Royaume du Maroc
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Royaume du Maroc
Le roi Mohammed VI dénonce une « islamophobie inquiétante » en Occident
16 avril 2016 - 12h40 - Maroc
Le roi Mohammed VI dénonce une « islamophobie inquiétante » en Occident
Le roi Mohammed VI a dénoncé « une islamophobie grandissante et inquiétante » lors du 13è sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui s’est déroulé à Istanbul en Turquie cette semaine.
Pour le Souverain, dont le discours a été lu par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération marocain, Salaheddine Mezouar, « la situation s’est détériorée davantage avec la montée, ces dernières décennies, dans les sociétés occidentales, de courants hostiles à l’Islam et avec la culture de la peur, de la méfiance et de la haine à l’égard des minorités musulmanes. Il s’agit, en particulier, d’immigrés issus de nos pays respectifs et vivant au sein de sociétés imprégnées des valeurs de respect des droits de l’Homme, notamment, et au premier chef, celles de la bienveillance, la tolérance, la solidarité et l’assistance mutuelle. »
« Une islamophobie grandissante et fort inquiétante »
Le roi Mohammed VI a accusé des voix hostiles à l’Islam d’attiser « les sentiments de haine et mobilisant l’opinion publique occidentale contre cette religion, à la faveur d’une islamophobie grandissante et fort inquiétante » et a appelé à « établir et mettre en œuvre les stratégies et les programmes de réforme appropriés, dans le plein respect des spécificités nationales et sur les bases de solidarité et de coopération au sein de l’espace régional et au niveau international. »
16 avril 2016 - 12h40 - Maroc
Le roi Mohammed VI dénonce une « islamophobie inquiétante » en Occident
Le roi Mohammed VI a dénoncé « une islamophobie grandissante et inquiétante » lors du 13è sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) qui s’est déroulé à Istanbul en Turquie cette semaine.
Pour le Souverain, dont le discours a été lu par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération marocain, Salaheddine Mezouar, « la situation s’est détériorée davantage avec la montée, ces dernières décennies, dans les sociétés occidentales, de courants hostiles à l’Islam et avec la culture de la peur, de la méfiance et de la haine à l’égard des minorités musulmanes. Il s’agit, en particulier, d’immigrés issus de nos pays respectifs et vivant au sein de sociétés imprégnées des valeurs de respect des droits de l’Homme, notamment, et au premier chef, celles de la bienveillance, la tolérance, la solidarité et l’assistance mutuelle. »
« Une islamophobie grandissante et fort inquiétante »
Le roi Mohammed VI a accusé des voix hostiles à l’Islam d’attiser « les sentiments de haine et mobilisant l’opinion publique occidentale contre cette religion, à la faveur d’une islamophobie grandissante et fort inquiétante » et a appelé à « établir et mettre en œuvre les stratégies et les programmes de réforme appropriés, dans le plein respect des spécificités nationales et sur les bases de solidarité et de coopération au sein de l’espace régional et au niveau international. »
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Re: Royaume du Maroc
Sahara Occidental : «Une étincelle peut mettre le feu à la forêt», prévient l’Union africaine
Manifestation anti-Ban Ki-moon à Rabat
Des milliers de Marocains manifestent contre le Secrétaire général de l'ONU, le 13 mars 2016 à Rabat, au lendemain de la visite de Ban Ki-moon dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie. © Photo AFP/Fadel Senna
Doit-on craindre la reprise de la guerre des sables au Sahara Occidental? L’Union africaine n’exclut pas ce risque alors que les tractations se poursuivent à New York sur le renouvellement du mandat de la Minurso, la mission des Nations Unies dans l’ancienne colonie espagnole, dont les membres de la composante politique ont été expulsés par le Maroc.
L’Union africaine a réagi par la voix de son envoyé spécial pour le Sahara Occidental, Joachim Chissano. Il participait à New York à une réunion informelle du Conseil de sécurité convoquée par l’Angola et le Venezuela.
Il a appelé la communauté internationale à réagir avec fermeté pour éviter le risque d’une escalade dangereuse dans la région. «Le Sahara Occidental peut apparaître comme un petit problème, mais n’oublions pas qu’une étincelle peut mettre le feu à la forêt», a prévenu Joachim Chissano.
Pour lui, il est grand temps de mettre fin «à la frustration croissante dans les camps de réfugiés sahraouis» en donnant à ce peuple l’occasion de choisir librement son destin.
L’ancien président du Mozambique s’est dit consterné par la querelle qui oppose le Maroc au Secrétaire général de l’ONU depuis ses propos sur «l’occupation» du Sahara par le Maroc. Rabat avait expulsé dans la foulée 84 membres civils de la mission de l’ONU au Sahara Occidental. Du coup, la Minurso ne peut plus remplir son mandat. Un dangereux précédent pour d’autres missions de paix de l’ONU, selon Joachim Chissano.
L’envoyé spécial de l’Union africaine au Sahara Occidental appelle l’ONU à «fixer une date pour tenir le référendum d’autodétermination» au Sahara Occidental et à dénoncer «l’exploitation des ressources naturelles» du territoire sahraoui par le Maroc.
Joachim Chissano
L'ancien président du Mozambique, Joachim Chissano, envoyé spécial de l'Union africaine pour le Sahara Occidental. Il invite l'ONU à règler le conflit pour éviter une nouvelle guerre.
Voilà qui ne va pas arranger les choses entre l’Union africaine et Rabat qui accuse depuis longtemps l’organisation continentale de partialité. C’est la raison invoquée par le Maroc pour avoir claqué la porte de l’organisation de l’unité africaine en novembre 1984.
Le Front Polisario hausse le ton
Le Front Polisario a aussi averti des risques d’une reprise du conflit si le Conseil ne forçait pas le Maroc, y compris par des sanctions, à revenir sur sa décision d’expulsion des experts civils de l’ONU.
«C’est un défi sans précédent lancé au Conseil», a estimé Amhamed Khadad, un haut responsable du Front Polisario. Cette crise «a été fabriquée par le Maroc pour masquer sa volonté de ne pas s’engager dans des négociations sérieuses» pour régler le conflit, a-t-il affirmé à la presse.
Une décision «souveraine et irrévocable»
Le Maroc affirme pour sa part qu’il reste attaché au respect du cessez-le-feu et refuse toute tentative visant à saper son projet d’autonomie pour le Sahara. Même le Roi Mohamed VI a rompu le silence pour réaffirmer l’appartenance de ce territoire à son Royaume. C’était le 20 avril 2016, devant le premier sommet Maroc-Etats du Golfe tenu à Ryad. Ban Ki-moon, a-t-il affirmé, «mène une guerre par procuration… Il est instrumentalisé pour essayer de porter atteinte aux droits historiques et légitimes du Maroc concernant le Sahara.»
Le Maroc propose depuis 2007 un plan d’autonomie pour le Sahara Occidental, qu’il considère comme partie intégrante du royaume. Tandis que les indépendantistes du Polisario, soutenus par l’Algérie, réclament un référendum d’autodétermination.
Le bras de fer engagé à New York sur le conflit du Sahara Occidental est encore loin de trouver une issue pacifique
Manifestation anti-Ban Ki-moon à Rabat
Des milliers de Marocains manifestent contre le Secrétaire général de l'ONU, le 13 mars 2016 à Rabat, au lendemain de la visite de Ban Ki-moon dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie. © Photo AFP/Fadel Senna
Doit-on craindre la reprise de la guerre des sables au Sahara Occidental? L’Union africaine n’exclut pas ce risque alors que les tractations se poursuivent à New York sur le renouvellement du mandat de la Minurso, la mission des Nations Unies dans l’ancienne colonie espagnole, dont les membres de la composante politique ont été expulsés par le Maroc.
L’Union africaine a réagi par la voix de son envoyé spécial pour le Sahara Occidental, Joachim Chissano. Il participait à New York à une réunion informelle du Conseil de sécurité convoquée par l’Angola et le Venezuela.
Il a appelé la communauté internationale à réagir avec fermeté pour éviter le risque d’une escalade dangereuse dans la région. «Le Sahara Occidental peut apparaître comme un petit problème, mais n’oublions pas qu’une étincelle peut mettre le feu à la forêt», a prévenu Joachim Chissano.
Pour lui, il est grand temps de mettre fin «à la frustration croissante dans les camps de réfugiés sahraouis» en donnant à ce peuple l’occasion de choisir librement son destin.
L’ancien président du Mozambique s’est dit consterné par la querelle qui oppose le Maroc au Secrétaire général de l’ONU depuis ses propos sur «l’occupation» du Sahara par le Maroc. Rabat avait expulsé dans la foulée 84 membres civils de la mission de l’ONU au Sahara Occidental. Du coup, la Minurso ne peut plus remplir son mandat. Un dangereux précédent pour d’autres missions de paix de l’ONU, selon Joachim Chissano.
L’envoyé spécial de l’Union africaine au Sahara Occidental appelle l’ONU à «fixer une date pour tenir le référendum d’autodétermination» au Sahara Occidental et à dénoncer «l’exploitation des ressources naturelles» du territoire sahraoui par le Maroc.
Joachim Chissano
L'ancien président du Mozambique, Joachim Chissano, envoyé spécial de l'Union africaine pour le Sahara Occidental. Il invite l'ONU à règler le conflit pour éviter une nouvelle guerre.
Voilà qui ne va pas arranger les choses entre l’Union africaine et Rabat qui accuse depuis longtemps l’organisation continentale de partialité. C’est la raison invoquée par le Maroc pour avoir claqué la porte de l’organisation de l’unité africaine en novembre 1984.
Le Front Polisario hausse le ton
Le Front Polisario a aussi averti des risques d’une reprise du conflit si le Conseil ne forçait pas le Maroc, y compris par des sanctions, à revenir sur sa décision d’expulsion des experts civils de l’ONU.
«C’est un défi sans précédent lancé au Conseil», a estimé Amhamed Khadad, un haut responsable du Front Polisario. Cette crise «a été fabriquée par le Maroc pour masquer sa volonté de ne pas s’engager dans des négociations sérieuses» pour régler le conflit, a-t-il affirmé à la presse.
Une décision «souveraine et irrévocable»
Le Maroc affirme pour sa part qu’il reste attaché au respect du cessez-le-feu et refuse toute tentative visant à saper son projet d’autonomie pour le Sahara. Même le Roi Mohamed VI a rompu le silence pour réaffirmer l’appartenance de ce territoire à son Royaume. C’était le 20 avril 2016, devant le premier sommet Maroc-Etats du Golfe tenu à Ryad. Ban Ki-moon, a-t-il affirmé, «mène une guerre par procuration… Il est instrumentalisé pour essayer de porter atteinte aux droits historiques et légitimes du Maroc concernant le Sahara.»
Le Maroc propose depuis 2007 un plan d’autonomie pour le Sahara Occidental, qu’il considère comme partie intégrante du royaume. Tandis que les indépendantistes du Polisario, soutenus par l’Algérie, réclament un référendum d’autodétermination.
Le bras de fer engagé à New York sur le conflit du Sahara Occidental est encore loin de trouver une issue pacifique
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Re: Royaume du Maroc
yacoub -- L'islamophobie & un mot qui veut dire "peur de l'islam" -- Je suis cert@in que le Roi Mohammed VI qui est très intelligent sait très bien pourquoi en Occident les gens ont peur de l'islam
Manouche- Messages : 734
Re: Royaume du Maroc
DES ÉTUDIANTS RASENT LA TÊTE ET LES SOURCILS D’UNE JEUNE FILLE
Incroyable mais vrai : des étudiants à Meknès rasent les cheveux et les sourcils d'une jeune fille employée à la cafétéria de l'université. Deux d'entre eux ont été arrêtés. L’affaire paraît surnaturelle, mais pourtant, cela s’est bien passé au Maroc, et précisément à Meknès où des étudiants de la faculté de sciences ont décidé de juger une jeune fille qui travaille dans la cafétéria de l’université et d’appliquer leur sentence sur le champs en lui rasant de force les cheveux et les sourcils. Les faits remontent à lundi quand, selon le site arabophone Filwajiha, des étudiants d’un courant extrémiste ont exigé le départ de la jeune fille. Devant le refus de celle-ci, ils ont décidé de la punir. Ils ont également battu jusqu’au sang sa soeur qui avait essayé de s’interposer. Mais cette violence gratuite contre deux jeunes filles innocentes n’est restée longtemps impunie puisque les deux agresseurs présumés ont été arrêtés par les services de la police judiciaire de la préfecture de police de Meknès après des investigations de rigueur qui ont conduit à leurs arrestations, explique un communiqué de la DGSN. Les deux prévenus ont été placés en garde à vue, et l’enquête continue afin d’arrêter tous ceux qui ont participé à ces actes de violence. Ce malheureux fait nous rappelle malheureusement que les citoyens qui se prennent pour des gardiens de la morale et des bonnes moeurs sont légion. Mais si la diligence menée par les forces de l’ordre pour mettre un terme aux exactions et arrêter les agresseurs, il n’en demeure pas moins que ces conduites dangereuses doivent faire craindre le pire aux honnêtes citoyens.
Reproduction interdite sauf mention de la source :
http://www.illionweb.com/societe/coup-de-gueule/des-etudiants-rasent-la-tete-et-les-sourcils-dune-jeune-fille/
Copyright © illionweb.ma
Incroyable mais vrai : des étudiants à Meknès rasent les cheveux et les sourcils d'une jeune fille employée à la cafétéria de l'université. Deux d'entre eux ont été arrêtés. L’affaire paraît surnaturelle, mais pourtant, cela s’est bien passé au Maroc, et précisément à Meknès où des étudiants de la faculté de sciences ont décidé de juger une jeune fille qui travaille dans la cafétéria de l’université et d’appliquer leur sentence sur le champs en lui rasant de force les cheveux et les sourcils. Les faits remontent à lundi quand, selon le site arabophone Filwajiha, des étudiants d’un courant extrémiste ont exigé le départ de la jeune fille. Devant le refus de celle-ci, ils ont décidé de la punir. Ils ont également battu jusqu’au sang sa soeur qui avait essayé de s’interposer. Mais cette violence gratuite contre deux jeunes filles innocentes n’est restée longtemps impunie puisque les deux agresseurs présumés ont été arrêtés par les services de la police judiciaire de la préfecture de police de Meknès après des investigations de rigueur qui ont conduit à leurs arrestations, explique un communiqué de la DGSN. Les deux prévenus ont été placés en garde à vue, et l’enquête continue afin d’arrêter tous ceux qui ont participé à ces actes de violence. Ce malheureux fait nous rappelle malheureusement que les citoyens qui se prennent pour des gardiens de la morale et des bonnes moeurs sont légion. Mais si la diligence menée par les forces de l’ordre pour mettre un terme aux exactions et arrêter les agresseurs, il n’en demeure pas moins que ces conduites dangereuses doivent faire craindre le pire aux honnêtes citoyens.
Reproduction interdite sauf mention de la source :
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Re: Royaume du Maroc
le maroc est magnifique mais l@ corruption est monnaie courante et les démarches administratives quel cauchemar -- sinon le roi hassan 2
il était tres instruit et intelligent
il était tres instruit et intelligent
Manouche- Messages : 734
Re: Royaume du Maroc
Hassan II disait que le Saint Coran lui colle à la peau et qu'il ne peut vraiment faire aucune réforme sérieuse de la société marocaine.
Valls et l’islam en France : qui croire ?
Manuel Valls veut nous faire croire qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité », parce que l’islam serait « tolérant, ouvert, pleinement compatible avec nos valeurs et la République ». M. Valls voit-il un seul pays musulman où les droits de l’homme sont respectés, en particulier celui de la liberté religieuse ?
Le président honoraire du Conseil Français du Culte musulman et recteur de la Grande Mosquée de Paris affirme : « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. […] Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire. » (Le Figaro Magazine, 29 juin 2002) ?
Qui nous ment, Manuel Valls ou Dalil Boubakeur ?
Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, écrit : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques.[…] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. » (Déclaration islamique).
Qui nous ment, Manuel Valls ou Alija Izetbegovic ?
Hassan al-Bannâ (1906-1949), père des Frères Musulmans et de notre UOIF, enseignait : « L’islam est dogme et culte, patrie et nationalité, religion et État, spiritualité et action. » à la suite de Mahomet (Alain Durand, L’Islam au risque de la laïcité : Émergences et ruptures, L’Harmattan, 2005, p.107).
Qui nous ment, Manuel Valls ou Hassan al-Bannâ ?
Feu Hassan II, roi du Maroc et Commandeur des croyants, reconnaît : « Je ne suis pas un chef d’État laïc car à partir du moment où on est musulman, on ne peut pas être laïc. En réalité, tous les chefs d’État du monde musulman, je ne dis pas arabe, ne sont pas des chefs d’État laïcs. Et quand ils disent qu’ils veulent être laïcs, je dis qu’ils ne sont plus musulmans, car le droit musulman nous colle à la peau, qu’on le veuille ou non, tant au plan du droit public que sur le plan du droit privé. »
Qui nous ment, le Commandeur des croyants ou Manuel Valls ?
Valls ne croit-il donc pas à la parole d’Allah et de Mahomet son prophète : «Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul! (Coran 60.4) » ?
Qui nous ment, M. Valls ou Allah et son Prophète ?
La Cour européenne des droits de l’homme a déclaré la charia incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie.
Qui nous ment, Manuel Valls ou la Cour européenne ?
Que conclure, sinon que les agents de l’islamisation de la France, et donc de sa perte, ne sont pas d’abord ceux que l’on croit ?
Mais comment cela est-il possible ? Tout simplement parce que l’on ne peut pas servir deux maîtres, Dieu et l’argent (Mt 6.24), Jésus-Christ et Satan (2 Co 6.14-18), et que ceux que les Français ont élus, pour recevoir de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite, non seulement leur vendent la France, qui ne serait pas ce qu’elle est sans la foi en Jésus-Christ et les innombrables bienfaits transmis par Son Église, mais en viennent à servir le dieu de leurs nouveaux maîtres…
Abbé Guy Pagès
Valls et l’islam en France : qui croire ?
Manuel Valls veut nous faire croire qu’il est possible de « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité », parce que l’islam serait « tolérant, ouvert, pleinement compatible avec nos valeurs et la République ». M. Valls voit-il un seul pays musulman où les droits de l’homme sont respectés, en particulier celui de la liberté religieuse ?
Le président honoraire du Conseil Français du Culte musulman et recteur de la Grande Mosquée de Paris affirme : « L’islam est à la fois une religion, une communauté, une loi et une civilisation. […] Ne sont pas seulement musulmans ceux qui pratiquent les cinq piliers de l’islam, mais tous ceux qui appartiennent à cet ensemble identitaire. » (Le Figaro Magazine, 29 juin 2002) ?
Qui nous ment, Manuel Valls ou Dalil Boubakeur ?
Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000, écrit : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques.[…] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. Notre première tâche doit être de gagner non le pouvoir mais les hommes. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. » (Déclaration islamique).
Qui nous ment, Manuel Valls ou Alija Izetbegovic ?
Hassan al-Bannâ (1906-1949), père des Frères Musulmans et de notre UOIF, enseignait : « L’islam est dogme et culte, patrie et nationalité, religion et État, spiritualité et action. » à la suite de Mahomet (Alain Durand, L’Islam au risque de la laïcité : Émergences et ruptures, L’Harmattan, 2005, p.107).
Qui nous ment, Manuel Valls ou Hassan al-Bannâ ?
Feu Hassan II, roi du Maroc et Commandeur des croyants, reconnaît : « Je ne suis pas un chef d’État laïc car à partir du moment où on est musulman, on ne peut pas être laïc. En réalité, tous les chefs d’État du monde musulman, je ne dis pas arabe, ne sont pas des chefs d’État laïcs. Et quand ils disent qu’ils veulent être laïcs, je dis qu’ils ne sont plus musulmans, car le droit musulman nous colle à la peau, qu’on le veuille ou non, tant au plan du droit public que sur le plan du droit privé. »
Qui nous ment, le Commandeur des croyants ou Manuel Valls ?
Valls ne croit-il donc pas à la parole d’Allah et de Mahomet son prophète : «Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul! (Coran 60.4) » ?
Qui nous ment, M. Valls ou Allah et son Prophète ?
La Cour européenne des droits de l’homme a déclaré la charia incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie.
Qui nous ment, Manuel Valls ou la Cour européenne ?
Que conclure, sinon que les agents de l’islamisation de la France, et donc de sa perte, ne sont pas d’abord ceux que l’on croit ?
Mais comment cela est-il possible ? Tout simplement parce que l’on ne peut pas servir deux maîtres, Dieu et l’argent (Mt 6.24), Jésus-Christ et Satan (2 Co 6.14-18), et que ceux que les Français ont élus, pour recevoir de l’argent du Qatar et de l’Arabie saoudite, non seulement leur vendent la France, qui ne serait pas ce qu’elle est sans la foi en Jésus-Christ et les innombrables bienfaits transmis par Son Église, mais en viennent à servir le dieu de leurs nouveaux maîtres…
Abbé Guy Pagès
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Re: Royaume du Maroc
Abdellah Taïa : «Le problème de l'homophobie au Maroc n'est pas religieux mais politique»
Par Dounia Hadni —
L'écrivain marocain Abdellah Taïa, photo non datée.
Selon l'écrivain, premier Marocain à avoir révélé publiquement son homosexualité, l'homophobie écrasante dans ce pays est plus une volonté politique qu'une réalité impulsée par la religion musulmane.
Abdellah Taïa : «Le problème de l'homophobie au Maroc n'est pas religieux mais politique»
Deux Marocains lynchés dans leur appartement de Beni Mellal au Maroc parce qu’homosexuels, la vidéo de leur agression diffusée sur les réseaux sociaux, une des deux victimes qui prend quatre mois ferme, l’autre d’abord en fuite, qui a été arrêtée et attend son jugement, un des agresseurs qui écope de deux mois avec sursis… L’écrivain Abdellah Taïa, 43 ans, réagit à ces agressions homophobes qu’il qualifie de «phénomène de mode» grandissant au Maroc, encouragé par le pouvoir politique.
à lire aussi Agression homophobe au Maroc : quatre mois ferme pour la victime
Cette agression homophobe suivie par la condamnation de l’une de ses victimes vous choque-t-elle ?
Cela ne me surprend pas du tout puisque l’homosexualité est considérée comme un crime au Maroc, passible de trois ans de prison. Ce qui s’est passé obéit bel et bien à une logique implacable. Il y a eu plusieurs cas de cet ordre en 2015 comme la condamnation de deux présumés homosexuels de la Tour Hassan, l’homme soupçonné d’être homosexuel passé à tabac à Fès, trois ans de prison ferme pour un mécanicien et son amant surpris «en flagrant délit» d’homosexualité à Taourirt, dans le nord-est du Maroc, dans son garage… Rien de nouveau de ce côté-là.
Cela dit, c’est la banalisation de la violence contre les homosexuels marocains dans leur pays qui me révolte et me chagrine profondément. Là, non seulement on les a agressés, mais en plus on les a jetés en pâture sur les réseaux sociaux… L’été dernier, à Casablanca, un homme soupçonné d’être gay à cause de sa façon de s’habiller a été déshabillé en pleine rue par une horde de personnes. Ces situations de violence sont de plus en plus fréquentes, un peu comme le kidnapping à la mexicaine.
Quelles sont les réactions homophobes les plus récurrentes ?
L’opinion publique condamne officiellement l’homosexualité : on entend souvent des remarques de type : «Ils l’ont bien cherché» ou encore «Ils n’avaient qu’à ne pas être homosexuels». En filigrane, c’est le statut de la victime au Maroc, au-delà de l’homosexualité, qui doit être remis en question, à savoir comment celle-ci est considérée aux yeux de la loi.
Pour atténuer la gravité des actes des agresseurs des victimes comme c’est le cas pour ceux du couple homosexuel de Béni Mellal, on s’appuie sur la religion en sous-entendant que ces derniers défendent l’honneur du Maroc et des Marocains des invasions politiquement correctes occidentales et qu’en ce sens, leurs actes sont légitimes et donc pas si graves. Mais ce qui me rend encore plus triste et inquiet, c’est le silence assourdissant des responsables politiques marocains…
Comment expliquez-vous justement ce silence des responsables politiques marocains ?
Ce silence montre à quel point l’homophobie au Maroc est une question politique. Je pense que les responsables politiques préfèrent rester dans le déni de ces questions pour ne pas véhiculer une mauvaise image du Maroc. Je pense aussi qu’ils ont peur que les remarques néocolonialistes rejaillissent du côté de l’Occident, de type «On avait raison, c’est bien des sauvages».
Mais en évitant de condamner les agressions homophobes, les responsables politiques les encouragent de fait, tout en provoquant un sentiment d’abandon chez les jeunes marocains en leur renvoyant l’idée qu’ils ne sont pas protégés.
«En tant que musulman et homosexuel, je fabrique mon propre rapport intime à l’islam»
Publicite, fin dans 6 secondes
Vous avez été le premier Marocain à avoir revendiqué votre homosexualité publiquement, c’était en janvier 2006. Dix ans après, quel est votre sentiment par rapport à l’évolution de la cause homosexuelle dans ce pays ?
Le principal changement que j’observe, il est du côté de la société civile et des journalistes. La cause homosexuelle est très présente dans le débat public. Et c’est une très bonne chose. Aujourd’hui, le collectif Aswat, pour la défense des droits des LGBT, a émergé et s’affirme même s’il reste très peu relayé par les associations marocaines des droits de l’homme. Celles-ci ne réagissent que lorsqu’il y a des agressions de ce type parce que, dans leur esprit, le Maroc n’est pas prêt. Ils ne comprennent pas qu’il faut initier quelque chose pour faire bouger les lignes, que c’est la seule façon de les faire évoluer.
Parmi les autres changements importants que je note, à titre personnel : le fait que mes livres soient tous distribués au Maroc, que mon film tiré d’un de mes livres, l’Armée du Salut, ait été tourné au Maroc et diffusé dans le cadre du festival de cinéma de Tanger, même s’il a été très mal accueilli et raillé.
à lire aussi «L’Armée du Salut», la mue de la famille
De façon encore plus significative : le fait que le mot arabe «Mythli» («comme moi») qui désigne un homosexuel, sans aucune connotation péjorative, s’impose de plus en plus notamment dans les médias. Sans oublier les réseaux sociaux, qui facilitent l’expression des minorités sexuelles au Maroc.
Oui, pour autant, il n’y a eu aucun changement dans la loi. Que répondez-vous à ceux qui relient l’homophobie prégnante au Maroc au fait qu’il s’agisse d’un pays musulman qui plus est, sous la houlette d’un gouvernement islamiste ?
Justifier l’homophobie par l’islam ou y voir un lien direct avec la religion est réducteur et simpliste d’autant plus que l’homosexualité est condamnée par toutes les religions et pas seulement par l’islam. Pour moi, l’origine de ce mal est foncièrement politique. L’homophobie et la condamnation des homosexuels existaient bien avant que le gouvernement islamiste [Le Parti de la justice et du développement, ndlr] prenne le pouvoir au Maroc. La seule différence est que cette cause est davantage médiatisée aujourd’hui.
En tant que musulman et homosexuel, je fabrique mon propre rapport intime à cette religion. Pour moi, c’est comme cela qu’on doit comprendre la religion, sinon on considère les musulmans comme des analphabètes, des arriérés, ce qui pour moi est terrible et stérile.
Il faut bien avoir à l’esprit que ces amalgames font le jeu de tout le monde. Dans un premier temps, ils confortent les politiques marocains dans la confiscation de la liberté politique de toutes les minorités en situation de revendiquer leurs droits au Maroc. Dans un second temps, ils participent à projeter dans le combat des homosexuels marocains une sorte de contamination colonialo-orientaliste, ce qui renforce d’ailleurs ces mêmes fantasmes, du côté de l’Occident.
Dounia Hadni
Par Dounia Hadni —
L'écrivain marocain Abdellah Taïa, photo non datée.
Selon l'écrivain, premier Marocain à avoir révélé publiquement son homosexualité, l'homophobie écrasante dans ce pays est plus une volonté politique qu'une réalité impulsée par la religion musulmane.
Abdellah Taïa : «Le problème de l'homophobie au Maroc n'est pas religieux mais politique»
Deux Marocains lynchés dans leur appartement de Beni Mellal au Maroc parce qu’homosexuels, la vidéo de leur agression diffusée sur les réseaux sociaux, une des deux victimes qui prend quatre mois ferme, l’autre d’abord en fuite, qui a été arrêtée et attend son jugement, un des agresseurs qui écope de deux mois avec sursis… L’écrivain Abdellah Taïa, 43 ans, réagit à ces agressions homophobes qu’il qualifie de «phénomène de mode» grandissant au Maroc, encouragé par le pouvoir politique.
à lire aussi Agression homophobe au Maroc : quatre mois ferme pour la victime
Cette agression homophobe suivie par la condamnation de l’une de ses victimes vous choque-t-elle ?
Cela ne me surprend pas du tout puisque l’homosexualité est considérée comme un crime au Maroc, passible de trois ans de prison. Ce qui s’est passé obéit bel et bien à une logique implacable. Il y a eu plusieurs cas de cet ordre en 2015 comme la condamnation de deux présumés homosexuels de la Tour Hassan, l’homme soupçonné d’être homosexuel passé à tabac à Fès, trois ans de prison ferme pour un mécanicien et son amant surpris «en flagrant délit» d’homosexualité à Taourirt, dans le nord-est du Maroc, dans son garage… Rien de nouveau de ce côté-là.
Cela dit, c’est la banalisation de la violence contre les homosexuels marocains dans leur pays qui me révolte et me chagrine profondément. Là, non seulement on les a agressés, mais en plus on les a jetés en pâture sur les réseaux sociaux… L’été dernier, à Casablanca, un homme soupçonné d’être gay à cause de sa façon de s’habiller a été déshabillé en pleine rue par une horde de personnes. Ces situations de violence sont de plus en plus fréquentes, un peu comme le kidnapping à la mexicaine.
Quelles sont les réactions homophobes les plus récurrentes ?
L’opinion publique condamne officiellement l’homosexualité : on entend souvent des remarques de type : «Ils l’ont bien cherché» ou encore «Ils n’avaient qu’à ne pas être homosexuels». En filigrane, c’est le statut de la victime au Maroc, au-delà de l’homosexualité, qui doit être remis en question, à savoir comment celle-ci est considérée aux yeux de la loi.
Pour atténuer la gravité des actes des agresseurs des victimes comme c’est le cas pour ceux du couple homosexuel de Béni Mellal, on s’appuie sur la religion en sous-entendant que ces derniers défendent l’honneur du Maroc et des Marocains des invasions politiquement correctes occidentales et qu’en ce sens, leurs actes sont légitimes et donc pas si graves. Mais ce qui me rend encore plus triste et inquiet, c’est le silence assourdissant des responsables politiques marocains…
Comment expliquez-vous justement ce silence des responsables politiques marocains ?
Ce silence montre à quel point l’homophobie au Maroc est une question politique. Je pense que les responsables politiques préfèrent rester dans le déni de ces questions pour ne pas véhiculer une mauvaise image du Maroc. Je pense aussi qu’ils ont peur que les remarques néocolonialistes rejaillissent du côté de l’Occident, de type «On avait raison, c’est bien des sauvages».
Mais en évitant de condamner les agressions homophobes, les responsables politiques les encouragent de fait, tout en provoquant un sentiment d’abandon chez les jeunes marocains en leur renvoyant l’idée qu’ils ne sont pas protégés.
«En tant que musulman et homosexuel, je fabrique mon propre rapport intime à l’islam»
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Vous avez été le premier Marocain à avoir revendiqué votre homosexualité publiquement, c’était en janvier 2006. Dix ans après, quel est votre sentiment par rapport à l’évolution de la cause homosexuelle dans ce pays ?
Le principal changement que j’observe, il est du côté de la société civile et des journalistes. La cause homosexuelle est très présente dans le débat public. Et c’est une très bonne chose. Aujourd’hui, le collectif Aswat, pour la défense des droits des LGBT, a émergé et s’affirme même s’il reste très peu relayé par les associations marocaines des droits de l’homme. Celles-ci ne réagissent que lorsqu’il y a des agressions de ce type parce que, dans leur esprit, le Maroc n’est pas prêt. Ils ne comprennent pas qu’il faut initier quelque chose pour faire bouger les lignes, que c’est la seule façon de les faire évoluer.
Parmi les autres changements importants que je note, à titre personnel : le fait que mes livres soient tous distribués au Maroc, que mon film tiré d’un de mes livres, l’Armée du Salut, ait été tourné au Maroc et diffusé dans le cadre du festival de cinéma de Tanger, même s’il a été très mal accueilli et raillé.
à lire aussi «L’Armée du Salut», la mue de la famille
De façon encore plus significative : le fait que le mot arabe «Mythli» («comme moi») qui désigne un homosexuel, sans aucune connotation péjorative, s’impose de plus en plus notamment dans les médias. Sans oublier les réseaux sociaux, qui facilitent l’expression des minorités sexuelles au Maroc.
Oui, pour autant, il n’y a eu aucun changement dans la loi. Que répondez-vous à ceux qui relient l’homophobie prégnante au Maroc au fait qu’il s’agisse d’un pays musulman qui plus est, sous la houlette d’un gouvernement islamiste ?
Justifier l’homophobie par l’islam ou y voir un lien direct avec la religion est réducteur et simpliste d’autant plus que l’homosexualité est condamnée par toutes les religions et pas seulement par l’islam. Pour moi, l’origine de ce mal est foncièrement politique. L’homophobie et la condamnation des homosexuels existaient bien avant que le gouvernement islamiste [Le Parti de la justice et du développement, ndlr] prenne le pouvoir au Maroc. La seule différence est que cette cause est davantage médiatisée aujourd’hui.
En tant que musulman et homosexuel, je fabrique mon propre rapport intime à cette religion. Pour moi, c’est comme cela qu’on doit comprendre la religion, sinon on considère les musulmans comme des analphabètes, des arriérés, ce qui pour moi est terrible et stérile.
Il faut bien avoir à l’esprit que ces amalgames font le jeu de tout le monde. Dans un premier temps, ils confortent les politiques marocains dans la confiscation de la liberté politique de toutes les minorités en situation de revendiquer leurs droits au Maroc. Dans un second temps, ils participent à projeter dans le combat des homosexuels marocains une sorte de contamination colonialo-orientaliste, ce qui renforce d’ailleurs ces mêmes fantasmes, du côté de l’Occident.
Dounia Hadni
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Re: Royaume du Maroc
un peuple pauvre, et des infrastructures de luxe pour touristes et famille royale uniquement!
paradoxal maroc avec extréme misére
paradoxal maroc avec extréme misére
Manouche- Messages : 734
Re: Royaume du Maroc
Un documentaire choc sur Mohammed VI met en lumière ses dérives (Vidéo)
Un documentaire choc sur Mohammed VI met en lumière ses dérives (Vidéo)
Le documentaire « Roi du Maroc, le règne secret » diffusé jeudi soir sur la chaîne française France 3, dresse un portrait très peu flatteur du royaume marocain ainsi que de son souverain, Mohammed VI. Derrière le masque d’un roi progressiste et tourné vers la modernité, se cacherait, selon le documentaire, un homme tourné vers les affaires et qui exige l’obéissance aveugle de ses sujets, qui l’élèvent au rang de dieu parmi les Hommes en se prosternant devant lui chaque année telle une divinité lors du rituel de la Bay’a.
Le documentaire parle de ce qu’il décrit comme « l’appétit pour les affaires » de Mohamed VI. Le développement de la Holding Royale, espérée par le peuple comme pouvant servir de locomotive à l’économie nationale, a laissé place à la « dérive affairiste ».
« À la fin des années 2000, les sujets de sa Majesté sont devenus ses clients », explique le documentaire. « Le sucre que vous mettez dans votre café c’est le roi (cosumar), le lait que vous mettez dans votre café c’est la Centrale laitière où le roi était associé à Danone, la voiture que vous prenez vous l’avez probablement achetée à Autoaule qui appartient à la famille royale. Vous avez financé votre voiture en prenant un prêt à Tijara Wafa Bank, vous l’avez assurée à Tijari Wafa Assurance… Vous pouvez vivre pratiquement en consommant des produits qui sont vendus par les entreprises du roi », détaille Aboubakr Jamaï, journaliste en exil en France.
Un conflit d’intérêts « manifeste ». « Quand on est le roi et qu’on possède autant d’intérêts économiques il peut y avoir une très grande tentation d’utiliser les leviers du pouvoir pour favoriser ses affaires », explique dans le documentaire Ahmed Benchemsi, journaliste marocain en exil à Washington. Le documentaire met notamment le doigt sur le secteur de l’agriculture, où l’entreprise royale est le premier producteur et le premier exportateur du Maroc. Curieusement, le secteur de l’agriculture est totalement exonéré d’impôts.
Libertés en recul, les militaires achetés
Le roi Mohamed VI fera également machine arrière concernant la liberté d’expression de la presse dans son pays, décidant de revenir aux préceptes de son défunt père, raconte le documentaire. Plusieurs journalistes auront ainsi été dans l’obligation de prendre le chemin de l’exil. Alors que « Hassan II faisait des choses à la manière du XXe siècle, c’est-à-dire brutale avec des assassinats, Mohamed VI le fait à la manière du XXIe siècle. Au lieu de te séquestrer, Mohamed VI va ordonner aux tribunaux une interdiction d’exercer comme dans mon cas pendant dix ans la profession de journaliste », explique Ali Lemrabet, journaliste en exil à Barcelone.
Le documentaire s’attarde également sur l’accord entre le roi Hassan II et les chefs militaires marocains, où Hassan II propose explicitement à ces derniers de « faire de l’argent et oublier la politique ». Un « pacte de corruption » qui va entraîner de nombreuses dérives observées au sein des Forces armées royales.
Le documentaire dresse enfin le portrait d’un développement économique au Maroc trompeur, où la fortune du roi Mohamed VI ne cesse d’augmenter tandis que la population du pays ne cesse de s’appauvrir. Le documentaire montre en outre que les réformes entreprises par le roi Mohamed VI en réponse au Printemps arabe marocain ne sont en fait qu’un trompe-l’œil, où l’illusion de démocratie a continué de permettre au roi marocain de poursuivre sa dérive affairiste vers de nouveaux secteurs, tels que les énergies renouvelables.
Les bénéfices de la Holding royale n’ont dans les faits jamais cessé d’augmenter, affirme le documentaire. La nouvelle constitution annoncée par Mohamed VI ne sera elle aussi qu’un « leurre », le roi marocain conservant jusqu’à ce jour tous les pouvoirs réunis autour de sa personne. Mohamed VI reste « l’arbitre suprême » du pays, tandis que sa fortune est estimée par Forbes à 5,7 milliards de dollars, conclut le documentaire.
Un documentaire choc sur Mohammed VI met en lumière ses dérives (Vidéo)
Le documentaire « Roi du Maroc, le règne secret » diffusé jeudi soir sur la chaîne française France 3, dresse un portrait très peu flatteur du royaume marocain ainsi que de son souverain, Mohammed VI. Derrière le masque d’un roi progressiste et tourné vers la modernité, se cacherait, selon le documentaire, un homme tourné vers les affaires et qui exige l’obéissance aveugle de ses sujets, qui l’élèvent au rang de dieu parmi les Hommes en se prosternant devant lui chaque année telle une divinité lors du rituel de la Bay’a.
Le documentaire parle de ce qu’il décrit comme « l’appétit pour les affaires » de Mohamed VI. Le développement de la Holding Royale, espérée par le peuple comme pouvant servir de locomotive à l’économie nationale, a laissé place à la « dérive affairiste ».
« À la fin des années 2000, les sujets de sa Majesté sont devenus ses clients », explique le documentaire. « Le sucre que vous mettez dans votre café c’est le roi (cosumar), le lait que vous mettez dans votre café c’est la Centrale laitière où le roi était associé à Danone, la voiture que vous prenez vous l’avez probablement achetée à Autoaule qui appartient à la famille royale. Vous avez financé votre voiture en prenant un prêt à Tijara Wafa Bank, vous l’avez assurée à Tijari Wafa Assurance… Vous pouvez vivre pratiquement en consommant des produits qui sont vendus par les entreprises du roi », détaille Aboubakr Jamaï, journaliste en exil en France.
Un conflit d’intérêts « manifeste ». « Quand on est le roi et qu’on possède autant d’intérêts économiques il peut y avoir une très grande tentation d’utiliser les leviers du pouvoir pour favoriser ses affaires », explique dans le documentaire Ahmed Benchemsi, journaliste marocain en exil à Washington. Le documentaire met notamment le doigt sur le secteur de l’agriculture, où l’entreprise royale est le premier producteur et le premier exportateur du Maroc. Curieusement, le secteur de l’agriculture est totalement exonéré d’impôts.
Libertés en recul, les militaires achetés
Le roi Mohamed VI fera également machine arrière concernant la liberté d’expression de la presse dans son pays, décidant de revenir aux préceptes de son défunt père, raconte le documentaire. Plusieurs journalistes auront ainsi été dans l’obligation de prendre le chemin de l’exil. Alors que « Hassan II faisait des choses à la manière du XXe siècle, c’est-à-dire brutale avec des assassinats, Mohamed VI le fait à la manière du XXIe siècle. Au lieu de te séquestrer, Mohamed VI va ordonner aux tribunaux une interdiction d’exercer comme dans mon cas pendant dix ans la profession de journaliste », explique Ali Lemrabet, journaliste en exil à Barcelone.
Le documentaire s’attarde également sur l’accord entre le roi Hassan II et les chefs militaires marocains, où Hassan II propose explicitement à ces derniers de « faire de l’argent et oublier la politique ». Un « pacte de corruption » qui va entraîner de nombreuses dérives observées au sein des Forces armées royales.
Le documentaire dresse enfin le portrait d’un développement économique au Maroc trompeur, où la fortune du roi Mohamed VI ne cesse d’augmenter tandis que la population du pays ne cesse de s’appauvrir. Le documentaire montre en outre que les réformes entreprises par le roi Mohamed VI en réponse au Printemps arabe marocain ne sont en fait qu’un trompe-l’œil, où l’illusion de démocratie a continué de permettre au roi marocain de poursuivre sa dérive affairiste vers de nouveaux secteurs, tels que les énergies renouvelables.
Les bénéfices de la Holding royale n’ont dans les faits jamais cessé d’augmenter, affirme le documentaire. La nouvelle constitution annoncée par Mohamed VI ne sera elle aussi qu’un « leurre », le roi marocain conservant jusqu’à ce jour tous les pouvoirs réunis autour de sa personne. Mohamed VI reste « l’arbitre suprême » du pays, tandis que sa fortune est estimée par Forbes à 5,7 milliards de dollars, conclut le documentaire.
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Re: Royaume du Maroc
Docu de France3: «Le Maroc n’a de leçon à recevoir de personne», réagit le président de l’Eglise évangélique
Samuel Amédro, président de l'Eglise évangélique au Maroc.
Réagissant au docu de France3 sur le «règne (secret) du roi du Maroc», le président de l’Eglise évangélique au Maroc, Samuel Amédro, dénonce un «reportage» à charge et rend un émouvant hommage au roi et au royaume.
La sortie «idiovisuelle» de France3, avec son docu-fiction sur le «règne secret du roi du Maroc», diffusé jeudi soir dernier, fait des vagues d'indignation, ici comme ailleurs. Dernière réaction en chaîne, celle d’un homme de foi, d’un témoin, vrai celui-là, de ce qui se passe réellement au Maroc de Mohammed VI, au-delà du miroir aux alouettes tendu par France3, et auquel s'est suspendue une poignée de larbins au service d’«agendas extérieurs» résolument hostiles au pays où ils sont pourtant nés et où ils se sont servis sans servir…
Un témoignage contre la saillie «odieux-visuelle» d’une chaîne qui a cru pouvoir gravir quelques échelons dans l’applaudimètre de cette belle époque d'intox gerbante, qui plus est sur le «dos» d’un pays qui a pourtant fait le choix difficile et audacieux du progrès, de la démocratie et de la modernité, un vrai modèle régional. Un témoignage sincère et spontané de l'ex-président de l’Eglise évangélique au Maroc, le pasteur Samuel Amédro, qui a pris la plume, pour dire et décrire, sur son compte Facebook, la réalité réelle du pays où il vit depuis maintenant cinq ans. Alors, écoutons-le.
«C’est tout le Maroc qui s’enrichit»
«Je viens de voir un "reportage" à charge contre le Roi du Maroc et pour la première fois, je ressens la nécessité de faire entendre une autre voix en partageant ici un témoignage personnel sur ce que j'ai vécu ces 5 dernières années au Maroc en tant que Président de l'Eglise Evangélique. Au Maroc. Sans être un admirateur béat, je peux attester avoir vécu pendant 5 ans dans un grand pays qui change à très grande vitesse. Le Maroc est un pays qui s'est résolument engagé sur la voie de la modernité. Ce n'est pas seulement le Roi qui s'enrichit mais c'est tout le pays qui se modernise, qui construit, qui progresse, qui grandit et qui s'enrichit. J'ai eu la chance et l'honneur de rencontrer, de côtoyer et de vivre au quotidien dans un pays avec une véritable société civile, avec des grands intellectuels à la liberté de parole incroyable, avec une classe moyenne qui s'enrichit, avec des gens moins pauvres, avec des infrastructures qui se construisent à grande vitesse, avec des artistes incroyablement libres».
Cohabitation inter-religieuse exemplaire
«J'ai eu la chance de rencontrer Sa Majesté et plusieurs de ses ministres et conseillers à plusieurs reprises. Responsable d'une église chrétienne dans un pays musulman, je peux témoigner n'avoir jamais subi de pression en tant que chrétien. Bien au contraire, avec mon ami l'archevêque de Rabat, nous avons eu la liberté de créer le premier Institut Oecuménique de Théologie chrétien dans un pays musulman : l'Institut Al Mowafaqa pour travailler ensemble au dialogue des cultures et des religions, à l'éducation des religieux au dialogue interreligieux. A chaque étape de la création de cet Institut Al Mowafaqa, les plus hautes autorités du pays nous ont accompagnés avec bienveillance, discrétion et attention. Si cet Institut existe aujourd'hui, c'est parce que Sa Majesté Mohamed VI l'a accepté sans jamais interférer.
Haro sur le chantage européen sur le Maroc
"Pendant 5 ans, j'ai eu également à déployer des efforts intenses pour essayer de prendre soin des quelque 40.000 migrants bloqués au Maroc. Je peux témoigner ici que le Maroc subit cette situation qu'il n'a pas choisie et que si ces migrants sont bloqués là c'est bien parce que l'Union Européenne exerce un chantage sur le Royaume du Maroc en exigeant de lui qu'il fasse le travail de police en bloquant la frontière à sa place et qu'il accepte de signer les accords de réadmission des migrants expulsés de l'UE. Je peux témoigner ici de tous les efforts déployés par les autorités marocaines pour essayer de changer la situation de ces migrants et leur prise en charge (dans les écoles, les hôpitaux, le marché du travail...) : ce changement de politique est le résultat direct de la volonté du Roi d'humaniser cette situation souvent dramatique notamment par une régularisation immédiate et sans condition de toutes les femmes et de tous les enfants, par leur intégration gratuite et volontaire dans les écoles publiques et dans leur accès à des soins gratuits. Dans sa politique vis-à-vis des migrants, le Maroc, sans être exemplaire, a fait preuve de beaucoup plus d'humanité et de compassion que la France".
«Le Maroc n’a de leçon de morale à recevoir de personne»
"Connaissant la réalité de très près, je pense et j'affirme avec force que le Maroc n'a de leçon de morale à recevoir de personne et surtout pas de la France ! Alors, maintenant que je suis rentré en France et que je n'ai plus aucun intérêt personnel à défendre, je me sens la liberté de prendre la parole pour m'insurger contre ce procès à charge qui est porté à l'écran. Non le Maroc n'est pas une dictature. Non Mohammed VI n'est pas un dictateur".
Voilà, la messe est dite. Avec coeur, désintéressement et courage, chevillés corps et âme à un homme de foi, envers et contre les sirènes bélantes de l'intox et du nihilisme qui se découvrent cette minable vocation de tirer sur tout ce qui bouge. Mais ils peuvent être sûrs que leur bronca anti-marocaine ne fait que renforcer davantage la détermination du royaume à avancer... le coeur devant et l'esprit lucide au travers de toutes les embûches. La caravane passe et les "deschiens" aboient!
Samuel Amédro, président de l'Eglise évangélique au Maroc.
Réagissant au docu de France3 sur le «règne (secret) du roi du Maroc», le président de l’Eglise évangélique au Maroc, Samuel Amédro, dénonce un «reportage» à charge et rend un émouvant hommage au roi et au royaume.
La sortie «idiovisuelle» de France3, avec son docu-fiction sur le «règne secret du roi du Maroc», diffusé jeudi soir dernier, fait des vagues d'indignation, ici comme ailleurs. Dernière réaction en chaîne, celle d’un homme de foi, d’un témoin, vrai celui-là, de ce qui se passe réellement au Maroc de Mohammed VI, au-delà du miroir aux alouettes tendu par France3, et auquel s'est suspendue une poignée de larbins au service d’«agendas extérieurs» résolument hostiles au pays où ils sont pourtant nés et où ils se sont servis sans servir…
Un témoignage contre la saillie «odieux-visuelle» d’une chaîne qui a cru pouvoir gravir quelques échelons dans l’applaudimètre de cette belle époque d'intox gerbante, qui plus est sur le «dos» d’un pays qui a pourtant fait le choix difficile et audacieux du progrès, de la démocratie et de la modernité, un vrai modèle régional. Un témoignage sincère et spontané de l'ex-président de l’Eglise évangélique au Maroc, le pasteur Samuel Amédro, qui a pris la plume, pour dire et décrire, sur son compte Facebook, la réalité réelle du pays où il vit depuis maintenant cinq ans. Alors, écoutons-le.
«C’est tout le Maroc qui s’enrichit»
«Je viens de voir un "reportage" à charge contre le Roi du Maroc et pour la première fois, je ressens la nécessité de faire entendre une autre voix en partageant ici un témoignage personnel sur ce que j'ai vécu ces 5 dernières années au Maroc en tant que Président de l'Eglise Evangélique. Au Maroc. Sans être un admirateur béat, je peux attester avoir vécu pendant 5 ans dans un grand pays qui change à très grande vitesse. Le Maroc est un pays qui s'est résolument engagé sur la voie de la modernité. Ce n'est pas seulement le Roi qui s'enrichit mais c'est tout le pays qui se modernise, qui construit, qui progresse, qui grandit et qui s'enrichit. J'ai eu la chance et l'honneur de rencontrer, de côtoyer et de vivre au quotidien dans un pays avec une véritable société civile, avec des grands intellectuels à la liberté de parole incroyable, avec une classe moyenne qui s'enrichit, avec des gens moins pauvres, avec des infrastructures qui se construisent à grande vitesse, avec des artistes incroyablement libres».
Cohabitation inter-religieuse exemplaire
«J'ai eu la chance de rencontrer Sa Majesté et plusieurs de ses ministres et conseillers à plusieurs reprises. Responsable d'une église chrétienne dans un pays musulman, je peux témoigner n'avoir jamais subi de pression en tant que chrétien. Bien au contraire, avec mon ami l'archevêque de Rabat, nous avons eu la liberté de créer le premier Institut Oecuménique de Théologie chrétien dans un pays musulman : l'Institut Al Mowafaqa pour travailler ensemble au dialogue des cultures et des religions, à l'éducation des religieux au dialogue interreligieux. A chaque étape de la création de cet Institut Al Mowafaqa, les plus hautes autorités du pays nous ont accompagnés avec bienveillance, discrétion et attention. Si cet Institut existe aujourd'hui, c'est parce que Sa Majesté Mohamed VI l'a accepté sans jamais interférer.
Haro sur le chantage européen sur le Maroc
"Pendant 5 ans, j'ai eu également à déployer des efforts intenses pour essayer de prendre soin des quelque 40.000 migrants bloqués au Maroc. Je peux témoigner ici que le Maroc subit cette situation qu'il n'a pas choisie et que si ces migrants sont bloqués là c'est bien parce que l'Union Européenne exerce un chantage sur le Royaume du Maroc en exigeant de lui qu'il fasse le travail de police en bloquant la frontière à sa place et qu'il accepte de signer les accords de réadmission des migrants expulsés de l'UE. Je peux témoigner ici de tous les efforts déployés par les autorités marocaines pour essayer de changer la situation de ces migrants et leur prise en charge (dans les écoles, les hôpitaux, le marché du travail...) : ce changement de politique est le résultat direct de la volonté du Roi d'humaniser cette situation souvent dramatique notamment par une régularisation immédiate et sans condition de toutes les femmes et de tous les enfants, par leur intégration gratuite et volontaire dans les écoles publiques et dans leur accès à des soins gratuits. Dans sa politique vis-à-vis des migrants, le Maroc, sans être exemplaire, a fait preuve de beaucoup plus d'humanité et de compassion que la France".
«Le Maroc n’a de leçon de morale à recevoir de personne»
"Connaissant la réalité de très près, je pense et j'affirme avec force que le Maroc n'a de leçon de morale à recevoir de personne et surtout pas de la France ! Alors, maintenant que je suis rentré en France et que je n'ai plus aucun intérêt personnel à défendre, je me sens la liberté de prendre la parole pour m'insurger contre ce procès à charge qui est porté à l'écran. Non le Maroc n'est pas une dictature. Non Mohammed VI n'est pas un dictateur".
Voilà, la messe est dite. Avec coeur, désintéressement et courage, chevillés corps et âme à un homme de foi, envers et contre les sirènes bélantes de l'intox et du nihilisme qui se découvrent cette minable vocation de tirer sur tout ce qui bouge. Mais ils peuvent être sûrs que leur bronca anti-marocaine ne fait que renforcer davantage la détermination du royaume à avancer... le coeur devant et l'esprit lucide au travers de toutes les embûches. La caravane passe et les "deschiens" aboient!
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