Islam Critique
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Islam Critique
Rappel du premier message :
Takfirisme pour obtenir femmes et butin
— Début de la traduction —
Notes de traduction
Page(s) :
Source :
Tarikh al-Islam (l’Histoire de l’Islam)
De: Al-Dhahabi (1274 – 1348)
Volume 2, page 26
Analyse :
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Islam Critique
Takfirisme pour obtenir femmes et butin
— Début de la traduction —
Abu Qatada est monté sur son cheval et a été rencontrer Abu Bakr.
Quand il arriva devant lui, il dit : tu sais que Malik bin Nouwarya avait un pacte et qu’il avait prétendu qu’il était musulman. J’ai tenté de raisonner Khalid mais il n’a pas voulu m’écouter et il a suivi les avis des bédouins qui voulaient du butin.
Omar se leva et dit : O Abu Bakr, il y a de l’injustice dans l’epee de Khalid. Et si ceci n’est pas juste, tu as le devoir de le punir.
Abu Bakr resta silencieux.
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Al-Harith Bin Rab’ii al-Ansari al-Soulami dit “Abu Qatada”. Un des compagnons du prophète des musulmans.
[2] : Le premier calife
[3] : Khalid ibn al-Walid. Le mercenaire du califat.
[4] : Omar ibn al-Khattab. Deux ans plus tard, il allait devenir calife quand Abu Bakr décèdera. Malgré son caractère brutal attesté par de nombreuses sources, il n’aimait pas Khalid ibn al-Walid.
[5] : Khalid ibn al-Walid était appelé « l’épée d’Allah ». A prendre dans le sens littéral. C’est lui qui défend Allah et tue pour Lui.
Page(s) :
Source :
Tarikh al-Islam (l’Histoire de l’Islam)
De: Al-Dhahabi (1274 – 1348)
Volume 2, page 26
Analyse :
Voici un cas précis montrant la raison principale du takfirisme : le butin !
En fait, Khalid ibn Al-Walid terrorisait au nom du premier calife. Ce dernier avait besoin d’un coup de terreur pour montrer de quoi il était capable pour se maintenir au pouvoir.
Khalid, en plus de ses fidèles, recruta des bédouins prêts à tout. Au cas où ils trouvent des « apostats », ils devaient les tuer et se faire payer en nature : prendre les biens et les femmes des morts.
Problème : les bédouins ne veulent pas rentrer bredouilles. On leur a fait miroiter des femmes et des richesses. Ils veulent de l’apostat et vite ! Autrement, ils risquent de quitter Khalid voire même se retourner contre lui.
C’est là qu’arrive la tribu de monsieur Malik bin Nouwarya. Malgré qu’ils sont musulmans et le clament haut et fort, Khalid ne veut rien savoir. En chef de guerre avisé, il sent que s’il ne lâche pas du lest à ses bédouins, cela risque de mal tourner.
Malik bin Nouwarya est donc déclaré « kafir » et égorgé. Le soir même Khalid viole sa femme qui – dit-on – était très jolie. Avant sa mort, Malik savait qu’on le tuait pour elle.
Pour être juste, les livres sunnites ne disent pas il a violé la femme mais il a « épousé » la femme. Pour eux, décapiter un homme et copuler avec sa femme le soir même près de son cadavre s’appelle un mariage béni et hallal. Il n’y a rien à attendre de ces livres qui ont pris le parti des injustes et font tout pour corrompre les valeurs morales des gens afin que le criminel sorte blanc comme neige.
La fin de l’histoire nous dit qu’Abu Bakr – dit le Siddiq (le Juste) – s’est tu. Il n’allait rien faire et effectivement il laissa Khalid et ses troupes causer massacres, tueries et pillages. Il avait besoin que Khalid fasse le nettoyage de toutes les poches d’opposition. Il l’encouragea même à la cruauté en lui demandant de bruler vivants ceux qu’il chope.
Officiellement, dans l’islam sunnite, Abu Bakr est un « moubachar bil janah ». C’est-à-dire qu’il est au-dessus de la justice divine. Le sunnisme ne proclame pas l’universalité de la justice mais plutôt un système qui met l’homme politique au-dessus de tout. Son mercenaire Khalid ibn al-Walid est considéré comme un héros et des maternelles, écoles et mosquées portent son nom. Dans l’islam chiite qui se veut proche de la tradition du prophète des musulmans et de sa famille, Abu Bakr et Khalid sont maudits.
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Re: Islam Critique
Le Coran dit ce que le calife Omar dit
—- Début de la traduction —-
3682 – (Authentique) Nous avons été informés par Mohammed in Bachar, que Abu Amir la Aqadi a dit, que Kharija bin Abdallah a dit d’apres Nafi’a :
D’après Ibn Omar [1] le prophète a dit : « Allah a mis la vérité dans la langue et le cœur d’Omar. ».
Et Ibn Omar a dit : « chaque fois que les gens ont eu des différents au sujet d’une question et que plusieurs opinions se sont confrontées, du Coran était révélé et disait ce que disait Omar ».
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Ibn Omar est le fils d’Omar ibn al-Khattab qui allait devenir le second calife
Page(s) :
Source :
Jami’a al Thirmidi
De : al-Thirmidi
Page 576
Analyse :
Même s’il est maudit nommément dans l’islam chiite minoritaire, Omar ibn al-Khattab est un quasi-prophète quasi-Dieu dans l’islam sunnite. Les anecdotes sont nombreuses sur des cas où il dit des choses puis des versets arrivent reprenant quasiment les mêmes termes. Il y a des hadiths selon lesquels Dieu lui parlait directement faisant de lui le prophète officieux de l’islam. Ceci est le premier post dans ce sens mais cette affirmation (qui peut surprendre) sera progressivement soutenue par de nombreuses sources.
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—- Début de la traduction —-
3682 – (Authentique) Nous avons été informés par Mohammed in Bachar, que Abu Amir la Aqadi a dit, que Kharija bin Abdallah a dit d’apres Nafi’a :
D’après Ibn Omar [1] le prophète a dit : « Allah a mis la vérité dans la langue et le cœur d’Omar. ».
Et Ibn Omar a dit : « chaque fois que les gens ont eu des différents au sujet d’une question et que plusieurs opinions se sont confrontées, du Coran était révélé et disait ce que disait Omar ».
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Ibn Omar est le fils d’Omar ibn al-Khattab qui allait devenir le second calife
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Source :
Jami’a al Thirmidi
De : al-Thirmidi
Page 576
Analyse :
Même s’il est maudit nommément dans l’islam chiite minoritaire, Omar ibn al-Khattab est un quasi-prophète quasi-Dieu dans l’islam sunnite. Les anecdotes sont nombreuses sur des cas où il dit des choses puis des versets arrivent reprenant quasiment les mêmes termes. Il y a des hadiths selon lesquels Dieu lui parlait directement faisant de lui le prophète officieux de l’islam. Ceci est le premier post dans ce sens mais cette affirmation (qui peut surprendre) sera progressivement soutenue par de nombreuses sources.
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Re: Islam Critique
Le calife Omar : le prophète officieux
—- Début de la traduction —-
3682 – (Solide) Nous avons été informés par Salam bin Chabib, nous avons été informés par al-Moqri, d’après Haywa bin Chari’h, d’apres Bikr bin Amrou, d’apres Michra’h bin Ha’aane :
Oukba bin Amer a dit que le prophète a dit : « s’il devait y avoir un prophète après-moi, qu’il soit Omar ibn al-Khattab ».
Hadith solide [1] singulier [1] nous le connaissons que d’après Michra’h bin Ha’aane
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Hassan en Arabe. Légèrement en-dessous du Sahih (Authentique) mais reste très solide et acceptable comme outil de preuve (houdja).
[2] Singulier (Gharib) est un terme utilisé par Thirmidi pour tout type de hadith qu’on ne connait qu’au travers une seule et unique chaine de narration. Cette appellation peut même s’appliquer au hadith Sahih.
Page(s) :
Source :
Jami’a al Thirmidi (dit aussi Sunnan al-Thirmidi)
De : al-Thirmidi
Page 577
Analyse :
Ici, nous arrivons aux confins de la doctrine islamique.
Au travers de très nombreuses narrations de ce type, les sunnites glorifient Omar au point de remettre en cause les fondamentaux de leur religion. Ce livre est un des 6 livres piliers du sunnisme au même titre que Sahih Boukhari ou Sahih Muslim. Ce n’est donc pas une publication latérale qu’on peut prendre à la légère.
Pour les chiites, qui maudissent Omar, ce hadith est une autre preuve que les califes et leurs familles ont piraté l’islam prophétique pour en faire un culte à leur propre gloire.
En tout cas, nous voyons encore une fois Omar sur la voie pour devenir prophète.
NB: Ce livre a du mal à cacher son penchant vers les califes. Parce que le narrateur Michra’h bin Ha’aane est connu comme le loup blanc ; connu très défavorablement. Les livres de biographies le classent comme une source non digne de confiance. Pourtant son hadith est solide chez l’auteur et le commentateur du livre. Pour vérifier vous-même ce propos, voir la page en Arabe iciou le livre d’Ibn Habane ci-dessous (page 367) qui dit que Michra’h bin Ha’aane ne doit pas être écouté quand un hadith vient de lui seul.
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—- Début de la traduction —-
3682 – (Solide) Nous avons été informés par Salam bin Chabib, nous avons été informés par al-Moqri, d’après Haywa bin Chari’h, d’apres Bikr bin Amrou, d’apres Michra’h bin Ha’aane :
Oukba bin Amer a dit que le prophète a dit : « s’il devait y avoir un prophète après-moi, qu’il soit Omar ibn al-Khattab ».
Hadith solide [1] singulier [1] nous le connaissons que d’après Michra’h bin Ha’aane
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Hassan en Arabe. Légèrement en-dessous du Sahih (Authentique) mais reste très solide et acceptable comme outil de preuve (houdja).
[2] Singulier (Gharib) est un terme utilisé par Thirmidi pour tout type de hadith qu’on ne connait qu’au travers une seule et unique chaine de narration. Cette appellation peut même s’appliquer au hadith Sahih.
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Source :
Jami’a al Thirmidi (dit aussi Sunnan al-Thirmidi)
De : al-Thirmidi
Page 577
Analyse :
Ici, nous arrivons aux confins de la doctrine islamique.
Au travers de très nombreuses narrations de ce type, les sunnites glorifient Omar au point de remettre en cause les fondamentaux de leur religion. Ce livre est un des 6 livres piliers du sunnisme au même titre que Sahih Boukhari ou Sahih Muslim. Ce n’est donc pas une publication latérale qu’on peut prendre à la légère.
Pour les chiites, qui maudissent Omar, ce hadith est une autre preuve que les califes et leurs familles ont piraté l’islam prophétique pour en faire un culte à leur propre gloire.
En tout cas, nous voyons encore une fois Omar sur la voie pour devenir prophète.
NB: Ce livre a du mal à cacher son penchant vers les califes. Parce que le narrateur Michra’h bin Ha’aane est connu comme le loup blanc ; connu très défavorablement. Les livres de biographies le classent comme une source non digne de confiance. Pourtant son hadith est solide chez l’auteur et le commentateur du livre. Pour vérifier vous-même ce propos, voir la page en Arabe iciou le livre d’Ibn Habane ci-dessous (page 367) qui dit que Michra’h bin Ha’aane ne doit pas être écouté quand un hadith vient de lui seul.
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Re: Islam Critique
Omar devine un verset avant sa révélation
— Début de la traduction —
« Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu où Abraham se tint debout » [Génisse : 125] Ce verset a été révélé à la Mecque durant l’année du pèlerinage de l’adieu [1].
D’après Ibn Abi Hatim et Ibn Mardawih d’après Jabir :
Quand le prophète a tourné autour de la Kaaba, Omar [2] lui dit :
– Est-ce que cet endroit est le lieu où notre père Abraham se tint debout ?
Prophète a répondu : oui
Omar a répondu : pourquoi on ne l’adopterait pas comme lieu de prière ?
Et le verset a été révélé.
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Premier et dernier hadj ou pèlerinage du prophète. A cette époque, il était malade et sentait la mort proche.
[2] : Omar Ibn al-Khattab. Celui qui allait devenir le second calife
Page(s) :
Source :
Al Itqane
De : Al-Souyouti
Page 114
Analyse :
Voici encore une situation où Omar devine les intentions de Dieu ou donne des idées à Dieu. Allah n’aurait jamais eu l’idée de donner l’ordre d’adopter ce lieu de prière si Omar ne l’avait pas suggéré. A moins qu’Omar – étant dans le secret de Dieu – précéda le verset. En tout cas, quel que soit la façon dont on tourne cette histoire, les fondements même de l’islam en tremblent.
L’anecdote est aussi à verser dans le dossier d’Omar Prophète pace que c’est dans cette direction que les choses allaient.
NB : la note de bas de page explique que le hadith est de niveau Hassan. C’est-à-dire solide et crédible.
Voici le texte entier du verset :
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— Début de la traduction —
« Adoptez donc pour lieu de prière, ce lieu où Abraham se tint debout » [Génisse : 125] Ce verset a été révélé à la Mecque durant l’année du pèlerinage de l’adieu [1].
D’après Ibn Abi Hatim et Ibn Mardawih d’après Jabir :
Quand le prophète a tourné autour de la Kaaba, Omar [2] lui dit :
– Est-ce que cet endroit est le lieu où notre père Abraham se tint debout ?
Prophète a répondu : oui
Omar a répondu : pourquoi on ne l’adopterait pas comme lieu de prière ?
Et le verset a été révélé.
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : Premier et dernier hadj ou pèlerinage du prophète. A cette époque, il était malade et sentait la mort proche.
[2] : Omar Ibn al-Khattab. Celui qui allait devenir le second calife
Page(s) :
Source :
Al Itqane
De : Al-Souyouti
Page 114
Analyse :
Voici encore une situation où Omar devine les intentions de Dieu ou donne des idées à Dieu. Allah n’aurait jamais eu l’idée de donner l’ordre d’adopter ce lieu de prière si Omar ne l’avait pas suggéré. A moins qu’Omar – étant dans le secret de Dieu – précéda le verset. En tout cas, quel que soit la façon dont on tourne cette histoire, les fondements même de l’islam en tremblent.
L’anecdote est aussi à verser dans le dossier d’Omar Prophète pace que c’est dans cette direction que les choses allaient.
NB : la note de bas de page explique que le hadith est de niveau Hassan. C’est-à-dire solide et crédible.
Voici le texte entier du verset :
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Re: Islam Critique
Allah désavoue le prophète et donne raison à Omar
— Début de la traduction —
1523 – Nous avons été informés par Abou Bichr, Bakr bin Khalaf, que Yahia bin Saïd a dit d’après Ubaydullah, d’après Nafi’a, d’après Ibn Omar [1] :
Quand est mort Abdallah bin Ubaye [2], son fils est venu chez le prophète et il a dit : « offre-moi ta chemise pour que je m’en serve comme linceul pour lui ! ».
Le prophète a dit : ramenez-moi ma chemise !
Quand le prophète a voulu faire la prière des morts, Omar ibn al-Khattab lui dit : « tu ne dois pas faire cela »
Le prophète a dit : « je suis pris entre deux choix : demander pardon pour eux ou ne pas demander ce pardon ».
Allah a donc révélé : « Et ne fais jamais la Salat sur l’un d’entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe… » [3]
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : c’est le fils d’Omar ibn al-Khattab qui rapporte cette histoire
[2] : On parle ici d’Abdallah bin Ubaye bin Salloul. Importante personnalité de Médine de la tribu des Khazradj. Il est appelé jusqu’à nos jours : le plus grand des hypocrites à cause de sa relation équivoque avec l’islam.
A ne pas confondre avec son fils Abdallah (donc Abdallah bin Abdallah bin Ubaye bin Salloul). Ici, c’est ce fils qui vient demander un linceul pour son père mort. Le fils était très croyant en Mohammed et espérait obtenir une prière pour que son père repose en paix.
[3] : Verset 9:84 (cliquez ici pour voir le verset)
Page(s) :
Source :
Sunnan Ibn Maja
De: Ibn Majah
Volume 1, pages 487 et 488
Analyse :
Ici, on a une histoire d’un fils musulman qui vient demander un linceul pour son père. L’islam de ce père a toujours été mis en doute même s’il ne s’est jamais dit non musulman. Le prophète accepte – malgré tout – de donner sa propre chemise pour le mort et accepte d’accompagner les funérailles puis de faire une prière.
Même s’il semblait avoir un doute intérieur sur l’efficacité de demander pardon à Dieu pour cet homme, il décida de le faire quand même. Il avait peut-être pensé au verset 48:14 qui affirmait que « A Allah appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Il pardonne à qui Il veut et châtie qui Il veut. Allah demeure cependant, Pardonneur et Miséricordieux. »
Et à qui Allah donne-t-Il raison ?
Allah donne toujours raison aux hommes de pouvoir et Il révèle un verset désavouant son prophète et donnant raison à Omar. Le verset 9:84 (Tawba:84) est très clair : « Et ne fais jamais la Salat (prière) sur l’un d’entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe, parce qu’ils n’ont pas cru en Allah et en Son messager, et ils sont morts tout en étant pervers. »
Donc ici, littéralement Dieu interdit qu’on prie ! Ce motif est unique à l’islam. Mais les dogmes islamiques et religieux les plus solides s’écartent comme par magie quand Omar arrive dans la place. Allah est prêt à désavouer son prophète pour faire plaisir à Omar. D’où cette question : qui est Omar vraiment ? Serait-il un prophète officieux de l’islam ?
En tout cas, on voit que le prophète tente de faire un geste de tolérance envers un mort et sa famille, Omar s’y oppose et Allah vient naturellement du côté d’Omar.
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— Début de la traduction —
1523 – Nous avons été informés par Abou Bichr, Bakr bin Khalaf, que Yahia bin Saïd a dit d’après Ubaydullah, d’après Nafi’a, d’après Ibn Omar [1] :
Quand est mort Abdallah bin Ubaye [2], son fils est venu chez le prophète et il a dit : « offre-moi ta chemise pour que je m’en serve comme linceul pour lui ! ».
Le prophète a dit : ramenez-moi ma chemise !
Quand le prophète a voulu faire la prière des morts, Omar ibn al-Khattab lui dit : « tu ne dois pas faire cela »
Le prophète a dit : « je suis pris entre deux choix : demander pardon pour eux ou ne pas demander ce pardon ».
Allah a donc révélé : « Et ne fais jamais la Salat sur l’un d’entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe… » [3]
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : c’est le fils d’Omar ibn al-Khattab qui rapporte cette histoire
[2] : On parle ici d’Abdallah bin Ubaye bin Salloul. Importante personnalité de Médine de la tribu des Khazradj. Il est appelé jusqu’à nos jours : le plus grand des hypocrites à cause de sa relation équivoque avec l’islam.
A ne pas confondre avec son fils Abdallah (donc Abdallah bin Abdallah bin Ubaye bin Salloul). Ici, c’est ce fils qui vient demander un linceul pour son père mort. Le fils était très croyant en Mohammed et espérait obtenir une prière pour que son père repose en paix.
[3] : Verset 9:84 (cliquez ici pour voir le verset)
Page(s) :
Source :
Sunnan Ibn Maja
De: Ibn Majah
Volume 1, pages 487 et 488
Analyse :
Ici, on a une histoire d’un fils musulman qui vient demander un linceul pour son père. L’islam de ce père a toujours été mis en doute même s’il ne s’est jamais dit non musulman. Le prophète accepte – malgré tout – de donner sa propre chemise pour le mort et accepte d’accompagner les funérailles puis de faire une prière.
Même s’il semblait avoir un doute intérieur sur l’efficacité de demander pardon à Dieu pour cet homme, il décida de le faire quand même. Il avait peut-être pensé au verset 48:14 qui affirmait que « A Allah appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Il pardonne à qui Il veut et châtie qui Il veut. Allah demeure cependant, Pardonneur et Miséricordieux. »
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Arrive Omar avec sa brutalité légendaire et sa connaissance parfaite des intentions de Dieu. Lui, il représente le courant des califes dominant jusqu’à aujourd’hui : il sait ce que Dieu veut. Dieu n’a aucun secret pour lui. Souvent, il devine les versets avant même que Dieu n’y pense !Et à qui Allah donne-t-Il raison ?
Allah donne toujours raison aux hommes de pouvoir et Il révèle un verset désavouant son prophète et donnant raison à Omar. Le verset 9:84 (Tawba:84) est très clair : « Et ne fais jamais la Salat (prière) sur l’un d’entre eux qui meurt, et ne te tiens pas debout auprès de sa tombe, parce qu’ils n’ont pas cru en Allah et en Son messager, et ils sont morts tout en étant pervers. »
Donc ici, littéralement Dieu interdit qu’on prie ! Ce motif est unique à l’islam. Mais les dogmes islamiques et religieux les plus solides s’écartent comme par magie quand Omar arrive dans la place. Allah est prêt à désavouer son prophète pour faire plaisir à Omar. D’où cette question : qui est Omar vraiment ? Serait-il un prophète officieux de l’islam ?
En tout cas, on voit que le prophète tente de faire un geste de tolérance envers un mort et sa famille, Omar s’y oppose et Allah vient naturellement du côté d’Omar.
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Re: Islam Critique
Le fessier de la houri du paradis fait 3700 mètres de large
— Debut de la traduction —
18666 – […] et il a parmi les houris, 72 femmes [en plus de ses femmes qu’il avait sur terre]. Chacune de ces houris a le derrière qui fait 1 mile terrestre de large [1].
— Fin de la traduction —
Notes de Traduction :
[1] L’auteur du livre est de l’école Shafiite, le mile chez eux fait plus de 3700 mètres (il fait 1855 mètres chez les 3 autres écoles sunnites).
Page(s) :
Source :
Majmaa al Zawaid
De : Ali ibn Abu Bakr al-Haythami
Volume 10, page 533 (Hadith 18666)
Analyse :
Il faut vivre dans une profonde misère sexuelle pour croire que de telles fantasmagories puissent être réelles. Nous sommes ultra-proches de certains mangas japonais où les femmes et les hommes sont présentés avec des proportions invraisemblables. Mais au moins leurs consommateurs savent que c’est de la fiction et n’espèrent pas tuer et mourir pour commencer une nouvelle vie dans la planche de manga. Mais encore une fois, il y a une misère sexuelle préméditée et organisée par l’Etat et le clergé qui finit par convaincre beaucoup de jeunes que l’accès à la sexualité passe par la mort.
Ceci va créer une motivation puissante pour le djihad et le djihad a toujours été dans l’intérêt des Etats musulmans et du clergé qui contrôle les masses.
NB: Connaissant la taille de son derrière, on peut évaluer que la houri fait 12 km de haut et pèse pas mal de millions de tonnes. La carte montre la distance entre l’Arc de Triomphe et le Louvre (3700 mètres)
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— Debut de la traduction —
18666 – […] et il a parmi les houris, 72 femmes [en plus de ses femmes qu’il avait sur terre]. Chacune de ces houris a le derrière qui fait 1 mile terrestre de large [1].
— Fin de la traduction —
Notes de Traduction :
[1] L’auteur du livre est de l’école Shafiite, le mile chez eux fait plus de 3700 mètres (il fait 1855 mètres chez les 3 autres écoles sunnites).
Page(s) :
Source :
Majmaa al Zawaid
De : Ali ibn Abu Bakr al-Haythami
Volume 10, page 533 (Hadith 18666)
Analyse :
Il faut vivre dans une profonde misère sexuelle pour croire que de telles fantasmagories puissent être réelles. Nous sommes ultra-proches de certains mangas japonais où les femmes et les hommes sont présentés avec des proportions invraisemblables. Mais au moins leurs consommateurs savent que c’est de la fiction et n’espèrent pas tuer et mourir pour commencer une nouvelle vie dans la planche de manga. Mais encore une fois, il y a une misère sexuelle préméditée et organisée par l’Etat et le clergé qui finit par convaincre beaucoup de jeunes que l’accès à la sexualité passe par la mort.
Ceci va créer une motivation puissante pour le djihad et le djihad a toujours été dans l’intérêt des Etats musulmans et du clergé qui contrôle les masses.
NB: Connaissant la taille de son derrière, on peut évaluer que la houri fait 12 km de haut et pèse pas mal de millions de tonnes. La carte montre la distance entre l’Arc de Triomphe et le Louvre (3700 mètres)
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Re: Islam Critique
Djihad offensif dans Sahih Muslim
— Début de la traduction —
Notes de traduction
Page(s) :
(page 828)
Source :
Sahih Muslim
De : Muslim ibn al-Hadjaj
Pages 828 et 829 (Chapitre du djihad)
Analyse :
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— Début de la traduction —
Quand le messager d’Allah nommait un émir à la tête d’un groupe de combat, il lui conseillait de craindre Allah et de bien s’occuper des musulmans qui étaient avec lui puis :
« Fais la razzia au nom d’Allah dans la voie d’Allah. Tuez celui qui ne croit pas en Allah. N’abusez pas, ne trahissez pas, ne faites pas de mises en scènes avec les corps et ne tuez pas d’enfants.
Si vous rencontrez votre ennemi parmi les polythéistes, appelez-les à prendre l’une des trois options. S’ils acceptent, acceptez-vous aussi et cessez de les combattre.
{1 -} Invitez-les l’islam. S’ils acceptent {l’islam}, acceptez d’eux vous aussi et invitez-les à migrer depuis leurs maisons, aux maisons de ceux qui ont migré. Et informez-les que s’ils acceptent, ils auront les droits et les devoirs des immigrés. S’ils refusent d’immigrer, informez-les qu’ils seront comme les bédouins musulmans. C’est-à-dire qu’ils seront considérés comme musulmans mais ils n’auront pas de part dans le butin sauf s’ils font le djihad avec les musulmans.
{2 -} S’ils refusent, demandez-leur de vous payer une jiziya. S’ils acceptent, acceptez-vous aussi et cessez de les combattre.
{3 -} S’ils refusent, demandez l’aide d’Allah et tuez-les [1].
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Le mot « qital » est souvent traduit par « combat » afin d’adoucir le sens. Mais combat dans le sens guerrier du terme se dit « harb ». Le « qital » vient du verbe « qatl » qui veut dire « tuer ». La traduction la plus proche de « qital » serait « tuerie ». On peut aussi parler de « combat ou guerre d’extermination ». Et dans la pratique, c’est ce qui se passait : les vaincus étaient exterminés (hommes, enfants pubères (leur pantalons étaient baissés pour vérifier), femmes qui combattent), leurs femmes et enfants non pubères distribués – ainsi que les biens – à ceux qui ont fait la razzia. Ces femmes et enfants étaient comptés en têtes. Le cinquième revenait traditionnellement au calife (sur la base que de son vivant, le prophète prenait également le cinquième).
Page(s) :
(page 828)
(page 829)
Source :
Sahih Muslim
De : Muslim ibn al-Hadjaj
Pages 828 et 829 (Chapitre du djihad)
Analyse :
Il n’y a pratiquement aucun livre de hadith, de sira ou de charia qui ne parle pas de ces trois options offensives :
1 – se convertir à l’islam (et donc payer une zakat et offrir ses enfants pour faire le djihad)
2 – ne pas se convertir à l’islam mais payer une djizia (donc payer ici aussi)
3 – se faire exterminer
On remarque que les trois conditions se résument à : payez ou on vous tue an nom de Dieu.
L’islam ne semble pas exceptionnellement désireux de convertir. Il est prêt à accepter une compensation financière à ceux qui ne croient pas en lui.
On voit ici clairement que le djihad n’est pas défensif mais offensif. Le djihad a toujours été pratiqué pour attaquer des populations voisines ou lointaines et les soumettre au paiement ou les massacrer.
NB : Sahih Muslim est l’un des livres fondateurs de l’islam sunnite. Nul ne peut rejeter Sahih Muslim sans sortir du sunnisme et dire « je ne suis pas sunniste »Télécharger le livre PDF en Arabe pour vérifier vous-même :
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Re: Islam Critique
An ~637 : Aimer la mort plus que la vie
— début de la traduction —
34308 – Abu Oussama nous a dit : nous avons été informés par Moujalid qui a dit : nous avons été informés par Amir qui a dit :
Khalid ibn al-Walid a écrit un message aux responsables des Perses. Il était lui-même à al-Hira [1] et il a donné le message à Baqila.
Amir a dit : j’ai lu le message chez Baqila. Il disait :
“Au nom d’Allah clément et miséricordieux. De Khalid ibn al-Walid aux dirigeants de la Perse.
Salutations à celui qui suit la voie de la vérité. Je remercie devant vous Allah qui est le seul Dieu.
Je remercie Allah qui a arrêté la clémence pour vous, qui a créé la discorde chez-vous et qui vous a rendu faibles. Signez moi un accord de dhimmitude et ramenez moi une jiziya.
Si vous ne le faites pas, je jure au nom d’Allah, la seule divinité qui soit, que je vais marcher vers vous avec des hommes qui aiment la mort comme vous aimez la vie.
Salutations à celui qui suit la voie de la vérité.”
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : C’est une ville d’Irak [wiki : ar, fr, an]
Page(s):
Source:
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn abi Chayba (ou aussi: Ibn abi Shayba) – 775 – 849 [wiki: ar, de]
Volume 11, page 251
Analyse:
Cette affirmation d’aimer la mort comme la vie, ou la mort plus que la vie en islam, a souvent été attribué à Golda Meir. En fait, elle est plus ancienne que cela. On la trouve ici dans la plume de Khalid ibn al-Walid qui était le mercenaire du premier calife.
Les livres islamiques décrivent ce Khalid comme un assassin, un violeur et une brute qui massacre des villages entiers aux ordres du califat. En même temps, des écoles et des maternelles portent son nom… après, on se demande d’où vient le terrorisme dans le monde islamique ? C’est en vénérant les anciens terroristes et les livrant en exemple parfait aux enfants qu’on finit avec des égorgeurs et des poseurs de bombes.
Si vous voulez que vos enfants soient bien ajustés dans ce monde, donnez-leur de bons exemples. Khalid ibn al-Walid était un DAEASHI. Si votre maternelle porte son nom, imprimez les articles de ce site, rassemblez des parents et allez voir vos autorités.
Le culte de la mort est intimement lié à la culture du califat islamique. Il s’explique simplement : les hommes de pouvoir avaient besoin que chaque année des milliers de leurs administrés aillent faire la guerre pour eux. Ils devaient attaquer des pays voisins pour ramener des femmes, des richesses et des biens de bouche. Le calife devait renouveler son harem et sa fortune qu’il gaspillait.
Comment une mère ou un père accepte-t-il d’envoyer ses enfants de 20 ans se faire tuer pour ramener au calife de quoi avoir un coït ? Comment trouver acceptable, voir génial, de mourir pour que l’homme politique améliore son luxe ?
La réponse : le culte de la mort. Le discours est : allez mourir pour moi et vous allez voir ce qui vous attend après la vie ! Que de belles choses ! C’est une promesse du type « arnaque du Nigeria ». Le gars vous demande de verser 300 Euros par Western Union en vous promettant un virement de 10 millions. Le calife vous demande de verser votre sang et celui de vos proches en échange d’une très belle vie une fois que… vous êtes mort. Si vous croyez en cela, c’est que vous avez le quotient intellectuel d’un petit singe et ceux qui vous manipulent le savent.
NB : il est difficile de dater ce message avec précision parce que le livre d’Ibn Abi Chayba ne donne pas d’année précise. Par contre nous sommes très tôt dans l’histoire de l’islam post-prophète. Il suffit de savoir que Khalid ibn al-Walid a connu prophète des musulmans et qu’il est mort environ 10 ans après lui.
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— début de la traduction —
34308 – Abu Oussama nous a dit : nous avons été informés par Moujalid qui a dit : nous avons été informés par Amir qui a dit :
Khalid ibn al-Walid a écrit un message aux responsables des Perses. Il était lui-même à al-Hira [1] et il a donné le message à Baqila.
Amir a dit : j’ai lu le message chez Baqila. Il disait :
“Au nom d’Allah clément et miséricordieux. De Khalid ibn al-Walid aux dirigeants de la Perse.
Salutations à celui qui suit la voie de la vérité. Je remercie devant vous Allah qui est le seul Dieu.
Je remercie Allah qui a arrêté la clémence pour vous, qui a créé la discorde chez-vous et qui vous a rendu faibles. Signez moi un accord de dhimmitude et ramenez moi une jiziya.
Si vous ne le faites pas, je jure au nom d’Allah, la seule divinité qui soit, que je vais marcher vers vous avec des hommes qui aiment la mort comme vous aimez la vie.
Salutations à celui qui suit la voie de la vérité.”
— fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : C’est une ville d’Irak [wiki : ar, fr, an]
Page(s):
Source:
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn abi Chayba (ou aussi: Ibn abi Shayba) – 775 – 849 [wiki: ar, de]
Volume 11, page 251
Analyse:
Cette affirmation d’aimer la mort comme la vie, ou la mort plus que la vie en islam, a souvent été attribué à Golda Meir. En fait, elle est plus ancienne que cela. On la trouve ici dans la plume de Khalid ibn al-Walid qui était le mercenaire du premier calife.
Les livres islamiques décrivent ce Khalid comme un assassin, un violeur et une brute qui massacre des villages entiers aux ordres du califat. En même temps, des écoles et des maternelles portent son nom… après, on se demande d’où vient le terrorisme dans le monde islamique ? C’est en vénérant les anciens terroristes et les livrant en exemple parfait aux enfants qu’on finit avec des égorgeurs et des poseurs de bombes.
Si vous voulez que vos enfants soient bien ajustés dans ce monde, donnez-leur de bons exemples. Khalid ibn al-Walid était un DAEASHI. Si votre maternelle porte son nom, imprimez les articles de ce site, rassemblez des parents et allez voir vos autorités.
Le culte de la mort est intimement lié à la culture du califat islamique. Il s’explique simplement : les hommes de pouvoir avaient besoin que chaque année des milliers de leurs administrés aillent faire la guerre pour eux. Ils devaient attaquer des pays voisins pour ramener des femmes, des richesses et des biens de bouche. Le calife devait renouveler son harem et sa fortune qu’il gaspillait.
Comment une mère ou un père accepte-t-il d’envoyer ses enfants de 20 ans se faire tuer pour ramener au calife de quoi avoir un coït ? Comment trouver acceptable, voir génial, de mourir pour que l’homme politique améliore son luxe ?
La réponse : le culte de la mort. Le discours est : allez mourir pour moi et vous allez voir ce qui vous attend après la vie ! Que de belles choses ! C’est une promesse du type « arnaque du Nigeria ». Le gars vous demande de verser 300 Euros par Western Union en vous promettant un virement de 10 millions. Le calife vous demande de verser votre sang et celui de vos proches en échange d’une très belle vie une fois que… vous êtes mort. Si vous croyez en cela, c’est que vous avez le quotient intellectuel d’un petit singe et ceux qui vous manipulent le savent.
NB : il est difficile de dater ce message avec précision parce que le livre d’Ibn Abi Chayba ne donne pas d’année précise. Par contre nous sommes très tôt dans l’histoire de l’islam post-prophète. Il suffit de savoir que Khalid ibn al-Walid a connu prophète des musulmans et qu’il est mort environ 10 ans après lui.
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Re: Islam Critique
J’ai été envoyé pour frapper les nuques
—- Début de la traduction —-
33692 – Nous avons été informes par Waki’a : al-Massoudi a dit d’après al-Kassim bin Abdalraham que :
Le prophète a envoyé une unité militaire [1] pour attraper un homme. Ce dernier monta dans un arbre. Ils ont mis le feu à l’arbre.
Quand ils sont revenus chez le prophète et l’ont informé de cela, son visage a changé et il a dit : “je n’ai pas été envoyé pour torturer avec le châtiment d’Allah. Mais j’ai été envoyé pour frapper les nuques et serrer les liens”
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : « sariya » en arabe. C’est une unité militaire qui fait de 5 à 300 soldats (voir ici)
Page(2) :
Source :
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn Abi Chayba
Volume 11 pages 382 et 383
Analyse :
On apprend de leurs propres sources que le prophète des musulmans a été envoyé par Dieu pour abattre les humains comme du bétail en « frappant les nuques ». Entendez : égorger. Il est difficile de voir un plan divin au travers de cela !
Dans le sens de ces livres, le terrorisme n’est pas un extrémisme mais un comportement totalement normatif.
Les musulmans doivent se positionner vis-à-vis de ces récits. Soit :
1 – Ils déclarent qu’ils sont faux et donc doivent refuser que ces livres soient respectés et mis en évidence dans les foyers, les mosquées, les universités et les tribunaux
2 – Ils déclarent que le contenu est correct et factuel mais dans ce cas-là, il faudra alors admettre que le terrorisme fait partie intégrante de l’islam
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—- Début de la traduction —-
33692 – Nous avons été informes par Waki’a : al-Massoudi a dit d’après al-Kassim bin Abdalraham que :
Le prophète a envoyé une unité militaire [1] pour attraper un homme. Ce dernier monta dans un arbre. Ils ont mis le feu à l’arbre.
Quand ils sont revenus chez le prophète et l’ont informé de cela, son visage a changé et il a dit : “je n’ai pas été envoyé pour torturer avec le châtiment d’Allah. Mais j’ai été envoyé pour frapper les nuques et serrer les liens”
— Fin de la traduction —
Notes de traduction :
[1] : « sariya » en arabe. C’est une unité militaire qui fait de 5 à 300 soldats (voir ici)
Page(2) :
Source :
Moussanaf ibn Abi Chayba
De : Ibn Abi Chayba
Volume 11 pages 382 et 383
Analyse :
On apprend de leurs propres sources que le prophète des musulmans a été envoyé par Dieu pour abattre les humains comme du bétail en « frappant les nuques ». Entendez : égorger. Il est difficile de voir un plan divin au travers de cela !
Dans le sens de ces livres, le terrorisme n’est pas un extrémisme mais un comportement totalement normatif.
Les musulmans doivent se positionner vis-à-vis de ces récits. Soit :
1 – Ils déclarent qu’ils sont faux et donc doivent refuser que ces livres soient respectés et mis en évidence dans les foyers, les mosquées, les universités et les tribunaux
2 – Ils déclarent que le contenu est correct et factuel mais dans ce cas-là, il faudra alors admettre que le terrorisme fait partie intégrante de l’islam
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Re: Islam Critique
Je suis venu avec l’égorgement
— Début de la traduction —
J’ai demandé à Abdallah bin Amrou bin al-Aass : quel est la pire attaque que tu as vue de la tribu de Qoreish contre le prophète ?
Il a dit : j’ai vu un jour leurs plus nobles se réunir et parler du prophète. Ils ont dit : nous n’avons jamais été autant patients avec un homme. Il a rabaissé nos dignitaires, insulté nos ancêtres, critiqué notre religion, créée la discorde entre nous, insulté nos divinités…
Il a continué : et pendant qu’ils étaient en train de parler de lui, le prophète est arrivé et a commencé à tourner autour de la Kaaba. A ce moment, ils lui ont dit quelque chose. Il continua à marcher mais son expression avait changé. Il passa devant eux une seconde fois et ils ont encore dit quelque chose. A son troisième passage, ils ont encore parlé et il leur a répondu cette fois :
« Vous m’entendez tribu de Qoreish ? Je jure avec celui qui possède mon âme que je suis venu avec l’égorgement ! »
[…]
Le lendemain, alors que le prophète passait, les hommes de Qoreish l’ont encerclé en lui demandant de confirmer ses propos. Ils étaient fâchés qu’il critique leurs divinités et leur religion.
Le prophète leur répondait : Oui, c’est moi qui a dit cela
Un des hommes l’a agrippé par les habits. Abu Bakr pleurait en répétant un verset du Coran : Tuez-vous un homme parce qu’il dit : “Mon seigneur est Allah”
C’est le pire que j’ai vu de la part de Qoreish.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
Source :
Sahih al-Sira al-Nabawiya (l’authentique de la biographie du prophète)
De : Al-Albani
Pages 147 et 148
Analyse :
— Début de la traduction —
J’ai demandé à Abdallah bin Amrou bin al-Aass : quel est la pire attaque que tu as vue de la tribu de Qoreish contre le prophète ?
Il a dit : j’ai vu un jour leurs plus nobles se réunir et parler du prophète. Ils ont dit : nous n’avons jamais été autant patients avec un homme. Il a rabaissé nos dignitaires, insulté nos ancêtres, critiqué notre religion, créée la discorde entre nous, insulté nos divinités…
Il a continué : et pendant qu’ils étaient en train de parler de lui, le prophète est arrivé et a commencé à tourner autour de la Kaaba. A ce moment, ils lui ont dit quelque chose. Il continua à marcher mais son expression avait changé. Il passa devant eux une seconde fois et ils ont encore dit quelque chose. A son troisième passage, ils ont encore parlé et il leur a répondu cette fois :
« Vous m’entendez tribu de Qoreish ? Je jure avec celui qui possède mon âme que je suis venu avec l’égorgement ! »
[…]
Le lendemain, alors que le prophète passait, les hommes de Qoreish l’ont encerclé en lui demandant de confirmer ses propos. Ils étaient fâchés qu’il critique leurs divinités et leur religion.
Le prophète leur répondait : Oui, c’est moi qui a dit cela
Un des hommes l’a agrippé par les habits. Abu Bakr pleurait en répétant un verset du Coran : Tuez-vous un homme parce qu’il dit : “Mon seigneur est Allah”
C’est le pire que j’ai vu de la part de Qoreish.
— Fin de la traduction —
Page(s) :
Source :
Sahih al-Sira al-Nabawiya (l’authentique de la biographie du prophète)
De : Al-Albani
Pages 147 et 148
Analyse :
Cette expression, « je suis venu avec l’égorgement » est souvent utilisée par les groupes terroristes. Elle est attribuée au prophète des musulmans en réponse à une altercation verbale. Elle est authentifiée dans ce livre par le cheikh salafiste al-Albani (mort en 1999).
On voit ici que même les contemporains, au lieu de chercher à « adoucir » le narratif, au contraire ressortent les passages les plus violents de l’histoire de l’islam et les servent aux masses.
L’anecdote est utilisée dans le but de montrer comment le prophète des musulmans obéissait aux commandements d’Allah et restait patient face à l’adversité. En fait, elle démontré juste le contraire ! Parce qu’on voit des menaces de mort très précises répondre à des railleries verbales. En clair, il perd le contrôle et se met à menacer. Il n’est pas patient du tout. Plus tard, les musulmans décapiteront effectivement des gens de Qoreish alors que le maximum qu’ils ont fait au prophète est de le railler un peu et refuser de croire à son message.
NB : On voit aussi, vers la fin du texte, qu’Abu Bakr pleure. Il y a des livres, comme Mousnad Ahmed, qui le montrent pleurant à chaque page. Est-ce que le futur premier calife pleurait autant ?
En fait, c’est un manque d’imagination des auteurs qui cherchent à le décrire comme un homme bon et au grand cœur. Si vous demandez à n’importe quel musulman dans la rue, il vous décrira Abu Bakr en ces termes. En fait, Abu Bakr n’hésitait pas à faire bruler des villages entiers. A ses ordres, les gens étaient attachés et jetés dans les buchers et leurs femmes et enfants mis en esclavage. Par contre, les différents auteurs devaient perpétuer le mythe de sa bonté et de son grand cœur. Ils n’ont trouvé aucune histoire pour illustrer cela, ils ont alors fait simple : à chaque scène où ils le citent, ils disent qu’il pleure. Au lecteur donc d’associer cette pleurniche à de la bonté et de la sensibilité.
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Re: Islam Critique
Al-Nawawi : tuer celui qui rate une seule prière
— Début de la traduction —
— fin de la traduction —
Page(s) :
Source :
Minhadj al-Talibine wa Oumdat al-Moutaqine
Yahiya bin Charf al-Nawawi (1233 – 1277) [wiki: ar, fr, an]
Tome 1, page 202 (Edition 1882)
NB: Si vous voulez une édition récente 100% en Arabe, vous pouvez la télécharger en cliquant ici.
Analyse :
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— Début de la traduction —
— fin de la traduction —
Page(s) :
Source :
Minhadj al-Talibine wa Oumdat al-Moutaqine
Yahiya bin Charf al-Nawawi (1233 – 1277) [wiki: ar, fr, an]
Tome 1, page 202 (Edition 1882)
NB: Si vous voulez une édition récente 100% en Arabe, vous pouvez la télécharger en cliquant ici.
Analyse :
Ce livre provient du célèbre Nawawi. Le grand imam de l’école Sunnite-Shafi’ite (l’une des 4 écoles principales du sunnisme)
On voit clairement comment ces écoles sunnites banalisent l’assassinat. Ici, pour un simple retard sur la prière, l’homme est passible de mort à l’arme blanche.
Heureusement que la majorité des sunnites sont mieux que le sunnisme ! Par contre, quand les petites têtes et les « déséquilibrés » de cette Nation décident d’appliquer les textes à la lettre, on dit que « ils n’ont rien avoir avec l’islam ». Ou bien, ils ont « mal compris ». Qu’est-ce qu’il y a à mal comprendre dans cette fatwa ? Si les grands ténors du sunnisme n’avaient pas écrit noir sur blanc des textes qui incitent à l’assassinat pour des motifs futiles, personne n’aurait « mal compris » et tué des gens.
Aujourd’hui quand un terroriste se fait sauter dans un café bondé de jeunes, c’est justement dans cette logique takfiri : c’est l’heure de la prière. Ils sont au café. Donc les textes disent qu’ils sont par ce fait devenus mécréants et qu’il faut donc les tuer.
NB: Quand les sunnites lisent ces textes ou les voient en pratique et disent : « ceci n’est pas l’islam », c’est une manière d’avouer que le sunnisme n’est pas l’islam.
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Re: Islam Critique
Le fondateur du Malékisme a failli se faire décapiter pour apostasie !
— Début de la traduction —
Notes de traduction
[1] : Un imam de Médine
Page(s) :
Source :
Tarikh Madinat al-Salam [Histoire de la Ville de la Paix]
De : Al-Khattib al-Baghdadi (1002 – 1071)
Volume 3, Page 523
Analyse :
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— Début de la traduction —
Nous avons été informés par Ibn al Fazhl al-Qatan qui a dit : nous avons été entretenus par Abdallah bin Jafar qui a dit : nous avons été entretenus par Jacob bin Sofiane qui a dit : j’ai été entretenu par al-Fazhl bin Ziyad, d’après Ahmed Ibn Hanbal qui dit :
Ibn Abi Dib [1] a su que Malik n’a pas considéré le hadith des choix de vente, il a donc dit :
– On lui demande de se repentir ou bien je frappe son cou !
Et il a dit {Ahmed Ibn Hanbal} : Malik n’a pas rejeté le hadith mais l’a interprété différemment.
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : Un imam de Médine
Page(s) :
Source :
Tarikh Madinat al-Salam [Histoire de la Ville de la Paix]
De : Al-Khattib al-Baghdadi (1002 – 1071)
Volume 3, Page 523
Analyse :
Au sujet d’une simple interprétation d’un hadith, l’Imam Malik Ibn Anas – le fondateur du Malékisme – a failli perdre sa tête. Ce hadith ne touchait même pas aux fondements de la doctrine mais parlait simplement de comment régler certaines disputes entre le vendeur et l’acheteur d’un bien.
La séquence du takfirisme suit toujours le même ordre :
- On déclare que la personne a effectivement apostasié l’islam pour avoir dit ou fait quelque chose
- On lui donne 3 jours pour se repentir et « revenir à l’islam » [youstathab]
- Si la personne maintient son cap, elle est tuée
A noter que les 3 jours n’ont pas toujours été accordés. Parfois on tue de suite.
Tuer l’apostat en islam a rarement voulu dire : tuer celui qui rejette l’islam. Au contraire, c’était un outil politique qui permettait de déclarer que telle personne est « de facto un apostat ». Même si la victime se considère toujours comme musulmane et respecte tous les commandements de cette religion, par le takfir ou le takfirisme on décrète qu’elle a apostasié et on la tue.
Si même le fondateur de l’une des 4 écoles du sunnisme a subi le takfir, on imagine facilement le sort du musulman lambda.
NB: Si vous regardez bien la chaine de narration, l’histoire nous vient d’Ahmed Ibn Hanbal, le fondateur de l’école Hanbalite (une des 4 écoles du sunnisme)
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Re: Islam Critique
An 649 – Le califat tue et pille à Chypre
— Début de la traduction —
Notes de traduction
Page(s) :
Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : Ibn Kathir
Volume 10, Pages 228 et 229
Analyse :
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— Début de la traduction —
Puis l’année 28 [1] est arrivée – L’ouverture [1] de Chypre
En cette année, Ibn Joubayr a cité l’ouverte de Chypre d’après al-Waqidi. C’est une île qui se trouve à l’ouest du Shaam. Elle est isolée en mer. Elle a une sorte de queue rectangulaire […]. Sa partie ouest est plus large. Elle possède beaucoup de fruits, des métaux et c’est un très bon pays. C’est Muawiya [3] qui a ouvert cette île. Il avait pris la mer à la tête d’une grande armée de musulmans. Avec lui, il y avait Oubada bin al-Samit et sa femme Oum Harram bint Milhane [4] qui avait déjà rapporté un hadith quand le messager d’Allah s’était endormi chez elle puis s’était réveillé en rigolant. Elle lui avait dit :
– Qu’est ce qui te fait rire O Messager d’Allah
Il a répondu :
– Des gens de ma Nation m’ont été présentés. Ils montent sur le large de cette mer comme des rois
Elle a répondu :
– O Messager d’Allah, prie pour que je sois parmi eux
Il a dit :
– Tu es parmi eux
Puis il s’est endormi et s’est réveillé en rigolant et il a dit la même chose. Je lui ai dit :
– Prie Allah pour que je sois parmi eux
Il répondu :
– Tu seras parmi les premiers
Et elle était dans cette razzia et elle est morte durant. […]
Muawiya a pris la mer avec des bateaux et se dirigea vers l’ile de Chypre et avec lui une armée gigantesque de musulmans. Et ceci se faisait aux ordres d’Othman bin Affane [4] qu’Allah le bénisse [5].
Quand Muawiya a atteint Chypre, il a reçu le renfort d’Abdallah ibn Saad bin Abi Sarh de l’autre côté {de l’ile}. Ils ont pris les habitants en tenaille et en ont tué de grandes masses. Ils ont mis beaucoup de monde en esclavage et ont pillé beaucoup de bon et d’excellent argent.
Quand les prisonniers ont été apportés, Abu al-Dardaa a commencé à pleurer. Joubayr bin Naffir lui a dit : « pourquoi tu pleures alors que c’est un jour où Allah à honoré l’islam et les musulmans ? »…
— fin de la traduction —Notes de traduction
[1] : C’est l’an 28 de l’Hégire correspondant à l’an 648 de notre ère.
[2] : Ouverture, veut dire conquête. Les références islamiques n’utilisent jamais le terme conquête ou colonisation mais le terme « Fath » qui a une connotation plus positive. Il veut dire « ouvrir un pays ».
[3] : Muawiya ibn Abi Sofiane. Parfois décrit comme le « le fils de la mangeuse de foies humains » (Ibn Akilat al-Akbad) en références à sa mère Hind qui avaient mangé le foie de Hamza, le demi-frère du prophète des musulmans (demi-frère parce qu’ils ont été chez la même nourrice). Il était le cinquième calife et le premier de la dynastie Omeyyade.
[4] : La tante d’Anas bin Malik, le serviteur du prophète. Elle était parmi les premières musulmanes de Médine [wiki : ar]
[5] : Troisième calife. Les sunnites le considèrent comme au-dessus de la justice divine. Les chiites le maudissent.
Page(s) :
(page 228)
(page 229)
Source :
Al Bidaya wa al-Nihaya
De : Ibn Kathir
Volume 10, Pages 228 et 229
Analyse :
Voilà encore une attaque avec massacre, pillage, esclavage… et l’affaire se termina par un accord où les habitants devaient livrer 7000 dinars par an au calife. On voit que le récit est frappé par une sorte d’instabilité de l’humeur où il présente des personnages qui rigolent, d’autres qui pleurent et le classique : « tueries & pillage » en sandwich.
Etrange ce hadith rapporté par cette femme ! On dirait qu’elle l’a inventé sur le coup pour justifier la razzia. Muawiya s’entourait de gens qui lui livraient des hadiths sur mesure lui permettant d’apporter un sceau divin à ses propres actions et obtenir le soutien inconditionnel des musulmans.
Oum Harram (sic) meurt à Chypre en tombant d’un mulet. Les pentes escarpées de l’ile ne pardonnent rien.
Est-ce que Chypre avait attaqué les musulmans ? NON. C’était encore une fois une guerre offensive pour que le calife s’en mette plein les poches.
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