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Forum Religion Magie et Paranormal

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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:36

Forum Religion Magie et Paranormal


La parapsychologie

La science, la religion, 
la philosophie, 
l’art nous donnent leur avis 
sur le paranormal


Forum Religion Magie et Paranormal La-science-la-religion-la-philosophie-lart-et-le-paranormal1

Au moment de la révolution scientifique et industrielle, Victor Hugo s’intéressait aux phénomènes paranormaux. Il eut cette formule : «Si la science ne veut pas de ces faits, l’ignorance les prendra…». Il ne suffit donc pas de nier quelque chose pour affirmer qu’il s’agit de balivernes.
Longtemps relégué dans le domaine de la superstition, voire de la supercherie, le paranormal tend à attirer l’attention de certains scientifiques au point de lui consacrer des recherches. Ainsi, l’ex astronaute Edgard Mittchell a fondé aux États-Unis l’Institute of Noetic Sciences. Celui-ci finance notamment des travaux sur les effets de la prière, afin de cerner la relation entre l’esprit et la matière. On a coutume d’appeler parapsychologie cette forme d’investigation scientifique. La France, héritière d’un cartésianisme pas toujours bien intégré, inspire à Mario Varvoglis, Président de l’I.M.I. (Institut Métapsychique International), cette formulation : La parapsychologie est rejetée pour sa parenté avec le surnaturel, donc avec la foi. C’est absurde car la parapsychologie scientifique cherche précisément à sortir du miraculeux, au sens où celui-ci ne serait pas surnaturel mais simplement humain… Il s’agit en fait, ajoute-t-il, d’une approche rationnelle plutôt que rationaliste. Il est même jusqu’au docteur Philippe Wallon*, psychiatre, qui affirme que le paranormal, héritier selon lui de la sorcellerie, présente des aspects singulièrement novateurs et porteurs d’ouvertures scientifiques, même au niveau des théories fondamentales.
Du côté de la religion

Il n’est qu’à voir la réticence de l’Église catholique quant à l’officialisation d’un miracle à Lourdes pour saisir toute la prudence que ses dirigeants accordent aux phénomènes dits paranormaux. Pourtant les faits existent. Le corps de Bernadette Soubeyrous, exposée dans sa chasse à Nevers, dans un état de conservation défiant les lois connues actuellement de la biologie, en atteste. Idem pour celui de Sainte Rita, morte depuis le 22 mai 1457. Pourtant, Rita fut religieuse après avoir été femme, puis mère, ce qui était contraire à la norme religieuse. Bien d’autre phénomènes « surnaturels » interrogent les instances ecclésiales qui restent cependant très prudentes quant à l’authentification de ce qu’elles nomment un miracle.


Du côté de la philosophie

« Je doute donc je suis », cette maxime du philosophe René Descartes invite jusqu’à douter de nos doutes. L’amour de la sagesse veut qu’on ne nous fasse prendre des vessies pour des lanternes. Platon déjà, dans son mythe de la caverne, nous prévenait du risque de l’illusion. Encore faut-il s’entendre sur ce qu’est réellement l’illusion. Les textes philosophiques hindouistes la nomment Maya. Pour cette philosophie, l’illusion est générée par nos sens. Ce qui implicite que tout ce que nous percevons est irréel. Et si le paranormal était tout simplement la preuve par l’absurde qu’il n’y a rien à prouver ?

Du côté de l’art

Selon l’artiste contemporain Fred Forest, une nouvelle culture est en train d’émerger… Un art intrinsèquement cognitif, conçu et mis en oeuvre au-delà de ce qui se donne à voir… Des
oeuvres qui utilisent les champs magnétiques, les radiations naturelles et artificielles, les ondes terrestres et cosmiques, les nanotechnologies, les images mentales, les recherches relevant directement des sciences de la cognition, voire tout ce qui a trait au paranormal. De son côté, le poète et chanteur Gérard Yung écrit dans la préface de son ouvrage « L’art de pisser dans un violon » : L’art est un acte de « sur-vie » en ce sens qu’il se place au-dessus de la vie normale. Au-dessus des actes normaux, il existe des actes de « sur-vie » ; ce sont des gestes qui dépassent d’une certaine façon les réalités de vie et de mort. Les actes de « sur-vie » sont des actes naturels, tandis que les actes normaux sont des actes conditionnés…

Ainsi, la question posée par ces différents regards, à laquelle chacun peut apporter sa propre réponse, est donc de savoir si le surnaturel fait partie de la nature de l’Homme ou si, inversement, la nature de l’Homme est incluse dans un système qui la dépasse. Quelle que soit la réponse, il y aura toujours quelque chose qui cloche. Comme pour nous rappeler que l’humilité en la matière est le premier réflexe que nous devrions systématiquement avoir et garder à l’esprit… 
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:38

Paranormal-religion-Croyances

Paranormal / Croyances
 
Forum Religion Magie et Paranormal Parano12
 
Voici plein de reportage sur le paranormal c’est à dire tout ce qui touché au fait anormaux que nous ne pouvons expliquer.
1) Paranormal/ Au-delà
>>>Anges et gardien<<< (news)
>>>Les anges<<<
>>>Fantômes<<<
 
2) Croyances
>>>Les Rods<<<
 
3) Complots
 
4) Fantôme/Poltergeist
 
5) Mythes/Mystères
>>>Le yéti<<<
 
6) Sciences Occultes
>>>Chamanisme<<< (news)
 
7) Religieux
>>>Sainte marie<<< (news)
>>>Jesus<<< (news)
>>>La maitresse du pape<<< (news)
 
8) Apocalypse Financière
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:39

La revue Science & Vie envahie par le paranormal et la religion
par Jean-Paul Krivine -

Il est loin le temps où Science & Vie informait ses lecteurs sur les dangers de l’irrationnel et sur les prétentions scientifiques des partisans du paranormal. Singularité de la presse grand public (Science et Vie est largement diffusé), ce magazine s’honorait de ne pas succomber aux sirènes des fausses sciences, et poursuivait sa mission d’information scientifique auprès d’un large public. Michel Rouzé, fondateur de Science et pseudo-sciences, était lui-même un collaborateur régulier de Science et Vie. On se souvient d’une rubrique épinglant régulièrement tel produit homéopathique, telle proclamation astrologique. Le courrier des lecteurs témoignait de certaines des réactions provoquées, mais aussi de la constance de la rédaction dans son argumentation sans complaisance.
Depuis plusieurs années, il semble que la ligne éditoriale ait changé. Nous avons dénoncé plusieurs dossiers ou articles, peu sérieux scientifiquement, et largement complaisants (voir ici même « Dieu et la science » et « Alchimie et chymie ». Le dernier numéro hors série de Science et Vie (n° 276 de septembre 2006) nous offre un exemple remarquable de parti pris et d’approximations. « Les miracles : concevoir l’inconcevable », tel est le thème qui y est développé.

Des « faits avérés »
Les miracles sont une réalité. La lecture du magazine ne laisse aucun doute. Un « petit florilège des prodiges chrétiens » est exposé (page 18), des stigmates à la lévitation, en passant par les apparitions et la vision. Pas de conditionnel, pas de distanciation (comme par exemple, « au dire des croyants »). Suit alors, sur une vingtaine de pages, une minutieuse description du mécanisme d’homologation des miracles de Lourdes : les différents comités et instances, les trois étapes pour l’homologation d’un dossier, les sept critères de validation, la mise en œuvre de « procédures fiables », avec longues citations d’ecclésiastiques visant à nous convaincre que les guérisons observées « sont réelles, avec toutes les preuves accumulées par les documents médicaux avant et après ». Mais rien ne remplace le vécu pour frapper le lecteur. Anna Santaniello, 95 ans maintenant, miraculée à Lourdes en 1952, fait l’objet d’un article digne de Paris Match.
Au final, 67 miracles (sans guillemets) en 150 ans, sur 7000 cas « reconnus comme inexplicables ». La guérison « n’a a priori rien à voir avec la science », et dès lors, aucun modèle statistique n’est applicable : « ce n’est pas la répartition des cas en fonction du sexe, de l’âge, de la catégorie sociale ou de la pathologie qui peuvent renseigner sur un quelconque effet bénéfique d’un pèlerinage à Lourdes » (pages 64 et 65). Et pourquoi ? Dieu tirerait-il au hasard les cibles de ses miracles ?
Inexplicable est un terme qui revient d’ailleurs souvent. Là où « inexpliqué » relève de l’objet même de la science, « inexplicable », avec son statut définitif, ouvre le champ aux miracles, à l’intervention divine. L’éditorial (page 3) donne d’ailleurs le ton en affirmant que « le fait est désormais qu’on questionne l’inexplicable à partir d’un ensemble d’interactions empiriquement établies ». Questionnement dont il ne faut pas attendre une explication, mais simplement de quoi « conforter [les] convictions rationalistes » des non-croyants en leur permettant de démasquer les superstitions, là où les croyants pourront en faire « un outil rationnel d’un filtrage sévère, qui, in fine, génère une singularité miraculeuse par défaut d’explication » (!).

Science et miracles
Pierre Lagrange, sociologue des sciences, apporte la mise en perspective idéologique du dossier (page 6, « Sciences d’élites et croyance populaires »). Selon lui, il faut réviser cette « conception dépassée et fausse » que le progrès scientifique ferait reculer les superstitions. En fait, pour lui, il faut substituer à cette notion de progrès scientifique celle d’une opposition entre « culture savante » et « culture populaire »1S’agissant de culture, aucune ne peut prétendre à une plus grande validité. Le rapport à la réalité étant gommé, les miracles s’en trouvent légitimés, et ne peuvent plus alors être réduits à une quelconque superstition.
Ian Hacking, philosophe au Collège de France apporte une bouffée d’oxygène dans le dossier, jusque-là, sans aucune distanciation envers la religion. Se référant à David Hume, le philosophe écossais du XVIIe siècle, il rappelle que « les témoins et les auteurs [d’un prétendu miracle] peuvent être honnêtes et sincères, mais il est probable qu’ils se soient trompés ou que leur témoignage ait été corrompu : c’est en tout cas beaucoup plus probable que d’imaginer que l’évènement s’est déroulé exactement comme il est décrit ».
Au passage, Science et Vie réussit à mettre en exergue un morceau de phrase de l’interviewé, tiré de son contexte, et laissant entendre le contraire de ce que dit l’auteur. « Depuis 30 ans il y a un débat sur l’applicabilité de la théorie des probabilités aux questions sur les miracles » (page 61). Mais il faut se reporter à l’ensemble de l’interview, pour apprendre qu’il s’agit de « débats devenus de plus en plus obscurs, […] des exercices de scolastiques », et qu’ils concernent certains philosophes, et non pas des mathématiciens ou des scientifiques. A force de trop vouloir faire passer une idée…

Télépathie, métapsychique, Vierge de Fatima
On n’analysera pas ici en détail l’ensemble du Hors série de Science et Vie. Quelques articles intéressants abordent la question des rémissions spontanées, la « force de guérir », ou l’effet placebo (il faut regretter toutefois que cet effet placebo bien réel et objet de recherches scientifiques, soit parfois présenté comme dérangeant, et aux limites de la science : « le placebo encombre et n’a pas de légitimité », « des actions qui en toute logique ne devraient pas se produire »).
La fin du dossier devient par contre hallucinante pour une revue qui se prétend scientifique. « Le laboratoire de l’inexpliqué » (page 109) vante les mérite de l’institut de métapsychique (clairvoyance, télépathie, psychokinèse). « Récits aux portes de la mort » (page 82) nous ressert les éternelles expériences de « corps flottant », de » tunnels obscurs » et de « lumière qui rayonne d’amour » relatés par « ceux qui ont frôlé la mort ». Enfin, « Miracles à Naples » (page 118) est un reportage sur la « liquéfaction du sang de San Gennaro ». Si la parole est bien donnée aux sceptiques qui expliquent comment ce prétendu miracle peut se reproduire simplement, avec une chimie élémentaire, la conclusion laisse planer le mystère, « les scientifiques continuent de chercher la vérité ». Quant aux voyants de Fatima, le dernier mot est laissé à l’évêque qui a instruit l’affaire, affirmant « digne de crédit les visions des enfants ».

Revue scientifique ?
On se frotte parfois les yeux à la lecture de ce numéro Hors série de Science et vie. Quant on se félicitait, il y a dix ou vingt ans, qu’une revue de vulgarisation scientifique soit achetée régulièrement par des dizaines de milliers de français, on ne peut maintenant que regretter qu’une caution scientifique soit donnée à des affirmations idéologiques, des approximations scientifiques et des pseudo-sciences réfutées depuis longtemps.
1 Au passage, quel mépris pour le « populaire ». Là où le siècle des Lumières, en mettant en avant l’universalité de la science, a prôné l’accès de tous à la connaissance, la sociologie relativiste de Pierre Lagrange voudrait renvoyer « le peuple » à sa « culture », celle des miracles et des croyances, gardant pour l’élite « la culture scientifique », c’est-à-dire la science moderne.
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:39

Tribune
La revue Science & Vie envahie par le paranormal et la religion

par Jean-Paul Krivine, mercredi 8 novembre 2006
Nous publions ci-dessous, sous forme de « tribune » [1] et avec l’autorisation de l’auteur, un article de Jean-Paul Krivine paru dans le numéro 274 d’octobre 2006 de la revue Science et pseudo-sciences éditée par l’Association française pour l’information scientifique (AFIS). - Acrimed

Il est loin le temps où Science & Vie informait ses lecteurs sur les dangers de l’irrationnel et sur les prétentions scientifiques des partisans du paranormal. Singularité de la presse grand public (Science & Vie est largement diffusé, près de 300 000 exemplaires), ce magazine s’honorait de ne pas succomber aux sirènes des fausses sciences, et poursuivait sa mission d’information scientifique auprès d’un large public. Michel Rouzé, fondateur de Science et pseudo-sciences, était lui-même un collaborateur régulier de Science & Vie. On se souvient d’une rubrique épinglant régulièrement tel produit homéopathique, telle proclamation astrologique. Le courrier des lecteurs témoignait de certaines des réactions provoquées, mais aussi de la constance de la rédaction dans son argumentation sans complaisance.
Depuis plusieurs années, il semble que la ligne éditoriale ait changé. La revue Science et pseudo-sciences a déjà dénoncé plusieurs dossiers ou articles, peu sérieux scientifiquement, et largement complaisants[[Voir par exemple Science et pseudo-sciences n° 269 - Dieu et la Science- ou Science et pseudo-sciences n° 263 sur l’alchimie]. Le dernier numéro Hors Série de Science & Vie (n° 276 de Septembre 2006) nous offre un exemple remarquable de parti pris et d’approximations. « Les miracles : concevoir l’inconcevable », tel est le thème qui y est développé.
Forum Religion Magie et Paranormal SetV_2006_miracles
Des « faits avérés »

Les miracles sont une réalité. La lecture du magazine ne laisse aucun doute. Un « petit florilège des prodiges chrétiens » est exposé (page 18), des stigmates à la lévitation, en passant par les apparitions et la vision. Pas de conditionnel, pas de distanciation (comme par exemple, « au dire des croyants »). Suit alors, sur une vingtaine de pages, une minutieuse description du mécanisme d’homologation des miracles de Lourdes : les différents comités et instances, les trois étapes pour l’homologation d’un dossier, les sept critères de validation, la mise en œuvre de « procédures fiables », avec longues citations d’ecclésiastiques visant à nous convaincre que les guérisons observées « sont réelles, avec toutes les preuves accumulées par les documents médicaux avant et après ». Mais rien ne remplace le vécu pour frapper le lecteur. Anna Santaniello, 95 ans maintenant, miraculée à Lourdes en 1952, fait l’objet d’un article digne de Paris Match.
Au final, 67 miracles (sans guillemets) en 150 ans, sur 7000 cas « reconnus comme inexplicables ». « La guérison n’a a priori rien à voir avec la science », et dès lors, aucun modèle statistique n’est applicable : « ce n’est pas la répartition des cas en fonction du sexe, de l’âge, de la catégorie sociale ou de la pathologie qui peuvent renseigner sur un quelconque effet bénéfique d’un pèlerinage à Lourdes » (pages 64 et 65). Et pourquoi ? Dieu tirerait-il au hasard les cibles de ses miracles ?
Inexplicable est un terme qui revient d’ailleurs souvent. Là où « inexpliqué » relève de l’objet même de la science, « inexplicable », avec son statut définitif, ouvre le champ aux miracles, à l’intervention divine. L’éditorial (page 3) donne d’ailleurs le ton en affirmant que « le fait est désormais qu’on questionne l’inexplicable à partir d’un ensemble d’interactions empiriquement établies ». Questionnement dont il ne faut pas attendre une explication, mais simplement de quoi « conforter [les] convictions rationalistes » des non-croyants en leur permettant de démasquer les superstitions, là où les croyants pourront en faire « l’outil rationnel d’un filtrage sévère, qui, in fine, génère une singularité miraculeuse par défaut d’explication » (!).
Science et miracles

Pierre Lagrange, sociologue des sciences, apporte la mise en perspective idéologique du dossier (page 6, « Sciences d’élites et croyances populaires »). Selon lui, il faut réviser cette « conception dépassée et fausse » que le progrès scientifique ferait reculer les superstitions. En fait, pour lui, il faut substituer à cette notion de progrès scientifique celle d’une opposition entre « culture savante » et « culture populaire ». Au passage, quel mépris pour le « populaire ». Là où le siècle des lumières, en mettant en avant l’universalité de la science, a prôné l’accès de tous à la connaissance, la sociologie relativiste de Pierre Lagrange voudrait renvoyer « le peuple » à sa « culture », celle des miracles et des croyances, gardant pour l’élite, la « culture scientifique », c’est-à-dire la science moderne. S’agissant de cultures, ni la « culture savante », ni la « culture populaire » ne peut prétendre à une plus grande validité. Le rapport à la réalité étant gommé, les miracles s’en trouvent légitimés, et ne peuvent plus alors être réduits à une quelconque superstition. La sociologie relativiste mène vraiment à tout...
Ian Hacking, philosophe au Collège de France apporte une bouffée d’oxygène dans le dossier, jusque-là sans aucune distanciation envers la religion. Se référant à David Hume, le philosophe écossais du XVIIe siècle, il rappelle que « les témoins et les auteurs [d’un prétendu miracle] peuvent être honnêtes et sincères, mais il est probable qu’ils se soient trompés ou que leur témoignage ait été corrompu : c’est en tout cas beaucoup plus probable que d’imaginer que l’évènement s’est déroulé exactement comme il est décrit ».
Au passage, Science & Vie réussit à mettre en exergue un morceau de phrase de l’interviewé, tiré de son contexte, et laissant entendre le contraire de ce que dit l’auteur. « Depuis 30 ans il y a un débat sur l’applicabilité de la théorie des probabilités aux questions sur les miracles » (page61). Mais il faut se reporter à l’ensemble de l’interview, pour apprendre qu’il s’agit de « débats devenus de plus en plus obscurs, [...] des exercices de scolastiques », et qu’ils concernent certains philosophes, et non pas des mathématiciens ou des scientifiques. A force de trop vouloir faire passer une idée...
Télépathie, métapsychique, Vierge de Fatima

Impossible de continuer, faute de place, à analyser en détail l’ensemble du Hors Série de Science & Vie. Quelques articles intéressants abordent la question des rémissions spontanées, la « force de guérir », ou l’effet placebo (il faut regretter toutefois que cet effet placebo bien réel et objet de recherches scientifiques, soit parfois présenté comme dérangeant, et aux limites de la science : « le placebo encombre et n’a pas de légitimité »« des actions qui en toute logique ne devraient pas se produire ».
La fin du dossier devient par contre hallucinante pour une revue qui se prétend scientifique. « Le laboratoire de l’inexpliqué » (page 109) vante les mérites de l’Institut de Métapsychique (clairvoyance, télépathie, psychokinèse). « Récits aux portes de la mort » (page 82) nous ressert les éternelles expériences de « corps flottant », de » tunnels obscurs » et de « lumière qui rayonne d’amour » relatés par « ceux qui ont frôlé la mort ». Enfin, « Miracles à Naples » (page 118) est un reportage sur la « liquéfaction du sang de San Gennaro ». Si la parole est bien donnée aux sceptiques qui expliquent comment ce prétendu miracle peut se reproduire simplement, avec une chimie élémentaire, la conclusion laisse planer le mystère, « les scientifiques continuent de chercher la vérité ». Quant aux voyants de Fatima, le dernier mot est laissé à l’évêque qui a instruit l’affaire, affirmant « digne de crédit les visions des enfants ».
Science & Vie et la religion 
Une évolution frappante en quelques années

Forum Religion Magie et Paranormal SeV_et_religionLa religion était encore, tout récemment, un objet de démystification pour cette revue. En octobre 2003, Science & Vie publiait un numéro (1033) qui s’appelait « Religion à l’école : on y enseigne de fausses vérités ». Toutes les affirmations non fondées de la religion y étaient dénoncées.
En juillet 2005, Science & Vie a publié « Saint Suaire : la science aveuglée par la passion ». Là aussi, pas d’ambiguïté dans le propos. En 3 ans, ces « fausses vérités » ont quitté brutalement leur statut d’inepties pour devenir des objets scientifiques ! La démonstration, entre les deux dates, n’est jamais apparue.
Science & Vie et le paranormal
Une autre évolution frappante en moins de 10 ans

Forum Religion Magie et Paranormal SeV_1997_paranormal
« Pas la moindre manifestation “surnaturelle” », « Télépathie ou téléspectacle ? ». C’était Science & Vie... mais en Août 1997. On pouvait y lire : « Faut-il croire aux phénomènes paranormaux ? Pour en avoir le cœur net, les scientifiques de tous les pays multiplient les expériences sans a priori. Mais en dépit de leur ouverture d’esprit, ils n’ont jamais mis en évidence la moindre manifestation “surnaturelle” ». La conclusion de l’article de 1997 fait aujourd’hui rêver : « Mais le combat est inégal, car les faux prophètes du paranormal détiennent l’arme absolue : les médias, télévision en tête. Pour cause d’audimat, la télé est en effet devenue le principal vecteur de la montée des croyances parascientifiques ».
Forum Religion Magie et Paranormal SetV_inexpliqueEn 2006, la course à l’audience a gagné Science & Vie, la télépathie n’est plus téléspectacle, mais au centre de l’attention de « quelques chercheurs obstinés » au sein de « laboratoires de l’inexpliqué ».

Revue scientifique ?

On se frotte parfois les yeux à la lecture de ce numéro Hors Série de Science & Vie d’octobre 2006. Quand on se félicitait, il y a dix ou vingt ans, qu’une revue de vulgarisation scientifique soit achetée régulièrement par des centaines de milliers de français, on ne peut maintenant que regretter qu’une caution scientifique soit aussi largement donnée à des affirmations idéologiques, des approximations scientifiques et des pseudo-sciences réfutées depuis longtemps. Le Science & Vie non complaisant attirait des centaines de milliers de lecteurs. Il s’agit donc plus vraisemblablement d’un choix éditorial que d’une simple recherche d’un lectorat supposé (à tort) friand de balivernes et de miracles.
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:41

RELIGIOLOGIQUES, 18 (automne 1998) Marges contemporaines de la religion





Éléments pour une sociologie du paranormal
Jean-Bruno Renard[1]

Le développement de la sociologie du paranormal, en tant que champ de recherche spécifique, s'est heurté à plusieurs obstacles.
Tout d'abord des préjugés tenaces classent les objets d'étude en une hiérarchie de prestige et d'utilité : beaucoup de non-sociologues et même de sociologues considèrent qu'il est plus «sérieux» de se consacrer à la sociologie du travail qu'à la sociologie des loisirs, à la sociologie du développement qu'à la sociologie religieuse. Le paranormal, parce qu'il est par définition aux marges de la culture savante, est l'objet au mieux de désintérêt et au pire de mépris, comme le sont ou l'ont été les formes culturelles dites mineures : les romans policiers ou de science-fiction, par rapport à la «vraie» littérature, la bande dessinée par rapport à la peinture, le jazz et le rock par rapport à la musique classique, etc. Il ne faut pas sous-estimer ces réticences : ce n'est pas un hasard si une récente synthèse sur la sociologie des sciences rejette en annexe dans une liste des «thèmes non abordés» &emdash; et qui plus est en dernière ligne de cette liste! &emdash; le domaine des «sciences et parasciences, sciences occultes, sciences et médecines parallèles[2]».
En second lieu, l'irrationalité, le fantastique, l'extraordinaire inhérents au paranormal mettent mal à l'aise et gênent la tradition rationaliste et positiviste de la sociologie. Alors que l'historien et l'ethnologue peuvent aisément cantonner l'irrationnel chez l'Autre, respectivement dans un autre temps et dans une autre culture, le sociologue quant à lui éprouve des difficultés à admettre cet irrationnel, ou prétendu tel, dans sa propre culture, et plus encore au coeur de la modernité. De solides travaux ont malgré tout vu le jour, d'abord aux États-Unis[3] où les sociologues des religions se sont intéressés aux «occult beliefs» tandis que les sociologues de la connaissance s'interrogeaient sur les parasciences. Les sociologues Marcello Truzzi et Ron Westrum ont même fondé une «sociologie des anomalies» qui étudie comment la société réagit par rapport à des phénomènes qui ont été ou sont encore non reconnus par la science (météorites, OVNI, serpent de mer, etc.). Plus timidement en France, où l'intérêt intellectuel pour le paranormal est très minoritaire, des travaux sociologiques sont apparus, dans le sillage des études pionnières de Jacques Maître et d'Edgar Morin sur l'astrologie[4].
Il semble que les recherches, aussi bien outre-Atlantique qu'en Europe, tendent de plus en plus à distinguer des types différents de croyances au paranormal. La sociologie du paranormal est restée trop longtemps attachée à une conception «réaliste» &emdash; au sens de non nominaliste &emdash; du paranormal, comme si le mot désignait un domaine identifiable et unitaire. Gabriel Le Bras, réfléchissant sur le développement des sociologies spécialisées, observait qu'elles passaient par trois étapes successives : la simplicité, la complexité, le retour à l'unité.
 
La sociologie religieuse a cherché dans les clans archaïques les racines sociales de la religion; puis, elle a entrevu, différencié, déterminé, les aspects nombreux de chaque société religieuse; comparant, elle devint une sociologie des religions; enfin, relevant les conditions communes du religieux, elle revient, par un long détour, avec moins d'ambition philosophique, à la préoccupation initiale de Durkheim : reconnaître la part du social dans la représentation, le sentiment, l'approche du sacré. La sociologie politique a suivi une marche identique : la Cité apparaît d'abord comme un monde clos dans l'univers; l'analyse rencontre successivement les électeurs, les partis, les groupes de pression; l'unité se reconstitue autour des problèmes du pouvoir et des relations internationales.[5]
La sociologie du paranormal se dégage à peine du premier stade décrit par Gabriel Le Bras, celui de la «simplicité», pour s'engager dans celui de la «complexité», c'est-à-dire de la différenciation, du comparatisme et d'une sociologie des phénomènes paranormaux.
À l'aide de quelques exemples, nous allons tracer ce parcours qui mène d'une conception homogène des croyances au paranormal à la conception hétérogène qui devrait orienter de futures recherches.
 
Croyances au paranormal et catégories socioprofessionnelles
L'analyse des croyances au paranormal selon la catégorie socioprofessionnelle révèle clairement une surreprésentation chez les cadres moyens (voir tableau ci-après).




Paranormal et CSP

Agricul-teurs

Ouvriers

Petits commer-çants

Cadres moyens

Cadres sup.

Ensemble
Sourciers
76

50

51

57

59

58
Guérisons
44

41

50

48

37

41
Radiesthésie
49

36

37

41

41

40
Télépathie
22

33

42

49

54

37
Astrologie
29

36

46

49

45

36
OVNI
24

31

34

42

37

31
Horoscopes
20

27

29

29

30

25
Cartomancie
10

23

18

23

20

19
Envoûtem.
19

19

19

22

23

18
Tables tournantes
9

14

16

23

22

15
Fantômes
2

5

3

6

6

4

Source : SOFRES, 1981[6]Données en pourcentages


Sur 11 croyances au paranormal, 8 sont supérieures à la moyenne dans la catégorie «cadres moyens». Les analyses de Pierre Bourdieu sur la culture des classes intermédiaires nous semblent ici pertinentes. Le paranormal fait partie des formes culturelles situées aux marges inférieures de la culture légitime, aux côtés du roman policier, de la bande dessinée, de la science-fiction[7], du cinéma, du jazz, etc. Plus précisément, ces nouvelles classes, parce qu'elles sont de plus en plus nombreuses dans la société, sont aussi les plus jeunes. Leur culture puise donc abondamment dans ce que Bourdieu appelle les «ressources de l'anti-culture adolescente», parmi lesquelles il cite l'astrologie, les extraterrestres, le magnétisme, la parapsychologie, les phénomènes psi, la télépathie, la vulgarisation parascientifique[8]. Dans la carte de répartition du capital culturel (niveau d'éducation) et du capital économique (fortune et revenus), ce groupe social occupe le pôle du capital culturel fort associé à un capital économique faible. Ne pouvant participer financièrement et socialement à l'élaboration et à la reproduction de la culture légitime dominante, mais étant détenteurs d'un capital culturel relativement élevé, les membres de ce groupe cherchent à s'imposer par la légitimation de nouvelles formes de culture.
 
Les autodidactes nouveau style se sont souvent maintenus dans le système scolaire jusqu'à un niveau relativement élevé et ont acquis au cours de cette longue fréquentation mal récompensée un rapport à la fois «affranchi» et désabusé, familier et désenchanté avec la culture légitime qui n'a rien de commun avec la révérence lointaine de l'ancien autodidacte, bien qu'il conduise à des investissements tout aussi intenses et passionnés, mais placés sur de tout autres terrains, la bande dessinée ou le jazz, domaines abandonnés ou dédaignés par l'univers scolaire, plutôt que l'histoire ou l'astronomie, la psychologie (voire la parapsychologie) ou l'écologie plutôt que l'archéologie ou la géologie.[9]
 
Pierre Bourdieu souligne la dimension contestataire de ce savoir marginal :
La relation ambivalente qu'ils [membres des nouvelles classes moyennes] entretiennent avec le système scolaire et qui les porte à se sentir complices de toute espèce de contestation symbolique les incline à accueillir toutes les formes de culture qui sont, au moins provisoirement, aux marges (inférieures) de la culture légitime, jazz, cinéma, bande dessinée, science-fiction, et à trouver par exemple dans les modes et les modèles américains, jazzjeansrock ou underground, dont ils se font un monopole, l'occasion d'une revanche contre la culture légitime; mais ils importent souvent dans ces régions abandonnées de l'institution scolaire une disposition savante, voire érudite, que l'École ne renierait pas et qui s'inspire d'une intention évidente de réhabilitation, analogue dans son ordre aux stratégies de restauration qui sont constitutives de leur projet professionnel.[10]
 
Cette idée d'importation de la disposition savante s'applique particulièrement aux parasciences qui, bien que marginales, prennent toujours la science pour modèle[11].
Le tableau montre déjà quelques différenciations : les classes supérieures (cadres supérieurs), dont le niveau d'éducation est le plus élevé, croient moins que les classes moyennes instruites (6 croyances surreprésentées sur 11) mais plus que les classes populaires ou moyennes faiblement instruites (4 croyances surreprésentées chez les petits commerçants, 3 chez les agriculteurs et une seulement chez les ouvriers). Beaucoup de croyances au paranormal nécessitent une certaine culture, en particulier les croyances parascientifiques (OVNI, parapsychologie, cryptozoologie...) qui sont associées à la modernité et à la science. Ces croyances sont donc peu fréquentes chez les individus ayant un faible niveau d'instruction. Avec l'élévation du niveau d'instruction, l'adhésion à ces croyances augmente, mais dès que l'on atteint un niveau d'instruction élevé (études supérieures), le scepticisme semble se développer. On voit également une nette surreprésentation des croyances traditionnelles (sourciers, guérisseurs, radiesthésie) chez les agriculteurs; ces trois croyances étant d'ailleurs aussi les plus fréquentes dans l'ensemble de la population française.
 
Croyances au paranormal et variables de sexe et d'âge
À partir des données du sondage réalisé par la SOFRES (1981), nous avons construit quelques représentations graphiques synthétiques afin de mieux mettre en valeur les différenciations. Ainsi le graphique ci-dessous répartit les croyances au paranormal suivant l'âge et le sexe.
 

Forum Religion Magie et Paranormal Renard01

 
On voit d'abord que 9 croyances sur 11 sont surreprésentées chez les jeunes (moins de 35 ans), confirmant ainsi les analyses proposées plus haut. Seules les croyances à la radiesthésie et surtout aux sourciers sont plus intenses chez les personnes plus âgées, ce qui correspond à leur enracinement dans l'ensemble de la population et plus particulièrement chez les paysans, dont la moyenne d'âge est élevée. Contrairement à des préjugés tenaces, les croyances au paranormal ne sont pas systématiquement plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. On observe une différenciation entre des croyances nettement féminines, qui concernent essentiellement la divination (cartomancie, astrologie, horoscopes), et des croyances plutôt masculines, en particulier la croyance aux OVNI, si imprégnée de mythologie technico-scientifique.
 
Croyances au paranormal et polarités idéologiques
 
Toujours à partir des données du sondage de la SOFRES, une analyse en composantes principales[12] permet d'obtenir le schéma suivant :

Forum Religion Magie et Paranormal Renard02

 
Ce tableau permet de visualiser les motivations opposées qui soutiennent telle ou telle croyance au paranormal. Du côté de la tradition, on trouve les pratiques rurales (sourcier, radiesthésie) et le folklore ancien (fantômes), tous étroitement associés à un savoir empirique, à la terre et au terroir. Au contraire les OVNI, la télépathie, l'astrologie même, prétendent s'appuyer sur un savoir scientifique et évoquent plutôt les relations avec le ciel (extraterrestres, ondes aériennes, astres). Le second axe permet de distinguer d'une part des pratiques mettant en oeuvre des dons cachés de l'homme (divination, radiesthésie, guérisseurs), mais naturels, et d'autre part des pratiques et des croyances surnaturelles, en liaison avec l'Au-delà, l'occulte, les entités fantastiques (fantômes, envoûtements, tables tournantes). Ainsi, pour reprendre les termes de Jacques Maître, les croyances au paranormal, qui «s'apparentent dans une commune appartenance à cette nébuleuse d'hétérodoxies», sont «si divergentes par ailleurs [13]».
 
Croyances au paranormal et degré d'intégration religieuse
Dans leur étude sur les croyances aux parasciences, Daniel Boy et Guy Michelat ont été amenés d'une part à révéler l'importance du lien entre ces croyances et le niveau d'intégration religieuse, d'autre part à distinguer l'astrologie et les autres croyances au paranormal. Dans le prolongement de ces travaux, on suggérera que les croyances au paranormal sont de trois types principaux, correspondant à trois modèles de corrélation avec l'attitude religieuse.
 
Les croyances périreligieuses : une corrélation directe avec le religieux
Le premier modèle correspond à des croyances religieuses appartenant à la religion dominante mais qui ont été marginalisées, c'est pourquoi nous proposons de les appeler périreligieuses.
 

Forum Religion Magie et Paranormal Renard03

 
Ces croyances ne sont pas l'objet de dogmes et correspondent à un merveilleux religieux plutôt populaire et traditionnel, auquel les élites savantes et cléricales ne croient plus ou peu : le Diable, les anges, les démons, les miracles, etc. Elles sont directement proportionnelles au niveau d'intégration religieuse. Charles Emmons et Jeff Sobal ont établi que les croyances en la vie après la mort, aux anges et aux démons étaient fortement corrélées à des variables d'appartenance religieuse[14].
Dans une étude sur les croyances des étudiants de Montpellier[15], il apparaît que 24 % d'entre eux croient en l'existence du Diable : cette croyance représente 19 % parmi les non-pratiquants et les pratiquants saisonniers (baptême, mariage, décès), 30 % parmi les pratiquants festifs (fêtes religieuses), 38 % parmi les pratiquants plutôt réguliers et 62 % parmi les pratiquants très réguliers. Une analyse factorielle des correspondances confirme que la croyance au Diable est associée aux critères d'intégration religieuse (prière fréquente, initiation religieuse au-delà de 15 ans, père et mère croyants, croyance au péché, à la vie éternelle, etc.)[16]. Si l'on examine la croyance en Dieu[17], la distribution est semblable : chez ceux qui croient que Dieu n'existe pas, la croyance au Diable est de 9 %, chez ceux qui croient que Dieu existe peut-être, elle est de 18 % et chez les étudiants qui croient que Dieu existe, elle est de 39 %. Il faut cependant être prudent en ce qui concerne la causalité entre ces deux variables : ce n'est pas parce que l'on croit en Dieu que l'on a tendance à croire au Diable ou aux miracles, ni même parce que l'on croit au Diable que l'on croit nécessairement en Dieu. C'est une forte intégration à l'institution et à la tradition religieuses qui détermine la double croyance au Diable et en Dieu.
De manière générale, une forte intégration religieuse freine l'adhésion aux autres formes de croyances au paranormal : OVNI, phénomènes psi, monstre du loch Ness, Yéti, etc.[18] Parmi les croyances para-archéologiques[19], seules celles qui se réfèrent à la Bible sont l'objet d'adhésion chez les croyants religieux : traces du déluge, recherche de l'Arche de Noé, localisation du Paradis terrestre, etc. Cette tendance est naturellement la plus forte chez les fondamentalistes, qui considèrent que la Bible est littéralement vraie. En revanche, les croyances para-archéologiques non bibliques telles que la théorie des Anciens Astronautes, la malédiction de Toutankhamon, l'Atlantide, seront rejetées par les croyants religieux.
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:42

Les croyances parareligieuses : une corrélation gaussienne avec le religieux
Si l'on examine maintenant des croyances parareligieuses, à proprement parler, comme l'astrologie ou la réincarnation (en tant que croyance des Occidentaux), le modèle de corrélation avec l'intégration religieuse est nettement différent.

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Dès 1966, Jacques Maître a mis en évidence la distribution «en cloche» de la croyance en l'astrologie par rapport à la pratique religieuse[20].

Étant donné un pourcentage moyen de croyants en l'astrologie d'environ 30 %, la proportion est de 13 % chez les catholiques non pratiquants, de 43 % chez les catholiques pratiquants occasionnels et de 37 % chez les catholiques pratiquants réguliers. Quinze ans plus tard, ces données sont encore valables puisqu'elles sont confirmées par l'enquête de Jean-Noël Kapferer et Bernard Dubois[21] : pour 38,6 % qui croient en l'horoscope dans la population générale, la proportion est de 25,3 % chez les non-catholiques, elle monte à 42,8 % chez les catholiques non pratiquants, puis culmine à 43,8 % chez les catholiques pratiquants épisodiques pour redescendre ensuite à 28,4 % chez les catholiques pratiquants réguliers. Comme l'écrit Jacques Maître : «Il semblerait que la religiosité favorise l'astrologie, mais que des liens assez forts avec l'Église freinent cette tendance.[22]»
L'exemple de la réincarnation est encore plus frappant[23]. Les étudiants de Montpellier croient à la réincarnation dans une proportion de 27 % : ce pourcentage n'est que de 26 % chez les étudiants non pratiquants et pratiquants saisonniers, il monte à 30 % chez les étudiants pratiquants festifs puis chute à 18 % chez les pratiquants plutôt réguliers et à 17 % chez les étudiants pratiquants réguliers.
Tout se passe comme si l'astrologie ou la réincarnation étaient rejetées quand elles se heurtent à une conception du monde structurée. Il semble que l'adhésion à un système de pensée cohérent &emdash; qu'il s'agisse de l'athéisme ou du christianisme pratiquant &emdash; empêche l'implantation de croyances religieuses hétérodoxes, alors qu'une religion diffuse, non institutionnalisée, constitue une structure d'accueil privilégiée pour ces croyances parareligieuses, offrant des possibilités de syncrétisme religieux. Le mouvement New Age correspond assez largement à ce modèle. Les croyances parareligieuses participent donc de ce «retour du religieux» diagnostiqué par les sociologues et les historiens[24].
L'astrologie, la réincarnation, ne remplacent pas le christianisme mais se juxtaposent à lui. L'hypothèse souvent avancée d'une substitution des croyances paranormales aux croyances religieuses doit donc être sérieusement nuancée. D'une part parce que ce sont moins les croyances que les pratiques religieuses qui s'estompent[25], et par conséquent les croyances en Dieu, au Christ, à l'Au-delà, coexistent avec les croyances en l'astrologie ou en la réincarnation. D'autre part parce que le terrain conquis par l'athéisme ou l'agnosticisme est tout aussi réfractaire aux croyances parareligieuses qu'aux croyances religieuses.
Le récent engouement pour les anges pourrait, s'il continue de se développer, modifier à la fois la nature de cette croyance et celle de son «public». En devenant plus fréquente chez les personnes peu intégrées à l'Église que chez les croyants pratiquants réguliers, la représentation graphique de la croyance aux anges s'incurverait et l'on passerait du modèle I au modèle II. La croyance changerait donc de statut sociologique : de périreligieuse elle deviendrait parareligieuse. On peut en observer des prémices dans le rapprochement qui est fait entre les apparitions angéliques et les NDE (Near Death Experiences) ou l'angélologie hébraïque kabbalisante. Ces anges parapsychologiques ou occultistes paraissent bien éloignés de la croyance traditionnelle aux anges et aux anges gardiens dans l'Église catholique.
 
Les croyances parascientifiques : une corrélation inverse avec le religieux
Le troisième modèle de corrélation est l'inverse du premier : il établit une liaison inversement proportionnelle entre des croyances au paranormal qui ont un contenu parascientifique et le niveau d'intégration religieuse.

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La croyance aux soucoupes volantes et aux OVNI est inversement proportionnelle au niveau d'intégration religieuse. D'après l'enquête de Kapferer et Dubois[26], la croyance aux OVNI représente 35 % dans l'ensemble de la population : elle est à son maximum de 36,7 % chez les non-catholiques, descend à 35,4 % chez les catholiques non pratiquants, à 35 % chez les catholiques pratiquants épisodiques et chute à 28,5 % chez les pratiquants réguliers. L'étude sociologique de la croyance aux extraterrestres[27] indique une tendance semblable : pour une moyenne d'ensemble de 30 % de croyants aux extraterrestres, ceux-ci représentent 35 % chez les incroyants, 31 % chez les croyants non pratiquants, 28 % chez les pratiquants irréguliers et 18 % chez les pratiquants réguliers. Certes, le phénomène n'est pas indépendant des variables d'âge et de sexe, le niveau d'intégration à l'Église étant plus fort chez les femmes et chez les personnes âgées, c'est-à-dire précisément les catégories peu intéressées par les OVNI et les extraterrestres. Mais de nombreux éléments, de nature qualitative, appuient l'idée d'une corrélation entre une conception matérialiste du monde et la croyance aux extraterrestres : la théorie néo-évhémériste des Anciens Astronautes (extraterrestres venus sur Terre autrefois et pris pour des dieux) est née en Union Soviétique; les groupes soucoupistes tel que le Mouvement raëlien prônent une religion athée et matérialiste, etc. Par son aspect rationaliste, matérialiste et scientifique, la croyance aux extraterrestres est tout à fait acceptée, voire même recherchée, par les incroyants en une religion. Dans notre ouvrage sur le mythe des extraterrestres, nous rappelions la réponse faite à la question «Et si les extraterrestres n'existaient pas?», posée par Kapferer et Dubois à une militante communiste de 30 ans : «Alors, on n'a plus de raison de vivre.[28]» À l'inverse, les croyants et pratiquants en une religion ont déjà donné un sens à leur vie. Pour la plupart des religions, l'univers est peuplé d'êtres invisibles (Dieu ou dieux, ancêtres, génies, anges, démons, etc.), il n'y a plus de place pour des entités comme les extraterrestres. Au contraire, dans la conception matérialiste et athée du monde, l'espace vidé de Dieu et des anges est devenu infini et silencieux &emdash; trop silencieux &emdash; et peut aisément se remplir de créatures humanoïdes dont la présence rassure l'homme angoissé de se sentir seul dans l'univers. Il semblerait donc que ce soit pour le modèle III que l'on puisse parler, avec le plus d'exactitude, de croyances au paranormal qui se substituent aux croyances religieuses.
Les croyances cryptozoologiques (animaux inconnus et mystérieux) paraissent également relever de ce modèle. L'enquête de Charles Emmons et Jeff Sobal[29] montre que les croyances paranormales les plus fortement corrélées positivement à une attitude d'incroyance religieuse et les plus fortement corrélées négativement à une attitude de croyance religieuse sont celles qui concernent l'existence du monstre du loch Ness et du Sasquatch (le Yéti américain). Ces résultats sont confirmés par l'étude de Roger Grimshaw et Paul Lester[30] : sur un échantillon de 25 «fans» («enthusiasts») du monstre du loch Ness, 15 sont incroyants sur le plan religieux, 7 sont chrétiens non pratiquants et 3 seulement sont des chrétiens pratiquants.
Étudiant la mythologie du Yéti, nous avons montré qu'elle entretenait des liens privilégiés avec une conception matérialiste du monde, en particulier parce qu'elle s'intégrait parfaitement à l'imaginaire évolutionniste[31]. Ce n'est sans doute pas un hasard si, comme pour les extraterrestres, l'intérêt pour les Hommes Sauvages s'est tout spécialement manifesté en Union Soviétique, avec par exemple Boris Porchnev, qui a écrit avec Bernard Heuvelmans un ouvrage où les mystérieux hommes-singes sont supposés être des hommes de Néanderthal[32], et Marie-Jeanne Koffmann, chercheur d'origine française et membre de l'Académie des Sciences de l'Union Soviétique, partie sur les traces de l'«almasty» du Caucase.
Parce qu'elles sont en opposition non seulement aux croyances religieuses mais aussi, par définition, au savoir scientifique officiel, les croyances parascientifiques possèdent une dimension de contestation de la culture dominante. Nous avons montré, dans nos recherches sur la mythologie des extraterrestres, que les croyances soucoupistes étaient indissociables d'une critique de la société, d'une méfiance envers les gouvernements et d'une conception écologiste de l'environnement. Les attitudes des partisans du monstre du loch Ness, finement étudiées par Grimshaw et Lester, vont tout à fait dans le même sens. Les croyants font preuve d'une forte sensibilité écologiste. Plus des deux tiers pratiquent une activité de plein air comme la pêche, la chasse, l'aviation ou la navigation. La grande majorité d'entre eux considère que la menace de la pollution industrielle sur l'environnement est très grande. On comprendra aisément que la question de la qualité de l'environnement soit associée à l'énigme du monstre du loch Ness, qui serait une espèce animale miraculeusement sauvegardée. Globalement, par rapport aux autorités morales et politiques, l'attitude est plus de rejet que d'acceptation. L'attachement à la science est grand, puisqu'ils pensent qu'elle prouvera un jour l'existence de la créature mystérieuse, mais ils lui reprochent de manquer d'esprit d'ouverture. Leur formation et leurs activités professionnelles sont moins théoriques que techniques (cadres et professions intellectuelles supérieures, professions intermédiaires) :
 
Les individus ayant répondu au questionnaire appartiennent à la classe moyenne. Ils exercent une profession nécessitant des connaissances spécialisées et des prises de décision cohérentes fondées sur ce savoir. On peut supposer que l'étude scientifique des anomalies représente pour de telles personnes un défi intellectuel sans danger, des sortes de «vacances conceptuelles». On peut expliquer de la même manière l'intérêt que certains savants officiels portent à l'insolite.[33]
 
Après avoir rappelé que les partisans du monstre du loch Ness sont très majoritairement de sexe masculin, âgés de moins de 35 ans, ayant un niveau d'instruction élevé et une compétence spécialisée, enfin qu'ils appartiennent à la classe moyenne ascendante, Grimshaw et Lester concluent ainsi :
 
Ce sont des individus libéraux [en France on dirait «de gauche»] ayant leur opinion propre, des gens qui ont souvent réussi dans la vie, mais ils n'occupent pas de positions influentes qui leur permettraient d'exercer un pouvoir sur les événements. Si nous comparons leur position sociale à la position du monstre du loch Ness dans les milieux scientifiques, il est possible d'attribuer un rôle social métaphorique à leur croyance. Non reconnu et non nommé, le monstre représente un opprimé scientifique dans une bataille sans fin contre l'establishment, enfermé dans une relation de subordination qui est analogue à la situation de mérite social non récompensé que ce type de groupe social est largement capable de percevoir comme étant la sienne. Par conséquent, le soutien apporté à la croyance en l'existence du monstre est comparable à la défense des justes causes libérales de l'écologie et de la politique modérée, au nom du peuple, contre les gros bataillons des affaires, du travail et des partis politiques. Toutes ces opinions ont en commun d'opposer l'évidence du bon sens aux doctrines standardisées. Ainsi, les dogmes des Églises entrent en compétition avec le merveilleux contemporain dont se porte garant un sens commun bien informé [informed common sense] plutôt qu'un théorie scientifique complexe.[34]
 
Cette analyse est très proche de celle que nous avons développée plus haut. On aura aussi noté la référence au processus «métaphorique» qui nous semble en effet fonder les croyances fantastiques, aussi bien psychologiquement que sociologiquement.
En ce qui concerne les attitudes des partisans du monstre du loch Ness envers d'autres phénomènes paranormaux, il n'est pas étonnant de constater une forte adhésion à l'existence du serpent de mer et du Bigfoot (ou Yéti). Les OVNI sont l'objet d'une attitude plutôt favorable (il y aurait de «bonnes preuves» de l'existence des soucoupes volantes) ainsi que la perception extrasensorielle (phénomènes psi). En revanche, ils sont d'une opinion partagée sur le Saint Suaire de Turin, plutôt incroyants envers le spiritisme, et jugent «absurde» la théorie des Anciens Astronautes. S'il y a donc une certaine cohérence entre des phénomènes paranormaux de même type (cryptozoologie et ufologie), il y aurait plutôt réticence ou avis partagés sur les autres. Ceci confirme l'idée que les croyances au paranormal ne forment pas un bloc homogène. Dans une étude sur le public du film Rencontres du troisième type, Laura Otis[35] a soumis un questionnaire qui comportait, à côté de questions sur la croyance aux extraterrestres et aux OVNI, d'autres items sur le paranormal et le surnaturel. Elle souligne le fait que le public du film de Spielberg ne s'écartait significativement du public d'autres films que sur les questions relatives aux OVNI et aux extraterrestres et non sur d'autres croyances paranormales comme la vie après la mort, l'aura, la télépathie, la réincarnation, la communication avec les morts, etc. Elle en conclut qu'on ne peut donc parler d'une crédulité générale plus élevée du public de Rencontres du troisième type, mais bien d'une croyance spécifique concernant les OVNI et les extraterrestres.
Les trois modèles proposés ci-dessus devraient permettre de situer d'autres croyances au paranormal. Par exemple il serait intéressant de savoir à quel type appartiennent la croyance à la parapsychologie (radiesthésie, télépathie, télékinésie), le spiritisme, la croyance au Triangle des Bermudes, la croyance aux NDE (Near Death Experiences), etc. Ces trois modèles constituent bien entendu des tendances et non des lois. On peut penser que le niveau d'intégration religieuse est un bon indicateur global d'une disposition envers tel ou tel type de croyances au paranormal, mais l'adhésion individuelle à telle ou telle croyance particulière &emdash; par exemple pourquoi la réincarnation plutôt que l'astrologie, pourquoi les extraterrestres plutôt que le monstre du loch Ness? &emdash; sera la conséquence d'une série d'attitudes et de motivations qui s'ajoutent les unes aux autres en augmentant la probabilité d'attraction vers une croyance spécifique. Un bon exemple en est donné par une étude de Lawrence Littig sur les corrélats psychosociologiques de la croyance aux OVNI. Ce chercheur américain a montré qu'il existait une forte corrélation entre le désir de communiquer avec autrui et la croyance aux OVNI d'origine extraterrestre.
 
Cette étude prouve que la croyance aux OVNI est associée à des processus psychologiques, mais elle suggère qu'il s'agit de psychologie normale et non de psychopathologie. La croyance dans la vie sur d'autres mondes semble dépendre d'une caractéristique très humaine : le besoin de réponses positives provenant d'autres êtres humains.[36]
 
La croyance aux extraterrestres peut alors être interprétée comme une projection de la «motivation relationnelle» (affiliation motivation), c'est-à-dire du besoin de relations humaines, du désir d'être accepté et aimé par les autres. Dans un univers peuplé d'êtres intelligents, les possibilités de réponses émotionnelles positives (ou négatives) sont plus élevées que dans un univers vide. Les efforts déployés depuis la fin du XIXe siècle pour communiquer avec les extraterrestres, pour leur envoyer ou recevoir des messages, témoignent de cette compulsion communicative, parallèlement au développement des moyens de communication et à l'essor d'une idéologie de la communication-communion (comme valeur morale). Déjà, le spiritisme avait placé la communication avec les morts au centre de son mouvement[37], et de nos jours le «retour des anges» a peut-être quelque chose à voir avec la tradition qui fait des êtres angéliques des «messagers» (le mot «ange» vient, par le latin, du grec aggelos, «messager»).
Le problème du choix des variables psychosociologiques pertinentes pour étudier le paranormal s'est posé avec acuité à propos des témoins d'observations d'OVNI, qui représentent aujourd'hui, aussi bien en France qu'aux États-Unis, près de 15 % de la population. Les données recueillies ont vite permis d'écarter l'hypothèse psychopathologique : la quasi-totalité des témoins ne souffrent pas de troubles psychotiques et ne sont pas sujets à des crises de délire ou à des hallucinations. En second lieu, les variables sociologiques classiques ne permettent pas de caractériser les témoins d'OVNI, qui ne se distinguent du reste de la population ni par le sexe, ni par l'âge, ni par l'appartenance ethnique, ni par la catégorie socioprofessionnelle, ni par le niveau d'instruction. Dès 1968, le «rapport Condon»[38], première étude scientifique menée aux États-Unis sur les OVNI, conclut à l'absence de profil sociologique type pour les témoins d'OVNI. Les analyses secondaires effectuées à partir des sondages Gallup sur les personnes déclarant avoir vu des OVNI vont dans le même sens. En 1970, Donald I. Warren[39], s'inspirant de la théorie du statut sociologique, suggère qu'il ne faut pas étudier les variables sociologiques isolément mais en fonction de leur «cohérence» ou de leur «incohérence» : l'incohérence de statut («status inconsistency») (par exemple un médecin de race noire ou un homme peu instruit qui a de gros revenus) favoriserait les témoignages d'OVNI et, de manière générale, les croyances au paranormal. Bien qu'éclairante sur certains aspects psychosociologiques du problème &emdash; les personnes sociologiquement inclassables s'intéressent aux phénomènes inclassables& emdash; cette théorie n'obtient pas de résultats très concluants, car si la proportion d'individus au statut incohérent semble en effet plus forte dans la population de témoins d'OVNI que dans la population globale, il n'en reste pas moins que la majorité des témoins d'OVNI ont bien un statut cohérent. Des analyses plus récentes ont montré que ce sont des croyances préalables qui sont le mieux corrélées avec les témoignages d'OVNI. Ainsi il apparaît[40] que les croyants aux extraterrestres voient significativement plus de phénomènes inexpliqués dans le ciel que le reste de la population &emdash; 19 % contre 14 % &emdash; alors que le fait de voir des objets célestes non identifiés ne conduit pas significativement à croire aux extraterrestres! On constate également que les individus qui manifestent un fort intérêt pour l'étrange ont été plus souvent témoins d'OVNI (20 %) que ceux qui n'éprouvent pas d'intérêt pour l'étrange (9 % de témoins d'OVNI parmi eux). Enfin, on note une curieuse corrélation entre l'observation d'OVNI et une vision «tranchée» du proche avenir &emdash; qu'il soit perçu de manière très optimiste ou de manière très pessimiste &emdash; alors que les non-témoins d'OVNI sont plus incertains. Peut-être l'attention accrue portée aux OVNI correspond-t-elle à une recherche de «signes du ciel» &emdash; c'est ainsi que Jung appelait les OVNI[41] &emdash; qui confirmerait cette vision engagée de l'avenir. Ainsi, par-delà les siècles, les témoins d'OVNI rejoignent les Anciens qui scrutaient les prodiges célestes pour y lire l'avenir.
 
 
À l'heure actuelle, trois priorités de recherche semblent se dégager concernant la sociologie du paranormal.
Comme il apparaît que les travaux américains et français s'ignorent mutuellement et sont souvent centrés sur leur seul terrain culturel, la première tâche des sociologues du paranormal sera donc de comparer, confronter et synthétiser les travaux anglo-saxons et français.
En second lieu, il faut développer les études «différentialistes» qui distinguent &emdash; comme on a tenté de le faire ici &emdash; différents types de croyances au paranormal et révéler les motivations, les «bonnes raisons de croire»[42] qui fondent ces croyances.
En troisième lieu, et dans le même ordre d'idées, la sociologie du paranormal devra examiner comment les différentes cultures traitent tel ou tel phénomène paranormal. Le cas des OVNI est exemplaire : croyance parascientifique dans les pays industrialisés, où s'est développée l'ufologie; croyance parareligieuse en Amérique du Sud, où elle s'est intégrée aux religions syncrétistes; absence de croyance en Afrique, où les OVNI sont considérés avec indifférence, mais où les phénomènes lumineux et les rencontres avec des entités sont attribués aux djinns. La croyance aux fantômes, minoritaire en France, est largement répandue en Angleterre et plus encore au Japon. La réincarnation n'est une croyance parareligieuse qu'en Occident et non dans les pays où la religion dominante en fait un article de foi (hindouisme, bouddhisme).
 





[1] Jean-Bruno Renard est professeur de sociologie à l'Université Paul-Valéry (Montpellier).
[2] Dominique Vinck, Sociologie des sciences, Paris, Armand Colin, 1995, p. 277.
[3] Voir en particulier: Edward A. Tiryakian, «Toward the sociology of esoteric culture», American Journal of Sociology, no. 78 (3), 1972, pp. 491-512; Marcello Truzzi, «The occult revival as popular culture: some random observations on the old and the nouveau witch», Sociological Quarterly, no. 13, 1972, pp. 16-36; Marcello Truzzi, «Astrology as popular culture», Journal of Popular Culture, no. 8, 1975, pp. 906-911; Andrew M. Greeley, The Sociology of Paranormal, Beverly Hills-London, Sage Publications, 1975; Ron Westrum, «Social intelligence about anomalies: the case of UFOs», Social Studies of Science, vol. 7, 1977, pp. 271-302; Warren H. Jones, Dan W. Russell, Ted W. Nickel, «Belief in the paranormal scale: an objective instrument to mesure belief in magical phenomena and causes», Catalog of Selected Documents in Psychology, vol. 7, no. 100, 1977; Ron Westrum, «Science and social intelligence about anomalies: the case of meteorites», Social Studies of Science, vol. 8, 1978, pp. 461-493; Roy Wallis (ed.), On the Margins of Science. The Social Construction of Rejected Knowledge, Keele (Staffordshire), University of Keele, «The Sociological Review Monograph no. 27», 1979; Richard F. Haines (ed.), UFO Phenomena and the Behavioral Scientist, Metuchen, N. J., & London, The Scarecrow Press, 1979; Barry Singer, Victor A. Benassi, «Occult Beliefs», American Scientist, vol. 69, no. 1, 1981, pp. 49-55; Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: testing the marginality hypothesis», Sociological Focus, vol. 14, no. 1, 1981, pp. 49-56; Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: functional alternatives to mainstream religion?», Review of Religious Research, vol. 22, no. 4, 1981, pp. 301-312; William Sims Bainbridge, Rodney Stark, «Friendship, religion, and the occult: a network study», Review of Religious Research, vol. 22, no. 4, 1981, pp. 313-327; H. M. Collins, T. J. Pinch, Frames of Meaning: The Social Construction of Extraordinary Science, London, Routledge & Kegan Paul, 1982; Nachman Ben-Yehuda, Deviance and Moral Boundaries: Witchcraft, the Occult, Science Fiction, Deviant Sciences and Scientists, Chicago, The University of Chicago Press, 1985; Warren H. Jones, Leonard Zusne, Anomalistic Psychology: a study of magical thinking, Hillsdale, N. J., Hove: Lawrence Erlbaum, 1989 (2e ed.).
[4] Par exemple: Jacques Maître, «La consommation d'astrologie dans la société contemporaine», Diogène, no. 53, 1966, pp. 92-109; Edgar Morin (dir.), La Croyance astrologique moderne. Diagnostic sociologique, Lausanne, L'Âge d'Homme, 1982 [1971]; Jean-Bruno Renard, «Le merveilleux et l'homme contemporain», dans Michel Meslin (dir.), Le Merveilleux. L'imaginaire et les croyances en Occident, Paris, Bordas, 1984, pp. 44-49; Jean-Bruno Renard, «Culture savante ou culture populaire: le cas des croyances au paranormal», Analele Universitatii Bucuresti (Istorie) [Annales de l'Université de Bucarest. Histoire], anul XXXIV, 1985, pp. 95-108; Daniel Boy, Guy Michelat, «Croyances aux parasciences: dimensions sociales et culturelles», Revue française de sociologie, no. XXVII-2, 1986, pp. 175-204; Gérard Chevalier, «Parasciences et procédés de légitimation», Revue française de sociologie, no. XXVII-2, 1986, pp. 205-219; revue Autrement, no. 82 (La Science et ses doubles), 1986; Françoise Askevis-Leherpeux, La Superstition, Paris, PUF (coll. «Que sais-je?», 2379), 1988; Jean-Bruno Renard, «La para-archéologie et sa diffusion dans le grand public», dans L'Archéologie et son image, Juan-les-Pins (Alpes-Mar.), Éd. APDCA, 1988, pp. 275-290; Marie-Christine Combourieu, «Divination, voyance, télépathie: limites socio-épistémologiques», Cahiers de l'Imaginaire, no. 5/6, 1990, pp. 63-85; revue Terrain, no. 14 (L'incroyable et ses preuves), mars 1990; Sylvie Joubert, La Raison polythéiste. Essai de sociologie quantique, Paris, L'Harmattan, 1991; Pierre Lagrange, «Les parasciences selon l'épistémologie: "des savoirs sans méthode"», Analele Universitatii Bucuresti (Istorie), anul XL, 1991, pp. 101-110; Patrick Legros, Esprit, es-tu las? L'Irrationnel, un besoin social paradoxal, Paris, L'Harmattan, 1992; Colloque de La Villette, La Pensée scientifique, les citoyens et les parasciences, Paris, Albin Michel, 1993; revue Ethnologie française, tome XXIII-3, «Science/Parascience. Preuves et épreuves», 1993. Pour le Québec, voir Alain Bouchard, «Les croyances exotiques: une reconstruction ludique du sacré?», dans Les Croyances des Québécois, sous la direction de Raymond Lemieux et Micheline Milot, Québec, Cahiers de recherches en sciences de la religion, vol. 11, 1992, pp. 295-324.
[5] Gabriel Le Bras, «Destin de la sociologie», dans Aspects de la sociologie française, Paris, Les Éditions Ouvrières, 1966, p. 10.
[6] Enquête commanditée par le magazine Bonne Soirée et réalisée en juillet-août 1981 par la SOFRES auprès d'un échantillon national représentatif de la population française et composé de 2350 personnes âgées de 15 ans et plus. Nous remercions les Éditions Dupuis, à Paris, de nous avoir aimablement communiqué le rapport d'enquête.
[7] Voir Jean-Bruno Renard, «Le public de la science-fiction», Science-Fiction, no. 5, octobre 1985, Paris, Éditions Denoël, pp. 138-165.
[8] Pierre Bourdieu, La Distinction. Critique sociale du jugement, Paris, Éditions de Minuit, 1979, p. 429.
[9] Ibid., p. 92.
[10] Ibid., p. 417.
[11] Gérard Chevalier, «Parasciences et procédés de légitimation», art. cit.
[12] On a calculé le khi-deux des croyances prises deux à deux (khi-deux toujours significatif et révélant une attraction entre les croyances). Les khi-deux ont été ensuite rassemblés dans un grand tableau sur le modèle du tableau des corrélations de Burt. On a pu mettre ainsi en évidence les attractions plus ou moins fortes que les croyances exerçaient entre elles. Ce travail n'aurait pu être fait sans les conseils et l'aide précieuse de Jean-Paul Laurens, maître de conférences en sociologie à l'Université Paul-Valéry (Montpellier-III). Qu'il en soit ici vivement remercié.
[13] Jacques Maître, «Postface», dans Guy Michelat, Julien Potel, Jacques Sutter et Jacques Maître, Les Français sont-ils encore catholiques?, Paris, Éditions du Cerf, 1991, p. 325. C'est nous qui soulignons.
[14] Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: functional alternatives to mainstream religion?», art. cit., p. 309.
[15] Analyse secondaire réalisée par Abdoulaye Kane, Croyance au Diable chez les étudiants, mémoire de maîtrise en sociologie préparé sous la direction de Jean-Bruno Renard, Montpellier, Université Paul-Valéry, Montpellier-III, 1995 (p. 103), d'après des données recueillies par Jean-Marie Cuillé, «Enquête sur les croyances et pratiques religieuses des étudiants de Montpellier en 1988», mémoire de maîtrise d'histoire contemporaine préparé sous la direction de Gérard Cholvy, Montpellier, Université Paul-Valéry, Montpellier-III, 1988.
[16] Abdoulaye Kane, Croyance au diable chez les étudiantsop. cit., p. 77.
[17] Ibid., p. 94.
[18] Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: functional alternatives to main-stream religion?», art. cit., p. 309.
[19] Voir Jean-Bruno Renard, «La para-archéologie et sa diffusion dans le grand public», art. cit.
[20] Jacques Maître, «La consommation d'astrologie dans la société contemporaine», art. cit., p. 102.
[21] Jean-Noël Kapferer et Bernard Dubois, Échec à la science. La survivance des mythes chez les Français, Paris, Nouvelles Éditions Rationalistes, 1981, p. 258.
[22] Jacques Maître, «La consommation d'astrologie dans la société contemporaine», art. cit., p. 102.
[23] Voir Jean-Noël Corso, La Croyance en la réincarnation chez les étudiants de Montpellier en 1990, mémoire de maîtrise en sociologie préparé sous la direction de Jean-Bruno Renard, Montpellier, Université Paul-Valéry, Montpellier-III, 1990, et Jean-Bruno Renard, «La croyance à la réincarnation chez les jeunes. Une étude sociologique», Les Cahiers de Saint-Martin, no. 4, 1991, pp. 45-62.
[24] Voir, pour la France, Gérard Cholvy et Yves-Marie Hilaire, Histoire religieuse de la France contemporaine (1930-1988), Toulouse, Privat, 1988.
[25] Les pratiques rituelles s'estompent dans le domaine religieux, mais elles sont puissamment réinvesties hors de la religion ainsi que l'a montré Claude Rivière dans plusieurs ouvrages récents: Les Liturgies politiques, Paris, PUF, 1988, et Les Rites profanes, Paris, PUF, 1995. Voir aussi Albert Piette, Les Religiosités séculières, coll. «Que sais-je?», 2764, Paris, PUF, 1993.
[26] Jean-Noël Kapferer et Bernard Dubois, Échec à la scienceop. cit., p. 72.
[27] Jean-Bruno Renard, Les Extraterrestres. Une nouvelle croyance religieuse?, coll. «Bref», 7, Paris, Éditions du Cerf, 1988, p. 66.
[28] Jean-Noël Kapferer et Bernard Dubois, Échec à la scienceop. cit., p. 60, cité par Jean-Bruno Renard, Les Extraterrestresop. cit., p. 117.
[29] Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: functional alternatives to main-stream religion?», art. cit., p. 309.
[30] Roger Grimshaw, Paul Lester, The Meaning of the Loch Ness Monster, University of Birmingham (England), Centre for Contemporary Cultural Studies, 1976, et Surveying Monster Enthusiasts, 1981 (Inédit).
[31] Jean-Bruno Renard, «L'Homme Sauvage et l'Extraterrestre: deux figures de l'imaginaire évolutionniste», Diogène, no. 127, juillet-septembre 1984, pp. 70-88. Sur l'évolutionnisme matérialiste, voir Jean Servier, L'Homme et l'Invisible, Monaco-Paris, Éditions du Rocher, 1994 [1964].
[32] Bernard Heuvelmans et Boris Porchnev, L'Homme de Néanderthal est toujours vivant, Paris, Plon, 1974.
[33] Roger Grimshaw, Paul Lester, Surveying monster enthusiastsart. cit., pp. 3-4.
[34] Ibid., pp. 23-24.
[35] Laura Otis, «Selective exposure to the film Close Encounters», Journal of Psychology, no. 101, 1979, pp. 293-295.
[36] Lawrence W. Littig, «Affiliation motivation and belief in extraterrestrial UFOs», Journal of Social Psychology, vol. 83, no. 2, 1971, p. 308.
[37] Les formes modernes du spiritisme comme la «transcommunication» &emdash; où les messages des morts sont reçus par l'intermédiaire du magnétophone ou de la télévision &emdash; manifestent ce lien entre les technologies de la communication et le surnaturel contemporain.
[38] Edward U. Condon (ed.), Scientific Study of Unidentified Flying Objects, New York, Bantam Books, 1968.
[39] Donald I. Warren, «Status Inconsistency Theory and Flying Saucer Sightings», Science, vol. 170, no. 3958, 1970, pp. 599-603, et, pour un point de vue plus critique, Charles F. Emmons, Jeff Sobal, «Paranormal beliefs: testing the marginality hypothesis», art. cit.
[40] Jean-Bruno Renard, Les Extraterrestresop. cit., p. 67.
[41] Carl Gustav Jung, Un Mythe moderne. Des «signes du ciel», préface et adaptation du Dr Roland Cahen, Paris, Gallimard, 1961 [1958].

[42] Voir Raymond Boudon, L'Art de se persuader des idées douteuses, fragiles ou fausses, coll. «Points-Essais», 242, Paris, Éditions du Seuil, 1992 [1990].
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:43

L’emprise des dragons noirs
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La science est aujourd’hui absolument incapable de répondre à la question suivante : qu’est-ce que la conscience, qu’est-ce qui l’habite ? Est-elle le fruit de réactions électrochimiques comme certains le disent ou bien, la conscience est-elle une chose impalpable qui se sert de la masse cérébrale pour “exister et communiquer” dans notre monde en 3D/4D ? Et surtout, sommes-nous vraiment seuls, aux commandes de la machine, aux commandes de ce que les “croyants” appellent notre “âme” ? Des désordres psychiatriques comme le syndrome de personnalités multiples qui surviennent comme mécanisme de défense face au trauma tendent à montrer que l’âme n’est pas une chose “simple”, univoque. De plus, nous n’employons pas tout le potentiel de notre cerveau, nous affirme encore la science. Nous sommes des créatures imparfaites, tourmentées, aliénées, plongées dans un enfer terrestre, souligne la tradition gnostique.

Et si notre aliénation ainsi que la face prédatrice de notre nature et de notre environnement, son côté fragmenté, divisé (en pôle négatif, positif, etc.) étaient provoquées par une cause “extérieure”, un parasitisme d’une force stupéfiante ?
Le parasitisme est une thématique fascinante et très mystérieuse qui pourrait incarner un enjeu primordial pour le devenir de l’âme humaine. Il s’agit sans doute du sujet le plus difficile à dépeindre rationnellement, celui qui pourrait nous attirer le plus de sarcasmes. Pourtant, depuis que j’ai entamé des enquêtes sur le phénomène extraterrestre, l’histoire des religions et civilisations, et des recherches sur les “anomalies et théories de la conspiration”, ce thème du parasitisme et de la manipulation de l’être humain par une entité “externe” (extraterrestre ou interdimensionnelle) m’est revenu à chaque fois en plein visage. Ainsi ce dossier réalisé en symbiose avec l’écrivain et chercheur américain John Lash et son site metahistory.org se focalise sur l’idée que l’être humain n’est pas “lui-même”, que sa conscience est parasitée par une entité mystérieuse venue des tréfonds du Cosmos. Encore une excentricité ?
L’idée d’une emprise “étrangère” ou extraterrestre sur la conscience n’est pas si saugrenue. Elle est presque aussi ancienne que notre civilisation puisque les premiers mystiques gnostiques ainsi que certains cultes chamaniques en ont fait un thème central de leur cosmologie. On la retrouve de façon répétée dans la thématique des enlèvements extraterrestres, du Mind Control (contrôle du comportement et de la pensée) et du Milabs (Military Mind Control and Alien Abduction). Des civilisations très anciennes et des traditions chamaniques et ésotériques évoquent ce concept clairement dans leurs mythes, légendes et traditions souvent orales avec leur propre bagage terminologique.

Les sources contemporaines
Si les contenus des textes anciens comme les écrits gnostiques et sumériens ont pour eux l’ancienneté, la pérennité, la cohérence, la validation par diverses autorités académiques, et peuvent être, par conséquent, valablement débattus, il n’en est pas de même des sources contemporaines. En effet un problème majeur de crédibilité se pose -et doit d’ailleurs se poser- dès qu’on évoque l’existence des Archontes, des Short Greys, des Flyers, ou autres entités “reptiliennes” qui parasiteraient aujourd’hui notre esprit. De fait, ces sources proviennent soit de témoignages de victimes dont on ne peut que préjuger de la bonne foi, soit d’informations émanant de “médiums”, à savoir d’individus dont on ne connaît pas toujours les motivations. En général, le médium affirme être “contacté” ou “habité” par une entité extra-dimensionnelle ou extraterrestre qui lui fournit une série d’informations plus ou moins crédibles. Les autres informations nous proviennent des personnes adeptes du “remote viewing”, de la vision à distance, qu’il faut là encore croire sur parole.
Les autres sources contemporaines d’information sur ce sujet sont les auteurs et chercheurs qui se fient apparemment complètement à toutes ces sources citées plus haut (les victimes, les contactés, les remote viewers), et qui compilent toutes les informations délivrées par ces abductés et autres channellers, et en tirent une série de conclusions. Parmi ces auteurs se trouvent Robert Boulay, Karla Turner (elle-même victime), Michael Mott, James Walden, Mark Amaru-Pinkham, Stan Deyo, David Icke, Branton alias Alan Walton, Maurice Doreal et j’en passe… La liste est très nombreuse. Ici encore, il n’y a aucun moyen de contrôle quant à la crédibilité de leurs assertions.
Les spécialistes des abductions qui bénéficient d’un background académique plus solide et d’une méthodologie plus sérieuse quant à la récolte des informations comme John Mack, David Jacobs, Budd Hopkins etc… peuvent également apporter certains éclaircissements.
Reste un dernier type de filiations : les sources “militaires” ou “scientifiques”, plus rares mais en constante augmentation ces dernières années. Ces dernières évoquent également des contacts avec des reptiliens et des Gris. Le Colonel Corso ou Phil Schneider sont parmi les plus célèbres des représentants de ce groupe. Il y a aussi certains témoignages des militaires et scientifiques du “Disclosure Project” qui peuvent également nous fournir un éclairage sur le phénomène extraterrestre.

Une cohérence stupéfiante
Les similitudes et points communs qui existent entre certaines informations en provenance des différentes sources, aussi dissemblables soient-elles, frappent évidemment l’esprit de tout chercheur. Il se dégage en effet des témoignages et analyses un portrait très cohérent des agissements des extraterrestres Gris ou Reptiliens. Ainsi, de deux choses l’une, soit ces informations reposent sur un fondement réel et tangible, soit les auteurs s’inspirent les uns les autres pour raconter une même histoire dans un but qui nous échappe encore. En tout état de cause, et cela retient au plus haut point l’attention du chercheur, les caractéristiques des comportements et des buts de ces entités décrites par ces sources contemporaines cadrent généralement assez bien avec les informations contenues dans les textes anciens comme ceux de la tradition gnostique.

Dieu aimant ou esprit malade ?
Selon la tradition gnostique, c’est finalement l’ensemble de notre monde qui est infecté, déconnecté de sa source créatrice et manipulé par les “Archontes”, ces “Dieux” maudits et sombres, surgis d’une erreur et créateurs de “mondes” perdus. Lisez par exemple des textes du Nag Hammadi comme l’Apostasie des Archontes ou encore l’Apocryphon de Jean, qui nous raconte une toute autre histoire sur la genèse de notre monde que celle narrée par la Bible.
Ce corpus de textes découverts dans un désert égyptien juste après la seconde guerre mondiale et officiellement rendus public en 1947 (beaucoup de choses se sont passées en 1947) sont sans doute les seuls et derniers écrits que les gnostiques, ces chamans philosophes, ont légués à la postérité.
Les autorités qui gèrent ces textes ont toujours tenté de faire croire que les gnostiques et surtout les auteurs du Nag Hammadi étaient des sortes de chrétiens primitifs, humanistes, mais en réalité il n’en est rien.
Comme John Lash le montre dans son nouvel ouvrage, “Dreaming Sophia, Gnostic Vision, Gaia Theory and Deep Ecology”, les gnostiques ont été pourchassés et éliminés de manière systématique par les premiers groupes chrétiens puis par les autorités catholiques lorsque l’église s’est institutionnalisée. Il existe aujourd’hui une autre tendance qui tente de diaboliser les gnostiques et la religion des Mystères. Des cultes de type sataniques s’approprient en effet un pseudo héritage gnostique alors qu’en réalité, il n’en est rien.
En tout état de cause, la vision gnostique du monde n’a rien à voir avec la vision chrétienne patriarcale qui fait de l’homme une créature damnée en attente d’être sauvée par un messie.
Pour les gnostiques, la conscience de l’homme est infectée par une implantation étrangère. Ce Dieu des religions monothéistes qui s’avère être colérique, tyrannique est une conséquence de cette infection. Les gnostiques savent que le spectacle de la création est affligeant. Ils regardent la nature, observent ces “superbes lois” naturelles où toutes les créatures animales et végétales vivent aux dépens les unes des autres, maillons d’une vaste “chaîne alimentaire”. Au regard du gnostique, l’ensemble de la création s’articule autour de la prédation et du parasitisme. C’est ainsi que les Gnostiques posent la question avec force : Le “spectacle extraordinaire” de l’homme et de la nature est-il l’oeuvre d’un Dieu infiniment aimant comme le veut la tradition judéo-chrétienne ou bien est-il plutôt généré par un esprit malade ?
Pour les gnostiques, ce n’est ni l’homme, ni la terre “mère”, ni la “matière” des composants qu’il faut remettre en cause. C’est une “implantation étrangère” qui a infecté notre esprit et qui manipule la réalité de façon à ce qu’elle devienne un enfer. Les religions “traditionnelles” et monothéistes veulent nous faire porter le fardeau de la culpabilité de cette infection pour mieux nous soumettre, affirment encore à leur manière les gnostiques. C’est un renversement des rôles. Une stratégie habile pour nous asservir.

“Le sujet des sujets”
Alors, que s’est-il passé, quel accident s’est-il produit pour que survienne ce parasitisme ?
Un nombre croissant de chercheurs se disent que nous avons peut-être eu tort de considérer les soi-disant mythes de la création du cosmos avec dédain comme des “historiettes” un peu naïves contenant surtout un niveau symbolique. Pour eux, il faudrait au contraire réexaminer la mythologie ancienne et les récits oraux des traditions chamaniques comme des témoignages historiques. Certains de ces récits parlent de cette “manipulation” étrangère. Des gens comme John Lash et même Carlos Castaneda ou Michaël Harner, deux célèbres anthropologues qui ont étudié la représentation du monde que se faisaient certaines tribus en Amérique du Sud (Harner) et au Mexique (Castaneda) et leurs usages des hallucinogènes, ont également découvert l’importance primordiale de ce parasitisme dans la cosmogonie de certaines de ces tribus. Castaneda appelait ce parasitisme de la conscience “le sujet des sujets” et il ne l’a révélé que dans son dernier livre, juste avant de mourir. Il déclara que son mentor avait même hésité à lui parler du “cour du sujet”.
Le sorcier don Juan lui apprend l’existence de ces parasites et le met en garde contre le genre de réactions que l’on peut attendre d’un être humain lorsqu’on lui parle de la possibilité que son âme est manipulée par une entité abominable : “ils réagiraient en riant et en se moquant de nous, et les plus agressifs s’énerveraient et nous tabasseraient. Ce n’est pas qu’ils ne nous croiraient pas ! Il y a au tréfonds de chaque être humain une connaissance ancestrale, viscérale de l’existence des prédateurs… Tout ce que me racontait don Juan me semblait grotesque, absurde, et en même temps me semblait raisonnable, très simple. Toutes les contradictions humaines s’expliquaient…”.
De fait, la première fois que l’on entend parler de l’existence de ces prédateurs, s’opère un choc ontologique, une prise de conscience brutale qui peut mener à une angoisse insondable. On réagit ensuite par instinct de défense et c’est le rejet total, une sorte de mépris et notre partie cynique nous distille l’idée que l’on a été stupide de s’être fait une telle peur avec de telles “inepties” sorties de la tête d’un sorcier “givré” dont “on ne nous a même pas prouvé l’existence”. Ensuite, on s’aperçoit que ce thème est récurrent, qu’il est abordé ailleurs dans d’autres recherches, par d’autres auteurs. Il y a les textes gnostiques bien sûr qui parlent d’une “erreur” dans la création de notre univers et d’une invasion par des entités, les Archontes. Il y a également les traditions des shamans de différentes régions du monde qui en parlent chacune à leur manière. Peut-être que les mystiques musulmans qui mettent en lumière les comportements des Djinns, ces entités “démoniaques” inorganiques, ces succubes qui infiltrent et rôdent sur le côté gauche de notre corps sont de même nature que ces “planeurs” ou “Flyers” comme les nomme le sorcier don Juan de Castaneda.
Il ne s’agit pas ici de déresponsabiliser l’humain en mettant simplement sur le dos de ce parasite toutes nos exactions, imperfections, tendances à la violence et à la froideur émotionnelle en nous disant : “comme ce n’est pas de notre faute, que nous ne pouvons rien y faire, laissons les choses se poursuivre”. Il s’agit d’expliquer et de comprendre cette possible cohabitation, de vérifier s’il s’agit d’une hypothèse défendable, documentée et rationnelle et de tenter de trouver des solutions à ce qui pourrait être notre véritable malédiction, ce qui nous maintient cloués dans le plérôme gnostique, à savoir notre enfer quotidien.

Des Gris, des Drones et des Clones
Selon Castaneda, ces entités parasites qui nous ont infiltrés ont conféré à notre esprit son côté routinier, répétitif, maniaque, peureux, avide, violent, calculateur : “les prédateurs ont remplacé notre esprit par le leur qui est bizarre, incohérent, grincheux et hanté par la peur d’être percé à jour” (Carlos Castaneda, Le Voyage définitif). Les Archontes selon les textes gnostiques ont cette obsession de rester cachés et de ne pas être découverts.
Nigel Kerner évoque, tant dans un entretien qu’il m’a accordé que dans son livre “The Song of the Greys”, l’héritage que nous a légué les Short Greys, les extraterrestres Gris. D’abord, Kerner les compare à des coquilles vides, des robots mais aussi des clones, des drones explorateurs qui ne sont plus que le pâle reflet complètement déconnecté de leur “être Premier” (Prime Being), l’entité qui les a créés il y a bien longtemps. Par le biais de plusieurs interceptions génétiques (d’où les innombrables récits d’enlèvements, aussi bien anciens quand ils étaient perçus comme des démons que dans les abductions contemporaines), les Gris auraient inséré dans notre patrimoine génétique des caractéristiques qui font de nous des êtres hybrides, mélange d’homme et de Gris.
A l’instar de la pensée gnostique qui désigne les Archontes comme les coupables de notre aliénation existentielle ou celle de Castaneda qui accuse les planeurs du même méfait, Kerner estime qu’à cause de l’intervention des Gris, nous ne sommes plus en contact direct avec notre vrai potentiel, notre véritable conscience et surtout avec l’être Premier qui nous a créés : “Nous sommes piégés dans une existence physique parce que nous avons certaines « restrictions », certains traits, certaines « caractéristiques » qui reflètent chez nous un manque de compréhension de la véritable nature de la réalité. L’interception extraterrestre est un abus, une imposition supplémentaire qui nous est infligée” affirme Nigel Kerner. Kerner ajoute au sujet de ces drones, sorte d’entité vide : “Leur nature prédatrice est due au fait qu’ils nous perçoivent comme des sujets expérimentaux. S’ils étaient humains et qu’ils agissaient sous l’empire de la haine ou de la cruauté, alors ces émotions les conduiraient vers leur propre destruction en tant que peuple mais parce qu’il s’agit en réalité de machines capables de se générer elles-mêmes, elles peuvent continuer à poursuivre leur programme aussi longtemps que leurs proies sont des entités physiques pensantes”.
Kerner a une pensée quelque peu gnostique lorsqu’il évoque le fait que l’être humain vit dans un monde de servitudes et que le “Christ”, par exemple, n’est pas venu pour “racheter” nos péchés et nous sauver mais pour nous avertir d’un danger effroyable : l’existence de ces prédateurs, Archontes ou Gris. Il affirme encore dans l’entretien : “Je suggère que nous nous accordions sur ce que le mot “damné” signifie. Le sens commun indique qu’il s’agit d’un aller simple pour l’enfer. Le livre “the song of the Greys” suggère que notre monde physique se révèle être notre véritable enfer. Notre damnation se définit par le fait que nous sommes coincés ici bas. C’est notre propre esprit, ce sont nos propres actions qui nous lient mais on peut très raisonnablement penser que nous aurions été sans doute moins susceptibles d’avoir été piégés, coincés s’il n’y avait pas eu une influence extérieure comme les Gris. C’est peut-être pourquoi des êtres comme Jésus seraient venus ici pour nous montrer un chemin pour nous libérer de notre captivité…. oui, nous sommes captifs comme des animaux le sont, nous sommes “élevés” par les Gris comme des animaux. Peut-être est-il venu restaurer l’équilibre… Dans les anciens textes du Nag Hammadi (ndlr : textes sacrés gnostiques découverts il y a une cinquantaine d’années dans la localité de Nag Hammadi), il est dit qu’il y aurait des Puissances extérieures qui auraient un intérêt dans l’humanité depuis son commencement.
Ainsi, nous serions des êtres hybrides, envahis par une implantation étrangère.
Dans l’Apocryphon de Jean, le Christ dit clairement: “ Je suis celui qui existe éternellement, celui qui est sans souillure et sans mélange”. à la lumière de ce qui a été dit plus haut, cela signifierait alors que ces parasites, cette hybridation n’ont pas d’emprise sur lui. C’est la vraie bonne nouvelle. La puissance du Christ des Gnostiques (ndlr: qui n’aurait aucun rapport avec le Christ des chrétiens) veut nous aider à sortir tout simplement de ce bourbier par l’illumination.”

Que manque-t-il aux Archontes?
En comparant les Gris avec les Archontes, Nigel Kerner laisse entendre que ces entités parasites sont comparables à des machines, sortes de virus programmés à qui il manquerait quelque chose, sans doute une âme qui les relie à une éternité, à un retour à la source. Dans la tradition gnostique, les Archontes, imbus d’eux-mêmes, se croyant seuls en “leur” Royaume ont lancé un défi à la source créatrice, défi selon lequel ils pouvaient l’égaler. Ils ont été générés dans les ténèbres, l’ignorance et la folie. Apparemment, ces Archontes se nourrissent de nous, êtres humains. Ils veulent nous asservir. Ils nous créent et nous rejettent, nous consomment, bref, ils nous traitent comme du bétail, des sortes d’expériences, des animaux de laboratoire. Les Gris font exactement de même. Dans les ouvrages contemporains qui parlent des Gris et qui font le rapprochement avec les Reptiliens. Ces extraterrestres évoluant entre notre dimension et une dimension non matérielle se nourrissent de nos émotions négatives, surtout de la peur et de la souffrance.
Tous les abus rituels et cérémonies “sataniques” -un phénomène totalement nié par les autorités policières- seraient pratiqués selon les victimes rescapées et les thérapeutes dans le seul but de “nourrir” des entités interdimensionnelles avec nos peurs et notre souffrance.

Virus spirituel et stratégies de camouflage
John Lash souligne aussi le fait que les religions judéo-chrétiennes dont la doctrine est essentiellement patriarcale, messianique et rédemptrice (la croyance en une Apocalypse expiatoire de nos fautes et un messie sauveur) est un virus spirituel que la tradition gnostique a isolé et mis en cause. C’est sans doute l’un des principaux combats des Gnostiques. Ils dénoncent YHVH, Jéhovah comme le seigneur des Archontes : “Les textes gnostiques soulignent clairement le fait que Jéhovah est “le seigneur Archonte”, un extraterrestre prédateur de type reptilien qui domine les extraterrestres Gris à l’aspect embryonnaire et qui se comportent avec une mentalité de ruche, de fourmilière, pareille à un essaim. Jéhovah que les Gnostiques appelaient Yaldabaoth, est véritablement une entité extraterrestre dont le royaume est le système planétaire indépendant de la terre, du soleil et de la lune. Il n’est pas un “être Avancé” (c’est-à-dire plus évolué que les humains) mais un extraterrestre tombé en pleine démence et doté de certains pouvoirs “surhumains” ou proche d’une divinité. Les Gnostiques pensaient que Jéhovah infecte l’humanité avec la croyance selon laquelle il affirme être le dieu créateur alors qu’en fait, il ne peut rien créer du tout. Le Nag Hammadi est très clair sur le fait que Jéhovah-Yaldabaoth est le commandant de l’espèce archonte”.
L’auteur et chercheur Paul Von Ward, dans son livre “God, Genes and Consciousness” soutient cette vision des choses dans la mesure où il estime, à la lecture de nombreux textes anciens (comme les textes sumériens et le Nag Hammadi) que les religions du livre (Christianisme, Islam, religion juive) sont des sortes de séquelles de la présence et du règne sur l’humanité de ce qu’il appelle des E.A (Advanced Beings en Anglais ou AB’s) ou êtres Avancés. Ces E.A, pour des raisons de pur opportunisme, nous ont légué une tradition hyper centralisée de culte entièrement patriarcal, fondé sur la conception que l’homme est coupable d’une faute originelle. Selon Von Ward, même nos modes de gouvernement ont été influencés par ce genre de conception qui, dans les pires exemples, aboutissent aux dictatures et aux cultes de la personnalité.
Von Ward appelle cela le “supernaturalisme” ou “culte du surnaturel”, une “réalité” dans laquelle tout ce qui est “magique” n’existe pas, mais où paradoxalement, on vénère une divinité suprême qui ne se manifeste ni par des “miracles”, ni par des actions spectaculaires, ni par des preuves “magiques”. Le surnaturel, la magie ne vivent que dans les récits, les évangiles, les textes sacrés. Ce “supernaturalisme” amène l’homme à une sorte de schizophrénie où toute forme de “magie”, d’ésotérisme est bannie et en même temps avidement recherchée (magie cachée ou occultisme). Dans une telle doctrine, il est bien entendu impensable que Dieu ou “les Dieux” puissent être des entités extraterrestres dotées d’une technologie très sophistiquée capables de prouesses que nous prendrions pour des “miracles” d’ordre divin. La Divinité doit conserver son aspect impalpable, intouchable, inconcevable, distant et en même temps présent dans tous les aspects de la vie de l’homme. Le Dieu “immatériel” version anthropocentriste par excellence. Dans une telle conception d’un réel “supernaturaliste” ou surnaturel, l’idée du parasitisme exercé par des entités immatérielles ou plus “avancées” sur certains plans ne peut exister et est inconcevable.
En poursuivant le raisonnement de Von Ward sur les religions et les E.A, nous pourrions alors nous dire que ce “supernaturalisme” (ou conception du surnaturel) serait une habile stratégie mise au point par les E.A, ces “Dieux” de l’Antiquité, pour nous pousser à nier l’existence de ce parasitisme. Von Ward désigne les lignées Annunaki, ces entités extraterrestres hyper-dominatrices, qui auraient fondé la société sumérienne, comme étant les principaux “coupables” de ces conceptions religieuses autoritaires, hiérarchisées, fanatiques des rituels dont héritèrent les religions contemporaines. Il désigne également YHVH, un E.A., comme responsable de ces dérives autoritaires et sanglantes. YHVH est également dénoncé par les Gnostiques.
Il n’est guère étonnant alors que tout au long de l’histoire du catholicisme, les Gnostiques en tant que “dénonciateurs” d’une formidable supercherie ont toujours été poursuivis pour hérésie et que les autorités religieuses aient tenté de les supprimer physiquement. C’est un miracle que des textes comme ceux du Nag Hammadi nous soient parvenus, malgré les vagues successives de persécutions.

un portrait cohérent des “parasites”
En ce qui concerne les sources “militaires” à propos des comportements des Gris et des Reptiliens, même s’il peut s’agir d’opérations de désinformations, on retiendra certaines similitudes dans les descriptions opérées par cette catégorie de témoins que sont les militaires, techniciens et scientifiques ayant travaillé dans le cadre de projets gouvernementaux “top secret”.
Le Colonel Corso évoque dans son livre “the Day After Roswell” le fait que les Gris sont des robots organiques d’exploration. D’où l’impression que l’on se trouve en face d’une entité sans émotions. Phil Schneider qui affirme avoir travaillé à la construction de certaines bases souterraines, parle de “l’esprit de ruches” de ces extraterrestres Gris qui vivent dans des “nids”. Il les compare à des prédateurs qui ravagent une planète, un peu comme des fourmis. Dans “Cosmic Voyage” (Onyx edition), le remote viewer, ex-collaborateur de la CIA qu’est Courtney Brown, décrit également les Gris, du moins certaines espèces, également sous la forme d’un collectif, “une mentalité de ruche”, des prédateurs qui, comme des sauterelles, infestent le cosmos et qui déménagent après avoir consommé toutes les ressources. Nous le voyons donc, cette notion de parasitisme et de prédation n’est pas un phénomène rare et saugrenu.
Les victimes d’abductions impliquant des Gris et des Reptiliens évoquent également le sentiment d’être un objet, une proie, un animal entre les mains de ces entités extraterrestres. Les abus sexuels sont d’un autre registre dans la mesure où ces entités effectuent des prélèvements (de sperme et d’ovules) et des expériences médicales invasives qui se concentrent presque exclusivement sur la sexualité. Quant à l’aspect “physique” de ces entités, retenons un phénomène très intéressant et qui a été souligné par Karla Turner, aujourd’hui décédée : l’apparence de ces êtres est changeante et l’on ne peut s’y fier.
Cette spécialiste reconnue en “enlèvements extraterrestres” en fut elle-même victime. Elle insiste sur le fait qu’au cours des séances d’hypnose, les victimes se souviennent de l’aspect extérieur mouvant, changeant de l’apparence de leur kidnappeur. L’entité apparaît d’abord sous les traits d’un militaire, puis en se concentrant, la victime voit un Gris et en se concentrant encore, il s’agit en réalité d’un reptilien. Turner a pu dénombrer jusqu’à 5 changements de forme. Ce changement d’aspect fait penser à des stratégies pour tromper la mémoire des victimes, des artifices que les Archontes ou les planeurs ne rejetteraient sans doute pas.
Deux thèmes reviennent enfin très régulièrement dans les histoires d’abductions et de Mind control : la manipulation génétique et les implants. La manipulation génétique par des extraterrestres aurait pour but, selon les victimes, de créer des hybrides “humain-extraterrestre”, c’est-à-dire des entités disposant d’une vie “émotionnelle” car les Gris en seraient dénués. Bref, la création d’une conscience hybride.
Les implants, quant à eux, sont au mieux placés pour identifier et suivre une personne, au pire pour modifier son comportement.

Planeurs et implants : une métaphore technologique
Les développements technologiques récents nous montrent que les militaires ont bien l’intention de faire passer l’implant à un stade supérieur : d’un outil d’identification et de repérage, l’implant peut devenir à terme une arme psychotronique dont le but est d’influencer le comportement ou de générer une réalité virtuelle (comme les implants de combats destinés aux pilotes de chasse qui pourraient générer les données radar, défensives et offensives de la zone de combat). Selon le chercheur spécialisé dans le thème du Milabs, (Milabs ou Military Mind Control and Alien Abduction) Helmut Lammer; l’Institut de Technologie de Californie, a par exemple à la fin des années 90, travaillé sur une puce capable de “mimer le processus analogique de la pensée humaine”. On fabriquerait des implants ayant des capacités de générer “des hologrammes, des systèmes de camouflages multi-spectre, d’invisibilité thermique”. Ceci n’est que la partie visible de la recherche. Les victimes d’enlèvements extraterrestres et de Mind Control évoquent le fait qu’ils ont été victimes d’implants très sophistiqués qui modifieraient les états de conscience. Ainsi, l’activité des “flyers” en tant qu’agents modifiant notre psyché et notre état de conscience nous est d’autant moins étrangère que nous nous livrons nous-mêmes à des activités similaires par le biais d’implants et d’armes psychotroniques. Cela doit d’autant plus nous aider à mieux comprendre le champ d’activité de ces flyers, Archontes et autres entités.

L’ADN “prison” ou l’ADN porteur de vie ?
Nous sommes ici dans le domaine de la pure spéculation mais les points communs entre la thématique des implants, leur fonction de conditionnement de la conscience et le rôle potentiel de l’ADN sont tellement flagrants qu’il nous a semblé nécessaire d’en parler.
L’ADN, double hélice d’acides aminés extrêmement complexe contient un nombre d’informations infiniment plus élevé (des milliards de fois plus) que le plus sophistiqué des ordinateurs. Cet ADN s’avère être en quelque sorte le “programme”, le software qui va construire, structurer et faire fonctionner l’organisme vivant. Les scientifiques affirment que l’ADN est un cristal apériodique, notamment que sa structure (la façon dont cet ADN est édifié) se compare aux éléments de type cristallins. Par exemple, des minéraux comme le quartz, le silicium sont des cristaux. Ce sont d’extraordinaires conducteurs d’informations et d’énergie. Raison pour laquelle ils sont employés en électronique et en informatique. Il est alors intéressant de noter que certains implants et armes psychotroniques influençant le comportement d’êtres humains fonctionnent grâce aux propriétés des cristaux. Ne pourrait-on pas postuler alors que notre ADN, chargé de la mémoire du vivant, de celle de nos ancêtres et de toutes les espèces qui ont contribué au développement de l’homo sapiens sapiens, contient une série d’informations qui vont générer notre état de conscience et nos perceptions ? Un peu à la manière d’un implant infiniment sophistiqué ? Aujourd’hui, le fait de rattacher exclusivement et matériellement la conscience à l’activité neurochimique du cerveau est une impasse scientifique. Les chercheurs commencent à percevoir le cerveau comme une sorte de mélange entre un software et un hardware disposant de propriétés holographiques. La conscience n’est pas le monopole du cerveau, celui-ci serait plutôt une sorte de canal, d’antenne.
Dans une certaine littérature conspirationniste, pour être plus précis les derniers livres de David Icke, l’ADN agit comme une forme de software qui nous maintient enfermés dans un certain niveau de perception. Cet ADN serait en quelque sorte les barreaux qui constituent notre prison mentale.

Le secret des mourants
Jeremy Narby, auteur du “serpent cosmique” (Goerg éditeur), relève d’abord les rapports existant entre l’ADN (une double hélice entrelacée) et la forme serpentine. Dans les visions des shamans sous emprise de l’Ayahuasca, l’ADN, briques de la vie, est perçu comme un esprit, une multitude d’esprits appelés “Maninkaris”. Ceux-ci seraient venus sur terre sous la forme d’une pluie d’entités sombres, sorte de croisements entre des reptiles et des cétacés. Dans une vision sous Ayahuasca, l’anthropologue Michael Harner rapporte la chose suivante : aux premiers âges de la terre, “des grains noirs tombèrent du ciel par centaines et atterrirent sur la terre aride… Je pouvais voir que les grains étaient en réalité de grandes créatures noires et luisantes aux larges ailes de ptérodactyles et au corps de baleine (…) Elles m’expliquèrent dans une sorte de langage mental qu’elles fuyaient quelque chose dans le cosmos… Les créatures me montrèrent ensuite comment elles avaient créé la vie sur terre afin de se cacher au sein de la multitude de ses formes et de dissimuler ainsi leur présence. Devant moi, la magnificence de la création des plantes et des animaux et de la différentiation des espèces -des centaines de millions d’années d’activités- se déroula à une échelle et une vigueur impossible à décrire. J’appris ainsi que des créatures ressemblant à des dragons résidaient ainsi à l’intérieur de tous les êtres vivants, y compris les hommes” (Le Serpent Cosmique, p61).
L’histoire et les visions que rapportent Harner sont si extraordinaires en ce qui concerne les similitudes avec les informations issues d’autres savoirs et connaissances qu’il ne peut s’agir d’une simple coïncidence. Avant de voir ces grains noirs, Harner a la vision d’une multitude de navires surgir de la brume, en train de se balancer et qui finirent par se fondre en un seul bateau, une sorte de drakkar à tête de dragon. Le bruit cadencé de centaines de rames faisait avancer la galère géante.
“Sur le pont du navire, je pus discerner un grand nombre de personnages à tête de geai bleu et à corps humain semblables aux Dieux à têtes d’oiseau figurant sur les peintures anciennes des tombes égyptiennes… Moi qui me croyais athée, j’éprouvai à cet instant la certitude absolue que j’étais en train de mourir et que les personnages à têtes d’oiseaux étaient venus afin d’emporter mon âme sur leur navire …”. Alors qu’Harner se sent mourir et que le shaman qui l’accompagnait dans ce rituel va lui faire boire un antidote, Harner se souvient également de la chose suivante : “Je pris conscience de mon cerveau. Je sentais -physiquement- qu’il avait été divisé en quatre niveaux distincts. Sur le niveau élevé, le plus proche de la surface, se trouvait l’observateur commandant, conscient de la condition de mon corps et responsable de la tentative de continuer à faire battre mon coeur. Ce niveau percevait, en tant que spectateur uniquement, les visions émanant de ce qui semblait être les niveaux inférieurs de mon cerveau. Juste au-dessous du niveau le plus élevé, je sentais une couche engourdie qui paraissait avoir été mise hors service par la drogue ; elle était tout simplement absente. Mes visions, y compris mes visions du bateau aux âmes émanaient du niveau juste en dessous de celui-là… Alors que j’essayais de me faire à cette idée (que j’allais mourir), un niveau de mon cerveau encore plus profond commença à me transmettre d’autres visions.
Claude Dabos.
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:44

Les dieux de l’Olympe “le code Adamski”
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La série télévisée Les Envahisseurs, diffusée en 1967, est une série à part. Par son atmosphère prenante et son message toujours d’actualité, elle demeure un mystère 40 ans après sa diffusion. Un étonnant réalisme s’en dégage que les ouvrages ufologiques de l’époque n’atteignent pas. À travers les quatre précédents volets de notre dossier paru dans Top Secret n°36, 37, 44 et 45, nous n’avons pas tout décrypté du message sous forme d’avertissement et de prophéties qu’ont lancé ses concepteurs. Mes investigations ne se sont pas arrêtées en si bon chemin. Je vous présente aujourd’hui un nouveau volet du « Code Adamski », dans lequel nous allons rencontrer les dieux de l’Olympe…


Les dieux de Mars et le secret de l’invasion
à la fin du précédent volet de ce dossier (TOP SECRET N°45), nous avons dit que les grands blonds qui ont pris contact avec des humains, avaient la peau lumineuse et que leurs yeux dégageaient une lueur violette ou or. Dès le premier épisode de la série, les Envahisseurs irradient une lueur rouge.
à la page 162 de son livre Les Enfants de la Matrice, David Icke nous explique que les reptiliens ont recours à une forme d’hypnose ou à des hologrammes pour prendre une apparence nordique et duper leurs victimes.
La lumière jaillissant de leurs yeux est peut -être due à la création de l’hologramme tout autour de leur corps. Selon Icke, un instant, ils sont blonds et ont les yeux bleus, l’instant d’après ils ont l’air de reptiles. Que penser de tout ceci ?
Les Anunnaki dont parlent les tablettes d’argile sumériennes appartenaient de toute évidence à une race reptilienne. C’est en tout cas ce qui apparaît à la lecture de nombreux comptes rendus de l’époque. Une tablette sumérienne datée de l’an 3500 avant notre ère, ne laisse d’ailleurs aucun doute en décrivant l’arrivée des Anunnaki : “En vérité, les reptiles sont arrivés parmi nous” (page 67 de In flying serpents and dragons).
Les descendants des Dieux sumériens seraient-ils encore parmi nous ? à la page 171, David Icke nous parle d’un de ses amis néerlandais, Frans Kamp, ancien professeur de musique devenu chercheur. Cet ami raconta dans quelles circonstances il s’était rendu compte que sa femme était une hybride reptoïde. En fait, il aperçut son regard reptilien : “Un soir, nous nous disputions. Elle n’obtenait pas ce qu’elle voulait et s’emporta violemment. Elle défonça la porte pour s’en retourner chez elle. Je la suivis à l’extérieur. L’obscurité était alors tombée.
Elle marcha vers son auto, saisit la poignée de la portière et c’est alors que je vis de la lumière se dégager de ses yeux, comme une ampoule qui s’allume. De la lumière émanait de ses yeux ! Elle prit place dans sa voiture et la lumière se réfléchissait sur la tôle du capot et sur le pavé. Je regardais la scène, complètement éberlué mais, étrangement, je n’en fus pas choqué. C’était plutôt comme la confirmation d’un pressentiment”.
à la page 159, “un aviateur, dont l’appareil vient d’être attiré au centre d’une montagne, fut accueilli par des êtres très grands aux cheveux blonds, à la peau nacrée et aux yeux que traversait une charge électrique” (on trouve une telle description des yeux dans des anciens manuscrits qui parlent des enfants des dieux).
Les envahisseurs, ces grands blonds au profil de nazis, sont-ils les reptiles dont David Icke a dénoncé l’existence et qui utiliseraient leur technologie pour nous apparaître à travers diverses formes ? Existent-ils seulement, me direz-vous…

Le cas d’Andromède
Je vais vous raconter le cas d’Andromède que j’ai personnellement rencontré. Voici donc comment les faits se sont vraiment déroulés. Cette femme a été contactée et abductée plusieurs fois sur de nombreuses années et son témoignage a été recueilli par Bernard Bidault dans son livre OVNI Attention Danger ! (Edition JMG page 326) :
“J’ai eu un enfant qui à la naissance avait des yeux rouges, pas de système pileux, des pieds et des mains palmées, pas d’oreilles, juste un trou avec un peu de chair autour, sa peau était différente de la nôtre”.


J’ai personnellement rencontré cette femme et son mari. Celui-ci, incrédule, gradé de l’armée, m’a confié qu’il s’agissait d’écailles qui tombaient par poignées. Ce détail n’est pas mentionné dans le livre de B. Bidault.
Le bébé est mort dès la naissance “…les médecins ont emporté le corps je ne sais où”, raconte Bernard Bidault, qui poursuit “Quand j’ai posé des questions, il m’a été répondu que le dossier resterait secret pendant vingt-cinq ans. Mais je n’ai pas besoin de leur dossier”.
En fait le couple m’a révélé que sur leurs factures téléphoniques, un numéro apparaissait comme étant, après enquête, celui de Langley en Virginie, siège de la CIA.
La femme m’a révélé avoir été enlevée dans un ovni, (traces d’un triangle au sol devant chez elle et plusieurs heures “perdues” de type “missing-time”) avant de mettre au monde cet hybride. Pour ne plus dépendre de ces êtres, elle s’est alors fait enlever les ovaires qui ont été aussitôt remplacées par les E.T, à la grande surprise des chirurgiens. Puis cette amie est décédée mystérieusement, il y a quelques années, comme si elle subissait une métamorphose spontanée, un liquide vert s’échappant de son corps.
Dans un récit d’ovni observé par deux témoins, la description d’un reptilien ressemble à l’enfant qu’Andromède a mis au monde. Ce témoignage est paru dans la revue Facteur X N°59 page 1648 :
“Un matin de juillet 1983, Ron et Paula Watson, de Mount Vernon dans l’Etat de Missouri, E.U, observèrent deux étranges êtres humanoïdes vêtus d’une combinaison argentée qui se trouvaient dans un champ contigu à leur ferme. Apparemment ces drôles de bonshommes étaient en train d’examiner une vache noire, étendue immobile sur le sol. Les Watson, qui observaient la scène à la jumelle, eurent soudain la surprise de voir la vache et les mystérieux enquêteurs s’envoler dans les airs jusqu’à un grand appareil de forme conique, qui se dressait dans un bosquet voisin.
Le couple n’en avait pas fini avec les surprises car de nouvelles entités bipèdes se trouvaient près de l’engin. D’après les descriptions, l’une était une sorte de grande bête du genre Bigfoot au corps recouvert de poils hirsutes (cet être ressemble à Chewbacca dans le film “La Guerre des Etoiles” de George Lucas) mais le second ressemblait vraiment à un homme lézard. Comme l’expliquèrent les Watson, il mesurait à peu près 1m70 et avait une peau verte reptilienne, des pieds et des mains palmés, et des yeux rouges de félin aux pupilles verticales. Puis, toujours sous les yeux du couple, les quatre personnages et la vache paralysée entrèrent dans l’appareil qui ne tarda pas à décoller”.
Un autre témoignage étrange et insolite est décrit par le Commandant X dans son livre L’ultime complot page 20 :
“Un matin du mois de septembre, je travaillais sur un job de routine lorsqu’un autre des jeunes enrôlés, un mécanicien, entra avec un petit travail. Il sembla soudain couvert d’un film semi-transparent ou d’un nuage. Ses traits s’évanouirent et apparurent à leur place, les traits d’une chose avec des yeux exorbités, pas de poils et des écailles en guise de peau.
Puis l’étrange visage sembla s’évanouir et rentra aussitôt à reculons dans le visage originel de l’homme jeune. Ce visage imposé se dissipa en cinq secondes environ avant de disparaître complètement”.
Déjà dans la mythologie, il est décrit que des êtres “serpent” enlevaient des humains. Ainsi Fabrice Kircher, dans son livre Ovni, 40 études sur les mystères du ciel (Edition Le Temps Présent, 2009), déclare :
“La mythologie hindoue, à travers le Râmàyana nous conte l’enlèvement de Sità, l’épouse de Rama dans un char aérien (Vimana) conduit par le chef des Rakshasas ces démons qui possèdent le pouvoir de revêtir n’importe quelle forme à volonté”.
Ce qui ressemble au générique de la série quand la voix off annonce : “Maintenant David Vincent sait que les envahisseurs sont là, qu’ils ont pris forme humaine”.
Les “Lézards” du passé
à la fin du 19ème siècle (David Icke, Les Enfants de la matrice, page 167), le colonel James Churchward qui s’intéressait à l’existence de Mû ou de la Lémurie, a étudié de visu d’anciennes tablettes conservées dans la voûte d’un monastère du nord de l’Inde.
Les caractères de ces tablettes racontent comment les Naccals ou Nâgas Mayas (serpents ) présents en Lémurie durent transiter par la Birmanie afin d’aller établir une colonie en Inde. Churchward a constaté que les textes révélaient la destruction de Mû, la mère patrie et le déplacement des Nâgas Mayas vers l’Inde.
Le chercheur Michael Mott écrit, dans Caverns, Cauldrons and concealed creatures (“Hidden Mysteries”, Texas 2000) :
“Les Nâgas étaient présentés comme une espèce très évoluée qui disposait d’une technologie à la fine pointe du progrès. Ils affichaient leur dédain envers les êtres humains qu’ils avaient la réputation de kidnapper, de torturer, de contraindre à des rapports sexuels, voire de manger.
Selon ces textes, le croisement entre les races est censé avoir donné naissance à un éventail de formes de la plus reptilienne à la forme d’apparence complètement humaine mais avec un comportement reptilien.
Parmi les gadgets des ces Nâgas, on trouve les rayons de la mort et les vimana ou disques volants. Plusieurs anciens textes védiques décrivent en détail ces engins volants, notamment la Bhagivad-Gitâ et la Râmanaya.
La race Nâga est apparentée à une autre race qui vit au cœur de la Terre dans les enfers, celle des Rakshasas, l’équivalent hindou des démons chrétiens (peut-être à l’origine des gargouilles placées sur les églises)”.
Partout dans le monde ancien, on trouve cette idée de rois ou d’empereurs tenant leur pouvoir de droit divin accordé par des dieux serpents.
Le mot basilique ou basilic parle d’un être mythologique reptilien, terrible et mystérieux pouvant tuer d’un seul regard (souvent il combat l’aspic, autre serpent). Ces deux mots parlent aussi de royauté. Ne dit-on pas que les rois mérovingiens avaient les mains palmées (descendance reptilienne ?).
Nous avons désappris à regarder ces concepts au premier degré, et nous préférons y voir des symboles de pouvoir. En réalité ce principe de “droit divin” récurrent dans presque tous les grands royaumes signifie qu’en des temps anciens, ces princes et ces rois ou pharaons appartenaient réellement à la lignée d’êtres venus d’une autre galaxie.
Et selon la majorité des témoignages anciens, ces êtres étaient reptiliens. Cette origine était représentée sur les emblèmes royaux par le dragon, le serpent, le sphinx, le serpent à plumes…
Rappelons-nous, dans l’épisode “Conférence au sommet”, la secrétaire Ellie Markham porte la croix ansée égyptienne en pendentif.
Il existait en Egypte un ordre dit du Djedhi (voir le Jedï dans le film La Guerre des étoiles) et les lettres D.J désigneraient le serpent. Nous trouvons donc des pharaons d’une lignée serpentine appelés Djer, Djoser et Djederha.
En Inde, le texte bouddhiste dit Mahauyutpathi énumère 80 rois descendants des Nâgas ou rois serpents. Une légende hindoue veut que les Nâgas étaient en mesure de se métamorphoser à leur gré passant ainsi de la forme reptilienne à l’apparence humaine.
Une figurine Ubaid a été découverte dans les tombeaux du peuple Ubaid qui vivait en Mésopotamie vers l’an 4000 avant J.C.
Il s’agit d’une mère et son enfant lézards, représentation des “dieux” qui ont dominé de nombreuses sociétés dans l’Antiquité et Sumer. Cette statuette fait bien évidemment penser à la Vierge Marie tenant l’enfant Jésus. Or Mar, en sumérien ou en persan, veut dire serpent ; souvent l’iconographie religieuse représente la Vierge debout sur un serpent ou un dragon.

Technologies mythologiques de l’espace
Une technologie spécifique apparaît dans toutes sortes de récits anciens. Cette technologie est présente dans la série Les Envahisseurs. Je pense par exemple au killer disk ou disque donnant la mort, que les extraterrestres tiennent dans la paume de la main avant de l’appliquer sur la nuque de leurs victimes. Pouvons-nous penser que les évènements décrits dans la mythologie grecque et les étranges guerres relatées dans les récits hindous ont un rapport avec la série télévisée qui nous avertit que nous vivons encore ces évènements ?
Dans le Livre de Krisna (de Ac. Bhaktivedanta Swami Prabhupâda, page 224-225) une peinture nous montre Sri Krsna (Krisna) en train de tuer Sisupâla (son cousin) avec un disque qu’il tient dans sa main.
Un rayon laser semble jaillir du disque qui sépare dans l’instant la tête de l’homme du reste de son corps. Un fragment de poésie lyrique, dont l’origine se perd dans les millénaires, est rédigé sur une tablette d’argile avec une traduction interlinéaire en assyrien (conservée au British Muséum).
Il s’agit du chant d’un guerrier qui possède l’arme la plus redoutable et dont il est fier. Ce récit a été publié dans l’ouvrage de Robert Jean Victor intitulé Dieu, les dieux étaient des hommes (collection Les carrefours de l’étrange Edition Du Rocher, 1979, page 64) :
“Dans ma main droite, je tiens le disque du courage, le soleil aux cinquante faces, l’arme élevée de ma divinité. Je la tiens ! Le vaillant qui brise les montagnes, le soleil dont l’action ne cesse pas, je le tiens ! L’arme qui, comme l’ogre, dévore complètement, je la tiens ! Celui qui courbe les montagnes, le poisson aux sept nageoires je le tiens ! La littu (lahat) de la bataille qui dévaste et désole le pays, je la tiens !
La trombe de la bataille, l’arme aux cinquante têtes, je la tiens ! Dévastatrice dans la violence des batailles, dominatrice du ciel et de la terre, l’arme aux sept têtes, je la tiens !
Faisant jaillir son éclat comme celui du jour, Le Dieu qui échauffe l’orient, je le tiens ! L’arme qui remplit le pays de sa force immense, dans ma main droite puissamment, le projectile d’or et d’onyx, je le tiens !”.
Selon toute vraisemblance, il s’agit d’une arme aux effets dévastateurs.

Le Mahâbhârata
Le Mahâbhârata relate le récit d’une bataille de Vimana par la bouche de son héros Krishna : « Le cruel Salva arriva sur le chariot volant Saubha qui peut aller partout, du haut duquel il tua beaucoup de jeunes Vrishni et dévasta férocement tous les parcs urbains. » Et tandis que Krishna s’élance dans le ciel à la poursuite de Salva : « Son Saubha s’accrochait au ciel avec une bonne longueur d’avance… Il me lança des rockets, des missiles, des sabres, des épées, des haches de guerre, des javelots à trois lames, des lance-flammes, sans répit… Le ciel semblait porter cent soleils, cent lunes et cent myriades d’étoiles.
Il n’y avait plus ni jour, ni nuit, et on ne pouvait plus faire le point à la boussole. L’avion de Salva était très mystérieux, poursuit Krishna. Il était si extraordinaire qu’il semblait parfois se multiplier dans tous les points du ciel, et d’autres fois il n’était plus nulle part.
L’avion était parfois visible et parfois invisible, et les guerriers de la dynastie Yadu étaient décontenancés devant les performances de cet appareil. Parfois ils voyaient l’avion au sol, parfois en haut du ciel, parfois posé au sommet d’une colline et parfois flottant sur l’eau. L’avion merveilleux volait dans le ciel comme un feu d’artifice – il ne tenait pas en place un seul instant. »
Des détails de combat aériens et du fameux disque sont décrits dans le Livre de Krishna pages 190 et 191 :
“…Retrouvant sa juste conscience, le Seigneur (Krsna) put voir qu’il n’y avait nul messager… mais simplement que Sâlva avait quitté les lieux dans son aéronef, voguant dans les cieux… Sri Krsna crible Sâlva de Ses traits, (rayons laser ?) lancés avec une force incommensurable, et le blesse ; l’armure, l’arc et le casque incrusté de joyaux de l’asura (être ténébreux) volent en pièces.
Puis, d’un coup écrasant de sa masse, Krsna fait éclater en mille morceaux le merveilleux vaisseau de Sâlva, qui sombre aussitôt dans l’océan. Mais Sâlva, fort prudent, au lieu de s’écraser avec son aéronef saute sur la terre ferme… décidant d’en finir une fois pour toute avec Sâlva, Krsna se saisit de son disque merveilleux, brillant comme le soleil irradiant au moment de la dissolution de la création matérielle. Debout là, Son disque à la main, Krsna apparaît tel le soleil rougeoyant se levant au-dessus d’une montagne. Il lui tranche la tête, laquelle roule au sol avec ses pendants d’oreilles. Sâlva meurt de la même manière que jadis Vrtrâsura aux mains d’Indra, le roi des planètes édéniques”.
Ainsi, l’Eden, censé être le paradis, était-il l’objet de guerres à ces époques ? On peut s’étonner de n’avoir pas trouvé d’explications aussi claires dans l’Ancien Testament.
L’arme la plus anciennement connue et citée est le trident de Jupiter, celui avec lequel il foudroya son pseudo fils Phaéton. D’après Ovide, Phaéton meurt, consumé par la “flamme aux trois dards”.
Ainsi un lointain passé nous informe de l’existence d’une super technologie terrible que des hommes dieux manipulaient en des temps immémoriaux.

Engins volants et code Adamski
Grâce au code Adamski (nous l’avons vu lors des précédents articles dans TOP SECRET N°36, 37, et 45 de ce dossier) nous savons qu’une guerre secrète a lieu à l’heure actuelle sur la Terre et sur les autres planètes du système solaire. Ce que nous apprennent les textes anciens, c’est que cette guerre n’est absolument pas récente.
Les récits indiens parlent même d’une bataille sur la Lune qui appuie les dires de l’ancienne grande prêtresse qui présidait aux sacrifices rituels des Illuminati, Arizona Wilder (anciennement Jennifer Greene), elle-même victime de leur esclavage psychologique, qui affirme que reptiliens et nordiques se sont livrés combat sur Mars, sur la Lune et sur la Terre.
Rappelons le livre de ce grand auteur français qu’est Guy Tarade, Soucoupes volantes et civilisations d’outre espace (J’ai lu, L’Aventure mystérieuse). Il y est écrit que la physicienne de l’université de Purjab, Ruth Reyna a soumis à la NASA une hypothèse fondée sur d’anciens textes sacrés de l’hindouisme selon laquelle des autochtones de la vallée de l’Indus, prévenus de l’imminence d’un cataclysme se seraient embarqués à bord de machines volantes pour se rendre sur Vénus 3000 ans avant J.C. (TOP SECRET N°37 page 41).
(Le troisième Chant du Srimad-Bhagavatam : La Bhagavad-gitâ, VIII verset 25) nous dit : “Ainsi, malgré l’incapacité de nos sens grossiers à les percevoir, il existe bien des êtres sur la lune, supérieurs même à ceux qui habitent la Terre”). Ces engins volants participèrent aux nombreuses guerres des dieux ou des titans dont parlent les anciens manuscrits. Ces récits se sont déroulés avant les cataclysmes qui virent s’engloutir l’Atlantide et La Lémurie par suite d’une guerre technologique ayant mené à la catastrophe.
Les Anunnaki revinrent sur Terre après les bouleversements, et leur mentalité guerrière avec eux, qui donna lieu à d’autres holocaustes nucléaires.
Des découvertes archéologiques dans la vallée de l’Indus montrent que des villes furent érigées entre 3500 et 3000 ans avant notre ère (alors que l’Empire de Sumer, dirigé par les Anunnaki était bien implanté) et qu’elles furent détruites sous le choc d’une violence inouïe aux environs du 2ème millénaire avant notre ère. De plus, des squelettes découverts en ces sites portent des traces de radioactivité très élevée.
Les manuscrits dits des Lamentations, parlent d’une calamité qui s’est abattue sur Sumer “inconnue à l’homme à nulle autre pareille” ; il y eut un vent mauvais, une tempête rageuse, une chaleur insupportable. Une sorte de nuage couvrit le soleil en plein jour, les étoiles la nuit. Le texte se poursuit ainsi :
“Le peuple terrifié, pouvait à peine respirer ; le vent mauvais les retenait sans leur accorder un autre jour… leurs visages étaient blanchis par le vent mauvais… les rivières de Sumer portaient en leur lit de l’eau amère ; les champs se couvrirent de mauvaises herbes et flétrirent dans les pâturages (cité page 233 dans “God of the new millénium”) même les dieux durent évacuer ces terres, dit-on et toutes les villes sumériennes furent touchées au même moment. La destruction de Sodome et Gomorrhe s’apparente à la catastrophe nucléaire de la vallée de l’Indus. De nombreux auteurs soulignent que ces villes situées à l’extrémité sud de la Mer Morte sont encore marquées par un taux de radioactivité particulièrement élevé”.
La péninsule du Sinaï est rayée d’une énorme cicatrice artificielle qui couvre une surface d’environ 112 miles carrés. On trouve dans une large zone du versant est du Sinaï des pierres noircies en surface dont la présence demeure une énigme pour les archéologues et historiens qui refusent d’admettre l’existence d’un arsenal très évolué en des temps aussi reculés. Autour de 1450 avant notre ère, la culture crétoise fut détruite par un autre désastre soudain que les archéologues ne peuvent expliquer. à nouveau, toutes ces villes furent détruites au même moment.
Dans le Livre des anciens astronautes, de Jacques Bergier et George Gallet, il est dit :
“En Crête, la destruction soudaine de Cnossos est attribuée à l’explosion volcanique de l’île de Santorin (Théra), relativement peu éloignée. L’histoire de Dédale montre que les Crétois se livraient à des expériences de vol. Cnossos aurait-elle été détruite par des Célestes qui, à la même époque se battaient au-dessus de l’Inde comme le raconte le Mahâbhârata”.
La Crête, autre grande puissance maritime aurait-elle offensé Poséidon ? Orion était le fils de Poséidon, indice révélant que les êtres mystérieux d’Orion que l’on soupçonne être des Rakshasas ou hommes reptiliens devaient livrer une guerre sans merci aux humains de la Terre détruisant sur notre planète des Empires paradisiaques avec des bâtons électroniques et magnétiques, des pierres de foudre, des vimana et des rayons laser et armes nucléaires. Selon les récits de la mythologie grecque Poséidon apparaît plutôt comme un dieu serpent et non comme un poisson. Son épouse était Amphitrite, une néréide dont le nom rappelle celui du monstre marin Triton. Les créatures serpentines et tentaculaires, liées à l’élément aquatique, constituent les monstres les plus anciens. Poséidon s’accoupla même avec la Gorgone Méduse qui avait des serpents à la place des cheveux.
Après l’engloutissement de l’Atlantide, et l’effondrement de Sumer, au cours de ces guerres entre factions Anunnaki, l’Empire s’est effondré, obligeant les Anunnaki reptiliens (ou Rakshasas, en hindou) à se déplacer et à créer un nouvel ordre mondial. Pour continuer de régner sur la Terre, il leur fallait agir désormais dans l’ombre.
L’humanité gardait dans sa mémoire collective un souvenir très amer des Dieux serpents et des Dragons. Il leur fallait donc faire “peau neuve”, et vivre en tout cas de plus en plus à l’écart du peuple humain afin de dissimuler leur apparence reptilienne, comportement qui subsiste encore de nos jours. Mais la guerre des mondes n’était pas finie pour autant. Une guerre terrible d’autant plus meurtrière qu’elle s’appuie sur des armes de très haute technologie aux effets dévastateurs.
Le Mahâbhârata décrit une terrible technologie d’armement :
“Un seul projectile chargé de toute la puissance de l’univers… Une colonne de fumée et de flammes incandescentes, aussi vives que mille soleils, s’éleva dans toute sa splendeur… Ce fut une arme inconnue, un coup de tonnerre de fer, un gigantesque messager de la mort qui réduisit en cendres une race entière”.
Le texte parle de corps brûlés à un tel point qu’il fut impossible de les identifier. Ils perdirent leurs cheveux et leurs ongles, les objets de céramique et d’argile se fracassèrent sans raison, les oiseaux devinrent blancs.
En quelques heures, les aliments furent contaminés. N’avons-nous pas là la description d’une catastrophe nucléaire ?

Retour au code des Envahisseurs
Le dernier épisode des Envahisseurs : “Inquisition” montre qu’Andrew McIntyre connaissait précisément l’existence d’une invasion extraterrestre. Dans cet épisode, le millionnaire Edgar Scoville et son équipe aident David Vincent à décrypter, à l’aide d’ordinateurs sophistiqués, un message codé.
Dans la version originale sous-titrée, il s’agit d’une attaque de l’humanité organisée en trois points : “L’évacuation (des chefs aliens) commencera à 6 h le 15 mars et prendra fin à 12 h le 20 mars. Le commando 1 dirigera le centre de Redeye (œil rouge), le commando 2 celui de triangle, l’équipe 3 s’occupera de l’émetteur central au R-9 situé en ville”. Le code laissé par Andrew McIntyre indique qui ils sont. Cet épisode a été diffusé pour la première fois par la chaîne ABC aux Etats-Unis, le 26 mars 1968. à cette époque, personne ne parlait du complot sur la Terre. Selon le code Adamski, “Red eye” et “Triangle” ne font qu’un et forment en réalité le symbole des Illuminati, avec l’œil au centre du triangle, visible sur les billets d’un dollar américain.
McIntyre, à l’époque, à travers le code Adamski, nous prévenait qu’une caste d’hommes nazis constituant une race aryenne, possédant des soucoupes volantes et une haute technologie miniaturisée avait pour emblème un œil dans un triangle.
David Vincent découvre donc un code qui indique que le commando “Red Eye” va attaquer la Terre en trois points.
Les trois points représentent aussi les trois Dieux principaux : Osiris, Isis et Apollon, symbolisés aussi par les trois paraboles mises en place. à la fin David Vincent va devoir détruire la parabole qui émet une haute fréquence, sorte de longueur d’onde mortelle pour déjouer leur plan. McIntyre qui faisait partie de l’armée pendant la guerre en tant que pilote de bombardier, nous montre, dans la série, des armes sophistiquées issues d’une technologie inconnue de nous. Dans l’épisode “Cauchemar”, nous pouvons voir un ordinateur surmonté d’un pupitre de commandes en forme de pentagone étiré d’où s’élève une antenne ayant à son sommet une parabole contenant un double pentagone ajouré. Lorsque l’antenne tourne sur son axe elle entraîne à la fois la parabole et le pentagone en émettant des hautes fréquences.
Les fréquences envoyées par Les Envahisseurs changent la nature de notre cerveau. Comme nous l’avons vu lors du précédent volet, le double pentagone au centre de la parabole montre qu’Andrew McIntyre avait découvert au sein du Pentagone à Washington la présence d’êtres étranges possédant toute cette technologie. Il a tenté de nous en avertir. Le double pentagone inscrit dans une parabole signifie qu’à l’intérieur du Pentagone existe un second pentagone non visible qui, lui, libère une fréquence inconnue sur les Etats-Unis et sans doute sur toute la Terre pour une transformation négative du monde. Le deuxième pentagone situé au centre du pentagone extérieur nous renvoie sur Mars où existe, sur le site de Cydonia un pentagone pyramidal. Curieusement, non loin de là se trouve un tolus qui, vu par satellite, ressemble à la fameuse base Edwards installée aux USA. C’est à l’intérieur de cette base que le commandant X (L’Ultime complot) aurait vu des hommes perdre leur apparence humaine pour devenir des lézards humanoïdes.
Dans TOP SECRET N°10 page 13, deux chercheurs, Mark et Richard Wells, révèlent la photographie d’un gigantesque œil dans un triangle sur la planète Mars en plein sur le site de Cydonia.
Cela indique qu’une émission d’ondes mutationnelles provient du pentagone pyramidal de Mars soit de Cydonia et tout près d’autres pyramides observées sur les photos de 1976. Ces êtres serpents qui habitent sous le Pentagone de Washington sont en relation avec leur commando sur Mars. Ceci est la préparation de l’état de guerre secrète non déclarée que nous observons dans les épisodes “Le Condamné et Inquisition”.

Au centre de la parabole
Les antennes de téléphonie cellulaire implantées partout dans le monde forment un gigantesque relais satellitaire. C’est une sorte de prise de terre qui absorbe le champ magnétique de la Terre pour retourner contre nous l’énergie de la Terre. Cela a pour effet de créer un gigantesque four à micro-ondes annihilant notre programmation d’humain galactique, nous transformant peu à peu en des êtres sous évolués destinés à remplir un rôle précis dans le futur. Pour l’instant, les anciens Dieux et leurs complices ne veulent surtout pas être démasqués. Ils utilisent contre nous nos propres lois terrestres fabriquées par eux pour exécuter leur complot. Ils utilisent l’être humain, leur créature, dans le cadre d’une stratégie de guerre cosmique dont le redéclenchement est imminent.
En 1900, Nikola Tesla, “le sorcier de l’électricité” affirma qu’il avait capté des signaux de radio venant de l’espace. Il fut le premier à avancer que les mystérieux échos à retardement d’émissions radio d’Eindhoven en 1928, signalés par Störmer étaient causés par un dispositif extraterrestre. Il a aussi capté des signaux provenant de la Lune et avait détecté du côté de Mars des fréquences en émissions envoyées par une intelligence inconnue.

Prise de relais : la série First Wave
Les deux termes de Redeye et Triangle sont repris plusieurs années après, en 1998, dans la série de Francis Ford Coppola First Wave, qui représente une suite aux Envahisseurs. Dans la série, Cade Foster, le héros, découvre un livre sous une dalle de pierre sur laquelle est gravée un triangle avec enchâssé en son centre un œil de cristal rouge rubis.
L’œil est fendu, tel l’oeil d’un reptile. Le triangle gravé sur la dalle et comme à moitié effacé, avec son œil au centre, ressemble étonnamment à la photo du triangle avec un œil en son centre photographié sur Mars et parue dans TOP SECRET N°10 page 13.
Sur le livre de cuir renfermant de nouvelles prophéties de Nostradamus, est gravé un triangle dont le centre est incrusté lui aussi d’un œil rouge rubis. Cette fois l’œil est de forme humaine. Faut-il comprendre à travers cette différence que les envahisseurs reptiliens ont pris forme humaine tout comme dans la série de David Vincent.
L’œil dans le triangle est également présent dans un des premiers épisodes sur la bague du colonel Grace, femme travaillant au Pentagone et qui traque le héros. Dans le premier épisode, la femme de Cade Foster, le héros, est tué et remplacée par une alien dont on voit les tentacules reptiliennes.
Les Envahisseurs de David Vincent disparaissent dans une lueur rouge lorsqu’ils meurent, il en va de même dans First Wave.
Dans le générique de First Wave apparaît la Gorgone peinte par Le Caravage comme si Coppola nous parlait du retour des dieux de la mythologie grecque et de leur similarité avec des reptiles.
Vingt ans après Andrew McIntyre, Francis Ford Coppola reprend le flambeau de la résistance. Il signe une nouvelle série sous forme de prophéties à travers le livre de Nostradamus, alors que nous découvrons justement que les épisodes des Envahisseurs étaient eux-mêmes des prophéties. Que nous dit la prophétie de McIntyre ?
Que lorsque la terre sera recouverte de paraboles, alors apparaîtra l’œil au centre du triangle, révélant la nature réelle de nos maîtres et le secret des dieux.
Comme faisant écho à la série des Envahisseurs, la voix off du générique de la série First Wave nous dit, alors qu’apparaît le dessin de la Gorgone :
“En 1564, Nostradamus a prédit la destruction de la Terre en trois vagues terrifiantes, la première vague est là….”
Curieusement l’on retrouve ce même message chez d’autres auteurs. Ce que disent en effet Valérie Furtenberger et Rosanna Narducci-Baux dans leur livre La Terre, mémoire et instrument de civilisations galactiques- ATL, médian des sphères, (Edition Hélios, 1997, page 99) semble avoir un rapport avec la série First Wave :
“Les forces de l’ombre s’unirent et créèrent un triangle de mondes confédérés connu sous le nom de Triangle Rouge. Ce triangle était représenté par Rigel de la constellation d’Orion, d’Epsilon de la constellation d’Eridani et de Zéta de la constellation de Reticulum. Ces mondes étaient essentiellement composés de petits gris et de reptiliens”.

Zone infrarouge
La couleur rouge (l’œil) se rapporte encore aux envahisseurs dans le contact d’Howard Menger en 1959 avec ces “vénusiens” qui lui demandent de leur fournir des lunettes de soleil noires pour certains et rouges pour d’autres. “Ces verres rouges étaient difficiles à obtenir”, affirme-t-il.
Tous ces indices nous permettent de comprendre que ces êtres vivent dans le spectre de lumière rouge c’est-à-dire au-delà de la vue humaine. Ont-ils la capacité de disparaître jusque dans l’infrarouge grâce à leur technologie ? On pourrait alors comprendre pourquoi seule l’armée a maintenant le droit d’utiliser les caméras et appareils photos infrarouge. Tous ces recoupements de chercheurs ne se connaissant pas éveillent en nous le sentiment qu’une révélation fantastique et tout à fait réelle va bientôt retentir sur la Terre. Ainsi, il nous faut, pour voir se révéler le futur, contempler le passé. Du point de vue mythologique, Mars est considérée comme une planète guerrière, d’où son affiliation au dieu Mars, le rouge correspondant à la violence des passions, au sang.
Le mot “Mar” en sumérien et en persan signifie serpent et a un rapport avec le dieu grec de la guerre Mars ou Arès.
La désertification de Mars, visible sur les photos des sondes, laisse supposer que Mars a été complètement ravagée du temps des guerres atlantes, sumériennes et indiennes, au point d’avoir été abandonnée.
N’oublions pas qu’à l’origine Mars a sans doute été une jumelle de la Terre. Ainsi le paradis a été transformé en enfer.
Cela fait penser à l’épisode “à l’Aube du dernier jour” où la voix off nous dit : “Et la Terre continue de tourner sur son axe, inconsciente du désastre auquel elle a échappé mais David Vincent lui s’en va sachant que grandit sans cesse la menace d’un désastre encore plus grand, le cataclysme final déclenché par les envahisseurs”.

Le retour d’Apollon…
Curieusement, depuis les années trente, la Bande Dessinée Superman nous révèle que ce super héros est originaire d’une planète située près d’un soleil rouge, ce qui lui confère sur la Terre des pouvoirs extraordinaires. Cette force tirée d’un soleil rouge nous fait penser à Apollon. Or, il se trouve que la forteresse de solitude de Superman est située au pôle nord. Une clé en forme de flèche d’or géante et ancrée sur les montagnes permet d’ouvrir le portail de la forteresse et seul le héros peut la soulever et l’introduire dans la serrure. Cette gigantesque flèche d’or ressemble au vaisseau spatial d’Apollon qui avait la forme d’une flèche.
Robert Charroux, dans Le Livre du mystérieux inconnu page 184-185 (Robert Laffont, 1969) nous dit : “Apollon ne fut pas un mythe mais probablement un héros, un initiateur venu du nord. Chez les nordiques et les Scythes, il était appelé Abaris l’Hyperboréen et avait le pouvoir de voyager sur une flèche volante comme le faisait le roi Brân du Pays des Tertres, qui allait de l’occident au Pays de l’au-delà à la vitesse d’un Boeing. Abaris était un magicien scythe (d’Europe du nord orientale) auquel Apollon offrit une flèche sur laquelle il avait la faculté de traverser les airs. On dit aussi qu’Abaris était un Apollon hyperboréen. Ces héros ou dieux n’étaient pas plus qu’Apollon des mythes astronomiques.
Dans les mythologies et selon les récits des historiens de l’Antiquité, ils se déplaçaient véritablement dans le ciel sur des engins volants qui, la plupart du temps chez les Celtes, les Incas, Les Mayas, les Assyriens, les Egyptiens étaient profilés comme des jets, des soucoupes volantes ou des fusées spatiales. La flèche d’Apollon évoque le jet ; Orejona vint sur un “astronef” plus brillant que le soleil ; Quetzalcóatl connaissait la fusée à tuyères de la dalle de Palenque ; Astarté était liée au mystère du serpent à hélice et à réaction quant à Ashour et à Horus, ils empruntaient de véritables soucoupes volantes”.
L’hyperborée est situé au pôle Nord, où se trouve la forteresse de Superman. Le super héros est-il une métaphore d’Apollon ? Toutes ces BD parlent d’une mémoire perdue de l’humanité où les dieux existaient réellement et luttaient pour garder le pouvoir sur la Terre. Elles éveillent en nous un lointain passé et le souvenir d’une puissance et d’une force destructrice dont la mémoire nous hante.
Dans Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans (Robert Laffont, 1963) de R. Charroux, il est dit aux pages 130, 131 :
“Il est certain qu’à une époque géologique reculée, les pôles et l’équateur changèrent de place, si bien que les régions polaires jouirent d’un climat tropical et d’une flore luxuriante. Toujours est-il que la tradition parle d’une île de glace entourée de hautes montagnes où vivaient des hommes presque transparents, les Hyperboréens. Des navigateurs grecs et babyloniens auraient vu l’île ceinte de sa couronne diamantine, vision si merveilleuse qu’ils s’agenouillèrent et prièrent leurs dieux.
La coruscation, sur la glace, créait une lueur irréelle et à l’intérieur du pays régnait une douce chaleur où s’acclimatait parfaitement une végétation verdoyante.
Aucun contact ne semblait exister entre l’île et le reste du monde ; pourtant un passage secret (souterrain ?) aurait mené jusqu’en Allemagne du Sud. Les femmes hyperboréennes étaient d’une beauté indicible et celles qui étaient nées cinquième dans chaque famille possédaient des dons de clairvoyance… Phérecyde de Scyros, initiateur de Pythagore, aurait été un descendant d’Hyperborée”.

Conclusion
Le rappel de toutes ces citations a pour objet de nous faire prendre conscience d’une réalité douloureuse inscrite dans nos mémoires et que l’époque a rangé arbitrairement du côté des légendes et du folklore. à tort selon moi.
Le Paris Match n°1382 du 23 novembre 1975, page 81 porte ce titre : “Les OVNI, gigantesque explosion sur Mars peut-être une bombe atomique”. L’article reprend en fait les informations du livre du major Donald E.Keyhoe intitulé Les étrangers de l’Espace (France Empire édition).
J’ai eu la curiosité d’ouvrir un autre livre de Donald E. Keyhoe : Dossier des Soucoupes volantes (Edition Hachette 1954, page 169) le livre apporte aussi des détails sur cette explosion : “Selon les astronomes, il semble possible que la planète Mars soit habitée par des êtres doués d’intelligence, et certains faits étranges observés au cours des trois dernières années tendent à consolider cette thèse. La preuve sans doute la plus intéressante, est la mystérieuse explosion qui s’est produite sur cette planète en 1949.
Le phénomène fut observé par un astronome japonais réputé, Tsunéo Saheki, le 9 décembre 1949. Depuis 1933, Saheki n’a cessé de surveiller Mars ; son rapport n’en possède que plus de poids. Selon le savant japonais, l’explosion en question provoqua une brillante lueur pendant plusieurs minutes. Puis se forma un nuage lumineux gris tirant sur le jaune, de 64 km de hauteur et dont le diamètre atteignit 112 km. Après avoir éliminé plusieurs hypothèses, Saheki suggéra que Mars avait été le théâtre d’une explosion atomique.
Une telle déflagration ne pouvait avoir que deux causes : une éruption volcanique ou une explosion atomique provoquée.
Si la dernière explication était la vraie, il fallait en déduire que l’explosion était l’œuvre de créatures douées d’une extrême intelligence ; dans ce cas, il s’agissait d’une explosion plus puissante encore que celle d’une bombe à hydrogène, à moins que ce ne fût une explosion accidentelle.
Dans le cas d’une explosion provoquée, trois possibilités étaient à retenir : primo, les Martiens en étaient les auteurs ; secundo, une race venue d’une autre planète avait pu récemment prendre pied sur la planète Mars ; tertio, des voyageurs de l’espace hors de notre système solaire se servaient de Mars comme base d’opération au cours de leurs observations de notre planète.
Depuis l’explosion de 1949, d’étranges nuages bleus ont été observés par M.Walter. H.Haas, directeur de la société des observateurs lunaires et planétaires et par d’autres astronomes. La cause de ces nuages bleus demeure toujours inexpliquée.
Quoi qu’il en soit, la présomption selon laquelle Mars est habitée, ou du moins momentanément habitée, est assez sérieuse pour que ce soit la première planète à explorer par l’homme”.
Donald E. Keyhoe n’est-il pas en train de relater l’observation par les astronomes d’une opération de terra formation de la planète Mars débutée dès 1949 ? Et menée par qui ? (Pensez au film Total Recall).
Cette explosion observée à la surface de Mars en 1949 nous fait également penser à la guerre secrète des étoiles qui se poursuit à notre insu. Cela nous renvoie aux récits mythologiques évoqués plus haut.
Pourquoi la Terre est-elle épargnée depuis 3500 ans ? A-t-elle été placée sous quarantaine, bénéficie-t-elle d’un statut particulier comme le serait une zone neutre ? Ou bien notre système solaire a-t-il été isolé du reste de la galaxie, et notre Terre a-t-elle été transformée en une gigantesque prison ?
On peut penser qu’Arizona Wilder et Ruth Reyna avaient vu juste lorsqu’elles avançaient l’idée que les peuples pré-cataclysmiques détenaient une haute technologie qui a fini par les anéantir.
Sommes-nous encore aujourd’hui sous l’emprise des serpents venus d’ailleurs, ces “envahisseurs” retenus ici prisonniers depuis l’effondrement de leur empire et qui tenteraient en ce moment même de s’évader, et de reprendre peu à peu possession du système solaire, d’abord la Lune, puis Mars, et usant de la même technologie qui sert depuis toujours à nous asservir et nous détruire. Cette émancipation progressive des anciens “Dieux” ne devrait pas tarder à attirer l’attention des gardes du système provoquant alors l’inévitable déclenchement d’une nouvelle guerre des mondes.
Pour l’heure, le réseau de communication semble de nouveau opérationnel, Mars, Lune, Terre et peut-être Venus…
Comme les Dieux ont besoin de leurs esclaves partout où ils se trouvent, ne serait-ce que pour leur confort personnel, mais aussi pour agrandir les infrastructures planétaires, nous pouvons concevoir qu’un programme de terra formation ait été mis en place depuis 1949 sur Mars.
Si la terre est le vivier, la planète Mars est le principal centre de commandement en vue de la grande confrontation finale.
Quoi qu’il en soit, en 1959, H.Menger (Mes mis les hommes de l’espace, page 192) évoque un couple de grands blonds extraterrestres qui lui révèlent que des êtres veulent asservir les humains. Ce groupe très puissant de gens extrêmement savants en technologie et en télé influence dirige des gens qui occupent des postes importants du gouvernement (et certainement aussi au Pentagone).
Ces gens seraient l’instrument de : “votre mythique démon”. Selon les révélations du couple, ils manipulent des gens de cette planète et aussi des gens de Mars et “d’autres gens de votre propre planète dont vous n’avez jamais entendu parler ; qui jusqu’à présent n’ont été ni observés ni découverts, une sorte de peuple souterrain” (TOP SECRET N°36 page 40).
Le dernier épisode des Envahisseurs : “Inquisition” montre qu’Andrew McIntyre connaissait l’existence d’une invasion ou devrais-je dire “évasion” ou reprise de pouvoir par les anciens Dieux Serpent de la Terre, dans le cadre d’un tout nouvel ordre mondial où, ayant recouvré leur force et leur champ d’action, ils devraient alors nous apparaître de nouveau à visage découvert.
Andrew McIntyre savait qui étaient ces envahisseurs et d’où ils venaient. Un code secret à la fin de l’épisode nous est donné par la découverte d’une attaque coordonnée contre la race humaine.
Le titre évocateur et prophétique, puisque la série a été interdite après, nous indique que ces “inquisiteurs”, sont déjà maîtres de la Terre. Ils ont désormais conquis secrètement tout le système solaire, et ils s’apprêtent à repousser, avec l’aide de l’esclave humain préparé pour cet évènement via les jeux vidéo et l’accoutumance aux mondes virtuels, l’armada qui devrait fondre sur la Terre.
Pour eux, reste une dernière étape à franchir : entériner leur retour officiel sur la Terre et instaurer un nouvel ordre mondial.
Il leur faudra alors imposer l’implant sous-cutané qui transformera l’humanité en une armée décérébrée capable de prendre les commandes des “Vimana” qu’ils mettront à leur disposition. Les hommes et les femmes pourront alors guerroyer comme une “armée de clones” et mourir au nom des Dieux dans la prochaine bataille annoncée de la guerre des mondes…
Un texte de Peter Knight
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:44

Les mystères de Saturne

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« L’article suivant que j’ai traduit de l’anglais et les images qu’il contient, pour la plupart à 70%, proviennent d’une vidéo intitulée : “Saturnalian Cult Revealed” en 12 parties montées par 666xjohn.com. Pour les visionner, vous n’avez qu’à faire une recherche sur Google ou YouTube Vidéos et vous retrouverez les 12 parties). La vidéo expose et compare les liens entre les symboles, statues, stèles des dieux anciens avec les religions actuelles. L’auteur relie le culte saturnien ou saturnalien au satanisme et luciféranisme qui sont encore pratiqués de nos jours, ouvertement ou en secret dans toutes les sphères de la société.

L’article présent diffère de la démonstration des vidéos qui l’ont inspiré. Son but est en effet de démontrer que toutes les religions qui se font la guerre proviennent des mêmes sources, mythes et symboles. Elles pointent toutes vers l’élévation de l’âme ou la conscience mais elles ont failli en faisant de l’Homme un mouton. Elles nous cachent encore les vraies connaissances scientifiques et historiques qui nous libéreraient des contes de fée qui nous endorment et des cauchemars qui nous réveillent.
Saturne est une ancienne divinité romaine, agraire à l’origine (on lui attribuait notamment la protection des semailles), qui a été peu à peu assimilée au dieu grec Cronos. D’après les poètes latins (Ovide, Fastes, Virgile, Énéide) Saturne, détrôné par son fils Jupiter, et réduit à la condition de simple mortel, vint se réfugier en Italie, dans le Latium, où il rencontra le dieu du commencement, Janus. Avec son aide, il inventa l’âge d’or : l’égalité des conditions fut rétablie ; aucun homme n’était au service d’un autre ; personne ne possédait rien en propre ; toutes choses étaient communes, comme si tous n’eussent eu qu’un même héritage.
C’est pour rappeler la mémoire de cet âge heureux qu’on célébrait à Rome les Saturnales. Mais ces fêtes religieuses qui étaient célébrées du 17 au 24 décembre n’étaient qu’une émulation d’un âge d’or qui ne reviendrait plus.
La fête des fous du 25 décembre rappelait celle des Romains, où les valeurs établies de la société étaient renversées et la religion tournée en dérision.
Les esclaves portaient les habits de leurs maîtres, s’asseyaient à table avec eux pour rappeler le souvenir du siècle d’or où toutes les conditions étaient égales.
Mais les humains étaient redevenus des pauvres esclaves ignares.
Qu’est-il advenu de la manifestation de la fête de la liberté (libertas decembris) ? Une célébration éphémère du monde à l’envers. Temps de licence, de désordre, ces fêtes font maintenant partie quotidiennement de notre vie grâce à la baguette magique d’Hollywood, la télé-réalité, de la musique infernale, et grâce aux sports violents et à la pornographie.

Le pouvoir des symboles
Les traditions ésotériques empruntent le langage symbolique, par lequel elles codifient leurs enseignements et leurs pratiques au fonds commun emblématique et allégorique de la culture dans laquelle elles se sont développées.
Ce fonds culturel entretient des rapports étroits avec les traditions religieuses, mais également avec des forces occultes et connaissances scientifiques que les symboles possèdent. Ils sont engravés dans nos gènes et chromosomes-mémoires depuis des millénaires et exercent des influences subtiles sur le psychique humain pour qui sait s’en servir.
Saturne est la 6ème planète à partir du soleil et la 2ème plus grosse planète du système solaire. Son jour est le samedi ou Saturn day (Saturday) qui est bien entendu le 6ème jour de la semaine. Il est étrange de découvrir que Saturne possède également un polygone à six côtés à son hémisphère nord.
Phénomène expliqué par les astronomes comme étant un vortex EM ou tempête en forme d’hexagramme. Étrange coïncidence. Les anciens dieux connaissaient-ils cette caractéristique de la planète ? Comme sommaire nous avons la 6ème planète, le 6ème jour et un polygone à 6 côtés.
De cet hexagramme nous pouvons en tirer une étoile à six pointes. Jusque-là, pas de quoi s’affoler. Mais n’est-il pas curieux de retrouver la clef du nombre 666 ?
Le nombre 666 est indéniablement relié à Saturne. Il représente idéalement le système sexagésimal des Sumériens.
Dans le langage de Babylone Sud, “STUR” possède une équivalence gématrique surprenante : le “S” est 60, le “T” est 400, le “U” est 6 et le “R” est 200. Total : 666.
Ayant fait la relation entre l’hexagramme, Saturne et le nombre 666, à qui donc appartient l’image ci-dessous ? Est-ce le dieu Saturne qui possède l’hexagramme comme symbole ? Le Christ est supposé représenter un symbole solaire (TOP SECRET N° 39).
Une imposture ou confusion se serait-elle glissée dans la “symbolisation” des maîtres, des planètes et de l’Histoire même des religions ? Pouvons-nous être certains que c’est l’image de Jésus ?
Fait 1 : Jésus était supposément “juif” et les juifs ne portent pas les cheveux longs. Sous la domination romaine, les Juifs avaient adopté les cheveux courts même les femmes.
Fait 2 : C’est une disgrâce pour un homme de porter les cheveux longs, même chez les chrétiens. (1 Corinthien 11 :14)
Fait 3 : Dans les arts, il est également défendu de dépeindre Dieu ressemblant à un homme mortel, donc corruptible.
On peut même lire cette étrange parabole dans les épitres Romains 1 – 23 :
“Et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles”.

Des reptiles ?
Fait 4 : Les hommes ne devaient ni graver d’images encore moins se prosterner devant une statue. Exode 20 : 4-5 “Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.
Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l’Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent”.

Les “Dieux”
Dieu, jaloux ? Ou était-ce pour ne pas révéler la vraie identité des Élohims, Néphillims, Djinns ou autres créatures divines ?
Ninurta, fils d’Enlil, était le dieu Saturne de la guerre et de la sentence, mais aussi de la pluie, des puits, des inondations, de la charrue et du vent du sud. Examinons bien le fameux cylindre sumérien suivant :
Nous apercevons Ninurta assis sur le trône qui fait “cadeau” à l’Homme de la laboureuse pour le rendre plus autonome, mais surtout cultiver les semailles, fruits et légumes pour les Announakis, à la sueur de son front pour le restant de ses jours.
Le cylindre sumérien comporte également un élément révélateur.
Les douze astres du système solaire y figurent. Au centre un astre qui nous semble être le soleil est entouré d’une étoile à 6 pointes. Plus étonnant encore, l’astre au centre du sceau de Ninurta est de forme hexagonale.
Dans la figure où Jésus siège sur un trône au centre de l’hexagone il est contourné d’une étoile à six pointes (voir figure 1) .
Est-ce le soleil avec une étoile à six pointes ou le sceau de Salomon (Sol-Om-An) qui désignent le sceau de Ninurta, Saturne ?
Cette planète où ce dieu prit plusieurs noms à travers les âges, cultures et civilisations. Chez les Grecs il est connu comme étant Chronos, “El” en phénicien, Saturnus à Rome, Stur en Chalcédoine et Ninurta chez les Sumériens. Il a laissé ses traces dans plusieurs cultes pagans ou païens.

Jésus et le “sacré cœur”
Observons de près l’icône du “Sacré Cœur” de Jésus. D’une main, un signe de paix et l’autre pointe vers le cœur.
Quetzalcoalt est aussi un Sacré Cœur avec son aura. Jésus représente avant tout un symbole solaire. La lumière, la vie, la chaleur. Il marche sur l’eau. Change l’eau de pluie en vin dans les vignes.
Retenez que ces images ont été peintes ou sculptées par des humains. Inspirés ou guidés par diverses forces de différentes fréquences. Comme la radio.
Quetzalcoalt (Kukulkan), était souvent comparé à Jésus étant considéré comme le dieu de l’étoile du matin et son jumeau, Xolotl, l’étoile du soir, en fait la planète Vénus. Confusion ou superposition avec le soleil ? Quetzalcoalt est un faux dieu, en fait il est l’antithèse du symbole christique : un dévoreur d’enfants ou d’humains qui exigeait des sacrifices.
Les humains sont ses serviteurs. La croix de Quetzalcoalt égale celle des chrétiens.
La croix fut adoptée par plusieurs religions païennes.
Maintenant, observez cette autre idole avec le Sacré Cœur sur sa poitrine.
Son nom est Hannuman. En sanskrit pourvu (mân) de fortes mâchoires (hanu). Il offre son cœur à Rama et Sita.
D’une force hors du commun, il apporta son aide à Rama pour combattre Ravana et délivrer Sita, l’épouse de Rama.
Son arme est une massue d’or (gadha) qu’il est le seul à pouvoir soulever. Il peut grandir à volonté pour devenir un géant.
Notez sur l’image ci-dessus, la croix de l’Ank inversée sur le bouclier, peut-être une influence égyptienne… Quetzalcoalt était un homme grand, blond avec les yeux bleus. On pourrait croire à la description d’un viking, d’un Aryen, d’un dieu égyptien et pourquoi pas d’un Vénusien.
En réalité la croix n’a jamais été un symbole chrétien. Elle a toujours été reliée à la géométrie sacrée et à l’astrothéologie.
La grande quadrature du cercle. La grande pyramide de Chéops vue d’en haut donne un carré avec une croix à l’intérieur.
Le principe du cerf-volant était né. (le cristal du carbone ou diamant appartient à ce système octaédral : deux pyramides inversées).
La croix a été adoptée et intégrée au christianisme après l’empire romain, à partir du mithraïsme qui vénérait aussi le Soleil et Dogon/Saturne.
Le sacrifice de Jésus, mi-homme, mi-dieu, sur la croix, représente le combat entre la lumière et les ténèbres, le bien et le mal, l’humain ou la bête, la barbarie ou l’évolution de l’esprit.
Les sages ont su diaboliser les vraies connaissances et les confondre avec des récits, mythes et fables codifiés afin que personne ne puisse les comprendre et s’approcher de la vérité. La vraie connaissance est le pouvoir suprême. Il faut donc la cacher derrière toute sorte de fausses pistes ou de leurres.
L’Étoile de Molech ou Moloch représentée ci-dessous est l’emblème adopté par la Société Théosophique. Remarquez la swastika indienne.

Le 7ème jour
Le jour sacré des juifs est le sabbat ou samedi ou Saturne-day. Alors que celui des chrétiens est le dimanche ou Sun-day, jour du soleil. Celui de l’islam est le vendredi ou jour de vénus.
Tout comme pour Quetzalcoalt, on sacrifiait des enfants sur l’autel de Moloch et l’on vénérait l’étoile Réphan (Act 7 : 43).
On pourrait croire que ces rites barbares ont complètement disparu de nos jours. Malheureusement, il n’en est rien car les enfants continuent d’être sacrifiés de bien des façons de nos jours.
Les Aztèques pratiquaient également le sacrifice du “Cœur sacré” mais littéralement parlant. En effet avec l’aide d’un couteau en pierre sculptée, on ouvrait la cage thoracique et en extrayait le cœur vivant de la victime. Après quoi, on le consommait.
À qui appartient ce rituel symbolique aujourd’hui ? Au christianisme ? De fait, donner son cœur à Jésus ou à son dieu est un geste naturel lorsqu’il nous a donné lui-même son cœur. Mais pourquoi le dépeindre aussi graphiquement (voir figure 2 et 3) ?
On comprend le symbolisme du rituel “mangez mon corps et buvez mon sang” dans l’eucharistie, mais ces paroles dans la bouche des Aztèques n’est pas très réconfortantes.
Serait-il possible que des forces occultes s’emparent de l’esprit des humains et les poussent à commettre de tels actes ?
Le contrôle de la pensée des adeptes par les rituels magiques ou sacrifices humains ?
Pourquoi ces personnages tiennent-ils leurs cœurs dans la main. L’expression avoir le cœur sur la main vient-elle de là ?
Et que dire de ces représentations sanglantes empreintes d’un héritage sacrificiel…
Pourquoi ne pas trouver d’autres images pour représenter la compassion et le don de soi comme un idéal à atteindre ?
La soumission totale du troupeau de moutons entre les mains d’un berger est également le but du “Nouvel Ordre Mondial”.
Pourquoi ces cœurs doivent-ils être meurtris, découpés, saignés, transpercés ? Pourquoi ces épées dans des cœurs sacrés ou consacrés ? Est-ce pour la glorification et la sacralisation de la souffrance sur cette planète ? Est-ce la meilleure façon de représenter l’amour christique comme un modèle à suivre par tous ? Est-ce une façon de dire que cette souffrance est une fatalité inévitable à laquelle tout humain doit se soumettre ?
Que dire de “buvez mon sang et mangez mon corps” ? Bien entendu on nous a expliqué le sens spirituel de cette parabole (buvez mes paroles et mangez mon énergie) mais les paroles survivent au sens caché des anciens sacrifices humains, en passant par Alexandre Le Grand, dont ses chevaliers mangèrent le cœur après sa mort pour hériter de sa force et son pouvoir.
On côtoie ici facilement le satanisme et la magie noire. Souvenez-vous aussi de Gilles de Rais, Maréchal de France et compagnon d’armes de Jeanne d’Arc. Il fut condamné par un tribunal ecclésiastique puis exécuté pour sorcellerie, sodomie, et meurtres de plusieurs dizaines de petits enfants.
Aujourd’hui, les auteurs contemporains préfèrent parler pudiquement de débauches et de cruauté à son sujet.
Cependant, ne peut-on imaginer que ses tueries suivaient une autre logique que la simple satisfaction d’un instinct meurtrier ?

Le Symbolisme de l’hexagramme
L’hexagramme ou l’étoile de David ou Moloch n’appartient pas plus à la religion juive que la croix aux chrétiens.
Le bouddhisme et l’hindouisme en sont imprégnés et ce symbole date d’au moins 11 000 ans. Ce symbole qui représente l’équilibre des forces du ciel dirigées vers la terre par le triangle inversé et les forces de la terre vers le ciel pour la pointe vers le haut.
En géométrie sacrée l’hexagramme tient un haut rang. Le cristal de quartz et de l’eau sont des hexagrammes.
Regardez les images ci-dessous, que fait l’étoile de Stur, Saturnus, Rephan, sur la relique sacrée ? Même les étoiles au bout des tiges ont trois à six pointes… soit 666.
La connaissance des Chakras
Dans les toiles de Jésus on le dépeint avec différentes positions des mains. Elles représentent les mudras (gestes) du bouddhisme et démontre les racines orientales anciennes qui se sont transposées subtilement dans les mythes des religions qui les suivirent.
Les connaissances des chakras étaient connues parmi les initiés. Ces gestes de la main relient le mental-psy avec différents centres corporels. Celui des trois doigts qui pointent vers le haut s’appelle “ardha pataka”.
Ce geste est le prithivi ou surya mudra.
Il relie le psychisme au chakra de la racine et active le feu intérieur. Remarquez la forme pyramidale que les doigts forment. Le symbole de la swastika sur la poitrine du bouddha date de plus de 11 000 ans.
Baphomet pointe lui ses deux doigts vers le haut. Son caducée tient une place très phallique et démontre encore sa nature hermaphrodite ou bisexuelle, car il a les seins d’une femme.
Le caducée phallique représente la kundalini d’une spirale croisée qui monte et descend le long de notre colonne vertébrale. La spirale du vortex énergétique du vivant qu’on retrouve jusque dans notre ADN et dont le phallus est le porteur de semence.
Le tantrisme avait découvert le lien direct entre l’énergie sexuelle et celle de la glande pituitaire. Cette connaissance se trouvait également répandue dans les rites sataniques qui inversaient la direction spirituelle vers la racine en énergie bestiale et prédatrice.
On intoxiquait l’esprit des adeptes par des sensations fortes de basses fréquences au lieu de les libérer de l’esclavage de l’ignorance.
La boule au bout du bâton est en fait un cône celui du troisième œil ou la glande pinéale (gland) en forme de cône de pin ou pinéal. La porte des étoiles de la conscience, du rêve et du voyage astral. D’où le nom de pineapple (Fibonacci) ananas, ou plus précisément de la pomme de pin, le vrai fruit défendu de la genèse, l’arbre de la connaissance qui nous rendait égales aux dieux.
Enki (le serpent du jardin) a voulu doter ses créatures hybrides de la connaissance, mais Enlil préférait les en priver.
Mais il était trop tard… Alors, Enki fut condamné par le panthéon.
Ninurta, dieu sumérien “Saturne”, détient le pouvoir de la glande pinéale qui serait “la porte des étoiles de l’Homme” avec les mondes interdimensionnels : “L’Éther – L’Espace – Le Temps”.
Non seulement les dieux sumériens connaissaient l’hexagone au pôle Nord de Saturne que la NASA n’a découvert que récemment, mais aussi le pentagramme qui apparaît à l’intérieur comme une cicatrice.
Remarquez le pentagramme entouré du vortex hexagonal du pôle Nord ? Une cicatrice géologique, une ouverture ?
On a toujours associé la chèvre de Mendes ou chèvre du sabbat ou Baphomet au pentagramme. Mais voici un peu de “magie”… il se cache aussi dans l’hexagramme.
En effet la double nature masculine/féminine de ce symbole qui représente le Sat-an ou dieu Sat-urne, le faux dieu, ennemi de l’homme, celui qui veut l’emprisonner et le rendre esclave de ses bas instincts, l’empêcher d’atteindre les sommets de la spiritualité, les pouvoirs de sa glande pinéale et l’emprisonner dans la matrice de la Terre pour servir les faux-dieux ou idoles humaines. Les deux formes les plus puissantes de la géométrie sacrée : le pentagramme, les forces de l’Homme sur son corps et la matière et l’hexagone, les forces de l’esprit sur son esprit, ses émotions.
Ceux qui possèdent la connaissance du pouvoir des formes, des couleurs et des sons sur le psychique humain peuvent facilement contrôler le cheptel tout comme l’élever à des sommets spirituels en humains souverains libérés.
Autre aspect important de cet astre mystérieux. La sonde Cassini a pu photographier le vortex ou ouragan au pôle Sud qui ressemble étrangement à un œil (qui a été rajouté ici).
La corrélation entre Saturne et “l’œil qui voit tout”
À partir de maintenant nous pouvons désormais tirer deux symboles des pôles respectifs de Saturne : l’œil et l’hexagramme.
De nos jours quelles institutions possèdent les deux symboles des vortex des pôles de Saturne combinés ?
Cette amulette islamique ?
Ou cette église polonaise à Iviv ?
Le temple de Cao Dai au Vietnam avec un œil sur un globe ?
Ou encore cette fresque où Jésus debout sur un disque volant est avec St-Pierre, au-dessus une colombe et la pyramide avec l’œil à l’intérieur :
On y décèle au-dessus du pape, une antenne ou relique en métal.
Vous êtes-vous demandé pourquoi l’œil dans le triangle était entouré de rayons ? La sonde Cassini nous a apporté la réponse le 11 octobre 2006 alors que Saturne occultait le soleil. Ce spectacle magnifique des rayons irradiant derrière Saturne devait déjà émerveiller nos maîtres, les dieux civilisateurs…
Les anneaux de Saturne… voilà pourquoi l’œil dans la pyramide est entouré de rayons. C’est en réalité le symbole de Saturne ou Sat-An, (ou l’ANneau de Sat) dont le chiffre est le 666.
Un autre aspect physique de Saturne est bien entendu ses anneaux. Sur l’image ci-dessous qui provient d’un sceau sumérien, les deux lignes blanches du haut pointent sur Mars et la ceinture d’astéroïdes et les deux du bas sur Neptune et Saturne.
On voit très bien son anneau. Il était visible avec une bonne lentille, il y a 6 500 ans. Cet homme est-il Saturnus, Ninurta, Satarn, Isateni, Satan ? Est-il l’imposteur qui prend le trône du Christ et dirige les affaires de ce monde ?
Vous êtes-vous demandé pourquoi son image est toujours entourée d’un halo ? Parce qu’une aura entoure les êtres spirituels évolués, répondrez-vous.
Oui, mais combien de fois l’humanité s’est-elle fait prendre par des êtres qui possédaient un magnétisme et charisme tel qu’ils en étaient possédés ? Nous fait-on passer la radiance du soleil pour l’anneau de Saturne ?

Saturne et la couronne d’épine
Il reste un dernier mystère entourant cet astre aux pouvoirs occultes qui a infiltré notre réalité depuis des millénaires.
En effet, Jésus subit également un calvaire au cours duquel les romains lui posent sur la tête une couronne d’épines.
Dans cette auréole qui ressemble à la clarté des anneaux de Saturne on peut découvrir des sortes d’épines
En 1981, la sonde Voyageur nous confirmait “ces épines” dans l’anneau de Saturne, aperçues sur le télescope et dessinées par Stephen James O’Meera en 1977.
Les dieux Babyloniens
Vénérons-nous un dieu saturnien qui aurait pris progressivement la place du Christ dans le culte ? Comment notre dieu solaire a-t-il été substitué par un dieu païen qui représente l’énergie saturnienne ?
L’histoire commence à Sumer avec Ninurta qui devient Oannès chez les dieux babyloniens 2000 ans plus tard (dieu qui concède les arts et la connaissance aux humains méritoires, voir aussi à ce sujet le site http://en.wikipedia.org/wiki/Dagon).
Le dieu Dagon apparaît dans les textes de Mari, 2500 ans avant J.C, et les noms des amorites dans lesquels apparaissent Ilu (El), Dagon et Addad.
Phonétiquement parlant, nous sommes près de dragon, reptile ou bête.
À Ebla et Ugarit, en 2300 avant J.C, Dagon était à la tête de la cité du Panthéon qui comprenait quelque 200 déités.
Par la suite, il devint le dieu poisson des Sémites du nord-ouest, la Syrie.
Spécialité ? Le grain et l’agriculture. La guerre et la protection. Dagon était à la tête des dieux du panthéon des philistins bibliques. Il est relié au signe astrologique du capricorne qui réapparut comme la fameuse chèvre de Mendes, dont l’image de Baphomet, (Lucifer/Vénus) est accolée à l’hexagramme qui appartient à Saturne.
S’ensuivit le mithraïsme qui était beaucoup plus un ordre initiatique parmi les soldats de l’Empire qui s’apparentait aux mystères d’Éleusis. Ce culte de Mithra de sources indo-persiques vénérait Dagon, Saturne, en tant que dieu solaire.
Le rituel du sang où on sacrifiait un taureau et aspergeait le sang sur les participants, se pratiquait dans une grotte ou endroit retiré. C’est donc ce culte solaire/saturnien de Mithra, qui précède celui de Jésus, qui a été superposé au christianisme via la religion sémitique.
On y rajouta des dieux romains, égyptiens, grecs et sémitiques pour couronner le mythe du zodiaque avec les 12 apôtres. (voir Top Secret N°39)

Conclusion
“Ordre VS harmonie”. Nous vivons dans un monde Saturnien celui d’Enlil-Ninurta-Moloch-Satan depuis des millénaires.
Le monde matérialiste du profit, du gain et de la gloire de l’Élite. Ces Dieux accordent aux fidèles, soumis, protection et sécurité (possessions, pouvoirs, privilèges et la micropuce RFID).
Le chaos est créé à partir du désordre social (chômage), famines (contrôle du climat et de la nourriture), pauvreté (contrôle de la finance mondiale, de la maladie), et des guerres. Ensuite vient l’Ordre. C’est un monde de survie dans lequel les maîtres entretiennent et maintiennent les “humaincaniques” dans de bas instincts (Road Warrior), en leur superposant un monde virtuel “magique” programmé par les médias et maintenu par les drogues et la roue infernale de la Métropolis de “Big Brother” (1984).
Au contraire, vivre dans un monde “Solaire/Christique” signifie le droit à l’individualité, la liberté, la spontanéité, l’intimité, le respect, la créativité, la vérité et la connaissance. Un monde tel que celui-ci est un monde où règne l’équilibre, l’harmonie et dans lequel les humains apprennent à maîtriser leur corps et leur esprit et à évoluer pour participer à l’évolution de l’univers tout entier.
C’est un monde providentiel où les humains se considèrent comme des êtres précieux et ne sont pas traités comme du bétail recyclable ou jetable qui doit rapporter.
C’est un monde qui nous est totalement inconnu…Mais que l’on s’ouvre un peu à cette réalité et qui sait de quoi sera fait l’avenir. .
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:45

JO et signes des dieux qui sont parmi nous

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Cet article s’inscrit dans la continuité d’autres textes ésotériques que les lecteurs ont pu lire dans TOP SECRET. Il poursuit la logique instaurée par les articles de Michel Girard que les lecteurs connaissent bien. Nous avons vu à travers la lecture de textes anciens, que les “Dieux” de l’antiquité, Apollon, Isis…etc. sont encore vivants de nos jours, et attendent patiemment que s’ouvrent les portes de l’abîme où ils ont trouvé refuge. Nous savons qu’ils influencent encore le destin des hommes, non plus directement comme ils le faisaient du temps de l’Iliade, mais soit en exerçant une influence sur le subconscient de certains individus, soit par l’intermédiaire des sociétés secrètes. C’est ainsi que les “Dieux” parviennent à contrôler et diriger les grandes institutions de ce monde, qu’elles soient religieuses, politiques, économiques ou militaires.



Je sais combien cette thèse est difficile voire impossible à croire, et je suis bien conscient du fait qu’il ne suffit pas d’affirmer les choses en se référant aux textes anciens pour être cru sur parole. Je vais donc m’efforcer de montrer, et démontrer l’omniprésence des Dieux en m’appuyant le plus possible sur des éléments palpables et vérifiables. Ces preuves, ou du moins ces indices existent, car nous savons, grâce aux textes anciens, que ces êtres, ou devrais-je dire ces “Extraterrestres”, ces “Dieux” belliqueux et jaloux, débordent d’orgueil à l’instar des pires despotes que la terre ait portés, et qu’ils ont toujours pratiqué le marquage ; marquage du bétail que nous sommes à leurs yeux, mais aussi marquage du territoire, un peu comme le feraient des tagueurs qui apposent leur signature sur les murs afin de signifier aux bandes rivales que le quartier leur appartient.
C’est ainsi que les institutions, les organisations et les organes de pouvoir de par le monde ont toujours porté et portent encore la “marque” c’est à dire les symboles de l’influence de ces Dieux. Ici ce sera un lion, ici un aigle, ici un dragon, là un serpent (à noter que les animaux choisis sont toujours des prédateurs)… Parfois on trouvera un glaive, une francisque, une étoile, ou encore une balance pour signifier que le pouvoir est partagé entre les deux principaux Dieux… Les grands modes de communication n’échappent évidemment pas à cette règle. La télévision et le cinéma regorgent de ces symboles qui attestent de leur obédience. Nous pouvons citer par exemple “Columbia TriStar Films” (la déesse qui porte la flamme, la lumière) ; Paramount (la montagne entourée d’étoiles)…
Il en est de même des manifestations sportives au retentissement planétaire. Les jeux “Olympiques” qui leur sont dédiés, (ils furent originellement dédiés à Zeus, puis re-consacrés à Apollon en 590 av. J.C) avec le rituel de la flamme -symbole d’Apollon-, tiennent une place prépondérante dans ce grand échiquier.
Les J-O sont en effet l’occasion pour les Dieux de livrer un message à la face du monde, message destiné à susciter non seulement l’admiration des peuples de la terre, mais aussi et surtout à frapper l’âme, car l’enjeu de tout ceci se situe en partie au-delà de la seule dimension matérielle…
Ainsi, si chaque pays organisateur des J.O a sa spécificité, et offre donc son propre spectacle, tous suivent le même objectif : nous montrer qui est l’entité qui gouverne le monde, et nous préparer à le voir un jour réapparaître. Tout comme les peuples sont émerveillés devant le spectacle de ces J.O, les gens seront émerveillés de voir surgir du monde souterrain le roi du monde, (Apocalypse 17, verset 8), c’est-à-dire l’ange de l’abîme. Nous allons à présent essayer de décrypter la symbolique ésotérique des Jeux Olympiques, leurs similitudes et leurs rapports avec le roi du monde.

Une montagne nommée Olympe ?
Chacun de nous a pu se rendre compte de la présence d’une montagne, en tant que symbole, parmi les nombreux autres symboles qui entourent l’organisation des jeux Olympiques. On retrouve ainsi la montagne lors de la cérémonie des jeux de 2004 à Athènes, mais aussi dans l’emblème choisi pour la candidature de la Russie pour les jeux de 2012. Même si cet emblème est censé représenter la tour Spasskaïa, l’entrée principale du Kremlin, réservée aux Officiels de moscou, on peut aussi le regarder comme étant la représentation d’un des sommets du monde. Il est d’ailleurs amusant de noter que le précédent emblème des jeux de Moscou en 1980 tournait lui aussi autour du même symbole.
Voyons à présent à quoi peut bien correspondre cette montagne :
Raymond Bernard cite dans son livre “La terre creuse”, l’histoire que raconta un norvégien à son docteur Nephi Cottom : “J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Je décidais avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible dans le Nord…. En voyage, nous découvrîmes quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne.” Puis s’ensuit son entrée dans le monde souterrain avec découverte de vies animale et végétale aux proportions gigantesques ainsi que ses demeures et ses habitants les géants.
Cette fameuse montagne est bien connue des initiés ésotériques sous le nom de Mont Analogue, la montagne des dieux ou, encore la montagne de Kadath.
Peter Kolosimo, dans son livre “Odyssée stellaire” cite les écrits de Flavio Barbiero de l’institut polaire italien :
“Les peuples de l’Inde ancienne croyaient que leurs divinités se tenaient au sommet du monde, sur une montagne magique qu’ils nommaient Meru …Ils construisaient un temple qui devait donc fidèlement imiter la montagne sacrée pour que les dieux aient envie de venir s’y établir.”
Platon cite aussi une fameuse montagne, au sommet de laquelle s’élève un temple dédié au plus grand des dieux. “Au pays d’Atlantide, pour honorer Poséidon, on avait bâti au sommet d’une montagne le plus grand des sanctuaires et, le palais du roi, arbitre du destin de millions d’homme”. Ainsi, autrefois, partout dans le monde, le sommet d’une montagne a été le site de présence, de manifestation de ces dieux extraterrestres descendus, précipités sur Terre.

L’ovni des J.O de Los Angeles
On peut s’interroger à l’infini sur l’impression de “fête païenne” que procure les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux Olympiques, avec ces ovnis et ces géants qui sont des éléments récurrents de la fête. Est-ce là encore un hasard ?
En 1984, à la cérémonie de clôture des J.O de Los Angeles, un “ovni” est apparu au-dessus du stade et a déposé un être à face et à profil de bouc. Le personnage récita d’une voix d’outre tombe un message, un couplet à la gloire de l’olympisme qui déchaîna l’enthousiasme du public. La bête qui nous fût présentée est sans doute à l’image des intra-terrestres qui sortiront du monde de l’abîme.
J.0 de Barcelone
En 1992, à la cérémonie d’ouverture des J.O de Barcelone, un homme tape sur un gong sur lequel est dessiné un serpent, tenant dans sa bouche et par le bout de sa queue, une branche d’olivier, symbole végétal d’Apollon. Commence alors la cérémonie, puis le stade s’éteint.
Soudain un figurant déguisé en diable, ailes dans le dos et cornes sur la tête, apparaît tenant une torche enflammée. Il descend les marches des gradins du stade pour aller rejoindre ses confrères et consoeurs démoniaques au milieu du stade où explose un volcan. Nous voyons à ce moment là un public enthousiaste, fasciné par le spectacle d’une bacchanale.
Au rythme d’un orchestre jouant une musique dissonante stridente et terrible, tous ces démons dansent, plein de joie, allument des figurines géantes représentant et mettant en exergue leur chef : le diable.
Par la suite, un dragon crachant du feu apparaît. Puis survolant le stade, deux immenses dragons lui succèdent.

J.O de Sydney
En 2000, à la cérémonie d’ouverture des J.O de Sydney en Australie, le volcan fut encore représenté par des tonneaux desquels sortaient de la fumée puis des feux d’artifice. Autour de ces tonneaux des êtres effrayants et terribles marchaient montés sur des échasses, symbolisant ainsi les géants.
Puis, une tête immense sortit du sol. Les géants se positionnèrent devant elle, et tous les participants aborigènes firent de même et se mirent à lever et baisser leurs bras en signe de vénération. Cette tête est présentée comme la représentation de “Wondjina” dont la légende raconte son arrivée de la voie lactée dans un navire étincelant pour prodiguer sa science et ses conseils avant de regagner le monde des étoiles. En fait, elle regagna le monde souterrain d’où elle venait réellement sinon pourquoi nous la montrer sortant du sol et non pas descendant du ciel ? C’est ce que me confirme le drapeau, présenté au tout début des J.O, où est inscrit “G-DAY”. Le même G qui se trouve sur l’étoile franc-maçonne. Le G d’Apollon Génitor. Nous traduirons donc : le jour du G, d’Apollon, de son apparition de sous Terre. C’est bien ce qui vient d’être symbolisé par ce spectacle.
Par la suite apparaîtra le dragon métallique, que l’on voudrait faire passer aux yeux des spectateurs pour un cheval. On nous fait même entendre son hennissement dans le stade ! Mais alors pourquoi crache-t-il du feu ?
Nous trouvons là encore des géants qui le suivent comme des soldats. Enfin, le spectacle terminé, la flamme olympique est allumée par Cathy Freeman. Un ovni nous est alors montré, servant de réceptacle à la flamme olympique. L’ovni sort de terre, du monde souterrain, car rien ne laisse entrevoir qu’il y ait quelque chose posé au sol.
Les éléments de ce spectacle nous ont donc livré le spectacle d’un ovni ainsi que d’un dieu sortant de l’intérieur de la terre. Je n’ai pas eu la chance de voir ni d’enregistrer les J.O de 1988 et de 1996, mais pour ceux qui les auraient conservés, ils pourront désormais les voir sous un nouveau jour.

Les J.O d’Athènes
En 2004, à la cérémonie d’ouverture des J.O à Athènes, en Grèce, les figurants regardent se former une montagne blanche au centre de laquelle par un trou dans le sol, (ndr : le puits de l’abîme), surgit un arbre, un olivier, qui se positionnera au sommet de cette montagne, une fois celle-ci formée.
Les figurants regarderont monter l’olivier puis se mettront, tout comme aux J.O de 2000, à lever leurs bras en signe d’adoration et de bienvenue comme le faisaient aux temps anciens les peuples antiques lors d’immixtion de leur dieu.
Mais, alors, cet arbre ! En fait, bien plus qu’un arbre…un être, un dieu, représenté par son symbole végétal qu’est l’olivier. C’est-à-dire, encore lui : Apollon. Là aussi nous fut représenté symboliquement la sortie d’apollon de son royaume souterrain.
Beaucoup d’autres choses très intéressantes furent montrées pendant ces J.O de 2004. En Voici quelques exemples :
1- Une tête sortit de terre à Sydney en 2000 et une autre sortit de l’eau, à Athènes en 2004. La seconde tête est conservée au musée d’Athènes. Il s’agit d’une idole cycladique, représentation d’un dieu. Nous avons exactement là, la représentation du chapitre 13, verset 1 à 11 de l’Apocalypse, c’est-à-dire les deux bêtes, (dieux), l’une sortant de terre et l’autre de l’eau, la mer. Cette symbolique est peut-être à mettre en relation avec celle utilisée par Edgar Allan Poe dans son roman «Aventures d’Arthur Gordon Pym», qui est un récit initiatique inspiré de la Théorie de la terre creuse. Tout à la fin du livre, le héros dérive au pôle sur une embarcation de fortune, et il est sur le point d’entrer à l’intérieur de la Terre. “Et alors nous nous précipitâmes dans les étreintes de la cataracte, où un gouffre s’entrouvrit, comme pour nous recevoir. Mais voilà qu’en travers de notre route se dressa une forme humaine voilée, de proportions beaucoup plus vastes que celles d’aucun habitant de la terre. Et la couleur de la peau de la silhouette était de la blancheur parfaite de la neige.” Ces trois phrases du livre de Poe ne sont pas sans rappeler ce qui nous fut montré lors des deux dernières cérémonies des J.O.
2 – Le bateau où se trouve un garçon tout souriant pendant que l’orchestre joue sa musique macabre. Même type de bateau qu’en 1992. Coïncidence ?
3 – Enfin, le drapeau blanc olympique aux cinq anneaux porté par huit personnes fut reçu et accompagné un court instant par un petit groupe de figurants qui, bras levés, agitèrent des branches d’olivier en sa direction. Quelle peut être la raison de cet acte de bienvenue ?
La réponse en fait se trouve dans les cinq anneaux qui représentent les cinq continents de notre monde, c’est bien connu. Quand on sait à qui appartient le monde entier et, qui en est le roi, on comprend donc pour qui furent agitées ces branches d’olivier : le seigneur des anneaux, le roi du monde pour qui le stade des J.O. est le théâtre de ses apparitions symboliques devant des milliards de spectateurs par le biais de la télévision.

Conclusion
Je vais arrêter là pour cette petite initiation et interprétation des signes ostentatoires de la manifestation et de la présence active de ces dieux.
La liste serait trop longue, je n’ai donné que quelques exemples, mais l’essentiel est là, écrit et dévoilé.
Par ce qu’il m’a été donné de constater, je me rends compte qu’au fil du temps, la symbolique des cérémonies des différents J .O se fait de plus en plus explicite et insistante sur le message à faire passer. Je pense que maintenant chacun peut être amené à voir autrement ce qui nous est montré symboliquement et publiquement. On peut d’ailleurs s’étonner de la cécité quasi générale de notre monde actuel qui ne parvient pas à saisir le sens profond de tels spectacles, et de tels signes symboliques pourtant si révélateurs, qui vont se glisser parfois jusque dans les cachets postaux des courriers officiels que nous recevons. Alors si vous entendez à l’avenir : “la vérité est ailleurs”, prenez la peine de regarder, et vous constaterez que cet “ailleurs” n’est pas si loin, mais chaque jour sous nos yeux.
Lionel Cros
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:45

Et si la Bible disait la vérité ?

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On a longtemps suspecté les récits bibliques. Certes, leur valeur spirituelle, même pour l’incroyant, n’a jamais été mise en doute, mais la science réfutait a priori leur intérêt historique. Il n’était pas question de prendre pour argent comptant des textes narrant des événements par l’extraordinaire. On préférait, par facilité sans doute, les verser au dossier du mythe et de la légende religieuse, voire de la parabole symbolique.



Aujourd’hui, avec les nouvelles découvertes archéologiques et les progrès de la recherche tous azimuts, une nouvelle conception se fait jour chez les savants.

Confirmation archéologique
à la lueur de récents travaux, scientifiques internationale, (et du CNRS), il apparaît que la Bible est beaucoup plus exacte qu’on le croyait, du moins pour qui sait la déchiffrer correctement. Des recherches intenses archéologiques conduites de 1948 à 1998 en territoire hébreu prouvent son authenticité historique.
Soucieux d’affirmer leur identité et surtout leurs droits imprescriptibles (sur cette terre), les Israéliens ont été pris en effet d’une véritable frénésie archéologique. Le général Moshe Dayan, mort depuis 27 ans a ainsi passé toute sa vie à effectuer des fouilles en se guidant d’après la Bible…
En trente ans, les trouvailles se sont multipliées et l’on commence à savoir avec précision ce qu’était la vie en ces terres voici plusieurs millénaires. Chaque découverte confirme ce qui est écrit dans la Bible. Ainsi, a-t-on récemment exhumé les restes de la Jérusalem bâtie par le roi David qui régna de 1010 à 970 (environ ?) avant notre ère. On croyait sa cité quasiment mythique, ne connaissant que les ruines du fameux temple de Salomon et la partie de la ville de l’époque d’Hérode, contemporain du Christ.
En outre, dans le reste du pays, l’historien Aharoni a pu faire le relevé de trois cent soixante villes identifiables à l’époque royale sur les quatre cent soixante-quinze dont la Bible cite les noms à de nombreuses reprises.
Exactitude historique, donc, en ce qui concerne les lieux et les hommes dont, par ailleurs, on retrouve largement trace dans les textes des civilisations voisines, de l’Egypte à la Babylonie.
Mais que faut-il penser des événements eux-mêmes, surtout lorsqu’ils prennent un caractère d’épopée comme la destruction apocalyptique de Sodome et Gomorrhe, la prise de Jéricho ou l’épisode curieux de la tour de Babel ?

Confirmation des évènements
Un historien allemand qui fut très connu, à sont époque, Werner Keller, a publié une thèse à ce sujet. Pour Werner Keller, tout ce que l’on croyait être légendes et récits mythiques est au contraire absolument exact. Les dernières découvertes de 1998 le démontrent. L’auteur pense même que nous n’avons pas fini d’être étonnés par la précision historique de ce grand texte.
– Alors l’Eternel, nous dit la Genèse (XIX, 24), fit pleuvoir du ciel sur Sodome et Gomorrhe, du soufre et du feu de par l’Eternel, il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et toutes les plantes de cette terre.
Les historiens ont longtemps pensé que les deux cités maudites n’existaient pas ou bien n’étaient que deux bourgades accidentellement détruites par un cataclysme naturel que l’esprit religieux de l’époque avait attribué à une hypothétique colère divine. Or, Keller démontre qu’il s’est effectivement passé quelque chose des plus étrange dans le coin de la mer Morte où se situaient les deux villes.
Il cite à l’appui de cela les travaux des deux archéologues italiens, Paulo Matthias et Giovanni Pettinato. Ces derniers ont découvert des tablettes d’argile qui mentionnent le nom des deux cités et la catastrophe. Déluge de soufre et de feu, éruptions volcaniques ou quelque chose d’autre… comme une intervention extraterrestre. Et que penser de la radioactivité importante dans cette zone ? Il semble qu’à Sodome et Gomorrhe se soit produit une curieuse et terrible explosion qui nous incite à imaginer l’utilisation d’une technologie peu compatible avec l’image que nous avons de l’Antiquité lointaine. Quelle était donc cette arme singulière dont le secret aujourd’hui perdu appartenait alors au mystérieux peuple des anges (qui a averti Lot et sa famille de la menace qui pesait sur la ville). Nous ne saurons sans doute jamais ce qui s’est passé exactement, mais d’étranges traces de la “colère divine” demeurent dans les sites archéologiques du Jourdain où l’on croit avoir découvert les vestiges des malheureuses cités.
Keller cite ensuite la miraculeuse destruction de Jéricho. Les Hébreux de Josué auraient abattu les murs de la ville avec des cris et le son de trompettes sacrées.
L’archéologie a prouvé que les fameux murs de Jéricho existaient bel et bien et qu’ils ont sans doute été détruits de curieuse façon.
L’historienne britannique Kathleen Kenyon a effectué sur place des fouilles significatives qui ont permis d’exhumer les fortifications de la cité biblique. La question qui s’est alors posée aux chercheurs a été de comprendre comment de telles fortifications avaient bien pu être détruites. Toutes hypothèses examinées, force a été de conclure qu’il fallait peut-être accorder foi au récit du livre de Josué. Les Hébreux auraient donc bien abattu les murs en émettant avec leurs “trompettes” certaines fréquences d’infrasons, amplifiées par la mystérieuse Arche d’Alliance. (Les infrasons et ultrasons sont utilisés actuellement pour la destruction des calculs rénaux, et aussi dans des armes secrètes pour provoquer des arrêts cardiaques et des hémorragies cérébrales à distance.)
De toute évidence, l’Arche d’Alliance devait être une sorte de générateur de forces inconnues et terribles. Nous en avons d’ailleurs la preuve dans d’autres passages du texte. Uzza fut frappé à mort parce qu’il la toucha simplement, et les habitants de Beth-Schémesch furent mystérieusement châtiés pour avoir voulu regarder à l’intérieur.
Rappelons encore les immenses pouvoirs qu’elle conférait à Moïse ou à David.
Ainsi, à Jéricho furent mis en œuvre les pouvoirs secrets du son. La science actuelle découvre ou redécouvre ces pouvoirs de nos jours.
Il semblerait qu’ils aient été couramment utilisés dans l’Antiquité indienne, égyptienne ou grecque. Alors d’où nos lointains ancêtres tenaient-ils cette technologie ?
Force est d’admettre qu’à chaque fois, ces connaissances furent placées entre les mains des hommes par des Dieux venus du ciel ; des extraterrestres. Cette version de l’histoire humaine est si tenace qu’on l’a retrouve invariablement au cœur de toutes les cultures du monde. Cela devrait faire réfléchir les sceptiques, non ?… Spielberg ne tient pas un autre propos dans le dernier volet d’Indiana Jones. C’est seulement pour ne pas froisser les susceptibilités religieuses qu’il choisit de parler de crânes de cristal et qu’il évite de baser son film sur un vestige biblique comme ce fut le cas avec l’Arche d’Alliance dans le premier volet. Il faut dire que là, dans l’ultime volet, son discours est limpide et sans équivoque : les Dieux sont des Extraterrestres… sous-entendu tous les Dieux, même ceux des religions monothéistes… Le grand public fera-t-il le rapprochement, verra-t-il le raccourci, le lien entre le premier volet et le dernier ?… tout porte à croire que leur réflexion n’ira pas jusque-là. Trop vert encore ?… C’est du moins ce que doit penser Spielberg qui n’a pas osé aller jusqu’au bout de son message. Reste pourtant que tout est clair comme de l’eau de roche.

La course à la technologie des Dieux
Si la Bible dit vrai, pourquoi n’en serait-il pas de même des autres mythes parlant de continents engloutis dont les peuples auraient maîtrisé des forces à la fois simples et terrifiantes. Les historiens nazis ont cherché la clé de ces mystères à travers le monde. Après eux, les spécialistes russes qui avaient eu accès aux dossiers secrets du IIIème Reich, se sont lancés dans la course.
On ignore tout de ce qui a pu être découvert par les uns ou les autres. Notons simplement au passage que les Russes multiplient depuis trente ans, les expériences en matière de sonorités étranges et qu’ils ont mis au point certaines armes uniquement basées sur les fréquences qui ont abattu les murs de Jéricho.
En France, dans les années 70, un scientifique, le professeur Gavreau, mit au point dans ses laboratoires de Marseille, un canon sonore aux terrifiants effets sur l’homme comme sur tous les matériaux. Ses recherches furent interrompues par décision spéciale, mais que sont devenus les secrets de cette arme ?

Conclusion
Il se peut que nous ne sachions pas encore lire la Bible et avec elle les autres textes sacrés fondamentaux de l’histoire des hommes. Ils sont historiquement exacts, du moins quand on possède les clés pour les décrypter. Alors, pourquoi ne pas penser que s’y trouvent dissimulés quelque part les secrets de ces sciences perdues.
Dans sa thèse la “Musique de la Bible révélée”, S. Haïk Ventours a découvert que le graphisme même des versets hébraïques traditionnels recelait une notation oubliée.
(Les Templiers utilisaient la Musique comme codage secret pour les initiations).
Musicienne avant tout, S. Haïk Ventours s’est attachée à restituer le caractère artistique de cette musique. Mais, n’en doutons pas, dans l’écriture même de la Thora se trouve quelque part une formidable puissance qu’il reste à découvrir.
Dans son livre, Werner Keller évoque encore de nombreux aspects des textes bibliques qui ont été confirmés récemment par les découvertes des archéologues et des historiens.
Le royaume de Salomon, par exemple. On pensait que la gloire de ce souverain était surtout le fait de ses historiographes désireux de le porter aux nues pour lui être agréables. Il n’en est rien. Le docteur Nelson Glueck, de la prestigieuse American School of Oriental Research, a démontré que Salomon était à la tête d’un empire qui dépassait de loin les frontières de l’Etat hébreu. Il exploitait des mines de fer et de cuivre dans le désert d’Arabie.
Ses bateaux firent le tour de l’Afrique, peut-être avant ceux de Phénicie. Ses ingénieurs étaient les plus remarquables de l’époque et des tablettes babyloniennes prouvent qu’ils disposaient de technologies secrètes ramenées de très loin. Quel peuple perdu ont-ils rencontré là-bas ? Il ne fait pas de doute que Salomon entretenait avec lui des relations commerciales et culturelles poussées. Certains historiens parallèles ont écrit qu’il disposa peut-être des connaissances du Gondwana dont étaient issus les constructeurs oubliés de la cité africaine aux murs cyclopéens.
Certes, c’est là pure hypothèse. Mais, encore une fois, tout est possible.
Même l’histoire de la tour de Babel n’est pas un mythe. Le chercheur allemand Robert Koldewey a découvert les vestiges de cette construction. Il a noté, comme les autres, que la structure en briques de la tour correspondait exactement à la description qu’en faisait la Bible.
Il nous faut donc croire aussi à la civilisation qui a édifié la tour. Celle des hommes, nous dit le texte, aux temps où les langages ne les séparaient pas encore. Celle d’une humanité au noyau commun avec des dieux venus du ciel pour la diriger…
Si tout cela est vrai, une fois de plus, pourquoi pas le reste, tout le reste…
Claude Burkel
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Message  Arlitto Jeu 09 Juin 2016, 18:46

Le code secret des dieux

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L’astrothéologie défend l’idée selon laquelle, partout à la surface de la planète, l’existence des Dieux sauveurs de l’humanité, serait en réalité une métaphore du cycle solaire qui chaque matin viendrait sauver toute vie sur la terre.





Ce message savamment codifié, chargé du poids et de la force d’un mythe universel, aurait ainsi pour finalité de maintenir les peuples sous l’emprise d’une élite en charge de “garder le troupeau” tout en préservant ce précieux secret.


Points communs entre Jésus et les autres dieux

Il est intéressant de noter que l’épitaphe du dieu égyptien Horus était “Krst”. De même il est amusant de constater que le dieu hindou Krishna s’écrit en anglais, sous certaines variantes, “Christna”. En fait, il est curieux de découvrir qu’il existe quantité de dieux à travers l’histoire humaine dont la vie présente de nombreux points communs avec celle de Jésus. Ces similitudes feraient-elles référence à un savoir occulte, liant l’existence des dieux à l’influence des corps célestes sur la destinée humaine ?


1/ Bouddha

Bouddha est né de la vierge Maya qui était considérée comme la “Reine du Ciel”.

Il était de naissance royale. Il accomplissait des miracles et guérissait les malades. Il était capable de nourrir 500 hommes à partir d’un “petit panier de gâteaux”. Il marcha sur les eaux. Il enseignait la chasteté, la douceur, la tolérance, la compassion, l’amour et l’égalité de tous. Il fut transfiguré sur une montagne. Sakya bouddha fut crucifié ; il souffrit puis fut ressuscité. Il monta finalement au “ciel”. Il était considéré comme le “bon berger”, “le charpentier”.


2/ Horus

Les histoires de Jésus et d’Horus sont très semblables. Horus est né de la vierge Isis dans la nuit du 24 au 25 décembre, dans une grotte/crèche. Sa naissance était annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois hommes sages. Il enseignait à des enfants au temple et il fut baptisé à 30 ans. Il avait lui aussi 12 disciples. Horus s’appelait “le KrSt” ou “oint”. Il a été également baptisé par “Anup le baptiseur”. Il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité.


3/ Krishna

Les similitudes entre le personnage chrétien et le Messie indien sont également nombreuses. En effet, Massey trouve plus de 100 similarités entre les deux personnages, et Graves, qui inclue les divers évangiles non canoniques dans son analyse, en liste plus de 300. Krishna est né de la vierge Devaki (“La Divine”). Son père était charpentier. Sa naissance était attendue par des anges, des hommes sages et des bergers. Il fut persécuté par un tyran qui ordonna le meurtre de milliers d’enfants en bas âge. Il était de naissance royale. Il fut baptisé dans le Gange. Il accomplissait des miracles. Il ressuscitait les morts et guérissait les lépreux, les sourds et les aveugles. Krishna utilisait des paraboles pour enseigner au peuple la charité et l’amour. Il fut transfiguré devant ses disciples. Certaines traditions racontent qu’il mourut sur un arbre, d’autres relatent qu’il fut crucifié entre deux voleurs. Il ressuscita d’entre les morts et monta au ciel. Ses disciples lui donnèrent le titre de “jezeus”, ce qui signifie “pure essence”. Krishna doit revenir se battre contre le “Prince du mal” qui désolera la terre.


4/ Mithra, le Dieu-Soleil, “SOL INVICTVS”

L’histoire de Mithra précède celle de Jésus d’au moins 600 ans. D’après Wheless, peu avant l’ère chrétienne, le culte de Mithra était le plus populaire et le plus répandu de l’époque. Mithra a les caractéristiques suivantes en commun avec le Christ : lui aussi est né d’une vierge un 25 décembre. Il était considéré comme “la Voie, la Vérité et la Lumière”. Il était encore considéré comme “le rédempteur”, “le Sauveur”, “le messie”. Il était identifié à la fois au Lion et à l’Agneau. Son jour sacré était le dimanche. Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à sa résurrection. Il avait 12 compagnons ou disciples. Il accomplissait des miracles. Il a été enterré dans un tombeau. Après trois jours, il s’est relevé. Sa résurrection était célébrée chaque année. Sa religion comportait une eucharistie ou “dîner du Seigneur”.


La vie des dieux et les cycles solaires

Il existe ainsi une quantité de Dieux sauveurs à différentes époques, partout dans le monde, et qui partagent à quelques détails près le même destin. Une question évidente se pose alors : pourquoi la vie de ces sauveurs présente-t-elle tant de point commun ? Pour commencer étudions cette particularité de l’étoile à l’Est qui annonce presque toujours la naissance des Sauveurs. Dans de nombreux récits cette étoile est sensée guider trois “rois mages” vers le lieu de la naissance du nouveau Dieu. Il existe une Etoile à l’Est, Sirius, qui est la plus lumineuse dans tout le ciel étoilé. Il se trouve que tous les 24 décembre, Sirius s’aligne parfaitement dans l’axe des trois étoiles de la ceinture d’Orion. Or ces trois étoiles très brillantes portent le nom des “Trois Rois”. Et devinez…il se trouve justement que Sirius et les trois étoiles qui semblent la suivre se dirigent toutes à l’endroit du lever du soleil le 25 décembre.

Si la plupart des “hommes-dieux” crucifiés ont leur anniversaire traditionnel dans la nuit du 24 au 25 décembre, on peut aussi se demander si cela n’est pas tout simplement dû au fait que les anciens (dans l’hémisphère Nord) s’étaient rendu compte qu’à partir du solstice d’été le soleil effectuait une descente annuelle vers le sud jusqu’au 21ème ou 22ème jour de décembre, le solstice d’hiver. Durant cette descente, les jours devenaient plus court et plus froid. Après quoi le soleil cessait de se déplacer vers le sud pendant trois jours, puis il recommençait à se déplacer vers le nord. Ce phénomène symbolisait pour les ancien un processus de mort. La mort du “soleil Dieu”. Cette mort se prolongeait durant trois jours au court desquels le coucher du soleil se situe à la hauteur de la Croix du Sud, autrement appelée la Constellation de la Croix. Après quoi, durant la nuit du 24 au 25 décembre, le soleil renaissait et il recommençait à se déplaçer vers le Nord. Faut-il y voir un lien avec le fait que de nombreux Dieux sauveurs (Attis, Dyonisos, Prométhée, Jésus…) ont péri sur la croix, sont morts durant trois jours, puis ont rescussité ?

Les anciens savaient de façon très claire qu’ils avaient besoin du soleil chaque jour. Si le soleil avait continué sa course vers le sud, cela aurait marqué la fin de la vie sur la planète. Ainsi, de nombreuses cultures célébraient l’anniversaire du “soleil Dieu” le 25 décembre. En outre, dans certaines cultures, le calendrier commençait dans la constellation de la Vierge dont le glyphe ancien correspond à un M modifié. Les anciens considéraient que le soleil était “né d’une Vierge”, et dans la plupart des cas le nom de cette vierge commençait par un M, comme Marie pour Jésus, Myrra pour Adonis, Maya pour Bouddha. Il est facile d’imaginer que pour les anciens, le soleil se levant chaque matin était le “Sauveur de l’humanité”. D’ailleurs, le soleil n’offre-t-il pas le spectacle d’un Dieu marchant “sur les eaux” aux yeux de l’observateur qui se trouve au bord de la mer ?

Les “disciples” du soleil ne symbolisent-ils pas les 12/13 mois de l’année et les 12/13 signes du zodiaque ou constellations par lesquels le soleil doit passer ? à 12 heures le Soleil est au zénith, dans la maison ou le temple du “Plus haut” ; n’est-ce pas pour cette raison que Jésus commence le “travail de son père” à l’âge de 12 ans ?

Le Soleil entre dans chaque signe du zodiaque au 30ème degré ; n’est-ce pas là une explication suffisante pour comprendre pourquoi le “fils (son/sun/soleil) de Dieu” a commencé son ministère à l’âge de 30 ans ?

Jésus mort rescussite à l’équinoxe du Printemps car c’est à cette date que le soleil l’emporte officiellement contre les ténèbres.

C’est au printemps que la terre se remet à produire ses fruits.

Autre exemple, le récit de la résurrection de “Lazare”, la momie élevée d’entre les morts par Jésus. Ce récit est très semblable à celui de “El-Azar-Us” la momie égyptienne ressuscitée par Horus. Ces deux histoires ne sont-elles pas des allégories du passage du Soleil par la “constellation de la momie (Orion),” lui apportant la lumière et la vie ?

Ainsi les détails de la vie des “dieux Sauveurs” seraient en réalité des transpositions symboliques d’évènements appartenant au cycle solaire. Dans cette logique, la légende d’Osiris (Orion), tué par son frère puis ramené à la vie, représenterait de la même façon cette momie revenue à la vie. Lors de son passage devant cette constellation, le Soleil apporte à ce symbole de mort, pour un court instant, une nouvelle vie. N’oublions pas que la désignation égyptienne antique pour Osiris était Azar/Asar, phonétiquement très proche de “Lazare”. Autre élément qui penche pour cette thèse : l’ennemi principal du dieu Horus était “Set” ou “Sata”, d’où vient sans doute le nom “Satan”. Le soleil se lève à l’Horus-zon, le jour, et se couche au sun-Set (sunset : coucher du soleil) la nuit. Il faut posséder différentes langues pour décoder les symboles.

Quoi qu’il en soit, le dieu Horus se bat pendant 40 jours en enfer contre son oncle Seth, tout comme Jésus se bat pendant 40 jours dans le désert contre Satan. Or, il se trouve que le Grec Hipparque se plaignait du fait qu’il lui était difficile d’observer les solstices, car le Soleil ne changeait guère sa position durant la quarantaine de jours de part et d’autre des solstices. Troublante coïncidence non ? Autre détail : le fait que les chrétiens aient consacré le Dimanche (Sunday), (Sontag) en allemand, pour vénérer leur dieu. N’est-ce pas là encore un indice fort des origines véritables de leurs divinités ? Soyons rationnels un instant, pour plaire à ceux qui nous accusent habituellement d’obscurantisme et nous traitent d’esprits moyennageux. Que pensez-vous qui soit plus probant ? Un homme qui marche sur l’eau, ou l’image d’un soleil couchant vu depuis le bord de l’océan ?


L’ère du verseau

Nous allons prochainement arriver à un point extrêmement important du calendrier cosmique. En effet nous allons bientôt –ou devrais-je dire- nous sommes en train de changer en ce moment de mois, et peut-être même d’année zodiacale. Un mois zodiacal a une durée de 2160 années. Une année zodiacale représente donc 12 x 2 160 = 25 920 années. Bref, d’après certaines sources, nous serions en train de changer de signe et de passer de l’ère du poisson à l’ère du verseau. Regardez maintenant ce que dit Jésus à ses apôtres, quand ceux-ci lui demandent où ils doivent préparer la prochaine Pâque lorsqu’il aura disparu. Rappelons que Jésus sera arrêté, exécuté, puis ressuscitera à l’issue de la présente Pâque. Il leur répond : “Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau ; suivez-­le dans la maison où il entrera” (Marc. Chapitre 14, verset 13. LUC, chapitre 22, verset 10.) Dans les pays du Proche-Orient, aucun homme n’a jamais eu le devoir de porter de l’eau ; c’est une tâche qui incombe aux femmes… Quelle est donc la signification véritable de ce passage selon vous ?


Le code secret du Nouveau Testament

Un travail de recherche sérieux d’Acharia S., Churchward, Massey, Dujardins, Wells, Hazelrigg, Higgins a permis de trouver une correspondance entre les signes du zodiaque et les apôtres de Jésus. Le nombre 12 apparaît souvent dans l’Histoire depuis Sumer. Les 12 patriarches, les 12 tribus d’Israël, les 12 serviteurs d’Horus, les 12 travaux d’Hercule, les 12 généraux d’Ahura-Mazda et les 12 disciples de Jésus ne sont pas sans rappeler les 12 maisons à travers lesquelles le soleil passe chaque jour.

Prenons l’exemple du fameux b..... de Judas… Dans le Nouveau Testament, il est mentionné que l’apôtre Judas embrasse Jésus pour indiquer aux Romains qui est le Messie.

En fait, cet acte symbolise une tout autre chose : en automne, le Soleil passe devant la constellation du Scorpion et, comme par hasard, il existe une catégorie de scorpions qui laissent, en piquant une personne, une plaie ayant la forme d’une bouche et cette blessure est appelée “le b..... de la mort”. Voyez-vous où nous mène ce petit jeu de pistes… Le Soleil est condamné en passant devant le signe du Scorpion, car il se dirige vers le solstice d’hiver et perd tous les jours un peu plus de sa “vitalité”.

Symboliquement, il se meurt ! Judas est également un dieu ancestral, père de la nation de Judah ou Judée. Le récit de la trahison a été récupérée de l’Ancien Testament où Judah trahit son frère Joseph. Mais l’inspiration est plus lointaine encore. En effet, Osiris connaissait aussi son Judas égyptien, Set, son frère qui le trahit à la dernière cène ou repas. Set remit Osiris aux mains de 72 Sami ou conspirateurs pour le mettre à mort. (Etonnant de constater que le chiffre 72 se retrouve dans les 72 cartes du tarot qui représentent les 72 phases de 5 degrés (360°) du soleil à travers le zodiaque).

En été, le Soleil est au plus haut de son cycle. Il est à ce moment précis tout puissant et le signe zodiacal du Lion (symbole solaire) se trouve exactement devant lui au mois d’août. En automne, il perd de sa vigueur ; il se meurt et c’est à ce moment précis qu’un autre signe zodiacal entre en jeu. Ces changements perpétuels dévoilent un indice supplémentaire en faveur de la validité de la théorie astrothéologique. Les rédacteurs du Nouveau Testament étaient assurément d’excellents astronomes. Avaient-ils un savoir à ce point extraordinaire qu’ils ont pu ainsi complètement codifié le Nouveau Testament d’un point de vue astronomique ?

Commençons par l’apôtre Pierre. Pour décrypter ce personnage il faut le décoder dans les deux langues. « Pierre, tu es pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon église. » Pierre est en réalité associé au culte qui existait à Petra, la ville de Jordanie, l’église taillée dans le roc.

À l’intérieur de certains groupes secrets, avant la chrétienté, le représentant du fils de dieu sur terre était appelé PETR, ou Peter, désignant le roc de la colline du Vatican sur laquelle avait été construite la fraternité mithraïque. Il est aussi le symbole phallique du coq ou en anglais, the cock, qui désigne également un pénis. Cette pierre phallique sur laquelle il fonda son église était le Linga, le principe générateur masculin. On la retrouve dans tous les temples du monde. Mais Pierre est principalement une émanation du dieu romain Janus, avec ses clefs dans les mains, associé au mois de janvier, le premier de l’année.

Mathieu, l’écrivain des oracles du Seigneur, est l’équivalent de la version égyptienne concernant le Dieu Horus et son écrivain/historien Tath-Matiu, ou populairement appelé Thoth pour les intimes. Le lion est le symbole attribué à Mathieu et le signe zodiacal de Thoth. La tradition veut que Mathieu fut le 8ème apôtre, et le titre de Tath-Matiu est le 8ème, l’Esmen.

Thomas, que certaines traditions ont surnommé le “jumeau” de Jésus. Pour combattre la pensée hérétique qui affirmait qu’il n’y avait pas eu de résurrection et pour subordonner le dieu municipal de Jérusalem, Tammuz, au nouveau sauveur, on inséra son homonyme dans la table ronde. Thomas est aussi surnommé Didymus, qui vient du grecque Didymos, l’équivalent romain du Gémeau ou du signe zodiacal du même nom. On dit de lui qu’il a enseigné aux Perses et aux Parthes ce qui voulait dire que ces groupes étaient des disciples de Tammuz ou Dumuzi, son nom sumérien.

Paul ne faisait pas partie des 12 apôtres initialement choisis. Il devint un des convertis les plus influents après la mort de Jésus. Les détails historiques de ce personnage qui furent rajoutés à l’évangile provenaient des récits d’Apollonius le nazaréen, également appelé Apollos ou Paulus en latin. Les voyages de Paul l’apôtre correspondent à ceux d’Apollonius de Tarse. Il est une émanation du héros grecque, Orphée, qui avec son ami Timothé prêchait au nom de Dionysus, c-à-d. IHS, IES, JES, IASIOS, IESIO, JASON, JESUS, le sauveur des mystères et cultes pré-chrétien de Samothrace.

André. On dit de cet apôtre qu’il a été crucifié à Patras, Grèce, dans un sacrifice pasqual. Le même que Jésus. André était en fait un dieu local de Patras et portait le nom d’Andros. Il préside sur le quartier de l’automne qui commence son premier croisement dans le signe de la Balance. La croix saltière sur son dos fait référence à son angle orbital au passage du soleil sur l’équateur. La version égyptiene équivalente au mythe d’Andros est celle de Hapi et Shou, un des frères d’Horus.

Philippe. Cet apôtre est né à Bethesda et il était un disciple de Jean le baptiste. Il était présent à la multiplication des pains et poissons au sermon de la montagne. On le personnifie avec une miche de pain. Il représente également la constellation de la Vierge, la déesse du grain.

Jacques le majeur, frère de Jésus, est l’équivalent de la version égyptienne du mythe d’Amset, frère d’Osiris, surnommé le charpentier. Jacques est aussi l’équivalent de Jacob, le supplanteur, le titre de Set, comme dans Am-set, le frère d’Horus. Vous comprenez ici que nous avons tous affaire avec des phases différentes du soleil.

Jean le bien-aimé est une émanation de Arjuna, le bien-aimé disciple de Krishna. En tibétain, Jean ou John est Argiun. C’est Arjon (Ar-John), le coadjuteur de Cristna. Tout comme Arjuna était le cousin de Krishna, Jean était également le cousin du Christ.

Marc n’était pas un des 12 disciples originaux. Son but premier était de servir de scribe à Pierre. Des quatre évangiles, Marc représente un des points cardinaux du zodiaque, tel qu’il a été admis par Ireaneus soit l’été ou le lion. Les évangélistes sont peints comme les quatre créatures de l’apocalypse. Une tête d’homme pour le Verseau, de taureau / Taureau, de lion / Lion et d’aigle pour le Scorpion.

Luc n’est pas un des 12 apôtres d’origine mais il fut attaché au caractère de Paul en tant que son compagnon de route. Il était médecin ou “thérapeute” tout comme était les docteurs de l’Église. Le nom original grec de Luke est Lykos qui est un autre nom pour Apollon, le dieu de la guérison. Dieu sait combien les rayons du soleil guérissent de bien des maux. Mais on a oublié comment s’en servir.

La tradition chrétienne associe Jude avec le verseau et Simon avec le Capricorne. Cependant les désignations zodiacales des apôtres varient de source en source alors qu’ils sont associés avec différents signes. En dépit du fait qu’“esotériquement” les caractères (personnages) de la bible furent sévèrement endommagés, il n’en reste pas moins qu’“ésotériquement” leurs valeurs ont persisté à travers les âges jusqu’à aujourd’hui : ils symbolisent le cosmos, les planètes à l’intérieur du zodiaque et l’histoire de notre relation avec ces dieux.


Astronomie, astrologie, astrothéologie

Ainsi donc, je le répète, Jésus, Bouddha et Krishna et bien d’autres encore, sont des symboles solaires. Un autre signe de cette réalité nous vient d’un fameux tableau peint par Léonard de Vinci “la cène” qui a suscité de nombreuses polémiques et controverses suite à la parution du best-seller de Dan Brown, Da Vinci Code.

Permettez-moi de vous montrer une autre façon d’admirer ce tableau. “La cène” est en effet une clef que nous montre Léonard de Vinci, ce grand initié. Si nous observons les apôtres sur l’image, nous découvrons qu’ils sont fractionnés par groupes de trois. Deux fois sur la gauche et la droite du Christ. Les signes astrologiques que nous utilisons sont un reliquat de l’héritage de la civilisation sumérienne/égyptienne. Ils sont agencés de la façon suivante : nous avons un cercle avec une croix représentant les quatre saisons (2 équinoxes, printemps, automne / 2 solstices, été, hiver). Au milieu se trouve le Soleil avec, autour de ce dernier, les signes du zodiaque qui sont partagés automatiquement par groupes de quatre fois trois, exactement comme on peut le voir sur le chef-d’œuvre de Léonard de Vinci. Ainsi, les apôtres peuvent aussi bien représenter les 12 mois ou cycles du soleil, que des astres et signes du zodiaque. Trois apôtres pour les signes d’eau, trois de terre, trois de feu et trois d’air. Évidemment il manque la constellation M...... par l’Histoire, la 13ème, le Serpentaire, St-Georges et le Dragon.


Conclusion

Il n’est pas besoin d’argumenter durant des heures pour avancer que Marie Madeleine tire en réalité sa source de Maria pour mer/marée, qui sont à l’instar du soleil, à l’origine de toute vie sur la terre, et Madeleine de Magdalena. Faut-il encore préciser que Mag correspond à magnétisme et Lena à la lune. Le Mag de Luna ou magnétisme de la Lune. Dès lors les histoires plus où moins secrètes de la vie de Jésus trouvent une explication symbolique des plus limpides : effectivement, Marie Madeleine épousa Jésus.

De fait, la lune reflète la nuit la lumière du soleil/Jésus sur la Terre et ses marées maintiennent la vie dans les océans. Cependant la présence de Vénus, symbolisée dans l’évangile par Jean le Baptiste, est le lien manquant au mystère de la vie sur la Terre.

Reste à redécouvrir la 13ème constellation, la constellation M......, celle du dragon. Comme vous le savez il y a 13 pleines lunes par année ou 13 mois lunaires. Il y a aussi une constellation pour chaque mois… Mais cette connaissance a été retirée de nos enseignements dans un but bien précis : nous déconnecter du monde naturel, de l’harmonie cosmologique universelle, et nous emprisonner dans un vaste mensonge. Retirée par qui ? Une caste extraterrestre en rupture de banc, appelée Annunaki par les sumériens, Elohim par la bible ; anges déchus régnant depuis très longtemps sur la terre ?… Et à qui auraient-ils confié pour un temps donné le pouvoir sur les hommes et les clefs du monde ? (voir éditorial TS N° 11 et TS N°19, dossier p.45) John Bale (1495-1563) auteur anglais anticatholique rapporta la réponse que fit Léon X dans une lettre au cardinal Pietro Bembo : “On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ nous a été profitable.” Il est vrai que depuis plus d’un millénaire tout semble réussir au Vatican, conquête, intrigues, possessions, guerres, diplomatie… de là à se demander si ce plus petit pays du monde, disposant du plus grand nombre d’ambassades à la surface de la planète, ne dirigerait pas en réalité le destin de la planète en sous-main. Pour combien de temps encore ?…

La connaissance est le pouvoir, l’ignorance est l’esclavage. Finalement, tous ces symboles ou mystères démystifiés qui se laissent décoder peu à peu redeviennent de merveilleuses et simples révélations qui nous rapprochent les uns des autres, de la Terre et du cosmos. Quelque soit nos croyances et nos religions, nous sommes les fils et les filles des astres et sans le Soleil nous n’existerions pas. Nous vîmes le jour grâce à Jupiter, ce que tentent de nous révéler les initiés Arthur C. Clarke et Stanley Kubrick dans “2001 l’odyssée de l’Espace”. L’arrivée de Vénus dans notre système, avec ses “ovules” manquants. Mars qui la freina dans son élan, et la transforma en planète. La Lune qui apparaît et qui créée sur terre les marées nécessaires à la vie. Tous ces évènement cosmiques font partie des mythes et rituels omniprésents dans de nombreuses cultures qui précèdent l’ère chrétienne. Ces mythes sont devenus plus tard le ferment de l’histoire des évangiles. C’est peut-être cela la grande histoire que nous devrions raconter à nos enfants. Tout comme un jour il faut bien leurs apprendre que le Père Noël n’existe pas et que ce sont les parents qui achètent les cadeaux. Pour quel Père Noël seriez-vous prêts à faire la guerre ?…

La vérité suivra son cours. Tout ce que l’humanité se doit à elle-même, c’est le respect absolu et la tolérence. C’est à cette seule condition que nous pourrons continuer de vivre et grandir tous ensembles.

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