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Archéologie

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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:56

Archéologie en Assyrie

Assyrie 

En 1843, on a découvert le palais du roi assyrien Sargon II près de Khorsabad, sur un affluent du Tigre au N. La mise au jour de ce palais, bâti sur une plateforme de près de 10 ha, et les travaux archéologiques qui ont eu lieu ensuite ont sorti ce roi cité en Isaïe 20:1 des ténèbres de l'histoire profane pour l'élever à la notoriété historique. Dans une de ses annales, Sargon II revendique la prise de Samarie (740 av. n. è.). Il rapporte aussi la prise d'Ashdod qui est rapportée en Isaïe 20:1. Alors que d'éminents biblistes le considéraient autrefois comme un personnage imaginaire, Sargon II est aujourd'hui un des rois d'Assyrie les mieux connus. 

Sur le site de Ninive, la capitale assyrienne, des fouilles ont mis au jour l'immense palais de Sennakérib, qui comptait environ 70 pièces dont les murs étaient décorés par plus de 3 000 m de dalles sculptées. L'une d'elles représente des prisonniers judéens emmenés en captivité après la chute de Lakish en 732 av. n. è. [2R 18:13-17 ; 2Ch 32:9] On a fait à Ninive une autre découverte d'un plus grand intérêt encore, celle des annales de Sennakérib écrites sur des prismes (des cylindres d'argile). Sur certains d'entre eux, Sennakérib raconte sa campagne en Palestine sous le règne de Hizqiya (732). Fait remarquable, l'orgueilleux monarque ne prétend pas s'être emparé de Jérusalem, ce qui confirme le récit biblique. Le meurtre de Sennakérib par ses fils est rapporté dans une inscription d'Ésar-Haddôn, son successeur. Il en est également question dans une inscription du roi suivant (2R 19:37). Outre la mention du roi Hizqiya par Sennakérib, les registres cunéiformes de divers empereurs assyriens contiennent les noms d'Ahaz et de Manassé, rois de Juda, ceux d'Omri, de Yéhou, de Yehoash, de Menahem et d'Hoshéa, rois d'Israël, ainsi que celui de Hazaël, roi de Damas.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:56

Archéologie Le site de Mari

Le site de Mari 

Mari et Nouzi. Le site de l'antique cité royale de Mari (Tell Hariri), située près de l'Euphrate, à environ 11 km au N.-N.-O. d'Abou Kemal, dans le S.-E. de la Syrie, a fait l'objet de fouilles à partir de 1933. On y a découvert un palais immense qui couvrait environ 6 ha, qui comprenait 300 pièces et dont les archives ont livré plus de 20 000 tablettes d'argile. Le palais englobait non seulement les appartements royaux, mais encore des bureaux administratifs et une école de scribes. Nombre des murs étaient ornés de grandes peintures ou fresques, les salles de bain étaient équipées de baignoires et on a trouvé des moules à gâteaux dans les cuisines. Cette ville fut apparemment une des plus remarquables et des plus brillantes du début du IIe millénaire av. n. è. Parmi les textes gravés sur les tablettes d'argile figuraient des décrets royaux, des annonces publiques, des comptes, des ordres de construction de canaux, d'écluses ou de barrages et d'autres projets d'irrigation, ainsi que du courrier à propos d'importations, d'exportations et d'affaires étrangères. Des recensements étaient effectués fréquemment pour lever des impôts et recruter des soldats. La religion occupait une place de choix, et en particulier le culte d'Ishtar, la déesse de la fécondité, dont on découvrit aussi le temple. On pratiquait la divination, comme à Babylone, par l'observation de foies, l'astronomie et d'autres méthodes analogues. La cité fut en grande partie détruite par le roi babylonien Hammourabi. On a également trouvé les noms de Péleg, Seroug, Nahor, Térah et Harân, des villes toutes situées dans le N. de la Mésopotamie, ce qui est particulièrement intéressant, car on retrouve dans ces noms ceux des parents d'Abraham. - Gn 11:17-32. 
Nouzi, une ville antique érigée à l'E. du Tigre et au S.-E. de Ninive, a été fouillée de 1925 à 1931. On y a mis au jour une carte gravée dans l'argile, la plus ancienne qu'on ait découverte jusqu'à présent, et des preuves que déjà au XVe siècle av. n. è. on y vendait et on y achetait à crédit. On a exhumé quelque 20 000 tablettes d'argile, écrites, croit-on, en babylonien par des scribes hourrites. Elles renferment une mine de détails sur la jurisprudence de l'époque, concernant par exemple l'adoption, les contrats de mariage, les droits d'héritage et les testaments. Par certains côtés, les coutumes sont assez proches de celles des patriarches décrites dans la Genèse. Un couple sans enfant adoptait habituellement un fils, né libre ou esclave, pour qu'il prenne soin d'eux, les enterre et devienne leur héritier ; cela rappelle la déclaration d'Abraham, rapportée en Genèse 15:2, à propos d'Éliézer, l'esclave en qui il avait toute confiance. La description de la vente de droits d'aînesse n'est pas sans rappeler l'histoire de Jacob et d'Ésaü (Gn 25:29-34). Les textes attestent encore que les familles possédaient leurs propres dieux, souvent de petites figurines d'argile, qui avaient valeur de titres de propriété ; ainsi, celui qui détenait les dieux était considéré comme détenteur du droit de propriété et d'héritage. Cet usage peut aider à comprendre pourquoi Rachel prit les teraphim de son père et pourquoi celui-ci se donna tant de mal pour les retrouver. - Gn 31:14-16, 19, 25-35.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:56

Découvertes archéologiques en Égypte 

Égypte. C'est à propos de la venue de Joseph en Égypte puis de l'arrivée et du séjour de toute la famille de Jacob dans ce pays que la Bible fournit les renseignements les plus détaillés sur l'Égypte. Les découvertes archéologiques démontrent que l'image qu'en donnent les Écritures est on ne peut plus fidèle et qu'elle n'aurait raisonnablement pas pu être présentée ainsi par un écrivain qui aurait vécu longtemps après les événements relatés (comme certains critiques l'ont affirmé à propos du rédacteur de cette partie de la Genèse). Aussi J. Duncan, dans son livre New Light on Hebrew Origins (1936, p. 174), écrit-il à propos de l'auteur du récit concernant Joseph : " Il fait un emploi exact des titres authentiques en usage à l'époque dont il parle, et là où il n'y a pas de terme hébreu équivalent, il adopte tout simplement le mot égyptien et le transcrit en hébreu. " Les noms égyptiens, la fonction de gérant domestique de Potiphar confiée à Joseph, les maisons d'arrêt, les titres de " chef des échansons " et de " chef des panetiers ", l'importance que les Égyptiens accordaient aux rêves, l'habitude des boulangers (panetiers) égyptiens de porter les corbeilles de pain sur la tête (Gn 40:1, 2, 16, 17), la fonction de premier ministre et d'administrateur des vivres que le pharaon accorda à Joseph, la façon dont il l'investit de cette fonction, l'horreur que les gardiens de moutons inspiraient aux Égyptiens, la forte influence des magiciens à la cour égyptienne, l'installation des Israélites dans le pays de Goshèn, les coutumes funéraires des Égyptiens, toutes ces indications et bien d'autres contenues dans la Bible sont clairement corroborées par les découvertes archéologiques faites en Égypte. - Gn 39:1-47:27 ; 50:1-3. 

À Karnak (l'ancienne Thèbes), au bord du Nil, une inscription gravée sur le mur sud d'un immense temple égyptien confirme que Shishaq (Sheshonq Ier) mena une campagne militaire en Palestine, comme le rapportent 1 Rois 14:25, 26 et 2 Chroniques 12:1-9. Le relief géant qui décrit ses victoires montre 156 prisonniers palestiniens enchaînés, chacun d'eux représentant une ville ou un village dont le nom est indiqué en hiéroglyphes. Parmi ces noms, on a identifié Rabbith (Jos 19:20), Taanak, Beth-Shéân et Meguiddo (où on a découvert un fragment d'une stèle ou d'une colonne portant une inscription de Shishaq) (Jos 17:11), Shounem (Jos 19:18), Rehob (Jos 19:28), Hapharaïm (Jos 19:19), Guibéôn (Jos 18:25), Beth-Horôn (Jos 21:22), Ayyalôn (Jos 21:24), Soko (Jos 15:35) et Arad (Jos 12:14). Dans cette liste des conquêtes du roi figure même le " champ d'Abram ", ce qui constitue la plus ancienne référence à Abraham dans les textes égyptiens. Dans cette région on a également découvert un monument de Mérneptah, fils de Ramsès II, qui comporte un hymne dans lequel apparaît le nom " Israël " pour la seule fois dans les textes égyptiens anciens. 

À Tell el-Amarna, à environ 270 km au S. du Caire, une paysanne a trouvé par hasard des tablettes d'argile ; cette découverte a amené la mise au jour de nombreux documents en akkadien appartenant aux archives royales d'Aménophis III et d'Akhenaton, son fils. Les 379 tablettes publiées contiennent des lettres adressées au pharaon par des princes vassaux de nombreuses villes-royaumes en Syrie et en Palestine, dont quelques-unes du gouverneur d'Ourousalim (Jérusalem). Ces documents parlent d'intrigues et de guerres, ce qui correspond tout à fait à ce que les Écritures rapportent sur cette époque. Certains ont identifié aux Hébreux les " Habirou ", qui sont l'objet de nombreuses plaintes dans ces lettres, mais les faits tendent plutôt à démontrer qu'il s'agissait simplement de divers peuples nomades qui occupaient un rang peu élevé dans la société de l'époque. 

Éléphantine est le nom grec d'une île sur le Nil, à l'extrême S. de l'Égypte (près d'Assouan), où s'établit une colonie juive après la chute de Jérusalem en 607 av. n. è. C'est là qu'en 1903 on a découvert de nombreux documents écrits en araméen, principalement sur papyrus, portant des dates à compter du Ve siècle av. n. è. et de l'Empire médo-perse. Ces documents mentionnent Sânballat, gouverneur de Samarie. - Ne 4:1. 

Incontestablement, les plus précieuses de toutes les découvertes faites en Égypte ont été celles de fragments de papyrus et de portions de livres bibliques, tant des Écritures hébraïques que des Écritures grecques, qui remontent jusqu'au Ier siècle av. n. è. Le climat sec et le terrain sablonneux de l'Égypte firent de ce pays un magasin sans pareil pour la préservation des documents sur papyrus.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:56

l'Empire perse 

Perse. Près de Béhistoun, en Iran (l'ancienne Perse), le roi Darius Ier (521-486 av. n. è. ; Ezr 6:1-15) fit graver une inscription monumentale en haut d'une falaise calcaire. Il y relatait l'unification de l'Empire perse et attribuait le succès de son entreprise à Ahoura Mazda, son dieu. Cette inscription est d'une importance capitale, car elle est rédigée en trois langues : en babylonien (akkadien), en élamite et en vieux perse ; elle fournit donc la clé permettant de déchiffrer l'écriture cunéiforme assyro-babylonienne, impénétrable jusque-là. Grâce à ce travail, on peut maintenant lire des milliers d'inscriptions et de tablettes d'argile rédigées dans la langue des Babyloniens. 

Suse, où eurent lieu les événements rapportés dans le livre d'Esther, a été mise au jour par des archéologues français entre 1880 et 1890 (Est 1:2). Ils ont dégagé le palais royal de Xerxès, qui couvre une surface d'environ 1 ha et qui témoigne de la grandeur et de la magnificence des rois perses. Les découvertes ont aussi confirmé l'exactitude des détails que donne le rédacteur du livre d'Esther concernant l'administration du royaume perse et la construction du palais. Le livre The Monuments and the Old Testament, par I. Price (1946, p. 408), fait ce commentaire : " Dans l'Ancien Testament, aucun événement n'a un cadre qu'on puisse, à partir de fouilles, restaurer de manière aussi vivante et exacte que ' Suse le Palais '.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:57

Les fouilles de Babylonie 

Babylonie. Les fouilles effectuées dans l'ancienne ville de Babylone et à proximité ont mis au jour les sites de plusieurs ziggourats ou temples en forme de tours pyramidales à étages, notamment les ruines du temple d'Etemenanki à l'intérieur des murailles de Babylone. Les récits et les inscriptions concernant ces temples renferment souvent ces mots : " Son sommet atteindra les cieux. " Selon une inscription, Neboukadnetsar aurait dit : " J'ai élevé le sommet de la tour à étages à Etemenanki de sorte que son sommet rivalise avec les cieux. " Un fragment trouvé au N. du temple de Mardouk, à Babylone, rapportait en ces termes la chute d'une ziggourat de ce genre : " La construction de ce temple offensa les dieux. En une nuit, ils abattirent ce qui avait été construit. Ils les dispersèrent et rendirent leur langage étrange. Ils entravèrent la progression [de l'ouvrage]. " (Bible and Spade, par S. Caiger, 1938, p. 29). On a constaté que la ziggourat d'Ourouk (l'Érek de la Bible) avait été construite avec de l'argile, des briques et de l'asphalte. - Voir Gn 11:1-9. 

On a découvert près de la Porte d'Ishtar, à Babylone, quelque 300 tablettes cunéiformes qui se rapportent à l'époque du roi Neboukadnetsar. Parmi les noms des ouvriers et des captifs qui vivaient à Babylone et qui y étaient nourris, on trouve celui de " Ja´ukînu, roi du pays de Jâhudu ", c'est-à-dire " Yehoïakîn, roi du pays de Juda ", qui fut emmené à Babylone quand Neboukadnetsar prit Jérusalem en 617 av. n. è. Plus tard, Awil-Mardouk (Évil-Merodak), successeur de Neboukadnetsar, le fit sortir de sa maison de détention et lui donna une ration quotidienne de nourriture (2R 25:27-30). Cinq fils de Yehoïakîn sont également mentionnés sur ces tablettes. - 1Ch 3:17, 18. 

On a trouvé des preuves abondantes que Babylone possédait un panthéon de divinités, comprenant le dieu principal, Mardouk, plus connu par la suite sous le nom de Bel, et le dieu Nebo, tous deux mentionnés en Isaïe 46:1, 2. La plupart des renseignements recueillis sur les inscriptions de Neboukadnetsar ont trait au vaste programme de construction qui fit de Babylone une ville splendide (voir Dn 4:30). Le nom de son successeur, Awil-Mardouk (dénommé Évil-Merodak en 2R 25:27), figure sur un vase découvert à Suse (Élam). 

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, on a mis au jour près de l'actuelle Bagdad de nombreux cylindres et tablettes d'argile, dont la chronique maintenant célèbre de Nabonide. Toutes les objections soulevées contre le récit de Daniel chapitre 5, selon lequel Belshatsar régnait à Babylone au moment de la chute de cette ville, furent balayées par ce document : il prouve en effet que Belshatsar, fils aîné de Nabonide, était vice-roi avec son père et que Nabonide lui avait confié le gouvernement de Babylone à la fin de son règne. 

On s'est aperçu de la même manière qu'Our, l'ancien lieu de résidence d'Abraham (Gn 11:28-31), avait été une métropole de premier plan, à la civilisation très développée. Cette ville sumérienne se situait sur la rive de l'Euphrate, non loin du golfe Persique. Les fouilles entreprises sur son emplacement par Sir Leonard Woolley ont révélé qu'elle était à l'apogée de sa puissance et de sa gloire quand Abraham la quitta pour se rendre en Canaan (av. 1943 av. n. è.). De toutes les ziggourats qui ont été découvertes, celle d'Our est la mieux conservée. Les tombes royales d'Our recelaient de multiples objets en or et des bijoux très artistiquement ouvragés, des instruments de musique, notamment des harpes (voir Gn 4:21) ; on y a également trouvé une petite hache en acier (pas en fer ordinaire) (voir Gn 4:22). En outre, des milliers de tablettes d'argile ont dévoilé une foule de détails sur la vie des habitants de cette région il y a presque 4 000 ans. - Voir OUR No 2. 

Sur le site de l'ancienne Sippar, ville située sur l'Euphrate, à quelque 32 km de Bagdad, on a découvert un cylindre d'argile parlant du roi Cyrus, le conquérant de Babylone. Il raconte avec quelle facilité Cyrus prit Babylone et donne une idée générale de sa politique qui consistait à renvoyer dans leur pays les captifs qui s'y trouvaient. Cette inscription confirme le récit de la Bible qui présente Cyrus comme le conquérant de Babylone annoncé prophétiquement et qui relate le retour des Juifs en Palestine sous son règne. - Is 44:28 ; 45:1 ; 2Ch 36:23.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:57

Découverte d’une épître de Paul vieille de 1 900 ans

La plus ancienne version connue de l’épître de saint Paul aux Hébreux vient d’être découverte à Vienne, en Autriche. Elle serait âgée de 1 900 ans, ce qui en ferait pratiquement une contemporaine du sain lui-même. Le manuscrit, un papyrus brun comptant une quinzaine de lignes de texte en grec, dormait dans les archives de la Bibliothèque nationale de Vienne depuis plus d’un siècle. Le document a été identifié il y a trois mois un par un chercheur grec de 30 ans, Amphilochios Papathomas, qui bénéficiait d’une bourse de deux ans en Autriche. Son attention a été attirée par l’écriture de 8 mm de haut, décrite comme « très soigneuse et très agréable à lire ». Le chercheur estime que le document remonte au moins au VIe siècle. Le directeur de la Bibliothèque nationale, pour sa part, n’hésite pas à la dater de 1 900 ans. Les plus anciens manuscrits de l’épître aux Hébreux connus à ce jour remontaient au IXe ou Xe siècle. Le document précieux fait partie d’un lot de papyrus achetés au Caire par un marchand d’antiquités autrichien en 1883. Il aurait ensuite été versé à la collection de la Bibliothèque nationale, qui comprend 180 000 papyrus, dont le tiers en grec. À peine 12 000 ont fait l’objet d’une expertise, les petits fragments étant difficiles à identifier. Le papyrus, considéré comme en bon état, a été mis sous verre et sera présenté au public viennois dès le 7 janvier. On espère aussi en faire des images numériques qui pourraient être diffusées sur Internet quelques jours plus tard. Quant à Amphilochios Papathomas, il vient d’être nommé professeur de papyrologie et de philologie classique à l’Université de Nicosie, en Grèce. 

citation AFP 
Source primaire de l'information : Philippe Gauthier 
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:57

LES TABLETTES D'EBLA 


LES ARCHIVES D'UN ROYAUME ANTIQUE DU 3e MILLÉNAIRE AV. 
J.-C. VONT DANS LE MÊME SENS QUE DE TRÈS ANCIENS TÉMOIGNAGES CONSIGNÉS DANS LES PLUS ANCIENS LIVRES DE LA BIBLE.
 

Résumé 

En 1968, deux archéologues italiens appartenant à l'université de Rome, Paolo Matthiae et diovanni Pettinato, commencèrent des fouilles dans les ruines d'Ebla, situées à l'extrême nord de la syrie (1). 

En 1975, l'équipe d'archéologues sur place mit au jour des milliers de tablettes d'argile très anciennes au tell connu sous le toponyme de 
Tell-Mardikh, en Syrie (en 1979, Glashouwer faisait état de 15,000 tablettes cumulées). Celles-ci proviennent des archives d'un ancien royaume appelé Ebla. 

Une inscription du nom d'un pharaon éguption sur un tesson de poterie trouvé sur les lieux a permis de dater les tablettes d'argile (Glashouwer, p. 30). 


Les contributions majeures des 15,000 tablettes d'Ebla 

1) Attestation de l'existence réelle de personnages bibliques 

Les tablettes mises au jour à Tell-Mardikh (ancien royaume d'Ebla) sont contemporaines de l'époque d'Abraham (elles datent de 2400-2250 av. 
J. -C.). Elles constituent un volume énorme d'information hors de la Bible, attestant pourtant des données bibliques contestées jusque là. Les opposants de la Bible ont en effet longtemps cru que des personnages comme Abraham étaient symboliques ou légendaires. Mais Ebla mentionne des patriarches bibliques, lesquels auparavant, n'étaient attestés que par la Bible. 

On y a retrouvé des noms de grandes figures bibliques comme Héber (nom qui est celui d'un ancêtre d'Abraham considéré légendaire avant la découverte), Israel (existant avant les tribus du peuple d'Israel portant son nom) et Abraham. On y trouve aussi des récits de la création et du déluge, concordants avec le premier livre de la Bible, la Genèse (Glashouwer, p. 28). 

2) Attestation de la véracité d'affirmations bibliques sur la vie et les lieux méconnus jusque là 

En plus, les tablettes donnent une image du monde cananéen correspondant à celui décrit par les textes bibliques et non à celui que les adversaires de la Bible ont prétendu. Résultat: les auteurs des premiers livres de la Bible seraient donc des témoins visuels des lieux et événements auxquels ils réfèrent, et non des conteurs anachroniques qui auraient vécu des millénaires plus tard, comme le prétend la critique. 

On y apprend par exemple, que la ville d'Ebla a entretenu de la correspondance avec des villes appelées Charan (Selon la Bible, Abraham y a vécu durant une période de sa vie) ainsi qu'avec Sodome et Gomorrhe. Ce sont les premières références à ces villes, en dehors des Saintes Écritures. 

3) Attestation de l'intelligence des hommes et des civilisations anciennes. 

Les tablettes vieilles d'un peu moins de 5,000 ans démontrent que les hommes étaient très intelligents et possédaient déjà une écriture fonctionnelle et des archives. Les adversaires de la Bible comme Julius Wellhausen (en 1885) et Hermann Schultz (en 1898) prétendirent (souvent encre cités, eux ou leur école de pensée) que les récits bibliques seraient des légendes non attestées par l'Histoire ou par des preuves extérieures à la Bible. La marque de tels adversaires de la Bible est malheureusement, par un concours de circonstances volontaires ou non, quasi-indélébile malgré les découvertes démolissant leurs affirmations non fondées. 

Par exemple, les ouvrages de tels opposants (ou d'autres du 20e siècle) et leurs traductions encore en circulation sont enseignées comme pure vérité dans les universités et télé-universités du Québec. 

À la source, c'est la prétendue infaillible théorie de l'évolution qui force les ennemis de la Bible à maintenir des affirmations s'étant avérées fausses par la suite, sur la base que plus on recule dans le temps, moins les hommes devraient être trouvés intelligents. C'est forcer les faits à se conformer aux idées préconçues. En pratique, plusieurs civilisations anciennes avancées (en connaissances mathématiques, écriture, étude astronomique) ont laissé des traces de leur haut niveau de culture sans chaînon intermédiaire. Car il n'y a pas un, mais bien une multitude de chaînons manquants à la théorie de l'évolution. 

Les pierres crient aujourd'hui par des archives royales vieilles de près de 5,000 ans, comme celles du royaume d'Ebla, que l'humain est unique et intelligent de par sa nature. 

4) Moise a pu rédiger les cinq premiers livres de la Bible (Pentateuque). 

Les tablettes dEbla (Tell-Mardikh) démentent, par une approche autre que la foi, la théorie de la critique selon laquelle les cinq premiers livres de la Bible auraient été soit disant écrits au VIe siècle ou même au Ve siècle avant J. -C. La critique prétendait en effet que personne ne savait écrire au temps où Moise aurait vécu, et que le peuple dIsrael en exil se serait plutôt, prétend-t-elle forgé un passé mythique motivateur, beaucoup plus tard dans l'histoire, en vue, toujours selon la critique, d'ennoblir ses origines. 

Avec Ebla, on peut maintenant dire avec Glashouwer: "Des siècles avant Abraham, l'homme maêtrisait donc l'art de l'écriture, comme nous le démontrent de nombreuses découvertes faites à Sumer (Basse Mésopotamie), en Égypte, à Babylone et récemment à Ebla" (Glashouwer, pp. 28-29). 

Moise peut donc très bien avoir écrit et avoir lui-même eu accès à des écrits anciens conservés sur un support comme de l'argile gravé et séché. 

Encore là, sur la base de conclusions ajoutées aux écrits de Moise après sa mort, les adversaires du Livre disent, encre en 2003, que la référence à la mort de Moise constitue une preuve qu'il n'est pas l'auteur. Alors Walt Disney n'a pas créé Mickey Mouse ni Bambi car j'ai vu une vidéo de 
Bambi, où après le film, il est question de la mort de Disney... 

De plus, en utilisant les techniques utilisées par la critique non objective qui découpe et redécoupe les livres de l'Ancien Testament en de multiples présumés rédacteurs, on en est arrivé à identifier pareillement, chez des auteurs modernes, plusieurs rédacteurs dans des chapitres différents d'un même ouvrage (de littérature contemporaine). 

Pire, sur la base que le style change (ex. poésie, prose) ou encore qu'il y a des répétitions dans un même chapitre ou un chapitre différent, la critique arrive à des conclusions aussi lgères. C'est ignorer ce qu'on sait aujourd'hui que dans la pensée et l'enseignement hébraique, la répétition volontaire fait partie de l'enseignement. Par exemple, les Proverbes en sont pleins! 

5) Moise a donc pu avoir accès à des souces très anciennes. 

L'on prétendait avant la connaissance du contenu des archives royales d'Ebla que si Moise avait rédigé une partie de l'Ancien Testament, il aurait, dit-on, eu accès seulement à une tradition orale peu fiable. Ebla révèle que près de 2,500 ans av. J. -C. l'écriture était déjà abondamment utilisée et même archivée en certains lieux. Clà signifie aussi que l'écriture existait même avant, puisqu'à Ebla, il est déjà question de correspondance écrite échangée avec d'autres villes. 

Déjà en 1960, P.J. Wiseman a avancé la thèse que Moise devait avoir eu accès à des écrits très anciens puisqu'il donnait des détails très précis et confirmés progressivement, sur des événements qui n'auraient pu être exacts avec un conteur vivant des millénaires plus tard et avec une transmission uniquement orale (de bouche à oreille et de génération en génération). Selon Wiseman, les formulations textuelles suivantes vont dans le sens de telles sources rédigées par les patriarches eux-mêmes (Glashouwer, p. 29). On peut lire par exemple: 

Voici les origines des cieux et de la terre, quand ils furent créés (Genèse 2:4). 

Voici le livre de la postérité d'Adam (Genèse 5:1). 

Selon Wiseman, ces transitions textuelles et d'autres semblables introduiraient le début d'une nouvelle source écrite à laquelle Moise avait accès. 

Pour Glashouwer, cette thèse repose sur de solides fondements scientifiques; exemple à l'appui, les tablettes d'argile d'Egla. La thèse résout de nombreux problèmes (dont celui que poserait une transmission uniquement par tradition orale). 

La Revue Réformée va dans le même sens: 

"...il devient clair que des écrits précis, ainsi qu'un vaste processus de transmission scriptuaraire, étaient déjà courants dans les temps bibliques les plus reculés" (gras ajouté,3). 

En conclusion 

Si pour la majeure partie de la Bible, nous mettons de côté une inspiration mécanique de la Bible (une dictée mot à mot) laquelle ne concorde généralement pas (en dehors de quelques cas) avec le témoignage biblique lui-même, nous croyons donc que l'approche de Wiseman ne contrdit nullement la foi dans l'inspiration des Saintes Écritures. 

Un nombre croissant d'informations nous portent à croire que des hommes comme Israel (Jacob) et Abraham eux-mêmes ont pu compiler un certain nombre d'informations par écrit (ex. généalogies), de la même façon que des informations précises ont été déchiffées des tablettes d'Ebla (Tell-Mardikh). Ils étaient doués d'intelligence et l'écriture est plus ancienne qu'on le croyait. 

Avant Ebla, les adversaires de la Bible disaient que Moise, s'il avait vécu, ne pouvait pas avoir rédigé les cinq premiers livres de la Bible puisque l'écriture n'aurait pas existé, selon eux, à l'époque correspondante. Les personnages bibliques anciens étaient de même, considérés symboliques ou mythiques (légendaires), les événements (ex. conflit armé entre Abraham et cinq rois contemporains, dont ceux de Sodome et Gomorrhe) étaient vus comme des légendes... 

Depuis Ebla, des milliers de tablettes d'argile viennent proclamer le contraire: l'écriture existe depuis très longtemps. Ebla démontre aussi que Moise a pu avoir accès à du matériel écrit et non seulement à une tradition ou transmission orale. En plus, les fameuses tablettes mentionnent des noms comme critique prétendait inventées. Ebla fait aussi référence aux événements comme la création et le déluge de la Genèse

Pièges du modernisme athée ou agnostique 

Si quelqu'un croit que Dieu n'existe pas (athéisme), ou d'une autre façon, que même s'il existait, il ne se rév;le pas et qu'on ne peut pas le connaître ou le savoir (agnosticisme), alors l'interprétation scientifique du monde, par ce quelqu'un, en sera inmanquablement influencée par le a priori: "Si Dieu n'existe pas, donc..." 

Il nous faut honnêtement faire attention de ne pas se faire involontairement les ouailles de la critique anti-biblique de la fin du 19e siècle et des débuts du 20e siècle. Par exemple, certains livres de la haute critique allemende circulent toujours par leurs traductions plus récentes dans les bibliothèques des universités nord-américaines. Bon nombre de ces ouvrages ont pourtant été rédigés dans leur langue originale, dans la vague d'anti-sémitisme et de nazisme précédant la seconde guerre mondiale, et surtout, avant des découvertes majeures comme celles de Qumrân en 1947 (manuscrits de la Mer Morte) et d'Ebla en 1975. 

Malheureusement, de graves prétentions de la critique qui se sont révélées fausses depuis, sont encore enseignées dans nos universités, et même diffusées sur les ondes de canaux de télévision spécialisés, ou reprises dans des magazines de science, et ce malgré les découvertes des décennies plus récentes. Mais le public n'a pas la connaissance pour se rendre compte de la duperie; duperie volontaire ou sinon par ignorance ou manque de rigueur. 

Impossible donc, de ne pas penser par moment qu'il y a de la mauvaise foi et des a priori arrangeants (préjugés, idées préconçues) dans certaines branches de la recherche, de l'enseignement universitaire et des publications cientifiques. Comment penser autrement? Des textes anciens appuient-ils les textes bibliques? On dira que la Bible leur a emprunté des informations putôt que d'admettre l'existence de références à des lieux et événements (noyaux) communs, connus au départ par la Bible. Sur tous les continents, ont été répertoriées des traditions anciennes (bien avant l'arrivée des Européens et du Christianism) d'un déluge par lequel des hommes et des animaux furent suvés à l'aide d'un grand bateau. La critique qui fait alliance avec la pseudo-science dira que c'est exagéré (Point de départ = un déluge local) ou encore que c'est de l'emprunt à un autre texte ou une autre légende. Mais, fidèle à elle-même, la critique reniera qu'il y a probablement un cataclysme majeur mémorisé des anciens peuples de tous les continents (avant la venue du christianisme en ces lieux) et attesté de façon écrite depuis des millénaires dans la Bible. 

"Les pierres crieront!". 

Dieu veut et peut se révéler suffisamment pour que la foi ne soit pas un saut dans le vide. Telle est notre conviction et notre expérience. 

Nous nous appuyons avec foi sur ces paroles de Jésus. Si les hommes ne lui donnent plus la louange et la gloire, alors les pierres crieront: 

Luc 19: 37 Et lorsque déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente de la montagne des Oliviers,
toute la multitude des disciples, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus.
38. Ils disaient, Béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur! Paix dans le ciel, et gloire dans les lieux très hauts!
39. Quelques pharisiens, du milieu de la foule, dirent à Jésus, Maître, reprends tes disciples.
40. Et il répondit, Je vous le dis, s'ils se taisent, les pierres crieront!
 (gras ajouté)
 

Providentiellement, Dieu a pourvu, pourvoit et pourvoira encore au témoignage de la vérité. comme il l'a fait à Ebla, le Seigneur continuera d'appuyer la vérité de la Bible christo-centrique (centrée sur le Christ), même en des temps éventuels où ses disciples ne se sentiraient plus en position de répondre à ses adversaires. 




Source principale: 

Glashouwer, Willem J.J. Sur les traces de la Bible, Trad. de l'allemend par Jeanne Stoupel et Jacques Lauper, Genève-Paris, La Maison de la Bible, 177 pages. 1979. 
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:57

Le Mur de Mont du Temple

Les archéologues et les scientifiques disent que c’est la conséquence d’un Tremblement de terre en Israël survenu le 11 Février 2004. Le mouvement des « Fidèles du Mont du Temple » croit qu’il s’agit d’un autre message clair venant du Dieu d’Israël. En date de samedi 22 Shevat 5764, 14 février 2004, un autre mur du Mont du Temple s’est écroulé dans la zone du Mur Ouest. Le mur était la continuité du Mur Ouest et ce dernier comprenait la porte occidentale (Mugrabe) menant au Mont du Temple. De ce mur, des pierres se sont détachées alors que des femmes priaient. Le fait qu’aucune personne n’ait été blessée tient du miracle. 

Tel que mentionné ci-haut, cela s’est déroulé samedi alors qu’il neigeait sur Jérusalem. L’écroulement a eu lieu 4 jours après qu’un tremblement ait secoué tout Israël, incluant Jérusalem. Cette dernière a été la plus durement touchée vu sa proximité de l’épicentre qui se trouvait au nord de la Mer Morte. Des archéologues et des scientifiques ont déclaré que l’écroulement du mur était la conséquence du séisme aussi bien que de la neige. L’archéologue, le Dr. Eilat Mazal, du comité préventif de la destruction des antiquités du Mont du Temple, a dit qu’un écroulement circonstanciel d’une ampleur beaucoup plus grande n’est qu’une question de temps et qu’il causera un désastre majeur. 

L’effondrement de ce mur n’est pas le premier à avoir eu lieu ces derniers temps. En effet, le mur ouest d’un édifice (sur le Mont du Temple) faisant partie d’un autre édifice du même Mont, celui-ci converti en musée par les Musulmans et également érigé sur le Mur Ouest, s’est écroulé il y a quelques mois. Voilà deux ans, en date de Tisha b’Av 2001, un long renflement est apparu sur le mur sud du Mont après que le Mouvement des Fidèles du Mont du Temple eut ramené une pierre d’angle dans la région pour le Troisième Temple. Depuis deux ans, des ingénieurs et des ouvriers Jordaniens travaillent à réparer ce renflement et n’ont pas encore terminé. Dès qu’ils ont vu ce renflement apparaître, des ingénieurs et des archéologues Israéliens ont immédiatement déclaré, pour leur part, qu’aucune réparation ne stabiliserait le Mur et qu’il s’effondrerait éventuellement. Quant au mur du côté de l’orient, une autre fissure ainsi qu’un bombement d’une longueur de 60 mètres sont apparus, s’étalant du nord du coin sud-est du Mont du Temple jusqu’à la Porte de la Miséricorde. Cette situation s’est d’ailleurs très aggravée récemment. 

Les archéologues en Israël se sont tournés vers le Département des antiquités Israéliennes afin d’utiliser des restes du mur écroulé près du Mur Ouest aux fins de recherche. Ils ont demandé l’investigation de la soi-disant Porte Berkley, une vieille porte sous le Mur Ouest qui était l’ancienne porte biblique au Mont du Temple appelée la Porte Kipponus. Cette dernière était l’une des 5 portes mentionnées dans le Mishna. Par ailleurs, cette porte se nomme Berkley, depuis sa découverte au 19e siècle par un consul américain du même nom. L’archéologue Meyer ben Dov, pour sa part, dit qu’elle est sans nul doute la Porte Kipponus. Il sera dorénavant plus facile d’explorer, puisqu’elle a été mise à découvert par l’effondrement. En 1968, des archéologues ayant creusé près de cet endroit sous la gouverne du professeur Binyamin Mazar, ont demandé aux autorités d’enlever la rampe conduisant au portail ouest du Mont du Temple et d’ouvrir la Porte biblique Kipponus se trouvant en-dessous, afin que les Juifs puissent entrer dans le Mont du Temple. Malheureusement, leur requête fut rejetée. 

Il est très spécial - et c’est un message clair venant de Dieu - que les écroulements et les renflements concernent les murs des portes bibliques principales du Mont du Temple : le mur sud, dans lequel se trouvaient les portes où des milliers de pèlerins Juifs pénétraient aux temps bibliques; le mur de l’orient, où se situait la Porte Golden-Shushan et par où le Messie entrera dans le Mont du Temple; et le mur ouest, où étaient les portes d’entrée principales pour les rois et les prêtres d’Israël. Le message divin est tellement clair : 
Il désire ouvrir les portes pour Son peuple, Israël, qui furent bloquées tout au long de l’histoire par les Musulmans et les Arabes. 

Dans un autre rapport récent, j’ai écrit au sujet d’une tradition Juive voulant que, au temps de la rédemption d’Israël, Dieu causera un tremblement de terre qui détruira les mosquées étrangères sur le Mont du Temple, ce qui ouvrira le chemin à la construction du Temple du temps de la fin. Ce temps est arrivé. Nous vivons maintenant dans les derniers temps, le temps de la rédemption du peuple d’Israël. Le Mont du Temple est aujourd’hui au centre des événements divins du temps de la fin. Tel que stipulé par les archéologues, le dernier effondrement d’un mur ainsi que d’autres cas similaires sur le Mont du Temple, ne sont que des précurseurs à d’autres écroulements de plus grande envergure sur ce même Mont. Le Dieu d’Israël s’attendait à ce que le gouvernement Israélien enlève les mosquées du Mont du Temple immédiatement après la libération du Mont du Temple en 1967, exactement comme leur avait demandé le chef rabbin de l’armée Israélienne, Shlomo Goren. Le Dieu d’Israël a attendu près de 37 ans pour que cela se produise. Puisque, dans sa faiblesse, le gouvernement Israélien n’a pas agi de la sorte, le Dieu d’Israël a commencé à accomplir ce qu’Il avait promis à Son peuple et prophétisé par la bouche de Zacharie il y a des milliers d’années, où ce dernier parle de la guerre ultime des nations contre Israël, contre Jérusalem sa capitale et de la promesse du Dieu d’Israël. 

Zacharie 14 :3-11, 21b « L'Éternel paraîtra, et il combattra ces nations, comme il combat au jour de la bataille. Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l'orient; La montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l'orient et à l'occident, et il se formera une très grande vallée: Une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, et une moitié vers le midi. Vous fuirez alors dans la vallée de mes montagnes, car la vallée des montagnes s'étendra jusqu'à Atzel; vous fuirez comme vous avez fui devant le tremblement de terre, Au temps d'Ozias, roi de Juda. Et l'Éternel, mon Dieu, viendra, et tous ses saints avec lui. En ce jour-là, il n'y aura point de lumière; Il y aura du froid et de la glace. Ce sera un jour unique, connu de l'Éternel, et qui ne sera ni jour ni nuit; mais vers le soir la lumière paraîtra. En ce jour-là, des eaux vives sortiront de Jérusalem, et couleront moitié vers la mer orientale, moitié vers la mer occidentale; il en sera ainsi été et hiver. L'Éternel sera roi de toute la terre; en ce jour-là, l'Éternel sera le seul Éternel, et son nom sera le seul nom. Tout le pays deviendra comme la plaine, de Guéba à Rimmon, au midi de Jérusalem; et Jérusalem sera élevée et restera à sa place, Depuis la porte de Benjamin jusqu'au lieu de la première porte. Jusqu'à la porte des angles, et depuis la tour de Hananeel jusqu'aux pressoirs du roi. On habitera dans son sein, et il n'y aura plus d'interdit; Jérusalem sera en sécurité… Et il n'y aura plus de Cananites dans la maison de l'Éternel des armées, en ce jour-là. » 

Le séisme du 11 février en Israël et l’effondrement important du mur dans le secteur du Mur Ouest est le commencement du tremblement de terre prophétisé par Zacharie. Dans un dernier rapport concernant l’écroulement d’un autre mur sur le Mont du Temple, j’y mentionne les déclarations des séismologues Israéliens disant qu’un séisme majeur aura lieu dans un proche avenir dont le centre sera le Mont du Temple et Jérusalem. Les conséquences de ce séisme seront de terribles pertes de vies et de propriétés lors de l’effondrement des édifices de la région. Celui du 11 février était d’une magnitude de 5 sur l’échelle de Richter. Il a été fortement ressenti à Jérusalem. Bien qu’il s’agisse d’un séisme modéré, les maisons et leurs meubles ont tremblés Des répliques ont eu lieu le lendemain. Après la constatation des dommages, aucun édifice ne s’est écroulé à côté de ce mur dans le secteur du Mur Ouest. Ceci est un message clair de la part du Dieu d’Israël à Israël, à ses ennemis et au monde entier prouvant Sa détermination à accomplir Ses promesses faites il y a des milliers d’années et que rien ne l’empêcherait de laver et de purifier Sa montagne sainte des étrangers et des ennemis du Dieu d’Israël et de Son peuple et que le Troisième Temple sera bientôt construit. En ce jour, le Dieu d’Israël sera le Roi de toute la terre; Il sera Un avec son Nom, et Israël et Jérusalem vivront en sécurité. Il n’y aura plus d’étrangers dans la maison du Dieu d’Israël. (Zacharie 14 :9, 21) 

Le fait que le séisme du 11 février ait également fissuré le plafond du bureau de la Knesset du Premier Ministre Ariel Sharon est unique. C’est un appel clair du Dieu d’Israël au Premier Ministre à remplir sa tâche divine de racheter le Mont du Temple et à bâtir le Temple de Dieu du temps de la fin. C’est également pour lui un message divin de ne pas se retirer des saintes régions bibliques de Judée, de Samarie et de Gaza, qui sont l’accomplissement d’une de Ses prophéties : 

Amos 9 :13-15 « Voici, les jours viennent, dit l'Éternel, Où le laboureur suivra de près le moissonneur, et celui qui foule le raisin celui qui répand la semence, où le moût ruissellera des montagnes et coulera de toutes les collines. Je ramènerai les captifs de mon peuple d'Israël; Ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront, Ils planteront des vignes et en boiront le vin, Ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. Je les planterai dans leur pays, et ils ne seront plus arrachés du pays que je leur ai donné, dit L'Éternel, ton Dieu. » 

Chers amis en Israël et à travers le monde; à tous ceux qui acceptent la Parole de Dieu et qui s’attendent à Ses promesses prophétiques. Nous vivons maintenant dans un temps très excitant et critique. Voici venu le temps de l’accomplissement des prophéties de la fin annoncées d’avance par les prophètes d’Israël; nous nous rapprochons de leur apogée. Nous devons nous attendre à des événements majeurs, divinement prophétiques et rédempteurs dans un proche avenir. Nous en voyons déjà le début; il s’agit plus que des signes. Rien ni personne ne peut arrêter la marche du Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, le Dieu d’Israël, dans Son retour à Sa montagne sainte, le Mont du Temple, à Sa maison, le Saint Temple, qu’Israël s’est fait ordonner d’ériger sur le Mont du Temple il y a des milliers d’années et que Dieu a miraculeusement redonné à Israël voilà près de 37 ans. Nous voyons qu’Israël ne peut fuir de sa mission divine, celle d’obéir au commandement et à la requête de Dieu : Exode 25 :8 « Ils me feront un sanctuaire, et j'habiterai au milieu d'eux. » Tous les autres événements du temps de la fin sont conditionnés à ce commandement, tel que Sa promesse de nous envoyer Son Oint, le Messie ben David, et d’établir Son royaume non seulement en Israël mais de Jérusalem jusqu’au monde entier, ce qui ramènera Israël à ce que Dieu lui avait commandé d’être : Exode 19 : 5-6 « Maintenant, si vous écoutez ma voix, et si vous gardez mon alliance, vous m'appartiendrez entre tous les peuples, car toute la terre est à moi; vous serez pour moi un royaume de sacrificateurs et une nation sainte. » 

Chacun en Israël et au monde entier est appelé aujourd’hui à lever son regard et son cœur et à porter son attention sur Israël, Jérusalem et; principalement, sur le Mont du Temple. Tous les événements excitants et critiques de la fin des temps s’y tiendront. Tous sont appelés à se tenir debout avec le Mouvement Des Fidèles du Territoire et du Mont du Temple, le vaisseau ultime de Dieu dans cette campagne divinement historique, pour servir Dieu en ces jours particuliers et concrétiser tous les plans du Dieu d’Israël et de l’univers avec Israël et le monde entier. C’est là un privilège important pour notre génération, spécialement pour ceux qui répondent à l’appel de Dieu et de Son Mouvement Fidèle, d’avoir part à ces circonstances divines. Le Troisième Temple sera construit lorsque notre désir sera entier. Nous avons ce désir, il est au fond de notre cœur, et de plus en plus de gens en Israël ainsi qu’à travers le monde l’ont également. Voici le temps de l’accomplir. C’est le temps de Dieu. Ne ratons pas le plus grand privilège de notre vie et de notre génération. Répondons à l’appel du Dieu d’Israël et de l’univers, et à l’appel de Son instrument des derniers jours : Le «Mouvement des Fidèles du Mont du temple » à Jérusalem. 
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:58

Pithom (Ex. 1:11)

Pithom 


Bryant G. Wood 
Traduction parfaitement imparfaite par: Cocotte 



Pithon est mentionné qu'une seule fois dans la Bible, en tant que deux villes à provisions (l'autre étant 

Rahamsèse, en anglais l'on dit: Rameses) où les Israélites travaillaient en tant que main-d'oeuvres situation 

d'esclave lors de leurs état de servitude en Égypte (ex.1:11). Le nom provient de l'Égyptien pr-'ltm, "la maison, 

temple, ou bien domaine ou propriété, lotissement, d'Atum" (v. Redford 1963: 403). Atum était le dieu-créateur de 

Héliopolis, qui est localisé à Cairo moderne, et fut identifié au dieu solaire Ra, générallement avec l'aspet du 

soleil âgé, ou couchant. Le nom pr-'ltm apparaît un bon nombre de fois dans des textes anciens couvrant le 

Nouveau Royaume à l'ère Chrétienne, certains d'entre-eux à partir du delta de l'est. Ces textes indiquent que 

bienque le siège de vénérationde Atum fut à Héliopolis, il était vénéré de partout sur le delta de l'est, 

Bibliquement "La Terre de Goshen," où les Israélites vivant au travers de leurs Séjours. Pendant la Période 

Saite (ca. 664-525 BC) la déterminative de la ville fut ajouté au nom, indiquant que le nom fut appliqué à une ville 

particulière dans le delta à l'est. Auparavant, le nom semble avoir été donné à de domaines du temple d'Atum 

situé à Héliopolis et le delta à l'est. Ceci suggèrerait qu'un éditeur plus poussé a introduit le nom dans le texte 

Biblique afin de remplacer un plus jeune nom inusité. 

Deux sites ont été suggéré en tant que le lieu de Pithom: Tell el-Maskhuta et Tell el-Retabah, environ 8 miles l'un 

de l'autre dans le Wadi Tumilat. Des hérudits ont été divisé en savoir lequel est le site correcte. Pour une 

revision du débat jusqu'au fouilles modernes à Tell el-Maskhuta qui eurent lieu en 1978 et 1985, voir Bimson 1981: 

40-43. Puisque les sites sont si raprochés l'un de l'autre, qu'est que celà peut bien faire lequel des deux est 

Pithom? Je crois, dis l'auteur de cet article, qu'il est important de plutôt identifier le site correcte, afin de clarifier 

notre compréhension du Séjour, une période trés ombrageuse et controversiale dans l'histoire d'Israel. La région 

en question, le Wadi Tumilat, est une vallée creuse, est-ouest, parcourant d'environ la moitié en-haut du côté du 

sud périphique de la Terre de Goshen. Du temps préhistoriques, une branche du Nile coullait au travers la 

vallée. Le Wadi Tumilat était une route majeure de voyage se connectant la Péninsule du Sinai avec le delta 

Égyptien. 

Tell el-Maskhuta est ca. 11 milles à l'ouest du Lac Timsa et Tell el-Retabah est 8 milles plus loin à l'ouest de Tell 

el-Maskhuta. Se basant sur des articles par l'égytologiste Donald B. Redford (1963; 1982) et de l'hérudit Biblique 

John Van Seters (2001), j'étais enclin, avance l'auteur, d'identifier Tell el-Maskhuta comme en tant que Pithom 

(Wood 2003: 258-60). Je doit admette, dit l'auteur, j'étais quelque peu biaisé dans ma perception puisque j'avais 

creusé à Tell el-Maskhula en 1979, 1981 et 1983. Ce serait bien beau de dire que j'avais creusé l'une des cités 

d'entreposage bâtie par les Israélites! Mais, hélas, ayant regardé plus profondément dans la question, je crois 

maintenant que la preuve favoriserait Tell el-Retabah. Bien que, comme toujours dans le domaine de 

l'archéologie, l'on devrait demeurer avec une ouverture d'esprit pour recevoir de nouvelles preuves; n'importe 

qu'elle journée, une nouvelle découverte peut être faite qui pourrait débalancer la balance en faveur de Tell 

el-Maskhuta. 

La preuve de Tell el-Retabah 

Tell el-Retabah fut creusé brièvement par Edouard H. Naville à la fin de années 1800, et encore plus largement 

par W.M. Flinders Petrie en 1905 (Petrie 1906: 28=34) et Hans Goedicke à la fin des 1970 (non-édité). La preuve 

suivante fut réchappée, laquelle est pertinente à l'identification du site (Petrie 1906: 28-34, cf. Redmount 1989: 

124-31; Hoffmeier 1997: 119; Kitchen 2003: 257); 

Tell el-Retabah was excavated briefly by Edouard H. Naville in the late 
1800s, and more extensively by W. M. Flinders Petrie in 1905 (Petrie 1906: 
28-34) and Hans Goedicke in the late 1970s (unpublished). The following 
evidence was recovered which is pertinent to the identification of the site 
(Petrie 1906: 28-34; cf. Redmount 1989:124-31; Hoffmeier 1997:119; Kitchen 
2003: 257): 
· Parts of a red granite statue of Rameses II and Atum. 
· A scene, probably from a temple wall, of Rameses II smiting an Asiatic 
while Atum looks on. 
· Objects from the First Intermediate Period (ca. 2190-2061 BC), Middle 
Kingdom (ca. 2061-1665 BC) and New Kingdom (ca. 1570-1070 BC). 
· Cemetery of the 19th or 20th, 22nd and 23rd Dynasties (ca. 1300-700 BC). 

In addition, surveys of the site produced evidence for occupation in the 
following periods: 
· Survey of 1930 (Redmount 1989: 130)--Old Kingdom (ca. 2687-2190 BC), New 
Kingdom (ca. 1570-1070 BC). 
· Survey of 1977 (Holladay 1982: 6)--Middle Kingdom ca. 2061-1665 BC), 20th 
(?)-25th Dynasties (ca. 1200-656 BC), Saite (ca. 664-525 BC), Persian (ca. 
525-333 BC), Ptolemaic (ca. 305-31 BC), Roman (ca. 30 BC-AD 337). 
· Survey of 1983 (Redmount 1989: 72)--Hyksos (ca. 1663-1555 BC), New 
Kingdom (ca. 1570-1070 BC), Third Intermediate Period (ca. 1070-711 BC), 
Saite (ca. 664-525 BC), Hellenistic/Ptolemaic (ca. 332-31 BC), Roman (ca. 
30 BC-AD 337). 

From these data, it is obvious that the site was occupied over a long 
period of time from the Old Kingdom though the Roman Period. 


Evidence from Tell el-Maskhuta 

Tell Edouard H. Naville first excavated el-Maskhuta in 1883 (Naville 1888) 
and then by Jean Clédat ca. 1900-1910. From ca. 1970 to 1985 the Egyptian 
Antiquities Organization excavated various areas of the site (unpublished). 
The first scientific examination of Tell el-Maskhuta was conducted between 
1978 and 1985 by a team from the University of Toronto under the direction 
of John S. Holladay, Jr. (Holladay 1982; 1997b). By means of surface survey 
and carefully controlled excavation, the Toronto expedition determined the 
periods of occupation to be ca. 1667-1600 BC and 610 BC to "perhaps the 
early fourth century" AD (Holladay 2001: 50). The following evidence was 
recovered which is pertinent to the identification of the site: 
· A number of pre-610 BC monuments inscribed with the name Atum were 
brought to Tell el-Maskhuta from elsewhere, indicating there was a temple 
to Atum at the site (Holladay 1992: 590). 
· Part of a statue, probably Saite (ca. 610-525 BC), belonging to a scribe 
of the temple of Atum (Naville 1888: 17). 
· Stela (inscribed stone monument) of Ptolemy II (282-246 BC) telling of 
the construction of a temple to Atum (Naville 1888: 18ff, 24ff). 
· An incomplete Roman inscription with the word "Ero," the Roman equivalent 
of Atum (Naville 1888: 21; Bleiberg 1983: 22). 
· A Roman mile marker, dated AD 306 or 307, that reads, "nine [Roman] miles 
on the road from Ero [Pithom] to Clysma [Suez]" (Naville 1888: 21-24; 
Kitchen 2003: 258; cf. Bimson 1981: 41; Redford 1963: 407). 

It is clear that both Tell el-Retabah and Tell el-Maskhuta had temples to 
Atum. But which one was Pithom? The most important evidence for identifying 
Tell el-Retabah as Pithom is the Roman mile marker. The distance from Tell 
el-Retabah to Tell el-Maskhuta is 8 English miles, the equivalent of 8.7 
Roman miles. The mile marker evidently was erected at or near Tell 
el-Maskhuta to inform the traveler that he had reached the ninth Roman mile 
on the journey from Ero (=Pithom) to Clysma (Suez). It is doubtful that 
Tell el-Maskhuta was occupied in AD 306/307. In his 1982 publication 
Holliday stated, "there is no evidence from any excavation site yet 
explored at the tell which suggests - let alone necessitates - a date for 
an occupational horizon postdating the mid-second century AD" (42, italics 
original; cf. 43). It was only in later statements that he stretched the 
occupation to possibly include the early fourth century AD (1997b: 436; 
2001: 50). 

Another major problem with identifying Tell el-Maskhuta as Pithom is that 
Pithom (called Heroopolis or Heroonpolis) is mentioned by classical writers 
at times when Tell el-Maskhuta was not occupied. Strabo, who visited Egypt 
25-24 BC, mentions it in Geography XVI, 4, 2; XVII, 1, 21. 26. Pliny the 
Elder (AD 23-79) also mentioned Pithom in Natural History VI, 165. It is 
clear from the excavations that Tell el-Maskhuta was unoccupied in the 
first century BC and first century AD (Holladay 1982: 33, 34; 1997b: 436; 
1998: 786, 788; 2001: 50. The pilgrim Egeria speaks of a Roman garrison at 
Pithom in AD 381 (Wilkinson 1981: 101-102). There is no evidence for 
occupation at Tell el-Maskhuta at that time (Holladay 1982: 42, 43; 1992: 
590; 1997b: 436; 1998: 786, 789; 2001: 50, 53). 

Although Tell el-Retabah seems to be the best candidate for Pithom based on 
current evidence, there will always be an element of uncertainty concerning 
this identification since the occupational history and nature of the site 
is not well known. A proper modern scientific excavation would go far to 
remove some of the uncertainties surrounding Tell el-Retabah and would 
perhaps shed additional light on the history of the Israelites in the region. 


Biblical Implications 

It appears that Exodus 1:8-12 should be assigned to the Hyksos period. The 
term "Hyksos" means "foreign rulers." They were Canaanites ("Asiatics") who 
forcefully took over Egypt in the mid-17th century BC and ruled for 108 
years, the so-called "Second Intermediate Period" (Weinstein 1997). Exodus 
1:8 is better translated, "Then a new king, who did not know about Joseph, 
rose up against Egypt," rather than "Then a new king, who did not know 
about Joseph, came to power in Egypt" (Rea 1961: 7-8). The new Hyksos 
rulers were afraid the Israelites would join forces with the Egyptians 
("our enemies") and "fight against us" (v. 10). Rameses, named "Avaris" at 
that time, was the Hyksos capital. Both Tell el-Retabah and Tell 
el-Maskhuta have evidence of Hyksos occupation, most likely related to 
trade in the Wadi Tumilat (Holliday 1997a). Thus, it is plausible that the 
Hyksos used the Israelites as slave laborers to construct Pithom and 
Ramesses, two important centers in the Hyksos kingdom. 

Under the leadership of Ahmosis, the Egyptians drove out the Hyksos in the 
mid-16th century BC and reestablished Egyptian control of the delta. 
Ahmosis then founded the mighty 18th Dynasty. Exodus 1:13 and following, 
describing events leading up to the Exodus in ca. 1446 BC, is set in the 
early 18th Dynasty period following the expulsion of the Hyksos. 


References 

Bimson, John J. 
1981 Redating the Exodus and Conquest. Sheffield, England: The 
Almond Press. 
Bleiberg, Edward L. 
1983 The Location of Pithom and Succoth. The Ancient World 6: 
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1997 Israel in Egypt. New York: Oxford University Press. 
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1982 Cities of the Delta, Part III: Tell el-Maskhuta. American 
Research Center in Egypt Reports Malibu CA: Undena. 
1992 Maskhuta, Tell el-. Pp. 58892 in The Anchor Bible 
Dictionary 4, ed. David N. Freedman. New York: Doubleday. 
1997a The Eastern Nile Delta During the Hyksos and Pre-Hyksos 
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Hyksos: New Historical and Archaeological Perspectives, ed. Eliezer Oren. 
Philadelphia: The University Museum, University of Pennsylvania. 
1997b Maskhuta, Tell el-. Pp. 432-37 in The Oxford Encyclopedia 
of Archaeology in the Near East 3, ed. Eric M. Meyers. New York: Oxford 
University Press. 
1998 Tell el-Maskhuta. Pp. 78689 in Encyclopedia of the 
Archaeology of Ancient Egypt, ed. Kathryn A. Bard. New York: Routledge. 
2001 Pithom. Pp. 50-53 in The Oxford Encyclopedia of Ancient 
Egypt 3, ed. Donald B. Redford. New York: Oxford University Press. 
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2003 On the Reliability of the Old Testament. Grand Rapids MI: 
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Memoir of the Egypt Exploration Fund 1. London: Egypt Exploration Fund. 
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1961 The Time of Oppression and the Exodus. Grace Journal 2: 
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1963 Exodus I 11. Vetus Testamentum 13: 401-18. 
1982 Pithom. Pp. 1054-58 in Lexikon der Ägyptologie 4, eds. 
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2001 The Geography of the Exodus. Pp. 255-76 in The Land that 
I will Show You: Essays on the History and Archaeology of the Ancient Near 
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Davies. Sheffield, England: Sheffield Academic Press. 
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1997 Hyksos. Pp. 133-36 in The Oxford Encyclopedia of 
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Understanding and Using Old Testament Historical Texts, eds. Michael A. 
Grisanti and David M. Howard, Jr. Grand Rapids MI: Kregel.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:58

Bethsaida et le Ministère de Jésus

Archéologie Jar 

Bethsaida et le Ministère de Jésus autour de la Mer de Galilée 



Des érudits donnent des preuves archéologiques du ministère de Jésus dans le triangle évangélique. 



Par le professeur Rami Arav 
'University of Nebraska at Omaha 



L'Évangile du Nouveau Testament nous dit que Jésus a quitté Nazareth et a déménagé à une région au nord de la Mer de Galilée. Qu'a sucité ce déménagement? Il y a, peut-etre, quelques raisons. "Un prophète n'est sans honneur que dans son pays et dans sa maison" (Matt.13:57) fut un bonne raison, mais apparemment non-pas la seule. 

L'exécution par Jean le Baptiste par le Tetrarch Hérode Antipas, que l'Évangile appele "le renard," et qui fut le fils d'Hérode le Grand, fut en grande partie une raison une plus grande et puissante pour quitter le pays natal Galiléen et de se rendre à la périphérie. Jean le Baptiste fut exécuté pour avoir dénoncer Hérode Antipas, pour avoir marier l'ex-épouse de son frère. Jésus, ayant été baptisé par Jean, a craind qu'il serait le prochain de payer pour avoir provoquer les authorités et a fuit à l'est ver la Mer de Galilée pour etre plus proche des lignes et de traverser dans le territoire de Philip Hérode dans un temps d'adversité. 

Jésus s'est établi (s'est fait un chez-soi) parmis les pecheurs Juifs de la Mer de Galilée du nord, et a bientot appris leur mode de vie, les épreuves pour y gagner-son-pain et leurs anxiétés. Il a fait Capernaum sa ville natale. Capernaum n'était pas plus qu'un petit hameau de pecheur situé sur les rivages au nord-ouest du lac. Il contenait un groupe de maisons d'arrières-cours simples construites de pierres locales noires de balsalt. Jésus ne demeurait pas seulement à Capernaum, mais il errait aussi deux autres emplacements dans les environs: Chorazin et Bethsaida. Les érudits nous signalent le fait que Bethsaida fut sous la jurisdiction de Philip Hérode, le frère d'Hérode Antipas. Selon le témoignage de Joséphus, Philip Hérode fut différent de son frère et en grande partie, plus bien-aimé par ces sujets. En cas d'adversité, Jésus pouvait y trouver refuge à Bethsaida et il semblerait qu'il a fait complètement un bon usage de cette possibilité. Les trois places, Capernaum, Chorazin et Bethsaida sont connues comme étant "le triangle évangélique" par certains érudit d'aujourd'hui. Jésus a accomplit dans le triangle évangélique ses "puissantes oeuvres" et y posa la fondation de son ministère. Qu'est-ce qu'il a fait en premier lieu et que fut accompli en dernier, où il se renti en premier, et où ensuite, nous ne le sauront jamais. Mais nous serions peut-etre capable d'apprendre comment ces endroits auraient avoir l'air. 

Ne ne connaissons pas beaucoup à propos de Chorazin du temps de Jésus. Elle aurait pu avoir été un petit hameau comparable en grandeur à Capernaum, ou peut-etre quelque peu plus large. Non-pas comme Capernaum et Bethsaida, Chorazin n'est pas située près du rivage. Elle est située à une heure à pied du lac en direction vers les pentes qui descendent à la Mer de Galilée, du plateau basalt qui est connu aujourd'hui comme étant le Plateau Chrazin, qui faisait parti à un certain moment donné de l'attibution de la tribut de Naphtali. Les habitants du triangle évangélique furent en grande partie probablement très simples, des gens qui travaillaient durement, qui gagnaient leur vie par la peche, l'agriculture, et le troc local et petit. Ils glanèrent probablement aussi leurs vies en servant les passagers et les marchants itinérants sur les chemins menant de la cote de la Méditerranée aux 'Golan Heights' et vers les cités Grèc en Syrie du sud. Non-pas comme Capernaum et Bethsaida, la Chorazin du premier siècle ne fut jamais déterrée. Les excavations sur le site révèlèrent seulement un canton Byzantin. Les excavateurs ont assumé que la communauté du premier siècle est lituée un demi-mille au nord du village Byzantin et sur le dessus du plateau. 

Bethsaida était la plus large de ces places. Du temps du Roi David, la cité propère servait en tant que capitale du royaume de Geshur. Elle était déjà un endroit ancien lorsque Jésus la visita. À ce moment là, le murs de l'ancien village étaient encore vus et utilisés, la faisant avoir l'air comme une village fortifié. Des siècles après le roi Assyrien, Tiglat Pileser III, ait détruit Bethsaida (732 BCE), le site fut en ruinnes et très peu de gens y demeuraient dans les restes des batisses. Très peut fit fait pour améliorer le qualité de vie, mais peut-après la conquète d'Alexandre le Grand en 332 BCE, il semblerait que de la nouvelle vie fut infusé dans le village. De nouveaux Marchés dans l'ouest, qui furent ouverts aux Phoeniciens, ont stimulé les Phoeniciens de commercer et de développer de profondes terres adjescentes. De nouveaux colons sont venus à Bethsaida et à d'autres endroits en Galilée et ils ont développé de la marchandise telle que le vin, l'huile d'olive, le lin et du poisson d'eau fraiche sèché. Ces produits furent trocqués aux Phoeniciens des cités des cotes pour des items luxurieux tels que de fins objets de table et du vin importé. 

En 90 BCE, la dynastie Séleucide, qui règnait sur la Syrie et la Mésopotamie s'est finallement effondrée et ne s'en ai jamais remis. Quelques années après, la dynastie Hasmonéenne ayant à sa tete Alexandre Jannaeus, qui règna sur la Judée a envahit les anciens territoires Séleucide et a conquit la Galilée et la Gaulanitis. Alexandre Jannaeus a imité les action de son père en Idumée en convertissant la population Phoenicienne locale et en y établissant au lieu, des vétérans Juifs. La population Juive cessa le commerce avec les citées des cotes et ont développé le troc local avec des endroits en Galilée. Les chemins à Phoenicie étaient peut-etre le moindrement voyagés. 

Du temps du ministère de Jésus à Bethsaida, Julia-Livia, l'épouse de l'empereur Augustus et la mère de l'empereur règnant Tibérieus, décèda. En sa mémoire, et dans un effort d'établir le culte Impérial Romain, Philip Hérode éleva le statut de Bethsaida au niveau d'une cité et la renomma, Julia. Josephus a maintenu que Philp Hérode a fait ces changements en accroissant la population et en renforçant la cité. Pour un long moment, nous nous demandions quoi d'autre y avait fait Philip Hérode, et quoi Joséphus voulait vraiment dire. Depuis les deux dernières années, nous pensons avoir découvert la réponse à cet énigme. Il semblerait qu'il avait construit une temple décoré somptueusement sur l'endroit le plus élevé du village. Au cours des dernières années, des fragments de décorations et du plan de terrain du temple furent découverts. Des objets de cultes furent aussi trouvés audedans et autour du temple. Parmis ces objets, il y avait deux pelles à encent faitent de bronze, des pots fabriqué de la potterie et des pichets qui étaient utilisés pour des pratiques ritualistiques, des figurines, des amulettes et des votives. Le temple n'a pas servit pour plus d'un siècle. Les excavation révèlèrent que pendant les deuxième siècle CE il ne fut plus utilisé et une maison privée y fut construite pardessus lui. 

Dans d'autres parties du site, les excavation ont révélé un quartier domestique, résidentiel. Quelques maisons, qui étaient typiques des maisons rurales d'arrières-courts, ont été déterré jusqu'ici. Ils consistent d'une arrière-court spacieuse entourrée par plusieurs chambres. De règle générale, les cuisines furent batient au sud, la salle à diner (triclinium en Latin) au nord et les chambres à coucher au second étage. La plupart des activités furent accomplis au grand air dans la court-arrière. Dans des régions telle la Galilée où la plus grande partie de l'année, le ciel est blue et dénudé de nuages, une grande part de la vie de famille avait lieu dans la court-arrière. C'était la place où la famille se rassemblait pour des activités tel que le travail, arrangeant et reprisant l'équipement de peche, traitant et préparant toutes sortes de nourriture et y rencontrant de amis et de la famille pour y discuter des sujets variés qui les concernaient: la politique, la religion et l'économie. 

Dans une des maisons, nous avons découvert un cellier à vin avec des jars à vin encore dedans. Dans une autre maison, nous avons découvert que le propriétaire de la maison buvait du vin importé de hautre qualité, qui fut produit dans l'Isle de Rhodes. 

Les Évangiles disent que Jésus a accompli de "puissantes oeuvres" dans ces endroits là. Ici, il guérissa les malades et precha à son audience et à ses disciples au sujet du Royaume du Ciel. Il raconta à ses pecheurs pauvres et humbles à propos que le succès et la richesse dans ce monde ne veulent pas dire la meme chose dans l'audelà. Il expliqua qu'il y a une récompense en vivant une vie saint et que si elle ne leur vient pas dans ce monde, elle va certainement venir dans le Royaume des Cieux. En Capernaum, il a guérit un homme paralysé. Afin de le rendre à la maison, le publique a du enlever le toit de la batisse et le descendre au travers du toit. 

Dans une autre épisode, un commandant militaire Romain (un centurion), qui habitait au village, l'approcha. Le centurion lui demanda de guérire un garçon qui était étendu malade chez-lui. Le centurion savait que Jésus n'irait pas chez-lui pour guérire l'enfant parce qu'un Halakhah (une loi Juive), décrétée par les Rabbis, défendait les Juifs d'entrer dans les maisons des gentils. Jésus fut enchanté par la foi du centurion parce qu'il ne trouvait pas une telle foi parmis son prochain, les Juifs. 

"Va chez-toi," dit-il, "et le garçon va etre guérit." 

Dans le triangle évangélique, Jésus a rencontré ses premiers disciples. Ils étaient Simon-Petrus, le pecheur de Bethsaida, et son frère André. Jésus leur dit d'arreter d'etre des pecheurs de poisson et de devenir des pecheurs d'hommes. Philippe, un autres disciple, était de Bethsaida aussi. Deux autres pecheurs, Jacques et Jean, les fils de Zebedé, le pecheurs riche qui engageait des travailleurs pour pecher pour lui, ont probablement aussi venu de ce village. En plus de guérir des individus, Jésus accompli des miracles à la multitude. Sur une plaine non-loin de Bethsaida, il fut suivi par une foule de 5,000 personnes et lorsqu'il eut rien à manger pour donner à la foule, Jésus est parvenu à nourrir la foule avec juste deux poissons et cinq pain (ceci est traditionnellement référré comme étant le miracle de la Multiplication de pains et des poissons - Matthieu 14:13-21). 

Lors de deux autres occasions, il precha les célèbres sermons dans lesquels il étendu la fondation de la foi Chrétienne. L'un des sermon fut prononcé du haut d'une butte et l'autre fut prononcé d'un bateau à une foule qui s'était amassée sur le rivage. 

Jésus n'a pas resté seulement dans le triangle évangélique. Il naviga de l'autre coter de la Mer de Galilée et près de la cité de Hippos, où il y guérit un homme démoniaque. L'homme avait une légion de démons dans lui; Jésus les chassa dans des pourceaux, qui se sont jetés dans le lac et se sont noyer. Jésus craingnait que ses miracle provoqueraient les habitants et dit à l'homme de ne pas en parler. 

Après la guérison d'un homme aveugle en Bethsaida, Jésus s'est encore une autre fois préparé à voyager, cette fois-ci en allant vers le nord. Il pris le chemin jusqu'à la cité capitale de la région de Gaulanitis (Golan) et arriva à la région de Caesarea Philippi. Là, ses disciples le questionna à savoir s'il était le Messie. Jésus refusa de répondre. Après avoir quitter Caesarea Philippi, Jésus a probablement voyagé à la cité de Tyre, qui est située sur la cote Méditerrannéenne, où il accomplit plusieurs autres miracles. Il a probablement ensuite retourné aux rivages nordiques de la Mer de Galilée et retourna encore à la région de Décapolis (une ligue de dix cités, qui furent fondées par des vétérans Grècs et des Syriens locaux Helelnisés) où il a miraculeusement nourrit une multitude de 4,000 personnes. La foule qui le suivait jusqu'à ce site était apparemment complètement des gentils. 

Jésus a probablement eu le sentiment que pas tous furent persuadés à la repentance. Conséquemment, il quitta en colère, réprimandant les trois endroits en disant: "Malheur à toi, Chorazin! malheur à toi, Bethsaida! car si les miracles qui ont été faits au milieu de vous, eussent été faits dans Tyr et dans Sidon, il y a longtemps qu'elles se seraient repenties avec le sac et la cendre." (Matthieu 11:21) 

Dr. Rami Arav est un Professeur à l' 'University of Nebraska, Omaha et le directeur du 'Bethsaida Excavations Projetc. Professeur Arav est l'auteur de 'Bethsaida: A City by the North Shore of the Sea of Galilée
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:58

Khorsabad, la Cité construite par les Israélites 
Brian Janeway 
Du Bible and Spade 

Traduction encore une autre fois imparfaite: par: Cocotte 


Que de mystère achéologique. Que de questions sont soulevés dans cet article. 



Qu'a t-il bien arrivé à ces soit-disantes douze tribues perdues d'Israel? Dans le Livre des Rois (3 R 17:6), ça nous dit que pendant le règne de Hoshea un siège de trois années a été conclu contre la cité de Samrie (la capitale. Les déportations en masse qui s'ensuivirent furent enrégistrées autant dans la Bible et dans les anales du Roi Sargon d'Assyrie. 

La Bible rapporte que les survivants furent emmenés au loin et ont été ré-installé en Halah et Habor, sur la rivière de Gozan, et dans les cités de Médes. Le sort de ces survivants est obscure. Mais, il fut la politique des Néo-Assyriens de ré-installer les populations civiles dans d'autres portions de l'empire, ces régions elles-memes ayant été préalablement souffert d'une dépopulation à la suite de leurs conquetes. Les rois Assyriens enrégistrèrent aussi l'embauche des captifs dans la construction de projets de constructions à grande-échelle. Nous pouvons etre certains que ceci fut le cas à Dur-Sharrukin, ou à la cité de Sargon, le Khorsabad moderne. 

Le dernier chapitre dans l'histoire du royaume d'Israel avait commencé avant sa réduction finale lorsque l'empire Assyrienne poussa ses conquetes au sud. Les évènement climatiques furent mis en motion en 722 BC lorsque le Roi Hoshea décida de mettre à l'épreuve son métal contre le colosse Assyrien. Il manigança avec le roi d'Égypte et cèssa le payment de son tribu annel à Shalmaneser V. Hashea fut enfermé et lié en prison (2 R 17:4), et la Samarie fut mis sous siège aux allentour de l'année 722 B.C. Elle fut laissée à Sargon II pour lui rendre la défaite finale de la cité (Miller and Hayes 1986: 336-37). L'un des deux inscriptions Assyriennes faisant affaires avec cet évènement décrit les conséquences: 

J'ai assaillé et conquis la Samarine. 
J'ai pris un butin de 27,290 personnes qui résidaient là. 
J'ai ramassé 50 chariots d'eux. 
Et j'ai enseigné au restant (des déportés) leurs habilletés. 
J'y installa mon gouverneur sur eux, et 
J'ai imposé sur eux le (meme) tribut que les roi précédant 
(Sahlmaneser V). (ANET 284-5) 

Le nombre de déportés réflecte probablement la totalité enlevée autant du district de la Samarie et de la cité elle-meme. Ceci marqua la fin de Royaume du Nord. Bien que Sargon n'ait pas évacué la population entière d'Israele, ses action furent suffisante pour mettre fin à son existence en tant qu'entité politique et résulta dans l'annexation du territoire dans l'Empire Assyrienne, qui a été renommé Bit-Humri (La Maison de Omri). 

Le crédit pour la découverte moderne de Dur-Sharukin appartient à Paul Émile Botta qui fut désigné le Consul Français à Mosul, en Iraq, en 1840. Il avait déjà pris un intéret passionné dans les buttes anciennes lorsqu'il commença des sondages à Kuyunjik, l'ancienne Nineveh. Il était entrain d'avoir peu de succès là lorsqu'un de ces ouvriers rapporta que des sculptures anciennes avaient été trouvé à Khorsabad, environ 12 milles au nord-est de Kuyunjik. En 1843, il commença des excavations sur le batiment connu maintenant comme étant le palais de Sargon II. Son succès fut immidiat et rivala ceuz de Layard deux ans plutard à Numrud. Il a été assisté par un dessinateur du nom de E. Flandin, qui enrégistra un grand nombre de reliefs et d'autres sculptures déterrés par l'expédition. 

Après les campagnes initiales par Botta, Layard eu l'occasion d'examiner le site, par deux visites en 1846 et encore en 1849. Ce qu'il trouva sur le site fut un épuisement rapide des restants exposés. Il remarqua que depuis le départ de Bota les chambres avaient été partiellement rempli par des tranchées qui retonbaient sur elle-meme; les sculpture périssaient rapidement; et bientot, peu va rester de ce monument. À sa deuxième visite il continua dans la meme veine: de ces reliefs qui avaient été exposé à l'air après le départ de Botta prèsqu'aucunes traces en demeuraient (Albenda 1986:28). 

Botta a creusé les site jusqu'en 1848, lorsqu'il a été réassigné à un poste obscure dans le Levant. Il avait, par ce temps là, établi que Kuyunjik n'était pas la cité ancienne de Ninéveh, comme ce fut cru à l'origine. 

En 1852, Botta a été remplacé par Victor Place et c'est à son assistant pricipale, Félix thomas, à qui l'on peut crédité les seuls régistres survivants des trouvailles majeures de l'expédition Française pendant cette années là et les autres années suivantes. 

Vers la fin de l'année 1853, Place a calculé qu'il avait clairé 209 chambres, regroupées allentour de 31 cours, en plus de trois temples et un petit ziggurat. La circonférence des murs de la cité fut tracée, dans certaines places il y avait 24 mètres d'épaisseures de fondations en roches avec sept portails d'entrées, trois desquels avaient des figure de portiques et 1 d'entre-eux était prèsque entièrement intacte. Il dénombra 3 portes à la cité sur son plan, elles avaient des archs en voute décorées en glaize colorée. 

En 1855, Place était prèt à retourner en France lorsqu'un désastre eu lieu. Les sculptures furent transportées en sécurité aussi loin que Baghdad où 235 caisses furent charchées sur un large bateau paysan et deux radeaux, avec la destination de Basra. Près de Kurnah, où le Tigris et l'Euphrates se rejoignent, le convoi fut attaqué par des villageois hostiles. Chacun des cinq vaisseaux furent renversés. Toutefois, quelques 80 caisses échappèrent le naufrage, et ainsi que les deux larges sculptures qui sont maintenant exposées dans le Louvre. Heureusement, un premier chargement envoyé par botta eut arrivé en toute sécurité avec deux figures de boeuf-ailés, qui sont aujourd'hui exposés dans le Musé Britanique. Avec la conclusion du travail de Place à Khorsabad, l'implication Européenne abouti à sa fin. 

Les excavations furent repris quelques 70 années plutard par Edward Chiera, un érudit de languages anciens du Proches Orient au Oriental Institute à l'University of Chicago. Sa première saison d'exploration eu lieu en 1927. Après plusieurs saisons de travail directement par Henri Frankfort et Gardon Loud en 1929 et 1934, le travail cèssa et n'a pas été renouvelé sur une grande-échelle en date de 1986. 

En résumant le travail sur le site, Loud raconta que l'enlèvement des possessions avaient été tellement complèt ou encore le pillage avait été tellement complèt au moment de son abandon qu'il y reste pratiquement rien en matières d'incriptions ou d'utensils par lesquels les batissent peuvent etre identifiées. De façon litérale, des milles de murailles formant des groupes de changres vides de sens ne sont non-plus gratifiants ni très instructifs (Loud 1938). 

Un aspet unique du site qui fut noté par Loud était la nature 
d'une-seule-période des ces dépots. Aucune occupatio précédente y fut trouvée sur le site et seulement des restants de 'squatters' suivèrent ce qui apparaissait comme étant un abandon complèt et paisible de la cité. La moyenne de la profondeur requise pour tracer les batisses à Dur-Sharrukin ne fut qu'environ 1.50 mètres. Ceci a rendu l'excavation relativement simple, mais la cité fut dénudée de quelque fut ses objets qui ornaient jadis l'architecture la-bas. L,excavateur (le creuseur) a estimé que la cité fut occupée pour seulement une année ou deux. 

Puisque les inscription indiquent que la construction de la cité a prise onze années pour la compléter et qu'elle fut inaugurée avec un grand festin au banquet qui fut accompagné par de la musique et une célébration, pour quoi serait-elle abandonnée vacante si rapidement et complètement? Quel role y ont jouré les Israélites dans sa construction? 


Bibliography 

Albenda, P. The Palace of Sargon, King of Assyria: Monumental Wall Reliefs at Dur-Sharrukin From Original Drawings Made at the Time of Their Discovery In 1843-1844 by Botta and Flandin. Paris: Recherche Sur Les Civilisations, 1986. 

Loud, G. Khorsabad II. Chicago: University of Chicago Press, 1938. 

Lloyd, S. Khorsabad. Pp. 196-204 in The Archaeology of Mesopotamia. London: Thames and Hudson, 1978. 

Miller, J.M. and Hayes, J. A History Of Ancient Israel And Judah. Philadelphia: Westminster Press, 1986. 

Brian Janeway, M.A., is on the staff of the Associates for Biblical Research. He has a master's degree in Biblical Archaeology and is currently enrolled in a Ph.D. program in Syro-Palestinian Archaeology at the University of Toronto. Brian has participated in a number of archaeological excavations and traveled widely throughout the Middle East.
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Message  Arlitto Lun 08 Aoû 2016, 11:59

Les pièces de monaies de Ponce Pilate 
Jean-Philippe Fontanille 
Traduction non-professionnelle: cocotte 



1. INTRODUCTION 

Elles ne sont pas réellement belles, ni vraiment rares, non-plus sont elles de très grande valeur monétaire. Pourtant, ces pièces apparemment modestes apportent avec leur poids une ère et une action qui aurait une immense conséquence sur l'histoire du monde. En fait, elles sont associées de près avec trois facteurs de base qui ont vu la fondation de la Chrétienneté: 

1 - La prominité temporelle : La plupart des experts modernes sont d'accord pour reconnaître que l'année maintenant désignée de 30 C.E. a marqué la procès et la mort de Jésus. Convenant de cet encadrement dans le temps, les pièces de monaies de Pilate furent frappées en 29, 30 et 31 C.E. 

2 - La proximité géographique : L'hypothèse la plus crédible indiquerait que ces pièces en particulier furent frappées à Jérusalem, la cité dans laquelle les évènement significatifs eurent lieu. 

3 - La proximité humaine : Ponce Pilate lui-même a créé le motif et a émis les pièces en circulation, et évidemment, il était l'homme qui a conduit le procès et a ordonné la crucification de Jésus. 

Donc, c'est que tout le monde, soit un croyant ou un amant de l'histoire tout simplement ou du numismatisme, vont y trouver dans ces pièces une preuve de et un témoignage d'une épisode dont sa mémoire a survécu pendant 2000 années : un évènement capital qui a façonné en grande partie le monde que nous connaissons. 

Partout dans cet article, nous allons aussi noter le charactère exceptionnel des pièces de Pilate: Exceptionnelles dans la nature des images qu'elles portent, pour les variantes nombreuses qu'elles offrent, pour la présence de marques (countermarks ?), et pardessus tout autre chose, pour le rôle que leur originateur a joué dans l'histoire. L'apparence putative de ces pièces empreinte sur le suaire de Turin reste encore à être confirmer par des preuves scientifiques plus solides. 

Les Pièces de Pilate sont des pièces Romaines, les mots sur elles sont Grecs, ils furent circulées en Judée, et aujourd'hui nous les retrouvons distribuées parmis des collecteurs mondiaux après avoir passé 2000 années enterré sous la terre. Elles furent battuent et utilisées durant une période qui a produit un évènement détiné à changer le visage du monde, et émisent sous le commandement d'un des acteurs principales de cet évènement. Une destinée étonnante et dramatique pour de pareilles pièces apparemment humbles et modestes ! 

Pendant 35 années, les pièce de Pilate furent passées de mains en mains à chaque jour. Elles ont connu les senteurs des étals à épices, entenduent les déblatérages des marchants, ont senti de sueur et de poussière du travail quotidien. Elles étaient du temps où les bruits de voix en Hébreux, en Aramaique, en Grec et en Latin maintenant marchandant le prix, maintenant offrant des prières à YHVH, Jésus ou Jupiter. 

Personne ne prient à Jupiter maintenant, mais les pièces de Pilate survivent les témoins d'une époque lorsque les premiers Chrétiens étaient considérés comme étant une secte messianique parmis plusieurs autres dans une brume de Judaisme en crise. La cision absolue entre le Judaisme et la Chrétienneté eu lieu d'allentour de 70 C.E., l'année qui marqua la fin tragique de la première rébellion Juive. Ce fut de ce temps, aussi, que l'argent de Pilate a cessé d'être utiliser. 

Comme chacun de nous, qui transportent toujours quelques petites pièces dans le fond de nos poches; il n'y a aucun doute que des pièces de Pilate résonnaient aux derniers mots du plu célèbre de tous le supplicants. Une très longue histoire a eu son commencement... 

2. LA MANUFACTURE ET LA CIRCULATION 

LA LOCATION DES HÔTELS DE LA MONAIS 

la traduction à être compléter ! 




Although the prefects had their residencies in Cesarea, the administrative capital of the province, it seems that their money was minted in Jerusalem. Indeed, a specimen dated year 31 has been found in this town in an incomplete state of manufacture. 

DURATION OF USE 

It would seem that Pilate's money was in current use for at least 35 years. Indeed, some of it has been discovered among other coins during the excavation of remains of dwellings destroyed by the Romans during the first Jewish revolt, which is evidence that they were still in use at that time. 

AREA OF CIRCULATION 

These coins circulated far beyond the frontiers of Judea. Some samples have been discovered as far away as Antioch in present-day Turkey, nearly 500 kilometres from Jerusalem where they were minted. Others have also been found in Jordan. These limits represent a circulation area of at least 100.000 square kilometres, that is five times larger than the size of the state of Israel. Taking into account that it was a time when distances were expressed in terms of days of march, one begins to see the important influence of these coins. 

3. THE IMAGES AND THE TEXTS 

THE SIMPULUM 

A fairly frequent symbol from the Roman religion of the time, the simpulum was a utensil used by the priests during their religious ceremonies. This little ladle, provided with shaft and a handle, allowed the priests to taste the wine which they poured onto the head of an animal destined for sacrifice, after which the soothsayer was empowered to examine the animal's entrails for signs and portents sent to men by the Gods through the medium of the interpreter. As I pointed, none of this would have been obvious at first sight of the motif except perhaps to a Roman citizen. However, it throws some light on the theory put forward by F.A. Banks. 

This wasn't the first time that the simpulum appeared on Roman coins, but it is the first time it figured alone. This fact gives an additional specificity to Pilate's coins, not only in the context of Judea but also in comparison with all the other coins of the Empire. 

THE THREE EARS OF BARLEY 

The three ears or barley are featured on the opposing face of the simpulum. Unlike the simpulum, these ears of barley are not in contravention of the Jewish Law. The motif is nevertheless distinctive because it is the first time it appears on a Judean coin. The motif would reappear twelve years later on one of Herod Agrippa's coin, then on another, much rarer, of Agrippa II (ears of barley held in a hand). After that, the motif disappeared altogether from ancient Jewish coins. 

THE LITUUS 

The lituus was the wooden staff which the augurs held in the right hand; it symbolised their authority and their pastoral vocation. It was raised toward heavens while the priests invoked the Gods and made their predictions. Legend records that Romulus used it at the time of Rome's foundation in 753 B.C.E. It is interesting to note that the cross used in present times is the direct descendant of the lituus. As with the simpulum, Pilate's coinage is exceptional in that it alone displays the lituus as the sole object illustrated on the face. 

THE WREATH 

The laurel wreath is a symbol of power and victory, and figures on various ancient Greek and Roman coins. In Judea it can be found during the reign of John Hyrcanus I (134 to 104 B.C.E.). After that, Herod Antipas, speaker for Pilate, used it on all his coins. On Pilate's coins, the laurel wreath figures on the reverse side of the lituus, framing the date. 

THE DATES 

The notation of dates uses a code invented by the Greeks whereby each letter of the alphabet was assigned a number. This code would be used again in Judaism under the name of Guematria. The system is simple : the first ten letters of the alphabet are linked to units (1,2,3...), the following ten letters to tens (10,20,30...) and the four remaining letters to the first four hundreds. The "L" is an abbreviation meaning "year". Tiberius became emperor on September 17 of year 14 C.E, so we have : 

LIS = Year 29 C.E. * LIZ = Year 30 C.E. * LIH = Year 31 C.E. 

THE TEXTS 

The legends on Pontius Pilate's coins are written in Greek. Judea, governed by the Ptolemy dynasty (301 to 198 B.C.E) then by the Syrians until 63 B.C.E, came under the same powerful influence of the Hellenic culture which touched the other territories of the ancient Persian Empire won by Alexander the Great. In spite of a certain amount of resistance, this Hellenistic heritage eventually crept into every aspect of daily life. Apart from the dates, the texts on Pilate's coinage consisted of only three different words : - TIBEPIOY KAICAPOC (Of Tiberius Emperor) on all three coins; - IOYLIA KAICAPOC (Empress Julia) added to the coin of year 29. 

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