle social et non de leur religion », a déclaré Abbas en août. « Plusieurs auteurs ont écrit à ce sujet. Même Karl Marx a dit que ce n’était pas vrai. Il a dit que l’hostilité n’était pas dirigée contre le judaïsme en tant que religion, mais contre le judaïsme pour son rôle social. »
« Les Européens ont combattu ces personnes en raison de leur rôle dans la société, qui avait trait à l’usure, à l’argent, etc.”
C'est vrai ! Voir cette vidéo historique :
Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas présidant la 11e session du Conseil révolutionnaire du Fatah, à Ramallah, le 26 août 2023. (Crédit : Thaer Ghanayem/via WAFA)
Abbas a ensuite semblé reprendre le mythe de la trahison auquel Hitler avait souscrit après la Première Guerre mondiale, en accusant les Juifs et d’autres personnes d’avoir causé la perte de l’Allemagne dans le conflit.
« Tout le monde sait que pendant la Première Guerre mondiale, Hitler était sergent. Il a dit qu’il combattait les Juifs parce qu’ils s’occupaient d’usure et d’argent. Selon lui, ils faisaient du sabotage, et c’est pourquoi il les détestait », a déclaré Abbas. « Nous tenons à préciser qu’il ne s’agit pas de sémitisme ou d’antisémitisme.”
« Quant aux Juifs orientaux, ce sont des Sémites », a-t-il ajouté, faisant référence aux Séfarades – ou Juifs du Grand Moyen-Orient.
Abbas a également lancé une nouvelle diatribe contre la Déclaration Balfour, le document publié en 1917 par le gouvernement britannique déclarant soutenir un « foyer national » pour le peuple juif en Terre d’Israël, auquel il a accusé l’Amérique d’avoir participé à l’époque.
« Qui a inventé l’État [juif] ? C’est la Grande-Bretagne et l’Amérique, pas seulement la Grande-Bretagne », a-t-il affirmé. « Je dis cela pour que nous sachions qui nous devons considérer comme notre ennemi, qui nous a fait du mal et nous a enlevés notre patrie pour la donner aux Israéliens ou aux Juifs.”
L’ambassadeur israélien auprès des Nations unies, Gilad Erdan, s’en est pris à Abbas mercredi, après la publication de la traduction des propos du chef de l’AP.
« Voici le vrai visage des dirigeants palestiniens », a écrit Erdan sur X -anciennement Twitter. « Tout comme Abbas blâme les Juifs pour la Shoah, il blâme également les Juifs pour tous les problèmes du Moyen-Orient. Tout en propageant ce pur antisémitisme, il paie les terroristes palestiniens pour qu’ils assassinent des Israéliens et fait publiquement l’éloge du terrorisme palestinien.”
« Le monde doit se réveiller et tenir Abbas et son Autorité palestinienne responsables de la haine qu’ils répandent et de l’effusion de sang qui en découle. Il doit y avoir une tolérance zéro pour l’incitation [à la haine] et le terrorisme palestiniens », a ajouté l’envoyé.
Ce n’est pas la première fois qu’Abbas fait des déclarations antisémites et des commentaires incendiaires sur la Shoah. Il avait notamment déclaré en mai qu’Israël « mentait comme » le chef de la propagande nazie, Joseph Goebbels. L’année dernière, en Allemagne, il avait accusé Israël d’avoir perpétré « 50 Holocaustes » lors d’une conférence de presse aux côtés du chancelier Olaf Scholz. Israël, l’Allemagne et les États-Unis avaient réagi à cette déclaration avec stupeur et indignation.
https://fr.timesofisrael.com/abbas-les-ashkenazes-ne-sont-pas-des-semites-hitler-les-a-tues-pour-leur-role-social/
C'est bien l'O.N.U qui, en 1948, a enfanté cette abomination en Palestine, cela n'a rien à voir avec une quelconque réalisation prophétique
Le meilleur pour la fin
David Ben Gourion
Premier ministre du pays de 1948 à 1954 et de 1955 à 1963.
Ben Gourion : Pourquoi les Arabes feraient-ils la paix? Si j’étais, moi, un leader arabe, jamais je ne signerais avec Israël. C’est normal : nous avons pris leur pays.
Certes, Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela peut-il les intéresser ? Notre Dieu n’est pas le leur. Nous sommes originaires d’Israël, c’est vrai, mais il y a de cela deux mille ans : en quoi cela les concerne-t-il ? Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute? Ils ne voient qu’une chose : nous sommes venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi l’accepteraient-ils ?
https://www.babelio.com/auteur/Nahum-Goldmann/323670/citations
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Mikaël Malik et CL Watchtower aiment ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
1. Premier nommé de trois fils de Gomer, le fils de Japhet. — Gn 10:3 ; 1Ch 1:6.
Dans les écrits juifs du Moyen Âge (et même des époques postérieures), le terme “ Ashkenaz ” désignait la race teutonne, et plus spécialement l’Allemagne. De ce fait, aujourd’hui encore les Juifs des pays germaniques sont appelés les Ashkénazes, par opposition aux Séfarades, les Juifs d’Espagne et du Portugal.
2. Jérémie 51:27 parle d’un royaume d’Ashkenaz s’alliant aux royaumes d’Ararat et de Minni contre Babylone à l’époque de la chute de cette ville (539 av. n. è.). Étant donné qu’on situe Ararat dans la région du lac de Van, en Arménie, et Minni (dénommé “ Mannaï ” dans les inscriptions assyriennes) au S.-E. du lac de Van, il est vraisemblable que le royaume d’Ashkenaz se trouvait près de ces régions, probablement un peu au N., entre la mer Noire et la mer Caspienne.
Dans les écrits juifs du Moyen Âge (et même des époques postérieures), le terme “ Ashkenaz ” désignait la race teutonne, et plus spécialement l’Allemagne. De ce fait, aujourd’hui encore les Juifs des pays germaniques sont appelés les Ashkénazes, par opposition aux Séfarades, les Juifs d’Espagne et du Portugal.
2. Jérémie 51:27 parle d’un royaume d’Ashkenaz s’alliant aux royaumes d’Ararat et de Minni contre Babylone à l’époque de la chute de cette ville (539 av. n. è.). Étant donné qu’on situe Ararat dans la région du lac de Van, en Arménie, et Minni (dénommé “ Mannaï ” dans les inscriptions assyriennes) au S.-E. du lac de Van, il est vraisemblable que le royaume d’Ashkenaz se trouvait près de ces régions, probablement un peu au N., entre la mer Noire et la mer Caspienne.
______________________________________________________
(Romains 7:21) 21 Je trouve donc cette loi dans mon cas : quand je veux faire ce qui est juste, ce qui est mauvais est présent chez moi.
Mikaël Malik aime ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
1. Premier nommé de trois fils de Gomer, le fils de Japhet. — Gn 10:3 ; 1Ch 1:6.
C'est ce que je dis depuis le début de mon sujet, les Ashkénazes sont Japhétites et pas Sémites comme ils osent le prétendre, ils ne sont pas issus et ne descendent pas du peuple d'Israël selon la chair contrairement à ce qu'ils prétendent, ils ne sont pas Hébreux ni ne descendent des hébreux comme ils le prétendent, ils ne font pas partie de la postérité d'Abraham comme ils le prétendent, la conversion des chefs Khazars s'est faite au 8e siècle après JC, ils sont de par le fait, des antéchrists.
On entend ici et là, 'l'état hébreu' en parlant de l'état sioniste d'Israël, c'est un mensonge, il n'y a jamais eu d'état hébreu dans toute l'histoire biblique, seulement un royaume terrestre. Ceci est la vraie histoire de ce pseudo Pays que l'O.N.U. a enfanté arbitrairement en 1947/1948.
Imaginez que quelqu'un vient chez vous et qu'il vous dise en vous menaçant, je suis chez moi, et en vous expulsant de votre maison, quelle serait votre réaction ?
Qui est contre Sem, un des trois fils de Noé ? Personne, ils ont aussi inventé un racisme spécial, l'antisémitisme, alors que pas une goutte de sang sémite ne coule dans les veines des Ashkénazes. Si l'antisémitisme est plus grave que le racisme, quelqu'un peut-il m'expliquer en quoi c'est plus grave ?
Sem, Cham, Japhet étaient les trois fils de Noé, question ?
1) Qui est anti Chamite ? Personne !
2) Qui est anti Japhétite ? Personne !
3) Qui est contre Sem ? Personne !
Alors, quelle différence cela fait d'être anti Sem, anti Cham ou anti Japhet ?
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Quand Jésus dit : heureux les pacifiques, à qui s'adresse-t-il ? Aux Juifs ou à tout le monde quelle que soit son origine, sa couleur de peau, ou sa "religion" ou sa "non-religion" ?
Quand vous aurez compris cela, vous aurez tout compris. Jésus n'a jamais été partiel Celui qui pratique la justice est juste, celui qui pratique l'injustice est injuste, et peu importe qui il est ou quoi qu'il fasse, c'est aussi simple que ça.
Matthieu 5:9 BCC1923
Heureux les pacifiques, car ils seront appelés enfants de Dieu!
BCC1923: Bible catholique Crampon 1923
Quand vous aurez compris cela, vous aurez tout compris. Jésus n'a jamais été partiel Celui qui pratique la justice est juste, celui qui pratique l'injustice est injuste, et peu importe qui il est ou quoi qu'il fasse, c'est aussi simple que ça.
Matthieu 5:9 BCC1923
Heureux les pacifiques, car ils seront appelés enfants de Dieu!
BCC1923: Bible catholique Crampon 1923
______________________________________________________
Psaumes 33:13 Du haut des cieux YHWH regarde, il voit tous les enfants des hommes ; 14 du lieu de sa demeure, il observe tous les habitants de la terre, 15 lui qui forme leur coeur à tous, qui est attentif à toutes leurs actions.
Ne devez rien à personne, sinon de vous aimer les uns les autres ; car celui qui aime son semblable a accompli [la] loi. Romains 13:8
Mikaël Malik aime ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Arlitto a écrit:Quand Jésus dit : heureux les pacifiques, à qui s'adresse-t-il ? Aux Juifs ou à tout le monde quelle que soit son origine, sa couleur de peau, ou sa "religion" ou sa "non-religion" ?
Quand vous aurez compris cela, vous aurez tout compris. Jésus n'a jamais été partiel Celui qui pratique la justice est juste, celui qui pratique l'injustice est injuste, et peu importe qui il est ou quoi qu'il fasse, c'est aussi simple que ça.
Matthieu 5:9 BCC1923
Heureux les pacifiques, car ils seront appelés enfants de Dieu!
BCC1923: Bible catholique Crampon 1923
100 % d'accord avec ce message
Pour le coup cela exclut de facto toutes les religions toutes les sectes et toutes les organisations qui prônent l'exact contraire. Maudites soient les religions.
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
CL Watchtower aime ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Mikaël Malik a écrit:Arlitto a écrit:Quand Jésus dit : heureux les pacifiques, à qui s'adresse-t-il ? Aux Juifs ou à tout le monde quelle que soit son origine, sa couleur de peau, ou sa "religion" ou sa "non-religion" ?
Quand vous aurez compris cela, vous aurez tout compris. Jésus n'a jamais été partiel Celui qui pratique la justice est juste, celui qui pratique l'injustice est injuste, et peu importe qui il est ou quoi qu'il fasse, c'est aussi simple que ça.
Matthieu 5:9 BCC1923
Heureux les pacifiques, car ils seront appelés enfants de Dieu!
BCC1923: Bible catholique Crampon 1923
100 % d'accord avec ce message
Pour le coup cela exclut de facto toutes les religions toutes les sectes et toutes les organisations qui prônent l'exact contraire. Maudites soient les religions.
La Bible est claire sur le sort des menteurs qu'ils soient religieux ou politiques, ils n'échapperont pas à leurs funestes sorts.
Proverbes 19:8 Celui qui acquiert de l'intelligence aime son âme; et celui qui observe la prudence obtiendra le bonheur. 9 Le faux témoin ne restera pas impuni, et celui qui dit des mensonges périra.
Psaume 5:7 Tu fais périr les menteurs; Yahweh abhorre l'homme de sang et de fraude.
Proverbes 14:5 Un témoin fidèle ne ment pas, Mais un faux témoin dit des mensonges.
Apocalypse 22:15 Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge!
______________________________________________________
Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il n'y a jamais eu aucun collège central au 1er siècle.
CL Watchtower- Religion : contre la watchtower
Sexe : Messages : 501
Localisation : Belgique
Mikaël Malik aime ce message
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Les Juifs d'Europe sont-ils originaires de Palestine ?
D'où viennent les Juifs d'Europe, les Ashkénazes ? Sont-ils originaires de Palestine, comme on le pense souvent, ou ont-ils d'autres origines ? Une étude génétique publiée le 17 janvier 2013 apporte un nouvel éclairage sur cette question sensible, en Israël notamment, relançant la thèse de Juifs issus de Khazars convertis.
Religieux du groupe Wiznitz Hassidim pendant les fêtes de Pourim. (YEHUDA RAIZNER / AFP)
Cette étude, publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution, a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1.287 individus non-apparentés descendants de huit groupes juifs et de 74 non-juifs. Le généticien Eran Elhaik (professeur à l'Ecole de Santé publique Johns Hopkins de Baltimore, aux Etats-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.
Parmi les Juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase – où se trouvait le royaume kazhar – et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.
Le royaume khazar aurait attiré des Juifs lors de sa prospérité. Selon certaines thèses, de nombreux Caucasiens se seraient alors convertis au judaïsme. Lors de l’effondrement du royaume, les habitants se seraient dispersés en Europe de l’Est, d’où la présence de fortes communautés juives.
Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive, qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue. Arthur Koestler avait déjà évoqué cette thèse dans La 13ème tribu.
Plus récemment, cette analyse biologique fait écho au livre de l’historien israélien Shlomo Sand qui avait fait grand bruit lors de sa publication. Dans Comment le peuple juif fut inventé (éditions Fayard), l’historien de l’université de Tel Aviv démontait la thèse du retour à la terre promise du peuple juif, argument principal du mouvement sioniste, né comme les autres mouvements nationalistes à la fin du 19e siècle.
Dans ce livre, il analysait les mouvements de conversions au judaïsme (dans le Caucase, mais aussi en Afrique du nord). «Les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple», écrivait Shlomo Sand, remettant en cause la thèse d’une diaspora linéaire.
https://www.francetvinfo.fr/monde/israel/les-juifs-d-europe-sont-ils-originaires-de-palestine_3070291.html
D'où viennent les Juifs d'Europe, les Ashkénazes ? Sont-ils originaires de Palestine, comme on le pense souvent, ou ont-ils d'autres origines ? Une étude génétique publiée le 17 janvier 2013 apporte un nouvel éclairage sur cette question sensible, en Israël notamment, relançant la thèse de Juifs issus de Khazars convertis.
Religieux du groupe Wiznitz Hassidim pendant les fêtes de Pourim. (YEHUDA RAIZNER / AFP)
Cette étude, publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution, a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1.287 individus non-apparentés descendants de huit groupes juifs et de 74 non-juifs. Le généticien Eran Elhaik (professeur à l'Ecole de Santé publique Johns Hopkins de Baltimore, aux Etats-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.
Parmi les Juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase – où se trouvait le royaume kazhar – et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.
Le royaume khazar aurait attiré des Juifs lors de sa prospérité. Selon certaines thèses, de nombreux Caucasiens se seraient alors convertis au judaïsme. Lors de l’effondrement du royaume, les habitants se seraient dispersés en Europe de l’Est, d’où la présence de fortes communautés juives.
Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive, qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue. Arthur Koestler avait déjà évoqué cette thèse dans La 13ème tribu.
Plus récemment, cette analyse biologique fait écho au livre de l’historien israélien Shlomo Sand qui avait fait grand bruit lors de sa publication. Dans Comment le peuple juif fut inventé (éditions Fayard), l’historien de l’université de Tel Aviv démontait la thèse du retour à la terre promise du peuple juif, argument principal du mouvement sioniste, né comme les autres mouvements nationalistes à la fin du 19e siècle.
Dans ce livre, il analysait les mouvements de conversions au judaïsme (dans le Caucase, mais aussi en Afrique du nord). «Les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple», écrivait Shlomo Sand, remettant en cause la thèse d’une diaspora linéaire.
https://www.francetvinfo.fr/monde/israel/les-juifs-d-europe-sont-ils-originaires-de-palestine_3070291.html
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Déconstruction d’une histoire mythique
Comment fut inventé le peuple juif
Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.
Victor Brauner. — « Coupe du doute » (1946)
Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.
S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.
Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.
D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.
Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.
Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.
Le judaïsme, religion prosélyte
Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Egypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.
Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci… était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.
Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.
L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.
Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle.
La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).
A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.
Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.
La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.
La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle.
L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).
Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.
Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».
Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.
Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».
Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.
Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.
Shlomo Sand
Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de Comment le peuple juif fut inventé, à paraître chez Fayard en septembre.
Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de Comment le peuple juif fut inventé, à paraître chez Fayard en septembre.
(1) Texte fondateur du judaïsme, la Torah — la racine hébraïque yara signifie enseigner — se compose des cinq premiers livres de la Bible, ou Pentateuque : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.
(2) Cf. David Ben Gourion et Yitzhak Ben Zvi, « Eretz Israël » dans le passé et dans le présent (1918, en yiddish), Jérusalem, 1980 (en hébreu) et Ben Zvi, Notre population dans le pays (en hébreu), Varsovie, Comité exécutif de l’Union de la jeunesse et Fonds national juif, 1929.
(3) La Mishna, considérée comme le premier ouvrage de littérature rabbinique, a été achevée au IIe siècle de notre ère. Le Talmud synthétise l’ensemble des débats rabbiniques concernant la loi, les coutumes et l’histoire des Juifs. Il y a deux Talmud : celui de Palestine, écrit entre le IIIe et le Ve siècle, et celui de Babylone, achevé à la fin du Ve siècle.
(4) Parlé par les Juifs d’Europe orientale, le yiddish est une langue slavo-allemande comprenant des mots issus de l’hébreu.
(5) Dans la mythologie grecque, Clio était la muse de l’Histoire.
https://www.monde-diplomatique.fr/2008/08/SAND/16205
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Mikaël Malik a écrit:Les Juifs d'Europe sont-ils originaires de Palestine ?
D'où viennent les Juifs d'Europe, les Ashkénazes ? Sont-ils originaires de Palestine, comme on le pense souvent, ou ont-ils d'autres origines ? Une étude génétique publiée le 17 janvier 2013 apporte un nouvel éclairage sur cette question sensible, en Israël notamment, relançant la thèse de Juifs issus de Khazars convertis.
Religieux du groupe Wiznitz Hassidim pendant les fêtes de Pourim. (YEHUDA RAIZNER / AFP)
Cette étude, publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution, a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1.287 individus non-apparentés descendants de huit groupes juifs et de 74 non-juifs. Le généticien Eran Elhaik (professeur à l'Ecole de Santé publique Johns Hopkins de Baltimore, aux Etats-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.
Parmi les Juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase – où se trouvait le royaume kazhar – et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.
Le royaume khazar aurait attiré des Juifs lors de sa prospérité. Selon certaines thèses, de nombreux Caucasiens se seraient alors convertis au judaïsme. Lors de l’effondrement du royaume, les habitants se seraient dispersés en Europe de l’Est, d’où la présence de fortes communautés juives.
Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive, qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue. Arthur Koestler avait déjà évoqué cette thèse dans La 13ème tribu.
Plus récemment, cette analyse biologique fait écho au livre de l’historien israélien Shlomo Sand qui avait fait grand bruit lors de sa publication. Dans Comment le peuple juif fut inventé (éditions Fayard), l’historien de l’université de Tel Aviv démontait la thèse du retour à la terre promise du peuple juif, argument principal du mouvement sioniste, né comme les autres mouvements nationalistes à la fin du 19e siècle.
Dans ce livre, il analysait les mouvements de conversions au judaïsme (dans le Caucase, mais aussi en Afrique du nord). «Les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple», écrivait Shlomo Sand, remettant en cause la thèse d’une diaspora linéaire.
https://www.francetvinfo.fr/monde/israel/les-juifs-d-europe-sont-ils-originaires-de-palestine_3070291.html
j'ai même entendu qu'il ne restait aucun vrai juif, que les seuls vrais juifs qui resterait sur terre depuis le 1er siècle étaient les premiers chrétiens qui étaient tous juifs, les autres juifs seraient morts depuis longtemps
c'était une prophétie et une promesse biblique de l'ancien testament, et pour nous aujourd'hui, cela fait partie d'un passé lointain, il faut bien comprendre que l'israël selon la chair d'aujourd'hui n'est qu'une imposture, une usurpation satanique que l'ONU a enfantée arbitrairement en 1948, ce sont aussi des antéchrists fini qui haïssent Jésus en se prenant et se croyant le peuple élu, il ne faut jamais l'oublier, et des ashkénazes issus d'europe de l'est avec une conversion au 8e siècle, je n'en parle même pas
Deutéronome 4:26
j'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre, -vous disparaîtrez par une mort rapide du pays dont vous allez prendre possession au delà du Jourdain, vous n'y prolongerez pas vos jours, car vous serez entièrement détruits.
1 Rois 9:7
j'exterminerai Israël du pays que je lui ai donné, je rejetterai loin de moi la maison que j'ai consacrée à mon nom, et Israël sera un sujet de sarcasme et de raillerie parmi tous les peuples.
2 Rois 17:23
jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
Michée 3:12
C'est pourquoi, à cause de vous, Sion sera labourée comme un champ, Jérusalem deviendra un monceau de pierres, Et la montagne du temple une sommité couverte de bois.
CELA EST DEJA ARRIVE DANS LE PASSE : Ælia Capitolina est le nom donné à Jérusalem par l'empereur Hadrien (Ælius Adrianus)
Le plan de Jérusalem selon la carte de Madaba (fin du VIe siècle). Le cardo maximus à double portique traverse presque toute la ville, depuis la porte de Damas (à gauche) et vient buter au sud (à droite sur la carte) sur les églises chrétiennes qui ont été construites à partir du IVe siècle. En 134, l'Empereur Hadrien réprime la dernière révolte juive de Bar Kokhba, suite à cet défaite et pour punir les Juifs de leur rébellion, Jérusalem est rebaptisée du nom de Ælia Capitolina
Jupiter Capitolin
Temple dédié à Jupiter et porte le nom de Jupiter Capitolin en cette raison.
Temple de Jupiter, Baalbek
jésus avait prédit qu'il ne resterait rien du temple et de jérusalem, et pour nous, c'est du passé
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Aelia Capitolina, Jérusalem romanisée (70-325)
https://www.histoirealacarte.com/Jerusalem-histoire-de-la-ville-biblique-a-nos-jours/aelia-capitolina-jerusalem-romanisee-70-325
______________________________________________________
Tout ce que vous avez dit en secret sera crié sur les toits en terrasse - Luc 13:3. C'est bien ce qui se passe avec internet depuis une bonne dizaine d'années
EX-Témoin- Membre - V.I.P
- Religion : *
Sexe : Messages : 3098
Localisation : oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
EX-Témoin a écrit:Mikaël Malik a écrit:Les Juifs d'Europe sont-ils originaires de Palestine ?
D'où viennent les Juifs d'Europe, les Ashkénazes ? Sont-ils originaires de Palestine, comme on le pense souvent, ou ont-ils d'autres origines ? Une étude génétique publiée le 17 janvier 2013 apporte un nouvel éclairage sur cette question sensible, en Israël notamment, relançant la thèse de Juifs issus de Khazars convertis.
Religieux du groupe Wiznitz Hassidim pendant les fêtes de Pourim. (YEHUDA RAIZNER / AFP)
Cette étude, publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution, a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1.287 individus non-apparentés descendants de huit groupes juifs et de 74 non-juifs. Le généticien Eran Elhaik (professeur à l'Ecole de Santé publique Johns Hopkins de Baltimore, aux Etats-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.
Parmi les Juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase – où se trouvait le royaume kazhar – et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.
Le royaume khazar aurait attiré des Juifs lors de sa prospérité. Selon certaines thèses, de nombreux Caucasiens se seraient alors convertis au judaïsme. Lors de l’effondrement du royaume, les habitants se seraient dispersés en Europe de l’Est, d’où la présence de fortes communautés juives.
Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive, qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue. Arthur Koestler avait déjà évoqué cette thèse dans La 13ème tribu.
Plus récemment, cette analyse biologique fait écho au livre de l’historien israélien Shlomo Sand qui avait fait grand bruit lors de sa publication. Dans Comment le peuple juif fut inventé (éditions Fayard), l’historien de l’université de Tel Aviv démontait la thèse du retour à la terre promise du peuple juif, argument principal du mouvement sioniste, né comme les autres mouvements nationalistes à la fin du 19e siècle.
Dans ce livre, il analysait les mouvements de conversions au judaïsme (dans le Caucase, mais aussi en Afrique du nord). «Les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple», écrivait Shlomo Sand, remettant en cause la thèse d’une diaspora linéaire.
https://www.francetvinfo.fr/monde/israel/les-juifs-d-europe-sont-ils-originaires-de-palestine_3070291.html
j'ai même entendu qu'il ne restait aucun vrai juif, que les seuls vrais juifs qui resterait sur terre depuis le 1er siècle étaient les premiers chrétiens qui étaient tous juifs, les autres juifs seraient morts depuis longtemps
c'était une prophétie et une promesse biblique de l'ancien testament, et pour nous aujourd'hui, cela fait partie d'un passé lointain, il faut bien comprendre que l'israël selon la chair d'aujourd'hui n'est qu'une imposture, une usurpation satanique que l'ONU a enfantée arbitrairement en 1948, ce sont aussi des antéchrists fini qui haïssent Jésus en se prenant et se croyant le peuple élu, il ne faut jamais l'oublier, et des ashkénazes issus d'europe de l'est avec une conversion au 8e siècle, je n'en parle même pas
Deutéronome 4:26
j'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre, -vous disparaîtrez par une mort rapide du pays dont vous allez prendre possession au delà du Jourdain, vous n'y prolongerez pas vos jours, car vous serez entièrement détruits.
1 Rois 9:7
j'exterminerai Israël du pays que je lui ai donné, je rejetterai loin de moi la maison que j'ai consacrée à mon nom, et Israël sera un sujet de sarcasme et de raillerie parmi tous les peuples.
2 Rois 17:23
jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
Michée 3:12
C'est pourquoi, à cause de vous, Sion sera labourée comme un champ, Jérusalem deviendra un monceau de pierres, Et la montagne du temple une sommité couverte de bois.
CELA EST DEJA ARRIVE DANS LE PASSE : Ælia Capitolina est le nom donné à Jérusalem par l'empereur Hadrien (Ælius Adrianus)
Le plan de Jérusalem selon la carte de Madaba (fin du VIe siècle). Le cardo maximus à double portique traverse presque toute la ville, depuis la porte de Damas (à gauche) et vient buter au sud (à droite sur la carte) sur les églises chrétiennes qui ont été construites à partir du IVe siècle. En 134, l'Empereur Hadrien réprime la dernière révolte juive de Bar Kokhba, suite à cet défaite et pour punir les Juifs de leur rébellion, Jérusalem est rebaptisée du nom de Ælia Capitolina
Jupiter Capitolin
Temple dédié à Jupiter et porte le nom de Jupiter Capitolin en cette raison.
Temple de Jupiter, Baalbekjésus avait prédit qu'il ne resterait rien du temple et de jérusalem, et pour nous, c'est du passé
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Aelia Capitolina, Jérusalem romanisée (70-325)
https://www.histoirealacarte.com/Jerusalem-histoire-de-la-ville-biblique-a-nos-jours/aelia-capitolina-jerusalem-romanisee-70-325
C'est très intéressant, je me suis aussi penché sur le cas Séfarade, et il semblerait qu'eux non plus ne sont pas les descendants d'Israël selon la chair puisque Dieu avait promis que tous les Juifs disparaitraient de la surface de la terre, et comme vous le dites, il semblerait aussi que le reste des Juifs étaient ceux qui ont, à juste titre, écouté et suivi Jésus, car, les Juifs du 1er siècle à nos jours qui connaît leur parcours ? Leurs ascendants et leurs descendants avec certitude ?
Nous savons déjà avec certitude que les ashkénazes ne sont pas issus du peuple d'Israël, mais, la question se pose aussi sur les séfarades qui, apparemment, ne seraient pas non plus issus du peuple d'Israël antique, comme beaucoup le croient.
Les versets que vous citez sont clairs, Israël a déjà été détruit, ainsi que le Temple en 70, Jésus l'avait prédit, Moïse avait aussi dit que s'ils n'écoutaient le prophète tel que lui, à dire, Jésus, Israël serait exterminé.
Deutéronome 18:17
L'Eternel me dit: Ce qu'ils ont dit est bien. 18 Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. 19 Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en mon nom, c'est moi qui lui en demanderai compte.
Actes 3:22 Moïse a dit: Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d'entre vos frères un prophète comme moi; vous l'écouterez dans tout ce qu'il vous dira, 23 et quiconque n'écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple. 24Tous les prophètes qui ont successivement parlé, depuis Samuel, ont aussi annoncé ces jours-là.
Actes 13:38-41
Sachez donc, hommes frères, que c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, 39 et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse.
Actes 2:38
Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
Re: Les Ashkénazes ne descendent pas d'Israël
Séfarades : l’exil douloureux des juifs de MéditerranéeMikaël Malik a écrit:
- Spoiler:
EX-TémoinMikaël Malik a écrit:Les Juifs d'Europe sont-ils originaires de Palestine ?
D'où viennent les Juifs d'Europe, les Ashkénazes ? Sont-ils originaires de Palestine, comme on le pense souvent, ou ont-ils d'autres origines ? Une étude génétique publiée le 17 janvier 2013 apporte un nouvel éclairage sur cette question sensible, en Israël notamment, relançant la thèse de Juifs issus de Khazars convertis.
Religieux du groupe Wiznitz Hassidim pendant les fêtes de Pourim. (YEHUDA RAIZNER / AFP)
Cette étude, publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution, a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1.287 individus non-apparentés descendants de huit groupes juifs et de 74 non-juifs. Le généticien Eran Elhaik (professeur à l'Ecole de Santé publique Johns Hopkins de Baltimore, aux Etats-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l'origine géographique d'un groupe.
Parmi les Juifs d'Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase – où se trouvait le royaume kazhar – et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.
Le royaume khazar aurait attiré des Juifs lors de sa prospérité. Selon certaines thèses, de nombreux Caucasiens se seraient alors convertis au judaïsme. Lors de l’effondrement du royaume, les habitants se seraient dispersés en Europe de l’Est, d’où la présence de fortes communautés juives.
Selon Eran Elhaik, l'histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive, qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue. Arthur Koestler avait déjà évoqué cette thèse dans La 13ème tribu.
Plus récemment, cette analyse biologique fait écho au livre de l’historien israélien Shlomo Sand qui avait fait grand bruit lors de sa publication. Dans Comment le peuple juif fut inventé (éditions Fayard), l’historien de l’université de Tel Aviv démontait la thèse du retour à la terre promise du peuple juif, argument principal du mouvement sioniste, né comme les autres mouvements nationalistes à la fin du 19e siècle.
Dans ce livre, il analysait les mouvements de conversions au judaïsme (dans le Caucase, mais aussi en Afrique du nord). «Les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple», écrivait Shlomo Sand, remettant en cause la thèse d’une diaspora linéaire.
https://www.francetvinfo.fr/monde/israel/les-juifs-d-europe-sont-ils-originaires-de-palestine_3070291.html
j'ai même entendu qu'il ne restait aucun vrai juif, que les seuls vrais juifs qui resterait sur terre depuis le 1er siècle étaient les premiers chrétiens qui étaient tous juifs, les autres juifs seraient morts depuis longtemps
c'était une prophétie et une promesse biblique de l'ancien testament, et pour nous aujourd'hui, cela fait partie d'un passé lointain, il faut bien comprendre que l'israël selon la chair d'aujourd'hui n'est qu'une imposture, une usurpation satanique que l'ONU a enfantée arbitrairement en 1948, ce sont aussi des antéchrists fini qui haïssent Jésus en se prenant et se croyant le peuple élu, il ne faut jamais l'oublier, et des ashkénazes issus d'europe de l'est avec une conversion au 8e siècle, je n'en parle même pas
Deutéronome 4:26
j'en prends aujourd'hui à témoin contre vous le ciel et la terre, -vous disparaîtrez par une mort rapide du pays dont vous allez prendre possession au delà du Jourdain, vous n'y prolongerez pas vos jours, car vous serez entièrement détruits.
1 Rois 9:7
j'exterminerai Israël du pays que je lui ai donné, je rejetterai loin de moi la maison que j'ai consacrée à mon nom, et Israël sera un sujet de sarcasme et de raillerie parmi tous les peuples.
2 Rois 17:23
jusqu'à ce que l'Eternel eût chassé Israël loin de sa face, comme il l'avait annoncé par tous ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, où il est resté jusqu'à ce jour.
Michée 3:12
C'est pourquoi, à cause de vous, Sion sera labourée comme un champ, Jérusalem deviendra un monceau de pierres, Et la montagne du temple une sommité couverte de bois.
CELA EST DEJA ARRIVE DANS LE PASSE : Ælia Capitolina est le nom donné à Jérusalem par l'empereur Hadrien (Ælius Adrianus)
Le plan de Jérusalem selon la carte de Madaba (fin du VIe siècle). Le cardo maximus à double portique traverse presque toute la ville, depuis la porte de Damas (à gauche) et vient buter au sud (à droite sur la carte) sur les églises chrétiennes qui ont été construites à partir du IVe siècle. En 134, l'Empereur Hadrien réprime la dernière révolte juive de Bar Kokhba, suite à cet défaite et pour punir les Juifs de leur rébellion, Jérusalem est rebaptisée du nom de Ælia Capitolina
Jupiter Capitolin
Temple dédié à Jupiter et porte le nom de Jupiter Capitolin en cette raison.
Temple de Jupiter, Baalbekjésus avait prédit qu'il ne resterait rien du temple et de jérusalem, et pour nous, c'est du passé
Matthieu 24:1 Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2 Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.
Aelia Capitolina, Jérusalem romanisée (70-325)
https://www.histoirealacarte.com/Jerusalem-histoire-de-la-ville-biblique-a-nos-jours/aelia-capitolina-jerusalem-romanisee-70-325
C'est très intéressant, je me suis aussi penché sur le cas Séfarade, et il semblerait qu'eux non plus ne sont pas les descendants d'Israël selon la chair puisque Dieu avait promis que tous les Juifs disparaitraient de la surface de la terre, et comme vous le dites, il semblerait aussi que le reste des Juifs étaient ceux qui ont, à juste titre, écouté et suivi Jésus, car, les Juifs du 1er siècle à nos jours qui connaît leur parcours ? Leurs ascendants et leurs descendants avec certitude ?
Nous savons déjà avec certitude que les ashkénazes ne sont pas issus du peuple d'Israël, mais, la question se pose aussi sur les séfarades qui, apparemment, ne seraient pas non plus issus du peuple d'Israël antique, comme beaucoup le croient.
Les versets que vous citez sont clairs, Israël a déjà été détruit, ainsi que le Temple en 70, Jésus l'avait prédit, Moïse avait aussi dit que s'ils n'écoutaient le prophète tel que lui, à dire, Jésus, Israël serait exterminé.
Deutéronome 18:17
L'Eternel me dit: Ce qu'ils ont dit est bien. 18 Je leur susciterai du milieu de leurs frères un prophète comme toi, je mettrai mes paroles dans sa bouche, et il leur dira tout ce que je lui commanderai. 19 Et si quelqu'un n'écoute pas mes paroles qu'il dira en mon nom, c'est moi qui lui en demanderai compte.
Actes 3:22 Moïse a dit: Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d'entre vos frères un prophète comme moi; vous l'écouterez dans tout ce qu'il vous dira, 23 et quiconque n'écoutera pas ce prophète sera exterminé du milieu du peuple. 24Tous les prophètes qui ont successivement parlé, depuis Samuel, ont aussi annoncé ces jours-là.
Actes 13:38-41
Sachez donc, hommes frères, que c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, 39 et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse.
Actes 2:38
Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.
Sefarad, en hébreu, désigne la péninsule Ibérique : le mot a donné son nom aux juifs qui en ont été expulsés à partir de 1492.
Commence le temps d'une grande diaspora pour ces milliers d'exilés, qui s'établissent dans des communautés tout autour de la Méditerranée.
Intérieur de la synagogue Santa Maria la Blanca à Tolède, Espagne. Érigée en 1180, elle est considérée comme la plus ancienne synagogue d'Europe encore debout
Entre le XIVe et le XVIe siècle, des centaines de milliers de personnes ayant en commun des origines juives sont contraintes de quitter Sefarad – nom donné à la péninsule Ibérique –, la terre où elles vivaient depuis des siècles, et de se disperser de par le monde.
Beaucoup d’entre elles étaient les descendants des juifs qui, du XIIe au XIVe siècle, s’étaient établis dans les royaumes de la péninsule après avoir été expulsés d’autres pays européens (France, Saint Empire romain germanique, Angleterre, pays de Galles).
Sefarad ne fut pas leur seule destination, et le royaume de Pologne accueillit également des communautés juives issues de ces diasporas successives s’ajoutant à celles venues d’Autriche, de Hongrie, de Lituanie et de régions aussi éloignées que la Crimée.
À lire aussi : Quand les juifs furent chassés du royaume d’Espagne
Ces expulsions médiévales ont dessiné les deux grands groupes juifs tels qu’ils existent encore de nos jours. D’une part, les Séfarades, dont la langue, le judéo-espagnol ou ladino, est empruntée au castillan ancien mêlé d’hébreu, d’italien et de turc. D’autre part, les Ashkénazes, qui parlent le yiddish, basé sur du haut allemand médiéval, auquel s’ajoutent l’hébreu et des langues slaves, dont le polonais.
Expulsion générale
Si les Rois Catholiques décrètent en 1492 l’expulsion générale des juifsLe terme de « séfarade », appliqué à toutes les populations juives, désigne, à proprement parler, les descendants des réfugiés d'Espagne et du Portugal
A suivre
______________________________________________________
« L’erreur va de pair avec l’oppression. La vérité et la liberté ne craignent pas l’investigation. Ce sont des dons divins, c’est pourquoi toute organisation hostile à la liberté agit contre Dieu. Réveillez-vous! 1961 »
Mikaël Malik- Modérateur Locaux
- Religion : Libre
Sexe : Messages : 3493
Localisation : Oui
EX-Témoin aime ce message
Page 6 sur 8 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8
Forum Religion : Le Forum des Religions Pluriel :: ○ Religions & Cie :: Critiques/Religions :: Judaïsme / Talmud / Messianique / Kabbale
Page 6 sur 8
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum