Islam Critique
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Islam Critique
Islam Critique
Takfirisme pour obtenir femmes et butin
— Début de la traduction —
Abu Qatada est monté sur son cheval et a été rencontrer Abu Bakr.
Quand il arriva devant lui, il dit : tu sais que Malik bin Nouwarya avait un pacte et qu’il avait prétendu qu’il était musulman. J’ai tenté de raisonner Khalid mais il n’a pas voulu m’écouter et il a suivi les avis des bédouins qui voulaient du butin.
Omar se leva et dit : O Abu Bakr, il y a de l’injustice dans l’epee de Khalid. Et si ceci n’est pas juste, tu as le devoir de le punir.
Abu Bakr resta silencieux.
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Al-Harith Bin Rab’ii al-Ansari al-Soulami dit “Abu Qatada”. Un des compagnons du prophète des musulmans.
[2] : Le premier calife
[3] : Khalid ibn al-Walid. Le mercenaire du califat.
[4] : Omar ibn al-Khattab. Deux ans plus tard, il allait devenir calife quand Abu Bakr décèdera. Malgré son caractère brutal attesté par de nombreuses sources, il n’aimait pas Khalid ibn al-Walid.
[5] : Khalid ibn al-Walid était appelé « l’épée d’Allah ». A prendre dans le sens littéral. C’est lui qui défend Allah et tue pour Lui.
Page(s) :
Source :
Tarikh al-Islam (l’Histoire de l’Islam)
De: Al-Dhahabi (1274 – 1348)
Volume 2, page 26
Analyse :
Voici un cas précis montrant la raison principale du takfirisme : le butin !
En fait, Khalid ibn Al-Walid terrorisait au nom du premier calife. Ce dernier avait besoin d’un coup de terreur pour montrer de quoi il était capable pour se maintenir au pouvoir.
Khalid, en plus de ses fidèles, recruta des bédouins prêts à tout. Au cas où ils trouvent des « apostats », ils devaient les tuer et se faire payer en nature : prendre les biens et les femmes des morts.
Problème : les bédouins ne veulent pas rentrer bredouilles. On leur a fait miroiter des femmes et des richesses. Ils veulent de l’apostat et vite ! Autrement, ils risquent de quitter Khalid voire même se retourner contre lui.
C’est là qu’arrive la tribu de monsieur Malik bin Nouwarya. Malgré qu’ils sont musulmans et le clament haut et fort, Khalid ne veut rien savoir. En chef de guerre avisé, il sent que s’il ne lâche pas du lest à ses bédouins, cela risque de mal tourner.
Malik bin Nouwarya est donc déclaré « kafir » et égorgé. Le soir même Khalid viole sa femme qui – dit-on – était très jolie. Avant sa mort, Malik savait qu’on le tuait pour elle.
Pour être juste, les livres sunnites ne disent pas il a violé la femme mais il a « épousé » la femme. Pour eux, décapiter un homme et copuler avec sa femme le soir même près de son cadavre s’appelle un mariage béni et hallal. Il n’y a rien à attendre de ces livres qui ont pris le parti des injustes et font tout pour corrompre les valeurs morales des gens afin que le criminel sorte blanc comme neige.
La fin de l’histoire nous dit qu’Abu Bakr – dit le Siddiq (le Juste) – s’est tu. Il n’allait rien faire et effectivement il laissa Khalid et ses troupes causer massacres, tueries et pillages. Il avait besoin que Khalid fasse le nettoyage de toutes les poches d’opposition. Il l’encouragea même à la cruauté en lui demandant de bruler vivants ceux qu’il chope.
Officiellement, dans l’islam sunnite, Abu Bakr est un « moubachar bil janah ». C’est-à-dire qu’il est au-dessus de la justice divine. Le sunnisme ne proclame pas l’universalité de la justice mais plutôt un système qui met l’homme politique au-dessus de tout. Son mercenaire Khalid ibn al-Walid est considéré comme un héros et des maternelles, écoles et mosquées portent son nom. Dans l’islam chiite qui se veut proche de la tradition du prophète des musulmans et de sa famille, Abu Bakr et Khalid sont maudits.
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Re: Islam Critique
Des têtes d’hommes en supports de marmittes
— Début de la traduction –
Les musulmans ont rattrapé le groupe de Taliha et ils ont tué et emprisonné. Khaled s’est écrié : qu’aucun ne fasse cuire une marmite ou ne réchauffe de l’eau sans que son support ne soit une tête d’homme !
— Fin de la traduction —
Page(s):
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Source :
Moukhtassar Sirat al Rassoul
De : [ltr]Mohammed ben Abd al-Wahab[/ltr]
Volume 4, page 268
Analyse :
Après avoir reçu des ordres du calife d’Abu Bakr ([ltr]voir cet article[/ltr]), Khalid ibn al-Walid avait carte blanche pour tuer ceux qui refusaient l’islam et/ou l’autorité politique. Les deux positions sont équivalentes.
Khalid ibn al-Walid demande à ses hommes d’utiliser des têtes humaines en lieu et place des pierres qu’on pose sous les marmites pour les soutenir sur le feu. Ce livre et d’autres racontent des scènes dignes d’un enfer : des prisonniers sont brulés vivants conformément aux ordres d’Abu Bakr, d’autres sont décapités et leurs crânes soutiennent des marmites. Les soldats mangent la soupe puis les femmes sont violées. Oh pardon : les récits disent Khalid ibn al-Walid a pris la femme d’un des morts et s’est marié avec elle parce qu’il a été impressionné par sa religion. Lisez : il l’a violée devant le corps brulé de son mari parce qu’il l’a trouvée appétissante.
Les enfants apprennent que cet homme est un héros et que ses actions ont « sauvé l’islam ». Ceci valide dans les têtes que la terreur est – à l’origine – ce qui a sauvé l’islam. Il ne faut pas s’étonner de voir par la suite des ados de 14 ans rejoindre des groupes terroristes qui veulent « sauver l’islam » en commettant les mêmes atrocités que leurs héros.
Voici une garderie pour enfants (Egypte) qui porte le nom de “Khalid ibn al-Walid”:
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Autres écoles du monde Arabe:
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— Début de la traduction –
Les musulmans ont rattrapé le groupe de Taliha et ils ont tué et emprisonné. Khaled s’est écrié : qu’aucun ne fasse cuire une marmite ou ne réchauffe de l’eau sans que son support ne soit une tête d’homme !
— Fin de la traduction —
Page(s):
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Source :
Moukhtassar Sirat al Rassoul
De : [ltr]Mohammed ben Abd al-Wahab[/ltr]
Volume 4, page 268
Analyse :
Après avoir reçu des ordres du calife d’Abu Bakr ([ltr]voir cet article[/ltr]), Khalid ibn al-Walid avait carte blanche pour tuer ceux qui refusaient l’islam et/ou l’autorité politique. Les deux positions sont équivalentes.
Khalid ibn al-Walid demande à ses hommes d’utiliser des têtes humaines en lieu et place des pierres qu’on pose sous les marmites pour les soutenir sur le feu. Ce livre et d’autres racontent des scènes dignes d’un enfer : des prisonniers sont brulés vivants conformément aux ordres d’Abu Bakr, d’autres sont décapités et leurs crânes soutiennent des marmites. Les soldats mangent la soupe puis les femmes sont violées. Oh pardon : les récits disent Khalid ibn al-Walid a pris la femme d’un des morts et s’est marié avec elle parce qu’il a été impressionné par sa religion. Lisez : il l’a violée devant le corps brulé de son mari parce qu’il l’a trouvée appétissante.
Les enfants apprennent que cet homme est un héros et que ses actions ont « sauvé l’islam ». Ceci valide dans les têtes que la terreur est – à l’origine – ce qui a sauvé l’islam. Il ne faut pas s’étonner de voir par la suite des ados de 14 ans rejoindre des groupes terroristes qui veulent « sauver l’islam » en commettant les mêmes atrocités que leurs héros.
Voici une garderie pour enfants (Egypte) qui porte le nom de “Khalid ibn al-Walid”:
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Autres écoles du monde Arabe:
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Re: Islam Critique
Khalid ibn al-Walid mange sur un cadavre
— Début de la traduction —
34312 – Nous avons été informés par Hachim d’après Houssayn qui a dit :
Quand Khalid bin al-Walid est arrivé ici, il a rencontré un groupe de vieux Perses conduits par un homme qui s’appelait Hazaaramrad. Cet homme était très fort et doté d’un grand courage.
Khalid ibn al-Walid l’a tué puis a demandé un repas et il a mangé en s’accoudant sur son corps. C’est à dire sur son cadavre.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn abi Chayba (ou aussi: Ibn abi Shayba)
Volume 11, page 252
Analyse :
Khalid bin al-Walid était un des nombreux mercenaires du calife Abu Bakr. Lui, il rentre sous la catégorie « monstre mangeur ». Il y a une unité des différents récits sur son caractère : il associe la mort à la nourriture. On l’a déjà vu dans une autre histoire en train d’utiliser des têtes humaines tranchées pour soutenir des bouilloires de soupe ([ltr]voir ici[/ltr]).
A noter qu’on trouve cette attitude chez des califes comme les Abbâssides (voir [ltr]al-Saffah[/ltr]) qui blessaient mortellement des gens, posaient des tapis dessus et s’installaient sur les mourants pour manger. Des vies sortantes de corps en sang devaient, à leur sens, améliorer le goût de la chorba.
Comment ces hommes politiques et leurs mercenaires sont devenus des modèles de vertu dans la société d’aujourd’hui ? Cela montre comment l’establishment politique a pris en charge la religion islamique et en a fait un culte sa propre gloire. Depuis toujours, les rois et autres dirigeants ont voulu contrôler les consciences des gens par le biais de la religion. Aucune religion n’a échappé à de telles influences, mais en islam, c’est réussi au point de la caricature.
NB: Cet homme avait probablement des tendances cannibales / anthropophages. Ces délires ressortent chez les gens qui l’admirent et s’en servent comme modèle. On se souvient du terroriste d’ISIS / EI qui avait mangé le cœur d’un soldat syrien devant la caméra.
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— Début de la traduction —
34312 – Nous avons été informés par Hachim d’après Houssayn qui a dit :
Quand Khalid bin al-Walid est arrivé ici, il a rencontré un groupe de vieux Perses conduits par un homme qui s’appelait Hazaaramrad. Cet homme était très fort et doté d’un grand courage.
Khalid ibn al-Walid l’a tué puis a demandé un repas et il a mangé en s’accoudant sur son corps. C’est à dire sur son cadavre.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
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Source :
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn abi Chayba (ou aussi: Ibn abi Shayba)
Volume 11, page 252
Analyse :
Khalid bin al-Walid était un des nombreux mercenaires du calife Abu Bakr. Lui, il rentre sous la catégorie « monstre mangeur ». Il y a une unité des différents récits sur son caractère : il associe la mort à la nourriture. On l’a déjà vu dans une autre histoire en train d’utiliser des têtes humaines tranchées pour soutenir des bouilloires de soupe ([ltr]voir ici[/ltr]).
A noter qu’on trouve cette attitude chez des califes comme les Abbâssides (voir [ltr]al-Saffah[/ltr]) qui blessaient mortellement des gens, posaient des tapis dessus et s’installaient sur les mourants pour manger. Des vies sortantes de corps en sang devaient, à leur sens, améliorer le goût de la chorba.
Comment ces hommes politiques et leurs mercenaires sont devenus des modèles de vertu dans la société d’aujourd’hui ? Cela montre comment l’establishment politique a pris en charge la religion islamique et en a fait un culte sa propre gloire. Depuis toujours, les rois et autres dirigeants ont voulu contrôler les consciences des gens par le biais de la religion. Aucune religion n’a échappé à de telles influences, mais en islam, c’est réussi au point de la caricature.
NB: Cet homme avait probablement des tendances cannibales / anthropophages. Ces délires ressortent chez les gens qui l’admirent et s’en servent comme modèle. On se souvient du terroriste d’ISIS / EI qui avait mangé le cœur d’un soldat syrien devant la caméra.
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Re: Islam Critique
Le caliphe Abu Bakr donne des ordres d’extermination et d’esclavage
— Début de la traduction —
J’ai appris que certains ont renié leur religion après qu’ils eurent accepté et vécu dans l’islam. Ils ont trahi Allah, ignoré Ses ordres et obéi au diable. Allah a dit : « Le Diable est pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour un ennemi. Il ne fait qu’appeler ses partisans pour qu’ils soient des gens de la Fournaise. ».
Je vous envoie donc Khalid avec différents groupes de musulmans. Et je lui ai ordonné de ne tuer personne sans qu’il l’invite d’abord à Allah. Celui qui revient dans la religion d’Allah et fait le bien, on acceptera cela de lui.
Ceux qui refusent, il les exterminera – il les brulera au feu – et il mettra les femmes et les enfants en esclavage
— Fin de la traduction —
Notes de traduction:
[1] : Verset 35:6 (voir)
[2]: Khalid Ibn al-Walid: Sorte de mercenaire prêtant main-forte aux califes en échange de parts de butins et de femmes captives pour lui et ses hommes. Malgré les tueries, massacres, viols et autres exactions dont le créditent les livres, il est considéré comme presque un saint dans le monde musulman et on donne même son nom à des écoles et des mosquées. [wiki: ar, fr, en]
Page(s):
Source :
Moukhtassar Sirat al Rassoul
De : Mohammed ben Abd al-Wahab
Volume 4, page 264
Analyse:
Les anciens hommes politiques (califes) comme Abu Bakr sont les idoles des musulmans de par le monde. Beaucoup croient même que si ses califes revenaient aujourd’hui, ils règleraient tous leurs problèmes et rétabliraient la justice, la paix et la prospérité. Pourtant, la lecture des livres de l’école sunnite qui sacralise ces hommes, les montre comme des sanguinaires sans limites.
L’histoire rapportée ici arrive littéralement dans les jours après la mort du prophète des musulmans. Abu Bakr arrive au pouvoir et se rend compte que beaucoup de gens ne veulent pas entendre parler de lui. Certains ne le trouvent pas légitime, d’autres avaient été convertis par le sabre et voulaient reprendre leur liberté de conscience.
Un des points communs entre tous ceux qui ne reconnaissaient pas Abu Bakr est le suivant : qu’ils soient musulmans ou pas, ils refusaient de lui payer l’impôt (la zakat). Comme le racontent les hadiths rapportés dans Sahih Boukhari, il déclare qu’ils sont tous apostats par le simple fait qu’ils ne le payent pas.
Comme Abu Bakr n’a pas d’armée, il accepte l’offre de Khalid bin al-Walid et ses hommes de main. Il acceptera les offres d’autres mercenaires également auxquels il donne carte blanche pour terroriser les villages afin de faire plier les gens à son pouvoir. Les livres sont pleins d’histoires d’horreurs de crimes commis sur des civils. Les gens finissaient dans des fosses communes en masse.
Jusqu’à nos jours, les enfants des écoles primaires des pays islamiques continuent de chanter les louanges de ces assassins qui ont « sauvé l’islam » en massacrant ceux qui ne voulaient pas y croire.
On notera au passage la demande claire de mettre en esclavage les femmes et les enfants. Elle va clairement à l’encontre du mythe qui dit que « l’islam a aboli l’esclavage ».
NB : l’extrait vient d’un livre d’Abd al-Wahab – l’inventeur du Wahabisme – mais l’histoire revient dans d’autres livres écrits avant lui et selon plusieurs sources indépendantes les unes des autres.
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— Début de la traduction —
J’ai appris que certains ont renié leur religion après qu’ils eurent accepté et vécu dans l’islam. Ils ont trahi Allah, ignoré Ses ordres et obéi au diable. Allah a dit : « Le Diable est pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour un ennemi. Il ne fait qu’appeler ses partisans pour qu’ils soient des gens de la Fournaise. ».
Je vous envoie donc Khalid avec différents groupes de musulmans. Et je lui ai ordonné de ne tuer personne sans qu’il l’invite d’abord à Allah. Celui qui revient dans la religion d’Allah et fait le bien, on acceptera cela de lui.
Ceux qui refusent, il les exterminera – il les brulera au feu – et il mettra les femmes et les enfants en esclavage
— Fin de la traduction —
Notes de traduction:
[1] : Verset 35:6 (voir)
[2]: Khalid Ibn al-Walid: Sorte de mercenaire prêtant main-forte aux califes en échange de parts de butins et de femmes captives pour lui et ses hommes. Malgré les tueries, massacres, viols et autres exactions dont le créditent les livres, il est considéré comme presque un saint dans le monde musulman et on donne même son nom à des écoles et des mosquées. [wiki: ar, fr, en]
Page(s):
Source :
Moukhtassar Sirat al Rassoul
De : Mohammed ben Abd al-Wahab
Volume 4, page 264
Analyse:
Les anciens hommes politiques (califes) comme Abu Bakr sont les idoles des musulmans de par le monde. Beaucoup croient même que si ses califes revenaient aujourd’hui, ils règleraient tous leurs problèmes et rétabliraient la justice, la paix et la prospérité. Pourtant, la lecture des livres de l’école sunnite qui sacralise ces hommes, les montre comme des sanguinaires sans limites.
L’histoire rapportée ici arrive littéralement dans les jours après la mort du prophète des musulmans. Abu Bakr arrive au pouvoir et se rend compte que beaucoup de gens ne veulent pas entendre parler de lui. Certains ne le trouvent pas légitime, d’autres avaient été convertis par le sabre et voulaient reprendre leur liberté de conscience.
Un des points communs entre tous ceux qui ne reconnaissaient pas Abu Bakr est le suivant : qu’ils soient musulmans ou pas, ils refusaient de lui payer l’impôt (la zakat). Comme le racontent les hadiths rapportés dans Sahih Boukhari, il déclare qu’ils sont tous apostats par le simple fait qu’ils ne le payent pas.
Comme Abu Bakr n’a pas d’armée, il accepte l’offre de Khalid bin al-Walid et ses hommes de main. Il acceptera les offres d’autres mercenaires également auxquels il donne carte blanche pour terroriser les villages afin de faire plier les gens à son pouvoir. Les livres sont pleins d’histoires d’horreurs de crimes commis sur des civils. Les gens finissaient dans des fosses communes en masse.
Jusqu’à nos jours, les enfants des écoles primaires des pays islamiques continuent de chanter les louanges de ces assassins qui ont « sauvé l’islam » en massacrant ceux qui ne voulaient pas y croire.
On notera au passage la demande claire de mettre en esclavage les femmes et les enfants. Elle va clairement à l’encontre du mythe qui dit que « l’islam a aboli l’esclavage ».
NB : l’extrait vient d’un livre d’Abd al-Wahab – l’inventeur du Wahabisme – mais l’histoire revient dans d’autres livres écrits avant lui et selon plusieurs sources indépendantes les unes des autres.
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Re: Islam Critique
An 683 : Les violeurs du califat attaquent Médine
— Début de la traduction —
Al-Madaini a dit :
Muslim bin Oukba a autorisé la mise à sac de Médine pendant trois jours. Ils tuaient les gens et prenaient les biens.
Saada bint Aouf al Mariya a envoyé un message à Bin Oukba lui disant : je suis ta cousine. Demande à tes hommes de ne pas toucher à nos chameaux qui se trouvent à tel et tel endroit.
Il dit à ses hommes : commencez par ses chameaux !
Une autre femme est arrivée et elle a dit : je suis ta servante, mon fils est parmi tes prisonniers.
Il a dit : réglez son cas au plus vite !
Le fils fut décapité. Et il ordonna : donnez-lui sa tête !
Puis il dit à la femme : tu ne voudrais pas être tuée avant d’avant d’avoir parlé à ton fils ?
Et ils sont tombés sur les femmes. Il a été dit que mille femmes sont tombées enceintes ces jours sans qu’elles ne soient mariées.
Al-Madaini a dit : qu’Abi Qora a dit : que Hicham bin Hassan a dit : mille femmes ont accouché à Médine sans mariage après l’attaque de la Hourah.
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
: C’est le chef de l’armée de 6000 hommes qu’a envoyé le calife omeyyade Yazid bin Mouawiya pour mater les gens de Médine qui sont revenus sur leur allégeance. Ce retournement est arrivé après que les troupes de Mouawiya aient décapité Hossein, le petit fils du prophète. Le monde musulman en général s’est mis du côté du calife mais à Médine où le prophète avait vécu, il eut un fort ressentiment contre le calife. Celui-ci envoya ses hommes pour mater la population et obtenir qu’on lui prête allégeance encore.
Page(s) :
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Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : [ltr]Ibn Kathir[/ltr]
Volume 11, Page 621
Analyse :
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— Début de la traduction —
Al-Madaini a dit :
Muslim bin Oukba a autorisé la mise à sac de Médine pendant trois jours. Ils tuaient les gens et prenaient les biens.
Saada bint Aouf al Mariya a envoyé un message à Bin Oukba lui disant : je suis ta cousine. Demande à tes hommes de ne pas toucher à nos chameaux qui se trouvent à tel et tel endroit.
Il dit à ses hommes : commencez par ses chameaux !
Une autre femme est arrivée et elle a dit : je suis ta servante, mon fils est parmi tes prisonniers.
Il a dit : réglez son cas au plus vite !
Le fils fut décapité. Et il ordonna : donnez-lui sa tête !
Puis il dit à la femme : tu ne voudrais pas être tuée avant d’avant d’avoir parlé à ton fils ?
Et ils sont tombés sur les femmes. Il a été dit que mille femmes sont tombées enceintes ces jours sans qu’elles ne soient mariées.
Al-Madaini a dit : qu’Abi Qora a dit : que Hicham bin Hassan a dit : mille femmes ont accouché à Médine sans mariage après l’attaque de la Hourah.
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
: C’est le chef de l’armée de 6000 hommes qu’a envoyé le calife omeyyade Yazid bin Mouawiya pour mater les gens de Médine qui sont revenus sur leur allégeance. Ce retournement est arrivé après que les troupes de Mouawiya aient décapité Hossein, le petit fils du prophète. Le monde musulman en général s’est mis du côté du calife mais à Médine où le prophète avait vécu, il eut un fort ressentiment contre le calife. Celui-ci envoya ses hommes pour mater la population et obtenir qu’on lui prête allégeance encore.
Page(s) :
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Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : [ltr]Ibn Kathir[/ltr]
Volume 11, Page 621
Analyse :
A cette époque, il n’y a ni les Etats-Unis, ni la CIA, ni le Mossad mais DAESH existait déjà. Le califat islamique a toujours été un groupe terroriste officiel et ce depuis le premier calife (Abu Bakr).
Cette histoire et similaires ne sont jamais racontées aux enfants ni aux adultes des pays musulmans. Pourtant, elles sont écrites noire sur blancs dans tous leurs livres.
Au contraire, dès qu’il ouvre les yeux, on explique à l’enfant qu’il est né trop tard pour voir et apprécier le paradis qu’était l’âge des califes. Oh, ces gentils califes qui travaillaient pour la justice, la paix, l’égalité… puis qui passaient la nuit à pleurer en pensant aux gens qui ont faim.
Des millions de familles, d’imams, de chaines de télés, d’écoles…. Continuent à perdurer le culte quasi-idolâtre des califes. Tant que le culte hystérique de ce système totalitaire et des criminels à sa tête continuera, le monde musulman sera condamné à voir – à chaque génération – une partie de ses enfants rejoindre des groupes terroristes pour répéter les exactions des califes.
Cette attaque a eu lieu environ 50 ans après la mort du prophète des musulmans. Beaucoup de gens qui l’ont connu ou côtoyés durant leur jeunesse se sont fait massacrer en cette année.
NB : Quand ils sont confrontés à ces histoires, beaucoup de musulmans se braquent et se réfugient dans le déni. Pour beaucoup : si la télé ne le dit pas, ou que les parents ne le racontent pas, c’est que ça n’a jamais eu lieu. De plus, l’idolâtrie qu’ils vouent pour les anciens hommes politiques arabes les empêche d’accepter toute factualité négative à leur sujet. Pourtant, ces histoires sont les livres les plus acceptés des musulmans sunnites. Si vous êtes dans le déni, pensez à une seule chose : on vous a menti comme on a menti à vos parents. On vous a gardé dans le mensonge pendant des siècles en tablant sur le fait que vous n’allez jamais ouvrir les jolis livres qui reposent sur l’étagère. Reprenez le contrôle de votre cerveau !
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Re: Islam Critique
An 684 – Attaquée par le califat, la Kaaba finit rasée jusqu’au sol
— début de la traduction —
402 – (…) Hinad bin al-Siry nous a parlé, Ibn Abi Zaida nous a parlé, j’ai été informé par Ibn Abi Souleymane, d’après Attaa qui a dit :
Quand la Kaaba a brulé à l’époque de Yazid ibn Muawiya, suite à l’attaque des gens du Shaam, il s’est passé ce qui s’est passé. Ibn al-Zoubayr l’a laissée telle quelle jusqu’à ce les gens arrivent pour la saison du pèlerinage afin qu’il les incite à faire la guerre aux gens du Shaam.
Quand les gens se sont rassemblés, il leur a dit : Dites-moi ce que je dois faire au sujet de la Kaaba ? Est-ce que je la détruis et je la reconstruits de nouveau ou bien est-ce que je la répare ?
Ibn Abbas dit : mon avis est que tu la répares. Il faut laisser ces pierres devant lesquelles des gens sont devenus musulmans et sur lesquelles le prophète a été envoyé.
Ibn al-Zoubayr dit : si la maison de l’un de vous brule, il voudra la réparer. Alors quoi faire de la maison de votre Dieu ? Je vais prier Dieu pendant trois jours pour qu’il m’inspire quoi faire et puis j’agirai.
Après les trois jours, il s’était résolu à la détruire totalement. Mais les gens ont eu peur qu’une calamité tombe du ciel sur le premier qui monte dessus. Un homme monta sur la Kaaba et a commencé à jeter les pierres. Quand les gens l’ont vu faire et que rien ne l’a atteint, ils l’ont suivi. Ils l’ont rasée jusqu’au sol.
Ibn al-Zoubayr a érigé six piliers et l’a couverte de rideaux jusqu’à ce qu’elle soit reconstruite.
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
: Il s’agit d’Abdallah ibn Al-Zoubayr ibn al-Awame. Il est le fils d’Asmaa la fille du calife Abu Bakr. Le calife Abu Bakr est donc son grand-père. Aicha, la femme du prophète est sa tante. On trouve beaucoup de hadiths avec cette chaine de narration : « …d’après Al-Zoubayr, d’après Aicha… ». C’est de ce Zoubayr dont il s’agit. Il était devenu le calife dans la région de l’axe Mecque – Médine. Comme il refusait de se plier et prêter allégeance au calife de Damas (après la décapitation du petit fils du prophète), ces villes ont été attaquées.
Abdallah Ibn Abbas. C’est un cousin du prophète et aussi une source importante de hadiths. Il reconnaissait le pouvoir d’ibn al-Zoubayr mais rejetait le pouvoir du califat omeyyade de Damas.
Page(s):
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Source:
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 605 (chapitre sur le Hadj, hadith 1333 (403))
Analyse:
Voici encore une information que peu de musulmans connaissent. Elle sort pourtant d’une source béton : Sahih Muslim. Pourquoi la majorité des musulmans ne la connaissent pas ? Parce qu’on évite de la leur raconter. C’est un mensonge par omission. Son establishment veut que le musulman continue à vénérer les califes, les sultans, les walis, les vizirs… et accessoirement les dirigeants corrompus de son propre pays et les imams qu’il paye pour l’endoctriner.
La Kaaba a été attaquée à plusieurs reprises par le califat. Ceci était la première mais pas la dernière fois. On voit dans ce texte qu’elle a été rasée jusqu’au sol. Pour cette raison, la Kaaba autour de laquelle tournent les musulmans aujourd’hui n’est pas la même qui existait à l’époque de leur prophète.
Les historiens proches des califes de Damas tentent maladroitement de les disculper en disant qu’elle a pris feu par accident. Mais on sait qu’ils frappaient au mangonneau et visaient la Kaaba parce que beaucoup de gens s’étaient réfugiés autour en espérant qu’on ne viendra pas les tuer à cet endroit sacré bien avant l’islam.
Le califat voulait prouver qu’il ne reculerait devant rien pour assoir son pouvoir : égorger le petit fils du prophète, violer les femmes de Médine, tuer des compagnons du prophète et leurs bébés, raser la Kaaba… Il voulait envoyer une onde de terreur pour que les musulmans soient tétanisés de peur. Ca a marché, parce que jusqu’à maintenant beaucoup élèvent leurs enfants dans la vénération du califat. C’est ce qui explique pourquoi ISIS recrute si facilement.
Si vous ne voulez pas que les terroristes prennent votre enfant et le transforment en égorgeur ou en bombe humaine, apprenez-lui la VRAIE Histoire du califat.
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— début de la traduction —
402 – (…) Hinad bin al-Siry nous a parlé, Ibn Abi Zaida nous a parlé, j’ai été informé par Ibn Abi Souleymane, d’après Attaa qui a dit :
Quand la Kaaba a brulé à l’époque de Yazid ibn Muawiya, suite à l’attaque des gens du Shaam, il s’est passé ce qui s’est passé. Ibn al-Zoubayr l’a laissée telle quelle jusqu’à ce les gens arrivent pour la saison du pèlerinage afin qu’il les incite à faire la guerre aux gens du Shaam.
Quand les gens se sont rassemblés, il leur a dit : Dites-moi ce que je dois faire au sujet de la Kaaba ? Est-ce que je la détruis et je la reconstruits de nouveau ou bien est-ce que je la répare ?
Ibn Abbas dit : mon avis est que tu la répares. Il faut laisser ces pierres devant lesquelles des gens sont devenus musulmans et sur lesquelles le prophète a été envoyé.
Ibn al-Zoubayr dit : si la maison de l’un de vous brule, il voudra la réparer. Alors quoi faire de la maison de votre Dieu ? Je vais prier Dieu pendant trois jours pour qu’il m’inspire quoi faire et puis j’agirai.
Après les trois jours, il s’était résolu à la détruire totalement. Mais les gens ont eu peur qu’une calamité tombe du ciel sur le premier qui monte dessus. Un homme monta sur la Kaaba et a commencé à jeter les pierres. Quand les gens l’ont vu faire et que rien ne l’a atteint, ils l’ont suivi. Ils l’ont rasée jusqu’au sol.
Ibn al-Zoubayr a érigé six piliers et l’a couverte de rideaux jusqu’à ce qu’elle soit reconstruite.
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
: Il s’agit d’Abdallah ibn Al-Zoubayr ibn al-Awame. Il est le fils d’Asmaa la fille du calife Abu Bakr. Le calife Abu Bakr est donc son grand-père. Aicha, la femme du prophète est sa tante. On trouve beaucoup de hadiths avec cette chaine de narration : « …d’après Al-Zoubayr, d’après Aicha… ». C’est de ce Zoubayr dont il s’agit. Il était devenu le calife dans la région de l’axe Mecque – Médine. Comme il refusait de se plier et prêter allégeance au calife de Damas (après la décapitation du petit fils du prophète), ces villes ont été attaquées.
Abdallah Ibn Abbas. C’est un cousin du prophète et aussi une source importante de hadiths. Il reconnaissait le pouvoir d’ibn al-Zoubayr mais rejetait le pouvoir du califat omeyyade de Damas.
Page(s):
[ltr][/ltr]
Source:
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 605 (chapitre sur le Hadj, hadith 1333 (403))
Analyse:
Voici encore une information que peu de musulmans connaissent. Elle sort pourtant d’une source béton : Sahih Muslim. Pourquoi la majorité des musulmans ne la connaissent pas ? Parce qu’on évite de la leur raconter. C’est un mensonge par omission. Son establishment veut que le musulman continue à vénérer les califes, les sultans, les walis, les vizirs… et accessoirement les dirigeants corrompus de son propre pays et les imams qu’il paye pour l’endoctriner.
La Kaaba a été attaquée à plusieurs reprises par le califat. Ceci était la première mais pas la dernière fois. On voit dans ce texte qu’elle a été rasée jusqu’au sol. Pour cette raison, la Kaaba autour de laquelle tournent les musulmans aujourd’hui n’est pas la même qui existait à l’époque de leur prophète.
Les historiens proches des califes de Damas tentent maladroitement de les disculper en disant qu’elle a pris feu par accident. Mais on sait qu’ils frappaient au mangonneau et visaient la Kaaba parce que beaucoup de gens s’étaient réfugiés autour en espérant qu’on ne viendra pas les tuer à cet endroit sacré bien avant l’islam.
Le califat voulait prouver qu’il ne reculerait devant rien pour assoir son pouvoir : égorger le petit fils du prophète, violer les femmes de Médine, tuer des compagnons du prophète et leurs bébés, raser la Kaaba… Il voulait envoyer une onde de terreur pour que les musulmans soient tétanisés de peur. Ca a marché, parce que jusqu’à maintenant beaucoup élèvent leurs enfants dans la vénération du califat. C’est ce qui explique pourquoi ISIS recrute si facilement.
Si vous ne voulez pas que les terroristes prennent votre enfant et le transforment en égorgeur ou en bombe humaine, apprenez-lui la VRAIE Histoire du califat.
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Re: Islam Critique
Dieu révèle un verset au sujet d’un sabre du butin
— Début de la traduction —
12 – Chapitre du Butin
Notes de traduction
[1] : Mot à mot « Mon père a pris un sabre depuis le cinquième ». Comme le butin était divisé en cinq, il était devenu courant de l’appeler « le cinquième ». Parfois, selon le contexte, le « cinquième » veut dire la part du prophète ou la part du calife.
[2] : Soura du Butin (Soura 8), verset 1. [ltr]Voir capture d’écran[/ltr] du verset
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 834 (Chapitre du djihad)
Analyse :
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— Début de la traduction —
12 – Chapitre du Butin
33 – (1748) Et Qotayba bin Saïd nous a dit, Abu Ouwana, d’après Simak, d’après Mousaab bin Saad, d’après son père qui a dit :
Mon père a pris un sabre depuis le butin [1]. Le prophète est venu à lui et lui a dit : donne-le moi.
Il a refusé de le donner et Allah a révélé le verset : « Ils t’interrogent au sujet du butin. Dis : “Le butin est à Allah et à Son messager.” »
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Mot à mot « Mon père a pris un sabre depuis le cinquième ». Comme le butin était divisé en cinq, il était devenu courant de l’appeler « le cinquième ». Parfois, selon le contexte, le « cinquième » veut dire la part du prophète ou la part du calife.
[2] : Soura du Butin (Soura 8), verset 1. [ltr]Voir capture d’écran[/ltr] du verset
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 834 (Chapitre du djihad)
Analyse :
Jérusalem, la « ville sacrée de l’islam » n’est pas citée dans le Coran ; ni le fameux Dajjal, ni les tourments ou la torture de la tombe, ni la lapidation… alors que ce sont des points qui semblent cruciaux pour les musulmans. Pourtant, on voit qu’Allah n’hésite pas à révéler un verset pour des trivialités comme ici un différend au sujet d’un sabre qui était dans le butin.
En tout cas, les questions de partage de butin sont tellement importantes qu’il y a une Soura entière (la huitième) qui leur est consacrées. Elle s’appelle « al Anfal » ce qui veut dire « les butins ».
Ibn Khaldoun explique dans son livre « Al Moqadima » que la mentalité des butins a totalement détruit le monde Arabe. Au lieu de développer les arts, les métiers et l’industrie, les Arabes ont – pendant des siècles – eu recours aux razzias et aux butins pour obtenir les biens de consommation. Ceci les a dispensés de mener toute recherche scientifique et technique d’où le retard qui est le leur aujourd’hui alors que les razzias sont devenues plus difficiles à réaliser.
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Re: Islam Critique
An 647 – Décapitation et Takbir en Tunisie. Le califat attaque, tue et pille
— Début de la traduction —
Notes de traduction
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : [ltr]Ibn Kathir[/ltr]
Volume 10, Page 227
Analyse :
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— Début de la traduction —
Abdallah bin Al-Zoubayr a dit :
J’ai regardé le roi Grégoire assis sur un cheval alors que deux servantes le protégeaient du soleil avec des plumes de paon. J’ai alors demandé à Abdallah bin Saad bin Abi Sarh [3] de me détacher des hommes pour protéger mes arrières pour que j’aille au roi. Il m’a accordé un groupe d’hommes courageux et leur a demandé de couvrir mes arrières.
J’ai traversé les rangs en allant vers le roi et tout le monde pensait que j’avais un message pour lui. Quand je me suis approché de lui, il a deviné mes mauvaises intentions et a essayé de fuir. Je l’ai poursuivi et je l’ai transpercé avec mon javelot. Puis, je l’ai frappé avec mon épée et pris sa tête que je plaçais sur le javelot en criant « Allah Akbar ». Quand les Berbères [4] ont vu cela, ils se sont mis à fuir comme des oiseaux. Les musulmans les ont suivis tuant et emprisonnant. Ils ont pris des butins énormes, beaucoup d’argent et un très grand nombre d’esclaves.
Ceci arriva dans une ville qui s’appelle Sbeïtla à deux jours de marche de Kairouan. Et c’était la première bataille qui a rendu célèbre Abdallah bin Al-Zoubayr qu’Allah le bénisse, qu’il bénisse son père et leurs compagnons dans leur ensemble.
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Abdallah bin Al-Zoubayr est le fils de Zoubayr ibn al-Awam. Dans le sunnisme ce dernier est officiellement au-dessus de la justice divine (moubachar bil Janah). Dans le chiisme il est maudit. Son fils Abdallah est devenu un conquérant pour le califat et on le voit ici propageant l’islam.
[2] : Grégoire le Patricien. Etait le dirigeant byzantin de la région incluant la Tunisie et une partie de l’Algérie modernes. N’avait pas le titre de roi mais les assaillants l’ont pris pour un roi. [wiki : [ltr]an[/ltr]]
[3] : Abdallah bin Saad bin Abi Sarh [wiki: ar, fr, [ltr]en[/ltr]] ; demi-frère du caliphe Othmane (ils ont été chez la même nourrice). Il est évoqué en de très mauvais termes dans le Coran verset 6:49 [voir [ltr]Tafssir Tabari de ce verset[/ltr]].
Il travaillait comme scribe chez le prophète [on apprend au passage que le prophète dictait le Coran à des scribes à son époque déjà !] et souvent il falsifiait l’écriture. Il a ensuite quitté l’islam fui à la Mecque quand le prophète vivait à Médine. Par la suite, Othman lui obtient un pardon à l’arraché (il était condamné à mort) mais sa réputation restera très mauvaise.
[4] : Les berbères sont les habitants d’origine de la Tunisie et de l’Algérie. Ils se déclarent tous arabes aujourd’hui mais ils ne descendent pas des arabes. Leur ancêtres dont ils ont trahi la mémoire ne sont pas les saoudiens mais les berbères.
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : [ltr]Ibn Kathir[/ltr]
Volume 10, Page 227
Analyse :
Cette histoire venant de l’historien exégète Ibn Kathir (on la trouve aussi chez Tabari), brise deux mensonges que les écoles du Maghreb mettent dans la tête des enfants.
1 – Le djihad est défensif… et offensif ! Ces arabes qui – de leur propre aveu – attaquent, décapitent, pillent, mettent en esclavage sont à près de 4000 km de leurs lieux de naissance et d’habitation. Ils attaquèrent des populations qui ne les avaient jamais attaqués auparavant.
2 – Les conquêtes arabes pour « propager l’islam » avaient surtout pour rôle de soumettre plus de terres au califat et piller leurs biens. L’islam n’est PAS arrivé par des missionnaires qui expliquaient « la beauté de cette religion » comme des générations d’instituteurs menteurs, complices ou ignorants expliquent ! Les propres sources des conquérants racontent des tueries, des actes de barbarie et de terreur.
Le même modus operandi se poursuivit pendant des siècles avec chaque fois le même scenario : populations soumises à la rançon (jiziya), massacres, déportations, terreur… partout à des milliers de kilomètres à la ronde. Il a fallu attendre l’an 1095, soit près de 5 siècles d’attaques permanentes, pour que le Pape Urbain II lance la première croisade contre le califat. Les petits Maghrébins, qui n’étaient même pas les destinataires de cette croisade, pleurent jusqu’à maintenant cette « terrible injustice ».
Les terroristes d’aujourd’hui proclament vouloir venger cette injustice des croisades alors que ces croisades – encore une fois – visaient ceux qui massacraient leurs ancêtres.
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Re: Islam Critique
An 627 : ton Dieu accomplit ta fantaisie !
— début de la traduction —
49 – (1464) – Abu Kourayb Mohammed bin al-Alaa nous a dit : Abu Oussama nous a dit d’après Hicham, d’après sont père, d’après Aicha :
J’étais jalouse des femmes qui s’étaient offertes au messager d’Allah. Et je disais : comment la femme peut-elle s’offrir ?
Mais quand Allah a révélé ce verset : « Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t’est fait aucun grief si tu invites chez toi l’une de celles que tu avais écartées. » [Al-Ahzab : 51] j’ai dit : je jure au nom d’Allah que je vois que ton Dieu ne fait que se précipiter pour accomplir ta fantaisie.
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Aicha fait allusion au verset précèdent celui qui est cité dans le hadith, c’est-à-dire le verset 33:50 où, par le biais du Coran, Dieu donne une autorisation explicite et exclusive au prophète d’accepter les femmes qui viennent s’offrir à lui ([ltr]voir verset ici[/ltr])
Page(s):
[ltr][/ltr]
Source:
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 670
Analyse:
Alors que nous glissons progressivement vers la fin de la vie du prophète des musulmans, les versets coraniques semblent de plus en plus aller dans le sens de ses tendances personnelles. Sa femme Aicha, fille d’Abu Bakr, va lâcher une véritable bombe : c’est un des hadiths les plus forts dans le domaine de remise en doute de son mari. En plus, il vient de Sahih Muslim ! A ce stade, elle ne croit plus du tout que Mohammed soit prophète de quoi que ce soit.
Au sommet de son succès, le prophète commençait à recevoir des femmes qui voulaient s’offrir à lui. Si on suit les codes islamiques mais aussi les codes rigides de la société de l’époque, accepter ces femmes serait discutable.
Voici donc Allah qui vient au secours avec une autorisation personnelle et exclusive de profiter des femmes qui se donnent en offrande (lire verset 33:50 plus bas).
Aicha avait déjà été scandalisée par ce verset et y a beaucoup de narrations d’elle où elle exprime son horreur devant ces femmes qui viennent se donner.
Le verset suivant 33 :51 que le hadith cite vient enfoncer le clou. Dieu lui dit : Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. ([ltr]voir capture[/ltr])
Aicha ne peut plus tenir et lui dit : je jure au nom d’Allah que je vois que ton Dieu ne fait que se précipiter pour accomplir ta fantaisie !
Pour éviter ce genre de témoignages accablants, les chiites prennent une voie de sortie consistant à dire que Aicha est l’ennemie de l’islam et elle n’a jamais cru au prophète… donc cela explique ses prises de positions. Oui mais : ceci ne règle pas le problème parce que les versets sont dans le Coran et même sans Aicha, n’importe qui les lisant tire une conclusion similaire.
C’est une chose que d’affirmer avoir une expérience spirituelle, entendre des messages divins… etc. mais l’expérience devient douteuse quand elle commence à explicitement permettre à celui qui la vit de profiter sexuellement de femmes qui croient en son expérience.
Voici le verset 33:50 dans son intégralité avec sauts de lignes :
Ô Prophète ! Nous t’avons rendue licites :
Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
(voir [ltr]capture d’écran[/ltr] du verset en Arabe et en Français)
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— début de la traduction —
49 – (1464) – Abu Kourayb Mohammed bin al-Alaa nous a dit : Abu Oussama nous a dit d’après Hicham, d’après sont père, d’après Aicha :
J’étais jalouse des femmes qui s’étaient offertes au messager d’Allah. Et je disais : comment la femme peut-elle s’offrir ?
Mais quand Allah a révélé ce verset : « Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t’est fait aucun grief si tu invites chez toi l’une de celles que tu avais écartées. » [Al-Ahzab : 51] j’ai dit : je jure au nom d’Allah que je vois que ton Dieu ne fait que se précipiter pour accomplir ta fantaisie.
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Aicha fait allusion au verset précèdent celui qui est cité dans le hadith, c’est-à-dire le verset 33:50 où, par le biais du Coran, Dieu donne une autorisation explicite et exclusive au prophète d’accepter les femmes qui viennent s’offrir à lui ([ltr]voir verset ici[/ltr])
Page(s):
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Source:
[ltr]Sahih Muslim[/ltr]
De : [ltr]Muslim ibn al-Hadjaj[/ltr]
Page 670
Analyse:
Alors que nous glissons progressivement vers la fin de la vie du prophète des musulmans, les versets coraniques semblent de plus en plus aller dans le sens de ses tendances personnelles. Sa femme Aicha, fille d’Abu Bakr, va lâcher une véritable bombe : c’est un des hadiths les plus forts dans le domaine de remise en doute de son mari. En plus, il vient de Sahih Muslim ! A ce stade, elle ne croit plus du tout que Mohammed soit prophète de quoi que ce soit.
Au sommet de son succès, le prophète commençait à recevoir des femmes qui voulaient s’offrir à lui. Si on suit les codes islamiques mais aussi les codes rigides de la société de l’époque, accepter ces femmes serait discutable.
Voici donc Allah qui vient au secours avec une autorisation personnelle et exclusive de profiter des femmes qui se donnent en offrande (lire verset 33:50 plus bas).
Aicha avait déjà été scandalisée par ce verset et y a beaucoup de narrations d’elle où elle exprime son horreur devant ces femmes qui viennent se donner.
Le verset suivant 33 :51 que le hadith cite vient enfoncer le clou. Dieu lui dit : Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. ([ltr]voir capture[/ltr])
Aicha ne peut plus tenir et lui dit : je jure au nom d’Allah que je vois que ton Dieu ne fait que se précipiter pour accomplir ta fantaisie !
Pour éviter ce genre de témoignages accablants, les chiites prennent une voie de sortie consistant à dire que Aicha est l’ennemie de l’islam et elle n’a jamais cru au prophète… donc cela explique ses prises de positions. Oui mais : ceci ne règle pas le problème parce que les versets sont dans le Coran et même sans Aicha, n’importe qui les lisant tire une conclusion similaire.
C’est une chose que d’affirmer avoir une expérience spirituelle, entendre des messages divins… etc. mais l’expérience devient douteuse quand elle commence à explicitement permettre à celui qui la vit de profiter sexuellement de femmes qui croient en son expérience.
Voici le verset 33:50 dans son intégralité avec sauts de lignes :
Ô Prophète ! Nous t’avons rendue licites :
- tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot),
- ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées,
- les filles de ton oncle paternel,
- les filles de tes tantes paternelles,
- les filles de ton oncle maternel,
- et les filles de tes tantes maternelles, – celles qui avaient émigré en ta compagnie, –
- ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants.
Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
(voir [ltr]capture d’écran[/ltr] du verset en Arabe et en Français)
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Re: Islam Critique
Aicha doute du prophète et reçoit une baffe de son père
— début de la traduction —
7694 – D’après Aicha, elle a dit :
Mes bagages étaient légers et ont les avait chargés sur le chameau de Tadj. Et les bagages de Safiya étaient lourds et on les avait chargés sur le chameau de Thaffal. Ce dernier chameau avançait lentement.
L’envoyé d’Allah a dit : « transférez les affaires d’Aicha sur le chameau de Safiya et transférez les affaires de Safiya sur le chameau d’Aicha pour que les montures puissent avancer ».
Aicha a dit : quand j’ai vu cela, j’ai dit : Oh gens d’Allah, cette juive nous a surpassés chez le messager d’Allah.
Elle a dit : le messager d’Allah a dit : « tes affaires sont légères et celles de Safiya sont lourdes et ralentissent la monture. Nous avons donc transféré ses bagages sur ta bête et nous avons transféré tes bagages sur la sienne ».
Elle a dit : je lui ai donc dit : « Tu prétends que tu es l’envoyé d’Allah ? »
Elle a dit : il a souri et il a répondu : « Tu as des doutes ? »
Elle a dit : « Tu prétends que tu es l’envoyé d’Allah ? Pourquoi tu n’agis pas avec justice ? »
Abu Bakr m’a entendue, il est venu vers moi et m’a donné une gifle. Le messager d’Allah a dit : « Doucement Abu Bakr ! »
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Il s’agit de Safiya bint Hayy. Elle a été prise en tant que butin et mise en esclavage après que sa tribu juive ait subi une razzia et sa famille massacrée. Elle est tombée dans la part du prophète des musulmans (en fait la part d’un autre homme mais le prophète l’a prise de chez-lui). Il s’est marié avec elle en lui offrant comme dot sa propre liberté. Elle était déjà mariée à un autre homme mais ce cas de figure autorise explicitement la femme à se marier même si elle l’est déjà (versets 4:23 et 4:23 permettent de se marier deux fois pour une femme). Son histoire est l’une des plus controversées dans l’islam.
Page(s):
[ltr][/ltr]
[ltr][/ltr]
Source:
Majmaa al Zawaid
De : [ltr]Ali ibn Abu Bakr al-Haythami[/ltr]
Volume 4, pages 420 et 421 (Hadith 7694)
Analyse:
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— début de la traduction —
7694 – D’après Aicha, elle a dit :
Mes bagages étaient légers et ont les avait chargés sur le chameau de Tadj. Et les bagages de Safiya étaient lourds et on les avait chargés sur le chameau de Thaffal. Ce dernier chameau avançait lentement.
L’envoyé d’Allah a dit : « transférez les affaires d’Aicha sur le chameau de Safiya et transférez les affaires de Safiya sur le chameau d’Aicha pour que les montures puissent avancer ».
Aicha a dit : quand j’ai vu cela, j’ai dit : Oh gens d’Allah, cette juive nous a surpassés chez le messager d’Allah.
Elle a dit : le messager d’Allah a dit : « tes affaires sont légères et celles de Safiya sont lourdes et ralentissent la monture. Nous avons donc transféré ses bagages sur ta bête et nous avons transféré tes bagages sur la sienne ».
Elle a dit : je lui ai donc dit : « Tu prétends que tu es l’envoyé d’Allah ? »
Elle a dit : il a souri et il a répondu : « Tu as des doutes ? »
Elle a dit : « Tu prétends que tu es l’envoyé d’Allah ? Pourquoi tu n’agis pas avec justice ? »
Abu Bakr m’a entendue, il est venu vers moi et m’a donné une gifle. Le messager d’Allah a dit : « Doucement Abu Bakr ! »
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Il s’agit de Safiya bint Hayy. Elle a été prise en tant que butin et mise en esclavage après que sa tribu juive ait subi une razzia et sa famille massacrée. Elle est tombée dans la part du prophète des musulmans (en fait la part d’un autre homme mais le prophète l’a prise de chez-lui). Il s’est marié avec elle en lui offrant comme dot sa propre liberté. Elle était déjà mariée à un autre homme mais ce cas de figure autorise explicitement la femme à se marier même si elle l’est déjà (versets 4:23 et 4:23 permettent de se marier deux fois pour une femme). Son histoire est l’une des plus controversées dans l’islam.
Page(s):
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[ltr][/ltr]
Source:
Majmaa al Zawaid
De : [ltr]Ali ibn Abu Bakr al-Haythami[/ltr]
Volume 4, pages 420 et 421 (Hadith 7694)
Analyse:
Les problèmes entre le prophète des musulmans et sa femme Aicha sont une des grandes tares de l’islam. Les problèmes conjugaux du prophète vont se retrouver même dans les versets coraniques où Dieu s’adresse directement à ses femmes en leur demandant de rester sages. Parmi les 9 qu’il avait vers la fin de sa vie, deux en particulier ressortent sans arrêt :
- Aicha : fille d’Abu Bakr qui deviendra le premier calife
- Hafsa : fille d’Omar qui deviendra le second calife
Ni l’une, ni l’autre n’ont vraiment cru en lui. Dans les hadiths d’Aicha est tout le temps dans une attitude de doute et de contradiction.
Les chiites règlent le problème en maudissant Aicha et Hafsa et en les considérant comme des ennemies de l’islam. Par cette manœuvre, le but du Chiisme est de se débarrasser d’elles et de leurs hadiths qui décrédibilisent le prophète des musulmans. Par cette manœuvre, leur narratif – sans être parfait – gagne beaucoup en cohérence. Les sunnites ne peuvent pas faire cela parce qu’ils ne peuvent pas toucher aux proches des califes.
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Re: Islam Critique
Le Caliphe Omar frappe Aicha la femme du prophète
— Début de la traduction —
Nous avons été informés par Othman Ibn Omar qui a dit : nous avons été informés par Youness bin Yazid, d’après al-Zahari, d’après Saïd ibn al-Moussayab qui a dit :
Quand Abu Bakr est mort, Aicha a organisé une lamentation pour lui. Quand Omar l’a appris, il est venu leur demander d’arrêter de pleurer pour Abu Bakr. Elles ont refusé de s’arrêter.
Omar dit alors à Hicham bin al-Walid : sors-moi la fille d’Ibn abi Qohafa !
Puis, il l’a frappée avec le gourdin plusieurs fois. Les femmes se sont dispersées quand elles ont entendu cela.
Et Omar dit: vous voulez qu’Abu Bakr soit torturé par vos pleurs ? Le prophète disait « le mort est torturé par les pleurs de sa famille »
— Fin de la traduction —
Notes de traduction
[1] : Abu Bakr, le premier calife
[2] : Aicha, la fille d’Abu Bakr et l’épouse du prophète. Au moment de cette histoire, le prophète est mort depuis un peu plus de 2 ans.
[3] : Omar qui allait devenir le second calife à la mort d’Abu Bakr
[4] : Ibn Abi Qohafa est l’autre nom d’Abu Bakr (son vrai nom en fait). Il veut dire ici « la fille d’Abu Bakr », donc Aicha.
Pages(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Tabaquat Ibn Saad (dit aussi: Al Tabaqat al Koubra)
De: [ltr]Ibn Saad [/ltr]
Volume 3, page 191
Analyse :
La violence contre les femmes dans le monde musulman est probablement un héritage de la mentalité d’Omar qui, comme beaucoup de califes, est sacralisé jusqu’à nos jours. Pourtant, pas un seul livre de l’islam ne parle de lui sans évoquer sa brutalité légendaire. Les récits où il bat les femmes sont très nombreux.
Ici Aicha a organisé des funérailles pour son père selon les us et coutumes locales. Omar est contre et n’aime pas être contrarié. Il devient immédiatement violent et lui donne une raclée au gourdin. Pour se justifier, il sort un prétexte minable du même type qu’avancent les maris violents une fois qu’ils sont devant la police : il frappe pour éviter la torture au mort. Entendez : on frappe et on torture des vivants pour éviter qu’un mort ne souffre !
Restons 5 minutes dans la logique islamique (s’il y a une logique !). Admettons que pleurer pour le mort soit une mauvaise chose. Pourquoi le pêché tombe sur le mort – qui n’y peut rien ! – et pas sur ceux qui commettent le pêché en question ? Pourtant le Coran dit dans le verset 35:18 que nul ne portera le fardeau / les péchés d’autrui. Voir le verset ci-dessous :
[ltr][/ltr]
Enfin, Omar est un calife officiellement au-dessus de la justice divine. Donc il sait mieux.
NB : ces dernières années, les pays arabo-musulmans, y compris ceux au Maghreb, ont consenti des investissements énormes pour promouvoir la personnalité d’Omar chez les nouvelles générations. Des séries télévisées ont été tournées mais de l’aveu même de leurs producteurs, elles ne correspondent pas à la biographie connue et acceptée d’Omar parce que sa réalité documentée « ne leur a pas permis de tracer un profil héroïque ».
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— Début de la traduction —
Nous avons été informés par Othman Ibn Omar qui a dit : nous avons été informés par Youness bin Yazid, d’après al-Zahari, d’après Saïd ibn al-Moussayab qui a dit :
Quand Abu Bakr est mort, Aicha a organisé une lamentation pour lui. Quand Omar l’a appris, il est venu leur demander d’arrêter de pleurer pour Abu Bakr. Elles ont refusé de s’arrêter.
Omar dit alors à Hicham bin al-Walid : sors-moi la fille d’Ibn abi Qohafa !
Puis, il l’a frappée avec le gourdin plusieurs fois. Les femmes se sont dispersées quand elles ont entendu cela.
Et Omar dit: vous voulez qu’Abu Bakr soit torturé par vos pleurs ? Le prophète disait « le mort est torturé par les pleurs de sa famille »
— Fin de la traduction —
Notes de traduction
[1] : Abu Bakr, le premier calife
[2] : Aicha, la fille d’Abu Bakr et l’épouse du prophète. Au moment de cette histoire, le prophète est mort depuis un peu plus de 2 ans.
[3] : Omar qui allait devenir le second calife à la mort d’Abu Bakr
[4] : Ibn Abi Qohafa est l’autre nom d’Abu Bakr (son vrai nom en fait). Il veut dire ici « la fille d’Abu Bakr », donc Aicha.
Pages(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Tabaquat Ibn Saad (dit aussi: Al Tabaqat al Koubra)
De: [ltr]Ibn Saad [/ltr]
Volume 3, page 191
Analyse :
La violence contre les femmes dans le monde musulman est probablement un héritage de la mentalité d’Omar qui, comme beaucoup de califes, est sacralisé jusqu’à nos jours. Pourtant, pas un seul livre de l’islam ne parle de lui sans évoquer sa brutalité légendaire. Les récits où il bat les femmes sont très nombreux.
Ici Aicha a organisé des funérailles pour son père selon les us et coutumes locales. Omar est contre et n’aime pas être contrarié. Il devient immédiatement violent et lui donne une raclée au gourdin. Pour se justifier, il sort un prétexte minable du même type qu’avancent les maris violents une fois qu’ils sont devant la police : il frappe pour éviter la torture au mort. Entendez : on frappe et on torture des vivants pour éviter qu’un mort ne souffre !
Restons 5 minutes dans la logique islamique (s’il y a une logique !). Admettons que pleurer pour le mort soit une mauvaise chose. Pourquoi le pêché tombe sur le mort – qui n’y peut rien ! – et pas sur ceux qui commettent le pêché en question ? Pourtant le Coran dit dans le verset 35:18 que nul ne portera le fardeau / les péchés d’autrui. Voir le verset ci-dessous :
[ltr][/ltr]
Enfin, Omar est un calife officiellement au-dessus de la justice divine. Donc il sait mieux.
NB : ces dernières années, les pays arabo-musulmans, y compris ceux au Maghreb, ont consenti des investissements énormes pour promouvoir la personnalité d’Omar chez les nouvelles générations. Des séries télévisées ont été tournées mais de l’aveu même de leurs producteurs, elles ne correspondent pas à la biographie connue et acceptée d’Omar parce que sa réalité documentée « ne leur a pas permis de tracer un profil héroïque ».
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Re: Islam Critique
Le Caliphe Omar frappe des femmes encore
— Début de la traduction —
42905 – D’après Amr bin Dinar :
Quand est mort Khaled ibn al-Walid, des femmes se sont rassemblées dans la maison de Maymouna pour pleurer.
Omar est arrivé accompagné d’Ibn Abas et d’un gourdin.
Il a dit : Abdallah, rentre chez la mère des croyants, demande lui de porter son hijab puis fais sortir les femmes.
Les femmes ont commencé à sortir et lui les frappant au gourdin.
Le voile d’une des femmes est tombé.
Les gens ont dit : O l’Emir des Croyants, son voile !
Il a répondu : laissez, elle n’a pas de dignité.
Et il était souvent impressionné par ses propos : elle n’a pas de dignité.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
[ltr][/ltr]
Source :
Kanz al Oumal
De : Al Moutaqi al-Hindi [wiki: ar]
Volume 15, page 730
Analyse :
Voici encore une fois le Calife Omar muni de son gourdin et prêt à servir sur les femmes. Dans des sociétés qui considèrent Omar comme un modèle à suivre – un quasi prophète – il n’est pas étonnant que les femmes soient battues.
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— Début de la traduction —
42905 – D’après Amr bin Dinar :
Quand est mort Khaled ibn al-Walid, des femmes se sont rassemblées dans la maison de Maymouna pour pleurer.
Omar est arrivé accompagné d’Ibn Abas et d’un gourdin.
Il a dit : Abdallah, rentre chez la mère des croyants, demande lui de porter son hijab puis fais sortir les femmes.
Les femmes ont commencé à sortir et lui les frappant au gourdin.
Le voile d’une des femmes est tombé.
Les gens ont dit : O l’Emir des Croyants, son voile !
Il a répondu : laissez, elle n’a pas de dignité.
Et il était souvent impressionné par ses propos : elle n’a pas de dignité.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
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Source :
Kanz al Oumal
De : Al Moutaqi al-Hindi [wiki: ar]
Volume 15, page 730
Analyse :
Voici encore une fois le Calife Omar muni de son gourdin et prêt à servir sur les femmes. Dans des sociétés qui considèrent Omar comme un modèle à suivre – un quasi prophète – il n’est pas étonnant que les femmes soient battues.
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