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William Branham = faux prophète

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William Branham = faux prophète - Page 11 Empty William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 18:51

Rappel du premier message :

.
William Branham



Paroles de Jésus :

Matthieu 7
15. Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
16 Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?
17 Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.
18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.
19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.
20 C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.William Branham, Le Prophète du temps de la fin 



Le prophétisme de William Branham

Branham assure avec force qu’il ne s’est jamais considéré comme étant un prophète :
« Les gens m’ont dit : ‘Frère Branham, le Seigneur vous a appelé pour être son prophète’. Je ne me suis jamais considéré moi-même comme un prophète … »
(W.M. Branham, la Parole Parlée, Debout dans la brèche, 1963, page 12)

Fernand Fait, branhamiste du Québec, déclare que si Branham avait dit lui-même qu’il était prophète, il n’aurait pas été ce prophète que Fait attendait :

« Frère Branham ne pouvait dire : ‘Je suis un prophète, suivez-moi’. S’il l’avait fait, il n’aurait pas été le prophète que j’attendais et que la Bible a promis. Un prophète ne s’authentifie pas lui-même. »
(F. Fait, cassette n° 8014, Ma réponse à Etienne Fauvel)

Qu’en est-il de vous madame ? Croyez-vous que JE SUIS SON PROPHETE, son serviteur ? … vous êtes de l’Ohio … votre nom est Mme Alice Thompson ».
(W.M. Branham, Biographie de William Branham, page 211)

« Si vous croyez que JE SUIS UN PROPHETE du Seigneur, un serviteur de Dieu, alors écoutez-moi
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°6, Age de Thyatire, 1960, page 21)

« Maintenant comme vous êtes croyants, croyez-vous que je suis son serviteur et SON PROPHETE ? Il doit en être ainsi pour le savoir »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, Tourner les regards vers JESUS, 1963, page 39)

« Me croyez-vous SON PROPHETE, son serviteur ? Croyez-vous que Dieu est près et son esprit et que ce qui se fait maintenant est dû au Seigneur JESUS ? … si Dieu veut me faire connaître ce qui ne va pas chez vous comme confirmation de ce que JE SUIS SON PROPHETE, me tenant ici et révélant la vérité »
(W.M. Branham, La profondeur appelle la profondeur, 1954, page 23)

« … j’espère que je me suis fait bien comprendre. Je ne désire pas être mal compris. Je veux être honnête à l’appel. Je veux être cela. Dieu a toujours employé un PROPHETE, un homme »
(W.M. Branham, La Parole Parlée, série n°1, n°4, le messager du temps de la fin, 1963, page 9)

« Cela vous quitte maintenant, votre foi vous a sauvée … CROYEZ-VOUS QUE JE SUIS LE PROPHETE du Seigneur ? … vous ne recevrez pas d’autre signe »
(W.M. Branham in : William Branham, un prophète méconnu, page 390)


Les prophéties de William Branham

Faisant écho aux injonctions de la Bible, William Branham enseigne qu’on ne doit pas craindre ni écouter un prophète qui déclare des choses qui ne se réalisent pas !

« La Bible dit : ‘Si parmi vous, quelqu’un prétend être spirituel ou être un prophète, si ce qu’il dit ne se réalise pas, alors ne l’écoutez pas. Ne le craignez pas du tout. Ne craignez point cet homme-là »
(W.M. Branham, Révélation des 7 sceaux, n°5, 3ème sceau, 1963, page 47)

Les textes bibliques sont cristallins :
« Quand ce que dira le prophète n’aura pas lieu et n’arrivera pas, ce sera une parole que l’Eternel n’aura point dite. C’est par audace que le prophète l’aura dite, n’aie pas peur de lui »
(Deutéronome 18 :22)

« C’est par l’accomplissement de ce qu’il prophétise qu’il sera comme véritablement envoyé par l’Eternel »
(Jérémie 28 :9)

« Leurs visions sont vaines et leurs oracles menteurs, ils disent : ‘L’Eternel a dit ! Et L’Eternel ne les a point envoyés et ils font espérer que leur parole s’accomplira »
(Ezéchiel 13 :6)

Branham avalise totalement ces textes :
« Comment peut-on dire de quelqu’un qu’il est un prophète et dire ensuite qu’il a eu une fausse révélation ? »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 16)


Ewald Frank, le branhamiste allemand bien connu, écrira ce qui suit :
« De fausses prophéties ont le même effet que la divination et la sorcellerie. Sans en être conscients, les gens tombent sous un ensorcellement … »
(Lettre circulaire n°33, janvier 1987, page 22)


La prophétie de 1977
« En juin 1933, le frère Branham VIT EN VISION les événements de la fin des temps. En dernier lieu, il vit un calendrier qui, de lui-même se feuilletait pour s’arrêter à l’année 1977. Alors que frère Branham fixait ce dernier millésime intensément, il entendit subitement une explosion extraordinaire. Ensuite il vit que tout était rasé à même le sol. Il voyait du feu et de la fumée jusqu’à ce que tout fut en cendres. Frère Branham disait depuis ce jour que TOUT CE QUI NE S’EST PAS ENCORE REALISE LE SERA ENTRE LES ANNEES 1933 A 1977 »
(Ewald Frank, La Parole demeure éternellement, pages 19 et 20)

« Je dis : ‘ Je prédis, d’après la façon dont va le temps, que tout cela se passera entre les années 1933 et 1977. Et les événements devront se précipiter pour se produire dans ce laps de temps »
(W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, Age de Thyatire, 1960, page 39)

Dans le contexte de cette citation (page 39), voici ce qui devait se produire :

L’Église catholique romaine devait prendre le pouvoir aux Etats-Unis.

Ces derniers devaient voler en éclats et plus rien ne devait subsister de leur territoire et à cette même page 39, Branham ajoute emphatiquement : « CECI, C’EST AINSI DIT LE SEIGNEUR »

« … mais je prédis simplement d’après une vision qu’Il (Dieu) m’a donnée et en considérant les temps et la manière dont les choses évoluent, que cela se passera à un certain moment entre 1933 et 1977. En tous cas, cette grande nation se lancera dans une guerre qui la réduira en cendres. Tout cela est très proche, terriblement proche. Mais je puis me tromper, parce que je ne fais que prédire » (W.M. Branham, La Révélation de JESUS-Christ, n°10, Age de Laodicée, 1960, pages 9 et 10)

« Je confirme la parole de mon serviteur et j’accomplis ce que PREDISENT mes envoyés »
(Ésaïe 44 :26)

« Afin que vous vous souveniez des PREDICTIONS des saints prophètes … »
(2 Pierre 3 :2)

« Qui a, comme moi, fait des PREDICTIONS- Qu’il le déclare et me le prouve … »
(Ésaïe 44 :7)

« Et l’Eternel me dit : C’est le mensonge que prophétisent en mon nom les prophètes ; Je ne leur ai point donné d’ordre, Je ne leur ai point parlé. Ce sont des visions mensongères, de vaines PREDICTIONS, des tromperies de leur cœur, qu’ils vous prophétisent »
(Jérémie 14 :14)


« L’âge de Laodicée a commencé vers le début du 20ème siècle, aux environs de 1906. Combien de temps durera-t-il ? En tant que serviteur de Dieu QUI A EU UNE QUANTITE DE VISIONS DONT AUCUNE NE M’A JAMAIS TROMPE (je ne prophétise pas) mais je prédis que cet âge se terminera aux alentours de 1977. 

Si vous voulez bien ici me permettre une note personnelle, je vous dirai que je fonde cette PREDICTION sur 7 visions de première importance qui se sont succédées devant moi un dimanche matin en juin 1933. Le Seigneur JESUS me parla disant que la venue du Seigneur était proche, mais qu’avant son retour, 7 événements de première importance devraient avoir lieu. Je les écrivis tous et ce matin-là, je racontai la révélation du Seigneur … me basant sur les 7 visions, ainsi que sur les changements rapides qui ont balayé le monde depuis 50 ans, je prédis (je ne prophétise pas) que toutes ces visions devront se réaliser d’ici 1977. 

Et bien que beaucoup auront l’impression que cette affirmation est faite à la légère, vu que le Christ a dit que nul ne connaît ni le jour ni l’heure, je continue à maintenir cette PREDICTION 30 ans après, parce que JESUS n’a pas dit que personne ne pouvait connaître l’année, le mois ou la semaine qui verrait sa venue. Ainsi, je le répète, je le crois sincèrement et je le maintiens selon ce que j’ai étudié dans la Parole, ainsi que par DIVINE INSPIRATION, que l’année 1977 pourrait bien marquer le point final des systèmes du monde et nous introduire dans le millénium »
(W.M. Branham, Exposé des 7 Ages de l’Église, pages 382 et 383)

« Seigneur, je suis conscient de ce qui m’arrivera au jour du jugement si j’induis ces gens en erreur »
(W.M. Branham, J’accuse cette génération, n°9, 1963, page 48)

« Si une personne seulement dans le monde entier peut prouver qu’une révélation ne soit pas juste, même partiellement, je suis d’accord qu’on me prenne pour toujours comme faux prophète »
(W.M. Branham, cité dans : La Parole de Dieu demeure éternellement, page 19)


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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:04

100    Puis, tout à coup, j’ai vu devant moi le monde qui tournait, et il était tout labouré. Un homme est passé, en blanc, la tête haute, il semait des Semences, comme ceci. Et, une fois qu’il est passé, voici qu’est arrivé, comme il disparaissait derrière la colline, un homme est arrivé derrière lui, vêtu de noir, il avait la tête penchée, il semait des semences. Quand les bonnes Semences ont levé, c’était du blé, et quand les mauvaises semences ont levé, c’était de la mauvaise herbe.

101     Ensuite, il y a eu une grande sécheresse sur la terre, et le blé courbait la tête, il était sur le point de mourir, il manquait d’eau. J’ai vu tous les gens, avec les mains levées, ils priaient que Dieu envoie de l’eau. Puis j’ai vu la mauvaise herbe, qui courbait la tête, elle manquait d’eau. Et au même instant, les gros nuages ont passé et la pluie est tombée à torrents. Et, à ce moment-là, le petit blé qui était tout courbé a fait: “Wich!”, il s’est redressé. Et la mauvaise herbe, juste à côté a fait: “Wich!”, elle s’est redressée.

102     Je me suis dit: “Mais, qu’est-ce que c’est que ça?”

103     Alors Cela m’est venu à l’esprit. C’est ça. La même pluie qui fait pousser le blé fait pousser la mauvaise herbe. Et le même Saint-Esprit peut descendre sur un groupe de gens, et Il peut bénir un hypocrite de la même façon qu’Il bénit l’autre. Jésus a dit: “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Pas à ses cris, pas à ses jubilations, mais “c’est à ses fruits que vous reconnaîtrez”, alors.

104     J’ai dit: “Voilà!” “J’ai compris, Seigneur.” J’ai dit: “Donc, ça, c’est vraiment la Vérité.” Cet homme… On peut avoir des dons sans connaître Dieu.

105     Et puis je-puis je devenais trop critique à l’égard du parler en langues, vous voyez. Mais alors, un jour, Dieu a confirmé la chose pour moi!

106     J’étais à la rivière, je baptisais mes premiers convertis, à la rivière Ohio, et la dix-septième personne que je baptisais, comme j’allais la baptiser, j’ai dit: “Père, alors que je le baptise d’eau, veuille le baptiser du Saint-Esprit.” J’ai commencé à-à le plonger dans l’eau.

107     Au même moment, un tourbillon est descendu du ciel, cette Lumière qui brillait est descendue. Des centaines et des centaines de personnes étaient sur la rive, à deux heures de l’après-midi, un mois de juin. Et Elle s’est tenue juste au-dessus de l’endroit où j’étais. Une Voix a parlé de là, elle a dit: “De même que Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première venue de Christ, tu as un… as un Message par lequel sera précédée et préparée la Seconde Venue de Christ.” J’ai failli mourir de peur.

108     Quand je suis revenu au bord, il y avait tous ces gens qui étaient là, les-les travailleurs de la fonderie et tout le monde, le pharmacien, et tout le monde, ils étaient sur la rive. J’avais peut-être baptisé de deux à trois cents personnes cet après-midi-là. Et quand ils m’ont ramené, qu’ils m’ont fait sortir de l’eau, les diacres et tout, ils sont venus, ils m’ont demandé: “Que signifiait cette Lumière?”

109     Un grand groupe de gens de couleur de la-l’église baptiste Gilead Age et de l’église Lone Star, là-bas, et beaucoup de ceux qui étaient là, ils s’étaient mis à crier quand ils ont vu cette chose-là se produire, des gens se sont évanouis.

110     Il y avait une jeune fille que j’essayais de convaincre de descendre d’un bateau, elle était assise là en maillot de bain, un professeur de l’école du dimanche d’une église, et j’ai dit: “Margie, sors de là, je t’en prie.”
       Elle a dit: “Billy, je ne suis pas obligée de sortir.”
       J’ai dit: “C’est vrai, tu n’es pas obligée, mais à ta place j’aurais assez de respect pour l’Évangile pour m’éloigner de l’endroit où je baptise.”
       Elle a dit: “Rien ne m’y oblige.”

111    Et quand elle était assise là, à ricaner et à se moquer de moi pendant que je baptisais, parce qu’elle ne croyait pas au baptême, alors, quand l’Ange du Seigneur est descendu, elle est tombée la tête la première dans le bateau. Aujourd’hui cette fille est dans un asile d’aliénés. Donc, on ne se joue pas de Dieu, voilà tout. Voyez? Bon. Plus tard… Une jeune fille ravissante, plus tard elle s’est mise à boire, elle a été frappée avec une bouteille de-de bière, une bouteille, ce qui lui a tailladé le visage. Oh, une personne hideuse à voir! Et donc, cette chose-là est arrivée.

112    Et puis, tout au long de ma vie, je voyais cela, je voyais cette chose-là se mouvoir, je voyais ces visions, ces choses qui arrivaient. Alors, un peu plus tard, je me faisais tellement de souci à cause de Cela, et tout le monde qui me disait que C’était quelque chose de mauvais. Je suis parti pour mon endroit préféré, là où j’ai toujours prié jusqu’à exaucement. Et je… Peu importe combien je priais pour que cette Chose-là ne vienne pas sur moi, Elle venait quand même. Et alors, j’étais juste… J’étais-j’étais garde-chasse pour l’État de l’Indiana. Et j’arrivais, il y avait un homme assis-là, le frère de ma pianiste du tabernacle. Il a dit: “Billy, viendrais-tu à Madison avec moi cet après-midi?”
       J’ai dit: “Je ne peux pas, il faut que j’aille au parc forestier.”

113    Et je… j’arrivais sur le côté de la maison, j’ôtais mon ceinturon, mon ceinturon de revolver et tout, et je relevais mes manches. Nous habitions une petite maison de deux pièces, et j’allais me laver et me préparer pour manger. Après m’être lavé, en longeant la maison, je suis passé sous un-un grand érable, et tout à coup, Quelque Chose a fait: “Wouououhh!” C’est bien simple, j’ai failli m’évanouir. J’ai regardé, je savais que c’était encore Cela.

114     Je me suis assis sur les marches, d’un bond il est descendu de sa voiture et il a couru vers moi, il a dit: “Billy, vas-tu t’évanouir?”
       J’ai dit: “Non, monsieur.”
       Il a dit: “Qu’est-ce qu’il y a, Billy?”
       J’ai dit: “Je ne sais pas.” J’ai dit: “Tu peux partir, frère, ça va. Merci.”
       Ma femme est sortie avec un pichet d’eau, elle a dit: “Chéri, qu’est-ce qu’il y a?”
       J’ai dit: “Rien, trésor.”
       Alors, elle a dit: “Viens, le dîner est prêt, là”, et elle m’a entouré de son bras, elle a essayé de m’entraîner à l’intérieur.

115    J’ai dit: “Chérie, je-je veux te dire quelque chose.” J’ai dit: “Appelle-les et dis-leur que je n’y irai pas cet après-midi.” J’ai dit: “Meda, trésor,” j’ai dit, “je sais dans mon coeur que j’aime Jésus-Christ. Je sais que je suis passé de la mort à la Vie. Mais je ne veux pas que le diable ait quoi que ce soit à voir avec moi.” Et j’ai dit: “Je ne peux pas continuer comme ça, je suis prisonnier.” J’ai dit: “Alors qu’il y a cette chose qui n’arrête pas d’arriver, tout le temps, et des choses comme ça, ces visions qui me viennent, et ainsi de suite, comme ça. Ou, ce que ça peut bien être,” j’ai dit, “ces choses qui me sont arrivées.” Je ne savais pas que c’était une vision. Je n’appelais pas ça une vision. J’ai dit: “Ces espèces de transes,” j’ai dit, “je ne sais pas ce que c’est. Et, chérie, je-je-je-je ne veux pas toucher à ça, ils-ils me disent que c’est du diable. Et j’aime le Seigneur Jésus.”
       “Oh,” elle a dit, “Billy, tu ne devrais pas écouter ce que les gens te disent.”
       J’ai dit: “Mais, chérie, regarde les autres prédicateurs.” J’ai dit: “Je-je ne veux pas de ça.” J’ai dit: “Je vais à ma retraite dans les bois. J’ai une quinzaine de dollars, prends soin de Billy.” Billy était tout petit à l’époque, un tout petit garçon. J’ai dit: “Prends-prends… Il y en a assez pour que vous ayez de quoi vivre, toi et Billy, pendant un bout de temps. Appelle-les et dis-leur qu’il se pourrait que je-que je revienne demain, et qu’il se pourrait que je ne revienne jamais. Si je ne suis pas revenu d’ici cinq jours, qu’ils mettent un autre homme à ma place.” Et j’ai dit: “Meda, je ne sortirai jamais des bois, tant que Dieu ne m’aura pas promis qu’Il va me débarrasser de cette chose-là et ne jamais la laisser se reproduire.” Pensez donc à l’ignorance dans laquelle un homme peut se trouver!

116    Et je suis parti là-bas ce soir-là. Je suis allé dans la petite cabane jusqu’au lendemain; il était un peu tard. Le lendemain, j’allais monter à mon campement sur… un peu plus loin, de l’autre côté de la montagne, ou de la colline, plutôt, et aller dans les bois, là-bas. Je ne crois pas que le FBI pourrait me trouver là-bas. Donc, cette petite cabane… J’avais été en prière tout l’après-midi et avant qu’il commence à faire trop sombre. Je priais, je lisais dans la Bible, là, où il est dit: “L’Esprit des prophètes est soumis au prophète.” Je n’arrivais pas à comprendre ça. Alors il s’est mis à faire trop sombre dans la petite cabane.

117     C’était l’endroit où je chassais aux pièges quand j’étais jeune; j’avais une série de pièges installés là-bas, j’allais à la pêche et je passais la nuit là-bas. C’était une petite cabane délabrée qui était là depuis des années. Quelqu’un l’avait peut-être déjà habitée, avant qu’elle se retrouve dans cet état-là.

118     Et alors je-j’attendais là, tout simplement. Et je me suis dit: “Eh bien.” Une heure est arrivée, deux heures, trois heures du matin, je marchais de long en large, je faisais les cent pas. Je me suis assis sur une espèce de petit tabouret, là, une petite… pas un tabouret, une espèce de petite caisse. Je me suis assis là, et j’ai pensé: “Ô Dieu, pourquoi est-ce que Tu me fais ça?” J’ai dit: “Père, Tu sais que je T’aime. Tu sais que je T’aime! Et je-je-je ne veux pas être possédé du diable. Je ne veux pas que ces choses-là m’arrivent. Je T’en prie, ô Dieu, ne les laisse plus jamais se reproduire.”

119     J’ai dit: “Je-je T’aime. Je ne veux pas aller en enfer. À quoi ça me sert de prêcher et d’essayer, de faire des efforts,  si je suis dans l’erreur? Et ce n’est pas seulement moi  que j’envoie en enfer, mais j’induis des milliers d’autres personnes en erreur.” Ou, des centaines d’autres personnes, à cette époque-là. Et j’ai dit… J’avais un grand ministère. Et j’ai dit: “Eh bien, je-je ne veux plus jamais que cela m’arrive.”

120     Je me suis assis sur ce petit tabouret. Et j’étais assis, oh, à peu près dans cette position-ci, juste comme ça. Et, tout à coup, j’ai vu une Lumière qui vacillait dans la pièce. J’ai pensé que quelqu’un arrivait avec une lampe de poche. J’ai regardé autour de moi, et je me suis dit: “Eh bien…” Et voici qu’Elle était là, droit devant moi. Il y avait des vieilles planches de bois sur le sol. Et Elle était là, droit devant moi. Il y avait une espèce de vieux poêle, un tonneau, dans un coin, le dessus en avait été arraché. Et-et juste là, il y avait une-une Lumière sur le sol, et je me suis dit: “Eh bien, où est-ce que c’est? Mais, ça ne peut pas venir…”

121     J’ai regardé autour de moi. Et Elle était là, au-dessus de moi, cette même Lumière-ci, Elle était là, au-dessus de moi, suspendue exactement comme ça. Elle tournoyait, comme un feu, d’une couleur qui tirait sur l’émeraude, Elle faisait: “Wououhh… wououhh… wououhh…!”, comme ça, juste au-dessus, comme ça. Je L’ai regardée, et j’ai pensé: “Mais, qu’est-ce que c’est que Ça?” Or, Ça m’a effrayé.

122     J’ai entendu quelqu’un qui venait [Frère Branham fait un bruit de pas.-N.D.É.], qui marchait, seulement il était pieds nus. Et j’ai vu le pied d’un Homme entrer. Il faisait sombre dans la pièce, partout sauf là où la Lumière brillait. J’ai vu le pied d’un Homme qui entrait. Et, quand Il est entré dans la pièce, Il s’est approché, c’était un Homme d’à peu près… Il avait l’air de peser à peu près deux cent livres. Il avait les bras croisés comme ceci. Or, je L’avais vu sous forme de Tourbillon, je L’avais entendu me parler, je L’avais vu sous forme de Lumière, mais c’était la première fois que je voyais Son image. Il s’est approché, très près de moi.

123     Eh bien, franchement, mes amis, je-je pensais que le coeur allait me manquer. Je… Imaginez un peu! Mettez-vous à ma place, vous ressentiriez la même chose. Peut-être que vous avez fait un plus long bout de chemin que moi, peut-être que vous êtes chrétien depuis plus longtemps, mais vous ressentiriez la même chose. En effet, même après des centaines et des centaines de visitations, ça me paralyse chaque fois qu’Il s’approche. Parfois même ça me fait… Je perds presque complètement connaissance tellement je suis faible, souvent, quand je quitte l’estrade. Si je reste trop longtemps, je perds complètement connaissance. Il leur est arrivé de me promener en voiture pendant des heures, je ne savais même pas où j’étais. Et je ne peux pas l’expliquer. Lisez, ici dans la Bible, et vous Y trouverez l’explication, ce que c’est. L’Écriture le dit!

124     Donc, j’étais assis là et je Le regardais. Je-je tenais ma main un peu comme ça, levée. Il me regardait bien en face, un air vraiment sympathique. Mais Il avait une Voix très grave, et Il a dit: “Ne crains point, Je suis envoyé de la Présence du Dieu Tout-Puissant.” Et quand Il a parlé, cette Voix-là, c’était la même Voix qui m’avait toujours parlé, depuis l’âge de deux ans. Je savais que c’était Lui. J’ai pensé: “Maintenant…”

125     Et écoutez ça. Maintenant, écoutez la conversation. Je vais la rapporter de mon mieux, pour autant que je sache, mot à mot, parce que c’est difficile de se souvenir.

126     Il… J’ai dit… Je Le regardais, comme ça. Il a dit: “Ne crains point,” Il était très calme, Il a dit, “Je suis envoyé de la Présence du Dieu Tout-Puissant pour te dire que ta naissance étrange…” Vous êtes au courant de la façon dont ma naissance s’est passée, là-bas. Cette même Lumière était suspendue au-dessus de moi au moment de ma naissance. Alors, Il a dit: “Ta naissance étrange et ta vie mal comprise ont eu pour but d’indiquer que tu dois aller dans le monde entier prier pour les malades.” Il a dit: “Et quel que soit leur état…” Et Il a nommé, - Dieu, qui est mon juge, le sait, - Il a nommé le “cancer”. Il a dit: “Rien… Si tu amènes les gens à te croire, et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à tes prières, pas même le cancer.” Voyez-vous: “Si tu amènes les gens à te croire.”

127     Alors j’ai vu qu’Il n’était pas mon-mon ennemi, Il était mon ami. Et je ne savais pas si-si j’étais en train de mourir, ou ce qui était en train de se passer, quand Il s’est approché de moi, comme ça. J’ai dit: “Eh bien, Monsieur,” j’ai dit, “je suis…” Qu’est-ce que je connaissais des guérisons et des choses semblables, de ces dons? J’ai dit: “Eh bien, Monsieur, je suis un-je-je suis un homme pauvre.” Et j’ai dit: “Je suis au milieu des miens. Je-j’habite avec les miens, et ils sont pauvres. Je n’ai pas d’instruction.” J’ai dit: “Et je-je-je ne serais pas capable, on ne-on ne me comprendrait pas.” J’ai dit: “On-on ne voudrait pas-on ne voudrait pas m’écouter.”

128     Et Il a dit: “De même qu’il a été donné au prophète Moïse deux dons, deux signes,” plutôt, “pour confirmer son ministère, toi aussi, il te sera donné deux… toi aussi, il t’est donné deux dons pour confirmer ton ministère.” Il a dit: “L’un d’eux, c’est que tu prendras la personne pour laquelle tu prieras par la main, avec ta main gauche tu prendras leur droite,” et, Il a dit, “alors, reste seulement tranquille, et cela aura… il y aura un effet physique qui se produira sur ton corps.” Il a dit: “À ce moment-là, prie. Et si cela disparaît, la maladie a quitté la personne. Si cela ne disparaît pas, demande une bénédiction et continue ton chemin, tout simplement.”

129     “Eh bien,” j’ai dit, “Monsieur, j’ai peur qu’ils ne m’acceptent pas.”
       Il a dit: “Et ce qu’il y aura ensuite, s’ils ne veulent pas écouter cela, alors ils écouteront ceci.” Il a dit: “Ensuite, ce qui arrivera, c’est que tu connaîtras le secret même de leurs coeurs.” Il a dit: “Ceci, ils vont l’écouter.”
      “Eh bien,” j’ai dit, “Monsieur, c’est pour ça que je suis ici ce soir. Mes frères du clergé m’ont dit que ces choses qui me venaient, c’était quelque chose de mauvais.”
       Il a dit: “Tu es venu au monde dans ce but-là.” (Vous voyez, “les dons et l’appel sans repentir”.) Il a dit: “Tu es venu au monde dans ce but-là.”
       J’ai dit: “Eh bien, Monsieur,” j’ai dit, “il y a mes frères du clergé qui me disent que ça, que c’était du-du malin.” Et j’ai dit: “Ils… C’est pour ça que je suis ici, en train de prier.”

130    Et voici ce qu’Il m’a cité. Il m’a parlé de la venue du Seigneur Jésus, la première fois qu’Il est venu. Et j’ai dit…

131    La chose étrange, mes amis, c’était… Eh bien, je vais m’arrêter ici un instant pour faire un retour en arrière. Ce qui me donnait encore plus la frousse, c’est que chaque fois que je rencontrais une diseuse de bonne aventure, elles, elles reconnaissaient qu’il s’était passé quelque chose. Et ça, tout simplement… ça me donnait presque le coup de grâce.

132     Par exemple, un jour, mes cousins et moi, nous nous promenions sur les lieux d’une-d’une fête foraine, et nous n’étions que des jeunes gens, nous nous promenions. Alors, il y avait une espèce de diseuse de bonne aventure qui était assise là, sous une des tentes, une jeune femme, une jeune femme de belle apparence, elle était assise là. Et nous passions ensemble, nous marchions par là. Elle a dit: “Hé, toi, viens ici un instant!” Et tous les trois, nous nous sommes retournés. Elle a dit: “Toi, avec le chandail rayé.” C’était moi.

133     Alors j’ai dit: “Oui, madame?” Je pensais qu’elle voulait peut-être que j’aille lui chercher un coca-cola, ou quelque chose comme ça. C’était une-une jeune femme, peut-être au début de la vingtaine, ou quelque chose, elle était assise là. Je me suis approché, j’ai dit: “Oui, madame, qu’est-ce que je peux faire pour vous?”
       Elle a dit: “Dis donc, sais-tu qu’il y a une-une Lumière qui te suit? Tu es né sous un signe particulier.”
       J’ai dit: “Qu’est-ce que vous voulez dire?”
       Elle a dit: “Eh bien, tu es né sous un signe particulier. Il y a une Lumière qui te suit. Tu es né pour un appel Divin.”
       J’ai dit: “Ça va, femme, à d’autres!”

134     Je me suis éloigné tout de suite, parce que ma mère m’avait toujours dit que ces choses-là étaient du diable. Elle avait raison. Alors je… Ça m’a effrayé.

135     À l’époque où j’étais garde-chasse, un jour, je prenais l’autobus. Je suis monté dans l’autobus. J’ai toujours, semble- t-il, été sensible aux esprits. J’étais debout, et il y avait un marin debout derrière moi. J’allais faire une ronde, j’étais en route vers le parc forestier d’Henryville, en autobus. Je ressentais une drôle d’impression, ça ne me lâchait pas. J’ai regardé autour de moi dans l’autobus, et il y avait une-une femme très corpulente qui était assise là, très bien habillée. Elle a dit: “Bonjour!”
       J’ai dit: “Bonjour!”

136     J’ai pensé que c’était seulement une femme, vous savez, qui parlait, alors, j’ai continué à… Elle a dit: “J’aimerais vous parler un instant.”
       J’ai dit: “Oui, madame?” Je me suis retourné.
       Elle a dit: “Savez-vous que vous êtes né sous un signe?”
       Je me suis dit: “Encore une de ces femmes bizarres.” Alors, j’ai continué à regarder dehors. Et donc, je n’ai pas dit un mot, j’ai simplement continué à…
       Elle a dit: “Est-ce que je pourrais vous parler un instant?” Et j’ai simplement continué à…
       Elle a dit: “N’agissez pas comme ça.”
       J’ai simplement continué à regarder devant moi. Je me suis dit: “Ce n’est pas très courtois.”
       Elle a dit: “J’aimerais vous parler un petit instant.”

137     J’ai simplement continué à regarder devant moi, je ne voulais pas prêter attention à elle. Puis je me suis dit: “Je crois que je vais voir si elle dira comme les autres.” Je me suis retourné, j’ai pensé: “Oh! la la! Ça me mettrait dans tous mes états, je le sais.” En effet, je n’aimais vraiment pas penser à ça. Je me suis retourné.
       Elle a dit: “Il vaudrait peut-être mieux que je m’explique.” Elle a dit: “Je suis astrologue.”
       J’ai dit: “J’ai bien pensé que vous étiez quelque chose du genre.”
       Elle a dit: “Je suis en route pour Chicago, je vais visiter mon fils qui est prédicateur baptiste.”
       J’ai dit: “Oui, madame.”
       Elle a dit: “Quelqu’un vous a-t-il déjà dit que vous étiez né sous un signe?”
       J’ai dit: “Non, madame.” Je lui ai menti, là, voyez-vous, et j’ai dit… je voulais seulement voir ce qu’elle allait dire. Et elle a dit… J’ai dit: “Non, madame.”
       Et elle a dit: “Est-ce que… Est-ce que des prédicateurs ne vous ont jamais dit ça?”
       J’ai dit: “Je n’ai rien à voir avec les prédicateurs.”
       Et elle a dit: “Ah bon.”
       Et j’ai dit… Elle-elle m’a dit… J’ai dit: “Eh bien…”
       Elle a dit: “Si je vous donne le moment précis de votre naissance, me croirez-vous?”
       J’ai dit: “Non, madame.”
       Elle a dit: “Eh bien, je peux vous donner le moment de votre naissance.”
       J’ai dit: “Je ne crois pas ça.”
       Elle a dit: “Vous êtes né le 6 avril 1909, à cinq heures du matin.”
       J’ai dit: “C’est exact.” J’ai dit: “Comment le savez-vous?” J’ai dit: “Donnez au marin qui est là le moment de sa naissance.”
       Elle a dit: “Je ne peux pas.”
       J’ai dit: “Pourquoi? Comment se fait-il que vous sachiez?”

138     Elle a dit: “Écoutez, monsieur.” Elle a dit, quand elle s’est mise à parler de l’astronomie, là, elle a dit: “Tous les tant d’années…” Elle a dit: “Vous vous souvenez quand l’étoile du matin est apparue, celle qui a conduit les mages à Jésus-Christ?”

139     Je me suis un peu dérobé à la question, vous savez, j’ai dit: “Eh bien, je ne sais rien de la religion.”

140     Elle a dit: “Eh bien, vous avez entendu parler des mages qui étaient venus voir Jésus.”
       J’ai dit: “Oui.”
       Et elle a dit: “Eh bien, les mages, qu’est-ce que c’était?”
       “Oh,” j’ai dit, “c’étaient simplement des mages, c’est tout ce que j’en sais.”
       Elle a dit: “Mais, un mage, qu’est-ce que c’est?” Elle a dit: “La même chose que moi: un astrologue, un ‘contemplateur d’étoiles’, comme ils les appellent.” Et elle a dit: “Vous savez, Dieu, avant qu’Il fasse quoi que ce soit sur-sur la terre, Il l’annonce toujours dans le ciel, et ensuite sur la terre.”
       J’ai dit: “Je ne sais pas.”
       Elle a dit: “Eh bien…” Elle a nommé deux ou trois, deux… trois étoiles, disons, Mars, Jupiter et Vénus. Ce n’étaient pas celles-là, mais elle a dit: “Elles se sont croisées, elles se sont alignées et ont formé…” Elle a dit: “Trois mages sont venus voir le Seigneur Jésus, l’un était de la lignée de Cham, l’autre de celle de Sem, et l’autre de celle de Japhet.” Et elle a dit: “Quand ils se sont rencontrés à Bethléhem, les trois étoiles d’où ils étaient… Chaque personne de la terre”, elle a dit, “a quelque chose à voir avec les étoiles.” Elle a dit: “Demandez à ce marin, là, quand la lune se retire, que la planète céleste se retire, si la marée ne se retire pas et ne monte pas en même temps.”
       J’ai dit: “Je n’ai pas besoin de lui demander, ça, je le sais.”
       Elle a dit: “Eh bien, votre naissance a quelque chose à voir avec les étoiles là-haut.”
       J’ai dit: “Eh bien, ça, je ne sais pas.”

141     Elle a dit: “Donc, ces trois mages sont venus.” Elle a dit: “Quand les trois étoiles, quand elles… Ils sont venus de directions différentes, et ils se sont rencontrés à Bethléhem. Et ils ont dit, ils ont découvert en se consultant, que l’un était de la lignée de Cham, de Sem, et de Japhet, les trois fils de Noé.” Elle a dit: “Donc, ils sont venus adorer le Seigneur Jésus-Christ.” Et, elle a dit: “Au moment de partir,” elle a dit, “ils avaient apporté des présents qu’ils Lui ont offerts.”

142     Elle a dit: “Jésus-Christ a dit, au cours de Son ministère, que quand cet Évangile aura été prêché au monde entier (aux peuples de Cham, de Sem et de Japhet), qu’alors Il reviendra.” Et elle a dit: “Or, ces planètes, ces planètes célestes, comme elles se déplacent…” Elle a dit: “Elles se sont séparées. Depuis, elles n’ont jamais été comme ça sur la terre, à ce qu’on sache. Mais”, elle a dit, “tous les tant de centaines d’années, elles passent sur l’orbite les unes des autres, comme ceci.” (Si jamais il y a un astronome ici, vous saurez peut-être de quoi elle parlait, moi je ne sais pas.) Donc, quand elle parl-… Elle a dit: “Elles se croisent, comme ça.” Et elle a dit: “En commémoration du plus grand Don qui ait jamais été fait à l’humanité quand Dieu a donné Son Fils, quand ces planètes se croisent de nouveau, eh bien,” elle a dit, “Il envoie un autre don à la terre.” Elle a dit: “Vous êtes né au moment où elles se sont croisées.” Et elle a dit: “Voilà la raison pour laquelle je savais.”

143     Eh bien, là, j’ai dit: “Madame, pour commencer, je n’en crois pas un mot. Je ne suis pas religieux, et je ne veux plus en entendre parler!” Je me suis éloigné. Et alors, je lui ai coupé la parole assez sèchement, alors, je suis descendu.

144     Et chaque fois que… je me retrouvais en présence de l’un d’eux, c’est comme ça que ça se passait. Je me disais: “Pourquoi est-ce que les démons font ça?”

145     Et puis il y avait les prédicateurs, qui disaient: “C’est du diable! C’est du diable!” À cause d’eux, j’en étais arrivé à le croire.

146     Alors, cette nuit-là, là-bas, quand je… quand Il m’a parlé de ça, je Lui ai demandé, j’ai dit: “Mais, comment se fait-il que c’est toujours les médiums, et tous ceux-là, et les gens possédés du diable, qui m’En parlent, alors que le clergé, là, mes frères, eux, ils me disent que c’est du malin?”

147     J’ai écouté ce qu’Il a dit, Lui, Celui qui est là, au-dessus, sur la photo. Il a dit: “Ce qui est arrivé à l’époque, arrive de même aujourd’hui.” Et Il s’est mis à m’expliquer que, “quand le ministère de notre Seigneur Jésus-Christ a commencé à se manifester, les prédicateurs disaient qu’ ‘Il était Béelzébul, le diable’, mais les démons, eux, disaient qu’ ‘Il était le Fils de Dieu, le Saint d’Israël’. Les démons… Et regardez Paul et Barnabas, quand ils étaient là-bas, en train de prêcher. Les prédicateurs disaient: ‘Ces hommes-là chambardent tout. Ils sont mauvais, ils sont-ils sont du diable.’ Et une espèce de petite diseuse de bonne aventure, là, dans la rue, elle a reconnu que Paul et Barnabas étaient des hommes de Dieu, elle disait: ‘Ce sont des hommes de Dieu qui nous annoncent le chemin de la Vie.’” Pas vrai? “Des spirites et des devins, des gens possédés du diable.”

148     Mais nous sommes tellement pourris de théologie que nous ne savons rien de l’Esprit. J’espère que vous m’aimerez après ceci. Mais voilà ce que c’est. Et je parle aussi du pentecôtisme! C’est vrai. Rien que de pousser des cris et de danser partout, ça ne veut pas dire qu’on sache quoi que ce soit de l’Esprit.

149     C’est un contact personnel, face à face, voilà ce qu’il vous faut. Voilà le genre d’Église que Dieu est sur le point de susciter, c’est exact, quand ils se rassembleront dans l’unité et la puissance, dans l’Esprit.

150     Il m’a parlé de ça. Il m’a dit que le clergé L’avait mal compris, Il m’a certifié que le clergé L’avait mal compris. Et, quand Il m’a raconté tout cela, et combien Jésus…

151     J’ai dit: “Eh bien, qu’en est-il de ça, de ces choses qui m’arrivent?”

152     Et, voyez-vous, Il a dit: “Cela va se multiplier et devenir de plus en plus grand.” Et Il m’a parlé de Jésus, en me disant qu’Il avait fait la même chose: qu’Il était venu et qu’Il était revêtu d’une Puissance qui pouvait savoir des choses à l’avance, et faire savoir aux femmes au puits; qu’Il disait qu’Il n’était pas un guérisseur, Il disait qu’Il faisait ces choses exactement comme le Père les Lui montrait.
       J’ai dit: “Eh bien, ça, ce serait quelle sorte d’esprit?”
       Il a dit: “C’était le Saint-Esprit.”

153    Alors, là, il s’est passé quelque chose à l’intérieur de moi: j’ai compris que la chose même à laquelle je tournais le dos, c’était ce pour quoi Dieu m’avait mis ici. Et j’ai compris qu’ils avaient fait exactement comme les pharisiens d’autrefois, ils m’avaient donné une fausse interprétation de l’Écriture. Alors, à partir de ce moment-là, j’ai pris ma propre interprétation, ce que le Saint-Esprit En disait.
       Je lui ai dit: “J’irai.”
       Il a dit: “Je serai avec toi.”

154    Et l’Ange est entré de nouveau dans la Lumière, qui s’est mise à tournoyer, et tournoyer, et tournoyer, et tournoyer, et tournoyer autour de Ses pieds, comme ça, Il est monté dans la Lumière et Il est sorti du bâtiment.

155     Je suis rentré à la maison une personne nouvelle.

156     Je suis allé à l’église et j’en ai parlé aux gens. Le… c’était le dimanche soir.

157     Et le mercredi soir, ils ont amené une femme là-bas, une des infirmières de la clinique Mayo, elle se mourait du cancer, elle n’était plus que l’ombre d’elle-même. Quand je suis descendu de l’estrade pour la toucher, une vision est apparue, qui la montrait de retour au travail, comme infirmière. Et elle est sur la liste, à Louisville, comme “morte depuis des années”. Et voilà qu’elle est infirmière, là-bas à Jeffersonville, elle y est infirmière depuis des années. En effet, j’ai levé les yeux, et j’ai eu cette vision. Je me suis retourné, c’est à peine si je savais ce que je faisais, debout là; pour commencer j’ai frémi, quand ils m’ont amené ce cas, qu’ils l’ont déposée là. Il y avait des infirmières et tout, autour d’elle, et elle était étendue là, son visage tout creux et ses yeux enfoncés.

158     Margie Morgan. Si vous voulez lui écrire, c’est 411, avenue Knobloch, Jeffersonville, Indiana. Ou bien écrivez à l’hôpital Clark County, Jeffersonville, Indiana. Elle vous donnera elle-même son-son témoignage.

159     Je regardais là. Et de voir que, pour ce premier cas, là, une vision est apparue. J’ai vu cette femme qui reprenait son travail comme infirmière, qui marchait, robuste et en bonne santé. J’ai dit: “AINSI DIT LE SEIGNEUR: ‘Tu ne mourras pas, mais tu vivras!’”

160     Son mari, un homme très haut placé dans les affaires de ce monde, il m’a regardé, comme ça. J’ai dit: “Monsieur, ne craignez pas! Votre épouse vivra.”

161     Il m’a appelé, à l’extérieur, il a dit… il a appelé deux ou trois médecins, il a dit: “Les connaissez-vous?”
       J’ai dit: “Oui.”
       “Eh bien,” il a dit, “j’ai joué au golf avec lui. Il m’a dit que ‘le cancer avait enveloppé ses intestins, qu’on ne pouvait même pas lui donner un lavement’.”
       J’ai dit: “Ce qu’elle a, ça m’est égal! Il y a Quelque Chose au fond de moi, j’ai eu une vision! Et cet Homme qui m’a parlé, Il a dit que tout ce que je verrais, je n’aurais qu’à le prononcer et qu’il en serait ainsi. Il me l’a dit et je le crois.”

162     Gloire à Dieu! Quelques jours plus tard, elle faisait sa lessive, elle était sur pied. Elle pèse environ cent soixante-cinq livres maintenant, elle est en parfaite santé.

163     Alors, une fois que je l’ai eu accepté, voilà, c’était parti. Ensuite Robert Daugherty m’a appelé. Et voilà que ça s’est propagé, au Texas et dans le monde entier.

164     Et, un soir, c’était environ la quatrième ou cinquième fois que… (Je n’arrivais pas à comprendre le parler en langues et tout. Je croyais au baptême du Saint-Esprit, je croyais que les gens pouvaient parler en langues.) Et, un soir, alors que je m’avançais sur… dans une cathédrale, à San Antonio, au Texas, je m’avançais sur l’estrade, et un jeune homme qui était assis là s’est mis à parler en langues, c’était comme un fusil de chasse, ou une mitrailleuse, qui tirait, coup sur coup. Tout au fond, tout au fond, là, un homme s’est levé, et il a dit: “AINSI DIT LE SEIGNEUR! L’homme qui arrive sur l’estrade s’avance avec un ministère qui a été ordonné par le Dieu Tout-Puissant. Et de même que Jean-Baptiste a été envoyé comme premier précurseur de la venue de Jésus-Christ, lui, il porte un Message qui suscitera la Seconde Venue du Seigneur Jésus-Christ.”

165     J’étais complètement démonté. J’ai levé les yeux, j’ai dit: “Connaissez-vous cet homme?”
       Il a dit: “Non, monsieur.”
       J’ai dit: “Le connaissez-vous?”
       Il a dit: “Non, monsieur.”
       J’ai dit: “Me connaissez-vous?”
       Il a dit: “Non, monsieur.”
       J’ai dit: “Qu’est-ce que vous faites ici?”
       Il a dit: “J’ai vu ça dans le journal.” Et d’habitude… C’était le premier soir de réunion.
       J’ai regardé là-bas, et j’ai dit: “Vous, comment se fait-il que vous soyez ici?”
       Il a dit: “Des gens de ma famille m’ont dit que vous alliez être ici, ‘un guérisseur Divin’, et je suis venu.”
       J’ai dit: “Vous ne vous connaissez pas du tout?”
       Il a dit: “Non.”

166     Oh! la la! C’est là que j’ai vu que la puissance même du Saint-Esprit… Alors qu’avant, à un certain moment, j’avais pensé que c’était quelque chose de mal, je savais que je… Ce même Ange de Dieu s’associait avec ces gens qui avaient ces choses-là. Même s’ils en remettaient, et qu’il y avait chez eux beaucoup de confusion et beaucoup de Babylone, n’empêche qu’il s’y trouvait quelque chose d’authentique [espace non enregistré sur la bande-N.D.É.] …Christ. J’ai vu que-que c’était vrai.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:04

167     Oh, les années ont passé, et, dans les réunions, les gens voyaient, avec les visions et tout.

168     Une fois, un photographe En a pris la photo, alors que j’étais quelque part en Arkansas, je crois, au cours d’une réunion à peu près comme celle-ci, dans une salle à peu près comme celle-ci. Et j’étais là, à essayer d’expliquer ce qu’il En était. Les gens savaient, ils restaient assis à écouter, des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, et tout. Et alors, comme je regardais en direction de la porte, voilà qu’Elle est entrée, Elle est arrivée, en faisant: “Wououhh… wououhh!”

169     J’ai dit: “Je n’aurai plus besoin de parler maintenant, car La voilà qui arrive.” Elle s’est approchée, et les gens se sont mis à crier. Elle est venue à l’endroit où j’étais, et Elle s’est posée là.

170     Au moment où Elle se posait, un prédicateur est arrivé en courant, il a dit: “Hé, je vois Ça!” Et Elle l’a aveuglé, mais-mais complètement, et il est reparti en chancelant. Vous pouvez regarder sa photo, elle est là dans le livre, on le voit qui repart en chancelant, la tête penchée, comme ça. On peut voir sa photo.

171     Et là, Elle s’est posée. Il n’y a que le photographe du journal qui L’a photographiée cette fois-là. Mais le Seigneur n’était pas prêt.

172     Et, un soir, à Houston, au Texas, alors que, oh, des milliers de milliers de personnes… Il y en avait huit cents… huit mille, là-bas, à l’endroit, là, comment ça s’appelle, déjà, au music-hall, et nous sommes allés au grand stade Sam Houston.

173     Et là, au cours du débat qui a eu lieu ce soir-là, quand un prédicateur baptiste disait que “je n’étais rien d’autre qu’un infâme hypocrite et un imposteur, un imposteur religieux, qu’on devrait me chasser de la ville, et qu’il devrait même le faire lui-même”.

174     Frère Bosworth a dit: “Frère Branham, est-ce que vous allez laisser faire une chose pareille? Relevez le défi!”

175     J’ai dit: “Non, monsieur. Je ne suis pas d’accord qu’on se dispute. L’Évangile n’a pas été donné pour qu’on se dispute à Son sujet, mais pour qu’on Le vive.” J’ai dit: “Peu importe combien vous le convaincriez, il continuerait exactement dans la même voie.” J’ai dit: “Il… ça ne changerait rien pour lui. Si Dieu ne peut pas parler à son coeur, comment le pourrais-je?”

176     Dans l’édition du lendemain, il était dit: “On voit de quoi ils sont faits”, le Houston Chronicle. Il était dit: “On voit de quoi ils sont faits, ils ont peur de défendre ce qu’ils prêchent.”

177     Le vieux Frère Bosworth, il est venu me voir, il avait soixante-dix ans bien sonnés à l’époque, un vieux frère charmant, il a passé son bras autour de mes épaules, il a dit: “Frère Branham,” il a dit, “vous voulez dire que vous n’allez pas relever le défi?”

178     J’ai dit: “Non, Frère Bosworth. Non, monsieur. Je ne vais pas relever le défi.” J’ai dit: “Ça ne sert à rien.” J’ai dit: “Tout ce que ça fait, c’est qu’il y a des disputes quand nous quittons l’estrade.” J’ai dit: “Je suis en pleine série de réunions en ce moment, et je ne veux pas gâcher les choses comme ça.” J’ai dit: “Laissez-le donc faire,” j’ai dit, “c’est tout, il ne fait que jacasser.” J’ai dit: “De ces gens-là, on en a déjà vu, et ça ne sert à rien de leur parler.” J’ai dit: “Ils repartent aussitôt, ils restent sur leurs positions.” J’ai dit: “Une fois qu’ils ont reçu la connaissance de la Vérité, s’ils refusent de L’accepter, alors la Bible dit qu’ils ont franchi la ligne de séparation, et qu’il ne leur sera jamais pardonné, ni dans ce monde, ni dans le monde à venir. Ils appellent Ça ‘du diable’, et ils ne peuvent pas s’en empêcher. Ils sont possédés d’un esprit religieux, qui est le diable.”

179     Combien savent que c’est vrai, qu’un esprit démoniaque est religieux? Oui monsieur, aussi fondamentalistes qu’ils peuvent l’être. Et donc, celle-là n’a pas très bien passé, là, quand j’ai dit “fondamentaliste”, mais c’est vrai. “Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la Force.” C’est exact. Ce sont les signes et les prodiges qui confirment Dieu, toujours. Et Il a dit que ce serait la même chose dans les derniers jours. Et, remarquez!

180     Le vieux Frère Bosworth, je… il devait venir avec moi, mais il était un peu fatigué, il revient du Japon; il devait être ici. Il sera à Lubbock avec moi. Et donc, il était… il avait un petit, un mauvais rhume, alors, il n’a pas pu venir cette fois, lui et son épouse. Et alors, il…

181     Tout le monde a trouvé qu’il ressemblait à Caleb. Il était là, il disait: “Eh bien, Frère Branham,” (avec cet air très digne, vous savez), il disait, “laissez-moi y aller,” il a dit, “si vous ne voulez pas le faire.”

182     J’ai dit: “Oh, Frère Bosworth, je-je ne veux pas que vous y alliez. Vous vous disputeriez.”
       Il a dit: “Il n’y aura pas de dispute, pas une seule parole comme ça.”

183     Maintenant, juste avant de terminer, écoutez ceci. Il est allé là-bas. J’ai dit: “Si vous ne vous disputez pas, d’accord.”
       Il a dit: “Je promets de ne pas me disputer.”

184     Environ trente mille personnes s’étaient rassemblées dans la salle ce soir-là. Frère Wood, qui est assis ici, était présent à ce moment-là, il était dans la salle. Et je…

185     Mon fils a dit, ou… Mon épouse a dit: “Tu ne vas pas aller à cette réunion?”
       J’ai dit: “Non! Pas question que j’aille là-bas, les écouter se disputer. Non monsieur. Pas question que j’aille là-bas, écouter ça.”

186     Le soir venu, Quelque Chose m’a dit: “Vas-y.”

187     J’ai pris un taxi, mon frère, mon épouse et mes enfants, nous y sommes allés. Je suis monté tout en haut, au balcon trente, très haut, comme ça, et je me suis assis.

188     Le vieux Frère Bosworth s’est avancé sur l’estrade, comme un vieux diplomate, vous savez. Il avait recopié des… Il avait six cents promesses différentes de la Bible qu’il avait recopiées. Il a dit: “Bon, Docteur Best, si vous voulez bien venir ici prendre une seule de ces promesses et en démontrer la fausseté par la Bible. Toutes ces promesses-là, qui se trouvent dans la Bible, déclarent que Jésus-Christ guérit les malades aujourd’hui. Si vous pouvez prendre une seule de ces promesses, et, par la Bible, la démentir par la Bible, je m’assiérai, je vous serrerai la main, je dirai: ‘Vous avez raison.’”

189     Il a dit: “Je vais m’occuper de ça quand je monterai sur l’estrade!” Il voulait parler en dernier, pour pouvoir ridiculiser Frère Bosworth, vous voyez.

190     Alors, Frère Bosworth a dit: “Eh bien, Frère Best, je vais vous poser une question, et si vous me répondez par ‘oui’ ou par ‘non’,” il a dit, “nous allons tout de suite mettre fin au débat.”
       Et il a dit-il a dit: “Je vais m’occuper de ça!”
       Il a demandé au président s’il pouvait la lui poser. Celui-ci a dit: “Oui.”
       Il a dit: “Frère Best, est-ce que les noms de Jéhovah en rapport avec la rédemption s’appliquaient à Jésus? ‘Oui’ ou ‘non’?”

191     C’était réglé. C’était terminé. Je vous le dis, c’est bien simple, j’ai senti quelque chose m’envahir. Je n’y avais jamais pensé moi-même, voyez-vous. Et je me suis dit: “Oh! la la! il ne peut pas répondre! Avec ça, il a les mains liées.”
       Il a dit: “Eh bien, Docteur Best, je suis-je suis stupéfait.”
       Il a dit: “Je vais m’occuper de ça!”
       Il a dit: “Je suis stupéfait de voir que vous ne pouvez répondre à ma question la plus faible.” Il était d’un sang-froid imperturbable, il savait où il en était. Alors, il s’est tout simplement assis, là, avec cette Écriture.
       Il a dit: “Prenez vos trente minutes, je répondrai après!”

192     Et le vieux Frère Bosworth, assis là, il a pris cette Écriture et il a tellement donné de fil à retordre à cet homme-là qu’il en avait le visage tout rouge, tellement qu’on aurait presque pu allumer une allumette dessus.

193    Il s’est levé de là, furieux, il a jeté les papiers par terre, il est monté sur l’estrade et il a prêché un bon sermon campbellite. J’ai déjà été baptiste, je sais ce qu’ils croient. Il n’a jamais… Il prêchait sur la résurrection: “‘Quand ce corps mortel aura revêtu l’immortalité’, alors nous aurons la guérison Divine.” Oh! la la! Quel besoin avons-nous de la guérison Divine une fois que nous sommes immortels (“quand ce corps mortel aura revêtu l’immortalité”, la résurrection des morts)? Il est allé jusqu’à douter du miracle que Jésus avait accompli sur Lazare, il a dit: “Il est mort de nouveau, alors ce n’était que quelque chose de temporaire.” Voyez?

194     Et quand il a eu terminé, comme ça, il disait: “Faites venir ce guérisseur Divin, et que je le voie faire!”

195     Ils ont eu une petite prise de bec, là. Frère Bosworth a dit: “Je ne m’attendais pas à ça de vous, Frère Best, vous n’avez pas répondu à une seule de mes questions.”

196     Et alors, là, il est vraiment sorti de ses gonds, il a dit: “Faites venir ce guérisseur Divin, et que je le voie faire!”
       Il a dit: “Frère Best, croyez-vous que des gens puissent être sauvés?”
       Il a dit: “Bien sûr!”
       Il a dit: “Voudriez-vous qu’on vous appelle un sauveur Divin?”
       Il a dit: “Bien sûr que non!
       Pas plus… Que vous prêchiez le salut de l’âme, ça ne ferait pas de vous un sauveur Divin pour autant.”
       Il a dit: “Mais, bien sûr que non!”
       Il a dit: “Qu’il prêche la guérison Divine du corps, ça ne fait pas plus de Frère Branham un guérisseur Divin pour autant. Il n’est pas un guérisseur Divin, tout ce qu’il fait, c’est de diriger les gens vers Jésus-Christ.”
       Il disait: “Faites-le venir, que je le voie faire! Laissez-moi revoir les personnes dans un an, et je vous dirai si j’Y crois ou pas.”

197     Frère Bosworth a dit: “Frère Best, il me semble qu’il s’agit là d’un retour au Calvaire: ‘Descends de la Croix, et nous croirons en Toi.’” Voyez?

198     Alors, là, oh, il s’est vraiment emporté. Il disait: “Que je le voie faire! Que je le voie faire!” Ceux qui présidaient l’ont fait asseoir. Il s’est avancé vers un prédicateur pentecôtiste qui était là, debout, et il lui a donné des claques, d’un bout à l’autre de l’estrade. Alors, là, ils l’ont arrêté. (Alors, Frère Bosworth disait: “Hé, hé! Non, non.”) Donc, ceux qui présidaient l’ont fait asseoir.

199     Raymond Richey s’est levé, il a dit: “Est-ce là l’attitude de la Southern Baptist Convention?” Il a dit: “Vous, les prédicateurs baptistes, est-ce la Southern Baptist Convention qui a envoyé cet homme ici, ou s’il est venu de son propre chef?” Ils ne voulaient pas répondre. Il a dit: “Je vous ai posé une question!” Il les connaissait tous.

200     Ils ont dit: “Il est venu de son propre chef.” En effet, je sais que les baptistes aussi croient à la guérison Divine. Alors, donc, il a dit: “Il est venu de son propre chef.”

201     Et alors, voici ce qui s’est passé ensuite. Ensuite, Frère Bosworth a dit: “Je sais que Frère Branham est dans l’assemblée, s’il veut venir terminer la réunion, très bien.”
       Alors Howard a dit: “Reste bien assis!”
       J’ai dit: “Je reste assis.”

202     Juste à ce moment-là, Quelque Chose s’est approché, s’est mis à tournoyer autour de moi, je savais que C’était l’Ange du Seigneur, Il a dit: “Lève-toi!”

203     Environ cinq cents personnes ont joint leurs mains comme ceci, ils m’ont ouvert un passage, je suis descendu pour aller sur l’estrade.

204     J’ai dit: “Mes amis, je ne suis pas un guérisseur Divin. Je suis votre frère.” J’ai dit: “Frère Best, je ne dis pas ça…” Ou: “Frère Best,” j’ai dit, “je ne dis pas ça pour manquer d’égards envers vous, mon frère, pas du tout. Vous avez droit à vos convictions, et moi aussi.” J’ai dit: “Bien entendu, vous voyez que vous n’avez pas pu prouver ce que vous avanciez, face à Frère Bosworth. Vous ne le pourriez pas non plus face à quelqu’un qui a étudié la Bible et qui connaît ces choses.” J’ai dit: “Et, pour ce qui est de guérir les gens, je ne peux pas les guérir, Frère Best. Mais je suis ici tous les soirs; si vous voulez voir le Seigneur accomplir des miracles, vous n’avez qu’à venir. Il le fait tous les soirs.”

205     Il a dit: “J’aimerais vous voir guérir quelqu’un, et qu’on me laisse les examiner! Vous pouvez les hypnotiser avec votre hypnotisme, mais”, il a dit, “j’aimerais voir ça un an plus tard!”
       J’ai dit: “Eh bien, vous seriez en droit de vérifier, Frère Best.”
       Il a dit: “Il n’y a que votre bande de nigauds, d’exaltés, qui croit à des sornettes pareilles. Les baptistes ne croient pas à des sottises semblables.”

206     Frère Bosworth a dit: “Un instant.” Il a dit: “Combien y a-t-il de personnes dans l’auditoire, qui, au cours de ces deux semaines de réunions, des personnes qui sont membres en règle des ces belles églises baptistes de Houston ici, et vous pouvez prouver que vous avez été guéris par le Dieu Tout-Puissant pendant que Frère Branham était ici?” Et plus de trois cents personnes se sont levées. Il a dit: “Qu’est-ce que vous dites de ça?”
       Il a dit: “Ce ne sont pas des baptistes!” Il a dit: “N’importe qui peut témoigner de n’importe quoi, encore là ça ne veut pas dire que ce soit juste!”
       Il a dit: “La Parole de Dieu dit que c’est juste, et vous ne pouvez pas le réfuter. Les gens disent que c’est juste, et vous ne pouvez pas le démentir. Alors, qu’est-ce que vous allez faire?” Voyez-vous, comme ça.

207    J’ai dit: “Frère Best, je dis seulement la Vérité. Et si je dis la Vérité, Dieu est dans l’obligation d’appuyer la Vérité.” J’ai dit: “S’Il n’est pas… S’Il n’appuie pas la Vérité, alors Il n’est pas Dieu.” Et j’ai dit: “Je ne guéris pas les gens. Je suis né avec un-avec un don de voir les choses, de les voir arriver.” J’ai dit: “Je sais que je suis mal compris, mais je ne peux pas faire autrement que d’agir selon les convictions de mon coeur.” J’ai dit: “Je crois que Jésus-Christ est ressuscité des morts. Et, si l’Esprit qui vient et qui montre les visions et tout, si c’est ça qui est mis en doute, venez faire un tour et voir ce qu’il en est.” J’ai dit: “Voilà tout.” Mais, j’ai dit: “Mais, quant à moi, je ne peux rien faire de moi-même.” J’ai dit: “Si je dis la Vérité, Dieu est tenu envers moi d’attester que C’est la Vérité.”

208     Et à peu près au même moment, Quelque Chose a fait: “Wouououhh!” Il est arrivé, Il est descendu, en plein là. Et l’association américaine des photographes, les studios Douglas de Houston, au Texas, avaient installé leur gros appareil photo là (il est interdit de prendre des photos), ils ont pris la photo.

209     Pendant qu’ils étaient là pour prendre des photos de M. Best, et qu’il-il disait, avant que j’arrive, il disait: “Un instant! Vous avez six photos de moi à prendre!” Il a dit: “Tenez, prenez ma photo maintenant!” Et il a mis son doigt au nez de ce saint homme, comme ça, il disait: “Maintenant prenez ma photo!” Et ils l’ont prise. Ensuite il a serré le poing et il l’a brandi, en disant: “Maintenant prenez ma photo!” Et ils l’ont prise comme ça. Ensuite, il a fait comme ça, il a posé pour sa photo. Il disait: “Vous allez voir ça dans mon magazine!”, comme ça.

210     Frère Bosworth est resté là sans dire un mot. Ensuite, ils ont pris la photo de Ceci, c’est tout.

211     En rentrant à la maison ce soir-là (c’est un garçon catholique qui l’avait prise), il a dit à cet autre garçon, il a dit: “Qu’est-ce que tu En penses?”

212     Il a dit: “Je sais que je l’ai critiqué. Quand le goitre est parti de la gorge de cette femme, j’ai dit qu’il l’avait hypnotisée.” Il a dit: “Il est possible que j’aie fait erreur là-dessus.”
       Il a dit: “Qu’est-ce que tu penses de cette photo?
       Je ne sais pas.”

213     Ils ont mis ça dans l’acide. Voici la photo qu’il a prise, vous pouvez lui demander si vous voulez. Ils sont rentrés à la maison; il s’est assis là et a fumé une cigarette. Il est retourné et il en a sorti un de Frère Bosworth, c’était négatif. Il en a sorti deux, trois, quatre, cinq, six, et il n’y avait absolument rien, sur aucun. Dieu n’a pas permis qu’une photo soit prise de Son homme, de ce brave vieux rempli de piété, alors qu’il était là, avec cet hypocrite qui avait son nez, ou, sa main, son poing brandi sous son nez, comme ça. Il ne l’a pas permis.

214     Ils ont sorti le suivant, et Elle était là. Cet homme a été pris d’une crise cardiaque, à ce qu’ils disent, cette nuit-là.

215     On a envoyé le négatif à Washington, D.C. Ils ont déposé un copyright dessus, et l’ont retourné.

216     Et George J. Lacy, le chef du service des empreintes digitales et documents, et ainsi de suite, du FBI, un des plus éminents qu’il y ait au monde entier, on lui a apporté ça et il l’a gardé deux jours, pour vérifier l’appareil, les lumières, et tout le reste. Et quand nous sommes arrivés, cet après-midi-là, il a dit: “Révérend Branham, moi aussi, je vous ai critiqué.” Il a dit: “Et j’ai dit que c’était de la psychologie; quelqu’un disait avoir vu ces Lumières et des choses comme ça.” Il a dit: “Vous savez, le vieil hypocrite disait toujours ça,” (il parlait de l’incroyant), “que ‘ces images, autour, que cette auréole autour de Christ, autour des saints,’ il a dit, ‘ce n’était que de la psychologie pure et simple’.” Mais, il a dit: “Révérend Branham, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne captera pas de la psychologie! La Lumière a frappé l’objectif, ou, a frappé le négatif, et Elle était bien là.” Et il a dit…

217     Je le leur ai remis. Il a dit: “Oh, monsieur, savez combien ça vaut, ça?”
       J’ai dit: “Pas pour moi, frère, pas pour moi.” Alors, il a dit…

218     Naturellement, la chose ne se réalisera pas de votre vivant, mais un jour, si la civilisation continue à avancer et que le christianisme demeure, il se passera quelque chose à ce sujet.

219     Alors, mes amis, ce soir, si c’est notre dernière rencontre sur cette terre, vous et moi, nous nous sommes trouvés dans la Présence du Dieu Tout-Puissant. Mon témoignage est vrai. Il y a beaucoup, beaucoup de choses, il faudrait des quantités de livres pour tout écrire, mais je veux que vous sachiez.

220     Combien de personnes ici ont réellement vu (sans avoir vu la photo) la Lumière Elle-même, près de l’endroit où je prêchais? Levez la main, partout dans le bâtiment, tous ceux qui L’ont déjà vue. Vous voyez, il y a peut-être huit ou dix mains, de gens qui sont assis ici.

221     Vous dites: “Est-il-est-il possible qu’eux La voient et que moi, je ne La voie pas?” Oui monsieur.

222     Cette-cette Étoile que les mages ont suivie, elle est passée au-dessus de tous les observatoires, et personne d’autre ne L’a vue, seulement eux. Ils ont été les seuls à La voir.

223     Élie était là, il regardait tous ces chars de feu, et tout le reste. Et Guéhazi regardait partout, il ne pouvait les voir nulle part. Dieu a dit: “Ouvre ses yeux, pour qu’il voie.” Et là, il les a vus, vous voyez. Par contre, c’était un bon garçon, il était là, il regardait partout, mais il ne pouvait pas les voir. Certainement. Il est donné à certains de voir, et à d’autres pas. C’est vrai.

224     Mais, bon, vous qui ne L’avez jamais vue, qui ne L’avez jamais vue, et vous qui L’avez vue avec votre oeil naturel mais qui n’avez jamais vu la photo, il reste que ceux qui voient la photo ont une plus grande preuve que vous qui L’avez vue avec votre oeil naturel. En effet, avec votre oeil naturel, vous auriez pu faire erreur, ç’aurait pu être une illusion d’optique. Pas vrai? Mais Cela, Ce n’est pas une illusion d’optique, C’est la Vérité, les recherches scientifiques en démontrent la Vérité. Donc, le Seigneur Jésus a accompli ceci.

225     “Que pensez-vous que C’est, alors,” vous dites, “Frère Branham?”
       Je crois que C’est la même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël de l’Égypte jusqu’en Palestine. Je crois que C’est le même Ange de Lumière qui est entré dans la-dans la prison, et qui est allé retrouver saint Pierre, qui l’a touché, et qui est allé ouvrir la porte et l’a fait sortir à l’extérieur, dans la lumière. Je crois que C’est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Amen! Il est le même Jésus aujourd’hui qu’Il était hier. Il sera pour toujours le même Jésus.

226     Pendant que je suis en train d’En parler, cette même Lumière qui est sur la photo est sur… est à moins de deux pieds [0,6 mètre-N.D.T.] de l’endroit où je me trouve en ce moment. C’est exact. Je ne peux pas La voir de mes-mes yeux, mais je sais qu’Elle est là. Je sais qu’Elle est en train de s’installer en moi en ce moment. Oh! Si seulement vous pouviez savoir la différence que ça fait, quand la puissance du Dieu Tout-Puissant entre en action, et combien les choses prennent un aspect tout à fait différent!

227     C’est un défi qui s’adresse à tous. Je n’avais pas l’intention de prier pour les malades, j’allais faire une reconsécration. Mais la vision est là, au-dessus des gens. Oui. Dieu le sait. Je ne vais pas former de ligne de prière, je vais vous laisser assis là. Combien d’entre vous n’ont pas de carte de prière? Levez la main. Quelqu’un qui n’a pas de carte de prière, qui n’a pas de carte de prière?

228     La dame de couleur qui est assise ici, je vois que vous aviez levé les mains. Est-ce exact? Levez-vous pour que je puisse vous distinguer un instant. Je ne sais pas ce que le Saint-Esprit dira, mais vous me regardez d’un regard tellement sincère. Vous n’avez pas de carte de prière? Si le Dieu Tout-Puissant me révèle quel est votre problème… Je commence en faisant comme ça, c’est seulement pour commencer. Croyez-vous que je suis… Vous savez qu’il n’y a rien… qu’il n’y a absolument rien de bon en moi. Si vous êtes une femme mariée, je suis un homme comme votre mari, pas plus. Je suis seulement un homme. Mais Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et Il a envoyé Son Esprit pour confirmer ces choses.

229     Si Dieu me dit ce qui ne va pas chez vous (et vous savez que je n’ai aucun moyen de contact avec vous du tout), croirez-vous, de tout votre coeur? [La soeur dit quelque chose.-N.D.É.] Que Dieu vous bénisse. Alors, votre hypertension artérielle a disparu. C’est ça que vous aviez. C’était bien ça, n’est-ce pas? Alors asseyez-vous.

230     Croyez-le une bonne fois! Je somme n’importe qui d’Y croire.

231     Regardez, je vais vous dire quelque chose. Marthe, quand elle est venue au Seigneur Jésus. Ce don n’aurait jamais agi… Après que le Père Lui avait déjà montré ce qu’Il allait faire. Il n’aurait jamais agi. Mais elle a dit: “Seigneur, je… Si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort.” Elle a dit: “Mais je sais que même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.”

232     Il a dit: “Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?”

233     Écoutez ce qu’elle a dit. Elle a dit: “Oui, Seigneur. Je crois que tout ce que Tu as dit est la Vérité. Je crois que Tu es le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.” C’était sa façon de s’approcher, humblement.

234     Vous ne vous sentez plus pareil, n’est-ce pas, madame? Oui. C’est exact.

235     La petite dame qui est assise là, à côté de vous, aussi; elle, elle a de l’arthrite et un problème gynécologique. C’est bien vrai, n’est-ce pas, madame? Levez-vous un instant, la petite dame qui porte la robe rouge. Vous étiez tellement près que la vision est venue sur vous. De l’arthrite, un problème gynécologique. Pas vrai? Et voici, il y a quelque chose dans votre vie (vous avez un-vous avez un bon regard, bien franc): vous avez beaucoup de tracas dans la vie, beaucoup de problèmes. Et ces problèmes, c’est à cause de votre bien-aimé. Il s’agit de votre mari: c’est un ivrogne. Il ne veut pas aller à l’église. Si c’est vrai, levez la main. Que Dieu vous bénisse, madame. Rentrez à la maison maintenant, et recevez votre bénédiction. Vous êtes guérie, maintenant il y a de la lumière autour de vous.

236     L’homme qui est assis juste à côté, aussi, là. Vous, monsieur, croyez-vous, de tout votre coeur? Vous avez perdu l’un de vos sens, et c’est le sens de l’odorat. C’est vrai, n’est-ce pas? Si oui, faites signe de la main. Mettez la main à la bouche, comme ceci, dites: “Seigneur Jésus, je crois en Toi de tout mon coeur.” [Le frère dit: “Seigneur Jésus, je crois en Toi de tout mon coeur.”-N.D.É.] Que Dieu vous bénisse. Repartez maintenant, et vous recevrez votre guérison.

237     Ayez foi en Dieu! Qu’est-ce que vous En pensez, vous tous, là, au fond? Croyez-vous? Soyez respectueux!

238     Il y a une dame assise au fond, là-bas, dans le coin. Je vois la Lumière suspendue au-dessus d’elle. C’est le seul moyen pour moi de savoir ce qu’il en est, par cette Lumière qui est suspendue. C’est cette Lumière-ci qui est suspendue au-dessus de cette dame. Peut-être que dans un petit instant, si je peux voir de quoi il s’agit. Il va y avoir… La dame souffre du-du coeur. Elle regarde droit vers moi.

239     Et son mari est assis à côté d’elle. Son mari souffre  d’une maladie, il a été malade, souffrant, malade. N’est-ce pas vrai, monsieur? Levez les mains si c’est vrai. C’est ça, vous, madame, avec la petite écharpe, là. Le monsieur, là, c’est vrai, n’est-ce pas? Vous avez été un peu souffrant aujourd’hui,  n’est-ce pas? Vous avez l’estomac dérangé; le monsieur. C’est exact.

240     Est-ce que vous croyez de tout votre coeur, tous les deux? Vous L’acceptez? Monsieur, je vais vous dire, vous aussi, je vous vois (vous qui avez la main levée), vous êtes un fumeur. Cessez cela. Vous fumez le cigare, vous ne devriez pas, ça vous rend malade. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main, comme ceci. C’est ce qui vous rend malade. C’est mauvais pour vos nerfs. Jetez ces… cette vilaine chose, et ne le faites plus jamais, et vous vous remettrez de cela, vous irez bien, et le trouble cardiaque dont souffre votre femme disparaîtra. Le croyez-vous? C’est bien ça, n’est-ce pas? Je ne vous vois pas d’ici, et vous le savez, mais vous avez des cigares à… dans-dans votre poche de devant. C’est vrai. Sortez-les, et posez votre main sur votre femme, dites à Dieu que vous ne toucherez plus jamais à ces choses-là, et vous rentrerez chez vous guéri, vous et votre épouse, vous retrouverez la santé. Béni soit le Nom du Seigneur Jésus!
       Vous croyez de tout votre coeur?

241     La petite dame qui est assise ici, qui me regarde, ici. Vous, sur… là, assise au premier rang, assise juste ici. Une petite dame avec… qui me regarde, assise juste là. Vous ne… Avez-vous une carte de prière, madame, juste ici? Vous n’avez pas de carte de prière? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous croyez que Jésus-Christ peut vous redonner la santé?

242     Qu’est-ce que vous En pensez, vous, assise à côté d’elle? Avez-vous une carte de prière, madame? Vous n’en avez pas? Voulez-vous retrouver la santé, vous aussi? Vous aimeriez recommencer à manger comme avant, n’est-ce pas, ne plus avoir de problèmes d’estomac? Croyez-vous que Jésus vous guérit maintenant? Levez-vous si vous croyez que Jésus-Christ vous a guérie. Vous aviez un ulcère à l’estomac, n’est-ce pas? C’est provoqué par un état de nervosité. Il y a longtemps que vous souffrez de nervosité. Surtout de l’acide, et tout, ou, je veux dire, ça provoque de l’acidité, ça fait que vous avez les dents sensibles quand la nourriture vous remonte dans la bouche. C’est la vérité. Oui monsieur. C’est un ulcère à l’estomac, il était au bas de votre estomac. Ça vous brûle parfois après avoir mangé, surtout du pain grillé avec du beurre dessus. Pas vrai? Je ne lis pas dans vos pensées, mais le Saint-Esprit est infaillible. Maintenant vous êtes guérie. Rentrez chez vous, soyez guérie.

243     Et vous, là-bas, dans cette direction? Quelques-uns d’entre vous, là-bas, qui n’ont pas de carte de prière, levez la main. Quelqu’un qui n’a pas de carte de prière. Très bien, soyez respectueux, croyez de tout votre coeur. Et vous, les gens qui sont au balcon? Ayez foi en Dieu.

244     Je ne peux pas faire ça de moi-même, c’est seulement Sa grâce souveraine. Croyez-vous? Je peux seulement le dire à mesure qu’Il me le montre. À mesure que votre foi… Je dis ça pour secouer votre foi, et après, je vais voir dans quelle direction Il me conduira. Avez-vous compris qu’il-qu’il ne s’agit pas ici de votre frère? Vous vous trouvez dans Sa Présence. Ce n’est pas moi qui fais ceci, c’est votre foi qui Le met en mouvement. Je ne peux pas Le mettre en mouvement. C’est votre foi qui le fait. Je n’ai aucun moyen de Le mettre en mouvement. Un petit instant.

245     Dans ce coin, je vois un homme de couleur assis là, plutôt âgé, il porte des lunettes. Avez-vous une carte de prière, monsieur? Levez-vous un instant. Croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu, de tout votre coeur? Vous pensez à quelqu’un d’autre, n’est-ce pas? Si c’est vrai, faites signe de la main. Ce n’est pas à cause de moi, votre frère. Maintenant, vous n’avez pas de carte de prière. Il n’y aurait aucun moyen pour vous de venir dans la ligne, puisque vous n’avez pas de carte de prière. Maintenant, s’il y en a parmi vous qui ont des cartes de prière, ne-ne-ne vous levez pas, voyez-vous, parce que vous aurez l’occasion de venir dans la ligne.

246     Mais je vois cette Lumière qui est là, suspendue au-dessus de lui. La vision n’est pas encore venue. Je ne peux pas vous guérir, frère, je ne le peux pas. Dieu seul le peut. Mais vous-vous-vous avez la foi. Vous croyez. Et il y a quelque- quelque chose qui-qui provoque ça, quelque part.

247     Si le Dieu Tout-Puissant dit à cet homme quel est son problème, est-ce que vous tous, les autres, vous accepterez votre guérison? Voici un homme, il est à dix ou quinze mètres de moi, parfaitement, et je ne l’ai jamais vu de ma vie. C’est un homme, il est là, tout simplement. Si le Dieu Tout-Puissant révèle ce qui ne va pas chez cet homme, chacun de vous devrait repartir d’ici en bonne santé. Qu’est-ce que Dieu peut faire de plus? Pas vrai?

248     Monsieur, ce n’est pas vous qui n’allez pas. Vous êtes faible, vous devez vous lever un peu la nuit, la prostate et tout, mais ce n’est pas ça qui vous cause du souci. Ce qui vous cause du souci, c’est votre fils. Et votre fils est dans une espèce d’établissement de l’État, il a un dédoublement de la personnalité. Pas vrai? Faites signe de la main, si c’est vrai. C’est tout à fait vrai.

249     Combien croient maintenant que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ici? Levons-nous, donnons-Lui la louange, et recevons notre guérison.

250     Dieu Tout-Puissant, Auteur de la Vie, Donateur de tout bon don, Tu es ici, le même Seigneur Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.

251     Et, Satan, tu as bluffé ces gens assez longtemps, sors d’eux! Je te conjure, par le Dieu vivant, dont la Présence est ici maintenant sous la forme d’une Colonne de Feu, retire-toi de ces gens! Sors d’eux, au Nom de Jésus-Christ!

252     Chacun de vous, levez tous les mains et louez Dieu,  et recevez votre guérison, chacun. [L’assemblée loue Dieu.-N.D.É.]  
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:05

LES 7 NOMS COMPOSES DE JEHOVAH


1.         …Crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
            Maintenant, restez debout juste un instant pour la prière. Père, nous Te remercions ce soir du fond du cœur pour ce merveilleux rassemblement en Jésus-Christ ici à Chicago. Nous Te prions de bénir les efforts que nous conjuguons pour essayer de Te représenter devant ces gens. Voyant cette soirée froide, et où il y a une tempête de neige dehors, avec ces gens qui sont venus de loin et qui se sont rassemblés ici ce soir pour être guéris... En lisant leurs lettres la journée et en les entendant crier au secours de façon pitoyable, cela émeut nos cœurs, Père. Je suis sûr que Tu les vois quand ils écrivent les lettres, Tu les vois quand ils arrivent, le sentiment que cela suscite en moi, la réaction, tout ce que nous pouvons  pour essayer d'apporter de l'aide. Bénis nos efforts ce soir, Père. Que Ton Esprit soit ici, puisse-t-Il approuver tout ce que nous faisons. Car nous demandons Sa divine conduite en tout au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir et que le Seigneur vous bénisse.                                     
2.         Je suis doublement heureux ce soir d'être ici à l'auditorium. Je vois que nous avons quelques lettres ici. Certains d'entre vous les ont remises à Billy Paul, et il me les transmet toujours. Et, nous apprécions donc cela. Et alors, certains ici... Avant que je commence ce soir, j'ai remarqué que quand je fais la prière de congédiement, parfois les gens déposent ces lettres pour que j'y impose les mains. J'aimerais prier pour cela personnellement avant que nous vous les remettions. Tout ce que nous pouvons faire pour vous aider, et c'est le but de notre présence ici, c'est d'essayer de vous aider à aimer notre Seigneur Jésus de tout votre cœur.                   
            J'étais en train de regarder le spécialiste de l'enregistrement ici, tous les fauteuils d'orchestre sont occupés par eux ce soir, ils font des enregistrements. Eh bien, c'est très merveilleux.
            Nous - nous sommes... Nous aimerions bien rester à Chicago pendant très très longtemps si possible. Naturellement ceci... Nous sommes un peu empêchés cette fois-ci. Nous devons retourner à l'église. L'audi... Cet auditorium a été déjà loué. C'est avec un peu de difficultés que nous l'avons, mais nous...                   
3.         Frère Joseph et moi, nous en parlions aujourd'hui. Il fait des préparatifs pour une autre réunion, très bientôt, aussitôt que nous pourrons revenir de là où nous allons commencer maintenant. Nous devons aller à Hot Springs, à Little Rock, et à - de là à Shreveport, à Lubbock, au Texas, à Phœnix, en Arizona, à Los Angeles, à Tacoma, à Washington. Et ensuite, de là à Calgary, à Edmonton, Grande Prairie, à Dawson Creek, et puis, peut-être à la - à la conférence d'outre-mer. Si nous pouvons revenir en ce moment-là...       
            Naturellement, je pense que tout le monde sait qu'un petit enfant va naître chez nous très bientôt et que cela devra avoir lieu au mois de mars ou plutôt de mai. Et nous sommes... J'aimerais être à la maison en ce temps-là.             
            Eh bien, aussitôt que ça sera passé, Dieu voulant, je - je dois retourner outre-mer. Je... Il y a simplement quelque chose dans mon cœur, je n'arrive tout simplement pas à m'y dérober. Chaque jour, j'essaie de me consoler en disant : " Dis donc, Billy Branham, tu dois rester à la maison. Voyez ? Tu - tu as... " Mais quelque chose au fond de moi dit : " Non. " Et - et je - je n'y peux rien.       
            Je voudrais juste vous montrer quelque chose, mes amis, si vous pouvez comprendre. Chicago... Nous allons juste prendre Chicago, disons que tout ceci, ce sont les Etats-Unis, ici même. Et c'est l'un des meilleurs endroits. Je n'ai rien contre un quelconque endroit. Ils sont tous beaux. Partout où je vais, les gens m'aiment, et avec un accueil aussi chaleureux que celui que vous m'avez réservé il y a quelque temps. Je... Du fond de mon cœur, je suis ému. Oh ! la la ! Je souhaiterais simplement m'asseoir avec vous, rester pour toujours ; mais je ne saurais le faire. C'est... Nous... Je ne suis pas un jeune garçon, et il y a beaucoup de travail à faire, et je ne peux pas tout faire, mais je dois faire ma part. Voyez-vous ce que je veux dire ?                        
4.         Et je vais dire ceci, et je... Si j'ai tort, que Dieu me pardonne. Car je le dis de tout mon cœur. L'Amérique, la nation, sur le plan national, n'est pas prête pour un réveil. Peut-être qu'ils ont dépassé ce jour-là. Voyez-vous ?             
            J'observais frère Joseph ce matin alors qu'il cherchait à me parler, il a dit : " Eh bien, Frère Branham, quand vous reviendrez, nous allons... " Voyez ? Il peut avoir dit cela. Je ne dis pas ceci parce que mon jeune frère suédois que voici est assis à l'estrade. Non, monsieur. Mais je l'aime. Beaucoup d'entre vous savent par quoi je suis passé pour maintenir notre communion, pas à cause de lui et de moi, mais à cause du monde extérieur. Mais Joseph Boze est mon copain, mon frère en Christ. Il lui faut faire quelque chose de pire que ce qu'il ait jamais fait pour changer mon opinion sur lui. Je l'aime. Et ainsi, je - je l'apprécie. Et par lui...
            Il vient tout simplement et s'assoit chez moi, et il roule jusque là, ou il prend un avion, ou que sais-je encore. Et je... " Frère Branham... " Les petits enfants entrent dans la pièce, ils se mettent à l'entendre parler ce mauvais anglais, vous savez. Et nous... " Nous avons besoin de toi à Chicago. Ces gens-là t'aiment. Eh bien, quand vas-tu venir et tenir pour nous une autre réunion ? " Voyez ? Il s'accroche vraiment. Et vous - vous ne pouvez pas le lui refuser. Vous ne pouvez tout simplement pas...                      
5.         Vous pouvez tout simplement dire : " Très bien, Frère Joseph. Précédez. Je - je serai là. " En effet, il... - il s'accroche tout simplement jusqu'à ce que vous soyez pratiquement obligé de venir. Et alors... Mais je - je l'aime vraiment.        
            Et ce matin, nous étions assis, en train de causer. J'ai dit : " Frère Joseph... "  
            Il a dit : " Mais, Frère Branham, vous vous rendez compte... " Il a dit : " Pensez-y tout simplement. Hier soir, vingt âmes au moins ont été sauvées, a-t-il dit, ce n'est donc pas un service d'évangélisation, là. " Il a dit : " N'importe quoi dépasserait cela. Vingt personnes sont venues à Christ. "       
            J'ai dit... "Eh bien, a-t-il dit, Frère Branham, si les gens ont un réveil et qu'une personne vienne un soir, voyez combien ils s'enorgueillissent à ce sujet, et ici, il y a eu vingt cas de conversion, des gens profondément convaincus, qui sont venus en pleurant à chaudes larmes et en criant (Voyez?), après qu'ils ont vu l'œuvre du Seigneur. "    
            J'ai dit : " Oui, Frère Joseph, Dieu sait combien j'apprécie cela. Mais voyez, juste ici, on en a eu autant ici même en une soirée des services, transposez tout simplement cette réunion et tenez-la en Afrique du Sud, tenez-la en Inde, tenez-la dans les îles ou là en Amérique du Sud, savez-vous combien d'âmes seraient venues ? Environ cinq mille, peut-être vingt mille, trente mille. " Voyez-vous ? C'est la même chose, exactement la même chose.               
6.         Eh bien, à beaucoup de ces endroits, on n'a jamais entendu parler de Christ. Beaucoup de ces frères qui s'y rendent et y tiennent ces campagnes, ils vont auprès des gens qui ont une certaine conception de Christ, tels peut-être les catholiques ou les luthériens ou les autres, et ils donnent un enseignement. Mais dans les miennes, je prêche là où on n'a jamais entendu parler de Christ. Voyez-vous ? Ils doivent avoir une certaine conception de Dieu. Eh bien, le… surnaturel... Voyez-vous ?        
            Le don ne fait aucune distinction, que l'on ait jamais entendu parler de Christ, qu'on ne sache rien de la Bible. Le don discerne malgré tout, vous voyez, parce que c'est Dieu et cela... Cela amène les gens... le - le côté surnaturel, les gens se demandent : " Oh ! la la ! de quoi parle-t-il ? Comment a-t-il su qui j'étais, et ce que je... ce qui ne va pas en moi, d'où je viens, et qui - qui sont les gens de ma famille et toutes ces choses ? Eh bien, d'où cela vient-il ? " Voyez-vous ? Alors, ils voient.                      
7.         Eh bien, les frères qui se contentent de prêcher l'Evangile, ce qui est la façon originelle et merveilleuse de s'y prendre, eh bien, ils peuvent prendre ces autres choses, vous voyez, comme cela. Mais j'aime retourner à la maison et serrer la main à tout le monde, spirituellement parlant. Et en effet, j'aimerais serrer la main à tout le monde dans le naturel si je le pouvais.       
            Mais alors, dans la réunion et le merveilleux esprit... Mais j'aimerais vous poser une question. Les prédications qui ont été apportées en Amérique pendant ces dix dernières années auraient suffi pour convertir le monde entier je ne sais combien de fois pour... Vous savez cela. Considérez simplement les évangélistes qui ont parcouru tout le pays. Considérez Billy Graham, et - et Jack Schuller, et - et Jackie Birch, et oh, tous ces autres, et Oral Roberts, et beaucoup de grands évangélistes qui ont parcouru tout le pays d'un bout à l'autre, et qui ont fait un ratissage d'un bout à l'autre, à plusieurs reprises.
8.         Et quand on m'appelle, on dirait qu'une croûte s'est formée, c'est comme ça que les chrétiens sont devenus. De temps en temps, vous tirez un d'ici ou de là. Voyez-vous ? Mais on dirait que c'est arrivé à un point où on ne peut faire une percée parmi les gens d'une façon ou d'une autre.
            Les gens viennent les deux ou trois premières soirées. C'est merveilleux. Ils voient le miracle de Dieu. Ils entendent un évangéliste, un bon prédicateur comme Oral Roberts, Billy Graham, ou l'un de ces frères qui peuvent vraiment [bien] prêcher. Ils se réjouissent après quelques soirées, mais c'est tout. Et le surnaturel est à l'œuvre, le Seigneur agit, cela a semblé être bien. C'est merveilleux. Et puis ils - eh bien, très vite, cela disparaît dans l'espace d'un ou deux jours. Voyez-vous ?                                         
9.         Voyez, on dirait que… qu'il y a tout simplement quelque chose qui est au-dessus de notre chère nation... Je pense que notre civilisation a atteint le point… Dieu a fait sans arrêt la pêche à la seine et Il rassemble les chrétiens comme cela. Mais je crois que si le réveil éclate, il éclatera dans les pays des païens. Je crois cela de tout mon coeur. Voyez ? Ils ne savent rien à ce sujet. Ils ne savent rien de leur endoctrinement et de la théologie que l'on a aujourd'hui.              
            Les gens enseignent ceci et cela. Et l'un dit : " Eh bien, il faut que je voie. " Voyez, celui qui fait cela, c'est un sceptique. Il publiera cela dans un journal. Je ne suis pas contre vous. Vous êtes mes frères et mes sœurs. Mais le monde extérieur, Chicago prendra le journal : " Des phénomènes étranges, des prodiges, telles choses ont eu lieu comme cela. Ah ! ah ! ah... "             
            " Eh bien, Docteur Dupont a dit que ce n'était que de la psychologie. " Voyez ? " Eh bien, notre pasteur a dit que c'était du diable. Je n'aurai rien affaire avec cela. " Les autres, ils n'ont même pas le temps de voir aussi loin que ça : " C'est un charlatan religieux. " Voyez ? Et ils continuent comme cela... C'est ça l'attitude.          
10.       Mais étalez cette même chose dans l'un de ces journaux étrangers, toute la nation se détournera pour voir de quoi il s'agit. Voyez ? Voilà. C'est cela la différence. Voyez, ils n'ont pas été autant endoctrinés que nous le sommes tous et tout. Eh bien, ici ce soir, je vous appelle les élus. C'est vrai. Vous êtes aimables et merveilleux. Et vous m'avez aidé.
            Et vous rendez-vous compte que ce voyage en Inde, où des milliers et des milliers des gens ont reçu l'Evangile ; ils ont reçu Jésus-Christ à la fois, des gens qui étaient des païens et des idolâtres. Savez-vous que vous avez en grande partie financé cette réunion-là, vous qui êtes assis ici ce soir ? Vous l'avez fait. Je suis revenu, j'ai tenu des réunions et fait... Si seulement je peux en avoir assez pour retourner là pour donner à ces pauvres petites gens qui crèvent de faim, ces affamés qui n'ont rien à manger, et qui sont couchés dans les rues, et quelle condition, et ils ne font que mendier.              
            Et pourtant une seule chose, quand ils voient une seule chose extraordinaire de la miséricorde de Dieu, ils sortent des fauteuils roulants et s'en vont, ils jettent les béquilles. Et on parcourt la salle pour ramasser des histoires où ils... ?... gisent comme cela, comme cela. Ils - ils ont tout simplement mis cela dans des grands tas, et des choses comme cela, on les emporte, des brancards et autres. Ils n'en ont plus besoin. Quelque chose les frappe simplement et ils croient cela, ils continuent tout simplement. Voyez-vous ?                   
11.       Et c'est la raison pour laquelle, mes amis chrétiens, je vais ça et là, essayant de voir mes amis et - et... Pas pour collecter de l'argent, ce n'est pas ça. C'est pour rendre visite à mes amis. Eh bien, peut-être, ce soir si vraiment j'étais grandement dans le besoin, je pouvais aller auprès de deux ou trois personnes qui sont assises ici même dans cette assistance et elles m'enverraient en Inde. Mais ce n'est pas - ce n'est pas ainsi que je veux m'y prendre. Voyez ? J'aimerais avoir un centime de celui-ci, dix cents de celui-là, cinquante cents d'un autre. Voyez, comme cela ? Et alors tout le groupe aura eu quelque chose à faire là-dedans, et - et je prends un peu de repos après avoir été dans le champ missionnaire à l'étranger, je reviens, et je repars. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Voyez ?         
            Et je vous aime et je... Il n'y a pas de secrets. Il n'y a rien du tout devant moi ni rien que quelqu'un voudrait avoir. Mais tout est clair. Je dis aux gens tout ce que j'ai, chaque sou que je reçois, où que cela aille. Et mes papiers délivrés par le gouvernement américain sont là. Ma banque est là, et - et ma famille est là, ma maison. Les habits que j'ai, ce sont les gens qui me les donnent, voilà donc. Je n'ai pas besoin d'argent puisque les gens m'en donnent. Je préférerais plutôt les prières que tout l'argent. Alors, cela signifie que tout l'argent m'appartient, si j'ai cela - des amis. Voyez-vous ? Et les amis de Christ sont mes amis. Et je suis l'ami des amis de Christ. Et alors, c'est ainsi que je m'y prends dans la vie.            
12.       C'est merveilleux ! Je n'échangerais pas cela contre dix milliards de dollars. Je préférerais avoir cela, oh ! la la ! Oui, monsieur. C'est mieux. Et au total, mes dépenses s'élèvent à... J'envoie des milliers de lettres par semaine et on doit acheter des tissus sur lesquels on prie, et acheter - acheter des timbres. Et on dépense des centaines de dollars par semaine, et nous les envoyons dans les champs missionnaires à l'étranger et dans le monde entier, et tout. Avec cinq agents qui travaillent à plein temps au bureau, vous rendez-vous compte de ce que c'est ? Quand je ne suis pas dans le champ missionnaire. Voilà. Ça ne fait que régresser.             
            Les gens de la banque se sont adressés à moi, disant : " C'est en ordre, Révérend Branham, si votre compte est à découvert, laissez simplement faire. Vous vous en occuperez. " Voilà ma vie... ?... Ainsi c'est... Alors cela arrange les choses. Je vis donc juste par la foi, c'est tout, juste par la foi.           
13.       Et c'est la plus grande chose que j'aie jamais connue de ma vie, c'est de vivre par la foi en notre Seigneur Jésus-Christ, sachant qu'Il m'aime et qu'Il me bénit. Et prélever de l'argent ? Si jamais j'ai pris le… un centième de l'argent qui m'a été offert, pas ce que je demande, jamais je ne… Mais avec l'argent qui m'a été offert, je serais un multimillionnaire. Vous savez quoi ? Cela vous cause des ennuis. Je préférerais y aller au jour le jour, au jour le jour, vivre simplement pour le Seigneur. Ce dont j'ai besoin pour demain, Il pourvoira à cela demain. C'est vrai.                      
            Et puis je... Voyez, si vous pouvez avoir... Alors, vous vous mettrez à placer votre confiance dans vos richesses. Alors, vous vous mettez à... Si vous avez de l'instruction, vous vous y confierez. Si vous avez beaucoup de théologie, vous vous y confierez. Je n'ai pas de théologie, pas d'instruction, pas de personnalité, pas d'argent, ni rien. J'aime simplement le Seigneur et je place en lui ma confiance en tout. C'est tout ce que j'ai. Voyez ? Je... C'est ainsi que j'aimerais vivre. C'est mon choix, vivre comme cela.               
            Eh bien, que Dieu vous bénisse. Eh bien, vous êtes un peuple très aimable, ici à Chicago. Et maintenant, vu qu'il nous faudra peut-être encore quelques soirées là, notre auditorium ici… Nous... Quelqu'un en a parlé avant nous. Et c'est juste... C'est ce qu'on mérite. Il... Nous ne voulons pas faire des compromissions.             
14.       Mais maintenant, nous aimerions, ces quelques prochaines soirées si nous le pouvions, au lieu de prêcher, j'aimerais tout simplement faire quelques petites déclarations sur la Parole, et ensuite faire passer la ligne de prière tant que je serai en mesure de tenir debout. Voyez ? En effet, je reçois beaucoup de lettres. Les gens d'ici disent : " Nous - nous ne pouvons pas rester plus longtemps, Frère Branham. "                
Eh bien, il est impossible de savoir pour qui on va prier le soir. Comment saurais-je le nombre de ceux qui vont être guéris ce soir, alors qu'à ma connaissance je ne connais aucune âme vivante ? Je ne vois personne dans l'assistance que j'ai déjà vu auparavant, à ce que je sache. Je connais certains de ces garçons qui sont assis ici. Voyez ? Certains d'entre eux viennent de, eh bien, de mon église là à Jeffersonville, ce sont mes amis, mes amis personnels. Et... Mais je ne connais personne là-bas.               
            Eh bien, comment puis-je savoir là où l'Ange du Seigneur va être suspendu ce soir pour montrer une vision sur quelqu'un dont je ne sais rien ? Eh bien, cela... Billy Paul, je... Il va venir cet après-midi, ou plutôt ce soir, pour distribuer des cartes, et je pense qu'il l'a fait. Il distribue probablement une centaine de cartes. Elles sont là. Tout ce qu'il peut faire, c'est simplement les mélanger et vous les donner. Et il - il ne sait pas où les - les cartes de prière, ou plutôt à partir de quel numéro on va appeler. Moi, non plus. Je ne sais même pas si oui ou non on en appellera une. Voyez-vous ?                         
15.       Et - et, ça ne change rien, qu'on ait une carte de prière ou pas. Tout ce que je cherche à faire, c'est de vous amener à croire au Seigneur Jésus-Christ, et Il vous guérira. Vous n'êtes pas tenu d'avoir une carte de prière. Si vous remarquez bien, il y a plus de gens guéris là dans l'assistance qu'il y en a parmi ceux qui viennent sur l'estrade. Mais je...  Mais cela diminue vraiment ma force.                    
Eh bien, l'autre jour, j'ai appris que quelqu'un qui me connaissait très bien, a dit que, le fait que je m'affaiblis, et que je deviens faible, ce n'était qu'une imposture. Eh bien, que Dieu pardonne l'homme qui a dit cela. Voyez ? Car il ne savait pas de quoi il parlait. C'est tout. Il ne le sait pas. Et ce n'est pas le cas, mes chers bien-aimés amis.
16.       Quant à ma condition physique, je remercie Dieu pour la bonne santé, je suis très fort. Et je suis un chasseur et je vis dans les montagnes et dans les bois, et par la grâce de Dieu, j'en suis un très bon. Et ainsi donc, j'ai fait l'équitation et des choses comme cela toute ma vie, et j'ai été un très bon travailleur toute ma vie. Pour ce qui est de ma condition physique, tout va bien. Mais juste... Je peux me tenir ici et vous prêcher toute la nuit, continuer à prêcher. Mais que l'une de ces visions se produise, alors vous devez pratiquement être prêt à me transporter pour me faire partir de l'estrade. Voyez ? C'est simplement... Cela m'affaiblit. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais l'Ecriture dit que cela se fera, et ça se fait. C'est tout ce que je sais.                           
17.       Ainsi, que le bon Dieu vous bénisse maintenant. Je vais lire deux passages des Ecritures ici, juste pour une petite pensée, ou plutôt un petit entretien, peut-être de pas plus de quinze minutes, ensuite appeler la ligne de prière, afin que nous ne vous gardions pas jusque très tard la nuit.  Eh bien, l'un d'eux, parle de... Les deux passages se rapportent aux noms rédempteurs de Jéhovah. Et l'un d'eux se trouve dans Genèse 22, verset 7 :        
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit : Mon père ! Et il répondit : Me voici, mon fils ! Me voici. Isaac reprit : Voici le feu et le bois, mais où est l'agneau pour l'holocauste ?
Abraham répondit  : Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l'agneau pour l'holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
            Et au verset 14 nous lisons :
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Eternel il sera pourvu.
            Et puis, là dans les Psaumes, Psaumes 64 [Psaumes 46 - N.D.T.], verset 1 il est dit :
Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la  détresse.
18.       Eh bien, d'ici nous aimerions faire nos commentaires. Et maintenant, j'ai écrit sur cette enveloppe que j'ai amenée : " Les sept noms composés de Jéhovah. " En d'autres termes, ce que Jéhovah est, cela se trouve dans Ses sept noms rédempteurs.                         
            Eh bien, Dieu... Son attitude envers les gens depuis l'Eden, depuis là en Eden est contenue dans ces sept noms rédempteurs. Le premier, c'est Jéhovah-Jiré, qui signifie : "L'Eternel se pourvoira d'un sacrifice." Le deuxième, c'est Jéhovah Rapha : "L'Eternel, le Guérisseur." Manassé : "Notre Bannière." Shalom : "Notre Paix." Rohi : "C'est le Berger, notre Justice." Et Sham, "L'Eternel est présent."                       
            Eh bien, l'Eternel Shammah, S-h-a-m-m-a-h, Shammah, c'est celui dont je vais parler à partir du - du Psaume 64 [psaume 46 - N.D.T]. Et Jéhovah-Jiré est le premier, et celui-ci est le dernier. Jéhovah-Jiré, c'est "l'Eternel se pourvoira d'un sacrifice." Jéhovah Shammah, c'est "Jéhovah est présent." Maintenant, que le Seigneur ajoute Sa bénédiction à ceci comme nous parlons pendant quelques instants.           
19.       Maintenant, Jéhovah-Jiré. Quand Dieu est apparu à Abraham, Il... Le premier nom sous lequel Il lui est apparu, se trouve là dans Genèse 22, là où Il lui est apparu sous le nom de Jéhovah-Jiré.                      
            Eh bien, Abraham avait reçu de Dieu la promesse qu'il aura un fils qui sera son héritier. Et par cette semence, Sa semence, il serait l'héritier de la terre. Et à travers le fils d'Abraham, qui était Isaac, à travers Isaac, Jésus est venu et Jésus a fait entrer - a introduit les Gentils, c'est Lui qui pardonne toutes les races : le Blanc, le Brun, le Jaune, le Noir, tout le monde, et Il les rachète pour montrer que c'était le dernier âge. C'est tout. Il n'y aura plus d'autre âge après celui-ci. Ceci sera le dernier âge où Dieu traitera avec des gens en tant que mortels.                  
20.       Et si on avait eu un réveil avant la destruction antédiluvienne, avant la venue de Christ, si on avait eu un grand réveil, eh bien, qu'en est-il de l'accomplissement de tout cela ? Que se passera-t-il ? Considérez l'époque des apôtres... ?... depuis le début de l'âge des Gentils. Considérez quel réveil ils ont eu. Comment les gens venaient de chaque nation, et il se produisait des miracles. Considérez l'époque de Noé. Eh bien, ceci est le temps de la fin, juste à l'ombre même de la venue du Seigneur Jésus.            
            Il y a de bonnes nouvelles à annoncer ici. Leo, avez-vous tous apporté ce film ? L'avez-vous apporté ? J'ai un film qui m'a presque reconverti. Et on va le projeter ici dimanche après-midi, c'est ça ? [Un frère dit : " On ne s'est pas encore décidé là-dessus, Frère Branham - N.D.E.] Toutefois, ils vous annonceront quand ce sera projeté. Je ne voudrais pas que vous manquiez de voir cela. Et c'est l'un de mes propres films. Un homme me l'a donné, frère Arganbright, le - l'un des représentants des Hommes d'Affaires Chrétiens. Et il m'a donné ce film parce que j'ai beaucoup aimé cela. Et je n'ai pas de projecteur pour le projeter. Ainsi, j'aimerais le revoir moi-même. C'est sur le retour des Juifs en Palestine, deux érudits parlent à bord d'un avion, et vous allez certainement aimer ce film, et de les voir.                        
21.       Et chaque prophétie, tout ce que je sais, que je vois dans les Ecritures, est déjà accompli, on attend la Venue du Seigneur. Et comme je l'ai dit hier soir, je crois que la Venue du Seigneur Jésus, la seconde Venue, le temps où cela devait avoir lieu est déjà passé, ce temps est déjà passé. Et comme il en était du temps de Noé, la patience, Dieu attendait, ne voulant pas qu'aucun périsse. Et Il attend simplement, Il attend maintenant dans Sa patience, si bien que le temps de Sa Venue est déjà passé, Il attend que l'Eglise soit en ordre pour que la seconde Venue ait lieu. Qu'en pensez-vous, ami ?                        
Quel genre de personnes nous devrions être, de réaliser que ce jour peut être le dernier jour où nous sommes encore des mortels ? Il se peut que demain nous soyons immortels. Il se peut que celui-ci soit le seul jour que nous ayons, dans  notre vie, la dernière réunion où nous puissions jamais être ensemble, et travailler pour le Royaume de Dieu. Comment cette réunion devrait-elle donc être conduite ce soir ? Avec le plus grand respect, afin que de tout notre cœur, nous comptions sur le Seigneur Jésus pour qu'Il nous donne chaque âme qui est ici, et qui n'est pas convertie, qu'Il aide à faire quelque chose qui amènera l'incroyant et le tiède à considérer et à recevoir le Seigneur Jésus-Christ.
22.       Ce serait de l'égoïsme, si le cœur d'un homme n'aspire pas à sauver son frère. Quelque chose cloche dans son cœur. Quoi qu'il en soit, que son frère le haïsse, que son frère soit contre lui, que son frère ait tenté tout son possible pour le tailler en pièces, le cœur de cet homme battra cependant pour son frère. Il n'y peut rien. Quelque chose là-dedans crie : " Oh ! mon frère, tu es dans l'erreur. Mais je - je veux que tu sois sauvé." Et par conséquent, vous essayez de tout votre être d'amener votre frère à croire de tout son cœur et à entrer dans le Royaume de Dieu.
            Et maintenant, c'est là le genre de réunion que nous aimerions tenir chaque fois. J'ai prêché à - à des centaines de milliers de gens. Et j'ai prêché à quatre ou cinq personnes seulement. Mais je ne pourrais pas être plus sincère avec cinq cents mille personnes qu'avec cinq personnes, car pour Dieu, une seule âme vaut dix mille mondes.                                 
23.       Eh bien, pour que la rédemption ait lieu, le Seigneur Jésus-Christ devait venir. Avant que le Seigneur Jésus vienne, Dieu bien avant dans le passé... Cela... Pour moi, cela rend la Bible très parfaite. Dieu, là dans le passé, avant même que le Seigneur Jésus vienne, pendant quatre mille ans, tout ce qu'Il a fait tout au long de la Bible représentait le Calvaire.
Pensez-y tout simplement, tout dans l'Ancien Testament pointait droit au Calvaire. Tous les plans de la rédemption, tous les noms, tous les symboles, toute l'adoration, tout le tabernacle, tout le bois, toutes les choses dans le tabernacle, tout parlait de Christ. Où que vous alliez, quoi que vous fassiez... Autrefois, Dieu était là dans ces prophètes hébreux et les autres, parlant et parlant de ce temps de la perfection où Jésus viendrait pour amener les croyants à la perfection. Pensez simplement à ce que cela signifie, mes amis.                     
24.       Pouvez-vous vous arrêter juste un instant ? Je - je souhaiterais que Dieu ouvre nos yeux ce soir. Voyez-vous ? Nous sommes - nous sommes vraiment... Mon ami, je - je désirerais, si je savais que je pourrais vivre plus  longtemps et que je vivrais tout mon temps normal, je préférerais venir sous l'onction de Dieu et ne jamais quitter cela jusqu'à ce qu'Il me ramène à la maison. Voyez ?            
Voir comment cela a agi, et - et des choses qui ont... Quel monde différent ! Quelle inspiration différente ! Quand vous vous retrouvez sous cela, vous trouvez des choses que vous - vous... Les choses n'ont pas l'air correct. Il n'est pas étonnant que cela rende votre cœur... Eh bien, quand vous êtes là haut, vous... vous pourriez déplacer les montagnes. Ou quand vous êtes ici en bas, vous vous sentez très bien. C'est quand on est entre les deux, c'est ce qui fait cela. C'est là que… On dirait que vous retombez simplement sur la terre.                                    
25.       Et vous venez d'une dimension surnaturelle vers une dimension naturelle pour devenir l'homme mortel une fois de plus. Eh bien, vous êtes un mortel tout le temps, mais votre âme a été tellement ointe de quelque chose. Cela vous a élevé très haut au-dessus de la chose. Ici, vous êtes dans une dimension où le monde ne sait rien. Il n'est pas besoin d'essayer d'expliquer cela.                                        
            Et nous... Je dis ce soir que, comme nous sommes assis ici maintenant, nous sommes tout simplement aveuglés aux choses de Dieu. Je pense que si nos yeux pouvaient s'ouvrir ce soir et regarder par-dessus cet auditoire-ci, ils verraient les Anges de Dieu se tenant ici tout autour, les regards baissés sur cet auditoire en cet instant, peut-être volant de part en part à travers l'assistance ici, des chérubins venant du trône de Dieu, se tenant tout près, peut-être se tenant tout autour de cette estrade, des êtres angéliques planant ici.                               
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:06

26.       Oh ! vous dites : " Prédicateur, vous divaguez. " Non, je ne divague pas. Voyez-les se mettre à l'œuvre dans quelques minutes et vous saurez s'ils sont ici ou pas. Voyez ? Vous... Ils confirment cela par leur présence ici.                                          
            Vous dites : " Eh bien, s'Ils étaient ici, nous Les verrions. " Oh ! non. Vous pouvez être totalement aveugles à cela.
            Elie, lorsqu'il était là à Dothan, il a prié Dieu d'ouvrir Guéhazi, ou plutôt d'ouvrir les yeux de son serviteur (Je ne me rappelle pas maintenant si c'était Guéhazi ou non. J'ai fait allusion à cela à deux ou trois reprises, j'ai vérifié cela. Je suis... Nous voyons cela dans les Ecritures. Je ne sais pas si oui ou non c'était Guéhazi.) Mais lorsqu'il a demandé à Dieu d'ouvrir les yeux de l'autre afin qu'il puisse voir, voici des Anges étaient tout autour. Les montagnes étaient en feu et il y avait des Anges de feu et des chars de feu. Voyez ? Ils étaient juste autour de lui.
27.       Et remarquez. Eh bien, Elie s'est avancé là et a frappé ces Syriens de cécité. Quel genre de cécité était-ce ? Ils n'étaient pas aveugles, juste naturellement aveugles, physiquement aveugles. Ils étaient spirituellement aveugles. En effet, il s'est avancé là, il leur a demandé, disant : " Cherchez-vous Elie ? "
            Ils ont répondu : " Oui, nous le cherchons. "
            Il a dit : " Venez ici et je vous montrerai où il se trouve. " Et Elie les a conduits et les a amenés droit dans l'embuscade de - de - de l'armée de Palestine, là, et ceux-ci sont sortis en courant et les ont pris vraiment au piège, comme cela. Et ils étaient aveugles. Ils ne savaient pas que c'était Elie, et c'était Elie lui-même qui les conduisait.       
            Ne croyez-vous pas que ce soir nous sommes - nous pouvons être spirituellement aveugles vis-à-vis des choses qui sont autour de nous ? Regardez ceux qui allaient à Emmaüs. Leurs cœurs étaient pleins d'amour. Assurément, ils aimaient le Seigneur Jésus. Ils allaient le long du chemin, disant : " Oh ! si seulement nous avions... Oh ! si je... Si nous pouvions tout simplement Le voir une fois de plus. Le voilà, Il est mort. Nous espérions en Lui. Ce dimanche matin et on nous raconte toutes sortes d'histoires à dormir debout. " Et ils allaient le long du chemin, et le Seigneur Jésus Lui-même S'est avancé.
            Il a dit : "Pourquoi êtes-vous inquiets ? "
28.       Ils ont dit : "Etes-vous un étranger ? " Voyez-vous là ? Aveugles ? Ils ont demandé : " Etes-vous un étranger ? " Ils ont marché avec Lui, ils ont mangé avec Lui, ils ont dormi avec Lui pendant trois ans et six mois, ils marchaient à Ses côtés mais ne le savaient pas. Ils ont marché là, ils ont dit : "Es-tu juste un étranger ici ? " " Eh bien, dirent-ils, mais ne vous... Nous espérions que Jésus de Nazareth viendrait - était venu et... ?... Ce serait Lui qui délivrerait Israël et toutes ces choses."          
Et Jésus a dit : " Vous insensés et lents de cœur à savoir ce que le prophète a dit. " Il S'est référé aux Ecritures. On dirait qu'après avoir suivi Son enseignement pendant 3 ans et 6 mois, ils auraient dû reconnaître Son enseignement. Mais ce n'était pas le cas.
Et Il a avancé et a alors fait comme s'Il continuait son chemin au moment où ils entraient dans l'hôtel pour y rester toute la nuit. Ils se sont arrêtés dans un petit hôtel et le... ils... Il se rendait dans la salle à manger pour manger, alors ils ont dit : " Eh bien ", Il a fait comme s'Il continuait son chemin. Il a dit : " Ne voudriez-vous pas entrer avec nous ? "   
29.       Et Il a dit : " Eh bien... Eh bien… " peut-être quelque chose comme cela, Il est entré. Et le serveur s'est approché, et il leur a donné le menu, ils ont parcouru cela. Ils ont commandé le repas pour - pour leur souper. Et lorsqu'ils étaient assis là à la table, Jésus a dit : "Eh bien, Je crois que ç'a assez traîné, alors... " Il a tout simplement pris le pain, l'a béni, a prié et Il leur a ouvert les yeux.
Alors ils ont regardé et ont dit : " Eh bien, c'était Lui tout le temps ! " Et Il a directement disparu de devant eux. Voyez-vous ce que je veux dire ? Oh ! j'aimerais tout simplement que cela entre profondément jusque là où vous pourrez réellement vous en rendre compte. Voyez ?
Eh bien, chaque soir, vous Le voyez à l'œuvre, en action. Eh bien, Il est ici. Certainement qu'Il est ici. Toutes les preuves sont là pour l'attester. L'Ecriture déclare qu'Il ferait ces choses. Et Le voici en action ici sur la terre aujourd'hui, Il l'a fait au cours des âges, Il se meut juste parmi nous et fait des choses qui nous émerveillent.
30.       Avez-vous remarqué... Avez-vous déjà vu quelqu'un échapper à un accident, quelqu'un qui a failli être tué ? Il fait : " Ouf ! Oh ! la la ! comment est-ce possible ? C'était la main du Seigneur. " Voyez ? Il... Dieu est ici et là.
Il  y a quelques temps, une femme m'a dit, elle a dit... Elle venait d'être guérie à un endroit. Elle avait d'abord la tuberculose, et - et ensuite elle n'avait pas... Elle a grandi dans une église qui ne croyait pas au baptême. Et elle a dit : " Je pense que le fait que j'ai été aspergée, c'est en ordre. " Ou le fait qu'on lui a déversé ou je ne sais quoi qu'on lui avait fait. Et elle a dit : " Je pense que c'était en ordre. " J'ai dit : " C'est votre affaire. " Et j'ai dit : " Mais je crois au baptême par immersion. " Et il a dit... Elle a dit : " Eh bien, je ne pense pas... " Et elle a dit : " Je conçois bien le point de vue de frère Billy, a-t-elle dit, mais je n'accepte pas cette idée qu'il faille aller dans ce baptistère pour être baptisé ; je ne pense pas que ce soit obligatoire, a-t-elle dit, après que j'ai déjà été aspergée ", ou quoi que ce fût. Elle a dit : " Je ne pense pas que cela soit obligatoire. "
31.       Alors, il n'y avait pas de problème pour moi, si elle trouvait que c'était en
ordre. Je ne peux lui dire que ce que je vois dans les Ecritures. Elle est partie et elle est retombée malade. Et une énorme grosseur s'est formée sur son épaule ici, et elle faisait 40 degrés de fièvre. Elle a juste porté son - son peignoir et elle est venue là pendant que je prêchais. Elle a dit : " Frère Branham, maintenant même s'il vous plaît. " Elle a dit... Je l'ai baptisée sur-le-champ.
Elle était là à la rivière environ un mois après cela. Il y avait là une femme âgée assise au bord de la rue, et cette dernière lui a tendu la main. Elle a dit : " Gentille dame, voudriez-vous me donner dix cents pour acheter quelque chose à manger ? " La pauvre vieille était assise là, tremblotante, son visage était tout décharnu. 
Eh bien, elle a regardé dans son porte-monnaie et il n'y avait que dix cents. C'est ce que coûtait la traversée de la rivière. Elle ne savait donc pas comment elle retournerait à moins qu'elle traverse le pont à la marche. Et les dix cents étaient pour le bus… pour elle, et ses fillettes qui marchaient avec elle. Elle descendait la rue, et le Saint-Esprit lui a parlé, disant : " Pourquoi ne lui as-tu pas donné ces dix cents ? Moi, J'ai donné tout ce que J'avais pour toi. " Voyez ?
32.       Elle a dit : " Oui, Seigneur. " Elle est directement rentrée et elle a dit : " Madame, pardonnez-moi. " Elle a dit : " Je suis une chrétienne. " Elle a dit : " Le Seigneur m'a parlé. " L'autre a dit : "Que Dieu vous bénisse, chérie. " Et elle lui a donné les dix cents, et elle a continué à descendre la rue. Elle a dit : " Je sais. Je peux traverser le pont à la marche, c'est seulement un mile[1,609 km - N.D.T.]. Je vais donc le traverser à pieds. Il n'y a pas de quoi. " Elle commençait à descendre là où était l'arrêt de bus.
La fillette a dit : " Maman, regarde là. " Les dix cents gisaient là dans la rue. Voyez ? C'est - c'est donc le Seigneur. Ne croyez-vous pas cela ? Voyez ?
            Eh bien, quand Il est apparu à Abraham sous la forme de... Il a dit : " Maintenant, Abraham, Je te donne ce petit garçon Isaac ", juste un petit garçon doux, d'environ seize ans. " N'en parle pas à ta mère, mais je voudrais que tu... Je ferai de toi une grande bénédiction à partir de ce garçon. Je bénirai toutes les nations. Je te l'ai promis voilà maintenant vingt-cinq ans. Et tu as attendu jusqu'à ce qu'Isaac soit né. Maintenant, Je t'annonce ce que Je veux que tu fasses d'Isaac. Je veux que tu l'amènes là-haut et que tu le tues. Eh bien, va à - là dans les montagnes à l'endroit que Je t'indiquerai, et alors, tue-le là-bas. "
33.       Eh bien alors, Abraham n'a donc pas posé des questions à Dieu. Il savait que Dieu avait promis que par ce jeune garçon Il bénirait toutes les nations. Et si Dieu allait les bénir, qu'il soit mort ou vivant, Il le ferait. C'est tout. Et cela devait venir par là ; Dieu était donc capable de tenir Sa promesse.
Alors, il s'est levé le lendemain matin, il a pris quelques serviteurs et a scellé un petit mulet. Et lui, et le jeune garçon, et les serviteurs, ils sont allés, et là très loin, à trois jours de marche. Pensez combien l'endroit devait être éloigné, là très loin dans le désert. Et alors, ils ont levé les yeux et ont vu une montagne là très loin. Alors, ils se sont rendus à cette montagne, et il a dit aux serviteurs : " Maintenant, surveillez ce petit mulet, car le jeune garçon et moi, nous allons gravir cette montagne, et nous allons adorer. Puis Le jeune garçon et moi, nous reviendrons. Le jeune garçon et moi, nous reviendrons. " Il allait là pour le tuer. Comment allait-il le faire ? Il ne savait pas, mais Dieu avait fait la promesse. D'une façon ou d'une autre... Voyez ?
            Dieu laisse parfois Son serviteur arriver jusqu'à la dernière étape, et alors Dieu entre en scène. N'aimez-vous pas ça comme ça, juste voir ce moment crucial ?
C'est comme le... les enfants hébreux et la fournaise ardente, lorsqu'ils sont arrivés à la dernière étape de la route, là est apparu quelqu'un qui ressemblait au Fils de Dieu. Est-ce vrai ?
34.       La femme qui avait la perte de sang avait dépensé tout son argent, tout ce qu'elle avait, et les médecins n'arrivaient toujours pas à la soigner. Et elle avait probablement hypothéqué sa maison, ou l'avait vendue, elle avait vendu les chevaux, et les... tout. Il ne lui restait rien. Elle avait dépensé tout son argent chez les médecins, et les médecins avaient essayé de la soigner, sans y parvenir. Et alors à ce moment crucial, Jésus vint. C'est bien Sa manière d'agir, n'est-ce pas ?
            Il y eut le petit Jaïrus, il croyait secrètement dans son cœur. Il avait envoyé chercher le médecin, et le médecin avait fait tout son possible. Et - et juste alors, sa fillette mourut, et on l'avait étendue là. Tout... A l'heure la plus sombre qu'il eût jamais connue, c'est alors que Jésus vint, juste à ce moment crucial.
            Marie et Marthe, après qu'elles avaient quitté l'église, et Lazare aussi, et ils avaient cru en Jésus et Jésus s'en était allé et les avait laissés en détresse, quand le jeune homme était malade. Et alors, c'est au moment où le jeune homme est tombé malade, que Jésus est parti. C'était horrible. Ils L'ont envoyé chercher, Il ne voulait pas venir. Il est allé plus loin. Et elles L'ont encore envoyé chercher ; Il ne venait toujours pas, et ça s'empirait toujours. Et ensuite, après que tout espoir était perdu, alors Lazare mourut. Il était enseveli depuis quatre jours, il se décomposait déjà. Et à l'heure la plus sombre, lorsque tout espoir était perdu, tout le reste, alors Jésus vint juste à ce moment-là. Voyez ?
35.       Ici, Ses disciples allaient à Emmaüs, tout espoir perdu. Leur Maître était mort et tout, ils marchaient le long du chemin, découragés, rentrant chez eux, retournant à leurs filets de pêche, et n'importe où qu'ils allaient. Alors, Jésus est venu. Voyez ? Juste comme cela. C'est ainsi que Dieu s'y prend.
            Eh bien, là très loin, et alors, ils avaient juste peut-être... ils avaient probablement pris quarante-cinq minutes, ou une heure pour gravir cette colline. Eh bien, Jésus devait venir de quelque part très rapidement... En effet, Abraham avait le couteau sur son côté. Isaac portait le bois sur son dos. Il amenait du feu dans ses mains, et il gravissait la colline pour tuer son propre fils, parce que Dieu le lui avait dit ; Il lui avait dit aussi qu'Il bénirait toutes les nations par ce fils. En donnant la promesse...
36.       D'abord il a dû attendre vingt-cinq ans pour avoir ce fils, et maintenant il devait faire volte-face pour le tuer, voyez, rendant la promesse fausse. Dieu a dû mettre Abraham à l'épreuve. Nous ne comprendrons jamais l'épreuve qu'Abraham avait endurée, jusqu'à ce que nous le verrons dans la gloire.
            Et alors au sommet de la colline, alors, il est monté là et il a dressé l'autel avec des pierres. Et - et Isaac a demandé : " Père, a-t-il dit, voici le... " Le petit Isaac a dit : " Voici le - le feu et voici le bois. " Il a dit : "Mais où est le sacrifice ? " Voyez ?         
            " Eh bien, a-t-il dit, mon fils, Dieu Se pourvoira Lui-même d'un sacrifice. " Voyez ? Et alors, il a dit : " Dieu pourvoira d'un sacrifice. " Il a donc lié les mains du petit Isaac, il l'a jeté sur l'autel, et il a tiré le couteau. Et je me représente ce vieux papa avec son fils unique qu'il aimait... ?... a fait. Il avait plus de cent ans alors, et sa main posée sur les - sa chevelure, alors qu'il renvoya sa petite chevelure en arrière pour lui enfoncer ce grand couteau dans la poitrine, dans le cœur même de son être, un signe que Dieu était dans Abraham. Avez-vous remarqué cela ?
37.       Considérez David quand il a été détrôné par son propre peuple. Il a gravi le Mont des Oliviers, regardant en arrière et pleurant parce qu'il était rejeté. Son propre fils qu'il aimait, Absalom, l'avait chassé du trône. Et là, l'homme même de confiance lui jetait des pierres. Et il gravissait la colline, il regardait en arrière vers Jérusalem, et pleurait parce qu'il était rejeté.
            Huit cents ans plus tard, le Fils de David, Jésus-Christ, rejeté de la ville de Jérusalem par ceux qu'Il aimait, pleura sur Jérusalem. C'était Christ dans David.
            Toutes les anciennes choses de l'Ancien Testament, nous pourrions simplement passer des heures à démontrer comment tout cela se rapportait à Jésus-Christ, tout se rapportait à Lui. Et en Lui repose la plénitude de la rédemption. Et en Lui se trouve chaque nom rédempteur de Jéhovah, ça repose bien en Lui. Tout le salut repose bien en Lui. Toute la délivrance est bien en Lui. Toute paix, toute satisfaction.
38.       Les biens du monde ne peuvent jamais vous procurer la satisfaction. Le fait d'être membre d'une église ne peut jamais vous procurer la satisfaction. Vous ne serez jamais satisfait avant de trouver satisfaction en Jésus-Christ, le Fils de Dieu. C'est la seule façon dont vous pouvez jamais être satisfait. Eh bien, Il est venu apporter la perfection.          
            Eh bien, quand il a dit... Et considérez Abraham un peu plus longtemps. Et quand il était sur le point d'enfoncer ce grand couteau dans le cœur de son fils pour le tuer, car Dieu... L'Ange du Seigneur a parlé d'en haut et lui a dit : " Abraham, retiens ta main. " Et s'étant retourné, il vit un petit bélier retenu dans les lianes par les cornes, sur cette colline-là. D'où venait ce bélier ?         
39.       Eh bien, d'abord, il était éloigné de la civilisation, à une distance de trois jours de marche, à environ cent miles. [160,9 km - N.D.T.] Et ensuite, il était là loin au sommet de la montagne, là où il n'y a pas de ruisseau pour l'abreuver, pas de nourriture, là au sommet de la colline. Et c'était impossible qu'un bélier se retrouve là haut ; d'abord c'était trop éloigné de la civilisation. Ensuite, c'était au sommet de la montagne.            
            Et Abraham prit le bélier, délia son fils, lia le bélier et offrit le bélier en sacrifice. Et remarquez, ce n'était pas une vision. Le sang a giclé du bélier. Qu'était-ce ? C'était en type, Dieu amenant Christ à l'existence par la Parole. Et on a ôté la vie au bélier, et il est mort, juste au même moment : Jéhovah-Jiré, l'Eternel Se pourvoira d'un sacrifice. Quel que soit le moment où Dieu est pris au mot, Il est là pour accomplir Sa Parole : Jéhovah-Jiré.
 Juste encore une petite chose.         
40.       Eh bien, l'Eternel est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Et parmi ces noms  rédempteurs, il y a S-h-a-m-m-a-h, Shammah,  "l'Eternel est présent". Eh bien, Jéhovah-Jiré, Il pourvoira. Jéhovah, celui qui pourvoit, est présent. Saisissez-vous ce que je veux dire ? S'Il est le Sacrifice auquel l'Eternel a pourvu, alors Il doit être l'Eternel Dieu qui est présent au temps où on a besoin de secours, où on est dans le besoin. Voyez-vous ce que je veux dire ?          
Eh bien, s'Il est ici ce soir pour sauver tout le monde du péché, Il doit être présent ce soir pour manifester les autres noms rédempteurs. Il est Jéhovah-Jiré, Jéhovah Rapha, Jéhovah notre... Il est Jéhovah, le Sacrifice auquel il a été pourvu pour nous, notre Guérisseur, notre Bannière, notre Paix, notre Berger, notre Justice et Sa Présence. Il doit être tout cela maintenant même. Et la dernière chose…  
41.       Au dernier de Ses noms rédempteurs dans lequel Il est apparu à Abraham, Il a dit : " Je - Je suis Jéhovah Rapha, Celui auquel il a été pourvu pour pourvoir à un sacrifice, pour pourvoir à une voie. " Quelle que soit la chose, Dieu y pourvoira. "Et Je suis Jéhovah qui te guérit. Je suis ta Justice. Je suis ta Paix. Je suis ton Bouclier. Je suis ta Bannière. Je suis toujours présent pour accomplir cela ". Amen. Voyez-vous ce que je veux dire ? Toujours présent pour accomplir cela. "Moi, l'Eternel, Je l'ai déclaré. Moi, l'Eternel J'ai planté cela. Je l'arroserais jour et nuit de peur que quelqu'un ne l'arrache de Ma main. "                          
            Juste une petite histoire personnelle. Car, si je reste plus longtemps ici, je me mettrai alors à prêcher, peut-être que la ligne de prière ne se tiendrait pas comme il faut. Remarquez, juste un instant. Cette Ecriture a eu une grande signification pour moi une fois, plusieurs fois. Mais il y a une fois où c'était particulier, et j'aimerais attirer votre attention sur ça.                     
            C'était l'année où je m'étais marié. Après avoir perdu ma première femme, j'étais donc resté célibataire pendant environ cinq ans. J'ai épousé la charmante jeune fille que j'ai maintenant, ma femme.     
42.       Et nous étions pauvres, et je l'ai épousée juste au moment où j'avais assez d'argent pour prendre mes vacances, avec environ vingt dollars, pour aller dans les montagnes, pour une partie de chasse. Alors, c'était nos vacances et en même temps notre lune de miel. Elle avait donc épousé quelqu'un qui aime la chasse. J'aime les montagnes. J'aime le grand air.       
            A propos, une dame m'a envoyé des appâts artificiels que son mari a fabriquée. Si vous êtes ici, sœur, j'aimerais vous remercier pour cela. Je les utiliserai certainement, Dieu m'aidant.
Eh bien, j'aime le grand air, car on se retrouve seul ; c'est alors que je me charge pour venir me décharger quand je reviens. Eh bien, nous sommes allés là dans les Adirondacks. Et j'étais censé chasser là cette année-là en compagnie du garde forestier. Ainsi, j'aime chasser l'ours parce que c'est très - il faut beaucoup d'habilité pour le faire. Et je...          
43.       Ce qui explique cela, c'est le fait que mon grand-père était à mon avis, le meilleur chasseur qui ait jamais vécu dans les contrées du sud. Et il - il a tendu des pièges et il a chassé toute sa vie ; il était un instituteur intelligent et il était à moitié Indien. Et il - il aimait tellement les montagnes qu'il ne pouvait pas rester loin d'elles. Eh bien, c'est exactement ce que... je pense que tout cela a été déversé en moi. Et je - j'aime cela. Et j'aime bien les montagnes, je m'y sens à l'aise. Et un - un homme peut arriver à un point où il sent que rien ne lui manque, avec des choses comme cela.        
            Ainsi donc, là dans les Adirondacks, le garde forestier n'était pas là, il allait être absent deux ou trois jours. Et il n'y avait pas... il n'y avait pas beaucoup d'orage pour forcer les animaux à descendre. Ainsi, je suis allé là et nous avons construit un petit appentis, et j'ai amené ma femme pour une randonnée là dans les montagnes. Nous sommes sortis de la ville en véhicule. Nous étions à environ vingt-cinq miles [40,225 km - N.D.T.] au sommet du mont Hurricane là où, un ou deux ans auparavant, j'avais abattu trois ours en une année.                 
44.       Et j'étais donc là haut avec cette femme, cette jeune fille-là de vingt-deux ans et moi, j'en avais trente. Et nous étions donc là. Et Billy Paul avait alors environ six ans, je pense, et c'était sa première année à l'école. Eh bien, ce petit enfant était trop petit par rapport à son âge, et ainsi, elle prenait donc soin de lui. Et le garde forestier n'était pas là.           
            Et il semblait que… il semblait qu'un orage pourrait éclater, alors, j'ai dit : " Chérie, avant que le garde forestier vienne, et que nous allions chasser l'ours, je vais me glisser dans quelques unes de ces clairières. Quelques années auparavant, on y avait coupé du bois. " Et j'ai dit : " Je - j'irai là et j'attraperai une biche pour nous, puis, je reviendrai et nous aurons du gibier frais "              
            Et elle a dit : " Eh bien, ne va pas traîner." Elle a dit : " J'aurai apprêté ton dîner."
            Et j'ai dit : "D'accord." Et cette nuit-là, il a fait horriblement froid. Nous avions dû mettre Billy entre nous deux et nous l'avons gardé comme cela pour qu'il ne gèle pas. Elle n'avait jamais été dans les bois auparavant, elle n'en savait pas grand chose, et elle allait bien certainement geler, en dormant sur les aiguilles de pin.       
45.       Nous sommes donc sortis le lendemain, j'ai pris mon vieux petit fusil, et je suis descendu dans cette direction. Eh bien, je pensais que j'étais trop bon homme de bois pour me perdre. Je - j'ai donc été dans les bois toute ma vie. Et... "Eh bien, personne ne peut me déjouer là-bas", disais-je. Alors, je suis descendu dans cette direction, vers ces petites clairières, je me suis retourné, et j'ai vu beaucoup de piste de biches. On dirait qu'elles avaient toutes les sabots pointus et tout, comme c'était des biches. Alors, j'ai gravi la montagne dans cette direction.        
            J'ai entendu quelque chose bouger dans les buissons. J'ai prêté attention, et j'ai perçu que c'était le mouvement d'un animal à quatre pattes, mais ce n'était pas des sabots. C'était des pattes à coussinet. Je me suis dit : "Je me demande bien ce que ça pourrait être." Il faisait assez sombre, juste dans un tas de buissons à feuilles toujours vertes. Il s'est fait que j'ai regardé. Et un - un puma a traversé le sentier comme cela. Et il était très rapide. Je ne l'ai pas tiré dessus. Je me suis dit : " Eh bien, je vais simplement continuer à me faufiler dans cette direction et descendre l'autre versant. Et je serais toujours au bas du mont Hurricane. " Et j'ai dit : "Alors je peux toujours voir la tour en regardant en arrière", en effet, il semblait qu'un orage pouvait éclater d'un moment à l'autre.
46.       Je - je suis allé continuellement dans cette direction. Il me semblait flairer continuellement un - un ours quelque part, et j'ai continué à le flairer. Et je me suis dit : "Il est quelque part ici tout près. Il se tient probablement là devant moi." Alors, j'ai continué à marcher comme cela, surveillant le lieu. Et celui qui a déjà chassé ne marche pas dans les bois avec le fusil sur son épaule. Vous surveillez le mouvement des feuilles et oh ! il y a beaucoup de choses à surveiller.      
            Et alors, en surveillant de très près, je ne faisais pas attention à l'endroit où j'allais. J'ai gravi une colline, je suis descendu dans cette direction vers la gauche. Je me suis dit : " Eh bien, je suis en train de descendre droit dans un petit ravin ici." Il y avait beaucoup d'endroits accidentés comme cela.
47.       Et je suis descendu et je me suis faufilé très doucement. Je me suis dit : " Cet ours n'est pas loin d'ici." Et j'ai trouvé une grande et vieille caverne. Je me suis glissé au-dessus de cette caverne pour éviter de venir bien en face de cela et pour voir si l'ours dormait. Alors, j'ai contourné comme ceci, et il y avait là une vieille caverne vide. Il n'y avait rien là-dedans. Je me suis dit : " Eh bien, il était là. "     
            J'ai donc redescendu la colline que j'ai de nouveau contournée et je suis revenu. J'ai vu des buissons bouger dans le canyon. J'ai observé cela, naturellement, parce que souvent les ours mangent les fourmis. Ils aiment les fourmis parce qu'elles sont sucrées. Ils mettent leurs pattes dessus et ils les prennent là-dessus, ensuite ils lèchent leurs pattes.
J'ai donc observé attentivement. Une très grosse biche est sortie. Et je me suis dit : "Eh bien, oh ! la la ! Je suis très loin de la maison, mais c'est exactement ce qu'il me faut. " Alors, j'ai tiré sur la biche. Je me suis rendu là. Je me suis dit : "Eh bien, maintenant, je vais te dire ce que je vais faire. Je vais directement retourner. " J'ai dit : "Dites donc ! il est une heure passée. Eh bien, ai-je dit, elle sera - elle sera là en train de m'attendre. "
48.       Alors j'ai atteint le canyon, là où il y avait juste un petit ruisseau qui coulait en ondulant comme ceci. Et j'ai directement gravi le canyon aussi vite que possible. Et j'ai levé les yeux. Et j'ai dit : "Dis donc, je vais devoir me dépêcher. Cet orage ne va pas tarder de tomber ici. " Et le ciel était bas, il y avait du brouillard, et alors, on ne pourrait rien voir.
            Et je me suis à marcher, marcher, marcher. J'ai dit : "Voyons donc, j'avais dévié quelque part par ici." J'ai continué à regarder, regarder… La première chose, vous savez, j'ai marché, marché, marché. Et je me  suis dit : "Dis donc, c'est un long chemin, mais je n'ai pas vu du tout par où j'étais sorti. "
            La première chose dont je me souviens, je me suis dit… simplement laisser tomber…transpirant. Et je - j'ai sorti mon vieux mouchoir rouge, j'ai essuyé la sueur, j'ai regardé partout. Et là était suspendue ma biche. J'ai dit : "Qu'ai-je fait ? Je n'ai pas fait un tour pour revenir." " Eh bien, ai-je dit, je ne retrouve pas mon repère. " Alors je suis reparti. Et j'ai marché, marché, marché et marché, faisant attention à mon côté droit, parce que je savais que j'avais tourné à droite. J'ai tourné à gauche et il me fallait retourner à droite.
49.       Mais en ce temps-là l'orage était alors au niveau des buissons. Alors, j'ai
marché, marché, marché encore. Et la chose suivante, vous savez, j'étais très fatigué. Je me suis dit : "Eh bien, j'observe attentivement. Je reconnaîtrai sûrement l'endroit exact d'où je suis sorti, où se trouve ce monticule parce que les montagnes ont des versants formant un col comme ceci. " Et j'ai traversé ce col et ensuite je suis descendu, puis je suis remonté.
            Naturellement, je ne pouvais pas alors voir les montagnes situées devant, loin de nous, parce qu'il y avait trop - trop de brouillard, sinon j'aurais pu monter sur un endroit surélevé et regarder tout autour. Mais il y avait du brouillard et je ne pouvais percer cela, et la neige était sur le point de - elle tombait et tout. Alors j'ai avancé là un peu plus loin comme ceci, il m'est arrivé de m'arrêter et de regarder. Et j'étais de nouveau revenu là où était ma biche.
50.       Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort, ou plutôt le
chemin de la mort. Vous êtes sur un monticule ou un endroit plat, vous tournez en rond, sans boussole, ni rien. Je n'ai jamais amené une boussole dans les bois. Je - je pensais que j'étais trop bon. Je - je ne pouvais pas me perdre. Voyez-vous ? Dieu a dû m'apprendre un peu de bon sens, Il m'a ainsi donné un peu d'intelligence pour me faire savoir que je ne me suffisais pas. Je ne m'y connaissais pas autant que je le pensais.
            Et j'ai continué à tourner en rond. Je suis encore revenu à cette biche. J'ai fait cela trois fois. Et j'ai reconnu que je m'étais perdu. Eh bien, je…Alors j'étais perplexe. C'était vers 16h 30, presque 17h, et il commençait à faire vraiment sombre, presque noir. Je me suis dit : "Miséricorde ! Maintenant, qu'est-ce que je vais faire ? Ma femme est toute inquiète. Elle mourra aussi sûr que deux et deux font quatre, elle et cet enfant, tous les deux dans ces montagnes ce soir."
            Eh bien, si j'étais seul, je - j'aurais cherché à trouver cet ours une fois de plus ou je me trouverais un endroit quelque part, et j'hibernerais pendant un ou deux jours, jusqu'à ce que cet orage soit passé. Voyez ?
51.       Eh bien, j'aimerais faire une petite illustration ici. Si j'étais seul, je serais
parti à cette caverne, ou sous des rochers quelque part et je me serais fait un feu avec du bois là. Et je n'aurais pas essayé de chercher cela, parce qu'il y avait du brouillard. Mais je ne pouvais pas faire cela à ce moment là. Il y avait une urgence.
            Et je savais que ma femme n'avait jamais été de sa vie dans les bois jusqu'à la veille au soir, et ce serait de la mer à boire pour elle que de faire un feu. Et ce petit garçon, ils allaient mourir aussi certainement que deux et deux font quatre, en effet, la température allait probablement descendre loin en dessous de zéro cette nuit-là. Et ils allaient être effrayés à mort. Et ils allaient probablement chercher à errer dans la nature quelque part, où ils iraient me chercher avec affolement, ou quelque chose comme cela, ou se mettraient à crier. Et - et c'est difficile de dire ce qui serait arrivé. Et je sais que si quelque chose pouvait pousser un cri là, tous les deux s'évanouiraient certainement ; et je savais qu'il y avait un puma juste dans cette zone-là.
52.       Alors, j'ai dit : "Oh ! la la ! " Alors, j'ai commencé vraiment à m'affoler.
J'étais perplexe et nerveux. Et j'ai dit : "Une minute, William Branham. Qu'est-ce qui t'arrive ? Es-tu devenu fou ? " Et généralement, c'est exactement ce qui arrive. Vous vous affolez et vous… On vous retrouve gisant quelque part là dans un fossé, ou là où vous vous êtes fusillé, ou quelque chose comme cela, des dangers qu'on encourt dans les bois. Et j'ai dit : "Tiens, tu es trop bon homme des bois. Tu n'es pas perdu. Qu'est-ce qui t'arrive ? "
Et je me suis assis sur une pierre. Je me suis dit : "Eh bien, tu penses que tu es perdu, n'est-ce pas ? Mais tu n'es pas perdu. " Et j'ai dit : "Eh bien, ce brouillard ne signifie rien pour moi. Eh bien, assurément, je peux continuer directement, certainement. " J'ai dit : "Eh bien, voyons. Le vent souffle juste en face de moi. Si cela vient en face de moi, alors je dois retourner et prendre cette direction, car le vent me soufflait en face quand je montais et je serai sur la bonne voie en prenant cette direction. " Je me suis dit… Je me suis mis en route. J'ai dit : "Assurément, ça va ", cherchant à me séduire moi-même (voyez), me faisant croire que je n'étais pas perdu, alors que j'étais perdu. Et, frère, c'est le sentiment le plus horrible que l'on ait jamais eu. Si vous êtes perdu ce soir, j'ai de la compassion pour vous. Ayant été perdu, ne sachant pas où j'allais, et il y avait une urgence…
Et si jamais un temps arrivait où il y a urgence, frère, vous feriez mieux de chercher un refuge pendant que vous le pouvez. Si vous êtes perdu, vous feriez mieux de chercher la lumière du phare ce soir.
53.       Là, j'ai continué à marcher. Je suis arrivé à un endroit bas où c'était
humide. J'ai dit :  "Eh bien, bien sûr que je ne peux pas… " On n'y voit rien, juste le vent soufflant dans les arbres. Et ce qui m'était arrivé, c'est que j'étais descendu loin dans les Géants sans le savoir, cette zone appelée les Géants, la forêt vierge. Et je ne le savais pas.
            Et j'ai dit : "Oh ! si seulement je voyais le mont Hurricane, je saurais quelle direction prendre. " Je me suis dit : "Eh bien, avec cet orage qui s'abat, c'est difficile de savoir dans ces montagnes comment le vent peut dévier, changer de direction et d'où il vient. " Je ne pouvais donc pas compter sur le vent, et je le savais bien.
            Et je me suis assis de nouveau sur une pierre, j'ai dit : "Eh bien, tu n'es pas perdu. Tu sais où tu es. Eh bien, tiens-toi tranquille. Tu sais où tu es. " Mais toutes mes aptitudes de chasseur et d'homme de bois étaient parties. Je vous assure, en fait, j'étais complètement perdu. Mais j'essayais de m'encourager quant à cela ; en effet, je ne voulais pas m'affoler, vous savez, parce que je savais que ma femme et l'enfant allaient mourir cette nuit-là dans les bois si je ne les rejoignais pas. C'est tout. Et j'étais à des kilomètres d'eux, et il commençait à faire sombre et cet orage soufflait.                      
54.       Alors j'ai progressé un peu plus loin, et quelque chose m'a dit : " Eh bien, Billy, mais ressaisis-toi. Ressaisis-toi. Tu sais que tu es perdu. "       
            J'ai dit : " Non, pas moi. Je ne suis pas perdu. Je suis tout à fait sur la bonne voie. " J'ai atteint une colline, et je me suis dit : " Non, ça ne va pas. " Je suis retourné en prenant cette direction-ci et je me suis dit : "Je n'ai jamais vu ceci auparavant. D'où est-ce que ceci est venu ? " Je sentais que je tremblais. Je - je transpirais.                      
            J'ai dit : " Eh bien, ça ne sert à rien de se faire des illusions. Tu es perdu. Et il n'y a qu'une seule chose à faire : c'est d'accepter que tu es perdu. " Eh bien, je me suis dit : " Je suis perdu. " Eh bien, qu'arriverait-il si... si ce n'était pas pour ma femme et mon enfant, j'irais ici dans l'un de ces escarpements et je me trouverais un endroit comme je l'ai fait une fois. Je resterais là jusqu'au lendemain, ou le jour suivant, ou jusqu'à ce que l'orage cesse. Puis, je monterais à un endroit élevé, je regarderais partout pour voir où je me trouve, et je sortirais. Mais vous ne pouvez pas faire cela dans ce cas. Le brouillard se déplaçait.                      
55.       Eh bien, je me suis mis à marcher. J'ai dit : " Eh bien, je dois prendre une certaine direction. Je ne reconnais ni l'est, ni le nord, ni l'ouest ni le sud. Il n'y a pas de signe : la neige recouvre les arbres. " On ne pouvait pas distinguer les côtés de l'écorce, ni rien, et la mousse sur les arbres, c'était autre chose. C'était plat de toutes les façons et la mousse était sur la surface des deux côtés.            
            Ainsi donc, je me suis dit : " Eh bien, maintenant que puis-je faire ? " Alors, j'ai continué à marcher. J'ai dit : " Eh bien, je vais te dire ce que je vais faire. Je vais carrément prendre cette direction. Je sais que c'est par ici que je suis venu. Je dois aller en ligne droite parce que je - je tourne en rond. " Alors je me suis mis à marcher, j'ai dit : " Oui, monsieur. Je crois. Je crois que je suis... Je - je suis parfaitement sur la bonne voie. " Et je - je... Et je disais cela de ma bouche, mais mon cœur me disait : " Non. "             
            Alors, j'entendais sans cesse quelque chose me chuchoter à l'oreille : " Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " Je me suis dit : " Eh bien, je suis hors de moi", j'ai continué à marcher. Quelque chose a dit : " Le Seigneur est pour nous un refuge, et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " J'ai simplement continué à marcher. Et cela s'est fait entendre plus fort : "Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse." J'ai continué à avancer et à traîner mon fusil. Et j'étais fatigué à ce moment-là, vous savez. " Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui. " C'était Jéhovah Shammah qui me parlait.                                    
56.       Et je - je continuais à avancer. Je me suis dit : " Ô Dieu, je suis perdu. Je suis perdu, Seigneur. Je - je n'ai pas de boussole, je n'ai rien. " Mais j'ai dit : "Tu es toujours à moi, Seigneur. " J'ai continué à parler à haute voix. Je me suis dit : " Attends une minute maintenant. Tu vas être hors de toi. Tu vas devenir fou. Tu penses à ta femme et à ton enfant qui vont mourir ce soir. " J'ai dit : " Seigneur, je ne mérite pas de vivre, mais ne les laisse pas mourir. "                       
            Et j'ai entendu Cela dire de nouveau : " Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. " J'ai posé mon fusil contre l'arbre.
J'ai ôté mon chapeau, je l'ai déposé par terre, je me suis agenouillé sur mon chapeau. J'ai levé les yeux et j'ai dit : " Ô Dieu, je suis perdu. Je suis - je - je - je suis perdu, Père. Et Tu es ma boussole. Et je… Quant à moi-même, ayant été prétentieux comme je l'ai été, je pensais tout connaître à ce sujet, je - je ne mérite pas de vivre. Je devrais être perdu. Je devrais rester ici pendant des jours et manger des porcs-épics pour vivre, mais pense à ma pauvre femme bien-aimée, elle est innocente. Et mon enfant mourra cette nuit là-bas dans le… C'est notre seul enfant. Et si jamais je… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Et épargne leur vie. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Ils sont au point de s'affoler à cette heure-ci. Ici il fait presque noir, et je suis perdu, Père, complètement perdu. Ne voudrais-Tu pas me venir en aide? " Voyez?                               
57.       Naturellement, ce qui est à faire quand on est malade... juste comme j'aurais naturellement dû faire, ce que j'aurais dû faire, c'était d'aller dans une caverne, me faire du feu et attendre jusqu'au matin, ou jusqu'à ce que l'orage soit passé. Naturellement ce que vous faites lorsque vous êtes malade, c'est d'aller chez le médecin pour voir ce qu'il peut faire pour vous.           
            Mais je ne pouvais pas aller dans une caverne, il y avait une urgence. Et vous ne pouvez pas aller chez le médecin, parce qu'il a déjà dit que vous allez mourir. On ne peut rien faire pour vous. Il y a une urgence. Alors, qu'est-ce qu'Il est? Jéhovah-Jiré, Jéhovah Shammah. L'Eternel pourvoira d'un sacrifice et Dieu est au milieu de nous. Il est Celui qui est présent. Et lorsqu'on a besoin d'aide, Il est là. Le Seigneur est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais.
            Ou nous pouvons le prendre dans ce sens-ci : ne manque jamais, toujours présent pour venir en aide en temps de détresse. On peut le dire comme ceci : "L'Eternel est pour nous un refuge et un appui, un secours toujours présent en temps de détresse. " Et nous en étions là. Et vous en êtes là ce soir, c'est pareil. Certains d'entre vous sont très malades et les médecins vous ont abandonnés.
58.       Eh bien, si le médecin… Vous ne pouvez pas aller dans la caverne, il y a urgence, c'est donc Dieu qui vous parle ce soir, disant : " Je suis pour vous un appui et un secours toujours présent, maintenant, en temps de la détresse. "
Je me suis agenouillé et j'ai prié. Je me suis relevé. Je me suis dit : " Eh bien, maintenant, j'ai prié. Je T'ai adressé une demande, ô Dieu ! C'est tout ce que je peux faire. Tu m'as promis que si je demandais, je recevrais. Tu l'as promis, et c'est pour une cause digne, pas pour moi, mais pour quelqu'un d'autre. Et je - et je… "                                             
59.       Juste comme vous dites ce soir : " Seigneur, il se peut que je n'aie pas vécu aussi proche que je le devrais, mais si Tu me guéris ce soir, je vivrai pour Toi le reste de mes jours. Si je ne peux que distribuer les traités, si je ne peux que témoigner, je ferai tout ce que je peux si seulement Tu me rétablis. "                                         
            Il est pour nous un refuge, et un appui, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. Je me suis donc relevé. C'est tout ce que je pouvais faire. J'ai dit : " Maintenant, Seigneur, je m'engage dans cette direction-ci. Je crois que j'étais parti… Je suis venu comme ceci. C'est au mieux de ma connaissance : ma connaissance. Je suis venu comme ceci. Et je vais droit dans cette direction-ci, croyant que la Voix qui m'a parlé à l'oreille, laquelle a cessé maintenant, disait : 'Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.' Je crois que c'était Toi, ô Dieu. "                                    
60.       " Et regardant à travers ces pins alors que le vent les arrache et les traverse en sifflant là, je crois qu'au-delà de cela, il y a un Ange de Dieu qui m'a suivi dans cette forêt. " Et il y en avait Un, Il était avec moi, pourtant Il ne S'était pas du tout manifesté. Il y a des années, environ quinze ans.                                               
            Et j'allais là, marchant comme ceci, et j'ai senti quelqu'un faire [Frère Branham illustre - N.D.E.]sur mon épaule. Je me suis retourné pour voir qui c'était, et juste alors le brouillard s'est dissipé. J'ai poursuivi mon chemin à travers ces buissons, j'ai vu que je me dirigeais droit vers le Canada, le chemin que je suivais, à ma connaissance. Et le mont Hurricane se trouvait juste là, c'était de l'autre côté. Voyez, je passais juste par-là.                             
            Je me suis mis directement comme ceci. J'ai levé les mains, et j'ai dit : " Ô Grand Dieu ! Tu es si proche de moi que Tu as posé Ta main sur mon épaule. Tu es pour moi un appui et un secours, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. "
61.       J'ai tourné ma face, j'ai dit : "Il fait sombre. Je dois continuer ma course. Je ne dois pas dévier peu importe ce qui se met sur mon chemin. Si jamais je manque cela…"                                             
            Eh bien, cet été-là, j'avais aidé le garde forestier à installer une ligne téléphonique de la tour à l'endroit où l'on avait fait l'appentis. Et de là, nous avons fait la chasse. Je me suis dit : " Si jamais j'atteins ce fil téléphonique, je pourrais alors retrouver mon chemin. Mais je me dirige vers le mont Hurricane. Je ne peux pas me faufiler par ici parce qu'il y a trop de collines et de ravins. Et dans ce brouillard, je ne pourrais jamais retrouver cela. Je dois aller directement jusqu'à cette tour. "                                  
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:06

62.       Alors je me suis engagé, marchant avec les mains levées, louant Dieu. Il faisait nuit. Je ne voyais plus, et le vent soufflait, et déviait. Et je gravissais les collines et traversais des endroits raboteux. Peu importe le chemin où Il conduit, continuez à vous diriger au Calvaire. Continuez à regarder. Le chemin peut devenir raboteux. Vous pouvez glisser et tomber, mais continuez à vous diriger vers le Calvaire. Continuez tout simplement à avancer.                                    
            Et je me suis relevé. Et je me suis dit : "On doit être en pleine nuit maintenant. " J'ai levé les mains comme ceci. Je savais que la ligne téléphonique était à peu près à cette hauteur. Je me suis dit : " Oh! si seulement je pouvais toucher ce fil. Si je peux toucher ce fil, c'est mon seul espoir maintenant. Je ne peux pas… " Mes bras étaient tellement fatigués que je pouvais à peine marcher. Je levais celui-ci pendant que je faisais reposer l'autre et que je traversais ces buissons et contournais ces arbres, avec de la neige au cou et tout. Je me déplaçais comme ceci.                              
63.       Et j'ai dit : " Ô Dieu ! tout ce qui m'est cher sur cette terre se trouve au bout de ce fil, si seulement je peux retrouver ce fil. " Et je maintenais ma main comme ceci. Et j'avais baissé celle-ci, je ne faisais pas un pas, ni reculais, pour m'assurer que je n'avais… Oh! c'est ainsi que nous devons nous diriger vers le Calvaire. Ne perdez pas un seul centimètre. Je gardais ma main levée, avançant comme ceci. J'ai dit : " Ô Dieu ! assurément que Tu m'aideras à retrouver cela. Je viens tout droit, à ma connaissance, de traverser cette colline. C'est la direction que tu m'as indiquée. "                         
            C'est ce que vous dites à la Parole ce soir : "Tu as dit que Tu étais le Guérisseur. J'ai les mains levées. Je m'avance tout droit. C'est l'unique chose que je sache faire. C'est à Toi de m'amener à la guérison. C'est Toi seul qui peux m'amener au Sacrifice. "                                   
64.       Et voici, j'avais les mains levées; il se faisait tard. Je m'avançais. Je commençais à défaillir un peu dans mon cœur. Je me suis dit : " Oh ! suis-je déjà au-delà de cela? " Je suis entré dans quelques vallées. Je me suis dit : " Oh ! certainement  que je ne suis pas en train de descendre sur l'autre versant de la montagne. " Et j'ai gardé la main levée comme ceci, avançant à travers ces buissons, et il n'y avait même pas un rayon de lumière, nulle part, et l'orage faisant rage, soufflant, et tourbillonnant, et il faisait vraiment froid, ça gelait et tout. Il y avait à la fois la neige et la pluie, ou plutôt le brouillard.                     
            Et j'avançais comme ceci et tâtant de ma main. Tout d'un coup, vous savez, j'ai saisi quelque chose. J'ai palpé cela. C'était le fil téléphonique. Oh! quel sentiment! J'avais… Je savais que comme je tenais ce fil… Je me suis dit : " Je descendrai cette colline en marchant lentement. Et j'avance lentement. Je n'ôterai pas ma main de ce fil, car au bout de ce fil se trouve ce que je cherche, ma femme et mon enfant sont au bout de ce fil téléphonique. Je n'en détacherai pas ma main. Je suivrai cela jusqu'à ce que je… " Et j'ai fait cela, et je suis arrivé là pour trouver qu'on y avait allumé un petit feu et que tout allait bien.                                
65.       Frère, ce soir, Jésus-Christ est un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Si vous êtes malade et que les médecins ne peuvent plus rien faire pour vous, levez la main. Levez les yeux vers Dieu jusqu'à ce que vous touchiez ce petit fil électrique qui est sous tension, là, qui dit : " C'est fini. " Peu importe combien d'incrédules, et de sceptiques, et d'églises, et tout le reste que vous devez contourner, accrochez-vous-y, car c'est cela qui vous conduit jusqu'à votre délivrance.                
            Que Dieu vous bénisse. Gardez vos mains levées. Continuez à avancer ce soir. Gardez vos mains levées jusqu'à ce que vous saisissiez ce fil. Gardez vos mains de la foi levées jusqu'à ce que vous sentiez quelque chose vous toucher et dire : " C'est fini. " Alors, suivez cela. Suivez cela. "C'est fini." Vous avez Sa Parole, qui dit qu'Il vous conduira à la victoire. Vous… Par la foi, vous pouvez être guéri. Quiconque croit, peut être guéri. Gardez vos mains levées jusqu'à ce que vous sentiez la foi de Dieu se déverser en vous. Alors, suivez cela.                  
            Le Seigneur est pour nous un appui et un refuge, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Prions.               
66.       Père, il y a urgence ce soir pour les gens. Et Tu es le Seigneur qui est pour nous un appui et un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Ô Dieu ! puissent les mains de la foi se lever ce soir, spirituellement parlant. Pas juste les mains naturelles, physiques, qui n'ont que quelques pouces de long, mais, Père, puisse ce bras de foi qui peut aller au-delà de ce monde maudit à cause du péché, se lever, cette ligne de foi qui peut aller au-delà de la lune et des étoiles, et jusqu'à toucher Son vêtement, là. [Espace vide sur la bande - N.D.E.]…?… et puisse une Voix retentir du ciel, disant : " Je suis le Seigneur qui te guérit pour confirmer Ma Parole. Je suis Jéhovah Shammah, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. Je suis ici pour t'aider. "                                                          
            Ô Dieu, accorde ce soir que nous ne puissions pas être autosuffisants. Nous ne pouvons pas nous tirer d'affaire par un bluff, en disant : " Oh! je me rétablirai bientôt. " Non, Seigneur. Tu es notre Refuge. Nous nous réfugions en Toi. C'est en Toi que nous nous confions et c'est en Toi que nous croyons.               
67.       Maintenant, veux-Tu venir, Seigneur. Jette la petite ligne de sauvetage ici ce soir en accomplissant quelque chose de très particulier pour les gens qui, peut-être, n'ont jamais été dans les réunions auparavant. Fais quelque chose comme Tu l'as fait à Emmaüs. Fais quelque chose d'un peu différent de ce qui se passe dans les réunions ordinaires de guérison, ou dans un service ordinaire, afin qu'ils voient que le Seigneur Jésus qui est ressuscité des morts est ici avec nous ce soir pour nous accorder les désirs de nos cœurs, selon Ses richesses ; en effet, Il est mort pour acquérir cela. Nous le demandons en Son Nom. Amen.                                  
            J'étais… vous ai parlé un peu plus longtemps que prévu. Quand je me mets à parler, alors je n'arrive pas à m'arrêter. Bon, croyez-vous qu'Il est ici? Certainement qu'Il est ici. Eh bien, qu'est-ce qu'Il peut faire ce soir? Voici Sa Parole. Voici Son peuple. Sa Présence, je La sens ici. Eh bien, il n'y a qu'une chose à faire, la seule chose qu'Il peut faire maintenant, c'est de vous amener à croire cela. Est-ce vrai? Eh bien, Il a fait Sa part. Maintenant, c'est à vous de croire.                
68.       Maintenant, nous allons former une ligne de prière ici pour prier pour quelques personnes. On n'est pas obligé de faire cela, mais nous le faisons d'habitude dans nos services. Eh bien, il n'y a rien que je - que je puisse faire pour ce qui est de la guérison. Il n'y a rien que personne sur la terre  puisse faire à ce sujet, rien.                    
            Un médecin peut remettre un os en place ; il peut ôter une tumeur. Il ne peut pas guérir cela. La seule chose qu'il peut faire, c'est ôter la tumeur. Qui va donc opérer la guérison? Voyez? Il peut remettre votre bras en place, mais qui va opérer la guérison? Il faut Dieu. Psaumes 103.3 dit : " Je suis l'Eternel qui guérit toutes tes maladies. " Toute guérison vient de Dieu. Aucune guérison ne provient d'aucune autre source en dehors de Dieu. Nul ne peut guérir, nul ne l'a jamais fait, nul ne le fera. La guérison vient de Dieu seul. Dieu est Vie.             
            Maintenant, je voudrais vous poser une question. Vous dites : "Personne n'a jamais opéré une guérison. Jésus n'a jamais guéri quelqu'un? " C'est bien ce qu'Il a dit. Il a dit : "Je ne fais rien de Moi-même. " Il a dit : " Le Fils ne fait rien de Lui-même, mais ce qu'Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. " Saint Jean 5.19. Est-ce scripturaire?                
69.       Jésus a dit : " Le Fils ne fait rien, Il ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu'Il voit faire au Père. " Qu'est-ce que Jésus a alors fait? Il était investi d'une puissance pour avoir des visions. Il voyait ce qui se passait. Il a dit à la femme au puits où était son problème. Il a dit à Philippe où il - ou plutôt à Nathanaël, où il se trouvait qu'il ne vienne à la réunion.             
            Il a dit… Il leur a dit différentes choses par la puissance des visions. La femme toucha Son vêtement et s'enfuit dans l'assistance et se tint là, vous savez. Et Jésus s'est retourné et a dit : " Qui M'a touché? " Qu'a-t-Il dit là? " Je sens que Je suis devenu faible. " Est-ce vrai? " Une vertu (c'est-à-dire une force) est sortie de Moi. "               
            On Lui a dit : " Eh bien, c'est tout le monde qui Te touche. "           
70.       Il a dit : " Oui, mais Je Me sens faible. " Selon ce qu'on dit en Anglais : " Je me sens faible. Quelque chose est arrivé. Une vertu est sortie de moi. " Et Il a regardé tout autour, peut-être qu'Il a eu une vision. Je ne sais pas. C'est ce qu'Il a dit qui Lui est arrivé. Il a regardé tout autour, Il a vu la petite femme en vision. Lorsqu'Il - ces yeux ont percé cette petite femme, elle a su que… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]               
            Pas seulement dans l'âge apostolique, ou dans l'âge de saint François, dans l'âge de Wesley. Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et ét-… Je crois cela, mon ami.                 
Eh bien, pour les nouveaux venus, si notre Père céleste, dont j'ai essayé de parler ce soir, ce qu'Il était, qu'Il était contenu dans Ses Noms rédempteurs, s'Il vient ce soir sous la forme de Son Fils, le Seigneur Jésus, et qu'Il fait ce qu'Il avait dit qu'Il ferait, s'Il vient ici sur l'estrade et S'empare d'un peuple humble, pas seulement moi, mais ceux qui sont là dans l'assistance, ces humbles personnes qui s'assiéront et diront : " Oui, mon Seigneur, je crois de tout mon cœur. "                  
71.       Alors, le même Saint-Esprit qui était sur notre Seigneur Jésus-Christ lorsqu'Il nous a dit que nous serons baptisés, nous a dit que nous serons baptisés du même baptême que Lui, ou du même Saint-Esprit, Il viendra sur ce pauvre serviteur indigne, et qu'Il se tournera… Je ne sais rien de ce que je dis à l'assistance : " Vous qui avez ceci, cela, et vous qui avez ceci ou cela, vous serez… Vous êtes - vous - vous avez fait ceci, vous avez fait cela, et - et - et vous - vous êtes - vous… Si vous mettez cela en ordre, si vous faites telle chose, ainsi de suite. " Ou si on demande aux gens qui viennent à l'estrade : " Eh bien, voulez-vous accepter cela? " Et vous dites : " Je crois que c'est le Seigneur Jésus-Christ qui est ressuscité des morts. " Voudriez-vous accepter cela? Si oui, levez  la main. Et dites : " Je croirai que c'est le Seigneur Jésus-Christ. " Merci, merci. Que le Seigneur vous bénisse donc.              
            Billy, quelles cartes avez-vous distribuées ? La série B? Voyons, nous avons appelé… Lorsque nous avions tenu la ligne de prière il y a deux soirées, je crois que nous avions alors appelé à partir du numéro 1, n'est-ce pas? Très bien. Prenons… Quel était alors le dernier ? Commençons par la carte de prière, disons… Combien nous prenons généralement, environ vingt? Quinze à vingt? Eh bien, appelons-en quinze donc. Disons 85, 90, 95… Appelons à partir de 85. Voyons s'il y a…?…                                   
72.       Qui a B-85? Voudriez-vous lever la main? B-85; levez votre… 85. Qui a 86? Très bien. 87? Très bien. 88? B-88? Voudriez-vous lever la main? Quiconque a B-88? Celui qui a la carte de prière B-88, voudriez-vous lever la main? Merci. Est-ce ça, juste ici, madame? 88, 89? Qui a la carte de prière B-89? Voudriez-vous lever la main, où que vous soyez? 89? Merci. 90?… de prière B… La carte de prière 90, avez-vous… Est-ce dans le bâtiment? 90? Très bien, alors 91? Qui a 91? Très bien. 92, 93, jusqu'à 100. Avancez donc et prenez place.              
            Nous verrons comment ça serait, ensuite peut-être que nous… Si nous pouvons terminer ça à temps, si je ne suis pas épuisé à ce moment-là, les frères me permettront de rester encore pendant quelque… Cela dépend de ce que notre Seigneur Jésus fait.         
            Bon, combien là-bas n'ont pas de carte de prière, mais veulent être guéris? Levez la main. Que Dieu soit avec vous, qu'Il vous aide, qu'Il vous bénisse, c'est ma prière. Eh bien, si vous n'avez pas de carte de prière… Eh bien, pendant qu'on les aligne, j'aimerais prier pour ce qu'il y a ici dans cette boîte. Merci, Frère Billy. Pouvons-nous incliner la tête juste un instant.           
73.       Tendre et Bienveillant Père, il y a dans cette boîte des mouchoirs destinés aux nécessiteux, aux malades, et aux affligés. Des mères, et des pères sont en train de les attendre, des frères, des sœurs, des petits enfants malades et nécessiteux, des aveugles, des affligés, des boiteux. Oh! combien ils désirent ardemment qu'on leur retourne ces mouchoirs. Et nous sommes très reconnaissants,  Père, de ce que nous avons trouvé grâce à leurs yeux par Toi de sorte qu'ils croient que si nous Te prions, ils pourront être secourus. Nous n'en sommes pas dignes, Père. Je ne le suis pas. Je Te prie, ô Dieu, de ne pas considérer mon indignité, mais de considérer ces pauvres gens malades auxquels nous essayons de toutes nos forces d'apporter Ton Fils, Jésus.                                   
            Lorsque ces mouchoirs seront placés sur leurs corps malades, Père, au Nom de Jésus, Ton Fils, que la maladie quitte. Accorde-le, Seigneur. Puissent-ils être délivrés de ces choses et être complètement libres.                       
            Eh bien, Tu voyais ces gens lorsqu'ils écrivaient les lettres. Tu les vois maintenant. Tu les verras lorsqu'on les retournera. Maintenant, puisse l'Ange de Dieu dont la Présence est ici maintenant, Se tenir à côté de chacun d'eux. Et lorsqu'on posera cela sur ces malades, puissent-ils guérir rapidement. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour la gloire de Dieu. Amen.                          
74.       Je voudrais vous demander, s'il vous plaît, d'être aussi respectueux que possible. J'espère que vous comprenez de quoi il est question. Voudriez-vous y réfléchir maintenant? Me voici debout ici, juste un homme. Dieu le sait. Voici une file de gens, quinze ou vingt, quel que soit le nombre de ceux qui sont alignés. Je pense que c'était quinze, peut-être un ou deux d'entr'eux manquent, mais ils sont là et peut-être un peu plus. Il y a au moins mille six cents personnes assises ici, je pense, à peu près ce nombre, assises ici devant moi. Il y a eu au moins mille mains qui se sont levées pour montrer qu'ils sont dans le besoin. Et j'ai parlé ici ce soir de Jésus-Christ, disant qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.              
75.       Eh bien, représentez-vous qu'alors qu'on se tient ici, dans un auditoire d'une telle importance, on doit avoir absolument des critiqueurs assis là. On doit avoir des gens qui sont un peu méfiants. Vous sentez cela. Vous pouvez sentir cela. Lorsque l'Esprit commence à S'installer, vous pouvez sentir cela. Voyez? Mais je suis très content de ce que cela est assurément à un très faible degré. C'est la foi qui prédomine, ça a été le cas dans chaque réunion que nous avons tenue ici. Voyez? C'est vrai.                
            Je ne devais pas dire qu'il y a des critiqueurs assis ici présent. Cela peut être quelqu'un qui est tout simplement méfiant et qui dit : " Eh bien maintenant, je - je me pose simplement des questions. " Voyez? Si seulement cette personne savait l'effet que cela avait, et l'influence que cela avait, eh bien alors, il dirait : " Non, je crois. Je crois, Seigneur. Seigneur, viens au secours de mon incrédulité. "                      
76.       Eh bien, qu'en serait-il si notre Seigneur Jésus Se tenait ici sur l'estrade ce soir, et qu'Il Se tenait juste là où je me tiens, eh bien que ferait-Il ? Eh bien, ne considérons pas cela selon notre propre conception. Considérons cela du point de vue biblique.                   
            Eh bien, d'abord, Il a dit : " Je ne peux faire que ce que Mon Père Me  montre. " Et qu'est-ce qu'Il… Qu'était-Il? Il était le Sacrifice pourvu par Jéhovah. Est-ce vrai? Croyez-vous qu'Il était Jéhovah-Jiré? Il était le Sacrifice pourvu par Dieu.         
Alors, lorsqu'Il est mort, Il est mort pour… Il était blessé pour nos péchés (Est-ce vrai?), brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, par Ses meurtrissures, qu'est-ce qui est arrivé? Nous serons? Nous avons été ; nous avons déjà été guéris. Allons-nous être sauvés? Nous avons déjà été sauvés. Voyez? Vous n'avez point été sauvé il y a juste deux ans, ou il y a dix ans, ou il y a vingt ans. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans. Vous avez tout simplement accepté cela il y a deux ans ou trois ans. Votre guérison est déjà accomplie. Vous n'avez qu'à l'accepter. C'est la raison pour laquelle Il a dit : " Si tu peux croire. "                       
77.       Maintenant, voici une dame debout. Est-ce elle la patiente? Cette dame ici, je ne l'ai jamais vue de ma vie. Placez-vous ici maintenant comme chrétien pour être en face de cette femme. Placez-vous ici comme chrétien pour être en face de cette assistance. Alors vous feriez mieux de vous rassurer que l'Ange de Dieu Se tient à côté. C'est vrai.                             
            Eh bien, qu'arriverait-il si dans cette ligne il y a des critiqueurs? C'est peut-être là qu'il y a l'oppression, je sens l'oppression. Et si c'est le cas? Alors peut-être le… Ils seront frappés ici même à l'estrade de la maladie qu'ils prétendent avoir. Voyez? Qu'arriverait-il si un critiqueur est assis là, et qu'une maladie est chassée d'ici et que cela allait dans l'assistance? Ce critiqueur attrapera cette maladie. Voyez? Combien savent que c'est vrai, et combien ont déjà vu cela plusieurs centaines de fois dans mes réunions? Voyez? Assurément.                 
78.       Beaucoup d'entr'eux sont dans un asile d'aliénés, et couchés malades, et tout le reste. Qu'en est-il de ce gars là qui est venu ce soir-là pour m'hypnotiser ? Il est toujours paralysé. Oui, oui. Il y a environ quatre ans, et il est toujours couché paralysé. Un hypnotiseur, il allait dans ces camps militaires hypnotisant les gens et tout, et il les faisait aboyer comme des chiens et tout. Mais on ne peut pas jouer avec Dieu. Non, monsieur.           
            Soyez vraiment respectueux et soyez en prière maintenant. Juste… Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Très bien. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, pour la gloire de Dieu, le Père, et en tant que représentant de Son Fils, Jésus, je prends maintenant chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.                        
79.       Bonsoir, madame. Eh bien, venez tout simplement ici, s'il vous plaît, madame. Nous sommes les premiers à nous entretenir et c'était - cela rendait les choses assez difficiles comme c'est la première personne. Cela… Ainsi, cela… Cette façon, eh bien, parfois cela me prend un peu de temps avant que je - que Cela commence à m'oindre. Je ne suis qu'un homme. Vous - vous en êtes consciente. Je ne suis qu'un homme. Mais Il est le Seigneur.                     
            Eh bien, s'Il Se tenait ici et que vous ayez un besoin, ou un désir… Eh bien, si c'est quelque chose qui fait partie de l'expiation… et qu'est-ce qui fait partie de l'expiation? Tout ce dont vous avez besoin. Voyez? Car Il a remplacé tout ce que nous avions perdu en - en Adam. Il a réalisé cela en souffrant à notre place à la croix. C'est là qu'Il a payé tout le prix. Eh bien, tout… Il a dit : " Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir."                        
80.       Maintenant, s'Il était ici et qu'Il vous parlait, tout ce qu'Il pourrait donc faire ce soir, si vous disiez, eh bien, peut-être vous disiez : " J'ai un besoin, je suis sur le point de perdre ma maison, et il me faut de l'argent pour - pour ma maison. " Eh bien, Il vous demanderait : " Crois-tu cela? "              
" Oui ".
Alors, Il vous dirait : " Si tu crois cela, tu le recevras. "           
            Si vous disiez : " Eh bien, j'ai été tellement maltraité, et mes ennemis m'accablent." ou quelque chose comme cela.
            Il dirait : " Pardonne-leur, et ils viendront à toi. " Voyez? Mais qu'arriverait-il si c'était une maladie, ou peut-être quelque chose qui ne va pas dans votre vie, ou un acte immoral ou quelque chose comme cela? Il saurait cela. Mais c'est pour… Si c'était pour la guérison, Il pourrait vous dire ce qui cloche en vous, mais Il ne pourrait pas vous guérir parce qu'Il l'a déjà fait. Comprenez-vous cela? C'est vrai. Eh bien, alors, s'Il est - s'Il est ici, je crois qu'Il est ici, alors Il répondra certainement de la même façon, n'est-ce pas? Croyez-vous cela, chrétiens? [L'assemblée dit : " Amen. " - N.D.E.]            
81.       Je - ne soyez pas pressés (Voyez?), soyez vraiment respectueux. Cette femme est très malade, car une ombre noire est suspendue entre elle et moi. Vous êtes sur le point de subir une opération, n'est-ce pas? C'est pour une tumeur. Elle se trouve sous le bras, c'est grave. Dieu seul peut vous aider. C'est la vérité, n'est-ce pas? Croyez-vous maintenant qu'Il est ici pour vous aider? Inclinons la tête.
Dieu notre Père, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, je pose les mains ici, là où le bistouri doit passer. Si cela ratait le petit endroit, le reste, Satan pourrait revenir immédiatement comme un lion rugissant. Mais Tu sais exactement où cela se trouve, c'est dévoilé ici même sur l'estrade. Dieu bienveillant et Tout-Puissant, je T'en prie, épargne la vie de cette femme, Père. Et elle sait qu'elle se tient ici dans la Présence d'un Etre qui la connaît. C'est Toi, ô Dieu ! Ecoute la prière de Ton serviteur. Il est dit dans la Bible : " La prière fervente du juste est d'une grande efficace. " Regarde tout simplement les hommes et les femmes ici en train de prier pour elle en ce moment. Ô Dieu, je T'en prie, au Nom de Jésus, épargne sa vie et laisse-la vivre. Et nous Te louerons pour cela, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.           
82.       Bonsoir, madame. Maintenant, c'est un peu différent. Cette dame-là devait être la première il y a quelques instants, lorsqu'elle s'est rendue compte que Cela était là où elle se tenait, elle a pu ressentir les effets que Cela avait sur elle. Vous pouvez vous en rendre compte maintenant (Voyez?), que ce n'est pas votre frère. Je ne suis qu'un homme. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, et peut-être que vous, vous ne m'avez jamais vu. Nous sommes tout simplement étrangers l'un à l'autre. N'est-ce pas vrai? Si Dieu m'aide et me dit ce pour quoi vous êtes ici, ce dont vous souffrez ou quoi que ce soit… S'Il me révèle tout simplement cela, l'accepteriez-vous comme votre Guérisseur? C'est tout ce que je peux faire avec un don divin.         
            Vous autres là-bas, allez-vous dire : "Je vais… " Cette femme, c'est la première fois que nous nous rencontrons ; est-ce vrai, madame? C'est vrai, n'est-ce pas? C'est vrai. Nous ne connaissons rien l'un de l'autre, pas de contact, rien. Nous sommes de parfaits étrangers. Et voici que nous nous rencontrons.          
83.       Maintenant, écoutez, mes amis, ne pouvez-vous - vous pas comprendre ce que ceci - ce que je veux dire? Eh bien, il y a quelque chose qui doit être ici, un moyen qu'il me faut pour savoir ce qu'il en est au sujet de cette femme. Si quelque chose est dit, je ne peux pas faire cela; je ne suis qu'un homme. Elle est là, ayant l'air d'une femme en bonne santé. Il peut même ne pas s'agir de sa santé, à ce que je sache. Mais ça peut aussi être ça ; je ne sais pas. Mais si le Saint-Esprit vient et lui dit simplement… Eh bien, quant à sa guérison, si c'est une maladie, je ne pourrais pas la guérir. Je n'ai aucune puissance pour faire cela. Personne d'autre n'en a. Cela doit venir de Dieu.                
            Eh bien, vous croyez que ceci est Sa Parole, n'est-ce pas? Vous croyez qu'Il est ressuscité des morts, n'est-ce pas? Vous croyez qu'Il a dit : " Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. " Il a dit : " Je ne fais rien à moins que le Père me le montre. " Et les œuvres même qu'Il a faites s'accompliront ici ce soir. Quant à la guérir, s'il s'agit de la maladie, Il ne peut pas le faire. Il l'a déjà fait. Et tout ce qu'Il pourrait faire serait, d'une certaine façon, de l'amener à croire cela. Est-ce vrai? Combien savent que c'est vrai? Juste une certaine façon de l'amener à accepter ce qu'Il a accompli pour elle.                               
84.       Eh bien alors, si c'est le cas pour cette femme, ne serait-ce pas exactement le cas aussi pour vous autres là-bas ? Tout ce qu'Il veut que vous fassiez, c'est croire. Tout ce que j'essaye de vous amener à faire, c'est croire. Le prédicateur veut que vous croyiez parce qu'il prêche la Parole. Moi, par ce don divin qui m'a été donné souverainement par Dieu à ma naissance… Toute ma vie, cela a été ainsi, parfait chaque fois. Ainsi, ne voyez-vous pas que c'est Dieu qui essaie de vous amener à croire? J'espère que vous voyez cela, mes enfants bien-aimés.        
            Eh bien, entre moi et cette femme, je la vois se déplacer dans la cuisine ou quelque chose comme cela. C'est à table. Elle n'arrive pas à manger. Elle a des troubles gastriques. C'est vrai. Eh bien, n'est-ce pas vrai ce qu'Il a dit? Eh bien, s'Il est ici, que nous sommes étrangers, et qu'Il sait tout, qu'Il sait ce qu'était votre problème, cela ne suffit-il pas pour vous amener à croire? Cela suffit-il pour vous amener tous à croire? Mais maintenant regardez, eh bien, si je parle à cette femme pendant longtemps, Il me dira probablement quelque chose sur sa jeunesse, ou quelque chose comme cela. Voyons.          
            Allez-vous tous… Pas pour… Si Dieu veut… Voyez, c'est… Eh bien, je ne peux pas dire qu'Il le fera. Mais s'Il le fait, est-ce que cela vous encouragera doublement? Si c'est le cas, veuillez simplement lever la main, pour dire : " Cela m'encouragera doublement. " Très bien, eh bien, puisse Dieu accorder cela; je ne dis pas qu'Il le fera.      
85.       Je voudrais tout simplement vous parler. Quel était votre problème ? Qu'est-ce qui clochait en vous? Qu'est-ce qu'il a… des troubles gastriques. Oui, des troubles gastriques. Eh bien alors, s'Il guérit votre estomac, la maladie de votre estomac, Il est merveilleux, n'est-ce pas? Il est - Il est aimable. Et L'aimez-vous? Eh bien, Il est merveilleux, n'est-ce pas, l'aimable Seigneur Jésus? Et nous nous attendons à Lui maintenant.          
            Lorsque la femme au puits s'était tenue là et avait parlé à Jésus, Il a continué… Il a dit : " Donne-moi à boire. "
            Elle a dit : " Eh bien, il n'est pas de coutume pour les Juifs et… "
            Vous êtes de quelle origine? Espagnole? Mexicaine? Je le pensais.               
86.       Et Il a dit… C'est donc quelque chose de ce genre, n'est-ce pas, à peu près la même chose? Et oui, madame, vous avez un frère qui est malade. Il a un genre de crise, ou quelque… Oh! c'est une crise cardiaque. Il se tient le cœur et s'écroule. Je le vois. Je pensais que c'était l'épilepsie, mais ce sont des crises cardiaques; il tombe suite à des crises cardiaques. Vous lui avez parlé, et vous l'avez persuadé - vous l'avez persuadé de se faire baptiser pour devenir un vrai chrétien. C'est la vérité.
            Dieu notre Père, pour cette pauvre petite femme en larmes qui se tient ici, sachant que le Seigneur Jésus dont nous parlons est présent maintenant, notre Refuge, notre Appui, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse, Ô Dieu ! sois miséricordieux et accorde-lui le désir de son cœur. Et peu importe ce qu'étaient ces choses, Seigneur, qui ne sont pas correctes, redresse-les, Père. En tant que Ton humble serviteur, et avec l'onction de Ton Esprit sur moi maintenant, je lui impose ces mains et je demande à Dieu, notre Père, par Jésus-Christ de lui accorder le désir de son cœur. Amen.
            Eh bien, sœur, vous êtes tout simplement tenue de recevoir ce que vous avez demandé, n'est-ce pas? Sentez-vous que vous vous êtes emparée de la ligne maintenant? Suivez-la tout simplement jusqu'à la maison. Amen. Que Dieu vous bénisse.              
87.       Ayez foi. Jésus a dit : " Ayez foi en Dieu. "  
            Je vois quelque chose se déplacer de haut en bas comme ceci, par ici, cela continue à se déplacer. C'est quelque chose d'élancé. Il y a quelqu'un en train d'écraser quelque chose. Oh! c'est un - c'est un médecin. Il est en train de consulter une femme. Et elle… C'est - c'est cette femme de couleur assise juste ici. Elle souffre d'hypotension, elle est assise juste ici à… Que Dieu vous bénisse. Eh bien, vous pouvez rentrer chez vous bien portante. Suivez cette ligne que vous venez de toucher tout à l'heure; elle vous mènera à la délivrance. Amen. Amen.           
            Croyez-vous maintenant? Le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, Sa Présence est ici. La femme là… Voyez, tout ce que vous devez faire, c'est croire tout simplement. Voyez, ce n'est pas moi ; de ma vie, je n'ai jamais vu cette femme. Je ne sais rien d'elle. Dieu le sait. Mais sa foi a contacté l'Esprit. Voyez? Et qu'est-ce que cela a fait? Exactement la même chose que pour la femme qui avait la perte de sang : Il s'est tourné vers l'assistance et Il a dit : " Ta foi t'a sauvée. " Voyez? C'est ça. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.
88.       Que le Seigneur vous bénisse, madame. Que Dieu soit miséricordieux envers vous, c'est ma sincère prière. Nous sommes étrangers l'un à l'autre, je suppose. Nous le sommes. Et croyez-vous que le Seigneur Jésus est exactement tel que je L'ai présenté là dans la Bible, qu'Il est ressuscité des morts et qu'Il est l'aimable Fils de Dieu ? Croyez-vous cela de tout votre cœur ? Si le Seigneur Jésus me révèle ce qu'est votre problème, allez-vous alors L'accepter comme le Guérisseur des maladies, si c'est cela ? Allez-vous le faire ? Vous le ferez. Que Dieu vous bénisse, maman. En effet, vous êtes une mère, je vois que vous l'êtes. Eh bien, votre vie ne peut pas être cachée. Voyez-vous ? J'ai contacté votre esprit et votre vie.                      
            Et vous êtes ici pour que je prie pour vous, vous avez de l'hypertension. Vous aviez l'hypertension. Et vous avez quelque chose, et je vois quelqu'un examiner vos genoux. C'est le - c'est un liquide qui provient de dessous les rotules. C'est vrai, n'est-ce pas ? Eh bien, s'Il peut révéler cela, Il peut vous guérir, n'est-ce pas ? Assurément. Oui, madame. Certainement qu'Il le peut. N'est-Il pas aimable en aidant cette pauvre femme ? Qu'est-ce qu'Il essaie de faire ? L'amener à croire, élever sa foi. Soyez très respectueux, tout le monde, je vous en prie.                                 
89.       Peut-être que nous parlerons juste un instant, maman. Cela… Voudriez-vous que je vous parle une minute ? Très bien, je vais vous parler. Très bien, maintenant, j'aimerais donc vous poser une question. Si vous croyez que je suis Son serviteur… Eh bien, croyez-vous que Dieu peut me parler et me dire ce que vous êtes - ce que - ce que -ce que vous voulez, ce que - ce que vous désirez d'autre ? Je vois ce que c'est maintenant même. Oui, oui. C'est pour un - un fils ou plutôt un petit-fils. C'est un petit-fils. Et le garçon est très nerveux. Il est tout bouleversé. Il - il est un - il a été à la guerre. Il était en Corée. Il a été blessé. Et il est revenu à la maison. Et il n'a pas de travail, il est tout bouleversé. C'est la vérité. Rentrez chez vous ; il va trouver du travail, et vous, vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.                 
            Croyez au Seigneur Jésus. Ayez seulement foi ; vous recevrez ce que vous demandez. Si vous n'avez pas de foi, vous ne pouvez rien avoir. Car par la foi… Sans la foi, il est impossible d'être agréable à Dieu.                             
90.       Eh bien, cette dame m'est étrangère. Est-ce vrai, madame ? Nous sommes… S'il vous plaît, soyez aussi respectueux que possible. Nous allons terminer dans quelques minutes. Je n'aimerais pas vous ennuyer avec de longues réunions, mais j'essaie de prendre mon temps sur ces gens pour voir si cela édifiera la foi de l'assistance. Ne vous déplacez pas, s'il vous plaît, ne faites pas cela. Voyez-vous ? L'Esprit est en train de s'établir venant d'un endroit, un endroit, comme ceci. Alors ici, cela change et on se déplace, et ça vous dérange. Voyez ? Cela - cela - cela m'affaiblit plus vite. Eh bien, juste un instant maintenant.                                 
91.       Maintenant, pour vous, sœur. Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Nous ne nous connaissons pas, nous ne nous sommes jamais vus dans la vie. Mais croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous aider ? Vous êtes ici pour quelqu'un d'autre. Oui, oui. Il n'habite pas ici. Il est de Duluth. Et puis vous avez… Vous - vous êtes… Cette personne a l'arthrite, elle ne peut pas se lever. Et il y a quelque chose au sujet d'un soldat. Il - il était un soldat, c'est ce que c'était. Et il - il a été blessé à cheval, il s'est blessé lui-même. Eh bien, ce mouchoir que vous avez en main, pendant que le Saint-Esprit est sur vous, prenez cela et posez-le sur lui. Que Dieu vous bénisse au Nom du Seigneur Jésus.                 
            Croyez-vous que tout est possible ? Il y avait quelque chose au sujet d'un soldat, il y a quelques minutes. Et voilà un soldat là, je pensais que c'était… Cela se répète encore, et c'est la raison pour laquelle je - j'ai regardé pour voir où c'était. Mais c'était - mais c'était autre chose.          
            La dame assise là en train de me regarder, juste là, vous avez l'arthrite, n'est-ce pas, madame ? Madame assise là, avec un petit quelque chose de rond autour du chapeau, là au bout de la rangée. Voulez-vous que le Seigneur Jésus vous guérisse de cela ? Croyez-vous de tout votre cœur qu'Il va le faire? La dame assise à côté de vous a aussi l'arthrite. Vous êtes dérangée par l'une ou l'autre chose, qui sort dans la bouche. Oh ! c'est la bile. Vous av-… Est-ce vrai ? Assurément, c'est vrai. Posez vos bras, ou plutôt les mains l'une sur l'autre là. Vous tous, imposez-vous les mains.                 
            Seigneur Jésus, Tu vois ces choses, et je Te prie de la guérir et de la rétablir complètement, toutes les deux, Père, pour Ta gloire, au Nom de Jésus-Christ. Amen.                  
92.       Cette femme assise là au fond en train de prier, je vois la Lumière se tenir au-dessus de vous. Vous souffrez d'une affection de la vessie, madame. Vous croyez… assise juste, en petite robe brune, en train de me regarder juste ici, la voilà. Vous aviez une affection de vessie, n'est-ce pas ? J'ai dit : " Vous l'aviez, n'est-ce pas ? " Vous n'en avez plus maintenant.             
            Là au fond derrière vous, une autre dame en manteau brun, elle a des troubles gastriques. Elle aimerait aussi être guérie. Croyez-vous, madame ?  Vous qui êtes assise juste là derrière, le gentleman là, en train de me regarder, juste tout droit là derrière… Oui, avec votre main levée, vous qui portez on dirait un petit pull-over vert. Non, par ici, sœur, juste ici. Non, levez-vous, madame, vous, juste ici avec le… assise là au bout de la rangée. D'accord, avec la main levée, c'est là que la Lumière se tient, juste là. Levez-vous et acceptez cela maintenant même pendant que vous en avez l'occasion. C'est vrai. Que Dieu vous bénisse, vous aviez des ulcères à l'estomac, cela est complètement parti maintenant. Votre foi vous a guérie.                
93.       Que Dieu accorde que cela s'approche davantage. On dirait que quand vous êtes là au fond … La petite dame, assise par ici où j'ai pointé le doigt. Juste de l'autre côté. Je pensais que c'était au-dessus d'elle. Je vois que c'est de nouveau au-dessus d'elle. Mais je vois quelque chose… C'est la dame qui a la main levée. Vous qui avez levé la main, mettez-vous debout. Vous qui portez un chapeau rouge vif. Oui. Je pensais que c'était la petite dame assise en face de vous, mais il s'agit de vous. Oh ! c'est une affection de vessie ; c'est cela. Oui, je vois cela maintenant, quand on a fait l'examen de la vessie, sous cette côte-ci où il y a ces douleurs. C'est vrai. Rentrez chez vous maintenant, que Jésus-Christ vous bénisse, ma sœur.   
            Croyez-vous ? " Si tu peux croire, tout est possible. " Ayez foi. La petite dame, assise juste par ici avec - souffrant d'une maladie de femmes, ayez tout simplement foi en Dieu, madame. C'est tout ce que vous devez faire. Dieu vous accordera votre guérison. C'est vrai, vous, oui. Mettez-vous debout. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Que Dieu vous bénisse.                                 
94.       Cette dame-ci souffrait aussi d'une maladie de femmes. C'est là que ce démon était en train de tirer dans tous les sens. Vous avez une maladie de femmes. C'est vrai. Voyez, cet esprit était en train de se déplacer dans tous les sens. Il y avait quelqu'un là qui venait d'être guéri de la gastrite, en effet, vous aviez aussi la gastrite. C'est vrai. Vous avez une infection, le - a-t-on dit dans les glandes féminines, le médecin vous a dit que c'était une infection. C'est vrai. Je vois ces démons en train de se tirer les uns les autres, on peut les reconnaître de cette façon.           
            Eh bien, voici la chose dont vous avez plus besoin ; vous avez besoin de Jésus comme votre Sauveur, parce que vous n'êtes pas une chrétienne ; vous êtes une incroyante. Pas une incroyante, mais vous êtes - vous n'êtes pas une chrétienne. Voudriez-vous L'accepter maintenant, sachant que vous vous tenez dans Sa Présence ? L'acceptez-vous maintenant comme Sauveur ? Approchez.
Ô Dieu ! alors que cette enfant qui errait revient à la maison ce soir, cette affliction était là pour l'amener au pied de la croix, et maintenant, Seigneur, pardonne-lui chaque péché, guéris-la des maladies de son corps afin qu'elle soit bien portante. Puisse cette bénédiction venir sur elle, Père, et tous les péchés être pardonnés maintenant, toutes les mauvaises habitudes disparaître. Et puisse-t-elle être complètement rétablie alors que je la bénis au Nom de Jésus-Christ. Amen.             
            Votre péché vous ayant été pardonné maintenant, allez en vous réjouissant et soyez heureuse. Croyez-vous de tout votre cœur ? Maintenant, soyez respectueux, s'il vous plaît.                     
95.       Sœur, regardez ici juste une minute. Croyez-vous de tout votre cœur ? Eh bien, votre nervosité vous a quittée maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous. Vous vous sentez calme maintenant, n'est-ce pas ? Vous êtes guérie. Jésus vous a rétablie.
Mère, voudriez-vous guérir de ce vieux diabète afin que vous puissiez vraiment mener encore une bonne vie et bien vous sentir ? Croyez-vous que Jésus va vous guérir ? Si je vous impose les mains et que je prie, allez-vous - allez-vous recevoir cela ? Effectivement, bien sûr que vous voyez cet eczéma, ou cette éruption, mais cela… La chose principale, la chose cachée, c'est le diabète.
            Seigneur Jésus, exauce la requête de notre sœur au Nom de Jésus-Christ. Amen.
            Ayez foi maintenant. Allez, croyant de tout votre cœur et vous obtiendrez ce que vous demandez.  
96.       Venez, frère. Me croyez-vous ? La croix que vous avez suspendue là sur vous, le crucifix du Seigneur Jésus est suspendu exactement là où se trouve votre maladie : votre estomac. Eh bien, allez manger ce que vous voulez.        
            La maladie d'affaiblissement de femme, vous avez aussi le diabète. Croyez-vous que Jésus vous rétablit ? Que Dieu vous bénisse. Allez donc et que le Seigneur Jésus vous bénisse… ?…
            Votre maladie, c'est à la gorge. L'asthme vous pousse à tousser. Vous n'arrivez pas à vous étendre, vous devez vous tenir debout comme ceci. Croyez-vous qu'Il vous a guérie?
            Dieu Tout-Puissant, accorde les bénédictions à cette fille au Nom de Jésus. Amen. 
            Croyez-vous que l'affection de reins et autres vous ont quitté lorsque vous étiez assis là ? Que Dieu vous bénisse… ?… Croyez-le de tout votre cœur. Pensez-vous que vous pouvez cesser de prendre l'insuline, et que le Seigneur vous a guéri? Poursuivez votre chemin en vous réjouissant. 
97.       Les troubles cardiaques, il n'y a rien de difficile pour Dieu, n'est-ce pas ? Il guérit simplement toutes sortes de maladies. Que Dieu vous bénisse. Rentrez en vous réjouissant, étant heureux. Et vous aviez la même chose. Continuez tout simplement à avancer ; Dieu vous a rétabli. Et Il rétablira chaque personne dans ce bâtiment maintenant même si vous le croyez. Allez-vous croire cela ? Mettez-vous debout juste une minute. " Dieu est notre Refuge et notre Appui, un Secours qui ne manque jamais dans la détresse. " La crise sévit ; la bataille est engagée. Levez les mains et touchez la ligne de sauvetage maintenant et rentrez chez vous avec cela. Puissiez-vous recevoir cela au Nom de Jésus-Christ.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:07

LES EAUX DE SEPARATION (La mort apporte la vie)

1.         Crois seulement, crois seulement
            Tout est possible, crois seulement.
            Inclinons la tête pour un mot de prière. Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons de croire au Seigneur Jésus-Christ comme notre Sauveur et notre Guérisseur, et qui bientôt revient comme Roi pour régner ici sur la terre ; cette merveilleuse promesse, selon laquelle nous serons ici avec Lui pendant mille ans, et puis dans l'Eternité pour toujours, quand Il viendra pour régner sur le trône de Son père, David. O Dieu, prépare nos cœurs pour cette heure-là. Nous croyons qu'elle est proche.
            Et maintenant, comme nous sommes venus ce soir, que Ta miséricorde règne dans nos cœurs. Accorde-nous une grande effusion de Tes bénédictions, car nous le demandons en Son Nom. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2.         C'est un plaisir d'être ici ce soir. Non seulement, c'est un plaisir, mais c'est un privilège que d'être au service du Seigneur. Eh bien, je pense que demain soir, on doit rentrer à l'église de Philadelphie, et alors… J'ai vu un témoignage ici et… [Un frère dit : "  Je l'ai lu. " - N.D.E.] Vous l'avez lu. Oui. Je me posais justement la question.
            Et j'ai reçu dans le courrier des questions sur certains - quelque chose dont j'avais parlé. J'essayerai d'y répondre demain soir, comme il y aura un service de prédication demain soir, la prédication de l'Evangile. Ceux qui n'ont pas le Saint-Esprit, qu'ils viennent recevoir le Saint-Esprit demain soir. Merci, ingénieur. Je n'aime pas beaucoup les fortes lumières. Et nous vous invitons donc à venir à l'église de Philadelphie demain soir, et puis à revenir de nouveau ici dimanche soir.
            Et je ne sais pas, mais c'est peut-être dimanche après-midi, le film, c'est à 14 heures trente. Le film, j'aimerais que vous soyez… Oh ! Ce-c'est un service, lundi, ou plutôt dimanche après-midi à 14 heures 30.  Dois-je parler à ce service, Frère Booze ? Tout… dimanche après-midi à 14 heures trente. Eh bien, cela signifie que je commence à 14 heures 30. C'est bien. Eh bien, je serai ici, le Seigneur voulant, pour commencer à 14 heures 30. Quand je vous laisserai sortir alors, ce sera vers 15 heures trente, environ une heure.
            Et puis, dimanche soir, c'est la réunion de clôture de cette-de cette série de réunions.
3.         Et puis, je pense que c'est le 31, je serai à Little Rock, le 30 et le 1er à Hot Springs, le 2 à Shreveport, je commence le 3 à Lubbock, au Texas, jusqu'au 11 ; et de là, je pense, j'irai à Phoenix, ensuite à l'Ouest. Puis, j'espère aller outre mer l'été prochain, le Seigneur voulant. Je vous remercie certainement pour votre bonne coopération de l'autre fois, là-bas. Si je ne  me trompe pas, beaucoup de gens ici avaient même jeûné et prié pour nous pendant que nous étions là. Et quand nous arriverons au bout du chemin, au… Quand les couronnes seront distribuées, vous verrez que c'est vous - que c'est vous qui recevrez la louange, je l'espère, en ce jour-là. S'Il me laisse simplement entrer, c'est tout ce que je veux, c'est… juste arriver là.
4.         Et il n'y a pas longtemps un vieux nègre, là dans le sud, avant que la déclaration de l'indépendance soit signée, ou plutôt la libération des esclaves, un soir, à un vieux petit endroit où il jouait à l'orgue et où il passait un glorieux moment à une réunion, où les gens de couleur se réunissaient pour adorer le Seigneur. Et pendant qu'il adorait, le Seigneur l'a sauvé. Et le lendemain, quand il est retourné dans la vieille plantation, il a raconté à tous les esclaves ce matin-là, quand ils s'étaient rassemblés, que Christ l'avait libéré.
            Il s'est donc fait que le maître de ces esclaves passait par là, après qu'ils étaient revenus de leur cabane pour s'apprêter à commencer le travail. Il a dit : "  Sam, qu'est-ce que je t'ai entendu dire aux autres quand je suis arrivé, que tu étais libre ? "
            Il a dit : "  Oui, patron. " Il a dit : " Le Seigneur Jésus m'a libéré. "
            Il a dit : " Pourquoi ne viens-tu pas à mon bureau dans quelques instants. " Il est donc allé au bureau et a dit :  " Oui, patron."
            Il a dit : " Répète cela une fois de plus. "
            Il a dit : " Eh bien, a-t-il dit, hier soir, dans une réunion, je… Le Seigneur Jésus m'a libéré de l'esclavage du péché. " Et il a dit : "Il m'a libéré et je suis maintenant libre. Je n'ai plus de péché, parce que le Seigneur Jésus m'a pardonné et Il m'a libéré. "
            Il a dit : " Sam, si c'est vraiment de tout ton cœur que tu dis cela, a-t-il dit, j'irai là aujourd'hui signer ton émancipation, comme quoi moi aussi je te libère afin que tu ailles prêcher l'Evangile à ton peuple. "
            Et alors, il a dit : " Eh bien, patron, je - je le dis de tout mon cœur : Il m'a libéré de l'esclavage du péché. "
            Il a dit : " Eh bien, je te libère de ton état d'esclave pour que tu prêches l'Evangile à tes frères."
5.         Et alors, plusieurs années après, il est devenu un grand ministre, il avait prêché à beaucoup de ses frères blancs. Et alors, à l'heure de sa mort, beaucoup de ses frères blancs étaient venus le voir. Et le vieil homme était resté couché là, on dirait, dans le coma pendant un moment, et eux - eux ne s'en rendaient pas bien compte et quelque temps après, pendant qu'ils étaient là dans la maison, s'attendant à le voir partir, il s'est réveillé, on dirait, et a regardé ici il là, il a dit : "Je pensais que j'étais déjà de l'autre côté."
            Ils lui ont demandé : " Eh bien, ont-ils dit, qu'y a-t-il, Sam ? Qu'as-tu vu? Qu'y a- t -il  de l'autre côté ? "
            Il a dit :  " Eh bien, je pensais que je venais de franchir la porte. On m'a fait entrer. " Il a dit : " Je me suis tenu là " ; et il a dit : " L'un des Anges a accouru et a dit : 'Sam, a-t-il dit, viens donc recevoir ta robe et ta couronne.' Il a dit : 'Ne me dites pas ça.' Il a dit : 'Une robe et une couronne ?'" Il a dit : 'Je ne veux ni de la robe ni de la couronne.' Il a dit : "'Laissez-moi tout simplement me tenir ici et Le contempler pendant mille ans. C'est un… C'est plus que la robe et la couronne.' "
            Et je pense que c'est cela notre avis. Ne le pensez-vous pas ?  C'est à peu près cela que tous les chrétiens pensent. Peu m'importe les récompenses, une fois arrivé là ; l'unique chose, c'est : que je sois tout simplement là, afin d'être là où Il est. Cela me suffira. Je crois que ce sera le cas pour vous aussi.
6.                     Maintenant, ce soir juste pour un petit sujet, j'aimerais lire une portion de la Parole de Dieu, qui se trouve dans Nombres, chapitre 19, et juste pour quelques instants ; et puis demain soir, ce sera la prédication à l'église de Philadelphie.
            Voici ce qui est écrit dans Nombres, chapitre 19 :
L'Eternel parla à Moïse et à Aaron, et dit :
Voici ce qui est ordonné par la loi que l'Eternel a prescrite, en disant :
Parle aux enfants d'Israël, et qu'ils t'amènent une génisse rousse, sans tache, sans défaut corporel, et qui n'ait point porté le joug.
Vous la remettrez au sacrificateur Éléazar, qui la fera sortir du camp, et on l'égorgera devant lui.
Le sacrificateur Éléazar prendra du sang de la génisse avec le doigt, et il en fera sept fois l'aspersion sur le devant de la tente d'assignation.
            Maintenant le verset 9 :
Un homme pur … la cendre de la génisse et la déposera hors du camp, dans un lieu pur ; on la conservera pour l'assemblée des  enfants d'Israël, afin d'en faire l'eau de séparation : C'est une eau expiatoire.
            Maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à Sa Parole. Nous allons parler juste pendant quelques instants sur les eaux de séparation ; et puis, nous allons tenir un service de prière pour les malades ce soir, car nous avons plus d'espace ici, ou nous pouvons donc faire venir les gens, les aligner et prier pour eux. Puis dimanche soir aussi.
7.         Eh bien, tout, dans l'Ancien Testament, était sous forme des types et des ombres. Et l'eau de séparation était faite dans le but de purifier ou de séparer ce qui est pur de ce qui est impur. Et c'était un beau type de Christ. Et maintenant, la séparation…Pour obtenir cette eau de séparation… Cela devait être… La mort devait opérer la séparation, l'eau de séparation.
            Eh bien, il vous faut toujours, si vous remarquez bien, vous devez avoir la mort avant que vous puissiez avoir la vie. La vie ne vient que par la mort. Et sans la mort, il n'y a point de vie. Je me posais des questions sur les religions du monde qui n'acceptent même pas que l'on tue un moucheron ou une puce… Selon l'une des célèbres religions de l'Inde, on laisse un garçon d'un clan amputer son - le doigt à son frère avec un canif. Et la raison pour laquelle ils ne veulent pas qu'un médecin le fasse, c'est que le médecin pourrait stériliser le couteau, et cela tuerait un germe qui pourrait être l'un de ses parents. Eh bien, comment un tel homme peut-il donc accepter le sacrifice du sang ? Voyez, c'est juste un esprit du clan, ça ne vient pas de Dieu.
            Nous ne pouvons être rachetés que par la vie au travers de la mort. Et la mort est l'unique chose qui apporte la rédemption. Et c'est tout simplement…
8.         Il vous faut avoir l'antidote. Vous avez entendu le vieil adage : " On guérit la morsure du chien avec le poil du chien. " Eh bien, c'est vrai, c'est parce que c'est une partie du chien.  La même chose s'applique donc s'il faut… si le péché est venu par la mort, il faut la mort pour lutter contre le péché. Voyez ? Et ainsi, tout, même la vie elle-même, vient par-par la mort. La vie physique vient par la mort. Le saviez-vous ? La vie physique vient par la mort. Comment vient-elle ? La première chose que nous faisons - nous voyons que la nourriture que nous mangeons est constituée de… se transforme en sang. Le sang devient notre vie.
            Il y a quelque temps, je parlais à un médecin, et j'ai dit : " Docteur, est-ce vrai que chaque fois que je prends un repas, ma vie se renouvelle ? "
            Il a dit : " C'est vrai. "
            J'ai dit : " C'est parce que la nourriture que je mange se transforme en cellules de sang, et les cellules de sang se renouvellent, la vie est dans le sang, alors cela produit une nouvelle vie. "
            Il a dit : " C'est vrai. "
            J'ai dit : "Eh bien alors, qu'est ce qui fait que quand j'avais 16 ans, je prenais le même genre de nourriture que je prends aujourd'hui, chaque fois que je mangeais, je devenais sans cesse plus fort et plus grand, et aujourd'hui je prends le même genre de nourriture, je deviens sans cesse plus vieux et plus faible, si ma vie se renouvelle? " C'en est une bonne pour la recherche scientifique, n'est-ce pas ?
9.         Qu'est-ce qui fait que si je… plus je consommais la vie, plus grand je devenais; plus je consommais la vie, plus fort je devenais? Mais maintenant je consomme le même genre de vie, le même genre de nourriture et, je deviens sans cesse plus faible et plus vieux, c'est parce que Dieu a dit (c'est vrai) que mes jours seraient d'autant. C'est pourquoi quand je dépasse la tranche de 22 à 25 ans environ, chaque être humain, on  commence à dépérir ; la mort s'installe. Peu importe le genre de vie que vous consommez, la mort est dans le corps. Pourtant il vous faut avoir une vie dans le corps pour vivre.
            Mais la cellule du sang ne fonctionnera pas bien jusqu'au terme de votre vie. Elle ne le fera pas. Peu importe quelle quantité de nourriture vous consommez ou ce que vous faites, Dieu l'a dit et c'est ainsi. Dès  que cette image atteint le point que Dieu veut qu'elle atteigne, Il dit : "Très bien, mort, ça y est. " Alors la mort commence à vous détruire, peu importe ce que vous faites ou combien de produits cosmétiques (est-ce cela… ?…) vous appliquez, vous vieillissez tout simplement, sœur ; c'est tout. Voyez ? Vous vieillissez tout simplement. Et c'est pareil pour vous, frère (voyez ?), vous vieillissez tout simplement.
            Et le grisonnement aura lieu malgré tout, parce que Dieu a dit qu'il en sera ainsi, et il en sera ainsi. Et un jour, cela va vous attraper. C'est vrai. Et alors, cela va vous emporter de cette vie, mais c'est tout ce que ça peut vous faire.
            A la résurrection, toutes les marques de la mort  sur vous n'apparaîtront pas à la résurrection. Seul ce que la vie vous a fait... Dieu vous a fait grandir jusqu'à devenir un jeune homme fort, et une jeune fille forte, ensuite la mort est arrivée et vous a emporté. Et tout ce que la mort vous a fait, en vous ratatinant, cela n'aura jamais d'effet à la résurrection ; en effet, vous ne serez à la résurrection que ce que vous étiez dans l'état parfait, celui où Dieu vous avez amené. C'est cela la chose merveilleuse.
10.       Mais maintenant, remarquez, tout le temps que vous produirez la vie ici, pour vous maintenir en vie, quelque chose doit mourir constamment pour vous maintenir en vie. Saviez-vous cela ? "Eh bien, dites-vous, c'est quoi ?" Le steak que vous mangerez ce soir, une vache a dû mourir pour qu'on ait cela. Est-ce vrai ? Le poisson que vous mangerez ce soir, le poisson a dû mourir pour qu'on ait cela. Est-ce vrai ? Le chou frisé que vous mangerez ce soir, ou plutôt les épinards, les épinards ont dû mourir. Voyez-vous ce que je veux dire ? Les pommes de terre ont dû mourir. Quelque chose doit mourir, et vous mangez les restes de quelque chose de mort pour que vous viviez. Cela forme des globules sanguins… et… et cela forme plutôt des cellules de sang. Cela forme… Ainsi donc, vous consommez constamment quelque chose de mort pour vous garder en vie. Voyez ? La vie naturelle ne peut venir que de-de la mort. Et la vie spirituelle ne peut venir que de la mort. Voyez ?
            Christ devait mourir pour que nous puissions tous vivre ; pour nous vivifier. Est-ce vrai ? C'est donc uniquement par… Peu importe l'église dont vous êtes membre, combien de fois vous avez serré la main au prédicateur, combien de noms vous avez inscrits dans le registre, ou peu importe le nombre d'églises dont vous êtes membre, ça ne vaut pas ceci [Frère Branham claque ses doigts. - N.D.E.] Il vous faut absolument accepter la mort du Seigneur Jésus-Christ. Et pas seulement cela, mais il vous faut mourir à vous-même. Il vous faut mourir à chaque pensée charnelle, afin que vous puissiez recevoir la pensée de Christ et marcher désormais, non pas par vous-même, mais suivant Sa pensée, la pensée de Christ en vous. C'est l'unique moyen pour vous de pouvoir vous maintenir en vie. C'est l'unique moyen pour moi de rester en vie. C'est le - ce dont je vis, c'est par le Saint-Esprit. Dieu a dit : "L'homme…", ou plutôt Jésus a dit : " L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. "
            Il a été tenté par la faim. Alors Il a dit ceci : " L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. "  En effet, de même que l'homme naturel doit vivre du pain, l'homme spirituel doit aussi vivre de l'Esprit. Avant que l'homme naturel mange du pain, le blé doit mourir, ou l'orge, ou le maïs, ou n'importe quoi qui entre dans la fabrication du pain, cela doit mourir. Et avant que l'homme spirituel vive, Jésus-Christ a dû mourir,  pour être mangé si l'homme  peut vivre par Christ. Voyez ? Cela rend donc la chose parfaite.
11.       Maintenant, la séparation. Christ était l'Agneau de Dieu immolé depuis la fondation du monde. Croyez-vous cela ? Remarquez, Il était toujours l'Agneau immolé. En type, Dieu a donné plusieurs… Nous avons relevé, cette semaine, plusieurs occasions où Dieu avait donné une ombre, représentant le Calvaire. Alors, cette fois-ci quand Il… Dieu en faisant sortir Ses enfants du chaos des ténèbres de l'Egypte, Il les a fait sortir pour les amener à Sa terre promise. Et en route, Il avait pris des dispositions pour tout ce dont ils avaient besoin. Quand ils avaient besoin de quelque chose, Dieu avait pris des dispositions pour cela.
            Hier soir, nous avons parlé de Jéhovah Jiré, l'Eternel pourvoira. Et maintenant, voyant qu'ils étaient sortis, Dieu a créé l'eau de séparation. Et cette eau représente Christ, les eaux de séparation.
            Bon, nous allons voir comment on la faisait. Oh ! c'est frappant de voir chaque aspect de la Parole de Dieu pointer directement vers Jésus-Christ.
12.       Dans l'Ancien Testament, on avait des lois, des statuts et des choses que les gens devaient faire, d'après les œuvres de la loi pour être sauvés. Mais Dieu a rassemblé toutes les choses de l'Ancien Testament et les a mises au Calvaire, afin que le croyant d'aujourd'hui n'ait qu'une seule chose à faire : Regarder au Calvaire et naître de nouveau. C'est tout ce qu'il en est. C'est tout aussi simple. Les lois, toutes les cérémonies et toutes les choses ont disparu  avec l'effusion du sang. Quand mon ombre se rapproche de moi, quand mon ombre et moi, nous nous rencontrons, mon ombre n'est plus, mais j'ai pris la place de mon ombre. Il en était ainsi pour la loi et autres… l'Ancien Testament était l'ombre du Nouveau Testament, et il a été accompli. La grâce et la loi se sont rencontrées au Calvaire, et la loi a été accomplie, et la grâce a vu le jour. Amen.
13.       Eh bien, Dieu disait à Moïse et à Aaron, comme ils étaient  prophète et sacrificateur; Moïse, le prophète ; Aaron, le sacrificateur, Il disait : " Eh bien, je veux que vous alliez prendre une génisse, une jeune génisse qui est d'une seule couleur, une seule couleur pure : le rouge. "
            Nous pensons toujours au rouge comme étant… Le rouge, c'est le danger. Le rouge signifie effectivement le danger, ou la vie, ou autre chose. Mais le rouge dans les Ecritures signifie la rédemption par le sang. Rahab la prostituée, quand elle a fait descendre le fil cramoisi…, et tout au long de la Bible, il y a un fil cramoisi. La rédemption vient par le rouge, par l'effusion du sang. Et sans effusion du sang, il n'y a pas de pardon des péchés. Et comment Dieu a dit d'aller prendre cette génisse totalement rousse, sans aucune tache de quoi que ce soit, mais parfaitement rousse. Car Dieu  regardait à travers le rouge. Et savez-vous ce que le rouge devient quand on le regarde à travers le rouge ? Le rouge regardé à travers le rouge devient blanc. Essayez-le une fois. Le rouge regardé à travers le rouge produit le blanc. Ainsi, quand Dieu nous regarde à travers le sang de Jésus-Christ, nous qui sommes cramoisi du péché et  couverts du sang, Il nous voit blancs comme neige. "Même si vos péchés sont rouges  cramoisi, ils seront blancs comme neige. "
14.       Quand Dieu regarde à travers le sang, Il ne vous voit plus comme un pécheur. Il vous voit racheté. Amen. Vous êtes racheté, parce qu'Il vous voit toujours à travers Christ. C'est pourquoi nous pouvons être parfaits. Pas parfaits dans le sens de " sans péché ", nous sommes parfaits aux yeux de Dieu, quand nous sommes en Christ. C'est pourquoi Il a dit : "Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait."
            Dans Hébreux chapitre 10, Paul essaie d'expliquer que la loi qui possède une ombre des biens à venir, et non l'exacte représentation des choses, ne pouvait jamais amener l'assistant  à la perfection, parce que Dieu regardait à travers le sang de l'animal. Mais maintenant Il regarde à travers le sang de Son Fils. La perfection vient par Jésus-Christ.
            Eh bien, je ne suis pas parfait à vos yeux. Il se peut que vous ne soyez pas parfait à mes yeux. Mais qu'en est-il aux yeux de Dieu ? Voilà où se situe la chose. Et si vous êtes né de nouveau dans le corps de Christ, alors Dieu vous voit tout aussi parfait que Christ l'était. Amen.
            Il n'y a rien que vous puissiez faire ; ce n'est pas par des œuvres que vous pouvez accomplir tout cela, pas du tout. C'est par la grâce que Dieu vous a fait cette offre, et si vous avez accepté cela, aux yeux de Dieu, vous êtes parfait, racheté, lavé dans le Sang de l'Agneau, sans faute, sans défaut, sans tache. N'est-ce pas merveilleux ?
15.       Je me demandais souvent ce qui n'allait pas dans l'église chrétienne, ils ont très peur des choses. Eh bien, vous n'avez rien à craindre. La première Parole, pratiquement que Jésus a prononcée après la résurrection, c'est : " N'ayez pas peur. " Voyez, n'ayez pas peur. Ne soyez pas effrayés. Il n'y aura rien. Rien ne peut arriver. Rien ne peut déranger un chrétien. Amen. Même   pas la mort elle-même ne peut toucher un chrétien : " Celui qui entend Mes Paroles et qui croit à Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie." Amen.
            La mort elle-même ne domine pas sur un chrétien. Christ est mort à notre place. Amen. Quel merveilleux… Quelle - quelle foi devrait édifier dans les gens, quelque chose qui obéira. Vous n'obtiendrez rien en étant un petit chrétien méduse. Absolument pas. Avez-vous déjà vu une méduse ? Frappez-la, et elle éclabousse tout sur tout. Voyez ? Une méduse, vous savez qui les mangent généralement ? Les crabes et les choses qui sont le long du rivage, et ceux-ci s'amènent avec leurs pinces, ils la coupent en deux et la dépiècent, en effet, la méduse reste simplement sur place.
            Frère, nous avons besoin des chrétiens, pas de méduse, mais ceux qui ont une colonne vertébrale (c'est vrai), qui résistent. Oh ! Je ne veux pas dire se quereller avec des gens, mais prendre position pour les droits que Dieu vous a donnés, pour lesquels Christ est mort. Certainement. Pas se laisser marcher sur les pieds, on ne doit pas se laisser marcher sur les pieds. Non monsieur. Nous avons un - nous avons un héritage. Amen. Et notre héritage nous appartient. Et c'est votre droit d'avoir tout ce que vous avez hérité, en acceptant Jésus-Christ et en mourant à vous-même. Comme c'est merveilleux ! Oui monsieur. Satan a dit : "Eh bien, je vais vous dire ce que je vais faire."
            " Non, tu ne feras rien." C'est ainsi qu'il faut lui répondre. Dites : "Je connais ma position en Christ, et tu ferais tout aussi mieux de t'en aller. Je ne vais plus t'écouter. J'ai un héritage."
16.       Et, nous avons un titre de propriété sur cela : un titre incontestable, on est remonté là loin au Calvaire. Et le jour de la Pentecôte, quand Il a dit : " Cette promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. " Le titre incontestable (amen), on a fait une purge jusqu'à la Pentecôte. Jusqu'où cela remonte-t-il ? C'est destiné à combien de gens ? En aussi grand nombre que le Seigneur les appellera. Si le Seigneur vous appelle, Il vous donne le titre incontestable (amen.), sur toute la ligne. Et le Sang de Jésus-Christ est tout aussi efficace que s'il était versé il y a dix minutes. Il est dit : " Chaque croyant… "  C'est votre confession. Vous avez simplement peur d'exercer vos droits, c'est tout.
            Quelqu'un, un grand… si vous rentrez à la maison ce soir, vous chrétiens, respectables gens qui êtes assis ici, et que vous trouviez un bon groupe d'ivrognes et autres qui sont entrés chez vous et qui se sont emparé de votre maison, et que vous disiez : " Eh bien, c'est quoi ça ?"
            "Ecoutez donc, disent-ils, ceci est bien une maison, n'est-ce pas ? "
            " Oui. "
            " Eh bien, je… c'est fait pour les êtres humains, n'est-ce pas ? "
            " Oui. "
            " Eh bien, je suis un être humain ; j'ai droit d'être ici. "
            " Mais vous n'avez pas le droit d'être ici. Nous ne croyons pas dans ce genre de sottises. "
            "Eh bien, dit-il, je ne vais pas sortir." Il y a une loi ici qui dit qu'il sortira, tant que vous pouvez prouver que c'est votre maison. Est-ce vrai ? Satan a dit : "Eh bien, je vais vous emporter prématurément. Je vais  faire telle chose."
            "Non, tu ne vas pas le faire. Nous avons le titre de propriété de notre immeuble." C'est vrai. Et nous avons un - nous avons un avocat dans la Gloire (amen.), avec le sacrifice du Sang de Sa propre Vie. Non seulement cela, mais nous avons un agent du FBI (Amen.) , le Saint-Esprit, le grand détective de Dieu. Laissez tout simplement ce sang là, et faites exécuter ce mandat contre lui ; observez le Saint-Esprit le déloger. Amen. Voilà. C'est à vous. " Quiconque veut, qu'il vienne. " Oh ! c'est merveilleux.
17.       Remarquez, lors de l'effusion du Sang… Eh bien, il a dit : "Je vous assure, vous devez prendre ce…" Eh bien, observez, le sacrificateur n'apportait pas le sang, c'est l'assemblée qui apportait la génisse qu'on devait tuer comme sacrifice, pour qu'elle soit immolée. Et c'est l'assemblée qui avait amené Jésus au Calvaire, c'était un type. Ils L'ont condamné et ils L'ont amené au Calvaire, afin qu'on puisse L'immoler.
            Et remarquez, Il devait être tué en présence de Éléazar et les autres. Et Christ a été tué en présence du souverain sacrificateur et de toute la communauté d'Israël.
            Et remarquez, quand il mourait, quand la génisse mourait, la génisse rousse était tuée, ensuite le souverain sacrificateur prenait le sang de la génisse sur les doigts, il s'avançait devant l'assemblée, devant les portes de la tente d'assignation, et il l'aspergeait à sept reprises, à sept reprises avec le sang, en guise de témoignage public devant les gens. Et on élevait cela devant une porte. Cela était aspergé là à sept différentes reprises, montrant que tout au long de sept différentes dispensations,  le Sang de Christ demeure toujours un témoignage public : Premier mille ans, deuxième, troisième, quatrième, cinquième, sixième et septième. Amen. Quand nous Le verrons sur le trône de David, Il aura toujours les cicatrices dans Ses mains, pour montrer que c'est Lui le rédempteur. Amen.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:07

18.       Remarquez, ensuite Il a dit : "Après cela, alors la génisse devait être brûlée ", c'était sur l'autel d'airain, ce qui représentait  le jugement, le jugement divin. Puis, après cela, on devait alors faire l'eau de séparation. On y mettait le bois de cèdre, le bois écarlate, l'hysope,  ce qui représentait la croix ; et l'hysope représente Christ sur la croix. Ces trois éléments étaient toujours utilisés quand il y avait un sacrifice dans la Bible.
19.       Là dans Exode, au chapitre 14, de 1à 4, le quatrième mot, le verset 4, excusez-moi … au verset 6, quand Dieu leur a parlé, quand ils devaient faire le signe de la croix sur la porte, l'agneau devait être immolé juste avant la sortie. Et ils ont plongé ce bois et l'hysope, ils ont appliqué cela sur le linteau du montant. Et ça a été confirmé : " Quand je verrai le Sang, Je passerai par-dessus vous ", on appliquait cela à l'aide du bois d'hysope.
            L'hysope est une petite plante du genre armoise. Le cèdre cramoisi, c'était pratiquement comme le cèdre rouge, qui était un grand bois, mais le - l'hysope, c'était   comme un tas d'armoise, appelée la plante d'hysope. On le plongeait dans un récipient rempli de sang, et l'on aspergeait sur le - comme le genet, ou quelque chose de ce genre-et on en aspergeait l'endroit. Et c'était toujours associé de la même façon à chaque sacrifice, pour la purification du péché, pour la purification de la lèpre.
20.       Qu'est-ce qui se passait ? On prenait deux tourterelles, on tuait l'une au-dessus d'un vase de terre contenant de l'eau vive, et on déversait son sang dans un vase de terre : le vase de terre représentait l'humiliation de Christ, Christ s'humilia, s'abaissa, et revêtît un vase de terre. Et par-dessus l'eau vive, en fait, là l'eau représentait l'Esprit.
            Et une colombe était tuée, on y mettait le bois de cèdre, le cramoisi et l'hysope. Et avec l'hysope, on aspergeait l'oiseau vivant et c'était… On amenait l'oiseau vivant dans un champ et on le lâchait. Et quand ses petites ailes battaient et qu'il s'envolait ainsi, ayant sur lui le sang de son compagnon mort pour la purification de la lèpre, qui est un type du péché, c'était un type de l'Eglise avec le Sang du Sauveur, le Seigneur Jésus-Christ, mort à votre place. Et le sang criait : "Saint est l'Eternel ", amen. Le Sang aspergeant la terre : "Saint, saint, saint est l'Eternel ", la purification de la lèpre.
            L'autre jour j'ai appris, selon la recherche médicale, la cause de la lèpre : c'est un mauvais régime alimentaire. C'est ce qui cause le péché,  un mauvais régime alimentaire spirituel. Cela cause la lèpre qui ronge, que seul Dieu peut soigner. Très bien.
21.       Remarquez là dedans donc, il y avait le bois de cèdre, l'hysope, et le bois cramoisi. Ainsi, le bois de cèdre, le cramoisi, l'hysope, tout cela était mis ensemble ; en fait, nous pouvons voir la dispensation de Père, Fils et Saint-Esprit, tout en un, ainsi de suite, si nous avions le temps d'aborder cela. Mais il se fait tard et je n'ai pas de temps.
            Remarquez. Pour juste parler de cela, dans les trois dispensations, nous pouvons voir cela dans l'Ancien Testament, et dans les sept âges de l'Eglise, l'aspersion à sept reprises, et tout, et examiner ces filets de sang là… les 7 différents filets représentaient les sept âges de l'Eglise : Israël dans le naturel et l'Eglise de Gentils dans le spirituel, sept âges de l'Eglise, exactement la même chose. Et - et  Israël a eu sept âges de l'église, c'était tout à fait à son apogée qu'Achab est venu et a épousé cette idolâtre, et il a introduit l'idolâtrie, et il a amené l'idolâtrie en Israël. L'église chrétienne a fait la même chose pendant les âges des ténèbres, et elle est apparue et s'est unie à la même chose, et a introduit l'idolâtrie dans l'église chrétienne une fois de plus. Voyez ? C'est vrai, parfaitement pendant son moyen âge.
22.       Eh bien, j'aimerais que vous remarquiez rapidement, alors, on y mettait tous ces hysopes, bois de cèdre et tout, avec la génisse rousse et cela était brûlé et on en faisait l'eau de séparation ; et quand une personne impure, qui était souillée devait venir passer par les eaux de séparation, cela la séparait de ses impuretés, et la rendait sainte, pour communier une fois de plus avec le reste de l'assemblée. Oh ! Quel beau tableau, cette séparation, les eaux de séparation séparaient le coupable,  le sanctifiaient et le ramenaient dans la communion une fois de plus. Le Sang de Jésus-Christ nous purifie de toute iniquité et nous rend saints et nous remet une fois de plus dans la communion avec le Père. Voyez? C'est magnifique, n'est-ce pas?
23.       Remarquez, eh bien, de quoi l'eau de séparation était-elle le type? L'eau de séparation était le type de la Parole de Dieu : la Parole. Eh bien, je crois que c'est ici dans Ephésiens, au chapitre 5, il est dit : " Afin de nous sanctifier en nous purifiant et en nous lavant par l'eau de la Parole ", voyez, le lavage d'eau de  séparation par la Parole. Et au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole  a été faite chair, Elle a habité parmi nous, et Elle est devenue (voyez-vous cela?) l'eau de séparation. Amen. Et tout ce pour quoi Christ était mort, et qu'Il a promis dans Sa Parole, cela vous appartient aussi librement que l'eau coule. En effet, si vous êtes - si vous avez un péché, appliquez la Parole. C'est l'eau de séparation.
24.       Eh bien, l'eau de séparation vous sépare du péché. Si vous êtes las, appliquez l'eau de la Parole. Et si vous êtes malade, appliquez l'eau de la Parole. Car Cela nous sépare de la maladie; Cela nous sépare du péché; Cela nous sépare de la lassitude; Cela nous sépare de tout attribut que le péché a produit. Oh! j'aime ça. Car Il nous a lavés en nous purifiant par le lavage d'eau de la Parole et nous a séparés pour que nous soyons à Lui, un peuple qui croit, mis à part, loin du monde pour croire au Seigneur Jésus-Christ, afin qu'Il Se manifeste au monde extérieur par le Saint-Esprit opérant à l'intérieur de la cellule de sang.
            Oh! j'espère que vous voyez cela. La cellule de sang a éclaté au Calvaire. La Vie était à l'intérieur de la cellule. Et puis, elle a déchiré la cellule, Christ l'a fait premièrement, en entrant dans le sein d'une vierge, et en créant autour de Lui une cellule, et cette cellule de sang s'est multipliée en plusieurs cellules et cela a produit le Fils, Jésus-Christ. Et au Calvaire, cette cellule de sang a été déchirée par une lance pécheresse romaine quand celle-ci Lui a transpercé le cœur.
25.       En plein milieu du cœur de l'être humain, il y a un petit endroit, qu'on ne retrouve pas chez l'animal, un petit endroit là qui est - qu'on pense être l'âme de l'homme. Et aucune cellule de sang n'entre en contact avec cela, rien. Et c'est là que se trouve l'âme de l'homme. Et Christ a été percé là, et la cellule de sang a été percée comme cela, la cellule de sang a été brisée et le Saint-Esprit a été libéré pour que Dieu appelle par là et ramène les croyants, à travers la cellule de sang, à la communion avec Lui-même une fois de plus ( Oh! la la! ), par le lavage
d'eau par la Parole. Qu'est-ce qui fait cela? " La foi vient de ce que l'on entend, ce que l'on entend de la Parole de Dieu. " Et nous acceptons la Parole et nous croyons la Parole, qu'Il a été blessé pour nos péchés.
26.       Qu'est-ce que cette séparation devait faire? De quoi cela les a-t-il séparés? Aussitôt qu'ils étaient séparés, ils étaient libres. Et de quoi Christ a-t-Il été séparé? De quoi nous a-t-Il séparés? La Bible dit : "Il a été blessé pour nos péchés; Il a été brisé pour nos iniquités : le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui et c'est par Ses meurtrissures que nous avons été" séparés de nos maladies, séparés de nos péchés, séparés de notre lassitude, séparés de notre iniquité, et séparés de nos péchés par la Parole qui était Christ, fait chair et habitant parmi nous. La Parole a été faite chair, et la chair a été déchirée afin que la cellule de sang soit ouverte, que les croyants puissent passer par le jet du Sang du Calvaire. Oh! la la! Quel…
27.       Mon espoir n'est bâti sur rien d'autre que le Sang de Jésus et Sa justice; quand tout cède autour de mon âme, alors Il est tout mon espoir et mon appui. Sur Christ le roc solide je me tiens; tous les autres terrains ne sont que du sable mouvant. Tous les autres terrains, chaque église, chaque dénomination, n'importe quoi, tout autre terrain n'est que du sable mouvant. Que ça soit la mère, ou le père, ou les bien-aimés, que ça soit  les amis, quoi que ce soit, tous les autres terrains sont du sable mouvant; sur Christ seul je me tiens. C'est une affaire individuelle, pas une   affaire de groupes des gens, mais c'est pour vous en tant qu'un individu, pour que vous-même en tant qu'un être humain, à part entière, vous puissiez, (remarquez), vous puissiez renoncer à vos propres pensées.
            Tant que vous avez vos propres pensées, vos propres voies, vos voies sont contraires aux voies de Dieu. Vous ne pouvez pas être en ordre tout en gardant vos propres pensées, car il vous faut mourir à vos propres pensées. Savez-vous cela? Vos pensées, tant que vous les considérez, vous considérez cela du point de vue naturel; vous dites : "Oh! eh bien, cela ne peut pas arriver. Ce n'est pas raisonnable. Ce n'est même pas sensé de penser à pareille chose."
            Tant que vous faites cela, vous demeurerez donc dans la même condition où vous êtes. [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Atteignez le point où vous ne pouvez plus penser à vos voies, mais entrez en Christ et ayez Ses pensées. Prenez Ses Paroles. Alors les choses commenceront à apparaître différemment. En effet, vous êtes mort et votre vie est cachée en Dieu par Christ et scellée par le Saint-Esprit. Romains 8.1 : "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent non pas selon la chair (selon ce que la chair dit), mais qui marchent selon l'Esprit." [Espace vide sur la bande. -N.D.E.]
28.       N'est-ce pas merveilleux - Dieu nous séparant des choses du monde. Il n'y a rien que nous puissions faire. Nous étions morts dans le péché et les offenses, nous étions sans espoir, sans Dieu dans le monde, étrangers, retranchés, allant vers l'enfer du diable, vers la tombe en étant pécheurs. Et  au temps convenable, Christ est mort pour nous tous, produisant et nous accordant les eaux de séparation. Et, Dieu, par grâce, nous a appelés au travers de ces eaux, nous a séparés de nos péchés et nous a amenés à Lui-même, étant un peuple particulier, une nation sainte, un sacerdoce royal, offrant des sacrifices spirituels, les fruits de nos lèvres, rendant grâces à Son Nom. Prions.
29.       Dieu notre Père qui est aux cieux, cette Parole, combien Elle nous libère et nous affranchit, l'eau de séparation. Elle libère nos pensées. Nous ne pensons plus avec notre propre esprit. Nous dépendons absolument de ce qu'Il a dit dans la Parole. Cela ne peut pas mal tourner. Ô Dieu, c'est Toi - Toi qui l'as dit. Tu as séparé cela. Et puis, si nous sommes séparés de nos propres pensées, séparés de nos propres idées, nous sommes alors perdus en Toi. Et nous croyons tout simplement ce que Tu as dit. Peu importe combien cela peut sembler non raisonnable, Tu es le Dieu des circonstances. Tu es capable de tenir à Ta promesse. Et comme Paul  l'a dit autrefois : "Je suis convaincu qu'Il est capable de garder ce que je lui ai confié jusqu'à ce jour-là. " … Père, on y est, c'est bientôt la fin de la réunion. Nous devons partir ailleurs pour prêcher l'Evangile.
            Et je prie ce soir que plusieurs reçoivent Christ comme leur Sauveur personnel, qu'ils soient remplis du Saint-Esprit, et qu'ils entrent dans cette merveilleuse communion des croyants. Puissent plusieurs méthodistes ce soir recevoir cela, les baptistes, les presbytériens, les catholiques, les pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, et tous Tes enfants partout, Seigneur. Puissent-ils entrer en Jésus-Christ par le lavage d'eau par la Parole. Car nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
30.       Eh bien, comme le service de guérison va très bientôt commencer… [Espace vide sur la bande -N.D.E.] …la ligne de prière. Je n'en sais rien. Nous ne… Personne d'autre ne le sait. Nous venons tout simplement ici, et je peux dire… Je peux lui demander combien de cartes il a distribuées. Ils disent simplement qu'ils ont distribué beaucoup de cartes. Je peux commencer par 1. Je peux commencer par 25. Je peux commencer par 75 et descendre, ou quelque fois, j'appelle une à la fois qui entre dans la ligne. Généralement, ce n'est pas… On donne une carte, et là on met le nom et une lettre. Et ils s'avancent simplement ici et disent : "Me voici." Alors ceux qui sont dans l'assistance qui n'ont pas de cartes de prière, qui sont là, ils lèvent tout simplement la main, disant qu'ils veulent qu'on prie pour eux. Et tout d'un coup, on entre en action, Qu'est-ce qui arrive? Ce n'est pas moi qui fais cela. Je n'ai aucun moyen de contrôler cela. C'est vous qui faites cela. Votre foi, c'est ce qui  fait cela. Voyez?
            Tout d'un coup, je sens que je m'affaiblis, comme c'est le cas maintenant même. Qu'est-ce? C'est que l'onction du Saint-Esprit est ici. L'Ange du Seigneur dont vous avez vu la photo. Je pense qu'on vous l'a vendue il y a quelques instants. Demain soir, ça sera la dernière soirée pour eux voyez, nous ne pouvons pas vendre dimanche. Ainsi donc, c'est un… vous…Je commence à me sentir de plus en plus faible. Qu'est-ce ? C'est un autre - un autre monde. C'est une autre dimension. Peut-être que quelqu'un n'a jamais vu cela. En voici la photo, tirée par les hommes de science. Voyez ?
            Eh bien, cela - c'est ce qui commence à descendre, et alors le côté humain commence à disparaître. Voyez? Et vous entrez dans une autre dimension. Et la foi des gens tire cela. Voyez?
31.       Eh bien, ce n'était pas Jésus qui avait guéri la femme qui avait touché Son vêtement. Elle a dit : " C'est ce que je veux faire. " Elle s'est dit dans son cœur… il n'y avait pas d'Ecriture pour cela. Elle a dit : "Mais si seulement je touche Son vêtement, je serai guérie." Alors, elle s'est faufilée, elle a touché Son vêtement et elle est retournée dans l'assistance en courant, et elle s'est tenue tout simplement là, regardant partout. Quelqu'un a dit : " Qu'est-ce qui fait que vous vous épuisez si vite, frère? "
            Jésus a dit : "Qui M'a touché?"
            Il a dit : " Eh bien, tout un… toute l'assistance, tout le monde cherche à Te toucher, " ont dit les apôtres.
            Il a dit : " Mais une vertu est sortie de moi. " Voyez? Eh bien, cette vertu était allée quelque part. Quelqu'un avait touché avec une foi véritable. Jésus… Eh bien, ce n'était pas… Qu'est-ce qui - qu'est-ce qui avait fait cela? Eh bien, observez ce que Jésus a dit. Il a regardé partout dans l'assistance pour voir où était, cette vertu qui avait été tirée  de Lui. Il a vu la femme. Il a dit: " Ta foi t'a sauvée donc. Cette perte de sang est finie. " Voyez?
32.       Eh bien, quoi? " Ta foi a exigé… " Voyez? La puissance de votre propre foi a tiré du Dieu surnaturel le désir de votre cœur. Voyez? C'est votre foi qui fait cela. Pas ma foi. Si c'était ma foi qui faisait cela, je ferais venir chaque petit enfant de l'assistance ce soir, je les amènerais ici, et je les guérirais, des petits enfants, de toutes les façons. Voyez? Je ferais cela. Mais ce n'est pas ma foi qui fait cela, c'est votre foi qui fait cela. Ce n'est pas moi qui connais cela, je ne suis qu'un homme. Mais c'est le don de Dieu. Voyez? C'est Lui qui fait cela. Ce n'est pas de moi que vous tirez. C'est de Lui que vous tirez. Il est dans le surnaturel, et votre foi tire comme cela. Je deviens tout simplement Son porte-parole. Quand Il montre quelque chose, montre une vision, alors c'est simplement quelque chose; je suis dans une autre - une autre dimension, par rapport aux hommes de science. C'est le sixième sens, la quatrième dimension, ou je ne sais comment vous appelez cela, pour moi, c'est le Saint-Esprit. C'est vrai. Abandonné…
33.       Eh bien, voici une femme qui se tient ici. Je suis un Anglo-saxon. Elle, elle est d'origine éthiopienne, pratiquement la même scène que quand Jésus parlait à une femme au puits. Il était un Juif et elle était une Samaritaine. Est-ce vrai ?              
            Je ne vous connais pas, n'est-ce pas, madame ? Je ne vous ai jamais vue, je ne sais rien à votre sujet, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Est-ce vrai ? C'est notre première rencontre, ou de savoir quelque chose l'un sur l'autre. Est-ce vrai ? Voilà.
            Eh bien, qu'est-ce que je peux faire ? Nous avons le même sang. Elle, elle est une Ethiopienne, et moi je suis un Anglo-saxon, avec le Chinois, le Jaune, nous sommes tous issus du même sang, puisque chacun de nous peut donner son sang pour la transfusion, pour le plasma. Mais vous ne pouvez pas donner votre sang pour qu'on le transfuse à un animal ; il faut que ça soit un être humain. Voyez ? Très bien. Alors le même Sang qui a jailli au Calvaire pour former les eaux de séparation, afin de me séparer de mes péchés, a jailli pour elle, pour la séparer. Le même Sang qui m'a séparé de ma maladie est ici pour la séparer. Le même Sang qui me donne le désir de mon cœur pour les choses dont j'ai eu besoin pour le Royaume de Dieu, peut faire la même chose pour elle.                                      
34.       Eh bien, il n'y a qu'une seule chose qui puisse arriver maintenant ; quelque chose doit arriver au-delà des sens des humains pour montrer à cette femme ce qui ne va pas ou ce pour quoi elle est ici, s'Il le veut bien. Je ne dis pas qu'Il va le faire, mais je crois qu'Il le fera,   car c'est... Cette onction est sur moi. Il-Il est sur moi maintenant, cet Ange même de Dieu que vous voyez, cette Lumière. Je... Ma... Même ma foi ressent que cela est épais comme ça. Cela est juste en train de prendre de l'emprise. Voyez ? C'est la raison pour laquelle je peux sentir la foi tirer dans l'auditoire. Quant à l'endroit exact où ça se trouve, je ne sais pas, mais c'est la foi. Dès que vous saisissez cela, il y a juste quelque chose qui se produit.                              
35.       Eh bien, madame, veuillez bien vous approcher d'ici, j'aimerais vous parler juste un instant. Eh bien, vous et moi, nous sommes de parfaits étrangers l'un à l'autre, et si vous m'avez entendu parler sur le - parler aux gens, alors quelque chose doit par conséquent arriver. N'est-ce pas vrai ? Si j'étais... Si je disais : " Eh bien..." Juste deviner, quelque chose comme : " Eh bien, vous êtes ici pour me demander si vous devez vous joindre à telle église ou à telle autre" ou quelque chose comme cela.  Ou tout ce que-tout ce pour quoi vous êtes ici, je ne sais pas. Voyez ? Et vous savez que je ne le sais pas, parce que je n'ai aucun moyen de le savoir. Mais si Dieu me révèle par Son Fils, Jésus-Christ, selon Sa Parole, ce que vous êtes venue me demander ici, ou ce que je peux faire pour vous, s'Il le révèle, allez-vous accepter que je vous ai dit la vérité, et que cet Etre qui est ici, qui est l'Ange de l'Eternel, vous récompensera pour cela ?               
36.       Eh bien, j'aimerais... Vous voyez cela, cela ressemble à un feu qui tournoie. Voyez ? C'est ce que les hommes de science ont dit, ceux qui - ceux qui avaient examiné cela et tout, c'est ce que cela est. C'est une lumière émeraude.  Eh bien, alors, j'aimerais tout simplement vous dire quelque chose maintenant.                        
            Vous êtes consciente qu'il y a quelque chose qui se passe. Ça ne vient pas d'un homme. N'est-ce pas vrai? C'est quelque... Eh bien, en fait, cette sensation que vous ressentez, ce n'est pas moi ; je ne suis qu'un homme. Mais c'est... c'est ce qu'il en est là même. C'est dans un autre monde. C'est juste comme la radio, les images de la télévision qui  passent ici, ils nous traversent aussi. Mais on ne peut pas les capter, voyez, parce que nous ne sommes pas constitués de manière à le faire. Mais nous avons été formés pour saisir le Saint-Esprit. Voyez?  Et là, cela commence à capter une image, comme le - comme le tube de la télévision. Ensuite, elle apparaît à l'œil humain. Et alors je vois par la télévision de Dieu, la vision de Dieu, ce qu'est votre problème. C'est donc Lui qui fait cela. Croyez-vous cela ?                           
37.       Eh bien, s'Il révèle cela, accepterez-vous qu'Il va vous accorder votre désir. Entre vous et moi, je vois quelque chose qui saigne, du sang. Et je vois les résultats de l'examen, c'est - c'est une tumeur, une tumeur qui saigne. C'est vraiment grave. C'est vrai.                          
            Voyez-vous comment notre Père céleste connaît les choses ? Eh bien, vous-vous comprenez maintenant ce qu'est cette sensation ici ? C'est Lui.    
            Comme vous regardez de nouveau dans cette direction, vous êtes une femme mariée. Et votre mari non plus n'est pas bien portant. Croyez-vous que Dieu peut me révéler ce qui cloche chez votre mari ? Vous croyez. Assurément. Il a des hémorroïdes. Est-ce vrai ? Et voici une autre chose. Vous cherchez à amener votre mari à devenir un véritable chrétien. N'est-ce pas vrai ? Est-ce que cela vous convainc qu'Il est ici ? Eh bien, allez et recevez ce que vous avez demandé.                
38.       Croyez-vous ? Soyez vraiment respectueux. Croyez tout simplement. Eh bien, avant que je puisse être trop emporté, j'aimerais vous poser une question. Chaque personne ici devrait recevoir cela maintenant même. Si un homme vient et dit n'importe quoi et que Dieu ne confirme pas cela, la chose est fausse. Mais s'Il... si Dieu confirme cela, vous-vous doutez alors de Dieu. Voyez, ce n'est plus de moi que vous doutez. Vous pouviez douter de moi il y a dix minutes, mais vous ne pouvez plus douter de moi maintenant. Ce qui suit, la personne dont vous doutez maintenant, c'est Dieu. C'est scientifiquement prouvé... La preuve scientifique de cela et l'action surnaturelle du Saint-Esprit...                  
39.        Est-ce que ceci… Venez ici, madame. Nous sommes étrangers l'un à l'autre, n'est-ce pas, madame? Nous le sommes. Nous sommes tous deux des Anglo-saxons, ce soir, la race blanche. Avez-vous vu ce que le Seigneur Jésus a fait pour cette femme éthiopienne? Eh bien, c'est… Il peut faire la même chose pour vous, s'Il veut vraiment le faire. Vous croyez cela, n'est-ce pas? Eh bien, il ne fait point acception de personne. Il sera pour vous exactement ce qu'Il était pour elle. Il vous aime exactement comme Il l'aime. Il peut faire pour vous la même chose qu'Il a faite pour elle.
            Vous venez de sortir de l'hôpital. Et c'était dans votre… Votre problème se situe ici, au niveau de vos poumons. Vous avez passé plusieurs jours là-bas. Pour être précis, c'est environ 13 jours que vous avez passés à l'hôpital. Vous êtes madame Bishop, n'est-ce pas ? J'entends  le médecin vous appeler ainsi, lorsqu'il est venu à votre chevet. Maintenant, vous allez vous rétablir, madame Bishop. Allez au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
            Croyez-vous? Ayez foi. Soyez respectueuse. Croyez seulement de tout votre cœur, Jésus-Christ fait de même pour vous. Amen.
40.       La petite dame assise là avec l'hypertension, celle qui est assise juste là au bout, en train de prier pour en être délivrée, croyez-vous cela, madame? Vous qui êtes assise juste là, en train de me regarder, croyez-vous que Dieu va ôter cette hypertension? Croyez-vous qu'Il vous a guérie maintenant de cette hypertension? Très bien, mettez-vous debout pour accepter cela. C'est ça. Que Dieu vous bénisse maintenant. Allez en croyant.
            Qu'est-ce qui a fait cela? Qu'est-ce qui a fait cela? Le Saint-Esprit. Sa foi tire, elle croit. Voyez ? C'est ce qui a engendré cela. C'est ce qui engendré cela pour vous. Croyez-vous cela?
41.       Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Très bien. Je vais essayer de ne pas me hâter, juste parler un peu aux gens. Et si vous croyez de tout votre cœur… Je ne suis que votre frère, madame. Je ne suis qu'un homme - juste votre frère. Je n'ai rien du tout que je puisse faire pour vous venir en aide, n'étant rien de plus que ce qu'est peut-être votre propre fils, ou votre mari ou votre frère ou votre bien-aimé, ou quoi que ce soit, n'importe quoi ; tout ce que je peux faire, c'est de venir ici tout simplement en tant qu'homme. Mais je peux vous servir de point de contact pour trouver le Seigneur Jésus-Christ. Est-ce vrai? [La sœur dit : "C'est vrai, et je vous ai apporté un mouchoir pour mon beau-fils." - N.D.E.] Oui, très bien, monsieur. vous-vous pouvez donner cela à Billy. [" Je le lui ai donné…?…" - N.D.E.] Oh! Vous le lui avez donné. Très bien.
            Eh bien, j'aimerais vous parler juste un instant. Et vous êtes-vous êtes souffrante. C'est une-c'est une maladie, une maladie de femme. C'est presque à votre âge qu'on en souffre. Mais l'une des principales choses pour lesquelles vous êtes ici, c'est pour quelqu'un d'autre. Et c'est un frère. Un beau-fils. Et il … Je vois qu'il s'agissait, on dirait, d'un jeune homme. Et croyez-vous qu'il va être rétabli? Croyez-vous qu'il sera guéri? De tout votre cœur? Eh bien, venez ici.
            Dieu notre Père, je la bénis et je bénis son bien-aimé, et puisse-t-elle  partir d'ici ce soir une femme normale et bien portante. Accorde cela, je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.
            Que Dieu vous bénisse, continuez votre chemin. Vous avez deux amis pour lesquels vous vous tenez ici. Oui monsieur. C'est vrai. C'est vrai.
42.       Grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ. Si… Jésus a dit : "Si tu peux croire, tout est possible." Si vous pouvez croire cela… Croyez-vous cela de tout votre cœur?  Croyez-vous que-que Dieu est ici pour vous guérir et vous rétablir ?
            Vous avez quelqu'un pour qui vous vous tenez ici aussi. C'est un cas de polio, un cas grave, une maladie, cela est… ?… juste là derrière vous. Voyez? Juste une minute. Tenez ce petit enfant là, ce petit garçon. Non. … ?…
43.       Juste une minute. Quelque chose est donc passé devant moi.
C'est juste par ici. C'est cette dame qui est assise là, souffrant de l'arthrite; c'est de cela qu'il s'agit, elle est assise juste là. Que Dieu vous bénisse. Et l'autre qui est assise à côté d'elle a la sinusite. Croyez-vous de tout votre cœur que le Seigneur Jésus vous rétablit? Très bien, levez-vous. Vous êtes guéries toutes les deux. Amen.
            Disons : "Gloire a Dieu." [L'assemblée dit : "Gloire à Dieu." - N.D.E.]
            Et votre diabète est parti aussi. Vous pouvez poursuivre votre chemin en vous réjouissant, et croyez tout simplement-tout simplement de tout votre cœur, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse, madame. C'est ainsi qu'il faut croire. Très bien. Venez avec respect. Venez en croyant de tout votre cœur.
44.       Bonsoir, monsieur. Croyez-vous de tout votre cœur? Oh! maintenant j'ai la vision. Je savais que notre Père céleste allait  l'accorder. Vous avez une jambe qui a été fracturée, n'est-ce pas vrai? Et vous avez un petit-fils ou quelque chose sur un petit enfant ou quelqu'un qui est sourd-muet, ou quelque chose comme cela. N'est-ce pas vrai? C'est vrai. Eh bien, poursuivez votre chemin en vous réjouissant, vous allez recevoir ce que vous demandez. Amen.
            Disons : " Gloire au Seigneur. " L'Esprit vous environne, c'est parfois difficile, mais accordez tout simplement au Saint-Esprit une possibilité, Il va…
45.       Très bien. Venez ici, madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Eh bien, cela s'installe dans tout le bâtiment, c'est simplement partout. C'est -ça se passe partout. Vous souffrez des troubles nerveux. Vous avez la névrite, l'arthrite, tous les deux. Vous êtes en rapport avec un ministre. Vous devez être la femme d'un ministre. Vous êtes la femme d'un prédicateur. Le Saint-Esprit… tout simplement… [Quelqu'un dans l'auditoire dit : "Gloire à Dieu. Alléluia." - N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, frère. C'est l'esprit de cet homme.
            Eh bien, juste une minute. Je vois une chaire. Je vois encore un homme. C'est un-c'est un ministre. Il est assis juste ici, et il souffre d'une hernie, il est assis juste là, un ministre de l'Evangile qui a l'hernie. Croyez, mon bien-aimé frère. Croyez-vous de tout votre cœur? Et vous  pouvez aussi être guéri.
            Croyez-vous de tout votre cœur? Alors vous pouvez être guéri. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Disons : "Gloire à Dieu." Ayez foi.
46.       La dame qui a  la main levée là et qui souffre de l'hypertension, vous n'avez plus à vous tracasser à ce sujet. Jésus-Christ vous guérit. Amen. Que Dieu vous bénisse.
            Il y a une dame assise juste là-derrière avec une - une affection de la vésicule biliaire. Vous n'avez plus à vous tracasser à ce sujet, sœur, le Seigneur Jésus-Christ vous guérit complètement.
47.       Eh bien, Il est ici pour guérir chacun de vous si vous croyez cela juste… Croyez-vous cela? Croyez-vous que les eaux de séparation sont maintenant sur vous? Frère, sœur, je ne suis pas un hypocrite, je suis votre frère. Tout ce bâtiment est complètement illuminé maintenant même par la puissance du Dieu Tout-Puissant. Croyez-vous de tout votre cœur ? Mettons-nous debout maintenant même, de la façon dont vous entrez quand les eaux sont agitées. Prions. Tout le monde, levons les mains, partout. Levez les mains, les petits enfants. Levez les mains dans la ligne de prière ici juste une minute. Oh! quel temps. C'est cela, mes amis. C'est cela. Je crois que chacun de vous est guéri. La chose entière est en train de disparaître et de prendre toutes sortes de couleurs, là dans l'auditoire.
            O, Jésus, Fils de Dieu, je réprimande chaque esprit de maladie. Ote cela d'eux, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, sors, Satan.
            Rendez gloire à Dieu. Levez les mains. Louez-Le et réjouissez-vous, et soyez guéris, vous tous, pour la gloire de Dieu.
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:08

Le Sceau de l’antichrist


1    Nous Te sommes reconnaissants de ce message qui appelle Ton peuple à la repentance et pour les visions. Et nous prions maintenant que la réunion de ce soir soit …?… que Ton Esprit soit sur nous, nous bénisse, appelle des pécheurs à la repentance, et amène l’Évangile à l’ancienne mode dans chaque cœur. Nous prions que Tu guérisses les malades, que Tu appelles les rétrogrades à revenir à la maison de Dieu. Tire gloire du service de ce soir, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
    Bonsoir, les amis. Je suis très heureux d’être une fois de plus ici ce soir, dans cette salle d’exposition, pour prêcher l’Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ. Beaucoup de choses sont arrivées dans les différentes parties du monde depuis la dernière fois que je vous ai vus; cela fait longtemps que je vous ai vus. Et le Seigneur a accompli de glorieuses choses. Et nous en sommes très reconnaissants, particulièrement de nombreuses personnes qui L’ont trouvé par le pardon de leurs péchés et par la guérison de leurs corps. Et notre grand et puissant Jéhovah règne toujours sur Son peuple, et combien cela nous réjouit donc. 

2    Nous sommes maintenant de retour chez vous, ayant fini avec le réveil hier soir, ou plutôt avec ma part que j’y ai apportée, au Angelus Temple où le Seigneur nous a rencontrés au cours de cinq soirées d’un véritable réveil à l’ancienne mode, et nous avons passé un merveilleux moment. J’ai eu l’occasion de faire connaissance avec beaucoup de gens qui venaient à la réunion, puis repartaient. Et, il y a environ une année, j’ai fait la connaissance du docteur Mc Pherson, ainsi que de son aimable épouse.
    Il y a juste quelques instants, j’ai eu le plaisir de faire connaissance avec son… le fils du docteur Keeford, juste à cette porte-ci comme j’entrais. J’ai serré la main aux vieux amis, oh! la la! Si je savais chanter, je chanterais «La semaine du retour à la maison». Combien ont déjà entendu cela? Sans blague? C’est un cantique du sud, je pense, ainsi… «Les dix premiers mille ans, il y aura une magnifique semaine de retour à la maison.» C’est un merveilleux cantique.

3    Ainsi maintenant, avec dix soirées devant nous, nous ne voulons pas nous presser, être nerveux à ce sujet. En effet, nous confions toutes choses au Seigneur. Prenons notre temps, étudions la Parole, posons la fondation comme il faut, et faisons confiance au Seigneur, et Il amènera la chose à s’accomplir. C’est…
    Et nous espérons aussi que vous prendrez le téléphone aujourd’hui, et que vous appellerez vos amis et leur direz de venir au réveil.
    Nous sommes heureux d’être ici ce soir, et d’être parrainé par cet aimable groupe de gens internationalement connus, les Hommes d’Affaires du Plein Évangile, dont je suis membre. Je… Vous savez, je… C’est la seule–seule organisation dont je fais partie, les Hommes d’Affaires du Plein Évangile. Et je ne suis pas un… Oui, je suis un homme d’affaires. Je suis dans les affaires de l’Entreprise du Seigneur. C’est–est une grosse affaire. Et je suis heureux d’être leur membre. Ils représentent toutes les églises réunies.
    Et je fais effectivement partie du Conseil des églises de Louisville, et de quelques petites choses de ce genre, mais pas d’une dénomination, car j’essaye de me tenir à la brèche entre eux, et de dire que nous sommes frères.

4    Et maintenant, je crois que demain matin nous allons avoir… Les hommes d’affaires chrétiens vont avoir un déjeuner à la cafétéria Clifton. Et je crois que je suis censé… Je suis censé y prendre part. Cette fois-ci je viendrai tôt, je déjeunerai, car la fois passée j’ai failli crever de faim avant qu’on arrive à la fin, et alors… On m’a aidé là à monter l’escalier, et tout le monde terminait ses oeufs, et j’ai regardé partout, et il n’y en avait pas. Je crevais presque de faim avant d’arriver quelque part pour manger. Je viendrai donc tôt le matin. Aussi espérons-nous vous voir là-bas. Ceci ne passe pas à l’antenne, n’est-ce pas? 
    L’autre soir, j’étais au Temple, j’ai parlé pendant longtemps, et j’ai pris toute la réunion, exposant de mon mieux sur le type ancien. Quelqu’un a dit: «Je vous ai suivi à la radio.» Et je ne savais même pas que nous passions à l’antenne, aussi… Oh! la la! Après cela, j’ai pris un peu garde à ce que je disais. Tout… La radio atteint un public large quand elle émet, et ces enregistrements sur bande qui vont partout…

5    Nous sommes donc très heureux, ce soir (je suis sûr que vous l’êtes tous, si vous vous sentez comme moi), physiquement parlant, je suis un peu fatigué, mentalement aussi, mais je suis heureux dans le Seigneur; nous nous attendons à ce que ce réveil soit pour nous le réveil le plus glorieux que nous ayons jamais eu à Los Angeles. Nous ne savons simplement pas quand nous serons de retour.
    J’essaye sans aucun doute d’insister auprès des ministres que l’année passée, ou plutôt l’année prochaine, cela fera cinquante ans depuis que le Saint-Esprit est tombé pour la première fois (Comment s’appelle cette rue?), Azusa, la rue Azusa, ici en Californie, à Los Angeles. Et j’aimerais voir tous les ministres se rassembler, ainsi que toutes les églises se rassembler, démolir leurs petites barrières et leur indifférence, pour avoir un retour à la maison à l’ancienne mode, pas vous? Oh, ce serait très bon, ôter simplement cela au point que nous pourrons simplement avoir…

6    Vous savez, Jacob avait creusé un puits, mais les Philistins l’en ont chassé. Et je pense qu’il l’a dénommé «malice». Puis il a creusé un autre, mais ils l’en ont chassé, et il l’a dénommé «lutte». Alors, il–il en a creusé un autre, et il a dit: «Il y a de la place pour nous tous.» J’espère donc que nous pourrons creuser ce puits l’année prochaine, pas vous, ainsi il y aura de la place pour nous tous, pour tout le monde, juste pour venir boire jusqu’à ce que votre soif soit étanchée. Et je suis sûr que nous avons tous davantage soif de Dieu, n’est-ce pas? Cela montre qu’il y a davantage à recevoir, tant que nous en avons soif.
    Bon, je vais essayer de ne pas vous retenir jusque tard dans la nuit, afin que vous puissiez revenir demain soir, ainsi que la soirée d’après, et ainsi de suite. Et c’est ce dimanche après-midi que la réunion aura lieu ici, et nous essayerons de faire venir mon fils ici pour un service de guérison, dimanche après-midi, si possible, vers… faire distribuer les cartes vers douze, treize heures, quelque chose comme cela. Je crois que nous allons commencer à quatorze heures. On l’annoncera un peu plus tard.

7    Bon, pour le… un petit texte pour ce soir, je désire attirer votre attention sur le livre de l’Exode, je crois que c’est cela, le verset 21, le–le chapitre 21 et le verset 5, plutôt (excusez-moi), juste comme petit contexte pour notre sujet, pendant que nous parlons… Et priez avec nous, car si le Seigneur ne bâtit pas la maison, c’est en vain, n’est-ce pas? Nous nous confions donc en Lui. Nous lisons à partir du verset 5, Il est dit:
    Si l’esclave dit: J’aime mon maître, ma femme, mes enfants, et je ne veux pas sortir libre, alors son maître le conduira devant Dieu, et le fera approcher de la porte ou du poteau, et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon, et l’esclave sera pour toujours à son service.
    Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de la Parole. Eh bien, pendant ce petit moment, nous désirons parler ce soir d’un sujet: Le sceau de l’antichrist. Et si le Seigneur le veut, je désire parler demain soir sur: Le Sceau de Christ.

8    Eh bien, on en entend beaucoup parler ces jours-ci. Combien aiment les vieux textes des Écritures de ce genre? Moi, je les aime. Et maintenant, comme j’enseigne sur ceci, il se peut que ce soit juste un peu différent, peut-être, de ce que vous croyez ou–ou de ce qui vous a été enseigné. Et ce n’est pas mon intention de–d’avoir un avis différent. Si cela ne correspond pas exactement avec votre manière de le croire, restons frères, de toute façon. Vous voyez? 
    Et j’ai toujours dit dans mon… quand j’enseigne ou quand je prêche, que c’est comme quand on mange de la tarte aux cerises, quand vous tombez sur un noyau, ne jetez pas la tarte, jetez simplement le noyau, et continuez simplement à manger la tarte. Faites donc la même chose. Quand vous tombez sur quelque chose que vous ne croyez pas de cette façon-là, jetez simplement cela d’un côté. Et pour ce que vous croyez, réjouissez-vous avec moi dans le Seigneur.

9    Eh bien, on s’est à maintes reprises référé, par la foi, à ceci comme étant un temps très opportun pour que cette chose arrive. Je le crois vraiment de tout mon cœur, que nous vivons dans les derniers jours. En effet, les quelques derniers mois, j’ai rassemblé (j’essayais) assez d’éléments scientifiques pour prêcher un soir sur la Seconde Venue du Seigneur, d’un point de vue scientifique. Étant moi-même une personne sans instruction, je dois–dois beaucoup étudier cela pour voir les progrès scientifiques relatifs aux choses, pour voir si c’est tout à fait exact. Et c’est ce que je désire faire. J’ai tenté de le faire à Lubback, je ne l’ai pas fait, en Louisiane, je ne l’ai pas fait, à Phoenix, chaque soirée, je n’ai cessé de dire que je prendrais cela. Peut-être que j’aborderai cela en Californie.

10    Ainsi, ce jour où nous vivons constitue donc un point d’interrogation pour le monde entier. J’ai parcouru une bonne partie de la Parole… du monde pour le Seigneur. Et à ce sujet, pas seulement en Amérique, mais partout, partout règne une paix instable. Le monde entier semble secoué; il est dans la peur, on dirait que quelque chose est au point d’arriver. Eh bien, cela montre que quelque chose est près d’arriver. Nous sommes… Je ne veux pas vous effrayer. Ce n’est pas pour cela que je suis ici; je suis ici pour vous montrer un moyen pour éviter d’avoir peur, mais pas pour vous faire peur.
    Cependant nous devons faire face à la réalité, et nous devons le faire. Ainsi, nous voyons que dans le monde, une peur bleue s’empare de tous les peuples dans cet âge atomique, où tout peut arriver. Et les hommes sont…

11    Les églises se refroidissent. Nous devrions tout aussi bien faire face à cela. Les églises vont continuellement de mal en pis. Plus de prédications sont apportées au monde que jamais auparavant, mais avec moins de pratique que jamais partout dans le monde.
    On dirait tout simplement qu’elles continuent à se refroidir. De grands réveils secouent le pays, des hommes oints du Saint-Esprit viennent; ils prêchent de tout leur être; mais les gens s’en vont tout bonnement comme si de rien n’était, simplement indifférents. Eh bien, il doit y avoir une raison à cela. Et si vous étudiez Ceci, Ceci en révèle la raison.
    Savez-vous que les Écritures disent qu’il y aura un temps dans les derniers jours, où il viendra une famine sur la terre, non pas du pain et de l’eau, mais d’entendre la Parole de Dieu? Et que les hommes viendraient de l’est, de l’ouest, du nord et du sud, cherchant à entendre la Parole de Dieu, mais qu’ils ne La trouveraient pas? Pensez seulement aux temps où nous vivons. Et nous vivons en ce temps-là. Je crois que lorsque le prophète a prononcé cela, ce sont les États-Unis d’Amérique qu’Il avait vus d’avance. En effet, à ma connaissance, c’est le seul endroit qui réponde en ce jour à cette description.

12    D’autres parties du pays meurent de faim, pratiquement le monde entier. Nous apportons pratiquement de l’aide substantielle au monde. Nous avons beaucoup de nourriture, tout ici; tout le monde mange bien, il y a beaucoup de vêtements, il n’y a plus de crise économique, beaucoup d’argent circule partout. Et les gens cherchent à entendre la Parole de Dieu, mais n’arrivent pas à L’entendre. C’est pour cette raison que chaque homme s’est fait un figuier, sa propre organisation, son propre culte ou ses propres idées, et plus personne d’autre ne veut écouter. Et c’est lui qui a raison, et personne d’autre n’a raison, et ils ne veulent pas communier les uns avec les autres. Et voilà pourquoi l’esprit de ce pauvre peuple américain est si troublé; ils ne savent pas faire la part des choses. 
    Un homme dira: «Voici le chemin.» Un autre dira: «Voici le chemin.» L’un a un enseignement; un autre a une doctrine; un autre a un cantique; un autre a une langue. Et de toutes les nations dans le monde, le peuple américain est celui qui est dans la plus grande confusion. C’est terriblement dur à déclarer. Mais alors, c’est néanmoins la vérité. Nous devons regarder la réalité en face.

13    C’est juste comme lors des services de guérison, quand les gens viennent à l’estrade, peut-être parfois des prostituées, des ivrognes et ainsi de suite… C’est dur, quand vous voyez là-bas la mauvaise vie de cette femme et tout, je dois en parler devant ses amis sans mâcher les mots. Et la vérité demeure la vérité. Nous avons… Soit la vérité lie, soit elle affranchit. C’est juste. Et ainsi, nous devons connaître la vérité, et elle demeure la vérité.
    Nous pouvons amener… Dieu peut accomplir une chose en Amérique, et je… et la première chose, vous savez, il y a tant d’imitations de cela… On peut commencer un mouvement de Dieu; et c’est moi qui vous le dis: peu après, cela devient… cela tombe dans un tas de fanatisme. C’est la vérité, mes amis, si je ne l’ai jamais dit.

14    Bon, quand j’étais ici l’autre fois, et que j’essayais de vous dire ce que je… Dieu confirme Sa Parole par des signes, des prodiges et des miracles, et ainsi de suite; j’ai dit: «Je désire revenir un de ces jours vous enseigner un petit peu.» Et c’est pour cette raison que je suis de retour, c’est pour faire cela. 
    Bon, considérez cet âge dans lequel nous vivons. Eh bien, à mon avis, c’est un âge marqué par un tournant. C’est un temps où soit les hommes entreront dans le Royaume de Dieu, soit ils seront scellés hors du Royaume de Dieu. Et je crois que l’antichrist scelle la personne. Les Écritures nous enseignent dans le Livre de l’Apocalypse: «Quiconque recevra son sceau ou sa marque ou la lettre de son nom (et ainsi de suite) sera perdu», sera scellé hors du Royaume de Dieu. Et l’Esprit de Christ, une fois qu’on En est scellé, on est scellé à l’intérieur du Royaume. Et aussi sûr que vous pouvez être scellé avec l’un à l’extérieur, vous pouvez être scellé avec l’autre à l’intérieur.
    Et ce soir, nous allons parler du scellement à l’extérieur, et demain soir, du scellement à l’intérieur. Et vous, faites-vous une opinion, pendant que je m’efforcerai de m’en tenir strictement à la Parole, pas à des opinions, mais à la Parole.

15    Bon, nous voyons que dans le livre… Bien des gens ont forgé différentes choses et ont dit… Il n’y a pas longtemps, j’ai fait venir un homme; il a dit: «Frère Branham, j’aimerais vous montrer quelque chose.» Il a dit: «À votre avis, c’est quoi la marque de la bête?»
    Et j’ai répondu: «Je ne sais pas.»
    Et il a dit: «Eh bien, permettez-moi de vous montrer quelque chose.» Le pauvre homme se faisait bien sûr une illusion. Et il a fait sortir de sa poche un très grand bout de papier sur lequel il y avait la Statue de la Liberté. Il a dit: «Voilà la marque de la bête: la Statue de la Liberté.»
    Eh bien, on a entendu toutes sortes de choses et de rumeurs, mais qu’en dit la Parole de Dieu? Ça, c’est une autre chose. Voici ce que nous voulons savoir: C’est quoi ce sceau d’apostasie, et comment les gens le recevront-ils? 

16    Il n’y a pas longtemps, je suivais là dans ma région, une émission radiophonique, et un homme disait: «Bientôt, les gens auront une grande machine à tatouer. Et on va tatouer l’image de la bête sur le front d’un homme. Et on va mettre la marque de la bête ici sur sa main. Et tout celui qui recevra cette marque sera à jamais perdu.»
    Il n’y a pas longtemps que le N.R.A. [sigle anglais de l’Administration Américaine pour la Relance–N.D.T.] est venu dans ma contrée, je pense qu’il l’était aussi dans celle-ci. Dans ma contrée on disait… Toutes les personnes pieuses se sont mises à dire: «C’est cela la marque de la bête. Ne la recevez pas; oh! la la! C’est horrible. Quiconque se joint au N.R.A., c’est sûr qu’il recevra la marque de la bête.» Eh bien, nous avons découvert que ce n’était pas le cas.
    Il doit donc y avoir une vérité fondamentale. Elle doit alors venir du AINSI DIT LE SEIGNEUR. Elle doit venir de là. Beaucoup de gens ont renvoyé tout cela là-bas, dans un jour encore à venir. D’autres ramènent cela à ce jour-ci. Mais pour moi, je crois que cela a commencé en même temps que le Saint-Esprit tombait.

17    Si vous remarquez, juste quand Jésus est venu sur la scène, Judas est venu sur la scène, l’antichrist, celui qui était contre Christ. J’aimerais donc que vous fassiez attention aux natures de ces esprits. Judas, lui, était un homme religieux. Il n’était pas un incroyant. Mais nous savons tous qu’il était l’antichrist. Il travaillait le plus près de Christ, il était Son bras droit.
    Savez-vous qu’au Ciel, au commencement, le diable était le bras droit de Dieu, que Lucifer, le fils de l’aurore, avait reçu la puissance? Et la raison pour laquelle il a amené le péché sur la terre, c’est qu’il pouvait prendre quelque chose que Dieu avait créé, et le pervertir en quelque chose de faux, c’est ce qui, au commencement, a provoqué tous ces ennuis. Alors, Dieu, bien avant que la fondation du monde ne soit posée, quand Il vit ce que Satan avait fait… Dans son orgueil, il s’en alla vers le nord et établit un royaume, et il combattit contre Michaël et ses anges… Comprenez-vous cela? 

18    C’est Lucifer qui était le bras droit de Dieu, le fils de l’aurore. D’abord, Dieu lui avait accordé presque d’être co-ouvrier avec Lui, il était co-ouvrier, il Lui était partiellement égal; à la seule différence que Satan ne pouvait pas créer. Dieu est le seul Créateur, mais Satan a pris quelque chose que Dieu a créé et l’a perverti en quelque chose d’autre qui est faux. Et maintenant remarquez, quand Caïn et Abel, une très belle image de cela… Caïn et Abel n’étaient rien d’autre que la préfiguration de Judas et Jésus.
    Bon, n’étant pas instruit comme mes frères qui ont étudié, j’enseigne les Écritures à partir des types, des ombres. Et si je connais l’ombre d’une chose, j’aurai une idée de la chose. Et quand je considère l’aspect d’une ombre, je pourrai très bien dire de quoi la chose aura l’air. Et si, à partir de l’ombre, nous pouvons voir d’avance ce que sont ces maux, alors nous pouvons très bien dire ce qu’ils seront en les regardant. Et étant sans instruction, je dois alors enseigner cela à partir des types. Paul aussi l’a fait à maintes reprises (le savez-vous?), dans le livre des Hébreux.

19    Bon, Judas, tout comme Caïn tua Abel à l’autel, Judas tua Jésus à l’autel. Et quand Caïn… Abel entra sur la scène – Caïn entra sur scène, Abel entra sur la scène. Quand Jésus entra sur la scène, Judas entra aussi sur la scène. Quand Jésus mourut, Judas aussi mourut. Et quand l’Esprit de Christ (Comprenez bien cela maintenant.), quand l’Esprit de Christ revint, l’esprit de l’antichrist revint, l’esprit de Judas revint. Judas était l’homme de Satan, Christ était l’Homme de Dieu.
    Christ était Dieu incarné; Judas était le diable incarné. C’est… de même qu’ils revinrent, voici qu’il y avait sur la… Bon nombre de gens ne voient que trois croix lorsqu’ils regardent au Calvaire. Pourtant il y en avait quatre. Vous direz: «Je n’en vois que trois.» Eh bien, une croix c’est du bois. «Maudit soit celui qui est pendu au bois.» Jésus a été pendu au bois. Et Judas, lui, s’est pendu à un sycomore et était aussi maudit, c’est aussi un bois, comme ce sur quoi Christ a été pendu: la croix.

20    Maintenant, remarquez que Christ est au milieu: à Sa gauche il y avait un brigand; à Sa droite il y avait un autre brigand; bon, ceux-ci représentaient le croyant et l’incroyant. Eh bien, l’homme qui était vraiment un brigand, de ce côté-ci, à gauche, a crié, il a dit: «Si…» Faites attention à cette parole: «Si Tu es le Fils de Dieu, si Tu es cette personne importante que Tu prétends être, alors sauve-Toi Toi-même et sauve-nous aussi. Si Tu es…»
    L’homme qui était de ce côté-ci, étant un prédicateur de l’Évangile, le croyant, lui prêcha à la croix, il dit: «Pourquoi Le condamnes-tu?» Il dit: «Il n’a rien fait de mal. Mais remarquez que nous avons tous deux été condamnés; ce qui nous arrive, c’est en toute justice que nous le subissons. Nous le méritons, mais cet Homme n’a rien fait.» Il a dit: «Seigneur…» Considérez sa confession; cet homme-là a dit: «Si…», cet homme a dit: «Seigneur, souviens-Toi de moi quand Tu viendras dans Ton règne.»
    Et Jésus, répondant vite, a dit: «Aujourd’hui, tu seras avec Moi dans le paradis.» Vous y êtes! Qui était-ce? Judas Iscariote mourut sur un sycomore. Voici que Dieu, qui était descendu et était manifesté en chair, S’en retournait au Ciel, amenant avec lui Le pécheur qui s’était repenti. Voici que Judas, le fils de la perdition, tout comme Christ est le Fils de Dieu, il était venu de la perdition, s’en retournait à la perdition, amenant avec lui le pécheur qui ne s’était pas repenti. Vous voyez cela?

21    Christ, le Fils de Dieu, qui était venu du Ciel, Y retournait, amenant avec Lui le croyant… Judas, le fils de la perdition, venant de l’enfer, retournait en enfer, amenant avec lui le pécheur qui ne s’était pas repenti. Comprenez-vous cela?
    Or, Christ, quand Il est venu sur terre, quand Il est ensuite reparti, Il a dit: «Encore un peu de temps, et, a-t-Il dit, le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous et même en vous, jusqu’à la consommation du monde.»
    Eh bien, au moment où le Saint-Esprit est revenu sur l’église pour en tirer un peuple qui doit être l’Épouse, l’antichrist aussi est revenu. Eh bien, lisez dans 1 Jean 4.3, Il a dit: «Petits enfants, tout esprit qui confesse que Jésus n’est pas venu en chair n’est pas l’Esprit de Dieu: mais c’est l’esprit de l’antichrist qui devrait venir dans le monde et qui est déjà dans le monde, à l’ouvre dans les enfants de la rébellion.»

22    Si vous remarquez, comme c’est beau! Quand Judas est venu en chair, c’était Satan –  le fils de Satan, il est venu dans le monde, et il est tout d’abord allé droit vers l’église, il a adhéré à l’église et est devenu un membre de l’Église du Dieu vivant. Amen. Et Judas est allé avec les autres prêcher l’Évangile. Et il est revenu avec eux, se réjouissant de ce que les démons lui étaient soumis, Matthieu 11. Mais Jésus a dit: «Ne vous réjouissez pas de ce que les démons vous sont soumis, mais réjouissez-vous de ce que votre nom est écrit dans le Livre.»
    Judas était avec eux. Il était donc avec Christ, il communiait avec les croyants, mais quand vint le temps pour lui de naître vraiment de nouveau et de recevoir le Saint-Esprit, c’est là qu’il montra ses couleurs. Et ce…

23    J’espère que je ne blesse personne, mais regardez, aujourd’hui, les croyants tièdes, les croyants frontaliers arriveront jusqu’au Saint-Esprit, et puis ils diront: «Je ne crois pas à une telle histoire.» Voyez-vous cela? 
    Ces croyants avanceront, tout comme Caïn, ils peuvent arriver jusque là où Judas, le conducteur, est arrivé, avoir une doctrine vraiment fondamentaliste, mais quand vient le temps de la séparation, Dieu trace une limite. L’homme doit naître de nouveau. Vous le devez. Mais quand on en vient à la nouvelle naissance et au fait de recevoir cette expérience, alors les hommes disent: «Oh! c’est du fanatisme; il n’y a rien de vrai dans cela.»
    Et c’est pour cette raison qu’ils ne peuvent pas croire au surnaturel. C’est pour cette raison qu’ils ne peuvent pas croi-… croire à la guérison divine et aux œuvres de l’Esprit. Ils croient les Écritures, mais d’une manière mentale. Ils croient cela d’une manière intellectuelle, mais ils ne peuvent y croire dans leur cœur, à moins que le Saint-Esprit n’entre dans le cœur humain et n’en prenne la direction. Oh! la la! C’est vraiment la vérité.

24    Et une fois qu’un homme franchit cette limite et qu’il est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, il devient un fils de Dieu. Et alors, il croira que ce que Dieu dit est la vérité. Et il dira: «Toute la Parole est inspirée.»
    Observez cet esprit religieux qui est frontalier et qui croit à moitié. Vous direz: «Frère Branham, voulez-vous me dire que l’esprit antichrist sera un esprit religieux?»
    Jésus a dit: «Cela sera si proche, cela ressemblera tellement à la chose véritable, que cela séduira même les élus, si c’était possible.» Matthieu 24.
    C’est mettre une lumière un peu différente sur la chose, n’est-ce pas? C’est un esprit religieux, un esprit qui peut crier, un esprit qui peut danser dans l’esprit, un esprit qui peut chasser les démons, un esprit qui peut opérer toutes sortes de miracles, mais qui pourtant n’est pas né de l’Esprit de Dieu. Jésus a dit: «En ce jour-là (écoutez ceci), beaucoup viendront à Moi et diront: ‘Seigneur, n’ai-je pas chassé les démons en Ton Nom? N’ai-je pas opéré de nombreuses œuvres puissantes en Ton Nom?’ Mais Je leur dirai: ‘Retirez-vous de Moi, ouvriers d’iniquité, Je ne vous ai jamais connus.’»

25    Et aujourd’hui, nous avons presque reposé notre âme sur quelqu’un qui peut prêcher comme une–une boule de feu, ou sur quelqu’un qui peut guérir, imposer les mains aux malades et ceux-ci sont guéris; cela ne veut encore rien dire; sur quelqu’un qui danse en esprit ou qui crie victoire, cela ne veut encore rien dire, rien du tout. Vous ne pouvez pas vous confier aux émotions, bien que cela soit très bien; cela accompagne la Chose. Mais vous devez d’abord avoir la vraie chose.
    J’ai vu des gens se tenir là, s’agiter, s’affoler, crier à tue-tête, traverser des étangs de feu sans même y toucher, et nier l’existence de Jésus-Christ. Cela ne veut donc rien dire. J’ai vu les gens tellement surexcités qu’ils criaient: «Allah, Allah, Allah, Allah», au point de prendre une lance, et se transpercer le menton et le nez, comme ceci, puis l’en faire sortir, sans qu’une seule goutte de sang en sorte. Certainement. Ils se font des incisions lors de la fête des prophètes, quand ils coupent les feuilles… Une jeune dame se tient là à couper des feuilles, et l’homme tend le bras, et on prend un sabre, et on donne de grands coups à ses bras, comme cela, et il ne saigne même pas. Et ils sont tellement surexcités …?… Saisissez-vous ce que je veux dire?

26    Ce n’est pas parce que nous dansons, parce qu’on a été heureux ou qu’on a crié, ce n’est pas ce que cela veut dire. «Les fruits de l’Esprit sont: l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bienveillance, la bonté et la patience.» C’est cela. Les gens peuvent crier, danser dans l’esprit, et haïr leur voisin, refuser de se parler l’un à l’autre. C’est juste. Je ne veux pas vous blesser, mais il faut que cela soit dit.
    Le Saint-Esprit donne des dons, des manifestations de dons, le discernement des esprits, et autres. Eh bien, le moment est maintenant venu où j’aimerais vous dire la vérité sur ces choses. On forme un groupe merveilleux, on a de beaux endroits, mais à cause du mal on est vraiment séparé. On ne devrait pas être ainsi. On devrait être uni de cœur, avoir un seul but, être tous la grande Église du Dieu vivant. C’est le mal qui nous garde séparés. Vous voyez? Nous basons donc cela sur la mauvaise chose; basons cela solidement sur le AINSI DIT LE SEIGNEUR, sur la Parole, recevant Christ.

27    Il n’y a pas longtemps, un jeune homme est venu chez-moi à la maison, il était assis à la véranda. J’avais pitié de lui, il avait un vieux camion Chevrolet tout cabossé. Et il a dit: «Frère Branham, je veux vous parler.»
    Et j’ai dit: «Très bien, qu’y a-t-il?»
    Il a dit: «Je viens de Minneapolis.» Il a dit: «Et mon épouse est allée à l’église, chez les pentecôtistes, et elle a reçu l’Esprit.» Eh bien, je vais employer ses propres termes. Il a dit: «Elle a reçu l’Esprit.» Il a dit: «Nous allions de temps en temps à l’Église presbytérienne.» Et il a dit: «Elle a reçu l’Esprit; elle était vraiment heureuse. Elle est rentrée à la maison et m’en a fait part, et elle voulait que j’aille Le recevoir. Mais moi j’ai dit: ‘Eh bien, écoute, chérie, va partout où tu voudras. Moi je vais travailler pour gagner de quoi vivre, mais je ne suis pas le genre religieux.’» Il a dit: «Va n’importe où que tu veuilles; il n’y aura pas de problème.»
    Elle a dit: «Eh bien, tu devrais venir te réjouir avec nous.» Elle a dit: «Nous passons les meilleurs moments.» Et il a dit: «Elle était vraiment une personne changée.» Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, cela a continué pendant deux ans.» Il a dit: «Elle… Nous avons cessé de jouer aux cartes; je n’allais plus avec elle à des fêtes, avec… comme j’en avais l’habitude.» Il a dit: «On avait tout abandonné»; il a dit: «Je rentrais simplement à la maison; elle, elle allait à l’église. Et moi, je restais assis à ne rien faire et lisais–conduisais–lisais un livre de bibliothèque, ou bien j’allais à la loge ou à quelque chose de ce genre.»

28    Et il a dit: «Un jour, j’ai vendu un le lot de voitures. Et je suis entré; j’ai mis ma veste.» Il a dit: «C’était en été.» Il a dit: «J’ai mis ma veste pour sortir, car il y avait des dames là-bas.» Et il a dit: «Sur mon chemin de retour, a-t-il dit, j’ai accroché ma veste, et une fois que je l’ai fait, j’ai dit–je me suis demandé si je leur avais donné les clés. Et j’ai plongé la main dans ma poche, et j’en ai tiré un petit bout de papier, et il était écrit dessus: ‘Où passeras-tu l’éternité?’» Il a dit: «Je l’ai simplement déposé, j’ai allumé les ventilateurs.» Et il a dit: «Je l’ai repris; je n’arrivais pas à m’en débarrasser. ‘Où passeras-tu l’éternité?’»
    Et il a dit: «J’ai quarante ans; je–je dois régler cette affaire.» Il a dit: «C’est vrai.» Il a dit: «J’ai dû simplement remettre le travail entre les mains de quelqu’un d’autre, et je suis rentré à la maison chercher Dieu.» Il a dit: «Je suis allé chez un prédicateur célèbre.» Eh bien, c’est de M. Graham qu’il s’agissait, Billy Graham. Et il a dit: «Je suis allé à sa réunion. Et il a dit: ‘Que tous ceux qui veulent recevoir Christ se lèvent.’» Eh bien, il a dit: «Je l’ai fait.»
    Et il a dit: «Acceptez Christ maintenant comme votre Sauveur personnel, et ce sera réglé.» Il a dit: «J’ai parlé à certains de ces hommes-là, ils m’ont dit que c’était la chose que je devais faire.»
    Eh bien, il a dit: «J’ai fait de mon mieux.» Mais, il a dit: «Frère Branham, la chose n’était pas réglée.»

29    Il a dit: «Je suis entré en contact avec les nazaréens.» Et il a dit: «Ils m’ont amené dans une pièce et m’ont dit que si je ne me sentais pas assez heureux pour crier, je n’étais pas encore sanctifié.» Et il a dit: «Je suis resté là et nous avons prié ensemble à tel point que ça semblait être une seule personne qui priait.» Il a dit: «Je me suis senti heureux et j’ai crié.» Il a dit: «Ils m’ont dit: ‘C’est terminé maintenant.’» Et j’ai dit: «Je–je–je pensais que ça l’était. Alors je suis sorti, et pourtant ce–ce n’était pas terminé.»
    Il a dit: «J’ai vendu toutes mes voitures.» Il a dit: «Ma fortune s’élevait à environ un demi-million de dollars. J’ai vendu mon lot de voitures, toutes mes voitures.» Il a dit: «Tout ce que j’ai, c’est juste une vieille voiture cabossée, j’essaye de l’offrir aux prédicateurs, et ainsi de suite, pour pouvoir trouver la paix de mon âme.» Il a dit: «Je veux rencontrer le Seigneur.» Et il a dit: «Ensuite, je suis finalement tombé sur les pentecôtistes. Eux m’ont dit que je suis… Si j’avais… Ils m’ont demandé si j’avais déjà parlé en langues. Et je leur ai dit: ‘Non.’»
    Ils ont dit: «Eh bien, vous ne L’avez pas jusqu’à ce que vous ayez parlé en langues.» Il a dit: «Ils m’ont amené, et j’ai prié presque toute la moitié de la nuit dans une petite tente qui était derrière une grande tente.»
    Et il a dit: «Alors j’ai parlé en langues, et ils ont dit: ‘Maintenant tu L’as.’» Mais il a dit: «Frère Branham, je ne L’avais pas.» Il a dit: «Alors je suis allé à Shreveport ou plutôt à Dallas, à la Voix de la Guérison.» Il a dit: «Ils ont fait venir là tous leurs gars», et il a dit: «Ils ont essayé de me satisfaire, mais ils n’y sont pas arrivés.» Et il a dit: «Alors, ils m’ont dit que vous étiez un prophète, et que je devrais venir vous voir et que vous me diriez certainement que j’avais traversé la ligne de démarcation et qu’il n’y avait plus d’espoir pour moi, puisque j’avais fait tout ceci et ne Le recevais toujours pas.» 

30    Et j’ai dit: «Eh bien, frère, je voudrais vous dire quelque chose.» J’ai dit: «Je ne suis pas un prophète. C’est–ça, c’est ce que disent les gens.» Et j’ai dit: «Je–c’est…» J’ai dit: «Je suis simplement Son serviteur. Mais maintenant, vous n’avez pas besoin qu’un prophète vous remette dans la bonne voie; vous avez juste besoin de la Parole de Dieu.» Et j’ai dit: «Ce que M. Graham vous a dit, c’est la vérité. Et ce que les nazaréens vous ont dit, c’est la vérité. Et ce que les pentecôtistes vous ont dit, c’est la vérité; et pourtant, ce n’est pas la vérité. Crier, lever les mains, parler en langues, ce n’est pas ça recevoir Christ. Recevoir Christ, c’est recevoir la Personne du Seigneur Jésus-Christ. Ces choses se produiront donc après cela. Vous voyez? Eh bien, vous pourriez faire toutes ces choses sans pour autant avoir déjà Christ.» 
    Il a dit: «Bien, Frère Branham, où pourrais-je Le trouver?»
    J’ai répondu: «Je désire vous demander quelque chose. Revenons-en à votre histoire.»
    Il s’est approché; il a dit: «Eh bien, que voulez-vous dire?»
    J’ai dit: «Vous avez dit que le jour où vous êtes venu, où vous avez pris ce bout de papier, quelque chose vous a frappé, et vous avez dit: ‘Oh, je veux chercher Dieu.’» J’ai dit: «Depuis… jusqu’à ce moment-là, vous alliez dans cette direction, sur la route. Et ensuite, vous êtes allé dans cette direction-ci, quelle en était la cause?»
    J’ai dit: «Qu’est-ce qui a fait que vous changiez d’opinion? Qu’est-ce qui est entré dans votre cœur, qui a fait que vous qui autrefois ne vous intéressiez pas à Dieu, quelle est cette chose qui est entrée et qui a fait que vous commenciez à aimer Dieu? Qu’est-ce qui a fait cela?» 
    Il a répondu: «Eh bien, je ne sais pas.»
    J’ai dit: «Avant qu’il puisse y avoir une création, il doit y avoir un créateur pour créer cette création. Dieu est entré dans votre cœur à l’instant même où vous regardiez ce bout de papier.»
    Il a dit: «Vous voulez dire que je L’avais tout ce temps?»
    Et sur ce, il a sauté et s’est mis à hurler et à pleurer. C’était réglé. Qu’est-ce?
    Il a dit: «Voulez-vous prier pour moi?»
    J’ai répondu: «À quoi bon prier pour vous? Vous n’avez pas besoin d’une prière. La vérité vous a affranchi.» Vous voyez?

31    Eh bien, ces autres choses, c’est très bien, et vous ne pouvez pointer du doigt quoi que ce soit. C’est l’ouvre du Saint-Esprit, la Personne, pas une pensée. Quand Il («Il», c’est un pronom personnel) – quand Il (le Saint-Esprit) sera venu… Le Saint-Esprit, c’est la Personne du Seigneur Jésus-Christ que nous acceptons dans nos cours et qui amène de nouveaux et différents comportements, une vision et tout, de la vie. Amen.
    Peu importe si vous pouvez adhérer à des églises, serrer la main des pasteurs, inscrire votre nom dans les registres; toutes ces choses sont bonnes. Vous pourriez… Paul a dit: «Quand je parlerais les langues des hommes et des anges; quand j’aurais la sagesse et comprendrais toute la connaissance de Dieu; quand je donnerais mon corps pour être brûlé en sacrifice; quand je ferais toutes ces choses, je ne suis toujours rien.» C’est juste.
    Mais il a dit: «Les langues cesseront. La connaissance sera abolie; les prophéties prendront fin, mais quand l’amour sera venu, il demeurera pour toujours.»

32    Eh bien, ce dont l’église, l’Église pentecôtiste a besoin ce soir, ainsi que les autres églises, c’est d’un bon baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode, et de l’amour qui vous remettra sur la bonne voie, qui vous unira, qui vous mettra ensemble comme frères et sœurs dans le Seigneur Jésus-Christ, et qui renversera ces murs de séparation. Amen.
    L’amour… Dieu est amour. «L’amour est patient; l’amour ne s’irrite point; l’amour ne s’enfle pas d’orgueil.» Quand vous vous enflez d’orgueil, l’amour s’en va. Et quand il y a toute cette malice, ces luttes, ces guerres, cette envie et cette malice les uns vis-à-vis des autres, frère, Dieu S’en va tout simplement, c’est tout. Et c’est un fait; vous pouvez voir cela. Amen. 
    Bon, vous êtes dans la bonne voie, frère. Vous êtes sur le bon chemin, mais ce qu’il vous faut faire, c’est de vous rassembler de nouveau, pour une réunion à l’ancienne mode de la rue Azusa, où les hommes et les femmes de toutes les dénominations se rassembleront, démoliront leurs barrières, et se reconnaîtront les uns les autres comme des frères et des sœurs dans le Seigneur Jésus-Christ. Amen.

33    Eh bien, nous sommes tous frères, Adam notre premier père nous avait vendus comme esclaves au péché, nous n’y étions pour rien. Quand vous naissez dans ce monde, vous êtes un pécheur dès votre naissance. La Bible dit: «Nous sommes nés dans le péché, nous avons été conçus dans l’iniquité, nous sommes venus au monde en proférant des mensonges.» Quand vous naissez sans Christ, vous n’avez aucune chance: Vous n’y pouvez rien; vous avez été vendus par votre père, Adam. C’est Adam qui a vendu la race humaine. Et par nature…
    Je sais qu’il y a un enseignement qui circule, selon lequel – là dans ma contrée et dans différentes parties du pays, selon lequel si un enfant naît de parents qui ont le Saint-Esprit, cet enfant est sauvé, et que s’il naît des parents pécheurs et meurt, il est perdu. Oh, frère, ce ne sont que des balivernes. Je sais que vous me trouvez un peu rude ce soir, mais je dois être rude de temps en temps.

34    Mais je n’ai pas l’intention de vous blesser; je veux plutôt que nous corrigions ceci. Vous verrez un des plus grands réveils qui n’aient jamais balayé le pays. C’est vrai. Nous retournons au point de départ pour commencer correctement. Il n’y a qu’une seule chose à faire; c’est de retourner en arrière, si vous vous rendez compte que vous êtes tombés dans la mauvaise voie, faites marche arrière, retournez pour voir d’où vous êtes partis.
    D’habitude, l’homme, quand il naît dans le Royaume de Dieu, sa face est tournée droit vers le Calvaire. Eh bien, s’il est un petit peu émotionnel, il tombera dans le fanatisme. S’il est juste un petit peu instruit, il devient si guindé qu’il se tient de ce côté-ci. C’est juste. Mais la vraie Église du Dieu vivant va juste au milieu de la grande route, prêchant un Évangile raisonnable et solide, tirant des deux côtés. Amen.
    C’est ce dont on a besoin aujourd’hui, d’une église dont on n’aurait pas honte que quelqu’un fréquente. Elle est parfaitement gouvernée par le Saint-Esprit, il n’y a pas de fanatisme, elle n’est pas guindée, c’est juste une église bien chaude, remplie de l’Esprit de Dieu. Observez cela, le bon Évangile solide qu’enseignent des pasteurs. C’est ce qu’il nous faut. Amen. Ô Dieu, aide-nous à L’avoir. Dieu veut que nous L’ayons.

35    Remarquez qu’à l’époque, l’on vendait les esclaves, et nous avons tous été vendus au péché, par Adam. Ensuite, à une époque fixée, venait un temps où cet esclave avait le droit de choisir, soit de rester esclave, soit de partir affranchi. Or dans le type, ceci étant l’antitype, tous ont été asservis au péché par Adam. «Car tous avaient péché et étaient privés de la gloire de Dieu, mais Dieu au temps convenable, en envoyant Son Fils, Jésus-Christ, dans une chair semblable à celle du péché…» pour nous racheter, pour nous faire sortir de l’esclavage… Christ, descendant sur terre, Dieu en Christ, «Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même»…
    Et comme nous voyons le jour… Je vois tant de gens dans cet âge, essayant de prend-… de prendre Christ comme un prophète. Je vois vos journaux et je vois les unitaires et les–tous ces différents autres groupes qui ne s’attendent pas à ce que le Sang fasse quoi que ce soit. C’est simplement un bon enseignant. Frère, Il était Divin. Vous ne pouvez pas plus dissocier Christ de Dieu que vous ne pouvez séparer l’hydrogène de l’oxygène et avoir de l’eau. Ils doivent absolument être ensemble. «En Lui habitait corporellement la plénitude de la Divinité.» Christ et Dieu unis dans la chair pour ôter le péché du monde, pour ôter la peine du péché d’Adam. Amen.

36    Quand vous croyez cela, enfoncez cela dans votre cœur, vous vous rendrez compte que Quelque chose S’est mis à agir là-dedans. Si vous pensez que Jésus n’était qu’un homme, Il était plus qu’un homme. Il était le Divin. «Dieu était en Lui, réconciliant le monde avec Lui-même.» En effet, Il est descendu et est devenu notre Parent. Il devait être un Parent.
    Dans quelques soirées, je prêcherai sur Le Parent Rédempteur, et vous comprendrez alors qu’Il était un Parent. Dieu Lui-même est devenu le Parent de la race humaine afin d’ôter les péchés du monde. Le péché fut ancré en Lui. Personne d’entre nous ne pourrait faire cela. Nous sommes nés d’un désir sexuel. Chacun de nous, peu importe le genre de parents que nous avons eus, nous sommes tous nés d’un désir sexuel. Il n’y a qu’une seule Personne sainte qui soit jamais née, et c’était le Seigneur Jésus-Christ, qui avait été créé dans le sein d’une vierge, qui avait été conçu par le Saint-Esprit. Et Il a donné Sa Vie pour nous ramener à Dieu. Amen. Oh, je me sens religieux, je me sens mieux.
    Puisque vous voyez les vrais et véritables principes de l’Évangile du Seigneur Jésus-Christ, puisque vous voyez que notre fondation est sûre et solide, tous les démons de l’enfer ne peuvent renverser la fondation de Dieu. «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Église, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Elles s’y opposeront; certainement qu’elles le feront. Mais elles ne prévaudront jamais. La fondation de Dieu demeure solide. Amen.

37    Remarquez, rester… cet homme n’avait pas peur. Il travaillait sous la direction d’un maître de corvée. Et alors, lorsque la dernière année du jubilé arrivait, quand le sacrificateur faisait alors sonner les trompettes, peu importe ce qu’il faisait; s’il était dans le champ en train de sarcler et que le son du jubilé retentissait, il pouvait alors laisser tomber sa houe et dire à ces surveillants d’esclaves: «Tu n’as plus aucune autorité sur moi; je rentre chez-moi auprès de ma femme et de mes enfants. Je suis libre.» Pourquoi disait-il cela? Parce qu’il avait entendu cela.
    «La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend la Parole de Dieu.» Tout aussi sûr que retentissait le son du jubilé, il savait qu’il était un homme libre. Et Jésus-Christ est venu sur la terre pour apporter un jubilé à la race humaine, afin que par la prédication de l’Évangile, par l’écoute par la foi, Il puisse libérer chaque esclave du péché. Amen.

38    Eh bien, vous dites: «Je suis libre», et vous continuez à vous fâcher, vous continuez à haïr votre voisin, vous ne vous parlez pas, et vous êtes affranchi? Je dis sans hésiter: «Frère, il vous faut une autre petite gorgée.» C’est juste.

39    Oh, vous dites: «Je suis membre d’une Église pentecôtiste.» Ça n’a rien à voir avec la chose, ça n’a rien à voir, à moins que vous soyez né de nouveau. Et une fois que vous naissez, le même Esprit qui était dans le Seigneur Jésus-Christ entre en vous et vous vivez la vie du Seigneur Jésus-Christ.
    Dieu a fait une alliance dans l’Ancien Testament; Il a fait une alliance dans le Nouveau Testament par Christ. Et tout homme, quand on faisait une alliance autrefois, on prenait un animal, on le tuait, on partageait son corps, on rédigeait l’alliance sur un papier, on déchirait celui-ci; et quand on le rassemblait, ces deux bouts de papier devaient correspondre.

40    Et si jamais nous sommes ressuscités dans la résurrection, la même Vie que Dieu a ôtée du Corps de Jésus-Christ – Il a fait monter Son Corps en haut et L’a placé à la droite de Sa majesté dans les lieux célestes, et Il a renvoyé le Saint-Esprit; Cela vous fera mener une vie centrée sur Dieu, sinon ce n’est pas l’Esprit de Christ qui est en vous.
    Vous dites: «Eh bien, Frère Branham, je–je–j’ai crié; j’ai–j’ai dansé; j’ai parlé en langues.»
    Oh, oui, frère, j’ai vu des gens parler en langues et boire du sang dans un crâne humain. C’est juste. J’ai vu des sorciers-guérisseurs poser un morceau de bois là, comme cela, et celui-ci écrivait dans une langue inconnue, et les gens se tenaient là, et lui lisait cela, interprétait cela. Vous ne direz pas qu’ils ont le Saint-Esprit. Eh bien, je ne dis pas que vous ne parlez pas en langues par le Saint-Esprit. Ce n’est pas ce que je dis, mais je dis que vous pouvez parler en langues, sans pour autant avoir le Saint-Esprit. C’est juste.
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William Branham = faux prophète - Page 11 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:08

41    Je sais que c’est dur dans une Église pentecôtiste. C’est dur pour des pentecôtistes. Mais frère, si je vous aime, je vous dirai la vérité. Et si je ne vous dis pas la vérité, Dieu me tiendra pour responsable au jour du jugement. C’est vrai.
    À moins que l’amour de Dieu ne demeure dans votre cœur, produisant l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la gentillesse, la douceur, la bonté, et que les fruits du Saint-Esprit soient dans votre vie, peu importe ce que vous avez fait comme démonstration, ça ne vaut rien. Que pensez-vous, que l’Église de Christ est divisée? Pensez-vous que Christ veut qu’il y ait un petit culte par ici où l’on traite celui-ci de perchoir de busard, et où celui-là traite les autres de tout le reste? Pensez-vous que l’Esprit de Christ fasse cela? Jamais. Nous sommes frères. On vous reconnaît à vos fruits. Amen.
    Oh! la la! Combien cela me fait mal au cœur, mais, frère, c’est la vérité. De toute façon je suis quitte. Eh bien, je dois répondre–je n’aurai pas à répondre pour cela, car je l’ai dit. Très bien. Voyez simplement comment la chose évolue, vous verrez si Christ y est ou pas. Vous voyez? C’est Satan qui s’y est introduit, bandant les yeux aux gens.

42    Remarquez, quand la trompette du jubilé retentissait, l’homme pouvait laisser tomber sa houe et retourner chez lui, s’il le voulait. Mais, qu’arrivait-il s’il ne le voulait pas? Eh bien, qu’est-ce qui se passait? On devait alors l’amener chez les juges. Et les juges l’amenaient au poteau; on lui tirait l’oreille; on la mettait contre le poteau, et on la trouait avec un poinçon. Et dès lors, ce n’était plus possible, c’était un signe qu’il ne pouvait plus jamais entendre ce jubilé. C’était fini. Peu importe combien de jubilés il pouvait connaître, il ne pouvait plus le faire, car il était marqué, ayant rejeté cela. Fiou!
    Ce n’est pas du lait écrémé, frère. Il était–il avait rejeté la vérité. Et en rejetant la vérité, il était condamné à être pour toujours hors du royaume du–du jubilé où l’on retourne à la communion. Vous direz: «Cela peut-il nous arriver, Frère Branham?» Absolument.

43    Remarquez, certainement, Jésus l’a dit. Un jour qu’Il était là chassant des esprits malins, les gens sont venus et ont dit: «Eh bien, Il est un démon. Il est Béelzébul.»
    Jésus S’est tourné vers eux. En effet, Il était la Vérité et Il présentait la vérité, eux ne croyaient pas en Lui. Et Dieu confirmait qu’Il était avec Lui. Il a dit: «Si vous ne pouvez Me croire, croyez les œuvres.» Et Il chassait les mauvais esprits. Il scrutait les audiences et voyait les gens, et des signes et des prodiges s’opéraient. Les enseignants sont venus, et ayant un point de vue différent… Ils avaient un point de vue différent; dans leurs cours, ils avaient un point de vue différent. «Dieu veut qu’aucun ne périsse, mais que tous puissent venir à la repentance.» 
    Le Saint-Esprit était en action, mais à cause des préjugés et des credos d’église, ils durent rejeter le Prince de la Vie. Ce même esprit est aujourd’hui dans le monde. À ma connaissance, c’est sérieux. C’est ce que je veux que ce soit: solennel. Je veux que ça pénètre si profondément que chaque personne ici présente le saisisse. «Mais quand le Saint-Esprit sera venu, celui qui dira un seul mot contre Lui, il ne lui sera jamais pardonné dans ce monde, ni dans le monde à venir.»

44    Bon, Paul revient là-dessus au chapitre 5 des Hébreux. Il a dit: «Si nous péchons volontairement…» Le péché, c’est l’incrédulité, donc, si nous ne croyons pas volontairement, après que la vérité nous a été présentée, il ne reste plus de sacrifice pour le péché, mais une attente terrible du jugement. Si donc la vérité de l’Évangile a été présentée aux gens et que ceux-ci détournent la tête et la rejettent, alors Satan les amène au poteau. Ils veulent servir leurs credos et autres, ils tendent l’oreille, et on la troue et vous ne serez plus en mesure de comprendre la vérité. Ça c’est le type, mais il y a l’antitype.
    Paul a dit la même chose: «Car si nous ne croyons pas volontairement–volontairement, après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché, mais une attente terrible du jugement qui–un jugement ardent qui dévorera l’adversaire.» Vous y êtes. Rejetez le Saint-Esprit de Dieu après que vous L’avez reçu, cru et reconnu, vous restez en arrière par préjugé…

45    Le pécheur vient dans l’auditoire, il regarde tout autour et dit: «Pff! Je vous assure, il n’y a rien là-dedans.» Il sort aussi froid que possible. Frère, un de ces quatre matins, vous sortirez pour la dernière fois.
    Et certaines personnes viennent à une réunion où elles voient le Saint-Esprit agir, et elles disent: «Ça, c’est l’ouvre du diable.» Vous rendez-vous compte que vous êtes sur une ligne dangereuse? Vous dites: «Eh bien, je suis membre d’église. Je suis… nom figure dans le registre, et ma mère est ceci et cela; et mon père…» Cela n’a rien à voir avec la chose. Le salut est une affaire individuelle, pour chaque personne prise individuellement.
    Vous venez et vous dites, après que vous avez vu le Saint-Esprit montrer quelque chose, vous voyez des miracles et des prodiges, vous voyez l’amour de Dieu se déverser, vous voyez les oeuvres du Saint-Esprit, puis vous vous détournez délibérément et vous dites: «Je ne crois pas cela», alors que vous – au fond du cœur, vous êtes en fait prêt à croire cela… Mais, comme vous ne pouvez pas accepter cela, comme quelque chose de dogmatique s’est maintenant saisie de vous, alors, vous traversez la ligne et on vous amène au poteau. Je ne fais que vous citer ce que les Écritures disent. 

46    S’il ne veut pas aller… Il peut aller librement; il n’y a aucun prix à payer. Il n’y a rien à faire. «Comment vous y prenez-vous, Frère Branham?» Lâchez simplement votre houe ou tout ce avec quoi vous travaillez, venez gentiment et acceptez votre liberté, vous êtes libre. Il n’y a rien que vous devriez faire.
    «Frère Branham, devrais-je faire comme ceci ou faire comme cela?» Vous n’avez pas à faire quoi que ce soit. Vous devez seulement accepter Cela. Dites simplement: «Seigneur Jésus, je suis si reconnaissant de ce que Tu m’as donné la liberté, de ce que Tu m’as fait sortir de l’esclavage d’un esprit de confusion, tel que je ne savais où j’en étais. J’ai essayé. J’ai adhéré à différentes églises. Je suis allé d’un endroit à un autre. J’ai essayé de me mettre en ordre; je ne savais quoi faire. Mais maintenant, je viens sur la base du fait que Tu es mort à ma place. Et je T’accepte maintenant même comme mon Sauveur.» 
    Voyez combien l’amour de Dieu va majestueusement entrer dans votre cœur. Une paix qui surpasse toute compréhension va apaiser le tout. Peu m’importe ce que le voisin dit, vous L’aimez de toute façon.

47    Lorsque vous rencontrerez cet homme à qui vous ne vouliez pas parler dans la rue, cette femme là dans le voisinage qui est si désagréable et si mauvaise, et qui chasse les enfants dans la rue, vous vous avancerez et direz: «Que le Seigneur vous bénisse, sœur.» Pas comme un hypocrite; si vous le dites comme un hypocrite, vous êtes pire que si vous–vous aviez dit autre chose. Vous l’êtes certainement. Cela doit venir de votre cœur.
    Jésus a dit aux pharisiens: «Comment pouvez-vous dire de bonnes choses, car c’est de l’abondance du cœur que la bouche parle.» Il a dit: «Hypocrites, vous pensez une chose dans votre cœur et vous en dites une autre.» Vous ne devez pas faire cela. Ce dont nous, l’Église de Dieu, nous avons besoin ce soir, ce dont la Californie a besoin ce soir…
    Regardez ici, nous viendrons ici pour tenir une réunion, nous viendrons ici en unissant nos efforts, mais nos églises diront: «Eh bien, s’ils ont quelque chose à faire avec cela, moi, je n’aurai rien à faire avec cela.»

48    L’autre soir… J’ai quelque chose à dire. L’autre soir, mon organisateur que voici sait que c’est la vérité, j’étais assis dans la chambre. Vers trois heures du matin, le Saint-Esprit me réveilla. Et un certain ministre baptiste m’a dit quand j’étais venu ici il n’y a pas longtemps, M. Moore et les autres savent exactement de qui il s’agit, et cet homme est peut-être assis ici maintenant… Il m’a parlé, il a dit: «Frère Branham, vous êtes baptiste; lorsque vous venez à la Côte Ouest, faites attention à ce que vous dites.»
    J’ai dit: «Je prêche la guérison divine.»
    J’ai dit… Il a dit: «Oh, je crois à la guérison divine, Frère Branham. Mais, faites simplement attention. Oh! la la! Prenez votre journal du samedi et jetez un coup d’oeil.» Il a dit: «Le fanatisme le plus horrible que vous ayez jamais vu est attaché à cela: des gens qui ont toutes sortes de théories, toutes sortes de sensations étranges et toutes sortes de choses.»
    J’ai dit: «Écoutez, monsieur, ceci vient de Dieu, et je sais que c’est comme tel.»
    Il a dit: «Je ne doute pas de cela.» Il a dit: «Mais, ce qu’il en est, Frère Branham, dit-il, ça ne fera que répandre cela davantage.» Il a dit: «Les gens…»

49    J’ai dit: «Eh bien, je crois que cela va apporter la bénédiction aux gens.» J’ai dit: «Et je crois que cela leur fera du bien. Et étant des personnes spirituelles, ils verront certainement et comprendront. Mon désir, monsieur, c’est de voir ce très grand peuple divisé de la Pentecôte (ce sont des frères aimables que j’ai rencontrés partout), les voir d’un seul cœur et d’un commun accord.» J’ai dit: «Ils ont l’une des plus grandes choses.»
    Il a dit: «Je ne doute pas du tout de cela.» Et, il a dit: «Frère Branham, que Dieu soit avec vous.»
    Ainsi, j’ai poursuivi mon chemin; et environ quatre soirées plus tard, Dieu me transporta dans une vision, et me plaça là-haut, où j’avais une vue panoramique de Los Angeles. Je vis toutes sortes de vautours voler d’un arbre à un autre, poussant des cris rauques, et criant l’un à l’autre. Et je me suis dit: «Qu’est-ce?» Un pauvre petit vautour va …?… un très bel oiseau, mais il mange toutes sortes d’histoires, et il battait ses ailes comme ceci, criant: «Vous ne L’avez pas. Vous ne L’avez pas.»
    Et il s’est posé quelque part, faisait quelque chose d’autre, criant: «Vous ne L’avez pas», volant d’un palmier à un autre.

50    Voilà que ce prédicateur baptiste au menton carré s’est tenu là devant moi, d’un air sévère, il a dit: «Qu’est-ce que je vous avais dit, il y a huit ans, Frère Branham?»
    Je l’ai regardé, j’ai dit: «Monsieur, je m’excuse. Je pensais vraiment qu’ils comprendraient.»
    Juste à ce moment-là, le Saint-Esprit, l’Ange du Seigneur que vous voyez discerner les maladies et tout, parla là à ma droite et dit: «Moïse aussi pensait que les enfants d’Israël comprendraient.»

51    Vous ne comprenez pas cela frère, ce que c’est. Le Dieu du Ciel a essayé de vous appeler à vous rassembler. Et chaque fois que je venais, l’assistance diminuait de plus en plus. Peu importe ce que vous essayez de faire, on essaye toujours de lier les gens à de petits cultes ou à quelque chose d’autre. Frère, vous ne prospérerez jamais. Vous ne serez jamais en mesure, vous, la grande Église pentecôtiste qui, je crois, aujourd’hui… Je me suis rangé de votre côté parce que je crois en vous.
    Mais ce que vous devez faire, c’est de laisser tomber ces préjugés et de joindre vos cours comme un peuple uni. C’est vrai. C’est seulement de cette façon que vous pouvez le faire. Et si vous continuez à rejeter cela, souvenez-vous de l’âge de l’église de Laodicée, le dernier, il est tombé dans la tiédeur et Dieu l’a vomi de Sa bouche. Écoutez la Parole du Seigneur.

52    Ce soir, les hommes d’affaires chrétiens m’ont amené ici même dans ce grand stade, ou plutôt dans ce lieu d’exposition, afin que ce soit en dehors de toutes les églises, ainsi il n’y aurait pas de préjugés, ainsi tout le monde pourrait se rassembler; mais, chacun retient son petit groupe en disant ceci: «Ne faites pas ceci. Ne faites pas ceci. N’allez pas là-bas car il n’appartient pas à nos groupes, il appartient plutôt à ce groupe-là.» Cet endroit devrait être bondé et bourré de gens, debout sur le terrain, avec des ministres partout sur cette estrade, se serrant la main, et glorifiant Dieu parce que Dieu nous a envoyé un réveil.
    C’est pour cette raison que Billy Graham, en traversant le pays, peut amener les gens à se mettre ensemble, car du côté naturel, ils sont unis. Mais mon frère, vous avez quelque chose de plus grand que cela, mais le diable se met entre vous, vous séparant, vous divisant. Ne comprenez-vous pas ce que je veux dire?

53    Alors, je me suis excusé auprès de ce ministre. Et s’il est ici ce soir, je m’excuse de nouveau. Et au lieu que cela rassemble les gens, cela a commencé des sectes. Tout le monde sent le diable. Tout le monde tape du pied devant le diable. Tout le monde doit faire quelque chose. Oh! Frère, sortez de cela. Revenez à votre Parole de Dieu, à l’Évangile. Revenez à la prédication de l’Évangile à l’ancienne mode, le Saint-Esprit de Dieu Se mouvant çà et là sur la terre parmi les gens.
    C’est ce dont nous avons besoin ce soir. C’est ce que nous devons avoir ce soir. Écoutez-moi, si vous croyez que je suis un serviteur de Dieu, écoutez ma voix ce soir. Non parce que c’est moi, mais parce que je vous le dis à partir de la Parole de Dieu, mes amis. Vous vous basez sur quelque chose qui n’a pas de fondement. Mais vous avez faim, et vous avez besoin de Dieu. Je vous en prie, revenez à Dieu. Revenez au Saint-Esprit, et priez que Dieu vous donne l’amour qui débarrassera votre vie de tout préjugé, et qui vous rendra humble, vous modèlera de nouveau et fera que vous preniez un nouveau départ. Alors, vous n’aurez aucune de ces choses fausses et vaines qui essayent d’imiter et de faire ceci. Les gens… oh, c’est pitoyable. Amen.

54    Que Dieu vous bénisse, mes bien-aimés. Je–je n’aime pas dire ces choses. Mais Dieu me tiendra pour responsable si je ne dis pas la vérité. Vous devriez tous rentrer à la maison, vous agenouiller à côté du lit ce soir, ou bien faire venir la maman et les enfants, les faire tous venir autour du lit, et dire: «Maman, prions juste ici jusqu’à ce que Dieu rende les choses vraiment différentes ici.» Pasteurs, vous devriez donc rassembler vos congrégations le dimanche matin et dire: «Prenons un nouveau départ.» Vous serez gentils les uns à l’égard des autres. 
    Les prédicateurs pentecôtistes et quelquefois les hommes vont en ville. Vous les voyez quelquefois dans la rue, ils se lancent dans la circulation, songez à vos amis. Si vous en voyez un sur le point de subir une contravention, peu m’importe qui il est, mettez une pièce de cinq cents dans le–ne le laissez pas être condamné à une amende.
    Et même en toute chose, cela deviendra une habitude. Essayez d’être bons les uns envers les autres. Essayez de vous serrer la main, d’être amical et gentil. Démolissez tous les murs de séparation autour de vous, c’est-à-dire la malice, les querelles, l’impiété; démolissez-les. Continuez à vous faire du bien les uns aux autres. Chaque fois que vous vous rencontrez, soyez bons les uns envers les autres. Et la première chose, vous savez, cela va se répandre autour de vous, si bien qu’un faisceau d’amour vous enveloppera. Alléluia! C’est ça la marque de Dieu. 

55    Qu’avait-Il dit à–au sujet du pauvre petit David quand il était là-bas? Elle a dit: «Votre âme est enveloppée d’un faisceau d’amour.» Amen. Quand Abigaïl, cette grande femme qui est allée à la rencontre de David a dit: «Nous savons que vos ennemis seront lancés du creux de la fronde.» C’est vrai. Elle a dit: «Parce que vous êtes enveloppés d’un faisceau de l’amour de Dieu.» Oh, frère, les prophéties cesseront; les guérisons failliront; tout cela cessera; mais quand ce qui est parfait viendra, l’amour de Dieu nous rassemblera.
    Ce dont nous avons besoin aujourd’hui… Nous parlons des pentecôtistes qui connaissent plus, et qui sont plus avancés que les méthodistes à l’ancienne mode; ces derniers sont venus et ont fait que nous ayons honte de notre vie, vous savez que c’est la vérité. Quand ils tiennent des réveils de maison en maison… Vous en teniez autrefois. C’est vrai. Mais vous avez commencé à vous désunir. Mettez-vous de ce côté-ci, mettez-vous de ce côté-ci, venez par ici, des credos et des dénominations; laissez tomber ces barrières. Il n’y a pas de problème si vous voulez quarante mille églises, tant que vous pouvez vous reconnaître les uns les autres comme frères et vous aimer les uns les autres. Si vous avez des différences dans la doctrine, des toutes petites choses sur le baptême et tous les petits détails, oubliez-les et soyez des frères les uns pour les autres. C’est vrai.

56    Et quand il y a un réveil dans la ville, que tout le monde, en conjuguant un grand effort, y aille et apporte de l’aide. C’est comme ça qu’il faut agir. Alors, vous verrez les ministres s’unir les uns aux autres, dans la communion et dans l’amour, et des choses telles que vous n’en avez jamais vu auparavant auront lieu. Amen. Oh, je L’aime parce que je sais que c’est la vérité. Je peux dire cela au Nom du Seigneur. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. C’est la vérité.
    Il nous faut avoir cela, mes amis. Nous devons avoir cela, si jamais l’église grandit. Bien, vous dites: «Eh bien, je… Frère Branham, j’ai témoigné de ceci et de cela. Je sais que j’appartiens depuis si longtemps à l’église. Je ne sais pas ce qu’en penserait mon voisin.» Ce n’est pas ce que votre voisin pense qui compte, c’est ce que votre Seigneur pense qui compte. C’est vrai.
    Que dira-t-Il à propos de… Oh, combien vous aimeriez qu’Il dise: «Bien fait», en ce jour éternel!

57    Les gens ont tellement… comme je l’ai remarqué aujourd’hui chez les pentecôtistes… Je suis venu ici il n’y a pas longtemps et j’ai découvert que les gens sont tout rayonnants de la gloire de Dieu. Et j’ai découvert… Quelle différence! Vous avez laissé tomber les barrières; n’importe quoi arrive. Vous laissez entrer n’importe quoi dans vos églises. Oh, c’est vrai. Maintenant, vous les baptistes, vous traînez du pied, mais nous allons en arriver à vous dans quelques minutes.
    D’habitude, les femmes, quand j’ai vu les pentecôtistes pour la première fois, les femmes avaient de longs cheveux, elles étaient bien habillées. Mais maintenant, elles se coupent toutes les cheveux; maintenant c’est une chose normale. Elles utilisent cette histoire et mettent du maquillage sur tout le visage, et maquillent leurs sourcils ou les coupent, elles portent une sale petite robe dans laquelle elles sont moulées et ensuite elles se disent baptisées du Saint-Esprit. Je crois avec conviction que quand le Saint-Esprit est en vous, Il vous fera vous habiller correctement, vivre correctement, parler correctement et être correct. Amen. C’est vrai.

58    C’est ce dont vous avez besoin; un appel à retourner à Dieu. Si le Saint-Esprit a condamné cela au début, Il reste le même Saint-Esprit ce soir, et Il ne change pas. Maintenant, l’Église pentecôtiste a laissé tomber les barrières et est devenue très froide. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un appel à l’ancienne mode à retourner dans la Présence de Dieu. C’est vrai. Et vous savez que c’est vrai. Oui, monsieur.
    C’était ainsi autrefois, c’était différent. Mais qu’est-ce qui s’est passé? C’est pourquoi vous vous refroidissez. C’est pourquoi vous sortez de la volonté de Dieu. C’est pourquoi vous êtes incapables de coopérer les uns avec les autres. Vous accordez plus d’attention à vos organisations qu’à votre Seigneur. C’est tout à fait vrai.
    Tout le monde essaye de construire la plus grande église de la ville. Et l’un cherche à surpasser l’autre. Dieu n’a aucun intérêt pour les églises! Si Jésus vient bientôt, pourquoi construisez-vous ces très grands bâtiments et y investissez-vous des millions de dollars, alors que cela devrait être investi quelque part, là dans les champs missionnaires. Amen.

59    Si Jésus vient, agissons en conséquence, parlons en conséquence, vivons en conséquence, et soyons conséquents. Je dis ceci avec conviction: Quelque chose avait mal commencé au début. Amen. Oh! la la! Je suis désolé de dire cela. Mais comment puis-je m’empêcher de dire cela alors que ça presse aussi fort que possible pour sortir de moi? C’est vrai.
    Le marquage des gens, le scellement par l’apostasie, l’incrédulité, le fait de marcher selon leur convoitise… C’est vrai. Et les gens vont à l’est, à l’ouest, au nord et au sud, ayant faim de la Parole de Dieu, et ils ne La trouvent pas. Ils iront auprès de l’Église pentecôtiste, ils diront: «Eh bien, je…» D’abord, ils iront chez les baptistes. L’un a ceci et l’autre a cela. Ils s’en vont. Ils sont complètement différents. Ils reviennent chez les pentecôtistes; ils sont complètement différents. Nous devrions être ensemble. Amen.

60    Bon, que Dieu vous bénisse. Je vous aime. Et si vous voulez voir les vrais, les véritables dons authentiques et non les imitations, si vous voulez voir des chrétiens bien affermis qui, dans leur marche, sont si salés que le monde a fa-… a soif d’eux, d’être comme cela… Eh bien, oh! la la! la manière dont les gens… Vous ne pouvez plus descendre dans la rue et reconnaître qui est chrétien. C’est vrai.
    Ils descendent tous dans la rue et agissent de la même façon; ils parlent de la même façon. Et tout le temps, ils lancent toutes sortes de blagues et tout comme cela, alors que Dieu a dit que nous rendrons compte de chaque parole vaine que nous aurons prononcée. Qu’est-ce qui se passe? En effet, frère, vous laissez le diable entrer et vous aveugler. La première chose, vous savez, le temps viendra où vous allez – Dieu donnera un message et vous serez scellé à l’intérieur ou à l’extérieur du Royaume. Amen.

61    Nous voulons le retour de l’Évangile à l’ancienne mode dans l’Église. Le retour à la Parole de Dieu et le retrait de tous ces non-sens et de toutes ces sottises. Amen. Oh! la la! Ces choses se font partout dans le pays. Il n’y a pas longtemps, quelque chose s’est passé ici dans notre pays et vous ne pouvez même plus mentionner la Pentecôte dans notre pays à cause de cela.
    Ils viennent avec des milliers de dollars qu’on soutire là aux pauvres gens, pour acheter des avions et autres. Jamais on n’avait acheté un petit avion ni tout ce genre d’histoires. Et on monte à l’estrade avec de très grandes et longues oreillettes qui pendent comme ceci, ayant des canaris dessus. Et ils ont assez de bijoux aux doigts pour envoyer quatre missionnaires outre mer prêcher l’Évangile… Ces pauvres gens là-bas meurent de faim d’entendre la Parole de Dieu, et nous nous disons des chrétiens! Frère, il y a quelque chose qui cloche. C’est vrai.

62    Nous avons le temps pour tout autre chose, mais pas pour les réunions de prière. Les foyers sont complètement détruits, et les filles et les garçons sont dehors à se promener, faisant les fous partout dans le pays, et les mères comme les pères sont indifférents, et pourtant ils sont des pentecôtistes. Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’un autel familial à la maison, un endroit où Dieu… où on lit la Bible et où on enseigne aux enfants la Parole du Dieu vivant. Oui, monsieur.
    On court çà et là sur l’estrade en petite robe si serrée que la peau semble à nu, courant çà et là. Je ne dis pas ceci pour plaisanter. Je ne plaisante pas. C’est la vérité de L’Évangile. C’est vrai. Oui, monsieur. On court çà et là sur l’estrade, comme cela, on danse dans l’esprit, on parle en langues, on porte des boucles d’oreilles et du maquillage sur la figure, les cheveux bien soignés et coupés comme cela, et puis on se dit chrétiens!

63    Il n’y a pas longtemps, là, un homme voulait me présenter à sa femme, ils étaient d’une grande organisation de la sainteté. Il a dit: «Ma femme va jouer au piano ce soir, Frère Branham.» Et je l’ai regardée, et la femme… Je ne me moque pas de cette femme. Je ne crois pas qu’on doive le faire. Je ne dis que la vérité. Et je veux que vous receviez cela avec le même amour. Je dois être sévère de temps en temps. Oui, monsieur.
    Et cette femme portait une robe; et si je voyais ma femme comme cela, je divorcerais d’avec elle. Et c’est tout à fait vrai. Je ne voudrais pas… Je la répudierais, la chasserais comme cela. Elle portait du maquillage sur tout le visage et je dis: «Est-elle chrétienne?»
    Oh, il dit: «Elle est une sainte.»
    J’ai dit: «Elle ne m’en donne pas l’air.» C’est vrai, de voir quelque chose comme cela. Je ne le dis pas pour plaisanter. Mais c’est la vérité. Une vieille petite Jézabel, toute maquillée…
    La seule femme qui n’eût jamais maquillé son visage pour se présenter devant les hommes, fut–fut Jézabel, et Dieu la donna en pâture aux chiens. C’est vrai. Donc, c’est juste de la viande pour les chiens, pour commencer, aussi oubliez cela. Revenez à l’autel, et Dieu vous fera laver le visage et être en ordre.

64    Maintenant, vous les prédicateurs, vous les hommes, faites de même. C’est vrai. C’est la vérité. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’une bonne prédication de l’Évangile à l’ancienne mode, sévère. On a assez de vieux lait blanchi, écrémé, au point que la chose est …?… ce dont nous avons besoin, c’est d’un retour à Azusa, un retour au commencement, un retour à la Pentecôte. C’est vrai. Amen. Que Dieu soit miséricordieux!
    Oh, savez-vous pourquoi nous n’avons plus de gloire dans l’église, savez-vous pourquoi il en est ainsi? C’est parce que nous nous sommes plongés dans quelque chose d’autre. Oh, «je n’ai pas honte de l’Évangile de Jésus-Christ, car c’est la puissance de Dieu pour le salut». Ce n’est pas quelque chose qui vous rendra fanatique, c’est quelque chose qui vous rendra sain et authentique, ce sera si réel pour les gens qu’ils auront soif d’être comme vous. C’est vrai. Le monde entier lèvera les yeux et dira: «Oh! la la! Si seulement je pouvais agir comme cette femme. Si je pouvais mener la même vie qu’elle.» Et c’est ce dont nous avons besoin maintenant.

65    Il n’y a pas longtemps là, quand une petite femme a envoyé sa fille à l’école, elle était–elle vivait là à la campagne, et elle a envoyé sa fille à l’école, et elle est partie là-bas. C’était une aimable chrétienne quand elle a quitté la maison. Et elle est allée là parmi les… tous ces groupes d’Hollywood qui se comportent mal, et la fille a envoyé demander à sa mère si elle pouvait couper ses cheveux. Elle a dit: «Chérie, je ne veux pas que tu fasses cela. N’agis pas comme cela.»
    De ceci, je vais dégager une image, ou faire de ceci un parallèle avec l’Église pentecôtiste. C’est tout à fait vrai. Ils ont beaucoup de sottises; vous fréquentez beaucoup le monde. Vous agissez comme le monde, vous vivez comme le monde, vous jouez… des choses pareilles. Faites sortir le monde de vous. La Bible dit: «Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous.» C’est vrai. C’est la vérité.

66    Et cette pauvre jeune fille qui était là, elle fréquentait certaines de ses collègues. Pourquoi était-elle devenue ainsi? Parce qu’elle était entrée dans ce genre de groupe. Écoutez, chaque chose a un esprit. Il y a l’esprit de la nation. Vous allez dans telle nation, elle a un esprit. Quel est l’esprit de cette nation-ci? Le divertissement. Tout ce qu’ils ont, c’est : «Qui a embrassé Susie?» ou tout ce que ça peut être, le soir. Et les gens resteront à la maison pour regarder la télévision, qui… quelque chose sur Susie ou quelque chose comme cela, au lieu d’aller à l’église, et ils disent qu’ils ont le Saint-Esprit et qu’ils parlent en langues.
    Frère, vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Qui… qu’était-ce? Lucy, quelque chose à propos de Lucy ou quelque comme «J’aime Lucy». Des émissions de ce genre. Je ne regarde pas ces non-sens. Je lis ma Bible; j’aime servir le Seigneur. Amen. Oui, monsieur. Amen. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui. C’est pour cela que vous sortez de la volonté de Dieu. C’est là que vous avez régressé. Pas étonnant que vous haïssiez votre voisin, et tout, et que vous continuez à vous comporter de cette façon-là. Vous ne pouvez pas avoir l’amour de Dieu dans votre cœur et faire cela. C’est vrai. Amen.

67    Bon, ils restent à la maison pour cela, et ce que les gens font aujourd’hui, c’est une honte, et ils se disent religieux. Ils agissent comme le monde parce que c’est l’esprit de l’Amérique. L’Amérique aime le divertissement. Oh, tout, tout le monde a une télévision et une radio et ils écoutent de tout.
    Laissez-moi aller chez un homme et laissez-moi entendre le genre de musique qu’il écoute. Laissez-moi regarder tout autour et voir quel genre de littérature il lit; je vous dirai quel genre d’esprit il a par ce dont il le nourrit. C’est vrai. Laissez-moi observer la manière dont il agit dans sa marche quotidienne. C’est vrai. C’est une honte. Oh! la la! Comme l’église est déchue de la grâce! Oh, comme c’est pitoyable! Repentez-vous et revenez. C’est vrai. Je dis cela au Nom du Seigneur: repentez-vous et revenez.

68    Remarquez, puis cette jeune fille, quand elle est arrivée là, elle tomba sous l’emprise de cet esprit-là. Si vous allez là, vous aurez l’esprit d’une église. Vous… La première chose, vous savez, quand vous entrez dans une église, observez le pasteur. Je dis ceci avec révérence. Observez la manière dont agit le pasteur, vous verrez les gens agir de la même manière, à peu près. Si le pasteur est vraiment collet monté, et tout, vous verrez que son assemblée est pareille. Si le pasteur a beaucoup de non-sens dans son comportement, vous verrez que son assemblée est pareille.
    Si le pasteur est un bon et solide enseignant de l’Évangile, cela maintiendra ses enfants en place et leur donnera une petite stimulation du protoplasme quand ils en auront besoin (C’est vrai.), s’il apporte l’Évangile là et leur donne une bonne fessée avec cela, vous verrez une bonne église obéissante, c’est vrai, un endroit où les gens peuvent venir et apprécier l’Évangile; s’il est un bon prédicateur, il restera avec la Parole, il restera dans la Parole et l’apportera telle quelle, et veillera à ce que son église (c’est vrai) soit dirigée par le Saint-Esprit et ne tombe pas dans ces ismes. Dès que les gens commencent quelque chose, il cognera dessus comme cela pour ôter cela. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est davantage de prédicateurs de ce genre. Amen.
    Les femmes ont eu leur part, eh bien, prédicateurs, nous avons la nôtre. C’est vrai. C’est ce dont nous avons besoin.

69    L’esprit… Allez en Russie, vous y verrez un esprit. Allez en Allemagne, vous y verrez un esprit. Allez dans une organisation, vous verrez un esprit, l’esprit des francs-maçons, l’esprit des Odd Fellow. Allez dans une maison, vous y verrez l’esprit de cette maison. Et où que vous soyez, prenez une très bonne femme, mettez-la en compagnie des vauriennes, et elle va… soit ces vauriennes deviendront bonnes, soit c’est elle qui deviendra comme les autres. C’est l’exacte vérité. J’ai vu cela dans des milliers de cas.
    C’est pareil pour les hommes. Laissez un homme courir çà et là… Montrez-moi qui vous fréquentez, je vous dirai ce que vous êtes. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin, c’est de ne pas nous associer avec le monde. Nous devrions nous associer les uns avec les autres. Si nous nous éloignons du monde, peut-être, allons-nous unir nos cours. Amen. Amen. C’est vrai.

70    Cette pauvre petite créature, à son retour, elle avait annoncé qu’elle rentrait, elle amena avec elle une de ses petites amies du genre Susie. Et sur le chemin du retour, sa mère lui avait parlé–lui avait dit qu’elle la rencontrerait à la gare. Et comme elles venaient, elle a dit: «Oh, j’aimerais que tu voies ma mère, que tu la voies.» Et alors, elles regardaient là dehors et immédiatement, vous savez, sa petite mère se tenait là-bas. Et cette fille était avec elle, elle a dit: «Oh, Marie, c’est qui là avec un air si hideux?» Son visage était tout marqué de cicatrices et elle était penchée comme ceci, une pauvre personne toute tremblante comme cela, avec une petite touffe de cheveux dépassant derrière la tête, vêtue d’une petite robe de calicot. Elle dit: «Regarde cette vieille chouette, là. C’est qui?»
    Et la fille eut honte d’avouer que c’était sa mère. En effet, elle avait été parmi des charognards. Elle avait été parmi des collets montés, des «je-sais-tout».

71    C’est ce que l’église a fait aujourd’hui: elle a été parmi des «je-sais-tout», vos grands théologiens qui étudient dans les séminaires, et alors vous dites: «Amen», comme un veau qui se meurt presque. Et puis, ils se disent des prédicateurs. Je préférais avoir à ma chaire un garçon – un prédicateur qui ne sait pas faire la différence entre les haricots cassés et le café, mais qui connaît ce qu’était le Seigneur Jésus-Christ pour le salut des âmes, plutôt que d’avoir tous les diplômes en théologie du monde. Amen. C’est vrai.
    Je considère que c’est la vérité. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un homme appelé de Dieu, vraiment à l’ancienne mode, qui ira là sur une colline de sauge et adressera des prières à Dieu, et qui n’aura pas honte de l’Évangile, qui peut Le prêcher et s’en tenir à la vérité. Amen.

72    Puis, quand elle vint dans… descendit du train, elle descendit là et sa pauvre mère accourut pour l’entourer de ses bras, mais elle tourna le dos à sa mère. Elle était quelque peu collet monté, quelque chose qui n’était pas très… le… sa mère n’était pas très élégante. Et c’est comme ça que les gens traitent Jésus-Christ aujourd’hui. Ils ne veulent pas de l’ancienne mode, d’être à genoux à l’autel, pour nettoyer la chose, s’habiller comme un saint, agir comme un saint et marcher pieusement.
    Ils doivent avoir leurs divertissements et tout, leurs petites fêtes et leurs parties de bridge, les réunions de crochetage ou de couture, et on parle de mademoiselle Une telle et d’autres choses, en long en large. Et toutes ces pauvres petites organisations, vous avez pris pour modèle les églises du monde. C’est vrai. Vous avez honte de revenir à l’autel pour vous mettre en ordre.

73    Cela… vu cette fille rejeter sa mère et s’en aller comme cela avec cette petite collet monté. Ensuite, vous savez, il s’est fait qu’un receveur qui était là connaissait le pourquoi. Il sauta sur une vieille petite caisse là et dit: «Regardez ici, vous tous. Vous voyez comment vous êtes en train d’observer cette pauvre femme là, qui pleure et s’essuie les yeux», quand elle a vu sa propre fille se détourner d’elle. Il dit: «Regardez ici, jeune femme, dit-il, c’est votre mère. Peu m’importe ce à quoi elle ressemble; elle est votre mère.»
    Il dit: «Il s’est fait que j’étais leur voisin quand ceci s’est passé.» Il dit: «Il y a plusieurs années, mes amis, cette jeune fille qui est là, avec le dos tourné à sa pauvre vieille mère au visage marqué de cicatrices…» Il dit: «J’étais leur voisin, quand sa maman, étant allée à la source puiser de l’eau pour faire sa lessive derrière la maison, il y eut une étincelle dans la maison et la maison prit feu.»

74    Quand la mère revint avec les deux seaux d’eau… Il dit: «C’était une belle femme, aussi belle que possible.» Et il dit: «Elle regarda à l’intérieur et la maison était en feu. Les voisins sont accourus. Mais le feu s’était déjà répandu.» Puis il dit: «Son bébé se trouvait à l’étage. C’était cette enfant, elle était couchée là dans son berceau.» Il dit: «La maman prit une couverture sur le fil à linge, comme cela, s’en couvrit le visage, traversa le feu en courant pour chercher son enfant.» 
    Puis il dit: «Les pompiers et tous criaient: ‘Revenez, revenez’, mais rien ne put l’arrêter. Elle continuait. Elle devait prendre son bébé, sinon celui-ci mourrait. Et quand elle arriva là où se trouvait le bébé qui pleurait, elle ôta la couverture de son beau visage et l’enveloppa dedans.» Il dit: «Son visage …?… et fut brûlé par ces flammes au point que ses cheveux furent brûlés et consumés. Cela lui a grillé le visage.» Puis il dit: «Jeune femme, si aujourd’hui vous êtes jolie et que votre mère est laide, dit-il, c’est parce qu’elle a été enlaidie pour que vous soyez jolie. Et maintenant, vous avez honte d’elle.»

75    Je pense la même chose ce soir. Vous pouvez prêcher tous les credos et tous les dogmes que vous voulez, mais mon Seigneur Jésus est descendu du Ciel sous la forme d’une chair de péché, S’est humilié et est venu au monde s’étant revêtu de peau, et on s’est moqué de Lui, on L’a maltraité, blessé, meurtri et pendu là au Calvaire comme malfaiteur. Il S’est fait des privations et est descendu pour être mon Sauveur, et je vis parce qu’Il est mort.
    Je ne veux jamais me tenir là, et être trop mou pour dire la vérité à ce sujet et prêcher l’Évangile, sans craindre de perdre tous les amis que j’ai sur la terre. Je veux être Son ami dans la gloire. En ce jour-là, Il regardera en bas et dira: «C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur.» Amen. Je L’aime de tout mon cœur. Et je sais que je… Vous pouvez continuer avec les poignées de main, les adhésions, la récitation des credos, et la répétition de toutes ces différentes prières et autres. Mais voici mon thème:
Depuis que, par la foi, j’ai vu ce ruisseau 
Que tes blessures ravitaillent,
L’amour rédempteur a été mon thème, 
Et le sera jusqu’à ma mort.
Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette fontaine en son jour,
Et là, puissé-je, bien qu’aussi vile que lui,
Laver tous mes péchés.
Puis dans un chant noble et doux,
Je chanterai Ta puissance salvatrice,
Quand ces pauvres lèvres qui zézayent et bégayent
Seront silencieuses dans la tombe.

76    L’amour a poussé le Dieu puissant à Se déplacer. Dieu a tant aimé le monde, celui qui ne peut être aimé, qu’Il est descendu et S’est fait chair ici sur la terre, et a habité parmi les hommes pour qu’on crache sur Lui, qu’on Le maltraite, et–et qu’on se moque de Lui, qu’on rie de Lui et pour nous racheter. Que devrions-nous faire ce soir? Prendre place près de la croix et dire: «Me voici, je me tiens ici, Seigneur Jésus, je viens. Je viens, j’ai lavé tous mes péchés. Ôte ma malice, ôte mon indifférence. Laisse-moi T’aimer, Seigneur, d’un amour pur et fervent, car toutes ces vieilles petites choses passeront comme une journée affreuse.»
    Oh, frère, sœur, si je vous ai blessé ou offensé, je voudrais que vous me pardonniez. Mais ne faites jamais marche arrière et ne pensez jamais que je ne vous ai pas dit la vérité, car cela vient de la Parole de Dieu. Et vous pouvez à la fin …?… disposer votre oreille jusqu’à ce que vous serez scellé par l’antichrist. L’antichrist est contre le véritable Christ, la véritable action de l’Esprit. Et la chose est si proche que ça séduirait les élus même sous l’emprise des émotions, des excitations et autres.

77    Revenez à Christ avec un cœur plein d’amour ce soir. Revenez au point où vous pouvez aimer tous vos ennemis et où vous pouvez leur serrer la main. Non pas parce que c’est un devoir mais parce que quelque chose le dit dans votre cœur. Quelque chose vous fera aimer votre pire ennemi. Si c’est ce qu’il y a dans votre cœur ce soir, quels que soient les sentiments que vous avez, vous êtes toujours hors de Christ, hors de Dieu, perdu, loin de Dieu, sans miséricorde. C’est vrai. Ne voulez-vous pas venir Le recevoir sur base de l’amour divin?
    Prions.
    Père céleste, oh comme je. Oh, mon cœur saigne car je sais que les gens de ce monde… et, en voyant cette grande ville-ci de Los Angeles, où je pense à Paul Rader qui, là-bas, son épaule appuyée–sa tête appuyée sur l’épaule d’un homme, et en pleurant, a dit: «Pourquoi n’ai-je pas vendu mon message aux pentecôtistes passionnés?» Et il s’en est allé et a commis une erreur en essayant de tapoter les gens. Ô Dieu, ne permets pas que je fasse cela.

78    Aide-moi, Dieu bien-aimé, à me tenir là dans la vallée, à me tenir là avec l’épée à la main. Accorde-le, Seigneur et que je prêche les richesses insondables du Seigneur Jésus-Christ, disant aux hommes et aux femmes que leurs péchés sont devant toi; s’ils ne les confessent, ne sont–ne meurent en eux-mêmes, et ne naissent de nouveau, ils sont des étrangers pour Toi. Ô Dieu, cet aimable et grand groupe pentecôtiste des hommes et des femmes du plein Évangile, combien eux tous ont reçu la connaissance de la vérité! Ô Dieu, laisse-les marcher dans la vérité maintenant. Laisse-les vivre, prêcher et faire des choses que les Écritures leur disent de faire.
    Père, je prie que s’il y en a un ici ce soir, qui est hors de Toi, qui ne Te connaît pas, qui est… qui est nerveux et qui n’est jamais réellement né de nouveau, qui sait qu’il ne l’est pas, puisse-t-il être assez homme ou assez femme ce soir pour T’accepter et venir dire: «Seigneur, je vais me tenir juste ici jusqu’à ce que mon cœur s’adoucisse, pour que je puisse être un ami aimable pour mon ennemi, et je puisse faire ces choses que Christ a faites quand Il était ici sur la terre.» 

79    Ô Dieu, laisse-les rester là jusqu’à ce que L’Esprit de Christ entre, les ministres et tous les autres, jusqu’à ce qu’il y ait un temps de brisement et où ils descendront à la tour du potier pour être brisés, modelés au point qu’un si grand amour de Dieu va déferler, balayant cette nation avec un réveil à l’ancienne mode, un appel à revenir pour ces enfants, à revenir à Dieu. Accorde-le, Seigneur. Aie pitié.
    Pendant que nous avons la tête inclinée, si l’organiste peut nous jouer un peu de musique. Je me demande ce soir s’il y a un ami pécheur ici qui est vraiment en dehors de Christ, en dehors de Dieu, qui ne Le connaît pas, voudriez-vous lever votre main vers Dieu et dire: «Dieu, soit miséricordieux envers moi»? «Je crois que je–je–je crois maintenant cela dans mon cœur, je–je veux venir au Seigneur. Je veux une expérience, Frère Branham, comme celle dont vous parlez. Je lève ma main vers Dieu pour Lui dire de le faire.»

80    Pendant que les chrétiens prient, les pécheurs voudraient-ils bien lever la main? Je sais que c’est dur, tranchant, mais frère, c’est la vérité. Regardez, il y a des bombes atomiques suspendues dans le–là en Russie aujourd’hui avec votre nombre dessus. Que Dieu vous bénisse, vous qui êtes… Dieu vous bénisse. Très bien, c’est bon. Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre qui voudrait lever la main? Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse, jeune homme, et vous. C’est bien. Oui. «Que doit-on faire, Frère Branham, pour recevoir ceci?»
    Dites dans votre cœur: «Seigneur Jésus, je ne viens d’aucune autre manière que sur base de ce seul fait irréfutable, c’est-à-dire que je sais, dans mon cœur, que je ne suis pas en ordre. Et je sais que le Seul qui peut me remettre en ordre, c’est Toi. Et je viens, croyant en Toi maintenant même, que Tu vas transformer mon cœur, que tu feras de moi une nouvelle créature. Et je lève ma main vers Toi, Seigneur, en disant: ‘Reçois-moi.’»
    Et Dieu a promis dans Sa Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie éternelle. Il ne sera pas condamné à la fin, mais il aura la Vie éternelle.» 

81    Sept ou huit personnes ont levé la main. Y aurait-il quelqu’un d’autre? Levez simplement la main pendant que l’église prie. Levez simplement la main vers Dieu. Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse, jeune homme là-bas, oui. Quelqu’un d’autre? Bon, gardez la tête inclinée et soyez en prière. Dites: «Seigneur, que dois-je faire?» 
    Oh, pensez-y simplement, votre nom pourrait être sur cette bombe. Souvenez-vous, l’ange de la mort pourrait être à votre porte. Vous dites: «Eh bien, je le ferai un jour ou l’autre.» Vous pourriez ne pas avoir une autre occasion. J’espère que vous en aurez, mais il se peut que vous n’en ayez pas. Vous dites: «Frère Branham, qu’est-ce qui vous arrive?» Oh, je vois le temps de la fin, mes amis. Je vois que la fin est là.
    Et j’ai traversé le pays; j’ai essayé. Je crois que Dieu me fera trouver grâce auprès de vous. Et je Le vois à l’ouvre, et je vois combien c’est infaillible, que Dieu a confirmé que je vous ai dit la vérité. Maintenant, je dis ceci avec ma main [levée] devant Dieu, si jamais je vous ai dit la vérité dans ma vie sur quoi que ce soit, c’est maintenant même la vérité, je vous le dis.

82    Ne laissez pas le diable vous séduire. D’abord, vous serez marqué hors du Royaume, vous ne pourrez entrer. «Mon Esprit ne demeurera pas toujours dans l’homme.» Si vous n’êtes pas positif, c’est certain, qu’un profond amour bien stable pour tout le monde, une paix profonde bien stable et qui dépasse tout entendement, si cela n’est pas en vous ce soir, si j’étais assis sur votre siège, je lèverais ma main vers Dieu et dirais: «Ô Dieu, met pour moi cela dans mon cœur ce soir. Je–je veux m’abandonner. Je veux venir maintenant. Je le veux réellement. Je veux me consacrer de nouveau à Toi. Et fais mon–fais–fais de moi ce que je devrais être.» 
    Voudriez-vous lever la main? Dieu vous bénisse, monsieur. C’est un vrai homme. Dieu vous fera miséricorde, mon frère. Juste ce. Dieu vous bénisse, mon garçon, avec votre. Ce jeune homme, là, avec votre tête inclinée. Ne voudriez-vous pas venir? Il y a une fontaine remplie de Sang. Dieu vous bénisse, monsieur. C’est comme ça. Dieu vous bénisse, monsieur. Je vous vois. C’est comme ça qu’il faut le faire. Vous savez que vous n’êtes pas caché devant Dieu. Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre?

83    En ce jour-là… maintenant, je voudrais vous dire quelque chose. Vous avez vu l’ouvre du Saint-Esprit. Et vous avez vu que quoi que ce soit… je ne dis pas ceci à–pour me vanter. Je ne le dis pas dans cette intention-là. Mais je suis venu dans un but, pour apporter un message à ce pays avant que la fin ne vienne. Je commence par la Californie, et je vais continuer vers la Côte Est.
    Écoutez, laissez-moi vous dire, mes amis, le temps est proche. Je le crois de tout mon cœur. Et c’est pour cette raison que je dois prêcher comme cela. Je le dois, parce que Dieu va me tenir pour responsable. Si vous croyez que je suis un serviteur de Dieu, si vous croyez que je viens réellement de Dieu, alors croyez-moi ce soir. Je vous ai dit la vérité.
    Peut-être que je vous ai blessés dans vos credos. Je n’ai rien contre aucune église. Quelle que soit l’église, peu m’importe ce qu’elle est, quel nom elle porte, cela n’a aucune importance. Mais ce dont je parle, c’est de l’amour de Dieu dans cette église, de l’amour de Dieu qui se trouve en vous. Peu importe ce qu’est votre église, c’est ce que vous êtes devant Dieu qui compte. C’est une affaire individuelle. Vous, donnez le ton et votre église va vous suivre.

84    Quelqu’un d’autre voudra-t-il lever la main avant que nous ne priions encore? Maintenant, consacrez de nouveau votre vie à Dieu. Si vous croyez que c’est la vérité, levez la main, dites: «Je le reçois.» Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse, mon frère de couleur. Et, Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse, jeune dame. Dieu vous bénisse, monsieur. C’est merveilleux. Quelqu’un d’autre? Savez-vous ce que Dieu a dit? Il a dit: «Si vous faites cela, à la minute même, Je vous donnerai la Vie éternelle.» 
    Dieu vous bénisse, madame. Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse la dame–bénisse la dame sur le fauteuil roulant, qu’Il bénisse l’homme qui est là, avec sa main levée. Dieu vous bénisse, vous là derrière, madame. Et Dieu vous bénisse, monsieur, avec les deux mains levées. Oh! la la! Quelqu’un d’autre? C’est comme ça. C’est comme ça. Je sais, mon ami, si je–si j’exerce le discernement, vous me croirez. Dieu parle aux cours ici, ce soir. Je sais qu’Il le fait. Il a mis ceci sur mon cœur pour que je le prêche. Et je sais que ceci est la vérité, et je sais que c’est pour votre bien.

85    Oh, cette ville est remplie de tout. Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, quand le Saint-Esprit parle, levez la main, dites: «Oui Seigneur, j’entends Ta voix.» Eh bien, c’est la plus grande chose au monde. Qu’en serait-il si Dieu connaissait–qu’en serait-il si vous arriviez au point où le Saint-Esprit ne pourrait plus vous parler, que votre oreille était percée? Le diable, la popularité, les sottises de ce monde (Dieu vous bénisse, sœur.), ont percé votre oreille. Dieu vous bénisse. Un autre–un autre frère, oui, Dieu vous bénisse.
    Qu’en serait-il si le diable avait percé votre oreille avec: «Oh, je fais partie de l’église.»? Je suis tout aussi bon que n’importe qui d’autre. Qu’en serait-il s’il vous avait plongé dans cette condition? Alors, vous servirez ce credo le reste de vos jours. Vous ne pouvez écouter l’Esprit. Dieu vous bénisse, petit garçon. Je vois un petit garçon lever la main. 

86    Je me demande maintenant, pendant que nous sommes ici, je voudrais vous demander, à vous qui avez levé les mains, voudriez-vous vous lever une minute juste pour vous consacrer à Christ, juste venir ici? Dieu vous bénisse, vous, vous. C’est juste. Mettez-vous debout une minute jusqu’à ce que nous ayons prié. Levez-vous simplement. C’est juste. Dieu vous bénisse. Les gens qui viennent à Christ, mettez-vous simplement debout. Dites: «Je le veux. Je ne me soucie pas des autres choses.» Bon, regardez ce que vous acceptez; vous êtes debout devant les gens. Dieu vous bénisse, madame. Dieu vous bénisse, frère.
    Levez-vous. Mettez-vous debout, levez la main. Levez-vous. Dites: «Me voici, Seigneur Jésus. Je veux le faire publiquement, de moi-même. Tu as dit que si j’ai honte de Toi, alors, Tu auras aussi honte de moi. Mais si je rends témoignage de Toi devant les hommes, Tu rendras aussi témoignage de moi devant le Père et les saints anges. Ainsi, voici, je me lève publiquement pour que tout le monde me voie. Je me lève pour dire: ‘Je consacre maintenant ma vie à Jésus-Christ. Je veux qu’Il me fasse miséricorde.’»

87    Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse. C’est bon. Dieu vous bénisse, madame. Restez simplement debout, chacun de vous, encore quelques minutes. Quelqu’un d’autre voudrait-il se lever? Voudriez-vous le faire? Mon ami, ceci signifie pour vous plus que tout le reste au monde. Voudriez-vous vous lever? Quelqu’un d’autre?
    Je me demande pendant qu’ils sont debout, si vous croyez… C’est juste, sœur, c’est comme ça qu’il faut le faire avec Lui. Que Dieu soit miséricordieux envers vous. Le Saint-Esprit est ici. Je le sais. Que Dieu soit avec vous. Maintenant, pendant que nous chantons vraiment doucement «Il y a une fontaine remplie de Sang», pendant que cette belle musique joue… Si vous croyez que Dieu écoute ma prière, si vous croyez que j’ai été oint pour ceci, pour prier pour les malades, si Dieu m’a fait trouver grâce à vos yeux… Je suis oint maintenant pour le salut de votre âme. Je veux que vous descendiez ici et que vous vous teniez à l’autel avec moi. Je veux vous serrer la main, et vous imposer les mains, prier avec vous.
    Maintenant, l’auditoire va chanter doucement pendant qu’ils viennent tous, ceux qui veulent venir juste ici, tous ceux qui consacrent leur vie à Christ. Très bien. [Espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]

88    Notre Père céleste, Tes enfants étaient éloignés de cette communauté, il y a un moment, mais maintenant, ils ont été rapprochés. Ils sont venus ici pour Te confesser comme leur Sauveur. Beaucoup d’entre eux peut-être ont, pendant des années, été membres d’églises. Mais ils sont venus, croyant, T’acceptant comme leur Sauveur personnel.
    Ils n’en ont pas honte, ce soir, au milieu de tous ces troubles et au milieu de leurs amis qui se tiennent tout autour. Ils continuent à croire. Et ils T’acceptent comme leur Sauveur personnel. Et ils rendent témoignage de cela devant l’auditoire. Et je Te prie, ô Dieu, maintenant que Tu veuilles les bénir, alors qu’ils T’offrent des louanges, Te donnant la louange et la gloire pour tout ce que Tu as fait pour eux. Et je prie que Ta miséricorde demeure toujours avec eux. Puisse-t-il en être ainsi maintenant même, alors qu’ils sont là, pleurants, comme chacun d’eux a des yeux rouges et sanglote sous son mouchoir. Je Te remercie, Seigneur. Je Te remercie, Seigneur.

89    Un glorieux jour, ça sera fini. Un jour, la marrée froide de la mort balayera chaque main qui est ici, alors, ils se souviendront qu’ils sont venus sur base de la Parole de Dieu. Les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera jamais. Ils se sont tenus ici devant l’auditoire parce qu’ils ont senti que Tu as frappé à leur cœur. Tu as dit: «Nul ne peut venir à moi, à moins que Mon Père ne l’attire. Et tous ceux qui viendront, quand le Père attirera, je leur donnerai la Vie éternelle, Je les ressusciterai au dernier jour. Ils ne viendront pas en jugement, mais ils sont déjà passés de la mort à la vie.» 
    Accorde, Seigneur, Tes bienfaisantes bénédictions à chacun pendant qu’ils sont en prière, car nous le demandons au Nom de Jésus.
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William Branham = faux prophète - Page 11 Empty Re: William Branham = faux prophète

Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:09

La Marque de Christ


1    Bonsoir, mes amis. C’est ça qu’on appelle arriver juste à l’heure, n’est-ce pas? J’ai pris un mauvais tournant ce soir; j’ai contourné le bâtiment, je suis passé de l’autre côté, et j’ai passé un mauvais quart d’heure pour revenir. Et juste comme je passais la porte, j’ai entendu les gens chanter «Crois seulement». Je me suis dit: «Oh! Ça par exemple!» 
    Nous avons donc engagé une petite discussion ce soir; j’ai dû attendre pendant très longtemps hier soir, alors j’ai dit: «Eh bien, Frère Moore, si je dois encore attendre là-bas une demi-heure ce soir, ce sera vous qui prêcherez le lundi soir, le mardi soir et le mercredi soir de la semaine prochaine.» J’ai dit: «Je serai là vraiment à l’heure.» C’est pour cette raison qu’il était à l’heure. Ha, ha, ha! Oui, monsieur. 
    [Frère Moore dit: «Nous allons vous faire prêcher trois jours de plus à cause de cela.»–N.D.É.] Ha, ha, ha! Eh bien, j’étais là quand même à l’heure, en venant ici; vous veniez juste d’arriver, n’est-ce pas? J’étais… Cet homme devait mettre ce crochet, ou je ne sais quoi, autour de mon cou afin que je puisse parler à partir de là. Je pense que je dois me dépêcher un petit peu et m’éloigner du microphone.

2    Tout le monde se sent-il bien? Oh! C’est bien; c’est vraiment bien. Eh bien, nous espérons que nous pouvons… le Seigneur va nous bénir et nos mains sont maintenant plongées dans le pot de miel et nous allons manger le Miel de Dieu, Sa Parole.
    L’un des plus mignons petits spectacles auxquels je n’aie jamais assisté, je ne sais pas si je vous l’ai déjà raconté. Je–j’aime la pêche, et il y avait un… J’étais là dans le nord du New Hampshire, la région des saumons de fontaine. Pendant trois jours, je m’enfonçais dans cet endroit sauvage avec un sac à dos sur le dos. Je pêchais là haut dans les montagnes, là où les novices n’arrivent pas, vous savez, là au fond. Et j’étais–je m’étais dressé une petite tente là un matin. Et je–je me levais tôt et j’allais dans les buissons, j’avais une petite hache à main et je coupais des buissons afin que la mouche [mouche artificielle servant d’appât–N.D.T.] puisse donner un bon résultat pendant que je pêchais ces saumons de fontaine. Et ainsi je… C’était aux environs de huit heures et j’étais revenu… Le soleil était bien haut. Et quand je suis revenu à mon campement, celui-ci gisait au sol. Une maman ours et deux petits oursons qui y étaient entrés avaient vraiment mis cela en pièces. Je veux dire que c’était éparpillé çà et là.

3    Eh bien, j’avais un vieux fusil tout cabossé et rouillé, posé là quelque part, mais… Le problème chez l’ours, ce n’est pas ce qu’il mange qui importe, c’est ce qu’il détruit. Il avait renversé la poêle et il était monté dessus simplement pour en entendre le bruit, vous savez, et c’est un très mauvais compagnon.
    Et quand je suis venu, la vieille maman ours m’a flairé à distance et elle s’est éloignée. Elle a roucoulé à l’intention de ses petits; un petit ourson l’a suivie en courant. Et elle est sortie, mais l’autre petit compagnon est resté simplement là. Il avait le dos tourné vers moi. Eh bien, je me suis demandé: «Qu’est-ce qu’il a ce petit compagnon, il ne part pas.» Et elle s’est arrêtée là dans cet endroit sauvage, vous voyez, là sur le flanc de la colline, roucoulant.
    Je me posais des questions, elle essayait de faire venir cet ourson. Mais celui-ci ne voulait pas venir, vous savez, il était simplement assis là avec sa tête inclinée comme cela. Et je me suis dit: «Eh bien, je me demande ce qu’il a, ce petit compagnon.» Et j’ai continué donc à m’approcher, mais je ne voulais pas trop me rapprocher parce qu’elle peut vous griffer. Ainsi elle… J’observais, et elle continuait à roucouler, elle se levait puis roucoulait. Et je ne voulais pas être obligé de tuer cette vieille ourse pour laisser deux orphelins dans les bois. Je–je continuais donc à l’observer. Il y avait un arbre tout près de là, mais elle sait grimper mieux que moi, ainsi… Et je savais qu’il me fallait faire quelque chose, et je me demandais ce que ce petit compagnon était en train de faire. Et quand je suis allé sur le côté afin de pouvoir le voir de profil, ah!… 

4    Combien aiment les crêpes avec la mélasse? Oh! je vous assure, c’est vraiment… Je ne les fais pas très bien, mais assurément je les aime. Je m’étais donc procuré un seau de miel. Vous savez, cela redresse un peu les baptistes, le miel, vous savez, parce que… J’avais donc là un seau de miel, et je–je prends généralement un grand seau parce que je ne crois pas dans l’aspersion; je les baptise réellement; j’en verse une bonne couche. Ainsi, je répands ce miel sur ces crêpes, vous savez, et… 
    Ce petit compagnon était entré là dedans, et de toute façon, ils aiment ce qui est doux. Et il avait enlevé le couvercle de ce seau. Il était assis là, et il avait tiré cela comme ceci vers lui, vous savez. Il plongeait sa petite patte dedans et prenait ce miel, pour ensuite le lécher comme cela. Il était… Il était couvert de miel du sommet de la tête à la plante de ses pattes. Et il a essayé de me regarder, mais ses petits yeux restaient collés, vous savez, et il a essayé de les ouvrir, me regardant comme cela. Je me suis dit: «Oh! la la!» Il m’a regardé, tout à fait indifférent, avec l’air de dire: «Eh bien, tu en veux un peu?» Il enfonça donc sa patte dedans et se remit à la tremper.

5    Et je me suis dit: «Eh bien, si cela n’est pas vraiment comme un jubilé pentecôtiste à l’ancienne mode, je n’en ai jamais vu un.» C’est vrai. Il y a du miel partout, partout sur votre tête, partout sur vous, partout, vous êtes couvert de miel. C’est vrai. La main est dans le pot de miel. C’est vrai.
    Ce qui était drôle en cela, c’est quand il a laissé tomber le seau après l’avoir complètement raclé. Eh bien, le petit compagnon s’est dirigé là vers sa mère et l’autre ourson, et ceux-ci ont commencé à le lécher; cela lui ôtait le miel. J’espère que nous aurons tellement de miel sur nous que tout le monde voudra nous lécher (n’est-ce pas?), essayant de jouir des bénédictions que le Seigneur nous donne.

6    Eh bien, nous aimons ces joyeuses réunions à l’ancienne mode, n’est-ce pas? Là où nous… Mais vous devez être redressés avant de pouvoir apprécier cela, vous savez, vous devez être sur la bonne voie.
    Hier soir, nous parlions de La marque de l’antichrist, et ce soir, nous parlerons de La Marque de Christ, le sceau de l’antichrist, ou plutôt le Sceau de Christ.
    J’espère que tout le monde se sent bien, maintenant. Et souvenez-vous des services de demain matin. Allez dans une église si vous êtes des visiteurs ici. Il y a plusieurs réveils en cours dans différentes parties du pays. J’espère donc que vous allez trouver votre place au… une bonne église du plein Évangile, une bonne église spirituelle, et–et allez à l’église le matin. Et alors, demain après-midi, nous tiendrons alors nos services au moment où tous… il n’y a pas d’autres services en cours.

7    Je crois que c’est une bonne chose de la part des hommes d’affaires chrétiens, n’est-ce pas, de vous ministres et des vous laïques? J’apprécie cela chez eux, de ne pas déranger les services habituels de votre église. Et nous espérons donc que tout le monde viendra demain après-midi, et demain après-midi, il y aura aussi un service de guérison. Nous allons prier pour les malades. Demain après-midi, Dieu voulant, on distribuera les cartes de prière vers treize heures trente, je suppose, treize heures ou treize heures trente. Ainsi cela ne pourra pas empiéter sur les autres programmes de l’après-midi. Puis, je viendrai, et Dieu voulant, je voudrais parler pendant quelques instants demain soir, et ensuite, former la ligne de prière et prier pour les malades. 

8    Maintenant, avant que nous ouvrions cette merveilleuse Parole du Dieu vivant, je crois que chaque religion, chaque vraie religion est fondée sur Ceci. Et si Ceci, si la religion ne parle pas de Ceci, alors elle n’est pas bonne. La seule fondation de Dieu se trouve là-dessus. La seule vérité que nous pouvons… Si une chose est contraire à cette Parole, elle n’est pas la vérité.
    Dans l’ancienne Bible, il y avait trois moyens pour reconnaître un message: c’était d’abord par la loi, ensuite par les prophètes ou par un songeur. Et quand ils avaient un songe ou qu’ils prophétisaient… Et sur la poitrine d’Aaron, il y avait un pectoral avec ce qu’on appelait l’Urim Thummim. Les enseignants, peut-être, comprennent cela; je sais que vous le comprenez. Et alors si un prophète prophétisait et que les lumières ne brillaient pas sur cet Urim Thummim, la chose était fausse.
    Quand un songeur racontait un songe et qu’une lumière ne brillait pas sur cet Urim Thummim, c’était faux. Et maintenant, le diable en a fait une imitation et a fait un–une de ces boules de cristal. Mais Dieu a toujours Son Urim Thummim, et Le voici. C’est vrai. Quand un prédicateur prêche, ou qu’un prophète prophétise, ou qu’un songeur a un songe qui est contraire à Ceci, alors la chose est fausse. C’est vrai. Cela doit venir de la Parole. Je suis un grand croyant de la Parole. C’est ce qui nous garde droits. Revenez à la Parole de Dieu. 

9    Maintenant, nous pouvons en tourner les pages comme ceci, mais il n’y a qu’Un seul qui peut ouvrir ce Livre, et c’est Celui qui est venu et qui a pris de la main droite du–de Celui qui est assis sur le trône, un Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, ce n’est personne d’autre que notre Seigneur Jésus-Christ, l’Auteur de la Parole. Courbons la tête juste un moment maintenant, pour Lui parler.
    Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants pour cet heureux groupe de gens qui s’est rassemblé ici ce soir, qui est venu pour savourer la Parole. Et nous sommes venus dans un seul but: [celui de] communier autour de la Parole de Dieu, ayant des choses en commun, sachant que nous sommes citoyens du même Royaume, le Royaume du Seigneur, le Grand Roi des rois. Et nous sommes venus ce soir pour communier autour de la Parole. Maintenant, puisse le Saint-Esprit venir prendre la Parole et cela directement à partir du Livre, et La donner à l’auditoire et au prédicateur juste selon que nous en avons besoin, Père, partageant correctement la Vérité afin que chaque homme puisse, en quittant ici ce soir, sentir que c’était bon d’être ici. Accorde-le, Seigneur, à cause de Sa présence.

10    Sauve les perdus ce soir, cher Seigneur. Nous sommes très reconnaissants pour hier soir, d’avoir vu ces pécheurs descendre l’allée en pleurant, les yeux rouges, se mettre ici autour de la chaire: des jeunes gens, des jeunes femmes, des vieux, des hommes d’âge moyen, des petits enfants, ils sont venus autour du trône. Ô Dieu, soit loué à cause du salut que Tu leur as donné. Tu as admirablement parlé à leur cœur, hier soir. Bon nombre de ceux qui étaient déjà croyants en sont arrivés à être remplis de l’Esprit. C’est sûr, Père, que Tu l’as accordé à tout celui qui est venu.
    Et maintenant, ô Seigneur, nous prions que Tu guérisses les malades ce soir, car je vois que les malades ont commencé à se rassembler. Là où l’Évangile est prêché, des signes et des miracles doivent L’accompagner. Et nous voyons les malades se rassembler déjà; nous prions que Tu guérisses chacun d’eux. Ils n’auront même pas à revenir demain pour qu’on prie pour eux, pour la guérison, puissent-ils revenir en bonne santé pour savourer les bénédictions de Dieu. Que chacun puisse maintenant s’abandonner à l’Esprit. Et, Père, prends Ton serviteur inutile, et puissé-je être en mesure de m’abandonner moi-même au Saint-Esprit ce soir pour prêcher la Parole. Ouvre-La-nous, Père, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

11     Hier soir, pendant que je parlais de la marque de la bête, ou plutôt du sceau de la bête, nous l’appelons ainsi, car il est parlé du Sceau de Dieu… Et nous avons vu que le sceau de la bête, c’est… Le sceau représente un travail fini. Car tout ce qui est fini est un… scellé.
    Un wagon, quand il est chargé, bien chargé, l’inspecteur doit d’abord venir. Après qu’on a chargé du bois, ou quoi que ce soit sur un–un wagon, l’inspecteur vient ensuite en faire un examen complet. Et si on a amené le wagon là sur la voie secondaire pour être chargé, l’inspecteur secoue le tout pour s’assurer que c’est bien et que c’est compact. Et alors, s’il voit que tout est compact, il tire la porte et la scelle; et ça reste scellé jusqu’à ce que ça arrive à destination.
    C’est ainsi que le Saint-Esprit fait avec nous, Il vient et secoue certaines choses qui sont branlantes dans l’église, les choses qui sont branlantes dans l’individu. Une petite vie d’insouciance, les choses que nous ne devrions pas faire, et les petites choses qui ne marchent pas en nous, Dieu vient et les secoue, d’abord pour voir si vous êtes ferme dans la Parole, pour voir si vous remplissez les conditions requises en tant qu’enfant ou serviteur de Dieu pour continuer ainsi. Si en fin de compte Il voit que tout est stable, alors on ferme les portes et vous êtes scellé.

12    Quand le diable a finalement persuadé tout le monde de ne pas croire l’Évangile… Et finalement un jour, après que Dieu lui a présenté la connaissance de la vérité, mais que lui y a tourné le dos pour la dernière fois, en disant: «Non, je garde la mienne», alors, le diable l’amène à la porte, lui fait un trou à l’oreille comme on le faisait en type dans l’Ancien Testament, ou il scelle son entendement pour qu’il ne puisse plus jamais avoir la foi dans l’Évangile, il est scellé à l’extérieur, et il servira le diable pour toujours. Il n’y a plus d’espoir pour lui, ç’en est fini de lui, il est perdu, sans espoir, il est sans Dieu, sans miséricorde…
    Et maintenant, le tragique dans ces deux choses, c’est que le sceau de l’ennemi est un sceau religieux, c’est vrai, très religieux. Je voudrais maintenant lire quelque chose dans les Écritures, juste avant que nous commencions, dans Apocalypse, chapitre 9, versets 3 et 4.
    De la fumée sortirent des sauterelles, qui se répandirent sur la terre; …il leur fut donné un pouvoir comme le pouvoir qu’ont les scorpions de la terre.
    Il leur fut dit de ne point faire de mal à l’herbe, à la verdure, ni à un arbre, mais seulement aux hommes qui n’avaient pas le sceau sur–le sceau de Dieu sur le front. 
    Et puis, nous voyons que dans beaucoup de passages… Vous les lecteurs, vous comprenez que dans beaucoup de passages des Écritures, on prêche–on enseigne, spécialement dans le livre de l’Apocalypse, sur le fait d’avoir le Sceau de Dieu.
    Maintenant, après hier soir, nous basant sur cela et ayant vu ce qu’était le sceau de Satan, qui était de rejeter l’Évangile… Le jubilé, l’Évangile est la bonne nouvelle. Est-ce vrai? Et c’est l’année de jubilé pour chaque enfant déchu d’Adam. Après qu’ils ont reçu les grandes bénédictions de l’Évangile qui leur ont été données (mais ils ont rejeté cela), alors, selon le–le Testament, ils sont scellés à l’extérieur du Royaume; ils devront servir leur maître le reste de leurs jours.

13    Maintenant, qu’est-ce? Comment étaient-ils scellés? Ils étaient scellés à l’oreille: «Car la foi vient de ce qu’on entend.» Et si l’oreille est coupée, l’oreille de l’Évangile… Je ne veux pas dire l’oreille physique, l’oreille spirituelle. Vos oreilles spirituelles pour les bonnes choses de Dieu ont été marquées; vous l’avez rejeté pour la dernière fois. Alors, vous êtes scellé à l’extérieur, bien que vous soyez peut-être très religieux.
    Bon, vous dites: «Est-ce possible qu’une personne puisse donc appartenir à une église, Frère Branham, aller à l’église, être sincère au possible, et être pourtant perdue?» Absolument. C’est vrai. Les gens les plus sincères que j’ai jamais vus, c’étaient des païens et des athées: ils sont tout aussi sincères, donnant leurs enfants en sacrifice, se torturant et tout, avec toute la sincérité que vous puissiez imaginer.
    Les mahométans sont sincères; les bouddhistes sont sincères. Les jaïns sont sincères, si sincères qu’ils ne voudraient même pas toucher une petite fourmi, ni rien du tout: très sincères, au-delà de tout ce que le christianisme peut jamais produire et que je peux constater, spécialement en ce jour. La sincérité n’est pas la chose. Les Écritures disent: «Telle voie paraît droite à un homme.» La chose semble très bonne, mais Dieu a Sa voie. Et vous devez venir, non pas selon la voie qui semble droite, mais selon la voie que Dieu dit être droite. Amen. C’est la voie de la croix.

14    Bon, nous lisons maintenant là dans le livre des Éphésiens ce qu’est le Sceau de Dieu. Nous avons vu ce qu’est le sceau du diable. Maintenant, dans Hébreux 10… Nous verrons d’abord le Sceau de Dieu: «Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés.»
    Si la vérité a été présentée, Jésus-Christ est venu pour présenter la vérité, et non pas seulement présenter la vérité, Il est la vérité. Et les religieux de ce temps-là ont dit: «Nous savons maintenant qui Il est, Il fait de la télépathie mentale. Nous comprenons qu’Il est en train de lire leurs pensées là-bas. Mais nous croyons que toutes les guérisons et ces autres choses qu’Il accomplit, Il les accomplit simplement par le diable, car Il n’est pas d’accord avec notre dénomination.» Ils ont donc dit: «Il est un démon.»
    Jésus a dit: «Bon, vous pouvez dire cela contre le Fils de l’Homme; en effet, la vérité vous a été présentée. Vous savez qu’effectivement c’est la vérité», en d’autres termes.
    Nicodème l’a affirmé quand il a dit: «Rabbi, nous savons que Tu es…» Nous qui? Les pharisiens. «Nous savons que Tu es un enseignant venu de Dieu. Nous le savons. Car personne ne peut faire les choses que Tu fais à moins que Dieu ne soit avec lui. Et nous savons que Tu es un enseignant venu de Dieu. Et j’ai dû me glisser ici la nuit pour Te parler», en d’autres termes. Une tradition, séparant les hommes par leurs traditions… Oh! la la!

15    Et j’ai regardé cela, et j’ai alors vu ce grand Christ Se tenir là. Il a dit: «Bon, vous pouvez dire cela contre le Fils de l’Homme…», car l’expiation n’avait pas encore été faite. Christ était là, mais Il était dans la cellule de sang de l’enveloppe. Tant que cette cellule n’était pas brisée par la lance romaine, car au Calvaire le péché… Et le Saint-Esprit lâcherait cela sur chaque croyant qui viendrait à travers le sang versé… 
    Il a dit: «Quiconque dit un mot contre le Saint-Esprit ne sera pas pardonné dans ce monde ni dans le monde à venir.» En d’autres termes: «Vous pharisiens, le Saint-Esprit n’est pas dans le monde en ce moment, Il est donc libéré pour chaque croyant. Vous serez donc pardonné pour cela, mais un jour ce Saint-Esprit viendra, et alors si donc cette génération dit quelque chose contre Lui et taxe ces mêmes ouvres comme étant du diable, ils ne seront jamais pardonnés dans ce monde ni dans le monde à venir.»

16    Voilà, Paul prend cela. Il est dit là dans Hébreux 10: «Si nous ne croyons pas…» ou plutôt si nous péchons, et qu’est-ce que le péché si ce n’est l’incrédulité: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» «Si nous ne croyons pas volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera le rebelle.»
    C’est très fort, n’est-ce pas? Mais c’est ce qu’il nous faut. Si nous avons servi le Seigneur, nous les chrétiens, pendant toutes ces années, il est temps que nous quittions le régime du lait, il est temps que nous mangions de la nourriture solide. La nourriture solide est là pour nous; et le Saint-Esprit va nous nourrir de cela, si–si seulement nous nous ouvrons pour Le laisser faire. 

17    Maintenant, si vous rejetez la vérité quand elle est présentée, vous aurez alors les oreilles scellées, vous vous éloignerez de Dieu tout en restant très religieux. Les Écritures disent: «Emportés, enflés d’orgueil, aimant les plaisirs plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien; ayant l’apparence de la piété (Tout le formalisme, très fondamentalistes), l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-là. Il en est parmi eux qui vont de maisons en maisons, et qui conduisent des femmes d’un esprit faible et borné, chargées de passions de toute espèce, ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité.»
    C’est vrai. Ça, c’est les Écritures; c’est ce que la Bible dit. C’est là que ma foi est ancrée, c’est dans la Parole de Dieu, non pas dans les traditions des hommes, mais dans la Parole de Dieu. C’est là que j’ai pris position il y a vingt-trois ans; c’est là que je veux me tenir quand Jésus viendra, ou quand la mort viendra me libérer de cette vieille léproserie dans laquelle je vis. Amen. Se tenir sur la Parole, les cieux et la terre passeront, mais Elle ne passera jamais. Elle est immortelle, éternelle.

18    Les gens pensent donc que c’est juste parce que vous allez à l’église. On dit: «Oh, tout ce que j’ai à faire, c’est juste aller à l’église et être un homme assez bon.» C’est faux, frère, vous êtes séduit. C’est vrai.
    Ésaü aussi était un homme assez bon. Caïn aussi était un homme assez bon; tous les deux étaient des adorateurs, des croyants. Caïn n’était pas un infidèle; il était un croyant. Il s’est amené, a bâti une église, a construit un autel, l’a décoré, et s’est agenouillé, a prié et a adoré Dieu. Mais Dieu l’a rejeté parce qu’il n’avait pas la révélation spirituelle. Il venait en toute sincérité de cœur. Pouvez-vous vous imaginer un homme qui vient, sachant qu’il est entre la vie et la mort, que sa destinée éternelle repose sur son sacrifice, et qui viendrait en étant volontairement ignorant? Non, monsieur. Il viendrait avec un cœur honnête et présenterait… Mais vous voyez, frère, toute votre sincérité ne signifie pas cela. Dieu n’a promis qu’une seule voie. 

19    Comment, à votre avis, Abel a-t-il su qu’il fallait apporter un agneau plutôt qu’une pomme, ou peu importe ce que vous voulez appeler cela? Comment a-t-il su qu’il fallait apporter un agneau? En effet, à cette époque-là aucune Bible n’était écrite; cela lui a été révélé par le Seigneur. 
    Jésus a dit, après être descendu de la montagne de Transfiguration… Tenez; je veux que vous compreniez cela. En descendant de la montagne de Transfiguration, Jésus a dit: «Qui dit-on que Je suis, Moi le Fils de l’homme?»
    Quelqu’un a dit: «Eh bien, les uns disent que Tu es Moïse; et les autres disent que Tu es Élie; et d’autres encore disent que Tu es le prophète.»
    Il a répondu: «Ce n’est pas ce que J’ai demandé. Vous, qui dites-vous que Je suis?» 
    Pierre a répondu: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

20    Bon, l’Église catholique dit qu’il s’agissait là d’un rocher, et que ce rocher était Pierre. Et ils ont bâti l’église sur Pierre. L’Église protestante dit: «Non, c’était sur Jésus.» Je suis totalement en désaccord avec tous les deux. Il ne s’agissait d’aucun d’eux. En effet, Pierre avait simplement dit, écoutez… 
    Il a demandé: «Qui–qui dit-on que Je suis?»
    Pierre a répondu: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.» 
    Il a répondu: «Tu es heureux, Simon fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela (Tu n’as pas appris cela dans une école de théologie. Tu n’as appris cela d’aucune autre manière.), mais c’est mon Père qui est dans les cieux qui te l’a révélé. Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon église, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» La vérité spirituelle révélée de Jésus-Christ. Si vous êtes tout excité et émotionnel, cela ne marchera pas. Ça doit être un témoignage direct que Dieu Lui-même, par élection, vous a appelé et vous a révélé Christ. Amen.

21    Certaines personnes viennent à l’église juste pour le côté émotionnel. Certaines personnes viennent à l’église juste pour chanter. Certaines personnes viennent à l’église juste pour se réjouir de bons cantiques, c’est très bien. Certaines personnes viennent à l’église et y adhèrent juste pour cacher leur méchanceté, ils se font dans le voisinage une réputation un peu meilleure. Certaines personnes viennent à l’église avec sincérité, mais ne sont jamais entrées en contact avec Dieu. Mais quand Dieu appelle un homme: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement. Et je donnerai la Vie éternelle à tout celui qui viendra, Je le ressusciterai au dernier jour.» 
    Oh! j’espère que vous comprenez cela. Frère, c’est l’ouvre du Saint-Esprit qui Se révèle à l’individu, non sur base d’une émotion, non sur base d’une chose que vous devriez faire ou que vous ne devriez pas faire, ni ceci ni cela… Toutes ces choses sont en ordre, les mouvements et les ouvres, les cris et les danses, et les parler en langues; toutes ces choses sont en ordre. Mais d’abord, ça doit être une révélation spirituelle que Dieu a donnée à l’individu, selon laquelle Jésus-Christ est le Fils de Dieu et qu’Il appelle. C’est vrai. Sans cela, frère, vous êtes seulement en train d’imiter, de faire semblant.

22    Ici dans Éphésiens, nous allons voir ce qu’est le Sceau de Dieu. Éphésiens chapitre 1, versets 12 et 13.
    Afin que vous serviez… la louange de sa gloire, nous qui d’avance avons espéré en Christ.
    En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut… vous avez cru–vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis.
    Éphésiens 4.30 dit: «C’est pourquoi, n’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellés jusqu’au jour de votre rédemption.» Jusqu’à quand? 
    Maintenant, vous frère arminien, j’aimerais vous pincer les orteils juste un petit moment, et vous allez m’excuser pour cela. Vous comprenez? Jusqu’à quand? Jusqu’au jour de votre rédemption; pas dans l’espace d’une réunion à une autre, d’un réveil jusqu’à ce qu’ils soient emportés à tout vent de doctrine, d’un lieu à un autre. Mais un homme, une fois rempli du Saint-Esprit, il a la promesse de la Vie éternelle. «Je le ressusciterai au dernier jour.» Amen.
    «Celui qui écoute Ma Parole et qui croit en Celui qui M’a envoyé a (le temps présent) la Vie éternelle; il ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.» Débarrassez-vous de cela. 

23    Saint Jean 5.24, la Parole inspirée de Jésus-Christ. Bien que vous croyiez cela… Et vous ne pouvez croire que si Dieu vous attire premièrement. Et à ce moment-là, le Saint-Esprit révèle cela à votre cœur, disant: «Change.» Alors vous devenez une nouvelle créature en Jésus-Christ. Les choses anciennes sont passées, et vous… toutes choses sont devenues nouvelles. Vous y êtes, vous n’êtes pas ballotté par n’importe quoi.
    Si vous êtes ballotté d’un côté et de l’autre, méthodiste cette semaine, baptiste la semaine suivante, presbytérien la semaine qui suit, et vous courez d’une mission à une autre, j’ai une chose à vous dire: Vous n’êtes pas encore stable. 
    Oh! vous dites: «Frère Branham, mais écoutez, j’ai beaucoup de…»
    Oh! je n’y peux rien, frère. Je dois m’en tenir à la Parole; c’est ce que la Parole dit. Debout aujourd’hui, demain parti, rétrograde le lendemain, de retour le surlendemain, et vous dites: «Oh, nous sommes partis jouer au jeu d’argent», et tout. En effet, si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. Amen.

24    Il est donc temps que les pentecôtistes soient redressés, ne le pensez-vous pas? Voyez à quel point ils sont devenus mondains, ils sont devenus vraiment mondains, juste comme les autres. La vieille génération a disparu. Et les enfants viennent se divertir et mettre le tout dans la théologie et tout, et prennent cela pour modèle, au point que les gens agissent comme le reste du monde. Vous êtes un peuple mis à part quand vous venez à Dieu, un sacerdoce royal, une nation sainte, donnant gloire à Dieu, les fruits des lèvres, donnant gloire à Son Nom. Amen. C’est juste.

25    Le sceau, le sceau est une ouvre finie; Dieu a achevé Son ouvre dans cette personne. Amen.
    Et le sceau du diable est une ouvre finie. Le diable a pris cet homme sous son contrôle; Dieu n’a pu rien faire de cet homme. Il a frappé à son cœur et ce dernier n’a pas voulu écouter, il a donc continué à se détourner. Dieu ne veut pas que quelqu’un périsse; étant patient, Il a envoyé un autre prédicateur de l’Évangile qui a opéré des miracles, des prodiges et autres. Le Saint-Esprit a dit: «Tu ferais mieux d’écouter cela.» Il a détourné sa tête pour la dernière fois. Alors son maître bouche son oreille spirituelle. Il devient emporté, enflé d’orgueil.
    «J’ai donc un diplôme de docteur, un doctorat, ou un doctorat en droit, aussi pourquoi dois-je écouter ces fous!» Nous allons en venir à cela dans quelques minutes, et vous verrez que la même chose était arrivée au commencement. Oui, c’était arrivé.

26    «Je fais partie de la meilleure église de la ville; je fréquente la meilleure classe de la ville; j’ai ceci. Je suis Untel.» De toute façon, vous, qui êtes-vous? Attachez-vous à la Parole. Amen. C’est tout; c’est pareil. Amen.
    Vous enveloppez d’un costume de cent dollars un corps qui vaut quatre-vingt quatre cents, et vous agissez comme si vous étiez un grand personnage. C’est vrai. Les recherches en chimie montrent qu’un homme qui pèse cent cinquante livres [environ 69 kg–N.D.T.], vaut quatre-vingt-quatre cents, et une femme vaut moins que cela. Oui. Bon, ce n’est pas une blague, c’est la vérité. Et vous mettrez dessus un costume de cent dollars, ou un très grand manteau de fourrure, et vous marchez dans la rue le nez relevé, parce que vous êtes membre de l’église d’Untel. Il est temps que vous preniez l’allée de sciure et retourniez à l’autel, que vous vous mettiez en ordre avec Dieu, avant que Satan ne vous scelle en dehors du Royaume. Amen. C’est la vérité; vous savez que c’est la vérité. Même votre conscience vous dit que c’est la vérité, à moins que vous n’ayez traversé la ligne de démarcation. Si vous traversez la ligne de démarcation, alors vous aurez un–vous serez livrés à la–la pensée du diable, à une illusion, pour croire un mensonge et être condamné à cause de cela, tout en pensant que vous avez raison. 

27    Souvenez-vous qu’Ésaü pensait qu’il avait raison. Il était le frère jumeau de Jacob. Dans un sens, Jacob était un petit escroc. Mais il avait une chose, il avait reçu une récompense pour ce droit d’aînesse. Son âme était entièrement captivée par cette chose. C’est ce dont l’église a besoin ce soir. Ce n’est pas tellement si vous savez conduire ceci, ou si vous avez le meilleur endroit de la ville, ou la plus grande église et ainsi de suite. Centrez votre pensée sur cela, sur le droit d’aînesse. Amen.
    Oh! la la! Je–je me sens religieux. Écoutez. Je crois qu’aujourd’hui… Certaines personnes disent: «Eh bien, maintenant, Frère Branham, attendez donc une minute. Moi aussi, je suis pentecôtiste, et je–j’ai crié, j’ai parlé en langues et tout.» C’est un don de Dieu (C’est vrai.), pas un… 

28    Tenez, mon cousin m’a donné ce costume, mais cela ne fait pas de moi un Branham. Ça, c’était un don. Je suis né un Branham. Ceci est un don venant d’un Branham. Amen. Qu’en serait-il si mon nom était Jones, et que je recevais un don venant d’un Branham? Cela ne ferait pas de moi un Branham. Vous devez être chrétien en naissant par le Saint-Esprit, non par une démonstration (Alléluia!), être scellé, une ouvre finie de Dieu dans le Royaume. Amen. Je sais que je fais beaucoup de bruit, mais si vous vous sentiez comme moi, vous feriez aussi beaucoup de bruit. 
    Remarquez. Tout ce qui n’a pas d’émotion est mort. Votre religion n’a même pas une petite émotion, vous feriez mieux de l’enterrer …?… C’est vrai. 

29    Dieu scelle, achève Son ouvre… Le Saint-Esprit, Dieu, avant la fondation du monde, nous a prédestinés à être des fils et des filles de Dieu, Il a achevé le programme, Il a mis la chose entière en ordre, Il a appelé, alors Il a frappé à votre cœur. [Frère Branham donne des coups–N.D.É.] Vous avez pris cela en considération et vous êtes venu à Lui. Il a envoyé des prédicateurs qui ont prêché l’Évangile, Il vous a donné l’entendement. Vous L’avez accepté comme votre Sauveur personnel, vous êtes venu et vous avez dit: «Seigneur, mets-moi maintenant à Ton service.» Et le Saint-Esprit promis est descendu et a achevé l’ouvre. Alors, Il vous a scellé jusqu’au jour de votre rédemption, Il vous a scellé dans le Royaume de Dieu. Tout est fini; la porte est déjà fermée et vous êtes dedans avec Christ. Le Saint-Esprit vous a scellé dedans, et vous êtes parti pour votre destination éternelle. Amen. Pour le monde, vous êtes des étrangers, des pèlerins et des étrangers, confessant que vous ne connaissez rien et que vous ne vous souciez de rien qui est du monde. Vous n’avez qu’un seul choix: votre destination pour rencontrer le Seigneur Jésus dans la paix. Amen. C’est certainement la vérité.

30    Regardez au Calvaire. Quand la cellule de sang fut abritée, Dieu Lui-même descendant, formant autour de Lui une cellule de Sang dans le sein de Marie, cette cellule de Sang développa une autre cellule de Sang, cellule après cellule. Et Il était né, le Fils de Dieu né d’une vierge; Dieu était à l’intérieur de Lui, l’Esprit. Puis au Calvaire, Il devint un sacrifice de sang. Et une lance cruelle "embauma" Son corps et brisa cette cellule de sang; la vie est sortie, et de cette vie sont sortis l’eau, le sang, et l’esprit.
    Et maintenant, cet homme en venant à Jésus-Christ aujourd’hui, et en passant à travers le sang, il entre dans la cellule de sang, dans la communion, par le Saint-Esprit, il devient une partie de Dieu, il a la vie de Dieu en lui, il devient un fils ou une fille de Dieu. Il est tout à fait impossible pour cet homme d’être perdu autant qu’il est impossible pour Dieu Lui-même d’être perdu. 

31    «Car, Je leur donnerai la Vie éternelle.» «Éternelle» vient du mot grec zoé, la Vie même de Dieu. La Vie de Dieu est dans l’individu. Et vous êtes scellé par Cela jusqu’au jour de la rédemption. C’est ça le Sceau de Dieu. Et quand vous l’êtes, vous devenez comme Christ. Vous aimez ceux qui vous haïssent. Vous n’avez qu’un seul but: faire la volonté du Père. Vous recevez tous les frères, vous entourez de vos bras vos ennemis et vous les aimez. Et les grandes ouvres du Saint-Esprit ne prennent pas plaisir à l’iniquité, mais elles prennent plaisir à la vérité et… 

32    Comprenez-vous ce que je veux dire? Vous êtes mis dans la cage où l’on dit: «Oh! gloire à Dieu, nous les dépassons. Alléluia! Regardez là-bas, ce vieux perchoir de buses; ils n’ont rien aujourd’hui. Je vous assure, notre école du dimanche est plus grande que la leur, et nous avons fait ceci et cela. Gloire à Dieu, voyez toute notre classe venir en Cadillac. Regardez ce qu’ils ont là, des vieilles Ford modèle T.» Il se pourrait qu’ils soient de loin meilleurs que vous. Ne prenez pas plaisir à l’iniquité, mais prenez plaisir à la vérité. Amen.
    Oh! la la! Croire tout, espérer tout, l’endurance, la tempérance, la bonté, la bienveillance, la patience; c’est ça le Saint-Esprit. Les fruits du Saint-Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la bienveillance, la patience; c’est ça les fruits de l’Esprit. 
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:09

33    Nous avons placé cela sur autre chose. Puisqu’on impose les mains aux malades et que ces derniers sont guéris, les gens disent: «Eh bien, frère, il a vraiment la chose.» Puisque quelqu’un peut parler en langues et quelqu’un d’autre donner l’interprétation, les gens disent: «Frère, il a la chose. Oui, monsieur. Je reconnais l’avoir entendu parler en langues; je sais qu’il a la chose, je l’ai vu guérir les malades. Il a eu une vision; il a eu une révélation. Oh! pour ce qui est de prêcher, vous n’avez jamais entendu un homme prêcher comme cela.» Aucune de ces choses n’est la preuve que vous avez la chose.
    Paul a dit: «Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, quand j’aurais le don de prophétie, quand je comprendrais toute la connaissance et la sagesse de la Bible, et tout, je ne suis rien.»
    Jésus a dit: «Plusieurs viendront à Moi en ce jour-là avec la même foi théologique.»
    Et ils diront: «Bien, maintenant, n’ai-je pas chassé les démons en Ton Nom? Et n’ai-je pas prêché et prophétisé en Ton Nom? J’ai accompli beaucoup de miracles.»
    Il répondra: «Retirez-vous de Moi, ouvriers d’iniquité, Je ne vous connais même pas.»

34    Voyez-vous cela? C’est Dieu notre Juge éternel, que vous ayez le Saint-Esprit ou pas, personne ne peut vous juger, Dieu seul le peut. Mais nous avons une évidence qui dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Pas à leur affiliation à une église, mais c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Il n’est dit nulle part dans la Bible que l’affiliation est une évidence. Il n’est dit nulle part dans la Bible que crier est une évidence. Il n’est dit nulle part dans la Bible que parler en langues est une évidence. Il n’est dit nulle part dans la Bible que guérir les malades est une évidence. L’évidence du croyant, ce sont les fruits de l’Esprit. Et les fruits de l’Esprit, ce n’est pas avoir des visions, ni guérir les malades, ni parler en langues, ni crier. Les fruits de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bonté, la douceur, la bienveillance, la patience. Amen. C’est cela le Sceau de Dieu. Amen.
    Ça peut avoir l’air un peu maladroit, mais nous allons parcourir l’Ancien Testament dans quelques instants. C’est juste. Nous allons faire ressortir cela dans le Nouveau Testament et nous allons voir que ce n’est pas juste. C’est la vérité. Frère, si vous repartez du bon pied, Dieu secouera cette nation avec un réveil. Mais vous devez revenir à Dieu, rejeter tout fardeau ainsi que le péché qui vous enveloppe si facilement, et courir avec persévérance dans la carrière qui vous est ouverte, ayant les regards tournés vers le Chef et le Consommateur, pas vers votre église… [Espace non enregistré sur la bande–N.D.É.]… À la venue… [Espace non enregistré sur la bande]

35    …le Sceau de Dieu. Dans Ézéchiel chapitre 9 (vous qui avez vos papiers, et qui prenez des notes), le prophète Ézéchiel fut enlevé dans une vision, bien des années avant, environ cinquante ou soixante ans, avant la venue… Ce n’est pas ce que je voulais dire; je voulais dire environ cinq cents ans avant la venue. Et alors, il fut enlevé dans une vision. Et il vit des choses qui n’étaient pas correctes: des hommes assis avec le dos tourné à l’autel, et ainsi de suite. Et Il l’a amené dans la ville jusqu’à la porte supérieure, et observez donc. Il a dit… Et Il lui a montré la ville ainsi que l’iniquité et tout ce qui se passait dans la ville de Jérusalem.
    Remarquez donc qu’Il a désigné une ville, un lieu. Et Il a dit que c’était dans la ville de Jérusalem que cela se passait. Et il vit alors six hommes venir avec des instruments de destruction à la main. Écoutez, quand un homme rejette la miséricorde, il ne reste qu’une seule chose, et c’est le jugement. Dieu est amour, Son désir est que personne ne périsse. Et s’il arrivait que vous périssiez, c’est par votre propre faute. Vous l’aurez fait sur base de votre libre arbitre; vous l’aurez fait volontairement. Ce n’est pas le désir de Dieu que vous le fassiez, mais vous le faites quand même. C’est au prix d’efforts que vous en arrivez là.

36    Remarquez donc ce qu’il a vu: six hommes venir, ayant des instruments de destruction, et l’Homme tout en blanc qui avait une écritoire à la ceinture S’est avancé depuis l’autel (verset 3).
    Et remarquez qu’avant que les hommes ne puissent parcourir la ville pour détruire, il a dit: «Va d’abord…» La miséricorde de Dieu avant que le jugement… Je suis sûr que c’est ce que l’Amérique est en train d’entendre maintenant, la miséricorde de Dieu est présentée aux gens avant que vienne le jugement. Il a donc vu à ce moment-là cet Homme portant une écritoire à la ceinture S’avancer. Il a dit: «Allez dans la ville et faites une marque sur le front de ces hommes de Jérusalem qui soupirent et gémissent à cause des abominations qui s’y commettent.»
    En d’autres termes, avant la grande destruction qui eut lieu en l’an 96 de notre ère, quand Titus assiégea les murailles de la ville de Jérusalem, le Saint-Esprit S’était d’abord avancé, l’Homme vêtu de blanc qui avait l’instrument pour marquer, la plume à la ceinture, pour marquer les hommes qui soupiraient et gémissaient à cause des abominations qui se commettaient dans la ville. Dieu annonçait cela pour qu’ils ne manquent pas de se préparer.

37    Je veux vous poser une question. Si ce même Ange qui est venu dans la ville, qui était le Saint-Esprit, vêtu de blanc, ce qui représente Sa pureté, si cet Ange venait dans cette ville ce soir et parcourait les églises pentecôtistes, où trouvera-t-Il des hommes qui soupirent, gémissent, et implorent toute la nuit dans la prière à cause des abominations qui sont commises dans la ville? Qui marquera-t-Il? Nous allons bientôt découvrir qui a le Saint-Esprit. Soupirer et gémir…
    Pourquoi devenons-nous si effrontés, si indifférents, nous faisons une toute petite prière peut-être à notre réveil: «Ô Dieu, bénis-moi, Marie, Marthe ainsi que tout le reste de la famille.» Les autres font de leur mieux. Et des hommes et des femmes commettent le péché dans la rue… Vous savez que c’est la vérité. On n’a plus de fardeau pour les perdus, on les laisse aller dans tous les sens, pourvu qu’on puisse faire un petit peu de prosélytisme pour permettre à notre cause d’émerger, arranger notre dénomination pour qu’elle soit la plus grande et pour qu’on ait le plus de gens dans l’église, alors on est satisfait. Frère, ça c’est de la bonne huile de ricin à l’ancienne mode, mais ça vous soigne. C’est juste. Amen. J’espère que vous saisissez cela.

38    «Juste pour que mon organisation, pour que je–je devienne l’ancien principal l’année prochaine, et peut-être que je serai un responsable de district ou quelque chose de ce genre.» C’est tout ce qui préoccupe le prédicateur de nos jours. Allons-y, prédicateur, nous allons leur en parler. C’est juste. Oh! la la! On se vante et tout le reste, alors que nous devrions être à genoux, soupirant à cause des péchés, des abominations et des actes honteux qui sont commis dans la ville. Nous semblons être si indifférents au sujet des perdus. Amen. Amen. C’est vrai. Vous savez que c’est la vérité. Indifférents au sujet des perdus… «Ce n’est qu’ainsi que notre église arrive à avoir la plus grande assemblée le dimanche.» Ils restent tous à la maison le dimanche pour regarder la télévision!
    Aujourd’hui, j’étais dans l’une des plus grandes églises de cette ville. L’un des membres a dit: «Nous avons ici trois mille personnes dimanche matin; dimanche soir, nous n’en avons même pas la moitié.» Ils viennent tous à l’église pour faire leur religion, puis ils rentrent chez eux, regardent la télévision, et vont faire un tour à la campagne. Eh bien, c’est une disgrâce. Cela montre que quelque chose manque dans le cœur. Amen.

39    Quand j’étais un ouvrier de ligne pour le compte de la société des travaux publics, un jour, je suis entré dans un appartement pour recouvrer la facture de l’électricité. Une pauvre jeune fille ayant sur elle assez de vêtements pour remplir une boîte d’aspirine, est venue à la porte, et elle dansait dans la pièce. Et un gars jouant sur un vieux petit violon passait à la radio. Et elle dansait dans la pièce. Elle me demanda ce que je voulais.
    Et j’ai répondu: «La facture de l’électricité.»
    Elle a dit: «Oh!» Elle a dit: «Je comptais l’amener.» Elle s’est donc remise à danser dans la pièce. Et ce gars s’est mis à jouer une espèce de vieille petite musique ridicule, du genre de ce sale boogie-woogie à cause duquel on ne peut même plus manger dans un restaurant. Ces cris perçants, impies… Oh! la la! Il n’est pas étonnant que le monde soit pollué. Toute leur pensée est absorbée par le sexe, la souillure ainsi que des choses impies; c’est même le cas pour les prédicateurs. Amen. C’est une honte.

40    Les gens prétendent avoir le Saint-Esprit mais ils jouent ces vieilles mélodies sales et corrompues ainsi que des choses de ce genre. Frère, c’est la buse qui est en vous qui se nourrit de cela; il vous faut le Saint-Esprit là dedans, qui Se nourrit de la Parole de Dieu. Amen. Je ne suis pas fâché contre vous, mais, frères, vous devez connaître la vérité. Amen. C’est pour cette raison que vous ne pouvez pas avoir des réunions de prière; vous n’en avez pas le temps. Une seule chose vous intéresse: améliorer un petit peu l’église, enseigner à votre peuple à porter des vêtements quelque peu meilleurs, à conduire une voiture quelque peu meilleure, à avoir un emploi quelque peu meilleur, à payer plus de dîmes. C’est cela. À vivre dans des maisons et ainsi de suite… Oh! C’est pitoyable!
    Et une centaine de milliers de païens meurent chaque jour sans connaître Jésus-Christ. On prélève toutes sortes d’offrandes pour toutes sortes de choses, alors que le pauvre missionnaire, qui meurt de faim, épuise sa vie dans le champ. En effet, ils ressusciteront au jour du jugement, vous condamneront et vous renverront. Leur témoignage les condamnera. Amen. Parlez alors du Sceau du Saint-Esprit! Amen.

41    Bien. Vous y êtes. Elle dansait dans la pièce et elle oublia même que j’étais là, elle était tellement perdue dans cette petite chanson, une sorte de petite chanson sale. Et elle dit alors: «Oh! Excusez-moi.» Elle dit: «J’aime tellement danser.»
    Et je dis: «Je vois que vous aimez danser.» J’ai donc assigné la facture et j’ai continué mon chemin. Quelques instants après, je descendais d’un poteau, et le petit groupe du docteur Brown, c’est une belle église là dans la ville… 
    Il a dit: «Hé! Billy!»
    Et j’ai dit: «Bonjour, docteur Brown, comment allez-vous ce matin?»
    Il a dit: «Très bien.» Il a dit: «Billy, comment allez-vous au Tabernacle?»
    J’ai dit: «Très bien.»
    Il a dit: «Vous avez toujours un bon monde?»
    J’ai dit: «Ouais! Oui, oui.»
    Il a dit: «J’entends dire que vous avez une assemblée qui tient très bon.»
    J’ai dit: «Oui, par la grâce de Dieu.»
    Il a dit: «Savez-vous ce que j’ai fait, Billy?» Il a dit: «Cette église-ci compte cinq mille membres.» Il a dit: «Certains sont en Californie, d’autres partout ailleurs.» Il a dit: «Les choses sont ainsi depuis cinquante ans.» Certains sont morts et tout, mais ils sont toujours membres de cette église. C’est à peu près jusque là que cela s’étend. Il a dit: «Tu sais quoi?» Il a dit: «J’ai envoyé un millier de cartes, et j’ai demandé aux gens s’ils promettaient de venir à la réunion de prière du mercredi soir pendant au moins six mois de l’année. Cela leur permettrait de manquer tous les autres services, et venir pendant six mois de l’année.» Et il a dit: «Savez-vous combien y ont répondu?»
    J’ai répondu: «Non, je ne sais pas.»
    Il a dit: «Cinq.»
    J’ai dit: «Vous savez quoi?» Je lui ai raconté cette histoire. J’ai dit: «Voyez-vous que… cette vieille petite demoiselle à peine vêtue dansait là dans la pièce, criant: ‘Tralala! Tralala!’ comme cela, tandis que ce gars …?… Clayton Mike Mitchel était en train de débiter cette sale histoire, ou que sais-je encore, dénuée de bon sens?» J’ai dit: «Vous pensez… Elle a quitté la radio et a envoyé un baiser à celui qui était à la radio et a dit: ‘Au revoir, chéri, je te reverrai ce soir là au vieux Briar Patch’, ou que sais-je.» J’ai dit: «Pensez-vous que monsieur Mike Mitchel lui ferait signer une carte pour qu’elle vienne là? Elle mettrait en gage ce qu’elle porte comme vêtements pour y aller. C’est juste, en effet, dans son cœur, elle ne pourrait vivre sans cela.» Et j’ai dit: «Amenez cette bande de membres tièdes d’église à l’autel et faites-les prier comme il faut, jusqu’à ce que le Saint-Esprit enflamme leurs âmes, il ne sera point question de signer des cartes.» Dieu est dans leurs cours, Die va à l’église. Il aime adorer. Amen.
    «Eh bien, dites-vous, ça c’étaient des méthodistes et des baptistes.» C’étaient aussi des pentecôtistes. Amen. C’est juste. Vous y êtes.

42    «Mettez un sceau sur ceux qui soupirent et gémissent à cause des abominations; n’approchez pas–n’approchez pas des autres. Ils sont très religieux, mais n’approchez pas d’eux; laissez-les tranquilles. Ils étaient indifférents et ne s’intéressaient pas à mon ouvre; maintenant, Je ne M’intéresse pas à eux,» Dieu leur a donné une opportunité, ils n’ont pas voulu y prêter oreille, «allez donc de l’avant.»
    Aussi, quand ce fut accompli, tous les anges sont donc rentrés et ont dit: «J’ai scellé tout celui qui soupirait, gémissait et était accablé à cause des péchés de la ville.»
    Il a dit: «Très bien, maintenant, vous les anges qui avez des instruments de destruction, allez, mettez tout à mort.» Et ce fut accompli.

43    Au temps où Jésus-Christ fut crucifié, fut envoyé, Il a dit: «Avez-vous… Si vous blasphémez contre Moi, il vous sera pardonné. Mais si vous blasphémez contre le Saint-Esprit, cela ne vous sera jamais pardonné.» En effet, les gens n’étaient pas encore scellés; l’ouvre de Dieu n’était pas encore achevée; le sacrifice n’était pas encore offert; Jésus n’avait pas encore été crucifié; le Saint-Esprit n’était pas venu. Mais le jour de la Pentecôte, quand il vint du ciel un bruit comme un vent impétueux, et que ces Juifs qui avaient soupiré et gémi à cause des abominations commises dans la ville… Ils étaient tous d’un même accord dans une chambre haute, ne disant pas: «Mon église est meilleure que la vôtre. Et je–je suis membre de celle qui est par ici, et notre église a le meilleur clocher.» Ils étaient tous au même endroit, coopérant dans ce réveil, et étant tous d’un même accord. En effet, ils avaient la promesse de quelque chose.
    Dieu a rassemblé Son peuple. Et il vint du ciel un bruit comme un vent impétueux qui remplit toute la maison où ils se trouvaient. Ils sont sortis dans les rues et n’ont alors pas parlé en langues; Dieu a fait de chacun d’eux un prédicateur. Quand ils sont sortis, ils prêchaient dans une langue où chaque homme comprenait ce qu’ils disaient. C’est juste. Et quand ils sont sortis là, prêchant dans chaque dialecte, Dieu a dû le faire. C’était le seul jour où Il pouvait le faire. Vous allez… «L’Évangile sera… se répandra, à commencer par Jérusalem. Restez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut.» Et de Jérusalem il est parti vers les Juifs, puis vers les Samaritains, et enfin vers les Gentils. C’était la seule manière dont Dieu a pu le faire. Ce n’était pas un tas de confusion, non, c’était très différent de Babylone. À Babylone, les gens ne pouvaient pas se comprendre. Mais ici, Il a redressé Babylone afin que les gens puissent se comprendre. À mon avis, c’est aujourd’hui le temps où Dieu devrait redresser–où les hommes devraient laisser Dieu redresser leurs cours pour qu’ils puissent se comprendre. Amen. Amen. Ô Dieu, sois miséricordieux.

44    Oh! Mes amis, je vous aime; mais regardez, nous devons retourner à la Parole. C’est vrai. Vous dites: «Frère Branham, vous ne croyez pas au parl-…?» Assurément, je crois au parler en langues. Mais vous devez le mettre à sa place. Je crois à la guérison divine, certainement, vous devez la mettre à sa place. Je crois au fait de crier, certainement, mettez cela à sa place. Chaque chose a sa place. C’est juste. Mais nous avons déplacé cela. Amen. C’est très fort. Mais cherchez et voyez une fois, voyez si ce n’est pas juste.

45    Remarquez, quand le Saint-Esprit est venu, Dieu a scellé ces gens dans le Royaume de Dieu. Et ces Juifs étaient là à rire d’eux, à se moquer d’eux, en disant: «Ces hommes sont ivres de vin doux.» Ils sont sortis de là gais, toute crainte les avait quittés, les cours enflammés, brûlant de l’amour de Dieu, ils sont sortis et ont prêché, ils ne pouvaient même plus parler leur langue, c’était Dieu qui parlait aux gens au travers d’eux, leur parlant de la résurrection de Jésus-Christ. Dieu Lui-même parlait le… En outre, ils ont parlé en langues selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. Le Saint-Esprit parlait dans la langue des peuples qui les écoutaient, leur prêchant l’Évangile.

46    Le jour de la Pentecôte – alors que les langues furent confondues à Babylone, à la Pentecôte, Il les a ramenés une seule communion. Amen. Ce que le Diable a fait à Babylone a brisé la fraternité; Dieu a rétabli la fraternité à la Pentecôte, le Saint-Esprit Lui-même parlait aux gens à travers les gens. Et les gens disent encore …?… Ils disaient: «Eh bien, qu’en savez-vous, nous les entendons dans notre propre langue, qu’en savez-vous?»
    Et certains d’entre eux disent: «Ha, ha, ha! Nous avons appris qu’aujourd’hui sur Pershing Square, c’est encore Babylone.» Ils ont dit: «Nous… Eh bien, ils sont tous ivres de vin doux.» Frère, prenez garde à ce que vous avez fait là. Dieu les a appelés, mais ils ont refusé et ont rejeté cela.

47    Paul est venu, prêchant; Pierre, Jacques, Jean, eux tous prêchaient l’Évangile: le baptême du Saint-Esprit, les ouvres de Dieu achevées, le Sceau du Dieu vivant. L’Ange avait déjà marqué chaque Juif qui voulait recevoir cela et qui soupirait. Regardez Paul, il a dit: «Je n’ai pas …?… reçu quoi que ce soit, mais jour et nuit je vous ai exhortés avec larmes et je vous ai prêché, ne cachant rien de ce qui vous était utile.»
    Considérez cela. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est davantage d’hommes qui sont à genoux, pas de ces confessions aux yeux secs, mais d’une véritable et bonne naissance du Saint-Esprit. Que pensez-vous que John Smith penserait ce soir s’il pouvait ressusciter et voir notre Église baptiste dans la condition où elle se trouve? John Smith a prié toute une nuit et a pleuré jusqu’à avoir les yeux tellement gonflés qu’ils étaient fermés le matin; et sa femme devait le conduire jusqu’à la table pour qu’il prenne son petit déjeuner. Il pleurait; je me demande où l’on peut voir ce soir un prédicateur baptiste qui fait cela?
    Qu’en est-il d’Alexander Campbell? Qu’en est-il de John Wesley, vous méthodistes? Maintenant, vous pentecôtistes, qu’en est-il de la rue Azusa? Qu’en est-il du commencement, quand vous êtes tous allés là-bas d’un même accord et au même endroit et que vous avez prié jusqu’à ce que Dieu vous place sous la puissance du Saint-Esprit? Vous ne pouviez même pas avoir un livre des cantiques; vous disiez que ce serait trop ennuyant. Aujourd’hui, que dirait la rue Azusa en vous voyant vous lever ici avec du maquillage, des parures, courant de lieu en lieu, faisant du prosélytisme; ce serait une honte pour ces saints. Amen. Je sais que c’est plutôt dur, mais, frère, c’est la vérité. Amen.

48    Or, ça, c’est lorsque les Juifs ont reçu le Saint-Esprit. Et ces gens ont eu l’opportunité d’entendre cela, d’entendre Dieu parler à travers des prédicateurs qui leur prêchaient l’Évangile sous l’inspiration, alors que ces derniers ne savaient même pas ce qu’ils disaient. Ils prêchaient l’Évangile à ces Juifs, mais ceux-ci L’ont rejeté. Dieu a prêché l’Évangile au fil des âges pendant environ… de l’an 33 à l’an 96 de notre ère; les Juifs continuent à Le rejeter. Dieu S’est tourné vers les Gentils, et alors la grâce de l’Ange–l’Ange de la grâce a quitté ces Juifs, et l’un d’eux est allé vers l’église des Gentils; Paul a dit: «Voici, nous nous tournons vers les Gentils, eux écouteront cela», et il est allé prêcher aux Gentils.
    Puis, quand l’heure cruciale a sonné, toute la grande confédération des églises s’est réunie et est entrée dans la ville, et Titus a assiégé la ville, et il les a gardés dedans pendant des années, pendant deux ou trois ans, jusqu’à ce qu’ils meurent de faim, fassent cuire leurs propres enfants et les mangent. Et ils les ont ensuite massacrés quand ils sont entrés, ils n’avaient donc pitié de personne, afin que s’accomplît ce qu’Ézéchiel avait dit. Ils tuèrent tout le monde, le sang coula; la ville fut incendiée; et il ne resta point pierre sur pierre, car Dieu avait envoyé l’ouvre achevée du Calvaire, mais les gens y avaient fait la sourde oreille, et le diable leur a percé l’oreille; et ils sont encore dans cette condition aujourd’hui. Amen.

49    Vous dites: «C’est… Eh bien, qu’en est-il des Gentils?» Allons maintenant dans Apocalypse chapitre 7, et nous verrons là où il a été prophétisé au sujet des Gentils pour ce jour. Suivez, Apocalypse chapitre 7, la prophétie qui a été donnée pour l’église de Gentils.
    Après cela, je vis quatre anges debout aux quatre coins de la terre; ils retenaient les quatre vents…
    Et je vis un autre ange, qui venait du côté du soleil levant, et qui tenait le sceau du Dieu vivant; … dit aux quatre anges… retenez le vent… jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu.
    Et j’entendis le nombre de ceux qui avaient été marqués du sceau, cent quarante-quatre mille,… toutes les tribus des fils d’Israël: 
    des tribus de… des tribus de Dan… douze mille… tribus d’Aser… douze mille… tribus… Zabulon… douze mille… (Les douze tribus d’Israël, et douze fois douze font cent quarante-quatre mille, de tous les fils d’Israël.)

50    Remarquez. Vous dites: «Frère Branham, qu’est-ce qu’il fait, ce Sceau?» Hier soir, quelqu’un… Bon, pour vous, frère, qui avez dit à la radio que ce Sceau ce sera un tatouage à la tête, que le Sceau de Dieu ce sera un tatouage à la tête. Pour commencer, qu’est-ce que le Sceau de Dieu? Le Sceau de Dieu, c’est le baptême du Saint-Esprit, ce n’est pas une marque à la tête, mais plutôt une marque au cœur. Amen. Ce n’est pas une certaine marque, l’apostasie elle-même vous scelle. Vos propres ouvres montrent ce que vous êtes. «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» S’ils renient Christ, s’ils rejettent Christ, ils sont scellés de l’apostasie par le diable. S’ils sont des chrétiens nés de nouveau qui craignent et aiment Dieu, ils sont scellés du Saint-Esprit pour une destination éternelle. Amen. Frère, j’aime vraiment cela; ceci est vraiment pour moi. Amen. Cela m’a soutenu toutes ces années, j’aime cela, ce soir; seulement, j’aurais aimé être deux fois plus grand que je le suis maintenant, ainsi j’en aurais reçu le double. Amen. Pour moi, c’est la vie…

51    Oh! regardez donc par ici. Et il a dit: «Alors, les anges se tenaient aux quatre coins de la terre, ils retenaient les quatre vents.» Que représentent les «vents» dans la Bible, vous interprètes de la Bible qui êtes ici? Les «vents» représentent «les guerres, les conflits et les troubles». Quand le monde entier était-il entré en guerre? Depuis lors, une seule fois, le monde entier entra en guerre une seule fois; et c’était la Première Guerre mondiale, quand toutes les nations se sont mises en marche ensemble. Et considérez ce qu’il a dit concernant la durée de cette guerre mondiale. Tous les anges se sont avancés, l’ange destructeur pour détruire le monde avec une guerre… Vous saisissez? Les anges de Dieu qui avaient des instruments de destruction, qui s’avançaient pour détruire le monde… Et qu’a dit le Saint-Esprit? «Retenez les quatre vents (retenez la guerre mondiale, cette destruction mondiale jusqu’à ce que), retenez cela jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Die.» Les Gentils n’ont jamais été des serviteurs; ce sont les Juifs qui sont des serviteurs. Et Jean les a tous reconnus: cent quarante-quatre mille Juifs.

52    Écoutez, Dieu va plus loin maintenant, en disant: «Retenez maintenant ces guerres; ne laissez pas une destruction totale, une annihilation totale survenir avant que nous ayons scellé cent quarante-quatre mille Juifs.» Alors, à ce moment-là… Oh, suivez ce qui est arrivé. Le monde entier entra en guerre; mais tout à coup, celle-ci s’arrêta. Et j’ai lu sur la fin de la Première Guerre mondiale. Personne ne connaît aujourd’hui les raisons de son arrêt; personne n’a donné des ordres pour l’arrêter. Mais elle s’est arrêtée le onze novembre (Est-ce juste?), le onzième mois de l’année, à la onzième heure du jour, à la onzième minute de la onzième heure. Pourquoi? Afin que les gens de la onzième heure puissent entrer. Il a dit: «Certains sont venus à la première heure et ont reçu un denier», et ainsi de suite. Et les gens de la onzième heure ont reçu aussi un denier comme ceux du commencement – les gens de la onzième heure.
    Et je veux que vous remarquiez qu’à ce moment-là, Jean a reconnu tous les Juifs; il connaissait leur rang militaire; il connaissait leurs noms selon les tribus. Jean, étant lui-même un Juif, il a dit: «Tous ceux-ci sont les fils d’Israël.» Après ceci, au verset 9: «Je regardais, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter.» Jamais, quand ils furent marqués.

53    Les Israélites, les Juifs sont prêts pour être scellés en ce moment même. Ils sont à Jérusalem en ce moment même. Ils attendent que quelqu’un vienne leur prouver que Jésus est le Christ. C’est juste. Vous ne pouvez pas leur enseigner une sorte de théologie sans émotion; les Juifs cherchent des miracles et il leur faut trouver un ministère qui opère des miracles, sinon ils n’y croiront pas.
    L’Église de Stockholm leur a envoyé un million de Bibles. Ils les ont ouvertes, se sont mis à lire et ont dit: «Si ce Jésus de Nazareth est le Messie, laissez-nous Le voir accomplir le signe d’un prophète, alors nous croirons en Lui.» Attendant l’heure… Et, frère, quand les Juifs recevront l’Évangile, le jour des Gentils sera terminé. Aussi sûr que je me tiens ici, Dieu retournera chez les Juifs.

54    Bon, remarquez ceci une minute, s’il vous plaît. Remarquez. Quand ces gens sont apparus, après ceci, à aucun moment précis…
    Après cela, je regardai… il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toutes les nations de toute tribu et de toute langue. Ils se tenaient devant l’agneau, revêtus de robes blanches… des palmes dans leurs mains.
    Et ils criaient d’une voix forte: Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l’agneau.
    Et tous les anges se tenaient autour… des vingt-quatre anciens et se prosternèrent pour adorer Dieu, en disant: …les louanges, la sagesse, la gloire, la force et la puissance, soient à notre Dieu, aux siècles des siècles! Amen!

55    Si ce n’est pas une réunion du Saint-Esprit à l’ancienne mode, je n’en ai jamais vu une de ma vie. C’est juste! Qui sont-ils, cette grande foule? Entre le temps du scellement des Juifs qui était vu à l’avance, Jean les voit… Mais entre-temps (le temps de leur scellement ne fut pas déterminé), il y a cinquante ans, le Saint-Esprit a commencé à tomber ici sur la rue Azusa, et S’est répandu dans le monde entier avec les anciennes bénédictions apostoliques à l’ancienne mode sur les gens. Et c’est de là que viennent ces saints en robes blanches, de ce grand réveil qui a balayé le pays il n’y a pas longtemps.
    Et maintenant nous sommes devenus tièdes et nous n’avons rien, et Dieu va Se tourner vers les Juifs, aussi sûr que je me tiens à cette estrade. Les gens ont rejeté le Saint-Esprit; ils En rient, s’En moquent. Et les gens vont de l’avant, prétendant L’avoir. Et l’église a suivi le modèle de l’église mondaine. Ils sortent, et ils étaient habitués à… ils s’habillaient différemment. De nos jours, c’est moi qui vous le dit, vous pouvez difficilement amener les gens à venir à l’autel. D’habitude, les gens venaient à l’église… «Eh bien, je n’ai pas… »

56    Il n’y a pas longtemps, là, une brave petite demoiselle voulait chanter pour moi dans une chorale. Et elle a dit qu’elle ne viendrait pas parce qu’elle ne pouvait pas se procurer ces produits cosmétiques à friser pour ses cheveux. Et elle devait chanter dans une chorale. Et quand j’ai appris cela, j’ai dit: «Tu ne pouvais donc pas chanter si tu le voulais.» C’est juste. Frère, je suis un prédicateur à l’ancienne mode qui croit ceci: un homme doit être éprouvé avant de venir derrière ma chaire. Vous prenez de ces gars qui jouent de leur guitare dans un cabaret le soir, qui viennent à l’autel le lendemain soir, et qui prêchent l’Évangile le surlendemain soir; c’est une disgrâce pour le Saint-Esprit. Amen.
    Jean a dit: «Produisez du fruit digne de la repentance.» Il nous faut davantage de prédicateurs baptistes comme Jean, qui se conformeront à l’Évangile, advienne que pourra. Amen. Nous avons introduit Hollywood dans l’église, et il faut l’en faire sortir par le baptême du Saint-Esprit. Vous savez que c’est la vérité. L’Église du Saint-Esprit s’habille, se comporte, eh bien, elle a atteint ce point où elle est devenue horrible. On appelle des prédicateurs à la chaire, ils–ils vont à l’autel pour prier… ils ne sauront pas le faire; ils font confectionner leurs vêtements tout à fait sur mesure et des plis sont faits sur leurs vestes, ils payent cent cinquante dollars pour un costume, ils ne peuvent même pas s’incliner. Amen. Vous savez que c’est la vérité.

57    Et vous les femmes qui êtes là-bas, vous avez du vernis sur les ongles, vous avez sur vous un manteau de cinq–cinquante dollars, et une robe de cent dollars; vous ne pouvez pas vous agenouiller. Vous ne voulez même pas avoir d’enfants, vous pratiquez le contrôle des naissances et vous vous promenez avec un petit chien au nez qui coule, l’appelant par un nom, lui vouant l’affection qu’on doit à un enfant. Ensuite vous vous dites l’église du Dieu vivant! Vous devez avoir honte de vous-mêmes et vous repentir! Amen! C’est la vérité! Ce qu’il nous faut ce soir, c’est que cette bande de gens qui imitent le Saint-Esprit, cette bande de gens qui imitent l’église de la Pentecôte, devraient venir ici dans l’allée de sciure et pleurer jusqu’à ce que Dieu descende et vous donne le Saint-Esprit. Alléluia! Amen!
    C’est ce dont nous avons besoin ce soir. Imitateurs de la Pentecôte bénie, l’autel est ouvert, l’allée de sciure est prête. Amen. Si vous voulez un réveil, commencez-le dans votre âme. Amen. La honte d’imiter, d’agir comme les autres églises, a suivi Babylone, cette sale petite complice, cette demie cousine avec qui vous courez çà et là. Amen. Dieu vous bénisse, les amis. Vous savez que c’est la vérité.

58    On m’a dit que je prêche pendant deux heures. Je l’ai encore fait ce soir. Permettez-moi de vous dire quelque chose, frère, c’est la vérité. Soit vous êtes marqué à l’intérieur, soit vous êtes marqué à l’extérieur. Et si vous avez un peu l’Esprit, ce soir, et que vous savez que vous avez tort, voici la vieille allée de sciure ainsi que le banc des pénitents, ici, pour que vous restiez ici et gémissiez et poussiez des plaintes à cause des douleurs de l’enfantement, jusqu’à ce que Dieu descende et vous remplisse du Saint-Esprit. Amen. Alléluia.
    Vous dites: «Vous êtes excité.» Vous dites: «Comment savez-vous ce qui s’est passé sur la rue Azusa? Vous n’avez pas cinquante ans, qu’avez-vous à parler de la rue Azusa?» Je sais que je ne connais pas beaucoup, mais je connais Quelqu’un qui connaît toutes choses, et Il est capable de nous le dire. Alléluia! C’est pour cette raison que je sais que l’Église pentecôtiste a besoin d’un réveil du Saint-Esprit, pas d’un tas de …?… ainsi que d’un tas de musique avec une bande de clowns maquillés. Vous devez sortir de votre «carapace du moi» et venir vous repentir à l’autel comme font les autres pécheurs. Amen. Alléluia! Gloire au Dieu vivant! Ô Dieu!

59    Je sais que vous pensez que je suis surexcité, mais je ne le suis pas. Combien voudraient avoir une telle expérience, levez la main? Tout le monde ici voudrait avoir une expérience. Cet autel est ouvert; vous êtes invités à venir ici vous agenouiller avec moi. Et vous prédicateurs, préparez-vous et débarrassez-vous des manières guindées. Venez ici et agenouillons-nous tout autour. Dieu vous bénisse, ayons un réveil. Alors que tout a été dit… Venez: «Que celui qui veut, vienne boire gratuitement aux fontaines d’eau du Seigneur.» Alléluia!
    Prédicateurs, montez ici et agenouillez-vous à cet autel comme les prédicateurs le devraient. Amen. Venez, vous qui cherchez. Je vous invite au Nom de Jésus-Christ et je défie votre foi. Si vous voulez voir un véritable réveil, venez le commencer dans votre propre âme. Amen et amen! Venez, oh! vous qui êtes sous l’oppression du péché, il y a miséricorde auprès du Seigneur. Et si vous croyez à Sa Parole, Il vous accordera certainement la grâce. C’est comme ça. Oubliez cette sale robe et ce sale pantalon. Vous devriez porter une robe en calicot, et moi le prédicateur je devrais être en salopette. C’est juste. Amen.

60    Frayez-vous un passage; engagez-vous sur l’allée. Amen. Oh! Alléluia! Gloire à Dieu à jamais! Mourez à vous-même! Alléluia! Venez, prédicateurs, agenouillez-vous ici. Alléluia! Venez, frères. «Que celui qui veut, vienne boire aux fontaines des courants d’eau.» Ne restez pas assis, levez-vous; restez juste là jusqu’à ce que Dieu envoie le réveil dans votre âme.
    Ô Dieu, sois miséricordieux, Père. Que le Saint-Esprit …?… d’auprès du Dieu du ciel. Descends, Seigneur Jésus, et bénis ces gens, et donne-leur le baptême du Saint-Esprit. Gloire à Dieu …?… et viens, Seigneur Dieu. Je rends louange pour cela au Nom de Jésus, afin que l’Esprit de Dieu descende. Ô Dieu, délivre …?… Et, oh! que la puissance de résurrection du Seigneur Jésus-Christ tombe parmi ces gens et que le Saint-Esprit S’empare de chaque cœur, Seigneur, et fasse descendre le feu parmi les gens afin que Jésus-Christ soit formé dans le cœur de chaque croyant.
    Oh! Toi le Fils de Dieu, l’Auteur de la vie, le Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur ces gens, Seigneur, et que la puissance de Dieu les fasse entrer. Alléluia! Alléluia! Accorde-le, Seigneur Jésus, ô Dieu …?… Ô Dieu, viens …?… nous prendre. Ô Dieu miséricordieux! Viens maintenant, Jésus, Seigneur, envoie cette bénédiction; envoie le Saint-Esprit, Seigneur Jésus, sur ces gens qui sont Ton peuple, Seigneur …?…
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Message  Arlitto Dim 06 Mar 2016, 20:10

UN TEMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN


1.         Merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. Je suis très heureux d'être ici ce soir et de savourer ce merveilleux message (toute la partie que j'ai suivie), de frère Thoms. Et je sais que c'est un serviteur du Seigneur Dieu, car il l'a prouvé depuis que je le connais. Et nous sommes donc très heureux de ce message, et j'espère que cela est allé droit au fond de chaque cœur.
            Et maintenant, frère Thoms est aussi un - un missionnaire auprès des natifs en Afrique. Et je pense qu'on prend des dispositions  pour lui donner une offrande de (du moins, c'est ce que j'ai demandé) pour sa mission là-bas auprès des natifs. Après avoir été là-bas moi-même, eh bien… Evidemment, sachant bien ce que cela signifie d'être missionnaire, je pense que le genre de - de mission qu'exerce frère Thoms, c'est vraiment le genre correct.
2.         Vous voyez, tout d'abord, le natif se méfie un peu de l'homme blanc au départ, quand ce dernier arrive. Mais frère Thoms a une idée que le Seigneur a donnée il y a des années. Une fois, je lisais un petit livre venant d'un champ missionnaire, sur lequel se trouvait l'image d'un vieil homme de couleur, ayant une petite couronne de cheveux blancs. Il disait : "Homme blanc, homme blanc, où était ton père? " Il disait : " Je suis vieux et je n'ai plus l'esprit vif; je suis en train d'apprendre Jésus. Si je L'avais connu, je L'aurais apporté à mon peuple." Cela m'a frappé. "Si je L'avais connu quand j'étais jeune, je L'aurais apporté à mon peuple." Eh bien, c'était juste. Vous voyez, premièrement, l'homme blanc ne peut même pas aller là où peuvent aller les natifs. Il ne peut pas mener le même genre de vie. Et je me suis dit : "Amenez les natifs au salut et laissez le natif faire lui-même l'œuvre missionnaire." C'est ce que fait frère Thoms.
3.         Et, à Johannesburg, le jour où nous avions eu trente mille convertis, cet après-midi-là, après avoir vu… J'aurais souhaité avoir le temps de vous raconter l'histoire. Quand cet homme fut guéri, qui marchait comme un chien et qu'on traînait par une chaîne… Et quand le Seigneur Jésus a commencé à révéler des choses dans l'auditoire, tout le monde… Le docteur F.F. Bosworth (beaucoup d'entre vous le connaissent) a estimé à vingt-cinq mille les cas de guérison qui se sont opérés en une fois. Vingt-cinq mille personnes furent guéries par une seule prière, quand elles ont vu cela. Et trente mille personnes furent sauvées à la fois. Et il… J'ai dit : "Eh bien, n'attendez pas qu'un missionnaire vienne de l'Amérique." J'ai tout le respect pour eux, mais le problème, mon ami, c'est qu'il n'y a plus de David Livingstone. Il faut que quelqu'un aille là-bas.
            Et ce qu'ils… pour ce qui est de la théologie, eh bien, ils croient à leurs idoles et tout, c'est tout - tout simplement un changement de conception. Mais quand ils voient Dieu agir dans Sa puissance, c'est ce qui change le natif. Et j'ai dit : "N'attendez pas que vous soyez instruits. Allez là-bas et dites à vos amis autochtones que Jésus est mort pour eux."
4.         Et j'ai un article du journal de Durban, qui rapporte qu'un homme qui ne savait même pas distinguer sa droite de sa gauche, baptisait jusqu'à mille personnes par semaine, des natifs, là dans la jungle, dans le - le champ missionnaire. C'est ça. Il - il ne savait même pas distinguer sa droite de sa gauche, mais il était sûr qu'il avait été guéri et que Jésus l'aimait, et il le disait à ses amis autochtones, en les amenant droit dans l'eau pour les baptiser, au fur et à mesure qu'ils venaient. C'est donc merveilleux.
            Quand donc vous soutenez ou assistez par cette offrande frère Thoms, pour ses missions chez les natifs là-bas, écoutez, je pense de tout mon cœur que c'est une chose louable, une très bonne chose. Que Dieu vous bénisse pour votre assistance en contribuant à cela. Frère Thoms ne m'a pas du tout demandé de dire ça. Je - je l'ai simplement dit, car ce - cela mérite tout ce que nous pouvons offrir pour soutenir cela.
            Et maintenant, je ne sais pas si… Frère Beeler, avez-vous déjà été présenté ici? Voici frère Beeler assis ici. Il fait des enregistrements, je pense. Et Estel Beeler est un vétéran de la - de cette dernière guerre, il a été blessé outre-mer, il a perdu une main. Et il est rentré au pays et a donné son cœur au Seigneur Jésus; c'est un homme très consacré, un évangéliste. Il est mon voisin, mon ami, mon copain; sa famille, son épouse, une très précieuse dame…
            Quand frère Beeler venait de naître de nouveau et de recevoir le Saint-Esprit… Si je me trompe là-dessus, Frère Beeler, eh bien, ce n'est pas intentionnellement. Je pense être dans le bon. Votre épouse n'était-elle pas membre d'une certaine église qui ne croyait pas à cela? Frère Beeler l'a donc simplement laissée tranquille, il a continué tout simplement, et il ne cessait de prier pour elle. Et une nuit, pendant la nuit (elle ne pouvait tenir jusqu'au matin), elle a dû le réveiller et là, elle s'est mise en ordre avec Dieu.
5.         Vous savez quoi? C'est une bonne chose. Soyez simplement salé; Dieu produira la soif. Si vous…?… Soyez tout simplement salé. Frère Beeler, voudriez-vous vous lever juste un instant? Frère Beeler est un ami intime, c'est un évangéliste, un très précieux frère, frère Estel Beeler. Et je pense que son épouse et les enfants sont ici quelque part, sur le terrain, un très brave ami. Et d'habitude, je dois prêcher quand je reviens; je n'ai pas la moindre possibilité. Que Dieu vous bénisse, Frère Beeler.
            Maintenant, passons à quelqu'un d'autre. Voici un ami à moi, frère Leo Mercier. Il est là au nord dans le Michigan. Et je pense qu'il - il vient du Wisconsin, là-haut, évidemment, on peut vous pardonner cela, vous savez, d'être du Michigan. Et c'est un très brave garçon, lui et Gene Goad, un autre ami, un ami intime ; je les appelle mes étudiants. Ce sont de jeunes missionnaires. Ils étudient pour devenir missionnaires. Ils viennent aux réunions et ils enregistrent des bandes et ainsi de suite. Jeunes gens, tenez-vous debout juste une minute; deux braves frères chrétiens. Celui-ci, c'est monsieur Mercier, et celui-ci, c'est monsieur Goad. Et ces amis que voici viennent et font - font des enregistrements des réunions. Et ils vendent leurs bandes à un prix suffisamment bas pour que les gens ne… Si quelqu'un désire un enregistrement, pour découvrir ce qui est arrivé, qu'ils voient ces hommes. Ils en ont ici. Et si vous avez un enregistreur…
6.         Frère Wood - je ne le vois nulle part. Oui, il est assis par ici. Eh bien, frère Wood est un ami très intime. Comment j'ai connu frère Wood ? Il était à la réunion de Houston quand cette photo a été prise, quand l'Ange du Seigneur est venu. Et il est un entrepreneur. Et il était un peu à court d'argent, alors un homme avait une grange à arranger; il a donc couru lui arranger la grange, il a eu assez d'argent pour se rendre à Houston. Et son problème, il avait un fils estropié, la jambe de ce dernier était recroquevillé sous lui. Et il est… Je ne le connaissais pas. Et il était simplement assis dans une foule bien - bien plus grande que celle-ci. Nous avons donc continué vers l'est, et frère Wood nous a suivis tout simplement. Et un soir pendant que sa fidèle épouse laquelle est avec nous ce soir (le vendeur de livres) et le garçon étaient assis là dans l'auditoire, en train de prier… le Saint-Esprit s'est retourné et a dit à la femme tout ce qui la concernait, il lui a dit qu'elle avait un fils assis là qui était estropié. Et il a dit : "AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri."
7.         Le garçon est quelque part sur le terrain ce soir, il est tout aussi agile, il n'est pas plus estropié que celui qui marche le mieux sur le terrain, il n'y a nulle part une trace de cela. Dieu l'a guéri et l'a rétabli. Frère Wood juste pour laisser tomber son affaire d'entreprenariat, il m'accompagne pour bricoler, vendre des livres et m'aider. Et, en plus de cela, il a emménagé dans l'Indiana et a acheté une maison juste à côté de moi, et nous sommes de vrais copains. Frère Wood, voudriez-vous vous lever juste une minute? Frère Wood… Je ne sais pas où se trouve sa femme. Elle est peut-être quelque part dehors au stand de livres.
            Et le garçon est quelque part ici. David, où es-tu? Voudrais-tu te lever juste une minute, fiston? Un garçon qui était estropié et sa jambe était recroquevillée sous lui… Je me demande s'il est quelque part sur le terrain, maintenant? Il est peut-être en train de courir ça et là. Lui et Billy sont de vrais copains. Je ne le vois pas pour le moment. Mais nous le ferons venir, et peut-être  monter sur l'estrade. Il est timide, c'est juste un jeune garçon de campagne, comme moi-même, et il - il est un peu hésitant. De toute façon, il est donc ici quelque part. Sa jambe était recroquevillée sous lui, mais le Seigneur l'a guéri instantanément. Nous en sommes donc reconnaissants. N'est-il pas bon envers nous? Il est digne de toute louange et tout.
            Maintenant, frère Arganbrigth, je ne l'ai pas vu du tout. Je ne sais pas s'il est déjà venu ou pas. Et frère Jack Moore, je ne sais pas… s'ils sont dans la foule, j'espère qu'ils vont se lever, car je - je les cherche depuis un certain temps. Ils sont tous censés être ici, depuis deux ou trois jours, et nous espérons donc les voir à tout moment.
8.         Maintenant, pour demain soir, comment appréciez-vous l'idée d'avoir une soirée juste pour se détendre, et laisser nos frères ministres nous aider à prier pour les malades? Tout le monde apprécierait-il cela? Et juste vous laisser voir que le Seigneur Dieu répond aussi à la prière des frères qui sont dans le ministère. Et nous… Il n'y a pas que les évangélistes qui viennent prier pour les malades ; Dieu exhausse la prière de toute personne qui prie avec sincérité. J'aime toujours avoir une soirée où les prédicateurs sont présentés. Après tout, quand l'évangéliste quitte la ville, s'il avait gardé l'assemblée autour de lui-même, eh bien, qu'est-ce que le pauvre pasteur aura donc après le départ de ce dernier? Si cela… Les gens se disent : "Eh bien, le pasteur n'est que…" Rappelez-vous, il est tout autant un homme de Dieu que tout évangéliste ou qui que ce soit d'autre qui est dans le champ missionnaire. Il est réellement un vrai homme de Dieu. Et nous aimons les voir être présentés ici, pour vous faire voir que Dieu exhausse leur prière.
            Je réfléchissais simplement, en rentrant chez moi hier soir, ou plutôt je… Hier soir, ils m'ont laissé continuer un peu longtemps, et frère Wood et Billy s'excusaient tard la nuit, presque à minuit, pour cela, que je sois resté un peu longtemps. C'est quelque chose que je ne saurai pas expliquer, mes amis; j'aurais souhaité pouvoir le faire. Ça ne sert d'ailleurs à rien d'essayer de le faire. Mais c'est juste comme si on est tout en haut, à des millions de kilomètres dans l'espace, puis vous retombez tout d'un coût sur la terre, c'est - c'est affreux comme sentiment. Mais qu'est-ce que cela signifie? Il y a un domaine plus élevé où nous pouvons monter. Un jour nous irons plus haut.
9.         Et les gens parlaient de telle ou telle chose concernant… Eh bien, les réunions, la seule manière pour moi d'en savoir quelque chose, il faut que quelqu'un m'en parle, ou que je prenne l'une de ces bandes. Je prends aussi ces bandes. Et elles servent de référence pour chaque réunion. Alors je réécoute la bande, et j'écoute comment le service se déroulait. Mais pour moi, c'est un rêve. Et puis, il y a quelque chose au sujet d'un homme de couleur, ou une certaine chose, qui était couché sur une civière ou un brancard ou quelque chose comme ça, et qui a marché.
            Cela m'a simplement rappelé… il y a quelque temps, à Dallas, j'étais allé à Dallas pour des réunions… Maintenant, juste un petit mot avant que nous ne formions la ligne. J'ai été à Dallas pour une série de réunions. Et, eh bien, sur le chemin du retour, l'avion a été pris dans une tempête, et on a dû atterrir à Memphis, dans le Tennessee. Et on m'a amené dans ce célèbre et grand hôtel, là-bas, pour moi c'était une bonne chose que la compagnie aérienne ait fait cela, parce que je ne pouvais pas rester dans cet hôtel-là. C'était (j'oublie) l'hôtel Peabody. Et ils m'ont donc dit qu'ils m'appelleraient le lendemain matin ; on m'a donné une chambre pour passer la nuit. Et ils allaient m'appeler le lendemain matin pour continuer le voyage, le temps de contrôler l'avion. J'ai donc dit : "C'est bien." Et je suis monté et je me suis couché, après avoir prié un moment et écrit quelques lettres.
10.       Et le lendemain matin, je me suis levé tôt, bien avant le lever du soleil. Et on - on m'a dit que l'avion allait quitter à… la limousine passerait nous prendre à huit heures. Il était environ six heures et demie. Je me suis dit : "Oh! la la, j'ai beaucoup de temps, je vais descendre discrètement poster ce courrier que j'ai ici et l'expédier. Et ensuite, je descendrais prendre la limousine, et partir prendre l'avion pour rentrer chez moi."
            Et ce matin-là, je suis sorti. J'ai prié pendant un bon moment, je me suis levé tôt après la réunion, j'étais un peu nerveux et tremblant, tout tendu, vous savez, à cause des visions, et ainsi de suite… juste pour vous montrer la grâce souveraine de Dieu. Alors, pendant que je descendais la rue, je descendais la rue en chantant un de ces vieux cantiques que vous les pentecôtistes chantez. Oh ! c'est comment encore le titre de…? "Je suis heureux de dire que je suis l'un d'entr'eux." Je crois que c'est ça. Oui. "Tous ceux qui étaient dans la chambre haute furent remplis du Saint-Esprit et - et ce qu'Il a fait pour eux ce jour-là, Il le fera pour toi." Connaissez-vous ce cantique? C'est un… Eh bien, c'est le cantique que j'essayais de me rappeler. Je descendais la rue et chantais tout seul, vous savez. "Ils étaient rassemblés dans la chambre haute et ils étaient tous d'un même accord et ils priaient. Et Jésus est venu avec la puissance", quelque chose comme ça. Et j'essayais d'arranger tout cela.
            Et je me suis mis à traverser la rue, et comme j'allais traverser la rue, le Saint-Esprit a dit : "Arrête-toi une minute."
11.       Je me suis dit : "Eh bien, qu'est-ce?" J'ai donc continué, je me suis mis de nouveau à traverser la rue, et quelque chose m'a empêché de m'arrêter, ou plutôt de traverser. Je me suis tourné d'un côté, là, à un vieux petit endroit où il y a un tas de - de… oh! comme un poteau, comme ceci, et j'ai prié. J'ai pensé : "Seigneur, que veux-Tu que je fasse?"
            Il a dit : "Tourne-toi et fais demi-tour et continue à marcher." Eh bien, c'était tout aussi clair, pas juste dans la pensée, j'ai entendu cela. Et voilà, Il était là, cette Lumière était là, tourbillonnant.
J'ai donc fait demi-tour et je suis reparti. J'ai dépassé l'hôtel, j'ai marché, marché et marché sans arrêt. J'ai jeté un coup d'œil à ma montre, il était à peu près huit heures moins dix. J'ai simplement continué à marcher. Il a dit : "Marche", c'est donc tout ce que je pouvais faire, continuer à marcher.
12.       Je suis descendu tout en bas à la rivière, là où vivent plutôt beaucoup de gens pauvres, là en bas. Et j'ai continué à marcher, à aller un peu de plus en plus loin. Je me suis dit : "Oh! la la!" Je suis arrivé dans le quartier des gens de couleur, j'ai continué à descendre comme cela, tout en bas dans les parties les plus basses, quelque part, continuant à marcher.
            Au bout d'un moment, je fredonnais un peu un petit cantique, pour mon… "Crois seulement, tout est possible, crois seulement." J'ai vu là une vieille petite maison d'une personne de couleur, là, un peu blanchie à la chaux, qui avait là un portail. Et là se trouvait une vieille grosse femme typique, ayant une - ayant une - une chemise d'homme nouée autour de la tête, et elle était appuyée contre le portail comme ceci, oh ! peut-être à une distance comme d'ici jusqu'à ce poteau- là. Je fredonnais plutôt, et lorsque je l'ai vue me regarder, j'ai simplement arrêté de fredonner et je me suis mis à passer. Elle avait de très grosses joues, vous savez, et elle a essuyé les larmes de ses yeux. Elle a dit : "Bonjour, parson [parson, terme du Sud des USA désignant pasteur - N.D.E.]."
            Eh bien, je l'ai regardée, et j'ai dit : "Oui, madame?"
            Elle a dit : "J'ai dit : 'Bonjour, pasteur.'" Eh bien, là dans le Tennessee, un prédicateur est appelé parson. Je ne sais pas si c'est le cas avec vous, les gens de couleur d'ici. Mais elle a dit : "Bonjour, pasteur."
13.       Et je me suis arrêté. J'ai dit : "Comment avez-vous su que j'étais un pasteur?" Vous voyez? Je me suis dit : "N'est-ce pas étrange?" Quelque chose se mit à se mouvoir. Peut-être que c'est pour ça que le Seigneur voulait que je descende. J'ai donc dit : "Comment - comment avez-vous su que j'étais un pasteur?"
            Elle a dit : "Eh bien, pasteur, a-t-elle dit, quand je vous ai vu venir, a-t-elle dit, j'ai su que vous étiez un pasteur." Et elle a dit : "Avez-vous déjà lu dans la Bible cette histoire, pasteur, de la Sunamite qui ne pouvait avoir d'enfants, et Elie le prophète est allé et il l'a bénie, et elle a eu un enfant?" J'ai dit : "Oui, madame."
14.       Elle a dit : "Eh bien, j'étais ce genre de femme là." Et elle a dit : "J'avais prié le Seigneur, a-t-elle dit, et j'avais dit au Seigneur que s'Il me donnait un enfant, je l'élèverai de telle manière qu'il L'aime et L'honore." Elle a dit : "Je suis une lavandière, a-t-elle dit, je - je fais la lessive pour vivre." Elle a alors dit : "Vous savez, quand mon bébé est devenu un homme, a-t-elle dit, c'est un grand garçon, a-t-elle dit, il a eu de mauvaises fréquentations, pasteur." Et elle a dit : "Il a attrapé une horrible maladie, a-t-elle dit, je ne le savais pas." Et elle a dit : "Il a atteint un stade si avancé que le médecin dit qu'il ne peut plus vivre." Et elle a dit : "Il est là dans la maison, et il est mourant depuis hier." Et elle a dit : "Il ne sait pas où il se trouve, et il ne fait que gémir." Elle a dit : "Je ne puis supporter de voir mon bébé mourir." Bébé? Un bébé d'environ 180 livres [80 kg - N.D.T.]… Et elle a dit : "Je ne peux pas voir mon bébé mourir."
            Et, souvenez-vous, pour elle, pour une mère, c'était un bébé. C'est juste. Peu importe ce qu'il est ou ce qu'il fait, c'est toujours votre bébé, si vous êtes une vraie mère.
15.       Et alors, elle a dit : "Je ne pouvais tout simplement pas supporter de voir mon bébé mourir dans cet état-là, sachant que j'avais promis au Seigneur de l'élever pour qu'il Le serve." Et elle a dit : "J'ai prié toute la nuit, cette nuit." Et elle a dit : "J'ai dit : 'Ô Seigneur, que puis-je faire maintenant?'" Et alors elle a dit : "Ensuite, je me suis endormie, et j'ai eu un songe." Et elle a dit : "J'ai vu un homme venir, il était vêtu d'un complet brun clair, il portait un chapeau brun clair." Et elle a dit : "Le Seigneur a dit : 'Voici Mon pasteur.'" Et elle a dit : "Il était presque trois heures du matin quand je me suis réveillée." Alors elle a dit : "Depuis lors je me tiens ici, vous attendant."
            Je pense que j'ai peut-être fait une transposition de ceci. [Frère Branham fait allusion aux bruits aigus qu'a fait entendre le système de sonorisation. - N.D.E]
            Et elle a dit : "C'est depuis trois heures que je me tiens ici, vous attendant."
            Eh bien, quand je suis arrivé là, cette pauvre créature était encore mouillée au dos, pour être restée là dehors.
16.       Et elle a dit : "J'attends de vous voir ici depuis trois heures." Elle a dit : "Quand je vous ai vu descendre la rue, voyant que vous étiez le même homme que j'ai vu en songe, j'ai compris que vous étiez le pasteur en question." Et elle a dit : "Ne voulez-vous pas entrer?"
            Et quand elle a ouvert le portail, la petite chaîne qui y était suspendue, je suis entré ce matin-là dans cette petite maison des gens de couleur, il n'y avait pas de tapis sur le sol, juste un vieux petit lit en fer pour appentis. Mais, je vous assure, si jamais je suis entré dans la Présence de Dieu, c'était là. Il n'y avait pas des photos de femmes nues sur le mur. Il y avait, suspendu au-dessus de la porte, un petit tableau qui disait : "Que Dieu bénisse notre maison", c'était propre.
            Et j'ai regardé tout autour, il y avait, couché sur le petit lit en fer, un homme très grand, costaud. Et il tenait le - le - l'édredon à la main, comme ceci, ou plutôt la couverture, il faisait : "Hum, hum, hum."
            J'ai dit : "Qu'est-ce que le…" J'ai dit : "Bonjour, jeune homme."
17.       Elle a dit : "Pasteur, il est inconscient." Elle a dit : "Ça fait deux jours qu'il est inconscient." Elle a dit : "Il ne parle que d'une chose, il dit qu'il est dans une grande mer profonde, et qu'il fait tout noir et qu'il est perdu." Et elle s'est mise à pleurer. Et elle a dit : "Si seulement je pouvais l'entendre dire qu'il est sauvé, a-t-elle dit, je serais disposée à le laisser partir."
            Et ainsi, j'ai dit : "Eh bien, les médecins ont-ils fait…"
            Elle a dit : "Ils ne peuvent rien faire pour lui, pasteur. Il est à un stade trop avancé." Il s'agissait de la syphilis. Et elle a dit : "C'est à un stade trop avancé. Cela a déjà rongé son cœur, cela y a fait des trous." Et elle a dit : "Rien ne peut être fait pour lui."
            J'ai dit : "Tante, connaissez-vous mon nom?"
            Et elle a dit : "Non, monsieur. Je ne vous ai jamais vu auparavant, jusqu'au moment où j'ai eu ce songe à votre sujet."
            Et j'ai dit : "Je m'appelle Branham." J'ai dit : "Je prie pour les malades. Avez-vous déjà entendu parler de moi?"
            Elle a dit : "Non, monsieur, jamais."
            Et j'ai dit : "Voulez-vous prier avec moi?"
            Elle a dit : "Oui, monsieur."
18.       Et lorsque nous nous sommes agenouillés là ce matin-là, dans cette vieille et humble petite maison… J'ai été dans les palais de quatre rois pour prier pour eux. Le roi George d'Angleterre, le roi Gustave et d'autres. J'ai été dans certaines des plus belles maisons du pays, mais jamais je n'ai été mieux accueilli que dans cette petite cabane ce matin là, quand elle m'a accueilli.
            Je me suis agenouillé sur le plancher; je l'ai regardée. J'ai dit : "Tante, voudriez-vous bien conduire la prière?"
            Elle a dit : "D'accord, pasteur."
            Cela vous ferait dresser les cheveux de la nuque d'entendre la prière de cette vieille sainte, avec ses énormes joues noires, sur lesquelles coulaient des  larmes, comment elle suppliait Dieu. "Ô Dieu, ne laisse pas mourir mon bébé. Laisse-moi l'entendre dire une fois qu'il est sauvé. Seigneur, je - je… Sa maman sera satisfaite."
            Je me suis dit : "Ô Dieu, bénis son pauvre cœur."
            Elle s'est relevée et s'est mise à essuyer ses yeux. J'ai touché les pieds du garçon, ils étaient froids et moites. Et il ne cessait de faire : "Hum, hum!" Il disait : "Oh ! il fait si noir. Hum, hum!"
19.       Et je me suis donc agenouillé, j'ai posé mes mains sur les pieds du garçon. Et j'ai dit : "Maintenant je vais prier, tantine." Et j'ai dit : "Père céleste, maintenant il est neuf heures passées; l'avion est déjà parti." J'ai dit : "Et je ne sais pas, Tu m'as dit de venir ici, et tout ce que je pouvais faire, c'était marcher. Si c'est ici l'endroit où Tu m'as envoyé, je Te prie d'écouter cette prière et de l'exhausser à cause de cette pauvre femme."
            Et vous savez quoi? Le garçon a commencé à faire : "Oh!" Il a dit : "Maman, oh ! maman." Il a dit : "Il commence à faire clair dans la pièce." Et environ cinq minutes après, il était assis sur le lit et nous parlait.
            Et je me suis empressé de sortir, j'ai appelé un taxi, et je suis retourné à l'hôtel. Et vous savez quoi? J'ai couru à l'aéroport, en toute hâte, après avoir pris mon… Et l'avion procédait au premier appel. Dieu, à cause de cette pauvre femme de couleur sans instruction, a fait atterrir cet avion, Il l'a laissé et  retenu là jusqu'à ce que sa prière soit exhaussée. Je vous assure, Dieu dans Sa grâce souveraine, Il est Dieu. Oh! la la! Des milliers de choses comme celles-là peuvent être évoquées ce soir. A cause de cette pauvre et ignorante femme de couleur, Il a arrêté et immobilisé un avion par une tempête et l'a retenu là.
20.       Environ six mois après, je retournais à Phœnix, dans l'Arizona, et j'étais dans un train. Je suis arrivé à Memphis. Vous tous qui venez de Memphis, vous savez comment arrive le train qui va vers l'ouest. Je suis descendu et j'ai commencé à marcher dans cette direction pour me procurer quelque chose à manger. C'était trop cher pour moi de manger dans un train; je suis donc allé là pour me procurer un hamburger, au stand. Et quand je suis descendu, j'ai entendu un…?… un porteur a accouru, et a dit : "Salut, pasteur Branham."
            Et j'ai dit : "Bonjour."
            Il a dit : "Vous ne me reconnaissez pas, n'est-ce pas?"
            J'ai dit : "Non, je ne pense pas."
Il a dit : "Vous souvenez-vous de ce matin-là où vous êtes venu, conduit par le Seigneur, et où vous avez prié pour un jeune homme qui était mourant?"
            J'ai dit : "Ce n'est pas toi!"
21.       Il a dit : "Si, a-t-il dit, vous savez, je ne suis plus malade." Et il a dit : "A présent, je suis un chrétien, pasteur Branham." Amen. Oh! la la! "A présent, je suis un chrétien."
            Grâce étonnante! Quel doux son,
            Qui sauva un malheureux comme moi,
            Autrefois perdu, maintenant je suis retrouvé,
            Hier aveugle, maintenant je vois.
            Cette grâce a enseigné à mon cœur la crainte,
            Et elle a dissipé mes craintes,
            Combien précieuse paraissait cette grâce,
            Quand je venais de croire.
            Amen! Prions.
22.       Père céleste, je pense à ce que ça sera un jour, après que nous aurons franchi les portails de la vie, là de l'autre côté, pour voir les enfants de Japhet, de Cham, de Sem, tous rassemblés autour du Trône. Alléluia! Alors de nous tenir dans Ta Présence, parcourir les rues du paradis, et rencontrer ces précieuses personnes que nous aurons eu le privilège de connaître ici sur terre, et comment nous en raconterons l'histoire. Oh! quel moment!
            La moisson est mûre, Seigneur, il se fait tard; le soleil se couche; le temps s'écoule. Nous devons maintenant prêcher l'Evangile, prier pour les malades, appeler les gens à l'autel du Seigneur, ouvrir grand l'autel et laisser les pécheurs y accourir pour être sauvés. En effet, maintenant nous n'avons   pas beaucoup de temps pour travailler. Il se fait tard.
            Maintenant, Père céleste, nous Te remercions ce soir pour la bénédiction qui nous a été apportée au travers du message de notre frère. Et nous Te prions de le faire pénétrer profondément dans chaque cœur.
23.       Et maintenant, alors que nous formons la ligne de prière, je Te demande, Père céleste, dans Ta miséricorde et dans Ta grâce, de faire ce soir quelque chose d'infiniment grand. Et accorde-nous un grand déversement de Tes bénédictions. Que tous ceux qui ne croient pas deviennent des croyants ce soir. Que les rétrogrades soient sauvés, que ceux qui n'ont pas le Saint-Esprit naissent de nouveau de l'Esprit de Dieu, et que chaque malade soit guéri. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
            Oh ! combien Il est merveilleux. Il n'est pas étonnant que ce soient des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, qui ne sont point montées au cœur de l'homme, des choses que Dieu a en réserve pour ceux qui L'aiment. Et maintenant, je - je me dis tout simplement qu'encore trois soirées et je vais devoir quitter ce gentil groupe de gens, après cette soirée.
            Je viens de recevoir un appel, il y a quelques instants, de très loin à Sydney, en Australie, pour que je me rende là-bas dans l'immédiat. Je… [Frère Branham se racle la gorge. - N.D.E.] Mais, vous savez, je souhaite revenir un jour ou l'autre et rester un mois pour un réveil, continuer simplement, prêcher et aller de l'avant.
24.       Maintenant, il y a un lot de cartes de prière. Je crois… Où est Billy? Quel était le… où est… Oh! ici, R? Très bien, ce soir nous avons distribué la série de cartes de prière R. Regardez sur votre petite carte; c'est juste une petite histoire.
            Au fait, je n'ai pas prié pour ces mouchoirs hier soir, et je voudrais le faire ce soir. Ensuite, je vais vous expliquer, peut-être demain soir, quand nous  aurons plus de temps, juste ce qu'il faut faire de ces mouchoirs, comment les envoyer quelque part et comment les avoir.
            Eh bien, c'est une petite carte, quelque chose comme ceci. Et au dos, il y a un R. Et puis, ce sera de 1 à 100. Maintenant, nous ne pouvons pas les faire venir tous ici à l'estrade; j'aurais souhaité pouvoir le faire. Dieu le sait. Mais je ne le peux pas.
            Et quand quelqu'un monte ici, ça ne signifie pas qu'il va être guéri. C'est juste ce… Ce n'est donc pas un spectacle. Ce n'est pas une mise en scène. C'est une réunion religieuse, vous voyez, le Saint-Esprit… Mais c'est une confirmation de la Présence du Dieu omnipotent et omniscient, qui est présent, faisant la même chose qu'Il faisait.
            Y a-t-il ici des nouveaux venus, pour la première fois? Voyons. Oh! la la! regardez. C'est ce que… Vous voyez, chaque soir on devrait expliquer comment le Seigneur Jésus…
25.       Laissez-moi lire juste une Ecriture avant que nous ne formions donc ceci, juste un instant. En voici une, juste ici, j'ai ouvert directement à l'endroit. Saint Jean chapitre 5, commençons au verset 33 :
Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité.
Pour moi, ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés.
Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu marcher une heure à sa lumière.
Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean, car les œuvres que le Père m'a donné de faire, d'accomplir, ces œuvres même que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé.
Et le Père qui m'a envoyé a porté lui-même ma lumière.
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