La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
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La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Le Nouveau Testament n’enseigne pas la Trinité
Ayant vu que l’origine de l’orthodoxie « chrétienne » avait pris forme de nombreuses années après la rédaction du Nouveau Testament, considérons maintenant ce que nous apprend réellement le Nouveau Testament. Pour commencer, il serait utile d’examiner deux passages des Ecritures, qui sont parfois cités par les Trinitaires pour tenter d’accréditer leurs enseignements.
Premièrement, notez que certaines traductions, comme la version Osterwald et la version Segond Révisée (Colombe) en français, ou la Bible King James en anglais, contiennent un passage dans 1 Jean 5 :7, qui dit : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. »
A première vue, ce verset semble enseigner la doctrine de la Trinité. Cependant, ce qu’il faut savoir, c’est que ce verset n’a jamais figuré dans aucun des plus anciens manuscrits grecs inspirés.
Ce verset, à l’origine, est une insertion introduite dans le texte en latin, que presque tous les spécialistes bibliques reconnaissent ! The Interpreter’s One Volume Commentary on the Bible, publié par Abingdon Press, explique qu’au cours des controverses du quatrième siècle, au sujet de la doctrine de la Trinité, le texte fut rajouté – d’abord en Espagne vers l’an 380 apr. J.-C., puis repris dans la Vulgate, qui est la version officielle de l’Eglise catholique romaine, écrite en latin (page 939).
A propos de ce verset, Bullinger’s Companion Bible note en marge du texte : « Ces mots ne figurent dans aucun manuscrit grec antérieur au seizième siècle. Ils furent d’abord trouvés en marge de certaines copies en latin. De là, ils migrèrent dans le texte ». Dans son commentaire, The New Bible Commentary Revised déclare simplement que, « ces mots ont été rajoutés, et ont été carrément exclus de certaines versions, y compris des notes en marge » (page 1269)
Il est évident que les premiers Trinitaires, de l’Eglise catholique, étaient tellement à court d’arguments bibliques pour étayer leur doctrine, qu’ils ajoutèrent tout simplement ces mots au texte original ! Ce qui, en fin de compte, n’est qu’un aveu de la nature non biblique de ce qu’ils enseignaient !
Le discours de Jésus, transcrit dans Jean 14 et 15, est une autre partie des Ecritures qui est souvent tordue, en vue de démontrer que le Saint-Esprit est une personne, au même titre que le Père et le Christ. Dans la nuit de Sa dernière Pâque, Jésus-Christ révéla à Ses disciples qu’il allait retourner auprès du Père : « Et il vous donnera un autre consolateur ». Le terme grec utilisé ici est paracletos, dont le sens se réfère à quelqu’un qui apporte de l’aide ou un support. Selon le contexte, il est clair que cela se rapporte au Saint-Esprit, que Jésus avait promis d’envoyer à Ses disciples, après Son ascension vers le Père.
Certains ont prétendu que le Saint-Esprit devrait être considéré comme une « personne » divine, parce que le pronom « il » est utilisé dans ces versets.
Cependant, la langue grecque (dans laquelle fut rédigé le Nouveau Testament), de même que de nombreuses autres langues modernes (comme l’anglais ou l’allemand, par exemple), assignent trois genres aux noms : le masculin, le féminin et le neutre. Le genre d’un nom est fixé par la langue et n’a que peu, ou rien à voir, avec le sexe ou la nature du nom.
Par exemple, le nom grec pour « petite fille » est du genre neutre, tandis que le mot « main » est du genre féminin, indépendamment du fait que cela se rapporte à une partie d’un corps de femme (en français, le mot main est également féminin et non pas masculin, même s’il s’agit de la main d’un homme). D’autre part, le mot « pied » est toujours du genre masculin. Selon les règles de la grammaire, le pronom utilisé – « il » ou « elle » en français – doit toujours s’accorder avec le nom auquel il se réfère. Il est à noter que, dans la langue française, il n’y a que le genre masculin et le genre féminin ; le genre « neutre » n’existe pas. En grec, le nom pneuma, traduit par esprit, est neutre, et prend toujours un pronom neutre dans les langues où le neutre existe, tandis que paracletos est masculin et demande un pronom masculin. En résumé, il faut retenir que le pronom qu’on utilise, n’est en rien une preuve que le nom auquel il est rattaché désigne une personne !
Le Saint-Esprit est une puissance qui sort de Dieu (Luc 1 :35). Il est le moyen par lequel Il créa et amena à l’existence l’univers tout entier (Psaume 104 :30). Il est la puissance par laquelle Dieu agit dans l’esprit des êtres humains, créés à Son image (Genèse 6 :3). C’est également la puissance par laquelle des boiteux remarchèrent miraculeusement, des aveugles recouvrèrent la vue, des sourds entendirent et des morts ressuscitèrent de la tombe, au cours du ministère terrestre de Jésus-Christ (Luc 5 :15-17).
La Bible décrit le Saint-Esprit de diverses façons. Le Saint-Esprit est comparé au vent. Après tout, le mot grec qui est traduit par esprit est pneuma, qui signifie « vent » ou « souffle ». Dans l’Ancien Testament, le mot hébreu équivalent est ruach, qui a exactement le même sens.
Le Saint-Esprit est aussi comparé à des eaux vives (Jean 7 :38-39). Comme l’air et l’eau sont indispensables à la vie, de même le Saint-Esprit est la source de la vie éternelle pour les chrétiens (Romains 8 :11). L’air et l’eau peuvent se mouvoir tous les deux et dégager une force, qui affecte et transforme les éléments avec lesquels ils entrent en contact, comme le Saint-Esprit.
Dieu nous accorde Son Saint-Esprit à dessein ! Il est le moyen par lequel nous pouvons participer à la puissance de Dieu, à Son attitude et à Sa pensée. L’Esprit de Dieu est destiné à transformer notre vie, par le renouvellement de notre esprit (Tite 3 :5 ; Romains 12 :2). Nous avons la faculté de devenir une nouvelle création parce que Dieu nous transforme en écrivant Ses lois dans nos cœurs et nos pensées (Hébreu 8 :10).
Quoique le Saint-Esprit joue un rôle vital en accomplissant le but divin, il n’a jamais été décrit comme une personne, contrairement à ce que sont le Père et le Christ.
Par exemple, dans les versets d’introduction de presque toutes les Epîtres de l’apôtre Paul, il y a une salutation identique à celle qui est utilisée dans Romains 1 :7 : « Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! » 1 et 2 Corinthiens, Galates, Ephésiens, Philippiens, Colossiens, 1 et 2 Thessaloniciens, et Philémon commencent tous par cette formule identique. 1 et 2 Timothée et Tite commencent par une phrase, dont la tournure est légèrement modifiée. En outre, 2 Pierre, 2 Jean et Jude commencent de la même façon. Le point à relever est le suivant : aucun des livres du Nouveau Testament ne commence par une allusion, même de loin, de salutations qui émaneraient d’une Trinité, associant le Saint-Esprit aux personnes du Père et du Christ, en tant que personnage séparé et distinct.
Dans son introduction au premier chapitre de 1 Jean, l’apôtre bien-aimé parle de l’importance de notre communion avec Dieu, et des uns envers les autres. Notez la façon dont cela est exprimé : « Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus-Christ » (verset 3). La Bible ne dit nulle part que notre communion est avec le Saint-Esprit, comme elle l’est avec le Père et avec le Christ. Au contraire, le Saint-Esprit émane du Père et du Christ, et il est à l’origine de notre communication à Dieu et des uns envers les autres. Il est le moyen par lequel le Christ vit Sa vie en nous (Galates 2 :20).
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Dans son livre, datant de 1992 et intitulé Egyptian Religion, Siegfried Morenz écrivit [traduction] : « La Trinité était une préoccupation majeure des théologiens égyptiens » et il ajoute même « Trois dieux étaient combinés pour ne former qu’un seul être auquel on s’adressait alors au singulier. La théologie chrétienne subi l’influence spirituelle directe de la religion égyptienne ».
Le concept d'un Dieu trinitaire devint ainsi donc la doctrine de la Trinité dans l'Église catholique romaine primitive. Alors à ses débuts, la doctrine trinitaire fût l’un des principaux points doctrinaux débattus lors du tristement célèbre concile de Nicée en 325 de notre ère. Cette doctrine poursuivit son développement suite au concile de Nicée, pour finalement devenir la Trinité de la Rome pontificale incluant Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bien que par certains détails elle peut différer légèrement d’un groupe à l’autre, c’est cette même doctrine de la Trinité qu’enseignent la plupart des dénominations chrétiennes aujourd'hui. Rappelez-vous cependant, il n’est fait mention de nulle Trinité dans la Bible.
Les « versets trinitaires »
Certains aiment à présenter comme preuve de la Trinité quelques versets où les trois supposées « personnes » de la Trinité sont censément présentes. Généralement, ils commenceront par utiliser la supposé formule baptismale contenue en Matthieu 28:19. « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
Tout d’abord, il y a de fortes présomptions que la partie soulignée fut modifiée. Eusèbe de Césarée, surnommé par certain « Père de l'histoire ecclésiastique », fut un auteur prolifique qui vécut aux environs de 265 à 340 de notre ère.
L'un de ses ouvrages les plus reconnus est son Histoire Ecclésiastique, un récit qui relate l'histoire de l'Église de ses débuts apostoliques jusqu'à la période qui est celle d'Eusèbe de Césarée. Il s'agit encore aujourd'hui de la principale référence concernant l'histoire de l'Église sur cette période. Eusèbe cite de nombreux versets bibliques dans ses écrits, Matthieu 28:19 est l'un de ceux-ci. Il ne cite jamais ce verset tel qu'il apparaît désormais dans nos versions contemporaines de la Bible, mais il termine toujours le verset par les mots suivants : « en mon nom ».
Un exemple de ceci se trouve dans le Livre III de son Histoire Ecclésiastique au Chapitre 5 et à la Section 2 décrivant la persécution des leaders juifs à l'encontre de l'église apostolique. « Le reste des apôtres fut aussi l'objet de mille machinations dans le but de les mettre à mort. Chassés de la Judée, ils entreprirent d'aller dans toutes les nations, pour enseigner et prêcher avec la puissance du Christ qui leur avait dit : « Allez enseignez toutes les nations en mon nom. » (Traduction d’Émile Grapin, 1905).
De nouveau, il cite Matthieu 28:19 de la même manière dans son ouvrage Harangue à la louange de l'Empereur Constantin. « [Q]uel Roi ou quel Prince, quel Philosophe, ou quel Législateur, quel Prophète, soit Grec ou Barbare, a jamais acquis un si absolu pouvoir, et une si haute réputation, que de faire publier ses louanges durant la vie, par la bouche de tous les peuples ? Notre Sauveur a sans doute eu seul cet avantage,
lors qu'après avoir vaincu la mort, il a dit à ses Disciples : « Allez enseigner toutes les nations en mon nom » (Traduction de Louis Cousin, 1686. Chapitre 16, section 8). Les notes et commentaires qui accompagnent la très catholique Bible de Jérusalem vont en ce sens puisqu’il y est affirmé ce qui suit concernant la formule dite baptismale « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » : « Il est possible que cette formule se ressente, dans sa précision, de l'usage liturgique établi plus tard dans la communauté primitive. On sait que les Actes parlent de baptiser « au nom de Jésus », cf. Ac 1 5+, 2 38+. Plus tard on aura explicité le rattachement du baptisé aux trois personnes de la Trinité ». Ainsi, cela laisse à penser que la formule baptismale trinitaire ne se trouve pas dans le manuscrit original tel qu'il fut écrit par Matthieu.
Eusèbe qui se trouvait au concile de Nicée et qui était impliqué dans le débat visant à déterminer si le Christ était Dieu ou une créature de Dieu, n’a jamais fait usage de la formule trinitaire, mais à toujours cité le passage avec les mots suivants : « en mon nom ».
Certainement que cette formule trinitaire aurait été utilisée dans ce débat si elle avait effectivement existé. Ainsi, il semble évident que les manuscrits les plus anciens contenaient ce verset tel que l’utilise Eusèbe et que la formule baptismale que l’on connaît maintenant fut ajoutée afin de refléter la compréhension qu’avaient de ce verset et de Dieu les trinitaires.
Si Matthieu 28:19 telle que nous le trouvons maintenant était réellement ce que l’on lisait dans le manuscrit original, rien ne justifie alors la désobéissance des apôtres dont pas une seule fois il nous est rapporté qu’ils utilisèrent cette formule baptismale.
Tous les récits de baptême que nous avons dans les écrits apostoliques démontrent que les nouveaux baptisés l'étaient au nom du Seigneur Jésus Christ, ce qui corrobore les citations faites par Eusèbe de Matthieu 28:19.
Même si, à l'encontre de toute probabilité, il était fait mention du Père, du Fils et du Saint-Esprit dans le manuscrit original, cela ne suffit pas à justifier la doctrine trinitaire. La doctrine de la Trinité affirme que le Père, le Fils et le Saint Esprit forment tous ensemble « un seul Dieu ». Sans aller plus en détails, en expliquant qu’il ne s’agit pas en effet d’une formule baptismale reconnu dans le récit des Actes des apôtres, il nous suffit encore de remarquer que la présence dans un même verset de trois entités distinctes ne suffit pas à démontrer que Dieu le Père, Jésus, et le Saint Esprit constituent une trinité ou un Dieu trinitaire et qu’ils sont tous les trois égaux en substance, en puissance et en éternité. La liste de trois personnes, par exemple Jules, Nathan et Enzo, dans un même texte, quel qu’il soit, ne fait pas de ces trois individus un seul et même être.
Un autre passage fréquemment utilisé par les trinitaires se trouve en 1 Jean 5:7-8 et est communément appelé Comma Johanneum par les érudits bibliques. On peut y lire : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre; l'Esprit, l'eau, et le sang; et ces trois-là se rapportent à une seule chose ».
Dans cette citation des Écritures, les mots soulignés sont ceux qui furent ajoutés à certains manuscrits grecs. Ils n’appartiennent pas au manuscrit original. Même les trinitaires les plus ardents sont d’accord pour admettre que la phrase précédemment soulignée est introuvable dans les plus anciens manuscrits grecs.
L’Église catholique romaine l’admet elle-même dans une note de bas de page de l’une de ses propres versions de la Bible, la Bible de Jérusalem. Cette note affirme ce qui suit : « Le texte des vv. 7-8 est surchargé dans la Vulg. [La Vulgate, traduction latine des Écritures datant du 4ème siècle] par une incise (ci-dessous entre parenthèses) absente des mss [manuscrits] grecs anciens, des vieilles versions et des meilleurs mss de la Vulg., et qui semble être une glose marginale introduite plus tard dans le texte : « Car il y en a trois qui témoignent (dans le ciel : le Père, la Verbe et l’Esprit Saint, et ces trois sont un ; et il y en a trois qui témoignent sur terre) : l’Esprit, l'eau et le sang, et ces trois sont un ».
Un érudit trinitaire reconnu, Henry Alford (1810-1871), dans ses écrits affirme même catégoriquement que cet ajout aux Écritures se trouverait omis de tous les manuscrits grecs antérieurs au début du 16ème siècle. Un texte si peu fiable ne peut certainement pas être utilisé pour supporter la doctrine de la Trinité.
Nous avons vu et nous savons donc que ces deux textes n’appartenaient pas aux manuscrits originaux. Cependant, même si cela avait été le cas, ils ne changent en rien le contenu général des Écritures et ne suffisent certainement pas à établir une quelconque Trinité. En Matthieu 28:19, les mots Père, Fils et Saint Esprit peuvent tout aussi bien être compris comme correspondant au titre de Seigneur Jésus Christ contenu dans le livre des Actes (Jésus, le Fils, fut fait Seigneur par le Père et oint du Saint Esprit). De la même manière, en 1 Jean 5:7-8, le fait que ces « ces trois-là [soient] un » ne signifie en rien qu’ils soient un seul et même individu, mais bien plutôt qu’ils partagent un objectif commun et agissent d’un même accord.
Conclusion
En conclusion, nous devrions tous être d’accord pour admettre que Jésus n'est pas Dieu au sens absolu, et certainement pas Dieu le Fils comme les trinitaires voudraient nous le faire croire. Dans les écrits apostoliques, Jésus est de manière constante appelé le Fils de Dieu. Comme l’affirment les Écritures, que Jésus est la première création de Dieu (Colossiens 1:15 ; Apocalypse 3:14) et qu’il est le Fils unique de Dieu, né de la vierge Marie. Dieu, le Père, est le seul Dieu tout-puissant, devant lui il n'y a « point d’autres dieux » (Exode 20:3).
Le Père est le Créateur de toutes choses. Croire ainsi ne diminue en rien l’importance de Jésus Christ, qui en sa qualité de Fils de Dieu mérite à juste titre de siéger à la droite de Dieu (Marc 16:19 ; voir aussi Actes 7:56). Jésus Christ est notre Seigneur. Il a été nommé à cette fonction par Dieu.
Le concept d'un Dieu trinitaire devint ainsi donc la doctrine de la Trinité dans l'Église catholique romaine primitive. Alors à ses débuts, la doctrine trinitaire fût l’un des principaux points doctrinaux débattus lors du tristement célèbre concile de Nicée en 325 de notre ère. Cette doctrine poursuivit son développement suite au concile de Nicée, pour finalement devenir la Trinité de la Rome pontificale incluant Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Bien que par certains détails elle peut différer légèrement d’un groupe à l’autre, c’est cette même doctrine de la Trinité qu’enseignent la plupart des dénominations chrétiennes aujourd'hui. Rappelez-vous cependant, il n’est fait mention de nulle Trinité dans la Bible.
Les « versets trinitaires »
Certains aiment à présenter comme preuve de la Trinité quelques versets où les trois supposées « personnes » de la Trinité sont censément présentes. Généralement, ils commenceront par utiliser la supposé formule baptismale contenue en Matthieu 28:19. « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ».
Tout d’abord, il y a de fortes présomptions que la partie soulignée fut modifiée. Eusèbe de Césarée, surnommé par certain « Père de l'histoire ecclésiastique », fut un auteur prolifique qui vécut aux environs de 265 à 340 de notre ère.
L'un de ses ouvrages les plus reconnus est son Histoire Ecclésiastique, un récit qui relate l'histoire de l'Église de ses débuts apostoliques jusqu'à la période qui est celle d'Eusèbe de Césarée. Il s'agit encore aujourd'hui de la principale référence concernant l'histoire de l'Église sur cette période. Eusèbe cite de nombreux versets bibliques dans ses écrits, Matthieu 28:19 est l'un de ceux-ci. Il ne cite jamais ce verset tel qu'il apparaît désormais dans nos versions contemporaines de la Bible, mais il termine toujours le verset par les mots suivants : « en mon nom ».
Un exemple de ceci se trouve dans le Livre III de son Histoire Ecclésiastique au Chapitre 5 et à la Section 2 décrivant la persécution des leaders juifs à l'encontre de l'église apostolique. « Le reste des apôtres fut aussi l'objet de mille machinations dans le but de les mettre à mort. Chassés de la Judée, ils entreprirent d'aller dans toutes les nations, pour enseigner et prêcher avec la puissance du Christ qui leur avait dit : « Allez enseignez toutes les nations en mon nom. » (Traduction d’Émile Grapin, 1905).
De nouveau, il cite Matthieu 28:19 de la même manière dans son ouvrage Harangue à la louange de l'Empereur Constantin. « [Q]uel Roi ou quel Prince, quel Philosophe, ou quel Législateur, quel Prophète, soit Grec ou Barbare, a jamais acquis un si absolu pouvoir, et une si haute réputation, que de faire publier ses louanges durant la vie, par la bouche de tous les peuples ? Notre Sauveur a sans doute eu seul cet avantage,
lors qu'après avoir vaincu la mort, il a dit à ses Disciples : « Allez enseigner toutes les nations en mon nom » (Traduction de Louis Cousin, 1686. Chapitre 16, section 8). Les notes et commentaires qui accompagnent la très catholique Bible de Jérusalem vont en ce sens puisqu’il y est affirmé ce qui suit concernant la formule dite baptismale « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » : « Il est possible que cette formule se ressente, dans sa précision, de l'usage liturgique établi plus tard dans la communauté primitive. On sait que les Actes parlent de baptiser « au nom de Jésus », cf. Ac 1 5+, 2 38+. Plus tard on aura explicité le rattachement du baptisé aux trois personnes de la Trinité ». Ainsi, cela laisse à penser que la formule baptismale trinitaire ne se trouve pas dans le manuscrit original tel qu'il fut écrit par Matthieu.
Eusèbe qui se trouvait au concile de Nicée et qui était impliqué dans le débat visant à déterminer si le Christ était Dieu ou une créature de Dieu, n’a jamais fait usage de la formule trinitaire, mais à toujours cité le passage avec les mots suivants : « en mon nom ».
Certainement que cette formule trinitaire aurait été utilisée dans ce débat si elle avait effectivement existé. Ainsi, il semble évident que les manuscrits les plus anciens contenaient ce verset tel que l’utilise Eusèbe et que la formule baptismale que l’on connaît maintenant fut ajoutée afin de refléter la compréhension qu’avaient de ce verset et de Dieu les trinitaires.
Si Matthieu 28:19 telle que nous le trouvons maintenant était réellement ce que l’on lisait dans le manuscrit original, rien ne justifie alors la désobéissance des apôtres dont pas une seule fois il nous est rapporté qu’ils utilisèrent cette formule baptismale.
Tous les récits de baptême que nous avons dans les écrits apostoliques démontrent que les nouveaux baptisés l'étaient au nom du Seigneur Jésus Christ, ce qui corrobore les citations faites par Eusèbe de Matthieu 28:19.
Même si, à l'encontre de toute probabilité, il était fait mention du Père, du Fils et du Saint-Esprit dans le manuscrit original, cela ne suffit pas à justifier la doctrine trinitaire. La doctrine de la Trinité affirme que le Père, le Fils et le Saint Esprit forment tous ensemble « un seul Dieu ». Sans aller plus en détails, en expliquant qu’il ne s’agit pas en effet d’une formule baptismale reconnu dans le récit des Actes des apôtres, il nous suffit encore de remarquer que la présence dans un même verset de trois entités distinctes ne suffit pas à démontrer que Dieu le Père, Jésus, et le Saint Esprit constituent une trinité ou un Dieu trinitaire et qu’ils sont tous les trois égaux en substance, en puissance et en éternité. La liste de trois personnes, par exemple Jules, Nathan et Enzo, dans un même texte, quel qu’il soit, ne fait pas de ces trois individus un seul et même être.
Un autre passage fréquemment utilisé par les trinitaires se trouve en 1 Jean 5:7-8 et est communément appelé Comma Johanneum par les érudits bibliques. On peut y lire : « Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un. Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre; l'Esprit, l'eau, et le sang; et ces trois-là se rapportent à une seule chose ».
Dans cette citation des Écritures, les mots soulignés sont ceux qui furent ajoutés à certains manuscrits grecs. Ils n’appartiennent pas au manuscrit original. Même les trinitaires les plus ardents sont d’accord pour admettre que la phrase précédemment soulignée est introuvable dans les plus anciens manuscrits grecs.
L’Église catholique romaine l’admet elle-même dans une note de bas de page de l’une de ses propres versions de la Bible, la Bible de Jérusalem. Cette note affirme ce qui suit : « Le texte des vv. 7-8 est surchargé dans la Vulg. [La Vulgate, traduction latine des Écritures datant du 4ème siècle] par une incise (ci-dessous entre parenthèses) absente des mss [manuscrits] grecs anciens, des vieilles versions et des meilleurs mss de la Vulg., et qui semble être une glose marginale introduite plus tard dans le texte : « Car il y en a trois qui témoignent (dans le ciel : le Père, la Verbe et l’Esprit Saint, et ces trois sont un ; et il y en a trois qui témoignent sur terre) : l’Esprit, l'eau et le sang, et ces trois sont un ».
Un érudit trinitaire reconnu, Henry Alford (1810-1871), dans ses écrits affirme même catégoriquement que cet ajout aux Écritures se trouverait omis de tous les manuscrits grecs antérieurs au début du 16ème siècle. Un texte si peu fiable ne peut certainement pas être utilisé pour supporter la doctrine de la Trinité.
Nous avons vu et nous savons donc que ces deux textes n’appartenaient pas aux manuscrits originaux. Cependant, même si cela avait été le cas, ils ne changent en rien le contenu général des Écritures et ne suffisent certainement pas à établir une quelconque Trinité. En Matthieu 28:19, les mots Père, Fils et Saint Esprit peuvent tout aussi bien être compris comme correspondant au titre de Seigneur Jésus Christ contenu dans le livre des Actes (Jésus, le Fils, fut fait Seigneur par le Père et oint du Saint Esprit). De la même manière, en 1 Jean 5:7-8, le fait que ces « ces trois-là [soient] un » ne signifie en rien qu’ils soient un seul et même individu, mais bien plutôt qu’ils partagent un objectif commun et agissent d’un même accord.
Conclusion
En conclusion, nous devrions tous être d’accord pour admettre que Jésus n'est pas Dieu au sens absolu, et certainement pas Dieu le Fils comme les trinitaires voudraient nous le faire croire. Dans les écrits apostoliques, Jésus est de manière constante appelé le Fils de Dieu. Comme l’affirment les Écritures, que Jésus est la première création de Dieu (Colossiens 1:15 ; Apocalypse 3:14) et qu’il est le Fils unique de Dieu, né de la vierge Marie. Dieu, le Père, est le seul Dieu tout-puissant, devant lui il n'y a « point d’autres dieux » (Exode 20:3).
Le Père est le Créateur de toutes choses. Croire ainsi ne diminue en rien l’importance de Jésus Christ, qui en sa qualité de Fils de Dieu mérite à juste titre de siéger à la droite de Dieu (Marc 16:19 ; voir aussi Actes 7:56). Jésus Christ est notre Seigneur. Il a été nommé à cette fonction par Dieu.
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
L’enseignement le plus universellement reconnu dans la chrétienté, concernant la nature divine, est la doctrine de la « Trinité ». Aussi choquant que cela puisse paraître, cette doctrine n’est pas fondée sur la Bible.
L’origine de la doctrine sur la Trinité
En ce qui concerne la nature de Dieu, les chrétiens orthodoxes enseignent qu’Il est « un Dieu en trois personnes ». Aussi choquant que cela puisse paraître, nulle part, la Bible n’enseigne la Trinité, quoique ce concept touchant à la nature de Dieu soit le plus répandu parmi ceux qui se considèrent chrétiens ! En fait, le terme « trinité » n’apparaît pas même une seule fois dans la Bible. Dans ces conditions, quelle est l’origine de cet enseignement, et comment en est-il arrivé à être universellement adopté ?
Environ trente ans après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, Jude, le plus jeune parmi les demi-frères de Jésus (fils de Joseph et de Marie), exhorta les frères « à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3).
Il est donc manifeste que la véritable foi chrétienne avait déjà été dispensée, avant la rédaction de l’Epître de Jude.
Jude expliqua, que des hommes impies s’étaient introduits secrètement dans l’Eglise, et qu’ils avaient déjà commencé à tordre les véritables doctrines données par Jésus-Christ à Ses disciples.
Des érudits catholiques admettent même que Tertullien (150-225 apr. J.-C.) fut le premier écrivain à utiliser le terme de « trinité ». Si cet enseignement fondamental concernant la nature de Dieu était exact, pourquoi ne fut-il pas révélé 150 ans plus tôt, après la crucifixion et la résurrection de Jésus-Christ ?
Pour quelle raison cette doctrine ne fut-elle pas enseignée et expliquée par les premiers disciples du Christ, y compris l’apôtre Paul ? Comme nous le verrons plus loin, ceux-ci donnaient, en réalité, une explication tout à fait différente de la nature du véritable Dieu !
Au cours des IIème et IIIème siècles, il n’y avait pas seulement une seule hérésie en cours, mais plusieurs qui se contredisaient. Il semblerait qu’à cette époque, il y eut presque autant d’idées différentes qu’il y avait d’écoles de philosophie et de professeurs. La pensée catholique prédominante, de laquelle l’enseignement orthodoxe et protestant relatif à ce sujet a jailli, n’est que l’héritière de l’hérésie qui a triomphé en supplantant toutes les autres.
L’arrière-plan de l’orthodoxie relative à la Trinité, qui a vu le jour au troisième siècle, ne vient pas du texte biblique, mais des écrits des philosophes grecs. A ce propos, The Roman Catholic New Theological Dictionary, en se référant à l’enseignement biblique traitant de la nature du Saint-Esprit, au chapitre « Trinité », admet ceci : « En tant que tel, l’Esprit n’a jamais fait l’objet d’un culte explicite dans le Nouveau Testament, et n’a jamais été non plus décrit dans les discours du Nouveau Testament, comme une entité entretenant des relations réciproques et personnelles avec le Père et le Fils » .
Plus loin, dans ce même article, des érudits catholiques modernes, discutant du fond de l’orthodoxie relative à la Trinité, reconnaissent que des influences païennes ont marqué leur théologie :
Des chrétiens […] versés dans la philosophie devenue dominante à l’époque du moyen platonisme saisirent l’occasion de déclarer et d’expliquer le message chrétien selon une façon de raisonner, qui était familière aux classes éduquées de la société hellénistique implantée partout […]
Persuadés que le Dieu qu’ils (les philosophes grecs) enseignaient était le Père de Jésus-Christ, et que le salut qu’ils proclamaient était celui de Jésus, les apologistes adoptèrent un grand nombre de points de vue hellénistes [… Tertullien] est connu pour avoir été le premier à employer le terme « trinité ».
Origène s’appropria la philosophie du moyen platonisme de façon plus systématique que les apologistes et que Tertullien ne l’avaient fait. Mais son « concept de la génération éternelle » n’était qu’une adaptation de la doctrine du moyen platonisme, selon laquelle le monde spirituel tout entier était éternel.
Le Fils est éternellement issu (ou engendré) de la toute existence de Dieu et, par conséquent, de l’essence même du Père, mais en second après le Père […] Origène, comme Tertullien, inventèrent un terme générique pour les « trois » de la divine triade. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont « trois hypostases » […] La contribution majeure d’Origène, dans le formulation de la doctrine de la Trinité, fut la notion d’éternelle génération. Ce terme générique désignant les « trois » (hypostases) fut ensuite adopté et affiné au quatrième siècle (page 1054).
Tertullien vécut à Carthage, en Afrique du Nord, et rompit plus tard avec Rome pour devenir Montaniste. Autrement dit, il croyait aux déclarations de deux femmes, qui prétendaient être des prophétesses. Elles entraient en transe, et saisies de gesticulations frénétiques, elles « parlaient en langues » en prétendant être le Paraclet (un terme désignant le Saint-Esprit dans l’Evangile de l’apôtre Jean), et enseignaient un message appelé la « Nouvelle Prophétie ».
Tertullien et Origène firent partie des théologiens catholiques, qui prospéraient durant la dernière partie du deuxième siècle et le début du troisième. Aucun d’eux n’avait vu le jour moins d’un siècle après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, lors du jour de la Pentecôte. Ce sont eux qui établirent le fondement de l’enseignement catholique (et plus tard protestant) relatif à la Trinité et à la nature de Dieu – ce fondement ne vient pas des apôtres du Nouveau Testament tels que Pierre, Paul ou Jean.
L’origine de la doctrine sur la Trinité
En ce qui concerne la nature de Dieu, les chrétiens orthodoxes enseignent qu’Il est « un Dieu en trois personnes ». Aussi choquant que cela puisse paraître, nulle part, la Bible n’enseigne la Trinité, quoique ce concept touchant à la nature de Dieu soit le plus répandu parmi ceux qui se considèrent chrétiens ! En fait, le terme « trinité » n’apparaît pas même une seule fois dans la Bible. Dans ces conditions, quelle est l’origine de cet enseignement, et comment en est-il arrivé à être universellement adopté ?
Environ trente ans après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, Jude, le plus jeune parmi les demi-frères de Jésus (fils de Joseph et de Marie), exhorta les frères « à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes » (Jude 3).
Il est donc manifeste que la véritable foi chrétienne avait déjà été dispensée, avant la rédaction de l’Epître de Jude.
Jude expliqua, que des hommes impies s’étaient introduits secrètement dans l’Eglise, et qu’ils avaient déjà commencé à tordre les véritables doctrines données par Jésus-Christ à Ses disciples.
Des érudits catholiques admettent même que Tertullien (150-225 apr. J.-C.) fut le premier écrivain à utiliser le terme de « trinité ». Si cet enseignement fondamental concernant la nature de Dieu était exact, pourquoi ne fut-il pas révélé 150 ans plus tôt, après la crucifixion et la résurrection de Jésus-Christ ?
Pour quelle raison cette doctrine ne fut-elle pas enseignée et expliquée par les premiers disciples du Christ, y compris l’apôtre Paul ? Comme nous le verrons plus loin, ceux-ci donnaient, en réalité, une explication tout à fait différente de la nature du véritable Dieu !
Au cours des IIème et IIIème siècles, il n’y avait pas seulement une seule hérésie en cours, mais plusieurs qui se contredisaient. Il semblerait qu’à cette époque, il y eut presque autant d’idées différentes qu’il y avait d’écoles de philosophie et de professeurs. La pensée catholique prédominante, de laquelle l’enseignement orthodoxe et protestant relatif à ce sujet a jailli, n’est que l’héritière de l’hérésie qui a triomphé en supplantant toutes les autres.
L’arrière-plan de l’orthodoxie relative à la Trinité, qui a vu le jour au troisième siècle, ne vient pas du texte biblique, mais des écrits des philosophes grecs. A ce propos, The Roman Catholic New Theological Dictionary, en se référant à l’enseignement biblique traitant de la nature du Saint-Esprit, au chapitre « Trinité », admet ceci : « En tant que tel, l’Esprit n’a jamais fait l’objet d’un culte explicite dans le Nouveau Testament, et n’a jamais été non plus décrit dans les discours du Nouveau Testament, comme une entité entretenant des relations réciproques et personnelles avec le Père et le Fils » .
Plus loin, dans ce même article, des érudits catholiques modernes, discutant du fond de l’orthodoxie relative à la Trinité, reconnaissent que des influences païennes ont marqué leur théologie :
Des chrétiens […] versés dans la philosophie devenue dominante à l’époque du moyen platonisme saisirent l’occasion de déclarer et d’expliquer le message chrétien selon une façon de raisonner, qui était familière aux classes éduquées de la société hellénistique implantée partout […]
Persuadés que le Dieu qu’ils (les philosophes grecs) enseignaient était le Père de Jésus-Christ, et que le salut qu’ils proclamaient était celui de Jésus, les apologistes adoptèrent un grand nombre de points de vue hellénistes [… Tertullien] est connu pour avoir été le premier à employer le terme « trinité ».
Origène s’appropria la philosophie du moyen platonisme de façon plus systématique que les apologistes et que Tertullien ne l’avaient fait. Mais son « concept de la génération éternelle » n’était qu’une adaptation de la doctrine du moyen platonisme, selon laquelle le monde spirituel tout entier était éternel.
Le Fils est éternellement issu (ou engendré) de la toute existence de Dieu et, par conséquent, de l’essence même du Père, mais en second après le Père […] Origène, comme Tertullien, inventèrent un terme générique pour les « trois » de la divine triade. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont « trois hypostases » […] La contribution majeure d’Origène, dans le formulation de la doctrine de la Trinité, fut la notion d’éternelle génération. Ce terme générique désignant les « trois » (hypostases) fut ensuite adopté et affiné au quatrième siècle (page 1054).
Tertullien vécut à Carthage, en Afrique du Nord, et rompit plus tard avec Rome pour devenir Montaniste. Autrement dit, il croyait aux déclarations de deux femmes, qui prétendaient être des prophétesses. Elles entraient en transe, et saisies de gesticulations frénétiques, elles « parlaient en langues » en prétendant être le Paraclet (un terme désignant le Saint-Esprit dans l’Evangile de l’apôtre Jean), et enseignaient un message appelé la « Nouvelle Prophétie ».
Tertullien et Origène firent partie des théologiens catholiques, qui prospéraient durant la dernière partie du deuxième siècle et le début du troisième. Aucun d’eux n’avait vu le jour moins d’un siècle après la fondation de l’Eglise du Nouveau Testament, lors du jour de la Pentecôte. Ce sont eux qui établirent le fondement de l’enseignement catholique (et plus tard protestant) relatif à la Trinité et à la nature de Dieu – ce fondement ne vient pas des apôtres du Nouveau Testament tels que Pierre, Paul ou Jean.
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
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-“Le christianisme primitif n’avait pas défini une doctrine de la Trinité semblable à celle qui devait être élaborée dans les Credo ultérieurs.” — Nouveau Dictionnaire international de théologie du Nouveau Testament (angl.).
-“Les premiers chrétiens, cependant, n’appliquèrent pas ce dogme [la Trinité] à leur propre foi. Ils rendaient un culte à Dieu le Père et à Jésus Christ, Fils de Dieu, et ils reconnaissaient (...) [le] Saint Esprit. Mais ils ne songeaient pas à faire de ces trois entités un véritable amalgame.” — Survivances païennes dans le monde chrétien.
-“Au commencement, la foi chrétienne n’était pas trinitaire (...). Non, comme en témoignent le N[ouveau] T[estament] et les autres écrits du christianisme primitif, il n’en était pas ainsi aux époques apostolique et postapostolique.” — Encyclopédie de la religion et de l’éthique (angl.).
“La formulation ‘un Dieu en trois personnes’ n’a pas été solidement établie ni sans doute pleinement intégrée à la vie chrétienne et à sa profession de foi avant la fin du IVe siècle. (...) Chez les Pères apostoliques, on ne trouve rien qui rappellerait même de loin ce point de vue.” — Nouvelle Encyclopédie catholique.
Lien : http://libertedecroyance.blogspot.be/20
-“Le christianisme primitif n’avait pas défini une doctrine de la Trinité semblable à celle qui devait être élaborée dans les Credo ultérieurs.” — Nouveau Dictionnaire international de théologie du Nouveau Testament (angl.).
-“Les premiers chrétiens, cependant, n’appliquèrent pas ce dogme [la Trinité] à leur propre foi. Ils rendaient un culte à Dieu le Père et à Jésus Christ, Fils de Dieu, et ils reconnaissaient (...) [le] Saint Esprit. Mais ils ne songeaient pas à faire de ces trois entités un véritable amalgame.” — Survivances païennes dans le monde chrétien.
-“Au commencement, la foi chrétienne n’était pas trinitaire (...). Non, comme en témoignent le N[ouveau] T[estament] et les autres écrits du christianisme primitif, il n’en était pas ainsi aux époques apostolique et postapostolique.” — Encyclopédie de la religion et de l’éthique (angl.).
“La formulation ‘un Dieu en trois personnes’ n’a pas été solidement établie ni sans doute pleinement intégrée à la vie chrétienne et à sa profession de foi avant la fin du IVe siècle. (...) Chez les Pères apostoliques, on ne trouve rien qui rappellerait même de loin ce point de vue.” — Nouvelle Encyclopédie catholique.
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Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Qu’ont enseigné les Pères anténicéens?
ON RECONNAÎT dans les Pères anténicéens des chefs religieux dont l’influence, au cours des premiers siècles qui ont suivi la naissance du Christ, a été considérable. Leur enseignement ne manque donc pas d’intérêt.
-Justin (mort vers 165 de notre ère) a admis qu’avant de venir sur terre, Jésus était un ange, qu’il avait été créé, et qu’il était “différent du Dieu qui a fait toutes choses”. Il a dit que Jésus est inférieur à Dieu et qu’“il n’a jamais rien fait que ce que le Créateur (...) voulait qu’il dise et fasse”.
-Irénée (mort vers 200 de notre ère) a dit qu’avant d’être un humain, Jésus menait une existence distincte de celle de Dieu et qu’il lui était inférieur. Il a montré que Jésus n’est pas égal au “seul vrai Dieu”, qui est “au-dessus de tous, et auprès de qui il n’y a point d’autre”.
-Clément d’Alexandrie (mort vers 215 de notre ère) a appelé Dieu “le seul vrai Dieu, incréé et impérissable”. Il a dit que le Fils vient “de suite après le Père, seul omnipotent”, mais qu’il ne lui est pas égal.
-Tertullien (mort vers 230 de notre ère) a enseigné la suprématie de Dieu. Il déclara: “Le Père est différent du Fils (il est autre) en ce qu’il est plus grand; en ce que celui qui engendre est différent de celui qui est engendré; celui qui envoie, différent de celui qui est envoyé.” Il dit également: “Il fut un temps où le Fils n’était pas. (...) Avant toute chose, Dieu était seul.”
-Hippolyte (mort vers 235 de notre ère) a dit que Dieu est “le Dieu unique, le premier et le Seul, Créateur et Seigneur de tout”, de qui “rien n’était contemporain [du même âge] (...). Mais il était Un et seul; qui, parce qu’il le voulait, appela à l’existence ce qui auparavant n’était pas”, comme Jésus, qui fut créé avant de venir sur la terre.
-Origène (mort vers 250 de notre ère) a dit que “le Père et le Fils sont deux substances (...), deux choses pour ce qui est de leur essence”, et que “comparé au Père, [le Fils] est une très petite lumière”.
Résumant l’ensemble des preuves historiques, Alvan Lamson écrit dans L’Église des trois premiers siècles (angl.): “La doctrine moderne et populaire de la Trinité (...) ne tire pas son origine des paroles de Justin, et cette remarque pourrait être étendue à tous les Pères anténicéens; c’est-à-dire à tous les écrivains chrétiens des trois siècles qui ont suivi la naissance du Christ. Ils parlent, il est vrai, du Père, du Fils et du (...) Saint-Esprit, mais non pas comme étant coégaux, non pas comme étant d’une seule essence, numériquement parlant, non pas comme étant Trois en Un, dans aucun des sens admis par les trinitaires. C’est l’inverse qui est vrai.”
Ainsi donc, le témoignage de la Bible et de l’Histoire montre clairement que la Trinité fut inconnue tout au long de l’époque biblique et qu’elle le demeura pendant des siècles.
http://libertedecroyance.blogspot.be/20 ... inite.html
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ON RECONNAÎT dans les Pères anténicéens des chefs religieux dont l’influence, au cours des premiers siècles qui ont suivi la naissance du Christ, a été considérable. Leur enseignement ne manque donc pas d’intérêt.
-Justin (mort vers 165 de notre ère) a admis qu’avant de venir sur terre, Jésus était un ange, qu’il avait été créé, et qu’il était “différent du Dieu qui a fait toutes choses”. Il a dit que Jésus est inférieur à Dieu et qu’“il n’a jamais rien fait que ce que le Créateur (...) voulait qu’il dise et fasse”.
-Irénée (mort vers 200 de notre ère) a dit qu’avant d’être un humain, Jésus menait une existence distincte de celle de Dieu et qu’il lui était inférieur. Il a montré que Jésus n’est pas égal au “seul vrai Dieu”, qui est “au-dessus de tous, et auprès de qui il n’y a point d’autre”.
-Clément d’Alexandrie (mort vers 215 de notre ère) a appelé Dieu “le seul vrai Dieu, incréé et impérissable”. Il a dit que le Fils vient “de suite après le Père, seul omnipotent”, mais qu’il ne lui est pas égal.
-Tertullien (mort vers 230 de notre ère) a enseigné la suprématie de Dieu. Il déclara: “Le Père est différent du Fils (il est autre) en ce qu’il est plus grand; en ce que celui qui engendre est différent de celui qui est engendré; celui qui envoie, différent de celui qui est envoyé.” Il dit également: “Il fut un temps où le Fils n’était pas. (...) Avant toute chose, Dieu était seul.”
-Hippolyte (mort vers 235 de notre ère) a dit que Dieu est “le Dieu unique, le premier et le Seul, Créateur et Seigneur de tout”, de qui “rien n’était contemporain [du même âge] (...). Mais il était Un et seul; qui, parce qu’il le voulait, appela à l’existence ce qui auparavant n’était pas”, comme Jésus, qui fut créé avant de venir sur la terre.
-Origène (mort vers 250 de notre ère) a dit que “le Père et le Fils sont deux substances (...), deux choses pour ce qui est de leur essence”, et que “comparé au Père, [le Fils] est une très petite lumière”.
Résumant l’ensemble des preuves historiques, Alvan Lamson écrit dans L’Église des trois premiers siècles (angl.): “La doctrine moderne et populaire de la Trinité (...) ne tire pas son origine des paroles de Justin, et cette remarque pourrait être étendue à tous les Pères anténicéens; c’est-à-dire à tous les écrivains chrétiens des trois siècles qui ont suivi la naissance du Christ. Ils parlent, il est vrai, du Père, du Fils et du (...) Saint-Esprit, mais non pas comme étant coégaux, non pas comme étant d’une seule essence, numériquement parlant, non pas comme étant Trois en Un, dans aucun des sens admis par les trinitaires. C’est l’inverse qui est vrai.”
Ainsi donc, le témoignage de la Bible et de l’Histoire montre clairement que la Trinité fut inconnue tout au long de l’époque biblique et qu’elle le demeura pendant des siècles.
http://libertedecroyance.blogspot.be/20 ... inite.html
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Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Comment la doctrine de la Trinité s’est-elle développée?
À CE stade de notre examen, certains pourraient se demander: ‘Si la Trinité n’est pas un enseignement biblique, comment est-elle devenue une doctrine de la chrétienté?’ Pour beaucoup, elle a été formulée en l’an 325, au concile de Nicée.
En réalité, ce n’est pas tout à fait exact. Le concile de Nicée a bien affirmé que le Christ était de même substance que Dieu, ce qui a posé le fondement de la théologie trinitaire postérieure; mais il n’a pas établi la Trinité, car l’esprit saint n’y était pas présenté comme la troisième personne d’une divinité
Le rôle de Constantin à Nicée
DEPUIS de nombreuses années, une idée qui se répandait, et selon laquelle Jésus est Dieu, rencontrait une vive opposition, opposition fondée sur les Écritures. Pour tenter de mettre fin au conflit, l’empereur romain Constantin convoqua tous les évêques à Nicée. Une partie d’entre eux seulement, soit environ 300, s’y rendirent.
Constantin n’était pas chrétien. On dit qu’il s’est converti sur le tard; toutefois, il s’est fait baptiser alors qu’il était mourant. Dans L’Église primitive (angl.), Henry Chadwick dit de lui: “Comme son père, Constantin adorait le Soleil invaincu; (...) on ne doit pas voir dans sa conversion un effet de la grâce (...), mais le calcul d’un chef militaire. Sa compréhension de la doctrine chrétienne ne fut jamais très claire.
Néanmoins, il était sûr d’une chose: la victoire au combat était un don du Dieu des chrétiens.”
Quel rôle cet empereur, qui n’était pas baptisé, a-t-il joué lors du concile de Nicée? Voici ce qu’on peut lire à ce propos dans l’Encyclopédie britannique: “Ce fut Constantin qui présida. Il dirigea activement les discussions, et ce fut lui qui proposa (...) la formule capitale qui allait exprimer la relation du Christ à Dieu dans le Credo adopté par le concile, ‘de même substance que le Père’ (...). Intimidés par l’empereur, les évêques, à l’exception de deux, signèrent le Credo, ce que beaucoup firent contre leur gré.”
Le rôle de Constantin fut donc déterminant. Après deux mois d’un débat acharné entre les évêques, cet empereur païen trancha en faveur de ceux pour lesquels Jésus était Dieu.
Pourquoi cela? Certainement pas en raison d’une conviction nourrie par les Écritures. En effet, selon Une brève histoire de la doctrine chrétienne (angl.), “Constantin n’avait pour ainsi dire aucune compréhension des questions que posait la théologie grecque”.
Ce qu’il comprenait, en revanche, c’est que la division religieuse était une menace pour son empire, dont il voulait consolider l’unité.
Au demeurant, les évêques réunis à Nicée ne mirent pas véritablement en place le dogme de la Trinité. Ils statuèrent sur la nature de Jésus, mais non sur le rôle de l’esprit saint. Si la Trinité était une claire vérité biblique, les évêques ne l’auraient-ils pas énoncée à cette époque?
À CE stade de notre examen, certains pourraient se demander: ‘Si la Trinité n’est pas un enseignement biblique, comment est-elle devenue une doctrine de la chrétienté?’ Pour beaucoup, elle a été formulée en l’an 325, au concile de Nicée.
En réalité, ce n’est pas tout à fait exact. Le concile de Nicée a bien affirmé que le Christ était de même substance que Dieu, ce qui a posé le fondement de la théologie trinitaire postérieure; mais il n’a pas établi la Trinité, car l’esprit saint n’y était pas présenté comme la troisième personne d’une divinité
Le rôle de Constantin à Nicée
DEPUIS de nombreuses années, une idée qui se répandait, et selon laquelle Jésus est Dieu, rencontrait une vive opposition, opposition fondée sur les Écritures. Pour tenter de mettre fin au conflit, l’empereur romain Constantin convoqua tous les évêques à Nicée. Une partie d’entre eux seulement, soit environ 300, s’y rendirent.
Constantin n’était pas chrétien. On dit qu’il s’est converti sur le tard; toutefois, il s’est fait baptiser alors qu’il était mourant. Dans L’Église primitive (angl.), Henry Chadwick dit de lui: “Comme son père, Constantin adorait le Soleil invaincu; (...) on ne doit pas voir dans sa conversion un effet de la grâce (...), mais le calcul d’un chef militaire. Sa compréhension de la doctrine chrétienne ne fut jamais très claire.
Néanmoins, il était sûr d’une chose: la victoire au combat était un don du Dieu des chrétiens.”
Quel rôle cet empereur, qui n’était pas baptisé, a-t-il joué lors du concile de Nicée? Voici ce qu’on peut lire à ce propos dans l’Encyclopédie britannique: “Ce fut Constantin qui présida. Il dirigea activement les discussions, et ce fut lui qui proposa (...) la formule capitale qui allait exprimer la relation du Christ à Dieu dans le Credo adopté par le concile, ‘de même substance que le Père’ (...). Intimidés par l’empereur, les évêques, à l’exception de deux, signèrent le Credo, ce que beaucoup firent contre leur gré.”
Le rôle de Constantin fut donc déterminant. Après deux mois d’un débat acharné entre les évêques, cet empereur païen trancha en faveur de ceux pour lesquels Jésus était Dieu.
Pourquoi cela? Certainement pas en raison d’une conviction nourrie par les Écritures. En effet, selon Une brève histoire de la doctrine chrétienne (angl.), “Constantin n’avait pour ainsi dire aucune compréhension des questions que posait la théologie grecque”.
Ce qu’il comprenait, en revanche, c’est que la division religieuse était une menace pour son empire, dont il voulait consolider l’unité.
Au demeurant, les évêques réunis à Nicée ne mirent pas véritablement en place le dogme de la Trinité. Ils statuèrent sur la nature de Jésus, mais non sur le rôle de l’esprit saint. Si la Trinité était une claire vérité biblique, les évêques ne l’auraient-ils pas énoncée à cette époque?
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
( La doctrine de la Trinité vue par l'église de Dieu Restaurée )
La Trinité, Dieu Est-Il Trois En Un?
By David C. Pack
Est-ce que la Bible enseigne que Dieu est une «Trinité», c’est à dire trois personnes en un seul être? La majorité des soi-disant Chrétiens répondent «oui».
Mais, si c’est un test de passage du Christianisme traditionnel, le triple Dieu est donc condamné à être un mystère impossible à élucider et à comprendre.
D’autres questions se soulèvent:
1) Comment est-ce que le sacrifice de Christ s’intègre-t-il avec ce Dieu «trois en un»?
2) Comment est-ce que Jésus S’est-Il «extirpé» du Père et du Saint Esprit pour mourir comme Sauveur?
Et puis, il y a ceci: Si Dieu n’est pas une Trinité, alors, qui ou quoi est-Il? Qu’est-ce que les érudits, les théologiens et les étudiants de la Bible ont manqué?
Des millions assument que la doctrine de la Trinité est vraie et que les écritures le prouvent. Mais la Parole de Dieu révèle quelque chose de très différent, et de beaucoup plus grand, au sujet de la nature du vrai Dieu.
Voici, d’une manière claire, les faits de l’histoire, et ce que la Bible enseigne réellement au sujet de qui et quoi, en est l’auteur !
TABLES DES MATIÈRES
•Introduction
•Chapitre Un — Fondé sur la fausse connaissance.
•Chapitre Deux — Tu n’auras pas d’autres dieux devant Moi.
•Chapitre Trois — Les anciennes racines de la Trinité.
•Chapitre Quatre — Affronter la confusion.
•Chapitre Cinq — Ce que la Bible enseigne.
•Chapitre Six — Dieu est-Il unique?
•Chapitre Sept — Définir le Saint Esprit.
•Chapitre Huit — Un autre Jésus.
•Chapitre Neuf — Qui et quoi est Dieu?
•Chapitre Dix — La Famille divine.
•Chapitre Onze — Une décision colossale : quel Dieu?
Lien : http://rcg.org/fr/brochures/ttigtio-fr.html
La Trinité, Dieu Est-Il Trois En Un?
By David C. Pack
Est-ce que la Bible enseigne que Dieu est une «Trinité», c’est à dire trois personnes en un seul être? La majorité des soi-disant Chrétiens répondent «oui».
Mais, si c’est un test de passage du Christianisme traditionnel, le triple Dieu est donc condamné à être un mystère impossible à élucider et à comprendre.
D’autres questions se soulèvent:
1) Comment est-ce que le sacrifice de Christ s’intègre-t-il avec ce Dieu «trois en un»?
2) Comment est-ce que Jésus S’est-Il «extirpé» du Père et du Saint Esprit pour mourir comme Sauveur?
Et puis, il y a ceci: Si Dieu n’est pas une Trinité, alors, qui ou quoi est-Il? Qu’est-ce que les érudits, les théologiens et les étudiants de la Bible ont manqué?
Des millions assument que la doctrine de la Trinité est vraie et que les écritures le prouvent. Mais la Parole de Dieu révèle quelque chose de très différent, et de beaucoup plus grand, au sujet de la nature du vrai Dieu.
Voici, d’une manière claire, les faits de l’histoire, et ce que la Bible enseigne réellement au sujet de qui et quoi, en est l’auteur !
TABLES DES MATIÈRES
•Introduction
•Chapitre Un — Fondé sur la fausse connaissance.
•Chapitre Deux — Tu n’auras pas d’autres dieux devant Moi.
•Chapitre Trois — Les anciennes racines de la Trinité.
•Chapitre Quatre — Affronter la confusion.
•Chapitre Cinq — Ce que la Bible enseigne.
•Chapitre Six — Dieu est-Il unique?
•Chapitre Sept — Définir le Saint Esprit.
•Chapitre Huit — Un autre Jésus.
•Chapitre Neuf — Qui et quoi est Dieu?
•Chapitre Dix — La Famille divine.
•Chapitre Onze — Une décision colossale : quel Dieu?
Lien : http://rcg.org/fr/brochures/ttigtio-fr.html
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Origine de la doctrine trinitaire
L'Histoire nous apprend qu'au début, l'église catholique cherchait à gagner le cœur des païens qui étaient très nombreux dans les pays gouvernés par Rome. Au début de son existence la religion catholique est apparue avec toute l'autorité de la Rome païenne qui voulait prendre le contrôle des gens sans qu'il y ait de violence par une fausse religion "chrétienne"*. Par l'autorité Papale, l'église et les richesses se sont accrues.
Gardez en mémoire que ceux que l'église catholique n'arrivait pas à convaincre ont été tués.
Cette nouvelle église Romaine a alors fait des plans pour planifier une tactique, pour attirer la vaste majorité des païens à elle en "christianisant" beaucoup de croyances et de traditions païennes. En fait, Rome a "paganisé les chrétiens" qui étaient là depuis le début.
Ces nouvelles observances et croyances, les rituels, ont été ajoutés au dogme de l'église. Tout ceci a été transmis dans le monde entier.
Les fêtes "chrétiennes" que nous avons aujourd'hui, les symboles, l'invocation des saints, la Trinité, la mère et l'enfant qui est Sémiramis avec son enfant, etc, ont pour origine Babylone qui du temps de Rome était le Mithraïsme avec sa trinité païenne.
Elle se dit non seulement être une église chrétienne mais la seule vrai église chrétienne dans le monde, toutes les autres étant fausses. C'est au Concile de Nicée en l'an 325 que la puissance de Rome assoiffée de pouvoir et de contrôle sur le monde a influencé des centaines d'évêques et plusieurs milliers d'églises lors de leur retour dans ces églises, et influencés par Constantin, ils amenèrent les nouvelles doctrines.
Cela ne vous fait-il pas penser à tout ce que "satan" a essayé de détruire depuis le commencement ? Il a fait tomber Adam et Eve, il a envoyé ses anges pour corrompre la race humaine..
La Papauté voulant ajouter les croyances païennes dans ses rangs a dû payer un prix. Chaque nation païenne avait sa propre Trinité de dieux. Mais le vrai "christianisme" lui n'avait pas trois Dieux. Ces hommes dont le cœur était rempli de méchanceté, ont commencé dans le Père, le Fils et le Saint Esprit avec une apparence de trois Dieux. Par les philosophes gnostiques et Platon a été immergée la croyance païenne d'une trinité de personnes très similaire au paganisme.
Plusieurs évêques parmi lesquels étaient des descendants de la Mystique Babylone ont persuadé l'Empereur Constantin, qui lui-même était du Mithraisme, au concile de Nicée, d'adopter cette croyance.
Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ? L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines.
Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.”
Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" !
Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en "Dieu" un Père, un Fils et un Saint Esprit coéternels.
Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement.
Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul. Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381.
L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament. Il n’est donc pas étonnant que le reste de leurs débats, toujours fondé sur la métaphysique de la substance, ait mené à l’élaboration de concepts qui ne s’appuyaient nullement sur le Nouveau Testament.” Par conséquent, l’idée même d’un "Dieu" en trois personnes consubstantielles est un pur produit de la théologie philosophique. Elle n’a pas sa source dans les Écritures.
L'Histoire nous apprend qu'au début, l'église catholique cherchait à gagner le cœur des païens qui étaient très nombreux dans les pays gouvernés par Rome. Au début de son existence la religion catholique est apparue avec toute l'autorité de la Rome païenne qui voulait prendre le contrôle des gens sans qu'il y ait de violence par une fausse religion "chrétienne"*. Par l'autorité Papale, l'église et les richesses se sont accrues.
Gardez en mémoire que ceux que l'église catholique n'arrivait pas à convaincre ont été tués.
Cette nouvelle église Romaine a alors fait des plans pour planifier une tactique, pour attirer la vaste majorité des païens à elle en "christianisant" beaucoup de croyances et de traditions païennes. En fait, Rome a "paganisé les chrétiens" qui étaient là depuis le début.
Ces nouvelles observances et croyances, les rituels, ont été ajoutés au dogme de l'église. Tout ceci a été transmis dans le monde entier.
Les fêtes "chrétiennes" que nous avons aujourd'hui, les symboles, l'invocation des saints, la Trinité, la mère et l'enfant qui est Sémiramis avec son enfant, etc, ont pour origine Babylone qui du temps de Rome était le Mithraïsme avec sa trinité païenne.
Elle se dit non seulement être une église chrétienne mais la seule vrai église chrétienne dans le monde, toutes les autres étant fausses. C'est au Concile de Nicée en l'an 325 que la puissance de Rome assoiffée de pouvoir et de contrôle sur le monde a influencé des centaines d'évêques et plusieurs milliers d'églises lors de leur retour dans ces églises, et influencés par Constantin, ils amenèrent les nouvelles doctrines.
Cela ne vous fait-il pas penser à tout ce que "satan" a essayé de détruire depuis le commencement ? Il a fait tomber Adam et Eve, il a envoyé ses anges pour corrompre la race humaine..
La Papauté voulant ajouter les croyances païennes dans ses rangs a dû payer un prix. Chaque nation païenne avait sa propre Trinité de dieux. Mais le vrai "christianisme" lui n'avait pas trois Dieux. Ces hommes dont le cœur était rempli de méchanceté, ont commencé dans le Père, le Fils et le Saint Esprit avec une apparence de trois Dieux. Par les philosophes gnostiques et Platon a été immergée la croyance païenne d'une trinité de personnes très similaire au paganisme.
Plusieurs évêques parmi lesquels étaient des descendants de la Mystique Babylone ont persuadé l'Empereur Constantin, qui lui-même était du Mithraisme, au concile de Nicée, d'adopter cette croyance.
Quels sont les théologiens qui ont été les premiers à employer le mot “trinité” dans leur œuvre de ‘construction’ doctrinale ? L’Encyclopédie Catholique répond: “Jusqu’à présent on n’a trouvé dans l’Écriture aucun terme particulier qui englobe les trois Personnes divines.
Le mot trias (dont trinitas est la traduction latine) se rencontre pour la première fois chez Théophile d’Antioche vers 180 ap. J.-C. (...) Peu après, il apparaît sous sa forme latine, trinitas, dans les œuvres de Tertullien.”
Cependant, la triade de Théophile se composait de ‘'Dieu", de Sa Parole et de Sa sagesse. Elle n’avait donc qu’un lointain rapport avec celle de la "chrétienté" !
Quant à Tertullien, la même encyclopédie explique que “son enseignement trinitaire est incohérent”, entre autres choses parce que d’après lui “il fut un temps où le Fils n’existait pas”. Par conséquent, le moins que l’on puisse dire, c’est que contrairement à la "chrétienté" contemporaine ces deux hommes ne voyaient pas en "Dieu" un Père, un Fils et un Saint Esprit coéternels.
Pourtant, le mot “trinité” est resté. Par la suite, les théologiens ont "construit" pierre à pierre la doctrine qu’elle désigne actuellement.
Mais l’ont-ils bâti sur le fondement de la Bible ou sur celui de la théologie philosophique ? L’Encyclopédie britannique penche pour la seconde hypothèse. Voici ce qu’on y lit: “La théologie chrétienne a choisi la métaphysique [ou philosophie] néo-platonicienne de la substance et des hypostases [essences ou natures] comme point de départ pour interpréter le rapport qui existe entre le ‘Père et le Fils’.” Le problème majeur des théologiens était de présenter “Dieu le Père”, “Dieu le Fils” et “Dieu le Saint-Esprit” non comme trois Dieux, mais comme un seul. Pendant des années, ils se sont disputé pour savoir si les personnes de la Trinité étaient de substance semblable (en grec homoïousia) ou de même substance (homoousia). Cette controverse a été tranchée (par un "vote" !) en faveur de l’homoousia au concile de Nicée, en 325, puis à celui de Constantinople en 381.
L’Encyclopédie britannique poursuit ainsi: “Dès le début, les deux parties en présence [à Nicée] ont pris pour cheval de bataille le concept néo-platonicien de la substance, qui était étranger au Nouveau Testament. Il n’est donc pas étonnant que le reste de leurs débats, toujours fondé sur la métaphysique de la substance, ait mené à l’élaboration de concepts qui ne s’appuyaient nullement sur le Nouveau Testament.” Par conséquent, l’idée même d’un "Dieu" en trois personnes consubstantielles est un pur produit de la théologie philosophique. Elle n’a pas sa source dans les Écritures.
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Le Dictionnaire de théologie catholique, un ouvrage de référence en 15 volumes, avoue: “Il semble incontestable que la révélation du mystère de la Trinité n’a pas été faite aux Juifs.”
Le Dictionnaire Illustré de la Bible renchérit par ces mots: “Il importe de se souvenir que l’A[ncien] T[estament] a été écrit avant que la doctrine de la Trinité ait été clairement révélée.” Pourtant, peut-on vraiment penser qu’avant l’avènement du christianisme les vrais adorateurs étaient dans l’ignorance au point de n’adorer qu’un tiers du vrai "Dieu" ? Sans doute conviendrez-vous que cela paraît absurde. Ils savaient très bien à qui ils rendaient un culte. (Psaume 95:6, 7).
Malgré tout, il est des trinitaires qui essaient d’asseoir leur conception de la divinité sur les Écritures hébraïques (l’“Ancien Testament”, ou plutôt le "Tanakh"). Par exemple, d’aucuns rappellent que le mot hébreu rendu par “Dieu” apparaît souvent au pluriel (’Èlohim).
Mais ils semblent oublier que ce terme est utilisé de la même manière lorsqu’il se rapporte à des divinités païennes comme Dagon (1Samuel 5:7) ou Mardouk (Daniel 1:2), qui n’étaient cependant pas des triades. À ce sujet R. Girdlestone, professeur à l’université d’Oxford, précise ce qui suit dans son livre Synonyms of the Old Testament: “Nombre de critiques dont l’orthodoxie [trinitaire] est au-dessus de tout soupçon estiment toutefois qu’il est plus judicieux de s’en tenir à la position que des théologiens tels que Cajetan dans l’Église de Rome et Calvin chez les protestants ont jugé bon d’adopter, en considérant cette forme comme un pluriel de majesté.”
Ces théologiens trinitaires ont certainement compris, en effet, que s’ils voyaient dans le vocable ’'Èlohim" un pluriel numérique (à traduire par “dieux”), ils se feraient du même coup polythéistes !
Note : "Dieu" ne peut pas être un pluriel numérique ou mathématique puisqu'il n'est pas "défini", la meilleure preuve se trouvant en 1 Cor 15:27,28 avec le "tout en tous".
Cette doctrine a alors été adoptée par cette religion de Rome comme étant la déclaration officielle de l'Eglise Catholique. A partir de ce moment-là tous les chrétiens étaient sous la peine de mort, de persécution et d'être détestés si ils n'acceptaient pas de croire dans cette nouvelle doctrine de la Trinité.
Exemple: Dans les villes de Vilario et Bobbio, Sarah Rastignole, 60 ans, fut commandée par les soldats de prier un saint quelconque. Lorsqu'elle refusa, ils plongèrent une faucille dans son ventre et l'ouvrirent en deux, puis coupèrent la tête. Constantin Bellione fut questionné par un prêtre qui lui demandait de renoncer au Diable et d'assister à la messe. Il lui répondit: J'ai grandi dans une religion qui ma toujours enseigné à renoncer au Diable mais si je me plie à votre demande d'assister à la messe, je suis sûr de le rencontrer là sous différentes formes. Après avoir dit au Prêtre qu'il allait souffrir atrocement en enfer pour ce qu'il faisait, celui-ci donna l'ordre que sa peau fut arrachée de certaines parties de son corps puis finalement le fit fusiller. Un autre chrétien de Bobbio injurié par un prêtre, répondit que le Pape était l'Antichrist que la messe était de l'idolâtrie, le purgatoire une farce et l'absolution un mensonge. Après l'avoir fait horriblement brutaliser et souffrir, le prêtre le fit tuer sans aucune hésitation.
Jusqu'à aujourd'hui les trinitaires continuent de traiter ceux qui croient en un "Dieu-Elohim unique" de secte et de menteurs. L'histoire démontre que les satanistes, les gnostiques et les descendants de la Babylone mystique avaient tous un dieu triple dans leurs croyances. Ceci est même devenu une pierre d'achoppement pour l'église catholique et les autres églises.
Par l'intermédiaire de l'église catholique et de son influence sur les protestants, plusieurs ne se sont pas éloigné bien loin de Rome et sont retournés vers Rome en recherchent l'unité et la camaraderie. Est-ce que c'est ce que la Parole de "Dieu-Elohim" nous enseigne ?
- 2 Corinthiens 6:14 "Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a–t–il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a–t–il de commun entre la lumière et les ténèbres ?"
Ce cri vers l'unité n'est rien d'autre que Babylone comme prophétisé criant vers ses enfants de revenir à la maison. Le "nouvel âge" n'est rien de nouveau mais plutôt la renaissance de l'ancienne religion pour envoyer le monde en "enfer" (ou plutôt "étang de feu"). Cette ancienne religion rebelle et diabolique existe depuis le paradis terrestre. Elle est devenue un Empire par la Mystérieuse Babylone et par les enseignements sataniques de Nimrod et Sémiramis il y a 4,000 ans. Plus nous avançons dans le temps, plus cette Babylone prendra de la force pour préparer cette religion mondiale à recevoir l'Antichrist.
Le Dictionnaire Illustré de la Bible renchérit par ces mots: “Il importe de se souvenir que l’A[ncien] T[estament] a été écrit avant que la doctrine de la Trinité ait été clairement révélée.” Pourtant, peut-on vraiment penser qu’avant l’avènement du christianisme les vrais adorateurs étaient dans l’ignorance au point de n’adorer qu’un tiers du vrai "Dieu" ? Sans doute conviendrez-vous que cela paraît absurde. Ils savaient très bien à qui ils rendaient un culte. (Psaume 95:6, 7).
Malgré tout, il est des trinitaires qui essaient d’asseoir leur conception de la divinité sur les Écritures hébraïques (l’“Ancien Testament”, ou plutôt le "Tanakh"). Par exemple, d’aucuns rappellent que le mot hébreu rendu par “Dieu” apparaît souvent au pluriel (’Èlohim).
Mais ils semblent oublier que ce terme est utilisé de la même manière lorsqu’il se rapporte à des divinités païennes comme Dagon (1Samuel 5:7) ou Mardouk (Daniel 1:2), qui n’étaient cependant pas des triades. À ce sujet R. Girdlestone, professeur à l’université d’Oxford, précise ce qui suit dans son livre Synonyms of the Old Testament: “Nombre de critiques dont l’orthodoxie [trinitaire] est au-dessus de tout soupçon estiment toutefois qu’il est plus judicieux de s’en tenir à la position que des théologiens tels que Cajetan dans l’Église de Rome et Calvin chez les protestants ont jugé bon d’adopter, en considérant cette forme comme un pluriel de majesté.”
Ces théologiens trinitaires ont certainement compris, en effet, que s’ils voyaient dans le vocable ’'Èlohim" un pluriel numérique (à traduire par “dieux”), ils se feraient du même coup polythéistes !
Note : "Dieu" ne peut pas être un pluriel numérique ou mathématique puisqu'il n'est pas "défini", la meilleure preuve se trouvant en 1 Cor 15:27,28 avec le "tout en tous".
Cette doctrine a alors été adoptée par cette religion de Rome comme étant la déclaration officielle de l'Eglise Catholique. A partir de ce moment-là tous les chrétiens étaient sous la peine de mort, de persécution et d'être détestés si ils n'acceptaient pas de croire dans cette nouvelle doctrine de la Trinité.
Exemple: Dans les villes de Vilario et Bobbio, Sarah Rastignole, 60 ans, fut commandée par les soldats de prier un saint quelconque. Lorsqu'elle refusa, ils plongèrent une faucille dans son ventre et l'ouvrirent en deux, puis coupèrent la tête. Constantin Bellione fut questionné par un prêtre qui lui demandait de renoncer au Diable et d'assister à la messe. Il lui répondit: J'ai grandi dans une religion qui ma toujours enseigné à renoncer au Diable mais si je me plie à votre demande d'assister à la messe, je suis sûr de le rencontrer là sous différentes formes. Après avoir dit au Prêtre qu'il allait souffrir atrocement en enfer pour ce qu'il faisait, celui-ci donna l'ordre que sa peau fut arrachée de certaines parties de son corps puis finalement le fit fusiller. Un autre chrétien de Bobbio injurié par un prêtre, répondit que le Pape était l'Antichrist que la messe était de l'idolâtrie, le purgatoire une farce et l'absolution un mensonge. Après l'avoir fait horriblement brutaliser et souffrir, le prêtre le fit tuer sans aucune hésitation.
Jusqu'à aujourd'hui les trinitaires continuent de traiter ceux qui croient en un "Dieu-Elohim unique" de secte et de menteurs. L'histoire démontre que les satanistes, les gnostiques et les descendants de la Babylone mystique avaient tous un dieu triple dans leurs croyances. Ceci est même devenu une pierre d'achoppement pour l'église catholique et les autres églises.
Par l'intermédiaire de l'église catholique et de son influence sur les protestants, plusieurs ne se sont pas éloigné bien loin de Rome et sont retournés vers Rome en recherchent l'unité et la camaraderie. Est-ce que c'est ce que la Parole de "Dieu-Elohim" nous enseigne ?
- 2 Corinthiens 6:14 "Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a–t–il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a–t–il de commun entre la lumière et les ténèbres ?"
Ce cri vers l'unité n'est rien d'autre que Babylone comme prophétisé criant vers ses enfants de revenir à la maison. Le "nouvel âge" n'est rien de nouveau mais plutôt la renaissance de l'ancienne religion pour envoyer le monde en "enfer" (ou plutôt "étang de feu"). Cette ancienne religion rebelle et diabolique existe depuis le paradis terrestre. Elle est devenue un Empire par la Mystérieuse Babylone et par les enseignements sataniques de Nimrod et Sémiramis il y a 4,000 ans. Plus nous avançons dans le temps, plus cette Babylone prendra de la force pour préparer cette religion mondiale à recevoir l'Antichrist.
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Les symboles:
Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple.
Voici ce les l'archéologie nous dévoile.
Ici nous voyons Trimurti, la trinité hindoue
Ici les traces de Babylone partout dans le monde.
L'idée Babylonienne de l'unité divine était tellement idolâtre, que le "Dieu vivant" (YHWH) blâmait sévèrement son peuple de la partager à quelque degré que ce fût : "Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, Au milieu desquels ils vont un à un, Qui mangent de la chair de porc, Des choses abominables et des souris, Tous ceux–là périront, dit l’Éternel." (Esaïe 66:17).
Dans l'unité de ce "Dieu" unique des Babyloniens il y avait trois personnes, et pour symboliser cette doctrine de la Trinité, ils employaient, comme le prouvent les découvertes de Layard, le triangle équilatéral, absolument comme l'Église Romaine le fait de nos jours . Dans les deux cas une telle comparaison est injurieuse pour le Roi Éternel, et ne sert qu'à pervertir les esprits de ceux qui se la permettent comme s'il y avait ou s'il ne pouvait y avoir aucune ressemblance entre une pareille figure et celui qui a dit : "à qui comparerez-vous "Dieu" (Elohim), et à quoi le ferez-vous ressembler ?"
La papauté a dans quelques-unes de ses églises, comme par exemple dans le monastère des Trinitaires de Madrid, une image du "Dieu en trois personnes", avec trois têtes sur un seul corps . Les Babyloniens avaient quelque chose de similaire. Dans son dernier livre, M. Layard donne un spécimen de cette triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens
La gravure en haut d'une autre divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie, est empruntée à une médaille du Cabinet impérial de St-Pétersbourg et donnée dans le "Japhet" de Parson. Les trois têtes sont arrangées autrement dans le spécimen de Layard, mais toutes les deux sont évidemment destinées à symboliser la même grande vérité, bien que toutes ces représentations de la Trinité avilissent les idées de ceux parmi lesquels on trouve ces images, au sujet de ce mystère sublime de notre foi.
Dans l'Inde, la divinité suprême est aussi représentée de la même manière dans l'un des temples les plus anciens de ce pays; elle a trois têtes sur un seul corps et porte le nom de "Eko Deva Trimurti", "un Dieu à trois formes" .
Au Japon, les Bouddhistes adorent leur grand dieu Bouddha avec trois têtes, sous la même forme et sous le nom de "San Pao Fuh ".
Toutes ces images existaient depuis l'Antiquité. Tout en étant empreinte d'idolâtrie, la notion d'une Trinité était universelle chez toutes les nations anciennes du monde : cela montre combien était profondément enracinée dans l'humanité la doctrine originelle qui vient si manifestement de la Genèse.
La triple invocation du nom sacré alors que Jacob bénit les enfants de Joseph est à remarquer car elle est extrêmement frappante: Il bénit Joseph, et dit: Que le Dieu-Elohim en présence duquel ont marché mes pères, Abraham et Isaac, que le Dieu-Elohim qui m’a conduit depuis que j’existe jusqu’à ce jour, 16 que l’ange (messager) qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces enfants ! (Genèse 48:15). Si l'ange mentionné ici n'eût pas été de Dieu-Elohim, Jacob ne l'aurait pas invoqué comme étant de Dieu-Elohim. Dans Osée 12, 3-5, "Et dans sa vigueur, il lutta avec Dieu-Elohim. Il lutta avec l’ange, et il fut vainqueur, Il pleura, et lui adressa des supplications. Jacob l’avait trouvé à Béthel, Et c’est là que Dieu-Elohim nous a parlé. L’Éternel (YHWH) est le Dieu-Elohim des armées; Son nom est l’Éternel (YHWH).
Mais il est évident que le sens hiéroglyphique de ce cercle est bien différent. En Chaldéen un cercle se dit "Zéro"; et Zéro signifie aussi "la semence". Aussi, d'après le génie du système mystique des Chaldéens, qui était dans une large mesure fondé sur des mots à double sens, ce qui pour le vulgaire était simplement un Zéro, "une circonférence", était pour les initiés: "Zéro, la semence". Maintenant si on considère de ce point de vue l'emblème triple de la Divinité suprême des Assyriens, on voit clairement quelle avait été à l'origine la foi patriarcale.
Tout d'abord, il y a la tête du vieillard, puis il y a le Zéro, ou le cercle, c'est-à-dire la semence; enfin, les ailes et la queue d'une colombe , tout cela montre, d'une manière blasphématoire, l'unité du Père, de la semence ou du Fils, et du Saint-Esprit. Telle était la manière dont l'idolâtrie païenne avait tout d'abord représenté le "Dieu en trois personnes", cette représentation avait duré même après Sennachérib; mais il n'en est pas moins certain qu'à une époque plus reculée, les notions Babyloniennes de la Divinité s'étaient profondément modifiées; et les trois personnes étaient devenues le Père Éternel, l'Esprit de "Dieu" incarné dans une mère humaine et le divin Fils, fruit de cette incarnation.
Notre propre langue nous fournit la preuve que zéro était un cercle chez les Chaldéens. Qu'est-ce en effet que zéro, le nom d'un chiffre, sinon un cercle ? Et d'où avons-nous cette expression sinon des Arabes, comme eux-mêmes l'avaient prise aux Chaldéens, le premier peuple au sein duquel ait fleuri l'arithmétique, la géométrie et aussi l'idolâtrie ?
Zéro, dans ce sens vient évidemment du Chaldéen zer, "entourer", qui, à son tour, a donné naissance au nom Babylonien appliqué à une grande période de temps, "saros",(BUNSEN, tome I, p. 711-712). Celui que les Chaldéens regardaient comme le Grand Germe étant tenu pour le soleil incarné, et l'emblème du soleil étant une circonférence(BUNSEN, tome I, p. 335, n°4), la relation hiéroglyphique entre zéro, la circonférence, et zéro la semence s'établit aisément.
Note : On notera aussi le "Ourobouros" cher aux franc-maçons, au "nouvel âge", à l'ésotérisme égyptien et même chinois, nordique et védique, et plus généralement au satanisme, et je le rajoute ici:
Partout dans l'histoire, que ce soit les Babyloniens et les autres nations païennes, tous avaient des symboles pour identifier leur croyance a un dieu triple.
Voici ce les l'archéologie nous dévoile.
Ici nous voyons Trimurti, la trinité hindoue
Ici les traces de Babylone partout dans le monde.
L'idée Babylonienne de l'unité divine était tellement idolâtre, que le "Dieu vivant" (YHWH) blâmait sévèrement son peuple de la partager à quelque degré que ce fût : "Ceux qui se sanctifient et se purifient dans les jardins, Au milieu desquels ils vont un à un, Qui mangent de la chair de porc, Des choses abominables et des souris, Tous ceux–là périront, dit l’Éternel." (Esaïe 66:17).
Dans l'unité de ce "Dieu" unique des Babyloniens il y avait trois personnes, et pour symboliser cette doctrine de la Trinité, ils employaient, comme le prouvent les découvertes de Layard, le triangle équilatéral, absolument comme l'Église Romaine le fait de nos jours . Dans les deux cas une telle comparaison est injurieuse pour le Roi Éternel, et ne sert qu'à pervertir les esprits de ceux qui se la permettent comme s'il y avait ou s'il ne pouvait y avoir aucune ressemblance entre une pareille figure et celui qui a dit : "à qui comparerez-vous "Dieu" (Elohim), et à quoi le ferez-vous ressembler ?"
La papauté a dans quelques-unes de ses églises, comme par exemple dans le monastère des Trinitaires de Madrid, une image du "Dieu en trois personnes", avec trois têtes sur un seul corps . Les Babyloniens avaient quelque chose de similaire. Dans son dernier livre, M. Layard donne un spécimen de cette triple divinité qu'adoraient les anciens Assyriens
La gravure en haut d'une autre divinité qu'adoraient les païens de la Sibérie, est empruntée à une médaille du Cabinet impérial de St-Pétersbourg et donnée dans le "Japhet" de Parson. Les trois têtes sont arrangées autrement dans le spécimen de Layard, mais toutes les deux sont évidemment destinées à symboliser la même grande vérité, bien que toutes ces représentations de la Trinité avilissent les idées de ceux parmi lesquels on trouve ces images, au sujet de ce mystère sublime de notre foi.
Dans l'Inde, la divinité suprême est aussi représentée de la même manière dans l'un des temples les plus anciens de ce pays; elle a trois têtes sur un seul corps et porte le nom de "Eko Deva Trimurti", "un Dieu à trois formes" .
Au Japon, les Bouddhistes adorent leur grand dieu Bouddha avec trois têtes, sous la même forme et sous le nom de "San Pao Fuh ".
Toutes ces images existaient depuis l'Antiquité. Tout en étant empreinte d'idolâtrie, la notion d'une Trinité était universelle chez toutes les nations anciennes du monde : cela montre combien était profondément enracinée dans l'humanité la doctrine originelle qui vient si manifestement de la Genèse.
La triple invocation du nom sacré alors que Jacob bénit les enfants de Joseph est à remarquer car elle est extrêmement frappante: Il bénit Joseph, et dit: Que le Dieu-Elohim en présence duquel ont marché mes pères, Abraham et Isaac, que le Dieu-Elohim qui m’a conduit depuis que j’existe jusqu’à ce jour, 16 que l’ange (messager) qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces enfants ! (Genèse 48:15). Si l'ange mentionné ici n'eût pas été de Dieu-Elohim, Jacob ne l'aurait pas invoqué comme étant de Dieu-Elohim. Dans Osée 12, 3-5, "Et dans sa vigueur, il lutta avec Dieu-Elohim. Il lutta avec l’ange, et il fut vainqueur, Il pleura, et lui adressa des supplications. Jacob l’avait trouvé à Béthel, Et c’est là que Dieu-Elohim nous a parlé. L’Éternel (YHWH) est le Dieu-Elohim des armées; Son nom est l’Éternel (YHWH).
Mais il est évident que le sens hiéroglyphique de ce cercle est bien différent. En Chaldéen un cercle se dit "Zéro"; et Zéro signifie aussi "la semence". Aussi, d'après le génie du système mystique des Chaldéens, qui était dans une large mesure fondé sur des mots à double sens, ce qui pour le vulgaire était simplement un Zéro, "une circonférence", était pour les initiés: "Zéro, la semence". Maintenant si on considère de ce point de vue l'emblème triple de la Divinité suprême des Assyriens, on voit clairement quelle avait été à l'origine la foi patriarcale.
Tout d'abord, il y a la tête du vieillard, puis il y a le Zéro, ou le cercle, c'est-à-dire la semence; enfin, les ailes et la queue d'une colombe , tout cela montre, d'une manière blasphématoire, l'unité du Père, de la semence ou du Fils, et du Saint-Esprit. Telle était la manière dont l'idolâtrie païenne avait tout d'abord représenté le "Dieu en trois personnes", cette représentation avait duré même après Sennachérib; mais il n'en est pas moins certain qu'à une époque plus reculée, les notions Babyloniennes de la Divinité s'étaient profondément modifiées; et les trois personnes étaient devenues le Père Éternel, l'Esprit de "Dieu" incarné dans une mère humaine et le divin Fils, fruit de cette incarnation.
Notre propre langue nous fournit la preuve que zéro était un cercle chez les Chaldéens. Qu'est-ce en effet que zéro, le nom d'un chiffre, sinon un cercle ? Et d'où avons-nous cette expression sinon des Arabes, comme eux-mêmes l'avaient prise aux Chaldéens, le premier peuple au sein duquel ait fleuri l'arithmétique, la géométrie et aussi l'idolâtrie ?
Zéro, dans ce sens vient évidemment du Chaldéen zer, "entourer", qui, à son tour, a donné naissance au nom Babylonien appliqué à une grande période de temps, "saros",(BUNSEN, tome I, p. 711-712). Celui que les Chaldéens regardaient comme le Grand Germe étant tenu pour le soleil incarné, et l'emblème du soleil étant une circonférence(BUNSEN, tome I, p. 335, n°4), la relation hiéroglyphique entre zéro, la circonférence, et zéro la semence s'établit aisément.
Note : On notera aussi le "Ourobouros" cher aux franc-maçons, au "nouvel âge", à l'ésotérisme égyptien et même chinois, nordique et védique, et plus généralement au satanisme, et je le rajoute ici:
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Nous avons vu d'où est venue cette doctrine de la Trinité chez les "chrétiens" mais qu'en est-il des Juifs qui ont renié le Dieu-Elohim unique pour accepter eux aussi la Trinité ?
Note. Attention, ceci est extrêmement important compte tenu de ce qui se passe actuellement dans un FAUX rassemblement de "Juda et Israël" (Jérémie 31:31 et Héb 8:8) car celui-ci est remplacé par un "oeucuménisme trinitaire" entre "chrétiens babyloniens" et "juifs babyloniens" ! La séduction est partout !
Voici.
C'est à partir de la Kabbale également appelée Quabbalah, que vient l'utilisation du pluriel trinitaire de "echad" le mot hébreu pour "un", qui pour les mystiques signifie "l'unité" plutôt que comme une unité absolue. Ceci est une hérésie.
Par exemple, les Trinitaires de la mystique juive, dont de nombreux rabbins juifs messianiques, diront que le mot hébreu "Elohim" est un pluriel de l'unité de trois personnes distinctes dans la Trinité, à savoir: le Père, le Fils et le Saint-Esprit .
Ces philosophes néo-platoniciens, ont corrompu l'esprit de la Parole de Dieu-Elohim qu'il y a un seul Dieu-Elohim, en disant que les mots hébreux "Elohim" et "echad" signifient « unité ».
Eh bien, si ceux-ci croient vraiment dans cette doctrine hérétique alors pourquoi ils rechignent et hésitent à traduire "Dieu" comme "dieux" au pluriel plutôt que dans le singulier "Dieu" ?
Pourquoi alors n'ont-ils pas de même traduit "echad" par "trois" et non pas plutôt comme «Un» ?
Évidemment, de telles distorsions ruineraient l'ensemble du texte de la Bible de la première à la dernière page et ces hommes présument de grande estime ne sont pas prêts à faire des changements fans le texte sacré. Le concept d'une unité dans une trinité, voire plus, les dieux, a ses racines dans les traditions juive antique de la Kabbale, connue à l'époque de Jésus-Yeshoua le Messie, comme "LA tradition des anciens".
Jésus-Yeshoua a t-il validé ces traditions comme étant la vérité ou leur a t-il dit avoir en leur sein les révélations sacrées de Dieu-Elohim ? Et s'il ne la pas fait, que dire de ces chercheurs et des enseignants prétendus de la Bible qui s'inspirent des trinitaires comme Platon ou de ces traditions néfastes ?
Si nous devions traduire "Dieu" comme "dieux", car ils disent qu'il est pluriel et signifie plus d'une personne qui sont toutes également "Dieu", et si nous traduisons "echad" par "trois" au lieu de "Un" comme ils enseignent dans cette doctrine, il ferait du Deut 6:4 une hérésie !
"Écoute, Israël ! l'Éternel (YHWH), notre Dieu-Elohim, est le seul Éternel-YHWH."
... car ce passage deviendrait:
"Écoute, Israël: la Chambre des Lords, nos Dieux, sont trois seigneurs !"
Et de même: "les Dieux créa les cieux et la terre" !... et "Tu n'auras pas d'autres dieux devant nous" !
N'est-ce pas pourtant le premier commandement en vue d'interdire la pratique du pluriel ou pluraliste du culte de Dieu-Elohim ?!
Note. Après, on s'étonnera que même les "évangéliques" prient tantôt "Jésus", tantôt "Dieu", tantôt le "S.E"... !
La Kabbalistique juive a été la loge secrète de la doctrine de la Trinité depuis l'époque de la captivité babylonienne.
Même avant l'expulsion de la Terre Sainte, les Juifs adoraient une trinité sous la forme de "Baal, Astarté, et Tammuz". Ainsi, la Trinité n'est pas nouvelle pour eux, il n'est également pas nouveau que les Juifs croient en une trinité de dieux.
Élie avait confronté les Trinitaires sur le mont Carmel. Puis après cette rencontre, les prophètes ont chacun de leur côté dans les générations suivantes, et dans leurs ministères, résisté à la doctrine de la Trinité des païens et toute adoption de celui-ci à appliquer à Dieu-Elohim.
En réalité si pour le "christianisme" la doctrine de la trinité a vu le jour, la Trinité n'a pas commencé à Nicée,. La manière d'expliquer cette trinité et la relation des trois dieux: le Père, le Fils et le Saint-Esprit a été empruntée au paganisme de l'époque.
Comment la trinité est-elle venu de Babylone en Égypte, puis à Nicée en 325 AD ?
Nous allons maintenant voir d'où vient la généalogie de la doctrine de ce culte qui a fait tant de millions de croyants durant la captivité car elle est venue grâce à la "mystique juive" connue sous le nom de Kabballah. Beaucoup ignorent cette connexion et à cause de cela ils ont été aveuglés et restent perdus en croyant sans le salut dans les cultes des Trinitaires.
Note. Attention, ceci est extrêmement important compte tenu de ce qui se passe actuellement dans un FAUX rassemblement de "Juda et Israël" (Jérémie 31:31 et Héb 8:8) car celui-ci est remplacé par un "oeucuménisme trinitaire" entre "chrétiens babyloniens" et "juifs babyloniens" ! La séduction est partout !
Voici.
C'est à partir de la Kabbale également appelée Quabbalah, que vient l'utilisation du pluriel trinitaire de "echad" le mot hébreu pour "un", qui pour les mystiques signifie "l'unité" plutôt que comme une unité absolue. Ceci est une hérésie.
Par exemple, les Trinitaires de la mystique juive, dont de nombreux rabbins juifs messianiques, diront que le mot hébreu "Elohim" est un pluriel de l'unité de trois personnes distinctes dans la Trinité, à savoir: le Père, le Fils et le Saint-Esprit .
Ces philosophes néo-platoniciens, ont corrompu l'esprit de la Parole de Dieu-Elohim qu'il y a un seul Dieu-Elohim, en disant que les mots hébreux "Elohim" et "echad" signifient « unité ».
Eh bien, si ceux-ci croient vraiment dans cette doctrine hérétique alors pourquoi ils rechignent et hésitent à traduire "Dieu" comme "dieux" au pluriel plutôt que dans le singulier "Dieu" ?
Pourquoi alors n'ont-ils pas de même traduit "echad" par "trois" et non pas plutôt comme «Un» ?
Évidemment, de telles distorsions ruineraient l'ensemble du texte de la Bible de la première à la dernière page et ces hommes présument de grande estime ne sont pas prêts à faire des changements fans le texte sacré. Le concept d'une unité dans une trinité, voire plus, les dieux, a ses racines dans les traditions juive antique de la Kabbale, connue à l'époque de Jésus-Yeshoua le Messie, comme "LA tradition des anciens".
Jésus-Yeshoua a t-il validé ces traditions comme étant la vérité ou leur a t-il dit avoir en leur sein les révélations sacrées de Dieu-Elohim ? Et s'il ne la pas fait, que dire de ces chercheurs et des enseignants prétendus de la Bible qui s'inspirent des trinitaires comme Platon ou de ces traditions néfastes ?
Si nous devions traduire "Dieu" comme "dieux", car ils disent qu'il est pluriel et signifie plus d'une personne qui sont toutes également "Dieu", et si nous traduisons "echad" par "trois" au lieu de "Un" comme ils enseignent dans cette doctrine, il ferait du Deut 6:4 une hérésie !
"Écoute, Israël ! l'Éternel (YHWH), notre Dieu-Elohim, est le seul Éternel-YHWH."
... car ce passage deviendrait:
"Écoute, Israël: la Chambre des Lords, nos Dieux, sont trois seigneurs !"
Et de même: "les Dieux créa les cieux et la terre" !... et "Tu n'auras pas d'autres dieux devant nous" !
N'est-ce pas pourtant le premier commandement en vue d'interdire la pratique du pluriel ou pluraliste du culte de Dieu-Elohim ?!
Note. Après, on s'étonnera que même les "évangéliques" prient tantôt "Jésus", tantôt "Dieu", tantôt le "S.E"... !
La Kabbalistique juive a été la loge secrète de la doctrine de la Trinité depuis l'époque de la captivité babylonienne.
Même avant l'expulsion de la Terre Sainte, les Juifs adoraient une trinité sous la forme de "Baal, Astarté, et Tammuz". Ainsi, la Trinité n'est pas nouvelle pour eux, il n'est également pas nouveau que les Juifs croient en une trinité de dieux.
Élie avait confronté les Trinitaires sur le mont Carmel. Puis après cette rencontre, les prophètes ont chacun de leur côté dans les générations suivantes, et dans leurs ministères, résisté à la doctrine de la Trinité des païens et toute adoption de celui-ci à appliquer à Dieu-Elohim.
En réalité si pour le "christianisme" la doctrine de la trinité a vu le jour, la Trinité n'a pas commencé à Nicée,. La manière d'expliquer cette trinité et la relation des trois dieux: le Père, le Fils et le Saint-Esprit a été empruntée au paganisme de l'époque.
Comment la trinité est-elle venu de Babylone en Égypte, puis à Nicée en 325 AD ?
Nous allons maintenant voir d'où vient la généalogie de la doctrine de ce culte qui a fait tant de millions de croyants durant la captivité car elle est venue grâce à la "mystique juive" connue sous le nom de Kabballah. Beaucoup ignorent cette connexion et à cause de cela ils ont été aveuglés et restent perdus en croyant sans le salut dans les cultes des Trinitaires.
Re: La Doctrine de la Trinité, une Hérésie
Généalogie de la trinité du judaïsme apostat:
Les Juifs se sont installés à Alexandrie du temps de Jérémie. Ils détenaient de hautes fonctions dans les affaires civiques, mais surtout en tant qu'éducateurs. Selon David M. Scholer, il y avait plus d'un million de Juifs d'Alexandrie à l'époque de Platon. Platon Judaeaus, est peut-être le plus célèbre gnostique juif et mystique de l'ère "chrétienne", et est un contemporain du Mashiah ("Christ") et des Apôtres.
Sa fille Bernice, était la femme d'Hérode Agrippa, qui a jugé l'Apôtre Paul. Platon est reconnu comme le premier qui «ouvertement» a appliqué les croyances babyloniennes et les méthodes grecques de la mystique, dans une interprétation allégorique par écrit.
Il considérait les philosophes grecs comme étant sur le même niveau que les prophètes. Il croyait que leur logique et leurs raisonnements, ainsi que l'hypostase étaient d'origine divine. Plus tard les romains et les grecs orthodoxes catholiques ont fait de même. Beaucoup de Juifs, qui croyaient en Platon, hellénisés, ont par la suite adopté le concept de la trinité de Platon et l'ont appliqué à leur "Dieu".
Ce gnosticisme est connu comme étant la Kabbale, la force spirituelle et métaphysique, force Babylonienne, et le Talmud de Jérusalem.
Peu de gens savent que derrière la mystique juive se cache la croyance secrète d'une triade de dieux dans une unité trinitaire. Ces puissances d'Elohim sont représentées comme des émanations dans les dix Sephiroth, ou "arbre de vie", dans la Kabbale. Ce mysticisme invalide le sens littéral et l'interprétation des Écritures.
Parmi les apostoliques nous appelons cela «spiritualiser». En fait, le "christianisme spiritualiste" est en réalité le "mysticisme", utilisant une réinterprétation afin d'invalider le sens littéral et l'interprétation de l'Écriture. La doctrine de la Trinité a donné naissance à la mystique, et non pas à la révélation.
S'inspirant du «spiritualisme et de la mystique» est venue la théorie de la "trinité cachée en Dieu", qui doit être comprise par une révélation spéciale à travers la philosophie !
De Platon [20 BC-50 AD], à Athanase [293 AD-373 AD], environ 275 ans, la fermentation platonicienne grecque concernant "Dieu" avait atteint son apogée intellectuelle en Égypte. Le "judaïsme" (rabbinique) avait été entièrement moulé au platonisme.
Il était maintenant le temps pour "l'Église chrétienne" d'être moulée à son tour.
Serait-il rejeter le paganisme grec, ou la philosophie comme l'Apôtre Paul l'appelle (Colossiens 2:08) ? Certes, nous pourrions nous demander, alors que depuis ce temps le platonisme était bien connu de Paul et des apôtres, si c'était la vérité, pourquoi l'ont-il rejetée et a-t-il fallu attendre 275 années pour qu'elle soit acceptée à Nicée ? Avez-vous, ainsi que "Dieu" Lui-même, raté quelque chose ? A quelle place les Apôtres n'ont-ils pas été conduits par l'Esprit, alors que ceux qui étaient à Nicée oui ?
Athanase a été nommé, à l'âge de 32 ans, évêque d'Alexandrie, et ce principal opposant d'Arius était le champion du platonisme qui était entièrement imprégné dans les églises romaines et grecques . Il avait reçu une éducation libérale. Assez tôt, il a été instruit dans les Écritures, mais dans la version des Septante du "Nouveau Testament" (appellation "d'hommes" !). Il ne connaissait pas l'hébreu. Ces études, combinées avec l'apprentissage du grec, a influencé sa pensée future. Dans l'esprit et les perspectives il pensait en grec. Il n'avait rien de l'Égyptien de souche.
Athanase était un philosophe grec pré-Nicéen des églises romaines. Il n'est pas venu à la connaissance de la théorie de Platon sur la divinité accidentellement. Il l'a apprise à l'université où il a étudié en l'appliquant brillamment dans les Écritures comme aucun avant lui. Son génie et sa puissance dans la diplomatie était un actif parmi les vieilles pensée des Nicéens, qui étaient les plus ignorants, et qui ne croyaient pas que dans la viande il y avait du gras. Comment un homme de 32 ans, inconnu archidiacre, est-il venu à avoir une telle force politique à huis clos, pour faire tomber 316 des 318 vieux évêques aux cheveux gris dans son interprétation grecque d'une "nouvelle Monarchie monothéiste" ?
Serait-ce que la philosophie grecque était déjà en train de tromper les évêques qui connaissaient les écrits de Clément, Irénée,Tertullien, et autres ? Il faut dire que les croyances monothéistes des premiers apôtres et des "chrétiens", étaient fermes sur le fait qu'il y avait un seul Dieu-Elohim dans la "Divinité" (terme impropre qui vient de "Deus"). Ceci est confirmé par les Écritures suivantes, et le fait que le mot "trinité" n'est pas dans la Bible:
- Mal 2:10
"N'avons-nous pas tous un seul père? N'est-ce pas un seul Dieu-Elohim qui nous a créés ?"
- Marc 12:32
"Le scribe lui dit: Bien, maître; tu as dit avec vérité que Dieu-Elohim est unique, et qu'il n'y en a point d'autre que lui."
- Romains 3:30
"puisqu'il y a un seul Dieu-Elohim, qui justifiera par la foi les circoncis, et par la foi les incirconcis."
- Eph 4:6
"un seul Dieu-Elohim et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous."
- Jacques 2:19
"Tu crois qu'il y a un seul Dieu-Elohim, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent."
La doctrine de la Trinité n'est-elle donc pas le fruit de la semance Nico-Latine qui a grandi dans le sol gnostique grec et qui a essayé d'infiltrer l'église de Pergame?
- Apoc 2:13 Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants: Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure."
N'est-ce pas alors la doctrine de la Trinité, le fruit de la semence Nicéo-latine, qui a grandi dans le sol fertile de la gnose grecque, et qui a tenté de s'infiltrer dans l'Église de Pergame ? N'est-ce pas l'acceptation de la doctrine de la Trinité qui est une preuve que l'orthodoxie grecque est une forme de gnosticisme chrétien hellénisé, et non pas la vraie Église apostolique ? Si la doctrine de la Trinité avait été vraie, alors pourquoi a-t-il fallu 295 années avant qu'elle devienne la doctrine officielle établie par l'église en 325 à Nicée?
J'invite les "chrétiens" (ou plutôt les vrais "disciples de Yeshoua") à ne pas minimiser l'influence du grec-gnostique et juif Athanase à Nicée, et le fait qu'il a appris la doctrine de la Trinité des deux sources du Judaïsme hellénisé (la Kabbale), et la philosophie de Platon. Les trinitaires ne font généralement pas de recherches pour essayer de découvrir d'où vient la Trinité. Au lieu de faire confiance à ce qui leur a été enseigné, ils apprendraient que cette doctrine est partie de Babylone pour ensuite apparaître à Jérusalem, en Grèce, à Alexandrie puis à Nicée.
Les Juifs se sont installés à Alexandrie du temps de Jérémie. Ils détenaient de hautes fonctions dans les affaires civiques, mais surtout en tant qu'éducateurs. Selon David M. Scholer, il y avait plus d'un million de Juifs d'Alexandrie à l'époque de Platon. Platon Judaeaus, est peut-être le plus célèbre gnostique juif et mystique de l'ère "chrétienne", et est un contemporain du Mashiah ("Christ") et des Apôtres.
Sa fille Bernice, était la femme d'Hérode Agrippa, qui a jugé l'Apôtre Paul. Platon est reconnu comme le premier qui «ouvertement» a appliqué les croyances babyloniennes et les méthodes grecques de la mystique, dans une interprétation allégorique par écrit.
Il considérait les philosophes grecs comme étant sur le même niveau que les prophètes. Il croyait que leur logique et leurs raisonnements, ainsi que l'hypostase étaient d'origine divine. Plus tard les romains et les grecs orthodoxes catholiques ont fait de même. Beaucoup de Juifs, qui croyaient en Platon, hellénisés, ont par la suite adopté le concept de la trinité de Platon et l'ont appliqué à leur "Dieu".
Ce gnosticisme est connu comme étant la Kabbale, la force spirituelle et métaphysique, force Babylonienne, et le Talmud de Jérusalem.
Peu de gens savent que derrière la mystique juive se cache la croyance secrète d'une triade de dieux dans une unité trinitaire. Ces puissances d'Elohim sont représentées comme des émanations dans les dix Sephiroth, ou "arbre de vie", dans la Kabbale. Ce mysticisme invalide le sens littéral et l'interprétation des Écritures.
Parmi les apostoliques nous appelons cela «spiritualiser». En fait, le "christianisme spiritualiste" est en réalité le "mysticisme", utilisant une réinterprétation afin d'invalider le sens littéral et l'interprétation de l'Écriture. La doctrine de la Trinité a donné naissance à la mystique, et non pas à la révélation.
S'inspirant du «spiritualisme et de la mystique» est venue la théorie de la "trinité cachée en Dieu", qui doit être comprise par une révélation spéciale à travers la philosophie !
De Platon [20 BC-50 AD], à Athanase [293 AD-373 AD], environ 275 ans, la fermentation platonicienne grecque concernant "Dieu" avait atteint son apogée intellectuelle en Égypte. Le "judaïsme" (rabbinique) avait été entièrement moulé au platonisme.
Il était maintenant le temps pour "l'Église chrétienne" d'être moulée à son tour.
Serait-il rejeter le paganisme grec, ou la philosophie comme l'Apôtre Paul l'appelle (Colossiens 2:08) ? Certes, nous pourrions nous demander, alors que depuis ce temps le platonisme était bien connu de Paul et des apôtres, si c'était la vérité, pourquoi l'ont-il rejetée et a-t-il fallu attendre 275 années pour qu'elle soit acceptée à Nicée ? Avez-vous, ainsi que "Dieu" Lui-même, raté quelque chose ? A quelle place les Apôtres n'ont-ils pas été conduits par l'Esprit, alors que ceux qui étaient à Nicée oui ?
Athanase a été nommé, à l'âge de 32 ans, évêque d'Alexandrie, et ce principal opposant d'Arius était le champion du platonisme qui était entièrement imprégné dans les églises romaines et grecques . Il avait reçu une éducation libérale. Assez tôt, il a été instruit dans les Écritures, mais dans la version des Septante du "Nouveau Testament" (appellation "d'hommes" !). Il ne connaissait pas l'hébreu. Ces études, combinées avec l'apprentissage du grec, a influencé sa pensée future. Dans l'esprit et les perspectives il pensait en grec. Il n'avait rien de l'Égyptien de souche.
Athanase était un philosophe grec pré-Nicéen des églises romaines. Il n'est pas venu à la connaissance de la théorie de Platon sur la divinité accidentellement. Il l'a apprise à l'université où il a étudié en l'appliquant brillamment dans les Écritures comme aucun avant lui. Son génie et sa puissance dans la diplomatie était un actif parmi les vieilles pensée des Nicéens, qui étaient les plus ignorants, et qui ne croyaient pas que dans la viande il y avait du gras. Comment un homme de 32 ans, inconnu archidiacre, est-il venu à avoir une telle force politique à huis clos, pour faire tomber 316 des 318 vieux évêques aux cheveux gris dans son interprétation grecque d'une "nouvelle Monarchie monothéiste" ?
Serait-ce que la philosophie grecque était déjà en train de tromper les évêques qui connaissaient les écrits de Clément, Irénée,Tertullien, et autres ? Il faut dire que les croyances monothéistes des premiers apôtres et des "chrétiens", étaient fermes sur le fait qu'il y avait un seul Dieu-Elohim dans la "Divinité" (terme impropre qui vient de "Deus"). Ceci est confirmé par les Écritures suivantes, et le fait que le mot "trinité" n'est pas dans la Bible:
- Mal 2:10
"N'avons-nous pas tous un seul père? N'est-ce pas un seul Dieu-Elohim qui nous a créés ?"
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"Le scribe lui dit: Bien, maître; tu as dit avec vérité que Dieu-Elohim est unique, et qu'il n'y en a point d'autre que lui."
- Romains 3:30
"puisqu'il y a un seul Dieu-Elohim, qui justifiera par la foi les circoncis, et par la foi les incirconcis."
- Eph 4:6
"un seul Dieu-Elohim et Père de tous, qui est au-dessus de tous, et parmi tous, et en tous."
- Jacques 2:19
"Tu crois qu'il y a un seul Dieu-Elohim, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent."
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- Apoc 2:13 Voici ce que dit celui qui a l'épée aiguë, à deux tranchants: Je sais où tu demeures, je sais que là est le trône de Satan. Tu retiens mon nom, et tu n'as pas renié ma foi, même aux jours d'Antipas, mon témoin fidèle, qui a été mis à mort chez vous, là où Satan a sa demeure."
N'est-ce pas alors la doctrine de la Trinité, le fruit de la semence Nicéo-latine, qui a grandi dans le sol fertile de la gnose grecque, et qui a tenté de s'infiltrer dans l'Église de Pergame ? N'est-ce pas l'acceptation de la doctrine de la Trinité qui est une preuve que l'orthodoxie grecque est une forme de gnosticisme chrétien hellénisé, et non pas la vraie Église apostolique ? Si la doctrine de la Trinité avait été vraie, alors pourquoi a-t-il fallu 295 années avant qu'elle devienne la doctrine officielle établie par l'église en 325 à Nicée?
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